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durée : 01:00:54 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - Par Patrice Galbeau - Avec Pierre Schaeffer (ingénieur, compositeur, écrivain, chercheur, théoricien), Raymond Abellio, Georges Lapassade, le Père Diard, Gilles Saint-Aubin, André Clavé et Jacques Attal - Réalisation Guy Delaunay - réalisation : Virginie Mourthé
Le PSG fait une pause, mais pas ses joueurs. Pendant que la Ligue 1 dort, les internationaux parisiens enchaînent les minutes, les blessures, les alertes… et les polémiques. Ce soir, on fait le point sur tous les Parisiens partis en sélection, leurs performances, leurs états de forme, et surtout les risques pour la reprise.
durée : 00:05:13 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les jumeaux numériques, ces doubles virtuels déjà utilisés dans l'industrie, entrent désormais dans le biomédical pour simuler maladies et traitements. Pourront-ils un jour remplacer l'expérimentation animale et devenir des outils fiables pour les médecins ? - invités : Anna Niarakis Professeure à l'Université de Toulouse, cheffe d'équipe Computational Systems Biology (CoSysBio), Laboratoire de biologie Moléculaire, Cellulaire et du Développement (MCD), Centre de Biologie Integrative (CBI), Toulouse. Chairwoman du Groupe de Travail "Jumeaux Numériques Immunitaires", RDA Europe
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
L'émission 28 minutes du 13/11/2025 Parler, c'est résister : le langage comme arme politique pour l'américain Ta-Nehisi CoatesJournaliste, écrivain, professeur d'université, scénariste : Ta-Nehisi Coates est sûrement l'un des penseurs afro-américains les plus influents de sa génération. Il publie "Le message" (éditions Autrement), un essai écrit après différents voyages dans trois lieux de conflits : au Sénégal, en Caroline du Sud et en Palestine. L'écrivain revient sur le pouvoir de l'écriture et à quel point elle peut être une arme. Il démystifie, entre autres, les récits sur l'île de Gorée, lieu symbolique de l'esclavagisme, questionne la déclaration d'indépendance des États-Unis et s'interroge sur les mécanismes de ségrégation en Palestine. Mali : l'Afrique, nouvel épicentre du djihadisme et du terrorisme dans le monde ? La France a appelé, il y a quelques jours, ses ressortissants à quitter au plus vite le Mali en raison de la menace djihadiste. Bamako, la capitale du pays, est encerclée par les troupes du JNIM, Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans. Depuis deux mois, ce groupe islamiste proche d'Al-Qaida, impose de nombreux blocus sur des villages, dont les convois de carburant. L'objectif du groupe est d'imposer un "calife", selon le chef des services de renseignements extérieurs français. La terreur règne dans le pays. Vendredi dernier, Mariam Cissé, tiktokeuse malienne âgée de 20 ans, a été exécutée en public pour avoir publié des vidéos en faveur de la junte au pouvoir. Dirigée par le général Assimi Goïta, cette dernière avait demandé la fin de l'opération Barkhane au Mali en 2022. Depuis, les troupes françaises ont été remplacées par les forces russes, Africa Corps, milices ayant succédé à Wagner, qui se retrouvent elles-mêmes piégées par le groupe djihadiste. Le JNIM, proche d'Al-Qaida mais aussi de plusieurs émanations de Daech, est-il une menace pour la France ?On en débat avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Francis Kpatindé, enseignant à Sciences Po Paris, spécialiste de la diplomatie africaine et Anna Sylvestre-Treiner, chef du service Afrique au "Monde". Enfin, Xavier Mauduit revient sur la grâce accordée à l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal pour nous parler de Dostoïevski, lui-même gracié en son temps. Théophile Cossa s'intéresse au fonctionnement de l'économie fragile des trains-couchettes et donne quelques idées de trains de nuit à tester. