POPULARITY
Categories
Le TDAH, ça peut vraiment te ruiner la vie. Procrastination, non-gestion du temps, oublis, impulsivité, mésestime de soi, etc. Un joyeux cocktail qui mine le moral en un rien de temps. Heureusement, Florian a rencontré et invité à la barre de l'expédition une experte en la matière, Letty. Les écueils, elle les a déjà connus. Et elle a cartographié un itinéraire sain pour mener à bien tes projets ! Tu veux avancer dans la vie, et ce malgré ton TDAH ? Écoute donc cet épisode ! Bonne écoute Bisous
Tout juste tournée, déjà postée : c'est ainsi que va la vie de L'Hebdo d'ORIGAMI !Le panier de l'automne ne désemplit pas en cette nouvelle semaine. Mais peut-être est-il davantage garni de déceptions. C'est l'heure en effet pour Gautoz de découvrir l'ampleur du désastre dans Vampire : The Masquerade - Bloodlines 2, après - oh - une petite vingtaine d'années à attendre ?Du côté de Moguri, la rencontre avec Ninja Gaiden 4 ne s'est pas non plus déroulée de la meilleure des façons, ce nouveau volet ayant la mauvaise habitude d'en faire trop. Tout le temps. Partout. Trop.Heureusement, Héloïse est là pour illuminer le plateau grâce à la lumière de Keeper, nouveau projet de Double Fine Productions qui réussit son pari en dépit de ses orientations déstabilisantes.Vous ferez également le tour de l'actu avec La Semaine d'ORIGAMI, signée Sylvain et Hubert, avant que la rédaction ne reviennent sur les derniers échos venus d'Ubisoft et de Microsoft.Bon WE sur ORIGAMI !
AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
Nous sommes le 3 octobre 1955.En ce jour de rentrée scolaire, la classe est finie pour celui qui, plus tard, deviendra un historien de premier plan, mais ce jour-là, écrit-il dans ses souvenirs : « je suis devenu grand : salarié autonome, je vais gagner ma vie. Tôt levé, j'ai pris le métro pour me rendre d'Arcueil-Cachan à Saint-Philippe-du-Roule, lieu parisien de toutes les promesses de carrière, de promotion, d'ambition ; car là, non loin de la station de métro, se tient le siège cossu de la Compagnie du Niger français qui m'a embauché… » Heureusement pour l'Histoire, l'expérience sera de courte durée. 70 ans plus tard, celui qui avait vingt-deux ans à l'époque, nous invite à la découverte d'un monde disparu mais qui nous parle encore. Les années de l'après-guerre, celles qui précèdent les « Trente Glorieuse ». Des années où les taudis abondent, où l'eau courante et l'électricité ne sont pas encore arrivées dans tous les foyers, la voiture individuelle est un luxe, les paysans représentent le tiers de la population active, la plupart des enfants suivent la carrière de leurs parents, l'enseignement supérieur est quasi fermé aux classes inférieures, la femme mariée doit encore avoir l'autorisation de son mari pour ouvrir un compte en banque, la pilule contraceptive n'est pas encore légale, l'avortement est interdit. C'est une époque où le collectif prime sur le particulier, on s'affirme par son appartenance religieuse, politique, régionale, professionnelle. La grande idée de la construction européenne peine à se réaliser. Qu'y a-t-il de commun entre ce monde d'hier et celui d'aujourd'hui qui semble, lui aussi, à l'aube d'un basculement ? C'est ce que nous allons tenter de comprendre avec notre témoin : Michel Winock. Avec nous : Michel Winock, historien spécialiste de l'histoire de la République française ainsi que des mouvements intellectuels et politiques. Auteur, notamment du « Siècle des intellectuels », pour lequel il a reçu le prix Médicis essai en 1997 et de « Jours anciens » publié chez Gallimard. Sujets traités : Michel Winock, souvenirs, historien, Niger, Trente Glorieuse, avortement, Médicis Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Paul Soullac se considère comme le principal artisan du succès de son entreprise de construction, malgré un associé timoré, Georges Marson, et son gendre Fabrice, qu'il a dû embaucher comme directeur. Heureusement, il peut compter sur Tallar, un fidèle collaborateur, qui vient de l'informer que Fabrice a détourné 20 000 francs avec la complicité de Marson.***Fiction radiophonique diffusée dans l'émission « Mystère Mystère », de Pierre Billard – « Entre le marteau et l'enclume » d'après un texte de Louis-Thomas Cervioni – Réalisation Pierre Billard - Musique originale André Popp – Première diffusion le 03/04/1973 sur France Inter – Avec : André Valmy, Maria Tamar, Henri Labussière, Edith Loria, Pierre Marteville, Jean Mauvais, Jean-Marie Fertey – Un podcast INA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas une émission se passe sans que Julien Courbet ne se fasse raccrocher au nez au moins une fois... Heureusement l'animateur prend cela avec légèreté et propose même de renommer l'émission : "Ça raccroche à mort". Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
POUR ÉCOUTER L'ÉPISODE EN ENTIER TAPEZ "ANAÏS SUPER MAMAS" SUR VOTRE PLATEFORME DE PODCASTAujourd'hui, je reçois Anaïs. Anaïs a fait son entrée dans la parentalité à 24 ans lorsqu'elle a accueilli son premier enfant, Louis. Après une première expérience plutôt classique et une fusion totale avec son garçon, elle décide de relancer un projet bébé. Mais cette fois, ce ne fut pas une grossesse comme les autres, puisqu'elle attendait des jumelles.Alors comment accueillir cette nouvelle qui change une vie à jamais ? Comment réagir lorsqu'on apprend à 7 mois de grossesse seulement qu'on est entrain de faire une prééclampsie ? Et finalement, que se passe-t-il, dans notre tête et dans notre corps, quand on accueille de manière prématurée et dans l'urgence nos deux petits bébés ?Anaïs reviendra sur cet accouchement traumatisant lors duquel elle a cru mourir. Elle nous parlera, sans tabou ni filtre, de cette nouvelle parentalité, qu'elle imaginait plus douce et plus sereine mais qui s'est finalement transformée en chaos. Heureusement aujourd'hui tout est rentré dans l'ordre mais cette expérience aura marqué Anaïs à jamais. Cet événement a laissé une empreinte profonde, invisible pour certains mais pourtant bien réelle.Et si elle a accepté de venir témoigner, c'est justement pour ça : pour dire tout haut ce que beaucoup de mamans vivent en silence. Pour rappeler que les traumas obstétricaux existent, que non, on ne “passe pas juste à autre chose” quand on a eu peur pour sa vie et celle de ses bébés. Mais aussi pour montrer qu'on peut, petit à petit, trouver des ressources et se relever. J'ai vraiment hâte que vous découvriez son récit et je vous souhaite une très belle écoute. *** Pour retrouver l'univers de notre super mama et les ressources citées :
Ils ne sont pas nombreux mais quand on voit comment des carrières ont basculé pour certains artistes, du cinéma à la chanson ou vice versa, on se dit que les gens ont bien tort de coller des étiquettes aux uns et aux autres, et de leur fermer des portes. C'est vrai, ils sont comédiens, alors pourquoi veulent-ils chanter ? Prenons l'exemple de la jeune Kylie Minogue, à peine 17 ans, dont c'est le premier rôle important dans une série télé. Ça s'appelle les enfants Henderson, avec parmi la bande de copains, le beau Ben Mendelsohn, qui, lui, va faire aussi connaître une longue carrière. Et alors que Kylie vit ce tournage comme le début d'une grande histoire, ça ne se passe pas bien. Oui, elle oublie souvent son texte, trop souvent. Et il arrive plus d'une fois que le réalisateur ou le producteur se fâche, hurle sur elle. Kylie se retrouve en pleurs, désespérée, elle qui s'est battue avec sa mère pour abandonner ses études pour la comédie. Et ce qui doit arriver arrive : Kylie n'est pas retenue pour la seconde saison de la série. Le drame.La chanson, alors ? Elle envoie une démo au producteur de l'émission Young Talent Time ; elle a pris assez de cours de musique, de chant et de danse. Et puis sa sœur Dannii fait déjà partie de la troupe, elle y chante régulièrement. C'est ainsi que Kylie fait sa première apparition en tant que chanteuse à la télévision australienne en 1985 … mais n'est finalement pas reprise dans la troupe, ça reste sans suite. Heureusement, les castings se succèdent, elle réussit l'audition pour une série qui doit redémarrer la saison suivante. En effet, Neighbours, Les voisins, qui racontent la vie quotidienne des habitants d'une rue imaginaire de Melbourne, n'ont pas connu un grand succès en 1985. La chaîne a jeté l'éponge mais une autre y croit, la reprend et envisage d'étoffer le casting avec de jeunes prometteurs comme Guy Pearce et Kylie Minogue. Elle doit y incarner une étudiante qui quitte l'école pour devenir mécano dans un garage. Et, le croirez-vous, non seulement ce rôle lui convient à merveille, mais sa proximité avec un autre comédien de la distribution, le jeune Jason Donovan, braque les projecteurs de la presse sur elle, y compris en Grande-Bretagne où la série est diffusée. L'épisode de leur mariage, de fiction, réunit 20 millions de téléspectateurs en 1987, les producteurs sont enchantés, la promo tourne toute seule grâce à ces deux jeunes premiers amoureux à l'écran comme à la ville. Et quand on dit que le showbiz est imprévisible, la semaine suivant ce fameux épisode sort le single d'un cover que Kylie a interprété lors d'un événement qui réunissait tout le casting de la série. Une firme de disques s'est dit que ce serait du tout cuit vu la notoriété de la jeune comédienne, et elle met dans le mille, c'est le plus gros succès jamais enregistré en Australie pour un single. Le succès de ce disque en entraîne un autre, Kylie Minogue ne prolongera pas sa participation à la série Neighbours qui ne s'est arrêtée, le saviez-vous, qu'en 2022, c'est fou. Quant à Kylie, elle a continué à chanter cette chanson par laquelle tout est arrivé, lors de toutes ses tournées.
