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durée : 00:03:45 - Le Pourquoi du comment : philo - Peut-on dire 2+2=4 et affirmer en même temps 2+2≠4 ? Dans cette chronique, Frédéric Worms affirme que la liberté d'expression ne signifie pas dire tout et son contraire : le principe de non-contradiction fonde vérité et démocratie. - réalisation : Françoise Le Floch
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la condamnation de l'ancien président Jair Bolosonaro, sur la riposte des Européens après l'attaque des drones russes en Pologne, et sur l'attaque israélienne au Qatar. Brésil : condamné à 27 ans de prison, Jair Bolsonaro peut-il espérer une réduction de peine ? L'ancien président Jair Bolsonaro a été condamné vingt-sept ans et trois mois de prison pour tentative de coup d'État, un verdict qualifié « d'historique ». Les recours encore possibles ont-ils une chance d'aboutir à une révision de sa condamnation ? Donald Trump a clairement affiché son soutien à Bolsonaro. Faut-il s'attendre à des représailles américaines après ce verdict ? Quel impact cette condamnation pourrait-elle avoir sur la campagne présidentielle de 2026 ? Avec Achim Lippold, journaliste au service international de RFI Drones russes : quelle sera la riposte des Européens ? Après l'intrusion d'une vingtaine de drones russes dans le ciel polonais, la Roumanie, autre pays membre de l'OTAN, a également signalé la violation de son espace aérien par un drone russe. Quelle est la stratégie du Kremlin ? Au-delà de leurs condamnations, comment les Européens comptent-ils riposter ? Avec Pierre Benazet, correspondant de RFI à Bruxelles Israël : quelles conséquences après l'attaque au Qatar ? Selon le Hamas, les bombardements israéliens à Doha ont tué six de ses membres mais pas ses dirigeants. Cette attaque a eu lieu alors qu'Israël et le Hamas sont en pleines négociations avec le Qatar comme médiateur. Pourquoi l'État hébreu a-t-il choisi ce moment précis pour frapper le Qatar ? Quel avenir pour les pourparlers ? Avec Adel Bakawan, chercheur associé à l'Ifri, directeur de l'Institut européen d'études du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord (Eismena).
Sous l'impulsion d'une défense boostée par l'arrivée de Micah Parsons, les Green Bay Packers s'imposent logiquement face à des Commanders au réveil tardif.L'impact de l'arrivée de l'ex joueur de Dallas fait un effet considérable. Peut-il durer jusqu'à la fin de la saison ?L'attaque a fait le reste face à une défense des Commanders incapable de contenir le jeu aérien. Des Commanders où Jayden Daniels n'a pas su faire la différence face à une défense agressive.Nithinya Simuong et Kevin Renaudet au micro. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:07:21 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - L'assassinat de Charlie Kirk, poulain médiatique de l'extrême-droite trumpiste, le 11 septembre 2025, a sidéré l'Amérique et réveillé le spectre récurrent de la violence politique. - invités : Laure Mandeville Journaliste au Figaro; Élisa Chelle Professeure des universités en sciences politiques
Peut-être que t'as déjà entendu dire que les gauchers, c'est les cerveaux à part, des génies incompris comme Léonard de Vinci, Billie Eilish, Albert Einstein, ou Barack Obama. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:44 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le Rassemblement national exige une nouvelle dissolution et parie sur une victoire à l'arraché.
