Military aviation unit
POPULARITY
Categories
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Abel Boyi et Laura Warton Martinez, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:58:37 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Au Mali, l'insurrection islamiste dirigée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, affilié à Al-Qaïda, met la junte militaire malienne, ainsi que son allié russe, en difficulté. Le GSIM poursuit ses offensives et espère prendre le pouvoir comme l'a fait Ahmed al-Chaara en Syrie. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Seidik Abba Président du Centre international d'études et de réflexions sur le Sahel (CIRES), un think tank basé à Paris ; Bakary Sambe Président-fondateur du Timbuktu Institute, basé à Dakar, et enseignant-chercheur au Centre d'étude des religions (CER) de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal); Vincent Foucher Politiste, chargé de recherche CNRS au laboratoire Les Afriques dans le Monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux
Bloquer, détourner et parfois détruire les camions de carburants qui approvisionnent le Mali par la route : « c'est un blocus d'une redoutable efficacité qu'impose, depuis deux mois, le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, constate Jeune Afrique. Les axes majeurs reliant Bamako au reste du pays sont désormais très largement paralysés. Et la situation ne cesse de se dégrader, tant la stratégie amorcée par le groupe jihadiste depuis début septembre frappe, par un effet domino imparable, la quasi-totalité des secteurs. Si le transport et la logistique sont évidemment les premiers touchés, les conséquences se font désormais sentir sur l'énergie, l'agriculture, les mines et même l'éducation. "S'il n'y a pas de carburant, au Mali, cela signifie que tout s'arrête, puisqu'il n'y a pas d'alternative au transport routier", résume un responsable d'une société de logistique interrogé par le site panafricain. "Le vivrier, les personnes, les biens, le gaz… Absolument tout est transporté par voie routière. Donc à partir du moment où vous n'avez plus ni voie sécurisée, ni carburant, l'économie est à l'arrêt" ». Bamako pas sur le point de tomber… C'est dans ce contexte que la France, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Italie, a conseillé vendredi à ses ressortissants présents au Mali de quitter le pays. Pour autant, relève Afrik.com, « les jihadistes du JNIM ne semblent pas préparer une attaque militaire directe contre Bamako. Leur stratégie consisterait plutôt à asphyxier lentement la capitale par des blocus successifs. Les rançons versées en échange de la libération d'otages, entre 50 et 70 millions d'euros récemment, selon plusieurs sources, renforcent considérablement les moyens du groupe jihadiste. Cet afflux d'argent liquide permettrait au JNIM d'acquérir des armes lourdes, des véhicules, du carburant et des drones, mais aussi de financer sa propagande et de recruter plus efficacement ». En effet, renchérit le chercheur Boubacar Haidara sur le site The Conversation : « à ce stade, les jihadistes sont loin d'avoir les moyens de prendre la capitale. (…) On pourrait même penser que le JNIM lui-même a été surpris par l'ampleur inattendue des conséquences de ses actions autour de Bamako, lesquelles, en réalité, ne requièrent pas de moyens militaires particulièrement importants. (…) L'annonce alarmiste d'une éventuelle prise de contrôle du Mali par ce groupe, dans la perspective de gouverner le pays, estime encore Boubacar Haidara, revient à accorder une importance excessive aux conséquences, certes spectaculaires, d'une crise ponctuelle, plutôt qu'à une évaluation globale des actions du JNIM, et des capacités réelles que révèle sa force militaire observable ». Vers une extension de la crise ? En tout cas, attention, toute « l'Afrique de l'Ouest risque la paralysie économique », prévient un observateur cité par Le Point Afrique : « les pays voisins ne s'impliquent pas suffisamment, notamment pour sécuriser les axes routiers stratégiques – Abidjan-Bamako, Conakry-Bamako, Dakar-Bamako ou encore ceux venant de Mauritanie. Il faudrait mobiliser des forces armées pour protéger ces convois, car si rien n'est fait sur le volet purement économique, cette crise deviendra ouest-africaine. À