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Ceci est une rediffusion de l'épisode 231 avec Héloïse JunierCet épisode a été enregistré en live le samedi 8 février, pour notre premier évènement, vous avez donc le son qui diffère un peu, vous avez l'ambiance, les interactions et questions réponses.C'était un moment privilégier et exceptionnel.J'espère que vous prendrez autant de plaisir à l'écouter que l'on a pris de plaisir à le réaliser.On va parler des dynamiques des relations entre frères et sœurs. On parle des différentes configurations, mais aussi des enfants uniques, et de familles recomposées.Je vous souhaite une très bonne écoute.LIENS DE L'ÉPISODE :Frères et soeurs : Une histoire de complicité et de rivalité, Héloïse Junier
Prime Minister Binyamin Netanyahu confidante Ron Dermer positioned Evangelicals five year ago as Israel's most reliable supporters, more reliable than American Jews. Today, Mr Dermer is gone. He resigned in November as strategic affairs minister and the prime minister's point man on Gaza, Lebanon, Syria, and Iran. Gone too is Evangelical reliability with many young Evangelicals and members of President Donald Trump's Make America Great Again or MAGA support base rejecting the long-standing notion that the United States and Israel's national interests overlap. “This train has left the station. It's not coming back, especially with the younger generation,” said Republican Congresswoman Marjorie Taylor Greene, an Evangelical conspiracy theorist, who during the Covid epidemic compared masks to the yellow Star of David Nazis forced Jews to wear. Ms. Taylor Greene later apologised for her comment. Andrew Kolvet, a close associate of Charlie Kirk, the assassinated founder of Turning Point USA, an influential far-right youth organisation that has become a platform for the airing of differences in Mr. Trump's base suggests that “Israel has become a symbolic battle about: What does ‘America First' really mean?” Mr. Kolvet has taken over many of the Turning Point duties of Mr. Kirk, who was killed in September while addressing a gathering of the organisation.
Dès le lancement de son « opération militaire spéciale » (SVO) contre l'Ukraine, le 24 février 2022, le Kremlin, qui dispose de l'un des plus vastes arsenaux nucléaires au monde, a adopté des mesures de dissuasion agressives et une rhétorique résolument menaçante. Décryptage d'un possible emploi de l'arme nucléaire par Moscou, avec Dimitri Minic, chercheur à l'Institut français des Relations internationales (Ifri). [Rediffusion] RFI : Dès les premiers jours de la guerre, Moscou adopte une rhétorique nucléaire agressive. Quelle est sa stratégie ? Dimitri Minic : Le 24 février 2022, sa stratégie, c'est de prendre Kiev en quelques heures et au pire quelques jours, et de soumettre politiquement l'Ukraine. Quand Vladimir Poutine fait son discours sur l'opération militaire spéciale le 24 février, qui annonce son déclenchement, il fait une allusion à un emploi possible de l'arme nucléaire, face à ceux qui voudraient s'impliquer directement dans ce conflit pour aider l'Ukraine. Ce qui, au fond, a permis à la Russie d'éviter effectivement une escalade de la guerre locale en guerre régionale, impliquant d'autres pays, d'autres puissances, mais qui n'a pas suffi non seulement à dissuader effectivement l'Ukraine de résister, mais surtout qui n'a pas permis d'éviter le début d'un flux d'aide militaire à l'Ukraine. Et par ailleurs, ces menaces nucléaires russes n'ont pas permis d'empêcher l'instauration de sanctions économiques très importantes de l'Occident contre la Russie. Donc, c'est un succès relatif de la stratégie nucléaire russe, mais qui, en réalité, ne permet pas à la Russie d'isoler l'Ukraine de l'Occident, ce qui était son principal objectif. Mais il y a quand même une véritable inquiétude qui plane en Occident, puisque le nucléaire tactique fait partie de l'arsenal russe. Le nucléaire a été étendu à la guerre conventionnelle, en quelque sorte ? Oui, absolument. En fait, à la chute de l'Union soviétique, les élites militaires russes héritent d'une doctrine de non-emploi en premier. Et progressivement, elles se rendent compte que la théorie de la dissuasion et ses mécanismes étaient peu développés par rapport à ce qui existait en Occident. Dans les années 90, vous avez une grande période d'élaboration conceptuelle, de théorisation qui conduit l'armée russe, au plan théorique et doctrinal, à effectivement étendre la dissuasion nucléaire aux guerres conventionnelles de toute ampleur, locales, régionales et à grande échelle. Il y a un emploi possible de l'arme nucléaire, un emploi démonstratif, limité, censé mettre fin aux combats dans des conditions favorables à la Russie. On aurait pu se dire, puisque l'opération militaire spéciale est un échec pour la Russie, il est possible que ces concepts soient appliqués. Mais en réalité, cette doctrine exigerait des conditions qui ne sont pas du tout réunies dans la guerre en Ukraine. Pour que Moscou prenne des mesures de dissuasion nucléaire très claires, il faudrait par exemple un transfert des têtes nucléaires depuis les entrepôts centraux vers les unités, vers les bases. Un transfert démonstratif médiatisé qui montrerait que la Russie commence à penser sérieusement à employer l'arme nucléaire ou un essai nucléaire réel, ou d'autres types de mesures qui montreraient qu'elle a vraiment la volonté de le faire. Mais il faudrait qu'elle se trouve dans des conditions extrêmement graves. Il faudrait qu'elle soit en passe de perdre de manière irrémédiable face à un ennemi conventionnel, aidé par des États d'ailleurs dotés de l'arme nucléaire, qui non seulement aient envie de conquérir des territoires russes ou bien aient envie de changer le régime russe. À lire aussiRussie: Vladimir Poutine annonce une révision de la doctrine nucléaire et menace les Occidentaux On le voit au début de la guerre, les Américains vont sonder les Russes afin de savoir dans quelles conditions ils pourraient utiliser l'arme nucléaire. Absolument. Et à l'époque, Valeri Guerassimov répond qu'il y a trois conditions : l'utilisation d'armes de destruction massive contre la Russie, une volonté, une tentative de changer le régime, une déstabilisation profonde du régime provoqué par un État étranger. Et la troisième condition serait des pertes catastrophiques sur le champ de bataille. Et c'est intéressant parce que, à l'époque, à l'automne 2022, la Russie subit des pertes et surtout