Comprendre le fonctionnement de la monnaie, sa place dans le monde actuel et les risques de rupture.Qu'est-ce que l'argent, au fond ?Dans cet épisode, on explore les structures profondes de notre système financier avec la macro-stratégiste Lyn Alden. On parle de la monnaie comme registre, du lien entre finance et énergie, de l'illusion de la croissance infinie, et des conséquences cachées de la dette et de l'effet de levier.Episode enregistré le 30/06/2025---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
2/2 - Comprendre le fonctionnement de la monnaie, sa place dans le monde actuel et les risques de rupture.Qu'est-ce que l'argent, au fond ?Dans cet épisode, on explore les structures profondes de notre système financier avec la macro-stratégiste Lyn Alden. On parle de la monnaie comme registre, du lien entre finance et énergie, de l'illusion de la croissance infinie, et des conséquences cachées de la dette et de l'effet de levier.Episode enregistré le 30/06/2025---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 00:37:42 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Loin d'être un cas isolé, la mort du streameur Jean Pormonave fin août 2025, régulièrement humilié par ses acolytes dans ses lives sur Kick, suivi par des milliers de personnes, questionne largement notre rapport à l'humanité, au point de se demander aujourd'hui si l'on peut la perdre. - invités : Laurence Devillairs Philosophe, enseignante à Paris 1 Panthéon Sorbonne; Marc Crépon Directeur de recherche à l'Université Paris Sorbonne et directeur du département de philosophie à l'École normale supérieure
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Pour débuter l'émission de ce vendredi 12 septembre 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'Asso, "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Zohra Bitan, fonctionnaire, débattent du sujet du jour : "Charlie Kirk : cette violence peut-elle s'étendre en France ?".
Au Cameroun, c'est dans un mois, le 12 octobre, que les douze candidats s'affronteront dans les urnes pour briguer la présidence de la République. Onze candidats de l'opposition vont donc défier le président sortant Paul Biya, mais il n'y aura qu'un seul tour. Du coup, le candidat Akere Muna propose à ses partenaires de l'opposition de créer un collectif pour trouver un candidat consensuel. Et il s'adresse plus particulièrement à Maurice Kamto, l'opposant dont la candidature a été rejetée. Pourquoi ce choix ? En ligne de Yaoundé, maître Muna répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Il y a trois semaines, vous avez défrayé la chronique en demandant au Conseil constitutionnel de déclarer Paul Biya inéligible à cause de sa supposée dépendance physique et cognitive. Mais vous avez été débouté. Est-ce que vous n'êtes pas déçu par cet échec ? Akere Muna : Non, pas du tout parce que tous ceux qui pensent qu'à 92 ans et après 42 ans d'exercice, on est, n'est-ce pas, aussi frais que quelqu'un de 49 ans, mais tant pis, je pense qu'on a pu démontrer au monde entier la situation qui prévaut au Cameroun. Tout le monde l'a vu, le président, dans ses sorties. Nous avons fourni des vidéos qui montrent le président à Washington. Il ne sait pas où il est, il ne sait pas ce qu'il doit faire. On doit tout lui dire. Et puis on l'a montré complètement embrouillé devant Mo Ibrahim. Et puis on l'a montré, il y a beaucoup d'incidents. Sa femme qui lui demande de lever la main pour saluer, on lui rappelle ce qu'il faut faire. On a même montré un rapport fait par des experts américains sur ce que l'on doit attendre d'un monsieur de 92 ans. C'est un rapport de douze pages quand même. On est devant le destin de 30 millions de Camerounais. Le Cameroun est dans un gouffre financier et moral, difficile à digérer. Vous êtes originaire du nord-ouest du Cameroun. Vous avez été bâtonnier des avocats du Cameroun. Vous êtes l'une des grandes figures de l'ONG Transparency International. Si vous êtes élu, quelles seront vos deux priorités ? La lutte contre la corruption et la crise du nord-ouest et du sud-ouest. Parlant de la lutte contre la corruption, je vous dis que moi président de la République, dans les cinq jours, je ferai sortir des caisses de Glencore [une société minière, NLDR] 800 milliards. Je ferai payer par Glencore à l'État du Cameroun 800 milliards de francs CFA. C'est le résultant de ventes de pétrole à un prix décoté, le résultant de trafics de toutes sortes, de la corruption reconnue par Glencore