Le gouvernement Lecornu II a été dévoilé. Et avec l'esprit taquin qui vous caractérise, vous avez débusqué dans le casting deux profils qui se sont caractérisés dans leur “vie d'avant” par des positions diamétralement opposées à celles défendues par les précédents gouvernements macronistes. La politique oblige à être magnanime et à passer l'éponge. Tout au moins quand on a tout tenté et qu'on n'a plus vraiment le choix. Premier exemple, la nomination de Monique Barbut au ministère de la transition écologique. Monique Barbut, sans doute parfaite pour défendre la biodiversité, c'est l'ancienne patronne en France du WWF, l'ONG au panda. On peut être plus sceptique pour sa capacité à bien comprendre les enjeux de décarbonation. Que disait le WWF sous la présidence Barbut, entre 2021 et 2024 ? “ nous appelons le parlement européen à ne pas céder à la pression de la France et d'autres pays en acceptant de classer le gaz fossile et l'énergie nucléaire comme durables dans la taxonomie”. Qu'est-ce que ça veut dire ? Que Monique Barbut a endossé un discours antinucléaire qui considère que le gaz, émetteur de CO2 et le nucléaire zéro carbone, c'est kif kif. Et que donc, il ne faut pas favoriser son financement. Elle estime donc que le score carbone exemplaire car très bas de la France pour sa production électrique ne mérite pas d'être soutenu. L'inverse de la précédente ministre Agnès Pannier-Runacher qui défendait le nucléaire comme un pilier de la stratégie bas carbone de la France. Tout et son contraire. Bonjour les politiques publiques sans colonne vertébrale. Mais Monique Barbut ne devrait pas avoir l'énergie dans son domaine de compétence. C'est vrai, elle devrait être confiée à Bercy. Ouf de soulagement... Mais ça veut quand même dire qu'on est mal barré pour tout le reste, qui en découle. Cette ministre ne peut pas comprendre que l'électrification des usages grâce au nucléaire décarboné est le fer de lance de la transition énergétique. Et ça, c'est dans son portefeuille ! Message désastreux, celui de l'absence de conviction et de stratégie nationale. Il y en a un autre qui arrive sur un pied de nez, c'est Jean –Pierre Farandou, au ministère du travail et des solidarités. Tout fraîchement sorti du train de la SNCF. Là encore, la macronie n'est pas rancunière. Juste avant les JO, histoire d'amadouer le cheminot, Jean-Pierre Farandou avait négocié avec les syndicats ce qu'on avait appelé des “ accords de fin de carrière”. Un splendide tour de passe-passe. Il avait accordé aux cheminots recrutés après 2020, c'est à dire après la fin du statut spécial de la SNCF, des allègements du temps de travail en fin de carrière et des augmentations dans la dernière ligne droite, histoire de gonfler la retraite sans travailler plus. Une façon pour lui de “ corriger les effets néfastes” de la réforme des retraites – on peut dire de la vider de son sens à la SNCF Ca a bien marché, le climat social à la SNCF est très calme, depuis... Une paix sociale achetée pour 35 millions d'euros par an quand même, encore heureux que ça marche. Mais maintenant qu'on sait que c'est Jean-Pierre Farandou qui va gérer le dossier retraites pour le gouvernement, on peut se demander quel est le message ? Pour éviter les ennuis, autant céder sur tout ? Donnons une prime à celui qui dans son entreprise a miné la réforme de l'intérieur ? Heureusement qu'on n'y comprend déjà plus rien depuis un bon moment, Au moins, on n'est pas dépaysé par un soudain accès de cohérence ou de courage politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le gouvernement Lecornu II a été dévoilé. Et avec l'esprit taquin qui vous caractérise, vous avez débusqué dans le casting deux profils qui se sont caractérisés dans leur “vie d'avant” par des positions diamétralement opposées à celles défendues par les précédents gouvernements macronistes. La politique oblige à être magnanime et à passer l'éponge. Tout au moins quand on a tout tenté et qu'on n'a plus vraiment le choix. Premier exemple, la nomination de Monique Barbut au ministère de la transition écologique. Monique Barbut, sans doute parfaite pour défendre la biodiversité, c'est l'ancienne patronne en France du WWF, l'ONG au panda. On peut être plus sceptique pour sa capacité à bien comprendre les enjeux de décarbonation. Que disait le WWF sous la présidence Barbut, entre 2021 et 2024 ? “ nous appelons le parlement européen à ne pas céder à la pression de la France et d'autres pays en acceptant de classer le gaz fossile et l'énergie nucléaire comme durables dans la taxonomie”. Qu'est-ce que ça veut dire ? Que Monique Barbut a endossé un discours antinucléaire qui considère que le gaz, émetteur de CO2 et le nucléaire zéro carbone, c'est kif kif. Et que donc, il ne faut pas favoriser son financement. Elle estime donc que le score carbone exemplaire car très bas de la France pour sa production électrique ne mérite pas d'être soutenu. L'inverse de la précédente ministre Agnès Pannier-Runacher qui défendait le nucléaire comme un pilier de la stratégie bas carbone de la France. Tout et son contraire. Bonjour les politiques publiques sans colonne vertébrale. Mais Monique Barbut ne devrait pas avoir l'énergie dans son domaine de compétence. C'est vrai, elle devrait être confiée à Bercy. Ouf de soulagement... Mais ça veut quand même dire qu'on est mal barré pour tout le reste, qui en découle. Cette ministre ne peut pas comprendre que l'électrification des usages grâce au nucléaire décarboné est le fer de lance de la transition énergétique. Et ça, c'est dans son portefeuille ! Message désastreux, celui de l'absence de conviction et de stratégie nationale. Il y en a un autre qui arrive sur un pied de nez, c'est Jean –Pierre Farandou, au ministère du travail et des solidarités. Tout fraîchement sorti du train de la SNCF. Là encore, la macronie n'est pas rancunière. Juste avant les JO, histoire d'amadouer le cheminot, Jean-Pierre Farandou avait négocié avec les syndicats ce qu'on avait appelé des “ accords de fin de carrière”. Un splendide tour de passe-passe. Il avait accordé aux cheminots recrutés après 2020, c'est à dire après la fin du statut spécial de la SNCF, des allègements du temps de travail en fin de carrière et des augmentations dans la dernière ligne droite, histoire de gonfler la retraite sans travailler plus. Une façon pour lui de “ corriger les effets néfastes” de la réforme des retraites – on peut dire de la vider de son sens à la SNCF Ca a bien marché, le climat social à la SNCF est très calme, depuis... Une paix sociale achetée pour 35 millions d'euros par an quand même, encore heureux que ça marche. Mais maintenant qu'on sait que c'est Jean-Pierre Farandou qui va gérer le dossier retraites pour le gouvernement, on peut se demander quel est le message ? Pour éviter les ennuis, autant céder sur tout ? Donnons une prime à celui qui dans son entreprise a miné la réforme de l'intérieur ? Heureusement qu'on n'y comprend déjà plus rien depuis un bon moment, Au moins, on n'est pas dépaysé par un soudain accès de cohérence ou de courage politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pas toujours simple de s'évaluer à sa juste valeur, n'est-ce pas ? D'ailleurs, souvent du fait de notre éducation, nous avons tendance à nous sous-évaluer par peur de paraître prétentieux.se ou arrogant.e. Et c'est souvent pour cette raison que nous n'osons pas toujours exprimer notre opinion, dire à notre manager que l'on n'est pas d'accord, ou lui demander une augmentation. Heureusement, ce n'est pas une fatalité et je vous propose une méthodologie très simple pour connaître votre vraie valeur. 