des revers militaires importants en Ukraine, dans le Donbass. Valeri Guerassimov, à ce moment-là, en évoquant ces trois conditions, abuse de son interlocuteur parce qu'il est évident que la Russie aurait pu compenser ses pertes assez rapidement et qu'elle a de telles réserves matérielles et humaines qu'il est très peu probable qu'elle recourt au nucléaire dans ce type de conditions loin d'être inacceptable ou en tout cas catastrophique pour elle. Vous identifiez trois failles théoriques et pratiques révélées par cette guerre en Ukraine de la doctrine nucléaire russe. Et l'une d'elles, c'est la limite de la dissuasion stratégique conventionnelle, avec les fameux missiles Kalibr, Kinjal, dont l'usage n'a pas produit l'effet escompté… Non, non, ça n'a pas fonctionné. Effectivement, la Russie débute la guerre en Ukraine avec une conception de la dissuasion qui est une conception très agressive, offensive, mais surtout inter-domaines. C'est à dire que la Russie ne conçoit pas la dissuasion comme quelque chose d'exclusivement nucléaire. La dissuasion russe concerne à la fois les domaines non militaires et subversifs, le domaine conventionnel, donc les forces conventionnelles et les armes conventionnelles et les forces nucléaires. Donc, la Russie n'a pas une vision exclusivement défensive de la dissuasion. Car, pour le dire rapidement, la Russie ne conçoit sa sécurité qu'à travers l'insécurité de ses voisins. Donc, cette situation stratégique échoue effectivement à trois niveaux. C'est d'abord l'échec du concept de contournement, pour permettre à l'État russe de gagner une guerre avant la guerre. En fait, il n'était pas question de déclencher une guerre à grande échelle, de longue durée et très meurtrière, mais plutôt de soumettre l'ennemi sans combat, ou en tout cas sans combat de grande ampleur. C'est aussi un échec des moyens et des méthodes psychologiques ou informationnelles, comme disent les Russes, puisqu'ils pensaient les Ukrainiens et les élites ukrainiennes complètement soumises, rendues apathiques par la Russie et ses manœuvres. Ça n'a pas été le cas. Ils pensaient que les Occidentaux avaient été anesthésiés par cette pratique psychologique ou informationnelle, qui vise non seulement à modifier la psyché des individus et des sociétés, mais en fait à transformer les individus et la société. Et donc surtout, ce que j'observe dans cette étude, c'est que la phase conventionnelle, a subi un échec important. Pourquoi : parce que les élites militaires russes et les élites politiques russes ont surestimé pendant 35 ans l'efficacité de ces moyens conventionnels. Parmi ces moyens conventionnels, effectivement, on a d'abord les forces générales, les exercices, les déploiements de forces aux frontières. Bon, ça n'a pas produit l'effet désiré. Ça n'a pas forcé l'Ukraine à capituler. Mais surtout, les armes modernes duales, donc, qui peuvent être à la fois équipées soit d'une tête nucléaire, soit d'une tête conventionnelle. Ces armes, le Kinjal, le Kalibr, l'Iskander, ont été utilisées sur le champ de bataille. On se rappelle le Kinjal, une arme hypersonique utilisée à un moment qui était censé être décisif pour la Russie, puisque c'était le moment des premières négociations entre l'Ukraine et la Russie en mars 2022, au moment où les Ukrainiens sont très réticents à accepter un accord très favorable à la Russie. Et la Russie emploie dans l'intervalle, au moment de ces discussions ultimes, le Kinjal sur le champ de bataille. C'était sa première utilisation opérationnelle, puis un deuxième deux jours plus tard, avant de se retirer du nord et de l'est de l'Ukraine. L'utilisation de ces missiles conventionnels confirmait en fait des vulnérabilités qui étaient identifiées par les militaires russes depuis les années 90 ! Il faut bien comprendre que la défense antimissile présente en Ukraine, d'origine occidentale notamment, a été efficace et a plutôt montré la surestimation que les élites militaires, russes et politiques russes avaient de l'efficacité de l'emploi de ces missiles contre des cibles stratégiques comme des bases aériennes, etc. Non seulement en termes d'ampleur, de nombre indispensable pour détruire une cible stratégique, mais en plus la vulnérabilité des vecteurs. On voit bien que la Russie a fait face à un ISR, c'est à dire un renseignement occidental qui a été puissant et efficace. Cette double vulnérabilité, à la fois la difficulté à détruire des cibles stratégiques avec ces missiles modernes et en même temps la difficulté à protéger leur plateforme de lancement, ça tend à remettre en question, même partiellement, cette stratégie de frappes nucléaires limitées dont je parlais tout à l'heure, avec un missile unique. Donc, on voit bien que d'un point de vue technique, c'est un affaiblissement. Et les excès rhétoriques de Dmitri Medvedev (vice-président du Conseil de Sécurité de Russie au discours violemment anti-occidental, NDLR), de Ramzan Kadyrov (président de la République de Tchétchénie, un proche de Vladimir Poutine, NDLR) également, ont abîmé la dissuasion nucléaire russe ? À force de crier au loup et à menacer d'hiver nucléaire, l'Occident, ça ne prend plus ? Absolument. Parce que la Russie, dès qu'elle entre dans le conflit, produit une rhétorique nucléaire extrêmement agressive, mais dans les faits, les mesures qu'elle prend concrètement pour accompagner cette rhétorique nucléaire sont très modérées. Donc, vous avez un décalage très fort entre ce que la Russie dit, et ce que la Russie fait vraiment. Ça n'est pas une nouveauté en Russie. Sur quoi s'appuie cette pratique, ce décalage ? Il est dû à une culture stratégique, c'est à dire que la Russie considère que l'Occident est faible, lâche et déliquescent et qu'il est sensible aux menaces, qu'il a peur du nucléaire et qu'il cédera en réalité. Ils estiment qu'une frappe nucléaire unique, démonstrative, limitée sur le théâtre, obligera, forcera finalement les Occidentaux à rentrer chez eux et à demander pardon. Ils ne sont pas vraiment revenus de ça. Effectivement, ce décalage au bout d'un moment pose un problème. Vous ne pouvez pas hurler dans tous les médias que vous avez au moins dix lignes rouges et ne rien faire. Des officiers supérieurs généraux de l'armée russe ont expliqué en 2023-2024, ils ont eu un mot que je trouve très drôle, « Les lignes rouges russes ont rougi de honte », ajoutant « Les Occidentaux nous ont devancés de 8 à 10 pas dans l'escalade et nous, on les regarde ». Dans l'armée russe, il