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Après le bannissement en 2022 de Facebook et d'Instagram, réseaux emblématiques du groupe Meta, les autorités russes renforcent leur emprise sur les espaces de l'internet et des applications étrangères. Depuis cet été, les appels via WhatsApp, FaceTime et Telegram sont bloqués, au nom de la lutte contre le fléau des fraudeurs. D'autres coupures et interdictions sont, quant à elles, justifiées au nom de la sécurité nationale, et notamment les attaques de drones. « Désolé de ne pas avoir donné signe de vie, mon téléphone s'est soudainement éteint et l'écran est devenu tout noir. Je ne comprends pas ce qu'il s'est passé. » Casquette sur la tête, bouille bienveillante et souriante, Nicolas Maschourov arrive tout essoufflé et un poil en retard au rendez-vous sur une place du centre de Yaroslavl, face à l'un des monastères les plus célèbres de cette ville au riche passé historique. Au fond, ce mystérieux incident du jour n'est pour lui qu'un de ceux qui s'ajoutent à une longue liste, tant la vie quotidienne est déjà bien compliquée localement. Dans cette ville-étape incontournable pour les touristes, cela fait en effet de longs mois que les liaisons téléphoniques et internet sont perturbées. Yaroslavl est en effet aussi une ville industrielle importante, ce qui fait d'elle une cible dans le conflit avec l'Ukraine. « On a ici une raffinerie très importante, elle fournit du pétrole à de nombreuses régions de l'Ouest du pays, explique Nicolas Maschourov. À l'heure actuelle, les règles y sont très strictes à l'intérieur, car il y a un risque de sabotage. Lorsque vous entrez dans l'usine, vous n'êtes même pas autorisé à prendre votre téléphone, vous devez le laisser dans votre voiture. Et si jamais vous avez oublié et qu'il est resté dans votre poche, l'amende que vous encourez atteint 30 000 roubles. Si on vous attrape une deuxième fois avec, vous êtes viré. Tout ça, c'est parce que cette raffinerie est périodiquement attaquée par des drones. Heureusement, jusque-là, les attaques ne se sont produites que vers 5 ou 6 heures du matin, lorsque les travailleurs n'étaient pas là. Mais la situation là-bas est quand même assez tendue. L'Internet mobile y est généralement désactivé. » Ce vendredi 12 décembre, selon les médias locaux, une attaque contre la raffinerie a été à l'origine d'un incendie. Une partie des routes y menant ont été fermées, causant des bouchons de plusieurs kilomètres. Mais le plus fréquent pour parer aux attaques reste de couper le réseau. « L'Internet mobile dans toute la ville est de toute façon souvent en mauvais état désormais, avance le professeur d'histoire et guide touristique. De temps en temps, c'est même totalement coupé ». À lire aussiRussie: le contrôle étatique de l'expression publique sur les réseaux sociaux s'accélère « J'ai envie de hurler tellement je suis furieux et tellement je trouve ça injuste. » Première conséquence : impossible d'utiliser la géolocalisation, très répandue en Russie. Mais d'autres usages sont désormais limités. Dans sa cuisine, avec sa bouilloire qui siffle sur le gaz pour chauffer l'eau du thé, Andrey Akimov explique qu'il aimerait pouvoir publier à sa guise sur les réseaux sociaux. « Je gère plusieurs chaînes Telegram, explique cet avocat et secrétaire d'un petit parti, qui tente d'être officiellement enregistré par les autorités. J'y poste diverses choses, et tout est légal et officiel. Mais parfois c'est impossible à faire. J'essaie une fois, deux fois. Puis je me dis : “Ok, je réessaie dans 10 minutes", et c'est peut-être à ce moment-là que j'ai un ressenti de 5% d'inconfort. Je réessaie trois- quatre fois. Et si, à la cinquième tentative, une demi-heure plus tard, je ne peux toujours pas publier, je commence à ressentir de l'anxiété et de la colère. À ce moment-là, bien sûr, mon inconfort est à 100%. J'ai envie de hurler tellement je suis furieux et tellement je trouve ça injuste ». Pour lui, les exigences sécuritaires d'un pays en conflit ne sont pas les seuls motifs à ces restrictions de plus en plus importantes. Avec prudence et des mots très pesés, il avance : « Je vais dire les choses de cette façon : je comprends un peu la stratégie des autorités. Il y a une tendance à réduire les libertés, à contrôler les ressources Internet. Mais c'est beaucoup plus facile de le faire si on procède progressivement, pas à pas, en supprimant une partie des droits et libertés des citoyens petit à petit, de telle sorte que l'indignation soit étalée dans le temps et qu'il n'y ait pas de pic soudain ». Depuis cet été, les autorités ont mis en place une messagerie nationale, Max, et tentent de convaincre les citoyens d'y migrer, la présentant comme plus sûre. Les critiques avancent qu'il s'agit d'une stratégie visant à surveiller les contenus, car Max est présentée comme totalement transparente pour les services de sécurité. Entre blocage des messageries étrangères et coupures de l'internet, de plus en plus de Russes vivent depuis plusieurs mois à l'heure des restrictions de communication. À lire aussiVers un «goulag numérique»: comment la Russie développe le contrôle et la surveillance de ses citoyens Yaroslavl est très loin d'être la seule ville touchée. Aux derniers décomptes effectués mi-décembre, une quarantaine de régions sur les 89 que compte la Russie ont souffert depuis le printemps d'incidents de types variés. Toutes les régions frontalières ou proches de la zone de combat sont plus ou moins touchées, de Rostov à Koursk et Voronej, ainsi que des villes de garnison comme Pskov ou des régions abritant d'importantes usines du complexe militaro-industriel comme celle de Sverdlovsk. D'autres villes et régions à des milliers de kilomètres à l'est ont aussi enregistré des plaintes d'usagers au sujet de très longues coupures : en Sibérie, à Omsk ou en Yakoutie, jusqu'à Khabarovsk, le Kamchatka et Sakhaline dans l'Extrême-Orient. Même Saint-Pétersbourg, deuxième ville du pays, a été le théâtre de deux jours consécutifs de perturbations. À Moscou, depuis mai dernier, des pannes régulières mais courtes sont observées. Comme à Yaroslavl, les autorités régionales expliquent en général ces coupures comme des « mesures de sécurité visant à se protéger contre les attaques de drones ». Selon le groupe de travail du kraï de Krasnodar, « un adversaire peut utiliser l'internet mobile à haut débit pour contrôler des drones et perpétrer des attentats terroristes ». Ces restrictions sont imposées dès réception d'un signal de « menace drone » et sont techniquement temporaires. Wikipedia.ru a fait ce décompte : 69 coupures avaient déjà été enregistrées en mai, mais en juin, ce nombre était passé à 655, et en juillet, il a atteint le chiffre record de 2 099 coupures à travers le pays. Ce chiffre a dépassé le total mondial des blocages d'internet pour toute l'année 2024 (296 incidents dans 54 pays), faisant de la Russie le pays le plus touché par les pannes de communications numériques. « Notre pays est en état de guerre, [...] nous ne pouvons pas revendiquer les libertés que nous avions auparavant. » À quelques kilomètres de Moscou, la ville de Balachika est une zone connue pour abriter notamment une importante base de l'armée russe. Une tradition ancienne : sous l'Union soviétique, la ville était d'ailleurs interdite aux étrangers. Zina, 42 ans, m'accueille dans la cour en bas de son immeuble, dans cette ville où elle a déménagé il y a trois ans « pour la nature et la vue sur le canal ». Pour elle, toutes les mesures de restrictions prises pour internet sont justifiées, y compris cette autre, récente, qui bloque l'usage des cartes SIM, russes comme étrangères, pendant 24 heures à tout retour de l'étranger. « Je comprends très bien qu'une carte SIM pourrait soudainement ne plus être entre les mains de son propriétaire officiel. Elle pourrait être volée, avec le téléphone ou pas d'ailleurs. Et cette carte SIM pourrait être utilisée par d'autres personnes à leurs propres fins. Moi, je compare cette décision à la quarantaine temporaire obligatoire pendant le Covid-19 ou à l'usage des masques. On peut quand même trouver le moyen de s'organiser et préparer un retour de vacances. Je comprends que des gens soient très énervés, mais notre pays est en état de guerre, alors pour moi, c'est évident, nous ne pouvons pas revendiquer les libertés que nous avions auparavant », affirme-t-elle. Pour elle, le vrai problème, qui la concerne de près, est ailleurs. « Je vais vous dire qui traverse, à cause de tout ça, de vraies difficultés, avance-t-elle. Ce sont ceux qui ne gagnaient leur vie que grâce au blogging, en vendant des publicités, par exemple, ou en monétisant leurs publications. C'est vrai, il existe des plateformes alternatives à celles qu'on avait avant, mais avec celles-là, on ne peut pas gagner autant d'argent. Elles sont mal conçues. Et cela a un impact sur toutes ces personnes, tous ces entrepreneurs, qui pendant de nombreuses années ont construit un système de diffusion en continu, produisaient du contenu. En fait, chaque blogueur avait en quelque sorte créé sa propre petite agence. C'est un système qui s'est effondré ». Sans Instagram, classé extrémiste en Russie, et avec l'interdiction depuis cet automne d'y faire de la publicité, Internet qui rame est le dernier clou dans le cercueil de son activité professionnelle de bloggeuse-coiffure. Sur un an, Zina chiffre sa perte de revenu à 80%. À lire aussiLa Russie resserre encore son contrôle sur internet