1️⃣ Déterminez le salaire que vous méritez vraiment2️⃣ Sollicitez du feedback de la part de vos collègues3️⃣ Sollicitez du feedback de la part de votre manager4️⃣ Résumez le tout sur une fiche pour avoir tout cela en teteLes sites de l'Apec ou de l' InseeComment négocier son salaire ?Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on respire, on oublie souvent une évidence : l'air a un poids. Invisible, impalpable, il n'en est pas moins matériel. L'air est en effet un mélange de gaz, essentiellement de l'azote (78 %) et de l'oxygène (21 %), auxquels s'ajoutent de petites quantités d'argon, de dioxyde de carbone et d'autres gaz rares. Or, comme toute matière, ces gaz sont constitués de particules dotées d'une masse.Dans des conditions dites « usuelles », c'est-à-dire au niveau de la mer et à une température de 20 °C, la masse volumique de l'air est d'environ 1,3 kilogramme par mètre cube. Dit autrement, un litre d'air pèse approximativement 1,3 gramme. Cela peut sembler minuscule, mais dès que l'on considère de grands volumes, le poids devient considérable. Par exemple, une pièce de 50 m³ — soit une chambre moyenne — contient environ 65 kilos d'air, soit le poids d'un adulte.Ce poids varie en fonction de la pression et de la température. Si la pression diminue, comme en altitude, la densité de l'air baisse : l'air est alors plus « léger », ce qui explique entre autres la difficulté à respirer en montagne. À l'inverse, si la température augmente, les molécules s'agitent, s'écartent les unes des autres et occupent plus de volume : la masse d'air par litre diminue également. C'est ce principe qui permet aux montgolfières de s'élever : l'air chaud qu'elles contiennent est moins dense que l'air extérieur, plus lourd, ce qui crée une poussée vers le haut.Le poids de l'air n'est pas qu'une curiosité théorique : il a des effets concrets sur notre vie quotidienne. La pression atmosphérique, qui résulte du poids de la colonne d'air au-dessus de nos têtes, exerce environ 1 kilogramme par centimètre carré de surface. Sur tout notre corps, cela représente plusieurs tonnes ! Heureusement, notre organisme est équilibré par la pression interne, et nous ne ressentons pas ce poids.Enfin, cette masse d'air joue un rôle crucial dans la météo et le climat. Les variations de densité créent des mouvements, les fameuses masses d'air chaud ou froid, qui gouvernent vents, tempêtes et précipitations.Ainsi, même s'il est invisible, l'air est loin d'être immatériel. Il a un poids mesurable, qui influence aussi bien la science du vol que notre météo et même notre respiration quotidienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il a grandi à Forbach, sans diplôme, sans réseau, sans plan B. Il a connu la rue, les chantiers, la galère. Mais un jour, il a trouvé un langage que tout le monde pouvait comprendre : la danse. Aujourd'hui, ses chorégraphies ont ému le monde entier. Chaque mouvement raconte son histoire : celle d'un autodidacte devenu phénomène mondial, sans plan de carrière, mais avec une seule obsession : transformer sa liberté en art. De Shakira aux Jeux Olympiques, en passant par les Grammy Awards, J-Lo ou encore les Black Eyed Peas, Sadeck Berrabah est devenu un artiste à rayonnement mondial que rien ne prédestinait à la lumière. Dans le podcast PAUSE, il nous raconte tout : la débrouille, la foi, la chute, la rage, la liberté. Et cette phrase qui résume tout : “Heureusement que j'ai vécu tout ça.”
Nos sentiments sont fluctuants ; ils vont et viennent comme les vagues de l'océan. Ils passent de l'euphorie au désespoir et semblent contrôlés par une force invisible qui échappe à notre compréhension. Aucune personne de bon sens ne s'aventure sur une mer démontée qui soulève des vagues dangereuses ; de même, nous ne devrions pas suivre nos émotions lorsque celles-ci sont en plein tumulte. Heureusement, nous n'avons pas besoin de nous laisser contrôler par nos sentiments. Nous pouvons vivre selon la Parole de Dieu. Lorsque vos émotions s'emballent, la meilleure chose à faire est d'attendre qu'elles se calment avant d'agir. Prenez la barre de votre vie. Ne montez pas dans un bateau livré à lui-même, en vous contentant d'espérer que les vagues vous conduiront à bon port. Si vous voulez mener une vie heureuse, faites confiance à Dieu et suivez sa Parole plutôt que vos sentiments. Merci Père pour le don de ta Parole. Je suis reconnaissant de ne pas être obligé de me laisser gouverner par mes sentiments. Je choisis au contraire de vivre selon les promesses et les instructions de ta Parole. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
durée : 00:31:26 - Les Pieds sur terre - par : Sophie Simonot - Grégoire s'est beaucoup cherché, et au collège, le royaume de l'intolérance, les autres n'ont pas toujours été tendres avec lui. Heureusement, sur sa route, il a fait des rencontres : Zoé, sa meilleure amie de lycée et Joé, un ami rencontré sur une application. À eux, il disait tout – ou presque. - réalisation : Sylvain Richard
La question « la malbouffe est-elle un danger pour la mémoire ? » a longtemps été posée, mais une étude récente apporte des preuves solides. Le 11 septembre 2025, des chercheurs de l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill ont publié dans la revue Neuron des résultats inquiétants : une alimentation riche en graisses saturées, typique de la « junk food », pourrait altérer la mémoire en quelques jours seulement.L'équipe de Juan Song et Taylor Landry a travaillé sur des souris pour comprendre comment un tel régime influence le cerveau. Leur attention s'est portée sur l'hippocampe, une région clé pour la mémoire. Ils ont découvert qu'un type particulier de neurones, appelés interneurones CCK (pour cholecystokinine), devenait anormalement actif après une exposition à la malbouffe. Cette hyperactivité dérègle le circuit neuronal responsable de l'encodage et du rappel des souvenirs.Le mécanisme en jeu est directement lié au métabolisme énergétique du cerveau. Normalement, les neurones utilisent le glucose comme carburant. Mais sous l'effet d'un régime trop gras, cette utilisation est perturbée. Les chercheurs ont identifié une protéine, la PKM2 (pyruvate kinase M2), comme pivot de cette altération. Quand la PKM2 ne fonctionne pas correctement, les interneurones CCK s'emballent, ce qui provoque un déclin de la mémoire.Le plus frappant est la rapidité des effets : les souris montraient déjà des déficits cognitifs après seulement quatre jours de régime gras. Et cela avant même d'avoir pris du poids ou de développer des signes de diabète. Autrement dit, les conséquences sur le cerveau précèdent les effets métaboliques visibles.Heureusement, l'étude montre aussi que ces dommages sont réversibles. En restaurant les niveaux de glucose cérébral, l'activité des interneurones redevient normale et la mémoire s'améliore. Les chercheurs ont même testé le jeûne intermittent : après une période de malbouffe, cette pratique suffisait à rétablir l'équilibre neuronal et les capacités mnésiques.Ces résultats sont un avertissement fort. La malbouffe ne menace pas seulement notre silhouette ou notre santé cardiovasculaire, mais aussi notre mémoire, et cela très rapidement. Certes, l'expérience a été menée sur des souris, et il faudra des études complémentaires chez l'humain pour confirmer ces effets. Mais le signal est clair : notre cerveau est sensible à ce que nous mangeons, parfois plus vite qu'on ne l'imagine.En conclusion, l'étude de l'Université de Caroline du Nord publiée dans Neuron démontre que la malbouffe est bel et bien un danger pour la mémoire. Et si la menace apparaît vite, la bonne nouvelle est que des changements alimentaires peuvent aussi rapidement inverser la