Book by Victor Hugo
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durée : 00:20:12 - Lectures du soir - " J'éprouve une répulsion invincible à mettre sur le papier quelque chose de mon cœur. Je trouve même qu'un romancier n'a pas à exprimer son opinion sur quoi que ce soit. Est-ce que le bon Dieu l'a jamais dite, son opinion ? "
durée : 00:09:13 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - Dans "Les Gugusses en vacances", nous embarquons avec cette famille pour des vacances en Yolcame, un pays imaginaire inspiré du Mexique. Guide Michelin pour Dieu, prise de tête sur le montage de la tente, apprentissage conflictuel de la conduite… Toutes les familles peuvent s'y retrouver. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Émilie Gleason Auteure illustratrice de bande-dessinée
En Bolivie, l'élection présidentielle a lieu dimanche prochain 17 août. La crise économique et les solutions proposées par les candidats ont été au cœur de la campagne électorale. L'une des propositions les plus en vogue : favoriser et développer l'élevage et l'agriculture dans l'est du pays. Un projet qui donne des ailes aux principaux intéressés, mais qui inquiète les communautés autochtones qui craignent un recul de leurs droits et une augmentation de la déforestation et des incendies. Reportage de Nils Sabin. De notre correspondant en Bolivie, À San Javier, dans l'est de la Bolivie, la campagne pour l'élection présidentielle du 17 août est particulièrement suivie. Cette petite ville de 15 000 habitants est la capitale laitière du département de Santa Cruz… Et les nombreux éleveurs locaux espèrent voir leur secteur favorisé par le prochain président. « Nous espérons, si Dieu le veut, qu'il y aura un changement et que le nouveau gouvernement aura en tête que la production et le progrès se trouvent ici », confie María Gloria Paz Tambare, présidente de l'association des éleveurs de San Javier. Malgré des lois environnementales très permissives, des prêts à taux bas, ou encore l'augmentation des permis de déforestation, l'agrobusiness, c'est-à-dire les secteurs de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle, a le sentiment d'avoir été maltraité par les gouvernements de gauche de ces vingt dernières années. Selon Mauricio Tambare, éleveur rencontré dans son ranch à quelques kilomètres de San Javier, la Bolivie doit virer à droite et s'inspirer d'autres présidents conservateurs du continent : « On aime bien ce que fait Milei en Argentine, ce qu'a fait Bukele au Salvador. On ne demande pas que ce soit un copié-collé, mais que ce soit similaire à ce que fait Milei ». « Les candidats ont très peur de se fâcher avec l'agro-industrie bolivienne » Pour le secteur de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle, la fin de la crise économique qui touche le pays — 17 % d'inflation depuis janvier, pénurie de carburant et de dollars — passe forcément par leur développement. « Pour nous, c'est très clair que si on ne nous permet pas d'exporter plus facilement, qu'on ne baisse pas les droits de douane, qu'on ne nous soutient pas, le pays va droit dans le mur », avance María Gloria Paz Tambare. Un message qui s'est peu à peu imposé dans la campagne électorale. Ainsi, Samuel Doria Medina et Jorge Quiroga, les deux candidats d'opposition en tête des sondages, proposent de faciliter les exportations de l'agrobusiness, de favoriser le développement technologique de ces secteurs et admettent qu'il faudra étendre la frontière agricole pour permettre leur développement. Et même chez les candidats se revendiquant de gauche, aucun n'ose remettre en cause cette idée. « Les candidats ont très peur de se fâcher avec l'agro-industrie bolivienne. Ils redoutent d'avoir une image qui va à l'encontre du secteur privé et d'être associés à des pays comme le Venezuela, l'Équateur ou Cuba », explique Stasiek Czaplicki, économiste environnemental, spécialisé sur la déforestation et les incendies. Et de rappeler que l'idée de résoudre la crise économique via le développement du secteur de l'agrobusiness n'est pas nouvelle : « Ça a déjà été fait dans les années 1980, dans les années 1950 et à d'autres moments de l'Histoire bolivienne ». Augmentation probable de la déforestation Mais du côté de la Centrale indigène Paikoneka, qui regroupe une soixantaine de communautés autochtones à San Javier, ces propositions inquiètent. « Nous avons analysé les programmes des différents candidats et il n'y en a pas un en faveur des droits des peuples indigènes ou de l'environnement », s'alarme Brian Baca Talamas, coordinateur des pompiers volontaires de l'organisation indigène. En effet, renforcer la place de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle dans l'économie revient à continuer à agrandir la frontière agricole dans l'est de la Bolivie. En clair, cela favorisera la déforestation et les incendies alors qu'en 2024, le pays était le deuxième pays au monde avec le plus de forêts primaires au monde, derrière le Brésil, et que les incendies ont ravagé