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Amir Reza Tofighi redoute que tout l'effort pour résorber la dette soit demandé aux entreprises. « Quand on attaque l'entreprise, on attaque la France », assure le président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises, invité de la matinale ce mercredi.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis la rentrée, Julia de Funès, petite fille de Louis de Funès, fait partie des grands témoins qui viennent commenter l'actualité sur RTL. Laurent Gerra et Jade ont donc eu l'idée de réunir les petites filles de célèbres stars du cinéma français... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Naïma Bel Allam ne manquait pas de mérite. Depuis une dizaine d'années, elle élevait seule ses deux petites filles. Si lourdement handicapées qu'elles ne pouvaient ni marcher, ni parler, ni jouer toutes seules. Elle s'en occupait parfaitement jusqu'au printemps 2017 où plus personne n'a plus vu Inès, 12 ans, et Nawal, 13 ans. Disparues. Introuvables. La maman courage, soupçonnée de les avoir abandonnées puis de les avoir tuées, est alors devenue un mère infanticide. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, seulement 20% des postes de maires sont occupés par des femmes. Ce chiffre n'est pourtant pas représentatif de leur engagement politique dans les communes rurales. Leurs actions dans les champs du lien social où les services publics s'amenuisent sont trop rarement reconnus. Mais la loi sur la parité qui s'appliquera désormais aux communes de moins de 1000 habitants devrait changer la donne et permettre aux femmes de s'imposer davantage dans des fonctions politiques habituellement réservées aux hommes.Pour comprendre les enjeux et dynamiques en cours, Thomas Rozec s'entretient avec Edith Gueugneau, Maire de Bourbon-Lancy depuis 2014 et Sophie Orange, sociologue, professeur à l'Université de Nantes et chercheuse au centre nantais de sociologie.Crédits :Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B de Thomas Rozec réalisé par Thomas Plé, financé par l'Agence nationale de la cohésion des territoires dans le cadre du programme Petites villes de demain et en partenariat avec le GIP Europe des projets architecturaux et urbains et son programme POPSU Territoires. Coordination : Pacôme Bertrand et Hélène Millet. Production et édition : Camille Khodor. Direction de production : Albane Fily. Identité graphique : Lise Niederkorn. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Rares sont les parents qui ne se posent pas de questions ou n'éprouvent pas d'inquiétudes à l'approche de l'entrée en maternelle ! Pas de panique
Voici le quatrième et dernier volet de cette série d'été !
L'International Trade Centre en partenariat avec le World Trade Organization basée à Genève, s'est associé à l'Afrique du Sud dans le cadre de sa présidence du G20 pour lancer la toute première édition d'une initiative mondiale visant à faire progresser le développement des Petites et Moyennes Entreprises (PME) à un niveau supérieur. Le ministre mauricien de l'Industrie, des PME et des Coopératives, Aadil Ameer Meea, a souligné qu'il s'agissait d'une opportunité unique où les ministres en charge des PME à travers le monde ont pu se rencontrer et échanger. Placée sous le thème « Navigating New Business Frontiers », cette édition met en lumière le rôle essentiel des PME dans la transformation économique, à travers trois axes prioritaires notamment l'accès au financement, la connectivité numérique et la transition écologique. Le ministre a également évoqué la nécessité d'une vision commune pour renforcer et valoriser le secteur des PME à l'échelle mondiale.
Voici le troisième volet de cette série d'été !
durée : 00:08:04 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - L'auteur, compositeur et interprète cubain Raul Paz est l'invité exceptionnel du Monde d'Élodie à l'occasion de la sortie de son album "Guarijo chic". Dans ce quatrième épisode, il évoque la chanson "No me digas que no" (Ne me dis pas non). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Suite de notre série qui vous emmène à la découverte des délices du continent. Au menu : le plat emblématique autour du lac Kivu, entre le Rwanda et l'est de la République démocratique du Congo : les sambazas ou isambazas. Ce sont de minuscules poissons, traditionnellement pêchés à la lumière de lampes de pompage. Frits ou en sauce, en plat ou en snack à partager, ils font le délice des habitants proches des rives du lac et des voyageurs. C'est notamment l'assiette incontournable des restaurants de la ville de Gisenyi, à l'ouest du Rwanda. Reportage de notre envoyée spéciale de retour de Gisenyi, au bord du lac Kivu.