lui-même. Et dites-vous bien, personne n'est poursuivi. Donc ça, ce serait votre première priorité ? Oui, la première. La seconde, c'est la crise du nord-ouest et du sud-ouest car je connais les racines de ce problème. Moi, originaire du nord-ouest, je connais le problème. Vous êtes onze candidats face à Paul Biya. Mais il n'y a qu'un seul tour. À un mois du scrutin, est-ce que vous croyez encore à la possibilité d'un candidat consensuel de l'opposition ? Je crois que les onze candidats savent qu'il faut donner l'espoir aux Camerounais. Et sur cette base-là, je pense qu'il y a toujours une solution. Moi, j'y travaille et je pense qu'un candidat consensuel, ça peut être deux ou trois ou quatre, mais je pense qu'au final, il faudra attendre que la campagne officielle commence, donc le 27 septembre, pour voir ce qu'il va se passer. Je pense que l'on peut être optimiste du fait que l'on va trouver des candidats qui pourront… Parce qu'en fait, ces élections, c'est un référendum sur pour Biya ou contre Biya. C'est aussi simple que ça. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: le parti au pouvoir présente «l'armée» de Paul Biya pour la campagne En 2018, le principal challenger de Paul Biya était Maurice Kamto, mais aujourd'hui, il est déclaré inéligible. Quel rôle peut-il jouer dans la recherche d'un candidat consensuel de l'opposition ? Je pense qu'il peut être vraiment la personne qui demande à tous les candidats : « Mettons-nous ensemble et sortons un candidat qui va mener le lot », pour la simple raison que lui, il sera quelqu'un de désintéressé puisqu'il n'est pas candidat. Donc ce rôle-là, il peut le jouer. Il peut proposer une réunion à vous tous, les onze candidats, pour que vous vous mettiez d'accord, c'est ça qu'il pourrait faire ? Oui mais voilà, comme je dis souvent, le problème de ce côté du monde, c'est ce qu'il y a beaucoup de chefs, mais pas assez d'Indiens. Donc peut-être que lors d'une séance comme ça, il faudrait quand même faire un gouvernement, je n'en sais rien, mais je pense qu'il a… Lors d'une séance comme ça, il faudrait quoi dites-vous ? Il faudrait peut-être penser à déjà faire un « shadow government ». Un gouvernement fantôme… Oui. À écouter aussiCameroun: «Après l'échec des hommes, il faut que les femmes prennent le pouvoir» Pour un candidat consensuel de l'opposition, est-ce que vous seriez prêt à renoncer à votre candidature et à vous rallier à un autre candidat ? Mais cette question trouve sa réponse en 2018. Je l'ai déjà fait. Pour Maurice Kamto… Ça c'est vrai, je l'ai déjà fait. Avec une seule différence que maintenant, je fais dans le cadre d'un collectif. On est tous ensemble, voilà la direction qu'on va prendre. Et dans ce cadre-là, je pense que c'est plus facile de le faire. Et pour quel candidat vous pourriez vous désister ? Mais je vous dis que ça sortirait d'un collectif, donc je ne peux pas maintenant commencer à dire tel ou tel autre. Mais pour l'instant, ce collectif, on ne le voit pas… Peut-être qu'on ne le voit pas. Mais le fait que vous n'entendez pas la radio ne veut pas dire qu'elle n'émet pas. Il y a des signes annonciateurs d'un tel collectif ou pas ? Moi j'en vois. Et le secret pour l'efficacité de cette stratégie, c'est la discrétion. Vous conviendrez avec moi. Donc pour l'instant, vous ne pouvez pas en parler sur l'antenne ? Voilà. À lire aussiCameroun: l'opposition partagée sur la désignation d'un candidat consensuel à la présidentielle
La myopie chez les enfants progresse rapidement : d'ici 2050, une personne sur deux pourrait être concernée. Ce trouble de la vision, souvent détecté tardivement, entraîne une vision floue de loin et peut évoluer fortement pendant l'enfance.Dans cet épisode de Papatriarcat, réalisé en partenariat avec Krys et Hoya, nous explorons les causes, les signes précoces et les solutions pour accompagner les familles. Avec Charlotte Duyck, opticienne spécialisée en basse vision, et Alexandra Martin, maman d'une enfant myope, nous abordons :Comment reconnaître les premiers signes de la myopie.Les facteurs de risque (génétique, environnement, usage des écrans, manque d'activités extérieures).Les solutions existantes pour corriger et freiner l'évolution de la myopie, comme le verre innovant MiYOSMART de Hoya, disponible chez Krys (sous prescription médicale).Le quotidien des familles : choix des lunettes, suivi médical, activités sportives.Les gestes simples pour prévenir la progression, comme la règle du 20-20-20. Question fréquente : Peut-on vraiment freiner la myopie de l'enfant ?