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 13/11/2025 Mali : l'Afrique, nouvel épicentre du djihadisme et du terrorisme dans le monde ? La France a appelé, il y a quelques jours, ses ressortissants à quitter au plus vite le Mali en raison de la menace djihadiste. Bamako, la capitale du pays, est encerclée par les troupes du JNIM, Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans. Depuis deux mois, ce groupe islamiste proche d'Al-Qaida, impose de nombreux blocus sur des villages, dont les convois de carburant. L'objectif du groupe est d'imposer un "calife", selon le chef des services de renseignements extérieurs français. La terreur règne dans le pays. Vendredi dernier, Mariam Cissé, tiktokeuse malienne âgée de 20 ans, a été exécutée en public pour avoir publié des vidéos en faveur de la junte au pouvoir. Dirigée par le général Assimi Goïta, cette dernière avait demandé la fin de l'opération Barkhane au Mali en 2022. Depuis, les troupes françaises ont été remplacées par les forces russes, Africa Corps, milices ayant succédé à Wagner, qui se retrouvent elles-mêmes piégées par le groupe djihadiste. Le JNIM, proche d'Al-Qaida mais aussi de plusieurs émanations de Daech, est-il une menace pour la France ?On en débat avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Francis Kpatindé, enseignant à Sciences Po Paris, spécialiste de la diplomatie africaine et Anna Sylvestre-Treiner, chef du service Afrique au "Monde". 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Stéphane Boujnah, président du directoire et directeur général d'Euronext, était l'invité de l'émission Ecorama du 13 novembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : l'entrée d'Euronext au CAC 40, la stratégie de diversification menée par Stéphane Boujnah, l'évolution du cours de l'action, la croissance et la rentabilité du groupe, mais aussi les perspectives de marché face à la flambée de Nvidia et aux interrogations sur une éventuelle bulle de l'IA. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Abel Boyi et Laura Warton Martinez, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mercredi 12 novembre, Rachel de Valicourt, directrice générale du pôle CGP du Groupe Premium, est revenue sur les principales forces en ce moment qui dynamisent le marché de la gestion de patrimoine et de l'activité de conseil, dans Tout pour investir L'Événement, dans l'émission Tout pour Investir, présentée par Antoine Larigaudrie. Tout pour Investir est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.
durée : 00:58:37 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Au Mali, l'insurrection islamiste dirigée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, affilié à Al-Qaïda, met la junte militaire malienne, ainsi que son allié russe, en difficulté. Le GSIM poursuit ses offensives et espère prendre le pouvoir comme l'a fait Ahmed al-Chaara en Syrie. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Seidik Abba Président du Centre international d'études et de réflexions sur le Sahel (CIRES), un think tank basé à Paris ; Bakary Sambe Président-fondateur du Timbuktu Institute, basé à Dakar, et enseignant-chercheur au Centre d'étude des religions (CER) de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal); Vincent Foucher Politiste, chargé de recherche CNRS au laboratoire Les Afriques dans le Monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux
Dans cette entrevue, Sarah Légendre-Bilodeau, la Première vice-présidente, Groupe conseil, intelligence artificielle de Videns, propulsée par Cofomo, explique la différence entre une IA de commodité, adoptée par tous via des outils comme ChatGPT ou Copilot, et une IA de valeur, conçue sur mesure pour soutenir la stratégie d'une entreprise. Selon elle, la majorité des organisations n'ont pas encore dépassé la première étape et peinent à intégrer l'IA de façon structurée. Une conversation éclairante sur la transition vers une IA qui transforme vraiment la performance organisationnelle.
