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Ce matin, Romano livre des colis qui, malheureusement, ne passent dans les boites aux lettres de Francais ! Il leur demande donc un supplément de 50 euros ! Les conseils pas chers sur Skyrock !
Cet épisode d'Entre nos lèvres vous invite dans nos coulisses. Et cette fois-ci, pour se mettre à votre place et formuler toutes les questions que vous nous posez presque tous les jours depuis bientôt cinq ans, on a décidé d'inviter Anne-Claire Lecat, la créatrice d'eeko factory et du podcast Antipop. Anne-Claire, c'est une femme qui, comme nous, a un jour tout lâché pour se lancer dans le vaste monde de l'audio (nouveau, incertain, et pas du tout rentable – #QuelleIdée), et qui a su, avec brio, faire évoluer une activité difficile en un véritable métier. Il était donc évident pour nous que c'était elle qui devait prendre le rôle de l'intervieweuse pour cet épisode pas vraiment fastoche à propos du business du podcast (lol) et des idées qu'il faut avoir tous les jours pour se réinventer – ou juste payer ses factures. PS. On vous souhaite une belle écoute ! Céline & Margaux Nous suivre sur Instagram : @entrenoslevres Découvrir nos soins sur notre boutique : www.entrenoslevres.fr Et n'oubliez pas de vous inscrire à notre super newsletter, on y raconte plein de trucs chouettes. On dévoile nos coulisses, on vous livre tous nos conseils et on partage même tout plein de recommandations (des livres, des films, des articles, tout ce qui nous a plu ou touché ces derniers temps). Promis, c'est cool. Réalisation & Production : Entre nos lèvres Montage & Mixage : Marthe Cuny Musique : Martijn De Boer
Ce matin, Romano s'inspire de l'arnaque aux slips pour escroquer les français ! Les conseils pas chers sur Skyrock !
Les Colis du Cœur du district de Monthey organisent deux journée de récolte vendredi et samedi
Les Colis du cœur du district de Monthey organisent des collectes vendredi et samedi
Dans le canton de Genève, ce sera la Fondation Partage qui sera la bénéficiaire de cette action de grande ampleur visant à récolter un maximum de denréres alimentaires non périssables ainsi que des produits d'hygiène de base et de nettoyage. Elle soutient à elle seule une cinquantaine d'associations caritatives et de services sociaux comme par exemple Le C.A.R.E, Les Colis du Coeur, La Caravane de solidarité, Trialogue, Emmaüs, La Croix-rouge genevoise, l'ARFEC, l'Armée du Salut et Païdos.Créée en 2005, elle est devenue une fondation en 2016 afin de pérenniser son financement et assurer la longévité de sa mission mais a conservé le cœur de son activité de banque alimentaire basée sur les trois piliers du développement durable: économique, social et environnemental. La précarité alimentaire a considérablement augmenté dans le canton de Genève et la Fondation Partage est fortement sollicitée et doit désormais offrir près de trois fois plus de produits de première nécessité quʹen temps ordinaire! Pour cette action qui démarre demain, elle a mis sur pied pas moins de 35 lieux de récolte disséminés dans le canton afin de permettre à la population genevoise de participer. Les "Caddies pour Tous" ayant lieu dans tous les cantons romands, certaines associations basées à Aigle, Noville, Sierre, Crans-Montana et Sion sont toujours à la recherche de quelques bénévoles pour les aider lors de ce marathon solidaire de 3 jours qui débutera demain. N'hésitez pas à appeler le 058 236 16 00 pour en savoir plus ou vous inscrire! Toutes les infos sur cette opération de solidarité romande et sur les lieux précis de récolte sont sur le site: www.caddiespourtous.ch DEMANDE: - Des bénévoles à Sion, Sierre, Crans-Montana, Aigle et Noville pour aider les structures locales durant 3h (ou plus) les 25, 26 ou 27 mars prochain
