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A 10h, ce jeudi 15 mai 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Étienne Liebig, éducateur, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de : Actes anti-musulmans, la faute de Retailleau ?
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:05 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tom Cruise est responsable de pas mal de problèmes en France...
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Rodéos sauvages, la "faute de Tom Cruise" selon cet élu Macron et la coke, l'Élysée contraint de démentir ! Kim Kardashian face à ses "papys braqueurs"
Tu t'es déjà retrouvé(e) à manger un paquetentier de biscuits sans même t'en rendre compte ? À finir une tablette dechocolat alors que tu n'avais même pas faim ? Et après… la culpabilité arrive.Tu te dis peut-être que tu manques de volonté.Que tu n'as aucun contrôle.Mais si je te disais que ce n'est pas du tout unequestion de volonté, mais un mécanisme psychologique et neurologique bien plusprofond ? voila ce que l'on va explorer dans cet episode Envie d aller plus loin? Mon premier ebook gratuit resumant ma perte de poids avec recettes/menus et conseils : https://sansosanso.systeme.io/ebookAbonnez-vous dès maintenant à NutriVibes : Explorez votre potentiel, vous meritez de brillerN'hesitez pas à mettre un 5 etoiles * au podcast cela m'aide beaucoup !! MERCIMon podcast sur : Spotify / Apple Podcast : NUTRIVIBESRetrouvez moi sur instagram / youtube / tiktok : @sorayyasancontact : sorayyasan@gmail.com
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty, et Didier Giraud, agriculteur débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La Comédie-Française est l'une des institutions les plus anciennes de France, qui fêtait ses 400 ans en 2022 ! À la fois indépendante et soumise à l'autorité, c'est l'Histoire de France qui s'est jouée en ses murs. On attribue par ailleurs sa création à Molière, ce qui est faux, sans tout à fait l'être… Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Développer les infrastructures dans les corridors sud de la RDC, notamment celui de Lobito et de Banana, le sujet était au centre des discussions lors du salon du développement des villes et des corridors, Expo Béton, qui réunissait une centaine d'acteurs des secteurs public et privé à Lubumbashi. Parmi les leviers importants de ces projets figurent les infrastructures routières. Mais la RDC peine à mobiliser les ressources pour financer leur réhabilitation. Sur le tracé du corridor de Lobito, se déplacer par la route de Kolwezi à la frontière avec l'Angola, est un parcours du combattant. « Pour parcourir les 440 km, ça peut prendre 15 à 20 jours, voire un mois !, témoigne Donat Tshimboj, transporteur des marchandises sur ce tronçon. Les camions se renversent avec leurs marchandises. La plupart des transporteurs ont décidé de retirer leurs camions de la circulation. »Cette situation n'est pas unique. La RDC a un réseau routier de 156 000 km dont près de 4 000 km seulement sont asphaltés. Le salon du développement des villes et des corridors à Lubumbashi a recommandé l'investissement dans ce domaine. « Nous avons entendu des appels urgents sur des partenariats publics-privés pour accélérer les investissements dans les infrastructures stratégiques », rappelle Jean Bamanisa, directeur d'Expo Béton.Déficit du Fonds national d'entretien routierMais du côté du secteur public, le Fonds national d'entretien routier (Foner), l'organisme chargé de la mobilisation des ressources financières, connaît un déficit criant. Ses recettes proviennent à 95% de la redevance sur la mise en consommation des produits pétroliers. Alors qu'il a besoin d'au moins 950 millions de dollars par an pour l'entretien des routes, le Foner ne mobilise que 156 millions de dollars à cause de la fraude. « Un premier niveau de fraude se manifeste lorsque certains produits n'arrivent dans les entrepôts, explique Pierre Bundoki, le directeur général du Foner. S'ils n'arrivent dans les entrepôts, on ne peut pas percevoir [la redevance]. Le deuxième niveau de la fraude, c'est au moment de la sortie des entrepôts, tout n'est pas renseigné. À titre illustratif, en 2024, le Foner devait percevoir 458 millions de dollars, il n'a encaissé que 164 millions de dollars. »À lire aussiRDC: trous énormes, boue... la route entre Goma et Masisi, un cauchemar pour les conducteursModèle tanzanien de financement ?Pour l'heure, la RDC reste le maillon faible de ces corridors faute de capitaux. Pour relever le défi, la Tanzanie a proposé à la RDC son modèle de mobilisation locale des ressources financières. « En Tanzanie, il y a eu les Samia Bonds, détaille Patient Mwenze, le directeur adjoint de la CRDB (Cooperative Rural Development Bank), une banque commerciale tanzanienne installée en RDC depuis 2023. C'est une levée des fonds qui a été faite, où la CRDB a permis à la population de souscrire à ses obligations. En l'espace de trois mois, ça a permis de lever 125 millions de dollars qui sont allés dans la construction des infrastructures. »La RDC espère qu'avec les partenaires privés, elle pourra exploiter tous les corridors sud.À lire aussiLes routes en Afrique: un frein au développement?
