L'actualité mondiale de l'ONU

Au menu de l'actualité :En Haïti, l'ONU veut rétablir sa présence complète à Port-au-Prince avant la fin de l'annéeA Gaza, le silence des armes redonne un souffle d'espoir à la populationDans l'est de la RDC, les femmes sont confrontées au fléau des violences sexuelles Présentation : Jérôme Bernard

Au menu de l'actualité :La CIJ déclare qu'Israël a l'obligation de laisser l'aide affluer dans le territoire palestinien occupéL'ONU appelle à rendre la transition climatique plus juste et inclusive pour les pays en développementL'ONU prévient que les émissions de méthane sont ignorées malgré la menace climatique Présentation : Jérôme Bernard

Au menu de l'actualité :L'ONU aide la population ukrainienne à affronter son 5e hiver de guerreLa déforestation ralentit dans le monde, mais les forêts restent sous pressionCatastrophes naturelles : généraliser les services d'alerte précoce Présentation : Jérôme Bernard

Au menu de l'actualité :L'ONU dénonce une régression historique des droits des femmes dans les conflitsLes services d'alerte précoce jouent un rôle crucial pour sauver des viesUne experte de l'ONU appelle à protéger les défenseurs de l'environnement Présentation : Jérôme Bernard

Au menu de l'actualité :Les opérations de paix face à des coupes budgétaires drastiquesRépublique centrafricaine : lutter contre les discours de haineRDC : l'épidémie d'Ebola dans le Kasaï est bientôt finie Présentation : Jérôme Bernard

À l'occasion du Forum des Nations Unies sur les droits de l'homme, la démocratie et l'État de droit, ONU Info Genève a rencontré Elisa Morgera, Rapporteure spéciale des Nations Unies sur la promotion et la protection des droits de l'homme dans le contexte du changement climatique.Cette cinquième session du Forum, qui se tient au Palais des Nations à Genève, est consacrée au thème « Démocratie et changement climatique : trouver des solutions ».Dans cet entretien, Elisa Morgera revient sur les liens entre gouvernance démocratique et action climatique, sur la montée des menaces contre les défenseurs de l'environnement, et sur la nécessité de repenser la gouvernance mondiale du climat à la lumière des droits humains. Entretien réalisé par Alexandre Carette

À l'occasion de la conférence du G20 sur l'IA en Afrique organisée la semaine dernière en Afrique du Sud, l'UNESCO a dévoilé une série de nouvelles solutions innovantes pour permettre le développement de l'intelligence artificielle sur le continent, tout en protégeant les droits humains.Au micro de Michelle Ghazaryan, d'ONU Info, le Sous-directeur général pour la communication et l'information à l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Dr. Tawfik Jelassi, revient sur les solutions présentées en Afrique du Sud et rappelle l'importance capitale de la souveraineté de l'Afrique sur le sujet.

Au menu de l'actualité : le Conseil de sécurité marque les 25 ans de l'agenda femmes, paix et sécurité

La cheffe de la Mission de paix des Nations Unies en République démocratique du Congo (MONUSCO), Bintou Keita, demande à la population de l'est de la RDC de ne pas perdre espoir après des années de conflit.Dans un entretien accordé à ONU Info quelques jours après avoir fait un exposé de la situation dans le pays devant les membres du Conseil de sécurité de l'ONU à New York, elle a souligné que le gouvernement congolais, les Nations Unies et la communauté internationale dans son ensemble sont « déterminés » à ramener la paix dans cette région.« Nous savons que c'est très difficile au quotidien », a-t-elle reconnu, notant que le fossé est encore « très grand » pour arriver à une traduction de ces efforts diplomatiques sur le terrain. Selon elle, « il y a beaucoup de résilience » chez les Congolais « malgré toutes les souffrances ». Entretien réalisé par Jérôme Bernard

À l'occasion du 30e anniversaire du Programme d'action mondial pour la jeunesse, des dizaines de jeunes se sont réunis au siège de l'ONU à New York, le 25 septembre, en marge du débat annuel de l'Organisation.La réunion, dirigée par la Présidente de l'Assemblée générale des Nations Unies, Annalena Baerbock, a permis aux participants de défendre des actions pour, et par, la jeunesse, propres à leurs pays. Ils ont aussi partagé leurs expériences.Amal Ridene, une jeune Tunisienne engagée dans la cause du financement de l'action climatique, a participé à cet évènement. Au micro de Michelle Ghazaryan, d'ONU Info, elle confie sa vision sur la place de la jeunesse dans la prise de décisions, ainsi que les causes qui lui sont chères.