Le Valais sera, cette année encore, extrêmement bien représenté lors de cette grande récolte romande de denrées de première nécessité puisque ce ne sont pas moins de 50 points de collecte qui seront mis à disposition de la population valaisanne les 25, 26 et 27 mars prochain! L'association Accueil Hôtel-Dieu, Les Caisses Vertes, Les Tables du Rhône, Sierre-Partage, Noble et Louable Contrée Partage (Noloco Partage), Les Colis du Coeur district de Monthey et district de St-Maurice et les Restos du Coeur de Sion seront les bénéficiaires des Caddies pour Tous avec l'aide et le soutien logistique de la Paroisse catholique de Martigny et des Paroisses de Bagnes Vollèges et Verbier. Au vu de l'ampleur de cette action, certains associations recherchent encore quelques bénévoles pour les aider à gérer ces 3 jours de récolte, c'est le cas notamment à Sion, Sierre, Crans-Montana et Vevey. Vous trouverez toutes les infos sur cette action sur son site: www.caddiespourtous.ch DEMANDE: - Des bénévoles à Sion, Sierre, Crans-Montana et Vevey pour aider les structures locales durant 3h (ou plus) les 25, 26 ou 27 mars prochain
Comment rendre le e-commerce plus responsable ? C'est la question qu'Alice se pose dans cet épisode d'Au Rayon Futur.Alors qu'aujourd'hui les achats sur internet sont devenus quasiment incontournables, il est nécessaire de questionner leur impact : sur la planète, sur notre quotidien et sur nos petits commerçants !Sur internet, aujourd'hui, beaucoup de pratiques posent problème. Par exemple, le sur-emballage des colis accentue la pollution engendrée par les livraisons et le retours.Heureusement, des innovations existent pour que le e-commerce soit plus respectueux de l'environnement et qu'il cohabite en harmonie avec les commerces de proximité.On part à la découverte de ces solutions et de ces engagements dans ce nouvel épisode d'Au Rayon Futur !Une enquête réalisée par Alice Deroide, produite par BABABAM pour le Groupe Casino. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Les habitants de la petite commune marnaise recevaient des colis non commandés à leur domicile
Les Colis du Cœur renaissent de leurs cendres dans le district de Monthey
Allô Mahaut, J'ai rêvé de mon grand-père, et en fait c'était un mec bizarre...
Grâce aux dons récoltés depuis le début de la campagne liée à la pandémie et qui permettent de soutenir les personnes les plus vulnérables en Suisse qui subissent les répercussions sanitaires, économiques et sociales, la Chaîne du Bonheur a pu soutenir les associations suivantes qui oeuvrent sur le plan national ou romand dans le domaine de la distribution alimentaire (sous forme directe ou sous forme de bons d'achats): La Fondation AACTS (VD), L'Armée du salut (CH), L'Association Caisse Vertes (VS), L'Association pour le Bateau (GE), L'Association Sierre Partage (VS), L'Association Sleep-In (VD), L'Association suisse des Centres sociaux protestants (CH), Caritas Suisse (CH), La Fédération Vaudoise des Cartons du Coeur - Région Nord Vaudois (VD), Les Colis du Cœur (GE), Le Collectif de distribution alimentaire gratuite (NE), La Croix-Rouge suisse (CH); La Fédération solidarité femmes de Suisse, organisation faîtière suisse des maisons dʹaccueil pour femmes (CH), La Fondation Mère Sofia (VD), Le Caré (GE), L'Oeuvre suisse dʹentraide ouvrière (CH), Noble et Louable Contrée Partage (VS), La Pastorale des Milieux Ouverts (GE), Pro Infirmis (CH), Pro Senectute (CH), Secours suisse dʹhiver (CH), Table Suisse (CH),