tendance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Croc : Legend of the Gobbos est un jeu de plateforme qui a marqué une génération... Oui, mais c'était il y a plus de 25 ans ! Et malgré tout le charme du petit crocodile, il faut reconnaître que la concurrence a vite rendu son gameplay désuet... Heureusement, un remastered sorti de nulle part a remis Croc au goût du jour ! Dans ce test, on vous propose d'analyser à la fois le jeu originel et sa réactualisation pour se demander, une bonne fois pour toutes, si la légende de Croc a toujours sa place dans nos vies aujourd'hui. » SOMMAIRE (00:00:00) Introduction (00:04:09) Développement : Argonaut Software, de l'adolescence à Nintendo (00:18:30) Développement : La fin d'une histoire d'amour (00:27:38) Développement : Les origines de Croc, le premier jeu de plate-forme 3D (00:40:48) Développement : Convaincre la Fox d'éditer le jeu (00:44:28) Développement : Sortie et Réception (00:54:01) Développement : De la suite dans les idées (01:03:01) Développement : La mort d'Argonaut (01:14:04) Développement : Les errances de Jez San hors du jeu vidéo (01:19:40) Développement : La résurrection d'Argonaut (01:30:40) Développement : Le développement du remaster (01:37:42) Scénario, personnages et univers (01:52:36) Game Design & Gameplay (02:24:22) Level Design (02:51:20) Technique et Direction Artistique (03:08:09) Musique (03:23:09) Conclusion
Un biologiste marin connu, Mauricio Hoyos, s'est fait blesser par un requin.A well-known marine biologist, Mauricio Hoyos, was injured by a shark.Ça s'est passé pendant une mission scientifique super importante près de l'Île Cocos, un spot incroyable pour la vie marine.It happened during a super important scientific mission near Cocos Island, an incredible spot for marine life.Alors, premièrement, les faits.So, firstly, the facts.Mauricio Hoyos c'est un biologiste mexicain de 48 ans.Mauricio Hoyos is a 48-year-old Mexican biologist.Il a été sérieusement touché samedi dernier.He was seriously injured last Saturday.En gros, il essayait de marquer un requin, un beau spécimen d'environ 4 mètres pour pouvoir le suivre.Basically, he was trying to tag a shark, a beautiful specimen about 4 meters long, so they could track it.Et là, au large de l'Île Cocos, le requin l'a mordu à la tête, visage et bras.And there, off the coast of Cocos Island, the shark bit him on the head, face, and arm.Heureusement, on a pu le stabiliser avant de l'envoyer à l'hôpital à San José.Fortunately, they were able to stabilize him before sending him to the hospital in San José.C'était pas juste un touriste qui plongeait, hein, Hoyos, il était là pour une expédition de la One Ocean Worldwide Coalition.He wasn't just a tourist diving, you know, Hoyos, he was there for an expedition with the One Ocean Worldwide Coalition.Son truc à lui, c'est vraiment la protection des requins.His thing is really the protection of sharks.Et les responsables insistent, ce genre d'accident en recherche, c'est vraiment exceptionnel.And officials insist, this kind of accident in research is truly exceptional.Et finalement, parlons du lieu et de la rareté.And finally, let's talk about the location and the rarity.L'Île Cocos, c'est un Parc National, un vrai paradis pour les requins.Cocos Island is a National Park, a real paradise for sharks.Une quinzaine d'espèces différentes.About fifteen different species.Plein de plongeurs y vont, mais malgré tous ces requins, les attaques c'est rarissime là-bas.Lots of divers go there, but despite all these sharks, attacks are extremely rare there.La dernière fois qu'il y a eu un mort, c'était en 2017.The last time there was a death was in 2017.Donc ce qui vient de se passer, c'est vraiment une exception.So what just happened is truly an exception.Ça nous rappelle juste que bosser au plus près des animaux sauvages, même quand on est un pro, bah ça comporte toujours des risques imprévisibles.It just reminds us that working closely with wild animals, even when you're a pro, well, it always involves unpredictable risks. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque année, 10 000 femmes apprennent qu'elles ont un cancer du sein. Heureusement, la recherche avance à grands pas et les chances de guérison sont de 90% quand la maladie est diagnostiquée à un stade précoce. Le mois d'Octobre Rose vise à rappeler toute l'importance du dépistage. il met aussi en lumière toute une série d'initiatives qui soutiennent les femmes (et les hommes!) touchées par la maladie. Parmi elles, il y a cette séquence de sport à laquelle Y'a de l'idée a assisté. Cette séance était spécialement pensée pour des femmes ayant vécu l'épreuve du cancer. Car si les traitements affaiblissent le corps et minent le moral, l'activité physique reste pourtant un précieux allié pour la récupération et le mieux-être.C'est ce qu'a rappelé Nele Adriaenssens, coordinatrice de la revalidation oncologique à l'hôpital UZ. Oui, après une opération ou des traitements lourds, retrouver le chemin du sport est difficile. Mais selon elle, il est essentiel de bouger, à son rythme, avec douceur, pour stimuler le corps et retrouver confiance. Le mouvement, même adapté, devient alors une thérapie à part entière.Sur place, nous avons aussi rencontré Véronique, une professeure de fitness en rémission. Pour elle, transmettre son expérience et accompagner d'autres femmes est une évidence. Elle-même sait combien le sport aide non seulement à renforcer le physique, mais aussi à alléger l'esprit et à retrouver le sourire et la confiance en soi.Mais peut-on vraiment tout faire après un cancer ? La réponse est nuancée. Certains exercices sont à proscrire, comme les extensions de poids au-dessus de la tête après une opération. En revanche, des alternatives existent : travailler avec des charges légères, privilégier des mouvements sécurisés, et surtout écouter son corps. Ce besoin d'écoute et d'adaptation, les participantes l'ont ressentie, à l'image de Cynthia. En récidive, elle doit composer avec des inflammations liées à ses traitements. Sa sœur Shirley, en rémission, l'accompagnait pour partager ce moment fort en émotions.Ces témoignages rappellent que l'activité physique n'est pas un luxe, mais une ressource précieuse. Elle aide à retrouver force, énergie et estime de soi. Et au-delà du corps, elle rassemble, crée du lien et redonne espoir. Même les hommes, qui représentent environ 1 % des cas de cancer du sein, ne sont pas oubliés dans ce message d'encouragement et de solidarité.Comme le résume si bien résumé Véronique, l'instructrice : bouger, c'est déjà un pas vers la reconstruction.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
Valérie Jergeay, vétérinaire et prof de yoga (Liège, 2005) au
