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Revue de presse internationale
À la Une: un sommet Donald Trump-Vladimir Poutine le 15 août en Alaska

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Aug 9, 2025 4:09


Faute de pouvoir d'ores et déjà réunir Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky autour d'une même table, le président américain annonce qu'il rencontrera le président russe, dans moins d'une semaine, le 15 août, en Alaska. « Donald Trump a déclaré "qu'un accord entre la Russie et l'Ukraine inclurait un échange de territoires", pour le bien des deux pays », précise le Washington Post qui, toutefois, s'interroge : « Ce que le président américain entend par échange de territoires n'est pas clair », estime le quotidien américain. « L'Ukraine ne contrôle qu'environ 10 kilomètres carrés de territoire russe dans la région occidentale de Koursk, alors que la Russie contrôle environ un cinquième du territoire de l'Ukraine. » D'ailleurs, remarque le journal espagnol El País, « la perspective d'un échange de territoires paraît complexe, d'un point de vue juridique et militaire, et constitue un tabou absolu pour la population ukrainienne. La majorité des Ukrainiens sont favorables à un accord de paix, mais aussi opposés à la cession de territoire au pays qui les a attaqués ». Enfin, ajoute le Monde, il y a « un second sujet, tout aussi décisif, à savoir les garanties de sécurité de la part de l'Europe, des États-Unis ou de l'Otan, que pourrait obtenir l'Ukraine, pour empêcher la Russie d'interrompre, puis de reprendre, une guerre visant à s'emparer du reste du pays ». Mais « ce sujet semble être le parent pauvre des discussions russo-américaines », regrette le quotidien français. À lire aussiDonald Trump annonce une rencontre avec Vladimir Poutine le 15 août en Alaska Opération en deux temps Autre sujet tout aussi brûlant dans la presse internationale : la perspective d'une nouvelle offensive israélienne sur Gaza. C'est le journal l'Orient le Jour, qui se penche sur « le plan de prise de contrôle de la ville de Gaza, annoncé par le Cabinet de sécurité israélien, dans la nuit de jeudi à vendredi ». Selon le quotidien francophone libanais, « l'opération serait programmée en deux temps : une première phase qui devrait être achevée le 7 octobre prochain, et comprenant une invasion de la ville, simultanément à une évacuation de près de deux millions de civils vers des zones alternatives. La seconde phase serait consacrée à la prise de contrôle militaire de Gaza, débarrassée du Hamas ». Toutefois, ce projet rencontre des réticences, au sein de l'armée israélienne, mais aussi au sein de la communauté internationale. Le Temps souligne que le chancelier allemand, Friedrich Merz « a suspendu l'exportation des équipements militaires qui pourraient être utilisés par Israël dans sa nouvelle offensive à Gaza ». Le quotidien suisse ajoute qu'il y a « une exception », « au sein de ce concert de désapprobation » : « les États-Unis, indéfectible allié d'Israël, seul à même d'actionner le frein, n'ont pipé mot ». À lire aussiL'armée israélienne va «prendre le contrôle» de la ville de Gaza annonce le cabinet de sécurité israélien Incendie hors norme Enfin, en France, à l'approche d'un nouvel épisode de canicule, l'inquiétude reste de mise dans le sud du pays, frappé par un incendie historique. « L'incendie, qui s'est déclaré mardi après-midi dans le massif des Corbières, n'est pas encore totalement éteint », nous dit le Parisien. « Le feu a parcouru 17 000 hectares », précise la Croix, qui s'intéresse au « travail de fourmi des pompiers. Ils traquent flammes, braise et fumerolles ». « Il est encore trop tôt pour dire quand l'incendie sera déclaré « maîtrisé », explique le colonel Magny, qui dirige les opérations. « C'est un incendie hors norme, on a 90 kilomètres de lisière, c'est très conséquent ». Le Parisien, de son côté, met l'accent sur ce qui a permis la progression du feu : « l'arrachage des vignes et les mises en jachère de terres agricoles pour des raisons économiques, ont favorisé la propagation des flammes dans le massif des Corbières », explique le journal. « L'avantage des vignes », précise un pompier, « c'est qu'elles restent vertes, car ce sont des matières humidifiées, naturellement moins inflammables ». « Sans les vignes », ajoute un responsable de l'assistance feu de forêt pour Météo France, « il y a des herbacées qui créent une vraie continuité d'un massif à l'autre, ce qui facilite l'avancée des flammes ». Autant dire que l'inquiétude reste à l'ordre du jour, alors qu'aujourd'hui, le département de l'Aude est placé en vigilance orange à la canicule. À lire aussiIncendie dans l'Aude: la France face à un nouveau «méga-feu», mais de quoi s'agit-il?

Le fils de personne
C'est probablement de ta faute.

Le fils de personne

Play Episode Listen Later Aug 6, 2025 65:41


Tu t'es fait largué, tu prends que des rateaux, cherche pas plus loin.INSTA : @lefilsdepersonne............ ...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Droits de douane : le monde se couche devant Trump - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Aug 1, 2025 67:01