plus de 12 millions d'hectares, l'équivalent de quatre fois la superficie de la Suisse. Des conséquences écologiques vues comme des dommages collatéraux par les candidats. « S'il y a contradiction entre l'environnement et la production, je choisirai la production », a ainsi déclaré Samuel Doria Medina fin juin. Quant à Jorge Quiroga, il est rappelé dans la section environnement de son programme qu'une extension de la frontière agricole sera forcément nécessaire. « Tout le monde veut des solutions à la crise. Les candidats et une grande partie de la population sont prêts à voir une dégradation écologique si cela permet une amélioration économique », analyse Stasiek Czaplicki. L'année dernière, une vingtaine de communautés de l'organisation ont été touchées par les incendies historiques qui ont ravagé le pays. L'une de leurs peurs est que les incendies continuent de s'aggraver si des mesures favorables à l'agrobusiness sont prises. Pour s'y opposer, la Centrale indigène Paikoneka prépare déjà l'après-élection. « Nous sommes tous unis, les peuples des terres basses, pour qu'après le 17 août, nous fassions une manifestation pour exiger que l'on respecte nos territoires indigènes et nos droits », indique María Suárez Macoñó, l'une des dirigeantes de l'organisation. Entre crise économique, mesures d'austérité pour y mettre fin et recul écologique, les prochaines années s'annoncent difficiles pour la population bolivienne. À lire aussiBolivie: des électeurs dénoncent leur inscription à leur insu dans des partis politiques
Ce programme est financé par les amis et partenaires du ministère de Joyce Meyer. C'est dangereux de dire du mal de soi de sa propre bouche, parce que cela ouvre une porte à l'ennemi. Je suis Joyce Meyer et je crois que Dieu peut vous guérir partout où vous avez...
durée : 00:03:06 - Le Billet de François Morel - par : François MOREL - Le Bon Dieu a des états d'âme. Aujourd'hui, Il est content. Depuis que l'église Sainte-Rita, dans le quinzième arrondissement de Paris, est devenue une salle d'escalade, ses fidèles, plus qu'autrefois, réussissent à se rapprocher du ciel. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le lundi 11 août et nous fêtons Saint Claire, disciple et amie de Saint François d'Assise, fondatrice de l'ordre des Clarisses.Aujourd'hui, en cette fête de Saint Claire, qui a contemplé le Christ et qui s'est sentie appelée à une vie de pauvreté et de simplicité, je demande la grâce de me débarrasser de tout ce qui encombre ma vie pour contempler davantage notre Dieu... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Prière de sainte Claire d'Assise : Va tranquille et en paix de Claire d'Assise, André Gouzes interprété par Ensemble vocal Capella Sylvanensis - Chantons en Église - 50 chants pour prier avec saint François © ADF-Bayard Musique ; L''''Infidèle suite (sarabande) de Sylvius Leopold Weiss interprété par Paul Berget - SL Weiss on 11 Strings © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
C'est une chose de savoir que nous ne devrions pas nous inquiéter, c'en est une autre d'être reconnaissants pour cette vérité et d'effectivement arrêter de s'inquiéter. Une chose qui m'a finalement permis de me débarrasser de l'inquiétude a été de me rendre compte à quel point s'inquiéter était inutile. Permettez-moi de vous poser quelques questions : combien de problèmes avez-vous résolus par l'inquiétude ? Estce que quoi que ce soit s'est déjà amélioré suite à vos inquiétudes ? Bien sûr que non. Dès que vous commencez à vous inquiéter ou à vous sentir anxieux, abandonnez vos soucis à Dieu en prière. Déchargez-vous de ce poids et faites entièrement confiance à Dieu qui soit vous montrera comment agir, soit agira lui-même. La prière est une force puissante contre l'inquiétude. Je me souviens d'un vieux refrain gospel intitulé « Pourquoi vous inquiéter lorsque vous pouvez prier ? » Lorsque vous êtes sous pression, il est toujours préférable de prier au sujet de votre besoin au lieu de vous inquiéter ou de vous plaindre. Père, je te suis reconnaissant parce que je n'ai pas besoin de mener une vie pleine d'inquiétudes. Je te remercie, car je peux venir vers toi en prière dès que je commence à m'inquiéter et je peux me décharger sur toi de mes soucis. Aide-moi à faire le choix judicieux d'arrêter de m'inquiéter et de commencer à te faire confiance aujourd'hui. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
Culte protesdtanbt du dimanche 10 août 2025 à Saint Pierre de Genève by Je cherche Dieu
Dieu vous a choisi pour lui expliquer l'amour
Điều gì thúc đẩy Hà Lan tạo nên những kỳ tích thay đổi thế giới? | Thế GiớiVideo này được chuyển thể từ bài viết gốc trên nền tảng mạng xã hội chia sẻ tri thức Spiderum
Dieu va se manifester puissamment cette année, comme le Seigneur du temps et de l'espace. Il manipulera le temps en votre faveur et il transcendera l'espace. Alors est-il possible, Pasteur Prince, si vous avez perdu quelque chose, que Dieu renverse le temps ? Oui, la Bible nous le promet. En...
