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Dans une banlieue noire de Cincinnati, notre Obsevrateur raconte son face à face avec des militants néonazis et appelle à la tolérance. En Afghanistan, Wazir Khan fait classe à des enfants dans des zones reculées, qui n'ont pas accès à des infrastructures scolaires.
En Afghanistan. les droits des femmes se réduisent chaque jour un peu plus. Dernier épisode, la menace de fermeture qui pèse sur une radio destinée aux Afghanes. Les talibans ont débarqué mardi 4 février dans les locaux.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Christophe Lamarre ou Christophe Bordet scrutent et analysent la presse du jour.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Christophe Lamarre ou Christophe Bordet scrutent et analysent la presse du jour.
Lʹodyssée déjantée de trois jeunes reporters de guerre dans le chaos afghan peu après les attentats du 11 septembre 2001, tel est le synopsis de " Riverboom ", un reportage drôle et touchant. Au micro de Didier Bonvin, le réalisateur Claude Baechtold et le journaliste Serge Michel reviennent sur cette épopée à voir au cinéma.
En Afghanistan, même les notes de musique sont criminelles. Le chant des femmes et les instruments de musique y sont bannis. Résultat : la tradition musicale afghane, imprégnée de mystique et de nostalgie du divin, est en train de mourir. Christine Mo Costabella est allée à Genève à la rencontre de musiciens qui veulent maintenir vivant ce patrimoine de lʹhumanité. Photo : Le musicien Mathieu Clavel et lʹun de ses élèves lors d'un cours de musique afghane (Christine Mo Costabella, RTSreligion)
Au programme : Y a-t-il un espace politique pour Gérald Darmanin ? / Interdiction aux femmes de se parler : faut-il mettre l'Afghanistan des talibans au ban des nations ?
En 2022, un an après leur retour au pouvoir en Afghanistan, les Talibans ont interdit la culture du pavot dans tout le pays. C'est du bulbe d'une variété du pavot qu'on extrait l'opium, ensuite transformé en morphine et en héroïne pour alimenter le trafic mondial de stupéfiants. Et le pavot fait vivre des milliers de paysans pauvres en Afghanistan. Alors quand interdiction il y a, car ce n'est pas une première, beaucoup plongent dans la misère. Un tiers des Afghans se nourrissent avec du pain... et du thé. Dans cet épisode de Sur le Fil nous partons dans le sud de l'Afghanistan, au cœur de la plus grande région productrice de pavot au monde, le Helmand, à la rencontre de ces cultivateurs. Un reportage rare, réalisé sur le terrain par Pascale Trouillaud et Qubad Wali. Sur place, la situation est si dramatique que les experts s'interrogent sur les chances de réussite à long terme de cette interdiction qui pourrait affaiblir les talibans. Un podcast écrit et réalisé par Pierre Moutot.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Nous avons un service à vous demander : si vous avez aimé Sur la Terre, notre série sur la transition écologique, votez pour nous ! Un des épisodes de la série, est sélectionné pour un prix dans la catégorie Apprentissage au Paris Podcast Festival, et il concourt pour le prix du Public : c'est là que vous avez un rôle à jouer. Pour nous soutenir votez ici, cela prend que 30 secondes: il faut juste cocher la case #4 .Vous avez d'autres commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "Raconte-moi une OPEX", Céline, infirmière militaire, partage son parcours et son expérience, notamment sur son déploiement en Afghanistan en 2010. Engagée à 21 ans au sein du régiment médical en tant que brancardier secouriste, Céline a ensuite évolué vers la carrière d'infirmière diplômée d'État, tout en restant au service de l'armée, une vocation qui est née d'un désir de servir son pays après l'obtention de son baccalauréat.Lors de son déploiement en Afghanistan, Céline a été affectée à Kaboul, où elle s'est occupée des blessés militaires et civils, qu'ils soient français, afghans ou d'autres nationalités. Elle évoque les défis d'un hôpital militaire en période d'intenses attaques terroristes et décrit son adaptation à une culture totalement différente de celle de la France. Sur le terrain, elle a été confrontée à de nombreuses situations d'urgence, où elle a pris en charge des victimes de guerre, une expérience qui l'a profondément marquée.L'infirmière militaire revient aussi sur la gestion du stress post-traumatique (SPT), un syndrome qui l'a touché plusieurs