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Żegnany owacją na stojąco haitański perkusista był najjaśniejszym punktem czwartego dnia 61. edycji festiwalu Jazz nad Odrą. Jego muzyka w zjawiskowy sposób łączy ze sobą jazzową grę z karaibską duszą, opowiadając jednocześnie o tragicznej historii swojej ojczyzny. W krótkiej rozmowie po koncercie Calvaire opisał Michałowi Lachowi szeroko, dlaczego Haiti do dzisiaj nie może podnieść się z ogromnej biedy. To otwierająca oczy relacja z miejsca, o którym większość z nas wie naprawdę niewiele. Posłuchaj!
Vous aimez Les Fabuleux Destins, le podcast Bababam Originals qui vous plonge dans les destins les plus surprenants et incroyables ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Home(icides), le podcast true crime de Bababam. Bonne écoute ! C'est l'histoire d'un père accusé du pire des crimes. Un soir de juillet 1991, le corps de Caroline Nolibé, 18 ans, est découvert maculé de sang devant chez elle. Touchée au cœur, elle s'est effondrée dans les bras de son père, Claude Nolibé. Il est le seul témoin de la scène. Mais qu'est-il arrivé à Caroline ? Qui est l'assassin ? C'est le début d'une longue bataille judiciaire pour Claude Nolibé, accusé d'être le coupable du crime de sa fille. Un podcast Bababam Originals Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Jean-Gabriel Rassat En partenariat avec upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Gaza, bombardée et affamée par le siège israélien » titre le Monde. « La population impuissante supporte l'insupportable », ajoute le quotidien français, citant un Gazaoui désespéré. « Depuis le 2 mars, c'est-à-dire depuis 2 mois », précise le Monde « aucun camion commercial ou humanitaire n'est entré dans l'enclave palestinienne (…) plus rien n'entre dans le territoire supplicié : ni nourriture, ni médicament, ni carburant ». « Après deux mois de siège total par Israël, Gaza est bord du gouffre », renchérit le Temps. « Les soupes populaires », sur lesquelles comptent de nombreux habitants de Gaza pour s'alimenter, « sont à court de nourriture », explique le quotidien suisse, « alors que 90 % de la population dépend exclusivement de l'aide alimentaire », et que le PAM, le Programme Alimentaire Mondial, « a fait savoir il y a une semaine qu'il avait effectué sa dernière livraison ».Et puis « rode ce sentiment terrible d'abandon », ajoute le Monde. Interrogé par téléphone, un pharmacien se plaint que « le monde ne semble pas dérangé qu'il y ait 50 morts par jour dans les bombardements ». « On ne voit aucune véritable pression pour mettre fin au blocus de Gaza », regrette Ziad, un professeur de français. « Ni des Nations unies, ni des pays occidentaux, ni de voisins comme l'Égypte et la Jordanie ».Option juridiqueÀ la Une également, en ce 3 mai, la Journée Mondiale de la liberté de la presse. Journée choisie par le Washington Post, pour parler « des médias publics américains, prêts à lutter contre l'ordre de Donald Trump visant à couper les fonds de PBS et NPR », autrement dit la télé et la radio publiques, que le président américain accuse d'assurer une couverture médiatique, « biaisée et partisane ». D'où l'ordre de couper les fonds des médias publics. « Une mesure manifestement illégale », estime Paula Kerger, présidente-directrice générale de PBS, qui déclare « étudier toutes les options ». Parmi elles, l'option juridique.Selon des juristes cités par le Washington Post, Donald Trump a peut-être « outrepassé ses pouvoirs » et « violé le premier amendement » (qui garantit notamment la liberté de la presse). Le président américain n'en est pas à son coup d'essai « puisqu'il est déjà empêtré », rappelle le Washington Post, « dans une bataille judiciaire visant à interdire l'accès de la Maison Blanche à l'Associated Press ». Sans oublier que la justice américaine a ordonné à Donald Trump, le rétablissement de Voice of America, la radio-télévision de l'Amérique à l'étranger, dont il a également décidé de couper les fonds.RassembleurEn France, le journal La Croix dresse le portrait du futur pape. Le journal catholique a rencontré 15 cardinaux, qui, nous dit-on, « dévoilent le portrait-robot du futur pape », lequel, estime un cardinal italien, devra d'abord être « un pasteur », « cette semaine l'en a persuadé, la baisse progressive du nombre de catholique ne sera bientôt plus l'affaire de l'Occident seul, dit-il ». « Le Collège des cardinaux », ajoute la Croix « semble aujourd'hui chercher quelqu'un de peu jargonneux, théologiquement solide, mais surtout à même d'aller au contact du terrain ».« Le futur pape », précisent de leur côté certains cardinaux, « ne devrait pas être trop jeune ». « Est-ce que l'on veut vraiment repartir pour un pontificat de 25 ans, comme au temps de Jean-Paul II », interroge l'un d'entre eux. « Il lui faudra la santé physique quand même », insiste un autre. « La tâche est écrasante ». Enfin, d'où viendra le successeur de François ? Le cardinal autrichien Christoph Schönborn estime que « L'Asie et l'Afrique influenceront l'avenir de l'Eglise, ce n'est pas une idée, mais un fait » ajoute-t-il. Les cardinaux souhaitent aussi « un rassembleur », « une figure de compromis », « quelqu'un qui sache écouter tout le monde », « un homme fort, mais doux ». La mission s'annonce difficile. Le conclave pour désigner le successeur de François commencera jeudi prochain. Et il durera jusqu'à ce qu'une fumée blanche annonce l'élection d'un nouveau pape.
durée : 00:48:03 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaire sensibles, le meurtre de Sophie Lionnet, “the french nanny”, le surnom que lui a donné la presse britannique. - réalisé par : Stéphane COSME
Voici l'Évangile du vendredi 18 avril 2025 : Passion de notre Seigneur Jésus Christ (Jn 18, 1 – 19, 42) Indications pour la lecture dialoguée : les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants : X = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages. L. En ce temps-là, après le repas, Jésus sortit avec ses disciples et traversa le torrent du Cédron ; il y avait là un jardin, dans lequel il entra avec ses disciples. Judas, qui le livrait, connaissait l'endroit, lui aussi, car Jésus et ses disciples s'y étaient souvent réunis. Judas, avec un détachement de soldats ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens, arrive à cet endroit. Ils avaient des lanternes, des torches et des armes. Alors Jésus, sachant tout ce qui allait lui arriver, s'avança et leur dit : X « Qui cherchez-vous? » L. Ils lui répondirent : F. « Jésus le Nazaréen. » L. Il leur dit : X « C'est moi, je le suis. » L. Judas, qui le livrait, se tenait avec eux. Quand Jésus leur répondit : « C'est moi, je le suis », ils reculèrent, et ils tombèrent à terre. Il leur demanda de nouveau : X « Qui cherchez-vous? » L. Ils dirent : F. « Jésus le Nazaréen. » L. Jésus répondit : X « Je vous l'ai dit : c'est moi, je le suis. Si c'est bien moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. » L. Ainsi s'accomplissait la parole qu'il avait dite : « Je n'ai perdu aucun de ceux que tu m'as donnés. » Or Simon-Pierre avait une épée ; il la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l'oreille droite. Le nom de ce serviteur était Malcus. Jésus dit à Pierre : X « Remets ton épée au fourreau. La coupe que m'a donnée le Père, vais-je refuser de la boire ? » L. Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs se saisirent de Jésus et le ligotèrent. Ils l'emmenèrent d'abord chez Hanne, beau-père de Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là. Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu'un seul homme meure pour le peuple. » Or Simon-Pierre, ainsi qu'un autre disciple, suivait Jésus. Comme ce disciple était connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre. Pierre se tenait près de la porte, dehors. Alors l'autre disciple – celui qui était connu du grand prêtre – sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte, et fit entrer Pierre. Cette jeune servante dit alors à Pierre : A. « N'es-tu pas, toi aussi, l'un des disciples de cet homme ? » L. Il répondit : D. « Non, je ne le suis pas ! » L. Les serviteurs et les gardes se tenaient là ; comme il faisait froid, ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer. Pierre était avec eux, en train de se chauffer. Le grand prêtre interrogea Jésus sur ses disciples et sur son enseignement. Jésus lui répondit : X « Moi, j'ai parlé au monde ouvertement. J'ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple, là où tous les Juifs se réunissent, et je n'ai jamais parlé en cachette. Pourquoi m'interroges-tu ? Ce que je leur ai dit, demande-le à ceux qui m'ont entendu. Eux savent ce que j'ai dit. » L. À ces mots, un des gardes, qui était à côté de Jésus, lui donna une gifle en disant : A. « C'est ainsi que tu réponds au grand prêtre ! » L. Jésus lui répliqua : X « Si j'ai mal parlé, montre ce que j'ai dit de mal. Mais si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » L. Hanne l'envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe. Simon-Pierre était donc en train de se chauffer. On lui dit : A. « N'es-tu pas, toi aussi, l'un de ses disciples ? » L. Pierre le nia et dit : D. « Non, je ne le suis pas ! » L. Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l'oreille, insista : A. « Est-ce que moi, je ne t'ai pas vu dans le jardin avec lui ? » L. Encore une fois, Pierre le nia. Et aussitôt un coq chanta. Alors on emmène Jésus de chez Caïphe au Prétoire. C'était le matin. Ceux qui l'avaient amené n'entrèrent pas dans le Prétoire, pour éviter une souillure et pouvoir manger l'agneau pascal. Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda : A. « Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » L. Ils lui répondirent : F. « S'il n'était pas un malfaiteur, nous ne t'aurions pas livré cet homme. » L. Pilate leur dit : A. « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le suivant votre loi. » L. Les Juifs lui dirent : F. « Nous n'avons pas le droit de mettre quelqu'un à mort. » L. Ainsi s'accomplissait la parole que Jésus avait dite pour signifier de quel genre de mort il allait mourir. Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela Jésus et lui dit : A. « Es-tu le roi des Juifs ? » L. Jésus lui demanda : X « Dis-tu cela de toi-même, Ou bien d'autres te l'ont dit à mon sujet ? » L. Pilate répondit : A. « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t'ont livré à moi : qu'as-tu donc fait ? » L. Jésus déclara : X « Ma royauté n'est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j'aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n'est pas d'ici. » L. Pilate lui dit : A. « Alors, tu es roi ? » L. Jésus répondit : X « C'est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. » L. Pilate lui dit : A. « Qu'est-ce que la vérité ? » L. Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara : A. « Moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. Mais, chez vous, c'est la coutume que je vous relâche quelqu'un pour la Pâque : voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ? » L. Alors ils répliquèrent en criant : F. « Pas lui ! Mais Barabbas ! » L. Or ce Barabbas était un bandit. Alors Pilate fit saisir Jésus pour qu'il soit flagellé. Les soldats tressèrent avec des épines une couronne qu'ils lui posèrent sur la tête ; puis ils le revêtirent d'un manteau pourpre. Ils s'avançaient vers lui et ils disaient : F. « Salut à toi, roi des Juifs ! » L. Et ils le giflaient. Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit : A. « Voyez, je vous l'amène dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » L. Jésus donc sortit dehors, portant la couronne d'épines et le manteau pourpre. Et Pilate leur déclara : A. « Voici l'homme. » L. Quand ils le virent, les grands prêtres et les gardes se mirent à crier : F. « Crucifie-le! Crucifie-le! » L. Pilate leur dit : A. « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ; moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » L. Ils lui répondirent : F. « Nous avons une Loi, et suivant la Loi il doit mourir, parce qu'il s'est fait Fils de Dieu. » L. Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte. Il rentra dans le Prétoire, et dit à Jésus : A. « D'où es-tu? » L. Jésus ne lui fit aucune réponse. Pilate lui dit alors : A. « Tu refuses de me parler, à moi ? Ne sais-tu pas que j'ai pouvoir de te relâcher, et pouvoir de te crucifier ? » L. Jésus répondit : X « Tu n'aurais aucun pouvoir sur moi si tu ne l'avais reçu d'en haut ; c'est pourquoi celui qui m'a livré à toi porte un péché plus grand. » L. Dès lors, Pilate cherchait à le relâcher ; mais des Juifs se mirent à crier : F. « Si tu le relâches, tu n'es pas un ami de l'empereur. Quiconque se fait roi s'oppose à l'empereur. » L. En entendant ces paroles, Pilate amena Jésus au-dehors; il le fit asseoir sur une estrade au lieu dit le Dallage – en hébreu : Gabbatha. C'était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : A. « Voici votre roi. » L. Alors ils crièrent : F. « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » L. Pilate leur dit : A. « Vais-je crucifier votre roi ? » L. Les grands prêtres répondirent : F. « Nous n'avons pas d'autre roi que l'empereur. » L. Alors, il leur livra Jésus pour qu'il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus. Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. C'est là qu'ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu. Pilate avait rédigé un écriteau qu'il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. » Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l'endroit où l'on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c'était écrit en hébreu, en latin et en grec. Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : F. « N'écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.” » L. Pilate répondit : A. « Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit. » L. Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c'était une tunique sans couture, tissée tout d'une pièce de haut en bas. Alors ils se dirent entre eux : A. « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l'aura. » L. Ainsi s'accomplissait la parole de l'Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement. C'est bien ce que firent les soldats. Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : X « Femme, voici ton fils. » L. Puis il dit au disciple : X « Voici ta mère. » L. Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l'Écriture s'accomplisse jusqu'au bout, Jésus dit : X « J'ai soif. » L. Il y avait là un récipient plein d'une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d'hysope, et on l'approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : X « Tout est accompli. » L. Puis, inclinant la tête, il remit l'esprit. (Ici on fléchit le genou, et on s'arrête un instant.) Comme c'était le jour de la Préparation (c'est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d'autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu'on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l'autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu'il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l'eau. Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu'il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez. Cela, en effet, arriva pour que s'accomplisse l'Écriture : Aucun de ses os ne sera brisé. Un autre passage de l'Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers celui qu'ils ont transpercé. Après cela, Joseph d'Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus. Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d'aloès pesant environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus, qu'ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d'ensevelir les morts. À l'endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n'avait encore déposé personne. À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c'est là qu'ils déposèrent Jésus. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Dimanche des Rameaux (13 avril 2025) : Procession : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur » (Lc 19, 28-40) En ce temps-là, Jésus partit en avant pour monter à Jérusalem. Lorsqu'il approcha de Bethphagé et de Béthanie, près de l'endroit appelé mont des Oliviers, il envoya deux de ses disciples, en disant : « Allez à ce village d'en face. À l'entrée, vous trouverez un petit âne attaché, sur lequel personne ne s'est encore assis. Détachez-le et amenez-le. Si l'on vous demande : ‘Pourquoi le détachez-vous ?' vous répondrez : ‘Parce que le Seigneur en a besoin.' » Les envoyés partirent et trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit. Alors qu'ils détachaient le petit âne, ses maîtres leur demandèrent : « Pourquoi détachez-vous l'âne ? » Ils répondirent : « Parce que le Seigneur en a besoin. » Ils amenèrent l'âne auprès de Jésus, jetèrent leurs manteaux dessus, et y firent monter Jésus. À mesure que Jésus avançait, les gens étendaient leurs manteaux sur le chemin. Alors que déjà Jésus approchait de la descente du mont des Oliviers, toute la foule des disciples, remplie de joie, se mit à louer Dieu à pleine voix pour tous les miracles qu'ils avaient vus, et ils disaient : « Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur. Paix dans le ciel et gloire au plus haut des cieux ! » Quelques pharisiens, qui se trouvaient dans la foule, dirent à Jésus : « Maître, réprimande tes disciples ! » Mais il prit la parole en disant : « Je vous le dis : si eux se taisent, les pierres crieront. » Passion de