1972 studio album by Catherine Ribeiro + Alpes
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durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En Ukraine comme dans la bande de Gaza, 2025 a vu circuler des plans de règlement, mais s'achève sans perspective sérieuse de paix durable et juste, malgré les annonces de "progrès". Dans les deux conflits, Donald Trump est à la manœuvre mais défend d'abord ses propres intérêts. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En Ukraine comme dans la bande de Gaza, 2025 a vu circuler des plans de règlement, mais s'achève sans perspective sérieuse de paix durable et juste, malgré les annonces de "progrès". Dans les deux conflits, Donald Trump est à la manœuvre mais défend d'abord ses propres intérêts. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:41:13 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - En ce jour de Noël, traditionnellement associé à la paix, les conflits et les guerres continuent de faire rage dans le monde. Quand la diplomatie patine, quand les langues ne se comprennent pas, la musique peut-elle jouer le rôle de médiateur ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:41:13 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - En ce jour de Noël, traditionnellement associé à la paix, les conflits et les guerres continuent de faire rage dans le monde. Quand la diplomatie patine, quand les langues ne se comprennent pas, la musique peut-elle jouer le rôle de médiateur ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Noel dans la famille de la musicologue Viera Polakovicova. L'historien Martin Javor a découvert les vitraux des églises slovaques aux États-Unis. Miroslav Musil: Napoleon et Bratislava, le 220e anniversaire de la signature de la Paix de Pressbourg.
Donald Trump, a-t-il enfin réussi à mettre fin au conflit à Gaza grâce à son plan de paix ? Pour Philippe Caverivière, il faut lui donner tous les prix du monde pour que le président américian soit content. Des nouvelles du procès jubilar et le chaton de Marine Le Pen s'incruste pendant les discussions avec Sébastien Lecornu. Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 24 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump, a-t-il enfin réussi à mettre fin au conflit à Gaza grâce à son plan de paix ? Pour Philippe Caverivière, il faut lui donner tous les prix du monde pour que le président américian soit content. Des nouvelles du procès jubilar et le chaton de Marine Le Pen s'incruste pendant les discussions avec Sébastien Lecornu. Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 24 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce quatrième Noël de guerre a quelque chose de pire que les autres. Par-dessus tout, c'est l'espoir d'en sortir entier qui s'amenuise.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Donald Trump, a-t-il enfin réussi à mettre fin au conflit à Gaza grâce à son plan de paix ? Pour Philippe Caverivière, il faut lui donner tous les prix du monde pour que le président américian soit content. Des nouvelles du procès jubilar et le chaton de Marine Le Pen s'incruste pendant les discussions avec Sébastien Lecornu. Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 24 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 23/12/2025 Du 22 décembre au 31 décembre, 28 minutes revient sur les thématiques incontournables et marquantes de l'année 2025 avec six émissions hors-série. Ce mardi 23 décembre, nous recevons Justin Vaïsse, historien, spécialiste des États-Unis et directeur général du Forum de Paris sur la Paix et Céline Spector, philosophe. Donald Trump revendique avoir résolu huit conflits en moins d'un an de présidence parmi lesquels celui entre la Thaïlande et le Cambodge ou encore entre Israël et le Hamas. Beaucoup des accords qu'il s'attribue restent incertains et se sont suivis d'une reprise du conflit. Depuis son élection, le président américain est sorti de la plupart des instances multilatérales et réaffirme son opposition à l'ONU. Il s'est aussi attaqué à l'Europe qu'il considère comme “un continent en déclin”. Donald Trump est-il un faiseur de paix ? Justin Vaïsse est historien, spécialisé dans la politique étrangère américaine. Il a travaillé aux États-Unis puis au Quai d'Orsay avant de créer, en novembre 2018, le Forum de Paris sur la paix, où se réunissent les dirigeants du monde entier chaque année. Céline Spector est philosophe et spécialiste de l'Europe. Elle a consacré plusieurs ouvrages à la démocratie et à la pensée des Lumières. Puis, Natacha Triou s'intéresse aux baleines et plus particulièrement à leur chant qui a fait l'objet de plusieurs découvertes scientifiques cette année. Victor Dekyvère revient sur le célibat, qui n'a jamais été aussi répandu. Puis, retrouvez Intéressant de David Castello-Lopes ! 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 décembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
[REDIFFUSION]Qu'est-ce que tu veux faire plus tard ? Pour la personne qui nous la pose, cette question ne se réduit qu'à une chose : notre métier.Sarah Roubato aurait une autre question à nous poser : « Quel est le verbe de notre vie ? » Pas le métier, non, le verbe.Guetter, et raconter. Voilà les deux verbes de la vie de Sarah Roubato.Avec ses mots, elle raconte notre époque. La préciosité des gens qui s'émerveillent. L'importance d'aller creuser des moments de silence.Dans un monde où l'image prédomine, quelle place auraient finalement les mots ?Avec Sarah Roubato sur Nouvel Œil, on parle d'écriture, de verbe, et de récits.J'espère que cette écoute t'invitera à trouver le verbe de ta vie.Belle écoute ! ☀️ ---Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Nicolas Tenzer revient sur ces nouveaux pourparlers de paix qui ont eu lieu à Miami entre négociateurs américains et ukrainiens et, séparément, entre Américains et Russes. Malheureusement, il s'agit une nouvelle fois d'un théâtre d'ombres Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus d'un million de casques bleus ont servi dans plus de 70 opérations de paix depuis le début de l'Organisation des Nations unies en 1945. Certaines modestes, d'autres beaucoup plus ambitieuses qui ont suscité l'intérêt ou le désintérêt des puissances selon les périodes. Le nombre de casques bleus déployés dans le monde est passé de plus de 100.000 jusqu'en 2016 à environ 60.000 en 2025. Si la mission onusienne de maintien de la paix a longtemps fait l'unanimité parmi les États membres, aujourd'hui, l'intensification des rivalités internationales, la contestation de certaines normes et le recours à la force, en violation du droit, fragilisent sa pertinence et sa légitimité. À cela, s'ajoutent d'autres défis : gestion plutôt que résolution des conflits, politisation de la bureaucratie, pressions budgétaires, contributions militaires inégales, affirmation des États hôtes et offres de sécurité alternatives. Comment les jeux de pouvoir entre États influencent-ils les décisions du Conseil de Sécurité et la conduite des missions ? Qui sont les gagnants et les perdants d'une paix devenue un enjeu stratégique ? Quel est l'avenir d'une ONU de plus en plus marginalisée politiquement ? Invité : Arthur Boutellis, conseiller senior à l'International Peace Institute et enseignant à l'Université de Columbia et à Sciences Po. Également chercheur associé au Centre Thucydide de l'Université Paris 2 Panthéon Assas. « Rivalités pour la paix. Géopolitique de l'ONU », éd. Armand Colin.