années après son retour d'Afghanistan. Ce n'est que 10 ans après avoir quitté l'Afghanistan, lors de la prise de Kaboul par les talibans qu'elle regarde aux informations, que ses symptômes se sont intensifiés, révélant un stress post-traumatique non traité pendant des années. Ce retard dans la reconnaissance de sa blessure est un exemple de la difficulté qu'ont certains militaires à exprimer leurs souffrances psychologiques.Grâce à l'aide de l'ONaC-VG et d'associations comme les Gueules Cassées, Céline a pu obtenir une reconnaissance officielle de sa blessure de guerre et un accompagnement administratif essentiel. Elle insiste sur l'importance de ces structures pour aider les soldats blessés, notamment dans leurs démarches pour la pension d'invalidité militaire ou l'aide sociale. Grâce à eux, Céline a également pu faire reconnaître sa fille comme Pupille de la Nation, un symbole fort de reconnaissance pour les sacrifices réalisés par les militaires blessés.Aujourd'hui, Céline continue de bénéficier d'un suivi régulier, tant pour son stress post-traumatique que pour ses démarches administratives. Elle reste également en contact avec des associations de militaires, soulignant l'importance de la solidarité entre blessés. Cet épisode est aussi l'occasion d'insister sur l'importance de la prise en charge de la blessure post-traumatique, notamment en intégrant davantage de psychiatres dans les structures de soin des armées.Pour en savoir plus sur Office national des combattants et des victimes de guerre rendez-vous sur :La page FaceBook de l'ONaCVGLe compte Instagram de l'ONaCVGLe compte Linkedin de l'ONaCVGPour en savoir plus sur le service de santé des Armées, suivez ce lienUn résumé de l'opération Pamir en Afghanistan (2001-2014)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:23 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Mélissa Cornet a passé trois mois en Afghanistan où elle a rencontré des centaines de jeunes filles et de femmes. Elle raconte la dégradation de leurs conditions de vie depuis le retour des talibans au pouvoir, la perte de leurs droits et leur exclusion progressive des lieux publics. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Mélissa Cornet Chercheuse et documentariste, spécialiste des questions de genre
durée : 00:03:16 - Géopolitique - En Iran comme en Afghanistan, les femmes résistent au retour de la chape de plomb. Deux ans après la mort de Mahsa Amini pour un voile mal ajusté, le pouvoir iranien peine à reprendre le contrôle de la société. Le reste du monde ne doit pas oublier le mouvement « Femmes-Vie-Liberté ».
durée : 00:03:16 - Géopolitique - En Iran comme en Afghanistan, les femmes résistent au retour de la chape de plomb. Deux ans après la mort de Mahsa Amini pour un voile mal ajusté, le pouvoir iranien peine à reprendre le contrôle de la société. Le reste du monde ne doit pas oublier le mouvement « Femmes-Vie-Liberté ».
On savait les femmes afghanes menacées dans leurs droits par l'avènement des Taliban. Trois ans après leur retour au pouvoir à Kaboul, force est de constater que la réalité va parfois même au-delà de ce qu'on pouvait imaginer. Au point où l'ONU dénonce aujourd'hui un "apartheid de genre". Pour mieux comprendre où nous mène le pouvoir taliban à force d'asservissement des femmes, Chela Noori est l'invitée du "Monde dans tous ses États" aujourd'hui, présidente de l'association "afghanes de France".
En Afghanistan, les femmes n'ont désormais plus le droit de faire entendre leur voix en public. Trois ans après leur retour au pouvoir, les Taliban continuent peu à peu d'effacer, "au nom de l'islam", la moitié de leur population face au silence de l'autre. Jusqu'où iront-ils ? A quoi ressemble la vie aujourd'hui à Kaboul et ailleurs ? Y a-t-il une porte de sortie à cette prison ? On en parle avec Chékéba Hachemi et Eric Cheysson.
Le ministère afghan de la Justice a édicté une nouvelle loi qui muselle encore un peu plus les femmes. Désormais, les Afghanes ne doivent plus faire entendre leurs voix en public. Elles ne peuvent donc plus chanter, réciter une poésie ou même lire à voix haute si elles ne sont pas confinées dans un espace fermé. Trois ans après le retour au pouvoir du groupe taliban, elles ne sont plus que des ombres dans la société afghane. Cet apartheid de genre est condamné par des organisations comme Amnesty International mais n'existe pas encore en droit international.