Bloquer, détourner et parfois détruire les camions de carburants qui approvisionnent le Mali par la route : « c'est un blocus d'une redoutable efficacité qu'impose, depuis deux mois, le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, constate Jeune Afrique. Les axes majeurs reliant Bamako au reste du pays sont désormais très largement paralysés. Et la situation ne cesse de se dégrader, tant la stratégie amorcée par le groupe jihadiste depuis début septembre frappe, par un effet domino imparable, la quasi-totalité des secteurs. Si le transport et la logistique sont évidemment les premiers touchés, les conséquences se font désormais sentir sur l'énergie, l'agriculture, les mines et même l'éducation. "S'il n'y a pas de carburant, au Mali, cela signifie que tout s'arrête, puisqu'il n'y a pas d'alternative au transport routier", résume un responsable d'une société de logistique interrogé par le site panafricain. "Le vivrier, les personnes, les biens, le gaz… Absolument tout est transporté par voie routière. Donc à partir du moment où vous n'avez plus ni voie sécurisée, ni carburant, l'économie est à l'arrêt" ». Bamako pas sur le point de tomber… C'est dans ce contexte que la France, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Italie, a conseillé vendredi à ses ressortissants présents au Mali de quitter le pays. Pour autant, relève Afrik.com, « les jihadistes du JNIM ne semblent pas préparer une attaque militaire directe contre Bamako. Leur stratégie consisterait plutôt à asphyxier lentement la capitale par des blocus successifs. Les rançons versées en échange de la libération d'otages, entre 50 et 70 millions d'euros récemment, selon plusieurs sources, renforcent considérablement les moyens du groupe jihadiste. Cet afflux d'argent liquide permettrait au JNIM d'acquérir des armes lourdes, des véhicules, du carburant et des drones, mais aussi de financer sa propagande et de recruter plus efficacement ». En effet, renchérit le chercheur Boubacar Haidara sur le site The Conversation : « à ce stade, les jihadistes sont loin d'avoir les moyens de prendre la capitale. (…) On pourrait même penser que le JNIM lui-même a été surpris par l'ampleur inattendue des conséquences de ses actions autour de Bamako, lesquelles, en réalité, ne requièrent pas de moyens militaires particulièrement importants. (…) L'annonce alarmiste d'une éventuelle prise de contrôle du Mali par ce groupe, dans la perspective de gouverner le pays, estime encore Boubacar Haidara, revient à accorder une importance excessive aux conséquences, certes spectaculaires, d'une crise ponctuelle, plutôt qu'à une évaluation globale des actions du JNIM, et des capacités réelles que révèle sa force militaire observable ». Vers une extension de la crise ? En tout cas, attention, toute « l'Afrique de l'Ouest risque la paralysie économique », prévient un observateur cité par Le Point Afrique : « les pays voisins ne s'impliquent pas suffisamment, notamment pour sécuriser les axes routiers stratégiques – Abidjan-Bamako, Conakry-Bamako, Dakar-Bamako ou encore ceux venant de Mauritanie. Il faudrait mobiliser des forces armées pour protéger ces convois, car si rien n'est fait sur le volet purement économique, cette crise deviendra ouest-africaine. À force de laisser pourrir le Mali, prévient-il, c'est tout l'Ouest africain qui pourrait s'enfoncer dans le gouffre ». Résilience… La presse malienne pour sa part fait bloc… Sahel Tribune exalte le courage des chauffeurs routiers dont les représentants ont été récemment reçus par le Premier ministre Abdoulaye Maïga : « face aux défis sécuritaires et logistiques, ils ont exprimé leur détermination à poursuivre leur mission, malgré les risques et ont réaffirmé leur engagement total envers la nation. (…) Les chauffeurs et conducteurs routiers du Mali se dressent comme des acteurs clés de la résilience nationale ». Pour sa part, L'Essor affirme que « la distribution du carburant reprend progressivement dans les stations-service de Bamako. Les files d'attente se raccourcissent et les usagers retrouvent peu à peu leur sérénité ». Enfin, Aujourd'hui-Mali s'en prend aux puissances occidentales qui ont demandé à leurs ressortissants de quitter le pays : « La récente multiplication de ces messages diplomatiques alarmistes ne saurait être interprétée comme un simple geste de précaution humanitaire. Elle s'inscrit plutôt dans une logique de pression indirecte, affirme Aujourd'hui Mali, visant à affaiblir la crédibilité du gouvernement malien en amplifiant artificiellement le sentiment d'insécurité. Les ressortissants étrangers, pour la plupart, sont déjà recensés et informés par des circuits officiels précis ; ces alertes publiques et médiatisées n'ajoutent donc rien à la sécurité réelle, mais contribuent à nourrir une peur collective savamment entretenue ».