y a une forme d'incompréhension de l'attitude de la Russie. C'est à dire qu'ils sont tous d'accord pour maintenir cette rhétorique agressive, mais ils veulent qu'elle soit accompagnée de mesures pratiques, concrètes. Donc ce décalage a affaibli la crédibilité de la dissuasion nucléaire russe et ça a conduit les Occidentaux à poursuivre leur aide à l'Ukraine et même à l'intensifier. Aujourd'hui, la dissuasion nucléaire russe commence à s'adapter en entreprenant des actions beaucoup plus concrètes. On a évidemment la décision de transférer des armes nucléaires tactiques en Biélorussie. On a beaucoup d'autres actions de ce type. Il y a aussi la publication de la nouvelle doctrine nucléaire russe en novembre 2024, qui est une mesure de dissuasion en réalité. Il faut bien le comprendre, ça aussi. RFI : Et quel est le nouveau message adressé à l'Ouest, à l'Europe et à l'OTAN ? C'est de faire des démonstrations de force sérieuses. Un général russe important propose de rejouer le scénario cubain (crise des missiles de Cuba 1962, NDLR). Donc il y a une volonté de faire une démonstration claire de la force militaire nucléaire. Et à chaque fois qu'une ligne rouge est franchie, d'avoir une réponse nucléaire ou conventionnelle. Les militaires russes pensent aussi que les réponses conventionnelles doivent être beaucoup plus violentes, beaucoup plus fortes. Et cette dissuasion conventionnelle, en fait, ils en ont fait la démonstration avec le tir de missiles balistiques à portée intermédiaire. Ce tir d'Orechnik (Le 9M729-Orechnik, littéralement « noisetier », est un missile balistique russe à portée intermédiaire, NDLR) fait suite à la publication de la nouvelle doctrine nucléaire, qui elle-même s'inscrit dans ce que la Russie perçoit en 2024 comme une logique d'escalade continue. C'est aussi une réponse au discours d'Emmanuel Macron sur de possibles troupes au sol en Ukraine. Et n'oubliez pas, le plus important, en 2024 commence la levée de toutes les interdictions de l'administration Biden sur l'utilisation par l'Ukraine d'armes de fabrication américaine, non seulement à la frontière russe, mais en fait progressivement sur tout le territoire russe. Puis une autre séquence s'ouvre puisque Donald Trump arrive au pouvoir. À lire aussiRoyaume-Uni: les bonnes intentions envers l'Ukraine lors de la «coalition des volontaires» RFI : Qu'est-ce que change l'arrivée de Donald Trump pour la dissuasion nucléaire russe ? On a l'impression d'avoir changé de monde parce qu'avec l'ancienne administration, vous aviez une escalade très maîtrisée à laquelle la Russie a eu beaucoup de mal à répondre parce que tout est venu de façon séquencée. Envisager l'utilisation de l'arme nucléaire en cas de menace à l'existence même de l'État russe, ça devenait complètement obsolète pour ses officiers supérieurs et généraux. Parce que cette doctrine nous montre aussi que la Russie a peur que ses tentatives d'agression contre ses voisins suscitent l'aide de pays dotés d'armes nucléaires. En fait, elle a peur que le scénario ukrainien se reproduise. Et donc cette nouvelle doctrine est censée couvrir ces scénarios aussi. Elle élargit les conditions d'emploi et elle abaisse le seuil déclaré d'emploi de l'arme nucléaire. RFI : L'élection de Donald Trump a-t-elle permis de faire baisser la tension ? Plus tôt. Ça très clairement, c'est à dire que Trump et son indifférence relative à l'Ukraine et à l'Europe y participe, la collusion idéologique qui existe entre la Russie et les États-Unis aujourd'hui, le peu d'intérêt qu'il a pour l'Otan et l'Europe orientale le permette. Ce qui ne veut pas dire que la rhétorique agressive de la Russie s'arrête. Au contraire, on voit bien que la rhétorique nucléaire agressive de la Russie se déclenche dès que le président américain envisage sérieusement, en tout cas rhétoriquement, de fournir des armes offensives et à longue portée à l'Ukraine. Ce qui s'éloigne, c'est la perspective d'un emploi. Il était déjà très faible depuis le début de la guerre en Ukraine. Avec l'élection de Donald Trump, il est encore plus faible. Donc autant dire, très peu probable. En revanche, les ambiguïtés de Washington, les hésitations de l'Europe à l'égard de la défense du continent, à l'égard de la défense de l'Ukraine, alimentent l'agressivité de la Russie. Et donc ça augmente la probabilité d'actions déstabilisatrices conventionnelles russes. À lire aussiLa pérennisation de l'aide à l'Ukraine au menu d'un nouveau sommet européen à Bruxelles
Quand on pense aux conflits armés, on imagine souvent des guerres entre États. Pourtant, les guerres les plus fréquentes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale sont des guerres civiles. Elles traversent l'histoire contemporaine, de l'Afghanistan au Mali, de la Syrie au Rwanda, de la République démocratique du Congo aux Balkans, sans oublier la question kurde. (Rediffusion) Et pourtant, nous en savons finalement assez peu de choses. Elles sont souvent perçues comme des violences chaotiques, irrationnelles, ou comme des effondrements d'État, alors qu'elles obéissent à des logiques politiques, sociales et économiques précises. Qu'elles sont pratiquement un phénomène universel sur le temps long. Et que la quasi-totalité des sociétés a connu un épisode de guerre civile, provoquant la mort de dizaines de millions de personnes ainsi que l'exil ou le déplacement de centaines de millions d'autres. Enfin, loin d'être une affaire uniquement interne à un pays, les guerres civiles ne peuvent se comprendre sans prendre en compte les acteurs internationaux. Gilles Dorronsoro, professeur de Science politique et enseignant en Relations internationales à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Gilles Dorronsoro a travaillé sur les guerres civiles contemporaines en Afghanistan, au Kurdistan, en Syrie et au Mali. « Le plus grand des maux. Sociologie des guerres civiles », CNRS ÉDITIONS.
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As the 2025 draws to a close, which key moments and milestones have defined the China- Africa relations? Despite the challenges faced in various sectors, how have the relations evolved and what impact has this had? In this episode, Professors Liu Baocheng, Director of Center of International Business Ethics, University of International Business and Economics, and Charles Onunaiju, Director of the Center for China Studies in Nigeria delve into the key moments and milestones that shaped China-Africa relations in 2025.