Droit des femmes en Afghanistan… pourquoi ne faisons-nous pas de lien avec le port du voile? La CAQ veut remettre au goût du jour le vouvoiement. La rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau et Benoit Dutrizac.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:27 - Le monde est à nous - En Afghanistan, la situation des femmes ne cesse de se dégrader. Dernier exemple en date, le régime des Talibans vient de promulguer une loi de 114 pages qui impose de nouvelles restrictions très sévères aux femmes avec une palette de sanctions.
durée : 00:03:01 - Géopolitique - par : Antoine Malo - Il y a trois ans, jour pour jour, les talibans prenaient le pouvoir à Kaboul et leur bilan, sans grande surprise, est assez désastreux.
Enlevés par les talibans fin décembre 2009 en Afghanistan, les journalistes de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponnier, ainsi que leur interprète Reza, sont emmenés dans un cachot en pleine montagne. On les change plusieurs fois de lieu de détention. Détenus dans des conditions effroyables, ils tiennent le coup et comptent sur le gouvernement français pour négocier leur libération…
Enlevés par les talibans fin décembre 2009 en Afghanistan, les journalistes de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponnier, ainsi que leur interprète Reza, sont emmenés dans un cachot en pleine montagne. On les change plusieurs fois de lieu de détention. Détenus dans des conditions effroyables, ils tiennent le coup et comptent sur le gouvernement français pour négocier leur libération…
durée : 00:34:14 - Inside Kaboul - par : Caroline Gillet - Marwa lance les démarches pour s'installer en Allemagne et elle prend du recul sur son pays, ses traditions et son histoire. En Afghanistan, les talibans imposent aux femmes le voile intégral. Raha est de plus en plus désespérée, et va faire de nouveaux passeports pour tenter de partir.
durée : 00:12:29 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - La semaine dernière, le groupe terroriste Al-Qaïda, à travers son leader Seïf al-Adel, a lancé un appel au rassemblement en Afghanistan, considérant que le cadre offert par les talibans est idéal au développement de l'organisation du djihad islamique, pour se préparer à frapper l'Occident. - invités : Gilles Dorronsoro Politiste, professeur de science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne
Télécharger World of Tanks ➡️ : https://tanks.ly/4dWb5fUMerci à Laurent Bernat, ancien militaire du 3ème RPIMA, d'être venu dans le studio de LEGEND ! Il a fait des missions à Djibouti, au Kosovo, où il a vu des enfants se faire mutiler, et a été victime d'un attentat à la voiture piégée pendant une mission en Afghanistan qui lui a causé un post-trauma.Retrouvez la société de Laurent en conseil et formation ➡️: https://www.bernat-conseil-formation.com/Suivez Laurent sur son Instagram ➡️: https://www.instagram.com/laurent.bernat.off/?hl=frVous pouvez contacter Laurent à cette adresse ➡️: bernat-laurent@orange.frN'hésitez pas à suivre la fille de Laurent, Illiana, créatrice de contenus sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/ugc.illiana/?hl=frPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est réalisé dans le cadre de "Le Bruit qui Court - Campus" par les étudiantes de l'Université Clermont Auvergne.AFGHANISTAN - Muzghan, étudiante afghane arrivée en France en 2021, raconte à Alix son passé de basketteuse professionnelle en Afghanistan avant l'arrivée au pouvoir des Talibans. Dans un pays qui restreint considérablement la liberté des femmes, leur accès au sport constitue un enjeu primordial dans leur émancipation et leur construction personnelle.Muzghan a participé à des matchs nationaux et internationaux avec son équipe, en dépit d'une société traditionnelle qui assigne aux femmes des rôles stricts – et voit d'un mauvais œil leur pratique d'un sport. Elle évoque son expérience, les obstacles qu'elle a dû franchir, et les souvenirs qui lui sont chers.En 2021, les Talibans reprennent le pouvoir en Afghanistan, détruisant le peu de droits dont les femmes pouvaient jouir. Aujourd'hui elles sont traitées comme des prisonnières, privées de leur libre-arbitre, de leur parole et de leur éducation. Amnesty International parle d'une « guerre contre les femmes et les filles », une guerre contre leur émancipation, une guerre contre leurs loisirs.Le saviez-vous ? Les femmes afghanes aussi jouent au basket.En Afghanistan aussi la gronde des femmes monte. Tu l'entends ?Crédits : Création : Chloé R. Réalisation : Muzghan Hussaini et Alix CagnionProduction : La Gronde https://lagronde.com/index.php/le-bruit-qui-court-campus/ et le Service Université Culture de l'Université Clermont Auvergne.Dessin : Frédérique Rodrigues Graphisme : Anaïs DeditHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:59:58 - Olivier Weber, écrivain, grand reporter, diplomate - par : Priscille Lafitte - Inviter le grand reporter et ancien ambassadeur Olivier Weber à un portrait musical, c'est l'occasion d'évoquer des visages, des lieux, des musiques, des tragédies et des joies croisées aux quatre coins du monde… en Ukraine, en Iran, en Afghanistan, et au Proche-Orient. - réalisé par : Philippe Petit
