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Ne vous attendez pas à des notes très pertinentes, il est 1h06 et l'épisode sort dans 5h. Comme j'ai encore quelques bricoles de son à gérer et la vignette à faire alors autant piquer le texte de Maxime. Voyons voir."Comme on devenait un peu trop prévisibles avec une régularité métronomique, on a décidé de couper l'épisode en 2.Voici donc la première partie du 43ème Super Cover Battle. Et comme j'ai aucune idée de l'endroit où va s'arrêter cette première partie, si vous la trouvez pas dingue, dites vous que la seconde sera bien meilleure (et avec potentiellement moins de tunnels de Dam).Bonne idée à la con que cette première partie rapport au lien de la playlist à vous communiquer. Bon, en vrai, pour les 3 du fond qui lisent les notes, [voici la première moitié de la playlis](https://music.apple.com/fr/playlist/scb-43-partie-1/pl.u-kvk1vtWb0R9M)t (sans garantie que ce soit raccord avec l'épisode)."Mouais. 6/10. Heureusement que c'est pas SuperDescriptionBattle. Allez, 6.5/10 pour le lien vers la playlist.Comme quoi, c'est moi le gentil dans le duo.[La playlist multi-plateformes, dans l'ordre de l'épisode](https://www.tunemymusic.com/share/nIhTJfI7hb)[La playlist globale et classée sur Youtube (sans les 10 reprises du jour)](https://youtube.com/playlist?list=PLy0I7qtXvNDI-kmJuOv0rkm-SWV1lGoGh) [La playlist globale et classée sur Spotify (sans les 10 reprises du jour)](https://open.spotify.com/playlist/6XBhCgSAXPzr1WNSj2XOTa?si=fbb4599bfd194dc2)[La playlist multi-plateformes et classée sur Spotify (sans les 10 reprises du jour)](https://www.tunemymusic.com/share/Oj3WjtBujG)[Nouveau : l'annuaire Super Cover Battle (tous les groupes et artistes évoqués depuis le premier épisode, + de 800 noms !).](https://www.notion.so/a8de521dacb643f9a5a8f4ae0c5657bb?pvs=21)Pour nous envoyez vos listes de 3 reprises (parues officiellement et dispo en stream), par dm sur Twitter ou sur nos mails respectifs :recoversionpodcast@gmail.comecoutecapodcast@gmail.comTipeee : http://tipeee.com/ecoute-ca Discord : https://discord.com/invite/wgxkGN3grG Instagram : @ecoutecapodcast Bluesky : https://bsky.app/profile/ecoutecapodcast.bsky.socialX/Twitter : @ecoute_ca Facebook : ecoutecapodcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Une participante présente dans l'émission d'hier remercie chaleureusement l'équipe de Julien Courbet pour leur efficacité ! L'animateur en profite pour souligner que même les "guignols" peuvent faire des miracles ! Tout l'été, revivez les meilleurs fous rires, coup de gueule et débats de l'émission "Ça peut vous arriver" en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 25 ans, Gatien crée TrainMe, une plateforme pour réserver un coach sportif en quelques clics. Ce projet B2C deviendra rapidement une solution B2B leader pour organiser des séances de sport et bien-être en entreprise. Un pivot stratégique… et un changement d'échelle.Mais tout ne se passe pas comme prévu.Un premier repreneur industriel, très avancé dans les discussions, se retire brutalement. Gatien, à court de cash, pensait vendre. Ce retrait de dernière minute devient une vraie leçon : ne jamais vendre la peau de l'ours avant le deal signé.Heureusement, Decathlon entre dans la danse. Les négociations avancent bien, malgré quelques petites frictions, notamment la fois où les fondateurs se font “gronder comme des enfants” pour un détail mal interprété.Le closing a lieu en juin 2020, en plein entre-deux confinements. Pas d'avocats autour de la table. Pas de signature papier. Juste un mail, des relances… et un DocuSign qui se fait attendre pendant des heures.Certains actionnaires sont injoignables, d'autres ont oublié de signer. Gatien passe sa journée à faire des relances par texto, pendant que les stylos gravés pour la cérémonie… restent dans leur boîte.La vente est faite, mais l'aventure continue. Gatien reste chez Decathlon dans un rôle hybride : encore impliqué dans la boîte, mais plus tout à fait le décideur. Une phase d'intégration post-acquisition, marquée par des ajustements humains, politiques… et parfois quelques frustrations.Dans cet épisode, il partage aussi des leçons rares et précieuses :L'importance de la reconnaissance entrepreneurialeLe rôle clé de la communication post-dealLes erreurs à éviter avec ses investisseursEt pourquoi le storytelling compte autant que les chiffresUn podcast conçu par FeuilleBlanche, producteur de médias, podcasts et récits stratégiques pour les marques.À vos écouteurs
Ca y est, on a fait nos deux premiers jours de plongée à Lanzarote, on a enchainé quatre plongées… mais pas forcément comme prévu !Deux plongées chaque matin avec Aquasport Diving Lanzarote, un intervalle de surface d'une heure, des sites variés et une logistique toujours aussi confortable. Après une première journée avec deux plongées de reprise (et des oreilles capricieuses…), l'idée était de démarrer la formation niveau 2 dès le lendemain.Mais entre fatigue, pression personnelle et les séquelles émotionnelles d'une année éprouvante (accident de voiture, examens, charge mentale…), il a fallu prendre du recul. Plonger, c'est aussi savoir écouter son corps et son esprit pour répondre à ses besoins. Et parfois, ce dont on a le plus besoin, c'est de se faire du bien, sans objectif à atteindre.Heureusement, l'écoute et la bienveillance d'Éric et Géraldine ont permis d'adapter les plans à la volée : au lieu d'enchaîner les exercices et de viser un niveau 2, place à des plongées d'exploration, dans la détente et le plaisir. Et le résultat ne s'est pas fait attendre : plus de douleurs, plus de stress, juste des sensations, de la beauté… et une redécouverte de ce qui nous fait tant aimer la plongée.Dans cet épisode, on parle de lâcher prise, de confiance en soi, de respect de son rythme… et de raies, girelles, mérous et poissons perroquets colorés ! Car oui, les fonds de Lanzarote nous ont émerveillés.Une écoute parfaite pour tous ceux qui débutent, qui doutent, ou qui cherchent à redonner du sens à leurs plongées.
Entre vie et mort : récit d'une greffe et d'un ange gardien Bonjour mes amis, Avec ce 22ème épisode, on fête les 2 ans du podcast. Merci pour votre soutien sans faille et votre écoute. Saviez-vous que près de 10 % des patients ayant frôlé la mort rapportent des expériences dites « de mort imminente » ? Flottement hors du corps, tunnel de lumière, voix mystérieuses… Certains y voient un bug du cerveau, d'autres une porte entrouverte sur l'au-delà. Parfois, la vie nous réserve des surprises… mais franchement mon héroïne aurait préféré gagner au Loto plutôt que de se retrouver à l'hôpital de Seattle avec des poumons en grève. Ellen, Ellen, 26 ans, bosse dans l'événementiel et collectionne les galères médicales. Elle se sent vieille avant l'âge. Mais la vraie loterie, c'est celle du don d'organes : un matin, coup de fil du docteur Peters, et elle obtient une greffe inespérée ! Encore faut-il survivre à l'opération… et au personnage du chirurgien, prototype du golden boy misogyne, obsédé par son image et par l'idée de dominer tout ce qui porte une blouse (spéciale dédicace à Nancy, la jeune infirmière harcelée sous couvert de hiérarchie). Mais la vraie aventure commence quand Ellen, entre deux mondes sur la table d'opération, fait une expérience de mort imminente. Flottant au-dessus de son corps, elle assiste à la scène, découvre l'envers du décor hospitalier et croise une mystérieuse présence lumineuse : ange gardien, fantôme, ou… un peu des deux ? À son réveil, rien ne sera plus comme avant : nouveaux goûts, nouvelles envies, et surtout, la sensation persistante qu'elle n'est plus seule dans sa poitrine. Impossible de parler de cet épisode sans évoquer le Dr Peters : chirurgien star, sourire ultra-bright, ego surdimensionné et… comportement de prédateur. Sous ses airs de sauveur, il profite de sa position pour harceler la jeune Nancy, tout juste débarquée dans le service. Il est la caricature même du médecin qui pense que tout lui est dû, y compris le respect et le silence de ses collègues féminines. Heureusement, Ellen – même à moitié anesthésiée – ne compte pas se laisser faire, et l'équipe va enfin oser lever le voile sur ses agissements. Cet épisode est un hommage à toutes celles et ceux qui traversent l'épreuve de la maladie, mais aussi à celles qui osent briser le silence face à l'injustice. Et si, parfois, la vie (ou la mort) nous met sur la route d'anges gardiens insoupçonnés, il ne tient qu'à nous d'écouter les signes… et de nous autoriser à vivre, pleinement. Pour bien terminer ce voyage en ma compagnie, je vous propose une reprise d'une chanson que j'adore : Le tunnel d'or - AaRON Casting : Callie Hope : Ellen Watson Rodolphe Campeggia : Dr Peters Charlotte Jardat : Gillian Delphine Lidove : Patricia Betty Scouarnec : Infirmière au réveil d'Ellen Margaux Rinaldi : Nancy Écriture, composition, montage et réalisation sonore par Juliette Dargand, tous droits réservés Membre du Label Tout Savoir. Régies publicitaires : PodK et Ketil Media Soutenez le podcast et choisissez votre contrepartie originale sur https://fr.tipeee.com/rencontres-surnaturelles-juliette-dargand Soutenez-nous sur Tipeee !