force de laisser pourrir le Mali, prévient-il, c'est tout l'Ouest africain qui pourrait s'enfoncer dans le gouffre ». Résilience… La presse malienne pour sa part fait bloc… Sahel Tribune exalte le courage des chauffeurs routiers dont les représentants ont été récemment reçus par le Premier ministre Abdoulaye Maïga : « face aux défis sécuritaires et logistiques, ils ont exprimé leur détermination à poursuivre leur mission, malgré les risques et ont réaffirmé leur engagement total envers la nation. (…) Les chauffeurs et conducteurs routiers du Mali se dressent comme des acteurs clés de la résilience nationale ». Pour sa part, L'Essor affirme que « la distribution du carburant reprend progressivement dans les stations-service de Bamako. Les files d'attente se raccourcissent et les usagers retrouvent peu à peu leur sérénité ». Enfin, Aujourd'hui-Mali s'en prend aux puissances occidentales qui ont demandé à leurs ressortissants de quitter le pays : « La récente multiplication de ces messages diplomatiques alarmistes ne saurait être interprétée comme un simple geste de précaution humanitaire. Elle s'inscrit plutôt dans une logique de pression indirecte, affirme Aujourd'hui Mali, visant à affaiblir la crédibilité du gouvernement malien en amplifiant artificiellement le sentiment d'insécurité. Les ressortissants étrangers, pour la plupart, sont déjà recensés et informés par des circuits officiels précis ; ces alertes publiques et médiatisées n'ajoutent donc rien à la sécurité réelle, mais contribuent à nourrir une peur collective savamment entretenue ».
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Mathieu Alterman met à l'honneur le groupe Wings, formé par Paul McCartney après la séparation des Beatles. Il revient sur la carrière de ce groupe souvent sous-estimé, mais qui a su créer une musique audacieuse, mêlant rock, pop orchestrale et ballades. Loin de l'ombre des Beatles, Wings a permis à Paul McCartney de réinventer sa pop tout en gardant son héritage. Cet épisode invite les auditeurs à redécouvrir cette période créative et ambitieuse de la carrière de l'artiste légendaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(Troisième épisode) Le lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris, Georges Besse, le PDG de Renault, est retrouvé mort. Il a été abattu par plusieurs balles. La police soupçonne un groupe terroriste d'ultra gauche très actif à l'époque, Action directe, d'être derrière cette attaque. En recoupant les témoignages, les enquêteurs parviennent à déterminer que Georges Besse a été assassiné par une femme. A l'époque, il n'y a que deux femmes connues des services qui enquêtent sur le terrorisme français : Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron. Il faut maintenant les localiser…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Quatrième épisode) Le lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris, Georges Besse, le PDG de Renault, est retrouvé mort. Il a été abattu par plusieurs balles. La police soupçonne un groupe terroriste d'ultra gauche très actif à l'époque, Action directe, d'être derrière cette attaque. En recoupant les témoignages, les enquêteurs parviennent à déterminer que Georges Besse a été assassiné par une femme. A l'époque, il n'y a que deux femmes connues des services qui enquêtent sur le terrorisme français : Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron. Il faut maintenant les localiser…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait de l'épisode [We are the champions #3: Arkose, Prix du Groupe engagé], Fanny Giansetto questionne Elie Craipeau, Directeur développement durable du groupe Arkose, sur l'étude qui avait révélé que certaines salles d'escalades étaient autant polluées qu'un abord d'autoroute. L'occasion pour lui de rappeler l'impact environnemental d'une salle d'escalade et de nous présenter ses solutions pour le secteur. Retrouvez le site du groupe ici: https://arkose.com/Et le compte Instagram: https://www.instagram.com/arkose.climbing/?hl=fr*** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.fr Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous recevons Lewis.B Lubin, Coordonnateur du programme Entrepreneurs de la Relève du Groupe 3737. Il viendra nous parler du programme Entrepreneurs de la relève.