Rubrique:nouvelles Auteur: clement-caraguel Lecture: Daniel LuttringerDurée: 30min Fichier: 21 Mo Résumé du livre audio: « Ne regrettez point de n'avoir pas vu mon visage, peut-être ne m'auriez-vous pas aimée. Les fantômes perdent bien souvent à être regardés de trop près. Quand vous reverrez votre soeur, embrassez-la pour moi. Dieu lui a donné la beauté. Hélas! être belle,c'est presque être heureuse." Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Tanya - La parnassa de Dieu (N°80 -par le rav Aaron Bitton) by Rav David Touitou
durée : 00:49:17 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - En septembre 1972, après l'attaque terroriste palestinienne ayant tué onze athlètes israéliens aux J.O. de Munich, la 1ère ministre Golda Meir et les plus hauts responsables de l'État hébreu se lancent dans une chasse sans répit pour neutraliser tous ceux qu'ils estiment coupable de la tragédie. - invités : Yvonnick Denoël - Yvonnick Denoël : Historien - réalisé par : Stéphane COSME Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Liturgie du dimanche 10 août 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouvez tous les épisodes du podcast Un beau jour de Famille Chrétienne ici : Un beau jour, le podcast des croyants dont la vie a été bouleversée par un évènement imprévu !Inès Rouy, avec son mari Bruno, a vécu l'épreuve de l'attente d'un enfant qui n'arrive pas... pendant 15 longues années. Une période faite d'espoir fou et de déceptions cruelles, marquée par six fausses couches successives, mais vécue, malgré tout, dans la foi en la bonté de Dieu. Puis, un beau jour, alors qu'ils avaient mis de côté ce projet d'avoir un enfant et décidé de se mettre au service de l'Eglise au sanctuaire Notre-Dame de Verdelais à proximité de Bordeaux, leur fils Philibert est arrivé, miraculeusement. Un chemin d'abandon et de foi qu'elle raconte comme un témoignage de l'action de Dieu dans nos vies.-----------Ce podcast est réalisé par Famille ChrétienneNos autres podcasts :
Une réception en son honneur
Pascal Denault - Psaume 40 RÉSUMÉ: Pour bien comprendre le Psaume 40, nous utiliserons 1 Samuel 15 comme arrière-plan historique : l’échec de Saül, roi désobéissant, met en lumière le besoin d’un roi fidèle, pleinement soumis à la volonté de Dieu. Ce contexte prépare l’entrée de David, figure du Messie à venir. Ce psaume trouve son plein accomplissement en Jésus-Christ, comme le souligne Hébreux 10 : il est le roi obéissant, le prêtre parfait qui s’offre lui-même en sacrifice, et le prophète qui proclame la justice de Dieu dans l’assemblée. Le Psaume 40 nous présente ainsi le Christ dans ses trois offices, à travers une dynamique de gloire et d’humiliation : - Comme roi, il règne par l’obéissance et conduit son peuple hors du gouffre vers le roc (v.1-3). - Comme prêtre, il offre son propre corps, accomplissant la volonté de Dieu à la place des sacrifices d’animaux (v.6-8). - Comme prophète, il proclame la justice et la vérité de Dieu devant la grande assemblée (v.9-10). Enfin, nous chercherons les applications de ce psaume pour les croyants unis à Christ, appelés à marcher à sa suite dans l’obéissance. PLAN: 1. Le Christ glorifié (v.1-6) 2. Le Christ Roi, Sacrificateur et Prophète (v.7-12) 3. Le Christ humilié (v.13-18) QUESTIONS: 1. Comment l'arrière-plan de ce psaume vient-il éclairer notre compréhension? 2. De quelle façon la gloire de Christ est-elle présentée dans les versets 1-6? 3. Quel est l'effet de la délivrance obtenue par Christ parmi les hommes? 4. Comment les versets 7-9 s'appliquent-ils à David? 5. Comment l'Épître aux Hébreux applique-t-elle ces versets à Christ? 6. De quelle façon l'office prophétique de Christ est-il présenté? 7. Comment faut-il comprendre le renversement de la dernière strophe? 8. Qu'en est-il des ennemis et des amis de Christ? 9. Quelles applications pouvons-nous faire de ce psaume? Lectures complémentaires: 1 Samuel 15 ; Hébreux 10.1-18