notre Seigneur Jésus Christ (Lc 22, 14 – 23, 56) : En ce temps-là, L. L'assemblée tout entière se leva, et on l'emmena chez Pilate. On se mit alors à l'accuser : F. « Nous avons trouvé cet homme en train de semer le trouble dans notre nation : il empêche de payer l'impôt à l'empereur, et il dit qu'il est le Christ, le Roi. » L. Pilate l'interrogea : A. « Es-tu le roi des Juifs ? » L. Jésus répondit : X « C'est toi-même qui le dis. » L. Pilate s'adressa aux grands prêtres et aux foules : A. « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. » L. Mais ils insistaient avec force : F. « Il soulève le peuple en enseignant dans toute la Judée ; après avoir commencé en Galilée, il est venu jusqu'ici. » L. À ces mots, Pilate demanda si l'homme était Galiléen. Apprenant qu'il relevait de l'autorité d'Hérode, il le renvoya devant ce dernier, qui se trouvait lui aussi à Jérusalem en ces jours-là. À la vue de Jésus, Hérode éprouva une joie extrême : en effet, depuis longtemps il désirait le voir à cause de ce qu'il entendait dire de lui, et il espérait lui voir faire un miracle. Il lui posa bon nombre de questions, mais Jésus ne lui répondit rien. Les grands prêtres et les scribes étaient là, et ils l'accusaient avec véhémence. Hérode, ainsi que ses soldats, le traita avec mépris et se moqua de lui : il le revêtit d'un manteau de couleur éclatante et le renvoya à Pilate. Ce jour-là, Hérode et Pilate devinrent des amis, alors qu'auparavant il y avait de l'hostilité entre eux. Alors Pilate convoqua les grands prêtres, les chefs et le peuple. Il leur dit : A. « Vous m'avez amené cet homme en l'accusant d'introduire la subversion dans le peuple. Or, j'ai moi-même instruit l'affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l'accusez, je n'ai trouvé chez cet homme aucun motif de condamnation. D'ailleurs, Hérode non plus, puisqu'il nous l'a renvoyé. En somme, cet homme n'a rien fait qui mérite la mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. » L. Ils se mirent à crier tous ensemble : F. « Mort à cet homme ! Relâche-nous Barabbas. » L. Ce Barabbas avait été jeté en prison pour une émeute survenue dans la ville, et pour meurtre. Pilate, dans son désir de relâcher Jésus, leur adressa de nouveau la parole. Mais ils vociféraient : F. « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » L. Pour la troisième fois, il leur dit : A. « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n'ai trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort. Je vais donc le relâcher après lui avoir fait donner une correction. » L. Mais ils insistaient à grands cris, réclamant qu'il soit crucifié ; et leurs cris s'amplifiaient. Alors Pilate décida de satisfaire leur requête. Il relâcha celui qu'ils réclamaient, le prisonnier condamné pour émeute et pour meurtre, et il livra Jésus à leur bon plaisir. L. Comme ils l'emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix pour qu'il la porte derrière Jésus. Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur Jésus. Il se retourna et leur dit : X « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ! Voici venir des jours où l'on dira : ‘Heureuses les femmes stériles, celles qui n'ont pas enfanté, celles qui n'ont pas allaité !' Alors on dira aux montagnes : ‘Tombez sur nous', et aux collines : ‘Cachez-nous.' Car si l'on traite ainsi l'arbre vert, que deviendra l'arbre sec ? » L. Ils emmenaient aussi avec Jésus deux autres, des malfaiteurs, pour les exécuter. Lorsqu'ils furent arrivés au lieu dit : Le Crâne (ou Calvaire), là ils crucifièrent Jésus, avec les deux malfaiteurs, l'un à droite et l'autre à gauche. Jésus disait : X « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu'ils font. » L. Puis, ils partagèrent ses vêtements et les tirèrent au sort. Le peuple restait là à observer. Les chefs tournaient Jésus en dérision et disaient : F. « Il en a sauvé d'autres : qu'il se sauve lui-même, s'il est le Messie de Dieu, l'Élu ! » L. Les soldats aussi se moquaient de lui ; s'approchant, ils lui présentaient de la boisson vinaigrée, en disant : F. « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même ! » L. Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » L'un des malfaiteurs suspendus en croix l'injuriait : A. « N'es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et nous aussi ! » L. Mais l'autre lui fit de vifs reproches : A. « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c'est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons. Mais lui, il n'a rien fait de mal. » L. Et il disait : A. « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » L. Jésus lui déclara : X « Amen, je te le dis : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » L. C'était déjà environ la sixième heure (c'est-à-dire : midi) ; l'obscurité se fit sur toute la terre jusqu'à la neuvième heure, car le soleil s'était caché. Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu. Alors, Jésus poussa un grand cri : X « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » L. Et après avoir dit cela, il expira. (Ici on fléchit le genou et on s'arrête un instant) À la vue de ce qui s'était passé, le centurion rendit gloire à Dieu : A. « Celui-ci était réellement un homme juste. » L. Et toute la foule des gens qui s'étaient rassemblés pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s'en retournaient en se frappant la poitrine. Tous ses amis, ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée, se tenaient plus loin pour regarder. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Au printemps 2018, les gendarmes ne se doutaient pas qu'en poussant la porte d'une maison, dans une minuscule commune de Charente, ils allaient lever le voile sur un crime caché. Un assassinat tout aussi épouvantable qu'indigne. Celui de Matthieu Dallibert, un jeune homme de 27 ans, qui ne donnait plus signe de vie à ses proches depuis quelques années. Un garçon gentil, un peu simple d'esprit, vulnérable. Il était tombé amoureux d'une jeune fille, croyait avoir trouvé le bonheur dans sa belle-famille. Mais c'est dans un piège qu'il est tombé.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Commencée le 1er novembre dernier, la trêve hivernale s'arrêtera ce lundi, conformément à la loi. Une échéance redoutée par certains, attendue par d'autres, comme Catherine, propriétaire d'un appartement dévasté après trois ans de procédure.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Commencée le 1er novembre dernier, la trêve hivernale s'arrêtera ce lundi, conformément à la loi. Une échéance redoutée par certains, attendue par d'autres, comme Catherine, propriétaire d'un appartement dévasté après trois ans de procédure.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Depuis l'investiture du président des États-Unis, des avions militaires ont rapatrié brutalement en Inde des migrants en situation irrégulière. Mediapart a rencontré ces déboutés du « rêve américain », accueillis avec peu d'égards par le premier ministre Narendra Modi. Un article de Côme Bastin publié lundi 24 mars 2025 et lu par Jérémy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme !
On croyait tout savoir sur Diego Maradona. Mais le procès qui a démarré hier en Argentine dévoile ce que personne n'avait jamais vu : le détail de son calvaire avant sa mort en novembre 2020
On croyait tout savoir sur Diego Maradona. Mais le procès qui a démarré hier en Argentine dévoile ce que personne n'avait jamais vu : le détail de son calvaire avant sa mort en novembre 2020