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Nouveau round des négociations à Miami aux États-Unis pour un éventuel accord de paix entre la Russie et l'Ukraine. Que peut-on attendre de ces négociations ? Nicolas Tenzer, spécialiste des questions internationales et de sécurité au CEPA, le Center for Europe Policy Analysis, est l'invité international de la mi-journée de RFI, il répond aux questions de David Delos. À lire aussiUkraine: pour «avoir une paix durable, Européens, Américains et Russes doivent être à la table» À lire aussiGuerre en Ukraine: Washington propose un plan de paix prévoyant la cession de territoires à la Russie
Au sommaire cette semaine : la guerre en Ukraine et les négociations qui se poursuivent autour du "plan de paix" américain remanié, dans un contexte de pression maximale de Donald Trump. Le président américain fait, par ailleurs, à nouveau monter les tensions avec le Venezuela, après la saisie d'un pétrolier au large du pays. Enfin, retour sur la nouvelle percée de l'AFC/M23 en République Démocratique du Congo. Le groupe contrôlerait Uvira, deuxième plus grande ville du Sud-Kivu. Cette nouvelle conquête intervient quelques jours à peine après l'annonce par Washington d'un accord de paix entre les présidents congolais et rwandais.
durée : 00:05:56 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, annonce son retrait d'Uvira, ville de l'est de la République démocratique du Congo. Pression de Washington pour faire respecter l'accord de paix, alors que 500 000 civils ont été déplacés par les combats depuis début décembre.
C dans l'air du 16 décembre 2025 - Paix en Ukraine: Trump y croit, l'Europe aussi...Est-ce enfin un vrai tournant, près de quatre ans après le début de l'invasion russe en Ukraine ? Le président des États-Unis a affirmé qu'un accord n'a « jamais » été aussi « proche » afin de mettre fin à la guerre, ce lundi 15 décembre. Des propos prononcés depuis le Bureau ovale, à la suite d'un entretien avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, et plusieurs dirigeants européens réunis à Berlin. Les États-Unis ont assuré avoir offert à Kiev des garanties de sécurité « très fortes », comparables à la protection permise par l'article 5 de l'Otan, tout en restant acceptables pour Moscou.De leur côté, les dirigeants des principaux pays européens, dont la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, ont fait part d'une proposition de « force multinationale pour l'Ukraine ». Cette unité, formée par des pays « volontaires » et soutenue par les États-Unis, aurait pour objectif d'aider l'Ukraine à maintenir durablement une armée de 800 000 soldats. Un « mécanisme de surveillance et de vérification du cessez-le-feu », dirigé par Washington, est également prévu. Désormais, il appartient « à la Russie de montrer sa volonté d'œuvrer en faveur d'une paix durable », ont avancé les dirigeants européens.Ce mardi, le Kremlin a écarté la proposition de Volodymyr Zelensky d'une trêve de Noël. Dans une interview à la chaîne ABC News, diffusée hier, un vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, avait répété que la Russie n'accepterait « à aucun moment » la présence en Ukraine de forces de l'Otan ou de troupes européennes.Après sa rencontre avec le chancelier allemand Friedrich Merz à Berlin et un appel téléphonique avec Donald Trump hier soir, Volodymyr Zelensky a déclaré aux journalistes ukrainiens qu'il refusait d'abandonner le Donbass. « Les Américains veulent trouver un compromis. Ils proposent une zone économique libre », a-t-il poursuivi. « Je tiens à le souligner une fois de plus : une zone économique libre ne signifie pas un contrôle de la Fédération de Russie. Ce sont des caractéristiques importantes pour moi dans toute discussion concernant le Donbass. Ni de jure ni de facto, nous ne reconnaîtrons le Donbass comme russe », a-t-il déclaré avant de se rendre, cet après-midi, à un sommet du Conseil de l'Europe sur d'éventuelles réparations visant à indemniser l'Ukraine face à l'offensive russe.L'événement, qui se tient à La Haye, réunit de hauts responsables européens afin de mettre en place un organisme international chargé de statuer sur des dizaines de milliards d'euros. L'option d'un « prêt de réparation », gagé sur les avoirs russes immobilisés, provoque toujours des dissensions au sein des Vingt-Sept. Soutenu par de nombreux États membres de l'Union européenne, dont l'Allemagne, ce plan se heurte à l'opposition ferme de la Belgique, rejointe par trois pays (Bulgarie, Malte, Italie). Les dirigeants de l'UE vont devoir trancher lors d'un sommet qui débute jeudi.Pendant ce temps, la guerre se poursuit sur le front ukrainien, mais aussi bien au-delà. Le Service de sécurité ukrainien (SBU) a mené ces derniers jours une attaque contre deux plateformes pétrolières russes en mer Caspienne, à 700 kilomètres de ses frontières. Ces frappes, qui rappellent l'opération « Toile d'araignée », ont contraint le géant Lukoil à suspendre sa production. Kiev a également affirmé, lundi, avoir « fait exploser » un sous-marin russe à l'aide d'un drone naval dans le port de Novorossiïsk, en Russie, au bord de la mer Noire.Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire Des trains dans la guerre- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille
C dans l'air du 16 décembre 2025 - Paix en Ukraine: Trump y croit, l'Europe aussi...Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire Des trains dans la guerre- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille
O dia em que o convidado se perdeu e não chegou a tempo.