Bloquer, détourner et parfois détruire les camions de carburants qui approvisionnent le Mali par la route : « c'est un blocus d'une redoutable efficacité qu'impose, depuis deux mois, le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, constate Jeune Afrique. Les axes majeurs reliant Bamako au reste du pays sont désormais très largement paralysés. Et la situation ne cesse de se dégrader, tant la stratégie amorcée par le groupe jihadiste depuis début septembre frappe, par un effet domino imparable, la quasi-totalité des secteurs. Si le transport et la logistique sont évidemment les premiers touchés, les conséquences se font désormais sentir sur l'énergie, l'agriculture, les mines et même l'éducation. "S'il n'y a pas de carburant, au Mali, cela signifie que tout s'arrête, puisqu'il n'y a pas d'alternative au transport routier", résume un responsable d'une société de logistique interrogé par le site panafricain. "Le vivrier, les personnes, les biens, le gaz… Absolument tout est transporté par voie routière. Donc à partir du moment où vous n'avez plus ni voie sécurisée, ni carburant, l'économie est à l'arrêt" ». Bamako pas sur le point de tomber… C'est dans ce contexte que la France, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Italie, a conseillé vendredi à ses ressortissants présents au Mali de quitter le pays. Pour autant, relève Afrik.com, « les jihadistes du JNIM ne semblent pas préparer une attaque militaire directe contre Bamako. Leur stratégie consisterait plutôt à asphyxier lentement la capitale par des blocus successifs. Les rançons versées en échange de la libération d'otages, entre 50 et 70 millions d'euros récemment, selon plusieurs sources, renforcent considérablement les moyens du groupe jihadiste. Cet afflux d'argent liquide permettrait au JNIM d'acquérir des armes lourdes, des véhicules, du carburant et des drones, mais aussi de financer sa propagande et de recruter plus efficacement ». En effet, renchérit le chercheur Boubacar Haidara sur le site The Conversation : « à ce stade, les jihadistes sont loin d'avoir les moyens de prendre la capitale. (…) On pourrait même penser que le JNIM lui-même a été surpris par l'ampleur inattendue des conséquences de ses actions autour de Bamako, lesquelles, en réalité, ne requièrent pas de moyens militaires particulièrement importants. (…) L'annonce alarmiste d'une éventuelle prise de contrôle du Mali par ce groupe, dans la perspective de gouverner le pays, estime encore Boubacar Haidara, revient à accorder une importance excessive aux conséquences, certes spectaculaires, d'une crise ponctuelle, plutôt qu'à une évaluation globale des actions du JNIM, et des capacités réelles que révèle sa force militaire observable ». Vers une extension de la crise ? En tout cas, attention, toute « l'Afrique de l'Ouest risque la paralysie économique », prévient un observateur cité par Le Point Afrique : « les pays voisins ne s'impliquent pas suffisamment, notamment pour sécuriser les axes routiers stratégiques – Abidjan-Bamako, Conakry-Bamako, Dakar-Bamako ou encore ceux venant de Mauritanie. Il faudrait mobiliser des forces armées pour protéger ces convois, car si rien n'est fait sur le volet purement économique, cette crise deviendra ouest-africaine. À force de laisser pourrir le Mali, prévient-il, c'est tout l'Ouest africain qui pourrait s'enfoncer dans le gouffre ». Résilience… La presse malienne pour sa part fait bloc… Sahel Tribune exalte le courage des chauffeurs routiers dont les représentants ont été récemment reçus par le Premier ministre Abdoulaye Maïga : « face aux défis sécuritaires et logistiques, ils ont exprimé leur détermination à poursuivre leur mission, malgré les risques et ont réaffirmé leur engagement total envers la nation. (…) Les chauffeurs et conducteurs routiers du Mali se dressent comme des acteurs clés de la résilience nationale ». Pour sa part, L'Essor affirme que « la distribution du carburant reprend progressivement dans les stations-service de Bamako. Les files d'attente se raccourcissent et les usagers retrouvent peu à peu leur sérénité ». Enfin, Aujourd'hui-Mali s'en prend aux puissances occidentales qui ont demandé à leurs ressortissants de quitter le pays : « La récente multiplication de ces messages diplomatiques alarmistes ne saurait être interprétée comme un simple geste de précaution humanitaire. Elle s'inscrit plutôt dans une logique de pression indirecte, affirme Aujourd'hui Mali, visant à affaiblir la crédibilité du gouvernement malien en amplifiant artificiellement le sentiment d'insécurité. Les ressortissants étrangers, pour la plupart, sont déjà recensés et informés par des circuits officiels précis ; ces alertes publiques et médiatisées n'ajoutent donc rien à la sécurité réelle, mais contribuent à nourrir une peur collective savamment entretenue ».
