River in Belgium and Germany
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Le Journal en français facile du lundi 15 décembre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CGrU.A
''Il était une fois dans un pays lointain, en Inde, une vache extraordinaire. Elle était d'un jaune si éblouissant qu'elle émerveillait tout le voisinage. Arun, le petit garçon qui s'occupait du troupeau, l'appela Safrane. Car c'est le nom d'une très belle couleur jaune… " Une vache trop gâtée, une histoire lue par Mathilde, écrite par Michel Piquemal, illustrée par Judith Gueyfier, publiée dans le magazine Pomme d'Api n°719. Le magazine Pomme d'Api propose chaque mois une histoire à écouter en famille. Un podcast plein de tendresse, d'humour et de douceur, dont vous pouvez retrouver le texte original dans le magazine du mois. La grande histoire, ce sont des histoires écrites par des auteurs jeunesse et des journalistes spécialistes de l'enfance. Elles sont lues par de vrais parents ou grands-parents, tontons et tatas, baby-sitters, grands-frères, grandes-sœurs, nounous, cousines, cousins... Ce podcast est préparé et animé par Bayard Jeunesse. Réalisation : Rémi Chaurand, Musique : Emmanuel Viau. Habillage sonore et mixage : Gabriel Fadavi. Création visuelle : Marianne Vilcog. Production : Hélène Loiseau. Voix : Aude Loyer-Hascoet et Mathilde.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Appel à propositions pour un festival en Inde : colère et déception des artistes locaux, confrontés à la fermeture du siège du ministère le jour de la date limite by TOPFM MAURITIUS
In een periode van ziekte werd Rosaliene Israël geconfronteerd met doodsangst. ‘Ik kon steeds minder zuurstof opnemen; het voelde alsof ik in een groot zwart gat viel.' In De verwondering vertelt deze ruimzinnige predikant hoe ze op de bodem van haar angst ontdekte dat ze gedragen wordt. ‘Er zit een grond in mij die moed geeft.'
Dans cet épisode #179, nous allons parler de Endhiran/Enthiran/Robot, sorti en 2010, et l'un des films les plus cultes de l'Inde, avec l'immense star Rajinikanth.Qu'avons-nous pensé de ce film complètement barré et innovant pour l'époque, largement inspiré de Matrix, I robot et Terminator ? Suivez-nous sur insta : bollywood_versus et twitter : BV_podcast
Er zijn wereldwijd veel conflicten, maar ze halen lang niet allemaal ons nieuws. De oorlog in Soedan haalde even de voorpagina's en het journaal als zo'n ‘vergeten conflict'. Hoe kan het dat zo veel oorlogen ons nieuws nooit halen? Wat zegt dat over ons en wat betekent het voor de mensen in zo'n oorlog? Het Rode Kruis opende vorige maand een nieuw Giro-nummer vanwege een “historisch hoog aantal” conflicten wereldwijd. Voor veel van die conflicten met vaak veel slachtoffers is nauwelijks aandacht. In ‘De publieke tribune' spreekt Nathan de Vries met journalisten die proberen ‘vergeten conflicten' tegen de stroom in onder de aandacht te brengen. Hoe houden ze het vol en hoe voorkomen ze cynisme? Te gast: Minka Nijhuis, Kees Broere, Eline Derakhshan en Elien Spillebeen Presentatie: Nathan de Vries Redactie: Noah van Diepen, Sjoerd Alders en Adinda Hijl Eindredactie: Sigrid Muusse ℹ️ Meer info? human.nl/dpt ✉️ Reageren? depublieketribune@human.nl
In ‘De afspraak op vrijdag' van 12 december heeft Ivan De Vadder MR-voorzitter Georges-Louis Bouchez te gast, samen met politiek filosoof Tinneke Beeckman en politiek journalist Bert Bultinck. Ze hebben het over de Euroclear-miljarden, de speech van Mark Rutte en de veiligheidsstrategie van de VS en de losse eindjes van het begrotingsakkoord.
Ce jeudi 11 décembre, Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France à New Delhi et Moscou, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils sont revenus sur la croissance économique de l'Inde et son pool d'ingénieurs qualifiés, deux atouts qui attirent les investissements dans la tech et l'intelligence artificielle, avant de parler de la réforme du code du travail, une priorité du gouvernement indien pour protéger le droit des travailleurs. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En marge de l'annonce de son plan agricole, Donald Trump a ouvert un nouveau front de bataille avec l'Inde : le président américain a dénoncé les prix que l'Inde pratique pour vendre son riz dans le monde et en particulier aux États-Unis. « Ils ne devraient pas déverser ces déchets » c'est avec ses mots que Donald Trump a parlé du riz indien. L'Inde est le premier pays exportateur de riz et met sur le marché mondial d'énormes quantités, soit entre 17 et 20 millions de tonnes en moyenne et probablement plus cette année. Mais ce riz indien est loin d'inonder les États-Unis, qui ne représentent que le 24ème marché pour l'Inde. Les importations américaines, elles, sont en augmentation depuis quarante ans et devraient encore cette années être en hausse de 3% selon le ministère américain de l'Agriculture (USDA).Aujourd'hui les États-Unis achètent environ un million et demi de tonnes sur le marché international dont 350 000 tonnes environ d'origine indienne rappelle Patricio Mendez del Villar économiste au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). Il s'agit essentiellement de riz basmati, un riz réputé pour son parfum. Des importations basées sur le riz basmati Le riz aromatique américain ne suffit pas à répondre à la demande locale. On peut donc difficilement dire que le riz indien fait concurrence au riz américain répond la Fédération indienne des exportateurs de riz (IREF) à Donald Trump. Selon l'organisme, la demande américaine n'a même pas été freinée par l'instauration, fin août, de droits de douane qui se montent désormais à 50%, preuve « de la popularité grandissante de la cuisine indienne, notamment de plats comme le biryani, où le riz basmati est un ingrédient essentiel et difficilement remplaçable ». De manière plus terre à terre, le maintien des flux pourrait aussi être dû au contournement des taxes : certains opérateurs indiens font transiter le riz par leur filiale européenne pour échapper aux droits de douane, relève un négociant en riz. Le riz américain en difficulté Les producteurs américains se disent en très grande difficulté et assurent que ce qu'ils traversent n'est pas une «simple crise ». Ils l'ont répété lundi aux côtés de Donald Trump, lors de l'annonce de son plan de soutien à l'agriculture. Ce sont eux qui ont alerté le patron de la Maison Blanche sur le dumping de riz pratiqué par certains pays, pratique qu'ils qualifient de «tricherie», en raison des subventions accordées par plusieurs pays asiatiques à leur filière. Ce qui est vrai c'est que le secteur américain pâtit de la baisse générale des cours mondiaux, liée au retour massif de l'Inde sur le marché depuis un an, après des mois de restriction des volumes exportés. Ce retour a entrainé une suroffre et ne facilite pas les exportations américaines, principalement destinées à l'Amérique centrale et au Japon. Ces difficultés expliquent peut-être la diatribe de Donald Trump mais on ne peut pas exclure qu'il ait aussi voulu faire monter la pression avant l'arrivée, ces 10 et 11 décembre, d'un représentant au commerce américain à New Dehli. Un déplacement qui s'inscrit dans le cadre des discussions sur les droits de douane imposés à l'Inde par Washington au mois d'août, en rétorsion aux achats indiens de pétrole russe. À lire aussiL'abondance de riz fait chuter les prix mondiaux toujours plus bas
La laïcité en France a 120 ans. C'est en effet le 9 décembre 1905 qu'a été votée en France la loi de séparation des églises et de l'État. Mais quel regard porte aujourd'hui le monde sur cette loi ? Et est-ce que la laïcité est menacée par la montée des fondamentalismes religieux ? Le philosophe sénégalais Souleymane Bachir Diagne enseigne à l'université Columbia de New York. Il reconnait que la laïcité traverse une crise, mais croit toujours à ce concept. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Souleymane Bachir Diagne, il y a la laïcité à la française dont on célèbre aujourd'hui les 120 ans. Mais il y a, dites-vous, d'autres formes de laïcité, est-ce qu'il y a un socle commun ? Souleymane Bachir Diagne : Je crois qu'un socle commun effectivement est clairement établi, c'est celui de la séparation entre les religions et l'État. L'idée étant que les constitutions sur lesquelles sont fondés les États nations sont œuvre humaine et non pas dictées par une transcendance religieuse. Et une des traductions possibles d'un tel principe, c'est une forme de neutralité de l'État vis à vis des différentes confessions religieuses et, par conséquent, on peut considérer que, lié à ces principes, il y a le principe également de pluralisme. L'État admet qu'il y a une pluralité de confessions, de dénominations, de philosophies, de spiritualité et qu'il doit lui-même, en tant qu'État, se tenir à équidistance. Alors en France, la laïcité, c'est considéré comme la séparation de l'Eglise et de l'État. On ne parle pas de pluralisme. Pourquoi ajoutez-vous cette dimension de pluralisme ? Peut-être parce que la laïcité à la française est trop brutale et trop dans la confrontation avec les religions ? Je le crois en effet, parce que toutes les péripéties qui ont accompagné l'histoire de France après la Révolution, ce sont des péripéties qui mettaient face à face la République et la restauration de la monarchie. Et l'Église était du côté opposé à la République. Donc en effet, on peut considérer que 1905, c'est une victoire après confrontation de la République sur la religion. Donc cet aspect confrontation et victoire finale est en quelque sorte lisible, probablement, dans cette affirmation de la laïcité française. Encore que le principe de liberté de