Ce mardi 16 décembre, les pourparlers sur les garanties de sécurité en Ukraine, ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Invités :Eric Naulleau, écrivainAlain Bauer, écrivainEric Revel, journalisteGauthier Le Bret, Journaliste politiqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[REDIFFUSION]Cyril Dion fait partie intégrante du paysage médiatique avec son engagement écologique : militant, auteur, réalisateur. Il engage autant de projets qui réparent le monde, et le répare à lui, aussi.Avec sa poésie, il nous invite à faire du vide pour que l'espace puisse émerger. Il questionne les résistances face au temps long, l'aliénation de nos conditionnement, le présent comme seul état qui existe. Pour lui, la crise écologique est une crise spirituelle, et arriver à plonger dans du temps profond est une urgence.Est-ce que ça sert encore à quelque chose d'alerter sur les enjeux climatiques ? Par les temps qui courent, comment garder espoir ? Qu'est-ce qui dans l'art, reconnecte à ce qui donne du sens à une vie ?C'est autant de questions que Cyril Dion se pose, et autant de réponses qu'il nous partage dans cet épisode.Avec lui sur Nouvel Œil, on parle de poésie, de présent, et de réparation.J'espère que cette écoute t'invitera à faire du vide pour que l'espace émerge.Belle écoute ! ☀️ ---Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
TEMPO DE REFLETIR 01612 – 13 de dezembro de 2025 I Pedro 5:8 – Estejam alerta e vigiem. O diabo, o inimigo de vocês, anda ao redor como leão, rugindo e procurando a quem possa devorar. Na revista Seleções, Jim Grant conta a história de um homem de negócios com excesso de peso que decidiu que estava na hora de perder uns bons quilos. Levava a sério sua dieta, chegando mesmo a mudar de rota para evitar a doceria favorita. Certa manhã, entretanto, ele apareceu no trabalho com um bolo gigante de chocolate. Os colegas de escritório começaram a zombar dele, mas ele permanecia impassível com seu sorriso. “Este é um bolo especial”, disse. “Acidentalmente, tive que passar em frente à doceria nesta manhã e ali, na vitrine, havia grande quantidade de bolos. Senti que não era tão acidental assim, e orei: ‘Senhor, se é de Tua vontade que eu compre um destes bolos de chocolate, que haja um lugar para estacionar em frente da porta da doceria'. Depois de oito voltas na quadra, apareceu o lugar.” A tentação vem. Não importa se é um pedaço de bolo, ou alguma coisa que você não deve ter, algo que você não deve fazer, ou um lugar onde não deve ir. O aviso é: “Fique longe da zona de perigo!” Paulo diz: “Fujam da imoralidade” (1Co 6:18). Quer dizer, corra na direção contrária. Se você tem problemas com bebida alcoólica, não passe em frente ao bar. Se gosta de dançar, não vá aonde possa escutar o som da “balada”. Em outras palavras, não fique nadando nem brincando ao redor da isca, muito menos olhando para ela. Quão perto posso me aproximar do fogo e não me queimar? E se eu sair quando sentir cheiro de fumaça? A preocupação deve ser: Como posso ficar o mais longe possível do pecado? O diabo pode dizer: “Tire uma folga espiritual neste fim de semana. Só hoje à noite. Só uma hora. Afinal, é só uma visita à zona proibida. Você é maduro e sabe que não vai ficar lá.” Por ocasião do lançamento do filme A Paixão de Cristo, Mel Gibson esteve presente a uma grande concentração de pastores na cidade de Chicago. Perguntaram-lhe por que tinha colocado uma mulher com véu para representar o mal. “O mal toma a forma de beleza, é quase bonito… ele se disfarça e se mascara, mas se as antenas de vocês estiverem ligadas, vão identificá-lo.” Pedro adverte: “Cuidado, há um leão predador pronto para saltar sobre a presa. Nada de cochilar!” Através do poder da graça de Deus, você experimentará vitória sobre a tentação. Reflita sobre isso no dia de hoje e ore comigo agora: Obrigado, Pai, por toda a orientação que tens dado a nós, Teus filhos, sobre a tentação e as trágicas consequências do pecado. Por favor, fica sempre ao nosso lado! Em nome de Jesus, amém! Saiba como receber as mensagens diárias do Tempo de Refletir: -> No celular, instale o aplicativo MANAH. -> Para ver/ouvir no YouTube, inscreva-se neste Canal: youtube.com/AmiltonMenezes7 -> Tenha os nossos aplicativos em seu celular: https://www.wgospel.com/aplicativos -> Para receber pelo WhatsApp, adicione 41 99893-2056 e mande um recadinho pedindo os áudios. -> Participe do nosso canal no TELEGRAM: TELEGRAM AMILTON MENEZES . -> Participe do nosso canal no WhatsApp: WHATSAPP CHANNEL Amilton Menezes . -> Instagram: https://www.instagram.com/amiltonmenezes7/ -> Threads: https://www.threads.net/@amiltonmenezes7 -> X (Antigo Twitter): https://x.com/AmiltonMenezes -> Facebook: facebook.com/AmiltonMenezes
Invités :Pierre Lellouche, ancien ministre et ancien président de l'assemblée parlementaire de l'OTAN.Sarah Saldmann, avocate au barreau de Paris.Antonin André, chef du service politique du JDD.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Por que tantas pessoas se encantam por líderes autoritários? O psicanalista e tradutor Paulo Schiller, autor do ensaio A Paixão Pela Mentira: a Família e as Tiranias (Todavia), discute neste episódio as origens do fascínio por tiranos. A partir do seu trabalho na psicanálise, Schiller diz que a ascensão do totalitarismo no século passado e seus ecos do mundo de hoje têm raízes nas relações familiares e nos silêncios a que nos acostumamos desde a infância. Na conversa, ele ainda fala sobre a experiência de traduzir o escritor húngaro László Krasznahorkai, vencedor do Prêmio Nobel de Literatura de 2025, que também explora o poder da mentira no seu romance Sátántangó (Companhia das Letras). Apoio: Lei Rouanet - Incentivo a Projetos Culturais. Assine a Quatro Cinco Um por R$ 10/mês: https://bit.ly/Assine451 Seja um Ouvinte Entusiasta e apoie o 451 MHz: https://bit.ly/Assine451
Il y a tout juste trente ans, la diplomatie américaine parvenait à conclure un accord de paix mettant fin à la guerre de Bosnie-Herzégovine, qui a fait 100 000 morts et deux millions de déplacés. Mais les accords de Dayton ont-ils tenu leurs promesses ? En Bosnie-Herzégovine, l'État est désormais coupé en deux entités, avec d'un côté Bosniaques musulmans et Croates catholiques, de l'autre les Serbes orthodoxes. Les divisions sont toujours aussi béantes, et imprimées dans le quotidien de la capitale Sarajevo, comme l'a constaté notre correspondant Louis Seiller. Poussée nationaliste en Croatie Et dans la Croatie voisine, on observe depuis plusieurs mois une forte poussée ultra-nationaliste et révisionniste... qui a d'ailleurs motivé une réaction en retour avec 10 000 manifestants antifascistes dans les rues. Pour en parler, on retrouve le professeur de Sciences politiques, spécialiste des Balkans à l'Université de Graz, Florian Bieber. La revue de presse européenne Franceline Beretti On commence par l'Europe qui n'est pas épargnée dans la dernière publication américaine sur sa stratégie nationale de sécurité... L'exposition «Africa Direct» à Kiev Et dans une Ukraine toujours en guerre, et en pleine tractation de paix... certaines institutions culturelles veulent rester debout.C'est le cas du musée Khanenko pourtant bombardé. Il vient aujourd'hui interpeller les visiteurs avec une nouvelle exposition intitulée Africa Direct. Ou comment les luttes décoloniales africaines résonnent aujourd'hui dans un pays en lutte contre l'envahisseur russe. Reportage à Kiev signé Emmanuelle Chaze.
