River in Belgium and Germany
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Ce mardi 16 septembre, les éventuelles négociations de l'Inde par rapport concernant les droits de douane américains ont été abordées par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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Katmandou a été secouée par de violentes manifestations. La Gen Z népalaise est descendue dans la rue pour réclamer le rétablissement de l'accès aux réseaux sociaux, provoquant la chute du gouvernement. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Clément Perruche reviennent sur les racines et les conséquences de cette colère.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en septembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Clément Perruche, correspondant des Echos en Inde). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : REUTERS/Navesh Chitrakar. Sons : Euronews, Oqu « Jungle of Lost Love », TV5 Monde, kontraa « Kathmandu », @jimNjue_, The Tribune, wehatethecold, BFM TV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'effet Cobra, aussi appelé parfois "effet rebond", illustre comment certaines décisions peuvent produire le résultat inverse à celui recherché ! Le nom de cet effet trouve son origine dans une anecdote datant de l'époque du régime colonial britannique en Inde, je vous la raconte dans cet épisode ! Bonne écoute.
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Ce matin, on parle d'un sujet central : l'inflation. Pourquoi ? Parce qu'elle est la clé de tout.Aux US, le dernier rapport sur l'emploi et le PPI montrent un ralentissement, mais la pression des prix sous-jacents reste là. Résultat : le marché price une baisse de taux dès septembre, et jusqu'à 75 points de base d'ici fin d'année.Conséquence directe : obligations US à 10 ans au plus bas depuis avril, dollar plus faible, et l'or sur un nouveau record.En Europe, la tension se déplace : les coûts d'emprunt de la France passent au-dessus de ceux de l'Italie, reflet de la défiance politique et budgétaire.Côté entreprises : Oracle explose de +43% en une séance (contrats cloud/IA massifs), Anglo American fusionne avec Teck Resources (53 Md$), Novo Nordisk annonce 9 000 suppressions d'emplois, et Inditex déçoit sur ses ventes.Dans la tech US, le cloud et l'IA redéfinissent les positions : Oracle, Nvidia, Broadcom, Tesla… chacun scruté à la loupe.En cryptos, prudence : sentiment de peur, vols de 3 Md$ au 1er semestre, mais institutionnels toujours plus présents (Nasdaq tokenisation, Binance-Franklin Templeton).Et côté politique : Trump veut des tarifs à 100% contre Chine & Inde, Bayrou chute en France, les spreads français/italiens deviennent le symbole du risque politique européen.
Hvad der sker med dig, når du forsøger at få hjælp fra et system, der ikke længere magter opgaven? Jeg bliver utilfreds. Men dagens gæst mener, at vi skal skrue rigtig meget ned for vores forventninger til at blive mødt og set med netop vores særlige behov af skolelæreren, hjemmehjælperen, stadsarkitekten, borgerservice-medarbejderen, der skal hjælpe mig med mit nye pas og så videre. Vært: Svend Brinkmann Gæst: Susanne Ekman, lektor Roskilde Universitetscenter ved center for arbejdslivsforskning Glæd dig til dagens episode, som du nu kan høre i DR Lyd.
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Avec Delhi Bazaar, Bastien Peccoux et Alexis Gracio ont voulu casser les codes de la cuisine indienne. En quelques mois, leur restaurant est devenu une référence. Entre vision entrepreneuriale, énergie créative et quête de légitimité, Bastien revient sur les coulisses de ce succès.Dans cet épisode, Bastien partage les coulisses : la recherche d'un chef, la construction d'une légitimité, les doutes, les voyages, mais aussi l'énergie d'un projet qui a trouvé son public à une vitesse incroyable.Un échange qui interroge sur l'authenticité et la création dans le monde de la food.Contacter Bastien de ma part : linkedin.com/in/bastien-peccoux-a2514273Découvrir le restaurant : https://www.tandoor-club.com/L'insta de Delhi Bazaar : https://www.instagram.com/tandoor.club/Le mot de la Faim est un podcast artisanal et indépendant.Production, réalisation et montage : @Yassir KaboriCrédit bande-annonce : @Tarik AzzouzHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anne de Vandière voyage depuis 30 ans pour rencontrer les savoir-faire des peuples premiers. Son travail passionnel l'a menée au Sénégal, au Népal, en Inde, en Tanzanie, en Australie, en Thaïlande, au Groenland ou en Equateur... Chaque fois, c'est par les mains qu'elle entre dans l'âme de ses sujets. En s'intéressant aux origines, elle propose un chemin vers l'intelligence du corps qui est celle qui réunit les artisans au delà des langues, des cultures et des frontières.
Dans cet extrait, Bastien Peccoux, cofondateur de Delhi Bazaar, partage une étape clé de son aventure entrepreneuriale : comment passer d'un simple rêve d'ouvrir un restaurant indien à un projet crédible. Avec son associé Alexis, ils ont sillonné l'Inde, multiplié les rencontres et compris une chose essentielle : sans l'expertise d'un vrai chef, pas de légitimité. Avec son associé Alexis, ils ont multiplié les voyages et les rencontres jusqu'à trouver la perle rare. Une étape décisive qui a façonné l'âme de Delhi Bazaar.