conscience étant posé dans la laïcité française également, on peut considérer que la liberté de conscience, c'est une manière de parler du pluralisme des voies. Cette conscience peut prendre les directions qu'elle souhaite. Au Mali, lors de l'adoption d'une nouvelle Constitution il y a bientôt trois ans, le principe de laïcité a été réaffirmé, mais il a été combattu, non pas d'ailleurs par le Haut Conseil islamique de Mahmoud Dicko, mais par une Ligue malienne des imams et érudits pour la solidarité islamique, Limama, qui a demandé à ce que le terme de laïcité soit remplacé par celui d'État multiconfessionnel. Oui, c'était un moment intéressant. Il y a toujours eu dans l'islam, si vous voulez, cette circonspection concernant le mot de laïcité même. Donc, voilà probablement ce qui était dans l'esprit de cette proposition de mettre plutôt état multiconfessionnel. On se rend compte que l'expression elle-même est une forme de reconnaissance du pluralisme des confessions, et donc semble capturer cet élément fondamental qui entre dans la définition de la laïcité. Mais abandonner le mot aurait été probablement un mauvais signal. Supprimer le mot laïcité, c'était probablement la porte ouverte à une remise en question radicale des principes sur lesquels un État moderne aujourd'hui est fondé. Mon vieux maître Althusser disait: « On n'abandonne pas un concept ». Althusser ? Oui, il avait dit : « On n'abandonne pas un concept comme on abandonne un chien. » Alors, quand on voit aujourd'hui la montée du communautarisme dans plusieurs pays, quand on voit l'érosion du modèle laïc en Turquie, quand on voit la montée du nationalisme chrétien aux États-Unis, la montée du nationalisme hindou en Inde, est-ce que ce socle commun de laïcité n'est pas menacé ? Il est certain que cette laïcité connaît une crise aujourd'hui, quand on voit tous les fondamentalismes religieux d'un bout à l'autre de la planète. Mais c'est non seulement ce socle commun de laïcité qui est menacé, mais de manière plus générale, c'est l'idée même de la démocratie qui est menacée. Et j'ajouterai même, c'est l'idée d'humanité qui est menacée. Un universel humain, une manière de vivre le pluralisme de nos cultures, de nos langues, mais avec un sentiment d'une humanité partagée. Nous vivons dans un monde qui est aujourd'hui très fragmenté par des ethno- nationalismes et différentes formes de tribalisme qui instrumentalisent les différentes religions. Aujourd'hui, toutes les religions, on les voit embarquées dans ces ethno-nationalismes. On voit que la laïcité est une sorte de victime collatérale de cette tribalisation de notre humanité. À lire aussiLaïcité en France: dix choses à savoir sur la loi de séparation des Églises et de l'État À lire aussiPeut-on encore enseigner la laïcité à l'école française ?
Brevo vient d'atteindre le milliard de valorisation.Pourtant personne ne le sait.Polytechnicien aussi discret que brillant, fils de 2 psychanalystes, Armand Thiberge est un pokémon rare dans l'écosystème tech et entrepreneurial français. L'annonce d'un deal colossal de 500 millions d'euros était l'occasion parfaite pour (enfin) l'inviter sur GDIY.L'histoire de Brevo commence en Inde où Armand s'installe pour un stage à la fin de ses études.Lassé en moins de 2 semaines, il quitte son stage, s'associe avec un Indien et crée une agence web. Mais son âme d'ingénieur bouillonne et le pousse très vite à abandonner le modèle d'agence pour construire un vrai produit.Il lance d'abord un outil d'e-mailing, puis élargit ses services au SMS marketing, développe un CRM et devient l'un des premiers à intégrer de l'IA partout dans la gestion de la relation client.En 15 ans, son SaaS — appelé “MailIn” puis “Sendinblue” et maintenant “Brevo” — atteint 200 millions d'euros d'ARR (revenus annuels) et devient un outil indispensable pour des dizaines de milliers d'entreprises, en France, en Europe et aux US.Dans cet épisode nous revenons sur :Les étapes de croissance de Brevo — de la création à New Delhi en 2007 à l'entrée dans le cercle restreint des licornes tech françaises.Comment opérer une croissance saine et rentable sans se brûler les ailesSon plan pour atteindre 1 milliard de revenus annuelsPourquoi Armand est l'un des rares entrepreneurs à soutenir la Taxe ZucmanUn entrepreneur sous-côté, surdoué et aux mille idées qui rappelle qu'avancer sans faire de vagues est aussi une bonne manière d'atteindre les sommets.Vous pouvez contacter Armand sur LinkedIn.TIMELINE:00:00:00 : Monter sa première entreprise en Inde sans aucune expérience00:17:06 : Comment gérer de grosses différences culturelles00:27:33 : “Aujourd'hui les meilleurs développeurs du monde sont en Inde”00:37:09 : La mine d'or sous-exploitée des clients fidèles00:47:34 : La magie du bouche-à-oreille00:56:14 : Ce défi qui menace tous les SaaS01:07:34 : Refuser 10 millions à 33 ans01:19:14 : Pourquoi il faut absolument des géants européens dans la tech01:27:29 : Le plan de Brevo pour atteindre 1 milliard de revenus01:37:15 : “On a appris dès le début à faire de la croissance rentable”01:47:06 : La méga opération à 500 millions qui fait de Brevo une licorne02:01:54 : Être l'un des seuls entrepreneurs français à soutenir la taxe Zucman02:17:47 : Le combat d'Armand sur le front Ukrainien02:28:53 : “Il faut être plus humble sur ce qu'on va réussir à faire avec l'IA”02:38:27 : Le vrai défi du 21e siècle02:45:55 : Il n'y a pas de plafond, fonceLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #279 - Thibaud Elzière - eFounders - Startups, Web3, Voile Solaire et Maisons de luxe : quand la curiosité n'a plus de limites#1 - Simon Dawlat - Batch - Comment lever 10 millions et se faire blacklister par Apple#487 - VO - Anton Osika - Lovable - Internet, Business, and AI: Nothing Will Ever Be the Same Again#480 - Octave Klaba - OVH Cloud - La guerre du Cloud commence#226 - Fabien Pinckaers - Odoo - L'antithèse de la start-up nationNous avons parlé de :BrevoLe principe de régressionProtonLe principe de l'acqui-hiringAnduril, la start-up star de la défense américaineIronflow BatteriesLes recommandations de lecture :The World is Flat - Thomas L. FriedmanLe chercheur d'or - J. M. Gustave Le ClézioUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Big up à Fabrice Pelosi, soutien incontournable de GDIY depuis l'épisode 1, qui a participé à rendre cet épisode possible.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quelque part, à différents endroits du monde, des communautés traditionnelles accordent à la femme une place à part, centrale. Voyage inspirant sur la terre des «matriarches». Depuis plus de quinze ans, la photographe française Nadia Ferroukhi sillonne la planète, avec son appareil, de la Chine à l'Estonie, de l'Inde à la Mauritanie, du Kenya à la Colombie, à la rencontre de sociétés où le pouvoir se conjugue aussi au féminin. Des sociétés traditionnelles -mais résolument modernes-, où les femmes transmettent le nom, possèdent la terre ou la maison, divorcent librement ou attendent avec impatience d'avoir une fille perçue comme une bénédiction… Ces femmes Khasi en Inde, Moso en Chine, Maures en Mauritanie, Minangkabau en Indonésie ou Wayuù en Colombie offrent alors de puissantes images et opposent de vivifiants modèles au patriarcat. Pour Nadia Ferroukhi, tout commence au Kenya, quand en 2008 la photoreporter découvre le village de Tumai (soit «espoir de vie» en Samburu) exclusivement peuplé de femmes. Là-bas, les hommes sont interdits et seuls les enfants, les jeunes hommes jusqu'à l'âge de 16 ans y sont autorisés. Loin de la violence des hommes, ces femmes Samburu, souvent victimes de mariages forcés, de viols ou de maltraitances, se réparent et imaginent une communauté basée sur le partage et la démocratie participative 100% féminine. Adoptée par ces femmes de Tumai qui la surnomment «Namoniak», Nadia Ferroukhi va y retourner régulièrement, monter une association pour leur venir en aide et réaliser un magnifique travail documentaire qui dit la force et la résilience de ces femmes, enfin libres. Après quoi, sous le regard bienveillant de la célèbre anthropologue française Françoise Héritier, elle décide de partir à la rencontre de sociétés matrilinéaires, où c'est la lignée féminine qui transmet le nom ou la propriété par exemple. Dans ce long voyage aux pays des femmes, Nadia Ferroukhi n'a pas trouvé de «matriarcat» qui dominerait ou opprimerait les hommes, comme le patriarcat le fait sur les femmes. Le pouvoir est juste souvent mieux réparti, plus équilibré et partagé avec les hommes. Avec ses images en couleur et ses multiples rencontres à travers le monde, la photographe élargit son champ de vision mais aussi le nôtre. Et après un premier livre sorti en 2021 «Les matriarches», elle vient de publier en France un second opus «Les nouvelles matriarches» aux Éditions Albin Michel. Deux beaux livres de photo, nourris de légendes très documentées, qui décentrent le regard et donnent de l'élan et de l'espérance. Car, comme l'écrit en préface l'intellectuelle française Laure Adler, «ces sociétés de femme existent. Le savoir d'abord puis les découvrir […] constitue en soi une forme d'espoir, une leçon de courage, un moyen de résistance contre toute forme d'oppression». À lire et voir : - «Les nouvelles matriarches», de Nadia Ferroukhi. Éditions Albin Michel. 2025 - «Les matriarches», de Nadia Ferroukhi. Éditions Albin Michel. 2021 - L'association «Douniatou» montée par Nadia Ferroukhi pour venir en aide aux femmes Samburu - Nadia Ferroukhi est exposée à l'espace Co 42 à partir du 12 mars jusqu'au 16 mai 2026. 42 bd Victor Hugo, 92110 Clichy. Puis du 4 au 13 juin 2026 à l'Ephémère Galerie de Comptoir des Voyages, 12 rue St Victor, 75005 Paris.
