Le Prisme

Après avoir analysé la grossophobie et le sexisme dans Friends, nous aborderons l'homophobie, la transphobie et manque de diversité des personnages pour terminer notre analyse des représentations produites par la série. Il est aussi question de

Après avoir éclairci le contexte historique de la diffusion de Friends et de sa perception actuelle dans l'épisode précédent, nous entrons dans le vif du sujet pour commencer à décortiquer les représentations que la série à produites. Dans un premier temps, nous nous pencherons donc sur deux aspects discriminatoires reprochés à Friends : sa grossophobie et son sexisme. Dans cet épisode, il est question des épisodes suivants de Friends :

Depuis 2015, différents médias ont publié des articles qui abordent des éléments jugés discriminants dans les représentations produites par la série Friends. Souvent volontairement accrocheurs, ces articles décrivent la série comme grossophobe, sexiste, homophobe, transphobe, raciste et j'en passe… Mais, au-delà des formules chocs et de leur propagation rapide, notamment via les réseaux sociaux, qu'en est-il vraiment ? La réponse est-elle aussi simple et aussi manichéenne ? Pour répondre à ces questions, il faut d'abord comprendre le contexte de la diffusion de Friends : dans quelle histoire se place la série en arrivant à la télévision en 1994 ? Quelle est la vie de la série depuis la fin de sa diffusion originale en 2004 ? Et quelle influence sur sa réception peuvent avoir tous ces paramètres ? C'est à ces 3 questions que cet épisode va tenter de répondre. Dans cet épisode, il est aussi question de :

Hier matin, comme tout bon 23 décembre qui se respecte, je partais au travail en ayant pris soin de lancer ma playlist de Noël… chacun ses rituels ! Me voilà donc à écouter Have Yourself a Merry Little Christmas de Bing Crosby, une reprise enregistrée par le chanteur en 1962. Et en suivant, il y avait I'll Be Home for Christmas, du même Bing Crosby, une chanson qui date elle de 1943. Vous vous dites peut-être que j'ai des gouts rétros en matière de musique, c'est vrai… et c'est la même chose en matière de séries ! Quel rapport entre deux chansons de Noël chantés par Bing Crosby et les séries me direz-vous ? J'y viens… En fait, si ces deux chansons sont dans ma playlist de Noël, c'est parce que je les aie découvertes… en regardant la télé. Et réentendre ces deux chansons m'a donc donné l'idée de vous parler, en express, de Noël dans les séries américaines. Dans cet épisode, il est question de :

Dans ce dernier épisode, nous terminons notre quête des vice-présidentes antérieures à Kamala Harris mais aussi des présidentes fictives par une plongée récente dans la quête du pouvoir suprême par les femmes aux États-Unis dans le monde réel et dans les fictions depuis 2007. Car avant Kamala Harris, c'est le nom d'une autre femme qui était sur toutes les lèvres : celui d'Hillary Clinton. Dans cet épisode, il est question de :

Dans cet épisode, nous reprenons notre quête des vice-présidentes antérieures à Kamala Harris, et cette recherche nous emmène en septembre 2005, date à laquelle Commander in Chief est arrivée sur les écrans américains, une série créée par Rod Lurie, déjà aux commandes de The Contender, dans laquelle une vice-présidente devient présidente. Dans cet épisode, il est aussi question de :

Dans cet épisode, nous reprenons notre quête des vice-présidentes antérieures à Kamala Harris, ce qui va nous emmener à l'automne 2000, date primordiale dans l'histoire américaine réelle, puisqu'elle correspond à l'élection présidentielle qui vit s'affronter Al Gore et Georges W. Bush, mais date primordiale aussi dans l'histoire des fictions américaines, puisque c'est à cette époque qu'est sorti The Contender, un film qui pour la première fois mit en scène une vice-présidente dans un premier rôle. Dans cet épisode, il est aussi question de :

Dans les 4 prochains épisodes, nous nous poserons la question suivante : Kamala Harris est-elle vraiment la première vice-présidente des Etats-Unis ? Pour y répondre, nous voyagerons dans plus d'un siècle d'histoire des fictions audiovisuelles américaines, de 1924 à aujourd'hui. Dans cet épisode, il est question de :

Il est souvent dit que les séries ou les films sont les reflets de nos sociétés. Pourtant, en absorbant la réalité et en la représentant, les écrans de télévision ou de cinéma ne sont pas de simples miroirs mais des objets plus complexes : ce sont des prismes. Cette accroche, vous pouvez l'entendre à chaque début d'épisode du podcast Le Prisme. Si vous n'avez encore jamais écouté un épisode, et même si vous l'avez déjà fait, laissez-moi me présenter et vous présenter ce projet en moins de huit minutes. Alors maintenant ouvrez vos oreilles, vos yeux et votre esprit et préparez-vous à entrer dans Le Prisme. Programmation musicale :