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durée : 00:03:42 - Une semaine dans leurs vies - "Une semaine dans leurs vies" avec Sylvie Gibel, secrétaire de mairie du Gers qui a obtenu en décembre une loi votée à l'unanimité pour revaloriser un métier méconnu mais indispensable au fonctionnement des petites communes. - invités : Laurence Peuron, Stéphane Ronxin - Laurence Peuron : Journaliste au service politique de France Inter, Stéphane Ronxin : Réalisateur - réalisé par : Stéphane Ronxin Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:02 - Une semaine dans leurs vies - "Une semaine dans leurs vies" avec Sylvie Gibel, secrétaire de mairie du Gers qui a obtenu en décembre une loi votée à l'unanimité pour revaloriser un métier méconnu mais indispensable au fonctionnement des petites communes. - invités : Laurence Peuron, Stéphane Ronxin - Laurence Peuron : Journaliste au service politique de France Inter, Stéphane Ronxin : Réalisateur - réalisé par : Stéphane Ronxin Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le garde des Sceaux, Gérald Darmanin souhaite une grande réforme du Code pénal, le but ? Simplifier les peines. Et le calendrier est déjà très clair, fin juillet, il remettra sa copie à François Bayrou et à Emmanuel Macron. En septembre il sera « prêt » pour un examen du texte au Parlement avant un vote possible en janvier. Le garde des sceaux envisage notamment d'étendre à de nouvelles situations la procédure de plaider-coupable. Quel regard portent les magistrats sur ce projet de réforme ? Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Vincent Derosier du 29 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:18 - Une semaine dans leurs vies - "Une semaine dans leurs vies" avec Sylvie Gibel, secrétaire de mairie du Gers qui a obtenu en décembre une loi votée à l'unanimité pour revaloriser un métier méconnu mais indispensable au fonctionnement des petites communes. - invités : Laurence Peuron, Stéphane Ronxin - Laurence Peuron : Journaliste au service politique de France Inter, Stéphane Ronxin : Réalisateur Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:07:00 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Tout l'été, nous explorons le nouveau paysage des musiques populaires en France. Aujourd'hui, une artiste française au sommet du courant hyperpop - c'est-à-dire underground partout dans le monde. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:09 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Juliette se demande pourquoi on parle de "problèmes" en maths ? Etienne Ghys, professeur de mathématiques et Académicien des sciences, reconnaît que ce terme peut susciter une forme d'anxiété chez les élèves, associant les maths à une difficulté. Mais tout est une question d'approche ! - invités : Etienne Ghys - Etienne Ghys : Mathématicien, professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Lyon, Secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une pétition contre la loi Duplomb, bat tous les records, elle a franchi dimanche la barre du million de signatures sur le site de l'Assemblée nationale. Cette loi prévoit notamment la réintroduction à titre dérogatoire d'un pesticide de la famille des néonicotinoïdes. Pesticide interdit en France depuis 2018, mais autorisé en Europe jusqu'en 2033. Il est réclamé par les producteurs de betteraves ou de noisettes, qui estiment n'avoir aucune alternative contre les ravageurs et subir une concurrence déloyale face aux agriculteurs européens. Depuis son exploitation de betteraves et de céréales dans la Somme, Fabien Hamot, agriculteur et Secrétaire Général de la Confédération générale des plante Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Stéphane Carpentier du 22 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sébastien Nicolas, Secrétaire Général FO-Direction - Arnaud Benedetti, Fondateur du comité de soutien de Boualem Sansal Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Sébastien Nicolas, Secrétaire Général FO-Direction Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:48 - Les Grandes Traversées - Qu'a fait Churchill dans l'entre-deux-guerres ? Secrétaire d'État aux colonies puis Chancelier de l'Échiquier, l'homme devient politique. Il reste historien, écrit "The World Crisis" et se méfie de l'ombre fasciste qui avance sur l'Europe. Soldat né, Churchill était déjà, durant la Première Guerre mondiale, Premier Lord de l'Amirauté. Après son renvoi faisant suite au désastre des Dardanelles, le militaire s'impose en homme politique durant l'entre-deux-guerres en préparant la défense de l'Angleterre contre la montée du nazisme. Dans cet épisode, la visite des War Rooms de Londres, qui abritaient les états-majors ainsi que le cabinet de guerre du gouvernement britannique durant la Seconde Guerre mondiale, anime le récit d'un Churchill chef de guerre, symbole d'espoir avant la victoire. Lui collent à la peau son mauvais caractère, mais surtout son courage, aujourd'hui consacré. L'homme de la plus belle heure "Le Herr Hitler a prétendu qu'il pouvait tordre le cou de l'Angleterre comme le cou d'un poulet". Et Churchill montre son cou, qui est un cou de taureau, comme ça, et dit, "hein, quel cou !" Et puis, il se montre lui-même et il dit, "quel poulet" !" L'écrivain Jean Blot relate la prestance, et les indéniables qualités oratoires de Winston Churchill. Nul doute à ses yeux que l'homme a sauvé l'humanité et marqué les générations qui l'ont côtoyé. "C'est aussi l'homme qui a formulé de la façon la plus belle et la plus définitive ce qu'il a d'ailleurs lui-même, je crois, appelé "their finest hour", c'est-à-dire l'heure la plus belle où vraiment l'espoir de l'humanité s'est trouvé concentré sur cette petite île qu'est l'Angleterre." Belliqueux plutôt que belliciste L'historien et biographe du "vieux lion" François Kersaudy écarte l'idée que Churchill aurait été un va-t-en-guerre : "Churchill, c'est un belliqueux quand la guerre est déclarée, mais ça n'est pas un belliciste. C'est-à-dire que c'est quelqu'un qui va faire de son mieux, avant les deux guerres d'ailleurs, pour éviter que la guerre ne se déclare. Mais alors, une fois qu'elle est déclarée, alors là, il devient effectivement belliqueux." N'étant pas passé par l'état-major faute d'y avoir été accepté, Churchill n'a pas reçu de formation en stratégie militaire. Il prend pourtant les devants et s'improvise stratège, tout en évitant les dérives autoritaires, raconte encore François Kersaudy. "Comme ce n'est pas Staline, comme ce n'est pas Hitler, comme ce n'est pas un dictateur, lorsqu'il a des idées stratégiques un petit peu farfelues ou diplomatiques, du reste, il y a autour de lui des gens dévoués, pondérés, des vrais professionnels, eux, qui le retiennent par les basques et qui lui indiquent assez clairement ce qu'il peut faire et ce qu'il ne peut pas faire."