Quelque part, à différents endroits du monde, des communautés traditionnelles accordent à la femme une place à part, centrale. Voyage inspirant sur la terre des «matriarches». Depuis plus de quinze ans, la photographe française Nadia Ferroukhi sillonne la planète, avec son appareil, de la Chine à l'Estonie, de l'Inde à la Mauritanie, du Kenya à la Colombie, à la rencontre de sociétés où le pouvoir se conjugue aussi au féminin. Des sociétés traditionnelles -mais résolument modernes-, où les femmes transmettent le nom, possèdent la terre ou la maison, divorcent librement ou attendent avec impatience d'avoir une fille perçue comme une bénédiction… Ces femmes Khasi en Inde, Moso en Chine, Maures en Mauritanie, Minangkabau en Indonésie ou Wayuù en Colombie offrent alors de puissantes images et opposent de vivifiants modèles au patriarcat. Pour Nadia Ferroukhi, tout commence au Kenya, quand en 2008 la photoreporter découvre le village de Tumai (soit «espoir de vie» en Samburu) exclusivement peuplé de femmes. Là-bas, les hommes sont interdits et seuls les enfants, les jeunes hommes jusqu'à l'âge de 16 ans y sont autorisés. Loin de la violence des hommes, ces femmes Samburu, souvent victimes de mariages forcés, de viols ou de maltraitances, se réparent et imaginent une communauté basée sur le partage et la démocratie participative 100% féminine. Adoptée par ces femmes de Tumai qui la surnomment «Namoniak», Nadia Ferroukhi va y retourner régulièrement, monter une association pour leur venir en aide et réaliser un magnifique travail documentaire qui dit la force et la résilience de ces femmes, enfin libres. Après quoi, sous le regard bienveillant de la célèbre anthropologue française Françoise Héritier, elle décide de partir à la rencontre de sociétés matrilinéaires, où c'est la lignée féminine qui transmet le nom ou la propriété par exemple. Dans ce long voyage aux pays des femmes, Nadia Ferroukhi n'a pas trouvé de «matriarcat» qui dominerait ou opprimerait les hommes, comme le patriarcat le fait sur les femmes. Le pouvoir est juste souvent mieux réparti, plus équilibré et partagé avec les hommes. Avec ses images en couleur et ses multiples rencontres à travers le monde, la photographe élargit son champ de vision mais aussi le nôtre. Et après un premier livre sorti en 2021 «Les matriarches», elle vient de publier en France un second opus «Les nouvelles matriarches» aux Éditions Albin Michel. Deux beaux livres de photo, nourris de légendes très documentées, qui décentrent le regard et donnent de l'élan et de l'espérance. Car, comme l'écrit en préface l'intellectuelle française Laure Adler, «ces sociétés de femme existent. Le savoir d'abord puis les découvrir […] constitue en soi une forme d'espoir, une leçon de courage, un moyen de résistance contre toute forme d'oppression». À lire et voir : - «Les nouvelles matriarches», de Nadia Ferroukhi. Éditions Albin Michel. 2025 - «Les matriarches», de Nadia Ferroukhi. Éditions Albin Michel. 2021 - L'association «Douniatou» montée par Nadia Ferroukhi pour venir en aide aux femmes Samburu - Nadia Ferroukhi est exposée à l'espace Co 42 à partir du 12 mars jusqu'au 16 mai 2026. 42 bd Victor Hugo, 92110 Clichy. Puis du 4 au 13 juin 2026 à l'Ephémère Galerie de Comptoir des Voyages, 12 rue St Victor, 75005 Paris.
durée : 00:05:23 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le gouvernement indien a renoncé à imposer l'installation sur tous les téléphones portables d'une application de cybersécurité qu'il contrôle. L'opposition et des ONG ont dénoncé la volonté du Premier ministre ultranationaliste hindou Narendra Modi de mettre sa population sous surveillance. - invités : Mathieu Quet Chargé de recherche au Ceped, Centre Population et Développement de l'Université Paris-Descartes
Linda Bortoletto, lorsqu'elle s'est égarée au cours d'une marche dans les Calanques de Cassis, ne se doutait pas qu'elle s'engageait dans une nouvelle aventure. Quand ses pas l'ont menée jusqu'à ce petit oratoire marial, elle a dit y avoir reçu un appel aussi original qu'inattendu : Celui d'aller parcourir toute l'Italie à pied, pour en raconter la Grande Belleza, la grande beauté.Linda Bortoletto, lorsqu'elle s'est engagée sur le Sentiero Italia, la marche la plus longue d'Italie, ne se doutait pas non plus qu'elle allait gravir, une à une, les barres d'une échelle céleste qui a transformé sa vie. Dès ses premiers pas, qui l'ont menée jusqu'à la plus grande crèche vivante d'Italie, elle dit à quel point le rayonnement de Marie l'a de nouveau bouleversée.Un peu plus loin, pas loin des pentes de l'Etna, sur la puissante terre sicilienne où « beauté et destruction dansent ensemble », Linda Bortoletto a découvert le sanctuaire d'une Vierge Noire. C'est à ce moment, dit-elle, que son voyage a réellement commencé.En découvrant, tout au long de sa remontée de l'Italie, la présence de nombreuses Madones noires qui suivent un mystérieux chemin stellaire, Linda dit avoir reçu un nouveau message de l'une d'entre elles : « Tu dois raconter qui je suis ».Alors qu'elle est partie habiter en Inde, peu après sa dernière participation à Zeteo, Linda est venue en France présenter son nouveau livre Italia Cosmica.Avec elle, nous sommes invités à entreprendre un parcours initiatique mystérieux et merveilleux, où les étoiles, les anges et des forêts de symboles nous guident et nous accompagnent.En révélant l'histoire des Madones Noires, qui remontent bien avant l'arrivée du Christianisme, Linda Bortoletto rétablit l'alliance avec les temps anciens et notre époque. En témoignant de la beauté, de la puissance et de la fécondité de Marie de Nazareth, magnifiée par les Madones, elle confirme à quel point la mère du Christ, et le Christ lui-même, ont été attendus et annoncés longtemps avant leur venue sur Terre.Linda nous le confie : « Longtemps, j'ai cru que le Christianisme ne portait plus de feu, qu'il avait bradé le mystère contre le dogme ». Le nouveau souffle si puissant qui l'anime aujourd'hui rallume toutes les braises de ce feu.Cet épisode est un hymne magnifique à Marie, aux femmes, au Christ et à l'incarnation. Linda, pétrie de sagesse orientale, infatigable marcheuse devant l'éternel, nous rappelle avec flamme que notre humanité, quand elle atteint l'union profonde, harmonieuse et du corps et de l'esprit, devient divine.Pour lire Italia Cosmica, le nouveau livre de Linda Bortoletto, cliquer ici.LA GRANDE BEAUTÉChers amis, chers auditeurs de Zeteo,En préparant l'épisode diffusé dès aujourd'hui, je ne m'attendais pas, pour cette troisième participation de Linda Bortoletto à Zeteo, à vivre un tel bouleversement. Certes, après l'avoir déjà rencontrée deux fois, j'avais compris qu'il y avait, chez cette fine et jolie jeune femme, la profondeur, le talent, l'énergie et le courage qu'avaient si bien exprimé ses premiers livres.Depuis, j'ai compris pourquoi Italia Cosmica est un livre si important pour elle. Pour venir le présenter, elle a quitté pour quelques semaines l'Inde, sa nouvelle terre d'accueil. Et elle apporte ici, avec elle et en elle, cette mystérieuse et attirante alliance entre l'Orient de sa mère, et l'Occident de son père.Des alliances, avec Linda, il y en a d'autres ici. D'où le bouleversement qu'elle a vécu, dans sa rencontre avec les Vierges Noires d'Italie, qu'elle nous fait vivre à notre tour.Alliances et réconciliations.Entre les sagesses anciennes qui, depuis si longtemps, avaient attendu et annoncé la venue du Christ et le rôle de la femme qui allait l'enfanter, et nos sagesses actuelles qui ont tellement besoin de revenir à La Source.Entre Marie et toutes les femmes. Les Madones Noires, comme ose le dire une amie de Linda, représentent toutes les déesses. Autour de Marie de Nazareth, elles exaltent le féminin sacré et rassemblent toutes les femmes.Telle est la grande beauté que révèle cet épisode. Elle ne se limite pas à la merveilleuse et unique Italie, chantée par Linda Bortoletto. C'est une beauté qui exalte la création, la nature, l'art et les œuvres humaines. C'est aussi, comme le dit encore Linda avec audace, la beauté de l'incarnation et de l'union du corps et de l'esprit, dans toute la dimension sacrée de l'amour humain.La grande beauté, c'est celle de Marie de Nazareth, restituée ici dans toute sa puissance. C'est pourquoi cet épisode est une si belle marche à gravir dans notre montée vers Noël.La grande beauté, enfin, est dans la gratitude.Pour Linda, comme pour tous les invités venus et à venir sur Zeteo. Et pour vous, chers auditeurs, pour votre fidélité, votre enthousiasme et votre émotion souvent, votre soutien nécessaire et votre générosité aussi.Sans vous, et sans vos dons, ceux qui sont venus et ceux qui, en espérance, sont à venir, il n'y aurait pas cette contribution à la beauté du monde qu'ensemble, nous élevons chaque semaine.