Depuis 11h31 lundi 10 novembre, les femmes travaillent gratuitement selon le calcul de la lettre d'information "Les Glorieuses" pour illustrer les inégalités de salaires : à temps de travail identique, les femmes gagnent en moyenne 14,2% de moins que les hommes. Benoît Serre, ancien DRH du groupe L'Oréal, est l'invité de Amandine Bégot.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Mathieu Alterman met à l'honneur le groupe Wings, formé par Paul McCartney après la séparation des Beatles. Il revient sur la carrière de ce groupe souvent sous-estimé, mais qui a su créer une musique audacieuse, mêlant rock, pop orchestrale et ballades. Loin de l'ombre des Beatles, Wings a permis à Paul McCartney de réinventer sa pop tout en gardant son héritage. Cet épisode invite les auditeurs à redécouvrir cette période créative et ambitieuse de la carrière de l'artiste légendaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(Troisième épisode) Le lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris, Georges Besse, le PDG de Renault, est retrouvé mort. Il a été abattu par plusieurs balles. La police soupçonne un groupe terroriste d'ultra gauche très actif à l'époque, Action directe, d'être derrière cette attaque. En recoupant les témoignages, les enquêteurs parviennent à déterminer que Georges Besse a été assassiné par une femme. A l'époque, il n'y a que deux femmes connues des services qui enquêtent sur le terrorisme français : Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron. Il faut maintenant les localiser…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Quatrième épisode) Le lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris, Georges Besse, le PDG de Renault, est retrouvé mort. Il a été abattu par plusieurs balles. La police soupçonne un groupe terroriste d'ultra gauche très actif à l'époque, Action directe, d'être derrière cette attaque. En recoupant les témoignages, les enquêteurs parviennent à déterminer que Georges Besse a été assassiné par une femme. A l'époque, il n'y a que deux femmes connues des services qui enquêtent sur le terrorisme français : Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron. Il faut maintenant les localiser…Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait de l'épisode [We are the champions #3: Arkose, Prix du Groupe engagé], Fanny Giansetto questionne Elie Craipeau, Directeur développement durable du groupe Arkose, sur l'étude qui avait révélé que certaines salles d'escalades étaient autant polluées qu'un abord d'autoroute. L'occasion pour lui de rappeler l'impact environnemental d'une salle d'escalade et de nous présenter ses solutions pour le secteur. Retrouvez le site du groupe ici: https://arkose.com/Et le compte Instagram: https://www.instagram.com/arkose.climbing/?hl=fr*** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.fr Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous recevons Lewis.B Lubin, Coordonnateur du programme Entrepreneurs de la Relève du Groupe 3737. Il viendra nous parler du programme Entrepreneurs de la relève.
durée : 00:34:27 - 100% Sainté Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenu dans le podcast dédié aux chercheuses et chercheurs invitées de la Chaire UNESCO en communication internationale. Depuis 1996, au sein de l'Université Stendhal d'abord, puis de l'Université Grenoble Alpes, le laboratoire Gresec, Groupe de recherche sur les enjeux de... Continue Reading →
Invités : - Christophe Lallau, directeur général du groupe KRYS. - Vincent Roy, journaliste et essayiste. - Jean-Claude Dassier, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Site internet : https://groupe-eri.fr/
Site internet : https://groupe-eri.fr/