C dans l'air du 1er août 2025 : Droits de douane : l'onde de choc mondialeLe début d'un nouvel ordre commercial international ? Le président américain Donald Trump a signé hier soir le décret instaurant les nouveaux droits de douane qui toucheront les produits des partenaires commerciaux des États-Unis. Ce geste vise à "restructurer le commerce mondial au bénéfice des salariés américains", selon un document publié par la Maison-Blanche. Ils prendront effet le 7 août, et non dès aujourd'hui, comme initialement attendu. L'Union européenne, le Japon ou la Corée du Sud verront ainsi leurs produits être taxés à hauteur de 15 %, le Royaume-Uni de 10 %.Ces taux amendent ceux qui avaient été annoncés le 2 avril dernier avant d'être suspendus en raison de la débâcle que cette annonce avait provoquée sur les marchés financiers.Faute d'être parvenus à un accord avec Donald Trump, la Suisse ou encore le Canada se sont vus imposer des droits de douane particulièrement élevés sur leurs produits exportés aux États-Unis. Ces deux pays, taxés respectivement à hauteur de 39% et de 35%, comptent parmi les grands perdants de l'opération commerciale américaine. Le Brésil est également très durement touché, avec des taxes à 50 %. L'administration Trump utilise sa politique tarifaire pour s'opposer aux équipes du président Lula et à la justice brésilienne, qui poursuit l'ancien président d'extrême droite, Jair Bolsonaro.Les deux géants asiatiques ne sont pas épargnés. L'Inde sera taxée à 25 % et la Chine à 55 %, en tenant compte des hausses intervenues lors du premier mandat de Trump.Au regard de ses concurrents internationaux, l'Union européenne ne semble donc finalement pas s'en tirer à si mauvais compte.Mais en France des critiques contre l'accord signé entre Bruxelles et Washington se sont fait entendre au plus haut sommet de l'Etat. Le manque de combativité européenne dans ce dossier fait réagir. La France a "été un peu seule" à se battre, selon le Premier ministre François Bayrou. Emmanuel Macron estime que l'UE n'a pas été assez "crainte" par les Etats-Unis et affirme que la France "n'en restera pas là". Le président souhaite obtenir de "nouvelles exemptions", notamment pour le secteur des alcools et spiritueux.Si le secteur aéronautique a évité la foudre et apparaît sauvegardé, le luxe, fleuron français, sera touché par cette nouvelle donne. Bernard Arnaud, à la tête de LVMH, le numéro un mondial du secteur, va ouvrir une usine au Etats-Unis. Kering, numéro trois mondial, a de son côté annoncé l'arrivée de l'Italien Luca Di Meo à la tête de l'entreprise. L'ancien dirigeant de Renault devrait toucher 20 millions d'euros lors de la signature, et ce malgré les difficultés du groupe.De l'autre côté du Rhin, l'automobile allemande va aussi pâtir de ces droits de douanes réévalués. D'autant que des plans sociaux étaient déjà annoncés avant même la politique américaine. Les constructeurs sont en effet frappés par la forte concurrence des véhicules électriques chinois.Ces nouveaux droits de douane sont censés attirer les investissements étrangers pour une production sur le sol américain, et relacencer, dans le même temps, l'industrie américaine. Mais le pouvoir d'achat des ménages américains va aussi en ressentir les effets : le budget Lab de Yale estime à 2400 dollars par famille en moyenne le coût des droits de douane la première année.Grands gagnants de cette nouvelle donne - et de l'appauvrissement des ménages américains privés de leurs importations chinoises à bas coûts - les entreprises de réparation et de reconditionnement. Une équipe de C dans l'air a rencontré le dirigeant de Back Market, une entreprise française de reconditionnement et de commerce d'appareils électriques et électroniques. Il explique que son groupe, implanté aux Etats-Unis, a vu ses ventes multipliées par trois lors des premières annonces de Trump survenues en avril dernier. Selon lui, un changement des habitudes de consommation est en train de s'opérer. Faute de pouvoir acheter des produits en provenance de l'étranger, les clients vont se recentrer sur le local. Pour le plus grand profit de son entreprise. Bien malgré lui, Donald Trump sera ainsi, selon lui, un artisan de l'écologie, grâce à la diminution des flux de commerces internationaux que sa politique pourrait entrainer.LES EXPERTS :- Jean-Marc DANIEL - Économiste , professeur émérite à l'ESCP business school- Isabelle RAYMOND - Cheffe du service économie et social - France info- Philippe MABILLE - Directeur éditorial - la Tribune et la Tribune Dimanche- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - le Parisien Frédéric DABI - Directeur Général Opinion de l'Ifop

Président Magnien
L'humeur de Victor : Les Français et l'orthographe, toujours un sans-faute ? - 31/07

Président Magnien

Play Episode Listen Later Jul 31, 2025 2:49


Tous les matins, l'oeil malicieux de Victor Pourcher se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.

Vacarme - La 1ere
Maigrir 5/5 - Le poids de la faute

Vacarme - La 1ere

Play Episode Listen Later Jul 27, 2025 25:05


L'obésité est une maladie complexe. Facteurs génétiques, dérèglement alimentaire et sédentarisation sont essentiellement en cause. Mais l'individu est-il vraiment seul responsable de sa surcharge pondérale ? La société, le monde politique, le secteur industriel n'ont-ils pas une part de responsablité dans l'épidémie d'obésité en cours ? Stéphane Joost et Idris Guessous, ont créé un groupe de chercheurs interdisciplinaire qui a cartographié la ville de Lausanne et listé les critères qui rendent une ville obésogène. (Rediffusion du 29 mai 2019, reportage Laurence Difélix, réalisation Didier Rossat, production Véronique Marti)

TOPFM MAURITIUS
Violences à la prison de Melrose : À qui la faute ? Gardiens, politiciens ou encore la société…

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Jul 27, 2025 1:10


Violences à la prison de Melrose : À qui la faute ? Gardiens, politiciens ou encore la société… by TOPFM MAURITIUS

Le magazine de la rédaction
Églises en péril : qui est prêt à payer ?

Le magazine de la rédaction

Play Episode Listen Later Jul 26, 2025 54:11


durée : 00:54:11 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - La majorité des 40 000 églises de France ont besoin de travaux de restauration. Faute de moyens, et malgré le soutien de l'État et d'organismes comme la Fondation du patrimoine, les communes peinent à les réaliser. A-t-on seulement les moyens aujourd'hui de préserver ce patrimoine ? - réalisation : Annie Brault - invités : Françoise Benhamou Économiste de la culture, professeure à Sorbonne Paris Nord, co-présidente du Cercle des Economistes.

Le magazine de la rédaction
Églises en péril : qui est prêt à payer ?

Le magazine de la rédaction

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 59:18


durée : 00:59:18 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - La majorité des 40 000 églises de France ont besoin de travaux de restauration. Faute de moyens, et malgré le soutien de l'État et d'organismes comme la Fondation du patrimoine, les communes peinent à les réaliser. A-t-on seulement les moyens aujourd'hui de préserver ce patrimoine ? - réalisation : Annie Brault - invités : Françoise Benhamou Économiste de la culture, professeure à Sorbonne Paris Nord, co-présidente du Cercle des Economistes.

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - «Une faute politique et morale» : indignation de la classe politique à droite après l'annonce de la reconnaissance d'un Etat palestinien par la France

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 1:22


Ce 25 juillet 2025, retour sur l'annonce d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat de Palestine et les réactions de la classe politique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
EXTRAIT - «Une faute politique et morale» : indignation de la classe politique à droite après l'annonce de la reconnaissance d'un Etat palestinien par la France

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 1:22


Ce 25 juillet 2025, retour sur l'annonce d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat de Palestine et les réactions de la classe politique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Brief
EXTRAIT - «Une faute politique et morale» : indignation de la classe politique à droite après l'annonce de la reconnaissance d'un Etat palestinien par la France

Le Brief

Play Episode Listen Later Jul 25, 2025 1:22


Ce 25 juillet 2025, retour sur l'annonce d'Emmanuel Macron de reconnaître l'Etat de Palestine et les réactions de la classe politique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: turbulences au sein du Parti démocratique gabonais