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Le #FirstDayShow revient pour une 9ème saison et pour un nouvel épisode avec Erwan, Thomas et Arthur !L'édito d'Erwan Intro et annonces Les news : le point sur les playoffs, Daniels MIP… Le débat : Lakers out, à qui la faute? La palette : la drôle de fin de match des Bucks Le quiz Merci à Julien K. et à la Hoops Factory pour ce nouveau générique ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La 137ᵉ édition de la foire de Canton qui a débuté le 15 avril et se termine le 5 mai, réunit 31 000 exposants, presque tous orientés vers le marché de l'exportation. La première semaine était consacrée aux produits et machineries industrielles, à l'électroménager, aux produits électroniques, aux véhicules, au BTP. Les taxes douanières sont devenues un sujet sensible pour tous ces exportateurs, qui cherchent déjà des alternatives au marché américain. De notre correspondante à Pékin, Parmi les milliers de stands de produits industriels qui offrent les promesses de nombreux échanges à venir, Wang Lian, qui exporte des onduleurs solaires, nous raconte avoir vu un changement d'attitude de la part de ses clients américains : « Cela a clairement un impact, y compris sur nos clients. Ils ne viennent même plus chercher leurs marchandises. Les produits sont prêts, mais ils refusent de les prendre. Et bien sûr, ils nous demandent de baisser nos prix. »Aujourd'hui, il s'agit d'avoir le regard tourné ailleurs, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Europe, dit-elle : « Oui, nous devons absolument nous développer sur d'autres marchés. Nous ne pouvons pas nous accrocher uniquement aux États-Unis. Si les États-Unis ne sont pas favorables à notre entreprise, nous devons bien sûr envisager d'autres options, n'est-ce pas ? »Lily, qui exporte des câbles électriques, souhaite que les droits de douane soient simplement supprimés, car cela ne profite à personne. « Certains nouveaux clients américains nous ont dit qu'ils cherchaient des usines en dehors de la Chine. C'est ça la situation actuelle. Les États-Unis n'y gagnent rien. Ce que nous faisons en Chine n'est qu'une légitime défense : ils ont fait le premier pas, et nous ne faisons que riposter. Je soutiens sans réserve la décision de la Chine. »Tirer parti de cette situationLes acheteurs, eux aussi, s'interrogent, tentent de trouver leur compte. OJ, un jeune entrepreneur canadien, nous dit que s'il fallait choisir entre faire affaire avec les États-Unis ou la Chine, la question ne pose pas : « À l'heure actuelle, la Chine. En tant qu'homme d'affaires, je vais continuer à travailler avec la Chine, car c'est un endroit très, très diversifié, très beau. Il y a tellement de technologie. Ça se développe chaque jour. »Craig, un acheteur australien, explique que même s'il ne ressent pas directement le poids des taxes pour le moment, il a des inquiétudes quant à l'avenir. Mais il souligne aussi qu'il va tenter de tirer parti de cette situation. « C'est un sujet brûlant. Je vais franchement faire pression sur eux pour obtenir des prix plus bas. Ça reste vraiment notre travail. Nous allons donc chercher à obtenir des coûts de production moins élevés de la part de la Chine dès maintenant. »Faute d'accords trouvés le plus rapidement possible, tout le monde se prépare à mettre des alternatives en place, tout en gardant les yeux rivés sur les échanges entre les deux grandes puissances économiques.À lire aussiGuerre commerciale: inquiétudes, fierté et résilience des exportateurs chinois à la Foire de Canton
La 137ᵉ édition de la foire de Canton qui a débuté le 15 avril et se termine le 5 mai, réunit 31 000 exposants, presque tous orientés vers le marché de l'exportation. La première semaine était consacrée aux produits et machineries industrielles, à l'électroménager, aux produits électroniques, aux véhicules, au BTP. Les taxes douanières sont devenues un sujet sensible pour tous ces exportateurs, qui cherchent déjà des alternatives au marché américain. De notre correspondante à Pékin, Parmi les milliers de stands de produits industriels qui offrent les promesses de nombreux échanges à venir, Wang Lian, qui exporte des onduleurs solaires, nous raconte avoir vu un changement d'attitude de la part de ses clients américains : « Cela a clairement un impact, y compris sur nos clients. Ils ne viennent même plus chercher leurs marchandises. Les produits sont prêts, mais ils refusent de les prendre. Et bien sûr, ils nous demandent de baisser nos prix. »Aujourd'hui, il s'agit d'avoir le regard tourné ailleurs, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Europe, dit-elle : « Oui, nous devons absolument nous développer sur d'autres marchés. Nous ne pouvons pas nous accrocher uniquement aux États-Unis. Si les États-Unis ne sont pas favorables à notre entreprise, nous devons bien sûr envisager d'autres options, n'est-ce pas ? »Lily, qui exporte des câbles électriques, souhaite que les droits de douane soient simplement supprimés, car cela ne profite à personne. « Certains nouveaux clients américains nous ont dit qu'ils cherchaient des usines en dehors de la Chine. C'est ça la situation actuelle. Les États-Unis n'y gagnent rien. Ce que nous faisons en Chine n'est qu'une légitime défense : ils ont fait le premier pas, et nous ne faisons que riposter. Je soutiens sans réserve la décision de la Chine. »Tirer parti de cette situationLes acheteurs, eux aussi, s'interrogent, tentent de trouver leur compte. OJ, un jeune entrepreneur canadien, nous dit que s'il fallait choisir entre faire affaire avec les États-Unis ou la Chine, la question ne pose pas : « À l'heure actuelle, la Chine. En tant qu'homme d'affaires, je vais continuer à travailler avec la Chine, car c'est un endroit très, très diversifié, très beau. Il y a tellement de technologie. Ça se développe chaque jour. »Craig, un acheteur australien, explique que même s'il ne ressent pas directement le poids des taxes pour le moment, il a des inquiétudes quant à l'avenir. Mais il souligne aussi qu'il va tenter de tirer parti de cette situation. « C'est un sujet brûlant. Je vais franchement faire pression sur eux pour obtenir des prix plus bas. Ça reste vraiment notre travail. Nous allons donc chercher à obtenir des coûts de production moins élevés de la part de la Chine dès maintenant. »Faute d'accords trouvés le plus rapidement possible, tout le monde se prépare à mettre des alternatives en place, tout en gardant les yeux rivés sur les échanges entre les deux grandes puissances économiques.À lire aussiGuerre commerciale: inquiétudes, fierté et résilience des exportateurs chinois à la Foire de Canton
Droit de vote en RPA : un propriétaire remet en question le système électoral. Le propriétaire d’une résidence pour aînés dénonce le flou juridique entourant le droit de vote de résidents inaptes. Faute de preuves écrites exigées par Élections Canada, plusieurs personnes lourdement atteintes, parfois même sous mandat d’inaptitude, ont tout de même reçu une trousse de vote. Entrevue avec Charles Lemay (nom fictif), propriétaire d’une RPA de moins de 100 résidents, dont plusieurs seraient inaptes à voter. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Souffrez-vous d’allergies saisonnières? Entrevue avec Jacques Hébert, allergologue. Sarah Tardif, candidate au doctorat en biologie à l’UQAM. Audrey Fontaine, auditrice. Kimberley McKinley, dont l’entreprise est affiliée à Jean Coutu à Terrebonne. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qubPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pourquoi on reste bloqué dans le ‘c'est pas ma faute' ? Pourquoi est-il si tentant de se dire que tout est hors de notre contrôle ? Pourquoi avons-nous parfois l'impression d'être condamnés par nos origines, nos blessures ou nos circonstances ? Pourquoi certains arrivent à rebondir… et d'autres restent figés dans l'injustice de leur histoire ?Oui, il y a des choses qui ne sont pas de notre faute. On ne choisit pas où l'on naît, ce que l'on traverse, ni comment les autres nous traitent. Mais la vraie question, ce n'est pas qui est responsable, c'est qu'est-ce que je fais avec ça ?Dans cet épisode, on parle des pièges de la victimisation, des biais qui nous empêchent d'avancer et des clés pour reprendre du pouvoir sur sa vie. Mentalité de croissance, responsabilisation, gratitude, résilience… Je vous donne des outils concrets pour arrêter de subir et commencer à jouer avec les cartes que vous avez en main.