En Syrie, la situation humanitaire s'est dégradée dans le sud du pays suite aux violents affrontements qui ont opposé les factions armées druzes, les clans bédouins et la sécurité générale du gouvernement. Les combats ont repris, dans la nuit du dimanche 3 août 2025, tuant deux personnes, et ce, malgré le cessez-le-feu du 20 juillet. Deux semaines après sa signature, la ville de Soueïda, fief de la communauté druze, vit comme assiégée et connaît de lourdes pénuries. Près de 173 000 personnes, en majorité bédouine, ont fui la ville pour trouver refuge dans la province voisine, à Deraa. Notre correspondante en Syrie, Manon Chapelain, les a rencontrées dans la ville d'Izra. De notre envoyée spéciale à Deraa, L'école d'Izra a été transformée en refuge. À terre, des dizaines de matelas ont été disposés entre des sacs de vêtements. Çà et là, quelques jouets d'enfants. Quatre-vingts familles du village de Sharbaa, tous des Bédouins, ont été déplacés là. De sa famille, Khitam, 18 ans, elle, n'a plus que son père. Les autres membres de la famille ont été tués par des milices druzes lors des derniers affrontements sectaires : « Ils nous ont tous tirés dessus. J'ai mis mes mains sur mon visage, pour me cacher. L'un d'eux a dit " Cette fille n'est pas morte ". Ils allaient me tirer dessus pour m'achever, mais un autre a répondu " laissez-la, laissez-la saigner, elle va mourir toute seule". » « Regardez, j'ai été blessée ici par balle, j'ai une fracture. J'ai aussi des éclats d'obus, dans la main et dans la jambe. » Coincé dans un fauteuil roulant, Khitam montre ses blessures recouvertes de pansements. Son père tente de la rassurer, mais au fond, dit-il, c'est peut-être moi le plus inquiet.« Ils ont déplacé tous les Bédouins, ceux qui étaient impliqués dans les combats comme ceux qui ne l'étaient pas. Notre seul tort aujourd'hui, c'est d'être sunnite. Désormais, ils ne veulent que des Druzes à Soueïda. La coexistence, je crois, est impossible avec la présence des factions d'Al-Hijri. » À lire aussiSyrie-Liban: les Druzes face à un tournant historique Dans la salle d'à côté, un homme allongé à terre, la jambe immobilisée, fait défiler des vidéos des exactions des semaines passées : « Regardez la tête de l'enfant. Regardez jusqu'où elle a volé. » Ici, un petit garçon, la tête arrachée par une déflagration. Là, une jeune fille, les yeux cernés, victime d'un traumatisme crânien après avoir été violemment frappée. Elle a été transférée à l'hôpital de Damas. L'un des hommes veut de ses nouvelles, passe un appel : « Nous avons appris qu'elle était décédée. Est-ce exact ? Dieu merci, comment va-t-elle ? » Une femme lui a répondu qu'elle était en vie. Un groupe de volontaires entre dans la petite école, prend les noms, distribue un à un de maigres dons. De la nourriture, de l'argent, quelques savons. C'est bien, mais pas suffisant, soupire Mouna, 60 ans : « Sans vouloir vous offenser. On se sent humilié ici. À Soueïda, notre ville natale, nous avions une vie digne. Nous étions honorés et respectés. » À son tour, la vieille dame raconte. À Soueïda, j'avais des champs, dit-elle, des tracteurs, une grande maison. Ici, nous sommes réduits à attendre l'arrivée des dons : « Ils nous ont donné des matelas et nous apportent de la nourriture. Mais malheureusement, cela ne répond pas à tous nos besoins. Nous sommes des humains, pas du bétail. » Nous ne sommes pas du bétail, répète-t-elle. Mais peut-être vaut-il mieux cela que de vivre dans l'insécurité ou pire, être tué. À lire aussiSyrie: «J'essaye de puiser la force de réagir», assure l'épouse d'un Franco-Syrien tué à Soueïda
Qu'on les dise aux autres ou qu'on se les dise à soi-même, les gros mots ont le don de nous soulager. On les lâche par réflexe, sans penser à leur sens. Mais peut-être, avez-vous remarqué qu'ils sont tous liés à une transgression des bonnes moeurs, et dans la langue française, c'est très souvent lié à Dieu, aux excréments et à la sexualité, surtout de la femme. Comment ça ? Quelles sont les origines ? Pourquoi de telles références ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Antonella Francini. À écouter aussi : Qu'est-ce que la méthode du scent scaping ? Qu'est-ce que la théorie du pot de yaourt dans un couple ? Qu'est-ce que le “bodycount” qui fait débat sur