« Par-dessus tout, veille sur ton cœur, c'est de lui que jaillit la vie. » (Pr 4,23)Tous ensemble vers Noël,Guillaume DevoudPour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo.Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso.Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal.Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. 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Honderden kinderen hebben de afgelopen tien jaar meegemaakt dat hun vader hun moeder vermoordde. Ze verloren daarmee niet alleen beide ouders, maar ook hun vertrouwde omgeving. En hoewel (ex-)partnerdoding één van de meest verwoestende ervaringen is die je als kind kan meemaken, krijgen deze kinderen vaak nog onvoldoende bescherming en zorg, met levenslange traumatische gevolgen. In 'De publieke tribune' spreekt Coen Verbraak, n.a.v. de HUMAN-documentaire Blauwdruk, met kinderen die dit al op jonge leeftijd overkwam. Wat doet het met je als je thuis een plaats delict wordt? Hoe leef je verder als kind van zowel slachtoffer als dader? En wat is er nodig om dit alles te voorkomen? Te gast: Roser, Maeve, Perla en Marieke Liem Presentatie: Coen Verbraak Redactie: Sjoerd Alders Eindredactie: Sigrid Muusse ℹ️ Meer info? human.nl/dpt ✉️ Reageren? depublieketribune@human.nl
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La visite du président russe en Inde est notable car Vladimir Poutine voyage peu depuis le mandat d'arrêt de la CPI ; mais elle est aussi significative des grandes manœuvres qui visent à redéfinir l'ordre mondial, tout comme la visite d'Emmanuel Macron en Chine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Attention épisode génial !C'est l'histoire de Karine qui, pendant un voyage en Inde, a eu un coup de foudre pour l'artisanat et le savoir faire local... mais aussi pour Banu, un indien qui lui faisait visiter un atelier. Elle sait que sa vie est là et avec lui. Ainsi est né Kirane. En très gros résumé car les détails sont évidemment dans le podcast !Kirane est une marque de décoration textile, sincère et authentique, engagée et profondément humaine. Vous allez en avoir des frissons en écoutant Karine nous raconter son quotidien, entre beauté et galères. Tout est fabriqué à la main, dans le respect des traditions, avec des matières et des pigments naturels et surtout dans de bonnes conditions (Karine a crée "Villa Kirane" son propre atelier de confection dont Banu est responsable). Ensemble on parle de l'incroyable histoire de Kiranel'importance pour elle d'avoir son propre atelier comment elle concilie le travail local versus les exigences du marché et les ponts entre Jaïpur et Paris ses plus grosses difficultés au quotidien et comment y remédierla fast déco et les faux discours marketing la valeur du fait main les défis écologiques la joie de vivre et des couleurs sa passion pour le dessin et le manque de temps pour le faire la folie des sofa coverla crise et l'avenir l'importance d'avoir des jeunes dans son équipe ses 3 maisons si différentes et bien plus encore !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La visite du président russe en Inde est notable car Vladimir Poutine voyage peu depuis le mandat d'arrêt de la CPI ; mais elle est aussi significative des grandes manœuvres qui visent à redéfinir l'ordre mondial, tout comme la visite d'Emmanuel Macron en Chine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tirage ce midi pour connaître l’alignement de la compétition cet été, et prétexte d’un déplacement pour Carney. Poutine en Inde et Macron en Chine. La rencontre Bureau-Dumont avec Stéphan Bureau et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Alors que la guerre en Ukraine se poursuit, Vladimir Poutine soigne ses relations avec les pays alliés ou du moins qui ne lui sont pas hostiles. Il a affirmé ce vendredi 5 décembre qu'il comptait bien continuer à livrer du pétrole à l'Inde, où il est en visite, et ce malgré les sanctions américaines. En deux jours, deux pays qui pèsent sur la scène internationale, l'Inde et la Chine, qui accueille Emmanuel Macron, ont affiché leur refus de s'aligner sur la position occidentale concernant la guerre en Ukraine. L'analyse de Maxime Lefebvre, diplomate, professeur de relations internationales et co-directeur de l'Institut géopolitique à l'ESCP Business School, auteur du Jeu du droit et de la puissance : précis de relations internationales, Presse universitaires de France.
In ‘De afspraak op vrijdag' van 5 december heeft Ivan De Vadder Vlaams Belang-voorzitter Tom Van Grieken te gast, samen moraalfilosoof Patrick Loobuyck (UA) en hoofdcommentator Bart Eeckhout. Ze hebben het over Euroclear, de politieke impasse in Brussel en de hetze over de Brusselse kerststal
DV live de Californie et Hugo en Inde. On débriefe du SX Tour de Lyon, le WSX en Australie et le reste de l'actu...Support the showChaine YouTube DV TALKS MOTOAbonnez vous sur YouTube ici! Créez Votre Podcast Ici!
En Inde, le Kerala affirme depuis peu en avoir fini avec l'extrême pauvreté. C'est une première parmi les États d'Inde, un pays qui reste encore souvent associé aux scènes de misère. Le Kerala est un État communiste, avec de fortes politiques publiques dans la santé ou l'éducation. Sur place, certains jugent cependant que l'annonce de la fin de la pauvreté est précipitée. De notre correspondant à Kerala, La maison de Rajan et Jayanthi, au carrelage impeccable, a été inaugurée il y a moins d'une semaine. Le couple, qui habite la région montagneuse et tropicale de Wayanad, en Inde, revient de loin. « J'étais conducteur d'auto rickshaw. Mais durant le Covid-19, j'ai eu un grave accident. Je suis resté en chaise roulante. Ma femme et mes deux enfants ont été soudainement privés de revenus. Nous survivions dans une cabane, sans espoir. Heureusement, le gouvernement est venu nous aider », raconte Rajan. Grâce au programme d'éradication de la pauvreté, Rajan et Jayanthi achètent une mini-échoppe, puis reçoivent un apport pour construire leur maison. Aujourd'hui, le couple relève la tête, comme d'autres, explique un élu local. « Dans le district, nous avons identifié 118 familles comme extrêmement pauvres. Avec notre aide, 22 ont pu construire une maison, six ont eu des terres à cultiver, 43 ont bénéficié d'aide alimentaire, 14 ont pu trouver un boulot, etc. » Sarojini, une femme isolée, en a aussi bénéficié. « J'ai 60 ans et je travaillais dans l'agriculture, en gagnant un peu plus d'un euro par jour. Désormais employée dans des toilettes publiques, je gagne plus de trois euros. Ça a vraiment changé ma vie. » « Plus personne ne fait face à une pauvreté extrême » Le plan contre la pauvreté du Kerala, encore aujourd'hui dirigé par le Parti Communiste, remonte à 1997. En ce mois de novembre, le dirigeant de cet État du Sud affirme qu'il a atteint cet objectif fondamental. « Il y a 50 ans, les chercheurs nous classaient parmi les États les plus défavorisés de l'Inde. Aujourd'hui, plus personne ne fait face à une pauvreté extrême au Kerala », souligne Pinarayi Vijayan. Mais comment définir la pauvreté extrême ? Si la Banque mondiale se base sur le salaire quotidien, le Kerala mélange critères économiques, sanitaires et alimentaires. L'économiste P. R. Kannan déplore un manque de transparence : « Le Kerala avance, c'est indéniable. Mais avant d'affirmer que la pauvreté a disparu, le gouvernement doit publier ses données, sa méthodologie et les experts qui ont encadré ces statistiques. » Les aides du gouvernement échappent aux personnes isolées Nusrath, une élue de l'opposition à Wayanad, nous a emmenés rencontrer des habitants ignorés, selon elle, par les programmes du gouvernement. « Il y a des gens qui, parce qu'ils sont trop isolés, échappent encore aux aides gouvernementales. Si nous, dans l'opposition, validons que la pauvreté a disparu, les budgets vont disparaître alors qu'ils en ont encore grand besoin ! » Pour l'instant, le gouvernement du Kerala n'a pas clairement répondu aux experts et opposants qui jugent qu'il crie victoire trop rapidement.
