Military aviation unit
POPULARITY
Categories
"Vous aussi, tenez-vous prêts"Médiation de l'évangile (Lc 12, 35-40) par la Pasteure Nicole FabreChant Final : "Restez en tenue de service" par le Groupe de prière AbbaRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Durant l'été, retrouvez ici les épisodes qui vous ont le plus marqué
En Corée du Sud, un nouveau groupe de K-pop fait ses débuts. Mais celui-ci n'est pas comme les autres. Deux de ces cinq membres de 1Verse ne sont pas sud-coréens, mais nord-coréen. Ces deux chanteurs du boys band ont quitté le régime de Kim Jong-un dans leur enfance et montent aujourd'hui sur scène devant des fans du monde entier. De notre correspondant à Séoul, La K-pop s'ouvre à tous et même aux Nord-Coréens. Yu Hyuk et Kim Seok, 25 ans, sont tous deux réfugiés du régime. Arrivés en Corée du Sud à 13 et 19 ans, ils ont réalisé le rêve de nombreux de leurs nouveaux compatriotes : être des stars de la K-pop, la musique pop coréenne au sein du groupe 1Verse. Pourtant, la Corée du Nord est un pays extrêmement fermé, où tout ce qui vient du Sud est interdit. Mais certains, comme Kim Seok, sont tout de même parvenus à découvrir la K-pop depuis le régime nord-coréen, malgré les risques de sanctions : « J'avais déjà entendu de la musique sud-coréenne quand je vivais en Corée du Nord, des chansons romantiques, au travers de clés USB entrées en contrebande depuis l'étranger. Quand je suis arrivé au Sud, j'ai continué à en écouter, car c'était ce que je préférais quand j'étais petit. Et aujourd'hui, c'est devenu mon métier. » Une passion qui est restée, comme pour son collègue Yu Hyuk, qui a découvert le hip-hop en Corée du Sud et n'a pas abandonné son rêve de pouvoir monter sur scène : « Après être arrivé au Sud et avoir fait mes études, je travaillais à l'usine, mais je n'avais pas lâché ma passion du chant. J'ai participé à un télé-crochet et c'est là que la manageuse du groupe a dû me repérer. Elle est venue me voir pour me proposer de la rejoindre. Au début, je pensais qu'elle voulait m'arnaquer, mais elle m'a offert des cours de chant tous les week-ends et petit à petit, j'ai compris que je pouvais vraiment devenir chanteur. » Un parcours exceptionnel dans une industrie musicale coréenne très exigeante. Aujourd'hui, le groupe compte déjà de nombreux fans, aussi bien en Corée du Sud qu'à l'étranger... et peut-être bientôt en Corée du Nord ? « Je n'y ai pas pensé, mais si on devient célèbre et que des connaissances en Corée du Nord me voient à la télé, je serais content qu'ils aient de mes nouvelles de cette façon », répond Kim Seok. « Personnellement, j'espère qu'ils ne me verront pas. Regarder des contenus sud-coréen en Corée du Nord est très dangereux et je ne voudrais pas être la cause de leurs problèmes », estime, quant à lui, Yu Hyok. En juillet, le groupe a officiellement fait ses débuts dans une industrie musicale sud-coréenne qui cherche à se diversifier et à se renouveler, en intégrant des profils toujours plus originaux. De quoi piquer la curiosité des nombreux fans du genre à travers le monde. À lire aussiDéfection d'un Nord-Coréen qui passe au Sud à la nage accroché à un morceau de polystyrène
En Corée du Sud, un nouveau groupe de K-pop fait ses débuts. Mais celui-ci n'est pas comme les autres. Deux de ces cinq membres de 1Verse ne sont pas sud-coréens, mais nord-coréen. Ces deux chanteurs du boys band ont quitté le régime de Kim Jong-un dans leur enfance et montent aujourd'hui sur scène devant des fans du monde entier. De notre correspondant à Séoul, La K-pop s'ouvre à tous et même aux Nord-Coréens. Yu Hyuk et Kim Seok, 25 ans, sont tous deux réfugiés du régime. Arrivés en Corée du Sud à 13 et 19 ans, ils ont réalisé le rêve de nombreux de leurs nouveaux compatriotes : être des stars de la K-pop, la musique pop coréenne au sein du groupe 1Verse. Pourtant, la Corée du Nord est un pays extrêmement fermé, où tout ce qui vient du Sud est interdit. Mais certains, comme Kim Seok, sont tout de même parvenus à découvrir la K-pop depuis le régime nord-coréen, malgré les risques de sanctions : « J'avais déjà entendu de la musique sud-coréenne quand je vivais en Corée du Nord, des chansons romantiques, au travers de clés USB entrées en contrebande depuis l'étranger. Quand je suis arrivé au Sud, j'ai continué à en écouter, car c'était ce que je préférais quand j'étais petit. Et aujourd'hui, c'est devenu mon métier. » Une passion qui est restée, comme pour son collègue Yu Hyuk, qui a découvert le hip-hop en Corée du Sud et n'a pas abandonné son rêve de pouvoir monter sur scène : « Après être arrivé au Sud et avoir fait mes études, je travaillais à l'usine, mais je n'avais pas lâché ma passion du chant. J'ai participé à un télé-crochet et c'est là que la manageuse du groupe a dû me repérer. Elle est venue me voir pour me proposer de la rejoindre. Au début, je pensais qu'elle voulait m'arnaquer, mais elle m'a offert des cours de chant tous les week-ends et petit à petit, j'ai compris que je pouvais vraiment devenir chanteur. » Un parcours exceptionnel dans une industrie musicale coréenne très exigeante. Aujourd'hui, le groupe compte déjà de nombreux fans, aussi bien en Corée du Sud qu'à l'étranger... et peut-être bientôt en Corée du Nord ? « Je n'y ai pas pensé, mais si on devient célèbre et que des connaissances en Corée du Nord me voient à la télé, je serais content qu'ils aient de mes nouvelles de cette façon », répond Kim Seok. « Personnellement, j'espère qu'ils ne me verront pas. Regarder des contenus sud-coréen en Corée du Nord est très dangereux et je ne voudrais pas être la cause de leurs problèmes », estime, quant à lui, Yu Hyok. En juillet, le groupe a officiellement fait ses débuts dans une industrie musicale sud-coréenne qui cherche à se diversifier et à se renouveler, en intégrant des profils toujours plus originaux. De quoi piquer la curiosité des nombreux fans du genre à travers le monde. À lire aussiDéfection d'un Nord-Coréen qui passe au Sud à la nage accroché à un morceau de polystyrène