D'après un rapport de plus de 50 pages de la Fondation Jean Jaurès et l'association equipop publié en début d'année 2023, le constat est sans appel. Les droits des femmes ont reculé un peu partout dans le monde dans le courant de l'année 2022. En Afghanistan, depuis la prise du pouvoir par les Talibans en 2021, les femmes ont été plus que malmenées. Depuis mars 2022, il est devenu le seul pays au monde où les femmes n'ont pas accès au collège, au lycée et à l'université. De la même manière, pour promouvoir leur vision de la vertu, les gymnases ont été fermés. Dans quels pays les droits des femmes ont-ils particulièrement reculé ? Peut-on faire le même constat dans les pays occidentaux ? Comment lutter contre le recul des droits des femmes en Europe ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que la précarité menstruelle ? A quoi servent les drones dans une guerre ? Qu'est-ce que le sexisme bienveillant ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 2 mai 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:26:39 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - La journaliste Caroline Gillet a recueilli pendant plus de deux ans le témoignage de Marwa et Raha, deux jeunes femmes afghanes en exil en France. Elle publie leurs paroles dans le podcast "Outside Kaboul".
Merci à Wargaming d'avoir sponsorisé cette interview, vous aurez accès à 7 jours premium et de nombreux autres avantages en cliquant sur ce lien ➡️ https://wo.ws/legendMerci à Trog, ancien soldat dans le renseignement militaire, spécialisé dans la guerre électronique, d'être venu chez LEGEND ! Il nous a parlé du Kosovo, mais également de l'Afghanistan, où il a été à trois reprises. Ses missions ont notamment permis de capturer un Taliban qui avait sur lui des lettres d'Oussama Ben Laden. Il a partagé avec nous ses souvenirs marquants de l'armée, qu'il a quitté en 2018 après 17 ans de service.Retrouvez Trog sur Instagram ➡️ https://www.instagram.com/trog_31Pour donner son sang ➡️ https://dondesang.efs.sante.frPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://www.snapchat.com/p/79feb744-104e-4e38-a441-0da77257333d/337862388963328 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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durée : 02:29:58 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Quatre jours après l'attaque du Hamas contre Israël, nous nous intéressons ce matin à la démocratie israélienne. Benjamin Netanyahou appelait lundi à former "un gouvernement d'union nationale d'urgence" espérant ainsi sortir d'une longue période de crise politique et de contestation populaire. - invités : Ilan Greilsammer Professeur de sciences politiques à l'université Bar-Ilan de Ramat Gan; Ran Halévi Historien, directeur de recherches au CNRS, il enseigne à l'EHESS et est directeur de collection chez Gallimard
durée : 00:11:13 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Alors que tous les yeux étaient tournés ce week-end vers le territoire israélo-palestinien, une catastrophe humanitaire s'est déroulée en Afghanistan, où un séisme a fait plus 2 400 morts et 9 000 blessés, dans l'ouest du pays. - invités : Sarah Château Responsable des opérations en Afghanistan pour Médecins sans frontières
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
(00:00:50) La guerre en Ukraine dure depuis bientôt une année et demi (00:04 :35) L'octroi de visas humanitaires pour les personnes afghanes reste faible en Suisse (00:11 :44) Un "apartheid des femmes" se dessine en Afghanistan: interview d'Hamida Aman
C'était l'une des rares bulles de liberté pour les femmes afghanes… Mardi, des milliers de salons de beauté ont dû définitivement fermer suite à un décret du régime taliban pris en juin. Une nouvelle étape dans l'exclusion pure et simple des femmes de la société. Pour nous en parler, Sur Le Fil a rencontré Negina Afzali, 28 ans, réfugiée afghane et ancienne salariée d'un salon de beauté et Margaux Benn, journaliste et co-réalisatrice du documentaire Comme tu es belle ! - Avoir 20 ans en pays taliban, sorti en 2023. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Ils comptaient parmi les derniers lieux autorisés aux femmes. Des milliers de salons de beauté doivent fermer définitivement ce mardi. Une ligne de plus dans la longue liste des interdits édictés par les talibans en Afghanistan.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Ils comptaient parmi les derniers lieux autorisés aux femmes. Des milliers de salons de beauté doivent fermer définitivement ce mardi. Une ligne de plus dans la longue liste des interdits édictés par les talibans en Afghanistan.