Maria Corina Machado est apparue ce jeudi (11 décembre 2025) à Oslo pour sa première prise de parole publique depuis près d'un an. La prix Nobel de la paix, qui vivait dans la clandestinité au Venezuela, est arrivée dans la capitale norvégienne après un voyage entouré de mystère. Maria Corina Machado est arrivée à Oslo peu après minuit, heure locale. Trop tard, donc, pour recevoir son Nobel en personne. Pour sa première prise de parole publique depuis près d'un an, l'opposante vénézuélienne en a profité pour dénoncer l'état de son pays et le régime de Nicolas Maduro face aux menaces du président américain. Cette apparition en public est largement traitée par les journaux du continent, qui montrent Maria Corina Machado à la fenêtre du Grand Hôtel, où se tenait la remise du prix Nobel. On la voit également étreindre ses partisans rassemblés dans la capitale norvégienne. «Le câlin le plus attendu», titre El Nacional. Le Wall Street Journal, de son côté, raconte par le menu comment la Prix Nobel de la Paix est parvenue à s'échapper du Venezuela pour se rendre à Oslo. Une épopée qui a commencé lundi après-midi (8 décembre) lorsque l'opposante a quitté la banlieue de Caracas où elle se cachait pour un village de pêcheurs. Le quotidien new-yorkais décrit dix heures «angoissantes» durant lesquelles la Prix Nobel, accompagnée de deux personnes et coiffée d'une perruque, est parvenue à passer de checkpoint en checkpoint pour finalement atteindre la côte. De là, Maria Corina Machado a embarqué à bord d'un petit bateau de pêche. Direction Curaçao. Et enfin Oslo. Le compas haïtien inscrit au Patrimoine culturel immatériel de l'humanité Après la qualification historique de l'équipe nationale de foot pour le Mondial 2026, c'est un nouveau motif de joie en Haïti. Le compas haïtien, cette musique populaire qu'on chante et qu'on danse dans tout le pays, a été officiellement inscrit sur la Liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco seulement 70 ans après sa création. «Une inscription qui tombe à pique», estime Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste. Le quotidien haïtien consacre, par ailleurs, un article au numéro d'identité qui sera désormais attribué à chaque enfant dès sa naissance. Mais pas seulement. En Haïti, rappelle Frantz Duval, tout le monde n'est pas identifié. Certains l'ont été, mais les documents officiels ont été perdus dans le saccage des administrations. L'Office national d'identité va donc devoir s'atteler à cette lourde tâche en attribuant un numéro d'identification et une carte d'identité à un maximum de citoyens haïtiens. Le Nouvelliste se penche aussi sur la pratique religieuse dans un pays miné par l'insécurité. «Ça ne s'est jamais arrêté. Au contraire, même, ça s'est accéléré», constate Frantz Duval. «En Haïti, on aime le compas, mais on va aussi prier à chaque fois que c'est nécessaire.» Le chikungunya se propage à Cuba L'épidémie a surgi en juillet 2025 dans la province de Matanzas (ouest), près de La Havane, avant de s'étendre aux quinze provinces du pays. Si le gouvernement cubain semble désormais avoir pris en main la situation, en communiquant chaque jour à la télévision le nombre de cas enregistrés, c'est la population qui a commencé à alerter sur les réseaux sociaux. Dans cette interview réalisée par Sarah Krakovitch, le Dr Lazaro Leyva, ancien chef de médecine interne de l'Hôpital Arnaldo Milian Castro de Villa Clara à Cuba, qui vit aujourd'hui en Espagne, explique que les données officielles sur l'épidémie sont sous-estimées, et que très peu de tests sont effectués pour pouvoir diagnostiquer de manière claire et fiable. «On assiste à une dégradation des institutions et des infrastructures de santé. Il n'y a pas de médicaments, pas de ressources pour soigner, pas de moyens pour diagnostiquer... Tout cela a entraîné la crise sans précédent que traverse le système de santé cubain», explique le Dr Lazaro Leyva.
Il y a tout juste trente ans, la diplomatie américaine parvenait à conclure un accord de paix mettant fin à la guerre de Bosnie-Herzégovine, qui a fait 100 000 morts et deux millions de déplacés. Mais les accords de Dayton ont-ils tenu leurs promesses ? En Bosnie-Herzégovine, l'État est désormais coupé en deux entités, avec d'un côté Bosniaques musulmans et Croates catholiques, de l'autre les Serbes orthodoxes. Les divisions sont toujours aussi béantes, et imprimées dans le quotidien de la capitale Sarajevo, comme l'a constaté notre correspondant Louis Seiller. Poussée nationaliste en Croatie Et dans la Croatie voisine, on observe depuis plusieurs mois une forte poussée ultra-nationaliste et révisionniste... qui a d'ailleurs motivé une réaction en retour avec 10 000 manifestants antifascistes dans les rues. Pour en parler, on retrouve le professeur de Sciences politiques, spécialiste des Balkans à l'Université de Graz, Florian Bieber. La revue de presse européenne Franceline Beretti On commence par l'Europe qui n'est pas épargnée dans la dernière publication américaine sur sa stratégie nationale de sécurité... L'exposition «Africa Direct» à Kiev Et dans une Ukraine toujours en guerre, et en pleine tractation de paix... certaines institutions culturelles veulent rester debout.C'est le cas du musée Khanenko pourtant bombardé. Il vient aujourd'hui interpeller les visiteurs avec une nouvelle exposition intitulée Africa Direct. Ou comment les luttes décoloniales africaines résonnent aujourd'hui dans un pays en lutte contre l'envahisseur russe. Reportage à Kiev signé Emmanuelle Chaze.