durée : 00:52:01 - Les informés de franceinfo - Les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce jeudi 4 décembre, Jean-Joseph Boillot, chercheur associé à l'Iris et spécialiste de l'Inde, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Erwan Morice. Il s'est exprimé sur la visite officielle de deux jours de Vladimir Poutine en Inde pour discuter d'affaires, en particulier dans les domaines de l'énergie et de la défense. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En Inde, le Kerala affirme depuis peu en avoir fini avec l'extrême pauvreté. C'est une première parmi les États d'Inde, un pays qui reste encore souvent associé aux scènes de misère. Le Kerala est un État communiste, avec de fortes politiques publiques dans la santé ou l'éducation. Sur place, certains jugent cependant que l'annonce de la fin de la pauvreté est précipitée. De notre correspondant à Kerala, La maison de Rajan et Jayanthi, au carrelage impeccable, a été inaugurée il y a moins d'une semaine. Le couple, qui habite la région montagneuse et tropicale de Wayanad, en Inde, revient de loin. « J'étais conducteur d'auto rickshaw. Mais durant le Covid-19, j'ai eu un grave accident. Je suis resté en chaise roulante. Ma femme et mes deux enfants ont été soudainement privés de revenus. Nous survivions dans une cabane, sans espoir. Heureusement, le gouvernement est venu nous aider », raconte Rajan. Grâce au programme d'éradication de la pauvreté, Rajan et Jayanthi achètent une mini-échoppe, puis reçoivent un apport pour construire leur maison. Aujourd'hui, le couple relève la tête, comme d'autres, explique un élu local. « Dans le district, nous avons identifié 118 familles comme extrêmement pauvres. Avec notre aide, 22 ont pu construire une maison, six ont eu des terres à cultiver, 43 ont bénéficié d'aide alimentaire, 14 ont pu trouver un boulot, etc. » Sarojini, une femme isolée, en a aussi bénéficié. « J'ai 60 ans et je travaillais dans l'agriculture, en gagnant un peu plus d'un euro par jour. Désormais employée dans des toilettes publiques, je gagne plus de trois euros. Ça a vraiment changé ma vie. » « Plus personne ne fait face à une pauvreté extrême » Le plan contre la pauvreté du Kerala, encore aujourd'hui dirigé par le Parti Communiste, remonte à 1997. En ce mois de novembre, le dirigeant de cet État du Sud affirme qu'il a atteint cet objectif fondamental. « Il y a 50 ans, les chercheurs nous classaient parmi les États les plus défavorisés de l'Inde. Aujourd'hui, plus personne ne fait face à une pauvreté extrême au Kerala », souligne Pinarayi Vijayan. Mais comment définir la pauvreté extrême ? Si la Banque mondiale se base sur le salaire quotidien, le Kerala mélange critères économiques, sanitaires et alimentaires. L'économiste P. R. Kannan déplore un manque de transparence : « Le Kerala avance, c'est indéniable. Mais avant d'affirmer que la pauvreté a disparu, le gouvernement doit publier ses données, sa méthodologie et les experts qui ont encadré ces statistiques. » Les aides du gouvernement échappent aux personnes isolées Nusrath, une élue de l'opposition à Wayanad, nous a emmenés rencontrer des habitants ignorés, selon elle, par les programmes du gouvernement. « Il y a des gens qui, parce qu'ils sont trop isolés, échappent encore aux aides gouvernementales. Si nous, dans l'opposition, validons que la pauvreté a disparu, les budgets vont disparaître alors qu'ils en ont encore grand besoin ! » Pour l'instant, le gouvernement du Kerala n'a pas clairement répondu aux experts et opposants qui jugent qu'il crie victoire trop rapidement.
Visite de Macron en Chine: entre la naïveté et la cupidité. Visite de Poutine en Inde. Une majorité de Français, d’Allemands, de Hollandais et d’habitants de six autres pays européens estiment que la Russie risque d’entrer en guerre contre leurs pays. Le gouvernement indien veut surveiller sa population avec les cellulaires. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:05:33 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'Inde ordonne aux fabricants de téléphones portables d'équiper leurs modèles vendus sur son sol d'une application de cybersécurité conçue par le gouvernement. L'opposition dénonce une invasion de la vie privée. La Chine utilise l'intelligence artificielle pour renforcer sa surveillance en ligne.
En validant, en septembre dernier, le rachat d'Axio par Amazon, la Reserve Bank of India n'a pas seulement autorisé une acquisition de plus. Elle a ouvert la porte à un changement d'échelle majeur : pour la première fois, un géant technologique étranger obtient en Inde un accès direct à l'activité de crédit en ligne. Une évolution qui ne laisse ni les analystes ni les régulateurs indifférents.Axio, anciennement Capital Float, est un acteur bien installé du prêt numérique. Plus de dix millions d'Indiens ont déjà eu recours à ses services. Depuis six ans, l'entreprise travaillait main dans la main avec Amazon pour alimenter l'offre de paiement différé. Avec ce rachat, la relation devient une intégration complète. Et l'objectif est clair : démocratiser l'accès au crédit dans un pays où, selon les chiffres du groupe, un consommateur sur six seulement dispose d'une solution de financement à l'achat. Mais l'ambition est plus large. Amazon entend aussi relancer le crédit aux petites entreprises, un segment stratégique pour l'économie indienne. Des prêts « sur mesure » sont annoncés pour les marchands, construits à partir du comportement d'achat, des données transactionnelles et des outils de gestion de trésorerie. En clair, la marketplace se transforme peu à peu en plateforme financière intégrée.Le contexte joue en faveur du groupe. En cinq ans, le marché indien du crédit à la consommation est passé d'environ 80 à plus de 200 milliards de dollars. Dans cet écosystème, les géants du numérique disposent d'un atout décisif : ils contrôlent à la fois l'interface, les flux et les données. Et la stratégie ne s'arrête pas au prêt. Via Amazon Pay, l'un des moyens de paiement les plus utilisés sur l'infrastructure nationale de virements instantanés UPI, le groupe propose désormais aussi des dépôts à terme, en partenariat avec plusieurs banques locales, accessibles dès 1 000 roupies. Une première incursion dans l'épargne grand public. Ce virage s'inscrit dans un cadre réglementaire tout récent, qui autorise désormais les filiales détenues à 100 % par des groupes technologiques à accorder elles-mêmes des crédits. Amazon a saisi l'opportunité sans attendre.Reste une interrogation centrale : jusqu'où le groupe pourra-t-il étendre son influence dans un secteur bancaire indien très encadré et parfois méfiant envers les Big Tech ? Pour l'heure, le géant avance prudemment, en s'appuyant sur les banques tout en consolidant ses propres outils. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2013 yılında; iki kasabalı kadının çocukları oynarken yaptığı konuşma, 1989'da işlenen ama hala çözülememiş bir cinayetin anahtarı olacaktı. Mandy Stavik için adaletin sağlanması, ancak bir kasabanın topyekün seferberliğiyle mümkündü. Sunan: Sezgi Aksu Hazırlayan: Kevser Yağcı Biçici Ses Tasarımı ve Kurgu: Ada Suay Tekdal Yapımcı: Podbee Media Canlandıranlar: Tim Bass: Batın Şahin Merrilee: Ayşe Zümra Barmak Heather: Gülşah Dim Mandy: Şevval Balkan Tüm bölümleri dinlemek ve daha fazlası için podbeemedia.com'u ziyaret et! ------ Podbee Sunar ------- Bu podcast reklam içermektedir.