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Depuis le début de l'année, les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie ne cessent de se dégrader. Derrière cette crise diplomatique officielle, se cache aussi une guerre secrète : celle des espions. Mais ces coups tordus ou petits arrangements entre services de renseignements ne datent pas d'hier. De la guerre d'Algérie à aujourd'hui, les affaires d'espionnage éclairent aussi la relation ambivalente entre ces deux pays. Dans ce dernier épisode, Etienne Girard et Alexandra Saviana, du service Société de L'Express, analysent les batailles secrètes derrière la crise actuelle. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture et montage : Solène AlifatRéalisation : Jules KrotCrédits : INA, TV5 Monde, France 24, Nouvel Obs Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez le rôle du Secrétariat Général de l'ONU !
durée : 00:20:44 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, est l'invitée du Grand entretien, jeudi 17 juillet, deux jours après les annonces de François Bayrou sur le budget pour 2026. Un programme que "le monde du travail ne peut pas accepter tel qu'il a été présenté", selon elle. - invités : Marylise Léon - Marylise Léon : Secrétaire générale de la CFDT Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:20:44 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, est l'invitée du Grand entretien, jeudi 17 juillet, deux jours après les annonces de François Bayrou sur le budget pour 2026. Un programme que "le monde du travail ne peut pas accepter tel qu'il a été présenté", selon elle. - invités : Marylise Léon - Marylise Léon : Secrétaire générale de la CFDT Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tout au long de l'été, on vous propose de (re) découvrir les épisodes les plus marquants de Trench Tech.Dans cet épisode, nous plongeons dans les dynamiques complexes de la souveraineté et de l'autonomie technologiques. Tariq Krim, une figure emblématique du monde de la tech, partage son point de vue singulier sur le futur de l'iA et de la tech et sur l'importance de garder le contrôle sur nos créations technologiques. Nous discutons des défis et des opportunités pour atteindre l'autonomie cognitive, du rôle des ingénieurs dans l'innovation, et des implications géopolitiques de la souveraineté technologique. Écoutez pour comprendre comment ces thèmes façonnent l'avenir de la technologie et son impact sur la société.
L'émission 28 minutes du 17/07/2025 Au programme de l'émission 28 minutes :Sources de fantasmes alimentés par la fiction, à la croisée du passé, du présent et du futur, les sociétés secrètes fascinent depuis des siècles. L'historien Pierre-Yves Beaurepaire en a fait un de ses domaines de prédilection, et vient de publier chez Tallandier “Les sociétés secrètes. Des Rose-Croix aux Anonymous”. Le 12 juillet, Donald Trump a annoncé sur son réseau Truth Social la hausse des droits de douane de 30% pour les produits en provenance de l'Union européenne. Cette annonce a suscité de vives réactions en Europe, où des secteurs essentiels de l'économie, comme les filières vinicole, automobile et de la santé, pourraient être touchés durement. Face à cette mesure, faut-il hausser le ton ou faire profil bas pour échapper à de nouvelles foudres ? L'Europe est-elle capable d'opposer un front uni aux États-Unis ?On en débat avec Jean-Luc Demarty, ancien directeur général du commerce à la Commission européenne (2011-2019), Elvire Fabry, chercheur senior en géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors, et Shahin Vallée, économiste, chercheur associé au Conseil allemand pour les Affaires étrangères (DGAP).Puis, Victor Dekyvère nous emmène dans la Rome antique, quand le sexe protégeait des mauvais sorts. Enfin, Théophile Cossa nous explique le fonctionnement des prisons de haute sécurité, et Marjorie Adelson nous parle des ambitions dignes de Jurassic Park du réalisateur Peter Jackson : recréer un oiseau disparu depuis six siècles. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 17 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Parmi ses propositions avancées mardi 16 juillet pour réaliser des économies, François Bayrou veut "lever les obstacles qui tiennent pour beaucoup les Français éloignés du travail". Le Premier ministre souhaite proposer de "nouvelles négociations aux partenaires sociaux", une sur "l'assurance chômage", une autre sur "le droit du travail". Les syndicats sont-ils prêts à se remettre autour de la table après le conclave ? Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT est l'invitée de Stéphane Carpentier. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous venez de voir le film de James Gunn et vous avez envie de savoir quoi lire pour continuer les aventures de l'homme d'acier ? Ou peut-être avez-vous simplement envie de découvrir les comics essentiels pour comprendre l'univers du plus grand héros de DC Comics ?Alors cet épisode de ComicsDiscovery, votre podcast favori sur la bande dessinée américaine, est fait pour vous.On présente trois récits qui capturent parfaitement l'essence du personnage de Superman. De deux petits juifs à la plus grande icône de la pop cultureSuperman est la création de Jerry Siegel et Joe Shuster. Dans les années 30, ces deux jeunes juifs américains ont compris que le monde avait besoin d'un symbole du bien, un parangon de justice qui incarnerait le meilleur de l'humanité. Dans cet épisode, Spades, notre spécialiste historique, revient sur le contexte de création du personnage. Il explique comment Superman est passé des pages des comic strips à l'icône mondiale qu'il incarne aujourd'hui.Il n'oublie pas non plus l'aspect politique du personnage : malgré ce que certains pourraient croire, Superman a toujours combattu le racisme et interrogé ses lecteurs sur ce que l'humanité devrait être.