→ Oui, grâce à des innovations cliniquement prouvées comme les verres MiYOSMART. Il corrige la vue tout en freinant l'allongement de l'œil, avec l'appui d'un suivi médical adapté. Nous sommes ravis de vous proposer cet échange qui croise l'expertise professionnelle et l'expérience parentale pour éclairer un sujet de santé publique majeur et donner des clés concrètes aux familles.Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Krys et Hoya.Les lunettes correctrices sont des dispositifs médicaux qui constituent des produits de santé réglementés portant le marquage CE. Demandez toujours conseil à un professionnel de santé ou à votre opticien.Le verre MiYOSMART est délivré uniquement sur ordonnance d'un ophtalmologiste.Les opinions exprimées dans cet épisode n'engagent que les intervenant·es.Pour en savoir plus, reportez-vous aux conseils disponibles en magasin ou sur krys.com/sante .Salutations adelphes et solidaires ! Cédric Etudes citées :Progression of myopia in children and teenagers : a nationwide longitudinal studyGlobal Prevalence of Myopia and High Myopia and Temporal Trends from 2000 through 2050,The real-world effectiveness of defocus incorporated multiple segments and highly aspherical lenslets on myopia control: a longitudinal study from the French myopia cohort *******************************************Crédit musiques : www.bensound.comCrédit dialogue : BRUT - le sexisme chez les enfants (youtube)Plus d'informations sur krys.com/santeSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/papatriarcat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 11 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Omar m'a tuer”... En 1991, ces dix lettres de sang, écrites avec les doigts, ont fait grand bruit dans les médias… Elles sont le seul indice d'une scène de crime mystérieuse et désigne un homme : Omar Raddad, un jeune jardinier marocain, unique suspect de cette affaire. Pour la justice, il est le meurtrier de Ghislaine Marchal… Depuis plus de 30 ans, l'accusé se bat pour prouver son innocence. Mars 1995. Omar Raddad a maintenant 32 ans et cela fait plus de quatre ans qu'il est derrière les barreaux. Avec son avocat, maître Jacques Vergès, ils ont fait appel à un détective privé, Roger-Marc Moreau. L'homme va se plonger dans l'affaire et démonter un par un les éléments à charge contre Omar Raddad. Dans cet épisode, découvrez son témoignage. Un podcast Bababam Originals Ecrit par Capucine Lebot et raconté par Caroline Nogueras Première diffusion : 12 janvier 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? » (Lc 6, 39-42)Méditation par la Pasteur Magali GirardChant Final : "Jésus le Christ" par la Communauté de TaizéRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Cardinal François Bustillo - Gauthier le Bret, journaliste - Catherine Nay, journaliste et éditorialiste politique Europe 1 - Jean-Michel Salvator, journaliste - Louis de Raguenel, chef du service politique Europe 1 - Alexandre Devecchio, journaliste - Eric Naulleau, journaliste et écrivain Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Gauthier le Bret, journaliste - Catherine Nay, journaliste et éditorialiste politique Europe 1 - Jean-Michel Salvator, journaliste - Louis de Raguenel, chef du service politique Europe 1 - Alexandre Devecchio, journaliste - Eric Naulleau, journaliste et écrivain Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs : - Eliot Deval, journaliste - Gauthier le Bret, journaliste - Elisabeth Assayag, animatrice de télévision Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 septembre 2025 - Lecornu arrive...Les blocages s'installent ?Il faut « des ruptures sur le fond » et « pas que sur la forme ». Le ministre des Armées, nommé mardi soir par Emmanuel Macron, a pris le relais de François Bayrou à Matignon lors d'une passation de pouvoir éclair, mercredi à la mi-journée. Après avoir remercié son prédécesseur pour son « extraordinaire courage », le nouveau Premier ministre a promis d'être « plus créatif » et « plus sérieux dans la manière de travailler avec nos oppositions ».