Plus de 20 ans après la fin de la guerre civile qui a fait 250 000 morts, le Liberia va-t-il enfin juger ses plus grands criminels de guerre ? Le président Joseph Boakai semble décidé à franchir ce pas historique. Il y a un mois, il a présenté les excuses de l'État aux innombrables victimes et un tribunal spécial pourrait voir le jour en 2027. De 1990 à 2003, le reporter-photographe Patrick Robert est allé maintes fois sur place. Il y a été grièvement blessé par balle. Aujourd'hui, il témoigne devant les tribunaux et dans un livre intitulé Chaque heure compte, la dernière tue (paru aux éditions Erick Bonnier). Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans votre livre, vous écrivez « Au Liberia, on tuait avec désinvolture et détachement ». En quoi cette guerre civile a-t-elle été différente des autres ? Patrick Robert : La première grosse différence, c'est que c'était une guerre totale commise avec la bonne conscience de gens qui font quelque chose avec la sensation qu'ils doivent le faire. La caractéristique d'une guerre civile, c'est que c'est une guerre d'amateurs. Ce sont des gens de la brousse qui, du jour au lendemain, se trouvent miliciens, combattants, une arme à la main. Et évidemment, les standards sont évidemment très éloignés des nôtres. Et c'était une guerre de villageois contre des citadins ? Pas que. C'était une guerre civile totale, d'ethnie contre ethnie, en fait. Vous racontez comment un milicien tue froidement un civil sous vos yeux, puis s'aperçoit que vous êtes là avec votre appareil photo et vous dit, tout sourire « Hey take my picture ! » (prends ma photo). Comment expliquez-vous une telle désinvolture ? Parce que ces gens simples avaient l'impression de faire leur travail afin d'accomplir leur mission. C'est tout le tragique de l'histoire. Moi, je ne pense pas qu'il y ait eu des crimes pour le plaisir de tuer… Oui, dans ces conditions-là, il y en a toujours. Mais je ne pense pas que l'ordre des politiciens était de le faire. Je pense que les chefs militaires, que ce soit Charles Taylor ou les autres, n'étaient pas plus émus que ça de la mort de leurs concitoyens. Mais je ne pense pas non plus qu'ils incitaient leurs miliciens à tuer aveuglément tout le monde. Je pense que c'est un pays où les gens étaient livrés à eux-mêmes avec une discipline inexistante. Il faut savoir aussi que Charles Taylor n'avait aucun moyen de communication avec ses troupes. Il avait un téléphone satellitaire que lui avait donné Félix Houphouët-Boigny, mais il n'avait pas de moyen de contacter ses soldats sur le front. Il n'y avait pas de téléphone cellulaire à l'époque et il n'avait pas de radio. Charles Taylor ne savait pas ce qui se passait sur le front. Il n'y allait pas lui-même. Il n'était pas un chef de guerre courageux. Ce n'était pas un bon chef de guerre. Son mouvement politique, le NPFL, a été bon tant qu'il avait Prince Johnson avec lui. Mais en fait, c'est Prince Johnson qui marquait les points sur le terrain. Comme Johnson a fait sécession et est parti dans son coin et a laissé tomber Taylor, Taylor n'a plus jamais avancé sérieusement sur le terrain et donc, parce que la situation a dégénéré, c'est devenu une guerre ethnique. Chaque ethnie avait son groupe armé avec son chef de guerre qui s'opposait aux autres. Alors, vous dites que chaque combattant faisait son travail, mais quand on abat une femme et ses enfants, ce n'est pas un travail comme un autre, non ? Non, je ne dis pas qu'il faisait son travail, je dis qu'il faisait ce qu'il pensait être son travail. Je pense que le milicien pensait que sa mission consistait à tuer des ennemis, quels qu'ils soient, hommes, femmes, enfants. Vous savez, dans une guerre ethnique, on est coupable de faire partie de l'ethnie adverse, quel que soit son âge ou son sexe. Les enfants, tant qu'ils peuvent porter une arme, ils sont en face de vous, donc ils sont des combattants. Les femmes, elles donnent naissance à des futurs combattants qui seront un jour en face de vos enfants. Et donc tout le monde est une cible légitime de ce point de vue de la guerre ethnique. C'est ça qui est effroyable. Comment se fait-il que, depuis 2003, il n'y ait jamais eu de procès de criminels de guerre au Liberia ? Je pense que les Libériens ont admis leur responsabilité collective. Ils ont admis que tout le monde avait perdu la tête. Et donc il n'y a pas un groupe ethnique qui a échappé au massacre commis par les leurs contre un autre groupe ethnique. Donc, il y a une sorte de nivellement par l'horreur, par le crime, qui fait que tout le monde s'est rendu coupable de choses répréhensibles devant la loi. Je pense qu'ils ont été tellement nombreux, dans tous les camps, à commettre des crimes que peut-être qu'ils n'ont pas très envie de remettre tout ça en cause et de se dire qu'il va falloir mettre les deux tiers du pays en prison. Mais je pense qu'aujourd'hui, les Libériens ont beaucoup évolué. Il y a un système démocratique qui s'est mis en place. Et en effet, je pense qu'ils ne doivent pas être très fiers de ce qu'ont fait leurs prédécesseurs pendant cette guerre civile. Et si en 2027, donc dans deux ans, un tribunal sur les crimes de la guerre civile s'ouvre à Monrovia, est-ce que vous serez prêt à venir témoigner ? Si on me le demande, oui, comme témoin de contexte pour expliquer mon expérience, c'est peut-être même un devoir puisque je l'ai vécue. Et quand vous avez témoigné au procès de Kunti Camara, c'était donc l'an dernier à Paris, est-ce que vous avez croisé son regard ? Il était très fuyant, il avait l'air totalement absent. Mais des criminels comme lui, il y en a des milliers au Liberia. La banalité de la mort ? Oui, la banalité de la mort. C'est une chose qui m'a beaucoup surpris au Liberia, comme en Sierra Leone d'ailleurs, parce qu'à cette époque-là, la mort était quelque chose de quotidien. On tuait les gens facilement sans que ça pose de problèmes éthiques, moraux. Cette banalité face à la mort, c'est peut-être un instinct de survie aussi, sinon personne ne s'en sortirait.
