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Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Isabelle Morini-Bosc du 01 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En mars dernier, lors du premier tour des élections à l'Exécutif de la Ville de Genève, la gauche radicale présentait Tobias Schnebli, figure historique du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA), qui avait marqué les débats dans les années quatre-vingt avec une initiative pour abolir l'armée. Alors que le Conseil fédéral veut doubler le budget militaire, la discussion revient au premier plan. En parallèle, Maxime, 19 ans, part pour son école de recrue à Thoune. Il raconte ses motivations à s'engager dans le contexte actuel. Reportages de Laure Gabus Réalisation : David Golan Production : Raphaële Bouchet
Face à l'impasse des négociations sur le nucléaire iranien, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne ont réactivé la procédure de rétablissement des sanctions internationales contre Téhéran dans 30 jours. L'Iran a dénoncé une décision « injustifiée et illégale », tout comme la Russie qui a mis en garde contre des « conséquences irréparables » ou la Chine qui a jugé l'initiative des Européens « pas constructive ». Alors ce coup de pression peut-il débloquer la situation ou bien produire l'effet inverse ? L'analyse de l'historien Jonathan Piron, spécialiste de l'Iran au sein du Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité.
Invité : - Alain Joly, président & cofondateur du groupe Doudou & Compagnie Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Alain Joly, président & cofondateur du groupe Doudou & Compagnie Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la 7ème édition du festival FestiʹTerroir à Genève, le groupe Veniz donne un concert inédit au Parc des Bastions ce samedi 30 août à 16h30. Lʹensemble musical genevois se compose de Loulou au chant, de Stéphane Augsburger à la guitare, Marius Rivier à la batterie, Julien Israelian aux percussions et de Félicien Lia à la basse. Veniz a gagné La médaille dʹargent (deuxième place) du concours de la chanson francophone La médaille dʹor de Saignelégier en 2024. Loulou, parolière, chanteuse et comédienne, au micro de Layla Shlonsky.
Notre rendez-vous éco de l'été. Pendant quinze jours, RFI revient sur les grands boycotts de l'histoire. Quand David fait trembler Goliath en usant de l'arme économique. En 1974 éclate le scandale du lait en poudre Nestlé. L'entreprise basée en Suisse promeut dans les pays dits du « Tiers-monde » son lait infantile. Faute d'un accès suffisant à l'eau potable, et des conditions d'hygiène pour les biberons difficiles à remplir, le développement de sa consommation a pour conséquence de graves maladies pour les bébés. Il conduit même à des décès. La stratégie commerciale agressive de Nestlé pour inciter les femmes à utiliser le lait en poudre va conduire à un boycott dans le monde des produits Nestlé pendant plusieurs décennies. L'affaire du lait en poudre prend de l'ampleur avec les poursuites en justice intentées par la firme helvète pour diffamation contre le Groupe de travail « Tiers-monde ». Ce dernier a repris le rapport de l'ONG, War On Want, et l'a retitré : « Nestlé tue les bébés ». À l'époque, la RTS en fait le compte rendu : « Accusation encore de l'article : les firmes utilisent des moyens publicitaires contestables. Elles engagent des nurses qui sont en fait des vendeuses déguisées, elles font passer des messages à la radio qui dissuadent les mères à allaiter. » La justice tranche et le Groupe de Travail « Tiers-monde » est condamné à une amende symbolique. La bataille commence. Le 7 juillet 1977, le boycott des produits Nestlé est lancé aux États-Unis. Des brochures sont distribuées, des défilés avec des cercueils et des banderoles sont organisés et des listes de produits Nestlé à boycotter sont partagées. À la manœuvre, Infact, the Infant Feeding Action Coalition. Cette dernière rallie à sa cause Églises et syndicats. S'ouvrent alors plusieurs années de boycott économique, l'un des plus importants de l'histoire américaine. L'objectif : imposer le sujet dans le débat public et obtenir l'arrêt des campagnes de promotion de Nestlé dans les pays en développement. En 1978, le sénateur Edward Kennedy convoque une audience publique sur le sujet. Un responsable de Nestlé est alors entendu au Sénat américain. « Êtes-vous d'accord avec moi pour dire que votre produit ne doit pas être utilisé avec de l'eau non potable ? Oui ou non ? », interroge de manière pressante le sénateur Edward M. Kennedy. « Nous donnons toutes les instructions » pour en faire bon usage, tente de justifier le représentant de Nestlé. « Répondez simplement », lui oppose le sénateur. « Bien sûr que non. Mais nous ne pouvons pas gérer cela », se défend alors le représentant de l'entreprise. Un boycott qui gagne le monde entier Le boycott essaime un peu partout dans le monde. Une véritable bataille d'influence est lancée. En 1981, le Washington Post révèle une note interne de Nestlé sur la stratégie du groupe pour contrecarrer cette campagne. Nos confrères d'Antenne 2 font le point en 1986 : « C'est une des grandes batailles de la 2ᵉ moitié du 20ᵉ siècle, on pourrait même dire que c'est une guerre parce que ça a duré six ans une guerre acharnée entre la firme Nestlé d'une part, et d'autre part des organisations de défense des consommateurs soutenues par des églises qui ont boycotté pendant six ans dans différents pays du monde, notamment aux États-Unis et en Europe. Tous les produits de cette firme puisque c'est la première multinationale de l'alimentaire. Alors, selon Jean-Claude Buffle, ce boycottage qui s'est terminé en 1984, a été très dommageable. Nestlé y a laissé beaucoup de plumes. En fait quelque chose comme 3 milliards de dollars ». Un mouvement qui a poussé l'adoption par l'OMS d'un code international de commercialisation des substituts du lait maternel. Le mouvement de boycott contre le lait maternel Nestlé se poursuit. Des actions sont toujours ponctuellement menées, notamment au Royaume-Uni.