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 22, 2025 3:45


Ce lundi 21 juillet aurait pourtant dû être un jour de fête, ou au moins à marquer d'une pierre blanche, pour le Parti démocratique gabonais de l'ancien président Ali Bongo : une véritable « réunion stratégique » était prévue, rappelle Gabon Media Time, « visant à relancer la dynamique interne » de la formation, « en prélude aux échéances électorales à venir ». Dit plus clairement, abonde Le Pays, l'ex-parti au pouvoir « tente de se réorganiser pour son grand retour dans une arène politique en pleine recomposition ». Affaibli par le coup d'État à l'encontre d'Ali Bongo en 2023, la formation ambitionne de revenir sur la scène politique, bon an mal an. Mais elle n'est pas la seule, note Gabon Review : « l'homme que l'on croyait politiquement défait, effacé, exilé à jamais dans les marges de l'histoire nationale, revient. » Car Ali Bongo a annoncé, en fin de semaine dernière, reprendre la présidence du parti, de Londres, où il vit désormais. À lire aussiGabon: les cadres pro-Bongo et la nouvelle direction du parti se disputent le contrôle du siège du PDG Les crispations éclatent au grand jour  Les crispations se sont alors éclatées au grand jour et cela s'est particulièrement vu ce lundi, lorsque les fidèles d'Ali Bongo, dirigés par son dauphin désigné Ali Akbar Onanga, ont été empêchés de se réunir au siège du parti par la nouvelle direction du PDG, élue lors d'un congrès en janvier dernier et emmenée par Blaise Louembé. L'Union a beau minimiser en parlant d'une « situation (…) incertaine », pour Le Pays, c'est justement certain : la formation est « miné[e] par des luttes intestines qui amènent » même le journal à « s'interroger sur son avenir. » Et Gabon Actu va dans le même sens : le parti « apparaît plus que jamais divisé. »  Or, le PDG ne peut pas vraiment se permettre de telles querelles internes : à ce stade, il « joue sa survie », martèle Gabon Media Time. Il faut dire, rappelle Le Pays, que la formation a déjà été « beaucoup fragilisé[e] » par l'après coup d'État, lorsqu'elle a subi « une véritable saignée avec des démissions en cascades. » Plusieurs cadres, « et pas des moindres », insiste encore le titre burkinabè, « n'ont pas hésité à quitter le navire, en le laissant dans le creux de la vague. » En plus de ces défections, « les positions divergentes », les « exclusions réciproques, les réunions concurrentes, les déclarations antagonistes » continuent « d'affaiblir » ce parti historique, opine Gabon Review. À lire aussiGabon: bataille de succession au sein du Parti démocratique gabonais Jusqu'où l'escalade peut-elle aller ?  Du Pays à Gabon Review, on emploie le même terme : celui d'une possible « implosion » dont les actuelles tensions ne seraient que les premiers symptômes. Même analyse pour Gabon Actu pour qui « la bataille du siège » lundi « semble à s'y méprendre n'être que la face visible de l'iceberg », qui pourrait bien « préfigure[r] une autre bataille, sur le terrain judiciaire cette fois-ci, au bout de laquelle l'ancien parti au pouvoir pourrait sortir complètement exsangue et groggy ». Pour le journal, ce contexte « hypothèque toutes chances de participation du PDG aux prochaines échéances électorales », prévues cette année.  Mais en réalité, analyse Gabon Review, l'enjeu est ailleurs : « il se situe dans le temps long ». Et c'est peut-être le fruit d'une tactique mûrement réfléchie par Ali Bongo : s'agirait-il, s'interroge le journal, d'une « stratégie pour peser à nouveau sur le destin national ? » Pour Le Pays, il y a lieu de le penser : « la volonté de Bongo-fils de garder la haute main sur son parti dans l'espoir de maintenir son influence sur la scène politique gabonaise » est « la preuve (…) qu'il est loin d'avoir digéré sa perte de pouvoir, encore moins d'en avoir fait le deuil », diagnostique le titre. Car parmi les multiples scénarios possibles, il y en a un, imagine Gabon Review, dans lequel, « à la faveur d'un affaiblissement du pouvoir central, d'une faille institutionnelle, ou d'un retournement d'alliances, l'ancien président pourra redevenir acteur, sinon roi ». Faute d'avoir conservé le pouvoir, Ali Bongo tente au moins « d'en garder la matrice », croit savoir le journal, qui conclut : « Ali Bongo n'a peut-être pas dit son dernier mot ». 

Revue de presse Afrique
À la Une: turbulences au sein du Parti démocratique gabonais