durée : 00:34:27 - 100% Sainté Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Site internet : https://groupe-eri.fr/
Site internet : https://groupe-eri.fr/
Invités : - Christophe Lallau, directeur général du groupe KRYS. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. - Jean-Claude Dassier, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenu dans le podcast dédié aux chercheuses et chercheurs invitées de la Chaire UNESCO en communication internationale. Depuis 1996, au sein de l'Université Stendhal d'abord, puis de l'Université Grenoble Alpes, le laboratoire Gresec, Groupe de recherche sur les enjeux de... Continue Reading →
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération d'otages détenus par le Jnim et la victoire de Zohran Mamdani à la mairie de New York. Espace : 3I/Atlas, la comète qui enflamme les réseaux sociaux Découverte en juillet 2025, la comète interstellaire 3I/ATLAS venue d'un autre système solaire intrigue les astronomes. Comment expliquer cet engouement ? Cet objet interstellaire est-il une menace pour notre planète ?, comme l'affirment certains internautes sur les réseaux sociaux. Avec Simon Rozé, chef du service environnement-climat de RFI. Mali : des otages libérés en échange d'une rançon record Capturés le 23 septembre 2025 à une trentaine de kilomètres de Bamako par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), les trois otages (un Emirien, un Pakistanais et un Iranien) ont été libérés la semaine dernière contre une rançon de 50 à 70 millions de dollars, ainsi que du matériel militaire. Comment ces libérations ont-elles été négociées ? Comment expliquer un montant aussi élevé pour la rançon ? Avec Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements jihadistes. New-York : un revers pour Donald Trump Figure de l'aile gauche démocrate, Zohran Mamdani est devenu le nouveau maire de New York. Pourquoi, lors de la campagne, Donald Trump a préféré soutenir Andrew Cuomo, candidat issu du camp démocrate plutôt que Curtis Sliwa, le candidat républicain ? Quel impact la victoire de Zohran Mamdani peut-elle avoir sur les élections de mi-mandat dans un an ? Avec Françoise Coste, historienne et professeure d'études américaines à l'Université de Toulouse Jean-Jaurès.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour ce nouvel épisode hors-série qui présente les lauréats du Palmarès Écotable 2025, nous sommes très heureux de recevoir Elie Craipeau, Directeur développement durable du groupe de salles d'escalades Arkose. Arkose est le leader des salles d'escalades en France, mais pas seulement. Arkose mêle habilement sport et restauration en proposant plus que des salles d'escalades : des lieux de vie. Grâce au travail d'Elie, le groupe a su faire évoluer son activité tout en mettant l'accent sur la diminution de leur impact environnemental. C'est pourquoi 25 de leurs points de restauration sont accompagnés par Écotable dans une démarche d'écoresponsabilité et possèdent le Label Écotable. Quel est l'impact environnemental d'une salle d'escalade ? Quels leviers Elie a-t-il utilisé pour rendre les cantines d'Arkose écoresponsables ? Quels sont les prochains projets d'Arkose ? Réponse dans ce podcast. Bonne écoute !Retrouvez le site du groupe ici: https://arkose.com/Et le compte Instagram: https://www.instagram.com/arkose.climbing/?hl=frCité dans cet épisode :Étude sur la pollution de l'air dans les salles d'escalade: https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsestair.5c00017
Vu sur Cristobal Diaz du groupe La Marcha : Tempo Latino 2025 Vic Fezensac Rencontre à TEMPO LATINO 2025 avec Cristobal Diaz du groupe LA MARCHA. Interview réalisée par Alexandre RAPHALEN, Pierre VALENZUELA, Mathieu ESTRELA et Grégory CHOUARD Cet article provient de Radio AlterNantes FM
Découvrez le parcours de Jean-Eudes Tesson, président du conseil d'administration du Groupe Tesson, une entreprise familiale centenaire née en 1919 aux Sables d'Olonne. De la fabrication de pains de glace par son grand-père à la logistique des vins et spiritueux, le groupe a traversé quatre générations d'entrepreneurs. Dans cet épisode, Jean-Eudes revient sur deux transmissions majeures : celle qu'il... L'article Génération Repreneur – Saison 2 – Episode 7 – Jean-Eudes Tesson – Groupe Tesson est apparu en premier sur La 1ère chaine académique de podcasts sur l'entrepreneuriat.