Santa a volé sur son piano magique, Rilès a fait jumper la grande scène, on a dansé à la Noche, Roland Cristal a conjugué techno, situationnisme et goût du 1000ème degré, sans parler de Meute, une des meilleures choses qui soient arrivées à la techno allemande et nous on s'est bien marré avec l'attachant Max Baby... Dernier jour, déjà, des Nuits Secrètes, toujours sous le soleil radieux du Nord. Damso, bien sûr très attendu, quelques semaines après la sortie de son dernier album, lui qui a vendu en 1h ou 2, ses 2 Défense Arena en mai 2026 et qui vient d'ajouter une nouvelle date... Ce soir on retrouve Myd qu'on suit depuis plusieurs dates déjà, pareil pour Miki. Sur le plateau de Tsugi Radio au Foin Fecret, on va accueillir une des meilleures nouvelles du rock anglais, Fat Dog, la productrice DeLaurentis qui mêle couleurs et sons, et pour commencer, celui qui connait la gamme vaudou sur le bout des doigts, Peter Solo, de Vaudou Game.
durée : 00:58:48 - Les Grandes Traversées - par : Pierre Assouline - Qu'a fait Churchill dans l'entre-deux-guerres ? Secrétaire d'État aux colonies puis Chancelier de l'Échiquier, l'homme devient politique. Il reste historien, écrit "The World Crisis" et se méfie de l'ombre qui avance sur l'Europe. - réalisation : Yvon Croizier
Il n'y a pas à dire, un festival c'est assez magique. Surtout quand on arrive avant l'ouverture comme ce fut notre cas hier… voir les campeurs sortir du train, s'installer, et enfin donner vie à ce site, ça n'a pas de prix. Quelle belle aventure depuis 2002 que ce festival qui offre au public de ce coin de campagne, aux portes de l'Avesnois dans le département du Nord, une programmation audacieuse qui n'oublie pas d'être aussi rassembleuse. Zaho de Sagazan, Kompromat, Jan Verstraeten… on bien dansé, souri, pleuré, crié hier soir dans cet Eden des Nuits Secrètes ! Aujourd'hui, Tsugi Radio est au milieu des bottes de paille, sous une boule à facettes, comme il se doit, on s'est installé sur un espace baptisé le Foin Fecret. On va recevoir Meute, les Allemands qui nous ont réconcilié avec la fanfare à coups de grosses montées techno, la reine du Shatta, la Martiniquaise Maureen dont Lison Berguer a pu enregistrer quelques titres du live hier, la découverte lilloise, Omar EK, un garçon qui emmène les sons gnawa sur un dancefloor new wave. Mais la marque de fabrique de ces petits cachotiers des Nuits Secrètes, c'est bien sûr, les parcours secrets. On embarque dans un bus, destination mystère pour aller découvrir des trésors cachés de la région, et des artistes coups de cœur du festival. Aujourd'hui c'est à la Grange de la Tête Noire que nous avons découvert le rock de Max Baby.
Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la journaliste Emmanuelle Jary. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle dévoile en partie son adresse secrète.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Othmane Nasrou, secrétaire général des Républicains répond aux questions de Romain Desarbres au sujet de l'entrisme islamiste.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:39 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - La proposition de loi visant à "lever les contraintes à l'exercice du métier d'agriculteur", dite "loi Duplomb", a été adoptée par le Sénat le 2 juillet dernier. Le vote ultime a lieu cet après-midi, jeudi 8 juillet, à l'Assemblée nationale. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Philippe Heusèle Secrétaire général de l'AGPB, l'Association générale des producteurs de blé; Christian Huyghe Ex-directeur scientifique agriculture à l'Inrae
durée : 02:00:25 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Eric d'Ortenzio Médecin et épidémiologiste, ANRS-Maladies infectieuses émergentes/Inserm; Philippe Heusèle Secrétaire général de l'AGPB, l'Association générale des producteurs de blé; Radu Jude Cinéaste et scénariste roumain
L'histoire des sociétés secrètes modernes commence dans l'Allemagne du début du XVIIe siècle avec la circulation de manifestes mystérieux qui annoncent l'existence d'une confrérie invisible aux pouvoirs prodigieux. Ses membres affirment être en mesure de sauver l'Europe d'une destruction imminente. Cette révélation se répand comme une traînée de poudre : c'est la « révolution Rose-Croix » qui embrase en quelques années le continent tout entier. Depuis quatre siècles, l'intérêt pour ces confréries n'a jamais faibli et l'emblématique phénix renaît sans cesse de ses cendres.Des premiers Rose-Croix aux actuels Anonymous, en passant par les Francs-maçons, les Illuminati, les Carbonari, les sinistres membres du Ku Klux Klan, la Loge P2 ou QAnon, tous se revendiquent maîtres des secrets. Pierre-Yves Beaurepaire, spécialiste de l'histoire de la franc-maçonnerie, nous raconte ce monde où les limites entre réalité et fiction s'estompent en une source intarissable d'intrigues, de scénarios improbables ou de fake news.L'auteur, l'historien Pierre-Yves Beaurepaire, est avec nous en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le chef de l'État camerounais, Paul Biya, sera-t-il candidat à sa succession lors de la présidentielle du mois d'octobre prochain ? « C'est du 50/50 », répond ce lundi sur RFI le ministre camerounais de la Communication, René-Emmanuel Sadi. Dans cette interview, le porte-parole du gouvernement camerounais réagit également à la démission récente de ses deux collègues, Bello Bouba Maïgari et Issa Tchiroma Bakary, et à l'annonce de leur candidature à la présidentielle à venir. « Au parti RDPC au pouvoir, les rangs sont en train de se resserrer », déclare-t-il. En ligne de Yaoundé, le ministre de la Communication et Porte-parole du gouvernement répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Les départs annoncés des ministres Bello Bouba Maigari et Issa Tchiroma Bakary de votre gouvernement, est-ce que ce n'est pas un coup dur à trois mois de l'élection présidentielle ? René-Emmanuel Sadi : Des alliés qui partent et non des moindres, effectivement, on peut forcément le regretter. Pour autant, nous ne croyons pas qu'il faille faire tout un drame de ces démissions de quelques membres du gouvernement, en l'occurrence des ministres appartenant au FSNC et à l'UNDP. Je le dis parce que le Cameroun est un pays de liberté et de démocratie et ceci est un acquis irréversible que nous devons incontestablement à l'engagement du président Paul Biya. Le RDPC, quant à lui, en prend forcément acte et le RDPC, fort de ses nombreux atouts et de son maillage territorial, reste debout et serein. C'est vrai que la concurrence sera sans doute un peu plus forte puisque nous avons perdu des alliés, mais le RDPC va s'organiser, les rangs sont en train de se resserrer et il est quasiment certain, de mon point de vue, que nous allons préserver cette position dominante que nous avons non seulement sur l'ensemble du pays, mais particulièrement dans la zone du septentrion. Enfin, pour ce qui est de la prétendue absence au sommet de l'État, il n'en est rien. Le président de la République conduit bel et bien les affaires de la République dans un style qui lui est propre, fait de discrétion et d'efficacité, sans tapage. Alors en effet, c'est Issa Tchiroma Bakary qui a parlé de l'absence de Paul Biya en tant que président de la République. Il a expliqué que, lors des réunions, le président ne s'exprimait plus, qu'il était absent et qu'il ne gouvernait plus. Qu'est-ce que vous répondez à cela ? Je pense que cette absence est une absence apparente. Cette absence apparente n'enlève rien à l'efficacité de l'homme et n'enlève rien à sa connaissance parfaite des dossiers. Il suit au quotidien tout ce qui se passe. Il est certainement l'homme le plus informé. Mais quand on a 92 ans, est-ce qu'il n'est pas normal qu'on