durée : 00:15:23 - Journal de 8 h - Elles se sont indignées de la dernière et énième atteinte à leur liberté par le régime taliban. Après leur exclusion des universités, des écoles et des ONG étrangères, elles n'auront désormais plus le droit de se rendre dans les salons de beauté.
durée : 00:04:07 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Plus de vingt ans après avoir dynamité les bouddhas de Bamiyan, les talibans veulent aujourd'hui faire du site un produit d'appel pour le retour des touristes en Afghanistan
durée : 00:04:07 - Le monde d'après - par : Jean Marc FOUR - Plus de vingt ans après avoir dynamité les bouddhas de Bamiyan, les talibans veulent aujourd'hui faire du site un produit d'appel pour le retour des touristes en Afghanistan
(00:48) Mag Hongarije volgend jaar wel voorzitter worden van de EU? Het Europees Parlement stemt morgen over een resolutie om het aanstaande Hongaarse voorzitterschap van de EU te blokkeren. Nooit eerder werd zo'n poging gedaan. Met Midden-Europa-correspondent Tijn Sadée bespreken we deze bijzondere stemming. (09:48) Waterruzie Iran en Afghanistan zorgt voor dodelijke slachtoffers Wat begon met een woordenwisseling over het gebruik van water uit een grensrivier, is uitgegroeid tot dodelijke gevechten tussen Iraanse grenswachten en Afghaanse Talibanstrijders. In de jaren zeventig werden al afspraken gemaakt over de verdeling van het water uit deze belangrijke rivier, maar toenemende droogte zet die deal weer op scherp. Te gast is historicus en Iran-deskundige Peyman Jafari over de explosieve situatie in de grensstreek. (19:36) Uitgelicht: China Waarom scheren steeds meer Chinese vrouwen hun hoofd kaal? Redacteur Ruth van der Kolk duidt deze nieuwe trend.
D'après un rapport de plus de 50 pages de la Fondation Jean Jaurès et l'association equipop publié en début d'année 2023, le constat est sans appel. Les droits des femmes ont reculé un peu partout dans le monde dans le courant de l'année 2022. En Afghanistan, depuis la prise du pouvoir par les Talibans en 2021, les femmes ont été plus que malmenées. Depuis mars 2022, il est devenu le seul pays au monde où les femmes n'ont pas accès au collège, au lycée et à l'université. De la même manière, pour promouvoir leur vision de la vertu, les gymnases ont été fermés. Dans quels pays les droits des femmes ont-ils particulièrement reculé ? Peut-on faire le même constat dans les pays occidentaux ? Comment lutter contre le recul des droits des femmes en Europe ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que le syndrome du grand coquelicot, qui discrimine les femmes au travail ? Sexisme : comment internet creuse-t-il les inégalités hommes femmes ? Pourquoi considère-t-on les femmes comme une minorité, alors qu'elles sont plus nombreuses sur Terre ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Chaque jour, des journalistes, correspondants, spécialistes de différents pays ou experts dans leur domaine viennent vous répondre en direct à toutes les questions que vous vous posez sur l'actualité. Allemagne - Tchad : quel avenir pour leurs relations diplomatiques ? En réaction au renvoi de son ambassadeur, l'Allemagne a exigé l'expulsion de l'ambassadrice du Tchad. Est-ce que cela signifie la fin des relations diplomatiques entre les deux pays ? Cette affaire peut-elle avoir des conséquences sur les relations entre l'Union européenne et le Tchad ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. RDC : vers un renouvellement du mandat de l'EAC Kinshasa négocie avec la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC) pour obtenir le renouvellement du mandat de la force militaire régionale pour trois mois en attendant le retrait des rebelles du M23. Pourquoi se contenter d'un renouvellement de seulement trois mois ? Ce renouvellement pourrait-il s'accompagner d'une nouvelle stratégie pour un retrait effectif des rebelles ? Avec Paulina Zidi, journaliste au service Afrique de RFI. Afghanistan : le sort des femmes constamment menacé par le régime Les talibans ont interdit aux femmes afghanes de travailler pour l'ONU. Pourquoi une telle décision ? Pourquoi les femmes sont-elles autant ciblées par les Talibans ? Avec Mélissa Cornet, chercheuse spécialisée des droits des femmes en Afghanistan. Basket : les initiatives de la NBA en Afrique Le Sénégal a accueilli la première édition du NBA Academy Showcase sur le continent africain. Concrètement, quelles actions la Ligue de basket nord-américaine mène-t-elle sur le continent africain ? Avec Antoine Grognet, journaliste au service des sports de RFI.