Parce que… c'est l'épisode 0x637! Shameless plug 12 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v8 14 et 15 octobre 2025 - ATT&CKcon 6.0 14 et 15 octobre 2025 - Forum inCyber Canada Code rabais de 30% - CA25KDUX92 4 et 5 novembre 2025 - FAIRCON 2025 8 et 9 novembre 2025 - DEATHcon 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 Description Ce troisième épisode d'une série consacrée aux PME prend la forme d'un quiz interactif entre Nicolas-Loïc Fortin et son invité Claude. L'objectif est d'aborder des questions fréquemment posées sur la cybersécurité et la protection des données, couvrant ainsi les angles qui n'ont peut-être pas été suffisamment explorés dans les épisodes précédents. Le retour sur investissement en cybersécurité La question du retour sur investissement en cybersécurité pour les PME n'appelle pas de réponse simple par oui ou non. La difficulté réside dans la mesure de ce retour, qui doit être proportionnel aux actifs à protéger. Les PME font face à des contraintes budgétaires importantes et doivent évaluer la menace réelle qui pèse sur elles. L'intervenant illustre cette problématique par une anecdote d'une compagnie de transport qui devait protéger ses remorques contre les vols utilisant de l'azote liquide pour briser les cadenas. De la même façon, en informatique, les attaquants cherchent à « faire éclater le cadenas » pour voler le contenu. Actuellement, la plus grande menace pour les PME provient des rançongiciels, qui visent toutes les organisations, du cabinet dentaire aux entreprises de toutes tailles. La stratégie de protection doit s'adapter au niveau d'information sensible détenue. Pour les entreprises sans données sensibles, de bonnes sauvegardes suffisent pour redémarrer après une attaque. Pour celles qui manipulent des informations personnelles, des mesures plus sophistiquées s'imposent. Heureusement, des solutions peu coûteuses existent, fournies par des spécialistes en PME. L'important est d'éviter les consultants de grande entreprise qui proposent des solutions disproportionnées et effrayantes, décourageant ainsi l'investissement en cybersécurité. Solutions à petit budget Contrairement aux idées reçues, la cybersécurité à petit budget est non seulement possible, mais peut être très efficace si elle est bien choisie. L'open source offre des solutions simples et accessibles. Avec l'accompagnement d'un expert, les PME peuvent trouver des solutions gratuites ou peu coûteuses adaptées à leurs besoins réels. La clé consiste à définir ce qui est précieux pour l'entreprise, que cette valeur soit intrinsèque ou imposée par la loi. Les informations personnelles doivent être protégées par obligation légale, tout comme les numéros de cartes de crédit pour les commerçants, en vertu d'obligations contractuelles. De nombreuses solutions de qualité professionnelle peuvent être déployées par des passionnés de cybersécurité qui connaissent bien les besoins des PME. Loi 25 versus cybersécurité La question de la priorité entre la conformité à la Loi 25 et la cybersécurité suscite des débats. L'intervenant privilégie la conformité légale, car les obligations contractuelles et réglementaires ont préséance dans tous les cas. Cependant, se conformer à la Loi 25 apporte des bénéfices directs pour la cybersécurité, notamment l'obligation de créer un inventaire des données, qui constitue un avantage considérable pour la protection des informations. L'ingénierie sociale : le maillon faible Concernant les attaques par ingénierie sociale, le contexte représente un facteur plus déterminant que l'humain lui-même. Tous les humains peuvent être victimes d'hameçonnage, indépendamment de leur niveau de compétence. Lorsque le contexte nous prédispose à répondre automatiquement, nos défenses naturelles s'abaissent et nous agissons comme des « zombies », suivant le processus attendu sans questionnement. L'intervenant partage son expérience personnelle d'avoir cliqué sur un lien d'hameçonnage de son propre employeur, soulignant l'importance du timing et du contexte. Des recherches montrent que les gens sont plus susceptibles de cliquer sur des liens malveillants en fin de journée. La vigilance doit être maintenue même dans des situations apparemment normales, bien que la fragilité humaine face au contexte rende cette tâche difficile. L'authentification multifacteur : un minimum évolutif L'authentification multifacteur (MFA) constitue désormais un standard minimum, popularisé par le télétravail pendant le confinement. Cependant, cette barrière de sécurité est déjà en train d'être dépassée par des attaquants créatifs. Le MFA par SMS, qui représentait un minimum viable pendant le confinement, n'est plus suffisant aujourd'hui. Le MFA par application ou par clé physique représente maintenant le minimum requis pour tous les services, particulièrement ceux liés à l'argent. L'intervenant raconte comment, pendant son jogging matinal, il a reçu une alerte de sa banque concernant une tentative d'accès. Bien que le SMS ne soit pas la meilleure forme de MFA, cette deuxième barrière l'a alerté que son mot de passe avait été compromis. Il a immédiatement changé ses identifiants et activé une clé physique pour renforcer la sécurité. Cette expérience souligne l'importance d'activer le MFA sur tous les services critiques : courriel, systèmes comptables comme Quickbooks, et tous les systèmes au cœur du fonctionnement de l'entreprise. Gestionnaires de mots de passe La question des voûtes de mots de passe suscite beaucoup d'émotions dans la communauté cybersécurité. Les puristes recommandent les gestionnaires de mots de passe, mais une analyse pragmatique s'impose. Un carnet de mots de passe dans le tiroir du bureau vaut mieux qu'une absence de protection ou qu'une voûte mal configurée que personne n'utilisera. L'important reste d'avoir des mots de passe différents partout et d'activer le MFA, car le mot de passe seul ne constitue plus une barrière suffisante. Les voûtes modernes facilitent grandement la gestion des mots de passe et intègrent les nouvelles tendances comme l'authentification sans mot de passe. Le modèle de menace doit être considéré : si les attaquants sont en Chine ou en Russie, le carnet dans le tiroir est relativement sûr. Si la menace provient d'employés internes, d'autres solutions s'imposent. Un mot de passe simple comme « soleil123 », même avec MFA, reste problématique car la première barrière est trop facilement franchissable. Antivirus et protection moderne Les antivirus classiques ne suffisent plus à protéger adéquatement contre les cyberattaques. Les solutions modernes, appelées antivirus de nouvelle génération ou EDR (détection et réponse sur les points terminaux), offrent des protections supplémentaires en détectant les comportements suspects plutôt que simplement les signatures de fichiers. Pour les PME, des solutions intégrées comme Microsoft Defender for Endpoint constituent un bon compromis. Il faut éviter les antivirus gratuits, mais utiliser plutôt les outils de sécurité inclus dans les licences existantes de Microsoft 365 ou Google Workspace. WiFi public : l'évolution de la sécurité La sécurité des réseaux WiFi publics a considérablement évolué. Contrairement aux anciennes pratiques, utiliser un WiFi public n'est plus dangereux pour la majorité des utilisateurs. Depuis environ cinq ans, Google n'indexe plus les sites sans chiffrement de base, forçant les entreprises à améliorer leur sécurité. Les services modernes comme Microsoft 365, Outlook et les banques chiffrent toutes les communications. Tant que l'appareil est à jour et qu'aucun message d'avertissement de certificat invalide n'apparaît, il n'y a aucun danger à utiliser un WiFi public pour des usages standard avec des services légitimes de grandes compagnies. Infections par simple visite de site Il est possible de s'infecter en visitant un site web sans cliquer sur quoi que ce soit. Les attaquants, qui travaillent sur ces méthodes à temps plein, sont très imaginatifs. La meilleure protection consiste à maintenir son navigateur constamment à jour. Les navigateurs comme Chrome, Edge et Brave se mettent à jour automatiquement à chaque redémarrage. Les attaquants ont évolué au-delà des sites louches en infectant des publicités sur des sites légitimes. Les antivirus de nouvelle génération peuvent bloquer certaines de ces menaces, mais la mise à jour régulière du navigateur reste la meilleure défense. Le rôle des dirigeants Les dirigeants de PME portent la responsabilité ultime de la protection des renseignements personnels selon la loi. Dans toute organisation, les décisions de cybersécurité doivent venir du sommet. Sans l'engagement du plus haut dirigeant, aucune énergie réelle ne sera investie dans la cybersécurité. Les dirigeants doivent porter le message de cybersécurité, allouer les ressources financières et humaines nécessaires, et favoriser une culture de protection des informations. Ils sont les seuls capables d'identifier ce qui est précieux dans l'entreprise : liste de clients, procédés de fabrication, propriété intellectuelle, ou tout autre avantage concurrentiel. Cette responsabilité s'étend au-delà des obligations légales pour protéger ce qui fait vraiment la différence de l'entreprise. Conclusion Ce podcast souligne l'importance de sensibiliser les PME à la cybersécurité, car elles constituent le tissu économique du Québec, du Canada et du monde entier. Chaque PME qui tombe sous une cyberattaque affecte l'ensemble de l'écosystème économique et social. La cybersécurité pour les PME doit être accessible, pragmatique et adaptée aux réalités budgétaires de ces organisations. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Claude Mercier Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux réels par Intrasecure inc
Quand David Sitbon lance Bonzaï Digital en 2007, il a 24 ans et une seule idée en tête : bâtir vite, grand et fort.Le pari est fou : dès la première année, la petite boîte de génération de leads engrange 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires. Un succès éclair… mais aussi le début des ennuis.À peine parti de son ancien employeur, David subit l'attaque frontale de celui-ci : perquisition à 6 heures du matin chez lui (il avait eu la mauvaise idée de domicilier la société à son domicile), ordinateurs saisis, emails épluchés, procès qui durera trois ans. Résultat : une condamnation de 290 000 €. L'expérience est douloureuse, mais formatrice : ne jamais lancer sa boîte chez soi, et toujours faire attention à ce qu'on écrit dans un email.Malgré ces turbulences, Bonzaï décolle : une équipe de 20 personnes, 5 millions de chiffre d'affaires, 1 million d'EBITDA. David et son associé Étienne se rémunèrent confortablement, mais se heurtent à un plafond de verre : sans levée de fonds, pas de développement international. Avec des salaires élevés, aucun VC n'acceptera d'entrer au capital. La solution ? Trouver un acquéreur.Une première opportunité tombe à l'eau — faute de séquestre sur l'earn-out, l'affaire ne se fait pas. Heureusement : l'acheteur dépose le bilan quelques années plus tard. En 2015, c'est TF1 qui se présente, presque par hasard, via un déjeuner avec un contact. Les négociations dureront près d'un an.L'anecdote marquante : lorsqu'ils découvrent dans les comptes une ligne “location de voitures”, les dirigeants de TF1 s'étranglent. David et son associé roulaient en Porsche et X6. Pas acceptable pour un groupe où même les grands patrons affichent des Renault. Résultat : fin des leasings sur-le-champ.En février 2016, David signe au dernier étage de la tour TF1, avec vue sur la Tour Eiffel. Contrat relié de 300 pages, avocats et dirigeants réunis autour de la table. À la clé : plus de 10 millions d'euros, avec 51 % rachetés dès la signature et le reste étalé sur trois ans.Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Pendant trois ans, TF1 laisse Bonzaï autonome, rebaptisée TF1 Digital Factory. Ce simple changement de nom change tout : décrocher un contrat de plusieurs millions devient plus facile sous la bannière TF1 qu'avec Bonzaï. Résultat : l'EBITDA double en trois ans.Puis vient l'après. En 2019, pot de départ émouvant, sentiment de vide. Plus d'appels, plus de problèmes à gérer. David décide de repartir de zéro. Direction Los Angeles pour apprendre l'anglais, obtenir une green card et se lancer dans une nouvelle aventure.Aujourd'hui, il est cofondateur de GiveMeFive, une startup qui automatise la gestion des avis en ligne. Avec la même énergie qu'à 24 ans, mais l'expérience en plus.▬▬▬▬▬▬▬▬▬ COMMUNAUTÉ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬✍️ Vous avez vendu ou souhaitez vendre votre entreprise ? Contactez nous sur uncafe@feuilleblanche.com ✍️ Vous souhaitez devenir partenaire du format ? Laissez nous un message ici https://bit.ly/3Rvri20▬▬▬▬▬▬▬▬▬ LIENS PODCASTS ▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Juin 1963, si les Britanniques commencent à se méconduire quand elles voient leurs nouvelles idoles, les Beatles ne sont pas encore arrivés en France. La jeunesse parisienne vit encore à l'heure américaine grâce à Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Dick Rivers. On les appelle les Yéyés et il en pousse quinze nouveaux par mois dont presque tous disparaissent aussitôt qu'ils sont arrivés. Il faut dire que les firmes de disques signent tout ce qui passe, enregistrent et abandonnent aussi sec si le premier single, pressé à 200 exemplaires, ne marche pas.Heureusement pour Michel Berger, 16 ans, son disque est le « Chouchou de la semaine » de l'émission Salut les Copains sur Europe 1. Michel a donc droit à un passage au début et à la fin de l'émission, écoutée par un million de paires d'oreilles, au moins, et article dans le magazine pour lequel Jean-Marie Périer fait le déplacement jusqu'à la maison de vacances de la nouvelle vedette. Pour l'occasion, la jeune Première Marlène Jobert pose avec lui sur les photos du reportage. Elle n'est pas là par hasard : Marlène est une amie de sa sœur aînée, Franka, et elle est aussi courtisée par son frère Bernard.Contrairement à Eddy, Johnny et Dick, Michel ne change rien à son quotidien qui se résume en dehors de la promotion et des galas, aux cours et aux devoirs. L'argent ne change rien puisqu'il n'en a jamais manqué à la maison. Bien sûr qu'il a le trac lors de sa première télé. Il ne remarque d'ailleurs pas une débutante comme lui qui vient y chanter son premier tube. Oui, à part quelques mauvaises expériences comme la huée du public de l'Olympia alors qu'il assure la première partie des Kinks (c'était pas vraiment une bonne idée, pas le même public), Michel Berger est un Yéyé à succès. Les sept disques qu'il publie ont plutôt bien marché, sans casser la baraque, hein, et même si pour s'en défendre, Michel dira plus tard : ça ne veut rien dire, tout marchait à l'époque. Une politesse de plus car cela est faux, bien évidemment.Et pourtant, alors que le 12 avril 1966, il pose avec tous les Copains yéyés pour ce qu'on appellera un jour la photo du siècle, devant l'objectif de Jean-Marie Périer, Michel Berger décide d'arrêter les frais. En effet, en cette année où les Américains et surtout les Anglais comme les Beatles, Rolling Stones et Bob Dylan publient chef d'œuvre sur chef d'œuvre, Michel dit qu'ils ont pris trop d'avance : les Français ne peuvent plus les suivre sur leur terrain. Michel arrête la chanson, passe son bac et rentre à la Fac. Oui, après un bac philo, il entame une maîtrise de Philosophie, dit-il, parce son voisin est un passionné, ce dont Jacques Attali, le voisin, c'était lui, a eu l'occasion depuis de démentir : Michel était modeste, il avait de solides bases en philo, et pas que. D'ailleurs les examinateurs de sa maîtrise ne sont pas près d'en oublier le thème : L'esthétique de la musique pop, dans laquelle il se lance dans l'exégèse de deux albums de Jimi Hendrix.Car si Michel a quitté le monde de la chanson en tant qu'interprète, il a accepté de sa maison de disques un rôle de directeur artistique. Alors qu'il est toujours étudiant, vous le croyez ça. Bon, on est dans les années 60, alors c'est vrai, pour tous ces gars qui gèrent la carrière d'Edith Piaf ou des Compagnons de la Chanson, qui mieux qu'un Yéyé de bonne famille pour dénicher et s'occuper d'autres yéyés.