durée : 00:58:54 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Olivier Sichel, nouveau directeur général du groupe Caisse des Dépôts La Banque des Territoires Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nous connaissons tous Cofidis, au moins de nom. Nous connaissons moins Cofidis Group et ses autres filiales que sont Creatis et Monabanq. Et nous sommes très peu nombreux à connaître Cofidis Group de l'intérieur. Filiale du Crédit Mutuel Alliance Fédérale, Cofidis Group opère dans 9 pays à travers toute l'Europe. C'est ce que je vous propose de découvrir avec Gilles Sauret, Président du Directoire du Groupe. Toutes les équipes de Cofidis Group en France sont regroupées dans un campus à Lille. Sans agence physique, ils sont tous là à concevoir les offres et surtout à vendre leurs solutions de financement et d'assurance à la France entière. Tous ont dans la peau la relation client, celle qui dure une vie. Venez découvrir avec moi les recettes du succès de la vente à distance de services financiers. On y parle mathématiques, l'amour de toujours de Gilles. On y parle aussi tech, rapports humains et émotion. Et évidemment d'IA. La parole de Gilles est rare. L'homme est discret. Tendez l'oreille. Suivre Gilles sur LinkedIn Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.N'hésitez pas à m'écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d'Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d'indépendants que j'anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès GuillardHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On avait les chiffres de 2023, on a désormais ceux de 2024, et ils confirment que les Émirats arabes unis restent une plaque tournante pour le commerce de l'or issu de zones en conflit. Leur rôle est toujours aussi important, en dépit d'une législation adoptée en 2023 qui vise à interdire précisément les importations de minerai issu de contrebande. Les statistiques 2024 dévoilées par l'ONG Swissaid ont été publiées vendredi 31 octobre 2025 sur le site de UN Com Trade, la base de données des Nations unies sur les statistiques du commerce des produits de base, avant de disparaître ce lundi 3 novembre. Pourtant l'organisation onusienne avait attendu des mois d'avoir enfin ces chiffres. S'agit-il d'un simple problème technique ou d'une crainte subite des Émirats de voir ces données porter préjudice au pays qui doit faire l'objet l'année prochaine d'une réévaluation de la part du GAFI, le Groupe d'action financière qui lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme ? Les Émirats étaient sortis de la liste grise de pays sous surveillance renforcée après avoir notamment mis en place leur nouvelle régulation sur l'or (Due Diligence Regulation for Responsible Sourcing of Gold). Pour l'instant, Swissaid, qui a réussi à consulter les chiffres, n'a pas pu en savoir plus. Flux plus importants en provenance du Soudan Ces chiffres montrent que les importations d'or d'origine douteuse n'ont pas faibli, en particulier en provenance de pays africains en conflit. Sur les 1 392 tonnes d'or importées par les Émirats en 2024 - pour une valeur de près de 105 milliards de dollars -, plus de la moitié provient de pays africains. Ce chiffre a augmenté de 20% par rapport à l'année précédente. Les Émirats ont ainsi continué à importer de l'or du Soudan : 29 tonnes directement du pays, contre 17 t en 2023, auxquelles il faut ajouter l'or soudanais qui transite via l'Égypte, le Tchad, et la Libye, trois pays qui ont aussi continué à fournir d'importants volumes en 2024. À lire aussiSoudan: les appels au boycott des Émirats arabes unis se multiplient après la prise d'El-Fasher par les FSR Importations en hausse du Rwanda et d'Ouganda Les Émirats ont aussi augmenté leurs importations d'Ouganda – 31 tonnes contre 14 tonnes en 2023 – et du Rwanda – 19 t contre 13,8 t en 2023 – des pays qui produisent peu d'or, mais qui servent de plaque tournante pour le minerai issu notamment de RDC, où il provient en partie de zones de conflit, selon l'ONG suisse. Un autre pays illustre le manque de traçabilité de l'or qui arrive au Moyen-Orient, le Togo. D'après les données accessibles la semaine dernière, sur le site de l'UN Com Trade, les Émirats ont importé 52 tonnes de ce pays d'Afrique de l'Ouest – pour 4 milliards de dollars – alors que le pays n'en produit quasiment pas. À lire aussiRDC: exportation record d'or vers les Émirats arabes unis en seulement six mois La Russie, autre fournisseur des Émirats Les Émirats arabes unis continuent de se fournir aussi en Russie et participe indirectement au financement de la guerre en Ukraine. L'année dernière, les Émirats ont importé 66 tonnes de Russie, soit 25 tonnes de plus qu'en 2023. Les Émirats ont aussi augmenté leurs achats en Arménie – pays qui sert quasiment exclusivement de point de transit pour l'or russe, rappelle Swissaid. « Avec la nouvelle législation adoptée en 2023, ces chiffres auraient dû baisser et non pas augmenter », relève Marc Ummel, responsable du dossier matières premières chez Swissaid. Pour l'ONG, cela montre de graves lacunes dans la mise en œuvre des nouveaux engagements pris par le pays. Ces chiffres éclaboussent aussi la Suisse dans la mesure où elle importe de l'or d'origine inconnue depuis les Émirats arabes unis. Selon Swissaid, « entre janvier et septembre 2025, Berne a importé 316 tonnes d'or pour une valeur de 27 milliards de francs suisses, soit plus du double des volumes annuels habituels ».