Après le bannissement en 2022 de Facebook et d'Instagram, réseaux emblématiques du groupe Meta, les autorités russes renforcent leur emprise sur les espaces de l'internet et des applications étrangères. Depuis cet été, les appels via WhatsApp, FaceTime et Telegram sont bloqués, au nom de la lutte contre le fléau des fraudeurs. D'autres coupures et interdictions sont, quant à elles, justifiées au nom de la sécurité nationale, et notamment les attaques de drones. « Désolé de ne pas avoir donné signe de vie, mon téléphone s'est soudainement éteint et l'écran est devenu tout noir. Je ne comprends pas ce qu'il s'est passé. » Casquette sur la tête, bouille bienveillante et souriante, Nicolas Maschourov arrive tout essoufflé et un poil en retard au rendez-vous sur une place du centre de Yaroslavl, face à l'un des monastères les plus célèbres de cette ville au riche passé historique. Au fond, ce mystérieux incident du jour n'est pour lui qu'un de ceux qui s'ajoutent à une longue liste, tant la vie quotidienne est déjà bien compliquée localement. Dans cette ville-étape incontournable pour les touristes, cela fait en effet de longs mois que les liaisons téléphoniques et internet sont perturbées. Yaroslavl est en effet aussi une ville industrielle importante, ce qui fait d'elle une cible dans le conflit avec l'Ukraine. « On a ici une raffinerie très importante, elle fournit du pétrole à de nombreuses régions de l'Ouest du pays, explique Nicolas Maschourov. À l'heure actuelle, les règles y sont très strictes à l'intérieur, car il y a un risque de sabotage. Lorsque vous entrez dans l'usine, vous n'êtes même pas autorisé à prendre votre téléphone, vous devez le laisser dans votre voiture. Et si jamais vous avez oublié et qu'il est resté dans votre poche, l'amende que vous encourez atteint 30 000 roubles. Si on vous attrape une deuxième fois avec, vous êtes viré. Tout ça, c'est parce que cette raffinerie est périodiquement attaquée par des drones. Heureusement, jusque-là, les attaques ne se sont produites que vers 5 ou 6 heures du matin, lorsque les travailleurs n'étaient pas là. Mais la situation là-bas est quand même assez tendue. L'Internet mobile y est généralement désactivé. » Ce vendredi 12 décembre, selon les médias locaux, une attaque contre la raffinerie a été à l'origine d'un incendie. Une partie des routes y menant ont été fermées, causant des bouchons de plusieurs kilomètres. Mais le plus fréquent pour parer aux attaques reste de couper le réseau. « L'Internet mobile dans toute la ville est de toute façon souvent en mauvais état désormais, avance le professeur d'histoire et guide touristique. De temps en temps, c'est même totalement coupé ». À lire aussiRussie: le contrôle étatique de l'expression publique sur les réseaux sociaux s'accélère « J'ai envie de hurler tellement je suis furieux et tellement je trouve ça injuste. » Première conséquence : impossible d'utiliser la géolocalisation, très répandue en Russie. Mais d'autres usages sont désormais limités. Dans sa cuisine, avec sa bouilloire qui siffle sur le gaz pour chauffer l'eau du thé, Andrey Akimov explique qu'il aimerait pouvoir publier à sa guise sur les réseaux sociaux. « Je gère plusieurs chaînes Telegram, explique cet avocat et secrétaire d'un petit parti, qui tente d'être officiellement enregistré par les autorités. J'y poste diverses choses, et tout est légal et officiel. Mais parfois c'est impossible à faire. J'essaie une fois, deux fois. Puis je me dis : “Ok, je réessaie dans 10 minutes", et c'est peut-être à ce moment-là que j'ai un ressenti de 5% d'inconfort. Je réessaie trois- quatre fois. Et si, à la cinquième tentative, une demi-heure plus tard, je ne peux toujours pas publier, je commence à ressentir de l'anxiété et de la colère. À ce moment-là, bien sûr, mon inconfort est à 100%. J'ai envie de hurler tellement je suis furieux et tellement je trouve ça injuste ». Pour lui, les exigences sécuritaires d'un pays en conflit ne sont pas les seuls motifs à ces restrictions de plus en plus importantes. Avec prudence et des mots très pesés, il avance : « Je vais dire les choses de cette façon : je comprends un peu la stratégie des autorités. Il y a une tendance à réduire les libertés, à contrôler les ressources Internet. Mais c'est beaucoup plus facile de le faire si on procède progressivement, pas à pas, en supprimant une partie des droits et libertés des citoyens petit à petit, de telle sorte que l'indignation soit étalée dans le temps et qu'il n'y ait pas de pic soudain ». Depuis cet été, les autorités ont mis en place une messagerie nationale, Max, et tentent de convaincre les citoyens d'y migrer, la présentant comme plus sûre. Les critiques avancent qu'il s'agit d'une stratégie visant à surveiller les contenus, car Max est présentée comme totalement transparente pour les services de sécurité. Entre blocage des messageries étrangères et coupures de l'internet, de plus en plus de Russes vivent depuis plusieurs mois à l'heure des restrictions de communication. À lire aussiVers un «goulag numérique»: comment la Russie développe le contrôle et la surveillance de ses citoyens Yaroslavl est très loin d'être la seule ville touchée. Aux derniers décomptes effectués mi-décembre, une quarantaine de régions sur les 89 que compte la Russie ont souffert depuis le printemps d'incidents de types variés. Toutes les régions frontalières ou proches de la zone de combat sont plus ou moins touchées, de Rostov à Koursk et Voronej, ainsi que des villes de garnison comme Pskov ou des régions abritant d'importantes usines du complexe militaro-industriel comme celle de Sverdlovsk. D'autres villes et régions à des milliers de kilomètres à l'est ont aussi enregistré des plaintes d'usagers au sujet de très longues coupures : en Sibérie, à Omsk ou en Yakoutie, jusqu'à Khabarovsk, le Kamchatka et Sakhaline dans l'Extrême-Orient. Même Saint-Pétersbourg, deuxième ville du pays, a été le théâtre de deux jours consécutifs de perturbations. À Moscou, depuis mai dernier, des pannes régulières mais courtes sont observées. Comme à Yaroslavl, les autorités régionales expliquent en général ces coupures comme des « mesures de sécurité visant à se protéger contre les attaques de drones ». Selon le groupe de travail du kraï de Krasnodar, « un adversaire peut utiliser l'internet mobile à haut débit pour contrôler des drones et perpétrer des attentats terroristes ». Ces restrictions sont imposées dès réception d'un signal de « menace drone » et sont techniquement temporaires. Wikipedia.ru a fait ce décompte : 69 coupures avaient déjà été enregistrées en mai, mais en juin, ce nombre était passé à 655, et en juillet, il a atteint le chiffre record de 2 099 coupures à travers le pays. Ce chiffre a dépassé le total mondial des blocages d'internet pour toute l'année 2024 (296 incidents dans 54 pays), faisant de la Russie le pays le plus touché par les pannes de communications numériques. « Notre pays est en état de guerre, [...] nous ne pouvons pas revendiquer les libertés que nous avions auparavant. » À quelques kilomètres de Moscou, la ville de Balachika est une zone connue pour abriter notamment une importante base de l'armée russe. Une tradition ancienne : sous l'Union soviétique, la ville était d'ailleurs interdite aux étrangers. Zina, 42 ans, m'accueille dans la cour en bas de son immeuble, dans cette ville où elle a déménagé il y a trois ans « pour la nature et la vue sur le canal ». Pour elle, toutes les mesures de restrictions prises pour internet sont justifiées, y compris cette autre, récente, qui bloque l'usage des cartes SIM, russes comme étrangères, pendant 24 heures à tout retour de l'étranger. « Je comprends très bien qu'une carte SIM pourrait soudainement ne plus être entre les mains de son propriétaire officiel. Elle pourrait être volée, avec le téléphone ou pas d'ailleurs. Et cette carte SIM pourrait être utilisée par d'autres personnes à leurs propres fins. Moi, je compare cette décision à la quarantaine temporaire obligatoire pendant le Covid-19 ou à l'usage des masques. On peut quand même trouver le moyen de s'organiser et préparer un retour de vacances. Je comprends que des gens soient très énervés, mais notre pays est en état de guerre, alors pour moi, c'est évident, nous ne pouvons pas revendiquer les libertés que nous avions auparavant », affirme-t-elle. Pour elle, le vrai problème, qui la concerne de près, est ailleurs. « Je vais vous dire qui traverse, à cause de tout ça, de vraies difficultés, avance-t-elle. Ce sont ceux qui ne gagnaient leur vie que grâce au blogging, en vendant des publicités, par exemple, ou en monétisant leurs publications. C'est vrai, il existe des plateformes alternatives à celles qu'on avait avant, mais avec celles-là, on ne peut pas gagner autant d'argent. Elles sont mal conçues. Et cela a un impact sur toutes ces personnes, tous ces entrepreneurs, qui pendant de nombreuses années ont construit un système de diffusion en continu, produisaient du contenu. En fait, chaque blogueur avait en quelque sorte créé sa propre petite agence. C'est un système qui s'est effondré ». Sans Instagram, classé extrémiste en Russie, et avec l'interdiction depuis cet automne d'y faire de la publicité, Internet qui rame est le dernier clou dans le cercueil de son activité professionnelle de bloggeuse-coiffure. Sur un an, Zina chiffre sa perte de revenu à 80%. À lire aussiLa Russie resserre encore son contrôle sur internet