Alors que la guerre en Ukraine s'intensifie, cinq pays européens — Estonie, Lituanie, Lettonie, Finlande et Pologne — ont quitté cette année la Convention d'Ottawa contre les mines terrestres et la Convention sur les armes à sous-munitions, une démarche qui inquiète fortement Tamar Gabelnick.Au moment où le Président ukrainien Volodymyr Zelensky affirmait à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies que si un pays veut la paix, il doit toujours avoir des armes, la Directrice de la Campagne internationale pour interdire les mines (ICBL) et de la Coalition contre les armes à sous-munitions arpentait cette semaine les couloirs de l'ONU pour demander aux dirigeants qu'ils expriment clairement leur déception face à ce recul.Pour Mme Gabelnick, il est compréhensible qu'un pays cherche à se défendre. « Mais les mines antipersonnel sont l'arme la plus bête du monde », dénonce-t-elle, « parce que c'est la chance qui décide qui elles vont frapper ».Pour en savoir plus sur son plaidoyer contre les mines antipersonnel et les bombes à sous-munition, écoutez cet entretien accordé ONU Info en marge du débat général. (Interview : Tamar Gabelnick, Directrice de la Campagne internationale pour mettre fin aux mines antipersonnel; propos recueillis par Cristina Silveiro; prise de son Hisae Kawamori)

Au menu de l'actualité : ouverture de la semaine de haut niveau à l'ONU, à New York

Cette année, New York accueillera la 80e semaine de haut niveau de l'Assemblée générale de l'ONU, du 22 au 27 septembre 2025.À l'occasion de ce grand évènement qui réunit le monde entier, Aissata Camara, commissaire aux affaires internationales de la ville de New York, est interrogée par Monica Grayley, cheffe de l'unité portugaise d'ONU info, sur l'organisation de cette semaine, particulièrement chargée.

Dans ce nouvel épisode d'ONU Info Genève, nous revenons sur les Geneva PeaceTalks, organisés aux Nations Unies à Genève, en amont de la Journée internationale de la paix (21 septembre).Notre invitée, Guila Clara Kessous, Artiste pour la paix de l'UNESCO, metteuse en scène, narratrice et engagée de longue date pour les droits humains, milite pour que les femmes, l'art et la société civile soient pleinement intégrés dans les processus de paix.« Quand on n'arrive plus à parler, on danse, on chante, on crée… L'art n'est pas un luxe, c'est une nécessité pour la paix », dit-elle.Elle y a présenté son concept d'« entrepreneuriat diplomatique » et défend une résolution ambitieuse pour instaurer des quotas de femmes dans toutes les négociations internationales de paix. Entretien réalisé par Alexandre Carette

ONU Femmes alerte sur un recul mondial de l'égalité entre les sexes. Son dernier aperçu sur la question, publié ce lundi, montre que les femmes restent plus exposées à la faim, à une mauvaise santé et sont moins bien rémunérées que les hommes, tout en payant le prix fort des conflits et du chaos climatique.Dans un entretien accordé à ONU Info, le responsable Recherche et données d'ONU Femmes, Papa Alioune Seck, avertit : « Si rien ne change, 351 millions de femmes et de filles pourraient sombrer dans l'extrême pauvreté d'ici 2030 ». Et pourtant, seulement 420 milliards de dollars par an – « soit 57 jours du budget militaire mondial » – suffiraient pour financer l'égalité des sexes.Des progrès existent : baisse de 40 % de la mortalité maternelle depuis 2000, 99 lois adoptées en faveur de l'égalité, et plus de filles que jamais qui terminent l'école.Investir dans l'égalité, insiste ONU Femmes, n'est pas un coût mais un levier : combler la fracture numérique pourrait sortir 30 millions de femmes de la pauvreté et générer 1.500 milliards de dollars de croissance mondiale d'ici 2030.« Les droits des femmes et des filles ne sont pas négociables et ne peuvent pas être relégués à la sphère domestique. Si on le fait, le monde va continuer de reculer. C'est aussi simple que ça », conclut M. Seck.(Interview : Papa Alioune Seck, Responsable Recherche et données, ONU Femmes; propos recueillis par Cristina Silveiro)

Au menu de l'actualité : Au Liban, la mission de paix de l'ONU partira en 2027Un musicien haïtien plaide la cause des enfants de son paysA Genève, les Etats ont discuté du commerce des armes conventionnelles Présentation : Jérôme Bernard