« Le secteur informel est une composante essentielle de la plupart des économies subsahariennes », décrit le FMI. S'il contribue de 25 à 65% du PIB des pays, une partie des bénéfices de ces activités économiques échappent cependant aux caisses des États. Afrique économie vous emmène cette semaine dans une plongée de l'informel sur le continent. En Centrafrique, le commerce informel bat son plein entre la capitale Bangui et sa jumelle, la ville congolaise de Zongo, de l'autre côté de la rivière Oubangui. Tous les jours, de nombreux commerçants centrafricains du secteur informel font des traversées en pirogue pour s'approvisionner, car Bangui dépend de Zongo en produits agricoles et Zongo dépend de Bangui en produits manufacturés. De notre correspondant à Bangui, 5 h du matin. Une vingtaine de piroguiers s'affairent à mettre à l'eau leurs embarcations en bois à Port Beach, côté centrafricain. La frontière entre la capitale centrafricaine, Bangui, et Zongo, en RDC, ouvre à 7 h. En attendant, les passagers – pour la plupart des commerçants – remplissent des formalités. Debout à côté d'un canoë, Flora, une vendeuse de légumes, se prépare pour traverser : les allers-retours Bangui-Zongo, elle fait ça « depuis une vingtaine d'années ». « Tout le monde sait que notre capitale n'est pas une zone agricole. L'agriculture se pratique dans les localités environnantes ou dans l'arrière-pays. Mais la distance, les tracasseries routières et l'insécurité compliquent parfois l'acheminement des produits », décrit-elle. Si Flora s'approvisionne à Zongo, c'est parce que la ville congolaise « se trouve à 10 minutes juste en face » et parce que « c'est une ville très développée en matière d'agriculture », explique-t-elle. Ces commerçants du secteur informel, comme Flora, ne sont enregistrés dans aucun des deux pays et ne paient donc pas d'impôt. Toutefois, ils paient des taxes de 500 FCFA (environ 0,75 euro) aux services de l'immigration dans les deux villes, à chaque fois qu'ils traversent la rivière Oubangui. « Chaque matin, je traverse pour acheter des articles. Je m'approvisionne de manière informelle de l'autre côté de la rive parce que notre pays est enclavé. La plupart de nos produits sont importés de très loin », détaille Jacob, commerçant centrafricain. Lui vend des boissons, des panneaux solaires et des appareils électroniques. Des produits difficiles à trouver en Centrafrique qui « coûtent cher parce qu'ils sont importés de très loin », dit Jacob. « Comme c'est facile de traverser de l'autre côté de la rive, j'ai pris mon temps pour évaluer les articles qui sont rares ici ». « C'est de ça que je vis », souffle le commerçant, qui affirme qu'il n'a pas les moyens pour créer une entreprise formelle. Des produits disponibles et moins chers Entre Bangui et Zongo, le secteur informel domine largement l'activité économique. Il représente environ 60% des emplois et a une importance socio-économique considérable, selon la Fédération des entreprises du Congo. Même les petites entreprises centrafricaines s'appuient régulièrement sur les matières premières congolaises, importées de manière informelles par la rivière. Les usines de savon à Bangui notamment travaillent « en commun accord » avec les agriculteurs de Zongo, explique Charles Yannick, un commerçant congolais. « Ces savons sont fabriqués à base d'huile de palme, mais il n'y a pas de plantations de palmiers à Bangui. Le plus grand village de palmier se trouve à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest. Ce qui pousse ces entreprises à traverser rapidement de l'autre côté de la rive pour acheter les fruits de palmier dans des sacs, ici dans notre ville », témoigne le commerçant. Les vendeurs, pour la plupart des jeunes, subissent de temps en temps des tracasseries administratives et un racket policier. Selon le ministère des Petites et Moyennes Entreprises, le gouvernement travaille à la formalisation de ces commerces pour faire entrer de l'argent dans les caisses de l'État. À lire aussiRCA/RDC: Bangui et Zongo et les échanges commerciaux de ces villes jumelles [3/3]