durée : 00:58:34 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon, Nassim El Kabli - L'Inde, berceau de nombreuses écoles de pensée, mêle relation au divin et réflexion sur le savoir. L'hindouisme et la question du "brahmanisme" seront explorés, ainsi que le bouddhisme, pour éviter les simplifications abusives. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Isabelle Ratié Professeure de langue et de littératures sanskrites, Sorbonne Nouvelle, et membre Senior de l'Institut Universitaire de France depuis 2021; Vincent Eltschinger Directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études, section des sciences religieuses et directeur du Groupe de recherches en études indiennes
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les dimanches à 7h51 dans Europe 1 Matin Week-end, Philippe Legrand reçoit une personnalité pour un entretien autour d'une date et d'une histoire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 01 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien » (Mt 13, 47-53)Méditation par la Pasteure Héléna VicarioChant Final : "Le royaume de Dieu" du Groupe de prière abbaRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce que l'UE se laisse marcher dessus par Trump sur les droits de douane ? Jean-Philippe Tanguy, président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale et député RN de la 4e circonscription de la Somme, est l'invité de RTL Soir.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce que l'UE se laisse marcher dessus par Trump sur les droits de douane ? Jean-Philippe Tanguy, président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale et député RN de la 4e circonscription de la Somme, est l'invité de RTL Soir.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rock and roll baby ! (Mdr je me prends pour qui.)Suivez les coulisses de La Leçon sur Instagram : @paulette_grisoniDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
20/20 est un podcast signé L'Express Éducation, entièrement consacré à l'enseignement supérieur. Il a été réalisé indépendamment de la rédaction de L'Express.Abonnez-vous pour suivre toutes nos analyses et débats
Musique, ciné, média... L'actualité culturelle vue par Peggy Broche.
Dans cet épisode hors norme, je reçois Olivier Parot, un professionnel du chiffre au parcours fascinant : de Dassault Systèmes à Amazon, jusqu'à son rôle actuel de Directeur Financier dans un groupe de formation comptant plus de 12 000 apprenants.
Un avant-goût du prochain épisode de la Leçon qui sort vendredi à 23h30 ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Zach et Emma invitent deux musiciens du groupe Les Indéfinis : Laura et Thierry. Les Indéfinis, voici un groupe de musique qui porte bien son nom : chaque membre y apporte son esthétique musicale favorite, ses talents de musicien.ne, auteur.trice, et interprète. La formation s’est déjà produite au Temps Machine, salle de musiques actuelles de […] L'article La Méridienne – Zach et Emma invitent Laura et Thierry, du groupe Les Indéfinis est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Alors que le groupe culte Oasis poursuit sa tournée de retrouvailles au Royaume-Uni ce week-end à Manchester, les chiffres donnent le tournis. Plus d'un milliard de livres sterling injectées dans l'économie locale et nationale : le phénomène musical pourrait devenir un levier économique pour le pays. Décryptage. Ce week-end, Manchester s'apprête à vivre l'un des événements culturels les plus attendus de l'année : les concerts britanniques de la tournée Oasis Live 25. Liam et Noel Gallagher, enfants du pays, réunissent près de 500 000 spectateurs venus du monde entier. Ce n'est pas seulement un moment musical fort, c'est aussi une aubaine pour l'économie locale. Hôtels complets, chambres multipliées par cinq, bars pleins à craquer et boutiques éphémères prises d'assaut, la ville de Manchester surfe sur l'économie de l'expérience. Les visiteurs ne viennent pas juste pour le concert. Ils prolongent leur séjour, visitent les lieux de légende du groupe, consomment et participent à un tourisme musical florissant. Résultat, des millions de livres dépensées, et autant de recettes fiscales pour la ville. Une tournée à 1,06 milliard de livres Selon une étude de la banque Barclays, les fans d'Oasis ont dépensé en moyenne 766 £ chacun pour les 17 concerts britanniques, soit un total de 1,06 milliard de livres sterling injectées dans l'économie du Royaume-Uni. Et ces dépenses ne se limitent pas aux billets. Elles concernent l'hébergement, la restauration, les transports, les vêtements et les produits dérivés. Ce qui rend cette tournée particulièrement intéressante économiquement, c'est la redistribution locale de la dépense. Près de 58 % de l'argent dépensé reste dans les économies régionales, créant un effet d'entraînement pour l'ensemble du tissu économique, des hôtels aux taxis en passant par les petits commerçants. Le soft power Oasis, de Manchester à l'international Oasis ne se contente pas de ranimer la Britpop. Le groupe contribue à renforcer le soft power britannique. Dans les années 1990 déjà, les Gallagher étaient les visages de la « Cool Britannia », cette vague culturelle qui a redonné une image branchée et dynamique au Royaume-Uni. La tournée actuelle en est un prolongement. Alors que la croissance britannique stagne autour de 1 %, cet élan ponctuel de consommation fait figure de bol d'air économique, à l'image de l'impact de la tournée de Taylor Swift aux États-Unis, qui avait injecté cinq milliards de dollars dans l'économie américaine. Et ce n'est pas fini. Après Manchester, Oasis s'envole pour l'Amérique du Nord, l'Asie et l'Australie. L'impact économique global pourrait donc être encore plus impressionnant. Cette tournée Live 25 pourrait bien être le « Wonderwall » économique dont le Royaume-Uni avait besoin. À lire aussiOasis entame une tournée mondiale empreinte de nostalgie
Dans cet épisode du podcast Marketing & Influence, Cyril Attias reçoit Davide Micotti, Directeur Général de Shiseido France, pour un échange riche autour du marketing d'influence, du retail de luxe, de la transformation digitale et de l'intégration du social commerce.Avec une carrière internationale de Prada à L'Oréal, Davide partage sa vision du management multiculturel, son regard sur le marché français ultra-concurrentiel, et les défis de positionnement d'un groupe japonais dans un univers dominé par les géants occidentaux. Il revient aussi sur la stratégie digitale de Shiseido France, l'explosion du TikTok Shop, et l'importance de créer des expériences immersives avec les influenceurs.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la guerre en Ukraine, l'état de l'économie israélienne et l'accord signé sur la Nouvelle-Calédonie. RDC : nouvelle attaque du groupe ADF dans la province de l'Ituri L'est de la RDC a une nouvelle fois été touchée par un massacre perpétré par les islamistes de l'ADF. Quelles sont leurs revendications ? Pourquoi sont-ils présents dans l'est du pays ? Quels moyens sont mis en œuvre pour protéger les populations ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. Guerre en Ukraine : 50 jours pour mettre fin au conflit ? Donald Trump a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine, sous peine d'imposer des droits de douane à hauteur de 100%. Au début de son mandat, le président américain avait pourtant insisté pour se rapprocher de son homologue russe. Comment expliquer cette rupture ? Cette annonce peut-elle changer le cours de la guerre ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative. Israël : comment financer des guerres prolongées ? Avec Gaza, l'Iran, le Sud-Liban, Israël mène des guerres sur plusieurs fronts. Je me demandais, est-ce que cela a un impact sur l'économie du pays ? Comment l'État hébreu finance-t-il ses opérations militaires prolongées ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente chaque jour la chronique « Aujourd'hui l'économie ». Nouvelle-Calédonie : l'accord Bougival peut-il apaiser les tensions ? Un accord historique a été signé entre la France et des représentants indépendantistes et non indépendantistes de Nouvelle-Calédonie. Pourquoi certains indépendantistes rejettent-ils ce texte alors que l'accord prévoit la création d'un État de Nouvelle-Calédonie ? Quelles sont les prochaines étapes maintenant que cet accord a été signé ? Avec Fred Constant, professeur des Universités à Sciences Po et ancien haut-fonctionnaire. Auteur de « Géopolitique des outre-mer » (éditions Le Cavalier Bleu).