Qualifié de «miracle» par Donald Trump, l'accord de paix signé jeudi dernier par Félix Tshisekedi et Paul Kagame est-il déjà un échec ? Lors de son discours sur l'état de la Nation, le président congolais a accusé le Rwanda de violer ses engagements, notamment dans le Sud-Kivu. Vos réactions nous intéressent. Standard : 33 9 693 693 70 Mail : appels.actu@rfi.fr Facebook : Rfi appels sur l'actualité Twitter : @appelsactu
À peine l'encre des signatures des présidents congolais et rwandais avait-t-elle séché jeudi dernier à Washington que les combats s'intensifiaient dans le Sud-Kivu. « Lundi, rapporte Le Monde Afrique, des affrontements ont été signalés aux abords de la localité de Luvungi, à environ 60 kilomètres au nord d'Uvira, selon des sources militaires. Des tirs et des détonations ont également résonné aux abords de Sange, localité à mi-chemin entre Uvira et Luvungi. Un officier au sein de l'armée burundaise a évoqué de « très nombreux » soldats, congolais et burundais, en fuite et passant la frontière avec le Burundi. Les combats font rage désormais à une trentaine de kilomètres au nord de la ville d'Uvira, et impliquent plusieurs milliers de soldats burundais, en soutien à Kinshasa. » Uvira aux mains du M23… D'après le site Afrikarabia, spécialisé sur la RDC, Uvira est même déjà tombée… Les rebelles de l'AFC-M23 sont entrés hier dans la ville, affirme le site. « Les témoignages sur place faisaient déjà état de la fuite des autorités civiles et de militaires dans la journée, alors que la rébellion se tenait à Kiliba, à une quinzaine de kilomètres au Nord d'Uvira. Le scénario de la prise de Goma et Bukavu en début d'année se répète donc dans cette ville de 600 000 habitants au bord du lac Tanganyika, pointe Afrikarabia : des rebelles qui progressent très rapidement face à une armée congolaise qui opère de multiples replis stratégiques, laissant ainsi la voie libre à l'AFC-M23. » Et, ça n'est pas une surprise, poursuit le site : l'accord de paix entre la RDC et le Rwanda, sous l'égide des États-Unis, est en effet une « paix de papier », s'exclame-t-il. Pour la simple raison que « l'AFC-M23 n'est pas partie prenante de cet accord. Or, c'est justement le M23 qui est sur le terrain et qui opère, même si le mouvement rebelle est soutenu par Kigali. La signature de l'accord de Washington donne l'impression d'avoir mis la charrue avant les bœufs, constate encore Afrikarabia, en signant d'abord la paix avec le Rwanda avant de trouver un accord avec le M23 à Doha. » Cap vers le Katanga ? La Libre Afrique à Bruxelles confirme la chute d'Uvira… « La cité a été rapidement ceinturée et les rebelles ont ainsi pris le contrôle de la frontière burundaise, pour empêcher l'arrivée de renforts éventuels de l'armée congolaise. Face à cette situation et « pour éviter un bain de sang et limiter les dommages dans la ville, les notables d'Uvira ont demandé aux rebelles de les autoriser à négocier le départ des troupes fidèles au régime de Kinshasa », explique un diplomate occidental. Des tractations qui ont pris plusieurs heures mais qui ont abouti à un départ dans le calme de la plupart des hommes en armes. » Pour leur part, précise encore La Libre Afrique, « les rebelles ont déjà annoncé qu'ils allaient poursuivre leur avancée et mettre le cap sur le Katanga. […] Il faut mettre la main sur le coffre-fort du clan présidentiel », lance un cadre de l'AFC-M23. » Le Katanga, au Sud, qui « est le tiroir-caisse de la RDC, relève Afrikarabia, avec ses riches mines de cuivre et de cobalt. » Une menace pour le Burundi… La conquête d'Uvira « est (donc) stratégique à plus d'un égard », pointe Jeune Afrique. « Après la chute de Bukavu, en février, Uvira a en effet servi de point de repli aux autorités provinciales du Sud-Kivu. Située à l'extrémité nord du lac Tanganyika, c'est un point de passage obligé pour se projeter vers Kalemie (et plus au sud vers le Katanga). Enfin, Uvira fait directement face à Bujumbura, la capitale économique du Burundi, dont l'aéroport sert depuis plusieurs mois de relais discret pour l'acheminement de renforts et de munitions vers le front de l'est. » D'ailleurs, poursuit Jeune Afrique, « l'expansionnisme de l'AFC-M23 dans cette zone est considérée comme une menace directe par les autorités burundaises, déjà confrontées à une importante crise économique. Entre le Rwanda et le Burundi, la tension a continué à monter ces derniers jours. Il y a une semaine, le ministre rwandais des Affaires étrangères avait accusé le Burundi « d'être un saboteur du processus de paix ». Et, il y a deux jours, son homologue burundais lui répondait indirectement en accusant le Rwanda de mener « des activités déstabilisatrices » contre son pays et de cibler les soldats burundais dans l'est de la RDC. »
durée : 00:36:52 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Alors que le plan de paix sur l'Ukraine continue ses allées et venues, comment penser la suite, reconstruire le pays...? On en parle ce soir avec l'homme qui a été l'envoyé spécial de la France sur ce sujet durant les 3 dernières années, Pierre Heilbronn. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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(00:00:34) Ukraine: les habitants oubliés des discussions de paix (00:07:14) Peut-on utiliser les avoirs russes gelés pour aider l'Ukraine? (00:12:47) Pourquoi l'opposition turque est sous pression comme jamais
Ce mardi 9 décembre, la fragilité des conventions de paix négociées par le président américain, comme en témoigne la reprise des affrontements entre la Thaïlande et le Cambodge et entre le Congo et le Rwanda, a été abordée par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