Le Slovène Tadej Pogaçar a remporté à Rouen la quatrième étape du Tour de France. Il est deuxième du classement général dans la même seconde que le maillot jaune Mathieu van der Poel, avant un rendez-vous très important ce mercredi : le premier contre-la-montre individuel, 33 km autour de Caen. Un exercice solitaire où les jambes font la différence, mais pas seulement. C'est aussi l'occasion d'étrenner les dernières innovations sur des vélos bourrés de technologie et d'électronique. Comme en Formule 1, c'est une véritable course à l'équipement que se livrent aujourd'hui les équipes en coulisses. Un phénomène qui s'accélère de manière spectaculaire depuis une quinzaine d'années. C'était il y a quarante ans : les premières pédales automatiques, un système de fixation pied/vélo inspiré du ski… La marque Look en équipera Bernard Hinault, dans sa victoire sur le Tour 1985. À l'époque, les innovations technologiques majeures sont rares. « Quand on voit celle-là et qu'on voit la dernière, c'est la Préhistoire. Quand on voit les cintres du guidon, quand on voit les roues, quand on voit les freins à disque, c'est des évolutions fulgurantes, ce sont les mêmes évolutions que la pédale automatique, explique l'ancien cycliste Jean-François Bernard, il y a des innovations tous les quatre matins. C'est de la folie. Les coureurs changent d'équipe en fonction de ce qu'ils ont comme matériel dans l'équipe ». Des coureurs attentifs à tous les détails, de la forme parfois surprenante des casques au textile des chaussettes. « Pour nous, c'est une obsession, reconnaît Cédric Vasseur, manager de l'équipe Cofidis. On est dans l'optimisation de la performance à tous les niveaux. C'est-à-dire en termes d'aérodynamisme, de rigidité, mais aussi et surtout en termes de poids. Qu'il y ait un élément réel, mais aussi qu'il y ait un élément psychologique, c'est très important pour le coureur ». À lire aussiTour de France 2025: Tadej Pogacar signe la centième victoire de sa carrière à Rouen Comme des pilotes de Formule 1, les coureurs échangent régulièrement avec le département performance des équipes. Une démarche cruciale, aujourd'hui. « Pour nous, ce qui est fondamental, c'est la période hivernale, indique le Français Benjamin Thomas, spécialiste du contre-la-montre. C'est le hors-saison, c'est là où on va avoir du temps pour tester le matériel, le nouveau matériel. C'est là où il y a les changements : on peut changer de cadre, de roue. Par exemple, on avait testé en décembre et janvier les nouveaux groupes treize vitesses. On avait fait les retours sur ce que l'on avait bien aimé, ce que l'on pouvait encore modifier pour l'améliorer. Et là, on est au Tour de France avec le nouveau groupe et la version finale. Ils ont intégré ce que l'on leur avait dit sur des petits détails, des poignées... Ça fait la différence ». Mais quelle est la valeur réelle de ces gains marginaux ? Tadej Pogaçar pourrait-il gagner le Tour de France aujourd'hui avec un vélo d'une dizaine d'années ? Pas sûr pour Cédric Vasseur : « On a beaucoup évolué au niveau des pneumatiques, des roulements, au niveau du poids du vélo... À tous les niveaux, ça serait beaucoup plus difficile pour lui de gagner le Tour de France, voire impossible ». Heureusement pour le champion slovène, son équipe est l'une des plus à la pointe du peloton et ses jambes font le reste.
Un an après une draft moyenne, les 49ers ont enchaîné en 2022 avec une draft désastreuse. Heureusement, sauvée par le choix de la décennie.Kévin, Elioth, Olivier et Gonzague en débattent dans le cent-septième épisode du Faithful Podcast.Bonne écoute à toutes et à tous.Écoutez le Faithful Podcast sur :Apple PodcastsDeezerGoogle PodcastsAcastYouTubeSpotify Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Face à des étés de plus en plus secs, le jardin souffre. Heureusement, quelques gestes simples permettent de mieux le préparer à la sécheresse et de limiter les dégâts. Dorothée Falières, jardinière au naturel, vous donne de bons conseils. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un monde où seul le futur compte, Rémi rêve de découvrir le passé — celui de ses parents, surtout. Mais poser la question est déjà un danger… Heureusement, son grand-père Papirouille connaît un passage secret : une vieille buanderie, et une machine à laver pleine de souvenirs.Une aventure pleine d'humour, de mystère et de tendresse, mijotée à partir des ingrédients d'Alice Birotheau Paya. Pour les enfants dès 7 ans — et tous ceux qui aiment regarder un peu en arrière pour mieux avancer.Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Mathieu Genelle et Andoryss. Racontée par Karine Texier. Enregistrement, montage et générique : Studio Module. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une émission préparée dans des conditions dantesques, sous une chaleur accablante. Heureusement, pour se rafraîchir les oreilles, Camille élève de 2nde en stage nous a préparé quelques pépites musicales de ses playlist pour une première en radio sous le signe du wonky rock. Seb a pris la direction de la scène neo soul et rap […] L'article Ghettoblaster – Mardi 1er juillet est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
On vous l'a révélé cette semaine sur RTL : jamais le prix des réparations n'a a été aussi élevé, 2.500 euros en moyenne. Heureusement, il existe des moyes simples pour faire baisser la facture.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:46 - Lectures du soir - Sophie n'a pas le droit de manger entre les repas. Oui mais elle a faim ! Alors en secret, elle vole du pain. Elle se fait attraper et est privée de dîner. Heureusement, sa bonne partage avec elle toutes les gourmandises cachées dans son garde-manger. Sophie va en profiter… jusqu'à la nausée.
Le prix des réparations de nos voitures explose, et en particulier celui des pièces détachées : + 12% l'an dernier. Heureusement, pour faire baiser la facture, il existe la pièce d'occasion. Mais elle n'est pas souvent proposée par notre garagiste... Ecoutez Le conseil auto avec Christophe Bourroux du 27 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'info du matin - Grégory Ascher et Justine Salmon vous ont donné quelques astuces pour réduire le stress quand on prépare un voyage Le winner du jour - Un détenu tente de s'échapper par un trou creusé avec un clou, mais se retrouve coincé dans le mur - Une Australienne lance un cycle de machine à laver... avec son chat à l'intérieur. Heureusement, il s'en est sorti indemne Le flashback de juillet 1984 - La première diffusion en France de la série "L'agence tous risques" - Le premier titre solo de George Michael, "Careless Whisper", sort le 23 juillet 1984 Les savoirs inutiles - Le décret du 27 mars 1858 encadre précisément la marinière des marins : 21 rayures blanches, deux fois plus larges que les 20 à 21 rayures bleues 3 choses à savoir sur Michael Jackson Qu'est-ce qu'on fait ? - La fête du cinéma a lieu de dimanche à mercredi, avec toutes les séances à 5 € - À Lyon, le Lyon Street Food Festival célèbre cette année les cuisines du Brésil et de l'Irlande Le jeu surprise - Jean-Christophe de Saint-Vivien près de La Rochelle gagne un séjour pour 4 personnes au parc Astérix La banque RTL2 - Cindy de Yerres près de Paris gagne 800 euros - Louise de Rennes repart avec un vinyle LP de Metallica Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une alerte sérieuse qui vient de retentir de l'autre côté de la Manche. Le conseil municipal d'Oxford, ville emblématique du Royaume-Uni, a révélé avoir été la cible d'une cyberattaque d'ampleur. Des pirates sont parvenus à s'introduire dans ses anciens systèmes informatiques, appelés legacy, pour y dérober des données sensibles stockées depuis plus de vingt ans.Selon les premières analyses relayées par BleepingComputer, les hackers ont exploité ces failles technologiques pour accéder à des bases de données internes remontant à 2001. Résultat : plus de deux décennies d'archives ont été compromises. Et l'attaque ne s'est pas faite sans conséquence : de nombreux services municipaux ont été perturbés, même si la majorité a désormais repris son activité. Mais des retards subsistent, illustrant combien les infrastructures numériques, même obsolètes, restent cruciales au bon fonctionnement des institutions.La cible principale ? Le personnel électoral local. Les données volées concernent des agents administratifs, des responsables de bureaux de vote, ou encore les compteurs de bulletins. Un ciblage qui interroge, tant ces profils touchent directement au processus démocratique local. De quoi alimenter les soupçons sur les motivations des assaillants. Heureusement, selon les autorités locales, aucune donnée de citoyens n'a été exposée. Une précision qui se veut rassurante, même si l'alerte est claire : les systèmes vieillissants ne sont plus un simple handicap technique, ils représentent un véritable risque sécuritaire.L'Oxford City Council a depuis alerté toutes les personnes concernées, renforcé ses mesures de sécurité, et une enquête est en cours. À ce stade, aucune diffusion massive des données volées n'a été repérée. Mais l'affaire sonne comme un rappel salutaire : dans un monde toujours plus numérisé, même les grandes institutions historiques comme Oxford ne peuvent plus se permettre de négliger leurs vieilles fondations numériques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le handicap, ça concerne 28% de la population (en comptant les handicaps temporaires). Mais qu'est-ce que c'est, au juste, d'être en situation de handicap ? Et puis, c'est quoi les handicaps vraiment ? Autant de questions qui, bien souvent, demeurent sans réponse. Parce que c'est complexe. C'est touffu même. Heureusement, mon invité Thomas Rall a un talent incroyable pour la pédagogie et la vulgarisation. Un épisode nécessaire si tu veux enfin comprendre les difficultés des personnes concernées ! Bonne écoute Bisous