TikTok ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 3 août 2025 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Nous parlons ce matin de l'importante de la diaspora des mourides, une confrérie musulmane sénégalaise. Lundi dernier, des organisations de la diaspora ont célébré le Bamba Day. Un hommage rendu à Cheikh Ahmadou Bamba, le fondateur de la confrérie. Le 13 août, surtout, les fidèles mourides pratiqueront le grand magal, le pèlerinage annuel dans la ville sainte de la confrérie, Touba. C'est l'occasion pour nous de nous plonger dans un ouvrage qui vient de paraître : La Mouridiyya en marche : islam, migration et implantations, publié par les Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme. Le livre revient sur l'expansion internationale de la confrérie et en analyse certaines conséquences. Son auteur Cheikh Anta Babou est l'invité de Laurent Correau. RFI : Qu'est-ce qui explique l'importance de la diaspora et de l'émigration dans le mouridisme ? Pourquoi est-ce qu'on associe si souvent cette image du mouridisme à ces réseaux diasporiques ? Cheikh Anta Babou : Ce qui fait l'importance de cette diaspora mouride, c'est un phénomène imprévu. Les mourides, qui étaient un peu considérés comme des sédentaires naturels, des conservateurs qui sont perdus dans la modernité, ont profité de cette modernité qui n'était pas faite pour eux. Ils ont migré dans les villes de plus en plus, en grand nombre. Ils se sont installés, ils ont pris l'économie informelle. Et quand les conditions se sont présentées, ils ont quitté le Sénégal pour l'Afrique occidentale, pour l'Europe et maintenant pour les États-Unis dans les années 80. Donc comment ont-ils réussi à domestiquer cette modernité et à en profiter pour devenir une diaspora globale ? Et qu'est-ce qui l'explique selon vous ? Ce qui l'explique, c'est la mobilité avec Ahmadou Bamba. … Cheikh Ahmadou Bamba, le fondateur du mouridisme. Effectivement. Vous savez que dans sa saga, la mobilité joue un rôle important. Ses exils, d'abord au Gabon où il a passé sept ans… il s'exile en Mauritanie… Les exils, au niveau du Sénégal. Donc c'est une certaine aura qui accompagne cette mobilité. Autre chose qui s'est développé : vous allez avoir des dahiras, ces organisations urbaines mourides. Ces dahiras ont été formés au Sénégal dans les années 40, dans les villes, originellement comme une organisation qui aide à développer, à préserver l'identité mouride menacée par la modernité occidentale dans les villes. Et quand les mourides ont voyagé, ils ont voyagé avec ces dahiras. Ce qui est intéressant avec ces dahiras, c'est qu'ils aident la religion à voyager. Ils donnent une mobilité à la culture mouride. Une fois à Paris, une fois à New York, une fois à Abidjan ou ailleurs, ces dahiras deviennent le creuset où les mourides se retrouvent chaque semaine, où la sociabilité mouride est développée, où les événements religieux sont célébrés. Donc cette sociabilité mouride, d'une certaine manière, est ancrée autour de ce creuset, le dahira mouride. Vous avez aussi une réflexion intéressante dans votre ouvrage sur la question de la deuxième génération et la façon dont cette deuxième génération vit la foi mouride. Qu'est-ce qui se passe avec la génération qui n'est pas celle des premiers migrants, mais celle de leurs enfants ? Vivre sa religion dans la diaspora est chère. C'est un investissement lourd en termes financiers, mais aussi en termes de temps, en termes d'émotion. Et beaucoup de ces parents, maintenant, se demandent, est-ce que mes enfants auront cette volonté d'avoir cet investissement que nous, nous avons produit pour que l'amour de Dieu continue à se perpétuer ? C'est la grande question. Mais il y a même des mourides moins jeunes qui commencent à s'interroger, surtout ce qu'on appelle les professionnels. Ils ne peuvent pas faire ces réunions sociales avec le dahira. Les investissements financiers ne posent pas de problème, mais pour la plupart de ces gens-là, c'est le temps à consacrer à ces événements qui pose problème. De sorte que la plupart d'entre eux se disent « je peux être mouride