[REDIFF]Une personne sur cinq serait hypersensible. Ce n'est pas rien. Alors j'ai appelé Mathilde Depaulis, une grande amie pour moi. Elle est psychologue émotionnelle, et c'est de loin la personne la plus compétente que j'ai trouvée à interviewer pour comprendre ce qu'est, vraiment, l'hypersensibilité. Quelles sont ses caractéristiques et surtout, comment on vit avec, pour en faire une force incommensurable. Avec Mathilde dans cet épisode, on parle d'émotions, d'hypersensibilité et de joie. J'espère que cette écoute te fera ressentir ces petites choses que personne ne voit. Belle écoute ! ☀️ ---
durée : 00:28:52 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Justine Brabant - Deux spécialistes de la médiation racontent comment, en toute discrétion, ils tentent de dénouer les conflits du siècle. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
Un an après la chute de Bachar al-Assad, la Syrie n'a pas replongé dans la guerre civile, et entretient l'espoir encore fragile d'une paix durable.Plus d'un million de réfugiés syriens ont pu rentrer chez eux, même s'il en reste 4,5 millions. Le président par intérim Ahmad al-Chareh, un ancien jihadiste, a pour l'instant réussi à s'entendre à la fois avec l'Union Européenne, Donald Trump, la Turquie et l'Arabie saoudite. Il a même été reçu à Moscou, grand soutien d'Assad.Mais l'espoir des experts est mâtiné de beaucoup de prudence : des dizaines de milliers de victimes de décennies de répression sanglante restent introuvables, l'économie est exsangue, et des massacres ont visé les minorités alaouite et druze. Enfin, Israël mène des frappes et des incursions dans le Sud. La Semaine sur le fil fait le point avec Acil Tabbara, directrice de nos bureaux au Liban et en Syrie; Rime Allaf, écrivaine syrienne et Ziad Majed, spécialiste du Proche-Orient.Pour aller plus loin :It Started in Damascus, par Rime AllafLe Proche-Orient, miroir du monde, par Ziad Majed et ses livres sur la SyrieRéalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon, Michaëla Cancela-KiefferEnregistrements sur le terrain : AFPTVLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est à la Une du Journal de Kinshasa : « La RDC et le Rwanda tournent la page des tensions. Le jeudi 4 décembre 2025 restera gravé dans l'histoire de la région des Grands Lacs ». Sans évoquer l'ambiance, glaciale, de cette rencontre, le Journal de Kinshasa revient sur les principales déclarations des deux présidents. Tout d'abord le chef de l'État rwandais : Paul Kagame a estimé que la feuille de route signée hier « est la plus claire et la plus précieuse que nous ayons jamais eue ». Il a aussi remercié Donald Trump, alors que Félix Tshisekedi de son côté, « qualifiait les Accords de Washington de tournant historique ». Quant au président américain Donald Trump, il a insisté sur « la rapidité du processus » qu'il a lui-même initié… Les accords sont signés mais sur le terrain, rien n'est réglé. Pourtant, le Journal de Kinshasa se veut optimiste, estimant que la signature de ces accords « marque le début d'une dynamique nouvelle, orientée vers la stabilité, la coopération économique et la prospérité partagée ». Africanews qui s'est rendu à Goma, la capitale du Nord-Kivu a pu constater que ce sommet « faisait naître un mélange d'espoir et de scepticisme ». « Le sentiment général, ajoute Africanews, est résumé par un habitant de Goma qui affirme : "ils disent être dans un processus de paix et après nous apprenons que la guerre reprend. Cela nous fait mal et nous sommes très inquiets" ». Exaspération Les Somaliens sont en colère. C'est Afrik.com, qui nous dit que « que la Somalie est indignée par les propos ouvertement racistes de Donald Trump ». Récemment, le président américain « s'est violemment attaqué aux immigrés somaliens vivant aux États-Unis, les qualifiant "d'ordures" indésirables, ne faisant rien d'autre que de se plaindre ». « Dans la capitale somalienne », raconte Afrik.com, « l'indignation est générale. Habitants et membres de la société civile peinent à croire à la violence du discours présidentiel américain et s'inquiètent du climat de stigmatisation croissant ». Mais ce n'est pas le seul point que souligne le site d'information panafricain. Car « au-delà de la colère contre Donald Trump, plusieurs voix dénoncent l'absence de réaction des autorités somaliennes ». L'une des personnes interviewées par Afrik.com, exprime ainsi « son exaspération » : « Trump insulte quotidiennement les Somaliens, nous traitant d'ordures et utilisant d'autres termes péjoratifs que nous ne pouvons plus tolérer. Nos dirigeants auraient dû réagir à ses propos. » Nouvelle arrestation En Tunisie, l'une des dernières figures de l'opposition encore en liberté, Ahmed Nejib Chebbi, président du Front du Salut National, a été arrêté hier. Tunisie Webdo précise qu'il a été arrêté, « en exécution du jugement définitif prononcé à son encontre dans l'affaire dite "du complot contre la sûreté de l'État" ». Il a été « interpellé à son domicile pour purger une peine de 12 ans de prison ». Tunisie Webdo en profite pour annoncer demain, « une grande marche pour "dénoncer l'injustice" qui sera organisée à Tunis ». Le parti Al Joumhouri, fondé par Ahmed Nejib Chebbi, souligne qu'avant lui, d'autres personnalités proches de l'opposition ont récemment été arrêtées. Il parle ainsi de « l'enlèvement de la militante Chaima Issa, puis de l'arrestation de l'avocat Ayachi Hammami, cette semaine ». Pour Al Joumhouri, ces arrestations « de responsables politiques, de militants, de journalistes et de blogueurs » visent ni plus ni moins, « à fermer l'espace public et à réduire au silence les voix critiques ».