durée : 00:04:16 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Au printemps dernier, lors de la Conférence des Nations unies pour l'Océan, les scientifiques ont été la pierre angulaire de ce rendez-vous international. Aujourd'hui, découvrons le GDR OMER, le groupe de recherche mer et océan du CNRS, avec son directeur Fabrizio d'Ortenzio. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la ministre déléguée chargée du Numérique Clara Chappaz compte faire de la plateforme Kick son combat après le décès du streamer Jean Pormanove, un incident technique a perturbé les matinales de LCI ainsi que celle TF1 et la série culte des années 50, "Signé Furax", revit en podcast. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la ministre déléguée chargée du Numérique Clara Chappaz compte faire de la plateforme Kick son combat après le décès du streamer Jean Pormanove, un incident technique a perturbé les matinales de LCI ainsi que celle TF1 et la série culte des années 50, "Signé Furax", revit en podcast. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La respirationL'esprit tel quelLe refugeQuelques reflexions...
durée : 00:03:05 - La Banda de Sainte-Suzanne a remporté le prix du meilleur groupe de musique à la Féria de Béziers Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est un des premiers épisodes de ce qu'on appellera les guerres de Religion : au début de 1560, la conjuration de quelques activistes protestants contre le roi catholique, François II – la conjuration d'Amboise. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - ABBA, derrière ce groupe unique au succès planétaire, se cache surtout une autre histoire : l'amour de deux couples, que le succès a fini par un peu abîmer. Pour en discuter, Confidentiel reçoit les deux plus grands spécialistes français d'Abba : Jean-Marie Potiez et André Torrent.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Tous ceux que vous trouverez, invitez-les à la noce » (Mt 22, 1-14)Méditation de l'Évangile par le père Sébastien AntoniChant Final : "Invités aux noces de l'agneau" par le Groupe de prière AbbaRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 03:37:23 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans un numéro du « Bon plaisir » de 1986, Françoise Malettra retrace le très riche parcours de l'ingénieur et musicien-chercheur Pierre Schaeffer (1910-1995), père de la « musique concrète ». - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Pierre Schaeffer Compositeur, ingénieur, chercheur, théoricien et écrivain français.; Michel Chion Compositeur; François Bayle Compositeur, créateur et ancien directeur du Groupe de recherche musicale (GRM)
Invités : - Vincent Roy, écrivain et journaliste - Régis Le Sommier, grand reporter et directeur de la rédaction d'Omerta Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Grâce à l'énergie de Laura Dethier - infirmière de formation - et de danseurs spécialement formés, les aînés, qu'ils soient debout, assis ou en fauteuil roulant, retrouvent le plaisir du mouvement et partagent des instants précieux, bien au-delà de la maladie et des différences d'âge. C'est Laura Dethier, infirmière de formation et danseuse qui a voulu rassembler ses deux passions pour faire du bien autour d'elle.Le programme Quand on danse est actuellement organisé par le Groupe santé CHC avec des danseurs, spécialement formés de la Mosa Ballet School. Ceux-ci se rendent dans 9 maisons de repos du Grand Liège (Mehagne, Heusy, Banneux, Landenne)… pour faire danser les ainés.Premier objectif : réveiller les âmes et de réchauffer les cœurs. La danse permet de créer du lien, de rompre la solitude, d'améliorer la confiance en soi, de travailler la mémoire… mais elle a aussi bien des vertus physiques en agissant sur la mobilité, la coordination, la souplesse, l'équilibre.Car ils inspirent, connectent, transforment, d'autres ateliers ont aussi été mis sur pied pour les personnes atteintes du cancer ou de la maladie de Parkinson. Cette formation est dispensée par Care to Dance, un programme de danse adaptée aux personnes malades.