Des centres d'escroquerie en Asie du Sud-Est, notamment en Birmanie, au Cambodge et au Laos, exploitent des milliers de personnes pour mener des arnaques en ligne, générant des milliards de dollars. Après l'enlèvement d'un acteur chinois en Thaïlande, une coopération entre la Thaïlande, la Chine et la Birmanie vise à démanteler ces réseaux, qui utilisent les plateformes sociales pour piéger leurs victimes, notamment via des fraudes aux cryptomonnaies. Xu, l'un des rescapés, attiré sous un faux prétexte près de la frontière birmane puis emmené de force dans un centre d'escroquerie, raconte. Xu débute son récit en racontant qu'il a été attiré, avec trois autres personnes, à la frontière, sous un faux prétexte pour du travail. Mais une nuit, plus d'une douzaine de personnes en uniforme de camouflage, avec des couteaux à la taille, les ont forcés à escalader la montagne qui les séparait de la Birmanie. À ce moment-là, dit-il, il était trop tard pour partir, et c'est là qu'il a compris que quelque chose n'allait pas :« Pendant 48 heures, nous avons traversé de nombreux endroits en Birmanie, mais je ne me souviens plus de quels villages il s'agissait. À chaque poste de péage, il y avait des fonctionnaires birmans en service. Ils comprenaient et parlaient chinois. Ils étaient tous complices. Tant que vous leur donniez des yuans, ils vous laissaient passer. »À lire aussiEscroqueries en ligne: la Thaïlande intensifie ses actions contre les réseaux criminels frontaliersOrdinateur, plusieurs téléphones, outils de traduction « pour communiquer »...Une fois arrivé dans le centre, Xu explique qu'il travaillait sans arrêt tous les jours de 10h30 à 2h00 le lendemain, et que tout était étroitement contrôlé. « Chaque personne recevait un ordinateur et quatre téléphones Apple équipés de cartes SIM birmanes avec des numéros commençant par +95, tous d'occasion. Là, on créait des comptes Gmail, puis Facebook, Instagram. On gérait 20 comptes chacun », se souvient-il.Il poursuit : « Parfois, les clients voulaient discuter. Il était essentiel de créer un lien émotionnel. Au début, on utilisait l'anglais, mais si le client parlait une autre langue comme le thaï ou le malais, on se tournait vers des outils de traduction pour communiquer dans la langue du client. L'objectif ultime restait de guider le client dans son investissement. Il n'y avait pas de script fixe, juste quelques tactiques générales. »« Le lien menait à un faux site web d'imitation très réaliste »Xu reprend son récit : « Le centre s'étendait sur sept étages, chacun travaillant sur des projets de fraude différents, à chaque étage. Au total, il y avait 14 équipes et projets de fraude. L'équipe dont je faisais partie se concentrait sur la cryptomonnaie, en particulier l'USDT.Plus tard, j'ai appris que des personnes de nombreux pays pouvaient transférer leur monnaie locale sur la plateforme d'échange OKX, qui est reconnue internationalement, sauf en Chine continentale où elle n'est pas autorisée. Après avoir transféré de l'argent, elles pouvaient utiliser des dollars américains pour acheter des cryptomonnaies.Une fois que quelqu'un avait acheté de la cryptomonnaie, même pour une valeur de seulement 500$, il recevait un lien qui semblait être une plateforme de trading légitime, comme un site de bourse. Cependant, le lien menait à un faux site web d'imitation très réaliste. La première fois, l'équipe d'escrocs manipulait le backend pour s'assurer que la victime ''gagnait''. Tout était contrôlé par les chefs de l'équipe d'escrocs en coulisses, et la victime gagnait inévitablement au début pour gagner sa confiance. »À lire aussiAsie: la lutte s'intensifie contre les centres d'arnaques en ligneUne exploitation humaine jusqu'au bout Xu raconte que de nombreux Chinois étaient enfermés dans ces camps, et que le flot d'arrivées ne cessait jamais. Tous les jours, dit-il, on venait sélectionner certains individus : « Nous devions porter des menottes et ils nous donnaient deux repas par jour, juste des restes de nourriture dans des boîtes en papier. »La violence était omniprésente : « Ils frappaient ceux qui résistaient, car beaucoup de gardiens étaient des mercenaires armés de fusils et de matraques électriques. Toute résistance était vaine, et ceux qui essayaient mais qui échouaient étaient enchaînés.Si vous n'étiez pas choisi dans les 30 jours, ils vous emmenaient dehors dans un véhicule, à Myawaddy ou à la frontière thaïlandaise, pour se faire prélever les organes. Deux reins pouvaient se vendre 500 000 yuans (plus de 63 000 euros). Si vous étiez jugé ''qualifié'', ils vous exploitaient au maximum.Si vous n'étiez pas sélectionné, ils vous forçaient à déverrouiller votre téléphone en scannant votre visage. Ils chargeaient votre téléphone, le connectaient au Wi-Fi et utilisaient votre visage pour accéder à des applications chinoises telles que WeChat, Alipay et des cartes bancaires, pour transférer le plus d'argent possible. »Des méthodes d'intimidation à la punition physiqueCeux qui résistaient étaient sévèrement punis, raconte-t-il. « Le premier jour, les gardes ont tiré sur 11 personnes dans la cour. Quatre sont mortes sur le coup. Sept d'entre elles étaient encore en vie. Là, ils ont trouvé une autre victime qui prétendait être vétérinaire en Chine continentale et lui ont demandé de déterrer les balles sur leurs corps. Le processus était diffusé en direct sur Telegram.Ils nous montraient aussi des vidéos d'autres centres d'escroquerie pour nous montrer des gens se faire punir. Ils utilisaient de l'eau bouillante pour la verser sur les orteils de quelqu'un, puis pliaient les articulations en arrière, et tout était diffusé en direct via des comptes Telegram et WeChat.Ils utilisaient cela comme une forme d'intimidation, en particulier sur ceux qui venaient d'être vendus. C'était une façon de donner l'exemple, à la fois pour les personnes sur place et pour les autres qui participaient à différentes opérations frauduleuses et qui regardaient la diffusion en direct. C'est ce genre de choses qui fait que les gens craquent complètement après y avoir passé un certain temps. »La famille de Xu a réussi à négocier son retour en Chine, après avoir en tout payé, en plusieurs étapes. Une liberté recouvrée pour un montant de près d'un million de yuans, soit près de 130 000 euros.À lire aussiDes centaines de «cyberesclaves» libérés d'un centre d'escroquerie en Birmanie
Des centres d'escroquerie en Asie du Sud-Est, notamment en Birmanie, au Cambodge et au Laos, exploitent des milliers de personnes pour mener des arnaques en ligne, générant des milliards de dollars. Après l'enlèvement d'un acteur chinois en Thaïlande, une coopération entre la Thaïlande, la Chine et la Birmanie vise à démanteler ces réseaux, qui utilisent les plateformes sociales pour piéger leurs victimes, notamment via des fraudes aux cryptomonnaies. Xu, l'un des rescapés, attiré sous un faux prétexte près de la frontière birmane puis emmené de force dans un centre d'escroquerie, raconte. Xu débute son récit en racontant qu'il a été attiré, avec trois autres personnes, à la frontière, sous un faux prétexte pour du travail. Mais une nuit, plus d'une douzaine de personnes en uniforme de camouflage, avec des couteaux à la taille, les ont forcés à escalader la montagne qui les séparait de la Birmanie. À ce moment-là, dit-il, il était trop tard pour partir, et c'est là qu'il a compris que quelque chose n'allait pas :« Pendant 48 heures, nous avons traversé de nombreux endroits en Birmanie, mais je ne me souviens plus de quels villages il s'agissait. À chaque poste de péage, il y avait des fonctionnaires birmans en service. Ils comprenaient et parlaient chinois. Ils étaient tous complices. Tant que vous leur donniez des yuans, ils vous laissaient passer. »À lire aussiEscroqueries en ligne: la Thaïlande intensifie ses actions contre les réseaux criminels frontaliersOrdinateur, plusieurs téléphones, outils de traduction « pour communiquer »...Une fois arrivé dans le centre, Xu explique qu'il travaillait sans arrêt tous les jours de 10h30 à 2h00 le lendemain, et que tout était étroitement contrôlé. « Chaque personne recevait un ordinateur et quatre téléphones Apple équipés de cartes SIM birmanes avec des numéros commençant par +95, tous d'occasion. Là, on créait des comptes Gmail, puis Facebook, Instagram. On gérait 20 comptes chacun », se souvient-il.Il poursuit : « Parfois, les clients voulaient discuter. Il était essentiel de créer un lien émotionnel. Au début, on utilisait l'anglais, mais si le client parlait une autre langue comme le thaï ou le malais, on se tournait vers des outils de traduction pour communiquer dans la langue du client. L'objectif ultime restait de guider le client dans son investissement. Il n'y avait pas de script fixe, juste quelques tactiques générales. »« Le lien menait à un faux site web d'imitation très réaliste »Xu reprend son récit : « Le centre s'étendait sur sept étages, chacun travaillant sur des projets de fraude différents, à chaque étage. Au total, il y avait 14 équipes et projets de fraude. L'équipe dont je faisais partie se concentrait sur la cryptomonnaie, en particulier l'USDT.Plus tard, j'ai appris que des personnes de nombreux pays pouvaient transférer leur monnaie locale sur la plateforme d'échange OKX, qui est reconnue internationalement, sauf en Chine continentale où elle n'est pas autorisée. Après avoir transféré de l'argent, elles pouvaient utiliser des dollars américains pour acheter des cryptomonnaies.Une fois que quelqu'un avait acheté de la cryptomonnaie, même pour une valeur de seulement 500$, il recevait un lien qui semblait être une plateforme de trading légitime, comme un site de bourse. Cependant, le lien menait à un faux site web d'imitation très réaliste. La première fois, l'équipe d'escrocs manipulait le backend pour s'assurer que la victime ''gagnait''. Tout était contrôlé par les chefs de l'équipe d'escrocs en coulisses, et la victime gagnait inévitablement au début pour gagner sa confiance. »À lire aussiAsie: la