Nous allons nous pencher sur une façon de parler qui est devenue fautive, et qui ne l'était pas voici quelques décennies. C'est Michel, de La Rochelle, qui m'a inspirée en me demandant si "malgré que" était ou non un barbarisme. Il s'étonne en effet d'avoir découvert plusieurs fois cette locution sous la plume de grands auteurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Coups de feu à Montréal. Coup de frein maternelles 4 ans. Dossier Stablex: défaite de Blainville. Portrait des séries à venir. Être un « douchebag », ou ne pas être un « douchebag » ? Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
00:00 Intro 02:00 Plaisir ou bonheur, il faut choisir? 08:04 Mériter sa dopamine 09:40 moins 30 kilos entre 2 épisodes (spoiler c'est pas Rabah) 11:52 Le background check d'Alexis 12:20 Plus vieux souvenir conscient 13:59 Alexis le grec 15:52 Se faire racketter et piquer son goûter 21:44 Celui que tu as voulu "être" 23:11 Accidents de voiture 29:52 Le gros qui traîne avec les filles 34:10 Un vocal à ton toi de 12 ans 35:17 Les Exs qui viennent le voir en spectacle 45:34 DMs chelous 50:25 La rubrique Bro Code 01:04:05 Rubrique : Evidemment, jamais, ça m'est arrivé 01:11:20 S'inventer une vie en soirée 01:28:40 L'alphabet Date (jeu éclaté comme on les aime)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amid Faljaoui nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Merci pour votre écoute Vous pouvez nous écouter à tout moment sur www.rtbf.be/musiq3 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be : Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 4 juin 2023, une voiture s'est encastrée dans le mur de la maison de Kévin ! Elle a été percutée par un autre véhicule qui a grillé un stop... Du jour au lendemain, la maison est inhabitable. Faute d'un accord avec l'assurance habitation sur le périmètre des réparations, les travaux n'ont toujours pas démarré. Victime collatérale d'une collision, Kévin souhaiterait que les assurances autos des personnes impliquées se mobilisent sur son dossier. Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 14 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 4 juin 2023, une voiture s'est encastrée dans le mur de la maison de Kévin ! Elle a été percutée par un autre véhicule qui a grillé un stop... Du jour au lendemain, la maison est inhabitable. Faute d'un accord avec l'assurance habitation sur le périmètre des réparations, les travaux n'ont toujours pas démarré. Victime collatérale d'une collision, Kévin souhaiterait que les assurances autos des personnes impliquées se mobilisent sur son dossier. Fatine Gadri, journaliste en charge du dossier, revient sur les dessous de son enquête. Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La saison des Suns tourne au fiasco total : malgré un effectif taillé pour jouer le titre avec Kevin Durant, Devin Booker et Bradley Beal, Phoenix ne verra même pas le play-in. Une immense déception pour une franchise finaliste en 2021, plombée par des choix contestés. L'avenir s'assombrit : Mike Budenholzer est dans l'incertitude, Durant semble vouloir partir et Booker pourrait s'interroger sur la suite de sa carrière malgré son contrat jusqu'en 2028. Un sacré casse-tête pour le propriétaire Matt Ishbia.Avec Jacques Monclar, Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra. En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.