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Pauline Boucon Duval le dit : “Reprendre le groupe familial a été la décision la plus risquée de ma vie”.Quand son père lui propose de rejoindre le groupe, Pauline a 28 ans. Elle vit et travaille à New York. Et surtout, elle n'a pas de plan tout tracé.Ce groupe, elle le connaît. Petite, elle écoutait parler d'immobilier à table. À 20 ans, déjà, elle siégeait au conseil d'administration, apprenant la rigueur face aux investisseurs et la gouvernance à l'épreuve du réel.Mais là, Il ne s'agit pas de reprendre une entreprise, mais d'aider à la développer. Pas de pression. Pas d'obligation. Juste une opportunité. Et elle la saisit.Et ce qui distingue Pauline, c'est qu'elle ne s'est pas contentée d'hériter. Elle a voulu réécrire.Elle commence par repenser les fondations : valeurs, raison d'être, vision à long terme.En 2024, elle fait même franchir un cap : le Groupe Duval devient entreprise à mission.Aujourd'hui, elle est aux manettes d'un groupe de 1 milliard de chiffre d'affaires, 6 000 collaborateurs, et trois piliers clairement défini – immobilier, tourisme, finance – avec l'entrepreneuriat comme fil rouge.Cet épisode, c'est aussi le récit d'une dirigeante qui confie avoir trouvé un espace de liberté et de vérité dans le réseau YPO.D'une business angel qui croit en l'impact discret mais puissant de l'entrepreneuriat féminin.D'une femme qui, enceinte de sa fille, écrit un essai sur la transmission. Une valeur qui continue de l'animer aujourd'hui puisqu'elle le dit : “Il faut assumer la responsabilité de la transmission”. Elle ne veut pas être propriétaire d'un héritage. Elle veut en être la passeuse.Pauline évoque aussi :les coulisses d'un trio familial dirigeant, où la règle d'or est de savoir rester “clinique” en laissant l'émotionnel de côtéles difficultés qu'elle a rencontré en reprenant la tête du groupe, elle qui est “une femme, blonde, fille de..”sa Claque reçue au moment du Covid, et voir son père, dont la phrase fétiche est “c'est facile”, douter pour la première fois.Un podcast conçu et produit par FeuilleBlanche, l'agence qui crée des contenus et des médias d'inspiration pour les marques et les dirigeants.À vos écouteurs
Ecoutez RTL Soir avec Gaël Giordana du 13 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Coucou, ce mois-ci je vous propose de découvrir d'autres podcasts engagés qui abordent également la question du spécisme.Et aujourd'hui, je vous parle du Club VG, le podcast qui démocratise l'alimentation végétale et le mode de vie vegan… sans pression, mais avec passion ! Il est animé par Maxime qui fait du super taf pour donner envie et rendre plus facile / accessible la transition notamment alimentaire qu'implique le véganisme. Il interviewe notamment des créateur·ices de contenu, des fondateur·ices de marques, de restaurants ou d'entreprises, des athlètes ou encore des activistes. Moi j'ai notamment beaucoup aimé l'épisode avec Franck qui tient le compte Vegan Tourist Paris et qui est hyper gentil. Il n'y a pas plus compétent que lui pour faire découvrir toutes les meilleures adresses véganes à Paname. J'ai aussi adoré l'épisode avec Lucie Nayak « dédier sa vie aux animaux rescapés des élevages ». C'est une personne formidable qui avait raconté la vie de Charlotte, une truie, dans Comme un poisson dans l'eau, et là elle parle plus généralement de son parcours vers l'antispécisme et le véganisme et du quotidien des sanctuaires antispécistes. Mais Maxime enregistre aussi parfois des épisodes ‘solo', c'est-à-dire sans invités, et c'est aussi très chouette. Notamment l'épisode que je vous diffuse aujourd'hui m'a paru important : il y raconte son engagement dans une association locale. Et je trouve que c'est des témoignages qu'on n'a pas souvent mai qui peuvent encourager à passer le pas et se mettre à militer, donc j'avais envie de vous le faire découvrir. Voilà abonnez-vous au Club VG, suivez son travail, et bonne écoute !_______________Je deviens co-responsable de mon groupe local de l'AVF : je te raconte tout !À l'occasion du Podcasthon 2025, j'ai choisi de mettre en lumière une association qui me tient à cœur : l'AVF (Association Végétarienne de France), qui accompagne avec bienveillance et sans jugement celles et ceux qui souhaitent découvrir une alimentation plus végétale — grâce à l'information, au partage et à des actions locales conviviales.-Le Podcasthon est le premier événement caritatif mondial qui rassemble plus de 1500 podcasteurs et podcasteuses. À travers un épisode dédié, le but est de tendre notre micro à une association afin de la soutenir et de renforcer la solidarité. Pour en savoir plus sur l'initiative : podcasthon.org-L'AVF compte 22 groupes locaux à travers la France qui contribuent à faire rayonner l'association en région et à animer une dynamique locale. En décembre 2024, je suis devenu co-responsable du groupe local AVF79 (Deux-Sèvres).Dans cet épisode solo, je te partage :- Ce qu'est vraiment l'AVF et le rôle essentiel des groupes locaux- Mon chemin (pas du tout prévu !) vers ce rôle de co-responsable- Les actions qu'on a mises en place pour relancer la dynamique de notre groupe- Les coulisses de l'organisation locale et du bénévolat- Les activités qu'on a déjà réussi à organiser- Mon retour d'expérience authentique et sincère — avec les réussites et les défisTu vas plonger dans les coulisses du monde associatif et du bénévolat… et qui sait, peut-être que ça te donnera envie de t'engager à ton tour ?