durée : 00:28:53 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Emilie Chaudet - Hugo, étudiant dans une école d'ingénieur, a fait son contrat d'alternance dans une grande banque. Jeannette est femme de ménage à l'Assemblée nationale. Tous deux ont essayé, sur leur lieu de travail, de changer les mentalités, d'améliorer les conditions de travail. Un récit signé Emilie Chaudet - réalisation : Somaya Dabbech
durée : 00:28:53 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Emilie Chaudet - Hugo, étudiant dans une école d'ingénieur, a fait son contrat d'alternance dans une grande banque. Jeannette est femme de ménage à l'Assemblée nationale. Tous deux ont essayé, sur leur lieu de travail, de changer les mentalités, d'améliorer les conditions de travail. Un récit signé Emilie Chaudet - réalisation : Somaya Dabbech
« Le secteur informel est une composante essentielle de la plupart des économies subsahariennes », décrit le FMI. S'il contribue de 25 à 65% du PIB des pays, une partie des bénéfices de ces activités économiques échappent cependant aux caisses des États. Afrique économie vous emmène cette semaine dans une plongée de l'informel sur le continent. Au Cameroun, le secteur de l'informel représente plus de 85 % des emplois, selon les chiffres du ministère des Petites et Moyennes Entreprises. Dans le Septentrion, le chômage y est important, les commerçants profitent de leur proximité avec le Nigeria pour s'approvisionner en carburant, denrées alimentaires ou encore médicaments de l'autre côté de la frontière. On les surnomme les « zoua-zoua ». Les vendeurs de carburant à la sauvette bordent les routes du centre-ville de Garoua, une ville située à quelques dizaines de kilomètres de la frontière nigériane. Dans la région septentrionale du Cameroun, zone enclavée et touchée par le chômage, le commerce informel joue un rôle très important. Derrière les bouteilles en plastique et les panneaux en carton qui annoncent les prix, Paul (le prénom a été modifié) organise son petit commerce. Pour se ravitailler, il « loue une voiture 5 000 francs [environ 7,5 euros, NDLR] » et traverse la frontière nigériane. Là-bas, chaque litre lui coûte « 600 ou 650 francs [environ 1 euro, NDLR] ». Paul le revend 800 francs CFA (1,2 euro) dans les rues de Garoua, quand d'autres montent jusqu'à 850 francs (1,3 euro). « Il n'y a pas de prix fixe », reconnaît le vendeur. Pour passer la douane, un billet permet d'éviter les contrôles de marchandises. « La police ne nous dérange pas », raconte Paul, « quand on passe, parfois, on paye 10 000, parfois 5 000 francs [de 7,5 à 15 euros environ, NDLR] ». Comme beaucoup de Camerounais, le commerce de rue permet à Paul de gagner « un peu » sa vie. « C'est mieux que pas de travail », met-il en avant. « Nous, les gens du quartier, c'est avec ça, avec le carburant, qu'on se débrouille. » Grâce à la revente informelle, Paul a construit sa petite maison. Son commerce fait également travailler régulièrement deux à cinq jeunes du voisinage. À lire aussiCameroun: les autorités interdisent l'accès aux vendeurs ambulants dans 15 lieux de Yaoundé « On n'a pas le choix. On n'a que ça à faire. Il n'y a pas de travail » Un peu plus loin, au marché, deux jeunes hommes sont affalés sur leurs étals. Eux vendent des médicaments, également importés sans déclaration du Nigeria. « Il y a tous genres de médicaments : mal de tête, mal d'estomac… Même pour le palu, il y en a », présentent fièrement les deux commerçants d'une vingtaine d'années. « Je viens avec la voiture et je traverse comme ça. On est habitués », raconte l'un d'eux. « Parfois, la police dérange (…) ils prennent la marchandise », ajoute-t-il. « Plusieurs fois », les jeunes ont été visés par des saisies des forces de l'ordre. Des opérations qui les « ruinent », se plaignent-ils. Mais pas de quoi décourager les deux vendeurs ambulants. « On n'a pas le choix. On n'a que ça à faire. Il n'y a pas de travail », regrettent-ils, car le Cameroun est un pays où il est « très dur » de trouver un emploi salarié. Accoudé à son stand de médicaments, l'un des jeunes renchérit : « Les gens ont fait l'école. Il y a les diplômes, les diplômes professionnels comme académiques, mais on ne trouve pas de travail. Le gouvernement n'est pas bon. On souffre. Les gens souffrent au Cameroun, surtout les jeunes », dit-il. Matériaux de construction ou encore produits alimentaires sont également importés du Nigeria pour être revendus à Garoua. À lire aussiHausse du prix du carburant au Cameroun: les transporteurs se disent «asphyxiés»