Vous arrive-t-il de prendre les choses personnellement… parfois beaucoup trop ?Une remarque, un silence, un choix anodin… et d'un coup, votre cerveau interprète tout comme un signe que vous n'êtes pas aimée, pas considérée, pas à votre place ?Si vous cherchez comment arrêter de prendre les choses personnellement, cet épisode culte de Change ma vie va vous ouvrir une perspective totalement nouvelle.Pour illustrer ce mécanisme universel, je vous raconte l'histoire d'Hélène, qui a vécu une situation très banale : un gâteau au chocolat posé sur un buffet, auquel personne ne touche. Une scène simple, et pourtant, un tourbillon intérieur pour Hélène : honte, tristesse, rejet.Pourquoi une situation aussi anodine peut-elle nous atteindre autant ?Dans cet épisode, vous allez découvrir :pourquoi vous transformez des faits neutres en attaque personnellecomment apaiser votre système émotionnel dans l'instantune pensée puissante et libératrice pour ne plus confondre ce que vous faites avec qui vous êtesUn épisode doux et transformateur !Vous pouvez aussi :
24/24. Pour clôturer ce calendrier de l'Avent, on a enregistré cet épisode en live au Musée des Arts Décoratifs. Un moment exceptionnel, hors du temps, partagé avec le public, entre rires, émotions et conversations sincères. Merci au Musée des Arts Décoratifs et à toute l'équipe pour leur accueil et leur confiance. Une façon très spéciale de refermer cette série, ensemble.xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anissa Ali (la_freudzone sur Instagram), thérapeute conjugale et familiale, a écrit le livre "Dating, la grande illusion. Sortir de la spirale des rencontres superficielles et créer de vraies relations" (éditions Le Courrier du Livre / Tredaniel). Je lui ai proposé un cadre inédit pour l'enregistrement car elle vit dans la région : la plage Saint-Clair. Vous aurez donc la joie d'entendre les vagues tout au long de nos échanges. C'est mon cadeau pour les fêtes ! Dans cet épisode, Anissa propose des solutions pour sortir de la dating fatigue, en se posant les bonnes questions, avec des exercices pratiques à retrouver dans son livre. Pour les personnes non concernées par le sujet des rencontres (définitivement ou temporairement), on fait le point aussi sur la qualité de nos relations amicales. Retenez bien cette phrase (p.229), à 20'36 dans l'épisode "la durée d'une relation ne détermine pas sa qualité, aussi faites des check-in (vérifications) fréquents sur vos amitiés." "Si vous êtes entouré.e de gens qui incarnent des valeurs fortes et authentiques (...), vous aspirerez à des relations plus sincères, équilibrées et profondes (...) cela influencera aussi vos postures dans le couple." Pour avoir appliqué ces conseils, je vous confirme que ça marche, c'est un soulagement.Votre temps est précieux ! Bonne écoute ! Retrouvez Anissa Ali sur les réseaux sociauxhttps://www.instagram.com/la_freudzone En librairies : https://www.editions-tredaniel.com/dating-la-grande-illusion-p-12258.html https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782702929759-dating-la-grande-illusion-anissa-ali/ Références citées dans l'épisode ou en bonus (à suivre) AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service clients n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez une dépense inutile. Episode enregistré en octobre 2025, sur la plage Saint-Clair (au Lavandou, Var, Provence-Alpes-Côte d'Azur), photos disponibles sur leur compte Instagram https://www.instagram.com/lelavandoutourismePrise de son, montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Nouveau générique ! Vous l'avez reconnu ? C'est le générique de la série mythique des années 90 "Code Quantum" avec Scott Bakula. J'adore cette série, féministe, inclusive. Dédicace à Richard Gaitet (Arte Radio), auteur, fan inconditionnel aussi de cette série.Virgules sonores : Edouard JoguetLogo conçu par Lynda Mac-ConnellHébergement : Podcloud
Loren Voss, Public Service Fellow at Lawfare, sits down with Kori Schake, senior fellow and the director of foreign and defense policy studies at the American Enterprise Institute, and Carrie Lee, senior fellow with the German Marshall Fund's Strategic Democracy Initiatives. They discuss how they assess a healthy civil-military relationship, the current state of civil-military affairs, potential unlawful orders, and what we should watch going forward.Lee and Schake outline the frameworks they use to assess civil-military relations in the United States and how to think about unlawful orders and an “unprincipled principal.” Both Schake and Lee agree that the military should not bear the burden of being the solution; fixes must come from civilian leadership in the executive and legislative branches. The group concludes by identifying five indicators everyone should watch going forward to indicate the system isn't functioning as it should. To receive ad-free podcasts, become a Lawfare Material Supporter at www.patreon.com/lawfare. You can also support Lawfare by making a one-time donation at https://givebutter.com/lawfare-institute.Support this show http://supporter.acast.com/lawfare. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
2025 has been a challenging year for advocates fighting for equitable access to care, as the CDC's Advisory Committee on Immunization Practices has upended a legacy of science-based recommendations supported by the research community. In a particularly concerning move, ACIP removed its decades-long recommendation for the proven pediatric hepatitis B vaccine—a decision that puts millions of children at risk of long-term complications from this infectious disease.Joining us to discuss the implications of ACIP's latest action, and how advocacy organizations across the country are responding, is Scott Frey, Senior VP of Public Policy and Relations here at the Alliance.
23/24. Un épisode un peu messy, un peu fatigué, un peu honnête. On parle de nos vies, de ce qu'on traîne encore, de comment on appréhende le dîner de Noël, la famille, les regards, les questions. Une longue conversation entre filles, sans thème précis, juste l'envie de dire les choses comme elles viennent, avant la dernière case du calendrier.xx Amal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahir Ogee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jessica Chirol et Florent Daujat sont les invités du 234ème épisode du podcast C'est quoi le bonheur pour vous?
Aujourd'hui, je partage avec vous une de mes grandes prises de conscience : la proactivité.Longtemps, ce concept m'a semblé flou, presque inaccessible. Mais au fil de mes expériences, notamment dans le monde de l'accompagnement et de l'entrepreneuriat, j'ai compris à quel point cette posture intérieure était essentielle pour avancer malgré les difficultés, les doutes et les silences qu'on reçoit parfois en réponse à nos efforts.Je vous explique la différence entre proactivité et productivité, et pourquoi il est si crucial d'apprendre à rester fidèle à soi-même, à ce que l'on souhaite incarner, même lorsque notre environnement ne nous encourage pas nécessairement. À travers mes réflexions et deux exercices très concrets, je vous invite à explorer votre propre façon d'habiter vos projets, à distinguer ce qui dépend vraiment de vous et à renforcer votre capacité à avancer, malgré tout.Enfin, je partage mon expérience personnelle, les outils qui m'ont aidée à développer cette posture et l'importance d'être bien entouré pour ne pas perdre de vue son axe. J'espère que cet épisode vous inspirera et vous donnera quelques clés pour aborder vos projets avec plus de confiance et d'élan. Bonne écoute et très belles fêtes de fin d'année !