Site internet : https://www.sergic.com/
Dans cet épisode, Paul McCartney revient sur sa carrière post-Beatles, marquée par la création du groupe Wings. Malgré les critiques, il connaît un nouveau succès mondial, porté par sa collaboration avec Linda McCartney et une équipe de musiciens qui évolueront pendant plus de dix ans.À retenir :Fondation du groupe Wings et ses débuts difficilesRôle essentiel de Linda McCartney dans le projetSuccès international malgré les critiquesNotre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité, fonction, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 24 septembre. Il/Elle [est revenu(e) / a abordé / s'est penché(e) sur] [SUJET] sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Invitée : -Maître Solange Doumic, avocate de l'ex-directeur général adjoint opérationnel de Lafarge Débatteurs du soir : -Ophélie Roque, enseignante et chroniqueuse -Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communicant Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(Premier épisode) Des coups de feu retentissent à 20h25 lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris. Costume gris, chemise blanche et sacoche à la main, un homme est retrouvé mort devant le 14 boulevard Edgar Quinet. Le Premier ministre, Jacques Chirac, se rend rapidement sur les lieux. La victime s'avère être une figure de l'industrie automobile. Il s'agit de Georges Besse, le PDG de Renault, qui vient d'être tué. Cela fait un an et demi que l'Auvergnat de 58 ans a pris la tête de l'entreprise française en difficulté. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième épisode) Des coups de feu retentissent à 20h25 lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris. Costume gris, chemise blanche et sacoche à la main, un homme est retrouvé mort devant le 14 boulevard Edgar Quinet. Le Premier ministre, Jacques Chirac, se rend rapidement sur les lieux. La victime s'avère être une figure de l'industrie automobile. Il s'agit de Georges Besse, le PDG de Renault, qui vient d'être tué. Cela fait un an et demi que l'Auvergnat de 58 ans a pris la tête de l'entreprise française en difficulté. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Eric Woerth, président du groupe d'amitié France-Australie à l'Assemblée nationale, accompagné d'Anne Genetet, députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France ainsi que de trois autres parlementaires, sont en voyage en Australie.