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 22, 2025 3:45


Ce lundi 21 juillet aurait pourtant dû être un jour de fête, ou au moins à marquer d'une pierre blanche, pour le Parti démocratique gabonais de l'ancien président Ali Bongo : une véritable « réunion stratégique » était prévue, rappelle Gabon Media Time, « visant à relancer la dynamique interne » de la formation, « en prélude aux échéances électorales à venir ». Dit plus clairement, abonde Le Pays, l'ex-parti au pouvoir « tente de se réorganiser pour son grand retour dans une arène politique en pleine recomposition ». Affaibli par le coup d'État à l'encontre d'Ali Bongo en 2023, la formation ambitionne de revenir sur la scène politique, bon an mal an. Mais elle n'est pas la seule, note Gabon Review : « l'homme que l'on croyait politiquement défait, effacé, exilé à jamais dans les marges de l'histoire nationale, revient. » Car Ali Bongo a annoncé, en fin de semaine dernière, reprendre la présidence du parti, de Londres, où il vit désormais. À lire aussiGabon: les cadres pro-Bongo et la nouvelle direction du parti se disputent le contrôle du siège du PDG Les crispations éclatent au grand jour  Les crispations se sont alors éclatées au grand jour et cela s'est particulièrement vu ce lundi, lorsque les fidèles d'Ali Bongo, dirigés par son dauphin désigné Ali Akbar Onanga, ont été empêchés de se réunir au siège du parti par la nouvelle direction du PDG, élue lors d'un congrès en janvier dernier et emmenée par Blaise Louembé. L'Union a beau minimiser en parlant d'une « situation (…) incertaine », pour Le Pays, c'est justement certain : la formation est « miné[e] par des luttes intestines qui amènent » même le journal à « s'interroger sur son avenir. » Et Gabon Actu va dans le même sens : le parti « apparaît plus que jamais divisé. »  Or, le PDG ne peut pas vraiment se permettre de telles querelles internes : à ce stade, il « joue sa survie », martèle Gabon Media Time. Il faut dire, rappelle Le Pays, que la formation a déjà été « beaucoup fragilisé[e] » par l'après coup d'État, lorsqu'elle a subi « une véritable saignée avec des démissions en cascades. » Plusieurs cadres, « et pas des moindres », insiste encore le titre burkinabè, « n'ont pas hésité à quitter le navire, en le laissant dans le creux de la vague. » En plus de ces défections, « les positions divergentes », les « exclusions réciproques, les réunions concurrentes, les déclarations antagonistes » continuent « d'affaiblir » ce parti historique, opine Gabon Review. À lire aussiGabon: bataille de succession au sein du Parti démocratique gabonais Jusqu'où l'escalade peut-elle aller ?  Du Pays à Gabon Review, on emploie le même terme : celui d'une possible « implosion » dont les actuelles tensions ne seraient que les premiers symptômes. Même analyse pour Gabon Actu pour qui « la bataille du siège » lundi « semble à s'y méprendre n'être que la face visible de l'iceberg », qui pourrait bien « préfigure[r] une autre bataille, sur le terrain judiciaire cette fois-ci, au bout de laquelle l'ancien parti au pouvoir pourrait sortir complètement exsangue et groggy ». Pour le journal, ce contexte « hypothèque toutes chances de participation du PDG aux prochaines échéances électorales », prévues cette année.  Mais en réalité, analyse Gabon Review, l'enjeu est ailleurs : « il se situe dans le temps long ». Et c'est peut-être le fruit d'une tactique mûrement réfléchie par Ali Bongo : s'agirait-il, s'interroge le journal, d'une « stratégie pour peser à nouveau sur le destin national ? » Pour Le Pays, il y a lieu de le penser : « la volonté de Bongo-fils de garder la haute main sur son parti dans l'espoir de maintenir son influence sur la scène politique gabonaise » est « la preuve (…) qu'il est loin d'avoir digéré sa perte de pouvoir, encore moins d'en avoir fait le deuil », diagnostique le titre. Car parmi les multiples scénarios possibles, il y en a un, imagine Gabon Review, dans lequel, « à la faveur d'un affaiblissement du pouvoir central, d'une faille institutionnelle, ou d'un retournement d'alliances, l'ancien président pourra redevenir acteur, sinon roi ». Faute d'avoir conservé le pouvoir, Ali Bongo tente au moins « d'en garder la matrice », croit savoir le journal, qui conclut : « Ali Bongo n'a peut-être pas dit son dernier mot ». 

La Magie d'Eaden
Le paradigme de la faute

La Magie d'Eaden

Play Episode Listen Later Jul 21, 2025 83:21


Cet épisode est un love enregistré en direct sur ma page instagram eadenr_ le 21 juillet 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules du Sport
Le bras de fer des GG : Les Bleues éliminées de l'Euro, est-ce une faute professionnelle ? - 20/07

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Jul 20, 2025 23:46


Une actu sportive, un débat, et deux camps : c'est le bras de fer des GG ! Nos "Grands Gueules du Sport" s'affrontent à coup d'arguments... Mais à la fin, c'est vous les auditeurs, qui choisissez l'équipe victorieuse !

Eglise Urbaine 180 (Video)
Quand c'est pas ta faute… mais que c'est quand même à toi d'y aller

Eglise Urbaine 180 (Video)

Play Episode Listen Later Jul 20, 2025 52:36


Comment réagissez-vous à cette déclaration : si tu n'es pas capable de pardonner ou de demander pardon, tu n'as pas bien compris l'Évangile pour Jésus, c'était clair… Tu ne peux pas t'approcher de Dieu si tu t'éloignes de ton prochain pour éviter de lui demander pardon. On en parle dimanche.• Épisode : 3• Série : Worcestershire, Plus facile à dire que "Pardon"!• Prédicateur : David Chouinard• Discours fait le 20 Juillet 2025

Les histoires de 28 Minutes
Terrenoire, un duo engagé / Ukraine : Trump est-il prêt à punir Poutine ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 45:34


L'émission 28 minutes du 16/07/2025 Le duo Terrenoire, composé des frères Raphaël et Théo Herrerias, puise son nom dans leur ville d'origine de Saint-Étienne, symbole du passé charbonnier. Révélés en 2022 aux Victoires de la Musique, ils ont, depuis, enchaîné 120 concerts avant de faire une pause pour concevoir leur deuxième album, “Protégé.e”. Ce disque intime et engagé aborde l'amour, la maladie, la mort et l'écologie, avec cette volonté constante qui leur est propre de créer du lien. Fidèles à une démarche artistique ancrée dans le social, les deux frères multiplient les échanges avec leur public lors de leurs tournées. Lundi 14 juillet, Donald Trump a lancé un nouvel ultimatum : il donne 50 jours à Vladimir Poutine pour conclure un cessez-le-feu en Ukraine. Faute de quoi la Russie serait frappée par une hausse de 100 % des droits de douane et Kiev bénéficierait d'un soutien militaire renforcé. Mais la crédibilité de Trump interroge, tant ses positions sur l'Ukraine ont été fluctuantes. Quant aux sanctions commerciales, leur impact reste limité : les importations russes aux États-Unis sont passées de 29 à 2 milliards de dollars depuis 2022. Le délai de 50 jours, critiqué par l'UE, pourrait permettre à la Russie de poursuivre son offensive estivale, alors que les frappes sur les civils ukrainiens s'intensifient. Ces annonces américaines peuvent-elles réellement freiner Poutine, ou l'Ukraine risque-t-elle de perdre du terrain, voire la guerre ?Enfin, Théophile Cossa nous parle de la nouvelle application pour vérifier en ligne l'âge des internautes et Marjorie Adelson nous emmène à Portofino, commune la plus riche d'Italie, qui a décidé d'interdire la mendicité. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[DÉBAT] Ukraine : dans quelle mesure Trump est-il prêt à punir Poutine ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 22:34


L'émission 28 minutes du 16/07/2025 Lundi 14 juillet, Donald Trump a lancé un nouvel ultimatum : il donne 50 jours à Vladimir Poutine pour conclure un cessez-le-feu en Ukraine. Faute de quoi la Russie serait frappée par une hausse de 100% des droits de douane et Kiev bénéficierait d'un soutien militaire renforcé. Ces annonces américaines peuvent-elles réellement freiner Poutine ?On en débat avec Muriel Domenach,ancienne ambassadrice de France auprès de l'OTAN (2019-2024), Florian Louis, historien des relations internationales, et Régis Genté, correspondant de RFI dans l'ancien espace soviétique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 16 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio

Les lectures de Mediapart

Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs L'exécutif n'a pas encore décidé s'il se prononcerait, mardi 15 juillet à Bruxelles, en faveur d'une suspension de l'accord qui lie l'Union européenne à Israël. Faute d'une unanimité illusoire, des voix poussent déjà la France à agir seule et à sanctionner le gouvernement Nétanyahou. Un article d'Ilyes Ramdani publié lundi 14 juillet 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Afrique Économie
Centrafrique: malgré la levée de l'embargo, le diamant peine à briller