durée : 00:28:27 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Charlotte Bienaimé, Élise Andrieu, Bahar Makooi, Ilana Navaro, Martine Abat, Pascale Pascariello, Leila Djitli, Olivier Minot, Rémi Dybowski Douat, Valérie Borst, Pauline Maucort, Sophie Knapp, Adila Bennedjaï-Zou, Inès Léraud, Delphine Saltel, Delphine Dhilly, Léa Minod, Léa Veinstein, Stéphanie Thomas, Judith Chetrit - En janvier dernier, deux pilotes français décident d'acheter, avec leurs propres économies, un petit avion pour survoler la mer Méditerranée entre les côtes libyennes et le sud de Lampedusa, afin de repérer et signaler les canots de migrants en perdition. Ce printemps, les vols ont enfin commencé. - réalisation : Cécile Laffon, François Caunac, Emmanuel Geoffroy, Philippe Baudouin, Clémence Gross
Riche, variée, infinie, gourmande, universelle, économe, locale, saisonnière, totalement ludique et réjouissante ! La cuisine végétarienne en a sous la pétale ; géniale, elle se mêle à toutes les marmites du monde. En galettes de légumineuses, en poudre, en pièce maîtresse et en accompagnement, le végétal à table nous régale. « Le vivant même est questionné selon les endroits de la planète. La « définition » de la cuisine végétarienne est centrée à l'endroit où on est né et selon nos habitudes. La singularité de la cuisine végétarienne est que l'on va raisonner autrement : la pièce centrale de l'assiette sera l'aubergine, les herbes à côté, et les fans de radis conservés au frigo, le secret c'est d'avoir plus de variétés pour créer le goût. » Estérelle Payany. « Au restaurant, j'ouvre d'abord mes frigos, je regarde ce que j'ai et ce que je peux faire avec. À partir du moment où c'est un exercice, même un petit défi quand la question est : qu'est-ce qu'on fait pour faire un très bon plat avec ce qu'il y a là ?! La cuisine végétarienne vient peut-être de ces habitudes et raisonnements-là. C'est une cuisine représentée dans les cuisines du monde entier », Julie Bavant. Avec - Estérelle Payany, journaliste, critique gastronomique, cuisinière et autrice de « Cuisine végétarienne », aux éditions Flammarion. - Julie Bavant, cheffe du restaurant Pistil, 12 rue de Lechevin, Paris 11ème. Suivre Julie. « Entre les cuissons, les découpes, les conservations, la diversité, en fait il y a autant de textures possibles dans un légume, l'univers de la viande culinairement parlant, il est beaucoup plus pauvre. La texture, et puis les condiments : miso, sauce soja, les sirops, le sel, la fermentation, les huiles végétales, et c'est là que l'assaisonnement joue un rôle particulièrement important. Une fois que vous avez compris les bases et la grammaire, vous pouvez créer ce que vous voulez ! » Pour aller plus loin - Dans l'émission, il est question de ce piment fumé : Pimenton de la vera, si vous le cherchez, c'est ainsi que son nom est écrit - Les mémoires d'Hadrien, de Marguerite Yourcenar - Jérusalem, de Yotam Ottolenghi et Sami Tamimi, Hachette Cuisine - So Nat, de Zohra Levacher, éditions Ulmer - Légumes, de Jeremy Fox, éditions Phaïdon - La cantine vagabonde, de Leila Djeddi, éditions Solar - Cuisine indienne végétarienne, éditions Phaïdon - Cuisine indienne vegan, de Natacha et Yasmine Tourabi, éditions Solar - Vegan World, de Alice Pagès, éditions Ulmer - Ma cuisine végétale, de Cheynese Khachame, éditions Solar - Céréales, de Manon Fleury, éditions Flammarion - Bien des astuces et des recettes savoureuses sur la page la Guinguette d'Angèle : la page