« On va y arriver », a-t-il lancé, avant de débuter, cet après-midi, une série de consultations des partis politiques. Il doit en effet s'entretenir avec le patron de Renaissance, Gabriel Attal, Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez pour LR, ainsi qu'Édouard Philippe pour Horizons. Dans la matinée, Sébastien Lecornu a également échangé par téléphone avec la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, et le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sans qu'un rendez-vous n'ait, pour l'heure, été fixé avec eux à Matignon. Il a par ailleurs affirmé souhaiter s'entretenir rapidement avec les forces syndicales.En tant que Premier ministre, Sébastien Lecornu a été chargé par Emmanuel Macron de trouver des « accords » avec les forces politiques du pays, avant de « proposer » un gouvernement. Une tâche qui s'annonce complexe pour le nouveau locataire de Matignon, ministre sans interruption depuis juin 2017, tant le contexte est éruptif : sans majorité à l'Assemblée nationale, il prend la suite de deux gouvernements renversés, alors que la France connaît, ce 10 septembre, une journée de manifestations et de blocages avec le mouvement « Bloquons tout ».Sur fond de colère sociale et de sentiment de déni de démocratie, des appels « à tout bloquer » ont été lancés sur les réseaux sociaux au cœur de l'été, à la suite de la présentation par François Bayrou du projet de budget 2026. Soutenu par la suite par les partis de gauche du NFP et les syndicats — dont certains ont appelé à se joindre à la mobilisation — le mouvement connaît une traduction concrète ce mercredi sur le territoire. Et il prend de nombreuses formes : grève de la carte bancaire, distributions de tracts, barrages filtrants, blocages de routes et de lycées, manifestations…Expression d'un ras-le-bol français, ce mouvement est-il inédit ou similaire à celui des Gilets jaunes ? Peut-il durer dans le temps ? La nomination de Sébastien Lecornu à Matignon apaisera-t-elle ou attisera-t-elle la colère sociale ?Le Premier ministre s'est dit convaincu « qu'il n'y a pas de chemin impossible » et a promis des ruptures, sans en dire beaucoup plus sur les chantiers qu'il compte mener. Mais il a donné rendez-vous très bientôt : « J'aurai l'occasion de m'exprimer devant les Français », a-t-il lancé.LES EXPERTS :- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de "Le goût de la politique. Un observateur passionné de la Vème République", publié chez Odile jacob- Nathalie SCHUCK - grand reporter pour le magazine Le Point, autrice d'une biographie de Bruno Retailleau intitulée Le Cardinal chez Robert Laffont- Soazig QUEMENER - Rédactrice en chef à la Tribune Dimanche- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
La myopie chez les enfants progresse partout dans le monde. Comment la reconnaître ? Peut-on la prévenir ? Et surtout, existe-t-il des solutions pour freiner son évolution ?Dans cette bande-annonce de l'épisode Papatriarcat réalisé en collaboration avec Krys et Hoya, tu découvriras un aperçu des échanges entre Charlotte Duyck, opticienne spécialisée, et Alexandra, maman d'une enfant concernée. Ensemble, elles partagent leur expertise et leur vécu pour éclairer un sujet de santé publique majeur.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 10 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est peut-être un tournant historique qu'a vécu la guerre entre Israël et le Hamas hier. Israël qui frappe au coeur de Doha. Les dirigeants du Hamas visés ont survécu. Donald Trump dénonce une attaque malvenue contre un allié stratégique. Le ministre israélien de la Défense Israël Katz promet que ses ennemis n'auront nulle part où se cacher, quitte à détruire Gaza si les otages ne sont pas libérés. Le Qatar condamne et prévient qu'il se réserve le droit de riposter tout en maintenant son rôle de médiateur. Sur le terrain, l'armée israélienne poursuit son offensive contre la ville de Gaza. Nouveaux bombardements aujourd'hui. Une tour résidentielle pulvérisée. Au 705è jour de guerre, on compte plus de 64 600 morts côté palestinien, 1 219 victimes côté israélien. Et la tension monte en Europe, Ursula von der Leyen propose des sanctions contre les ministres israéliens extrémistes. Réponse immédiate de Tel Aviv, un mauvais message qui renforce le Hamas. Alors ce soir, comme depuis plusieurs longs mois que dure ce conflit, cette guerre, une question revient. Gaza peut-elle encore être sauvée ? Pour en débattre : - Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, président de l'IReMMO et co-auteur du livre Atlas du Moyen-Orient, éditions Autrement - Guilhem Delteil, journaliste au service international de RFI, auteur du podcast Palestiniens, ancien correspondant à Jérusalem - Raphaël Pitti, médecin humanitaire, président de l'ONG Husome Humanité Solidarité Médecine.