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jul 15, 2025 2:26


Le Processus de Kimberley a levé son dernier embargo sur le diamant en Centrafrique en novembre 2024 (après une levée partielle en 2016). Une victoire politique pour les autorités de Bangui qui dénonçaient une restriction injuste sur des ressources importantes pour le pays. Si la levée de l'embargo devrait permettre cette année de dépasser les 112 000 carats produits l'an passé, affirment les autorités. Cependant, un récent rapport de l'International Peace Information Service (IPIS) souligne que la levée des restrictions ne signifie pas nécessairement une reprise massive du secteur. Difficile dans le secteur de trouver des interlocuteurs qui acceptent de parler au micro. Ce revendeur de diamants a accepté de témoigner de manière anonyme. Il explique comment l'embargo a affecté ses activités. « Nous nous étions tout réorganisés dans le travail de l'or. La levée de l'embargo a permis la reprise de nos activités de diamant dans toutes les zones, sauf que le prix actuel du marché et le manque de financement direct auprès des artisans par les bureaux d'achat de diamants démotive les artisans. Il faut aussi reconnaître que la présence des troupes de Wagner donne peur aux financiers de nous accompagner. Aujourd'hui, il est nécessaire de relancer le secteur par l'entremise des bureaux d'achat qui doivent accompagner les collecteurs et les artisans miniers », partage-t-il avec nous. Avec l'embargo, les artisans miniers ont été contraints de travailler avec les groupes armés ou les réseaux illicites, soit de se tourner vers d'autres activités comme la production de l'or. Faute de mesures incitatives et des prix sur le marché au plus bas, le diamant aujourd'hui peine à retrouver de son brillant. « On a vu que les acteurs formels dans le commerce de diamants ont eu beaucoup de difficultés à entrer en compétition avec ces réseaux illicites qui ont beaucoup d'avantages comparés à eux. Ils ne doivent pas payer de taxes, ils ont aussi des connexions, des réseaux logistiques qui ont été très bien établis », explique Hans Merket chercheur à l'IPIS et auteur de ce rapport. « Et donc on voit encore aujourd'hui que même avec la levée de l'embargo, cela reste encore très compliqué et difficile pour les acteurs licites dans le commerce de rattraper et de trouver des opportunités sur le marché », affirme-t-il encore. À lire aussiCentrafrique: la levée totale de l'embargo sur les diamants décidée par le Processus de Kimberley « L'État travaille pour pouvoir soutenir ce secteur » Les autorités se disent conscientes de cette problématique et cherchent à relancer le secteur. « Pour ramener les gens dans le diamant, c'est un peu plus difficile. Nous avons prévu d'ici le mois d'août, si tout se passe bien, d'organiser une semaine de l'artisanat minier. Nous comptons, au niveau de l'État, mobiliser des ressources, mais aussi intéresser le secteur privé. Non seulement nous travaillons à l'industrialisation du secteur, mais vous savez que l'artisanat minier fait vivre 500 à 800 000 personnes. Et donc l'État travaille pour pouvoir soutenir ce secteur-là. Donc, cette activité permettra à l'État de mettre quelques moyens matériels, quelques équipements à la disposition de ces artisans miniers-là, ce qui permettrait, à n'en point douter, de relancer la production », assure le ministre centrafricain des Mines, Rufin Benam Beltoungou. Les autorités disent également étudier l'attribution de permis d'exploitation semi-industriels. Mais l'IPIS souligne des opérations de contrebande « profondément enracinées, soutenues par la collusion des élites de l'État ». Il faudra donc une bonne dose de volonté politique, note l'institut de recherche, pour que les carats du diamant bénéficient de nouveau à l'économie du pays. À lire aussiCentrafrique: Bangui présente l'un des plus gros diamants jamais découverts dans le pays

Revue de presse française
À la Une: portrait du milliardaire français Vincent Bolloré

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 4:50


C'est le Nouvel Obs qui s'est penché sur la vie et l'empire médiatique du milliardaire, qui possède aussi bien la radio Europe 1, la chaîne de télé CNews que le Journal du Dimanche. Un homme puissant, donc, dont l'hebdomadaire dresse en filigrane le portrait :  « catholique à l'extrême », explique l'un de ses proches, qui le qualifie aussi de « mystique ». « Ses interlocuteurs », nous dit l'hebdomadaire, « ne sursautent plus lorsqu'ils l'entendent parler des anges, du diable, des "FDB", (forces du bien) ou des "FDM" (forces du mal). Dans la dernière catégorie, il englobe la gauche, la presse, la justice, les partisans de l'aide active à mourir. »   Il séduit à la fois la droite et l'extrême droite, pour lesquelles, selon le Nouvel Obs « le patron réactionnaire est un fantasme, un parrain dont on souhaite s'attirer les bonnes grâces, ainsi que celles de son empire médiatique. Bruno Retailleau, qui partage sa foi et son conservatisme, ne s'y est pas trompé, en l'invitant à déjeuner au ministère de l'Intérieur, en pleine campagne interne pour la présidence des Républicains » précise l'hebdomadaire.  Vincent Bolloré qui assiste assidûment à la messe, de préférence en latin. « La religion a aussi du bon pour ce séducteur invétéré », glisse perfidement le Nouvel Obs, séducteur « qui il y a une trentaine d'années, a quitté la mère de ses quatre enfants pour vivre avec la sœur de cette dernière ». Vincent Bolloré « reconnaît avoir beaucoup de choses à se faire pardonner ».  « En Ukraine, la mort vient du ciel ». C'est le titre d'un article du Point. Et si l'on a déjà beaucoup parlé de la bataille de drones qui se joue entre Kiev et Moscou, on connaît moins la tactique russe concernant la ville de Kherson, un temps passée sous occupation russe avant de redevenir ukrainienne. « Dans cette ville », raconte Boris Mabillard, l'envoyé spécial du Point, « une autre partie se joue, dans laquelle les drones russes pourchassent jusqu'à la mort des civils apeurés : un cauchemar quotidien où l'on voit des grands-mères tenter d'échapper clopin-clopant aux bombes volantes qui leur donne impitoyablement la chasse jusqu'à l'intérieur de leurs maisons ». « Car contrairement aux autres régions du front », nous explique-t-on, « à Kherson, les drones ne visent pas seulement les militaires et les infrastructures, mais aussi les civils ». Le prêtre orthodoxe Valentin, rencontré par le Point, estime que « l'armée russe a choisi Kherson pour former et entraîner ses pilotes de drones ». « Cela explique », dit-il, « qu'ils choisissent des proies faciles, des personnes âgées et même des animaux de ferme ».  Le prêtre estime que cette « cruauté est planifiée ». «Pour punir les habitants pro-ukrainiens qui ne les ont pas suivis lors de leur débâcle, quand la ville a été libérée ».   L'Iran, un mois après l'attaque d'Israël Faute de pouvoir s'y rendre, les journalistes interrogent les iraniens à distance. C'est ce qu'a fait l'Express cette semaine. Selon l'hebdomadaire, « dans le ciel iranien, les missiles se sont tus, mais l'angoisse continue d'étreindre la population iranienne. La question de l'avenir est sur toutes les lèvres, dans un pays déjà éprouvé par des années de répression politique et d'instabilité économique ». « On s'attend à de nouvelles attaques »  reconnaît Elaheh, une professionnelle du marketing qui s'interroge « sur la durabilité du cessez-le-feu »  « Mais la guerre a aussi suscité des sentiments ambivalents chez les Iraniens » , explique l'Express, « entre la crainte d'une escalade et l'espoir de voir le régime tomber ».  Une autre jeune femme, Zahra, avoue ainsi qu'elle espère que « la guerre n'est pas finie ». « Elle veut assister à la chute de la République islamique », poursuit l'Express et « soutient le fils du Chah, Reza Pahlavi, qui s'est dit disposé à rentrer en Iran.»  Et alors que des milliers d'Iraniens ont quitté le pays ces dernières années,   Zahra, elle « prie pour éviter l'exil » . « J'aime mon pays »  dit-elle. « Si le régime change, je ne quitterai pas l'Iran ». Un nouveau jour de gloire Du football, enfin, avec la finale du mondial des clubs…Finale qui se jouera ce soir aux Etats-Unis, entre le Paris Saint Germain et Chelsea. Le PSG ayant signé un brillant parcours, il part favori, notamment aux yeux de la presse française. Et particulièrement aux yeux du Parisien Dimanche qui titre déjà : « un nouveau jour de gloire ». « Le monde leur appartient », ajoute le journal, qui concède, tout de même, « enfin pas tout à fait, pas encore, pas au palmarès, mais dans les faits, oui ! »… Mais si le PSG gagne, pas question pour les supporters de célébrer la victoire sur les Champs Elysées. Ils seront fermés, en prévision du défilé du 14 juillet, demain. Une célébration d'un tout autre genre.