lutte s'intensifie contre les centres d'arnaques en ligneUne exploitation humaine jusqu'au bout Xu raconte que de nombreux Chinois étaient enfermés dans ces camps, et que le flot d'arrivées ne cessait jamais. Tous les jours, dit-il, on venait sélectionner certains individus : « Nous devions porter des menottes et ils nous donnaient deux repas par jour, juste des restes de nourriture dans des boîtes en papier. »La violence était omniprésente : « Ils frappaient ceux qui résistaient, car beaucoup de gardiens étaient des mercenaires armés de fusils et de matraques électriques. Toute résistance était vaine, et ceux qui essayaient mais qui échouaient étaient enchaînés.Si vous n'étiez pas choisi dans les 30 jours, ils vous emmenaient dehors dans un véhicule, à Myawaddy ou à la frontière thaïlandaise, pour se faire prélever les organes. Deux reins pouvaient se vendre 500 000 yuans (plus de 63 000 euros). Si vous étiez jugé ''qualifié'', ils vous exploitaient au maximum.Si vous n'étiez pas sélectionné, ils vous forçaient à déverrouiller votre téléphone en scannant votre visage. Ils chargeaient votre téléphone, le connectaient au Wi-Fi et utilisaient votre visage pour accéder à des applications chinoises telles que WeChat, Alipay et des cartes bancaires, pour transférer le plus d'argent possible. »Des méthodes d'intimidation à la punition physiqueCeux qui résistaient étaient sévèrement punis, raconte-t-il. « Le premier jour, les gardes ont tiré sur 11 personnes dans la cour. Quatre sont mortes sur le coup. Sept d'entre elles étaient encore en vie. Là, ils ont trouvé une autre victime qui prétendait être vétérinaire en Chine continentale et lui ont demandé de déterrer les balles sur leurs corps. Le processus était diffusé en direct sur Telegram.Ils nous montraient aussi des vidéos d'autres centres d'escroquerie pour nous montrer des gens se faire punir. Ils utilisaient de l'eau bouillante pour la verser sur les orteils de quelqu'un, puis pliaient les articulations en arrière, et tout était diffusé en direct via des comptes Telegram et WeChat.Ils utilisaient cela comme une forme d'intimidation, en particulier sur ceux qui venaient d'être vendus. C'était une façon de donner l'exemple, à la fois pour les personnes sur place et pour les autres qui participaient à différentes opérations frauduleuses et qui regardaient la diffusion en direct. C'est ce genre de choses qui fait que les gens craquent complètement après y avoir passé un certain temps. »La famille de Xu a réussi à négocier son retour en Chine, après avoir en tout payé, en plusieurs étapes. Une liberté recouvrée pour un montant de près d'un million de yuans, soit près de 130 000 euros.À lire aussiDes centaines de «cyberesclaves» libérés d'un centre d'escroquerie en Birmanie
durée : 00:18:58 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Cette semaine, Nicolas Herbeaux se rend à la Galerie des Filles du Calvaire pour rencontrer l'artiste peintre Karine Rougier. Elle nous présente sa nouvelle exposition : Le Jardin des Souffles. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Karine Rougier Artiste peintre
C dans l'air l'invité du 21 février 2025 avec Sophie Noachovitch, reporter police-justice à Paris-Match.Une information judiciaire a été ouverte aujourd'hui pour viols et agressions sexuelles à l'encontre d'un homme placé en garde à vue dans le cadre de l'affaire Bétharram, a annoncé le parquet de Pau. Le suspect concerné est un ancien surveillant de cet établissement catholique du Béarn, né en 1965, qui était encore en fonction l'année dernière avant d'être écarté après l'ouverture de l'enquête judiciaire. Les deux autres hommes placés en garde à vue mercredi, nés en 1931 et 1955, ont été laissés libres en raison de la prescription des faits qui leur étaient reprochés, a précisé le procureur Rodolphe Jarry.Les violences dans cet établissement ont perduré pendant des décennies, dès les années 1950 et jusqu'en 2011. Le parquet avait annoncé, en février 2024, avoir ouvert une enquête préliminaire à la suite de plaintes relatives à des violences physiques et sexuelles dans ce collège-lycée sous contrat avec l'Etat. Le collectif de victimes de Betharram a recensé à ce jour 132 plaintes. Il s'agit d'humiliations, de châtiments corporels, mais aussi de masturbations ou fellations imposées.Sophie Noachovitch, reporter police-justice à Paris-Match est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur les témoignages qu'elle a recueillis, et sur le système de violences qui a été mis en place à Notre-Dame de Bétharram. Une affaire qui a pris un tour politique, après que le Premier ministre François Bayrou a été accusé d'avoir été informé des violences perpétrées dans l'établissement béarnais. Lui affirme n'avoir 'jamais été informé" du calvaire subi par les enfants.
durée : 00:11:44 - L'invité de 7h50 du week-end - Aujourd'hui dans le 6/9 à 7h50, discussion avec le dessinateur et auteur Joann Sfar, en direct de Tel-Aviv, autour de son ouvrage "Que faire des Juifs?" (Les Arènes).
Enfermées et privées de statut légal, près de 300 personnes prises en charge par le gouvernement panaméen à la demande de l'administration Trump ne sont toujours pas fixées sur leur sort. Reportage de Grégoire Pourtier. Au cœur de Panama City, enserré entre un hôpital et un centre commercial abritant boutiques chics et casinos, le luxueux hôtel Decapolis a été vidé de ses touristes. On n'y pénètre plus qu'en trompant la vigilance de la police, mais pas de chambre disponible, impossible même d'y commander un café. « L'hôtel est en rénovation », nous explique-t-on dans le vaste lobby, déserté. En fait, le Decapolis hébergeait en ce début de semaine 299 migrants renvoyés des États-Unis.« J'ai aussi réussi à entrer, mais on m'a dit qu'il n'y avait pas d'instruction pour que je puisse rencontrer mes clients, qu'on ne pouvait rien me dire », relate Susana Sabalza, une avocate spécialisée dans les questions migratoires. « J'ai attendu toute la matinée et quand j'ai passé quelques coups de fil, immédiatement ont débarqué les services du Défenseur du peuple et des journalistes. Mais là, on nous a finalement viré de l'hôtel. »Les migrants sont isolés dans leurs chambres. On les aperçoit depuis l'extérieur, derrière leurs fenêtres, certains faisant des signes pour exprimer visiblement leur peur d'être renvoyés dans leur pays d'origine.Le Défenseur du peuple, un organe indépendant chargé des droits de l'homme au Panama, a pu, lui, accéder à certains de ces résidents forcés. Eduardo Leblanc, son directeur : « Nous sommes venus avec une psychologue, des avocats, des responsables des Droits de l'homme. Nous avons pu faire des entretiens, en priorité avec les familles, car la situation des enfants et des adolescents est le plus important pour nous. Nous avons donc parlé avec certains d'entre eux, pour voir comment ils allaient, et connaître un peu leur expérience ».Ils sont 24 enfants répartis dans 12 familles, dont l'une, taïwanaise, a des amis communs avec l'avocate Susana Sabalza. Elle voudrait les prendre en charge mais n'a pas pu les rencontrer au Decapolis, ni même leur parler par téléphone. Elle a finalement été informée officieusement qu'ils avaient été déplacés, de nuit, avec une centaine d'autres personnes, dans un camp précaire, en bordure de la jungle. Susana Sabalza dénonce les conditions imposées à ces migrants, dont la moitié aurait déjà accepté d'être rapatriés dans leur pays d'origine. « Le ministre de la Sécurité a indiqué fermement qu'ils ne sont pas séquestrés, qu'ils sont sous leur responsabilité, rappelle Susana Sabalza. Cependant, nous sommes sur le territoire panaméen, ils sont comme en détention car il y a clairement un vide juridique. Je n'accuse pas notre gouvernement car il faut être conscient de la pression imposée par les Etats-Unis. Mais jusqu'à quel point le Panama va-t-il accepter cela ? »Le petit pays est en effet dans le viseur de Donald Trump, qui a exprimé son envie de récupérer le canal que les Américains contrôlaient jusqu'à l'an 2000. Le président José Raul Mulino a cependant assuré que cette opération n'avait pas vocation à être reproduite, le Panama servant simplement de facilitateur avec des pays où les Etats-Unis n'auraient pas pu renvoyer ceux que Washington juge indésirables.Cependant, le Défenseur du peuple Eduardo Leblanc, estime que la situation légale doit être clarifiée. « Nous avons émis des recommandations pour le gouvernement panaméen par rapport à cette situation inédite pour le pays. Premièrement, toute les personnes qui entrent au Panama doivent avoir un statut migratoire. Ensuite, elles doivent avoir accès à des services de santé, d'alimentation. Enfin, elles doivent pouvoir solliciter l'asile dans les cas où c'est nécessaire, et il