Ce n'est pas fini tant que Dieu ne le dit pas
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les recherches en génomique humaine effectuées en Afrique ont été le sujet principal du sommet de la Human Genome Organisation (HUGO) qui s'est tenu pour la première fois sur le continent en mars, dans la ville sud-africaine de Durban. Comme dans le cas de l'intelligence artificielle, le domaine de la génétique est aussi victime d'un biais dans la construction de son modèle de référence, avec très peu de données venues d'Afrique. Et cela peut avoir des conséquences pour le traitement des populations locales et pour la recherche mondiale. De notre envoyée spéciale à Durban,Faute d'infrastructures, de ressources ou de personnel, beaucoup de maladies génétiques restent non détectées sur le continent. En République démocratique du Congo (RDC), Aimé Lumaka, en est régulièrement témoin avec son équipe.« Nous avons, au début de notre carrière, rencontré une famille qui a perdu environ 14 garçons. Leur peau devenait très noire et ils mourraient. Nous avons pensé à une maladie génétique, et nous avons pu la confirmer, explique le chercheur de l'université de Kinshasa. Ce qui était choquant, c'est que c'était une maladie qu'on pouvait traiter facilement avec une supplémentation en cortisol. C'est dans ce genre de situation qu'on voit la force de la génomique : cela peut permettre d'éviter des décès inutiles, des décès évitables. »À lire aussiCes scientifiques qui tentent de faire progresser la recherche génomique en Afrique« La médecine de précision est très importante »Le manque de recherches sur les variations des génomes en Afrique complique aussi les diagnostics, car les bases de données proposent comme référence des séquençages liés à des populations d'origine européenne ou américaine.Segun Fatumo travaille sur la question de la diversité génétique pour l'université Queen Mary de Londres, et le Conseil pour la recherche médicale (MRC) d'Ouganda : « La médecine de précision est très importante. Un traitement qui fonctionne bien sur des personnes qui ont une ascendance spécifique, peut ne pas aussi bien marcher pour d'autres. C'est pour cela que l'on doit étudier les génomes de tout le monde. »Un médicament anti-cholestérol conçu grâce à des études génétiquesL'absence de données freine, de plus, le développement de traitements pour les maladies génétiques qui touchent particulièrement le continent, comme la drépanocytose. Sans compter que la recherche en Afrique et l'identification de mutations peuvent avoir un intérêt pour le reste du monde. La professeure de l'université du Witwatersrand Michèle Ramsay prend l'exemple un médicament anti-cholestérol conçu grâce à des études génétiques.« Cette découverte a été réalisée grâce à l'observation de mutations génétiques qui sont davantage répandues chez des populations d'origine africaine, et on savait que ces populations avaient un taux de cholestérol plus bas que la normale. Il y a encore beaucoup de choses que l'on ignore, sur le plan de la biologie, et la génétique peut nous apporter des indices. S'il y a des variants, en Afrique, qui ne sont pas sortis du continent, et qui ont pu être sélectionnés à cause de facteurs environnementaux, ces variants vont être associés à certaines spécificités. Et si on arrive à comprendre ce lien, cela peut créer des opportunités en termes d'intervention, pour n'importe qui dans le monde. »Mais si des découvertes sont faites à partir de données africaines, les chercheurs sont unanimes : il faut mettre des protocoles en place afin que les populations du continent puissent aussi bénéficier des résultats et des traitements.À lire aussiEn Afrique, développer les connaissances sur les variations du génome [1/3]
L'histoire de Saint-Alban-sur-Limagnole commence en 1821, lorsque frère Hilarion rachète un vieux château pour en faire un asile humaniste destiné aux femmes atteintes de troubles psychiques. Faute de moyens, il cède l'institution, qui se développe sous l'impulsion du préfet de Lozère et devient un hôpital psychiatrique. Durant la Première Guerre mondiale, l'ergothérapie y prend forme pour soigner les soldats traumatisés. En 1936, le psychiatre François Tosquelles révolutionne les soins en réunissant les patients au cœur d'un processus thérapeutique créatif. Sous l'Occupation, Saint-Alban devient un refuge pour résistants et artistes, dont Paul Éluard, et favorise l'émergence de l'Art Brut (Dubuffet, Forestier, Sirvins). Après le départ de Tosquelles en 1962, l'approche ouverte et humaniste décline au profit d'une psychiatrie plus institutionnalisée. Aujourd'hui, l'Établissement Public de Santé Mentale de Lozère perpétue cet héritage, mais sous une forme plus moderne et structurée. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce jeudi 13 mars 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de : HLM dégradés, à qui la faute... bailleurs ou habitants ?
Au Gabon, il n'y a pour l'instant que quatre candidats en lice pour la présidentielle du 12 avril prochain. En effet, 19 des 23 dossiers de candidature ont été rejetés, dimanche 9 mars, par le pouvoir. Mais plusieurs candidats recalés, comme le leader syndicaliste Jean-Rémy Yama, font appel devant la Cour constitutionnelle. Quelle est la marge de manœuvre de cette Cour ? Bergès Mietté enseigne à l'université internationale de Libreville et est chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le monde, à Sciences Po Bordeaux. En ligne de Libreville, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : 23 dossiers de candidature déposés, mais seulement quatre dossiers retenus. Qu'est-ce que vous en pensez ? Bergès Mietté : Cela suppose que ce scrutin-là a suscité beaucoup d'intérêt. Un engouement au regard du nombre de candidatures. On peut tout simplement déplorer que le nombre de dossiers retenus ne soit pas conséquent.Oui, 19 dossiers ont été rejetés…Oui, tout à fait.Alors, parmi les dossiers rejetés par le ministère de l'Intérieur, il y a ceux des quatre femmes qui voulaient être candidates. Et puis il y a le dossier d'une figure de la société civile, le leader syndicaliste Jean-Rémy Yama, qui a