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Swamini Amrita Jyoti Prana est une religieuse française. Elle est disciple d'Amma : Cette grande figure spirituelle contemporaine de l'Inde, hindoue de naissance, sillonne le monde et proclame la religion universelle de l'amour. Swamini Amrita Jyoti Prana témoigne ici des questions brûlantes qui ont pris une place de plus importante dès son adolescence, au cours de laquelle elle ne voulait plus croire en ce qu'elle voyait, elle qui en avait « assez des histoires » qu'on lui racontait. Jeune femme, sa quête s'est transformée en obsession de comprendre, de connaître les réponses aux questions essentielles de la vie, et de pouvoir guérir les grands traumatismes de son enfance. Elle décrit ses découvertes progressives de l'Inde, dont on dit qu'elle est « une terre où poussent les âmes ». À la recherche d'un maître spirituel qui puisse lui apporter des réponses indiscutables, elle revient sur les trois rencontres les plus déterminantes de sa vie : Ma Anandamoyi, Arnaud Desjardins et Amma. Avec Swamini Amrita Jyoti Prana, nous partons à la découverte d'une spiritualité à la fois profondément ancrée dans les traditions orientales, notamment hindoue et bouddhiste, et nous ne cessons de relever leurs multiples ressemblances et leurs liens profonds avec le christianisme. En s'attardant davantage sur le rayonnement d'Amma, elle nous révèle le cœur du message des grands maîtres spirituels qu'elle a suivi. Un message qui va justement au cœur et à sa purification, à l'acceptation et l'émerveillement du réel, à la libération des souffrances. Swamini Amrita Jyoti Prana nous confie également pourquoi elle a accepté, après avoir vécu de longues années en Inde, de fonder en France le premier asram d'Amma en Europe, là où nous l'avons rencontrée. Elle nous explique son attachement à Amma, et nous dit que, si elle a choisi de transmettre en terre française sa spiritualité plutôt qu'une autre, c'est « parce qu'elle est celle que j'ai reçue ». Aujourd'hui, avec toute sa communauté, Swamini Amrita Jyoti Prana prépare la venue très proche d'Amma, qui sera de retour en France dès la fin du mois d'octobre. En écoutant Swamini Amrita Jyoti Prana, on ne peut plus nier l'évidence que tous les hommes et les femmes de ce monde sont issus d'une même Création, voulus et aimés par une même puissance divine. Celle-ci s'exprime dès qu'elle le peut, en nous offrant des guides et des maîtres qui ressemblent tellement au Christ. Lui qui incarne pour nous la plus grande figure. Il est l'alpha et l'omega, l'archétype de toute l'humanité, qu'il libère du mal, et fait ainsi accéder au Royaume des Cieux. Pour découvrir le site Amma France, et toutes les informations sur sa prochaine venue à Aix en Provence et à Chartres, cliquer ici. -------------- Pour lire Le bonheur est une décision, le livre de Swamini Amrita Jyoti Prana, cliquer ici. OUI Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, « La vérité est tellement simple, un seul mot la résume : oui » Cette parole citée par Swamini Amrita Jyoti Prana, l'invitée de l'épisode de ce jour, elle est celle de Swami Prajnanpad, l'un des plus grands sages du XXème siècle en Inde. Ce mot, le plus simple, le plus ouvert, le plus positif et le plus aimant qui existe, est ici le fruit de l'acceptation et de l'émerveillement de ce qui est, de tout ce qui est. Il me fait penser au « Fais de moi ce qu'il te plaira » de Charles de Foucauld. Cette voie de la simplicité, elle semble tellement difficile, voire impossible parfois. Elle est pourtant celle à laquelle nous savons tous, au plus intime, qu'elle est vraie et même unique. Il en faut, des rencontres, des enseignements, des témoignages, des illuminations même, comme des joies et des tristesses, pour en arriver là. C'est notre chemin à tous. Avec cette merveilleuse transmission, offerte aujourd'hui par une religieuse française à la spiritualité si inspirante, je voudrais ajouter un autre mot. Il est aussi beau, et il exprime à lui tout seul et au mieux tout ce que je voudrais dire à tous ceux qui nous ont manifesté leur soutien ces derniers jours : Merci La mission continue. Elle est tellement belle, joyeuse, lumineuse souvent, difficile parfois aussi. Merci à tous de la rendre possible, et de lui apporter tant de beauté et d'amour. Merci pour vos prières. Nous avons tous besoin les uns des autres. En communion d'intentions bienveillantes et de prières avec vous et ceux qui vous sont chers, Guillaume Devoud ps : Nous avons continué de recevoir de nombreux messages, ces derniers jours encore. Une sélection d'entre eux est accessible en cliquant ici. Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Het recente geweld tegen vrouwen op straat beheerste de afgelopen weken het nieuws in ons land. De samenleving was in shock, en verdriet werd omgezet in woede en protest. Online werd de nacht teruggeëist, en op straat liepen duizenden mensen mee in demonstraties tegen femicide. Maar het is voor vrouwen niet alleen 's nachts onveilig op straat. Veel vaker ligt dat gevaar binnen, achter gesloten deuren. Honderdduizenden vrouwen worden jaarlijks slachtoffer van huiselijk geweld. En daar wordt alleen tegen opgetreden als deze vrouwen zelf aangifte doen, en het liefst met een duidelijk verhaal. In 'De publieke tribune' spreekt Coen Verbraak deze week met een ex-pleger, een hulpverlener en een onderzoeker over huiselijk geweld. Want is het mogelijk om signalen van potentiële plegers eerder in beeld te krijgen? Hoe kunnen plegers van huiselijk geweld gestopt worden? Kortom: moet er naast alle terechte aandacht voor slachtoffers, niet meer gedaan worden om de veroorzakers van dat geweld op het rechte pad te krijgen? Te gast: Silvester Henskens, Inès Vanmarcke en Majone Steketee Presentatie: Coen Verbraak Redactie: Sjoerd Alders en Arthur Vacca Eindredactie: Sigrid Muusse Meer info over deze aflevering vind je hier (https://www.human.nl/de-publieke-tribune/artikelen/hoe-voorkomen-we-plegers-van-huiselijk-geweld) ✉️ Reageren? depublieketribune@human.nl
durée : 00:29:13 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Stéphanie Thomas - Alors qu'elle passait des vacances avec ses parents en Inde, le père de Sophie sauve une jeune femme de la noyade. Mais lui se noie. Trente ans plus tard Sophie a voulu savoir ce que cette femme est devenue. Une vie pour une autre. Est-ce que ça en valait la peine ?