Den 29. september stod USA’s præsident Donald Trump i Det Hvide Hus og præsenterede en helt særlig plan, der skulle gøre det umulige: Skabe fred i Mellemøsten. Efter to års bombardementer af Gaza og titusinder af dræbte skulle freden have en chance. Planen var delt op i 20 punkter, i det sidste af dem lovede USA at skabe en dialog mellem israelere og palæstinensere, så de to folk kunne leve i fredelig sameksistens. Men kan de det? Efter en krig, der har raset i generationer? Hvis det skal begynde et sted, er det måske med børnene. Dagens gæst i ’Du lytter til Politiken’ er fotograf Lasse Bak Mejlvang. Han har rejst med UNICEF rundt på Vestbredden for at tale med palæstinensernes børn. Om små liv klemt inde mellem mure, hegn og de voksnes krig. Vi hører gerne fra dig, skriv til: dulyttertilpolitiken@pol.dkSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Mafé, Yassa, DG, Kédjénou, en pilons ou braisé, le poulet est de toutes les spécialités du continent africain. C'est en effet l'une des principales sources de protéines en Afrique et la viande la plus consommée dans le monde, car la moins couteuse. Parce qu'il est hautement populaire, la question de sa provenance entre production locale et importation est hautement sensible pour les consommateurs et les éleveurs. Et après le choix de son poulet, ce sont la préparation, la cuisson, l'accompagnement, qui s'invitent en cuisine. Repas de tous les jours, encas sur le pouce, plats de fête, le poulet est partout. Mais s'il est devenu presque banal à table, il ne s'agit pas non plus de le négliger ! Alors comment préparer un bon poulet ? Avec : • Anto Cocagne, « Le Chef Anto », cheffe à domicile, autrice de Mon Afrique – Produits phares, savoir-faire, recettes (Mango éditions, 2024) et fondatrice de Baraka by le Chef Anto, table et épicerie fine qui met en valeur le meilleur des saveurs africaines, située à Paris • Youness-Abogaïsse Kpaïbe, chef cuisinier, consultant, et traiteur à domicile. En fin d'émission, un reportage de Léna Martin qui s'est rendu à Rishikesh, une ville du nord de l'Inde, de près de 150 000 habitants (300 000 avec ses villages avoisinants), connue comme la “capitale mondiale du yoga”. Cette ville sainte de l'Hindouisme où coule le Gange, compte des centaines d'écoles de yoga. Des milliers de touristes étrangers, mais aussi des Indiens, s'y rendent chaque année pour faire des retraites de yoga ou de méditation, ou pour carrément se former au yoga selon la tradition indienne. À l'international, la popularité de la ville se doit surtout aux Beatles, qui se sont rendus dans un ashram à Rishikesh en 1968 pour une retraite de méditation (où ils ont composé une cinquantaine de chansons, dont « Child of Nature (Esher Demo) » qui commence par « On the road to Rishikesh… »). Selon le Time Of India, le marché du bien-être en Inde, porté notamment par le yoga, rapportait 32,8 milliards de USD dollars en 2024. En Inde, plusieurs gourous ont participé à populariser la ville en y créant des centres de yoga (par exemple Shivananda, qui y a fondé une association dans les années 30 pour promouvoir la discipline). Programmation musicale : ► Des heures - Miel de Montagne ► Mampanota - Ceasar & Ngiah Tax Olo Fotsy
Mafé, Yassa, DG, Kédjénou, en pilons ou braisé, le poulet est de toutes les spécialités du continent africain. C'est en effet l'une des principales sources de protéines en Afrique et la viande la plus consommée dans le monde, car la moins couteuse. Parce qu'il est hautement populaire, la question de sa provenance entre production locale et importation est hautement sensible pour les consommateurs et les éleveurs. Et après le choix de son poulet, ce sont la préparation, la cuisson, l'accompagnement, qui s'invitent en cuisine. Repas de tous les jours, encas sur le pouce, plats de fête, le poulet est partout. Mais s'il est devenu presque banal à table, il ne s'agit pas non plus de le négliger ! Alors comment préparer un bon poulet ? Avec : • Anto Cocagne, « Le Chef Anto », cheffe à domicile, autrice de Mon Afrique – Produits phares, savoir-faire, recettes (Mango éditions, 2024) et fondatrice de Baraka by le Chef Anto, table et épicerie fine qui met en valeur le meilleur des saveurs africaines, située à Paris • Youness-Abogaïsse Kpaïbe, chef cuisinier, consultant, et traiteur à domicile. En fin d'émission, un reportage de Léna Martin qui s'est rendu à Rishikesh, une ville du nord de l'Inde, de près de 150 000 habitants (300 000 avec ses villages avoisinants), connue comme la “capitale mondiale du yoga”. Cette ville sainte de l'Hindouisme où coule le Gange, compte des centaines d'écoles de yoga. Des milliers de touristes étrangers, mais aussi des Indiens, s'y rendent chaque année pour faire des retraites de yoga ou de méditation, ou pour carrément se former au yoga selon la tradition indienne. À l'international, la popularité de la ville se doit surtout aux Beatles, qui se sont rendus dans un ashram à Rishikesh en 1968 pour une retraite de méditation (où ils ont composé une cinquantaine de chansons, dont « Child of Nature (Esher Demo) » qui commence par « On the road to Rishikesh… »). Selon le Time Of India, le marché du bien-être en Inde, porté notamment par le yoga, rapportait 32,8 milliards de USD dollars en 2024. En Inde, plusieurs gourous ont participé à populariser la ville en y créant des centres de yoga (par exemple Shivananda, qui y a fondé une association dans les années 30 pour promouvoir la discipline). Programmation musicale : ► Des heures - Miel de Montagne ► Mampanota - Ceasar & Ngiah Tax Olo Fotsy
Rejoignez la communauté iWeek et soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 257 d'iWeek (la semaine Apple).John Giannandrea parti, les Apple Glasses seront-elles en Technology Preview dès la WWDC 2026 ?Enregistré en streaming, mardi 2 décembre 2025 à 18h30, enregistrement accessible en direct pour nos soutiens Patreon. Désormais, eux seuls peuvent suivre le streaming de chaque épisode grâce à un lien que nous leur envoyons chaque semaine. Faites comme eux et profitez du chat, intervenez en visio en cliquant sur le bouton sous le lecteur vidéo. Quant au replay vidéo, sans le bonus, il continue d'être disponible pour tous sur YouTube.Présentation : Benjamin Vincent, journaliste, producteur et présentateur de Les Voix de la Tech avec la participation de Fabrice Neuman (consultant tech pour les PME et contributeur à "Comment ça marche") et Elie Abitbol, ex-président des Apple Premium Resellers en France.Au sommaire de cet épisode 257 : John Giannandrea va quitter Apple et profiter de sa retraite... peut-être plus tôt qu'il ne l'avait programmé mais face au retard autour d'Apple Intelligence et Siri, le vice-président en charge de la stratégie IA et machine learning ne pouvait pas se cramponner à son poste davantage. D'autant qu'il est remplacé par Amar Subramanya, à peine arrivé, déjà reparti de chez Microsoft après 16 ans chez Google.Au-delà du changement de responsable, quelles conséquences pour Apple et pour le rattrapage de son retard alors que les versions 26.4 des OS avec les nouveautés tant promises autour d'Apple Intelligence et de Siri sont attendues au printemps ?Ce qui semblait coincé, englué... va-t-il enfin pouvoir aller de l'avant ? Nous pensons aux ambitions d'Apple autour de la domotique, notamment avec ce fameux hub avec écran intégré... mais aussi aux lunettes Apple de réalité augmentée. Mark Gurman qui parlait de 2027 est en train de revoir ses estimations. Il croit désormais possible qu'Apple présente les Apple Glasses en 2026 et donc potentiellement dans un an, avec une disponibilité courant 2027. Alors pourquoi ne pas rêver d'une Technology Preview dès la prochaine WWDC 2026 ? Tout va-t-il redevenir possible ?Egalement au programme : Apple envisagerait de renouer avec Intel pour lui confier la fabrication des processeurs M7 d'entrée de gamme, attendus en 2027 dans les iPad et certains Mac. Des puces qui seraient fabriquées aux États-Unis comme Tim Cook s'y est engagé auprès de Donald Trump.Et puis, dans le JT de la semaine : Apple dit "non" à l'Inde en refusant de préinstaller un logiciel d'État dit “de cybersécurité“ ; iOS 26.2 en approche avec la traduction en direct dans certains AirPods enfin dans l'Union européenne ; DaVinci Resolve 20.3 monte de la vidéo 32K sur un Mac M5 !Pas de bonus hebdo exclusif, cette semaine, chers soutiens : on espère vous le proposer dès la semaine prochaine !Rendez-vous mardi 9 décembre 2025 à partir de 18h30 en direct pour l'épisode 258.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:39 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - La population de vautours en Inde a chuté de 99,9%. Ce déclin s'accompagne d'une augmentation des morts humaines dues à la rage et aux maladies transmises par les rats et les chiens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Walid et Ogarit, c'est l'histoire d'un couple hors du commun, 40 ans d'amour et de militantisme pour la vie et pour la paix. Ensemble, ils ont fondé l'Académie universitaire pour la non-violence et les droits humains dans leur pays, le Liban. Ensemble, ils ont initié le combat pour l'abolition de la peine de mort, les droits civils et la justice sociale face à la guerre civile et aux violences interconfessionnelles, ensemble ils ont défendu inlassablement la laïcité et l'universalité. Un engagement récompensé de multiples fois par le Prix des droits de l'homme de la République française 2005, le Prix de la Fondation Chirac 2019 et le prix Gandhi pour la paix décerné en 2022 par la fondation indienne Jamnalal Bajaj, du nom du disciple du Mahatma Gandhi. Si Walid Slaybi s'en est allé en 2023, vaincu par la maladie, son œuvre et son héritage perdurent. «Oui à la résistance, non à la violence» est le message que continue de porter avec courage Ogarit Younan. Une philosophie conjuguée à un mode d'action dont les résultats sont là : reconnaissance de l'Université de la non-violence par l'État libanais, moratoire sur la peine de mort, proposition d'une Constitution laïque, des propositions soutenues par des ralliements toujours plus nombreux de personnalités de tous bords, motivées par la perspective non-violente d'un règlement juste et pacifique du conflit israélo-palestinien. (Rediffusion) - Le site de l'Université de la non-violence Aunohr à Beyrouth - Les livres de la bibliothèque de l'Université - Contacter l'Université Aunohr : P.O.Box 17 5772 Gemmayze, Beirut, Lebanon Tel/Fax: +961 01 445333 Mobile: +961 70 111382 - La fondation indienne Jamnalal Bajaj.