Vous souhaitez vous aussi diffuser et partager vos fictions ? Écrivez-nous à l'adresse media@groundcontrolparis.com. Jean et sa sœur sont en route pour l’abattoir de Monsieur Simon. Un abattoir un peu particulier puisqu’il propose à ses clients d’adopter son propre veau, de suivre sa croissance et, le jour où il est « prêt », de l’abattre soi-même pour sa consommation personnelle à l’aide d’un pistolet à air comprimé. Pour la sœur de Jean, qui a toujours été sensible à la question animale mais qui refuse de devenir végan, c’est un bon moyen de se responsabiliser face à la mort de SON veau. Enfin, c’est ce qu’elle dit à son frère… Écrite par Marc Gibaja*, la fiction « The Meating » nous met face à une des grandes contradictions de notre civilisation : l’amour et l’empathie que nous ressentons pour les autres êtres vivants et le besoin physique que nous avons de manger des animaux d’élevages. The Meating est la fiction de l’épisode 1 de la série de podcast Utopia sur la question « Peut-on aimer les animaux et les tuer en toute conscience ? » => bit.ly/2XIiyeM Avec : - Jocelyne Porcher, autrice du Manifeste pour une mort digne des animaux - Pierre Pauchet, Association en Faveur de l'Abattage des Animaux dans la Dignité (AFAAD) - Melchior de Warren, fondateur Les Colis du Boucher - Benjamin Hoguet, auteur de Manger vers le Futur. - Clara Duval, Brand Strategist chez FutureBrand. *Marc Gibaja, auteur, réalisateur, scénariste pour le cinéma et la télévision. Ma Vie n'est pas une comédie Romantique , Tantale, La Minute Blonde. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Vous souhaitez vous aussi diffuser et partager vos fictions ? Écrivez-nous à l'adresse media@groundcontrolparis.com. Jean et sa sœur sont en route pour l’abattoir de Monsieur Simon. Un abattoir un peu particulier puisqu’il propose à ses clients d’adopter son propre veau, de suivre sa croissance et, le jour où il est « prêt », de l’abattre soi-même pour sa consommation personnelle à l’aide d’un pistolet à air comprimé. Pour la sœur de Jean, qui a toujours été sensible à la question animale mais qui refuse de devenir végan, c’est un bon moyen de se responsabiliser face à la mort de SON veau. Enfin, c’est ce qu’elle dit à son frère… Écrite par Marc Gibaja*, la fiction « The Meating » nous met face à une des grandes contradictions de notre civilisation : l’amour et l’empathie que nous ressentons pour les autres êtres vivants et le besoin physique que nous avons de manger des animaux d’élevages. The Meating est la fiction de l’épisode 1 de la série de podcast Utopia sur la question « Peut-on aimer les animaux et les tuer en toute conscience ? » => https://bit.ly/2XIiyeM Avec : - Jocelyne Porcher, autrice du Manifeste pour une mort digne des animaux - Pierre Pauchet, Association en Faveur de l'Abattage des Animaux dans la Dignité (AFAAD) - Melchior de Warren, fondateur Les Colis du Boucher - Benjamin Hoguet, auteur de Manger vers le Futur. - Clara Duval, Brand Strategist chez FutureBrand. *Marc Gibaja, auteur, réalisateur, scénariste pour le cinéma et la télévision. Ma Vie n'est pas une comédie Romantique , Tantale, La Minute Blonde.