autrement. C'est-à-dire, je peux apprendre les khassaïdes de Serigne Touba chez moi. Pas nécessairement en communauté, comme c'est l'habitude dans les dahiras. Mais je peux également nouer une relation personnelle avec Ahmadou Bamba à travers ses ouvrages plutôt qu'avec sa descendance. C'est-à-dire ce lien-là qui se base sur la généalogie est en train de se déliter un tout petit peu. Les gens se disent « je peux être mouride sans me soumettre à un cheikh qui est un descendant d'Ahmadou Bamba », comme de tradition dans la mouridiyya. Ils se disent « je peux lire les khassidas, essayer de modeler ma vie par rapport à la vie d'Ahmadou Bamba. Quand je vais au Sénégal, je vais sur sa tombe, je prie chez lui et je prie sur sa tombe et pour moi, c'est suffisant. » Vous diriez qu'on voit une foi individuelle se développer un peu plus dans cette deuxième génération ? Dans cette deuxième génération où vous gérez vous-même cette foi… au lieu de la donner à gérer à la Communauté elle-même. Est-ce que les circulations entre Touba, la ville sainte des mourides et toutes ces villes de l'étranger, toutes ces terres d'immigration ont créé quelque chose ? Cette diaspora mouride est en train d'avoir un impact extrêmement important. Les mourides ont produit une culture mouride qui n'est pas celle qu'ils ont quitté au Sénégal. Il y a par exemple ce que les mourides appellent les « khassidas days ». … Les khassaïdes, ce sont les poèmes de Cheikh Ahmadou Bamba Oui, les poèmes d'Ahmadou Bamba… Ils ont ce qu'ils s'appellent les khassidas days. C'est-à-dire une journée où différents groupes de dahiras se regroupent et chantent les khassidas toute la journée jusqu'à la nuit. Et ça, c'est du nouveau. C'est la solidarité diasporique. Mais cette solidarité a été réexportée au Sénégal où les gens font également leur khassida day. Mais également même sur l'investissement. Vous avez maintenant des ONG, des dahiras qui ne sont plus des dahiras classiques, mais des ONG. Il y en a un, Matlaboul Fawzeyni, qui a construit un hôpital. Ces mourides qui vivaient dans les zones rurales qui ont migré à Touba et par la suite ont migré en Europe ou en Amérique se sont rendus compte qu'ils ont besoin d'installations sanitaires modernes pour leurs parents qu'ils ont laissés derrière. Ils se disent, mais pourquoi pas investir sur ça ? Donc, ils ont construit le premier hôpital moderne au niveau de Touba et ils continuent à investir, par exemple sur l'éclairage public, sur l'assainissement. Ça ce sont des choses qui sont absolument nouvelles. Et l'argent qu'ils envoient également au Sénégal, qui est assez substantiel, tout cela également a un impact non seulement sur la mouridiyya, mais sur le Sénégal en général. À lire aussiSur les traces de l'exil de Cheikh Ahmadou Bamba (1/2)
L'auteur compositeur interprète franco-syrien publie un récit de son parcours de vie, dédié à la poésie et à la musique. Abed Azrié nous raconte son parcours passionnant depuis la Syrie natale. Élevé par une mère qui « voyait la couleur et le printemps en tout, elle a planté en nous le verbe « aimer », Abed est très tôt fasciné par les instruments de musique. À huit ans, enfant de chœur, il voulait jouer de l'orgue à l'église, et chaque dimanche, courait les messes des différents rites, byzantine, catholique, orthodoxe, chaldéenne, syriaque, arménienne, latine et protestante. Son arrivée à Paris, en 1965 à l'âge de dix-neuf ans, marque le début de sa formation musicale. Il intègre l'école Martenot puis l'école normale de musique, apprend la langue en traduisant de la poésie française vers l'arabe, et devient un chanteur et compositeur incontournable, qui renouvelle la musique orientale. Son parcours est semé de rencontres incroyables qui ont illuminé son chemin, sa mère, ses sœurs, le père Balian, Maurice Martenot, Jean Picart le Doux, sa découverte des auteurs soufis et la mythologie mésopotamienne, sa rencontre avec Pierre Petit, Adonis, Nadia Boulanger, Ziryâb, Omar Khayyâm, Goethe, Gilgamesh, Sargon, Jeanine et Jacques Guipon... Abed Azrié nous ouvre les pages de son histoire, ses grands-parents et leur fuite à