Podcasts about Unis

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    La Traque
    Découvrez la saison de La Traque sur le légendaire gangster Dillinger

    La Traque

    Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 1:59


    Bienvenue dans la traque. Cette semaine, découvrez une histoire, prête à vous entraîner dans l'exploration d'un parcours criminel, saisissant. Dans cette nouvelle saison, plongez au cœur de l'histoire fascinante de John Dillinger, le légendaire gangster des années 1930.  Connu pour ses braquages audacieux de banques et son esprit brillant, Dillinger devient l'ennemi public numéro un aux États-Unis. Sa carrière criminelle, marquée par des évasions spectaculaires et des attaques audacieuses, fait de lui une figure mythique de l'époque de la Grande Dépression. Son histoire, faite de ruses et de violence, déclenche une chasse à l'homme sans précédent. Joignez-vous alors à nous et découvrez cette nouvelle saison prochainement disponible sur toutes les plateformes d'écoute.  A très vite dans La Traque ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

    La prescription avec Dr Fred Lambert
    Épisode 155: Chloé Dumoulin

    La prescription avec Dr Fred Lambert

    Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 76:24


    Nommée parmi les meilleurs musiciens en-dessous de 30 ans selon la CBC, la pianiste Chloé Dumoulin est appréciée pour son jeu sensible, sa sonorité colorée et sa grande fougue. Elle jouit d'une carrière internationale, qui l'a amenée à jouer au Canada, aux États-Unis, en Europe, et en Chine, où elle a récemment fait sa première tournée solo en Asie. Elle a fait ses débuts à la Maison symphonique de Montréal sous la direction de Jacques Lacombe en 2021 et s'est produite comme soliste avec l'Orchestre Métropolitain en 2016. Lauréate du 3e grand prix du Concours Prix d'Europe 2024, Chloé est également récipiendaire d'un prix de la Fondation Sylva-Gelber, de la Fondation du Conservatoire, la Fondation Desjardins, les Fonds AIDA des Jeunesses musicales du Canada et la Worshipful Glass Sellers Company. Chloé Dumoulin a assuré la première partie de nombreux orchestres tels que l'Orchestre symphonique de Montréal et l'Orchestre Métropolitain. Elle a entre autres été invitée en récital à la Chapelle historique du Bon-Pasteur, au Festival de Lanaudière, aux Concerts Lachine, à la St James's Piccadilly (Londres) ainsi qu'au Festival de musique de chambre de Montréal à la Salle Bourgie. Pianiste aux qualités de chambriste remarquables, elle collabore régulièrement avec instrumentistes et chanteurs. Depuis septembre 2023, Chloé se perfectionne à la Guildhall School of Music and Drama à Londres (UK), où elle est lauréate de la Leverhulme Arts Scholar, bourse complète, pour y compléter un Artist Diploma sous la tutelle du pédagogue réputé Ronan O'Hora. Diplômée du Conservatoire de musique de Montréal, Chloé y a complété une double maîtrise en piano auprès d'André Laplante et de Claire Ouellet. Elle a notamment travaillé auprès de Louis Lortie, Richard Goode, Gabriela Montero, Robert Levin, Dame Imogen Cooper, Éric Le Sage, Ilya Poletaev, Anton Nel, Angela Cheng et Daniel Shapiro.Instagram :https://www.instagram.com/laprescriptiondrfred/?hl=frFacebook :https://www.facebook.com/people/La-prescription-avec-Dr-Fred-Lambert/100078674880976/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Le Brief
    Nicolas Véron (Peterson Institute, Washington): "Trump est plus fort et d'autant plus imprévisible"

    Le Brief

    Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 15:18


    Today is the day! C'est le jour de la prestation de serment de Donald Trump pour son deuxième mandat de président des États-Unis. Qu'est-ce qui a changé huit ans après sa première prestation, quatre ans après sa défaite contre Joe Biden? À quoi faut-il s'attendre pour les quatre ans à venir? On va tenter d'y voir un peu plus clair et de frotter notre boule de crystal avec Nicolas Véron, économiste, cofondateur du think tank européen Bruegel à Bruxelles, et également chercheur au Peterson Institute for International Economics à Washington. Ce qui lui donne une bonne vision des relations transatlantiques. Donald Trump a été très actif depuis son élection, le 4 novembre, sans attendre son installation dans le Bureau ovale. Il a déjà pesé de tout son poids pour faire aboutir les accords de cessez-le-feu à Gaza, mais aussi pour faire rétablir le réseau TikTok après quelques heures d'interruption. Le nouveau président promet en tout cas de signer une volée de décrets dès son installation à la Maison-Blanche, en matière d'immigration, d'énergie, de droits de douane ou de droits des personnes transgenres notamment, dès son installation à la Maison-Blanche. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google Podcasts See omnystudio.com/listener for privacy information.