durée : 00:06:15 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Tout cet été, nous réécoutons les entretiens de Frédéric Pommier. Aujourd'hui, c'est avec le romancier Grégoire Delacourt. Il évoque "Everybody Hurts" du groupe REM, une chanson qui l'émeut aux larmes qui l'a aidé à guérir de ses douleurs d'enfant. (Rediffusion de l'émission du 01/05/2024) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:33 - Le vrai ou faux - En seulement un mois et demi, le groupe de musique The Velvet Sundown a dévoilé trois albums et attiré plus d'un million d'auditeurs sur Spotify. Mais toute sa musique a été créée par intelligence artificielle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:42:10 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Avec "Les Filles désir", son premier long-métrage sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs, Prïncia Car interroge le rapport des jeunes au désir et aux femmes, dans la fiction mais aussi dans le travail qu'elle a mené avec ses douze co-auteurs. - réalisation : Laurence Malonda, Thomas Beau, Louise André - invités : Prïncia Car Réalisatrice française
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSThe Velvet Sundown : Franceinfo, Le Parisien, Le Huffpost, Ouest-FranceSmartphone - téléviseur : BFM Tech & Co, Arcep-Arcom,Inoxtag traversée : Le Parisien, BFM Tech & CoDune 3 : Première, NumeramaTwilight 1 : Le Huffpost, NumeramaThe Last of Us part 2 : Numerama, Game KultÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Lisa Impératrice Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:24:04 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1980, les "Nuits magnétiques" suivaient le groupe de rock Bijou en tournée en France. Faites chauffer les amplis, accordez les guitares pour ce retour vers le rock des années 80, en compagnie de Vincent Palmer, Philippe Dauga, Joël Yan "Dynamite" et leur manager-parolier Jean-William Thoury. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-William Thoury
Le 9 juillet 2024, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, les deux leaders de la société civile guinéenne, ont été arrêtés à Conakry par des hommes en armes et en uniformes. Sont-ils toujours en vie ? Depuis un an, on est sans nouvelles d'eux. « Pour nous, cette incertitude est insoutenable », disent leurs épouses et leurs proches. Un an après, la FIDH, la Fédération internationale pour les droits humains, appelle les États de la Cédéao à « se réveiller » pour faire libérer ces deux disparus. Maître Drissa Traoré est le secrétaire général de la FIDH. En ligne d'Abidjan, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que vous gardez l'espoir que Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah sont vivants ? Maître Drissa Traoré : Oui, nous voulons garder l'espoir de surtout les retrouver en vie, ces deux militants des droits humains et de la société civile. Parce que, en l'état actuel, on n'a aucun élément qui puisse nous amener à croire qu'ils ne sont plus en vie. Et donc pour nous, l'espoir est toujours là et vivace. Est-ce qu'il y a eu des signes de vie depuis un an ? Non, nous n'avons pas de signes de vie, en dehors de quelques rumeurs, et de l'autre côté également, on n'a pas des éléments pouvant nous laisser croire qu'ils sont morts. Donc ce qui nous permet de garder de l'espoir jusqu'à ce moment précis. Le 9 janvier dernier, sur RFI, le porte-parole du gouvernement, Ousmane Gaoual Diallo, a déclaré que le ministre de la Justice ou le procureur général ferait bientôt un point de situation pour donner plus ample information sur l'évolution de l'enquête… Nous l'avons cru, nous l'avons espéré et malheureusement, depuis plusieurs mois, nous attendons ces déclarations. Nous attendons ce point-là, et rien ne vient. Et nous pensons que c'est le lieu d'interpeller le garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l'homme, je précise, et le Procureur général, pour qu'ils puissent nous situer sur l'état de progression et d'avancement de cette enquête-là. Parce que leur silence, ce lourd silence, devient de plus en plus insupportable pour nous. Alors, depuis un an, il y a une mobilisation internationale en faveur des deux disparus, notamment de la part des États-Unis. La Commission africaine des droits de l'homme et des peuples et le Groupe de travail des Nations unies sur les disparitions forcées ont publié un communiqué commun, c'était en octobre dernier, dans lequel ils ont fait part de leurs craintes grandissantes sur les risques de tortures et même d'exécutions concernant ces deux disparus. Est-ce que la communauté internationale se mobilise assez à vos yeux ? Non. Au départ, nous avons vu beaucoup de mobilisation. Mais au fur et à mesure que le temps passe, cette mobilisation s'affaiblit. Cela nous inquiète et nous voulons interpeller la communauté internationale, surtout les organisations sous-régionales, pour que la question de ces deux disparus et des autres disparus puisse être à l'ordre du jour et que le gouvernement guinéen continue d'être interpellé, afin qu'au moins, on puisse savoir ce qui s'est passé, ce qui leur est arrivé, où ils sont, s'ils sont en vie ou non. Et nous pensons que cette mobilisation internationale doit être ravivée par l'ensemble des responsables de ces organisations-là et de ces pays-là. Est-ce que vous pensez, comme Me Brengarth, l'un des avocats français des familles des deux disparus, que « le pouvoir guinéen est dans une guerre d'usure, dans l'attente que les choses se tassent et que plus personne n'en parle » ? Oui, je pense que c'est la stratégie du gouvernement guinéen. Mais nous, de notre côté, nous n'allons jamais cesser notre mobilisation. Nous n'allons jamais cesser notre engagement tant que la lumière ne sera pas faite et notre mobilisation sera également, je pense, à la hauteur du silence du gouvernement guinéen. Pensez-vous que la France a joué un rôle dans la réintégration de la Guinée au sein de la grande famille francophone ? C'était au mois de septembre dernier… Non, nous ne le savons pas. Mais nous regrettons surtout que la Guinée puisse être réintégrée dans l'OIF alors que la transition n'a pas pris fin, alors que les violations des droits humains continuent de se perpétrer et surtout alors qu'il y a des enlèvements et des tortures en Guinée ces derniers temps. Et pensez-vous que la France a peur de perdre un quatrième allié en Afrique de l'Ouest si elle fait trop de démarches sur les droits de l'homme en Guinée-Conakry ? Une lecture de la situation en Afrique de l'Ouest, en tout cas, peut laisser penser que la France aujourd'hui marche sur des œufs, qu'elle ne veut pas faire les erreurs qu'elle a pu faire avec le Burkina Faso, le Mali et le Niger et qu'elle veut tout faire pour maintenir ses relations avec la Guinée. Et cela est inquiétant en ce qui concerne la situation des droits de l'homme dans ce pays. Et qu'en est-il du silence de la Cédéao, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest ? Je peux dire que c'est enrageant pour nous, parce que, depuis plusieurs années, les autorités de la Cédéao ont indiqué construire la Cédéao des peuples, et nous pensons que la Cédéao des peuples, c'est la Cédéao de la protection des droits humains, c'est la Cédéao où on protège les populations. Et donc cette Cédéao des peuples ne peut pas se taire, ne peut pas être indifférente à l'enlèvement de ces acteurs qui se battent pour la démocratie, qui se battent pour les droits humains en Guinée. Pour nous, c'est incompréhensible et nous souhaitons que la Cédéao se réveille et que la Cédéao également puisse interpeller les autorités guinéennes afin que la lumière soit faite sur ces événements. À lire aussiUn an après leur enlèvement, la Guinée toujours sans nouvelle de Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah
durée : 00:19:09 - 8h30 franceinfo - Le PDG du groupe Aéroports de Paris (ADP) était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 9 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce lundi 7 juillet, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Nicolas Guyon, animateur du podcast "Comptoir IA", et Jérôme Colombain, journaliste, créateur du podcast « Monde Numérique ». Ils se sont penchés sur le succès d'un groupe de rock généré par IA sur Spotify, l'arrivée de Kuiper d'Amazon en France à la fin de l'année, et la confirmation par Orange de l'arrêt du réseau mobile 2G à partir de mars, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Invité, fonction, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 24 septembre. Il/Elle [est revenu(e) / a abordé / s'est penché(e) sur] [SUJET] sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Depuis la création de Dans La Boîte à Gants, je lis souvent des commentaires critiquant le fait que je porte des casquettes durant les épisodes. Alors, comme un pied de nez, j'ai décidé de créer une collection de casquettes. Je l'ai pensée pour ceux qui n'attendent pas qu'on leur donne leur place, pour ceux qui la prennent !Si toi aussi, en plus d'être passionné d'Automobile et de Moto, tu as choisi d'être réellement toi-même, bonne nouvelle ! Tu as trouvé ta nouvelle casquette préférée.Aucune concession n'a été faite sur la qualité, tout est en broderie ! Il est possible qu'il y ait un clin d'œil supplémentaire à une voiture dont j'ai beaucoup parlé depuis le début de ce podcast.Pour acheter ta casquette Dans La Boîte à Gants, (⚠️ série limitée) : https://shop.danslaboiteagants.fr/Merci pour votre soutien depuis le début ! ❤️ Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Au sein d'une bande d'enfants en colo au Mont-Dore, les garçons et les filles n'ont clairement pas les mêmes jeux. Ils se retrouvent tout de même sur une chose : leur intérêt pour Dracula ! En 1979 est l'année où est sorti l'impressionnant film "Nosferatu" de Werner Herzog qui raconte l'histoire du célèbre Vampire, avec Isabelle Adjani.*** Crédits archive *** Extrait de l'émission radiophonique "L'orteil en coin". Production Sophie Barrouyer, Nadine Serres et Patrice Serres - France Inter - 08/09/1979 ****** Crédits podcast *** Documentaliste : Anne Brulant - Textes : Lætitia Fourmond - Restauration et mixage : Ian Debeerst, Quentin Geffroy, Stéphane Rives - Enregistrement : Franck Couillard - Voix off : Clara De Antoni - Musique(s) : Universal Production Music France - Chargée de production : Delphine Lambard - Cheffe de projet : Lætitia Fourmond - Assistante cheffe de projet : Daphné Boussus - Responsable éditoriale : Zoé Macheret - Un podcast INA.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une « nouvelle menace pour la stabilité », écrit Afrik.com. Le site d'information nous rappelle que le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, affilié à al-Qaïda, « accuse les habitants de Kayes et de Nioro d'avoir collaboré avec l'armée malienne lors d'opérations récentes ». « Dans des messages audios en peul et en bambara », poursuit Afrik.com, « les djihadistes menacent de couper tous les axes routiers menant à ces villes, et promettent de tuer tout homme intercepté sur ces routes ». Ce qui ne va pas sans susciter de nombreuses craintes. Afrik.com énumère : « coupures d'approvisionnement, entrave à la mobilité, pression psychologique sur les populations et défi sécuritaire majeur pour l'état malien (…) Le JNIM « cherche à semer la peur, affaiblir le moral des troupes et élargir son emprise à des régions jusqu'à présent épargnées », conclut le site d'information. Unité et solidarité Dans le même temps, la presse malienne met l'accent sur la réaction des autorités de Bamako face aux assauts jihadistes. « Face à une offensive coordonnée visant sept localités, les forces maliennes ont riposté avec fermeté », annonce Maliweb qui précise : « Plus de 80 assaillants neutralisés, et de nombreux équipements saisis par l'armée malienne ». Bamako va plus loin en affirmant que les attaques jihadistes « sont sponsorisées par des états visant à freiner la progression de l'Alliance des Etats du Sahel ». Bamada.net, de son côté, publie l'appel lancé par Choguel Maïga. L'ancien Premier ministre lance, nous dit-on, « un appel vibrant à l'unité nationale face à la terreur » et il exprime « sa profonde gratitude envers les jeunes de Kayes qui, à ses yeux, incarnent le courage et la solidarité de l'ensemble de la jeunesse malienne ». « Face à l'adversité, c'est l'unité qui triomphe », ajoute l'ex-Premier ministre. « Les FAMA infligent de lourdes pertes aux groupes armés », titre pour sa part, Sahel Tribune, au-dessus d'une photo montrant des soldats casqués, arme au poing, et salut « le professionnalisme et l'engagement remarquables » des forces armées maliennes. Pneus brûlés À la Une de la presse africaine également, le Sénégal et l'émotion provoquée par la mort de deux jeunes hommes à Cambérène, un quartier de Dakar, où la population accuse la police d'être à l'origine de la mort de deux jeunes hommes par noyade. « 3ᵉ nuit à Cambérène : la commune étouffe sous les cendres : pneus brûlés, colère sourde », titre Dakar Actu, qui s'est rendu sur place et raconte : « la route était fermée, les pavés fumants, des pneus brûlés au centre de la chaussée et aux alentours, presque personne. Ni forces de sécurité, ni protestataires visibles. Une scène quasi irréelle ». « Est-ce une coïncidence ? » interroge Dakar Actu, « ou un effet direct du discours prononcé par le président Bassirou Diomaye Faye, qui a catégoriquement dénoncé les violences et l'utilisation abominable d'un homme comme bouclier humain ? » Dakar Actu estime en tout cas, « qu'une chose est indéniable. La voix de la jeunesse de Cambérène ne s'est pas tue. Mais au cœur de la colère, subsiste une certaine forme de discipline. Pas de magasin dévalisé, pas de produit volé, pas de boutique assaillie. Malgré tout l'honneur de la commune semble sauvegardé ». Bouclier humain Des évènements qui ont été marqués par une image, dont parle également la presse sénégalaise. Cette image, précise Sénénews c'est celle « d'un jeune homme au visage couvert de sang, assis au milieu des forces de l'ordre à Cambérène ». C'est lui que la presse appelle « le bouclier humain ». « Devenue virale, cette photo incarne la tension extrême qui règne dans ce quartier populaire de Dakar », nous explique Sénénews. Le jeune homme a par la suite été interviewé par Sunugal 24. Il parle de « calvaire » et raconte avoir « été violemment interpellé lors d'affrontements entre jeunes manifestants et policiers. » Selon lui, « il a été battu avant d'être exhibé publiquement et utilisé comme bouclier humain pour décourager les protestataires ».