"Vous aussi, tenez-vous prêts"Médiation de l'évangile (Lc 12, 35-40) par la Pasteure Nicole FabreChant Final : "Restez en tenue de service" par le Groupe de prière AbbaRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Durant l'été, retrouvez ici les épisodes qui vous ont le plus marqué
C dans l'air du 8 août 2025 - Loi Duplomb : camouflet pour les macronistes, la gauche se rebiffeÉmission présentée par Salhia BrakhliaLES EXPERTS :- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Bruno CAUTRÈS - Politologue - Chercheur au CNRS- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Antoine OBERDOORF - Journaliste politique - L'Opinion
C dans l'air du 8 août 2025 - Loi Duplomb : camouflet pour les macronistes, la gauche se rebiffeÉmission présentée par Salhia BrakhliaUn camouflet pour le gouvernement. Le Conseil constitutionnel a retoqué jeudi l'article 2 de la loi Duplomb, sur la réintroduction partielle de l'acétamipride, un néonicotinoïde réclamé par certaines filières agricoles, mais potentiellement dangereux pour l'environnement et la santé. L'institution, qui s'est appuyée sur l'article 1 de la Charte de l'environnement, souligne que ces produits ont des "incidences sur la biodiversité (…), ainsi que des conséquences sur la qualité de l'eau et des sols et induisent des risques pour la santé humaine". À droite et à l'extrême droite, on se désole de cette décision : "En se comportant comme un législateur alors qu'il n'en détient pas la légitimité démocratique, le Conseil constitutionnel scie la branche sur laquelle il est assis", a déclaré la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen. À gauche, on se félicite de cette censure, mais on espère que la loi sera carrément retirée après la pétition qui a récolté 2 millions de signatures : "Le président Macron devrait permettre une deuxième délibération pour qu'il y ait enfin un examen en Hémicycle et une réponse à la grande mobilisation populaire de cet été contre l'ensemble de la loi", insiste Aurélie Trouvé, la présidente LFI de la commission des affaires économiques à l'Assemblée nationale. Quant au député Laurent Duplomb, il n'exclut pas un nouveau texte pour réintroduire le pesticide, en tenant compte des critères imposés par le Conseil constitutionnel.Cette petite victoire pour les défenseurs de l'environnement ne saurait cacher les nombreux reculs enregistrés ces derniers mois. Fin juin, le Réseau Action Climat a listé au moins 43 reculs sur les six derniers mois : suspension de MaPrimeRenov, soutien aux modes d'élevages industriels, coupe des aides sur les véhicules électriques et le vélo, reprise des travaux pour l'A69, la suppression des ZFE, ou encore des coupes budgétaires pour la transition écologique. Le camp présidentiel qui s'était engagé à faire de la transition écologique une de ses priorités a même participé à certains renoncements, à l'image des zones à faible émissions : "L'analyse des votes montre que, si ces reculs ont souvent été initiés par l'extrême droite ou la droite républicaine, le bloc central en a soutenu plusieurs ou a été trop divisé pour les contrer", analyse le Réseau Action Climat. Signe de ce relâchement, le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre a fortement ralenti l'année dernière, passant de 5,8 % en 2023 à 1,8 % en 2024.À Marseille, on pense les plaies après l'incendie, parti des Pennes-Mirabeau, qui a ravagé 750 hectares le 8 juillet. Un mois plus tard, les habitants du quartier de l'Estaque, où 90 maisons ont brûlé, se sont regroupés dans un collectif pour porter plainte contre X et réclamer des comptes à la préfecture des Bouches-du-Rhône. Ils estiment que les pompiers sont intervenus trop tard, et que le préfet n'aurait pas dû recommander le confinement aux habitants touchés par les flammes. "Quand [le préfet] a fait sa déclaration en disant qu'il a bien fait de confiner les gens, je me dis que si j'étais resté dans ma maison, j'aurais cramé", témoigne un membre du collectif auprès de Franceinfo.Pourquoi le Conseil constitutionnel a-t-il censuré l'article 2 de la loi Duplomb ? Quel avenir pour ce texte controversé ? Comment expliquer les nombreux reculs sur l'environnement enregistrés cette année ? Et pourquoi des habitants de Marseille portent plainte après l'incendie des Pennes-Mirabeau ?LES EXPERTS :- Nathalie MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Bruno CAUTRÈS - Politologue - Chercheur au CNRS- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Antoine OBERDOORF - Journaliste politique - L'Opinion