Notre réussite et notre valeur personnelle ne doivent rien à notre ascension dans ce que le monde appelle l'échelle du succès. Ils ne résident pas dans une promotion au travail, une plus grande maison, une plus belle voiture ou la fréquentation des bons milieux sociaux. Heureusement, le véritable succès est plus simple… et plus profond que cela. La véritable réussite dans la vie, c'est connaître Dieu et la puissance de sa résurrection. C'est savoir qu'il vous aime d'un amour inconditionnel et qu'il vous agrée en Jésus, son Fils bien-aimé, qui est mort pour payer le prix de vos péchés. C'est vivre pour Dieu et sa gloire. Soyez un bon intendant des capacités et des ressources qu'il vous a confiées, et vous serez sûr de réussir, parce qu'il sera avec vous tout au long de votre chemin. Ne vous comparez jamais à autrui pour déterminer votre réussite. Soyez vous-même et faites du mieux que vous pouvez. Vous avez ce qu'il faut pour réussir ! Merci Père, parce que la véritable réussite se trouve en toi et non dans ce que le monde peut offrir. Je suis reconnaissant pour le don du salut et pour ta présence constante à mes côtés. Alors que je fais de mon mieux pour toi, je sais que je suis destiné à réussir. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
Le compte à rebours est lancé ! Maintenant Vous Savez vous accompagne jusqu'à Noël avec des épisodes dédiés aux fêtes de fin d'année. Maintenant Vous Savez, c'est aussi Maintenant Vous Savez - Santé et Maintenant Vous Savez - Culture. Qui dit Noël dit repas de Noël, et donc courses de Noël. Entre amuse-bouche, en entrée ou en plat, le saumon est synonyme de menu festif pour de nombreux Français. Mais pour se régaler et prendre soin de sa santé, encore faut-il bien le choisir. Plusieurs éléments entrent en jeu. Heureusement pour les consommateurs, les industriels ont l'obligation de mentionner certains éléments. Il suffit donc de bien lire l'emballage du saumon pour pouvoir choisir le meilleur pour notre santé. À quoi faut-il faire attention quand on achète du saumon fumé ? Quelle est la différence entre un salage à sec et une injection de saumure ? La distinction entre poisson d'élevage et poisson sauvage est-elle importante ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Eva Depierre. Première diffusion : décembre 2024 À écouter aussi : Pourquoi les Japonais mangent-ils du KFC à Noël ? Pourquoi mange-t-on de la bûche à Noël ? Quelles sont les 3 traditions de Noël les plus bizarres du monde ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Santé". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Alors que Julien Courbet avait lancé la pub trop tôt, Stan, le rédacteur en chef de l'émission lui a bien sauvé la mise, en comblant le trou avec brio ! Heureusement qu'il n'est pas rancunier... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le constat est implacable, Bibi est atteint d'une maladie très grave. Heureusement, le journaliste connaît un remède miracle ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec deux millions de modèles d'intelligence artificielle générative disponibles, la startup franco-américaine Hugging Face est devenue la référence en matière d'IA open source. Elle prend désormais le virage des agents IA et de la robotique.Interview : Jeff Boudier, Directeur commercial chez Hugging FaceVous proposez aujourd'hui plus de deux millions de modèles sur Hugging Face, comment expliquer une telle diversité ?L'IA ne se limite pas aux LLM comme ChatGPT : c'est un écosystème immense, une véritable foret amazonienne. Sur Hugging Face, on trouve des modèles qui génèrent du texte, mais aussi des images, de la vidéo, du son, qui travaillent dans toutes les langues ou encore sur des applications métiers comme la finance.Notre mission est claire : démocratiser l'IA. Nous ne voulons pas d'un monde dominé par une poignée d'acteurs. Toute organisation, quelle que soit sa taille, doit pouvoir construire sa propre IA.Pour cela, nous hébergeons des millions de modèles, datasets et applications, et nous fournissons des outils open source comme nos librairies d'entraînement ou l'écosystème Spaces, notre véritable App Store de l'IA. Plus de 12 millions d'AI builders les utilisent aujourd'hui.Pourquoi vous être lancé aussi dans la robotique ?Nous publions de nombreuses ressources scientifiques — de véritables “bouquins techniques” comme The Ultra-Scale Playbook — pour aider la communauté à comprendre et construire des modèles, mais il fallait aussi quelque chose de plus tangible pour le grand public. C'est là qu'intervient Richie Mini, notre robot pédagogique conçu avec Pollen Robotics (que nous avons acquis). Il écoute, voit, parle, interagit… et permet d'expérimenter concrètement avec des modèles de vision ou de parole. Le lancement a dépassé toutes nos attentes : plus de 5 000 robots vendus le premier mois, disponibles dans le monde entier pour environ 300 dollars.Les agents IA sont-ils la prochaine révolution ?Oui, les agents représentent clairement l'évolution naturelle de l'IA. L'an dernier, à AWS re:Invent, on parlait d'IA générative. Cette année, tout tourne autour des agents. Un agent ne se contente plus de générer une réponse : il choisit des outils, raisonne, explore plusieurs chemins avant d'aboutir. Cela ouvre d'immenses possibilités mais aussi de nouveaux défis, notamment technologiques et économiques : un système agent peut consommer des millions de tokens, ce qui change complètement l'équation du coût. Heureusement, les modèles ouverts ont fait un bond spectaculaire. Chaque semaine, un nouveau modèle open source de pointe apparaît sur Hugging Face : Mistral 3, DeepSeek V3.2, Qwen, etc. Avec Hugging Chat, on peut créer soi-même un agent capable de naviguer, raisonner ou utiliser des outils.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don
On sait peu de choses sur l'enfance de Freddie Mercury. Du moins par lui. Le chanteur se confiait très peu à la presse et même aux amis, sur ses années de Freddie Bulsara.Bulsara ? Tiens c'est le nom des deux Indiens qui se sont un jour pointés après un concert de Queen demandant à le voir, ils disaient qu'ils étaient ses cousins. Et alors ? Ben, il a refusé de les voir. Est-ce pour faire un trait sur les traumatismes qu'il a vécus ? Freddie était un enfant de bons bourgeois de Zanzibar, cette terre africaine paradisiaque en bord de mer, le père était un fonctionnaire de l'empire britannique. Mais une révolution a tout fait s'écrouler : en quittant précipitamment son poste, Bomi Bulsara et sa famille ont tout perdu. De privilégiés en Afrique, ils sont devenus des riens du tout à Londres où ils ont débarqués après avoir tout abandonné derrière eux. Les voilà devenus des Pakis comme les autres, eux qui sont pourtant issus d'une très ancienne communauté. Mais le premier traumatisme, Freddie l'avait vécu bien plus tôt. C'est celui de l'abandon, du grand départ alors qu'il était encore enfant, pour un internat indien élitiste : soixante jours de voyage au milieu des années 50 pour l'amener au milieu de la jungle, en altitude, dans un collège où il va selon ses dires, devoir soudain grandir terriblement vite pour assurer ses arrières. Port de l'uniforme, lever à six heures, coucher à 21.30, devoirs le soir, inspection dans la cour de récréation, coiffure, uniforme, Freddie a vraiment intérêt à faire tout ce qu'on lui demande. Un collège avec son inévitable attirail de harcèlements divers et variés, celui de Freddie est tout trouvé, on l'a surnommé Bucky, comme Bugs Bunny, à cause de ses dents de lapin. Un harcèlement tellement épuisant qu'il prend des cours de boxe où il excelle. Mais quand elle l'apprend, sa mère prend peur, écrit au directeur et Freddie se retrouve devant une table de ping-pong pendant les heures de gymnastique.Heureusement qu'il y a la chorale une fois par semaine et puis les cours particuliers de piano où il se montre excellent. Il est vrai que tout petit, à Zanzibar, Freddie restait des heures devant le pick-up à écouter des symphonies de Beethoven, concertos pour piano de Mozart et même, des cantates de Bach. Mais Freddie ne montre pas d'excellentes prédispositions que pour la musique, il y a aussi la poésie et le dessin. Il écrit et dessine partout et tout le temps. Comme ce jour que sa tante, celle qui vit près de son internat, n'est pas prête d'oublier. Freddie arrive en effet près d'elle et lui offre un dessin représentant deux chevaux pris dans une tempête au bord de la mer. C'est magnifique. Mais qu'est-ce que c'est, Freddie ? Ma sœur et moi, répond-il. Il n'en dira pas plus, Freddie est très réservé. Mais pas asocial, non. A l'école, il s'est entouré d'un petit groupe, comme si, en quête d'affection, il cherchait à se recréer un environnement familial.