Today I am speaking with Vania LACASCADE, Chief Innovation Officer at L'Oréal Groupe!I joined L'Oréal Groupe in Paris recently to learn more about all of their new longevity initiatives! I was so impressed by their commitment to understanding the science of Longevity. They have over 4,000researchers on their team and are investing over 1B annually in R&I! They've also recently become invested in some great longevity companies that you're heard me mention such as Trudiagnostics, and Timeline Nutrition to further their longevity efforts. They are rolling out in store skin biological age testing, at home AI tools, and so much more!
Dans cet extrait, Sylvain Connac, enseignant-chercheur et spécialiste des pédagogies coopératives, explique la distinction essentielle entre le "travail de groupe" et le "travail en groupe" à l'école.Il met en lumière les limites du travail DE groupe traditionnel où les élèves se répartissent souvent les tâches de façon inégalitaire, renforçant les inégalités et l'autocensure chez les plus fragiles.À l'inverse, le travail EN groupe, qui crée de véritables échanges d'idées : chaque élève réfléchit d'abord individuellement, puis choisit librement d'échanger avec d'autres, donnant naissance à des confrontations fécondes et à un véritable désir d'apprendre.Ces pratiques favorisent l'implication de tous, encouragent la remise en question et contribuent à faire évoluer la dynamique de classe.L'épisode intégral est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes de podcast le 03/07/2025.
« 7 attaques coordonnées, plus de 80 terroristes neutralisés et un véritable arsenal de guerre récupéré », titre Maliweb... Des attaques qui ont visé les positions de l'armée dans les villes de Kayes, Nioro du Sahel et Niono, dans le sud du pays, le long des frontières sénégalaise et mauritanienne. Le Jnim, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, a revendiqué ces attaques. Des images montrent « des véhicules calcinés, des munitions saisies, des corps de terroristes entassés dans des pick-up et d'autres étalés en file indienne dans certaines localités », rapporte Maliweb. « À Kayes, c'est au cœur de l'appareil administratif régional que l'ennemi s'est attaqué », poursuit le site internet précisant que « la résidence du gouverneur et un commissariat ont été ciblés ». « L'armée malienne fait face, depuis plusieurs années, à une insécurité grandissante, malgré les promesses de stabilité formulées par les autorités de transition dirigées par le colonel Assimi Goïta », note de son côté, Afrik.com. Le site rappelle que le mois de juin a été « particulièrement sanglant ». « Des groupes armés ont attaqué les positions des Fama à Mahou, Tessit mais aussi à Tombouctou ». Des infrastructures militaires ont aussi été visées rappelle le média en ligne, ce qui montre « la capacité de nuisance et la mobilité des groupes jihadistes ». La région de Kayes est vitale pour l'économie malienne Le poste-frontière de Diboli, à la lisière du Sénégal, a aussi été attaqué, précise Le Monde qui cite un homme d'affaires bamakois pour qui, « les jihadistes veulent perturber le ravitaillement du Mali et une économie déjà fébrile ». Un couvre-feu de 30 jours a été décrété. Il interdit toute circulation de 21h à 6h du matin dans le territoire de Kayes. Ce qui « aura inévitablement des répercussions sur les activités économiques et commerciales transfrontalières » selon des transporteurs sénégalais interrogés par Dakaractu. En Algérie, quel espoir pour Boualem Sensal ? L'écrivain franco-algérien vient de voir sa condamnation à 5 ans de prison ferme confirmée en appel par la justice algérienne, notamment pour « atteinte à l'unité nationale » pour des propos sur l'appartenance de l'ouest algérien au Maroc. « Va-t-il rester en prison ou sera-t-il gracié le 5 juillet ? Le suspense va durer encore quelques jours », écrit Jeune Afrique qui envisage les différentes options possibles. Boualem Sensal peut se pourvoir en cassation. « Dans ce cas, l'écrivain resterait en prison. C'est le scénario noir qui ferait basculer la relation franco-algérienne dans la pire des situations », poursuit le magazine. Sa condamnation intervient « dans un contexte de vives tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie », rappelle Afrik.com. « Ses proches et son avocat espèrent le convaincre de ne pas s'engager dans cette voie », rapporte le Monde. « Le gouvernement français, de son côté, a joué la carte de l'apaisement, (...) le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a rappelé une nouvelle fois le souhait de la France, d'un "geste d'humanité" au regard "de l'âge et de l'état de santé" de l'auteur de 80 ans, soigné pour un cancer de la prostate ». L'autre scénario tient donc à une grâce présidentielle qui pourrait lui être accordée le 5 juillet, à l'occasion de la fête de l'indépendance. « Sa condamnation définitive ce mardi 1er juillet peut, paradoxalement, ouvrir la voie vers une issue salutaire dont seul le président algérien Abdelmadjid Tebboune détient la clé », écrit le Point. « L'espoir d'une mesure humanitaire en faveur d'un écrivain âgé et malade. C'est ce qu'espèrent ses proches, ses amis… et ceux qui travaillent des deux côtés à sauver ce qui peut être sauvé des relations franco-algériennes », conclut le magazine. Au Sénégal, le concours du plus beau mouton du pays Organisé chaque année en périphérie de Dakar, « il rassemble les éleveurs les plus passionnés autour d'un seul objectif désigner la bête la plus majestueuse. Et comme chaque année, c'est un Ladoum qui a raflé les honneurs », précise le site. Une race « hors norme, synonyme d'élégance et de puissance, continue d'imposer son règne sur le monde de l'élevage sénégalais ». Pour la sixième fois, c'est Niang Ballo, qui a décroché le titre du plus beau mouton du Sénégal. Une « notoriété qui vaut de l'or, indique Afrik.com, certains spécimens peuvent ainsi se vendre à plusieurs millions de francs CFA ».