En Corée du Sud, un nouveau groupe de K-pop fait ses débuts. Mais celui-ci n'est pas comme les autres. Deux de ces cinq membres de 1Verse ne sont pas sud-coréens, mais nord-coréen. Ces deux chanteurs du boys band ont quitté le régime de Kim Jong-un dans leur enfance et montent aujourd'hui sur scène devant des fans du monde entier. De notre correspondant à Séoul, La K-pop s'ouvre à tous et même aux Nord-Coréens. Yu Hyuk et Kim Seok, 25 ans, sont tous deux réfugiés du régime. Arrivés en Corée du Sud à 13 et 19 ans, ils ont réalisé le rêve de nombreux de leurs nouveaux compatriotes : être des stars de la K-pop, la musique pop coréenne au sein du groupe 1Verse. Pourtant, la Corée du Nord est un pays extrêmement fermé, où tout ce qui vient du Sud est interdit. Mais certains, comme Kim Seok, sont tout de même parvenus à découvrir la K-pop depuis le régime nord-coréen, malgré les risques de sanctions : « J'avais déjà entendu de la musique sud-coréenne quand je vivais en Corée du Nord, des chansons romantiques, au travers de clés USB entrées en contrebande depuis l'étranger. Quand je suis arrivé au Sud, j'ai continué à en écouter, car c'était ce que je préférais quand j'étais petit. Et aujourd'hui, c'est devenu mon métier. » Une passion qui est restée, comme pour son collègue Yu Hyuk, qui a découvert le hip-hop en Corée du Sud et n'a pas abandonné son rêve de pouvoir monter sur scène : « Après être arrivé au Sud et avoir fait mes études, je travaillais à l'usine, mais je n'avais pas lâché ma passion du chant. J'ai participé à un télé-crochet et c'est là que la manageuse du groupe a dû me repérer. Elle est venue me voir pour me proposer de la rejoindre. Au début, je pensais qu'elle voulait m'arnaquer, mais elle m'a offert des cours de chant tous les week-ends et petit à petit, j'ai compris que je pouvais vraiment devenir chanteur. » Un parcours exceptionnel dans une industrie musicale coréenne très exigeante. Aujourd'hui, le groupe compte déjà de nombreux fans, aussi bien en Corée du Sud qu'à l'étranger... et peut-être bientôt en Corée du Nord ? « Je n'y ai pas pensé, mais si on devient célèbre et que des connaissances en Corée du Nord me voient à la télé, je serais content qu'ils aient de mes nouvelles de cette façon », répond Kim Seok. « Personnellement, j'espère qu'ils ne me verront pas. Regarder des contenus sud-coréen en Corée du Nord est très dangereux et je ne voudrais pas être la cause de leurs problèmes », estime, quant à lui, Yu Hyok. En juillet, le groupe a officiellement fait ses débuts dans une industrie musicale sud-coréenne qui cherche à se diversifier et à se renouveler, en intégrant des profils toujours plus originaux. De quoi piquer la curiosité des nombreux fans du genre à travers le monde. À lire aussiDéfection d'un Nord-Coréen qui passe au Sud à la nage accroché à un morceau de polystyrène
Le constructeur automobile Tesla a autorisé Elon Musk à racheter 96 millions d'actions du groupe. Cette décision provoque des remous aux États-Unis. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus de 20 ans après la fin de la guerre civile qui a fait 250 000 morts, le Liberia va-t-il enfin juger ses plus grands criminels de guerre ? Le président Joseph Boakai semble décidé à franchir ce pas historique. Il y a un mois, il a présenté les excuses de l'État aux innombrables victimes et un tribunal spécial pourrait voir le jour en 2027. De 1990 à 2003, le reporter-photographe Patrick Robert est allé maintes fois sur place. Il y a été grièvement blessé par balle. Aujourd'hui, il témoigne devant les tribunaux et dans un livre intitulé Chaque heure compte, la dernière tue (paru aux éditions Erick Bonnier). Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans votre livre, vous écrivez « Au Liberia, on tuait avec désinvolture et détachement ». En quoi cette guerre civile a-t-elle été différente des autres ? Patrick Robert : La première grosse différence, c'est que c'était une guerre totale commise avec la bonne conscience de gens qui font quelque chose avec la sensation qu'ils doivent le faire. La caractéristique d'une guerre civile, c'est que c'est une guerre d'amateurs. Ce sont des gens de la brousse qui, du jour au lendemain, se trouvent miliciens, combattants, une arme à la main. Et évidemment, les standards sont évidemment très éloignés des nôtres. Et c'était une guerre de villageois contre des citadins ? Pas que. C'était une guerre civile totale, d'ethnie contre ethnie, en fait. Vous racontez comment un milicien tue froidement un civil sous vos yeux, puis s'aperçoit