22/24. Dans cet épisode, on partage ce que nos séances de psy nous ont vraiment appris. Les prises de conscience, les phrases qui restent, les vérités parfois inconfortables. Ce qu'on aurait aimé comprendre plus tôt, et ce qu'on applique aujourd'hui dans nos relations, notre rapport à nous-mêmes et aux autres.xx Amal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahir Ogee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
21/24. MESSY GIRLS. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
20/24. Aujourd'hui, on s'est demandé si les étapes de la skincare ne ressemblaient pas exactement aux étapes qu'on traverse après une rupture : faire place nette, apaiser, se reconstruire, puis retrouver de l'éclat. Un épisode sur le fait de revenir à soi, de reprendre soin de son corps et de réinstaller de la douceur, sans se presser. Pour découvrir la routine, -25 % sur tout le site Yepoda avec le code GARCE https://yepoda.shop/GARCExx Amal & OgeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Charles is joined by Kathryn Rooney Vera, Stonex Chief Market Strategist to discuss inflation and market leadership as potential market blind spots, the changing dynamics of the AI trade, and opportunities for investors to diversify their portfolios. Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
19/24.19/24. Aujourd'hui, on parle de la let them theory. L'idée simple (et libératrice) que tout ne mérite pas notre énergie, notre attention, ni nos réactions. On parle de détachement, de lâcher prise, de ces situations où on suranalyse tout - les messages, les silences, les décisions des autres - alors qu'en réalité, la plupart du temps, il faut juste… laisser faire. Laisser les gens être comme ils sont.Et se recentrer sur ce qui compte vraiment pour soi.xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bongani Bingwa is joined by Dr Kingsley Makhubela, Risk analyst, former diplomat and Public relation executive about the US threatening South Africa with serious repercussions over the alleged arrest of its officials, and what this could mean for the country’s international relations. 702 Breakfast with Bongani Bingwa is broadcast on 702, a Johannesburg based talk radio station. Bongani makes sense of the news, interviews the key newsmakers of the day, and holds those in power to account on your behalf. The team bring you all you need to know to start your day Thank you for listening to a podcast from 702 Breakfast with Bongani Bingwa Listen live on Primedia+ weekdays from 06:00 and 09:00 (SA Time) to Breakfast with Bongani Bingwa broadcast on 702: https://buff.ly/gk3y0Kj For more from the show go to https://buff.ly/36edSLV or find all the catch-up podcasts here https://buff.ly/zEcM35T Subscribe to the 702 Daily and Weekly Newsletters https://buff.ly/v5mfetc Follow us on social media: 702 on Facebook: https://www.facebook.com/TalkRadio702 702 on TikTok: https://www.tiktok.com/@talkradio702 702 on Instagram: https://www.instagram.com/talkradio702/ 702 on X: https://x.com/Radio702 702 on YouTube: https://www.youtube.com/@radio702See omnystudio.com/listener for privacy information.
Et si vous pouviez changer totalement la façon dont vous vous parlez… en ajoutant juste un petit mot ?Dans cet épisode culte de Change ma vie, je vous propose un outil hyper simple mais étonnamment puissant pour modifier en profondeur la qualité de votre voix intérieure : celle qui vous accompagne du matin au soir, et qui peut soit vous porter… soit vous plomber.Vous allez ainsi découvrir :Comment votre discours intérieur peut expliquer la honte, l'anxiété ou le découragement que vous ressentez ;Pourquoi se critiquer ne nous aide pas à évoluer (c'est même le contraire) ;Les 5 composantes d'un discours intérieur qui soutient vraiment l'épanouissement ;Et comment un simple petit mot peut métamorphoser votre relation avec vous-même.Je vous aide à mettre cet outil en place, à repérer les résistances inattendues qui peuvent apparaître, et comment les surmonter.Autres épisodes cités :Épisode 38 : Comment s'aimer mieuxÉpisode 39 : Se parler gentimentVous pouvez aussi :
Est ce qu'on est toutes et tous d'accord pour dire qu'on s'est faites rouler dessus cette année ? ou ce n'est que moi ?
18/24 - Aujourd'hui, on fait le test de pureté. Amal ne l'a jamais fait. Océane le lui fait découvrir. Et disons que… Amal n'apprécie pas vraiment l'expérience. xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
EU-US relations remain tense after Washington's new national security strategy slammed the European Union's migration policies, warning that the bloc risks “civilizational erasure.” Also, heavy winds, rain and cold are making life dangerous for Palestinians in Gaza. And, a lawyer takes Pakistan's government to court over taxes on pads and tampons. Plus, a look at a traditional celebration in Ghana known as Detty December. Learn about your ad choices: dovetail.prx.org/ad-choices
17/24. On se demande si les filles de sex and the city sont vraiment de bonnes amies. Celles qui soutiennent sans juger. Celles qui projettent. Celles qui disparaissent quand ça devient inconfortable. Et celles qui restent, même maladroitement. On parle de loyauté, de jalousie, de maladresses, de silences, et de ce que l'amitié révèle de nous à différents moments de la vie. Parce qu'être une bonne amie, ce n'est pas être parfaite - c'est souvent faire de son mieux, avec ce qu'on est.xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez peut-être vu passer sur les réseaux sociaux des phrases comme : “ être en couple c'est devenu gênant” ou “ poster son mec, c'est démodé “. Eh bien, sachez que cette tendance s'inscrit dans l'émergence d'une nouvelle vision des relations amoureuses. Il s'agit de “l'hétérofatalisme”. Le terme a été conceptualisé en 2019 par le chercheur américain Asa Seresin, qui l'avait initialement nommé «hétéropessimisme ». Que signifie exactement le terme “hétérofatalisme” ? Pourquoi ce phénomène se répand-il particulièrement aujourd'hui ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Pourquoi l'argent peut-il être un outil de violence conjugale ? Que se passe-t-il dans le cerveau quand on tombe amoureux ? Sommes-nous condamnés à reproduire les schémas amoureux de nos parents ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
413 Rachel Epstein on EU USA relations
16/24. Avec Darjeeling, on ouvre une case sur le rapport au corps, la confiance en soi et ce moment précis où l'on décide de reprendre le pouvoir. Celui de se sentir bien dans son corps, de se regarder autrement, de choisir ce qu'on porte pour soi - pas pour plaire. On parle de lingerie comme d'un geste for yourself..Le code GARCE30 est disponible sur le site Darjeeling.xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Auditeur :Christophe partage ses relations infructueuses dues aux sites de rencontres Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
15/24. On ouvre une case avec Céline, la mère d'Océane. On parle de mariage, de divorce, de la cinquantaine, et de ce que ça fait de recommencer après une longue histoire. Des nouveaux mecs, du regard qu'on porte sur l'amour quand on a déjà vécu, et de cette liberté qu'on n'attendait pas forcément… mais qui arrive quand même. xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On ouvre la case où l'on parle des icks - ces micro-détails qui nous coupent l'envie aussi vite qu'une mauvaise réplique de Mr Big. Les petits red flags du quotidien, ceux qui révèlent bien plus que ce qu'on croit : nos limites, nos standards, notre manière d'aimer… et ce qu'on refuse désormais de tolérer. xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode, we journey to the vibrant continent of Africa, exploring its economic potential and the importance of the AGOA trade deal. Join us as we discuss the bipartisan efforts behind renewing this critical trade agreement that not only fosters business relationships but also enhances national security. We'll hear from Chairman Jason Smith, who played a pivotal role in shepherding the renewal through Congress, the Ghanaian ambassador to the U.S., Victor Smith, who shares insights from the African perspective, and Rosa Whitaker, a veteran advocate for the AGOA trade bill. Together, they illuminate the significance of mutual economic benefit between Africa and the United States.See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