Heureusement, la lutine a pu compter sur les rennes du Père Noël pour la sauver et lʹemmener loin du village. La voilà maintenant dans les airs en compagnie de Tonnerre, Rudolph, Cupidon et Eclair qui lui proposent de la raccompagner chez elle. Mais au fait, cʹest où chez elle ? Ecrit par : Christine Pompéï Musique originale : Christophe Farin Avec les voix de : Julie Winz Arnaud Mathey Lisa Courvallet Réalisation : Sandro Lisci Production : Julie Winz
Nous sommes à la toute fin du XIXe siècle, à Bruxelles. Paul Otlet, juriste, documentaliste, philanthrope, qui sera à l'origine, avec Henri La Fontaine, de la classification décimale universelle, a entrepris de faire construire une vaste demeure , à l'angle des rues de Livourne et de Florence. La commande a été passée auprès de l'architecte Octave Van Rysselberghe. Henry Van de Velde est en charge de la décoration intérieure. Mais les choses ne se passent pas le mieux du monde. Le 17 décembre 1897, Otlet écrit à Rysselberghe : « Non seulement, j'ai eu à me plaindre comme personne des retards apportés à ma maison, mais, aujourd'hui que je suis à même de constater les malfaçons, je vois qu'on ne m'a pas épargné de ce côté ». Quelques temps plus tard, le commanditaire s'adresse à Van de Velde : « Cher monsieur, monsieur Van Rysselberghe me dit que par la suite de votre absence vous n'avez pu vous occuper de la décoration de la cage d'escalier de ma maison. J'ai un échafaudage placé depuis six semaines et ne puis le conserver plus longtemps. Je suis donc obligé de dire à mon peintre de continuer comme il pourra et de rendre ma maison habitable. Croyez bien que j'en suis fort au regret. » Heureusement, nous le verrons, les choses vont s'arranger. Si Henri Van de Velde est passé à la postérité comme étant l'un des fondateurs de l'Art nouveau en Belgique, le souvenir d'Octave Van Rysselberghe est beaucoup plus discret. Il faut dire que l'architecte, frère du célèbre peintre Théo Van Rysselberghe, n'a laissé aucune archive, aucun écrit, estimant que seuls les bâtiments comptent. Partons donc à sa recherche … Invitée : Françoise Levie « L'architecte fantôme – A la recherche d'Octave Van Rysselberghe » ; Les Impressions Nouvelles. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Premier choix de la Draft NFL 2025 avec des doutes sur sa capacité à briller au plus haut niveau, Cam Ward confirme nos analyses. Pour l'instant, il n'est pas la solution attendue au poste de quarterback pour les Tennessee Titans.Il faut dire que le contexte est très négatif, aux dysfonctionnements récurrents. Mais un premier choix, c'est aussi essayer de changer le visage de la franchise. Avec Cam Ward, on est pour l'instant très loin d'espérer un changement.Heureusement pour lui, il n'est pas le seul à être décevant dans cette cuvée de rookies NFL 2025. Sélectionnés après lui, Travis Hunter et Abdul Carter sont eux aussi très loin de convaincre.Alors, finalement, qui ont brillé dans cette cuvée de rookies NFL 2025 ?Nithinya Simuong et Kevin Renaudet au micro. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On trépigne d'impatience avant les Game Awards! Heureusement, Samus nous tient compagnie. Le grand retour de la chasseuse de primes de Nintendo, qu'on attendait depuis de longues années, est enfin là. Est-ce que le résultat est à la hauteur? C'est un peu tôt pour le dire, mais en tous cas, il y a des surprises au rendez-vous!Côté actus, c'est le séisme avec Netflix qui annonce son intention d'acheter Warner et tout ce qui va avec, y compris quelques studios de jeux prestigieux. On fait le point tous ensemble!Bonne écoute à tous, comme toujours la Belle et le Gamer existe grâce au soutien de ses formidables fans via Patreon, et pour les rejoindre, ça se passe par ici.Voici quelques liens annoncés dans cet épisode:Le discord de La Belle et le Gamer, pour participer au concours, c'est ici: https://discord.com/invite/FEPCTFaBen sera mercredi soir sur le Twitch d'IGN France à 20h30, c'est ici: https://www.twitch.tv/ignfranceBen sera également jeudi soir sur le Twitch de Otaku_Esprit: https://www.twitch.tv/otaku_espritPour rejoindre la communauté de La Belle et le Gamer et nous soutenir, tous les liens utiles se trouvent à l'adresse suivante, y compris l'invitation pour rejoindre notre serveur Discord, et notre chaîne Twitch: https://linktr.ee/LBELG. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quatre-vingtième épisode de Jeux d'Ombres, le podcast d'Ombres Portées 2.0 consacré aux parties jouées de Shadowrun. Cet épisode poursuit la campagne Netzgewitter située à Berlin en 2080, jouée avec Shadowrun : Anarchy.Dans les épisodes précédents : Les choses se compliquent pour Gentle. Coincé dans les couloirs du réseau de bunkers sous la Hauergasse, traqué par les commandos de Saeder-Krupp, il avance sans moyen de communiquer et accompagné d'une vieille orke terrorisée. Peu habitué aux combats en milieu confiné, l'elfe se prépare à vendre chèrement sa peau. Heureusement, ses compagnons sont parvenus à repérer sa position et s'apprêtent à déployer toute leur ingéniosité pour lui porter secours.Vous pouvez trouver sur la Matrice un plan de Caligarikiez et un de ses alentours.Remerciements particuliers à Scott Buckley (https://www.scottbuckley.com.au) dont nous utilisons les morceaux accessibles sous licence CC-BY 4.0.Crédits :Andreas AAS Schroth pour les illustrations de Netzgewitter et notamment la vignette de cette série de podcasts.Pegasus Press, éditeur allemand de Shadowrun et de la campagne Netzgewitter.Catalyst Game Labs, éditeur de Shadowrun.Black Book Editions, éditeur français de Shadowrun et de Shadowrun : Anarchy dont les règles sont utilisées dans cette série de podcast.Shadowrun et la Matrice sont des marques déposées et / ou des marques de fabrique de The Topps Company, Inc. aux États-Unis et / ou dans d'autres pays.
Quatre-vingtième épisode de Jeux d'Ombres, le podcast d'Ombres Portées 2.0 consacré aux parties jouées de Shadowrun. Cet épisode poursuit la campagne Netzgewitter située à Berlin en 2080, jouée avec Shadowrun : Anarchy.Dans les épisodes précédents : Les choses se compliquent pour Gentle. Coincé dans les couloirs du réseau de bunkers sous la Hauergasse, traqué par les commandos de Saeder-Krupp, il avance sans moyen de communiquer et accompagné d'une vieille orke terrorisée. Peu habitué aux combats en milieu confiné, l'elfe se prépare à vendre chèrement sa peau. Heureusement, ses compagnons sont parvenus à repérer sa position et s'apprêtent à déployer toute leur ingéniosité pour lui porter secours.Vous pouvez trouver sur la Matrice un plan de Caligarikiez et un de ses alentours.Remerciements particuliers à Scott Buckley (https://www.scottbuckley.com.au) dont nous utilisons les morceaux accessibles sous licence CC-BY 4.0.Crédits :Andreas AAS Schroth pour les illustrations de Netzgewitter et notamment la vignette de cette série de podcasts.Pegasus Press, éditeur allemand de Shadowrun et de la campagne Netzgewitter.Catalyst Game Labs, éditeur de Shadowrun.Black Book Editions, éditeur français de Shadowrun et de Shadowrun : Anarchy dont les règles sont utilisées dans cette série de podcast.Shadowrun et la Matrice sont des marques déposées et / ou des marques de fabrique de The Topps Company, Inc. aux États-Unis et / ou dans d'autres pays.