    Le Nouvel Esprit Public
    De Barnier à Bayrou : un problème, deux réponses ? / La sécurité collective à l'heure du révisionnisme trumpiste

    Le Nouvel Esprit Public

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 69:24


    ISSN 2608-984XVous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École de l'air et de l'espace de Salon-de-Provence le 17 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.DE BARNIER À BAYROU : UN PROBLÈME, DEUX RÉPONSES ?Un mois après son arrivée à Matignon, François Bayrou s'est fixé « trois défis » : « Contenir » et « réduire » la dette publique, « mettre en place les conditions de la stabilité, qui impose de se réconcilier », et refondre l'action publique. Parmi les principales mesures annoncées, figure la remise en chantier de la réforme des retraites avec une ouverture majeure de la proposition du Premier ministre par rapport à celle de son prédécesseur Michel Barnier : il a fait sauter le tabou des 64 ans mais à condition de ne pas « dégrader l'équilibre financier » du système. Sur la base d'un « constat » chiffré, confié à la Cour des comptes pour une « mission flash », les partenaires sociaux auront trois mois pour dégager « un accord d'équilibre et de meilleure justice». S'il émerge, il sera soumis au Parlement à l'automne. Sinon « c'est la réforme actuelle qui continuerait à s'appliquer ».Un fonds spécial « entièrement dédié à la réforme de l'État », sera créé, financé en cédant une partie des actifs publics, notamment immobiliers. L'effort d'économie demandé aux collectivités territoriales sera réduit à 2,2 milliards d'euros au lieu des 5 milliards d'euros prévus par Michel Barnier. Le Premier ministre cherchera à protéger les entreprises de hausses d'impôts. Il est favorable au « principe proportionnel pour la représentation du peuple dans nos assemblées ». Un élément qui ouvre la porte à un « probable » retour du cumul des mandats. « L'étude des cahiers de doléances » présentés par les Gilets jaunes sera reprise. Le Premier ministre a abandonné « la mesure de déremboursement de certains médicaments et de consultations » prévue par son prédécesseur. La progression des dépenses de santé sera donc plus forte que prévu dans la copie Barnier. Elle devrait être relevé de +2,8% à +3,3 %. François Bayrou a également renoncé aux 4.000 suppressions de postes prévues dans l'éducation nationale ainsi qu'au passage d'un à trois jours de carence en cas d'arrêt maladie. Il maintient le projet de taxe sur les hauts revenus. Enfin, il a analysé l'immigration comme « d'abord une question de proportion ».Jeudi, ni les lepénistes ni les socialistes n'ont voté la motion de censure déposée par les mélenchonistes, avec des écologistes et des communistes. Elle n'a donc pas été adoptée.LA SÉCURITÉ COLLECTIVE À L'HEURE DU RÉVISIONNISME TRUMPISTEAvec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, les puissances du Vieux Continent redoutent l'érosion, voire la dissolution, de leur principale alliance, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), au moment même où la Russie prend l'avantage en Ukraine. Au cours de sa précédente présidence, Trump avait envisagé de ne pas honorer l'article 5 du traité, qui prévoit que les pays signataires se portent au secours d'un allié attaqué. Or, toute la dissuasion de l'Alliance atlantique repose sur cet engagement.Cette menace voilée du président américain marquait sa volonté d'un rééquilibrage des contributions au budget de l'Otan entre les alliés et les États-Unis. Seulement les deux tiers des trente membres européens de l'Otan consacrent plus de 2 % de leur PIB à la défense. Sans les Etats-Unis, ils devront dépenser peut-être deux fois plus. Ce qui voudra dire accroître l'endettement, augmenter les impôts ou tailler dans certaines dépenses essentielles. Les Européens doivent aussi décider s'ils repensent ou non la base de leur défense collective. À l'heure actuelle, les forces armées européennes donnent priorité à l'Otan tout en veillant à élargir leurs capacités de défense et de sécurité au travers d'autres institutions, comme l'Union européenne, et des blocs militaires régionaux comme la Force expéditionnaire conjointe sous direction britannique. La victoire de Trump relance aussi le débat sur le rôle dissuasif des armes nucléaires françaises et britanniques en cas d'éventuelles attaques ailleurs en Europe.Aujourd'hui, l'Europe est bien plus vulnérable qu'elle ne l'était lorsque Trump a été élu pour la première fois en 2016. Elle est aux prises avec une guerre, une crise économique et une montée en puissance des mouvements nationalistes populistes. Actuellement, huit de ces mouvements dirigent des gouvernements ou participent à des coalitions à travers le continent. L'Europe doit se préparer, en filant la métaphore du Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, à voir son « jardin » menacé par une « jungle » peuplée de « carnivores » sans états d'âme. Un récent Eurobaromètre, qui mesure l'opinion publique européenne à l'égard de l'Union, montre que celle-ci n'a jamais été aussi favorable à l'intégration européenne. Bien que beaucoup de citoyens soient insatisfaits de leur gouvernement, plus de six personnes sur dix estiment que l'avenir de l'Europe réside dans l'Union.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