durée : 00:14:31 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner - La réélection de Narendra Modi s'est faite en demi-teinte en 2024, dans un contexte politique nouveau en Inde. La reprise du conflit dans la région du Cachemire en avril et mai 2025 a eu des répercussions sur la vie politique intérieure indienne, et sur la posture du pays à l'Internationale. - réalisation : Charlotte Roux - invités : Christophe Jaffrelot Directeur de recherche au CERI-Sciences Po/CNRS, spécialiste de l'Inde et de sa région
In ‘De afspraak op vrijdag' van 5 september heeft Ivan De Vadder MR-voorzitter Georges-Louis Bouchez te gast, samen met politiek journalist Isolde Van den Eynde en filosoof Ignaas Devisch. Ze hebben het over het Gaza-akkoord, de kritiek op de MR-voorzitter binnen zijn partij en de werven van de Arizona-regering voor het komende politieke jaar.
Le système des castes en Inde est l'une des plus anciennes structures sociales au monde. Il est profondément enraciné dans l'histoire du sous-continent et continue d'influencer la société indienne contemporaine. Mais d'où vient cette organisation si particulière ? Et pourquoi perdure-t-elle encore aujourd'hui ?Le mot « caste » vient du portugais casta, signifiant « race » ou « lignée », mais le système en lui-même est bien antérieur à l'arrivée des Européens. En Inde, on parle plutôt de « varna » et « jati ». Le mot varna signifie « couleur » en sanskrit, et désigne les quatre grandes catégories sociales mentionnées dans les textes sacrés hindous, notamment les Védas, rédigés vers 1500 avant notre ère.Selon ces textes, la société est divisée en quatre varnas :1. Les Brahmanes, prêtres et enseignants, garants du savoir et des rites religieux.2. Les Kshatriyas, guerriers et rois, chargés de protéger et gouverner.3. Les Vaishyas, commerçants et artisans.4. Les Shudras, serviteurs et ouvriers, censés servir les trois premiers groupes.Au-delà de ces quatre varnas, il y a ceux qui furent exclus du système : les Dalits, anciennement appelés « intouchables », affectés aux tâches considérées comme « impures », comme le nettoyage, le travail du cuir ou l'incinération des morts.Mais cette division en varnas est une simplification. En réalité, l'Inde a connu au fil des siècles une multiplication des « jatis », des sous-castes définies par la profession, la région, la naissance ou le groupe social. On en compte aujourd'hui plus de 3 000, avec des hiérarchies locales complexes.Pourquoi un tel système a-t-il émergé ? Pour les historiens, plusieurs facteurs ont joué : la volonté de hiérarchiser la société, de maintenir un ordre religieux et social, mais aussi de contrôler les alliances matrimoniales, les métiers et la transmission des privilèges. En séparant les groupes, le système caste garantissait la reproduction d'un ordre établi.Avec le temps, les castes sont devenues héréditaires, interdisant la mobilité sociale. On naît dans une caste, on s'y marie, on y travaille, et on y reste. Ce système, bien qu'ébranlé par les invasions, les mouvements religieux et les colonisations, a survécu grâce à sa flexibilité locale et à son ancrage dans le quotidien.Aujourd'hui, bien que la Constitution indienne de 1950 ait aboli la discrimination fondée sur la caste, et que des politiques de quotas aient été mises en place pour les castes défavorisées, les inégalités persistent. Le système des castes continue d'influencer la politique, l'économie et les relations sociales.Ainsi, les castes en Inde ne sont pas simplement une tradition ancienne : elles sont le produit d'une histoire longue et complexe, où religion, pouvoir et société se sont intimement mêlés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Confrontée à des droits de douane punitifs de 50% imposés par les États-Unis sous l'impulsion de Donald Trump, l'Inde a choisi de ne pas riposter frontalement. Le gouvernement de Narendra Modi déploie une stratégie intérieure : alléger la fiscalité pour soutenir la consommation et amortir le choc sur la croissance. Les nouvelles taxes américaines résonnent comme une onde de choc pour les industriels indiens. 