L'enquête prend une tournure inattendue. Pour trouver le coupable, il va falloir s'aventurer dans des endroits où même les plus courageux n'osent pas mettre les pieds. Heureusement, Louna a plus d'un tour dans son sac. Enfin... espérons."Crédits : Merci à Sybel de m'avoir aidé à produire cette histoire et de m'avoir permis de la diffuser gratuitement. Cette histoire a été écrite par Mathieu Genelle. Racontée par Karine Texier et Arnaud Guillou. Enregistrement et montage : Léa Chevrier. Illustration : Yuio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Inde, le Kerala affirme depuis peu en avoir fini avec l'extrême pauvreté. C'est une première parmi les États d'Inde, un pays qui reste encore souvent associé aux scènes de misère. Le Kerala est un État communiste, avec de fortes politiques publiques dans la santé ou l'éducation. Sur place, certains jugent cependant que l'annonce de la fin de la pauvreté est précipitée. De notre correspondant à Kerala, La maison de Rajan et Jayanthi, au carrelage impeccable, a été inaugurée il y a moins d'une semaine. Le couple, qui habite la région montagneuse et tropicale de Wayanad, en Inde, revient de loin. « J'étais conducteur d'auto rickshaw. Mais durant le Covid-19, j'ai eu un grave accident. Je suis resté en chaise roulante. Ma femme et mes deux enfants ont été soudainement privés de revenus. Nous survivions dans une cabane, sans espoir. Heureusement, le gouvernement est venu nous aider », raconte Rajan. Grâce au programme d'éradication de la pauvreté, Rajan et Jayanthi achètent une mini-échoppe, puis reçoivent un apport pour construire leur maison. Aujourd'hui, le couple relève la tête, comme d'autres, explique un élu local. « Dans le district, nous avons identifié 118 familles comme extrêmement pauvres. Avec notre aide, 22 ont pu construire une maison, six ont eu des terres à cultiver, 43 ont bénéficié d'aide alimentaire, 14 ont pu trouver un boulot, etc. » Sarojini, une femme isolée, en a aussi bénéficié. « J'ai 60 ans et je travaillais dans l'agriculture, en gagnant un peu plus d'un euro par jour. Désormais employée dans des toilettes publiques, je gagne plus de trois euros. Ça a vraiment changé ma vie. » « Plus personne ne fait face à une pauvreté extrême » Le plan contre la pauvreté du Kerala, encore aujourd'hui dirigé par le Parti Communiste, remonte à 1997. En ce mois de novembre, le dirigeant de cet État du Sud affirme qu'il a atteint cet objectif fondamental. « Il y a 50 ans, les chercheurs nous classaient parmi les États les plus défavorisés de l'Inde. Aujourd'hui, plus personne ne fait face à une pauvreté extrême au Kerala », souligne Pinarayi Vijayan. Mais comment définir la pauvreté extrême ? Si la Banque mondiale se base sur le salaire quotidien, le Kerala mélange critères économiques, sanitaires et alimentaires. L'économiste P. R. Kannan déplore un manque de transparence : « Le Kerala avance, c'est indéniable. Mais avant d'affirmer que la pauvreté a disparu, le gouvernement doit publier ses données, sa méthodologie et les experts qui ont encadré ces statistiques. » Les aides du gouvernement échappent aux personnes isolées Nusrath, une élue de l'opposition à Wayanad, nous a emmenés rencontrer des habitants ignorés, selon elle, par les programmes du gouvernement. « Il y a des gens qui, parce qu'ils sont trop isolés, échappent encore aux aides gouvernementales. Si nous, dans l'opposition, validons que la pauvreté a disparu, les budgets vont disparaître alors qu'ils en ont encore grand besoin ! » Pour l'instant, le gouvernement du Kerala n'a pas clairement répondu aux experts et opposants qui jugent qu'il crie victoire trop rapidement.
En Inde, le Kerala affirme depuis peu en avoir fini avec l'extrême pauvreté. C'est une première parmi les États d'Inde, un pays qui reste encore souvent associé aux scènes de misère. Le Kerala est un État communiste, avec de fortes politiques publiques dans la santé ou l'éducation. Sur place, certains jugent cependant que l'annonce de la fin de la pauvreté est précipitée. De notre correspondant à Kerala, La maison de Rajan et Jayanthi, au carrelage impeccable, a été inaugurée il y a moins d'une semaine. Le couple, qui habite la région montagneuse et tropicale de Wayanad, en Inde, revient de loin. « J'étais conducteur d'auto rickshaw. Mais durant le Covid-19, j'ai eu un grave accident. Je suis resté en chaise roulante. Ma femme et mes deux enfants ont été soudainement privés de revenus. Nous survivions dans une cabane, sans espoir. Heureusement, le gouvernement est venu nous aider », raconte Rajan. Grâce au programme d'éradication de la pauvreté, Rajan et Jayanthi achètent une mini-échoppe, puis reçoivent un apport pour construire leur maison. Aujourd'hui, le couple relève la tête, comme d'autres, explique un élu local. « Dans le district, nous avons identifié 118 familles comme extrêmement pauvres. Avec notre aide, 22 ont pu construire une maison, six ont eu des terres à cultiver, 43 ont bénéficié d'aide alimentaire, 14 ont pu trouver un boulot, etc. » Sarojini, une femme isolée, en a aussi bénéficié. « J'ai 60 ans et je travaillais dans l'agriculture, en gagnant un peu plus d'un euro par jour. Désormais employée dans des toilettes publiques, je gagne plus de trois euros. Ça a vraiment changé ma vie. » « Plus personne ne fait face à une pauvreté extrême » Le plan contre la pauvreté du Kerala, encore aujourd'hui dirigé par le Parti Communiste, remonte à 1997. En ce mois de novembre, le dirigeant de cet État du Sud affirme qu'il a atteint cet objectif fondamental. « Il y a 50 ans, les chercheurs nous classaient parmi les États les plus défavorisés de l'Inde. Aujourd'hui, plus personne ne fait face à une pauvreté extrême au Kerala », souligne Pinarayi Vijayan. Mais comment définir la pauvreté extrême ? Si la Banque mondiale se base sur le salaire quotidien, le Kerala mélange critères économiques, sanitaires et alimentaires. L'économiste P. R. Kannan déplore un manque de transparence : « Le Kerala avance, c'est indéniable. Mais avant d'affirmer que la pauvreté a disparu, le gouvernement doit publier ses données, sa méthodologie et les experts qui ont encadré ces statistiques. » Les aides du gouvernement échappent aux personnes isolées Nusrath, une élue de l'opposition à Wayanad, nous a emmenés rencontrer des habitants ignorés, selon elle, par les programmes du gouvernement. « Il y a des gens qui, parce qu'ils sont trop isolés, échappent encore aux aides gouvernementales. Si nous, dans l'opposition, validons que la pauvreté a disparu, les budgets vont disparaître alors qu'ils en ont encore grand besoin ! » Pour l'instant, le gouvernement du Kerala n'a pas clairement répondu aux experts et opposants qui jugent qu'il crie victoire trop rapidement.
Cet épisode est présenté par Solveig qui propose des vêtements qui se portent avant, pendant et après la grossesse. Tous les morceaux sont adaptés pour l'allaitement. La mission de Solveig est de créer des vêtements aussi beaux que confortables pour aider les femmes à se sentir confiantes dans les périodes de grands changements corporels, parce qu'avant d'être des mères, nous restons avant tout des femmes. Pantalons, jupe, hauts, robes, tous les produits Solveig se retrouvent sur le site solveigmama.com Merci également à Jadou & Flo : les livres souvenirs qui sont là pour vous aider à préserver sans effort chaque étape de la vie de votre enfant, de l'annonce de la grossesse jusqu'à l'âge 5 ans. Avec leur design élégant et intemporel, leurs pages simples et intuitives, leurs pochettes intégrées et leur boîte souvenir, ils transforment vos moments importants en un souvenir rempli d'amour et de tendresse. Un magnifique cadeau pour vous, et vos humains! Découvrez les livres sur le https://jadouflo.com Lors d'un voyage au Costa Rica, Julianne a vécu un coup de foudre avec l'homme qui deviendra son partenaire de vie et le père de son bébé. Rapidement, ils habitent ensemble dans un écovillage, où la communauté est tissée serrée. Lorsqu'elle tombe enceinte, Julianne n'hésite pas une seconde : elle va accoucher chez elle. Et c'est ce qu'elle fait, entourée de son mari, les deux garçons adolescents de ce dernier, et sa sage-femme. Tout se déroule bien, Julianne gère ses contractions mais lorsque vient le temps de la poussée, les choses se compliquent. Julianne et son bébé ont frôlé la catastrophe puisque son fils est né tout bleu, sans respirer. Heureusement, tout est rentré dans l'ordre grâce aux manœuvres de réanimations de la sage-femme.
Elise Poitrinal, interne en chirurgie orthopédique, au
Les avez-vous vu (ou vuS) se disputer ? Les avez-vous vus (ou vu) s'embrasser ? L'avez vous vu (ou vue) frapper à la porte ? Ce diable de participe passé à la française rend chèvres les auditeurs de RTL. Heureusement, Muriel Gilbert vient à la rescousse !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’approche des fêtes, il y a toujours 27% des parents québécois qui sont en difficulté financière. Heureusement, il y a des fées marraines comme notre invitée qui aide des milliers d'enfants à avoir un Noël comme les autres. Elle a fondé Un cadeau pour un sourire! Entrevue avec Lucie Berthelotte, fondatrice de la fondation Un cadeau pour un sourire! Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La critique rivalise de superlatifs élogieux quand elle détaille lʹalbum " ICU RUN " de Camilla Sparksss. Un disque original de bout en bout, à chaque instant qui sépare le début de la fin. La tentation du name dropping est forte mais Camilla nʹest ni Björk, ni Marie Davidson ou Miss Kittin. Sa façon de sʹapproprier les machines est si personnelle que les images nous manquent quand elle raconte ses projets en radio. Heureusement, il y a le son.