    Choses à Savoir
    Pourquoi certaines personnes ont un trou à coté de l'oreille ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 1:55


    Certaines personnes naissent avec un petit trou près de l'oreille appelé sinus préauriculaire. Ce phénomène est une anomalie congénitale bénigne, relativement rare, qui touche environ 0,1 à 0,9 % des populations en Europe et aux États-Unis, mais jusqu'à 4 à 10 % dans certaines régions d'Afrique et d'Asie. Formation et origineLe sinus préauriculaire se forme pendant le développement embryonnaire, généralement autour de la 6e semaine de gestation, lorsqu'apparaissent les arcs branchiaux ou arcs pharyngiens. Ces arcs sont des structures embryonnaires primitives qui jouent un rôle clé dans le développement de la tête et du cou, notamment des oreilles, de la mâchoire et du pharynx.Chez les poissons, ces arcs branchiaux donnent naissance à des branchies, mais chez les mammifères, ils évoluent pour former d'autres structures. Le sinus préauriculaire pourrait être lié à une fusion incomplète ou à un défaut de développement des bourgeons auriculaires, des structures embryonnaires responsables de la formation de l'oreille externe. Une réminiscence des branchies ?Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le sinus préauriculaire pourrait être une trace évolutive des branchies de nos lointains ancêtres aquatiques, ce qui expliquerait son emplacement à proximité de l'oreille. Cependant, cette idée reste spéculative et n'est pas directement prouvée. Le sinus est surtout considéré comme une anomalie de fusion embryologique, sans lien fonctionnel avec les branchies. Aspects cliniquesLe sinus préauriculaire est généralement asymptomatique et sans conséquences médicales. Cependant, il peut parfois s'infecter ou développer des kystes, nécessitant un traitement antibiotique ou une intervention chirurgicale pour le retirer. Une curiosité bénigneEn résumé, le sinus préauriculaire est une petite curiosité biologique qui témoigne des processus complexes de notre développement embryonnaire, avec une possible résonance évolutive remontant à l'époque où nos ancêtres vivaient sous l'eau. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Idées
    L'historien Ran Halévi : « Le chaos de la démocratie américaine »

    Idées

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 48:30


    À la veille de l'investiture de Donald Trump aux États-Unis, Pierre-Édouard Deldique invite dans son émission Idées, sous le thème de la démocratie américaine : Ran Halévi, historien, directeur de recherche au CNRS, professeur au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron, et directeur de collections aux éditions Gallimard. Il publie une nouvelle édition, en poche, de son essai publié en 2022 : « Le chaos de la démocratie américaine » suivi d'un nouveau texte « Une république éclatée » (Folio actuel).