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération d'otages détenus par le Jnim et la victoire de Zohran Mamdani à la mairie de New York. Espace : 3I/Atlas, la comète qui enflamme les réseaux sociaux Découverte en juillet 2025, la comète interstellaire 3I/ATLAS venue d'un autre système solaire intrigue les astronomes. Comment expliquer cet engouement ? Cet objet interstellaire est-il une menace pour notre planète ?, comme l'affirment certains internautes sur les réseaux sociaux. Avec Simon Rozé, chef du service environnement-climat de RFI. Mali : des otages libérés en échange d'une rançon record Capturés le 23 septembre 2025 à une trentaine de kilomètres de Bamako par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), les trois otages (un Emirien, un Pakistanais et un Iranien) ont été libérés la semaine dernière contre une rançon de 50 à 70 millions de dollars, ainsi que du matériel militaire. Comment ces libérations ont-elles été négociées ? Comment expliquer un montant aussi élevé pour la rançon ? Avec Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements jihadistes. New-York : un revers pour Donald Trump Figure de l'aile gauche démocrate, Zohran Mamdani est devenu le nouveau maire de New York. Pourquoi, lors de la campagne, Donald Trump a préféré soutenir Andrew Cuomo, candidat issu du camp démocrate plutôt que Curtis Sliwa, le candidat républicain ? Quel impact la victoire de Zohran Mamdani peut-elle avoir sur les élections de mi-mandat dans un an ? Avec Françoise Coste, historienne et professeure d'études américaines à l'Université de Toulouse Jean-Jaurès.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour ce nouvel épisode hors-série qui présente les lauréats du Palmarès Écotable 2025, nous sommes très heureux de recevoir Elie Craipeau, Directeur développement durable du groupe de salles d'escalades Arkose. Arkose est le leader des salles d'escalades en France, mais pas seulement. Arkose mêle habilement sport et restauration en proposant plus que des salles d'escalades : des lieux de vie. Grâce au travail d'Elie, le groupe a su faire évoluer son activité tout en mettant l'accent sur la diminution de leur impact environnemental. C'est pourquoi 25 de leurs points de restauration sont accompagnés par Écotable dans une démarche d'écoresponsabilité et possèdent le Label Écotable. Quel est l'impact environnemental d'une salle d'escalade ? Quels leviers Elie a-t-il utilisé pour rendre les cantines d'Arkose écoresponsables ? Quels sont les prochains projets d'Arkose ? Réponse dans ce podcast. Bonne écoute !Retrouvez le site du groupe ici: https://arkose.com/Et le compte Instagram: https://www.instagram.com/arkose.climbing/?hl=frCité dans cet épisode :Étude sur la pollution de l'air dans les salles d'escalade: https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsestair.5c00017
durée : 00:58:54 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Olivier Sichel, nouveau directeur général du groupe Caisse des Dépôts La Banque des Territoires Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité, fonction, était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 24 septembre. Il/Elle [est revenu(e) / a abordé / s'est penché(e) sur] [SUJET] sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
(Deuxième épisode) Des coups de feu retentissent à 20h25 lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris. Costume gris, chemise blanche et sacoche à la main, un homme est retrouvé mort devant le 14 boulevard Edgar Quinet. Le Premier ministre, Jacques Chirac, se rend rapidement sur les lieux. La victime s'avère être une figure de l'industrie automobile. Il s'agit de Georges Besse, le PDG de Renault, qui vient d'être tué. Cela fait un an et demi que l'Auvergnat de 58 ans a pris la tête de l'entreprise française en difficulté. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Premier épisode) Des coups de feu retentissent à 20h25 lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris. Costume gris, chemise blanche et sacoche à la main, un homme est retrouvé mort devant le 14 boulevard Edgar Quinet. Le Premier ministre, Jacques Chirac, se rend rapidement sur les lieux. La victime s'avère être une figure de l'industrie automobile. Il s'agit de Georges Besse, le PDG de Renault, qui vient d'être tué. Cela fait un an et demi que l'Auvergnat de 58 ans a pris la tête de l'entreprise française en difficulté. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Eric Woerth, président du groupe d'amitié France-Australie à l'Assemblée nationale, accompagné d'Anne Genetet, députée de la 11e circonscription des Français établis hors de France ainsi que de trois autres parlementaires, sont en voyage en Australie.