fait 18 mois de prison sous le régime Ali Bongo. Officiellement, il est recalé parce qu'il n'a pas présenté l'acte de naissance de son père, qui est né il y a plus d'un siècle, en 1920. Qu'est-ce que vous en pensez ? Alors au Gabon, il y a effectivement un problème d'état civil qui ne concerne pas que Jean-Rémy Yama, beaucoup de personnes. Je pense que, étant donné que les autorités sont conscientes de cette question-là, le problème d'état civil, je pense qu'il devrait y avoir des mécanismes permettant de faciliter l'accès et l'établissement des jugements supplétifs, ne serait-ce que pour les candidats qui aspirent à la magistrature suprême.Alors Jean-Rémy Yama a introduit un recours devant la Cour constitutionnelle. Pour sa défense, il dit deux choses : 1. qu'en 1920, l'année où son père est né, le Gabon n'existait pas administrativement et 2. qu'il est inscrit, sur son acte de naissance à lui, que son père et sa mère sont gabonais. Est-ce que les juges de la Cour constitutionnelle vont être en mesure d'entendre ces deux arguments ? Mais on l'espère, tout simplement. Dès lors que la nationalité des parents figure bel et bien sur le document d'état civil du concerné, je pense que les juges en tiendront compte.Et si le recours de Jean-Rémy Yama est rejeté, est-ce qu'on pourra parler d'excès de formalisme ou d'une décision politique ? Je pense qu'on parlera plutôt d'excès de formalisme. Quand bien même on peut tenir compte des deux éléments, puisque, à la différence d'autres candidats, Jean-Rémy Yama apparaît davantage comme le candidat anti-système. Je pense que Jean-Rémy Yama tente d'incarner la nouvelle opposition gabonaise en construction. Et pour ce scrutin-là, pour beaucoup, l'idéal serait qu'il participe effectivement.Voulez-vous dire que, s'il ne peut pas se présenter, beaucoup de Gabonais diront qu'il a été écarté parce que le général Oligui Nguema en a peur ?Je pense que cette idée-là pourrait effectivement être mobilisée. Je pense que Jean-Rémy Yama a la particularité de pouvoir parler avec tout le monde. Et comme il n'a jamais appartenu officiellement aux régimes précédents, je pense que sa voix est entendue par beaucoup de Gabonais. Maintenant, si sa candidature est retenue, on verra sur le terrain comment il va se déployer.Longtemps, la Cour constitutionnelle a été présidée par Marie-Madeleine Mborantsuo, qui était une personnalité très proche du régime d'Ali Bongo. Elle a d'ailleurs été écartée au lendemain du coup d'Etat du 30 août 2023. Aujourd'hui est-ce que le nouveau président de la Cour, le magistrat Dieudonné Aba'a Owono, est considéré comme un proche du régime de Brice Clotaire Oligui Nguema ?Oui, tout à fait. Il pourrait être taxé de partialité en raison de sa proximité avec le président de la transition. Et d'ailleurs, sa nomination à la tête de la Cour constitutionnelle a fait réagir une certaine classe politique au niveau national.Le général Oligui Nguema et le magistrat Dieudonné Aba'a Owono sont cousins. Est-ce que ce lien de parenté peut nuire à la crédibilité à venir des décisions de la Cour ? On a vu récemment la sortie de Jean-Rémy Yama sur un processus de fraude qui était en marche. Et il appelait d'ailleurs les Gabonais à la vigilance. Mais ce qu'il faut dire, c'est qu'il y a d'autres candidats en lice. Il y a la candidature d'Alain-Claude Bilie-By-Nze, que je considère comme étant le principal challenger de Brice Oligui Nguema. Quand bien même Alain-Claude Bilie-By-Nze a été une décennie durant le visage du régime d'Ali Bongo, il apparaît auprès d'une certaine frange de la population comme une personne sulfureuse en raison de ses prises de position passées.Donc pour vous, si Jean-Rémy Yama ne peut pas se présenter, il n'y aura pas match ?Oui, je pense que la présidentielle du 12 avril 2025 ne sera pas très disputée, très compétitive. Et cette hypothèse-là se fonde sur trois faits majeurs. En premier lieu, il y a comme un consensus national autour de la candidature et la personne d'Oligui Nguema. Autre élément, donc, Oligui Nguema est l'auteur du coup d'Etat, ce fait historique est source d'adhésion et d'admiration. Et dernier élément, Brice Oligui Nguema n'a pas, comme je le disais tantôt, en face de lui des adversaires très fiables. Donc, faute de challenger, je pense que le scrutin présidentiel du 12 avril sera un match amical entre Oligui Nguema et un candidat de faible envergure.À lire aussiLes candidats à l'élection présidentielle gabonaise sont désormais connus
On le sait, il existe deux sortes de planètes, les planètes telluriques, composées de roches et de métal, et les planètes gazeuses, composées, comme leur nom l'indique, de gaz légers, comme l'hélium ou l'hydrogène.On pourrait se demander si, du fait de leur composition, ces dernières planètes ne pourraient pas prendre feu ou même exploser. En effet, la plupart des gaz sont inflammables.D'après les spécialistes, une telle éventualité est impossible. Pourtant, il y a bien un combustible tout trouvé sur ces planètes : l'hydrogène, qu'on trouve en abondance sur Jupiter et Saturne, et sur d'autres planètes gazeuses, comme Uranus et Neptune.Ces deux dernières planètes recèlent aussi du méthane, qui peut aussi servir de combustible. Ce qui manque, en revanche sur ces planètes gazeuses, c'est le comburant, autrement dit une substance qui permet la combustion de l'hydrogène ou du méthane.Ainsi, l'oxygène est un excellent comburant, mais il n'y en a pas sur ces planètes gazeuses, sinon des quantités infimes. Faute de ce comburant, ces planètes ne peuvent donc pas exploser.Et s'il y avait un peu plus d'oxygène sur ces planètes gazeuses, que se passerait-il ? En plus d'un carburant et d'un comburant, en effet, il faut une étincelle pour mettre le feu aux poudres.Sur Saturne, par exemple, on pourrait la trouver dans les nombreux orages qui éclatent sur cette planète.Les curieux pourraient encore poser une autre question sur les planètes gazeuses : comment se fait-il que les gaz qui les composent ne se dissipent pas dans l'espace ? On sait à quel point, en effet, ils sont volatils.Prenons par exemple le cas de Jupiter, composée essentiellement d'hydrogène et d'hélium. À la place de la planète, on trouvait, au départ, un grand nuage de poussières, de gaz et de glace.Peu à peu, ces éléments se sont agglomérés pour former un agrégat plus dense, dont la gravité a commencé à attirer ce qui l'entourait, à commencer par les gaz. Et c'est la force gravitationnelle de la planète qui les retient dans son attraction, les empêchant de s'échapper dans l'espace. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Tenté de tempérer les ardeurs de son ministre de l'intérieur, Emmanuel Macron s'est attiré les foudres de la droite et de l'extrême droite, qui lui reprochent de « céder » à Alger. Faute de traduction en actes, la position présidentielle n'a encore rien réglé à la situation. Un article d'Ilyes Ramdani publié dimanche 9 mars 2025, lu par Jeremy Zylberberg.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty, et Charles Consigny, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En inédit, un cas supplémentaire abordé dans la suite de l'émission sur M6 de 12h à 12h30 : Tarek est propriétaire d'une maison depuis 2007 et voisin d'une habitation laissée à l'abandon depuis le décès de sa propriétaire. Faute d'entretien par les héritiers, cette maison délabrée engendre de nombreuses nuisances sur sa propriété. En juin 2023, la famille accepte sa proposition de rachat pour 1 € symbolique. Pourtant, depuis cette date, le dossier reste au point mort. Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Face à la multiplication des attaques de gangs à Port-au-Prince, le syndicat de policiers SPNH-17 exige plus de moyens et donne jusqu'à mercredi (5 mars 2025) aux autorités de transition pour leur fournir des garanties. Faute de quoi les policiers réclament le départ du gouvernement provisoire. C'est ce qu'a expliqué Gary Jean-Baptiste, coordonnateur du SPNH-17, au correspondant de RFI dans la capitale haïtienne, Peterson Luxama. L'ancien président Jean-Bertrand Aristide demande lui aussi aux autorités de transition de mener des actions concrètes pour combattre l'insécurité, rapporte Le Nouvelliste. «Trop de victimes (...), trop de corruption dans l'administration de l'État, trop de misère (...)», s'est emporté l'homme politique lors de la cérémonie de remise des diplômes de l'Université de la Fondation Dr Aristide, ce dimanche. Jean-Bertrand Aristide appelle également la population à soutenir la police. Selon lui, il faut faire «front commun» avec la PNH qui doit «disposer de moyens adéquats». Face à l'épidémie de rougeole qui a fait un mort aux États-Unis, Robert Kennedy Jr revoit ses positionsRobert Kennedy Jr, qui a toujours critiqué les vaccins et avait minimisé cette épidémie la semaine dernière, appelle désormais les Américains à se protéger contre la rougeole. «La décision de se faire vacciner est personnelle», écrit-il dans un éditorial publié sur le site de Fox News. Mais, ajoute-t-il, «les vaccins ne protègent pas seulement les enfants contre la rougeole, mais contribuent également à l'immunité de tous, protégeant ceux qui ne peuvent pas être vaccinés pour des raisons médicales». Robert Kennedy Jr demande que les vaccins soient «facilement accessibles pour tous ceux qui les veulent».Un revirement et un engagement en faveur de la vaccination trop timoré, jugent des experts interrogés par le New York Times alors que plus de 160 personnes ont déjà attrapé la maladie. Comme lors des précédentes épidémies de rougeole, les autorités sanitaires fédérales devraient appeler clairement les parents à faire vacciner leurs enfants, peut-on lire dans cet article. Un épidémiologiste de l'Université du Minnesota pointe du doigt la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique, le CDC, qui selon lui, ne se fait pas assez entendre. Une seule mention du vaccin dans le premier communiqué publié par l'agence, la semaine dernière, soit un mois après l'apparition du premier cas, et alors que l'épidémie s'était déjà propagée dans tout le Texas et au Nouveau-Mexique, relève le New York Times. Ce que ne nous dit pas cet article, c'est s'il s'agit d'une forme d'auto-censure due aux positions anti-vaccins du ministre, ou si ce dernier a donné des ordres clairs de ne pas trop en faire.Au Texas, les autorités locales ont lancé une campagne de vaccination mais se heurtent à des résistances, comme l'a constaté le Washington Post. Le journal a rencontré une mère de 34 ans qui a soigné son fils avec de l'huile de foie de morue, de la nourriture bio, des bains avec des sels de magnésium et des massages avec une crème faite de graisse de bœuf et de lavande. Comme elle, beaucoup d'anti-vaccins pensent que la rougeole n'est pas plus grave que la varicelle ou la grippe, écrit le Washington Post. Et s'il est vrai que la majorité des enfants guérissent de la rougeole, dans 1 cas sur 20, cela évolue en pneumonie. Dans 1 sur 1.000, en encéphalite ce qui peut provoquer la surdité ou des lésions neurologiques irréversibles. Et dans 1 ou 2 cas sur 1.000, l'enfant malade meurt alors que comme le rappelle le journal, il existe un vaccin sûr et efficace contre cette maladie. Un militant écologiste assassiné au MexiqueCristino Castro Perea a été tué la semaine dernière, en pleine rue, par deux hommes qui circulaient à moto. Il bénéficiait pourtant d'une protection du gouvernement fédéral.Il était engagé depuis plus de dix ans contre un projet immobilier. Un projet d'hôtel pour le moins ambitieux qui devait s'étendre sur quelque 24 hectares et sur une plage. En 2023, face aux contestations locales, le gouvernement fédéral a classé cet espace en «zone naturelle protégée», empêchant ainsi la construction de l'hôtel. Bilan d'une année sans portables pour les écoliers de RioAu Brésil, les téléphones portables sont interdits dans toutes les écoles depuis un mois. Mais plusieurs États avaient déjà pris la même décision auparavant. Ainsi à Rio de Janeiro, cela fait un an que les élèves ont dû s'habituer à vivre sans leur téléphone. C'est notre dossier du jour signé Sarah Cozzolino. À la Une du Journal de la 1èreLe lancement d'Ariane 6 prévu ce lundi. Pour son premier vol commercial, la fusée décollera avec un satellite militaire.