ait quelquefois quelques absences ? Justement, à 92 ans, c'est un énorme mérite que de continuer à gouverner son pays. C'est un énorme mérite que de s'intéresser aux affaires de l'État, de suivre les dossiers. Je pense que la chance qu'on a, c'est que le président, à cet âge, a une mémoire phénoménale. C'est vrai, l'âge est là, il est important. Mais évidemment, quand on peut, malgré cet âge, continuer à suivre ses dossiers, c'est aussi un grand mérite qu'il faut saluer. Est-ce que le Secrétaire général de la Présidence Ferdinand Ngoh Ngoh n'est pas quelquefois le vrai patron du pays, quand le président n'est pas en mesure de gouverner à chaque heure de la journée ? Non, non, je ne dirai pas la même chose. Le Secrétaire général de la Présidence peut donc, en tant que collaborateur le plus proche du président de la République, le connaissant, il peut anticiper. Je peux vous dire qu'il est tenu de rendre compte et, s'il a anticipé que la décision qu'il a eu à prendre n'est pas celle qui convenait, le chef de l'État est en mesure d'apporter les corrections nécessaires et, évidemment, il s'exécute dans ce sens-là. Alors, à trois mois de la présidentielle, tous les grands partis ont investi leur candidat, ou du moins ont annoncé qui sera leur candidat. Tous sauf le RDPC au pouvoir. Pourquoi ? Tout simplement parce que le RDPC connaît les dispositions de la loi. Nous avons encore suffisamment de temps pour que le RDPC se prononce et donc nous attendons dans les meilleurs délais possibles sous la conduite de son président national, le président Paul Biya. Nous entendons nous décider dans ce sens-là. Le chef de l'État lui-même a laissé entendre que, le moment venu, il dirait à ses militants s'il est candidat ou non. Quand Paul Biya s'exprimera, est-ce que vous êtes certain qu'il dira : « Oui, je suis candidat ? » ou est-ce qu'il y a une hypothèse où il pourrait dire : « Eh bien, non, je ne serai pas candidat, ce sera quelqu'un d'autre » ? Je ne suis pas un devin, pour vous dire. Il se prononcera en son âme et conscience. Et c'est un homme d'une très grande clairvoyance, d'une très grande sagesse. Il saura dire à ses compatriotes la position qui sera la sienne. Mais pour dire les choses familièrement, à votre avis, c'est du 50/50, ou il y a plus de chances qu'il dise oui ou qu'il dise non ? C'est du 50/50. Forcément, puisqu'il l'a dit, qu'il se prononcera le moment venu. Forcément, c'est du 50/50. Donc le jeu est ouvert ! Écoutez, c'est lui qui nous a dit qu'il va se prononcer le moment venu. Ses militants, beaucoup ont fait des appels au président et c'est à lui qu'il appartient de répondre à ses militants. Et il peut y avoir une surprise ? Bon, peut-être que ça peut être une surprise dans un sens comme dans l'autre. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: dans le sud-ouest anglophone, les élites du RDPC derrière Paul Biya
durée : 00:58:48 - Les Grandes Traversées - Qu'a fait Churchill dans l'entre-deux-guerres ? Secrétaire d'État aux colonies puis Chancelier de l'Échiquier, l'homme devient politique. Il reste historien, écrit "The World Crisis" et se méfie de l'ombre qui avance sur l'Europe.
L'occupation de Goma et de plusieurs localités dans les Kivus à l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) par le M23 depuis la fin janvier a créé l'un des contextes opérationnels les plus complexes que la mission de paix de l'ONU, la MONUSCO, n'ait jamais eu à affronter.Certaines de ses bases se retrouvent aujourd'hui dans le territoire sous contrôle de facto de l'AFC-M23 et la Mission a dû s'adapter et innover pour continuer à remplir son mandat de protection des civils, en misant sur l'évaluation des risques, l'alerte précoce et le dialogue avec les communautés.Dans un entretien exclusif accordé récemment à ONU Info, la cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita, évoque la complexité du terrain, les efforts de négociation pour garantir des évacuations sécurisées de civils et de militaires, mais aussi le rôle de la mission dans l'appui aux multiples processus de paix en cours.La Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU revient sur le triple objectif de son déplacement récent à Goma, y compris les discussions directes et l'écoute des dirigeants du AFC-M23. Bintou Keita insiste : « Il faut accueillir toutes les initiatives et s'assurer qu'elles produisent des résultats concrets pour les populations ». Pour elle, l'enjeu reste clair : permettre aux Congolais de retrouver « une vie décente », avec un accès à la santé, à l'éducation, à l'eau, loin des violences et du déplacement forcé. « Donnons une chance à la paix et faisons en sorte que les initiatives qui sont en cours aboutissent à des résultats sur le terrain, pas seulement dans les capitales ».▶️ Écoutez l'intégralité de l'interview.(Interview : Bintou Keita, Représentante spéciale du Secrétaire général de l'ONU en RDC et cheffe de la MONUSCO ; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Périco Légasse, journaliste. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Comme tous les jeudis, nous échangeons avec le rédacteur en chef du grand quotidien Le Nouvelliste, Franz Duval. Il revient dans son éditorial sur les violences des gangs. La situation se dégrade de plus en plus, et les perspectives sont très sombres : les Nations unies estiment désormais bien réel le risque de voir l'État haïtien s'effondrer complètement. Le manque de solutions politiques provoque la colère des citoyens. États-Unis : la loi budgétaire de Donald Trump, un objectif plus politique qu'économique Aux États-Unis, les grands quotidiens suivent en direct les débats en cours à la Chambre des représentants de la grande loi budgétaire de Donald Trump. Ce texte qui prévoit des baisses d'impôts massives, booste considérablement le budget de la défense, renforce la surveillance aux frontières et taille dans les dépenses sociales. «C'est une monstruosité répugnante qui fera souffrir les Américains ordinaires», selon les démocrates. Du côté des républicains, les conservateurs s'inquiétaient surtout de l'augmentation de la dette américaine qu'implique cette loi - une augmentation de la dette de plus de 3 000 milliards de dollars d'ici 2034, selon le Bureau budgétaire du Congrès. Mais alors à quoi pensent les républicains en soutenant un projet de loi aussi irresponsable? Dans un éditorial pour le New York Times, Noah Millman propose une réponse. Selon lui, les Républicains se concentrent surtout sur un objectif politique plus que budgétaire. Chacun des présidents passés, républicains comme démocrates, a participé au marasme budgétaire américain. Il faudrait donc que les deux partis s'unissent pour sortir le pays de cette situation économique. Si le projet de loi n'est pas bon pour l'économie, il impose cependant de nouvelles bases de départ à toutes négociations. « Républicains et Démocrates se livrent à un jeu de dupes budgétaire », estime Noah Millman. Chacun tente de forcer la main de l'autre sans compromis. Avec ce projet de loi, les Républicains ont appuyé sur l'accélérateur. C'est le genre de manœuvre qui pourrait persuader l'autre de changer d'avis en premier. Mais cela risque aussi de tuer les deux conducteurs et, par conséquent, l'économie américaine, conclut l'éditorialiste. Interview avec John Bolton – « Il n'est pas dans l'intérêt des États-Unis d'abandonner l'Ukraine » Si la « Grande et Belle loi » de Donald Trump prévoit une hausse des dépenses de défense, il se désengage parallèlement de plus en plus du soutien en Ukraine. Le président américain a, par exemple, décidé cette semaine de suspendre la livraison de certaines armes, pour parler de cette question et d'autres RFI a reçu John Bolton, ancien conseiller à la sécurité de Donald Trump pendant son 1er mandat. À la GayPride de New York, l'inquiétude de la communauté LGBT+ Les politiques du président américain inquiètent entre autres la communauté LGBTQ+. La GayPride, il y a quelques jours, a été l'occasion de mesurer l'ampleur des craintes. Beaucoup s'alarment des décrets sur les droits des personnes transgenres adoptés dès le début du mandat et, plus généralement, des positions ultra-conservatrices du président américain. Reportage de Loubna Anaki. Argentine : une vague de froid polaire met le pays en état d'urgence Alors que l'Europe vit un début d'été sous canicule en Argentine, la vague froid polaire a mis plusieurs villes en état d'urgence. Il fait -2 à Buenos Aires, - 7 a El Palomar en périphérie de la capitale, rapporte Clarin. La vague de froid se propage dans tout le pays, c'est l'hiver le plus froid depuis 34 ans. La première urgence est l'approvisionnement des foyers en gaz naturel. Face à l'augmentation de la consommation de gaz et d'électricité, la pression dans les gazoducs a baissé, explique dans un autre article le journal Clarin. Le service a été automatiquement interrompu. Le Comité exécutif d'urgence mené par les autorités gouvernementales a choisi hier de couper l'approvisionnement des stations-service vendant du gaz naturel, des industries et de suspendre les exportations vers le Chili pour au moins 24h. L'urgence est de permettre aux familles de se chauffer. Mais ce n'est pas aussi facile que de rétablir l'électricité, explique La Nacion. Certaines canalisations ont pu éclater. Les fournisseurs doivent maintenant s'atteler à passer maison par maison. Au-delà du phénomène météorologique, les autorités doivent faire face à des problèmes techniques pour faire face au manque de gaz et d'électricité. La centrale nucléaire d'Atucha II a notamment été mise hors service, ce qui a impacté la stabilité du système énergétique dans son ensemble. Des problèmes structurels imputés au précédent gouvernement par le Secrétariat à l'énergie qui affirme que le manque d'investissements soutenus et le système de tarifs gelés a entravé le développement des infrastructures nécessaires.
durée : 00:58:48 - Les Grandes Traversées - Qu'a fait Churchill dans l'entre-deux-guerres ? Secrétaire d'État aux colonies puis Chancelier de l'Échiquier, l'homme devient politique. Il reste historien, écrit "The World Crisis" et se méfie de l'ombre qui avance sur l'Europe.