Dans ce nouvel épisode dans le viseur, Ryan Noordally, sergent dans la Royal Artillery britannique, raconte une attaque qu'il a subie lors de son déploiement en Afghanistan en 2012, au sein de l'opération Herrick.
EXPERTS Pascal BONIFACE Directeur de l'IRIS (Institut de Relations Internationales et Stratégiques) Agnès LEVALLOIS Consultante spécialiste du Moyen-Orient - Maître de recherche à la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS) Delphine MINOUI Grand reporter spécialiste du monde iranien - « Le Figaro » - Auteure de « Je vous écris de Téhéran » David RIGOULET-ROZE Politologue - Rédacteur en chef de la revue « Orients stratégiques » - Auteur de « La république islamique d'Iran en crise systémique » Mohsen Shekari, Majid Reza Rahnavard, Mohammad Mehdi Karami, Sayed Mohammad Hosseini. Ce sont les noms des quatre Iraniens exécutés dans le cadre de leur participation au vaste mouvement de contestation provoqué par la mort de Mahsa Amini, le 16 septembre dernier. La jeune femme était décédée après son arrestation par la police des mœurs. Au moins 80 personnes risquent de subir le même sort. Condamnés à la peine capitale après des "simulacres de procès", qui s'appuient bien souvent sur "des aveux obtenus sous torture et des preuves frauduleuses", ils sont donc menacés d'être prochainement exécutés d'après Amnesty International. "Un nombre par ailleurs vraisemblablement sous-estimé alors que des milliers de personnes ont été emprisonnées depuis le début des manifestations", déplorait mi-décembre la responsable du programme Libertés à Amnesty France. Cette campagne de terreur pourrait pourtant être contre-productive pour le pouvoir iranien en galvanisant la colère des manifestants. Cette politique sanglante suscite la douleur au sein des familles des condamnés et l'indignation de la communauté internationale. Mais elle ne se limite pas au mouvement de révolte en cours. Téhéran a en effet annoncé ce matin l'exécution d'un binational Irano-Britannique pour espionnage. Alireza Akbari avait été condamné pour « atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays ». Londres, par la voix de son ministre britannique des Affaires étrangères James Cleverly, a dénoncé un « acte barbare » qui « ne restera pas sans réponse ». Téhéran détient actuellement plusieurs prisonniers français également accusés d'espionnage. Leur situation est préoccupante. Au-delà de la répression en interne, le régime iranien représente de nombreuses menaces à l'échelle internationale. Et ce, en raison de son positionnement stratégique et du choix de ses alliés. Son lien avec la Russie s'est renforcé ces derniers mois. Téhéran fournit actuellement à Moscou des drones kamikazes Shahed-136 qui font des ravages dans la guerre en Ukraine. Le pays poursuit également son enrichissement d'uranium depuis le retrait unilatéral américain de l'accord sur le nucléaire. En Asie, un autre régime s'enfonce lui aussi dans l'obscurantisme. Il s'agit de celui des talibans, en Afghanistan. Dans le pays les droits des citoyens, et tout premier lieu ceux des femmes, sont réduits à portion congrue, au nom des principes de la loi islamique. Pourtant, le régime est confronté à l'opposition d'un groupe islamiste concurrent : l'organisation Etat islamique. Cette dernière a revendiqué une attaque perpétrée mercredi contre le ministère des affaires étrangères afghan. Le pays, privé de nombreuses aides internationales depuis le retour au pouvoir des talibans à l'été 2021, s'enfonce dans la violence et le chaos. De nouvelles exécutions vont-elles avoir lieu en Iran ? Jusqu'où peut aller l'hostilité du régime aux Occidentaux ? En Afghanistan, le régime des talibans pourra-t-il tenir ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les jours, les journalistes et correspondants de RFI ainsi que des spécialistes répondent à vos questions sur l'actualité. Ce matin : France : suite à l'assassinat de trois Kurdes à Paris, risque-t-il d'y avoir