Un air d'amérique
DÉCOUVERTE - Inondations au Texas : à qui la faute ?

Un air d'amérique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 17:14


Le bilan des inondations dévastatrices au Texas, qui ont fait une centaine de morts, pourrait encore s'alourdir, avec au moins 161 personnes manquant toujours à l'appel ce 9 juillet 2025. Climat, situation géographique et manquements politiques... Plusieurs facteurs expliquent le lourd bilan de ces inondations dans le sud des États-Unis. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vraiment Nature FB Vaucluse
Gecko vs Lézard : à qui la faute ?

Vraiment Nature FB Vaucluse

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 3:05


durée : 00:03:05 - Gecko vs Lézard : à qui la faute ? - par : Nathalie Mazet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Une lettre d'Amérique
282. Inondations au Texas : à qui la faute ?

Une lettre d'Amérique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 17:14


Le bilan des inondations dévastatrices au Texas, qui ont fait une centaine de morts, pourrait encore s'alourdir, avec au moins 161 personnes manquant toujours à l'appel ce 9 juillet 2025. Climat, situation géographique et manquements politiques... Plusieurs facteurs expliquent le lourd bilan de ces inondations dans le sud des États-Unis. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Chronique Finance
Faute de carotte, le bâton fait son retour

La Chronique Finance

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 7:52


Et paf, le temps des menaces fait son retour dans la rhétorique commerciale de la Maison Blanche. La Japon, la Corée du Sud et douze autres pays ont été brocardés hier. Wall Street n'a pas beaucoup apprécié, mais la porte de la salle de réunion reste ouverte jusqu'au 1er août. Ce matin, il est aussi question d'amitié franco-britannique et de surprise monétaire aux Antipodes.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Sénégal : en tête des pays les plus endettés en Afrique

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'inculpation des ressortissants français en Iran, l'aide aux réfugiés soudanais en difficultés et un navire qui fait le tour du monde pour sensibiliser à la pollution plastique. Sénégal : en tête des pays les plus endettés en Afrique   Le Sénégal est devenu le pays le plus endetté du continent. Selon la banque britannique Barclays, la dette s'élève désormais à 119% du produit intérieur brut. Cette situation nuit-elle à l'image du pays auprès des investisseurs étrangers ? Quelles mesures prévoit le gouvernement pour résorber la dette ?  Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Iran : Cécile Kohler et Jacques Paris inculpés pour « espionnage »   Arrêtés en mai 2022 alors qu'ils voyageaient en Iran, les Français Cécile Kohler et Jacques Paris ont été inculpés pour «espionnage au profit d'Israël». Comment les autorités iraniennes justifient-elles cette inculpation ? Est-il encore possible que les deux ressortissants soient libérés ? Avec Siavosh Ghazi, correspondant de RFI à Téhéran. Soudan : l'aide aux réfugiés en sursis   Les quatre millions de personnes qui ont fui le Soudan depuis le début de la guerre risquent de se retrouver sans nourriture. Faute de financements suffisants, le Programme Alimentaire Mondial menace de fermer plusieurs camps de réfugiés dans les pays d'accueil. Quelles sont aujourd'hui les difficultés rencontrées par le PAM ? Quel avenir pour les réfugiés en cas de fermeture des camps ? Avec Ollo Sib, conseiller régional senior en recherche, suivi et évaluation au Programme Alimentaire Mondial. Plastique : un bateau fait le tour du monde pour dépolluer les océans  Après cinq mois dans l'océan Indien, le navire « Plastic Odyssey » termine sa tournée régionale aux Comores pour sensibiliser à la lutte contre la pollution plastique et promouvoir l'économie circulaire. Quelle est l'ampleur de ce projet ? Quelles solutions concrètes ce bateau-laboratoire apporte-t-il aux populations locales ?   Avec Simon Bernard, président de Plastic Odyssey. 

Les Grandes Gueules
Le ras-le-bol du jour - Adel, traiteur, au 3216 : "Qu'est-ce qu'il foutait là-bas ? C'est de sa faute. À un moment faut assumer. Le monde de la France qui assiste tout le monde, qui laisse trop de droits... ça n'existe pas"

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 3:23


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Podcast Torah-Box.com
'Houkat : la faute incompréhensible de Moché

Podcast Torah-Box.com

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 69:56


Cours vidéo de 1h10 donné par Rav Ariel GAY.