50% sur chaque produit importé d'Inde. Ces surtaxes douanières menacent les exportations, avec à la clé des risques de baisse de la production, de suppressions d'emplois et, en bout de chaîne, d'un ralentissement de la croissance. Déjà en repli par rapport à 6,5% l'an dernier, celle-ci pourrait s'affaiblir encore. Face à cette pression, New Delhi cherche à rassurer à la fois les entreprises et les consommateurs. Une réforme fiscale pour redonner du pouvoir d'achat La réponse de Narendra Modi passe par une refonte de la taxe sur les biens et services (GST). Actuellement structurée en quatre tranches – 5%, 12%, 18% et 28% – et jugée lourde administrativement, elle serait simplifiée en deux paliers : 5% pour les biens essentiels et 18% pour la majorité des autres produits. Avec moins de paperasse pour les entreprises et des prix allégés pour les ménages, le gouvernement espère un effet de relance rapide. Les économistes estiment que cette réforme pourrait ajouter 0,6% au PIB, soit plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais elle priverait l'État d'au moins 16 milliards de dollars de recettes fiscales annuelles, selon HSBC. Un pari fiscal et diplomatique risqué Ce manque à gagner inquiète particulièrement les États indiens, qui en supporteraient plus de 70% et réclament des compensations. Pour équilibrer la réforme, le gouvernement prévoit un taux de 40% sur les produits de luxe et de « péché » tels que le tabac ou les voitures haut de gamme. Au-delà de la relance interne, cette politique vise aussi à attirer des investissements étrangers indispensables au développement du pays. Reste que ce pari fiscal est risqué : il engage l'équilibre budgétaire, institutionnel et diplomatique de l'Inde, et pourrait influencer sa place sur la scène mondiale dans les années à venir. À lire aussiDroits de douane: les produits indiens désormais taxés à 50% à leur entrée aux États-Unis
Dans la Commission Gallant hier, on a appris que, non seulement on sous-traitait notre main-d’œuvre à des compagnies étrangères, mais en plus de ça certains des programmeurs de la plateforme étaient en Inde et n’avaient aucune idée de ce qu’était la SAAQ. Entrevue avec Jacques Sauvé, expert en cybersécurité et propriétaire de Trilogiam. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Un autre départ pour la CAQ : le cauchemar de François Legault se réalise | Un chauffard demande à éviter la prison parce qu’il a eu une enfance difficile et qu’il veut poursuivre ses études… | SAAQ: pourquoi a-t-on fait affaire en Inde? | Son frère se suicide à l’Institut Douglas à cause de la négligence du personnel | Décès de la présidente: les Agriculteurs en deuil Dans cet épisode intégral du 4 septembre, en entrevue : François-David Bernier, analyste judiciaire. Katherine Rousseau, directrice générale de la Fédération des agricultrices du Québec. Mélanie Gélinas, sœur de Jean-Sébastien Gélinas. Jean-François Cloutier, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor. Jacques Sauvé, expert en cybersécurité et propriétaire de Trilogiam. Viviane Audet, compositrice et pianiste. Une production QUB Septembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le gouvernement parallèle au Soudan et les droits de douane américains contre l'Inde. Football : la sélection brésilienne sans ses stars Pour les deux derniers matchs des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026, Carlo Ancelotti a décidé de se passer de Neymar, Vinícius Jr. et Rodrygo. Comment expliquer ces absences ? Comment cette sélection est-elle perçue au Brésil ? Avec Olivier Pron, journaliste au service des sports de RFI. Soudan : le pays se retrouve avec deux gouvernements Au Soudan, le chef des paramilitaires, le général Hemedti, a été investi à la tête d'un gouvernement parallèle à celui reconnu par la communauté internationale. Mais dispose-t-il des moyens financiers et militaires suffisants pour s'imposer sur le long terme ? Avec Roland Marchal, chercheur au CNRS, basé à Sciences Po Paris, spécialiste de l'Afrique de l'Est. À lire aussiSoudan : le général Hemedti investi à la tête d'un gouvernement parallèle Droits de douane : l'Inde ne cède pas face aux taxes américaines Pour forcer l'Inde à ne plus acheter de pétrole russe, Donald Trump a fait passer de 25% à 50% les droits de douane sur les produits indiens importés aux États-Unis. Mais l'Inde refuse de céder. Comment expliquer cette dépendance au pétrole russe ? De quels leviers dispose le Premier ministre, Narendra Modi, pour résister à la pression américaine ? Avec Catherine Bros, professeure d'économie à l'université de Tours et spécialiste de l'Inde.
Depuis le 27 août, certains produits indiens sont taxés à 50 % à leur entrée sur le marché américain. Donald Trump sanctionne New Delhi pour ses achats de pétrole russe. Si l'impact économique reste limité à l'échelle nationale, certains secteurs, comme le textile, sont déjà frappés de plein fouet.