Alors que la France suffoque sous un dôme de chaleur – et que les événements extrêmes, tels que les canicules, sont appelés à se multiplier en raison du changement climatique –, des scientifiques français ont sonné l'alarme, jeudi 19 juin. Selon ce collectif, qui compte des chercheurs de renom, anciens auteurs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, dont la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte, limiter le réchauffement à 1,5 °C n'est « désormais plus atteignable ».Ils se fondent pour cela sur une étude internationale publiée, mercredi 18 juin, dans la revue internationale Earth System Science Data, qui montre que le budget carbone résiduel, c'est-à-dire les émissions à ne pas dépasser pour garder plus de 50 % de chances de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, est presque épuisé.Que cela signifie-t-il ? Le deuxième objectif de l'accord de Paris (+ 2 °C), est-il toujours atteignable ? Peut-on imaginer repasser sous le seuil de 1,5 °C à l'aide de technologies de captation du dioxyde de carbone ? Réponses en podcast avec Audrey Garric, journaliste au service Planète du Monde.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Morning Footy: A daily soccer podcast from CBS Sports Golazo Network
The Morning Footy crew breaks down all the drama from Wednesday's Club World Cup action, as Inter Milan and Monterrey punched their tickets to the knockout stage from Group E. River Plate and Urawa Red Diamonds saw their journeys come to an end — but not without fireworks. Emotions boiled over between Inter and River, with Marcos Acuña needing to be restrained after a heated clash with Denzel Dumfries. Nico Cantor assesses the state of Argentine club soccer following early exits from both River and Boca. Morning Footy is available for free on the Audacy app as well as Apple Podcasts, Spotify and wherever else you listen to podcasts. Visit the betting arena on CBSSports.com for all the latest in sportsbook reviews and sportsbook promos for betting on soccer For more soccer coverage from CBS Sports, visit https://www.cbssports.com/soccer/ To hear more from the CBS Sports Podcast Network, visit https://www.cbssports.com/podcasts/ Watch UEFA Champions League, UEFA Europa League, UEFA Europa Conference League, Serie A, Coppa Italia, EFL, NWSL, Scottish Premiership, Argentine Primera División by subscribing Paramount Plus: https://www.paramountplus.com/home/ Visit the betting arena on CBS Sports.com: https://www.cbssports.com/betting/ For all the latest in sportsbook reviews: https://www.cbssports.com/betting/sportsbooks/ And sportsbook promos: https://www.cbssports.com/betting/promos/ For betting on soccer: https://www.cbssports.com/betting/soccer/ To learn more about listener data and our privacy practices visit: https://www.audacyinc.com/privacy-policy Learn more about your ad choices. Visit https://podcastchoices.com/adchoices
Tuesday's Club World Cup delivered one of the greatest underdog stories in football history! Auckland City's amateur team - featuring teachers, barbers, and students - held Argentine giants Boca Juniors to a stunning 1-1 draw, eliminating Boca from the tournament. Christian Gray's equalizer capped an incredible journey for the New Zealand side after 10-0 and 6-0 defeats. Meanwhile, Benfica shocked Bayern Munich 1-0 with Andreas Schjelderup's goal to top Group C in their first-ever victory over the German champions. Chelsea bounced back from the Nicolas Jackson red card disaster, beating Espérance de Tunis 3-0 with Liam Delap scoring his first goal. Plus, LAFC's heartbreak continued as Wallace Yan's late equalizer gave Flamengo a 1-1 draw. Looking ahead to Wednesday's Group E and F finales: Inter Milan face River Plate while Dortmund battle Ulsan HD in crucial qualification matches
durée : 00:05:18 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Porté par Arthur H, "Ange", son nouveau film, sort le 25 juin au cinéma. Au micro de Frédéric Pommier, Tony Gatlif évoque la chanson "Do ciebie Kasiuniu" du groupe polonais Warsaw Village Band, groupe qu'il a découvert en concert dans une cave il y a près de 30 ans dans la banlieue de Varsovie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Saturday's Club World Cup delivered non-stop drama! Borussia Dortmund survived a seven-goal thriller against Mamelodi Sundowns (4-3), while Inter Milan needed a stoppage-time winner from Valentin Carboni to beat Urawa Red Diamonds 2-1 and keep their tournament hopes alive. Fluminense staged a brilliant comeback to defeat Ulsan HD 4-2, and River Plate's 0-0 draw with Monterrey left Group E wide open. Plus, we preview Sunday's blockbuster fixtures featuring Real Madrid's tournament debut against Pachuca and defending champions Manchester City taking on Al Ain. From last-minute winners to tactical battles, Saturday had everything you love about the FIFA Club World Cup 2025.