13/24. Aujourd'hui, on parle de romantiser sa vie avec Ava & May, de ces petits rituels qui nous recentrent. Le code promo GARCE est actif sur tout le site pour commencer à romantiser TA vie parce que ce n'est pas romantiser uniquement un couple, un mec. On explore comment, à vingt ans, on confond souvent l'intensité avec l'attention, et comment à trente, on apprend à se décentrer des hommes pour remettre le focus sur nous. Sur ce qui nous calme, nous inspire, nous construit. Parce que la vraie vie romantique commence par soi.Découvrir Ava & May : https://world.ava-may.com/r9cGuo Code : GARCEHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
12/24.On parle de People Pleasing et de limites - deux choses qu'on confond toute la vingtaine. Vouloir être aimée, ne pas déranger, dire oui par réflexe : on croit que c'est de la douceur, alors que souvent, c'est de la peur. À 30 ans, on réalise que poser des limites, ce n'est pas devenir froide, c'est devenir juste. C'est arrêter de se perdre pour être choisie, et commencer à se choisir pour de vrai.xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous sentez la déprime vous gagner le dimanche soir, sans trop savoir pourquoi ? Comme si la semaine à venir pesait déjà sur votre moral, couplé à la nostalgie du week-end qui est déjà fini…Si vous faites partie de celles et ceux qui ressentent le blues du dimanche soir, cet épisode va vous aider à comprendre ce qui se joue vraiment dans ces moments-là… et comment adoucir cette transition pour ne pas gâcher vos fins de week-end.En réalité, ce blues du dimanche soir n'est pas “l'ennemi à abattre” : c'est plutôt le symptôme d'un besoin non nourri.Un signal qui vous indique qu'il manque quelque chose en amont : dans votre week-end, dans votre façon de gérer la transition, ou dans votre rapport à votre semaine à venir.Dans cet épisode, je vous propose d'explorer ce phénomène du blues du dimanche soir pour mieux comprendre, et je vous livre des ajustements simples pour :retrouver la sensation d'avoir vraiment profité de votre week-end,accueillir vos émotions avant qu'elles ne débordent le dimanche soir,transformer cette fin de journée le dimanche en un rituel doux et joyeux, plutôt qu'un moment de grisaille et de déprime.L'objectif n'est pas de vous forcer à être contente de retourner travailler le lundi matin, mais de créer une relation plus sereine à cette transition, en honorant vos envies et vos besoins.♥️ Merci à Stéphanie qui a soumis la question qui sert de point de départ à cet épisode ! Si vous voulez soumettre une question à laquelle je pourrai répondre dans un prochain épisode, c'est ici : https://tally.so/r/3NGP40Vous pouvez aussi :
Gideon talks to Jens Stoltenberg, Nato's former secretary-general, about Ukraine and Europe's strategic priorities after recent scathing criticism from US president Donald Trump over its failure to end the war: ‘They talk but they don't produce.' Clip: PoliticoFree links to read more on this topic:The White House's rupture with the western allianceTrump pushes for ‘free economic zone' in Donbas, says ZelenskyyFriedrich Merz offers to host Ukraine talks so deal not done ‘above Europe's head'Ukraine's ‘fortress belt' that Donald Trump wants to trade for peaceSubscribe to The Rachman Review wherever you get your podcasts - please listen, rate and subscribe.Presented by Gideon Rachman. Produced by Fiona Symon. Sound design is by Breen Turner and the executive producer is Flo Phillips.Follow Gideon on Bluesky or X @gideonrachman.bsky.social, @gideonrachman Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
11/24. Lien pour télécharger Adopte : https://adopte.onelink.me/TfiH/l63449l5 On ouvre une case entièrement dédiée à la dating life right now. Les applis, les messages qui disparaissent, les espoirs qui reviennent, les conversations qui durent une heure ou trois jours - et ce moment où on se demande si on cherche l'amour, un frisson, ou juste quelqu'un qui nous parle comme on mérite. Avec Adopte, on explore ce que c'est vraiment d'aimer en 2023 : choisir, être choisie, s'écouter, ralentir, recommencer. Ce que ça dit de nos attentes, de nos blessures, et de ce qu'on ne laissera plus jamais passer.Une génération qui ne veut plus perdre son temps - mais qui croit encore à la magie? why not! collaboration commerciale. xxAmal & OgeeMy IG diary : https://www.instagram.com/amaltahirOgee's diary : https://www.instagram.com/ogee_offHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 10 décembre 2025 - Lecornu dompte l'Assemblée, Sarkozy dynamite la droiteÀ 13 voix près, le budget de la Sécurité sociale a été adopté hier soir à l'Assemblée nationale. Jusqu'au bout, l'issue du vote semblait incertaine. Finalement, la stratégie adoptée par le Premier ministre s'est, sur ce texte, révélée payante : Sébastien Lecornu a tenu son engagement de ne pas utiliser l'article 49-3 et d'obtenir le soutien ou la neutralité des groupes d'opposition socialistes et écologistes, à coups de concessions accordées jusqu'au dernier moment. Nommé il y a trois mois à Matignon, le Premier ministre sort provisoirement renforcé de ce scrutin à haut risque qui a révélé une Assemblée nationale profondément éclatée, où les alliances habituelles se sont brouillées.Si les groupes Renaissance et MoDem ont serré les rangs, les LR ont majoritairement choisi l'abstention, suivant la ligne de Laurent Wauquiez. Du côté du Parti socialiste, où 63 députés sur 69 ont voté pour ce budget de la Sécurité sociale, on assume une volonté « d'être utile » et l'on défend des victoires : suspension de la réforme des retraites, pas de gel des pensions ni de doublement des franchises médicales, ou encore rehaussement de l'enveloppe allouée à l'Ondam à 3 %.La France insoumise, de son côté, dénonce un « changement d'alliance » des socialistes et une trahison. Les députés du groupe présidé par Mathilde Panot ont unanimement rejeté le PLFSS, pointant « une aberration budgétaire ». Même unanimité du côté du RN, qui jugeait très probable un rejet du texte et appelait depuis plusieurs jours à une nouvelle dissolution.Et maintenant ? Le budget de la Sécu va repartir au Sénat, puis revenir à l'Assemblée nationale en vue d'une dernière lecture qui pourrait intervenir le 16 décembre. Après cette étape décisive pour le budget de la Sécurité sociale, le budget de l'État pour 2026 va de nouveau faire l'objet de toutes les attentions. Sébastien Lecornu a réaffirmé ce mercredi en Conseil des ministres que son « objectif » était « de doter la France d'un budget de l'État d'ici au 31 décembre », jugeant que c'était « possible », a rapporté la porte-parole du gouvernement. Mais « si un accord est impossible entre l'Assemblée nationale et le Sénat », qui doivent se réunir en « commission mixte paritaire » le 19 décembre, « nous poursuivrons probablement ces discussions en janvier », a déclaré Maud Bregeon sur France 2. Aussi, pour éviter un blocage des finances publiques, Matignon et Bercy ont déjà commencé à préparer une « loi spéciale », comme l'a indiqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, lors d'une réunion au Sénat.Alors que l'examen des textes budgétaires pour l'an prochain va continuer à animer les discussions parlementaires, un rapport publié ce lundi 8 décembre pour le think tank Terra Nova, intitulé « Comptes publics : en finir avec le n'importe quoi (qu'il en coûte) », fait parler de lui. Dans ce document, l'économiste Guillaume Hannezo préconise deux mesures pour enrayer l'élargissement de la dette : réduire le taux d'épargne des retraités et relever la taxe sur la valeur ajoutée. Il a accordé une interview à nos journalistes.Alors, quelles sont les principales mesures du PLFSS pour 2026 ? Quelles sont les leçons de ce vote sur le budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée nationale ? Enfin, que contient le dernier livre de Nicolas Sarkozy, Le Journal d'un prisonnier ?Nos experts :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF - Cécile CORNUDET - éditorialiste politique aux Échos - Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche - Sylvie PIERRE BROSSOLETTE - Editorialiste politique au Point