Julien : Je suis dégouté, mon chef m'a refusé mes congés pile pendant le week-end prolongé qu'on voulait faire ensemble.Louise : Ah non, sérieux ? On s'était trop chauffés pour s'évader un peu. Heureusement que j'avais pas encore réservé les billets.Julien : Ouais, va falloir revoir nos plans. Peut-être décaler ou faire plus court… C'est toi qui vois !Louise : T'inquiète, on va trouver une autre solution. Tant qu'on part, même un peu plus tard, ça me va ! L'essentiel c'est de sortir de sa routine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:29:05 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Ils ont entre 9 et 11 ans et s'inquiètent déjà pour la planète. Ce que leur disent les adultes et ce qu'ils observent de leurs gestes est parfois dissonant. Heureusement, il y a le vent dans les feuilles des arbres et le chant des oiseaux. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:29:11 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Ils ont entre 9 et 11 ans et s'inquiètent déjà pour la planète. Ce que leur disent les adultes et ce qu'ils observent de leurs gestes est parfois dissonant. Heureusement, il y a le vent dans les feuilles des arbres et le chant des oiseaux. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:29:05 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Pauline Maucort - Ils ont entre 9 et 11 ans et s'inquiètent déjà pour la planète. Ce que leur disent les adultes et ce qu'ils observent de leurs gestes est parfois dissonant. Heureusement, il y a le vent dans les feuilles des arbres et le chant des oiseaux. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
Le mot peut sembler technique, mais le phénomène qu'il désigne est bien plus courant qu'on ne l'imagine. L'érotophobie, du grec eros (le désir, l'amour) et phobos (la peur), désigne littéralement la peur ou l'aversion envers tout ce qui touche à la sexualité. Elle ne se réduit pas à une simple gêne passagère : c'est un véritable trouble qui peut impacter la qualité de vie et la santé mentale.Il faut distinguer l'érotophobie en tant que phobie clinique — une peur intense et irrationnelle pouvant provoquer crises d'angoisse et évitement — d'une forme plus diffuse et sociale. Dans ce second cas, on parle d'une attitude érotophobe : un malaise chronique face à la sexualité, aux discussions sur le sujet, aux représentations sexuelles ou même à son propre corps.Les manifestations varient selon les individus. Certaines personnes évitent les contacts intimes ou refusent de s'exprimer sur leur sexualité. D'autres éprouvent de la honte ou de la culpabilité à ressentir du désir. Cela peut entraîner des blocages relationnels, des difficultés conjugales ou des troubles sexuels (tels que le vaginisme, la dysfonction érectile ou l'anorgasmie).Mais d'où vient cette peur ? L'origine est souvent multifactorielle. L'éducation joue un rôle clé : un cadre familial répressif, une culture marquée par des tabous sexuels, ou une absence d'éducation sexuelle positive peuvent ancrer des peurs profondes. Les expériences traumatiques — comme les abus sexuels ou des relations marquées par la violence — en sont une autre cause majeure.Au niveau sociétal, l'érotophobie est alimentée par des discours culpabilisants et des représentations négatives de la sexualité. Dans certaines cultures, le corps et le plaisir sont perçus comme des sujets honteux. Cette stigmatisation collective renforce le repli sur soi et l'évitement.Les conséquences sur la santé mentale sont significatives : anxiété, dépression, troubles de l'estime de soi. Sur le plan physique, une sexualité inhibée peut perturber l'équilibre hormonal et nuire au bien-être global.Heureusement, l'érotophobie se soigne. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est souvent recommandée : elle aide à déconstruire les croyances négatives et à affronter progressivement les situations anxiogènes. La sexothérapie, les groupes de parole et une éducation sexuelle bienveillante jouent aussi un rôle essentiel.En brisant les tabous et en valorisant une approche positive et respectueuse de la sexualité, on peut progressivement libérer la parole… et les esprits. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Marie de Hennezel nous invite à méditer amoureusement sur notre solitude. Qu'elle soit subie ou choisie, la solitude est le propre de l'être humain. Une expérience impartageable, que nous rencontrons tous dans nos vies. Pour réussir ce qu'elle appelle notre voyage vers notre intériorité, Marie de Hennezel nous offre de nombreuses clés. Pour sa quatrième participation à Zeteo, elle commente certains extraits de son nouveau livre : Dans son très riche Dictionnaire amoureux de la solitude, elle apporte son regard personnel et profond, fruit d'une "longue promenade solitaire", éclairée par de nombreux personnalités marquantes, artistes, écrivains, religieux, héros du quotidien, artistes... À tous les âges, la solitude nous accompagne au quotidien. Quand elle est subie, après une rupture, un deuil, avec la maladie ou avec le grand-âge. Il s'agit alors de l'isolement, un véritable fléau qu'il faut combattre personnellement et solidairement pour en soulager les plus fragiles. Quand elle est accueillie et même attendue. La solitude est le lieu indispensable pour le dialogue intérieur, celui du ressourcement psychologique, de l'inspiration personnelle, de l'écoute de notre voix intérieure, de nos rêves et de nos désirs. La solitude est aussi un lieu de rencontre, pour nous connecter aux grands courants de sagesse et de spiritualité, avec les maîtres que sont les artistes comme les mystiques, avec les réalités spirituelles, dont les entités invisibles, et même l'ange gardien sur lequel Marie de Hennezel aime se pencher particulièrement. Une exploration intime et apaisante, pour aller aux sources de notre être, pour éclairer les zones d'ombres qui obstruent souvent notre liberté intérieure, et pour aller ainsi au devant de tous nos prochains avec harmonie et puissance. Pour lire le Dictionnaire amoureux de la solitude, le nouveau livre de Marie de Hennezel, cliquer ici. POUR QUE ZETEO PASSE L'ÉTÉ Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Comme chaque année à la même période, nous voyons arriver l'été avec la joie de la perspective des beaux jours, des temps de repos et des retrouvailles avec ceux qui nous sont chers, des voyages… et, nous l'espérons aussi, du ressourcement personnel. Celui auquel nous invite Marie de Hennezel dans l'épisode que nous diffusons dès aujourd'hui. Avec l'intelligence, la profondeur et la grâce que nous lui connaissons, elle nous propose une exploration intérieure au plus intime de chacun de nous. Pour y rencontrer la paix, la libération, l'estime de soi, et l'élan pour aller, renouvelés, vers les autres. Nous avons une pensée pour tous ceux pour qui la saison estivale n'est pas synonyme de vacances. Particulièrement ceux qui sont malades, ceux qui souffrent, ceux qui vivent dans des conditions difficiles voire impossibles (notamment ceux qui subissent les guerres tout autour de nous), ceux qui sont seuls… Cet épisode est aussi pour eux. Il révèle bien des ressources indispensables à tous, notamment ceux qui sont fragiles. Pour Zeteo, à cette période de l'année, nous sommes un peu comme celui qui contemple la traversée qui l'attend. Une traversée riche en aventures et en rencontres : Comme chaque année, nous n'interromperons pas nos diffusions, et nous vous proposerons chaque semaine de nouveaux épisodes. Les temps que nous vivons sont intenses. Nous ressentons un réel besoin d'apporter chaque semaine la Bonne Nouvelle. Heureusement, elle ne part jamais en vacances. Et nous voulons au contraire profiter de cette période estivale propice à la réflexion pour continuer de la faire vivre et de la diffuser : nos audiences en été sont toujours élevées. Cette traversée est toujours incertaine. Au cours des semaines à venir, notre effort ne faiblira pas. Notre besoin de soutien ne diminuera non plus. Il se prononcera peut-être avec plus d'importance : Au cœur de l'été, il est fréquent que les donateurs se raréfient. D'où ce message et cet appel, cette semaine, particulièrement à ceux qui apprécient Zeteo, qui peuvent contribuer à notre effort et prendre ainsi une part décisive pour permettre la diffusion gratuite de tous nos contenus. Comme à ceux qui ont déjà aidé par le passé, et qui pouraient à nouveau nous faire profiter de leur générosité. Nous sommes dans la confiance, l'accueil et la gratitude de ce qui surviendra. Et nous profitons de ce message pour remercier ceux qui ont récemment fait un don à Zeteo. Belle entrée dans l'été 2025 à tous ! Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Telio, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