De 46-jarige Curt E. stond op 29 december eieren te koken toen hij werd overvallen door waangedachten. Met een keukenmes ging hij zijn eigen kind te lijf, die hij aanzag voor iemand anders. Hoewel hij Gianny-Davey (12) nooit heeft willen vermoorden, zag Saskia Belleman in de rechtbank van Groningen geen enkele vorm van berouw. In De zaak ontleed bespreekt ze met Wilson Boldewijn wat er in aanloop naar de moord gebeurde en in hoeverre de verdachte ontoerekeningsvatbaar was tijdens zijn daad. Ook zag Saskia voor het eerst de breedgeschouderde man die wordt verdacht van de moord op Lisa (17) uit Abcoude.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Matthieu Ricard est né à 21 ans.C'est en 1967, à Darjeeling, que Matthieu trouve la direction de son existence qu'il décrit comme une naissance.Pourtant, rien ne le destinait à autre chose qu'une brillante carrière scientifique.Fils de philosophe, élevé parmi artistes et penseurs, il étudie la biologie moléculaire et rejoint l'Institut Pasteur, où il travaille aux côtés de François Jacob, prix Nobel de médecine 1965.Mais un film bouleverse sa trajectoire.Matthieu quitte tout pour poser son sac en Inde, où il rencontre celui qui deviendra son premier maître spirituel.Convaincu d'avoir trouvé « la plus haute représentation de la perfection humaine », Matthieu Ricard passera des années à faire l'aller-retour entre l'Inde et l'Institut Pasteur, pour comprendre comment connecter science et spiritualité.À 27 ans, après avoir fini sa thèse, Matthieu décide de prendre un aller simple pour l'Himalaya.C'est dans les montagnes du Népal qu'il réalisera une retraite en solitaire de cinq ans.Aujourd'hui, Matthieu Ricard continue de se consacrer à la traduction de textes bouddhistes et à la photographie. Il est également l'interprète du Dalaï-Lama et a fondé l'association Karuna-Shechen pour partager ses enseignements.Dans cet épisode, on parle de :Comment identifier ses pensées parasites ?Se libérer du chaos extérieur sans se couper du mondeCe que la méditation change vraiment dans le cerveauPourquoi l'altruisme est bien plus pragmatique qu'on ne le penseLe rôle des algorithmes dans nos émotions et nos penséesUn épisode lumineux et ancré dans le réel, qui explore les méthodes pour entraîner son esprit, et comprendre les bases de la philosophie bouddhiste, avec un invité que nous attendions sur GDIY depuis 7 ans.TIMELINE:00:00:00 : Naître à l'âge de 21 ans00:18:15 : Renoncer à ses addictions00:29:56 : Moine bouddhiste, ça veut dire quoi ?00:40:14 : Notre esprit, allié ou ennemi ?00:51:21 : Les médias montrent le pire, jamais la réalité01:03:23 : Faut-il être égoïste pour réussir ?01:16:42 : Quand la science rencontre le Dalaï-Lama01:24:25 : Entraîner sa bienveillance01:33:50 : Être seul sans se sentir seul01:41:24 : La leçon éternelle du Dalaï-Lama01:51:47 : Chanter sa mortLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #479 - Nikola Karabatic - Champion de Handball - 22 titres sur 23 : la légende du sport françaisNous avons parlé de :Documentaire “Le message des Tibétains” (1966), de Arnaud DesjardinsSuivre les infos du monde avec la BBC World ServiceHannah Arendt et la banalité du malLes recommandations de lecture :Lumière, rire du ciel, de Yahne Le ToumelinLa Fabrique du crétin digital, Michel DesmurgetCarnets d'un moine errant, de Matthieu RicardLa Part d'ange en nous, de Steven PinkerLumière, de Matthieu RicardAu cœur de la compassion, de Dilgo KhyentséUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mot “tong” vient… d'un bruit. Littéralement. Il s'agit d'une onomatopée : le tong évoque le claquement caractéristique de la sandale contre le talon lorsque l'on marche avec ce type de chaussure. Ce son sec, répété à chaque pas, a donné son nom à l'objet.Mais c'est un peu plus compliqué en r'realité. A l'origine, avant d'arriver chez nous et de correspondre à ce bruit, le mot vient de l'anglais “thong”, qui signifie à l'origine “lanière”, “courroie”, et plus précisément la bande qui passe entre les orteils. Dans l'anglais moderne, “thong sandals” désigne les sandales à entre-doigts. En Australie, on parle même simplement de thongs pour désigner les tongs.Lorsque le mot traverse la Manche au début du XXe siècle, il est adapté phonétiquement par les francophones. La prononciation anglaise “thong” (/θɒŋ/) devient rapidement “tong”, plus simple à prononcer et plus cohérent avec le son produit par la sandale. Cette coïncidence phonétique — le bruit et le mot — favorise l'adoption du terme dans la langue française.L'objet, lui, est bien plus ancien que son nom. Les sandales à entre-doigt existent depuis l'Égypte ancienne, où on en fabriquait déjà en papyrus ou en cuir. On en trouve aussi en Inde, au Japon (les geta), ou encore en Grèce antique. Mais le mot “tong”, tel qu'on l'utilise aujourd'hui, apparaît réellement au moment où ce type de sandale devient populaire en Occident, après la Seconde Guerre mondiale.Le véritable essor vient dans les années 1950 et 1960, avec l'arrivée massive de modèles en caoutchouc importés du Japon. L'entreprise japonaise Shōroku Shōkai — ancêtre de MoonStar — commercialise alors des sandales bon marché, confortables, faciles à produire, qui deviennent vite incontournables sur les plages. Les Américains les appellent “flip-flops”, là encore pour leur bruit. Les Français retiennent plutôt la version anglo-australienne “tong”.Ce mélange entre origine linguistique anglaise (la “lanière”) et ressemblance avec le claquement sonore explique pourquoi ce mot s'est imposé si facilement. Le français adore les onomatopées, et “tong” sonnait à la fois simple, efficace et immédiatement reconnaissable.En résumé :Origine anglaise : thong = lanière entre les orteils.Adaptation française : “tong”, mot qui évoque le bruit de la sandale.Succès mondial : la sandale à entre-doigt devient un symbole estival, et son nom s'impose naturellement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que le président américain Donald Trump a interrompu les négociations commerciales avec le Canada, le Premier ministre canadien, Mark Carney souhaite que son pays se rapproche de l'Inde et de la Chine. Pour quelles raisons ? Mark Carney, s'est engagé à doubler les échanges de son pays au cours de la prochaine décennie. Il a donc besoin de diversifier ses partenariats économiques. On a déjà observé un réchauffement des relations entre le chef de l'exécutif canadien et son homologue indien, Narendra Modi, en marge du récent G20 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Renouer des liens avec la cinquième puissance mondiale Les deux dirigeants ont convenu de relancer les négociations en vue d'un accord commercial. Des discussions, au point mort depuis deux ans en raison de la crise diplomatique entre les deux pays suite à l'assassinat d'un leader sikh à Vancouver. Le Canada avait accusé les autorités indiennes d'être impliquées. Mais depuis les taxes Trump ont rebattu les cartes. « L'Inde est la cinquième économie mondiale, et c'est une grande opportunité pour les travailleurs et entreprises canadiens », a écrit Mark Carney sur la plateforme X lors du G20. De quelles opportunités parle-t-il ? Légumes, combustibles, pâte de bois et engrais partent du Canada vers l'Inde. Produits pharmaceutiques, machinerie, électronique, pierres précieuses, font le chemin inverse entre l'Inde et le Canada. Le commerce entre deux pays tourne actuellement à l'avantage du Canada grâce aux exportations de services. Ottawa souhaite aussi pérenniser l'approvisionnement de l'Inde en uranium. L'objectif est de doubler ses échanges bilatéraux avec New Dehli pour atteindre 50 milliards de dollars américains d'ici 2030. Choisir bien sa stratégie avec la Chine Pour compenser les conséquences de taxes Trump sur son économie, Ottawa veut aussi se rapprocher de la Chine. Mais d'abord il faudra mettre un terme à la guerre commerciale qui fait rage entre Ottawa et Pékin. Supprimer le droit de douane de 100 % sur les véhicules électriques chinois. Une mesure que le gouvernement fédéral examinerait actuellement. La Chine, quant à elle, devra lever les taxes imposées sur le canola, utilisé pour faire de l'huile, les fruits de mer et le porc canadiens. Des liens économiques qu'il faudra aussi étendre à la recherche et au développement, à la production industrielle et aux services. La Chine est déjà le deuxième partenaire commercial du Canada. Mais seulement 5% des exportations canadiennes partent vers la Chine, alors que près de 75% sont destinés aux États-Unis. Remplacer Washington ne sera donc pas simple. D'autant que des inquiétudes persistent par rapport à la Chine concernant les droits de l'homme et les risques de cyber ingérence. À lire aussiGuerre commerciale entre le Canada et les États-Unis: Mark Carney en quête d'alliés en Asie
In ‘De freule', het derde deel van de historische Zierikzee-trilogie van Gerda van Wageningen, staat de toekomst van Emma op het spel. Durft ze haar eigen dromen waar te maken? Uitgegeven door Z&K Spreker: Yvonne de Wijn
À 17 ans, Alexandra quitte l'Europe pour vivre dans un kibboutz en Israël. Ce qu'elle pensait être une parenthèse deviendra dix ans d'aventures à travers le monde.Des routes enneigées du Canada aux plages d'Hawaï, du désert australien aux montagnes du Rajasthan, de l'immersion dans un village indien sans internet à la création d'une entreprise de tourisme solidaire au Maroc… Alexandra Prohaczka a fait de chaque rencontre un voyage, et de chaque imprévu une leçon.Dans cet épisode, elle raconte ses histoires incroyables : une sortie de route qui devient révélation, un papy routier nu mais bienveillant, une “adoption” spirituelle en Inde et surtout, ce qu'elle a appris du mouvement, du lâcher-prise et du retour à soi.