La tempête fait de gros dégâts matériels et surtout humains sur la Côte Atlantique. Plus de 50 morts dont 29 pour la seule commune de la Faute-sur-Mer en Vendée. Ecoutez Les pépites RTL avec Jérôme Florin du 28 février 2025.
“C'est la faute de l'Europe”. Qu'il s'agisse d'économie, de sécurité, de défense et même de tech, nos politiques accusent régulièrement l'Union Européenne de tous les maux. A raison ou à tort ? C'est ce qu'on vérifie dans cette série de 5 épisodes, avant les élections européennes du 9 juin. Aujourd'hui, alors que la gronde des agriculteurs n'a pas disparu, on s'intéresse à ce qu'il y a dans nos assiettes avec Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express, et Isabelle Ory, correspondante à Bruxelles.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte BarisMontage : Théo SireRéalisation : Jules Krot Crédits : France 2, CNews, Europe 1, INA, Public Sénat, France TV Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Macron, l Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 18 février 2025.
C dans l'air du 15 février 2025 - Budget : une dépense publique « hors de contrôle » ?La France est « au pied du mur ». C'est en ces termes que la Cour des comptes alerte de la situation des finances publiques, quelques jours seulement après le vote au Parlement du budget 2025. Dans leur dernier rapport, les sages de la rue Cambon soulignent une dérive des dépenses, et tirent la sonnette d'alarme sur l'urgence des efforts à mener. « La dépense publique n'est pas tenue », estime le président de la Cour, Pierre Moscovici, selon qui « en 2024 plus encore qu'en 2023, la dépense publique est apparue hors de contrôle ».Si la Cour reconnaît les efforts de l'Etat, elle pointe le rôle des collectivités locales, dont la dépense a progressé de 3,6% entre 2023 et 2024. L'État est donc exhorté à freiner des dépenses publiques « en roue libre », et à réaliser 110 milliards d'économies d'ici à 2029. Faute de quoi, les intérêts pour rembourser la dette exploseraient.Pendant ce temps, aux Etats-Unis, Elon Musk, à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale, est chargé de tailler dans les effectifs de l'administration. Une purge massive est redoutée par les fonctionnaires, qui se voient proposer de démissionner en échange d'une prime de départ, ou de risquer un licenciement sans indemnités. Un désossement de l'Etat qui inspire la droite française : Eric Ciotti estime que la méthode Musk « résonne » avec ses idées, Jordan Bardella imagine un Musk français pour dégraisser le mammouth.En France, l'état des routes sont une illustration de la mauvaise situation des finances publiques. 20 % des routes nationales et 10 % des routes départementales sont considérées en mauvais état. Un chiffre qui pourraient s'accroître avec les effets du dérèglement climatique. Alors, l'état des Finances publiques est-il si catastrophique ? La France pourrait-elle s'inspirer de la méthode Musk pour réduire ses dépenses ? Faut-il d'urgence rénover les routes françaises ? Les experts :CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-TireurFRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de FipecoSTÉPHANIE VILLERS – Économiste, conseillère économique de PwC FranceSYLVIE PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au PointPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:38:00 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La théorie de l'animal-machine de Descartes, formulée au XVIIe siècle, continue de nourrir les débats sur la sensibilité animale. Que nous apprend-elle sur notre façon de penser la relation entre l'homme et les autres espèces aujourd'hui ? - réalisation : François Richer - invités : Louis Rouquayrol Docteur en philosophie, spécialisé en histoire de la philosophie moderne; Etienne Bimbenet Professeur de phénoménologie à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
durée : 00:09:26 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Après les propos tenus par le président américain au sujet de la bande de Gaza, l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin dénonce "une diplomatie du choc". - invités : Dominique DE VILLEPIN - Dominique de Villepin : Ancien ministre Premier Ministre
Claude a décidé de se reconvertir professionnellement dans le social. Mais un manque de subventions de sa collectivité contraint l'association qui l'emploie à la licencier. Elle l'a appris brutalement et accuse le coup. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinié analyse la situation économique française. Elle alerte sur la hausse inquiétante du chômage, liée notamment à la cascade de nouvelles taxes prévues sur les entreprises et les entrepreneurs. Selon elle, cette pression fiscale excessive risque de freiner les embauches et les investissements, et pourrait même pousser certaines entreprises à délocaliser. Elle appelle le gouvernement à revoir sa politique économique pour soutenir la création d'emplois et la compétitivité des entreprises françaises.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Ce mardi 28 janvier, les raisons de la hausse du chômage ont été abordées par Agnès Bénassy-Quéré, sous-gouverneure à la Banque de France, Christian Saint-Etienne, professeur au CNAM et membre du Cercle des Économistes, et Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyses et Prévisions de l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Chaque matin, l'équipe de la matinale vous offre des cadeaux. Il n'appartient qu'à vous de les garder en répondant correctement aux 4 questions posées par Bruno.
Selon l'OMS, en 2022, 1 personne sur 8 souffrait d'obésité. Certains médecins parlent d'épidémie au vu de l'explosion des cas, ces dernières décennies. Ainsi, depuis 1980, l'obésité a plus que doublé chez les adultes et a quadruplé chez les adolescents, au niveau mondial. Maladie chronique, l'obésité est une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle. Les autorités de santé américaine comme européenne ont autorisé la mise sur le marché d'un antidiabétique injectable, le sémaglutide (vendu sous les marques Ozempic ou Wegovy), une hormone qui favorise la sensation de satiété et provoque des pertes de poids. Ce nouveau venu dans le traitement de l'obésité n'est à l'heure actuelle pas remboursé en France.Comment ces nouveaux médicaments contre l'obésité agissent-ils ? Des effets indésirables sont-ils connus ? Quelles sont les différentes causes de l'obésité ? Quels sont les risques pour la santé des personnes en forte surcharge pondérale ? Dr Guillaume Pourcher, membre de l'Académie nationale de chirurgie, chirurgien des Hôpitaux de Paris spécialisé dans la chirurgie de l'obésité, Hôpital privé Geoffroy St Hilaire Paris 5. Auteur de l'ouvrage L'Obésité, maladie du siècle. Ni une faute ni une fatalité, paru chez XO Éditions Pr Victoire Agueh, médecin généraliste nutritionniste, enseignant-chercheur à l'Institut régional de Santé Publique de Ouidah, au Bénin.► En fin d'émission, nous parlons de la soumission chimique à l'occasion de la diffusion du documentaire Soumission chimique : pour que la honte change de camp sur France 2, ce mardi 21 janvier 2025 à 21h10. Interview de Linda Bendali, réalisatrice du documentaire.Programmation musicale :► Yseult - Corps► Orchestra Baobab – Boulène Dèm.