Tous les soirs, Maël Hassani vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, Maël Hassani vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Sous un soleil de plomb, les files d'attente s'étirent devant les stations-service, relate Mali Tribune. Des centaines de véhicules, moteurs éteints, attendent des heures, parfois des jours, dans l'espoir d'avoir un peu d'or noir. La crise du carburant, loin de s'essouffler, s'enracine dans le quotidien des Maliens, paralysant les moteurs et les métiers. Ces derniers jours, la situation a franchi un seuil critique, soupire le site d'information malien. Ce n'est plus une simple pénurie, mais une asphyxie. (…) Dans les ateliers, les chantiers, les imprimeries, les conséquences sont immédiates. Des milliers de Maliens se retrouvent en chômage technique. » Alors, « face à la colère grandissante, poursuit Mali Tribune, le gouvernement tente de rassurer. Par la voix du Premier ministre Abdoulaye Maïga, il promet une mobilisation de tous les moyens possibles. (…) Un plan d'action est en cours : sécurisation des convois, construction de nouveaux dépôts, coordination entre les acteurs du secteur. Mais sur le terrain, l'attente reste longue et la tension, palpable. » Le blocus des djihadistes La presse malienne ne s'étend pas sur les raisons de cette asphyxie : à savoir le blocus imposé par les jihadistes qui attaquent, confisquent et parfois détruisent les convois de carburant. En effet, précise Le Monde Afrique, « depuis septembre, le Groupe de soutien de l'islam et des musulmans [Jnim], qui contrôle déjà une bonne partie du pays, cherche à asphyxier la capitale et à s'enrichir, en s'attaquant aux camions-citernes de carburant venant du Sénégal et de la Côte d'Ivoire, par lesquels transite l'essentiel des biens importés par le Mali. La pénurie de carburant menace non seulement l'approvisionnement des 3 millions d'habitants de Bamako, mais aussi l'alimentation électrique. » « Face à cette catastrophe annoncée, la junte du colonel Assimi Goïta, au pouvoir depuis août 2020 et autoproclamé général en 2024, semble aux abois, pointe encore Le Monde Afrique. (…) Une immense impression de gâchis domine. Si les erreurs d'analyse, les maladresses et une certaine condescendance de la France expliquent l'échec de sa lutte contre les djihadistes et sa mise à l'écart, reconnait le journal, la responsabilité des militaires maliens (…) est désormais entière. Plus occupés à conserver leur pouvoir qu'à s'attaquer à l'insécurité et à la pauvreté, (…) Assimi Goïta et ses lieutenants risquent de précipiter la transformation du Mali, État vivant et ouvert, en une sorte d'Afghanistan africain, prévient Le Monde Afrique. Les conséquences en seraient incalculables pour toute la région sahélienne, pour ses voisins sénégalais et ivoiriens, mais d'abord pour les 25 millions d'habitants du Mali. » Un « calvaire collectif » Le site panafricain Afrik.com renchérit avec cette tribune signée par un certain Lambda le Malien. « Mon pays va mal, s'exclame-t-il : le rêve malien devenu calvaire, le cri d'un peuple trahi ! (…) Ce qui devait être une ère de renouveau, née de la volonté populaire et de la promesse du changement, s'est transformé en un calvaire collectif. Le rêve malien s'effrite jour après jour, étouffé par la déviation des objectifs initiaux et par une gouvernance enfermée dans une logique exclusivement militaire. La reconstruction du Mali ne viendra ni des armes seules, ni des discours de propagande, affirme encore l'auteur de cette tribune. Elle viendra d'un retour à une gouvernance claire, transparente et humaine. Il faut un dialogue national inclusif, la restauration du pluralisme politique, et surtout, une vision économique et sociale qui place le citoyen au centre des objectifs du gouvernement. » Un pays « en mutation » ? Enfin, la presse officielle à Bamako tient un tout autre discours. Pour Sahel Tribune, « le Mali s'avance aujourd'hui sur le chemin de la refondation concrète. L'État assume son destin, renforce son outil d'innovation, restructure son économie et fait de la sécurité nationale un levier de développement. Les fractures sociales et territoriales demeurent, certes, mais elles ne sont plus vécues comme des fatalités. Elles deviennent les lignes de force d'un pays en mutation, où la diversité se mue en richesse et la difficulté, en école de résilience. Un pays debout, conclut Sahel Tribune, fidèle à sa mémoire, porté par sa jeunesse et soutenu par son armée. »