durée : 00:58:02 - LSD, la série documentaire - par : Alice Lefilleul - Inégaux face à la maladie, classe, genre, origines ethniques prédisposent à contracter telle pathologie. Malade chronique, c'est occuper une place particulière dans une société construite sur l'idéal de la bonne santé. Heureusement, certains s'activent à penser le soin contre les inégalités. - réalisation : Julie Beressi
Julien Courbet l'avoue : il a cru que l'émission du jour serait absolument catastrophique ! Heureusement que le niveau de l'équipe finit par remonter... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Grosses Têtes font un tour de table pour partager leur pire défaut. Heureusement que les personnalités politiques ne font pas de même pendant les débats ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après 10 ans sous la houlette du Nigérian Akinwumi Adesina, la Banque africaine de développement sera, pour les cinq années à venir, dirigée par Sidi Ould Tah. « Trois heures seulement ont suffi » s'étonne Sahara Médias, à l'élire. Réaction partagée parLe Monde Afrique, surpris que « le dernier candidat à être sorti du bois » ait « finalement coiffé tous ses adversaires au poteau, » et ce en trois tours seulement. Il faut dire que le parcours de Sidi Ould Tah lui a taillé un costume sur-mesure : « docteur en économie formé entre Nouakchott et la France, » rappelle Le Point Afrique, « passé (…) par la Banque mauritanienne pour le développement et le commerce, ». Il a surtout dirigé la Banque arabe pour le développement économique en Afrique pendant dix ans. Et sous sa direction, pointe Le Faso, l'institution a « financé des ports, des aéroports, participé à la construction de plus de 200 routes, (…) tout en générant une baisse des coûts de transport. » Coup de pouce des dirigeants mauritaniensSahara Médias raconte que pendant le vote, le président Mohamed Ould Ghazouani « passait plusieurs appels, » qui, croit savoir le titre, « ont joué un rôle décisif pour changer la donne. » Parmi ces contacts cruciaux, le Nigeria, qui a « changé de position de manière soudaine et décisive. » Et le résultat est là : plus de 76% des voix, contre un peu plus de 58% à l'époque pour Akinwumi Adesina. Mais attention, prévient Wakat Séra : il faut voir dans ce score élevé non pas un blanc-seing mais une « interpellation à la tâche. » La présidence de tous les défis Sur ce point, les journaux sont unanimes. D'abord, Sidi Ould Tah va devoir faire avec l'héritage de son prédécesseur. Akinwumi Adesina a, souligne Le Pays, « réalisé la plus importante augmentation de capital » de l'histoire de la BAD : ce dernier a plus que triplé en 10 ans.Plutôt donc que de s'affranchir de ce passé, le nouveau patron de la banque compte, analyse Le Monde, « s'inscrire dans la continuité des grandes priorités définies par son prédécesseur, » les ‘High Five' : électrification, accès à la nourriture, industrialisation, intégration et amélioration de la qualité de vie. Autant de points sur lesquels « les défis restent immenses », juge le quotidien.Environnement économique difficile Par rapport à 2010, la part que les pays africains consacrent à leur dette a connu « une hausse de 167% ». Et puis il y a les États-Unis et leur « désengagement progressif des mécanismes d'aide au développement », soit des centaines de millions de dollars en moins.Heureusement, se souvient Le Point Afrique, Sidi Ould Tah dispose de « relations de marque avec certains pays du Golfe » qui « pourraient l'aider à attirer de nouveaux capitaux. » Il a en tout cas quelques mois pour y penser : sa prise de fonctions est prévue le 1er septembre. Voilà qui devrait lui laisser le temps, conclut Wakat Séra, de « souffler un coup, en attendant de donner un nouveau souffle à la BAD ! » Une boisson inquiète en Côte d'IvoireElle s'appelle la Vody. Et ne vous laissez pas avoir par sa cannette au format aussi petit que ses couleurs sont éclatantes : 250ml de cette boisson contiennent « de la caféine, de la taurine, beaucoup de sucre, et 18 à 22% de vodka. » Voilà pour la recette, décortiquée par Le Monde Afrique. Et ça marche : « depuis son arrivée à Abidjan, au milieu des années 2010, retrace le quotidien, la Vody est devenue la boisson fétiche des rappeurs ivoiriens » qui la popularisent auprès des jeunes.C'est vrai, « le gouvernement ivoirien a tenté en 2023 de mettre un frein au phénomène » en interdisant l'importation de boissons énergisantes alcoolisées. Conclusion, les fabricants ont changé la recette de leurs canettes sur le marché local, « en retirant les composantes énergisantes. » Mais le taux d'alcool, lui, est le même. Or, raconte un adolescent, « le but premier a toujours été de se saouler, ». Et ce à moindre coût : une canette coûte entre 500 et 700 francs CFA, soit entre 0.75 et 1 euro. À ce prix-là, balaie l'étudiant, « si on veut l'effet énergisant, on peut se faire son cocktail soi-même. » La Vody a donc encore de beaux jours devant elle.
Quand 44% des salariés déclarent être en situation de détresse psychologique selon le baromètre annuel d'Empreinte humaine, je crois que l'on peut affirmer sans trop de risque de se tromper que le stress au travail est une réalité pour de nombreuses personnes de nos jours. Les exigences professionnelles élevées, les délais serrés et les responsabilités constantes peuvent entraîner un niveau de stress élevé qui affecte notre bien-être physique et mental.Dans mon sondage hebdomadaire réalisé auprès de pratiquement 5 000 personnes sur Linkedin, les chiffres sont également sans appel puisque vous êtes 61% à vous déclarer être stressés par votre travail souvent ou tous les jours.Le stress au travail peut être défini comme une réponse physique et émotionnelle à des exigences professionnelles excessives ou à des pressions constantes, réelles ou perçues. Il se caractérise par des symptômes tels que l'anxiété, la fatigue, les troubles du sommeil, l'irritabilité, etc.Ce stress au travail peut avoir un impact significatif sur notre santé physique et mentale, ainsi que sur notre vie professionnelle. Il peut entraîner des problèmes tels que l'épuisement professionnel, les troubles de l'humeur, les problèmes de concentration, les conflits interpersonnels, l'absentéisme et même des maladies chroniques à long terme.Heureusement, cela n'est pas une fatalité.1- Identifier les causes du stress au travail2 - Stratégies pour gérer le stress au travail3- Promouvoir un environnement de travail sainEt pour savoir si vous même vous êtes stressé au travail, voilà un test en ligne gratuitSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une participante présente dans l'émission d'hier remercie chaleureusement l'équipe de Julien Courbet pour leur efficacité ! L'animateur en profite pour souligner que même les "guignols" peuvent faire des miracles ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:27:32 - Lectures du soir - Sophie n'a pas le droit de manger entre les repas. Oui mais elle a faim ! Alors en secret, elle vole du pain. Elle se fait attraper et est privée de dîner. Heureusement, sa bonne partage avec elle toutes les gourmandises cachées dans son garde-manger. Sophie va en profiter… jusqu'à la nausée.
Plus de 400 millions de personnes en Afrique et 2,2 milliards dans le monde ont des difficultés d'accès à une eau potable et sûre selon l'OMS et l'UNICEF. Ce manque d'accès favorise la propagation de maladies comme le choléra, la dysenterie ou encore la malaria. Il handicape l'éducation quand les élèves se consacrent à la collecte de l'eau. Heureusement, les initiatives pour faciliter cet accès se multiplient sur le continent, comme en témoigne la 9ème édition du Challenge App Afrique.
La cote d'Emmanuel Macron est en baisse. Heureusement, l'institut Martin s'en occupe.
Un mauvais thérapeute peut faire plus de mal que de bien, surtout en situation de vulnérabilité... Heureusement, il y a des signes clairs qui peuvent t'alerter. Il existe énormément de types de thérapies avec des approches différentes et c'est à chacun de choisir celle qui lui correspond le plus. Madame Figaro rappelle aussi que c'est une rencontre basée sur la confiance et que parfois le lien ne se crée pas, même quand toutes les conditions sont réunies. Mais alors qu'est-ce que c'est un bon thérapeute? Quels sont les signes qui devraient m'alarmer ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez" . Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Laura Taouchanov. À écouter ensuite : Quelles sont les étapes à suivre après un rapport à risque ? Qu'est-ce que le "kama muta" ce sentiment qu'on éprouve tous sans le savoir ? Sommes-nous condamnés à reproduire les schémas amoureux de nos parents ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:08 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Hier en Europe, trois élections pouvaient donner les clés du pouvoir à un parti ou un candidat nationaliste : En Roumanie, en Pologne et au Portugal. Heureusement qu'en France, pour faire face à cette poussée populiste, on peut désormais compter sur Bruno Retailleau !