durée : 00:14:31 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner - La réélection de Narendra Modi s'est faite en demi-teinte en 2024, dans un contexte politique nouveau en Inde. La reprise du conflit dans la région du Cachemire en avril et mai 2025 a eu des répercussions sur la vie politique intérieure indienne, et sur la posture du pays à l'Internationale. - réalisation : Charlotte Roux - invités : Christophe Jaffrelot Directeur de recherche au CERI-Sciences Po/CNRS, spécialiste de l'Inde et de sa région
Voor de een had het slaan van de torenklok een waarschuwende klank, de ander kreeg tranen in zijn ogen bij deze geluiden. Maar allemaal zaten ze gevangen tussen moderniteit en nostalgie. Want hoe mooi vroeger ook was, de trein en de snelweg hadden de toekomst. In De storm die wij vooruitgang noemen, een boek over 250 jaar autobiografieën en dagboeken, gaat historicus Arianne Baggerman op zoek naar ‘de grondtoon van Nederland'.Je groeit op in het Leeuwarden van Mata Hari, wordt vurig communist, Spanjestrijder en eindigt uiteindelijk als nazispion, die op zeer geheime missie moet - en dat allemaal in één leven. Het overkwam André Engwirda. Over hem verscheen het boek De man die Tito ging vermoorden. Schrijver en journalist Pieter van Os las het en verbaasde zich over dit buitengewoon onwaarschijnlijke leven én verhaal. Hoofdredacteur Bas Kromhout belicht de septembereditie van Historisch Nieuwsblad
Send us a textDans cet épisode lumineux de SHINE, je reçois Alice Vivian, conférencière, formatrice, professeure de yoga-thérapeutique et autrice du livre Et si le corps était la clé ? (Éditions Points).Après une première vie dans la communication, Alice change radicalement de cap : un long voyage initiatique la mène jusqu'en Inde, où elle découvre le yoga ancestral – loin du yoga fitness, proche de la spiritualité et de la transformation intérieure. Ce moment marque un tournant.Aujourd'hui, elle accompagne les transitions personnelles et professionnelles à travers Mojom, une structure innovante qui aide chacun à se reconnecter à son intelligence corporelle.✨ Dans cet épisode, on explore :Pourquoi le corps est une porte d'accès à soi, à son intuition, à son projet de vieLes 5 étapes de sa méthode pour se reconnecter à son corpsLa différence entre rituel et routine, et comment ramener du sacré dans le quotidienEn quoi la transformation personnelle peut nourrir une transformation collectiveUn échange vibrant, inspirant, concret — qui fait du bien autant au cœur qu'au corps.
Lundi 1er septembre, Zoé Mohl, investisseur chez Balderton Capital, Nicolas Guyon, animateur du podcast "Comptoir IA", et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur la création de la musique à l'aide de l'intelligence artificielle, le retard de DeepSeek à cause des puces Huawei, et le méga data center d'OpenAI en Inde, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 1er septembre, le rapprochement entre l'Inde et la Chine, en marge du sommet de Tianjin autour de Xi Jinping, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:04:58 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Sous la gouverne de son Premier ministre nationaliste Narendra Modi, l'Inde se revendique comme "la capitale mondiale des compétences". Mais pour quelles réalités, technologique, économique, écologique, (géo)politique ? Entretien avec Jean-Luc Racine, directeur de recherche émérite au CNRS. - invités : Jean-Luc Racine Directeur de recherche émérite au CNRS et chercheur senior au think tank Asia Centre
Varoluş bunalımı hepimizin içinde var mı? Hiçliğin üzerine bir hayat kurulabilir mi? Absürdizm bize ne anlatıyor? Eksik Olan'da bu hafta Alp Y. Kozanoğlu ve Ömer Çeşit absürt tiyatronun kurucusu Eugene Ionesco'nun Yalnız Adam kitabını değerlendirdi. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Free "Linguistica" App For over a decade we have been sharing free episodes wherever you listen to podcasts as part of our commitment to accessible language learning. Now, millions of downloads later, we want to offer you more. We just launched the Linguistica app which features free weekly articles in every level along with their interactive transcripts. Linguistica is ad free, doesn't require a login, and works for all of our languages: Spanish, French, Italian, and German. Install and start learning right away, it's that simple. Passons en revue les sujets que nous aborderons dans la première partie de l'émission d'aujourd'hui. Notre première discussion portera sur les impôts en Europe. Les recettes fiscales restent essentielles pour financer les services publics, et les taux varient d'un pays européen à l'autre. Ensuite, nous nous intéresserons à un projet de l'UE visant à supprimer les barrières commerciales en Méditerranée. Pourquoi l'UE envisage-t-elle cela ? Qu'est-ce que cela signifiera pour l'avenir du commerce dans la région ? Notre section scientifique sera consacrée à une étude sur le lien entre la chaleur et la mauvaise humeur. Et nous conclurons la partie actualités en parlant du problème des chiens errants en Inde. La situation a récemment fait la une des journaux en raison de la décision prise, puis annulée, par la Cour suprême d'ordonner l'enfermement de tous les chiens errants. Mais cette question continue de faire débat : comment l'Inde peut-elle protéger sa population des menaces que représentent les plus de 62 millions de chiens errants tout en traitant ces animaux avec compassion ? Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. Notre point de grammaire de la semaine sera : The Imperfect Tense. The Verbs of the Third Group with the roots: battre, tenir, courir, and cueillir. Nous discuterons des menaces qui pèsent sur le télétravail en ce moment et de l'évolution de cette organisation du travail en France. Nous terminerons avec l'expression de la semaine, Avoir le cœur sur la main. De nombreux jeunes Français participent pendant leurs vacances à des missions humanitaires à travers le monde. Mais ce « volontourisme » n'a-t-il que des bons côtés ? - Les taux d'imposition en Europe reflètent les différences en matière de politique fiscale - L'UE envisage de supprimer les barrières commerciales en Méditerranée - Une étude à grande échelle établit un lien entre la chaleur et la mauvaise humeur - L'Inde subit les conséquences d'une population de chiens errants dépassant les 60 millions - Le télétravail va-t-il disparaître à la rentrée ? - Faire de l'humanitaire pendant les vacances, une bonne idée ?