d'Angèle Ferreux Maeght - Alain Passard : le chef de l'Arpège, restaurant 3 étoiles au Guide Michelin, a annoncé en juillet 2025 que ses menus seraient désormais entièrement végétariens. Cuisines végétales – quelques adresses - So Nat, 5 rue Bourdaloue, Paris 9ème - Faubourg Daimant et Daimant Saint Honoré, 20 rue du Faubourg Poissonnière, Paris 9è - Bep Viet, 14 rue Caillaux, Paris 13è - Jah Jah by le Tricycle. Afro Vegan, 11 rue des Petites Écuries, Paris 10è - Hododa, 15 rue de l'Évêché, à Marseille - Mauvaise herbe bistrot, 6 rue Haxo, à Marseille - Like an elephant, 11 montée Saint-Sébastien, Lyon 1er. Programmation musicale : The Wandering À ceux qui chercheraient le mouvement sous la voix du chef Passard dans le générique : Vivaldi, Les Quatre Saisons, «L'Été», concerto pour violon en sol mineur, numéro 2. En images
durée : 00:28:27 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Charlotte Bienaimé, Élise Andrieu, Bahar Makooi, Ilana Navaro, Martine Abat, Pascale Pascariello, Leila Djitli, Olivier Minot, Rémi Dybowski Douat, Valérie Borst, Pauline Maucort, Sophie Knapp, Adila Bennedjaï-Zou, Inès Léraud, Delphine Saltel, Delphine Dhilly, Léa Minod, Léa Veinstein, Stéphanie Thomas, Judith Chetrit - En janvier dernier, deux pilotes français décident d'acheter, avec leurs propres économies, un petit avion pour survoler la mer Méditerranée entre les côtes libyennes et le sud de Lampedusa, afin de repérer et signaler les canots de migrants en perdition. Ce printemps, les vols ont enfin commencé. - réalisation : Cécile Laffon, François Caunac, Emmanuel Geoffroy, Philippe Baudouin, Clémence Gross
durée : 00:28:23 - Les Pieds sur terre - par : Clément Baudet - La centrale de Tricastin, située dans la Drôme, fait partie des plus anciennes du parc nucléaire français. Elle suscite de nombreuses inquiétudes, à la fois parmi les écologistes, mais aussi au sein même d'EDF - au point que certains employés en viennent à passer devant la justice... - réalisation : Yaël Mandelbaum
Chaque année, la petite ville de Coutances, en Normandie, se transforme le temps d'une semaine grâce à Jazz sous les pommiers, un événement culturel majeur né il y a plus de 40 ans qui redessine l'espace public, fédère les habitants et façonne l'image du territoire. Cette nouvelle étape est l'occasion de comprendre comment un festival peut être le poumon culturel et festif d'un territoire chaque été, et donner de l'élan à une petite ville pour le reste l'année. Découvrez dans cet épisode les coulisses, les objectifs et limites des politiques culturelles locales, animées par des acteurs locaux qui font le succès de l'événement Coutançais. Au micro de Thomas Rozec dans cet épisode :Jean-Dominique Bourdin, maire de CoutancesDenis Le Bas, directeur du festival Jazz sous les pommiersChristian Savary, adjoint au maire de Coutances chargé de la cultureVictor Lainé, chargé de mission Petites villes de demain pour la communauté de communes Coutances Mer et BocageEmmanuel Negrier qui dirige le CEPEL, le centre d'Etudes Politiques Et sociales à l'université de MontpellierCRÉDITS : Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B de Thomas Rozec réalisé par Thomas Plé, financé par l'Agence nationale de la cohésion des territoires dans le cadre du programme Petites villes de demain et en partenariat avec le GIP Europe des projets architecturaux et urbains et son programme POPSU Territoires. Coordination : Pacôme Bertrand et Hélène Millet. Production et édition : Camille Khodor et Charlotte Baix. Direction de production : Albane Fily. Identité graphique : Lise Niederkorn. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. Nous sommes en pleine période de cueillette des fruits des forets : myrtille, cassis, framboise ou sureau noir. La cueillette illégale des fruits sauvages. Les champignons représentent, le quotidien de la vie des habitants de la Slovaquie. L'oiseau le plus coloré en Slovaquie, on dirait un oiseau exotique, un perroquet – Vcelarik Zlaty (Le guepier d'Europe). Sa présence et sa protection.