Pas de poignée de main, hier, jeudi 4 décembre, à Washington entre Paul Kagame et Félix Tshisekedi, malgré la signature d'un accord de paix entre le Rwanda et la République démocratique du Congo. Les deux chefs d'État ont remercié leur homologue américain Donald Trump pour ses efforts en faveur de la paix, mais ont tenu des discours d'une grande prudence sur les chances de succès de cet accord. Zobel Behalal est expert senior à la Global Initiative Against Transnational Organised Crime (GI-TOC), c'est-à-dire l'Initiative mondiale contre le crime organisé transnational. Il livre son analyse au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Qu'est-ce que vous avez pensé de cette cérémonie hier soir à Washington ? Zobel Behalal : Écoutez, le président Trump a réussi un grand coup diplomatique. Il a réussi à amener à Washington deux chefs d'État qui ne se sont pas rencontrés depuis longtemps. Mais on se rend aussi compte qu'il était le seul à être content dans cette salle, parce que les présidents congolais et rwandais, à travers leur langage corporel, ont montré qu'ils n'étaient pas très engagés pour cette signature. Apparemment, en tout cas, il n'y a pas eu de poignée de main entre les deux chefs d'Etat du Congo et du Rwanda ? Ça illustre le très peu d'engagement de ces deux chefs d'État, le très peu d'entrain à venir signer ces accords. On sait, à partir des sources dans les différents pays, que le président Tshisekedi et le président rwandais n'ont pas pu résister à la pression exercée depuis plusieurs mois par l'administration Trump. Et voilà le résultat que ça a donné, ce sentiment de défiance dans la salle, l'absence de poignée de main qui fait douter de la portée de cet événement du 4 décembre. Et visiblement, les deux chefs d'État s'évitaient du regard pendant toute la cérémonie. Alors, pendant son discours, le Rwandais Paul Kagame a dit : « Il y aura des hauts et des bas ». Est-ce à dire qu'il ne suffit pas de signer un accord pour que la paix revienne ? Absolument. J'ai envie de dire qu'il y aura un peu plus de bas que de hauts d'ailleurs. Lorsqu'on regarde le terrain aujourd'hui, avec la poursuite des affrontements entre le M23 et l'armée congolaise, on a de grosses inquiétudes. Et malheureusement, les populations à l'est de la RDC ne vont pas se réveiller demain, la semaine prochaine, avec un horizon un peu plus apaisé. Le Congolais Félix Tshisekedi, dans son discours, a eu ce mot : « Nous espérons que le Rwanda fera preuve du même sérieux que nous »... C'est la raison pour laquelle, même si on peut se réjouir du fait que, et ça, c'est à mettre au crédit de l'administration Trump, que l'économie soit revenue au centre du jeu… On est aussi forcé à la prudence sur l'avenir de cet accord qui a été signé hier. Oui, parce que ce que sous-entendait le président congolais, c'était l'espoir que les Rwandais retirent leurs troupes du Congo ? Le président congolais ne cesse de le dire. Il a encore répété devant la diaspora congolaise lors d'une visite à Belgrade « Rien ne se fera tant que le Rwanda ne sera pas parti du Congo ». Et les Rwandais disent à leur tour que rien ne se fera tant que les Congolais n'auront pas combattu les FDLR. Et l'un des documents de cet accord dit clairement que le Cadre régional d'intégration économique ne sera pas mis en œuvre tant que ces mesures-là ne seront pas achevées. Donc, on est ici dans la satisfaction d'avoir eu les deux chefs d'État qui viennent à Washington pour le bonheur du président Trump, mais on est face aussi à l'inquiétude pour le quotidien des populations congolaises. Et quand le président burundais Evariste Ndayishimiye a déclaré « s'engager, c'est une chose, mettre en œuvre est une autre chose », est-ce qu'il n'a pas résumé l'opinion générale ? Absolument. On parle ici d'un président qui connaît bien la région, qui connaît bien les différents protagonistes, qui est d'ailleurs en froid, le Burundi est d'ailleurs en froid avec le Rwanda. Donc, ils sont tous conscients des difficultés énormes, de l'Himalaya vers lequel on s'engage aujourd'hui en signant cet accord. Mais prenons l'exemple de la mine de Rubaya, qui produirait 15 % du coltan mondial et qui se trouve actuellement sous le contrôle du M23. Est-ce qu'avec les accords signés hier, on va pouvoir tracer le coltan qui part de cette mine de l'est du Congo vers le Rwanda et ensuite vers le marché occidental ? La mine de Rubaya, depuis plusieurs années, est une source du financement du conflit. Les minerais qui sont exploités à Rubaya, déjà, avant la présence du M23 qui l'occupe aujourd'hui, étaient blanchis et continuaient à être blanchis au Rwanda. Les processus de traçabilité existaient déjà, mais les acteurs sur le terrain avaient réussi à les contourner. C'est vrai que, dans les accords qui ont été signés à Washington, il y a une dimension de traçabilité de ces minerais. Mais, je pense que si cette traçabilité n'a pas été efficace à 100 % avant, il n'y a pas de raison qu'elle le soit demain sans un changement radical. Le point sur lequel on veut insister, c'est la présence des réseaux du crime transnational organisé, qui ont intérêt à ce que ce désordre continue, parce que, grâce à ce désordre, ils peuvent s'enrichir. Donc, tant qu'on n'aura pas adopté des mesures tangibles pour lutter contre ces réseaux du crime transnational organisé, toutes les autres mesures seront inefficaces. Et quand je regarde les accords qui ont été signés, je n'ai pas l'impression qu'on se soit engagé vers cette logique-là. À lire aussiRDC-Rwanda: sous l'égide de Trump, Tshisekedi et Kagame signent un accord de paix
Donald Trump a présidé à Washington la signature d'un accord de paix entre la RDC et le Rwanda, qu'il a qualifié de "miracle", malgré la poursuite de violents combats dans l'est congolais. Paul Kagame a salué une médiation "pragmatique", tout en prévenant que la mise en œuvre de l'accord serait jalonnée de "hauts et des bas". Félix Tshisekedi a lui aussi remercié Donald Trump pour "le début d'un nouveau chemin", tout en avertissant qu'il serait "exigeant" et "difficile".
Alors que les tensions sont vives entre la RDC et le Rwanda, les présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame sont attendus ce jeudi à Washington, aux côtés de Donald Trump, pour signer l'accord de paix conclu entre leurs pays en juin dernier. Après trois décennies d'insécurité dans l'est de la RDC, quel sera l'impact sur le terrain ? La paix est-elle à portée de main ? Vos réactions nous intéressent.
Invités : André Vallini, ancien députéGeoffroy Lejeune, journalisteRachel Khan, essayisteGauthier Le Bret, journaliste politiqueLouis Gautier, ancien secrétaire général de la Défense et de la sécurité nationaleHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - L 'envoyé de Donald Trump, Steve Witkoff est à Moscou ce mardi. Il va rencontrer Vladimir Poutine et lui soumettre une nouvelle version du plan de paix américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine, alors que le Kremlin ne veut rien céder sur la question des territoires.