que vous êtes là avec votre appareil photo et vous dit, tout sourire « Hey take my picture ! » (prends ma photo). Comment expliquez-vous une telle désinvolture ? Parce que ces gens simples avaient l'impression de faire leur travail afin d'accomplir leur mission. C'est tout le tragique de l'histoire. Moi, je ne pense pas qu'il y ait eu des crimes pour le plaisir de tuer… Oui, dans ces conditions-là, il y en a toujours. Mais je ne pense pas que l'ordre des politiciens était de le faire. Je pense que les chefs militaires, que ce soit Charles Taylor ou les autres, n'étaient pas plus émus que ça de la mort de leurs concitoyens. Mais je ne pense pas non plus qu'ils incitaient leurs miliciens à tuer aveuglément tout le monde. Je pense que c'est un pays où les gens étaient livrés à eux-mêmes avec une discipline inexistante. Il faut savoir aussi que Charles Taylor n'avait aucun moyen de communication avec ses troupes. Il avait un téléphone satellitaire que lui avait donné Félix Houphouët-Boigny, mais il n'avait pas de moyen de contacter ses soldats sur le front. Il n'y avait pas de téléphone cellulaire à l'époque et il n'avait pas de radio. Charles Taylor ne savait pas ce qui se passait sur le front. Il n'y allait pas lui-même. Il n'était pas un chef de guerre courageux. Ce n'était pas un bon chef de guerre. Son mouvement politique, le NPFL, a été bon tant qu'il avait Prince Johnson avec lui. Mais en fait, c'est Prince Johnson qui marquait les points sur le terrain. Comme Johnson a fait sécession et est parti dans son coin et a laissé tomber Taylor, Taylor n'a plus jamais avancé sérieusement sur le terrain et donc, parce que la situation a dégénéré, c'est devenu une guerre ethnique. Chaque ethnie avait son groupe armé avec son chef de guerre qui s'opposait aux autres. Alors, vous dites que chaque combattant faisait son travail, mais quand on abat une femme et ses enfants, ce n'est pas un travail comme un autre, non ? Non, je ne dis pas qu'il faisait son travail, je dis qu'il faisait ce qu'il pensait être son travail. Je pense que le milicien pensait que sa mission consistait à tuer des ennemis, quels qu'ils soient, hommes, femmes, enfants. Vous savez, dans une guerre ethnique, on est coupable de faire partie de l'ethnie adverse, quel que soit son âge ou son sexe. Les enfants, tant qu'ils peuvent porter une arme, ils sont en face de vous, donc ils sont des combattants. Les femmes, elles donnent naissance à des futurs combattants qui seront un jour en face de vos enfants. Et donc tout le monde est une cible légitime de ce point de vue de la guerre ethnique. C'est ça qui est effroyable. Comment se fait-il que, depuis 2003, il n'y ait jamais eu de procès de criminels de guerre au Liberia ? Je pense que les Libériens ont admis leur responsabilité collective. Ils ont admis que tout le monde avait perdu la tête. Et donc il n'y a pas un groupe ethnique qui a échappé au massacre commis par les leurs contre un autre groupe ethnique. Donc, il y a une sorte de nivellement par l'horreur, par le crime, qui fait que tout le monde s'est rendu coupable de choses répréhensibles devant la loi. Je pense qu'ils ont été tellement nombreux, dans tous les camps, à commettre des crimes que peut-être qu'ils n'ont pas très envie de remettre tout ça en cause et de se dire qu'il va falloir mettre les deux tiers du pays en prison. Mais je pense qu'aujourd'hui, les Libériens ont beaucoup évolué. Il y a un système démocratique qui s'est mis en place. Et en effet, je pense qu'ils ne doivent pas être très fiers de ce qu'ont fait leurs prédécesseurs pendant cette guerre civile. Et si en 2027, donc dans deux ans, un tribunal sur les crimes de la guerre civile s'ouvre à Monrovia, est-ce que vous serez prêt à venir témoigner ? Si on me le demande, oui, comme témoin de contexte pour expliquer mon expérience, c'est peut-être même un devoir puisque je l'ai vécue. Et quand vous avez témoigné au procès de Kunti Camara, c'était donc l'an dernier à Paris, est-ce que vous avez croisé son regard ? Il était très fuyant, il avait l'air totalement absent. Mais des criminels comme lui, il y en a des milliers au Liberia. La banalité de la mort ? Oui, la banalité de la mort. C'est une chose qui m'a beaucoup surpris au Liberia, comme en Sierra Leone d'ailleurs, parce qu'à cette époque-là, la mort était quelque chose de quotidien. On tuait les gens facilement sans que ça pose de problèmes éthiques, moraux. Cette banalité face à la mort, c'est peut-être un instinct de survie aussi, sinon personne ne s'en sortirait.