    Grand reportage
    «Le supplément du dimanche» du 19 janvier 2025

    Grand reportage

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 48:30


    Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage week-end vous emmène aux États-Unis. À l'approche de la prise de fonction de Donald Trump, l'inquiétude règne chez certains Américains qui craignent de perdre leurs droits. En deuxième partie, direction l'Afghanistan, où les droits des femmes se réduisent à peau de chagrin depuis l'arrivée des talibans en août 2021. Ces femmes qui vivent dans le noir sous leur burqa, et la plupart du temps, enfermées, développent des troubles de santé mentale. Trump, le retour : la résistance se met en placeDans quelques jours (le 20 janvier 2025), Donald Trump sera investi 47ème président des États-Unis après une incroyable campagne ;  historique. Son retour à la Maison Blanche inquiète certains Américains. Ils craignent une régression de leurs droits. Parmi les promesses de Donald Trump, des déportations de masse pour les migrants sans titre de séjour, une réduction des droits des personnes transgenres ou l'envoi de l'armée contre les manifestants.Face à cela, des associations se préparent avec l'idée que si Washington (l'État central) devient une menace, c'est à l'échelle locale qu'il faudra s'entraider. Un Grand reportage de notre correspondant en Géorgie Edward Maille qui s'entretient avec Jacques Allix.  Afghanistan : la longue nuit des femmesLe 15 août 2021, les talibans prenaient le pouvoir en Afghanistan. Ou reprenaient le pouvoir. Depuis, les droits des femmes sont bafoués. Les Afghanes, visées par de nombreuses restrictions, ont progressivement disparu de l'espace public : du gouvernement, de nombreuses entreprises, des collèges, des universités. Parmi les nombreux drames, politiques, sociaux, (humains tout simplement) que cela engendre, une récente étude menée par l'ONU révèle une crise de santé mentale. Une crise de plus en plus grave chez les femmes, liée à la perte de leurs droits. 78% des femmes ont déclaré avoir une santé mentale « mauvaise » ou « très mauvaise », et 8% ont dit connaître au moins une autre femme ou fille qui avait tenté de se suicider. Un reportage rendu possible grâce à des témoignages de femmes en Afghanistan récoltés par téléphone par Hasina Akbari qui a collaboré avec notre correspondante au Pakistan.Un Grand reportage de Sonia Ghezali qui s'entretient avec Jacques Allix. À lire aussiAfghanistan: les talibans continuent de chasser les femmes de l'espace public

    Choses à Savoir SCIENCES
    Pourquoi certaines personnes ont un trou à coté de l'oreille ?

    Choses à Savoir SCIENCES

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 1:55


    Certaines personnes naissent avec un petit trou près de l'oreille appelé sinus préauriculaire. Ce phénomène est une anomalie congénitale bénigne, relativement rare, qui touche environ 0,1 à 0,9 % des populations en Europe et aux États-Unis, mais jusqu'à 4 à 10 % dans certaines régions d'Afrique et d'Asie. Formation et origineLe sinus préauriculaire se forme pendant le développement embryonnaire, généralement autour de la 6e semaine de gestation, lorsqu'apparaissent les arcs branchiaux ou arcs pharyngiens. Ces arcs sont des structures embryonnaires primitives qui jouent un rôle clé dans le développement de la tête et du cou, notamment des oreilles, de la mâchoire et du pharynx.Chez les poissons, ces arcs branchiaux donnent naissance à des branchies, mais chez les mammifères, ils évoluent pour former d'autres structures. Le sinus préauriculaire pourrait être lié à une fusion incomplète ou à un défaut de développement des bourgeons auriculaires, des structures embryonnaires responsables de la formation de l'oreille externe. Une réminiscence des branchies ?Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le sinus préauriculaire pourrait être une trace évolutive des branchies de nos lointains ancêtres aquatiques, ce qui expliquerait son emplacement à proximité de l'oreille. Cependant, cette idée reste spéculative et n'est pas directement prouvée. Le sinus est surtout considéré comme une anomalie de fusion embryologique, sans lien fonctionnel avec les branchies. Aspects cliniquesLe sinus préauriculaire est généralement asymptomatique et sans conséquences médicales. Cependant, il peut parfois s'infecter ou développer des kystes, nécessitant un traitement antibiotique ou une intervention chirurgicale pour le retirer. Une curiosité bénigneEn résumé, le sinus préauriculaire est une petite curiosité biologique qui témoigne des processus complexes de notre développement embryonnaire, avec une possible résonance évolutive remontant à l'époque où nos ancêtres vivaient sous l'eau. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Reportage International
    Mexique: à Ciudad Juárez, ville frontalière, l'inquiétude à la veille de l'investiture de D. Trump