durée : 00:48:07 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le nouveau roman de Sarah Chiche est un verbe, "Aimer". Les destins de deux enfants, Margaux et Alexis, qui ne cessent de se croiser. Ensemble, ils traversent les âges et nous entraînent à leur suite. C'est une histoire joyeuse, pourtant écrite "dans une période âpre de l'existence". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous pouvez rédiger le meilleur des emails, s'il finit dans les spams de son destinataire il n'a aucune chance de performer. Et des bons mails qui finissent en spams malheureusement il y en a des tonnes. Heureusement, j'ai ce qu'il vous faut pour vous assurer une livraison directe en inbox, avec mes 13 stratégies votre audience ne passera plus à côté de vos emails.Autres épisodes qui pourraient vous plaire : Emailing : les secrets de la reine du marketing, Amy PorterfieldPourquoi l'email est LA stratégie à prioriser3 stratégies pour faire exploser votre base emails---------------
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En Afghanistan, la population est en état de choc, une semaine après le séisme qui a frappé l'est du pays. La tâche des secours est difficile à cause du terrain, montagneux, courbé et qui bouge au gré des répliques. Plusieurs villages ne sont accessibles qu'en hélicoptère ou à pied, au prix de longues heures de marche. RFI s'est rendu dans le village de Ghonday, dans la province de Kunar, épicentre du séisme. Malgré la présence des pouvoirs publics, les habitants se sentent oubliés. De notre envoyée spéciale à Ghonday, Margot Davier Pour arriver jusqu'au village de Ghonday, dans l'est de l'Afghanistan, il faut compter plusieurs heures de voiture, puis marcher sur un chemin périlleux, entravé par de nombreux rochers. Sherzad, l'un des habitants, n'est pas très à l'aise. « Il y a des secousses tous les jours, presque toutes les heures. Tout est très fragile, et même là, au moment où je parle, j'ai peur que tout s'écroule », confie-t-il. D'ailleurs, son visage se fige à l'approche de son ancienne maison, qui paraît intacte de l'extérieur. Sherzad n'ose pas entrer, depuis le séisme, il préfère dormir dans une tente. « Plusieurs personnes ont été blessées ici et sont restées sous les décombres pendant des heures. Heureusement, au petit matin, nous avons enfin réussi à les évacuer et à organiser leur transport vers à l'hôpital. Je suis terrifié de rester à l'intérieur. S'il y a une secousse, les murs peuvent s'effondrer sur nous. Il vaut mieux sortir », témoigne-t-il. À l'angoisse des répliques, s'ajoute la peur de l'avenir. Sherzad, comme la plupart des hommes du village, est berger. Ses ressources se réduisent. « Nous en avons perdu plusieurs de nos animaux pendant le séisme. Ce sont ceux qui restent. C'est notre seul commerce. Nous sommes dépendants de ces animaux pour vivre. Nous n'avons rien d'autre : nous les vendons, nous prenons la laine, nous mangeons leur viande. On garde les chèvres ici. Normalement, elles gambadent dans la montagne, mais on préfère les garder ici par sécurité », détaille-t-il. Un peu plus loin, se trouve la demeure d'Abdul Sattar, l'un des frères de Sherzad. Il montre des ruines : « Mon frère dormait ici, sur le toit de la maison, et mes enfants se trouvaient à l'intérieur. Tout le monde dormait, quand le séisme a eu lieu. Le toit s'est effondré sur mes enfants, nous avons essayé d'évacuer tout le monde, mais les secours sont arrivés bien après car les routes sont en très mauvais état. Finalement, nous avons réussi à transférer tout le monde. On est contents, les talibans nous soutiennent beaucoup. Ils font du mieux qu'ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. » À ses côtés, Sherzad fait la grimace. « Leur soutien n'est pas très significatif. Ce n'est pas assez, nous avons besoin de reconstruction », déplore-t-il. « Mais ils prennent soin des blessés », lui rétorque son frère. Depuis une semaine, la vie des deux frères est suspendue. Deux ans minimum seront nécessaires à la reconstruction de la zone, selon les organisations sur place. À lire aussiAfghanistan: une semaine après le séisme meurtrier, des villages sont toujours inaccessibles
Vous le savez peut-être, le burnout est un de mes sujets de prédilection. Plus de 10 % d'entre vous êtes susceptibles de faire un burnout. Heureusement, ce n'est pas une fatalité! Le burnout ne s'attrape pas comme un virus, on peut agir contre lui.
En Tunisie, les maisons d'hôtes se multiplient avec une progression de 10 % cette année, mais elles manquent encore d'un cahier des charges adapté. Sur les 2 000 maisons d'hôtes que compte le pays, seules 300 seraient aux normes. Un nouveau cahier des charges est en passe d'être voté au Parlement. Les professionnels du tourisme attendent ce nouveau cadre législatif depuis des années, les anciens textes étant peu adaptés à la nouvelle demande et à la diversification du secteur. Avec notre envoyée spéciale à Sidi Bouali, Dans cette maison d'hôtes de Dar Zitouna, dans la zone sahélienne de Sidi Bouali, à une vingtaine de kilomètres de Sousse, dans le Sahel tunisien, le concept est simple : une journée piscine à une vingtaine de dinars, des menus peu chers, une ferme pédagogique et des chambres minimalistes. « On a misé sur tout ce qui est verdure et le patrimoine local, explique Safouen Farouk, expert-comptable, qui a bâti cet « écolodge ». On a essayé de garder les oliviers parce qu'on a des arbres millénaires. On a essayé de faire des maisons écologiques à base de bois. » Lenteurs administratives Depuis une dizaine d'années, les maisons d'hôtes se multiplient en Tunisie, mais c'est souvent le parcours du combattant pour l'ouverture. « Au départ, c'était un peu difficile, surtout au niveau administratif, témoigne-t-il. Depuis 2012, j'ai déposé beaucoup de demandes pour avoir les autorisations. Heureusement, en 2018, il y a eu un changement radical dans le concept et dans les autorisations. Donc, on est passé du changement de vocation de terre agricole à un simple accord du ministère de l'Agriculture. Ce qui a facilité beaucoup l'autorisation et l'inauguration était en 2020. » Safouen Farouk espère que la nouvelle législation lui permettra d'augmenter sa capacité d'accueil et de servir de l'alcool, autant de demandes appuyées par la Fédération interprofessionnelle du tourisme. « Pour l'alcool, c'est tout à fait normal, estime Houssem Ben Azzouz, président de cette organisation sectorielle. Si on s'appelle hébergement alternatif touristique, on s'adresse à une clientèle nationale et internationale. C'est normal qu'il y ait des boissons alcooliques. Ce qu'on a demandé aussi, c'est peut-être augmenter un peu les capacités pour les maisons d'hôtes, au lieu d'uniquement cinq chambres, peut-être aller vers huit ou dix chambres. » Élargir l'offre touristique Cette nouvelle législation vient assouplir des dispositions anciennes compliquées votées en 2013 et 2017. Il y aura désormais quatre cahiers des charges, détaille ce responsable de la profession : « Un pour les maisons d'hôtes, qu'on appelle également chambres d'hôtes ici, un autre pour les gîtes ruraux, un cahier de charges pour les campings touristiques et un quatrième pour les relais touristiques, sortes de motels sur les grandes routes. » L'objectif est d'élargir l'offre touristique pour toutes les clientèles, notamment les Tunisiens de la classe moyenne, qui ne peuvent plus se permettre un séjour à l'hôtel. À lire aussiLa Tunisie et le Maroc connaissent une année touristique 2025 en demi-teinte
Se réveiller d'une nuit complète en étant fatigué est une sensation très désagréable qui peut nous plomber. Mais s'il existe beaucoup d'astuces pour s'endormir dans les meilleures conditions possibles, le temps qu'il vous faut pour tomber dans les bras de Morphée a également son importance. Trouver le moment idéal pour s'endormir peut transformer la qualité de vos nuits, et donc de vos journées. Mais cette durée ne doit être ni trop longue, ni trop courte. Si tel est le cas, cela peut révéler des troubles du sommeil. Heureusement, Il existe des choses à faire et à ne pas faire pour être dans le bon timming. Est-ce bon signe de s'endormir vite ? Quel est le lapse de temps idéal ? Quelles sont ces astuces ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : La pleine lune nous empêche-t-elle vraiment de dormir ? Qu'est-ce que la méthode 10-3-2-1-0, qui aide à s'endormir ? Comment lutter contre la zoom fatigue, cette surcharge informationnelle ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 19/12/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