Conflit entre Israël et l'Iran : derrière les bombes, il y a la cyber-guerre. Un groupe de hackers pro israélien vient de s'attaquer à une banque iranienne...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Ricard a la tête sous l'eau... 5 volumes d'eau... On connaitra les résultats économiques annuels à la fin de l'été, mais le groupe laisse déjà entendre que le chiffre d'affaires va enregistrer une baisse comprise entre 0 et 5%. Il faut dire que la plupart des indicateurs sont au rouge. Cela veut dire qu'il y aura des réductions d'effectifs dans les prochains mois, mais le groupe refuse de donner des chiffres précis pour le moment. Pernod Ricard emploie aujourd'hui 18.500 collaborateurs dont plus de 3.000 en France...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:05 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Malgré les atermoiements de la Maison Blanche, Donald Trump continue d'afficher une posture musclée face au conflit entre l'Iran et Israël. Outre-Atlantique, l'ambiguïté européenne se manifeste plutôt par le silence et la prudence de ses réactions. L'Europe est-elle condamnée à rester spectatrice ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Florian Louis Historien, membre du Groupe d'études géopolitiques et de la rédaction de la revue le Grand Continent; Élie Tenenbaum Directeur du Centre des Études de Sécurité de l'IFRI
Centres expérimentaux de prise en charge pour conjoints violents, les CPCA ont été créés à la suite du Grenelle contre les violences conjugales en 2019. Pensés pour apporter une prise en charge médicale, sociale et psychologique aux auteurs de violences conjugales, ils sont aussi le lieu où se tiennent les stages de responsabilisation auxquels les auteurs de violences sont souvent condamnés. Aujourd'hui saturés de demandes, les CPCA, gérés par un réseau d'associations locales et nationales, devraient bientôt être pérennisés. Leur personnel demande cependant une hausse du budget alloué à la lutte contre les violences conjugales, afin de faire face à la demande croissante. Récit, dans cet épisode de Code Source, avec Christine Mateus, journaliste au service société du Parisien, qui s'est rendue en reportage au CPCA de Limoges. Si vous ou une personne de votre entourage est victime de violences conjugales, appelez Violences Femmes Info au 3919, numéro d'écoute, d'information et d'orientation destiné aux victimes de violence conjugale. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
17 étoiles Michelin. 19 établissements. 1000 collaborateurs.Yannick Alléno a bâti en 15 ans un empire de la haute gastronomie, sans jamais perdre le goût du détail.À 8 ans, il sait déjà qu'il sera cuisinier. Pendant les vacances d'été, un proche de la famille lui fait découvrir cuisine et la sauce prend.L'art de la table, l'ambiance singulière, l'harmonie des saveurs et des sauces, le plaisir sur le visage des convives.Il se professionnalise à 15 ans et se retrouve derrière les fourneaux jusqu'à obtenir sa première étoile en 2000. Remarqué par l'hôtel Le Meurice, rue de Rivoli, sa carrière prend son envol.En 2008, Yannick fonde le groupe Alléno avec une vision : faire entrer l'innovation dans la haute gastronomie.Il repense la construction des assiettes comme un art long et minutieux, parfois étalé sur plusieurs semaines voire mois. Il explore des techniques inédites, comme la cryoconcentration, pour réinventer les sauces à partir d'ingrédients biodynamiques.Visionnaire mais aussi businessman, il récupère le Pavillon Ledoyen sur les Champs Elysées dont il fait passer le chiffre d'affaires de 5,6 à 26 millions par an. L'établissement devient le plus étoilé du monde avec ses trois restaurants, comptabilisant 6 étoiles au total.Yannick se confie aussi sur ses épreuves : la trésorerie post-Covid, la perte de son fils Antoine dans un accident de voiture, et son combat associatif pour ceux qui restent.Un épisode d'exception en immersion dans les cuisines des plus grands restaurants du monde, là où l'exigence et l'art de la transmission sont les maîtres-mots.Allez découvrir un des restaurants du groupe Yannick Alléno de ma part, ils vous feront goûter un de leurs incroyables sakés.TIMELINE:00:00:00 : Collectionner les étoiles au guide Michelin00:19:19 : Réconcilier deux générations et la force d'internet00:26:10 : Comment innover et mettre en place de nouvelles pratiques managériales00:42:29 : L'autocritique nécessaire pour maîtriser son art00:49:38 : La mystique de la nature et la voltige des sauces01:00:21 : Le jeu du foncier à Paris01:06:01 : La transmission d'une passion jusqu'à devenir un chef étoilé01:16:18 : Les McDo sont les nouveaux bistrots01:23:07 : Les meilleures anecdotes de Yannick Alléno et le bateau de l'Orient Express01:32:49 : Les étoiles du guide Michelin et comment être rentable avec des restaurants01:50:10 : Sa méthode pour donner au client ce qu'il recherche en donnant vie à un lieu02:19:57 : Du drame à l'engagement : naissance d'un combat02:29:08 : Gérer un empire : des adresses à travers le monde et des projets par dizaines02:39:19 : La recette du jourLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seul#473 - VO - Brian Chesky - Airbnb - « We're just getting started »#464 - Nina Métayer - Cheffe Pâtissière - “Je ne peux pas travailler pour autre chose que l'excellence”#33 Nicolas Paciello - Chef pâtissier : Viser les étoiles puis réussir à en ramener 2 !#342 - Thierry Marx - De la cité à la cuisine étoilée : l'extraction sociale d'un titan#250 - Alain Ducasse - Faire de sa cuisine un apprentissage, une passion et une marque mondiale#439 - Amanda Sthers - Écrivaine, réalisatrice, productrice - La liberté créative : se donner les moyens de ses ambitions#461 - Sébastien Bazin - PDG du groupe Accor - Diriger un groupe coté en bourse sans ordinateurCatherine Painvin - Entrepreneur depuis 50 ans et toujours à FOND !#374 - Laurent de Gourcuff - Confessions et secrets du roi de la nuitNous avons parlé de :Le Groupe Yannick AllénoAssociation Antoine AllénoFaire un don à l'Association Antoine AllénoChocolat Alléno & RivoireRestaurant au Pavillon LedoyenRestaurant L'Abysse ParisRestaurant Pavyllon“La Traversée” film de Frédéric GuelaffCollaboration avec MontexFanny Perrot directrice d'un restaurantMichel Chapoutier et la biodynamieRestaurant L'Izakaya DassaiLET'S (Thomas Alléno)François Defossezfragiles (spectacle)Les recommandations de lecture :La Vie en mieux (Anna Gavalda)Le pouvoir du moment présentL'homme qui plantait des arbresL'OdysséeVous pouvez contacter Yannick sur LinkedIn et sur Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.