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 2:47


    Donald Trump menace de fermer la frontière avec le Mexique à son arrivée à la Maison Blanche et Kristi Noem, la prochaine secrétaire à la Sécurité intérieure des États-Unis, a déjà annoncé devant le Sénat l'intention du gouvernement de supprimer l'application CBP One, lancée par l'administration Biden pour obtenir un rendez-vous pour faire une demande d'asile aux États-Unis. Dans la ville frontalière de Ciudad Juárez, en face d'El Paso, si la frontière n'est pas saturée de monde comme elle a pu l'être par le passé, les incertitudes et les craintes liées aux premières mesures de Donald Trump inquiètent les personnes souhaitant migrer. De notre envoyée spéciale à Ciudad Juárez,  Le pont international de Ciudad Juárez est l'un des principaux points d'entrée vers les États-Unis. Au milieu du pont, au côté des voitures, s'est formée une file de plus d'une centaine de personnes. Avec leurs bagages et leurs papiers à la main, ce sont des personnes migrantes qui ont obtenu un rendez-vous cet après-midi pour déposer une demande d'asile.Adriana Flores est Salvadorienne. Cette infirmière a tout quitté pour tenter sa chance du côté des États-Unis. Elle descend tout juste de l'avion depuis la capitale mexicaine où elle a attendu quatre mois avant de décrocher un rendez-vous. « J'ai mon passeport, la confirmation du rendez-vous et le mail qu'on m'a envoyé, explique-t-elle. J'ai été très heureuse, quand c'est arrivé. Car avec le nouveau président qu'il va y avoir, j'avais peur que le rendez-vous n'arrive jamais. Je doutais, mais grâce à dieu, j'arrive à temps. Aujourd'hui, je suis là. »À ses côtés, des Vénézuéliens, des Haïtiens, des Mexicains... Ils pourraient être parmi les derniers à passer aux États-Unis via la procédure de CBP One.À la moitié du pont, deux agents de l'immigration états-unienne vérifient les identités de ceux qui ont un rendez-vous avant de les laisser continuer d'avancer. Alicia Gonzalez, son mari et sa fille viennent de l'État du Michoacán, au Mexique. Cela fait un an qu'ils attendent de partir, pour fuir l'insécurité. « Je suis très nerveuse, car je ne sais pas ce qui nous attend, confie-t-elle. Justement, le mandat de Donald Trump va commencer et qui sait comment ça va se passer pour nous là-bas ? »Comme tous ceux qui veulent aller aux États-Unis, elle est inquiète des menaces du président des États-Unis qui a promis de lancer un plan d'expulsions massives.À écouter dans Grand reportageTrump, le retour: le Texas se prépare à l'expulsion massive de migrantsDe fausses informations renforcent l'inquiétude des personnes souhaitant migrerDans le centre-ville de Juarez, les migrants sont peu nombreux. L'endroit a mauvaise réputation et beaucoup de migrants craignent les enlèvements contre rançon. Mais assise à un kiosque, Emilie Diaz attend encore une chance de faire une demande d'asile - elle a essayé aussi à Tijuana, sans succès pour l'instant.Arrivée dans le nord depuis 20 jours, elle se plaint de douleurs, accentuées par le froid qui avoisine les zéro degré en ville. Cette Vénézuélienne emmène avec elle une amie et quatre enfants. Elle vend des bonbons dans la rue pour payer quotidiennement sa chambre d'hôtel. Emilie raconte être confuse par toutes les fausses informations. « Comme l'investiture est le 20, on nous a dit que le 19, ils vont ouvrir la porte. C'est une rumeur. » Elle hésite à essayer de passer. « Je préfère attendre le rendez-vous, mais si ça ne donne rien ?! Certains disent qu'ils se livrent aux autorités… Je ne sais pas quoi faire. »À écouter dans Grand reportageTrump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire

    Les Nuits de France Culture
    Conservatisme et ultradroite aux États-Unis : une longue histoire de 1776 au mouvement du Tea Party

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 60:26


    durée : 01:00:26 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Depuis la Révolution américaine de 1776, la droite conservatrice aux États-Unis oscille entre héritage révolutionnaire et opposition à l'État. L'historien André Kaspi nous en explique les racines et les mutations, jusqu'à l'émergence du mouvement Tea Party en 2009 sous Barack Obama. - réalisation : Massimo Bellini - invités : André Kaspi Historien, spécialiste des Etats-Unis

    Les Nuits de France Culture
    Le messianisme américain 3/5 : le temple et l'assemblée ou l'articulation des messianismes religieux et républicain

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 22:48


    durée : 00:22:48 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Entre divisions protestantes, réveil évangélique et sécularisation, la religion façonne profondément la société et la politique des États-Unis, comme on l'apprend dans cette troisième émission d'une série consacrée au messianisme américain. - réalisation : Massimo Bellini

    Les Nuits de France Culture
    Le messianisme américain 5/5 : l'utopie du melting-pot

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 22:17


    durée : 00:22:17 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Des origines du melting-pot à l'émergence du multiculturalisme, les États-Unis cherchent à concilier unité et diversité. Pour clore une série sur le messianisme, retour sur cette utopie américaine, entre assimilation harmonieuse et tensions identitaires. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Denis Lacorne Politiste, directeur de recherche au Centre de Recherches Internationales (CERI) de Sciences Po. Auteur notamment de Les Frontières de la tolérance, Gallimard, 2016.