durée : 00:58:34 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon, Nassim El Kabli - L'Inde, berceau de nombreuses écoles de pensée, mêle relation au divin et réflexion sur le savoir. L'hindouisme et la question du "brahmanisme" seront explorés, ainsi que le bouddhisme, pour éviter les simplifications abusives. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Isabelle Ratié Professeure de langue et de littératures sanskrites, Sorbonne Nouvelle, et membre Senior de l'Institut Universitaire de France depuis 2021; Vincent Eltschinger Directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études, section des sciences religieuses et directeur du Groupe de recherches en études indiennes
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les dimanches à 7h51 dans Europe 1 Matin Week-end, Philippe Legrand reçoit une personnalité pour un entretien autour d'une date et d'une histoire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 01 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien » (Mt 13, 47-53)Méditation par la Pasteure Héléna VicarioChant Final : "Le royaume de Dieu" du Groupe de prière abbaRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Gaël Giordana du 30 juillet 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce que l'UE se laisse marcher dessus par Trump sur les droits de douane ? Jean-Philippe Tanguy, président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale et député RN de la 4e circonscription de la Somme, est l'invité de RTL Soir.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce que l'UE se laisse marcher dessus par Trump sur les droits de douane ? Jean-Philippe Tanguy, président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale et député RN de la 4e circonscription de la Somme, est l'invité de RTL Soir.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rock and roll baby ! (Mdr je me prends pour qui.)Suivez les coulisses de La Leçon sur Instagram : @paulette_grisoniDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
20/20 est un podcast signé L'Express Éducation, entièrement consacré à l'enseignement supérieur. Il a été réalisé indépendamment de la rédaction de L'Express.Abonnez-vous pour suivre toutes nos analyses et débats
Un avant-goût du prochain épisode de la Leçon qui sort vendredi à 23h30 ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Zach et Emma invitent deux musiciens du groupe Les Indéfinis : Laura et Thierry. Les Indéfinis, voici un groupe de musique qui porte bien son nom : chaque membre y apporte son esthétique musicale favorite, ses talents de musicien.ne, auteur.trice, et interprète. La formation s’est déjà produite au Temps Machine, salle de musiques actuelles de […] L'article La Méridienne – Zach et Emma invitent Laura et Thierry, du groupe Les Indéfinis est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Alors que le groupe culte Oasis poursuit sa tournée de retrouvailles au Royaume-Uni ce week-end à Manchester, les chiffres donnent le tournis. Plus d'un milliard de livres sterling injectées dans l'économie locale et nationale : le phénomène musical pourrait devenir un levier économique pour le pays. Décryptage. Ce week-end, Manchester s'apprête à vivre l'un des événements culturels les plus attendus de l'année : les concerts britanniques de la tournée Oasis Live 25. Liam et Noel Gallagher, enfants du pays, réunissent près de 500 000 spectateurs venus du monde entier. Ce n'est pas seulement un moment musical fort, c'est aussi une aubaine pour l'économie locale. Hôtels complets, chambres multipliées par cinq, bars pleins à craquer et boutiques éphémères prises d'assaut, la ville de Manchester surfe sur l'économie de l'expérience. Les visiteurs ne viennent pas juste pour le concert. Ils prolongent leur séjour, visitent les lieux de légende du groupe, consomment et participent à un tourisme musical florissant. Résultat, des millions de livres dépensées, et autant de recettes fiscales pour la ville. Une tournée à 1,06 milliard de livres Selon une étude de la banque Barclays, les fans d'Oasis ont dépensé en moyenne 766 £ chacun pour les 17 concerts britanniques, soit un total de 1,06 milliard de livres sterling injectées dans l'économie du Royaume-Uni. Et ces dépenses ne se limitent pas aux billets. Elles concernent l'hébergement, la restauration, les transports, les vêtements et les produits dérivés. Ce qui rend cette tournée particulièrement intéressante économiquement, c'est la redistribution locale de la dépense. Près de 58 % de l'argent dépensé reste dans les économies régionales, créant un effet d'entraînement pour l'ensemble du tissu économique, des hôtels aux taxis en passant par les petits commerçants. Le soft power Oasis, de Manchester à l'international Oasis ne se contente pas de ranimer la Britpop. Le groupe contribue à renforcer le soft power britannique. Dans les années 1990 déjà, les Gallagher étaient les visages de la « Cool Britannia », cette vague culturelle qui a redonné une image branchée et dynamique au Royaume-Uni. La tournée actuelle en est un prolongement. Alors que la croissance britannique stagne autour de 1 %, cet élan ponctuel de consommation fait figure de bol d'air économique, à l'image de l'impact de la tournée de Taylor Swift aux États-Unis, qui avait injecté cinq milliards de dollars dans l'économie américaine. Et ce n'est pas fini. Après Manchester, Oasis s'envole pour l'Amérique du Nord, l'Asie et l'Australie. L'impact économique global pourrait donc être encore plus impressionnant. Cette tournée Live 25 pourrait bien être le « Wonderwall » économique dont le Royaume-Uni avait besoin. À lire aussiOasis entame une tournée mondiale empreinte de nostalgie