Deux victoires de plus et la série continue, mais sans triomphalisme. Face aux Buccaneers, les Patriots ont enfin livré un match complet : une attaque qui marque à chaque quart-temps pour la première fois depuis 2021, une vraie maîtrise du tempo et un football situationnel impeccable. Seule ombre au tableau : une nouvelle interception de Drake Maye, encore dans les mauvais timings. Les rookies, eux, confirment — Henderson s'impose, Kyle Williams fait exploser les défenses à la moindre occasion. Contre les Jets, le jeudi soir a confirmé cette solidité retrouvée : match maîtrisé, aucun turnover, Maye propre, Hollins, Diggs et Henry au diapason. La défense, en revanche, continue de se faire peur en début de match, et les blessures commencent à s'accumuler : Boutte, Stevenson, et surtout Milton Williams sur la liste des blessés. Heureusement, Durden et Gregory tiennent la baraque, Barmore et Tonga assurent l'essentiel. Bref, les Patriots avancent, mais le banc va devoir assurer.
Merci de soutenir notre travail père-fille 100% indépendant et bénévole en nous offrant le café et en suivant sur instagram le podcast : @ici.venise.Au sommaire de cet épisode Ilona et son papa font un lien inattendu entre la fête traditionnelle de la Salute, plusieurs fois centenaire, et l'élection régionale en Veneto qui se télescopent en cette fin novembre 2025. D'un côté l'invariant de la fête de la Madonna della Salute, de l'autre le changement avec la fin de l'ère de Luca Zaia, un président de région souvent surnommé le Doge…Un peu de nostalgie pour un autre invariant celui-ci en voie de disparition : l'acqua alta, les eaux de marée haute effacées de la vie vénitienne par l'utilisation toujours plus intense des digues mobiles du Mose. Est-ce sauver Venise que de la réduire au régime sec ? Heureusement, il y a Mimmo le dauphin, vedette de l'automne dans une ville dont la toponymie évoque les longs rapports avec ses congénères. Un épisode qui se conclut pourtant sur l'évocation d'un drôle de concombre masqué qui fait une irruption plus inattendue…
Entre rêve et réalité, futur et passé, l'équipe de ComicsDiscovery part à la chasse auserial killer dans 1949 de Dustin Weaver, publié chezDelcourt. Ce polar nous entraîne aux côtés de la lieutenante Blank,partagée entre deux vies séparées par deux siècles. Une enquête qui dépasse les frontières du temps,un tueur insaisissable et une ambiance à mi-chemin entre film noir et science-fiction : on vous racontepourquoi ce titre intrigue autant qu'il surprend. 1949 de Dustin WeaverDustin Weaver est un artiste américain de bande dessinée, né le 3 octobre 1978 àSan Diego (Californie) et ayant grandi à Eagle River (Alaska). Il débute officiellement dans le milieu en 2003,après un passage en tant que stagiaire au sein de WildStorm Studios. Au fil de sa carrière,il a travaillé pour des éditeurs majeurs comme Dark Horse Comics, notamment sur la sérieStar Wars: Knights of the Old Republic, puis pour Marvel Comics,où il a collaboré à des récits autour des X-Men et à la première mini-sérieS.H.I.E.L.D.: Architects of Forever. Weaver est aujourd'hui reconnu pour son trait détaillé,ses compositions ambitieuses et sa capacité à naviguer entre science-fiction, polaret récits d'action. Une époque sombre et violenteLe lecteur suit l'agent Blank, chargée par le FBI de traquer un mystérieuxserial killer qui laisse derrière lui un étrange liquide sur chacune de ses victimes.Dans cette partie du récit, Dustin Weaver plonge pleinement dans les codes dupolar classique : un noir et blanc élégant, des ruelles poisseuses, des flics véreux,une héroïne forte, une violence jamais gratuite, mais toujours pesante. Le travail graphique de Weaver est superbe,jouant avec les ombres et la lumière pour renforcer l'atmosphère oppressante. Retour vers le futurL'autre moitié de ce récit singulier nous projette dans un futur lointain, où l'héroïne sembleévoluer dans un corps robotique, presque déshumanisé. Cette partie du comics troque l'ambiancepolar pour une véritable quête identitaire : qui est-elle réellement ? Quel est son rôle dans ce mondetechnologique et froid qui ne lui renvoie aucune trace de son passé ? À intervalles réguliers, elle est hantée parl'apparition du visage d'une vieille femme, dont elle ne comprend ni le message ni l'intention. Weaver joue ici avecl'abstraction, les ruptures de ton et une mise en scène plus sensorielle, qui tranche volontairement avec le noir etblanc du passé. Et on en a pensé quoi ?Malgré des thématiques intéressantes et un pitch qui avait tout pour être alléchant,Dustin Weaver peine malheureusement à nous accrocher pleinement à son récit.Le lien entre les deux époques censées se répondre et se nourrir l'une l'autre reste flou, trop ténu pour créerl'effet de révélation attendu. On sent clairement sa volonté de construire un récit à twist, à l'image deL'Échelle de Jacob ou Angel Heart, mais la mécanique narrative nesuit pas toujours, et on peine à comprendre où il souhaite nous emmener. Heureusement, la partie graphique, elle, est absolument splendide. C'est clairement un« comics de dessinateur » dans le meilleur sens du terme, et cela compense en grande partie lesfaiblesses du scénario. Les deux époques ont chacune une identité visuelle marquée : un noir et blanc tranchant,presque sale, pour le polar ; une esthétique futuriste plus claire, organique etétrangement apaisante pour la partie futuriste. Weaver y démontre une maîtrise remarquable, entre les influencesvisibles de Moebius pour la SF et celles de Frank Millerpour la partie noire. Visuellement, c'est un véritable régal. Reste que l'on se dit que le projet aurait peut-être gagné en force siDustin Weaver avait collaboré avec un·e scénariste. Son univers et son trait sont puissants,mais un regard extérieur aurait sans doute permis d'ancrer davantage le récit et de renforcer les enjeux entre les deuxlignes temporelles. Retrouvez 1949 dans toutes vos librairies indépendantes.Soutenir les commerces de proximité est plus important que jamais.Ainsi que sur le site de Delcourt : https://www.editions-delcourt.fr/comics/series/serie-1949/album-1949 Vous aimez les récits de SF ou les polars bien noirs ? Voici quelques épisodes deComicsDiscovery qui pourraient aussi vous plaire : Torso de Brian Michael Bendis et Marc Andreyko :http://jamesetfaye.fr/comicsdiscovery-torso-true-crime-bendis/ Silent Jenny de Matthieu Bablet :https://jamesetfaye.fr/silent-jenny-matthieu-bablet-comicsdiscovery-s10e05/ Parker de Richard Stark et Darwyn Cooke :https://jamesetfaye.fr/comicsdiscovery-s04e45-parker/ Le mot de la finMerci d'avoir exploré avec nous 1949, le récit temporel et déroutant de Dustin Weaver, publié chez Delcourt. Une histoire qui oscille entre polar noir et science-fiction, où passé et futur s'entremêlent pour créer une atmosphère unique.Un grand merci à toute l'équipe de ComicsDiscovery pour leurs analyses et leur passion. Vos retours, vos messages et vos recommandations enrichissent chaque épisode et nourrissent notre amour pour la BD indépendante et les récits qui sortent des sentiers battus.N'hésitez pas à nous dire ce que vous avez pensé de 1949 et à échanger avec d'autres passionnés de BD et pop culture ! Retrouvez nos chroniqueurs James : Linktree Faye : Découvrez ses réseaux ici Sophie : Découvrez son Linktr.ee Spades : Linktr.ee Stolas : Instagram Suivez-nous sur les réseaux sociaux Facebook : ComicsDiscovery sur Facebook Twitter (X) : @comicsdiscovery Instagram : @comicsdiscovery sur Instagram TikTok : @jamesetfaye sur TikTok Écoutez nos podcasts Spotify : ComicsDiscovery sur Spotify Ausha : ComicsDiscovery sur Ausha Apple Podcasts : ComicsDiscovery sur Apple Podcasts Deezer : ComicsDiscovery sur Deezer Pour nous soutenirSi vous aimez notre travail et souhaitez aider une équipe passionnée par la BD, vous pouvez nous soutenir surTipeee.Chaque contribution nous aide à continuer à partager notre passion pour la BD, les comics et la pop culture. Rejoignez la communautéÉchangez avec d'autres passionnés sur notre serveur Discord :Rejoindre le serveur Découvrez nos autres productionsRetrouvez nos autres émissions, articles et vidéos sur notre site :https://jamesetfaye.fr/
Hakim Ziyech : Du destin surréaliste de la légende du football marocain ⚽
Vu sur « Au Comptoir Moderne » Dimanche 16 novembre 2025 « Au Comptoir Moderne », épicerie radio itinérante. Au Comptoir Moderne, l‘épicerie radio itinérante va malheureusement aujourd'hui rester au garage ! La 2CV fourgonnette ne veut pas démarrer. Heureusement, dans le garage il y a un bac avec des 45 tours. Yves a téléphoné à la radio et le directeur a répondu : « Passe le […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
BALADO du VENDREDI! Heureusement que FOD pense aux parents pour un Ciné-Cadeau plus osé! SM vous dit quoi manger quand vous êtes triste! On ouvre les lignes aux auditeurs! Suggestion vin avec Phil Lapeyrie!