Alep en 1915 lors du génocide des Arméniens, mêlée à ce qui l'inspire : les musiques, les mythes et légendes mésopotamiennes, les religions monothéistes, leurs récits et leurs archétypes. « Une vie entière pour apprendre cette phrase de Gilgamesh : Se renouveler en permanence ». « Pour la musique, le chant, fidélité d'en deçà et de toujours, merci Abed Azrié. » - René Char « Abed Azrié est un merveilleux chanteur et auteur. » - Léonard Cohen Abed Azrié (né en 1946) est un compositeur et chanteur franco-syrien, traducteur et écrivain de langues française et arabe. Auteur d'une vingtaine d'albums, de plusieurs musiques de films et de différents livres, il a notamment traduit «L'Épopée de Gilgamesh» qu'il a mise en musique et chantée, ainsi que «L'Évangile selon Saint-Jean». Titres diffusés : La Parole, extrait de l'Évangile selon Saint-Jean (2009). L'œuvre est composée de 44 courtes scènes chantées. « Telles des miniatures, des fragments d'un rêve lointain et des épisodes successifs de vie transcrits en musique », écrit Abed Azrié dans le livret accompagnant ce coffret de deux CD. Le Souffle de la Brise, extrait de Mystic (2007). L'Amour Soufi est avant tout un chemin de connaissance ; il n'est pas simplement sentiment ou émotions, mais il est la chaleur d'un feu divin dont la lumière est la « Gnose » ; un feu dont l'étincelle brille au plus profond de l'âme humaine. La pensée des Soufis qui trouve Dieu dans toute chose, nous conduit à l'amour entre le divin et l'humain, mais également entre l'humain et l'humain. Elle nous conduit à l'unité des religions en une seule dite « religion de l'amour », selon l'expression d'Ibn Arabi, car chaque croyant adore son Dieu qui n'est en fin de compte que l'une des manifestations du Dieu Unique ; celui qui est proclamé dans toutes les prières depuis le commencement de la vie jusqu'à la fin des temps. Le mysticisme exprime la dimension spirituelle de la religion. - La Femme, extrait de «L'Épopée de Gilgamesh», version live. - Croyance, extrait de «Chants d'amour et d'ivresse» (1999) - Entre Esperanza y Deseo, extrait de «Suerte» (1994) - Unvermeidlich (inévitable), extrait de «Hâfez et Goethe» (2013). YouTube.
L'auteur compositeur interprète franco-syrien publie un récit de son parcours de vie, dédié à la poésie et à la musique. Abed Azrié nous raconte son parcours passionnant depuis la Syrie natale. Élevé par une mère qui « voyait la couleur et le printemps en tout, elle a planté en nous le verbe « aimer », Abed est très tôt fasciné par les instruments de musique. À huit ans, enfant de chœur, il voulait jouer de l'orgue à l'église, et chaque dimanche, courait les messes des différents rites, byzantine, catholique, orthodoxe, chaldéenne, syriaque, arménienne, latine et protestante. Son arrivée à Paris, en 1965 à l'âge de dix-neuf ans, marque le début de sa formation musicale. Il intègre l'école Martenot puis l'école normale de musique, apprend la langue en traduisant de la poésie française vers l'arabe, et devient un chanteur et compositeur incontournable, qui renouvelle la musique orientale. Son parcours est semé de rencontres incroyables qui ont illuminé son chemin, sa mère, ses sœurs, le père Balian, Maurice Martenot, Jean Picart le Doux, sa découverte des auteurs soufis et la mythologie mésopotamienne, sa rencontre avec Pierre Petit, Adonis, Nadia Boulanger, Ziryâb, Omar Khayyâm, Goethe, Gilgamesh, Sargon, Jeanine et Jacques Guipon... Abed Azrié nous ouvre les pages de son histoire, ses grands-parents et leur fuite à Alep en 1915 lors du génocide des Arméniens, mêlée à ce qui l'inspire : les musiques, les mythes et légendes mésopotamiennes, les religions monothéistes, leurs récits et leurs archétypes. « Une vie entière pour apprendre cette phrase de Gilgamesh : Se renouveler en permanence ». « Pour la musique, le chant, fidélité d'en deçà et de toujours, merci Abed Azrié. » - René Char « Abed Azrié est un merveilleux chanteur et auteur. » - Léonard Cohen Abed Azrié (né en 1946) est un compositeur et chanteur franco-syrien, traducteur et écrivain de langues française et arabe. Auteur d'une vingtaine