En Inde, la coalition d'opposition affirme que les dernières élections ont été truquées. Le Parti du Congrès dit avoir identifié de nombreuses anomalies sur les listes électorales, avec de faux électeurs ajoutés pour faire pencher les scrutins en faveur du parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi. L'opposition mène depuis dix jours une grande marche à travers l'État du Bihar pour mettre en garde les électeurs. Sous la moiteur de la mousson, des milliers de paysans en turban et de femmes en sari sont venus écouter Rahul Gandhi, le leader de l'opposition. Il harangue la foule au lancement d'une marche de 14 jours à travers le Bihar, qui compte 130 millions d'habitants : « Mes amis, dans toute l'Inde, les élections vous sont volées. Les listes électorales sont trafiquées : des électeurs fantômes y sont inscrits, d'autres en sont exclus. Le peuple du Bihar ne se laissera pas faire ! » Dans cet État, un des plus pauvres de l'Inde, les électeurs sont appelés aux urnes en octobre. Or, ici aussi, l'opposition redoute des fraudes, alors que le pouvoir central a décidé de mettre à jour les listes électorales du Bihar. Rupam Yadav, professeure dans la capitale Patna, est venue saluer le cortège de l'opposition : « Des travailleurs pauvres, des migrants qui vivent ailleurs mais votent ici, sont radiés des listes électorales en priorité. Pourquoi ? Parce que le pouvoir sait que les plus démunis ne peuvent faire valoir leurs droits et soutiennent en majorité l'opposition. » Ceux qui s'estiment injustement radiés ont jusqu'au 1er septembre pour se signaler. C'est trop peu, juge l'opposition, alors que 30% des habitants du Bihar sont analphabètes. Sur le chemin de la marche, certains nous font part de leur fatalisme, comme ce vendeur de 84 ans : « Oui, les élections sont manipulées par le pouvoir. Mais beaucoup de partis, une fois élus, se sont livrés à des fraudes. » À lire aussiInde: le Parti du Congrès présente des «preuves» du trucage des élections D'autres, comme cet agriculteur, sont préoccupés par la situation économique : « Le problème du Bihar, c'est le chômage. À cause de cela, nos jeunes quittent la région. La priorité est d'ouvrir des usines ! » Le défi est pour l'opposition de convaincre une population parfois résignée face aux fraudes politiques. Achala Singh, ex-candidate du Parti du Congrès au Bihar, se dit optimiste : « C'est justement pour convaincre les électeurs défavorisés que Rahul Gandhi a choisi de marcher dans le Bihar. Et les foules qui viennent voir ses discours montrent qu'ils se sentent concernés par son message de défense de la démocratie. » La Commission électorale, de son côté, assure que les élections en Inde sont équitables et transparentes. Son incapacité à fournir des réponses précises aux accusations de l'opposition nourrit cependant le succès de la marche, qui prendra fin le 1er septembre. À lire aussiInde: enquête ouverte pour blanchiment d'argent contre Sonia et Rahul Gandhi
C'est un phénomène planétaire, les villes s'étendent, car elles attirent de plus en plus de monde. Depuis 2008, plus de la moitié de la population mondiale est urbaine, bientôt les deux tiers, annoncent les experts de l'ONU ! Mais qu'est-ce qui nous donne envie de vivre en ville ? L'accès facilité à l'eau, à l'électricité, aux infrastructures de santé et d'éducation et aux emplois qui peuvent permettre une ascension sociale. (Rediffusion du 21/02/25) Mais les mégapoles qui abritent plus de 10 millions d'habitants ont aussi leur face sombre : leur gigantisme consomme énormément de ressources planétaires qui ne sont pas illimitées et elles sont au quotidien oppressantes, minérales et polluées. D'ailleurs, d'autres modèles du vivre ensemble émergent. Avec Guillaume Faburel,géographe et professeur à l'université Lyon 2, auteur de Indécence urbaine - Pour un nouveau pacte avec le vivant (Flammarion, 2023). Et le reportage de Côme Bastin sur le plus ancien et le plus grand éco-village du monde : Auroville, en Inde : L'expérience singulière d'Auroville naît en 1968 dans le sud-est de l'Inde, dans l'État du Tamil Nadu, près de Pondichéry. Des centaines de volontaires d'Inde et du monde entier ont répondu à l'appel d'une mystique franco-indienne : Mira Alfassa, qui rêve d'une ville dédiée à la spiritualité et à l'écologie, où l'argent, la propriété et la nationalité n'ont pas d'importance. Avec des hauts et des bas, ces pionniers vont transformer un plateau désertique en un havre de verdure et expérimenter de nouvelles formes d'architecture et de vivre ensemble, sous la protection bienveillante de l'État indien. Enfin, ça, c'était jusqu'en 2021. Car depuis trois ans, l'État indien a entrepris de reprendre en main Auroville et sa communauté, jugées un peu trop cosmopolites et baba cool. Cette émission est une rediffusion du 21 février 2025.