faut une attention spéciale pour les enfants et les adolescents. »Le gouvernement indique que 13 personnes ont déjà été rapatriées, et que l'opération, prise en charge par l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), une agence des Nations-Unies, ne coûtera pas un centime au pays. Frankétienne, mort d'un monument de la culture haïtiennePoète, écrivain, homme de théâtre, artiste, musicien, Jean-Pierre Basilic Dantor Franck Étienne d'Argent de son vrai nom, est mort hier soir chez lui dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince, à l'âge de 89 ans. La presse en Haïti lui rend un hommage appuyé et souligne son caractère hors-norme, « hyperbolique, abondant », selon le Nouvelliste, qui s'incline devant le départ d'un « génial mégalomane ». Frankétienne touchait à tout, à la littérature, à la chimie, aux mathématiques, « c'était un génie, un artiste polyvalent qui a peint des centaines de tableaux, écrit près de soixante-dix ouvrages mêlant poésies, romans, pièces de théâtre qu'il mettait lui-même en scène et qu'il interprétait avec succès. Frankétienne ne supportait pas la banalité, l'ordinaire, et prenait le parti de faire ce que les autres écrivains, les autres peintres ou dramaturges ne faisaient pas ».Il a exercé une énorme influence sur la poésie haïtienne, sur la langue aussi, avec ses propres mots, couchés, entre autre, dans un roman de 2017 : « embrindezingué », « salopété », « dévaginer », une ribambelle de néologismes qui ont forgé un art bien à lui, au cours d'une très longue carrière entamée dans les années 1960. Il deviendra d'ailleurs, note l'agence Alterpresse, le premier et éphémère titulaire du Ministère de la culture en Haïti, en 1988. Commandeur de l'Ordre des arts et des lettres, son œuvre multiforme continue, conclut Alterpresse, « d'influencer et d'inspirer les générations actuelles et les générations futures ».À lire aussiL'écrivain et poète haïtien, Frankétienne, est décédéLe ministère américain de l'Intérieur revient sur l'extension du TPS pour les Haïtiens Joe Biden avait étendu ce dispositif jusqu'en février 2026 pour les ressortissants haïtiens, l'administration Trump vient de revenir sur cette décision et la date butoir est ramenée au 3 août. Au-delà de ce jour, à moins qu'ils aient pu accéder à un autre statut légal, les Haïtiens qui bénéficiaient jusqu'alors du TPS seront à la merci d'une expulsion, et l'on parle d'un chiffre considérable : environ 500 000 Haïtiens seraient concernés par cette mesure. Dans le Miami Herald, colère de Frederica Wilson, élue démocrate de Floride, selon qui cette décision de la nouvelle Maison Blanche revient à un « baiser de la mort. Elle est révoltante, lâche Frederica Wilson, car les troubles qui touchent Haïti sont réels et nous devrions soutenir les Haïtiens au lieu de leur tourner le dos ». Les démocrates désarçonnés après un mois de présidence Trump30 jours au pouvoir, des bouleversements diplomatiques d'une ampleur inédite, une cohorte de décrets, des déclarations fracassantes qui noient la voix de l'opposition aux États-Unis : les démocrates ont bien du mal à réagir et s'adapter au rythme de la nouvelle Maison Blanche. Dossier de notre correspondant à Washington, Guillaume Naudin, à réécouter dans son intégralité dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreLes chiffres alarmants de la sécurité routière en Guadeloupe : 54 morts sur les routes l'an dernier pour seulement 380 000 habitants.
Avez-vous déjà connu ce sentiment de bien-être absolu en poussant la porte d'une demeure pour la première fois ? Si oui, considérez-vous comme étant privilégié.e.s, car ce n'est pas toujours le cas. Lorsque la famille Dittus a emménagé dans sa nouvelle maison à Möttlingen, près d'un petit village au sud de l'Allemagne, d'étranges événements sont venus perturber leur installation. À commencer par un vacarme incessant. Les meubles, les volets, les objets, tout n'était que fracas. Impossible d'imposer le calme. La benjamine de la fratrie, a elle reçu la visite d'étranges énergumènes quelques peu oppressants. Alors que l'état de santé de la jeune fille se dégradait à vue d'oeil, une entité s'est emparée de son corps, histoire de rendre la douleur encore plus insoutenable... Pas très Feng Shui.
Avez-vous déjà connu ce sentiment de bien-être absolu en poussant la porte d'une demeure pour la première fois ? Si oui, considérez-vous comme étant privilégié.e.s, car ce n'est pas toujours le cas. Lorsque la famille Dittus a emménagé dans sa nouvelle maison à Möttlingen, près d'un petit village au sud de l'Allemagne, d'étranges événements sont venus perturber leur installation. À commencer par un vacarme incessant. Les meubles, les volets, les objets, tout n'était que fracas. Impossible d'imposer le calme. La benjamine de la fratrie, a elle reçu la visite d'étranges énergumènes quelques peu oppressants. Alors que l'état de santé de la jeune fille se dégradait à vue d'oeil, une entité s'est emparée de son corps, histoire de rendre la douleur encore plus insoutenable... Pas très Feng Shui.
Pour regarder la version vidéo de cet épisode, clique ici !Aujourd'hui, je suis accompagnée de Kurt du podcast Obscurum pour vous plonger dans l'un des phénomènes paranormaux les plus troublants du 19e siècle: l'affaire de la hantise de la famille Dagg. Leur ferme canadienne a été le théâtre d'événements inexpliqués qui ont terrifié ses habitants et le village au complet: phénomènes paranormaux, objets volants, voix démoniaques, apparitions spectrales, un exorcisme… la totale !Que s'est-il réellement passé dans cette maison hantée ? Mythe ou réalité ? Plongez avec nous dans cette histoire fascinante et frissonnante.Allez suivre Kurt: Son podcast // son Instagram: @podcastobscurum // sa chaîne Twitch
durée : 00:06:24 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Très amaigris, Or Levy, 34 ans, Eli Sharabi, 52 ans, et Ohad Ben Ami, 56 ans, ont été libérés samedi, après 491 jours aux mains des terroristes du Hamas. Les autorités israéliennes et leurs proches commencent à découvrir leur calvaire. Le journal Haaretz craint de voir le conflit à Gaza ravivé.
Faire construire une maison : c'est souvent le rêve d'une vie. Mais quand le chantier se passe mal, le rêve vire au cauchemar et les économies peuvent être englouties à tout jamais. Malfaçons, entreprises aux abonnés absents : les petits propriétaires sont souvent bien démunis quand les travaux dérapent. Témoignages et conseils dans cette émission.
C dans l'air l'invitée du 21 janvier avec Isabelle Debré, présidente de l'association l'Enfant Bleu, qui lutte contre les violences faites aux enfants. L'association s'est constituée partie civile dans le procès de l'affaire Amandine Florès-Pissarra, morte à l'âge de 13 ans en août 2020, affamée, enfermée dans un cagibi et maltraitée par sa mère. Le procès s'est ouvert hier à Montpellier.Sandrine Pissarra et son compagnon de l'époque Jean-Michel Cros sont jugés aux assises de l'Hérault pour "tortures ou acte de barbarie ayant entraîné la mort", faits passibles de perpétuité pour elle ; "privation de soins", trente ans encourus, pour lui. Jugée pour tortures sur sa fille, Sandrine Pissarra a nié, à l'ouverture de l'audience lundi, l'avoir affamée et maltraitée. Son compagnon, en pleurs, s'est montré incapable d'expliquer son inaction coupable.Malgré le huis clos familial, favorisé par le confinement de 2020, le calvaire d'Amandine, morte de faim à l'été 2020, n'était pas inconnu des autorités. Alors y a-t-il eu des failles dans la protection de l'enfance ? Trois signalements avaient été faits entre 2010 et 2014, et dès la maternelle les égratignures et les ecchymoses d'Amandine avaient inquiété l'école. Un magistrat avait été saisi en CE1, quand Amandine présentait des traces de coups et fouillait les poubelles pour manger.Isabelle Debré, présidente de l'association l'Enfant bleu, qui lutte contre les violences faites aux enfants, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur le calvaire subi par Amandine. Elle nous expliquera aussi les différents signalements qui ont été faits au fil des années, et la succession de failles qui n'ont pas permis de lui sauver la vie. Un dossier "ahurissant", commente-t-elle dans le Parisien. Elle nous dira aussi, après plus de 30 ans d'expérience dans la protection de l'enfance, sa vision de la politique de protection de l'enfance en France, et les recommandations de l'association l'Enfant Bleu pour que les violences faites aux enfants soient mieux repérées et traitées.
En 2015, Isabel Eriksson se réveille dans un bunker, enfermée ici par Martin Trenneborg qui veut faire d'elle la parfaite petite amie. Voici son histoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Le journal RTL du 13 janvier 2025.