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la guerre en Ukraine, l'état de l'économie israélienne et l'accord signé sur la Nouvelle-Calédonie. RDC : nouvelle attaque du groupe ADF dans la province de l'Ituri L'est de la RDC a une nouvelle fois été touchée par un massacre perpétré par les islamistes de l'ADF. Quelles sont leurs revendications ? Pourquoi sont-ils présents dans l'est du pays ? Quels moyens sont mis en œuvre pour protéger les populations ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. Guerre en Ukraine : 50 jours pour mettre fin au conflit ? Donald Trump a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine, sous peine d'imposer des droits de douane à hauteur de 100%. Au début de son mandat, le président américain avait pourtant insisté pour se rapprocher de son homologue russe. Comment expliquer cette rupture ? Cette annonce peut-elle changer le cours de la guerre ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative. Israël : comment financer des guerres prolongées ? Avec Gaza, l'Iran, le Sud-Liban, Israël mène des guerres sur plusieurs fronts. Je me demandais, est-ce que cela a un impact sur l'économie du pays ? Comment l'État hébreu finance-t-il ses opérations militaires prolongées ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente chaque jour la chronique « Aujourd'hui l'économie ». Nouvelle-Calédonie : l'accord Bougival peut-il apaiser les tensions ? Un accord historique a été signé entre la France et des représentants indépendantistes et non indépendantistes de Nouvelle-Calédonie. Pourquoi certains indépendantistes rejettent-ils ce texte alors que l'accord prévoit la création d'un État de Nouvelle-Calédonie ? Quelles sont les prochaines étapes maintenant que cet accord a été signé ? Avec Fred Constant, professeur des Universités à Sciences Po et ancien haut-fonctionnaire. Auteur de « Géopolitique des outre-mer » (éditions Le Cavalier Bleu).
durée : 00:06:15 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Tout cet été, nous réécoutons les entretiens de Frédéric Pommier. Aujourd'hui, c'est avec le romancier Grégoire Delacourt. Il évoque "Everybody Hurts" du groupe REM, une chanson qui l'émeut aux larmes qui l'a aidé à guérir de ses douleurs d'enfant. (Rediffusion de l'émission du 01/05/2024) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:33 - Le vrai ou faux - En seulement un mois et demi, le groupe de musique The Velvet Sundown a dévoilé trois albums et attiré plus d'un million d'auditeurs sur Spotify. Mais toute sa musique a été créée par intelligence artificielle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:42:10 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Avec "Les Filles désir", son premier long-métrage sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs, Prïncia Car interroge le rapport des jeunes au désir et aux femmes, dans la fiction mais aussi dans le travail qu'elle a mené avec ses douze co-auteurs. - réalisation : Laurence Malonda, Thomas Beau, Louise André - invités : Prïncia Car Réalisatrice française
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSThe Velvet Sundown : Franceinfo, Le Parisien, Le Huffpost, Ouest-FranceSmartphone - téléviseur : BFM Tech & Co, Arcep-Arcom,Inoxtag traversée : Le Parisien, BFM Tech & CoDune 3 : Première, NumeramaTwilight 1 : Le Huffpost, NumeramaThe Last of Us part 2 : Numerama, Game KultÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Lisa Impératrice Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:24:04 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1980, les "Nuits magnétiques" suivaient le groupe de rock Bijou en tournée en France. Faites chauffer les amplis, accordez les guitares pour ce retour vers le rock des années 80, en compagnie de Vincent Palmer, Philippe Dauga, Joël Yan "Dynamite" et leur manager-parolier Jean-William Thoury. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-William Thoury
Today I am speaking with Vania LACASCADE, Chief Innovation Officer at L'Oréal Groupe!I joined L'Oréal Groupe in Paris recently to learn more about all of their new longevity initiatives! I was so impressed by their commitment to understanding the science of Longevity. They have over 4,000researchers on their team and are investing over 1B annually in R&I! They've also recently become invested in some great longevity companies that you're heard me mention such as Trudiagnostics, and Timeline Nutrition to further their longevity efforts. They are rolling out in store skin biological age testing, at home AI tools, and so much more!