Paul Delair et Caroline Dublanche explorent le concept de "décompensation" en psychologie, un terme souvent méconnu mais crucial pour comprendre certaines crises psychiques. À travers le témoignage poignant de Dominique, ils discutent des causes, des manifestations et des prises en charge possibles de ces ruptures d'équilibre psychique. Qu'est-ce qui peut déclencher une décompensation ? Peut-elle toucher tout le monde ? Et comment y faire face ? Autant de questions essentielles abordées dans cet échange. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:46:43 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Annoncée de longue date, cette journée a évolué au cours des dernière semaines. Très citoyenne et revendiquée apolitique, façon Gilets jaunes, elle a progressivement été ralliée par certains partis de gauche et syndicats. Peut-on mieux dessiner le mouvement et tirer de premières conclusions ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Depuis le 7 octobre 2023, Israël mène une offensive sans précédent sur la bande de Gaza. Au 30 juillet 2025 selon Statista, on compte plus de 60 000 Palestiniens morts sous les bombardements de l'armée israélienne, dont plus de 18 000 enfants. La Convention de l'ONU sur le génocide de 1948 retient cinq actes. Il suffit qu'un seul d'entre eux soit commis pour qualifier un génocide. Mais ils doivent avoir été commis “dans l'intention de détruire totalement ou partiellement un groupe national, ethnique, racial ou religieux.” Que dit le droit international sur le crime de génocide ? Quels actes qualifient un génocide ? Peut-on vraiment affirmer qu'il y a un génocide à Gaza ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Que changerait la reconnaissance de la Palestine ? Quel est le premier génocide du XXe siècle ? Mines, armes chimiques… : quelles sont les armes interdites en guerre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Il a seulement 38 ans et c'est pourtant le doyen du gouvernement avec huit années cumulées au sein de gouvernements d'Emmanuel Macron. Mardi 9 septembre, Sébastien Lecornu a été nommé premier ministre, seulement vingt-quatre heures après le vote de confiance qui a vu chuter François Bayrou.Une promotion éclair pour ce fidèle parmi les fidèles du président de la République mais qui risque de susciter le mécontentement des oppositions. Car si Sébastien Lecornu est perçu comme un « fin manœuvrier » et déclare vouloir dialoguer avec tous les partis, il reste un pur produit du macronisme, alors que les Français n'ont pas donné de majorité au camp présidentiel aux législatives de juin 2024.L'ancien ministre des armées est-il donc un bon choix face à une équation politique qui se complique de mois en mois ? Peut-il faire face à la crise parlementaire qui s'annonce, mais aussi à l'automne de la contestation sociale qui démarre avec le mouvement « Bloquons tout ».Elements de réponse dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde » avec Mariama Darame, journaliste au service politique du Monde chargée de l'exécutif.Un épisode de Garance Munoz et Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Amandine Robillard. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.Cet épisode a été publié le 10 septembre 2025.---Assistez à l'enregistrement d'un épisode de L'Heure du Monde en live le jeudi 18 septembre : festival.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
En quoi consiste la Mitsva de Bikourim (prémices) ? En quoi est-elle si fondamentale ? Peut-on l'accomplir même en l'absence de Beth Hamikdach ? Réponse à travers des propos du Midrach.
L'inconscient allant toujours chercher, dans ce avec quoi on le nourrit, les pistes pour assurer son évolution, plus que des scènes d'action et des Ewoks tout mignons, j'ai trouvé dans la saga Star Wars des clefs que je cherchais depuis longtemps. Je vous décortique ça, mais attention : je vous préviens, ça va spoiler sévère.Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
durée : 00:24:29 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Ce matin dans le Mag de la vie quotidienne, nous décortiquons ce qui nous paralyse autant lorsqu'on est victime de trac, de phobie sociale ou de timidité... Et comment composer avec ces ressentis ? Peut-on aller de l'avant, vers les autres ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qui peut stopper Benoit St-Denis ?