durée : 00:28:23 - Les Pieds sur terre - par : Clément Baudet - La centrale de Tricastin, située dans la Drôme, fait partie des plus anciennes du parc nucléaire français. Elle suscite de nombreuses inquiétudes, à la fois parmi les écologistes, mais aussi au sein même d'EDF - au point que certains employés en viennent à passer devant la justice... - réalisation : Yaël Mandelbaum
durée : 00:30:20 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Martine Abat - En 2019, Sophie s'est investie dans le mouvement des Gilets Jaunes, menant de front son travail de nuit, l'éducation de ses enfants et l'occupation des ronds-points. Les conséquences de son témoignage aux Pieds sur terre et son engagement l'ont amenée à reconsidérer sa vie et à s'ouvrir au monde. - réalisation : Anne Depelchin
durée : 00:02:02 - Le grand format - Les Français achètent environ 16 000 tonnes de sardines en boîte chaque année. À cause du changement climatique, elles sont plus petites qu'auparavant, ce qui a des conséquences pour les conserveries, obligées d'en mettre plus dans chaque boîte. Reportage à Concarneau, dans le Finistère. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:30:20 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Martine Abat - En 2019, Sophie s'est investie dans le mouvement des Gilets Jaunes, menant de front son travail de nuit, l'éducation de ses enfants et l'occupation des ronds-points. Les conséquences de son témoignage aux Pieds sur terre et son engagement l'ont amenée à reconsidérer sa vie et à s'ouvrir au monde. - réalisation : Anne Depelchin
durée : 00:28:44 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Martine Abat - À l'hôtel Ibis Les Batignolles, les femmes de chambre employées en sous-traitance ont obtenu le 25 mai dernier de meilleures conditions de travail et une augmentation de leur salaire après une grève de 22 mois. Sylvie, femme de chambre et Rachel, gouvernante, racontent ce conflit et leur lutte. - réalisation : Emily Vallat
durée : 00:28:44 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Martine Abat - À l'hôtel Ibis Les Batignolles, les femmes de chambre employées en sous-traitance ont obtenu le 25 mai dernier de meilleures conditions de travail et une augmentation de leur salaire après une grève de 22 mois. Sylvie, femme de chambre et Rachel, gouvernante, racontent ce conflit et leur lutte. - réalisation : Emily Vallat
durée : 00:29:03 - Les Pieds sur terre - par : Olivier Minot - A côté du village de Bure dans la Meuse, dans une des régions les plus désertiques de France, on prévoit d'enfouir nos pires déchets nucléaires. Sur place, les opposantes et opposants au projet Cigéo se relaient pour mener "la bataille du nucléaire". - réalisation : Philippe Baudouin, Emmanuel Geoffroy
durée : 00:28:52 - Les Pieds sur terre - par : Olivier Minot - A côté du village de Bure dans la Meuse, dans une des régions les plus désertiques de France, on prévoit d'enfouir nos pires déchets nucléaires. Sur place, les opposantes et opposants au projet Cigéo se relaient pour mener "la bataille du nucléaire". - réalisation : Philippe Baudouin, Emmanuel Geoffroy
durée : 00:28:56 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Sophie Simonot - En 68 ans, Christophe ne s'est jamais trop éloigné d'Amiens, sauf l'année dernière, quand son fils et lui ont pris leur camion pour aller livrer des colis humanitaires à la frontière ukrainienne. Isabelle, professeure animée par l'urgence climatique, s'est aussi laissée tenter par l'action directe. - réalisation : Sylvain Richard
durée : 00:28:56 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Sophie Simonot - En 68 ans, Christophe ne s'est jamais trop éloigné d'Amiens, sauf l'année dernière, quand son fils et lui ont pris leur camion pour aller livrer des colis humanitaires à la frontière ukrainienne. Isabelle, professeure animée par l'urgence climatique, s'est aussi laissée tenter par l'action directe. - réalisation : Sylvain Richard