Rester assis trop longtemps ne nuit pas seulement à la santé physique : cela pourrait aussi abîmer le cerveau. C'est la conclusion d'une étude récente menée conjointement par des chercheurs des universités de Vanderbilt, Pittsburgh et Séoul, publiée en 2025. Ces scientifiques se sont intéressés aux effets du comportement sédentaire sur le cerveau de plusieurs centaines de personnes âgées, et les résultats sont préoccupants.Les participants, âgés de 60 à 80 ans, ont porté des capteurs pendant plusieurs semaines pour mesurer leur activité quotidienne. En parallèle, leur cerveau a été observé par imagerie IRM afin d'évaluer le volume des différentes régions cérébrales. Les chercheurs ont ensuite croisé ces données avec le temps passé assis chaque jour. Leur constat : plus les participants restaient immobiles longtemps, plus certaines zones clés du cerveau montraient une réduction de volume, notamment dans les régions impliquées dans la mémoire, l'attention et la régulation des émotions.Autrement dit, la sédentarité prolongée s'accompagne d'une atrophie cérébrale, un phénomène similaire à celui observé lors du vieillissement accéléré. Les scientifiques ont noté que même chez des personnes qui faisaient un peu d'exercice quotidien, rester assis plusieurs heures d'affilée annulait en partie les bénéfices de cette activité physique. Ce n'est donc pas seulement le manque d'exercice qui pose problème, mais bien la durée continue passée sans bouger.Pourquoi ce lien ? Le mécanisme exact n'est pas encore entièrement élucidé, mais plusieurs hypothèses existent. Le fait de rester assis longtemps réduirait la circulation sanguine vers le cerveau, limitant l'apport d'oxygène et de nutriments essentiels aux neurones. Cela pourrait également perturber l'activité du système glymphatique — le réseau de drainage du cerveau — et favoriser l'accumulation de protéines toxiques comme la bêta-amyloïde, impliquée dans la maladie d'Alzheimer. À plus long terme, cette sous-stimulation neuronale pourrait altérer la plasticité cérébrale, c'est-à-dire la capacité du cerveau à se renouveler et à créer de nouvelles connexions.Heureusement, les chercheurs rappellent qu'il n'est jamais trop tard pour agir. Il suffit de rompre la position assise toutes les 30 à 45 minutes : se lever, marcher quelques minutes, s'étirer ou monter des escaliers suffit déjà à relancer la circulation et l'activité cérébrale.En somme, le message est clair : le cerveau n'aime pas l'immobilité. Bouger régulièrement, même légèrement, est l'un des moyens les plus simples et les plus puissants pour préserver ses capacités cognitives avec l'âge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Martin veut faire construire une piscine. Sauf que son terrain n'est pas pisciniste. Heureusement, son voisin, lui, a un terrain pisciniste. Donc Martin veut faire construire sa piscine sur le terrain de son voisin, qui a un garage automobile. Bon, ça coince un peu.
Martin veut faire construire une piscine. Sauf que son terrain n'est pas pisciniste. Heureusement, son voisin, lui, a un terrain pisciniste. Donc Martin veut faire construire sa piscine sur le terrain de son voisin, qui a un garage automobile. Bon, ça coince un peu.
Chaque jour, 40 000 morceaux générés par l'intelligence artificielle sortent, selon la plateforme de streaming Deezer. Un chiffre impressionnant qui amène à se demander ce qu'il reste d'humain dans la musique… Marc Bourreau a sa réponse et nous dresse une liste de morceaux devenus classiques grâce à leurs fausses notes ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'aventure continue pour notre groupe de charmant personnage. Contre tout attente, ils ont survécu à la quête initiale. Heureusement j'étais préparé et une deuxième commence aujourd'hui. Allons voir quels secrets la forêt d'Emberwood cache-t-elle !! Est-ce que les aventuriers survivront à cette exploration... Il va falloir écouter pour le découvrir.Allons rejoindre :Sir pattes de velour aux oreilles poilues, 3e du nom, un ranger Hatari, joué par Benoit GagnonSolem-Kar, un Divine Wielder, Clank/Drakona, jouée par Martin DuretteBookar Durocher, un magicien Faun, jouée par Jonathan PappinVotre maître de jeu est Ian Richards.Bonne partie
L'un des cas du jour, celui de Florence et de son ex-mari qui lui doit 30 000 euros, n'a pas beaucoup avancé pendant l'émission. Heureusement, Pascal Normand, l'envoyé spécial est allé à sa rencontre pour faire avancer les choses... Dans ce débrief, il revient sur cet échange. Au micro d'Eugène Duval, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : -Régis Le Sommier, journaliste Chroniqueurs : -Gabrielle Cluzel -Erik Tegnér Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
Nous sommes le 3 octobre 1955.En ce jour de rentrée scolaire, la classe est finie pour celui qui, plus tard, deviendra un historien de premier plan, mais ce jour-là, écrit-il dans ses souvenirs : « je suis devenu grand : salarié autonome, je vais gagner ma vie. Tôt levé, j'ai pris le métro pour me rendre d'Arcueil-Cachan à Saint-Philippe-du-Roule, lieu parisien de toutes les promesses de carrière, de promotion, d'ambition ; car là, non loin de la station de métro, se tient le siège cossu de la Compagnie du Niger français qui m'a embauché… » Heureusement pour l'Histoire, l'expérience sera de courte durée. 70 ans plus tard, celui qui avait vingt-deux ans à l'époque, nous invite à la découverte d'un monde disparu mais qui nous parle encore. Les années de l'après-guerre, celles qui précèdent les « Trente Glorieuse ». Des années où les taudis abondent, où l'eau courante et l'électricité ne sont pas encore arrivées dans tous les foyers, la voiture individuelle est un luxe, les paysans représentent le tiers de la population active, la plupart des enfants suivent la carrière de leurs parents, l'enseignement supérieur est quasi fermé aux classes inférieures, la femme mariée doit encore avoir l'autorisation de son mari pour ouvrir un compte en banque, la pilule contraceptive n'est pas encore légale, l'avortement est interdit. C'est une époque où le collectif prime sur le particulier, on s'affirme par son appartenance religieuse, politique, régionale, professionnelle. La grande idée de la construction européenne peine à se réaliser. Qu'y a-t-il de commun entre ce monde d'hier et celui d'aujourd'hui qui semble, lui aussi, à l'aube d'un basculement ? C'est ce que nous allons tenter de comprendre avec notre témoin : Michel Winock. Avec nous : Michel Winock, historien spécialiste de l'histoire de la République française ainsi que des mouvements intellectuels et politiques. Auteur, notamment du « Siècle des intellectuels », pour lequel il a reçu le prix Médicis essai en 1997 et de « Jours anciens » publié chez Gallimard. Sujets traités : Michel Winock, souvenirs, historien, Niger, Trente Glorieuse, avortement, Médicis Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas une émission se passe sans que Julien Courbet ne se fasse raccrocher au nez au moins une fois... Heureusement l'animateur prend cela avec légèreté et propose même de renommer l'émission : "Ça raccroche à mort". Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas toujours simple de s'évaluer à sa juste valeur, n'est-ce pas ? D'ailleurs, souvent du fait de notre éducation, nous avons tendance à nous sous-évaluer par peur de paraître prétentieux.se ou arrogant.e. Et c'est souvent pour cette raison que nous n'osons pas toujours exprimer notre opinion, dire à notre manager que l'on n'est pas d'accord, ou lui demander une augmentation. Heureusement, ce n'est pas une fatalité et je vous propose une méthodologie très simple pour connaître votre vraie valeur. 1️⃣ Déterminez le salaire que vous méritez vraiment2️⃣ Sollicitez du feedback de la part de vos collègues3️⃣ Sollicitez du feedback de la part de votre manager4️⃣ Résumez le tout sur une fiche pour avoir tout cela en teteLes sites de l'Apec ou de l' InseeComment négocier son salaire ?Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on respire, on oublie souvent une évidence : l'air a un poids. Invisible, impalpable, il n'en est pas moins matériel. L'air est en effet un mélange de gaz, essentiellement de l'azote (78 %) et de l'oxygène (21 %), auxquels s'ajoutent de petites quantités d'argon, de dioxyde de carbone et d'autres gaz rares. Or, comme toute matière, ces gaz sont constitués de particules dotées d'une masse.Dans des conditions dites « usuelles », c'est-à-dire au niveau de la mer et à une température de 20 °C, la masse volumique de l'air est d'environ 1,3 kilogramme par mètre cube. Dit autrement, un litre d'air pèse approximativement 1,3 gramme. Cela peut sembler minuscule, mais dès que l'on considère de grands volumes, le poids devient considérable. Par exemple, une pièce de 50 m³ — soit une chambre moyenne — contient environ 65 kilos d'air, soit le poids d'un adulte.Ce poids varie en fonction de la pression et de la température. Si la pression diminue, comme en altitude, la densité de l'air baisse : l'air est alors plus « léger », ce qui explique entre autres la difficulté à respirer en montagne. À l'inverse, si la température augmente, les molécules s'agitent, s'écartent les unes des autres et occupent plus de volume : la masse d'air par litre diminue également. C'est ce principe qui permet aux montgolfières de s'élever : l'air chaud qu'elles contiennent est moins dense que l'air extérieur, plus lourd, ce qui crée une poussée vers le haut.Le poids de l'air n'est pas qu'une curiosité théorique : il a des effets concrets sur notre vie quotidienne. La pression atmosphérique, qui résulte du poids de la colonne d'air au-dessus de nos têtes, exerce environ 1 kilogramme par centimètre carré de surface. Sur tout notre corps, cela représente plusieurs tonnes ! Heureusement, notre organisme est équilibré par la pression interne, et nous ne ressentons pas ce poids.Enfin, cette masse d'air joue un rôle crucial dans la météo et le climat. Les variations de densité créent des mouvements, les fameuses masses d'air chaud ou froid, qui gouvernent vents, tempêtes et précipitations.Ainsi, même s'il est invisible, l'air est loin d'être immatériel. Il a un poids mesurable, qui influence aussi bien la science du vol que notre météo et même notre respiration quotidienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il a grandi à Forbach, sans diplôme, sans réseau, sans plan B. Il a connu la rue, les chantiers, la galère. Mais un jour, il a trouvé un langage que tout le monde pouvait comprendre : la danse. Aujourd'hui, ses chorégraphies ont ému le monde entier. Chaque mouvement raconte son histoire : celle d'un autodidacte devenu phénomène mondial, sans plan de carrière, mais avec une seule obsession : transformer sa liberté en art. De Shakira aux Jeux Olympiques, en passant par les Grammy Awards, J-Lo ou encore les Black Eyed Peas, Sadeck Berrabah est devenu un artiste à rayonnement mondial que rien ne prédestinait à la lumière. Dans le podcast PAUSE, il nous raconte tout : la débrouille, la foi, la chute, la rage, la liberté. Et cette phrase qui résume tout : “Heureusement que j'ai vécu tout ça.”