durée : 01:20:58 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Roger Pillaudin - Interprètes : Jacques Berthier, Roger Bret, Michel Bouquet, Jacques Castelot, René Farabet, Jean-Marie Fertey, Fred Fischer, Henri Gilabert, Philip Gaunt, Julien Guiomar, Pierre Leproux, Serge Lopoukhine, Jean Mauvais, Ruth Morrow, Jean-Paul Moulinot, Jean Négroni, Pierre Olivier, André Torrent, Guy Tréjan et Claude Vernier - Réalisation Henri Soubeyran - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
durée : 00:38:50 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Les discussions russo-américaines sur l'Ukraine s'enlisent sans perspective d'accord immédiat. Quel rôle l'Europe peut-elle jouer dans ces négociations ? Pour en parler, Guillaume Erner reçoit Jean-Noël Barrot, ministre de l'Europe et des Affaires étrangères - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jean-Noël Barrot Homme politique français; Andreï Kourkov Ecrivain
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.REDRESSEMENT ITALIEN, DÉCLIN FRANÇAIS : UN PARALLÈLE EN TROMPE-L'ŒILAlors que la France s'enfonce dans la dette, l'Italie redresse ses dépenses publiques. Le 2 octobre, le gouvernement d' « union des droites » de Giorgia Meloni a approuvé les dernières prévisions financières pour fin 2025 : le déficit serait ramené autour de 3% du PIB, ouvrant la porte à une sortie de la procédure pour déficit excessif engagée par la Commission européenne. L'Italie est devenue la quatrième puissance exportatrice mondiale se classant derrière l'Allemagne, elle devance désormais la Corée du Sud. En 2014, elle était classée au septième rang.Ces résultats ne doivent pas occulter une dette italienne restée à des niveaux très préoccupants (140% du PIB). De plus, le redressement financier de l'Italie est facilité par les effets du plan de relance européen décidé durant la crise sanitaire de 2020-2022, particulièrement généreux pour Rome (avec 194 milliards d'euros perçus, le pays est le premier bénéficiaire du dispositif). Une dette souveraine qui n'a pas empêché le 19 septembre l'agence de notation Fitch d'en relever la note à BBB+, quelques jours après avoir abaissé celle de la France à A+, donnant l'impression que les courbes, entre les deux pays, étaient destinées à se croiser, le redressement italien ne faisant que mettre en lumière, par contraste, l'affaiblissement des positions de la France.L'économie italienne conserve de grandes fragilités structurelles, notamment une productivité atone, une croissance en berne et une crise démographique qui ne cesse de s'aggraver, notamment par le départ à l'étranger des Italiens diplômés. Le pays connait une productivité du travail faible, estimée par l'OCDE à 65,60 € par heure en 2024, soit beaucoup moins que la France (90,86€). Deuxième puissance manufacturière d'Europe, l'Italie arrive seulement quatorzième dans le classement des pays membres les plus innovants en 2025, selon la Commission, tandis que le climat social se détériore. Le recul du chômage de 7,8% en 2022 à 6% en 2024 cache une augmentation du nombre de travailleurs pauvres et un temps partiel contraint qui frappe d'abord les femmes. Dans ces circonstances, le nombre de familles en situation de pauvreté absolue se maintient au-dessus de 8 millions, quand le taux de population à risque de pauvreté est de 23,1% en 2024. De plus, une étude d'octobre 2024 menée par plusieurs universités analysant les données de la Banque centrale européenne a mis en évidence le caractère profondément inégalitaire du système fiscal italien. Les principaux avantages fiscaux y seraient ainsi concentrés entre les mains des 7% des plus riches, dont le taux moyen d'imposition se révèle inférieur à celui des classes moyennes moins favorisées.En dépit de ces faiblesses, 39% des Italiens, selon le baromètre publié en février 2025 par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, déclarent faire confiance à la politique, contre 26% des Français. L'Italie, il est vrai, connait depuis trois ans, contrairement à la France, une stabilité gouvernementale inédite.LE PLAN DE PAIX DE TRUMP POUR L'UKRAINELe 18 novembre, un plan de paix en Ukraine, détaillé en 28 points a sidéré les Ukrainiens et les Européens, tant cette esquisse inacceptable à leurs yeux était alignée sur les positions russes. Il stipule notamment que la Crimée (annexée par la Russie en 2014) ainsi que Louhansk et Donetsk seront « reconnues comme russes de facto, y compris par les Etats-Unis ». Il évoque aussi la création d'une « zone tampon démilitarisée » et neutre dans la partie de l'oblast de Donetsk contrôlée par l'Ukraine, qui serait « internationalement reconnue comme territoire appartenant à la Fédération de Russie », mais où les forces russes n'entreraient pas. Il y est énoncé encore que l'Ukraine devrait renoncer à son projet d'adhérer à l'OTAN et réduire à 600.000 soldats ses forces armées. Il ouvre la voie à une amnistie générale, y compris pour les crimes de guerre dont est accusé le dirigeant russe, Vladimir Poutine, ainsi qu'à une levée progressive des sanctions occidentales, voire à un retour de la Russie dans le G8.Les négociations entreprises dimanche à Genève, entre les conseillers à la sécurité nationale américains, ukrainiens et européens, ont permis de remodeler le plan Trump et de le nettoyer de ses aspects les plus problématiques. Sur les 28 points initiaux, il n'en restait plus que 19 lundi. Certains paragraphes ont été tout simplement rayés, comme la suggestion de réintégrer la Russie dans le G8, ou d'offrir la possibilité pour les Etats-Unis d'utiliser les actifs russes gelés, majoritairement détenus dans des pays européens, afin de financer l'effort de reconstruction. Les mentions concernant directement les intérêts européens, comme les sanctions, la perspective que l'Ukraine adhère à l'Union européenne ou qu'elle n'intègre jamais l'OTAN ont été remises à plus tard. Ce nouveau plan en 19 points n'est pas définitif. Divers ajustements et précisions doivent encore être négociées dans les coulisses, avant d'être soumis à la Russie. Mais la copie paraît désormais acceptable à la fois aux Ukrainiens, aux Américains et aux Européens. Il n'est plus question pour Kyiv de renoncer aux territoires conquis par la Russie, ni d'établir une zone tampon sur son sol mais de proposer un armistice sur la ligne de front actuelle qui serait gelée. Il n'est plus envisagé de réduire par deux la taille de l'armée ukrainienne. « Beaucoup de choses justes ont été prises en compte » à Genève, a observé Volodymyr Zelensky, lundi, indiquant qu'il négociera lui-même avec Donald Trump les points les plus sensibles laissés de côté, lors d'une rencontre dont la date est incertaine. En écho, Vladimir Poutine a déclaré jeudi que « les combats cesseront » quand l'armée ukrainienne « quittera les territoires qu'elle occupe » (= les régions revendiquées par Moscou) et qu'il ne peut pas y avoir d'accord de paix car le gouvernement ukrainien n'est pas légitime.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.