Tous les soirs, Maël Hassani vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, Maël Hassani vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Sous un soleil de plomb, les files d'attente s'étirent devant les stations-service, relate Mali Tribune. Des centaines de véhicules, moteurs éteints, attendent des heures, parfois des jours, dans l'espoir d'avoir un peu d'or noir. La crise du carburant, loin de s'essouffler, s'enracine dans le quotidien des Maliens, paralysant les moteurs et les métiers. Ces derniers jours, la situation a franchi un seuil critique, soupire le site d'information malien. Ce n'est plus une simple pénurie, mais une asphyxie. (…) Dans les ateliers, les chantiers, les imprimeries, les conséquences sont immédiates. Des milliers de Maliens se retrouvent en chômage technique. » Alors, « face à la colère grandissante, poursuit Mali Tribune, le gouvernement tente de rassurer. Par la voix du Premier ministre Abdoulaye Maïga, il promet une mobilisation de tous les moyens possibles. (…) Un plan d'action est en cours : sécurisation des convois, construction de nouveaux dépôts, coordination entre les acteurs du secteur. Mais sur le terrain, l'attente reste longue et la tension, palpable. » Le blocus des djihadistes La presse malienne ne s'étend pas sur les raisons de cette asphyxie : à savoir le blocus imposé par les jihadistes qui attaquent, confisquent et parfois détruisent les convois de carburant. En effet, précise Le Monde Afrique, « depuis septembre, le Groupe de soutien de l'islam et des musulmans [Jnim], qui contrôle déjà une bonne partie du pays, cherche à asphyxier la capitale et à s'enrichir, en s'attaquant aux camions-citernes de carburant venant du Sénégal et de la Côte d'Ivoire, par lesquels transite l'essentiel des biens importés par le Mali. La pénurie de carburant menace non seulement l'approvisionnement des 3 millions d'habitants de Bamako, mais aussi l'alimentation électrique. » « Face à cette catastrophe annoncée, la junte du colonel Assimi Goïta, au pouvoir depuis août 2020 et autoproclamé général en 2024, semble aux abois, pointe encore Le Monde Afrique. (…) Une immense impression de gâchis domine. Si les erreurs d'analyse, les maladresses et une certaine condescendance de la France expliquent l'échec de sa lutte contre les djihadistes et sa mise à l'écart, reconnait le journal, la responsabilité des militaires maliens (…) est désormais entière. Plus occupés à conserver leur pouvoir qu'à s'attaquer à l'insécurité et à la pauvreté, (…) Assimi Goïta et ses lieutenants risquent de précipiter la transformation du Mali, État vivant et ouvert, en une sorte d'Afghanistan africain, prévient Le Monde Afrique. Les conséquences en seraient incalculables pour toute la région sahélienne, pour ses voisins sénégalais et ivoiriens, mais d'abord pour les 25 millions d'habitants du Mali. » Un « calvaire collectif » Le site panafricain Afrik.com renchérit avec cette tribune signée par un certain Lambda le Malien. « Mon pays va mal, s'exclame-t-il : le rêve malien devenu calvaire, le cri d'un peuple trahi ! (…) Ce qui devait être une ère de renouveau, née de la volonté populaire et de la promesse du changement, s'est transformé en un calvaire collectif. Le rêve malien s'effrite jour après jour, étouffé par la déviation des objectifs initiaux et par une gouvernance enfermée dans une logique exclusivement militaire. La reconstruction du Mali ne viendra ni des armes seules, ni des discours de propagande, affirme encore l'auteur de cette tribune. Elle viendra d'un retour à une gouvernance claire, transparente et humaine. Il faut un dialogue national inclusif, la restauration du pluralisme politique, et surtout, une vision économique et sociale qui place le citoyen au centre des objectifs du gouvernement. » Un pays « en mutation » ? Enfin, la presse officielle à Bamako tient un tout autre discours. Pour Sahel Tribune, « le Mali s'avance aujourd'hui sur le chemin de la refondation concrète. L'État assume son destin, renforce son outil d'innovation, restructure son économie et fait de la sécurité nationale un levier de développement. Les fractures sociales et territoriales demeurent, certes, mais elles ne sont plus vécues comme des fatalités. Elles deviennent les lignes de force d'un pays en mutation, où la diversité se mue en richesse et la difficulté, en école de résilience. Un pays debout, conclut Sahel Tribune, fidèle à sa mémoire, porté par sa jeunesse et soutenu par son armée. »
À la tête de l'un des plus puissants groupes agro-industriels du continent africain, Gregory Clerc, directeur général du Groupe Castel, est le grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur les grandes transformations d'un empire né en 1949 autour du vin, de la bière et de l'agroalimentaire. Il évoque :
À la tête de l'un des plus puissants groupes agro-industriels du continent africain, Gregory Clerc, directeur général du Groupe Castel, est le grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur les grandes transformations d'un empire né en 1949 autour du vin, de la bière et de l'agroalimentaire. Il évoque :
durée : 00:05:29 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Basée sur les données de 1 300 zoos, une nouvelle étude inédite par son ampleur confirme que chez les mammifères, les femelles vivent plus longtemps, tandis que chez les oiseaux ce sont les mâles. Une différence qui s'expliquerait d'abord par leurs chromosomes sexuels.