Dans cet épisode, la team Saints France revient sur le dernier match de la saison 2024 et dresse un premier bilan et des suites de cette année compliquée Au programme : Débriefing du match face aux Tampa Bay Buccaneers Spencer Rattler, intermittent. Un match à l'image de la saisonMike Evans égale un record sur notre dosTops & FlopsLes conséquences et suites de cette saison 2024 sur celle à venir en 2025, premières pistesQuestions/RéponsesBonne écoute et Who Dat !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 21 juillet, Maître Kada Sadouni, avocat à Nice, se rend à la gendarmerie de la Trinité pour défendre un client en garde à vue. Accueilli puis enfermé dans une salle d'entretien, il subit plus de 20 minutes d'isolement avant de demander des explications aux gendarmes. Un malentendu qui se termine par des excuses, l'avocat ayant été « confondu avec un gardé à vue ». Découvrez la suite de cette histoire dans notre nouveau Face-Cam ! Le 21 juillet dernier, maître Kada Sadouni, avocat au Barreau de Nice se rend à la gendarmerie de la Trinité, pour défendre l'un de ses clients alors placé en garde à vue. Dans un premier temps bien accueilli par les gendarmes, la situation prend rapidement une toute autre tournure. L'avocat se retrouve enfermé dans la salle d'entretien, pendant plus de 20 minutes. Ce n'est qu'après de très nombreuses sollicitations (en toquant notamment à la porte) que les gendarmes finiront par lui ouvrir. Ne comprenant pas ce temps si long d'enfermement, Maître Sadouni demande alors des explications aux gendarmes présents sur place. On lui rétorquera de manière virulente qu'il : « était en France et que sa place n'était pas ici. » La situation s'apaisera quelques minutes plus tard, quand un des autres militaires lui « présente des excuses. » L'avocat aurait été « confondu avec un gardé à vue… »
Imaginez une soirée parfaite, une fête entre amis, et une simple course de covoiturage pour rentrer chez soi. Mais pour Samantha, ce fut le début du pire cauchemar imaginable. Une voiture noire, un prédateur en chasse, et plus de 120 coups de couteau. L'histoire glaçante d'une étudiante brillante qui a fait confiance à la mauvaise personne. Ne manquez pas cet épisode bouleversant de 'Dans l'Ombre des Légendes'. Vous ne verrez plus jamais le covoiturage de la même façon."Vous pouvez me retrouver sur :
It the most wonderful time of the year!! Ring in your Christmas Eve by wrapping presents and listening to myself and guest Cole Antonovich (Joe Blow Horror Show) discuss one of Duncan's favourite Christmas horror movies in our review of Calvaire (2024). The grading follows the Netflix rating style of 1 = Hated It, 2 = Didn't Like It, 3 = Liked It, 4 = Really Liked It & 5 = Loved It Calvaire: Duncan: 4.5 Cole: 3 Our new RSS Feed: https://anchor.fm/s/13ba6ef0/podcast/rss Check out the show on Anchor, iTunes, TuneIn & on Stitcher Radio. Please leave us feedback on iTunes, podcastunderthestairs@gmail.com and follow us on Facebook & Twitter Threads. TIMECODE: 00:00 Intro 16:00 Trailer 17:15 Calvaire Review 57:10 Closing
Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez.
Marie-Thérèse de France, dite Madame Royale, est la fille aînée de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Née en 1778 au palais de Versailles, elle connaît une enfance dorée au cœur des fastes de la monarchie. Mais la Révolution française bouleverse sa vie dès 1789 : elle assiste à la chute de sa famille et à leur emprisonnement au Temple. Après l'échec de la fuite de Varennes en 1791, elle endure l'horreur des séparations successives : son père, guillotiné en 1793, sa mère la même année, puis son frère en 1795. Seule survivante de la famille royale immédiate, elle est libérée en 1795 dans le cadre d'un échange de prisonniers et passe le reste de sa vie en exil. Symbole d'une monarchie déchue, Madame Royale devient une figure de la résistance royaliste, tout en rejetant les nobles émigrés qu'elle considère comme des lâches. Sa vie, marquée par les tragédies, s'achève en 1851, faisant d'elle la dernière survivante de l'ancien monde incarné par Louis XVI. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'un père accusé du pire des crimes. Un soir de juillet 1991, le corps de Caroline Nolibé, 18 ans, est découvert maculé de sang devant chez elle. Touchée au cœur, elle s'est effondrée dans les bras de son père, Claude Nolibé. Il est le seul témoin de la scène. Mais qu'est-il arrivé à Caroline ? Qui est l'assassin ? C'est le début d'une longue bataille judiciaire pour Claude Nolibé, accusé d'être le coupable du crime de sa fille. Un procès pas comme les autres Dans le petit village de Clairac, la rumeur s'est tue. Philippe Guendouze a tout avoué. Claude Nolibé ne serait donc pas l'assassin de sa fille. On se serait trompé pendant 10 ans… Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Fabrice Fiorèse : le côté obscur… et intime du ballon rond Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Jean-Gabriel Rassat En partenariat avec upday. Première diffusion : 11 avril 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'un père accusé du pire des crimes. Un soir de juillet 1991, le corps de Caroline Nolibé, 18 ans, est découvert maculé de sang devant chez elle. Touchée au cœur, elle s'est effondrée dans les bras de son père, Claude Nolibé. Il est le seul témoin de la scène. Mais qu'est-il arrivé à Caroline ? Qui est l'assassin ? C'est le début d'une longue bataille judiciaire pour Claude Nolibé, accusé d'être le coupable du crime de sa fille. Une enquête qui patine L'enquête sur le meurtre de la jeune Caroline Nolibé n'avance pas d'un pouce pendant quatre ans. Aucun nouveau témoignage, aucune nouvelle piste ne se dessine. Quatre ans après les faits, en 1995, la juge Rouquier-Laffitte décide de reprendre les investigations depuis le début, avec une nouvelle équipe de gendarmes qui reprennent le dossier à zéro. Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Fabrice Fiorèse : le côté obscur… et intime du ballon rond Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Jean-Gabriel Rassat En partenariat avec upday. Première diffusion : 10 avril 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'un père accusé du pire des crimes. Un soir de juillet 1991, le corps de Caroline Nolibé, 18 ans, est découvert maculé de sang devant chez elle. Touchée au cœur, elle s'est effondrée dans les bras de son père, Claude Nolibé. Il est le seul témoin de la scène. Mais qu'est-il arrivé à Caroline ? Qui est l'assassin ? C'est le début d'une longue bataille judiciaire pour Claude Nolibé, accusé d'être le coupable du crime de sa fille. Claude, suspect numéro 1 Le lendemain des faits, une armada d'enquêteurs est déployée sur les lieux pour récolter un maximum d'indices. Une équipe de plongeurs d'Arcachon, une dizaine d'hommes grenouilles, sondent le Lot et le puits du jardin Nolibé. Ils cherchent l'arme du crime, un “couteau effilé”. Ils ne trouvent rien. Le tueur n'a laissé aucune trace derrière lui, rien dans le jardin, ni dans la cour, ni dans le caniveaux, ni sur les berges du Lot… La maison de Claude est perquisitionnée. Les enquêteurs fouillent de fond en comble le domicile. Impuissant, Claude regarde les gendarmes retourner les placards de sa fille… Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Fabrice Fiorèse : le côté obscur… et intime du ballon rond Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Jean-Gabriel Rassat En partenariat avec upday. Première diffusion : 9 avril 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est l'histoire d'un père accusé du pire des crimes. Un soir de juillet 1991, le corps de Caroline Nolibé, 18 ans, est découvert maculé de sang devant chez elle. Touchée au cœur, elle s'est effondrée dans les bras de son père, Claude Nolibé. Il est le seul témoin de la scène. Mais qu'est-il arrivé à Caroline ? Qui est l'assassin ? C'est le début d'une longue bataille judiciaire pour Claude Nolibé, accusé d'être le coupable du crime de sa fille. Un parfait coupable Ce soir de juillet 1991, dans le village de Clairac, petite bourgade de 2500 âmes, près d'Agen, tout est calme. Il est presque 23 heures quand Séverin Stedile, sursaute. On sonne à sa porte, à cette heure-ci ? C'est Claude, le voisin d'en face. Il est torse nu, les mains couvertes de sang, l'air complètement paniqué. "Je crois qu'on a tué ma fille !", crie-t-il. Derrière le portail de Claude, il aperçoit au sol une masse sombre. C'est Caroline avec du sang partout. Claude est hagard, il se jette sur elle, lui parle… Mais la jeune fille ne respire plus. Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Fabrice Fiorèse : le côté obscur… et intime du ballon rond Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Jean-Gabriel Rassat En partenariat avec upday. Première diffusion : 8 avril 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Prochainement, redécouvrez une histoire bouleversante. Celle d'un père accusé du pire des crimes. Un soir de juillet 1991, le corps de Caroline Nolibé, 18 ans, est découvert maculé de sang devant chez elle. Claude Nolibé, son père, est le seul témoin de la scène. Mais qu'est-il arrivé à Caroline ? Qui est l'assassin ? C'est le début d'une longue bataille judiciaire pour Claude Nolibé, accusé d'être le coupable du crime de sa fille. A écouter sur toutes vos applis de podcasts préférées. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