Note aux auditrices et auditeurs : ce podcast a été diffusé pour la première fois le 25 juin 2025Depuis le mois de décembre 2024, la Belgique permet aux travailleurs et travailleuses du sexe d'être salariés. C'est le premier pays au monde à donner accès à un tel droit aux personnes en situation de prostitution. Saluée par de nombreuses associations, cette nouvelle loi offre une protection et une sécurité inédite aux travailleurs et travailleuses du sexe en les considérant comme des salariés comme les autres. Mais la mise en application de cette législation reste compliquée.Sur le fil vous emmène en Belgique, à la rencontre de ces nouveaux salariés avec, sur le terrain, Dimitri Korczak, journaliste reporter d'images à l'AFP.Invités : Thierry Schaffauser, trésorier du Syndicat du Travail Sexuel, en France"Mel", connue sous le pseudo de Meliciousss, travailleuse du sexe et militanteMarianne Chargois, travailleuse du sexe et militante pour l'Union des Travailleur·euses du Sexe, en BelgiqueCharles-Eric Clesse, magistrat belge expert en droit du travail et en matière de traite des êtres humainsCrédits TikTok : @weesliefvoorelkaarmetmel “Mel meliciousss”Réalisation : Camille BuonannoPrésentation : Emmanuelle BaillonDoublages : Meïssa Guèye Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode, Caroline Mignaux partage sa conviction : chaque fondateur peut devenir la figure incontournable de son marché.Tu découvriras : pourquoi la visibilité est devenue la clé de la croissance,comment incarner ta vision pour attirer clients, partenaires et talents,et comment bâtir une communauté qui te tire vers le haut.
Après avoir décroché la première place de son groupe, l'équipe de France a pris une énorme claque en voyant son parcours s'arrêter en huitième de finale. Défaite 80-70 face à la Géorgie, dans un match raté par les Bleus. Peut-on parler de fiasco pour les Bleus ?Retour sur la compétition de l'Equipe de France avec Pierre Dorian, Fred Weis, Stephen Brun et Félix Gabory
C'est l'exploit de cet EuroBasket 2025: la Finlande vient d'éliminer, à la surprise générale, la Serbie dès les huitièmes de finale de la compétition (92-86). Portés par Nikola Jokic, trois fois MVP en NBA, les Serbes sortent par la petite porte malgré leur statut de favoris de la compétition. Peut-on parler d'échec pour la carrière internationale de Jokic ?
Après avoir décroché la première place de son groupe, l'équipe de France a pris une énorme claque en voyant son parcours s'arrêter en huitième de finale. Défaite 80-70 face à la Géorgie, dans un match raté par les Bleus. Peut-on parler de fiasco pour les Bleus ?
Qu'est-ce qui fait qu'une machine ne pourra jamais philosopher ?Pourquoi douter est-il parfois plus puissant que croire ?Et comment penser contre soi peut-il sauver notre esprit critique ?Ce sont quelques-unes des questions que j'ai eu le privilège d'explorer avec Raphaël Enthoven, philosophe et écrivain.Avec lui, la philosophie descend de son piédestal pour se confronter au réel. Elle devient un art de vivre : comprendre nos choix, habiter nos contradictions et surtout préserver notre esprit critique.Dans cet épisode, on a parlé de bonheur, d'IA, de responsabilité, de ce que signifie être libre, de son quotidien également de ses rituels, de ce qu'il fait très concrètement pour garder sa vitalité intellectuelle, de ses lectures, un sujet qui bien sûr, comme vous le savez, me passionne.Ce que j'ai aimé avec Raphaël Enthoven, c'est qu'il n'expose pas, il interroge, il va vraiment déplacer les certitudes, porté par une voix radiogénique qu'on a envie d'écouter les yeux fermés.Un épisode coup de coeur, stimulant ! Dites-moi en commentaire ce que vous en avez pensé.Bonne écoute !Notes et références de l'épisode :
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Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.