L'équipe est confrontée à la secrétaire la moins commode de France. Il est temps d'envoyer le grand Pascal Normand pour prendre les choses en main ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernier épisode. Ce rendez-vous mondial pour mieux protéger l'océan. La 3e Conférence des Nations unies sur l'océan vient de s'achever. À Nice, des responsables politiques, des scientifiques, des membres d'ONG, des dirigeants et dirigeantes d'entreprise, ainsi que des citoyennes et citoyens concernés se sont réunis pour faire entendre leurs voix et affirmer leur volonté d'agir pour la préservation du milieu marin. Face à l'urgence, les engagements se multiplient. La gouvernance des océans reste un défi, mais les échanges tenus à Nice marquent une avancée vers davantage de coopération. Que faut-il retenir de cette conférence ? Quelles promesses ont été faites, quelles avancées obtenues ? À l'approche de la COP30, l'heure est venue de faire le bilan - et de mesurer ce que l'océan peut encore espérer. Avec : Olivier Poivre d'Arvor, ambassadeur français pour les pôles et l'océan. Mere Takoko, chercheuse maorie spécialisée dans les savoirs océaniques autochtones. LaToya Cantrell, maire de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis). Carlos Santos, pêcheur brésilien engagé contre les méthodes de pêche industrielle. Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Emmanuel Macron, Président de la République française. Rodrigo Chaves Robles, Président de la République du Costa Rica. Ilona Mayerau-Lonné et Noémie de Saint-Quentin, membres du "Réseau Jeunesse Pays et Territoires d'Outre-mer", représentantes de la jeunesse de Nouvelle-Calédonie. Romane Prigent, rédactrice au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du MEAE, chargée des sujets « climat et environnement ». Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, Conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). John Kerry, ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis. Henri Bourgeois-Costa, expert en environnement, pollutions plastiques et économie circulaire, membre de la Fondation Tara Océan. Marine Calmet, juriste avocate de formation, présidente de l'association Wild Legal. Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE). Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au MEAE. Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat. ------ Pour aller plus loin : Le baromètre Starfish, qui dresse chaque année, à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, un état des lieux scientifique et pédagogique de la santé de l'océan. La liste des engagements pris lors de la 3e Conférence des Nations unies sur l'océan. Un coloriage : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fin de la fresque à télécharger imaginée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères. (PDF) ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Edition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ DOUBLAGE : Olivier Poivre d'Arvor : Maxime Richard. Mere Takoko : Guifty Banka. Carlos Santos : Simon Derieux-Billaud. John Kerry : Matthias Lugoy. ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
durée : 00:24:49 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Benoît Bazin, PDG du groupe Saint-Gobain, et Laurent Berger, ancien Secrétaire général de la CFDT, étaient les invités de France Inter ce mercredi. Ils publient « Voies de passage » (L'Aube).
durée : 00:24:49 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Benoît Bazin, PDG du groupe Saint-Gobain, et Laurent Berger, ancien Secrétaire général de la CFDT, étaient les invités de France Inter ce mercredi. Ils publient « Voies de passage » (L'Aube). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT RÉPARTIR L'EFFORT DU DÉSENDETTEMENT ?Visant un déficit à 4,6 % du PIB l'année prochaine, au lieu de 5,4 % cette année, le gouvernement entend serrer la vis budgétaire, avec un effort de 40 milliards d'euros en 2026. La répartition de cet effort devrait être précisée à la mi-juillet. Dans ce contexte budgétaire alarmant, et quatre mois après avoir été votée par une large majorité de députés, la proposition de loi des Ecologistes visant à instaurer un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des ultra-riches, dite « taxe Zucman » a été rejetée jeudi par le Sénat par 188 voix contre 129 voix.Aux côtés de deux économistes français reconnus internationalement - Olivier Blanchard, ancien chef économiste du Fonds monétaire international et Jean Pisani-Ferry, architecte du programme économique d'Emmanuel Macron en 2017 -, Gabriel Zucman a défendu mercredi dans Le Monde ce mécanisme pour rétablir le « principe constitutionnel d'égalité devant l'impôt ». « Nous partageons le constat que les plus riches ne contribuent pas aujourd'hui à hauteur de ce qui est demandé aux autres catégories sociales, et que le mécanisme voté à l'Assemblée est le plus efficace pour remédier à cette situation. » L'Institut des politiques publiques, fondé sur de nouvelles données administratives, a établi que les plus grandes fortunes payent dans l'ensemble très peu d'impôts sur le revenu, car elles peuvent le contourner – légalement – grâce à diverses techniques d'optimisation, comme l'utilisation de sociétés holdings. En conséquence, alors que l'ensemble des Français acquittent environ 50 % de leurs revenus en impôts et cotisations sociales, tous prélèvements compris, ce chiffre tombe à 27 % pour les milliardaires, soit presque deux fois moins. Le dispositif voté à l'Assemblée ne concerne que les fortunes d'au moins 100 millions d'euros, soit environ 1.800 foyers fiscaux. Il rapporterait entre 15 et 25 milliards d'euros.Le gouvernement est opposé à la taxe Zucman. « Une telle contribution serait à la fois confiscatoire et inefficace », a tranché la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, en février. « Confiscatoire », parce qu'elle est trop élevée : sans mécanisme de plafonnement, la proposition pourrait être censurée par le Conseil constitutionnel, met aussi en garde la commission des finances du Sénat. « Inefficace », dans la mesure où elle pousserait, de façon « catastrophique », les contribuables visés à fuir la France. Pour relativiser l'argument, Gabriel Zucman s'appuie sur des études