Dans le cadre de notre semaine spéciale de replay [L'envers du verre], (re)écoutez l'épisode [#42 - Quels sont les impacts de notre consommation de thé ? avec Pierre Lebrun].Au niveau mondial, 25 000 tasses de thé sont consommées chaque seconde, soit 2,16 milliards de tasses par jour, ce qui en fait la deuxième boisson la plus consommée au monde, après l'eau. En France, deux tiers de la population en boit régulièrement. Thé vert, blanc ou noir, en sachet ou en vrac, en infusion ou en recette : le thé se décline en goût et en utilisation et se consomme tout au long de la journée.Or, en tant que produit exotique, sa consommation a des impacts aussi bien environnementaux que sociaux. Originaire d'Asie, le thé pousse essentiellement en Chine mais aussi en Inde, au Kenya ou au Sri Lanka. Impact carbone, déforestation, utilisation de pesticides, conditions de travail, surproduction : les enjeux autour de ce produit, consommé quotidiennement, sont nombreux. Est-il encore raisonnable de boire du thé ? Peut-on le consommer de manière écoresponsable ? Pour décrypter les enjeux autour du thé Fanny Giansetto reçoit, dans cet épisode, Pierre Lebrun, fondateur du Parti du thé.
Dans notre série sur les grands boycotts de l'Histoire, David fait trembler Goliath en usant de l'arme économique. De l'Irlande à Israël en passant par l'Afrique du Sud ou l'Inde, du lait en poudre au pétrole en passant par les bus de Montgomery, le boycott transforme le consommateur en citoyen. Pour ce deuxième épisode, retour sur le boycott du tissu britannique par les indépendantistes indiens.
Gülin Dede Tekin bu yıl yeni bir edisyon üretmek yerine tüm paydaşlarına bir araya gelme çağrısı yaparak dikkat çeken Bergama Tiyatro Festivali'ne mikrofon uzatıyor. Konukları festival kurucu ortağı Eren Arıkan, festival koordinatörü Melis Balaban, festivalin gönüllülerinden Didem Çetin ve Dilan Güneş.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur un rapprochement diplomatique sino-indien, l'exclusion de la presse portugaise en Guinée-Bissau et l'échec des négociations sur le plastique. Mali : un ressortissant français accusé de « tentative de déstabilisation » La France rejette les accusations portées à l'encontre du Français arrêté par les autorités maliennes et accusé d'avoir tenté de déstabiliser le pouvoir en place. Que sait-on précisément des circonstances de son arrestation ? Quelles sont les preuves concrètes cette tentative de déstabilisation ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Chine/Inde : vers une réconciliation diplomatique ? Après six ans de froid diplomatique, le ministre des Affaires étrangères chinois est arrivé en Inde pour une visite diplomatique. Comment comprendre cette volonté de réconciliation entre les deux pays ? Quels sont les objectifs diplomatiques de cette rencontre ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Guinée-Bissau : la presse portugaise poussée vers la sortie En Guinée-Bissau, les autorités ont ordonné la fermeture des services de l'agence de presse Lusa et des programmes des chaînes publiques de radio et télévision. Quelles raisons pourraient expliquer cette fermeture soudaine alors qu'aucune justification officielle n'a été donnée ? Quelle est aujourd'hui la situation de la liberté de la presse en Guinée-Bissau ? Avec Sadibou Marong, directeur du bureau Afrique de Reporters Sans Frontières. Environnement : l'échec des négociations contre la pollution plastique Aucun accord contre la pollution plastique n'a été trouvé après dix jours de discussion à Genève. Comment expliquer l'échec de ces discussions ? Quelles sont les prochaines étapes pour sauver ce traité ? Avec Lucile Gimberg, journaliste au service environnement-climat, de retour de Genève.
Andreas, Ilsa, Claraque Rusticatione Acta una locum Livianum qui de secessione Plebis prima agitur. Infra locum invenire potestis.Si hoc episodion placuit, ut cum amicis id communicetis rogamus.
Le Qatar se lance officiellement dans la course pour les Jeux Olympiques 2036 !
[BEST-OF - REDIFFUSION] Que faire quand vous cochez toutes les cases, mais qu'un certain sentiment d'insatisfaction vous poursuit ?Marianne avait tout pour rendre ses parents fiers d'elle : une scolarité brillante, une entreprise qu'elle a créée avec son frère qui cartonne. Au temps intermédiaire du slalom de l'existence, elle était bien en avance. Mais en enchaînant les succès et en dévalant la pente à toute vitesse, quelque chose s'est perdu. Derrière les dorures d'un CV qui se remplissait vite, l'éclat du regard s'est un peu terni. Jusqu'à ce que le filament de la méditation apparaisse dans son ciel ✨L'histoire de Marianne, c'est celle d'une sceptique, de quelqu'un très loin de nager dans la pataugeoire de la spiritualité. C'est donc l'histoire d'une itinérance intérieure, d'une transfuge de la croyance et c'est pour ça que j'espère que cet épisode retentira tout particulièrement pour celles et ceux qui peuvent se dire “la méditation ça n'est pas pour moi…”
Adem Yavuz Arslan | ‘Çinleşme'nin eşiğinde! by Tr724
In ‘De eerste honderd dagen van Trump' volgt Kirsten Verdel elke stap van de ‘nieuwe' Amerikaanse president in de eerste honderd dagen van zijn tweede presidentiële termijn in het Oval Office. Van het ondertekenen van tientallen decreten op dag één tot zijn tweet op dag honderd: “We're living in a whole new world.” Het resultaat is een meeslepend verslag van een turbulente start van een presidentschap, gebundeld in meer dan 500 pagina's. Presentatie: Jeroen Stout