L'invité de RTL
CLIMAT - Florent Sebban, maraîcher bio en Essonne, est l'invité de RTL Soir

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 8:09


Il est paysan bio de Pussay et a subi des pertes dans ses productions à cause des variations extrêmes du climat. Il a décidé d'attaque l'État pour inaction climatique. Faute de réponse du gouvernement, les associations et les citoyens sinistrés saisissent le Conseil d'Etat pour l'obliger à renforcer sa politique en matière d'adaptation au changement climatique. Ecoutez Florent Sebban, maraîcher bio en Essonne, membre du réseau AMAP, les Associations pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 25 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans le prétoire
"Un désastre judiciaire" : le père d'Estelle Mouzin demande la condamnation de l'Etat pour faute lourde

Dans le prétoire

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 3:26


durée : 00:03:26 - Dans le prétoire - Devant la première chambre civile du tribunal de Paris, 23 ans après la disparition de sa fille, le père d'Estelle Mouzin demande la condamnation de l'État pour faute lourde et déni de justice. Son avocat liste toutes les erreurs commises au cours des 20 années d'instruction. - invités : Jean-Philippe Deniau - Jean-Philippe Deniau : Journaliste au service police-justice

La Loupe
Est-ce la faute de l'Europe si ... on mange de la viande canadienne ? (rediffusion)

La Loupe

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 11:16


“C'est la faute de l'Europe”. Qu'il s'agisse d'économie, de sécurité, de défense et même de tech, nos politiques accusent régulièrement l'Union Européenne de tous les maux. A raison ou à tort ? C'est ce qu'on vérifie dans cette série de 5 épisodes, avant les élections européennes du 9 juin. Aujourd'hui, alors que la gronde des agriculteurs n'a pas disparu, on s'intéresse à ce qu'il y a dans nos assiettes avec Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express, et Isabelle Ory, correspondante à Bruxelles.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte BarisMontage : Théo SireRéalisation : Jules Krot Crédits : France 2, CNews, Europe 1, INA, Public Sénat, France TV Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

On marche sur la tête
Cyril Hanouna - «Emmanuel Macron a fait une faute politique majeure avec cette déclaration» tacle Géraldine Maillet

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 26:30


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la déclaration d'Emmanuel Macron sur les faits divers et attaques violentes en France qu'il qualifie de «brainwasher sur un fait divers»Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Double Expresso RTL2
LIVE - Marine interprète "Ma Faute" dans Le Double Expresso RTL2 (06/06/25)

Le Double Expresso RTL2

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 3:01


Marine était l'invitée du Double Expresso RTL2 ce vendredi 6 juin. À quelques semaines de la sortie de son tout premier album prévue pour le 27 juin, la chanteuse est venue partager son actualité musicale avec Grégory Ascher et Justine Salmon. Son premier single "Ma Faute" a rencontré un large succès, et elle poursuit sur cette lancée avec "Cœur Maladroit", dévoilé le 23 mai dernier. La chanteuse a interprété ces deux titres en direct des studios de la station Pop-Rock.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tech&Co
Aldebaran en liquidation, faute de repreneur – 02/06

Tech&Co

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 27:50


Ce lundi 2 juin, François Sorel a reçu Frédéric Simottel, journaliste à BFM Business, Lucas Perraudin, fondateur de AI Partners et ancien directeur de Meta Reality Labs, ainsi que Damien Douani, responsable de l'innovation de l'école Narratiiv et fondateur du cabinet Topos. Ils se sont penchés sur le placement d'Aldebaran en liquidation judiciaire, la nomination de Jean-François Fallacher à la tête d'Eutelsat, et la réussite d'un test de fusée réutilisable par la société chinoise Space Epoch, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.

Les Grandes Gueules
L'accusation du jour - Olivier Mazerolle : "Un jour, j'ai dit à Jean-Marie Le Pen : 'Si on n'a pas traité le sujet, c'est de votre faute'. Il a été tellement outrancier qu'on ne voulait pas apparaître comme ét

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 29, 2025 8:18


Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

L'oeil de...
"C'est pratique d'emmener tôt son enfant chez le psy. Il peut très vite réaliser que tout est de la faute de ses cons de parents"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later May 28, 2025 3:52


Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 28 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
"C'est pratique d'emmener tôt son enfant chez le psy. Il peut très vite réaliser que tout est de la faute de ses cons de parents"

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 28, 2025 3:52


Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 28 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher
Abandons d'animaux, la faute des propriétaires de logements? La DG de la SPCA nous éclaire (avec un pitou en studio!)

On n'est pas obligé d'être d'accord - Sophie Durocher

Play Episode Listen Later May 27, 2025 14:52


La SPCA constate une augmentation historique des abandons d’animaux, qu’elle attribue au manque de logements acceptant les animaux de compagnie. Entrevue avec Laurence Massé, directrice générale de la SPCA de Montréal. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Aujourd'hui l'économie
Espagne: après la panne électrique, les investisseurs s'interrogent sur le renouvelable

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 23, 2025 3:00


Le 28 avril dernier, une gigantesque panne d'électricité plongeait l'Espagne et le Portugal dans le noir. Ce sont 55 millions de personnes qui ont été privées de courant pendant 17 heures. Si les causes techniques restent à élucider, les conséquences de cette coupure touchent directement l'avenir des énergies renouvelables en Europe. Décryptage. Avec 56 % de son électricité provenant des énergies renouvelables en 2024, l'Espagne est souvent citée comme modèle en matière de transition énergétique. Certains jours, la totalité de l'électricité consommée dans le pays était même d'origine renouvelable. L'an passé, ce sont déjà 18 milliards d'euros qui ont été injectés dans le secteur. Pourtant, cette prouesse cache une fragilité structurelle : le réseau de transport et de distribution peine à suivre. Selon Goldman Sachs, seuls 30 centimes sur chaque euro investi dans les renouvelables espagnoles ont été consacrés aux infrastructures de réseau – contre 90 centimes en France et 1,50 euro en Italie. Résultat : un système sous-dimensionné qui peut s'effondrer lorsque la production atteint des pics.À lire aussiL'Espagne s'engage à produire 81% d'électricité d'origine renouvelable en 2030Trop d'électricité… et pas assez de réseauLorsque toutes les installations solaires et éoliennes tournent à plein régime, le réseau espagnol n'est pas toujours capable d'absorber toute cette énergie. Ce déséquilibre entre production et consommation peut conduire à des coupures, comme celle d'avril. Faute de solutions de stockage adaptées, une partie de cette production est tout simplement perdue. Ce paradoxe interroge : malgré des investissements massifs, l'absence de modernisation du réseau et de capacités de stockage suffisantes menace la stabilité énergétique. Et quand la production dépasse régulièrement la demande, les prix de l'électricité baissent, rognant la rentabilité des projets.Entre scepticisme des marchés et nécessité climatiqueL'incident du 28 avril agit comme un électrochoc. Les investisseurs, désormais plus prudents, attendent des signaux clairs de l'État. Le gouvernement espagnol prévoit 308 milliards d'euros d'ici 2030 pour poursuivre la transition énergétique. Mais 82 % de ce montant doivent provenir du secteur privé, qui hésite sans garanties sur la stabilité du réseau et la rentabilité à long terme. Pour rétablir la confiance, deux leviers sont identifiés : un soutien public renforcé aux infrastructures, et une feuille de route claire sur le stockage énergétique. Car au-delà des enjeux économiques, cette transition est vitale pour la décarbonation des économies européennes et leur souveraineté énergétique face aux hydrocarbures importés.À lire aussiInvestir dans le renouvelable ou pas, le dilemme des compagnies pétrolières