C dans l'air du 9 décembre 2025 - Budget de la Sécu : qui est (encore) avec Lecornu ?Passera ou ne passera pas ? Les députés doivent voter solennellement ce mardi, en fin d'après-midi, sur l'ensemble du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026. Un vote crucial qui contient la suspension de la réforme des retraites. En cas de rejet, la suspension de la réforme des retraites sera remise sine die, et au-delà, c'est toute la procédure budgétaire qui pourrait dérailler.Le scrutin s'annonce serré, et son résultat très incertain, dans une Assemblée nationale très divisée. Sébastien Lecornu tente le pari de faire adopter sans majorité le projet, alors qu'il s'est assuré du soutien des socialistes, mais risque d'être lâché par les siens. À ce stade, personne n'est vraiment capable de dire comment les choses vont tourner dans l'Hémicycle sur ce texte largement réécrit par les députés. Alors, que restera-t-il du budget de la Sécurité sociale ? Que contient la copie finale ?Avant le vote, le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, a affirmé ce mardi que « l'échec du PLFSS serait grave pour tout le monde ». Dans un communiqué, les fédérations hospitalières ont estimé que son vote est une « nécessité absolue ». « Une autre nécessité tout aussi impérieuse s'y ajoute : que ce budget finance réellement les coûts que les établissements doivent supporter », indiquent-elles. Selon les fédérations hospitalières, les « besoins réels du terrain » exigent une enveloppe budgétaire pour les hôpitaux en hausse de 3 % en 2026. Or les fédérations estiment que, pour l'instant, le compte n'y est pas, malgré les progrès faits pendant les débats au Parlement. Nos journalistes sont allés à la rencontre de médecins internistes. Manque de moyens, de personnels… Ils nous expliquent leur quotidien et décrivent un hôpital à bout de souffle.Après l'adoption du volet « recettes » vendredi dernier, au prix de quelques compromis (la réduction de l'assiette de la hausse de la contribution sociale généralisée sur le patrimoine et l'abandon du doublement des franchises médicales), que vont faire les députés ? Si l'incertitude reste totale, Matignon a d'ores et déjà dit que le Premier ministre n'envisageait pas de démissionner. Sébastien Lecornu a également annoncé cet après-midi saisir la justice après une possible ingérence d'un lobby. "Un groupe d'intérêt a tenté de s'immiscer dans les discussions", a expliqué le chef du gouvernement.Nos experts :- Christophe Barbier - Editorialiste à Franc-Tireur- Myriam Encaoua - Journaliste et présentatrice de Tout Est Politique sur Franceinfo- Lucie Robequain - Directrice des rédactions de la Tribune- Jérôme Fourquet - Directeur département Opinion à l'IFOP
C dans l'air du 9 décembre 2025 - Budget de la Sécu : qui est (encore) avec Lecornu ?Passera ou ne passera pas ? Les députés doivent voter solennellement ce mardi, en fin d'après-midi, sur l'ensemble du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026. Un vote crucial qui contient la suspension de la réforme des retraites. En cas de rejet, la suspension de la réforme des retraites sera remise sine die, et au-delà, c'est toute la procédure budgétaire qui pourrait dérailler.Le scrutin s'annonce serré, et son résultat très incertain, dans une Assemblée nationale très divisée. Sébastien Lecornu tente le pari de faire adopter sans majorité le projet, alors qu'il s'est assuré du soutien des socialistes, mais risque d'être lâché par les siens. À ce stade, personne n'est vraiment capable de dire comment les choses vont tourner dans l'Hémicycle sur ce texte largement réécrit par les députés. Alors, que restera-t-il du budget de la Sécurité sociale ? Que contient la copie finale ?Avant le vote, le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, a affirmé ce mardi que « l'échec du PLFSS serait grave pour tout le monde ». Dans un communiqué, les fédérations hospitalières ont estimé que son vote est une « nécessité absolue ». « Une autre nécessité tout aussi impérieuse s'y ajoute : que ce budget finance réellement les coûts que les établissements doivent supporter », indiquent-elles. Selon les fédérations hospitalières, les « besoins réels du terrain » exigent une enveloppe budgétaire pour les hôpitaux en hausse de 3 % en 2026. Or les fédérations estiment que, pour l'instant, le compte n'y est pas, malgré les progrès faits pendant les débats au Parlement. Nos journalistes sont allés à la rencontre de médecins internistes. Manque de moyens, de personnels… Ils nous expliquent leur quotidien et décrivent un hôpital à bout de souffle.Après l'adoption du volet « recettes » vendredi dernier, au prix de quelques compromis (la réduction de l'assiette de la hausse de la contribution sociale généralisée sur le patrimoine et l'abandon du doublement des franchises médicales), que vont faire les députés ? Si l'incertitude reste totale, Matignon a d'ores et déjà dit que le Premier ministre n'envisageait pas de démissionner. Sébastien Lecornu a également annoncé cet après-midi saisir la justice après une possible ingérence d'un lobby. "Un groupe d'intérêt a tenté de s'immiscer dans les discussions", a expliqué le chef du gouvernement.Nos experts :- Christophe Barbier - Editorialiste à Franc-Tireur- Myriam Encaoua - Journaliste et présentatrice de Tout Est Politique sur Franceinfo- Lucie Robequain - Directrice des rédactions de la Tribune- Jérôme Fourquet - Directeur département Opinion à l'IFOP
1939: Diplomatic Disasters and Soviet Infiltration: Colleague Charles Spicer explains that by early 1939, relations deteriorated as Ribbentrop, now Foreign Minister, turned violently anti-British following his social failures in London, characterizing British Ambassador Neville Henderson as a disastrous "arch-appeaser" who refused to upset the Nazi regime; meanwhile, Conwell-Evans continued to gather intelligence while enduring threatening luncheons with Ribbentrop, and the Soviets infiltrated the narrative through the book Tory MP, which attacked the Fellowship and was written by authors recruited by Soviet intelligence. 1938
durée : 00:38:01 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La semaine dernière, du 3 au 5 décembre, Emmanuel Macron s'est rendu en Chine afin d'y rencontrer son homologue le président Xi Jinping. Comment lire le dialogue sino-français malgré un déséquilibre bilatéral très net ? Emmanuel Macron s'illusionne-t-il sur la capacité de la France à négocier ? - invités : François Bougon Journaliste, responsable du service international de Mediapart; Emmanuel Lincot Professeur à l'Institut Catholique de Paris, chercheur associé à l'Iris et sinologue; Françoise Nicolas Conseillère du centre Asie de l'Ifri
Despite Israel’s historic close ties with America, understanding U.S.-Israel relations can be tricky. So, what are the biggest influences—the loudest voices shaping this dialogue? What can American believers do to help the relationship? This week on The Land and the Book, we’ll bring clarity to that conversation—one you’ll find intriguing. So be sure to join us for The Land and the Book.Donate to Moody Radio: http://moodyradio.org/donateto/landandthebookSee omnystudio.com/listener for privacy information.