Comment une ville apprend-elle à vivre avec la menace permanente des mégafeux ?Direction Belin-Béliet, en Gironde. Labellisée « Petite ville de demain », cette commune de 6 000 habitant·es a été durement touchée par les incendies de 2022. Depuis, élus, forestiers et habitants tentent de repenser la gestion de la forêt. Entre résilience collective, aménagement du territoire et nouvelles politiques publiques, Belin-Béliet cherche un équilibre : se prémunir contre le feu, sans pour autant renoncer à sa forêt.Au micro de Thomas Rozec dans cet épisode :Arthur Guerin Turcq, géographe et spécialiste de la forêt landaiseCyrille Declercq, maire de Belin-BélietCathy Boiry, conseiller municipal et propriétaire forestierFanny Faivre d'Arcier, cheffe de projet "Petites villes de demain" pour Belin-BélietCrédits : Dans la France des petites villes est un hors-série Programme B de Thomas Rozec réalisé par Thomas Plé, financé par l'Agence nationale de la cohésion des territoires dans le cadre du programme Petites villes de demain et en partenariat avec le GIP Europe des projets architecturaux et urbains et son programme POPSU Territoires. Coordination : Pacôme Bertrand et Hélène Millet. Production et édition : Camille Khodor et Charlotte Baix. Direction de production : Albane Fily. Identité graphique : Lise Niederkorn. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rubrique:nouvelles Auteur: pierre-aretin Lecture: RégineDurée: 24min Fichier: 17 Mo Résumé du livre audio: Joueurs et buveurs. Cet enregistrement est mis à disposition sous la Licence art libre. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
durée : 00:06:57 - "Les Petites musiques" de Roland Buti Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'humoriste le plus stylé de sa génération rencontre l'humoriste le plus mono style du même nom.Small Talk est diffusé le mercredi toutes les deux semaines sur Youtube et sur votre plateforme de podcasts préférée, abonnez vous pour ne rater aucun épisode : https://audmns.com/gATkzsACrédits : Animateur : David Castello-Lopes | Producteur, chef de projet et réalisateur : Robin Riccitiello | Direction de création : Raphaël Choyé | Direction de la rédaction : Camille Thebaut | Directeur artistique : Jordan Beline | Programmateur : Alexandre Duarte | Enregistré par Manuel Lormel chez Konbini et mixé par Sébastien Cannas et Maxime Vanderbeck chez Capitaine Plouf | Monteur, réalisateur vidéo : Tom Ferrer | Journaliste : Barbara Silvera Sonigo Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:14 - Choses vues - par : Christophe André - Le désir, éternelle question en psy, est bien plus qu'un manque ou une pulsion : c'est l'élan vital qui nous pousse à vivre intensément, malgré ses forces parfois tyranniques. Désirer, c'est exister pleinement.
Pour assister à deux enregistrements en public de Chaleur humaine à Paris le 27 juin, inscrivez-vous ici. Le but : porter un regard différent (et constructif !) sur les enjeux climatiques. ----------Pourquoi les outre-mer sont ils en première ligne face au changement climatique ? Les régions concernées sont elles-prêtes à faire face au réchauffement ? Comment se préparer et s'adapter de manière juste à ces nouvelles réalités ?Virginie Duvat est professeure de géographie à l'Université de La Rochelle, titulaire de la chaire innovation à l'Institu universitaire de France et spécialiste de l'impact du changement climatique sur les îles. Elle est l'une des autrices principales du chapitre "Petites îles des deux derniers rapports du Giec. Vous pouvez retrouver ici toute la série de reportages et d'enquête du Monde sur l'adaptation dans les outre-mer.« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard.Vous pouvez rejoindre le nouveau canal Instagram Chaleur humaine en cliquant ici.Chaleur humaine c'est aussi un livre qui reprend 18 épisodes du podcast en version texte, que vous pouvez retrouver dans votre librairie favorite.C'est toujours une infolettre hebdomadaire à laquelle vous pouvez vous inscrire gratuitement ici. Vous pouvez toujours m'écrire et poser vos questions à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.frNabil Wakim Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Nous sommes le 29 mars 1988, à Paris. Il est un peu moins de dix heures du matin. Rue des Petites-Écuries, dans le Xe arrondissement, une femme s'apprête à ouvrir la porte des bureaux de l'ANC, le Congrès national africain. C'est là, sur le palier qu'elle est abattue soudainement de cinq balles dans la tête. Tirées à bout portant. Avec un silencieux. Elle s'appelle Dulcie September. Elle est Sud-africaine. Elle a 52 ans. C'est une militante contre l'Apartheid qu'on vient d'abattre. Une femme surveillée. Menacée. Et une victime, surtout, d'un crime politique... resté impuni. Vous écoutez un épisode des "Portraits du crime", présenté par Thomas Pierre. Un récit inédit qui retrace l'histoire et le parcours d'un personnage qui a marqué les annales des affaires criminelles. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.