On commence avec la conférence de presse de rentrée de François Bayrou qui a annoncé qu'il se soumettrait à vote de confiance à l'assemblée pour défendre son plan d'économie face à la journée de blocage le 10 septembre prochain
Retrouvez dans cet épisode de LeaderCast comment on a fait de nous des esclaves ! Heureusement, ce n'est pas trop tard :) Les liens du Podcast : - Pour accéder au Podcast des Patreotes et à la Revue de Presse - https://www.patreon.com/leadercast - Pour se procurer mon LIVRE "The Leader Project" - https://www.leadercast.fr/leader-project/ - Pour COMMANDER "THE LIFE" - https://www.leadercast.fr/the-life/ - Pour me contacter - https://www.leadercast.fr/contact/
Louise : Aïe ! Je me suis brûlée en sortant un plat du four. J'ai hyper mal à la main ! J'espère que ça va cicatriser !Julien : Oula oui, ça a l'air sérieux ce que tu t'es fait. T'as pensé à mettre de l'eau froide tout de suite ?Louise : Oui, mais la trace est déjà rouge. Heureusement, ça a duré qu'une petite seconde, donc ça devrait pas être trop grave !Julien : On va surveiller ça de près quand même ! Et je pense que je vais terminer de m'occuper de la cuisine, faudrait pas créer un autre incident ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après l'échec du pari Deshaun Watson, Cleveland doit à nouveau repartir de zéro. Cela commence avec le poste de quarterback, et l'arrivée très médiatique de Shedeur Sanders. Mais il n'est pas le seul sur la ligne de départ.Heureusement pour les Browns, la défense reste une grande force.Grégory Richard et Victor Roullier sont au micro.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFF - L'arrivée de Bruno Le Maire à l'école Polytechnique de Lausanne suscite des critiques... Heureusement, il peut compter sur le soutien indéfectible d'Élisabeth Borne ! Cet été, retrouvez tous les jours le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise : C'est bon, c'est officiel : ma coiffeuse m'a complètement ratée. Moi qui voulais me faire belle pour l'anniversaire de ma meilleure pote…Julien : Aïe… Et tu lui as dit que ça t'allait pas ou t'as pas osé critiquer son travail ? Tu penses que c'est rattrapable ?Louise : Bah non, je suis sortie avec un “c'est très bien merci” alors que j'avais envie de pleurer. Heureusement, j'ai repris rendez-vous demain chez une autre coiffeuse !Julien : Ouais, et puis la bonne nouvelle c'est que ça repousse. Et sinon, on ira te trouver une perruque qui te va bien ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Notes aux auditrices et auditeurs : cet épisode a été diffusé pour la première fois le 13 mars 2025.En France, 125.000 femmes sont excisées. C'est l'équivalent de la population d'une ville comme Annecy ou Perpignan. Heureusement des chirurgies réparatrices sont possibles pour soigner ces mutilations sexuelles féminines, aujourd'hui considérées comme des atteintes aux droits fondamentaux et notamment à l'intégrité physique et psychologique des victimes. A l'hôpital André Grégoire de Montreuil, près de Paris, une unité spécialisée dans la prise en charge des femmes victimes a été créée en 2017 par la gynécologue-obstétricienne Dr Sarah Abramowicz. Dans ce service, une équipe pluridisciplinaire soigne non seulement le corps mais aussi l'âme des patientes, en espérant qu'elles pourront à terme se reconstruire pleinement en tant que femmes. Sur le terrain : Lisa Defossez, Agnès Coudurier et Emma Vallée-Guillard journalistes à l'AFP à Paris. Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Ce podcast fait l'objet d'une clause de opt-out:Sous réserve des dispositions de l'article L.122-5-3.II. du code de la propriété intellectuelle, tout accès à ou utilisation (tels que, à titre non exhaustif, la reproduction, l'agrégation et l'archivage) du contenu de ce podcast et de sa description, pour toute activité systématique ou automatisée liée à la récupération, la fouille, l'extraction, l'agrégation, l'analyse, l'exploration ou la collecte de textes, d'extraits sonores, et/ou de données, par l'intermédiaire de tout "robot", "bot", "spider", "scraper", ou de tout autre dispositif, programme, technique, outil, procédé ou méthode, réalisé dans le but de créer, développer, entraîner, tester, évaluer, modifier et/ou permettre l'exécution de logiciels, algorithmes et modèles d'apprentissage automatique/d'intelligence artificielle ou à une quelconque autre fin, sans l'autorisation préalable écrite de l'AFP, est strictement interdit. La présente disposition des CG vaut opposition expresse de l'AFP au sens des articles L. 122-5-3.III. et R. 122-28 du Code de la propriété intellectuelle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce samedi à La table des bons vivants, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs parlent du poulet bien élevé. Comment le choisir ? Comment le cuisiner ? Ils reçoivent le passionné de volailles et de basse-cour Pierre Coulon. Il évoque les différentes races que l'on peut trouver chez des amateurs en région. Le poulet est la volaille préférée des Français et l'une des viandes de plus en plus plébiscitée. Comment on l'explique ? Avant tout, le poulet est bon marché : un quart seulement des viandes sont vendues sous label. Et il n'y a pas d'interdiction de culte… Il n'est pas cher… parce qu'une partie du poulet est importée. Heureusement certains éleveurs se battent pour que la restauration collective, que ce soit les cantines d'écoles ou restaurant d'Ehpad, puissent cuisiner du poulet de qualité. C'est le cas d'Aurore Frugier Mayno de la Ferme de Tintin et Flo, à Saint-Jory-de-Chalais, en Dordogne, à laquelle Laurent Mariotte passe un coup de fil. Laurent Mariotte, Mohamed Cheikh, Olivier Poels et Pierre Coulon nous donnent leurs recettes préférées avec du poulet. Et leurs astuces pour les réussir ! Pierre Coulon leur a même cuisiné le poulet au vinaigre. Comme dans chaque épisode, l'équipe de la table des bons vivants continue de jouer avec vous. Laurent Mariotte vous fait écouter un son en rapport avec la cuisine… à vous de le découvrir. Pour jouer avec nous, envoyez un SMS avec le mot “CUISINE” au 7 39 21 (3 x 0.75 € + coût du SMS). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un monde où seul le futur compte, Rémi rêve de découvrir le passé — celui de ses parents, surtout. Mais poser la question est déjà un danger… Heureusement, son grand-père Papirouille connaît un passage secret : une vieille buanderie, et une machine à laver pleine de souvenirs.Une aventure pleine d'humour, de mystère et de tendresse, mijotée à partir des ingrédients d'Alice Birotheau Paya. Pour les enfants dès 7 ans — et tous ceux qui aiment regarder un peu en arrière pour mieux avancer.Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Mathieu Genelle et Andoryss. Racontée par Karine Texier. Enregistrement, montage et générique : Studio Module. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:29:05 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Ils ont entre 9 et 11 ans et s'inquiètent déjà pour la planète. Ce que leur disent les adultes et ce qu'ils observent de leurs gestes est parfois dissonant. Heureusement, il y a le vent dans les feuilles des arbres et le chant des oiseaux. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:29:11 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Ils ont entre 9 et 11 ans et s'inquiètent déjà pour la planète. Ce que leur disent les adultes et ce qu'ils observent de leurs gestes est parfois dissonant. Heureusement, il y a le vent dans les feuilles des arbres et le chant des oiseaux. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
Les Grosses Têtes font un tour de table pour partager leur pire défaut. Heureusement que les personnalités politiques ne font pas de même pendant les débats ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.