En Tunisie, les manifestations anti-pollution se poursuivent dans la ville de Gabès. Depuis qu'une centaine de cas d'intoxication au gaz ont été recensés ces deux derniers mois, la colère gronde contre le Groupe chimique tunisien, un complexe industriel qui transforme le phosphate en engrais. Les travailleurs du site racontent un quotidien d'usure et de résignation. Dans un café à côté du Groupe chimique tunisien, Chawki et ses collègues, tous ouvriers au sein de l'entreprise publique, regardent de loin ce qu'ils surnomment « l'ogre », en arabe… Une usine qui, selon eux, leur mange la santé et la vie. Chawki, 41 ans, est manœuvre depuis quatorze ans au sein du groupe : « Moi, je travaille dans l'unité qui produit de l'acide phosphorique, en plein dans le gaz et la saleté si on peut dire. On manque sans arrêt de matériel de sécurité, parfois pendant 4 à 5 ans. ». Il est payé 1 000 dinars, soit environ 300 euros, le double d'un SMIG tunisien. « Quand j'ai commencé à travailler pour le groupe, je n'en croyais pas mes yeux, une usine qui travaille de jour comme de nuit. De loin, j'avais l'impression que c'était comme en Europe, poursuit Chawki, et puis je suis rentré à l'intérieur et j'ai vu l'envers du décor. Ici, quand quelqu'un prend sa retraite du groupe, on dit tous : "Espérons qu'il arrive à en profiter" car, la plupart du temps, tout le monde sort malade. » S'il perd son travail en cas de démantèlement de l'usine, il retournera en mer pêcher comme le veut la tradition familiale – même si cela ne rapporte pas un revenu fixe comme son emploi actuel. « Je retournerai en mer. Ici, à la base, on vient tous de familles de pêcheurs et d'agriculteurs. Moi, je pêche, j'ai encore le bateau familial, sauf que comme tout le monde, je dois aller pêcher à 100 kilomètres d'ici à Zarzis, parce qu'à Gabès, il n'y a plus aucun poisson à cause de la pollution, ce n'est donc pas assez stable comme emploi. » Une usine essentielle pour l'économie locale Zied travaille lui aussi depuis quinze ans comme magasinier à l'usine. Il espère que des mesures soient enfin prises : « Regardez, on parle tous de nos conditions de travail, nos chefs sont au courant, mais si seulement ils sortaient publiquement et reconnaissaient leur responsabilité dans cette affaire ou au moins montraient un peu de transparence, peut-être qu'il n'y aurait pas autant de ressentiment et de manifestations. » Le ministre de l'Équipement a promis une série de mesures pour relancer les projets de dépollution au sein du groupe chimique, en stand-by depuis des années. Une décision importante, selon Khémaïs Bahri, ancien ingénieur au sein de l'entreprise qui fait vivre tout un bassin d'activités. Il questionne toutefois l'impact qu'aurait une éventuelle fermeture de l'usine : « Il y a pas mal de petites industries aux alentours du groupe chimique, pas mal d'ateliers qui font de l'entretien, des ventes de tout ce qui est rechange consommable... Tout cela aussi, ça va être impacté, ce n'est pas seulement les ouvriers ou le personnel du groupe chimique. » Environ 4 000 personnes travaillent dans le complexe du groupe. Le secteur minier représente 3% du PIB de la Tunisie, dont 80% repose sur l'exploitation du phosphate.
À la tête de l'un des plus puissants groupes agro-industriels du continent africain, Gregory Clerc, directeur général du Groupe Castel, est le grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur les grandes transformations d'un empire né en 1949 autour du vin, de la bière et de l'agroalimentaire. Il évoque :
À la tête de l'un des plus puissants groupes agro-industriels du continent africain, Gregory Clerc, directeur général du Groupe Castel, est le grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur les grandes transformations d'un empire né en 1949 autour du vin, de la bière et de l'agroalimentaire. Il évoque :
Dans cet épisode de Drôle d'endroit pour une rencontre, Naïma Bencheman reçoit Boulevard Désert, le duo formé par Eyal et Flo, pour célébrer leurs 20 ans de musique.Depuis leur rencontre sur un terrain de tennis à Tarbes, les deux artistes mêlent pop et musiques du monde avec une sincérité rare. Leur nouvel album, Je rentre à la maison, marque un retour à l'essentiel, entre mélancolie et espoir.Engagés auprès de la jeunesse, ils continuent à transmettre leur art dans les écoles et à utiliser la musique comme outil d'expression et d'éducation.Un épisode lumineux, entre émotion, partage et énergie solaire.
durée : 00:05:29 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Basée sur les données de 1 300 zoos, une nouvelle étude inédite par son ampleur confirme que chez les mammifères, les femelles vivent plus longtemps, tandis que chez les oiseaux ce sont les mâles. Une différence qui s'expliquerait d'abord par leurs chromosomes sexuels.