des tensions entre les communautés turques et kurdes ? Par Baptiste Coulon, journaliste au service France de RFI. Afghanistan : quel impact de l'interdiction faite aux ONG d'employer des femmes ? Par Melissa Cornet, conseillère en plaidoyer humanitaire pour Care Afghanistan. Conflit russo-ukrainien : quel rôle des deux Corées ? Par Juliette Morillot, journaliste spécialiste de la péninsule coréenne, autrice de La Corée du Sud en 100 questions : La tyrannie de l'excellence, éditions Tallandier, avril 2022. Cameroun : quelles suites à la décision d'André Onana de ne plus être le gardien de l'équipe camerounaise ? Par Sarah-Lou Bakouche, journaliste au service des sports de RFI. * Par téléphone : de France : 09 693 693 70 de l'étranger : 33 9 693 693 70 * Par WhatsApp : +33 6 89 28 53 64 N'OUBLIEZ PAS DE NOUS COMMUNIQUER VOTRE NUMÉRO DE TÉLÉPHONE (avec l'indicatif pays). Pour nous suivre : * Facebook : Rfi appels sur l'actualité * Twitter : @AppelsActu
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'oppression des femmes par les Talibans ne cesse de s'amplifier. Et ça ne devrait pas nous surprendre.
En Afghanistan, les autorités ont annoncé mardi 20 décembre que les universités afghanes étaient interdites aux femmes. Depuis que les talibans ont pris le pouvoir, les filles sont privées d'enseignement secondaire. Les facultés publiques et privées du pays ont été informées par un courrier du ministre de l'Enseignement supérieur. Aucune explication n'a été fournie par le régime taliban pour justifier cette décision, qui entre en vigueur jusqu'à nouvel ordre. « Si nous sommes tous admis, nous entrerons. Si ce n'est pas le cas, aucun de nous ne participera aux cours. » C'est le slogan scandé par au moins une centaine d'étudiantes et d'étudiants solidaires, devant l'université de médecine de Jalalabad, dans l'est de l'Afghanistan, suite à la décision du régime. Auparavant, les universités leur étaient toujours accessibles à la condition que femmes et hommes soient séparés dans les classes et que seules des personnes âgées enseignent aux étudiantes. À Kaboul, des étudiantes qui se sont présentées aux portes de leurs facultés en ont été chassées à coup de crosse par les talibans. Un enseignant d'une faculté de médecine a accepté de se confier sous couvert d'anonymat. Mardi 20 décembre, aucune étudiante n'a été autorisée à pénétrer dans l'établissement. « La plupart de nos collègues féminines ont éclaté en sanglot, raconte-t-il. Pour être honnête, je suis aussi très triste. Je ne peux même pas expliquer ce que je ressens. Si nous continuons comme ça, je suis sûr que nous nous dirigeons vers l'obscurité. Le monde nous a abandonné au milieu de nulle part. » ► À lire aussi : Afghanistan : l'accès aux universités interdit aux femmes, « une étape supplémentaire de durcissement » « J'ai peur de l'avenir » À Kaboul, Rabia, étudiante en quatrième année de journalisme, est restée chez elle toute la journée, impuissante et désemparée. « Je n'ai pas peur des difficultés auxquelles nous sommes confrontées, mais j'ai peur de l'avenir, car je n'ai aucun contrôle là-dessus, confie-t-elle. Parce que ce sont d'autres personnes qui décident pour moi. Pourquoi : parce que je suis une fille. » Pour Leila, étudiante à Herat dans l'ouest du pays, la désillusion est à son paroxysme. « Ils mettent en place les mêmes restrictions que lors de leur précédent régime, explique-t-elle. La seule différence, c'est que cette fois-ci, ils le font de façon progressive et pas en une seule fois. Nous y avons cru, nous étions pleines d'espoir et nous étions confiantes. On pensait que les talibans avaient changé et qu'ils n'imposeraient pas de restrictions aux femmes cette fois-ci. » La jeune femme âgée de 23 ans refuse de se déclarer vaincue. Elle va poursuivre ses études à domicile, assure-t-elle, et se promet de ne jamais baisser les bras. ► À lire aussi : Afghanistan : première exécution publique officielle depuis le retour des talibans