d'albums, de plusieurs musiques de films et de différents livres, il a notamment traduit «L'Épopée de Gilgamesh» qu'il a mise en musique et chantée, ainsi que «L'Évangile selon Saint-Jean». Titres diffusés : La Parole, extrait de l'Évangile selon Saint-Jean (2009). L'œuvre est composée de 44 courtes scènes chantées. « Telles des miniatures, des fragments d'un rêve lointain et des épisodes successifs de vie transcrits en musique », écrit Abed Azrié dans le livret accompagnant ce coffret de deux CD. Le Souffle de la Brise, extrait de Mystic (2007). L'Amour Soufi est avant tout un chemin de connaissance ; il n'est pas simplement sentiment ou émotions, mais il est la chaleur d'un feu divin dont la lumière est la « Gnose » ; un feu dont l'étincelle brille au plus profond de l'âme humaine. La pensée des Soufis qui trouve Dieu dans toute chose, nous conduit à l'amour entre le divin et l'humain, mais également entre l'humain et l'humain. Elle nous conduit à l'unité des religions en une seule dite « religion de l'amour », selon l'expression d'Ibn Arabi, car chaque croyant adore son Dieu qui n'est en fin de compte que l'une des manifestations du Dieu Unique ; celui qui est proclamé dans toutes les prières depuis le commencement de la vie jusqu'à la fin des temps. Le mysticisme exprime la dimension spirituelle de la religion. - La Femme, extrait de «L'Épopée de Gilgamesh», version live. - Croyance, extrait de «Chants d'amour et d'ivresse» (1999) - Entre Esperanza y Deseo, extrait de «Suerte» (1994) - Unvermeidlich (inévitable), extrait de «Hâfez et Goethe» (2013). YouTube.
Comme c'est l'été, et que ça fait déjà plus de deux ans que ce podcast existe, je vous propose quelques rediffusions des épisodes qui vous ont le plus touchés. ☀️
Thème: Le vase d'honneur de Dieu ou la chirurgie de l'âme par Maryse Le Mauff, fondatrice et présidente de l'association "Debout Resplendis"
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le vendredi 1er août et nous fêtons saint Alphonse de Liguori, patron de tous les confesseurs.Dans l'Évangile de ce jour, Jésus revient à Nazareth, là où il a grandi. Je peux demander la grâce d'entrer dans les sentiments... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Père, Seigneur du ciel et de la terre de GIlles du Boullay interprété par Communauté de l'Émmanuel - Musiques pour prier n° 5: Symphonie pour Dieu © Éditions de l'Émmanuel ; Habiter le seuil de ta maison de Chemin Neuf/Artemas interprété par Ensemble vocal Resurrexit - Chantons en Église - 24 chants pour les temps de l'Avent et de Noël © ADF-Bayard Musique.
Dans la première partie de Tazawudu-s-Sighâr, Cheikhoul Khadim enseigne le Tawhid, en abordant les fondements de la foi : la croyance en Dieu, aux Anges, aux Livres, aux Prophètes, au Jugement dernier et au Décret divin.
« On ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien » (Mt 13, 47-53)Méditation par la Pasteure Héléna VicarioChant Final : "Le royaume de Dieu" du Groupe de prière abbaRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:53:46 - Questions d'islam - par : Ghaleb Bencheikh - L'adab est pour le musulman une règle de vie mais aussi le " régulateur " de toute sa vie dans tous ses domaines et à tous ses degrés. En quoi l'adab représente-t-il un facteur d'harmonie et d'équilibre lui permettant d'être en accord avec lui-même, avec Dieu et avec le monde manifesté ? - réalisation : François Caunac - invités : Denis Gril Islamologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université et membre de l'Institut de recherches et d'études sur le monde arabe et musulman.
La question de cet épisode vient d'un auditeur qui fait face à des difficultés pour vendre sa maison, et se demande si cela pourrait être lié à une aura particulière qu'elle dégage. Il a aussi entendu parler d'une pratique qui consiste à faire harmoniser sa maison et s'interroge: est-ce possible pour une maison chrétienne? Que faut-il en penser?
VDVV-1825_1062 -Xin Thay Cho Biet Cam Nghi Cua Thay Doi Voi Ong Tu -Dieu Sao Thien Su.mp3PodCast ChannelsVô Vi Podcast - Vấn Đạo Vô Vi Podcast - Băn GiảngVô Vi Podcast - Nhạc Thiền