1 milliard d’animaux sont abattus chaque année en France. Et pourtant, on les aime ! Peut-on vraiment continuer à manger de la viande quand on aime les animaux, avec tout ce que l’on sait aujourd’hui sur les conditions d’abattage ?Et comment, alors ? Dissocier l’élevage de la production, favoriser des chaînes courtes entre l’éleveur et le consommateur, « réanimaliser » la viande pour réveiller les consciences…Le premier épisode d'Utopia s'intéresse à la contradiction entre notre alimentation et notre rapport ambigu avec les animaux. Alors, peut-on aimer les animaux et les tuer en toute conscience ?Pour en débattre, nous recevons :- Jocelyne Porcher, autrice du Manifeste pour une mort digne des animaux- Pierre Pauchet, Association en Faveur de l'Abattage des Animaux dans la Dignité (AFAAD)- Melchior de Warren, fondateur Les Colis du Boucher- Benjamin Hoguet, auteur de Manger vers le Futur.- Clara Duval, Brand Strategist chez FutureBrand.Pour ouvrir la discussion, l'auteur Marc Gibaja nous interpelle sur ce que pourrait être une “bonne” manière de tuer un animal pour le manger avec sa fiction "The Meating" (02:00)Une émission présentée par Louis Hamelin.Pour en savoir plus :- http://www.editionsdupalais.com/ouvrages/royaumont/- http://www.afaad.net/- https://lescolisduboucher.com/- https://www.instagram.com/mangerverslefutur/?hl=fr- https://www.futurebrand.com/fr See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
1 milliard d’animaux sont abattus chaque année en France. Et pourtant, on les aime ! Peut-on vraiment continuer à manger de la viande quand on aime les animaux, avec tout ce que l’on sait aujourd’hui sur les conditions d’abattage ? Et comment, alors ? Dissocier l’élevage de la production, favoriser des chaînes courtes entre l’éleveur et le consommateur, « réanimaliser » la viande pour réveiller les consciences… Le premier épisode d'Utopia s'intéresse à la contradiction entre notre alimentation et notre rapport ambigu avec les animaux. Alors, peut-on aimer les animaux et les tuer en toute conscience ? Pour en débattre, nous recevons : - Jocelyne Porcher, autrice du Manifeste pour une mort digne des animaux - Pierre Pauchet, Association en Faveur de l'Abattage des Animaux dans la Dignité (AFAAD) - Melchior de Warren, fondateur Les Colis du Boucher - Benjamin Hoguet, auteur de Manger vers le Futur. - Clara Duval, Brand Strategist chez FutureBrand. Pour ouvrir la discussion, l'auteur Marc Gibaja nous interpelle sur ce que pourrait être une “bonne” manière de tuer un animal pour le manger avec sa fiction "The Meating" (02:00). Une émission présentée par Louis Hamelin. Pour en savoir plus : - http://www.editionsdupalais.com/ouvrages/royaumont/ - http://www.afaad.net/ - https://lescolisduboucher.com/ - https://mangerverslefutur.org/ - https://www.futurebrand.com/fr
Les Colis du Cœur du district de Monthey ont 25 ans
Dans cet épisode, on parle d'un étui qui prive les spectateurs de leurs smartphones, de l'Apple Watch, de Spotify, de Nubia, de la taxe 1€ par colis, de l'iPhone 5, d'Apple et ses chiffres de ventes, et de WhatsApp.
Le Lunch Show débute sa semaine avec un plateau riche en produits de terroir avec 2 membres du Collectif Foodingues, Benjamin Albarede, co-fondateur de Wine Republik et Melchior de Warren, co-fondateur de Les Colis du Boucher. "La petite histoire, parce qu'on ne se connaissait pas avant le collectif, on se connaît un petit peu maintenant mais on ne se connaissait pas, c’est qu’il y en avait qui faisait du vin de producteurs de leur côté, d'autres qui faisaient de la viande, d’autres qui faisaient du miel, des légumes, et puis finalement on avait à peu près tous les mêmes problématiques, on voulait toucher les mêmes personnes. Et puis il y a eu un marché qui s'est fait en début d'année et on s'est rencontré tous autour du marché, et puis on a commencé à discuter avec des gens du miel qui faisaient des trucs incroyables, on a discuté avec des gens du fromage qui faisaient des trucs incroyables. Et puis finalement, on s'est dit, ‘et si on se réunissait tous sur une seule et unique plate-forme ?’ parce que notre objectif c'est surtout d’utiliser Internet pour vendre. Donc on est des tech foodie on va dire, on n’est pas là pour faire les marchés le dimanche. Vous ne nous trouverez pas sur le marché le dimanche, mais vous nous trouverez sur Internet," explique Benjamin Albarede.