Ce sera la première exécution d'une femme en Inde depuis 1947. Shabnam Ali et son compagnon, Saleem, ont été reconnus coupables et condamnés à mort pour le meurtre de sept membres de la famille de Shabnam en 2008.Pourquoi a-t-elle commis cet acte ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré, en première partie, à l'esclavage moderne. Direction la frontière entre la Thaïlande et la Birmanie, où des mafias chinoises ont monté des centres de fraude en ligne. Des victimes sont retenues de force pour travailler en tant que cyber-esclaves, ils risquent même la mort. En deuxième partie, direction les États-Unis, avec l'expulsion de centaines de migrants indiens illégaux, qui avaient choisi de prendre le risque de quitter leur pays d'origine pour les États-Unis, en vue d'y trouver un emploi et vivre décemment. (Rediffusion) Fraude en ligne et esclavage moderne, enquête sur les usines de cybercriminalité de Birmanie Ils sont attirés par des emplois bien rémunérés, mais finissent enfermés, à travailler de force, battus et parfois assassinés. Des dizaines de milliers de personnes, de toutes nationalités, sont retenues à la frontière entre la Thaïlande et la Birmanie, dans des zones de jungle, contrôlées par des groupes armés birmans. C'est là que des mafias chinoises ont monté ces centres de fraude en ligne. En février 2025, une grande opération de police a permis de libérer 7 000 victimes. Mais des milliers d'autres sont toujours retenus. Carol Isoux a enquêté pendant de longs mois, et a pu entrer en contact avec certains de ces cyber-esclaves, qui nous révèlent leurs conditions de vie inhumaines. Un Grand reportage de Carol Isoux qui s'entretient avec Sébastien Farcis. Les migrants indiens expulsés par Donald Trump, symbole de la crise économique en Inde Pour l'Inde, la réélection de Donald Trump comme président des États-Unis a eu une conséquence immédiate et brutale : le renvoi de centaines de migrants illégaux. Ces dernières semaines, ils arrivent donc en Inde par avions militaires, enchaînés, comme des esclaves. L'humiliation est grande, surtout pour le Premier ministre nationaliste indien, Narendra Modi, proche de Donald Trump. Mais, plus gravement, cela révèle le désespoir de millions d'Indiens, qui ne trouvent pas de travail chez eux, et sont prêts à risquer leur vie pour entrer aux États-Unis. Un Grand reportage de Côme Bastin qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'assignation à résidence de Jair Bolsonaro et l'augmentation des taxes américaines contre l'Inde. Soudan : des mercenaires colombiens engagés auprès des FSR Au Soudan, plus de mille mercenaires colombiens sont présents en soutien aux Forces de soutien rapide. Comment les FSR parviennent-ils à recruter les Colombiens qui sont à des milliers de kilomètres du Soudan ? Que sait-on de leur mission sur le terrain ? Avec Houda Ibrahim, journaliste au service Afrique de RFI. Brésil : l'ancien président brésilien assigné à résidence Un juge a ordonné l'assignation à résidence de l'ancien président brésilien. Comment expliquer cette décision ? Cette situation ne pourrait-elle pas amplifier les tensions entre Washington et Brasilia ? Avec Gaspard Estrada, politologue et membre de l'Unité Sud Global à la London School of Economics. Inde : nouvelle augmentation des taxes douanières américaines Donald Trump a annoncé augmenter les droits de douane pour l'Inde en raison de ses achats du pétrole russe. Que pourraient être les conséquences d'une telle décision sur l'économie indienne ? Les autorités indiennes ont-elles des moyens de riposter ? Avec Jean-Joseph Boillot, chercheur associé à l'IRIS, spécialiste de l'économie indienne. Et en fin d'émission, la chronique « Un oeil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Au programme : retour sur les images surprenantes de Patrice Talon dansant sur le tube de l'été « Charger » du groupe Triangle des Bermudes.
durée : 00:02:05 - Le vrai ou faux - En cette période estivale, franceinfo s'intéresse aux pièges que l'intelligence artificielle nous tend. Grâce à la technique du deepfake, des militants donnent l'illusion du retour de personnalités politiques décédées. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour l'Inde, la réélection de Donald Trump comme président des États-Unis a eu une conséquence immédiate et brutale : le renvoi de centaines de migrants illégaux. Ces dernières semaines, ils arrivent donc en Inde par avions militaires, enchaînés, comme des esclaves. L'humiliation est grande, surtout pour le Premier ministre nationaliste indien, Narendra Modi, proche de Donald Trump. Mais, plus gravement, cela révèle le désespoir de millions d'Indiens, qui ne trouvent pas de travail chez eux, et sont prêts à risquer leur vie pour entrer aux États-Unis. (Rediffusion) «Les migrants indiens expulsés par Donald Trump, symbole de la crise économique en Inde», un Grand reportage de Côme Bastin.
durée : 00:58:17 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Le sordide viol collectif d'une étudiante dans un bus de New Delhi, en 2012, avait provoqué une onde de choc en Inde et amorcé des changements législatifs et sociétaux longtemps espérés des féministes indiennes. Douze ans plus tard, leurs effets sur la sécurité des femmes restent limités. - réalisation : Margot Page - invités : Vaiju Naravane Écrivaine et journaliste, correspondante, notamment pour The Hindustan Times; Virginie Dutoya Politiste, chercheuse au CESAH, Centre d'études sud-asiatiques et himalayennes ; Laurent Gayer Chercheur au Centre d'études et de recherches internationales (CERI/Sciences Po, Paris)