    Les Nuits de France Culture
    Regards croisés sur une superpuissance américaine en mutation à l'aube du 21e siècle

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 151:38


    durée : 02:31:38 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - En novembre 2000, la superpuissance américaine est interrogée à l'aube d'une nouvelle ère. Experts français et américains débattent des défis politiques, économiques et militaires des États-Unis entre isolationnisme et expansionnisme. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Denis Lacorne Politiste, directeur de recherche au Centre de Recherches Internationales (CERI) de Sciences Po. Auteur notamment de Les Frontières de la tolérance, Gallimard, 2016.; Pierre Melandri Historien, professeur émérite des universités à Sciences Po; Hervé Coutau-Bégarie; Michel Aglietta Professeur émérite à l'université Paris-Ouest et conseiller scientifique au CEPII et à France Stratégie. Il a été membre de l'Institut universitaire de France et membre du Haut Conseil des finances publiques.; Antony Blinken Ancien secrétaire d'état adjoint des Etats-Unis pendant la présidence Obama; Stanley Hoffmann Professeur de sciences politiques à Harvard

    Les Nuits de France Culture
    Le messianisme américain 4/5 : la révolution conservatrice et la vertu en politique

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 23:17


    durée : 00:23:17 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Le néo-conservatisme américain s'appuie sur une vision morale et vertueuse de la politique, inspirée notamment par la pensée du philosophe Leo Strauss. Entre messianisme, religion et constitution, Strauss nourrit une réflexion sur les valeurs fondatrices des États-Unis et leurs limites. - réalisation : Massimo Bellini

    Revue de presse française
    À la Une: le retour de Donald Trump à la Maison Blanche