Enseignant ou employé le jour, développeur informatique ou chauffeur de taxi le soir. On les appelle les slasheurs, ces individus qui jonglent entre plusieurs activités professionnelles. Si certains cumulent les petits boulots par nécessité économique, d'autres font le choix de la polyvalence et revendiquent de porter plusieurs casquettes. En France, 4,3 millions de personnes cumulent au moins une activité complémentaire rémunérée et déclarée, soit 15% des actifs en emploi, selon une étude de 2025 réalisé pour le salon SME des indépendants, créateurs et dirigeants de TPE. Une tendance qui se pérennise. Cette pluriactivité, prisée par les jeunes générations bouscule nos modèles d'organisation du travail et brouille les frontières entre salariat, indépendance et entreprenariat. Pour les slasheurs, cette carrière à la carte leur permet peut-être de cumuler les passions, d'assouvir leur curiosité mais à quel prix ? Si les jeunes font preuve d'agilité et d'adaptabilité face à la fragilité des marchés de l'emploi, ne risquent-ils pas la surcharge ? Leur multi-activité est-elle rémunérée à sa juste valeur ? Avec : • Marielle Barbe, slasheuse, consultante, formatrice, conférencière et autrice de Profession slasheur / La vie est trop courte pour choisir un seul métier (Diatéino, 2023). • Un témoignage recueilli par Sarah Cozzolino, correspondante de RFI à Rio de Janeiro, au Brésil : Luciana Sena a 41 ans. Comédienne, bartender, commerciale, pâtissière. Elle a déjà eu plusieurs vies. Aujourd'hui elle cumule trois emplois en tant qu'indépendante. Sarah Cozzolino l'a suivie dans la banlieue de Rio de Janeiro • Un entretien avec Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde où l'on parle davantage de «multi-travailleurs numériques», de «multi-tâches forcées», «d'économie du surtravail». Des termes qui renvoient à une réalité subie du slashing. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, Estelle nous parle des podcasts filmés, un format très prisé des médias mais aussi des entrepreneurs sur le continent africain. Programmation musicale : ► Chief Keef – HIBA ► Dé Mo Dé Mo - Aleksand Saya & Sarera.
Enseignant ou employé le jour, développeur informatique ou chauffeur de taxi le soir. On les appelle les slasheurs, ces individus qui jonglent entre plusieurs activités professionnelles. Si certains cumulent les petits boulots par nécessité économique, d'autres font le choix de la polyvalence et revendiquent de porter plusieurs casquettes. En France, 4,3 millions de personnes cumulent au moins une activité complémentaire rémunérée et déclarée, soit 15% des actifs en emploi, selon une étude de 2025 réalisé pour le salon SME des indépendants, créateurs et dirigeants de TPE. Une tendance qui se pérennise. Cette pluriactivité, prisée par les jeunes générations bouscule nos modèles d'organisation du travail et brouille les frontières entre salariat, indépendance et entreprenariat. Pour les slasheurs, cette carrière à la carte leur permet peut-être de cumuler les passions, d'assouvir leur curiosité mais à quel prix ? Si les jeunes font preuve d'agilité et d'adaptabilité face à la fragilité des marchés de l'emploi, ne risquent-ils pas la surcharge ? Leur multi-activité est-elle rémunérée à sa juste valeur ? Avec : • Marielle Barbe, slasheuse, consultante, formatrice, conférencière et autrice de Profession slasheur / La vie est trop courte pour choisir un seul métier (Diatéino, 2023). • Un témoignage recueilli par Sarah Cozzolino, correspondante de RFI à Rio de Janeiro, au Brésil : Luciana Sena a 41 ans. Comédienne, bartender, commerciale, pâtissière. Elle a déjà eu plusieurs vies. Aujourd'hui elle cumule trois emplois en tant qu'indépendante. Sarah Cozzolino l'a suivie dans la banlieue de Rio de Janeiro • Un entretien avec Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde où l'on parle davantage de «multi-travailleurs numériques», de «multi-tâches forcées», «d'économie du surtravail». Des termes qui renvoient à une réalité subie du slashing. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, sur l'évolution des sociétés africaines mondialisées à travers les écrans, les réseaux sociaux et la technologie. Aujourd'hui, Estelle nous parle des podcasts filmés, un format très prisé des médias mais aussi des entrepreneurs sur le continent africain. Programmation musicale : ► Chief Keef – HIBA ► Dé Mo Dé Mo - Aleksand Saya & Sarera.
La Pologne connaît l'une des plus fortes croissances de l'Union européenne, 3,7% du PIB au troisième trimestre. Ces derniers mois, l'économie polonaise s'est montrée résiliente face aux tensions douanières et à la guerre en Ukraine. Mais aujourd'hui, l'intelligence artificielle vient menacer ce miracle économique. L'économie polonaise a été portée ces dernières années par les investissements étrangers. Finance, ressources humaines, marketing et construction. Le pays est aussi devenu le champion de l'externalisation des processus métiers. Cela consiste, par exemple, à confier une partie des opérations commerciales d'une entreprise française à un prestataire de services, basé en Pologne. L'IA pourrait faire disparaître certains emplois Mais aujourd'hui, le coût de la main-d'œuvre a augmenté et un certain nombre de ces emplois dans le secteur des services, qui ont attiré les jeunes Polonais, pourraient disparaître. Ils risquent d'être remplacés par l'intelligence artificielle. Les multinationales implantées en Pologne suppriment des emplois. À lire aussiPologne : la difficile croissance des start-up de l'industrie d'armement C'est le cas à Cracovie qui était devenue une des villes les plus dynamiques du pays. Cela concerne les spécialistes du traitement des données, de l'hébergement web, de la comptabilité et même le conseil fiscal. Le brasseur Heineken, par exemple, transfère progressivement plusieurs centaines de postes en Inde. C'est aussi le cas de la banque HSBC, pour des opérations simples qui seront désormais effectuées en Asie. Effet domino Est-ce un risque pour l'économie du pays ? Pas encore, mais c'est ce que redoutent les Polonais. Le pays est le premier pays européen pour les services aux entreprises internationales, devant l'Inde et les États-Unis. Un secteur qui représente 6% du PIB polonais et qui emploie près d'un demi-million de personnes. Et l'IA dans ces entreprises aussi est en train d'automatiser certains processus. Avec, à la clé, un effet domino. Les suppressions d'emplois dans les entreprises de service et les multinationales fragilisent les autres secteurs. Celui de la restauration qui perd une partie de sa clientèle aisée. On peut aussi citer les sociétés de locations de bureaux dont les tours se vident parce qu'une partie des opérations a été transférée vers des pays à moindres coûts. Vers un nouveau modèle économique Dans ce contexte, la Pologne devra changer son modèle économique pour s'adapter. La mutation est en marche. La Pologne aussi veut prendre le train de l'IA. Une deuxième usine d'intelligence artificielle dotée de supercalculateur devrait bientôt être inaugurée à Cracovie, comme la première. Un projet ambitieux qui vise à faire de la Pologne un leader européen de l'IA. Attirer une nouvelle vague d'investissements et de talents pour in fine créer des emplois plus qualifiés. À lire aussiPologne: manifestation à Varsovie contre le pacte migratoire européen et l'afflux de migrants
Aarushi Talwar est une jeune fille à qui tout pourrait réussir. Elle est douée à l'école, est entourée d'amis, ses parents sont dans une situation très confortable et elle a toute la vie devant elle. Hélas, dans la nuit du 16 mai 2008, elle est sauvagement assassinée dans son sommeil. Qui aurait pu s'en prendre à cette innocente qui n'a jamais cherché de problèmes ? Peut-être un ennemi de la famille, jaloux de sa richesse ? Le domestique qui aurait voulu punir ses employeurs, Rajesh et Nupur Talwar, les parents d'Aarushi ? L'enquête menée par le CBI, l'équivalent du FBI en Inde, révélera de nombreux éléments troublants.Crimes • Histoires Vraies est une production Minuit. Notre collection s'agrandit avec Crimes en Bretagne, Montagne et Provence.
Anne Ghesquière reçoit Emmanuel Leclerc, professeur de philosophie, essayiste, auteur et conférencier. Comment transformer la blessure en force ? Comment faire de l'abandon un don, et du combat une voie vers la dignité ? Né en Inde, abandonné à sa naissance puis recueilli par Mère Teresa avant d'être adopté par une famille française, Emmanuel Leclercq incarne la puissance de la résilience et de la foi. À travers son parcours hors du commun, Emmanuel Leclerc explore le sens de la vie, du pardon, de la dignité humaine et de la manière d'accueillir le mystère dans nos existences. Son livre La vie est un combat. Accepte-le ! est publié chez Alisio. [SÉLECTION WEEK-END – METAMORPHOSE] Cet épisode a été diffusé, la première fois, le 7 mars 2022.Quelques citations du podcast avec Emmanuel Leclercq :"La vie est une marche très mystérieuse.""La foi, c'est cette Lumière qui éclaire mon chemin sans se montrer.""La plus belle richesse de la vie c'est qu'elle n'est pas tracée."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Emmanuel Leclercq : 00:00Introduction02:04La question qu'il faut se poser03:50Deviens ce que tu es05:19Le paradoxe être / paraitre08:16Le parcours d'Emmanuel Leclercq11:15Don et abandon14:12La rencontre avec Dieu17:04Edith Stein20:03Le doute de Mère Teresa20:30 La Vierge Marie21:13De la vocation de prêtre à celle de professeur31:57La philosophie inspirante de Paul Ricœur37:32Responsabilité et réponse40:05Épanouissement et réussite41:10Le combat de la vie44:40L'acceptation de nos ombres45:53Amour et découverte de l'autre48:01Espoir et espérance49:08Les 4 piliersAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.