Selon l'OMS, en 2022, 1 personne sur 8 souffrait d'obésité. Certains médecins parlent d'épidémie au vu de l'explosion des cas, ces dernières décennies. Ainsi, depuis 1980, l'obésité a plus que doublé chez les adultes et a quadruplé chez les adolescents, au niveau mondial. Maladie chronique, l'obésité est une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle. Les autorités de santé américaine comme européenne ont autorisé la mise sur le marché d'un antidiabétique injectable, le sémaglutide (vendu sous les marques Ozempic ou Wegovy), une hormone qui favorise la sensation de satiété et provoque des pertes de poids. Ce nouveau venu dans le traitement de l'obésité n'est à l'heure actuelle pas remboursé en France.Comment ces nouveaux médicaments contre l'obésité agissent-ils ? Des effets indésirables sont-ils connus ? Quelles sont les différentes causes de l'obésité ? Quels sont les risques pour la santé des personnes en forte surcharge pondérale ? Dr Guillaume Pourcher, membre de l'Académie nationale de chirurgie, chirurgien des Hôpitaux de Paris spécialisé dans la chirurgie de l'obésité, Hôpital privé Geoffroy St Hilaire Paris 5. Auteur de l'ouvrage L'Obésité, maladie du siècle. Ni une faute ni une fatalité, paru chez XO Éditions Pr Victoire Agueh, médecin généraliste nutritionniste, enseignant-chercheur à l'Institut régional de Santé Publique de Ouidah, au Bénin.► En fin d'émission, nous parlons de la soumission chimique à l'occasion de la diffusion du documentaire Soumission chimique : pour que la honte change de camp sur France 2, ce mardi 21 janvier 2025 à 21h10. Interview de Linda Bendali, réalisatrice du documentaire.Programmation musicale :► Yseult - Corps► Orchestra Baobab – Boulène Dèm.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des débats enflammés avec sa Dream Team composée de Christophe Dugarry, Emmanuel Petit, Jean-Michel Larqué, Eric di Meco, Pascal Olmeta, Jérémy Menez et deux recrues : Andy Delort et Steve Savidan. Julien Cazarre propose son journal du foot : Le Cazarre enchainé ainsi qu'un quizz Rothen contre le reste du monde.
Une saison à 14 victoires qui se termine par un désastre offensif. C'est le sort que les Rams ont réservé aux Vikings. Sam Darnold a été sacké 9 fois et l'attaque n'a marqué que 9 points. À qui la faute ? Au quarterback ou au coach qui ne s'est pas suffisamment ajusté ? C'est un des débats de la fin du premier tour des playoffs. Même si cela n'enlève évidemment rien à la performance des Rams, qui ont brillamment fait déjouer leurs adversaires. Alain Mattei et Lucas Vola reviennent également sur l'actualité NFL, marqué par les mouvements chez les coachs des Cowboys et Patriots. Bonne écouté ! Become a member at https://plus.acast.com/s/touchdown-actu-nfl-podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 3 janvier 2025 - Immobilier, auto, électricité... les nouveautés de 2025Comme chaque année, de nouvelles lois sont entrées en vigueur le 1er janvier et les changements sont nombreux en 2025. À commencer par les retraites : les pensions de base ont augmenté de 2,2 %. Faute d'adoption du budget de la Sécurité sociale, cette revalorisation a été indexée sur l'inflation. Elle est supérieure à ce que proposait le gouvernement censuré de Michel Barnier qui avait évoqué une augmentation de 1,6 %.À cela s'ajoutent notamment la hausse du prix des mutuelles (6% en moyenne), du prix du tabac (le paquet de vingt cigarettes avoisine les treize euros), du timbre, ou encore de l'électricité. Côté immobilier, l'interdiction de louer des logements de classe énergétique G est aussi entré en vigueur. Enfin, le RSA est maintenant conditionné sur tout le territoire à quinze heures d'activités hebdomadaires d'accompagnement et d'insertion.Pendant ce temps, la ville de Senlis, dans l'Oise, a été classé parmi les meilleures communes en termes de qualité de vie de prix pour les cadres. Proche de Paris et de l'aéroport de Roissy, la ville au riche patrimoine historique attire de plus en plus de Franciliens avides d'espace et de tranquillité.Dans cette période compliquée pour le pouvoir d'achat, un autre phénomène peut faire perdre de l'argent : celui des arnaques aux colis. Fréquentes, ces escroqueries tentent recevoir de l'argent des consommateurs via des textos parfois trompeurs. De nombreuses autres arnaques se développent en ligne, comme celles qui proposent des placements alléchants.Alors, l'année 2025 sera-t-elle noire sur le plan du pouvoir d'achat ? Pourquoi de nombreux franciliens quittent l'Ile-de-France pour des villes en périphérie ? Comment se protéger des arnaques ?Les experts : Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction de L'Usine NouvelleCorinne JOLLY - Présidente de PAP - Particulier à ParticulierGéraldine HOUDAYER - Journaliste spécialiste de la consommation à France BleuMathieu PLANE – Économiste, directeur adjoint du Département Analyse et Prévision à OFCEPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/