durée : 00:31:26 - Les Pieds sur terre - par : Sophie Simonot - Grégoire s'est beaucoup cherché, et au collège, le royaume de l'intolérance, les autres n'ont pas toujours été tendres avec lui. Heureusement, sur sa route, il a fait des rencontres : Zoé, sa meilleure amie de lycée et Joé, un ami rencontré sur une application. À eux, il disait tout – ou presque. - réalisation : Sylvain Richard
Un biologiste marin connu, Mauricio Hoyos, s'est fait blesser par un requin.A well-known marine biologist, Mauricio Hoyos, was injured by a shark.Ça s'est passé pendant une mission scientifique super importante près de l'Île Cocos, un spot incroyable pour la vie marine.It happened during a super important scientific mission near Cocos Island, an incredible spot for marine life.Alors, premièrement, les faits.So, firstly, the facts.Mauricio Hoyos c'est un biologiste mexicain de 48 ans.Mauricio Hoyos is a 48-year-old Mexican biologist.Il a été sérieusement touché samedi dernier.He was seriously injured last Saturday.En gros, il essayait de marquer un requin, un beau spécimen d'environ 4 mètres pour pouvoir le suivre.Basically, he was trying to tag a shark, a beautiful specimen about 4 meters long, so they could track it.Et là, au large de l'Île Cocos, le requin l'a mordu à la tête, visage et bras.And there, off the coast of Cocos Island, the shark bit him on the head, face, and arm.Heureusement, on a pu le stabiliser avant de l'envoyer à l'hôpital à San José.Fortunately, they were able to stabilize him before sending him to the hospital in San José.C'était pas juste un touriste qui plongeait, hein, Hoyos, il était là pour une expédition de la One Ocean Worldwide Coalition.He wasn't just a tourist diving, you know, Hoyos, he was there for an expedition with the One Ocean Worldwide Coalition.Son truc à lui, c'est vraiment la protection des requins.His thing is really the protection of sharks.Et les responsables insistent, ce genre d'accident en recherche, c'est vraiment exceptionnel.And officials insist, this kind of accident in research is truly exceptional.Et finalement, parlons du lieu et de la rareté.And finally, let's talk about the location and the rarity.L'Île Cocos, c'est un Parc National, un vrai paradis pour les requins.Cocos Island is a National Park, a real paradise for sharks.Une quinzaine d'espèces différentes.About fifteen different species.Plein de plongeurs y vont, mais malgré tous ces requins, les attaques c'est rarissime là-bas.Lots of divers go there, but despite all these sharks, attacks are extremely rare there.La dernière fois qu'il y a eu un mort, c'était en 2017.The last time there was a death was in 2017.Donc ce qui vient de se passer, c'est vraiment une exception.So what just happened is truly an exception.Ça nous rappelle juste que bosser au plus près des animaux sauvages, même quand on est un pro, bah ça comporte toujours des risques imprévisibles.It just reminds us that working closely with wild animals, even when you're a pro, well, it always involves unpredictable risks. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:48:07 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le nouveau roman de Sarah Chiche est un verbe, "Aimer". Les destins de deux enfants, Margaux et Alexis, qui ne cessent de se croiser. Ensemble, ils traversent les âges et nous entraînent à leur suite. C'est une histoire joyeuse, pourtant écrite "dans une période âpre de l'existence". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous pouvez rédiger le meilleur des emails, s'il finit dans les spams de son destinataire il n'a aucune chance de performer. Et des bons mails qui finissent en spams malheureusement il y en a des tonnes. Heureusement, j'ai ce qu'il vous faut pour vous assurer une livraison directe en inbox, avec mes 13 stratégies votre audience ne passera plus à côté de vos emails.Autres épisodes qui pourraient vous plaire : Emailing : les secrets de la reine du marketing, Amy PorterfieldPourquoi l'email est LA stratégie à prioriser3 stratégies pour faire exploser votre base emails---------------
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
En Afghanistan, la population est en état de choc, une semaine après le séisme qui a frappé l'est du pays. La tâche des secours est difficile à cause du terrain, montagneux, courbé et qui bouge au gré des répliques. Plusieurs villages ne sont accessibles qu'en hélicoptère ou à pied, au prix de longues heures de marche. RFI s'est rendu dans le village de Ghonday, dans la province de Kunar, épicentre du séisme. Malgré la présence des pouvoirs publics, les habitants se sentent oubliés. De notre envoyée spéciale à Ghonday, Margot Davier Pour arriver jusqu'au village de Ghonday, dans l'est de l'Afghanistan, il faut compter plusieurs heures de voiture, puis marcher sur un chemin périlleux, entravé par de nombreux rochers. Sherzad, l'un des habitants, n'est pas très à l'aise. « Il y a des secousses tous les jours, presque toutes les heures. Tout est très fragile, et même là, au moment où je parle, j'ai peur que tout s'écroule », confie-t-il. D'ailleurs, son visage se fige à l'approche de son ancienne maison, qui paraît intacte de l'extérieur. Sherzad n'ose pas entrer, depuis le séisme, il préfère dormir dans une tente. « Plusieurs personnes ont été blessées ici et sont restées sous les décombres pendant des heures. Heureusement, au petit matin, nous avons enfin réussi à les évacuer et à organiser leur transport vers à l'hôpital. Je suis terrifié de rester à l'intérieur. S'il y a une secousse, les murs peuvent s'effondrer sur nous. Il vaut mieux sortir », témoigne-t-il. À l'angoisse des répliques, s'ajoute la peur de l'avenir. Sherzad, comme la plupart des hommes du village, est berger. Ses ressources se réduisent. « Nous en avons perdu plusieurs de nos animaux pendant le séisme. Ce sont ceux qui restent. C'est notre seul commerce. Nous sommes dépendants de ces animaux pour vivre. Nous n'avons rien d'autre : nous les vendons, nous prenons la laine, nous mangeons leur viande. On garde les chèvres ici. Normalement, elles gambadent dans la montagne, mais on préfère les garder ici par sécurité », détaille-t-il. Un peu plus loin, se trouve la demeure d'Abdul Sattar, l'un des frères de Sherzad. Il montre des ruines : « Mon frère dormait ici, sur le toit de la maison, et mes enfants se trouvaient à l'intérieur. Tout le monde dormait, quand le séisme a eu lieu. Le toit s'est effondré sur mes enfants, nous avons essayé d'évacuer tout le monde, mais les secours sont arrivés bien après car les routes sont en très mauvais état. Finalement, nous avons réussi à transférer tout le monde. On est contents, les talibans nous soutiennent beaucoup. Ils font du mieux qu'ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. » À ses côtés, Sherzad fait la grimace. « Leur soutien n'est pas très significatif. Ce n'est pas assez, nous avons besoin de reconstruction », déplore-t-il. « Mais ils prennent soin des blessés », lui rétorque son frère. Depuis une semaine, la vie des deux frères est suspendue. Deux ans minimum seront nécessaires à la reconstruction de la zone, selon les organisations sur place. À lire aussiAfghanistan: une semaine après le séisme meurtrier, des villages sont toujours inaccessibles