qui tendent à démontrer que, lorsqu'un impôt sur la fortune est créé, le nombre de départs à l'étranger pour y échapper est marginal.Cette taxe pourrait revenir au budget 2026 à l'automne. Gabriel Zucmanrappelle que l'impôt sur le revenu, voté en 1909 par la Chambre des députés a attendu 1914 pour que le Sénat, déjà dominé par la droite conservatrice, finisse par l'adopter.TRUMP CONTRE LA CALIFORNIE Après des heurts à Los Angeles sur fond d'expulsions d'immigrés en situation irrégulière le président américain a envoyé le 7 juin la garde nationale dans la ville, contre l'avis des autorités locales. Désormais, 4.800 membres de la garde nationale de Californie et marines se trouvent déployés autour des bâtiments fédéraux, pour apporter leur soutien à la police locale et aux agents de l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Officiellement, il s'agit de protéger bâtiments et agents fédéraux. En s'en prenant au « Golden State », Le choix de cibler la Californie n'a rien d'anodin. « Le déploiement sans fondement de la garde nationale par l'administration Trump est manifestement une mesure de rétorsion contre la Californie, bastion des communautés immigrées, et s'apparente à une déclaration de guerre à l'égard de tous les Californiens », a dénoncé l'ACLU, influente organisation de défense des libertés civiles.Depuis son retour à la Maison Blanche, soutenu par un Congrès à majorité conservatrice, la confrontation s'est envenimée. Véhicules électriques, protection des transgenres, gestion de l'eau : aucun domaine n'échappe à la croisade. Plus que jamais ciblée, la Californie riposte dans l'arène judiciaire. Lors du premier mandat de Trump, l'État avait intenté plus de 120 recours contre son administration, en majorité remportés, se dressant notamment contre le décret anti-immigration Muslim Ban, le démantèlement des protections des jeunes sans papiers et la sortie de l'accord de Paris sur le climat. Depuis janvier, le rythme s'est accéléré. Seule ou alliée à d'autres États, la Californie a déjà déposé plus d'une vingtaine de recours : contre la remise en cause du droit du sol, contre l'accès du Doge (le département de l'Efficacité gouvernementale) au système de paiement du Trésor, contre les coupes dans la recherche médicale ou contre l'augmentation des droits de douane. Sur le plan économique, l'escalade commerciale avec la Chine menace lourdement l'État de la côte ouest, dont les ports jouent un rôle majeur dans les importations venues d'Asie.Sur le sujet central de l'immigration, la « résistance » californienne passe aussi par la loi. Fin 2017, malgré les menaces répétées de l'administration Trump, les élus de l'État avaient adopté une loi limitant strictement la coopération entre polices locales et agents fédéraux chargés des expulsions. Surnommée « loi sur les valeurs californiennes », cette législation a fait de l'Étatle premier « sanctuaire » du pays pour les immigrés sans papiers. Validée en 2019 par la justice, elle reste une épine dans le pied de l'administration Trump, qui accuse la Californie d'entraver sa politique migratoire.Jeudi, le sénateur Padilla, successeur de Kamala Harris, a été arrêté et menotté pour avoir interrompu la conférence de presse de Kristi Noem, Secrétaire à la sécurité intérieure et vigoureuse promotrice des lois anti-immigrés. Samedi, de grandes manifestations ont été organisées pour s'opposer la politique du président républicain, tandis que la présidente démocrate de la chambre des représentants du Minnesota était assassinée.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Cette semaine, je retrouve Diane Barbier, notre exploratrice passionnée qui revient avec la suite de ses incroyables aventures nipponnes. Dans ce nouvel épisode de Beau Voyage, découvrez les trésors cachés que même les guides ne mentionnent pas !Après avoir nous avoir dévoilé les secrets de Tokyo, Diane nous emmène désormais hors des sentiers battus pour explorer les coins les plus magiques de l'archipel. De l'île brumeuse et mystique de Yakushima (qui a inspiré Princesse Mononoké) aux aventures en van à travers Hokkaido, préparez-vous à rêver de votre prochain voyage !Les trésors à découvrir dans cet épisode :Comment organiser votre itinéraire idéal au-delà de Tokyo et KyotoL'expérience INOUBLIABLE des ryokans traditionnels japonaisUne nuit dans un temple bouddhiste pour une immersion spirituelle uniqueLes îles secrètes du sud où la nature règne en maîtreLes délices culinaires les plus surprenants à goûter absolumentL'aventure en van à travers les grands espaces japonaisQue vous soyez fasciné par la spiritualité des temples anciens, attiré par les onsen cachés dans la nature, ou tenté par un road-trip à travers des paysages à couper le souffle, Diane partage tous ses conseils pour vivre un Japon authentique loin des foules ! Un épisode qui vous donnera envie de faire vos valises sur-le-champ pour explorer ce pays aux mille facettes.Bonne écoute !Retrouvez-nous sur @beauvoyage !Vous souhaitez de l'aide pour préparer votre voyage au Japon ? N'hésitez pas à contacter Diane Barbier, https://www.kinsenvoyages.com/**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:44:53 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Au menu ce samedi : un débat sur les finances publiques, un crochet par Londres, une questions sur l'amour au travail et un focus sur les ultra-riches. Reportage sur les vies et stratégies des fameux 0,01% et entretien avec Gabriel Zucman, l'économiste qui veut les soumettre à un impôt plancher. - invités : Gabriel Zucman - Gabriel Zucman : Directeur de l'Observatoire européen de la fiscalité, professeur à l'Ecole d'Economie de Paris - réalisé par : Céline ILLA, Etienne BERTIN
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les candidats en piste pour 2027 semblent se multiplier et les ouvrages avec : Edouard Philippe ou Michel Barnier ont déjà sorti les leurs. Bruno Retailleau et Gérald Darmanin ne cachent pas leur envie de se lancer. A gauche, le Parti socialiste élit son nouveau premier secrétaire. Les adhérents doivent départager Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, avec comme enjeu l'union et la question brûlante d'une alliance avec les Insoumis pour les prochaines échéances électorales.