There's a plethora of "eat the rich" films these days, films that relish in showing the wealthy suffer without, god forbid, rocking the status quo. My guest today is Tosha R. Taylor is quite skeptical of the trend. Tosha R. Taylor is a writer, former academic, and regularly publishes and presents on horror, extremity, and queerness. We talk about the history of class in cinema, the invisibility of class issues in the majority of films, hillbilly horror, and Tosha picks some of her favorite class-conscious horror films. Show Notes: Tosha R. Taylor's twitter Tosha R. Taylor on academia.edu Films: Lumiere Brothers – Workers Leaving the Lumiere Factory (1895) Battleship Potemkin (available on YouTube) (1925) Man With A Movie Camera (available on YouTube) (1929) Bicycle Thieves (available on YouTube) (1948) American Hollow (available on YouTube) (1999) Harlan County USA (available on YouTube) (1978) Blood on the Mountain (available on YouTube) (2016) Saltburn (2023) Triangle of Sadness (2022) The White Lotus (2021-2025) The Menu (2022) The Hunger Games (2012) Parasite (2019) The Wicker Man (1973) Calvaire (2004) Eden Lake (2008) Wake in Fright (1971) Attack the Block (2011) Funny Games US (2007) Tucker and Dale vs Evil (2010) His House (2020) Take Shelter (2011) Wrong Turn (2003) The Texas Chainsaw Massacre (1974) Figures Dardenne Brothers Maysles Brothers Ken Loach Bong Joon-ho Kimberly Crenshaw on Intersectionality Follow Somebody's Watching here: Twitter: @somebodyspod Instagram: @somebodyswatchingpod Email: somebodywatchingpod@gmail.com
INSCRIS-TOI sur la liste d'attente pour le calendrier astrologique 2025 « La traversée » ✨ c'est disponible pour connaître tous les mouvements forts de l'année 2025
Lorsque vous déclarez que vous êtes juste en Christ, vous faites plaisir à Dieu parce que vous Lui rappelez ce que Son Fils a fait au Calvaire ! Dans ce message qui stimule la foi, Joseph Prince vous montre pourquoi le fait de confesser votre justice en Christ non seulement...
C dans l'air du 15 octobre - Budget : cacophonie au gouvernement Revalorisation des pensions de retraite reportée, hausse de la taxe sur l'électricité, augmentation du malus automobile, postes de fonctionnaires supprimés… Le budget 2025, porté par le nouveau gouvernement de Michel Barnier, dévoilé jeudi dernier, doit être débattu dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale à partir du lundi 21 octobre. Mais il rencontre déjà une certaine hostilité dans l'opposition ainsi qu'au sein de même du gouvernement.Certains ministres tout juste nommés ont manifesté leur désaccord, à commencer par le garde des Sceaux Didier Migaud, qui a prévenu lundi qu'il ne resterait pas au gouvernement si le budget de la justice n'était pas amélioré. D'autres ont affiché leur opposition à une augmentation de la fiscalité sur le gaz, engendrant une certaine cacophonie. Ainsi la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher a prôné vendredi, pour une taxe sur le gaz plutôt que sur l'électricité, mais a été désavouée le lendemain par son confrère de Bercy, Laurent Saint-Martin, venu de la même famille politique.Des divergences qui ont éclaté au grand jour au sein de l'équipe gouvernementale mais aussi au sein des partis qui composent la coalition gouvernementale. L'ancien ministre des Comptes publics Gérald Darmanin s'est une nouvelle fois opposé à toute hausse d'impôts dimanche au journal de 20 heures de France 2, quelques jours après que les députés Renaissance ont présenté, sous la direction de Gabriel Attal, un "contre budget" à celui des ministres – macronistes – Laurent Saint-Martin (budget) et Antoine Armand (économie). Autre point qui n'a pas manqué de diviser le camp présidentiel : l'annonce dimanche par la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, une macroniste, d'une nouvelle loi "immigration" dont l'examen pourrait démarrer dès "début 2025" au Parlement. "On a adopté une loi il y a moins d'un an sur l'immigration, avec des mesures dont certaines ne sont pas encore en vigueur puisque les décrets ne sont pas encore sortis", a fait remarquer Gabriel Attal sur France Inter. "Faire une loi pour une loi, ça n'a pas de sens", a ajouté l'ancien Premier ministre, jugeant le projet "pas prioritaire". "Cette annonce est une provocation", a estimé, de son côté, Stéphane Travert, député (Renaissance) de la Manche dans les colonnes du Monde, rappelant que le projet de loi de 2023, durci par LR, comprenait des dispositifs visant à systématiser la préférence nationale qui avaient été largement rejetés par le Conseil constitutionnel. "On a un gouvernement (…) qui nous refourgue une loi immigration comme gage à l'extrême droite. Tout ça est cousu de fil blanc", a réagi le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure alors que du côté du RN on exulte. Marine Le Pen avait fait de l'absence d'une nouvelle loi sur l'immigration une "ligne rouge" qui pourrait déclencher une censure du gouvernement. "Plus rien ne peut se faire sans nous au Parlement" s'est félicité ce lundi sur BFM Jordan Bardella, assurant "attendre" ce nouveau texte "avec impatience".D'ici là, le calendrier va s'accélérer au Parlement : la commission des finances de l'Assemblée nationale va examiner le budget 2025 à partir de ce mercredi. Le même jour, sera présenté par le Rassemblement national son "contre-budget", a fait savoir samedi sur franceinfo le député frontiste Thomas Ménagé, estimant que "des lignes rouges très claires" ont été franchies, avec la taxe sur l'électricité, la baisse du remboursement des consultations médicales, mais aussi la potentielle augmentation de fiscalité sur le gaz. Parallèlement, l'Elysée, l'Assemblée nationale et le Sénat ont indiqué ce mardi qu'ils renonçaient à une hausse de leurs dotations, prévue dans le projet de budget, pour "donner l'exemple". De son côté, le Premier ministre a réuni mardi matin les responsables de sa majorité relative à Matignon. Les experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Valérie GAS - Cheffe du service politique - RFI - Céline BRACQ - Directrice générale et co-fondatrice de l'institut d'études Odoxa
Au printemps 2018, les gendarmes ne se doutaient pas qu'en poussant la porte d'une maison, dans une minuscule commune de Charente, ils allaient lever le voile sur un crime caché. Un assassinat tout aussi épouvantable qu'indigne. Celui de Matthieu Dallibert, un jeune homme de 27 ans, qui ne donnait plus signe de vie à ses proches depuis quelques années. Un garçon gentil, un peu simple d'esprit, vulnérable. Il était tombé amoureux d'une jeune fille, croyait avoir trouvé le bonheur dans sa belle-famille. Mais c'est dans un piège qu'il est tombé. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 07 octobre 2024.
It's time for one of those huge episodes. Well, it's a four parter anyways. 2005 was a decent year for horror movies but if you are into unwarranted violence well then, 2005 would be the bonanza for you. But, what do I think was the very greatest horror movie that came out during 2005? Well, here we have the top 10. The worst 10. A slew of also rans. Some awesome mates. Some special guests. Several pints of beer and a 7+ hour running time split over 4 episodes. This is 2005, A Year In Horror.It's a pretty long journey this one, part 3 of 4 in fact. I am going to give you the time codes below so if you don't want spoilers then, please, avert your eyes.You can now support A Year in Horror via the Patreon.Theme Music by Max Newton& Lucy Foster.Email the podcast at ayearinhorror@gmail.comDon't bother following the podcast on Facebook. But feel free to...Follow me on Twitter.Follow me on Instagram.Follow me on Letterboxd.Below are the timecodes for all the different segments and my guest links. Feel free to let me know where you think I got it wrong or right and of course stay safe out there & I'll see you next month.0.35 - Also Rans (Part 2)3.07 - Sympathy for Lady Vengeance (w/ Mark Morriss)36.56 - War of the Worlds44.31 - The Ordeal AKA Calvaire (w/ Amber T)1.17.26 - Masters of Horror (w/ J. Robbins)