Pour comprendre le conflit entre l'Inde et le Pakistan, il faut remonter à l'été 1947. Cette année-là, le Royaume-Uni quitte l'Inde, sa plus grande colonie. Mais au lieu d'un départ en douceur, c'est une partition brutale qui est décidée : l'Empire des Indes est scindé en deux États indépendants — l'Inde, à majorité hindoue, et le Pakistan, à majorité musulmane.Cette division, improvisée, précipitée, provoque le plus grand déplacement de population de l'histoire contemporaine : plus de 10 millions de personnes traversent les frontières dans la panique. Hindous et sikhs fuient vers l'Inde, musulmans vers le Pakistan. Environ un million de morts et des milliers de viols et massacres jalonnent cet exode tragique. Dès le départ, la naissance des deux pays est marquée par le sang, la peur… et la haine.Le nœud du conflit ? Le Cachemire.Ce territoire montagneux, majoritairement musulman mais dirigé à l'époque par un maharadjah hindou, est réclamé par les deux pays. En 1947, l'Inde annexe le Cachemire après une rébellion locale soutenue par des tribus pakistanaises. C'est le début de la première guerre indo-pakistanaise, et la première d'une série de trois conflits majeurs autour de cette région.Depuis, le Cachemire est coupé en deux, avec une ligne de cessez-le-feu surveillée par l'ONU, mais régulièrement violée. L'Inde contrôle environ deux tiers du territoire, le Pakistan le reste. Les deux États ne cessent de revendiquer la souveraineté totale sur la région.Un conflit identitaire et géopolitiqueAu-delà du Cachemire, le conflit entre l'Inde et le Pakistan est aussi religieux et identitaire. Le Pakistan s'est construit comme un État musulman. L'Inde, elle, se veut officiellement laïque, mais reste dominée politiquement et culturellement par la majorité hindoue. Ce choc de visions alimente les tensions, surtout depuis la montée du nationalisme hindou en Inde.La menace nucléaireDepuis 1998, les deux pays possèdent l'arme nucléaire, ce qui fait de leur rivalité l'une des plus dangereuses du monde. À plusieurs reprises, notamment en 1999 et 2019, des affrontements ont failli dégénérer en guerre ouverte. Heureusement, la dissuasion nucléaire et la pression internationale ont jusque-là évité l'irréparable.Aujourd'hui ?Le conflit est toujours latent. Le Cachemire reste un territoire militarisé. Les relations diplomatiques sont tendues, les échanges économiques limités, et la méfiance est profonde. 77 ans après la partition, l'Inde et le Pakistan sont toujours liés… par une frontière qui ne cicatrise pas. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:08 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Hier en Europe, trois élections pouvaient donner les clés du pouvoir à un parti ou un candidat nationaliste : En Roumanie, en Pologne et au Portugal. Heureusement qu'en France, pour faire face à cette poussée populiste, on peut désormais compter sur Bruno Retailleau !
Nous sommes le 15 juin 1955. Si vous vous êtes procuré le journal « Le Monde », voici ce que allez pouvoir lire à propos de la publication du « Voyeur », le deuxième roman d'un jeune auteur appelé Alain Robbe-Grillet. L'article est signé Emile Henriot qui écrit : « J'ai lu deux fois ce diable de bouquin ; non par plaisir, mais pour essayer de comprendre ce qu'il signifie et ce qu'il recèle, ce que l'auteur, mené par son goût du mystère et de la contremarche, a voulu montrer ; et à ma grande honte, je n'y suis point parvenu. Non plus qu'à m'intéresser à cet imbroglio sans signification humaine, véritable casse-tête chinois. Qui ? Où ? Quand ? Comment et pourquoi ?... Les questions classiques de tout enquêteur sont ici sans prise possible, et vous ne pouvez faire fond sur aucun élément désassemblés de cette histoire en elle-même très simple, avant l'arrivée du premier gendarme : la petite fille mangée aux crabes est-elle morte toute seule et par accident ; sinon, qui l'a tuée ? Le marchand de montres, vous ou moi, ou bien quelqu'un d'autre ? Personne n'en sait rien et n'en saura rien. » Heureusement, « Le voyeur » rencontre aussi des soutiens comme celui de Roland Barthes, et sera, finalement, récompensé par le prix des Critiques. Nous sommes au début d'une des aventures littéraires les plus passionnantes du vingtième siècle, elle va se confondre avec celle du Nouveau Roman, une expérience humaine hors du commun aussi, celle d'Alain Robbe-Grillet. Invité : Benoît Peeters, écrivain, critique, scénariste de BD. « Alain Robbe-Grillet – L'Aventure du Nouveau Roman » ; Flammarion + « Réinventer le roman », entretiens inédits avec ARG. Sujets traités : Alain Robbe-Grillet, romancier, cinéaste, littérature, Roland Barthes, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les déserts médicaux, un sujet qui fâche de plus en plus. Heureusement, Martin a trouvé une solution pour que tout le monde puisse trouver un médecin de proximité. Il suffit d'installer des cabinets médicaux dans des boucheries-charcuteries.
L'animatrice se plaint de ne plus gagner assez d'argent. Heureusement que Laurent Baffie est là pour la consoler...Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les noms Astérix et Obélix, tout comme ceux de nombreux Gaulois dans la bande dessinée, ont été choisis avec soin par les créateurs René Goscinny (scénariste) et Albert Uderzo (dessinateur). Ils ne sont pas seulement drôles : ils regorgent de sens, de clins d'œil linguistiques, et d'hommages discrets à l'histoire antique et à la typographie.1. Pourquoi Astérix ?Le nom Astérix vient du mot astérisque, ce petit symbole typographique en forme d'étoile (*). Le mot vient du grec asteriskos, signifiant "petite étoile". Or, dans les albums, Astérix est le héros, la vedette de l'histoire : il est la star, d'où le clin d'œil. Par ailleurs, le choix d'un mot typographique reflète aussi le métier de Goscinny et Uderzo, tous deux passionnés par l'écriture, la mise en page et les signes typographiques.2. Pourquoi Obélix ?Obélix est le meilleur ami d'Astérix, et son nom est également un jeu typographique. Il vient du mot obèle ou obélisque, une autre marque typographique utilisée autrefois pour signaler des passages douteux dans les manuscrits anciens. L'obélisque (monumental et de pierre) évoque aussi la force, la taille massive et la lourdeur d'Obélix, qui est livreur de menhirs. Il y a donc un double jeu : typographique et visuel. Son nom est donc tout à fait cohérent avec son caractère.Pour compléter, je vous propose de faits etonnants a propos de cette bande dessineee.Astérix a failli mourir dans un album… et ça a été sérieusement envisagé !Dans les années 1970, René Goscinny avait envisagé de faire mourir Astérix dans un album ! L'idée n'était pas une blague : il voulait créer une sorte de panthéon des héros, à la manière des tragédies antiques. Mais Uderzo s'y est fermement opposé. Pour lui, Astérix était un héros populaire et intemporel, impossible à tuer. Heureusement, l'idée fut abandonnée… mais cela montre que les créateurs n'hésitaient pas à envisager des tournants radicaux.Un tribunal a dû trancher… qui est le vrai créateur d'Astérix !Après la mort de Goscinny en 1977, une longue bataille juridique a opposé Albert Uderzo à la famille de son ancien complice, au sujet des droits d'auteur. La question cruciale : qui a vraiment créé Astérix ? Le scénariste ou le dessinateur ? Un tribunal a fini par reconnaître la co-création de la série, consacrant officiellement le rôle fondateur de Goscinny, souvent éclipsé par le nom plus visuel d'Uderzo. L'affaire a eu un grand retentissement dans le monde de l'édition. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on découvre qu'un enfant de 8 ans a commandé 70 000 sucettes sur Amazon, débitant sa mère de 4 000 dollars. Heureusement, la commande a été remboursée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis l'adolescence Charline rêvait d'être maman alors c'est tout naturellement que le projet bébé s'est mis en place quand elle a rencontré son conjoint. Ravie de découvrir sa grossesse, elle vit ses premiers mois avec nausées et autres maux mais un jour alors qu'elle est à son travail, Charline sent un liquide couler. Direction les urgences pour savoir ce qu'il se passe et le verdict tombe rapidement, la poche des eaux s'est fissurée. Ce serait une banalité si Charline était en fin de grossesse mais elle n'est qu'à seulement vingt semaines et le risque d'un accouchement prématuré plane. Elle va devoir être alitée strictement jusqu'à la fin de sa grossesse soit de nombreux mois sans pouvoir se lever sauf pour aller aux toilettes.Heureusement elle va au bout de cette grossesse et rencontre sa fille, mais la solitude mêlée à l'angoisse de perdre son bébé pendant la grossesse font qu'elle a du mal à créer le lien. En parallèle le papa agriculteur travaille beaucoup, le bébé dort peu et le couple va tout droit au baby clash. Finalement le couple se ressoude et ils décident de faire un deuxième enfant. Et bien quei les médecins lui assurent qu'il n'y avait aucune chance que la poche des eaux se fissure à nouveau pendant sa deuxième grossesse, il faut croire que parfois, la foudre tombe deux fois au même endroit...Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Become a member at https://plus.acast.com/s/le-tourbillon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Soyons honnêtes : les débuts d'une relation, c'est souvent un joyeux flou artistique. On se repasse le rendez-vous en boucle, on analyse chaque regard, chaque mot, chaque silence… Et parfois, on se convainc que l'autre ne nous a pas apprécié. Alors qu'en réalité, il pense exactement la même chose. Bienvenue dans le monde fascinant du liking gap. Ce phénomène, aussi appelé “écart d'appréciation”, nous pousse à croire qu'on est moins aimé qu'on ne l'est vraiment. C'est humain, universel, et ça peut complètement fausser nos interactions sociales, surtout quand elles sont toutes fraîches. Le pire ? On s'auto-sabote sans même s'en rendre compte… Heureusement, comprendre ce mécanisme peut changer la donne. Mais alors, pourquoi doute-t-on autant de nous après une simple conversation ? D'où vient ce biais cognitif ? Est-ce qu'il touche tout le monde de la même manière ? Et surtout… comment s'en libérer pour vivre des relations plus sereines ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam originals écrit et réalisé par Joanne Bourdin A écouter ensuite : Quels sont les 4 types d'attachement dans les relations ? Le “célicouple” serait-il la clé d'une relation saine ? Qu'est-ce que le phubbing, ce nouveau fléau des relations sociales ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Betty était mariée, en projet pma pendant deux ans mais elle s'est rendue compte que cette vie toute tracée n'étais finalement pas faite pour elle. Alors elle plaque tout puis retrouve l'amour. Lui est déjà papa alors Betty devient la belle-mère de trois ados, autant dire qu'elle est directement plongée dans le grand bain ! Elle a toujours désiré de devenir maman mais lui n'avait pas envisagé d'avoir d'autres enfants et a donc fait une vasectomie.Heureusement rien d'irréversible, et après quelques discussions, Betty tombe enceinte. Et elle pensait que comme dans les films, la grossesse était forcément une expérience merveilleuse, mais ça va être tout le contraire. Betty n'arrive pas à connecter avec son bébé, plus rien ne la rend vraiment heureuse, elle a peur de regretter et se sent assez seule. C'est ce que l'on appelle la dépression prénatale.Dans cet épisode Betty nous raconte comment elle a vécu cette grossesse, pourquoi elle s'est mise au tricot, comment sa maternité a bouleversé sa vie pro et les leçons qu'elle a tiré de cette dépression prénatale.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Become a member at https://plus.acast.com/s/le-tourbillon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Belle et le Gamer format mini! Un épisode un peu plus court en ce weekend chargé pour Ben & Aza! On prend quand même le temps de faire le point, encore une fois, sur la Switch 2, son prix chez nous et ailleurs, et ses jeux. Mais la question du prix se poser aussi pour PlayStation qui augmente discretos le prix de la PS5 (chez nous) et du PS+ (pas chez nous). On n'est pas sortis de l'auberge!Heureusement, il y a les jeux! Mario Kart World a l'air vraiment foufou, un nouveau jeu de stratégie Star Wars Zero Company s'annonce, voilà de quoi s'occuper!Bonne écoute à tous, comme toujours la Belle et le Gamer existe grâce au soutien de ses formidables fans via Patreon, et pour les rejoindre, ça se passe par ici.Pour rejoindre la communauté de La Belle et le Gamer et nous soutenir, tous les liens utiles se trouvent à l'adresse suivante, y compris l'invitation pour rejoindre notre serveur Discord, et notre chaîne Twitch: https://linktr.ee/LBELG. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est tiré de ma newsletter, pour vous abonner c'est ici!!!Comme je vous. le dis je vous remercie mille fois pour me suivre dans cette aventure de Vlan!J'adore mon célibat actuel, cette liberté exquise de décider de mon emploi du temps sans compromis.Et pourtant, je suis un incorrigible romantique !Ce paradoxe délicieux me constitue et colore ma vie de nuances fascinantes.Cette dualité n'est sans doute pas étrangère à mon histoire familiale.J'ai grandi avec des parents qui se sont rencontrés jeunes, ont eu des enfants à 24 et 26 ans et sont restés ensemble jusqu'à la fin malgré les tumultes de la vie – chose de plus en plus rare, j'ai l'impression.Ils ont incarné devant moi la possibilité d'un amour durable, même si le chemin n'était pas toujours facile.N'est-ce pas incroyable que nous puissions simultanément chérir notre indépendance et rêver de construire à deux ?L'amour reste cette aventure extraordinaire qui transcende les époques.Au 18ème siècle, Benjamin Franklin déclarait qu'un "homme sans femme n'est rien d'autre qu'un demi-homme" (on était moins subtil à l'époque...d'autant moins quand on sait que les femmes célibataires étaient, elles, brûlées vivent pour sorcellerie), et aujourd'hui encore, malgré toutes nos avancées, le couple demeure cette quête collective qui nous anime presque tous.Qu'y a-t-il de si captivant dans cette danse à deux ? Pourquoi continuons-nous à nous lancer dans cette entreprise hasardeuse, malgré les cicatrices et les déceptions ?Peut-être parce que l'amour, dans ses plus beaux moments, nous offre cette alchimie rare entre sécurité et aventure, entre connaissance profonde et éternelle découverte.J'ai connu des histoires d'amour intenses - dont une qui m'a conduit à imprimer un livre de 400 pages de nos échanges et à déménager à New York !Ces expériences m'ont transformé, enrichi, parfois blessé, mais jamais je n'ai regretté de m'être lancé et de vivre pleinement les choses (c'est ce que me disais ma psy).Chaque relation a ajouté une couche de compréhension à ma carte du monde émotionnel.À travers cette newsletter, je vous invite à explorer avec moi les mystères et les joies de l'amour moderne, ses défis et ses trésors cachés.Je partagerai mes découvertes (j'ai beaucoup cherché), mes erreurs (nombreuses !) et les pépites de sagesse glanées en chemin.Car si j'ai renoncé au mythe paralysant de l'âme sœur, je n'ai certainement pas abandonné la quête d'un amour authentique et vibrant.Comme l'écriture elle-même, l'amour nous enseigne ce que nous ne savions pas connaître sur nous-mêmes. Embarquons ensemble dans cette exploration joyeuse !Mon parcours amoureux : des cicatrices comme boussoleMa première histoire d'amour a duré sept ans. Je l'ai rencontrée dès les premières semaines d'école de commerce, nous nous sommes fiancés, le mariage était planifié. Vingt ans plus tard, nous sommes toujours proches, mais cette relation était fondamentalement dysfonctionnelle — principalement à cause de moi, je dois l'admettre.J'avais endossé la cape du sauveur pour surmonter ma timidité. Mon besoin d'appartenance était si intense et elle incarnait tout ce que je n'étais pas.C'était profondément injuste pour elle mais j'y reviendrais.J'ignorais alors mes propres besoins, mes névroses, mon style d'attachement.Elle est devenue malveillante malgré elle, et cette histoire était condamnée dès le départ.Ma deuxième relation significative m'a conduit chez un psychologue, perdu que j'étais. Sans doute l'une des décisions les plus sages de ma vie. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à consulter des voyantes, cherchant désespérément des réponses que je ne trouvais pas en moi.Puis est venue LA relation passionnelle de ma vie.Une relation tellement intense qu'elle est difficile à expliquer.Pour vous donner une idée: j'ai compilé les trois premiers mois de nos échanges dans un livre de 400 pages imprimé en deux exemplaires (un pour elle et l'autre pour moi), et j'ai déménagé à New York pour elle.Cette femme réputée pour son légendaire self-control ne maîtrisait plus rien non plus.Certains parleraient d'âme sœur ou de flamme jumelle — j'ai cherché toutes les explications possibles. Après quatre ans d'une intensité intacte, elle est partie sans un mot d'explication.Huit ans ont passé, et il m'en a fallu 6 pour m'en remettre. Je le dis ici car dans cette société ou tout va de plus en plus vite parfois on n'accepte plus chez les autres mais aussi chez soi même que certains processus prennent du temps.Quoiqu'il en soit cette rupture m'a transformé.Comme me l'a fait remarquer un ami, peu d'hommes parlent ouvertement de leurs blessures amoureuses. Je n'avais pas le choix — cette histoire m'a bouleversé dans ma chair.Je crois que c'est important d'en parler et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté l'invitation d'Anne du podcast Métamorphose à l'époque.C'est essentiel de montrer la vulnérabilité sans faux semblant et que les hommes ne sont évidemment pas insensibles aux ruptures. J'espère que cela aura permis à d'autres hommes de se connecter avec eux même.Et puis, je suis heureux d'avoir fait un kinsugi de cette rupture en co-créant un kit de secours pour cœur brisés.Durant ces six années de deuil, j'ai sabordé des relations avec des femmes extraordinaires, les comparant inévitablement à elle. J'ai finalement réussi à briser ce lien toxique grâce à un travail acharné avec psychologues, énergéticiens, voyantes, astrologues, constellations familiales, et même l'ayahuasca. J'ai tout essayé pour m'en libérer.J'ai su que j'étais guéri quand je suis retombé amoureux. Même si cette nouvelle histoire fut brève pour d'autres raisons, elle a confirmé ma guérison. Aujourd'hui, je reste ouvert à construire quelque chose avec quelqu'un, mais ce n'est pas simple.Les raisons de cette difficulté sont précisément l'objet de cette newsletter et je vous livre ce qui selon moi cloche en 5 grands points !Raison #1 : Nous sommes des idéalistes irréalistes par essenceNous avons grandi bercés par des mythes grecs(ne les sous-estimons pas, ils sont centraux), des histoires comme celle de Roméo et Juliette, des contes pour enfants ou encore des films hollywoodiens qui nous ont fait croire que l'impossible devenait possible par amour.Mais ces récits se concentrent presque exclusivement sur la quête amoureuse, rarement sur ce qui vient après."Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants." Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Comment ont-ils géré leurs névroses respectives ? Leurs univers distincts ? Leurs problèmes de communication ? Leurs baisses de désir ? Leurs potentielles tentations extraconjugales ?Dis rapidement, notre idéal romantique est incompatible avec la réalité d'une connexion humaine.Ces expressions comme "ma moitié" sous-entendent que nous serions incomplets avant de rencontrer l'autre. "The one" ou "l'âme sœur" suggèrent qu'une seule personne au monde peut nous convenir.Vous l'aurez compris, j'ai personnellement expérimenté ce mythe de l'âme sœur — et en ai payé le prix fort.Cet idéal présuppose que notre partenaire devrait tout comprendre de nous sans communication verbale, alors même que nous peinons à nous comprendre nous-mêmes (personnellement, je me découvre encore chaque jour).Cela est évidemment accentué par un individualisme (pour ne pas dire égoïsme) sous stéroïdes.L'autre vit dans un univers parallèle, avec un système proche mais fondamentalement différent du nôtre.De manière anecdotique, lors d'un de mes événements sur l'IA, une personne a partagé qu'elle se sentait plus "vue" et "entendue" par ChatGPT que par son médecin ou ses amis.Notre société d'hyper-optimisation nous a fait perdre la capacité à prendre le temps — ou à l'accorder à l'autre.La conséquence est ce manque d'écoute mutuel et donc des incompréhensions en pagaille.Et si vous ajoutez à cela des différences culturelles, comme je l'ai vécu, cela complique encore davantage la situation.Esther Perel m'a fait réaliser que nos attentes sont démesurées : nous demandons à une seule personne de nous apporter ce qu'autrefois tout un village nous fournissait — sécurité, identité, amitié, sexualité, complicité émotionnelle et intellectuelle, goûts communs...Je ne vous fais pas la leçon, je suis le premier à tomber dans ce piège, tout en sachant parfaitement son absurdité.Le couple exige des compromis et un travail constant de construction à deux.Par ailleurs, nous entrons dans une relation avec une vision identitaire, un rêve de qui nous voulons devenir — souvent flou ou fantasmé.Quand on s'engage, ce n'est pas seulement l'autre qu'on cherche, mais une version future de soi-même. Ici aussi je plaide totalement coupable et ma 1ère longue relation s'inscrivait à 200% dans cette dynamique.Mais comme le souligne Esther, ce processus est inconfortable car l'autre ne change pas à notre rythme et ne comprend pas nécessairement le rôle implicite que nous lui avons assigné (m'apaiser, m'ouvrir, m'élever, m'intégrer…).Le changement personnel étant douloureux, nous finissons par reprocher à l'autre ce qui nous fascinait initialement. Ainsi, un partenaire choisi pour sa légèreté devient "irresponsable", une personne stable devient "ennuyeuse"…Le fantasme identitaire se heurte inévitablement à la réalité relationnelle.Et bien sur, les applications de rencontre aggravent le problème en alimentant l'illusion d'une offre infinie, comme si l'amour n'était qu'à un swipe de distance.Pour y avoir passé du temps, je vous rappelle (particulièrement si vous êtes en couple) que c'est aussi illusoire que ces couples Instagram où tout semble parfait.Raison #2 : Les papillons dans le ventre sont souvent un dangereux leurreNous avons tous éprouvé ces fameux papillons dans le ventre, cette sensation vertigineuse que nous pourchassons comme le nectar ultime de l'amour.C'est le moment où nous nous sentons le plus vivants d'ailleurs souvent considéré comme l'indicateur suprême de l'amour véritable.Franchement, quoi de plus délicieux que cette vibration viscérale ?J'adore personnellement cette sensation, mais les avertissements d'Alain de Botton m'ont ouvert les yeux : ce frisson que nous ressentons est très souvent une réaction à quelque chose de familier, parfois simplement l'activation d'un vieux schéma ou d'une blessure non cicatrisée.Voilà pourquoi nous sommes parfois attirés par des personnes qui ne nous conviennent pas du tout.En réalité, nous sommes attirés par ceux qui vont nous faire souffrir d'une manière qui nous est familière.Une relation calme, douce et respectueuse peut nous sembler étrange, "sans passion", voire profondément ennuyeuse, parce qu'elle menace notre scénario intérieur bien rodé.De Botton nous met en garde : ne confondez pas compatibilité avec familiarité traumatique. C'est extrêmement frustrant, car j'aime cette sensation d'intensité.D'ailleurs, même en sachant que c'est un indicateur défectueux, j'adore ces papillons et ce deuil n'est pas facile à faire (long way to go greg…ahahahhah).Alors à quoi se fier si les papillons sont trompeurs ?J'ai découvert que j'appliquais inconsciemment les conseils d'Alain de Botton quand je me sentais particulièrement à l'aise avec quelqu'un.L'une de ses questions préférées: "C'est quoi le weirdo en toi?" Parce qu'en vérité, sans masques ni artifices, nous sommes tous un peu étranges.Je sais que je suis vraiment amoureux quand j'ose révéler mes aspects les plus singuliers sans crainte du jugement, je laisse entrevoir ce qui se passe derrière le masque.Un autre signal essentiel selon lui — et auquel je suis attentif sans vraiment y réfléchir : observer si l'autre personne est capable de reconnaître ses propres biais et imperfections et si elle sait s'excuser quand ils se manifestent.Il faut également s'interroger honnêtement : sommes-nous nous-mêmes capables de cette introspection ? Je ne parle pas de sautes d'humeur passagères, mais de nos véritables zones d'ombre.On peut mesurer l'évolution d'une personne à sa capacité à reconnaître qu'elle est loin de l'idéal.Ce n'est pas quelque chose qu'on peut demander directement ; il faut l'observer à travers l'expérience partagée.L'objectif n'est évidemment pas l'auto-flagellation, mais une lucidité bienveillante sur nos mécanismes.Enfin, il est crucial de déterminer si la personne comprend que l'amour est une compétence plus qu'une émotion. Ressentir, bien sûr, mais surtout comprendre qu'un couple exige un travail commun, des compromis, des discussions et des efforts constants.Une amie a pris la décision d'aller voir un thérapeute de couple dès qu'elle a senti que sa relation devenait sérieuse.Non pas parce qu'ils rencontraient des problèmes, mais pour s'assurer que leur communication resterait toujours fluide.J'ai trouvé cette initiative particulièrement mature et judicieuse.D'ailleurs, je serais curieux de connaître votre opinion à ce sujet que certains pourraient qualifier de « tue l'amour ».Raison #3 : La catégorisation devient notre prison mentaleLorsque j'ai réalisé mon épisode sur les "pervers narcissiques", ma première observation fut celle-ci : quand tout le monde devient pervers narcissique, plus personne ne l'est véritablement.Et cette banalisation est irrespectueuse envers les véritables victimes.Cette réflexion s'applique à toute cette culture de surface et ces catégorisations simplistes que nous accumulons : styles d'attachement, langages de l'amour... sans oublier le mot fourre-tout "toxique", tellement galvaudé qu'il a perdu toute substance.Certes, se positionner sur un spectre a son utilité, mais comme son nom l'indique, c'est un "spectre" — il est rare d'incarner une seule catégorie pure.Personnellement, je trouve difficile d'identifier MON langage de l'amour principal, car tous me parlent profondément.Il en va de même pour la sexualité. Dans ce domaine, j'ai l'impression que nos corps communiquent directement.Certaines connexions sont extraordinaires, d'autres catastrophiques, sans que ce soit nécessairement la faute de quiconque. C'est ainsi, et ce n'est pas grave.Je l'avoue sans souci, j'ai été un « mauvais coup » pour certaines personnes mais j'espère un meilleur pour d'autres.J'ai souvent remarqué que cette alchimie se ressent dès le premier baiser. Cela dit, la sexualité reste un territoire d'exploration infini où nous devons d'abord accepter notre ignorance fondamentale.C'est particulièrement vrai pour les hommes car, d'après mon expérience, les femmes réagissent très différemment aux mêmes stimuli.Je n'ai pas d'expérience avec les hommes, mais j'imagine que c'est un peu plus mécanique — quoique vous pourriez me contredire.Au-delà de l'attraction initiale