Dans cet épisode, Mario Ceccon, DRH du groupe GEODIS, partage la manière dont il ancre la transformation du management dans une culture de leadership concret et mesurable. Mario partage une conviction forte : c'est dans la pratique quotidienne des managers que se joue la transformation du management. Mario raconte comment Geodis a défini sept principes de leadership simples et universels, des repères partagés par tous, du siège aux filiales : être ambassadeur de la stratégie, privilégier l'intérêt commun, débattre, décider, s'aligner, communiquer dans les deux sens, être exemplaire, gérer les résultats. Des comportements observables, concrets, transmis dans toutes les langues et mesurés dans le temps.Pour faire vivre ces principes et poursuivre la transformation du management, Geodis a lancé le programme “Manage”, un parcours de 14 semaines destiné aux 6 000 managers du groupe. Chaque session traduit un principe en pratiques managériales réelles : gestion des conflits, feedback, alignement collectif, exemplarité au quotidien.Cette formation est soutenue par un dispositif de mesure inédit : un index de leadership, fondé sur la perception des collaborateurs, qui permet d'évaluer l'évolution du management année après année.Au fil de l'échange, Mario évoque aussi la confiance, la formation, la santé mentale et le plaisir de manager. Il rappelle que le management est un métier qui s'apprend, se cultive et se transforme avec le temps.Un épisode qui parle de rigueur, de cohérence et de sens. Et qui redonne foi dans la capacité d'un grand groupe à faire évoluer sa culture sans perdre son humanité.Un épisode de stratégie RH !
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
durée : 00:28:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Bartabas transpose sur scène son livre "Les Cantiques du Corbeau". Entre récits à la première personne et accompagnement musical par le gamelan balinais Pantcha Indra, l'artiste propose une expérience sensorielle, où les mots prennent le pas sur les chevaux. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Bartabas Écuyer, chorégraphe, metteur en scène, réalisateur et auteur, fondateur du Théâtre équestre Zingaro et de l'Académie équestre de Versailles
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les avoirs russes gelés, le blocus sur le carburant au Mali et un potentiel échange de prisonniers entre l'Iran et la France. Sénégal : Macky Sall prépare sa riposte juridique Accusé d'avoir dissimulé une partie de la dette publique durant son dernier mandat, l'ancien président sénégalais a mandaté un cabinet d'avocats français et sénégalais pour préparer sa défense. Pourquoi Macky Sall a-t-il choisi de faire appel à des avocats français, en plus de ses avocats sénégalais ? Quelle stratégie compte-t-il mettre en place ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Guerre en Ukraine : un prêt avec les avoirs russes gelés fait débat La Commission européenne souhaite accorder un prêt de 140 milliards d'euros à l'Ukraine en utilisant les avoirs russes gelés depuis le début de la guerre. Pourquoi la Belgique s'y oppose-t-elle ? Comment Kiev pourrait-il faire usage de ce prêt ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Mali : l'essence se fait rare Depuis plus d'un mois, les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans imposent un blocus sur les importations de carburant. Où en sont les pourparlers entre les autorités maliennes et le Jnim ? Quelles sont les exigences des jihadistes pour accepter la levée du blocus ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Iran -France : vers un échange de détenus ? La justice iranienne a condamné deux ressortissants français, dont l'identité n'a pas été révélée, à de lourdes peines pour «espionnage au profit du service de renseignement français». Ce verdict intervient alors que Paris et Téhéran négociaient en vue d'un échange de prisonniers. Qui seraient les détenus susceptibles d'être libérés ? Avec Clément Therme, chargé de cours à l'Université Paul-Valery de Montpellier. Auteur de l'ouvrage «Téhéran/Washington, 1979 – 2025 : Le grand satan à l'épreuve de la révolution islamique» (éditions Hémisphères).
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Pour répondre au sondage et vous inscrire à ma mailing-list → c'est par ici ! (merci d'avance !) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.