Le Fab & Mymy Show
La « solitude masculine », c'est la faute des féministes ? #MarsEtVénus

Le Fab & Mymy Show

Play Episode Listen Later May 20, 2025 15:31


Où l'on parle d'idées reçues, mais aussi de féminisme.

Les Grandes Gueules
Actes anti-musulmans : la faute de Retailleau ? - 15/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 15, 2025 28:50


A 10h, ce jeudi 15 mai 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Étienne Liebig, éducateur, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de : Actes anti-musulmans, la faute de Retailleau ?

Les Grandes Gueules
La faute du jour – Emmanuel de Villiers : "Macron est catastrophique en anglais. The best man IN BFMTV is Alain Marschall." - 15/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 15, 2025 1:43


Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Tanguy Pastureau maltraite l'info
La faute à Tom Cruise

Tanguy Pastureau maltraite l'info

Play Episode Listen Later May 13, 2025 5:05


durée : 00:05:05 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tom Cruise est responsable de pas mal de problèmes en France...

Les Grandes Gueules
"On s'en fout, on s'en fout pas" : Rodéos sauvages, la "faute de Tom Cruise" selon cet élu - 13/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 13, 2025 10:28


Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Rodéos sauvages, la "faute de Tom Cruise" selon cet élu Macron et la coke, l'Élysée contraint de démentir ! Kim Kardashian face à ses "papys braqueurs"

Les Grandes Gueules
Barbara Lefebvre : "Les parents prennent un avocat pour défendre leur pauvre petit chéri. Pour eux, il ne peut pas être un harceleur. Ce n'est pas de sa faute. Ça doit être la faute de la victime." - 06/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 6, 2025 1:19


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty, et Didier Giraud, agriculteur débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le Nouvel Esprit Public
La France et le contrôle de ses finances publiques / Bilan de l'action diplomatique du pape

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 64:48


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage International
Chine: la foire de Canton à l'heure de la guerre commerciale avec les États-Unis

Reportage International

Play Episode Listen Later Apr 26, 2025 2:17


La 137ᵉ édition de la foire de Canton qui a débuté le 15 avril et se termine le 5 mai, réunit 31 000 exposants, presque tous orientés vers le marché de l'exportation. La première semaine était consacrée aux produits et machineries industrielles, à l'électroménager, aux produits électroniques, aux véhicules, au BTP. Les taxes douanières sont devenues un sujet sensible pour tous ces exportateurs, qui cherchent déjà des alternatives au marché américain. De notre correspondante à Pékin, Parmi les milliers de stands de produits industriels qui offrent les promesses de nombreux échanges à venir, Wang Lian, qui exporte des onduleurs solaires, nous raconte avoir vu un changement d'attitude de la part de ses clients américains : « Cela a clairement un impact, y compris sur nos clients. Ils ne viennent même plus chercher leurs marchandises. Les produits sont prêts, mais ils refusent de les prendre. Et bien sûr, ils nous demandent de baisser nos prix. »Aujourd'hui, il s'agit d'avoir le regard tourné ailleurs, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Europe, dit-elle : « Oui, nous devons absolument nous développer sur d'autres marchés. Nous ne pouvons pas nous accrocher uniquement aux États-Unis. Si les États-Unis ne sont pas favorables à notre entreprise, nous devons bien sûr envisager d'autres options, n'est-ce pas ? »Lily, qui exporte des câbles électriques, souhaite que les droits de douane soient simplement supprimés, car cela ne profite à personne. « Certains nouveaux clients américains nous ont dit qu'ils cherchaient des usines en dehors de la Chine. C'est ça la situation actuelle. Les États-Unis n'y gagnent rien. Ce que nous faisons en Chine n'est qu'une légitime défense : ils ont fait le premier pas, et nous ne faisons que riposter. Je soutiens sans réserve la décision de la Chine. »Tirer parti de cette situationLes acheteurs, eux aussi, s'interrogent, tentent de trouver leur compte. OJ, un jeune entrepreneur canadien, nous dit que s'il fallait choisir entre faire affaire avec les États-Unis ou la Chine, la question ne pose pas : « À l'heure actuelle, la Chine. En tant qu'homme d'affaires, je vais continuer à travailler avec la Chine, car c'est un endroit très, très diversifié, très beau. Il y a tellement de technologie. Ça se développe chaque jour. »Craig, un acheteur australien, explique que même s'il ne ressent pas directement le poids des taxes pour le moment, il a des inquiétudes quant à l'avenir. Mais il souligne aussi qu'il va tenter de tirer parti de cette situation. « C'est un sujet brûlant. Je vais franchement faire pression sur eux pour obtenir des prix plus bas. Ça reste vraiment notre travail. Nous allons donc chercher à obtenir des coûts de production moins élevés de la part de la Chine dès maintenant. »Faute d'accords trouvés le plus rapidement possible, tout le monde se prépare à mettre des alternatives en place, tout en gardant les yeux rivés sur les échanges entre les deux grandes puissances économiques.À lire aussiGuerre commerciale: inquiétudes, fierté et résilience des exportateurs chinois à la Foire de Canton

Un bonbon sur la langue
"Malgré que" : faute ou pas faute ?

Un bonbon sur la langue

Play Episode Listen Later Apr 20, 2025 3:55


Nous allons nous pencher sur une façon de parler qui est devenue fautive, et qui ne l'était pas voici quelques décennies. C'est Michel, de La Rochelle, qui m'a inspirée en me demandant si "malgré que" était ou non un barbarisme. Il s'étonne en effet d'avoir découvert plusieurs fois cette locution sous la plume de grands auteurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.