et des premières années, l'enjeu devient de faire durer le désir. J'ai adoré recevoir Anne et Jean-François Descombe sur ce sujet.Ils encouragent à dépasser l'idée reçue selon laquelle le sexe doit toujours naître spontanément du désir dans un couple établi.En réalité, aussi peu romantique que cela puisse paraître, il est souvent préférable de planifier des rendez-vous intimes, de créer délibérément des moments de connexion et de transcender les conventions en développant une perception corporelle plus subtile.Je n'ai jamais mis cette approche en pratique car ma compréhension de ces dynamiques est arrivée tardivement et mes relations récentes ont été trop brèves pour arriver à cet endroit. Cependant, j'observe que nous sommes souvent complètement déconnectés de nos corps sans même nous en rendre compte, parce qu'ils se protègent naturellement.Il faut réapprendre à ressentir, à ramener la sexualité dans le corps plutôt que dans la tête. C'est un travail considérable (pour moi aussi qui suis tellement cérébral).Raison #4 : Prisonniers de la performance, même dans l'intimitéLa sexualité demeure un enjeu majeur dans les relations, devenant souvent une difficulté dans les couples établis.Je crois que nous sommes conditionnés à la performance dans tous les domaines, alors que l'intimité devrait être précisément l'espace où cette pression n'existe pas.Pourtant, nous sommes obsédés par le plaisir de l'autre, et si nous échouons à l'atteindre, nous remettons tout en question. Cette pression existe pour les hommes, mais je la perçois encore plus forte chez les femmes.Un homme qui n'éjaculerait pas à répétition serait source d'inquiétude majeure pour sa partenaire, et probablement pour lui-même. J'ai conscience que mes propres biais transparaissent ici, mais j'ai l'impression que dans le sens inverse, ce serait moins problématique.Esther Perel dit: "Dis-moi comment tu as été aimé, je te dirai comment tu fais l'amour."Selon elle, notre histoire émotionnelle s'inscrit dans la physicalité de notre sexualité. Personnellement, il y a longtemps, j'entretenais une forme de respect que je qualifierais aujourd'hui de "déplacé" envers mes partenaires — déplacé parce que la sexualité n'implique pas un manque de respect.Typiquement, le problème résidait dans mon rapport à l'autre et à la sexualité en général.Un autre exemple peut être plus parlant pourrait être celui d'une femme qui n'oserait jamais dire à son partenaire qu'elle n'appréciait pas certaines pratiques sexuelles - cela illustre comment des schémas émotionnels anciens (peur du conflit ou de la désapprobation) créent des blocages dans l'intimité physique.Parfois, des couples apparemment harmonieux connaissent aussi des blocages sexuels malgré leur amour et leur entente.Esther Perel a développé toute une méthodologie de questions pour identifier comment nous avons appris à aimer, quelles ont été nos figures protectrices durant l'enfance, et si l'expression de nos émotions et de notre plaisir était considérée comme acceptable.Les réponses à ces questions révèlent comment nos expériences passées façonnent notre "plan érotique" et influencent nos défis émotionnels dans l'intimité.Notre histoire émotionnelle marque profondément notre sexualité, se manifestant à travers nos conditionnements, la reproduction de schémas relationnels, nos peurs de la vulnérabilité et la dynamique même de nos interactions intimes.Heureusement, la sexualité peut également devenir un outil pour accéder à des émotions profondes et résoudre des blocages que nous n'arrivions pas à surmonter autrement.En définitive, je crois que le couple n'existe pas pour "réussir" mais pour nous permettre de "ressentir".Nous devons impérativement nous libérer de cette logique performative et productiviste pour simplement nous sentir vivants.C'est une véritable révolution intérieure qui s'impose.Raison #5 : Nous entrons dans le couple pour évoluer, mais résistons au changementDepuis les Lumières, nous avons élevé l'individualisme au rang de valeur suprême. Comme je l'ai abordé dans une précédente newsletter, nous nous imposons une isolation que nous semblons apprécier, mais qui nous déconnecte de notre humanité fondamentale.La vie de couple exige d'articuler une dynamique entre préservation de son identité propre et connexion authentique avec l'autre.Comme évoqué dans la première raison, nous sommes des idéalistes irréalistes, portés par l'illusion d'un amour parfait qui nous transformerait en une version améliorée de nous-mêmes.Pourtant, lorsque nous nous engageons, cette promesse de métamorphose se heurte à la réalité.Nous ne choisissons pas un partenaire uniquement pour ses qualités ; inconsciemment, nous choisissons aussi une version future de nous-mêmes que nous aspirons à incarner — devenir plus calme, plus fort, plus complet.Esther Perel l'exprime magnifiquement : nous rencontrons l'autre pour retrouver une partie de nous encore inexplorée.Cette promesse d'évolution engendre cependant une tension profonde.Ce qui nous fascinait initialement devient source d'inconfort.Le calme apaisant se transforme en froideur détachée, la liberté joyeuse en irresponsabilité.La vision identitaire que nous avions imaginée entre en contradiction avec la réalité quotidienne du changement.Nous résistons à cette évolution parce qu'elle bouscule notre identité, même celle que nous avions idéalement construite.Le couple devient ainsi un espace paradoxal où nous aspirons à grandir tout en redoutant de perdre notre stabilité.Nous voulons évoluer, mais uniquement à notre rythme, sans que les transformations imposées par l'autre ne remettent en question ce que nous considérons comme notre essence. Ce conflit nous pousse souvent à rejeter ce qui devait nous transformer, à blâmer l'autre pour une inertie que nous percevons comme une trahison de notre idéal initial.Ce tiraillement entre l'envie d'ouvrir un nouveau chapitre et la peur d'abandonner l'image rassurante de notre identité constitue l'une des dynamiques les plus universelles et douloureuses de la vie à deux.C'est pourtant dans cette lutte que réside le potentiel d'une transformation authentique, si nous acceptons enfin le coût du changement intérieur.En conclusion: l'amour comme territoire d'exploration, non de performanceAimer aujourd'hui est difficile, non pas parce que nous serions devenus incapables d'aimer, mais parce que nous attendons de l'amour qu'il résolve tout.Qu'il nous apaise, nous élève, nous stimule, nous révèle.Qu'il nous offre simultanément la sécurité d'un foyer et l'ivresse d'une passion.Qu'il nous soutienne dans les moments difficiles tout en nous laissant respirer quand nous avons besoin d'espace.Ce n'est plus simplement une relation: c'est une architecture existentielle, un miroir identitaire, un incubateur de sens. C'est trop demander.Lorsque la réalité ne correspond pas à cette fiction intérieure, nous résistons.Nous accusons, fuyons ou nous replions.Nous croyons que l'autre nous blesse intentionnellement, alors qu'il réveille en nous des mémoires anciennes, des blessures non cicatrisées, des récits que nous tenons pour vérités absolues. Et nous l'avons vu, les papillons n'y sont pas pour rien…Nous oublions que dans toute relation, il n'existe jamais une vérité unique mais deux narrations distinctes — souvent incompatibles.Nous redoutons également le conflit, que nous confondons avec la fin de l'amour.Je déteste le conflit en bon « gentil », pourtant, un conflit traversé avec conscience est peut-être ce qu'il y a de plus vivant dans une relation.Il ne signale pas l'échec, mais la possibilité d'un lien authentique — non plus idéalisé, mais profondément incarné.Le couple n'a pas vocation à nous rendre heureux comme le ferait un produit fini.Il existe pour nous faire grandir, parfois nous ébranler, souvent nous décaler.Aimer n'est pas maîtriser, ni guérir, ni même comprendre entièrement.C'est oser traverser l'inconfort du lien sans fuir à la première dissonance.C'est abandonner l'idée qu'il existe une méthode parfaite pour aimer, pour embrasser la complexité d'un ch Suggestion d'autres épisodes à écouter : [Solo] Ca veut dire quoi d'être un homme? (https://audmns.com/VrvDGYA) [NEWS] La gentillesse est-elle toujours une vertu? (https://audmns.com/fsjMsBo) [NEWS] Le paradoxe du siècle « social » que l'on fait mine d'ignorer (https://audmns.com/CREUtAc)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien : Oh non ! Il m'est encore arrivé une tuile je crois… Les affaires dans mon sac sont pas à moi, j'ai dû l'échanger sans faire exprès !Louise : Oh là là, mais comment ça a pu arriver ? Tu penses que quelqu'un a pris le tien sans faire exprès ?Julien : Sûrement ! Heureusement, dedans j'ai mon portefeuille avec ma carte de visite. Avec un peu de chance, la personne qui l'a retrouvé m'appellera rapidement !Louise : Oui, je crois que le seul truc à faire, c'est d'attendre un peu et voir si quelqu'un se manifeste. On croise les doigts pour récupérer ton sac rapidement !To get 55% OFF the Lingopie annual plan:https://learn.lingopie.com/FrenchPod Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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