2025-12-06 | DAILY UPDATES #072 | We continue our analysis of the National Security Strategy of the Trump regime, a document that claims to defend the West, by turning its guns on Europe. It's a malign document, that fleshes out Vance's speech at the 2025 Munich Security Forum. In that speech, Vance argued that Europe's principal danger came from erosion of democratic norms — especially censorship, suppression of dissent, and exclusion, widely interpreted as an attack on the structure of the European Union and its institutions. This NSS goes further and effectively declares that Europe's systems of governance are antithetical to America's interests. It's a mandate for malign interference, leans in to overtly support the far right and extremist groups, libertarian absolutists, oligarchical interests and is a mandate for regime change. ----------SOURCES: National Security Strategy of the United States of America, White House, December 2025 (PDF).https://www.whitehouse.gov/wp-content/uploads/2025/12/NSS-2025.pdfMichelle L. Price, “Trump's security strategy slams European allies and asserts US power in Western Hemisphere,” AP News / WFTV, 5 Dec 2025.https://apnews.com/article/trump-security-strategy-europe-russia-america-first-068488ca7e6d1c92ccaddd1649958218James Mackenzie, “US strategy document says Europe risks ‘civilisational erasure',” Reuters, 5 Dec 2025.https://www.reuters.com/business/finance/us-strategy-document-says-europe-risks-civilisational-erasure-2025-12-05/Gram Slattery & Humeyra Pamuk, “Exclusive: US sets 2027 deadline for Europe-led NATO defense, officials say,” Reuters, 5 Dec 2025.https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/us-sets-2027-deadline-europe-led-nato-defense-officials-say-2025-12-05/Martin Fornusek, “New US strategy document takes hard line on Europe's ‘trajectory,' NATO enlargement,” Kyiv Independent, 5 Dec 2025.https://kyivindependent.com/new-us-strategy-document-takes-hard-line-on-europes-trajectory-nato-expansion/Jon Henley, “‘Cultivate resistance': policy paper lays bare Trump support for Europe's far right,” The Guardian, 5 Dec 2025.https://www.theguardian.com/us-news/2025/dec/05/civilisational-erasure-us-strategy-document-appears-to-echo-far-right-conspiracy-theories-about-europe----------SILICON CURTAIN FILM FUNDRAISERA project to make a documentary film in Ukraine, to raise awareness of Ukraine's struggle and in supporting a team running aid convoys to Ukraine's front-line towns.https://buymeacoffee.com/siliconcurtain/extras----------SILICON CURTAIN LIVE EVENTS - FUNDRAISER CAMPAIGN Events in 2025 - Advocacy for a Ukrainian victory with Silicon Curtainhttps://buymeacoffee.com/siliconcurtain/extrasOur events of the first half of the year in Lviv, Kyiv and Odesa were a huge success. Now we need to maintain this momentum, and change the tide towards a Ukrainian victory. The Silicon Curtain Roadshow is an ambitious campaign to run a minimum of 12 events in 2025, and potentially many more. Any support you can provide for the fundraising campaign would be gratefully appreciated. https://buymeacoffee.com/siliconcurtain/extras----------SUPPORT THE CHANNEL:https://www.buymeacoffee.com/siliconcurtainhttps://www.patreon.com/siliconcurtain----------
Vous recevez une mauvaise nouvelle, vous rencontrez un problème, et en une fraction de seconde… tout votre monde intérieur s'emballe ?Votre cerveau s'agite, vous ne pensez plus qu'à ça, et vous avez l'impression que la situation est catastrophique et que vous n'allez jamais vous en sortir ?Dans cet épisode, je vous montre comment stopper cette spirale pour aborder vos difficultés avec calme, clarté et discernement.Quand quelque chose de pénible nous arrive, notre cerveau nous propose par défaut une lecture dramatique et négative. C'est normal : c'est sa façon automatique de nous protéger. Mais cette lecture nous coupe de nos ressources, nous empêche de dormir, et nous pousse souvent à des réactions qui compliquent encore les choses.Pour sortir de ce mode de fonctionnement, je vous livre une méthode simple en trois axes puissants, pour aider votre cerveau à adopter une lecture plus constructive du problème.À partir d'un exemple concret, vous allez découvrir comment ces trois axes ouvrent un espace intérieur beaucoup plus ancré, dans lequel vous pouvez réfléchir sereinement, prendre soin de vous, et trouver les meilleures façons d'avancer.Autres épisodes mentionnés :Épisode 347 : 3 Techniques ultra-simples pour vous apaiser https://changemavie.com/episodes/techniques-vous-apaiser/Épisode 99 : Comment devenir optimiste ? https://changemavie.com/episodes/optimiste/Épisode 31 : Quelque chose de grave https://changemavie.com/episodes/grave/Vous pouvez aussi :
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La condamnation en appel de Christophe Gleizes par un tribunal algérien a provoqué la sidération alors que tous les signaux étaient à l'apaisement entre Paris et Alger. L'échec, peut-être provisoire, de la diplomatie, place Paris dans l'embarras et relance la campagne de soutien au journaliste. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
PREVIEW — Charles Burton — China-Canada Relations, Mark Carney's Government, and the Failure to Address Foreign Influence Operations. Burton analyzes Canadian Prime Minister Mark Carney's approach to China, suggesting Carney believes that making concessions on Chinese espionage and harassment—and delaying implementation of the Foreign Influence Registry (FIRA)—will prompt China to open its markets. Historically, this diplomatic strategy has proven ineffective; China routinely offers empty promises while continuing coercive operations, exposing Canada's critical vulnerability to foreign influence campaigns and intelligence operations. 1910 OTTAWA
Geopolitics of the Gulf and Eurasia: US-Saudi Relations and China's Global Strategy — Victoria Coates, Vice President, Heritage Foundation — Victoria Coates addresses U.S.-Saudi relations, noting that technology transfer risks from China exist but remain manageable through export-controlled F-35 versions. She argues that Russia is dependent on Beijing in the Ukraine war, which serves China's strategic objective of distracting the West from Indo-Pacific developments. A perceived Russian victory would embolden China toward aggression in East Asia. Coates identifies security guarantees and Saudi openness to the Abraham Accords as key priorities for regional stability. 1922 PEKING