Dans cet épisode, Mario Ceccon, DRH du groupe GEODIS, partage la manière dont il ancre la transformation du management dans une culture de leadership concret et mesurable. Mario partage une conviction forte : c'est dans la pratique quotidienne des managers que se joue la transformation du management. Mario raconte comment Geodis a défini sept principes de leadership simples et universels, des repères partagés par tous, du siège aux filiales : être ambassadeur de la stratégie, privilégier l'intérêt commun, débattre, décider, s'aligner, communiquer dans les deux sens, être exemplaire, gérer les résultats. Des comportements observables, concrets, transmis dans toutes les langues et mesurés dans le temps.Pour faire vivre ces principes et poursuivre la transformation du management, Geodis a lancé le programme “Manage”, un parcours de 14 semaines destiné aux 6 000 managers du groupe. Chaque session traduit un principe en pratiques managériales réelles : gestion des conflits, feedback, alignement collectif, exemplarité au quotidien.Cette formation est soutenue par un dispositif de mesure inédit : un index de leadership, fondé sur la perception des collaborateurs, qui permet d'évaluer l'évolution du management année après année.Au fil de l'échange, Mario évoque aussi la confiance, la formation, la santé mentale et le plaisir de manager. Il rappelle que le management est un métier qui s'apprend, se cultive et se transforme avec le temps.Un épisode qui parle de rigueur, de cohérence et de sens. Et qui redonne foi dans la capacité d'un grand groupe à faire évoluer sa culture sans perdre son humanité.Un épisode de stratégie RH !
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
durée : 00:28:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Bartabas transpose sur scène son livre "Les Cantiques du Corbeau". Entre récits à la première personne et accompagnement musical par le gamelan balinais Pantcha Indra, l'artiste propose une expérience sensorielle, où les mots prennent le pas sur les chevaux. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Bartabas Écuyer, chorégraphe, metteur en scène, réalisateur et auteur, fondateur du Théâtre équestre Zingaro et de l'Académie équestre de Versailles
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les avoirs russes gelés, le blocus sur le carburant au Mali et un potentiel échange de prisonniers entre l'Iran et la France. Sénégal : Macky Sall prépare sa riposte juridique Accusé d'avoir dissimulé une partie de la dette publique durant son dernier mandat, l'ancien président sénégalais a mandaté un cabinet d'avocats français et sénégalais pour préparer sa défense. Pourquoi Macky Sall a-t-il choisi de faire appel à des avocats français, en plus de ses avocats sénégalais ? Quelle stratégie compte-t-il mettre en place ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Guerre en Ukraine : un prêt avec les avoirs russes gelés fait débat La Commission européenne souhaite accorder un prêt de 140 milliards d'euros à l'Ukraine en utilisant les avoirs russes gelés depuis le début de la guerre. Pourquoi la Belgique s'y oppose-t-elle ? Comment Kiev pourrait-il faire usage de ce prêt ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Mali : l'essence se fait rare Depuis plus d'un mois, les jihadistes du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans imposent un blocus sur les importations de carburant. Où en sont les pourparlers entre les autorités maliennes et le Jnim ? Quelles sont les exigences des jihadistes pour accepter la levée du blocus ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Iran -France : vers un échange de détenus ? La justice iranienne a condamné deux ressortissants français, dont l'identité n'a pas été révélée, à de lourdes peines pour «espionnage au profit du service de renseignement français». Ce verdict intervient alors que Paris et Téhéran négociaient en vue d'un échange de prisonniers. Qui seraient les détenus susceptibles d'être libérés ? Avec Clément Therme, chargé de cours à l'Université Paul-Valery de Montpellier. Auteur de l'ouvrage «Téhéran/Washington, 1979 – 2025 : Le grand satan à l'épreuve de la révolution islamique» (éditions Hémisphères).