    Revue de presse française

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 5:18


    Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche inspire la presse française, prolixe, mais dans l'ensemble plutôt méfiante et critique vis-à-vis du nouveau président qui prêtera serment lundi 20 janvier. La Tribune Dimanche nous annonce une « rupture », un « nouveau désordre mondial », fait « d'autoritarisme, de nationalisme religieux, de souverainisme économique, et de populisme exacerbé ».  Alors que, précise le journal, « le Trump d'aujourd'hui est bien plus préparé qu'il y a huit ans, bien plus puissant aussi. Il a dans sa poche tout ce qui pourrait jouer le rôle de contre-pouvoir dans son pays : la Cour suprême, le Congrès, le monde des affaires. »Le Nouvel Obs n'est guère plus optimiste, et met en Une Donald Trump et Elon Musk, avec ce titre : « Le nouvel impérialisme », et ce sous-titre : « Le duo de milliardaires ouvre une nouvelle ère dangereuse des relations internationales, dans laquelle la Maison Blanche assume une volonté hégémonique décomplexée ».  « Le monde pénètre en terra incognita », annonce de son côté l'Express, « non seulement personne ou presque ne peut freiner Trump (…) mais de plus il s'est adjoint un vice-roi en la personne d'Elon Musk, qui lui aussi rêve de pulvériser les règles établies ».« Egos boursouflés »Le duo Donald Trump-Elon Musk, a l'avenir incertain. C'est du moins le point de vue du Nouvel Obs, qui se demande si « les egos boursouflés de Musk et Trump s'accorderont durablement. » Certains « riant sous cape », parlent du « président Elon Musk ». Ce qui n'inquiète pas Donald Trump outre mesure : « Je suis tranquille, dit-il. Vous savez pourquoi ? Il ne peut pas être président, il n'est pas né dans ce pays ». Manière de rappeler qu'Elon Musk a vu le jour en Afrique du Sud et qu'il ne sous-estime pas ses ambitions.Quant à la nouvelle administration Trump, « elle ressemble à un bric-à-brac d'idéologies contradictoires », poursuit le Nouvel Obs : « populistes et ploutocrates, conservateurs traditionnels, francs-tireurs de la nouvelle droite et transfuges démocrates, tenants du protectionnisme et représentants d'industries aux intérêts supranationaux ». « Ma raison d'espérer, explique le politologue Lee Drutman, c'est qu'ils soient submergés par les luttes intestines entre les grandes fortunes et la faction populiste ».Imprévisibilité trumpienneLa presse hebdomadaire s'attarde aussi sur les ambitions internationales de Donald Trump. L'Express, qui compare Donald Trump à un « dynamiteur », revient sur ce qu'il appelle « le feu d'artifice de provocations à l'égard de ses alliés ». « Lors d'une conférence de presse à Mar-a-Lago en Floride, le président élu a asséné qu'il n'excluait rien. Ni d'attaquer le Panama pour reprendre le contrôle du canal interocéanique cédé à ce pays fin 1999, ni de s'emparer du Groenland – partie intégrante du Danemark depuis deux siècles, ni de faire pression sur le Canada pour en faire le 51ème état américain. » « On croyait le 47ème président isolationniste », ajoute l'Express, « on le découvre impérialiste ». « Il croit obtenir davantage par l'agression que par la coopération. En cela, il ressemble à Vladimir Poutine ».Une perspective qui fait peur à l'Europe : « l'imprévisibilité trumpienne met les acteurs européens dans un état de stress qu'ils n'avaient pas connu depuis… le précédent mandat du républicain », remarque l'Express. Alors que pour le Nouvel Obs, « cette soudaine brutalité des relations internationales, vise particulièrement l'Europe, qui a le front de vouloir réguler les géants de la tech, et qui fait pièce à Poutine en soutenant l'Ukraine. » L'hebdomadaire lance en quelque sorte un appel : « il faut impérativement qu'après l'investiture de Trump, l'Union européenne se ressaisisse et accepte de s'affirmer comme la seule entité géopolitique à même de faire face à l'Amérique qui se dessine ».Vent de libertéCertains journaux français apportent toutefois leur soutien à Donald Trump. C'est le cas du Journal du Dimanche qui s'enthousiasme à l'idée de la trace que Donald Trump laissera dans l'histoire. « Jamais il n'aura été aussi près du but qu'il s'est fixé depuis ses premiers pas à la Maison Blanche : transmettre sa vision de l'Amérique, et sa façon de diriger en héritage. Faire avec le pays ce qu'il a fait avec le Parti républicain en réconciliant classes populaires et classes dirigeantes. » Le JDD salut particulièrement les projets de Donald Trump en matière d'immigration, alors qu'il bénéficie du soutien « de la plupart des exécutifs locaux, des forces de l'ordre et surtout de l'opinion publique, lassée par quatre ans d'incurie ». « Bonne chance aux droits de l'Homme ! », s'exclame, avec ironie, le JDD qui ajoute : « Sous Biden, 7,5 millions de migrants ont franchi la frontière sans documents. »Le Journal du Dimanche a aussi interrogé Sarah Knafo, eurodéputée d'extrême droite, qui avec son compagnon, l'ex-candidat à la présidentielle Éric Zemmour, est invitée à l'investiture de Donald Trump. « Comment interprète-t-elle cette invitation ? » lui demande le JDD. « Un vent de liberté souffle sur l'Occident, répond-elle, ce mouvement monte aux États-Unis, en Italie, en Grande-Bretagne. Je pense, sans prétention, que nous en sommes les représentants français ». Donald Trump a donc bien choisi ses invités.

    Decode Business - FrenchWeb
    Interdiction de TIKTOK : quel impact pour les marques et les créateurs ? Pierre Poignant CEO d'ESSOR répond

    Decode Business - FrenchWeb

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 26:07


    "L'interdiction de TikTok aux États-Unis est bien plus qu'une décision politique : c'est le reflet d'un affrontement géopolitique où la technologie devient le champ de bataille. D'un côté, Washington invoque la sécurité nationale pour bloquer une plateforme qui compte plus de 100 millions d'utilisateurs américains. De l'autre, Pékin dénonce un ‘deux poids, deux mesures' et voit dans cette décision la validation de son concept de cybersouveraineté.Mais au-delà des discours, cette interdiction pose des questions concrètes : quel impact sur les entreprises américaines qui dépendaient de TikTok comme canal marketing ? Comment ByteDance peut-elle réagir pour préserver sa position mondiale ? Et surtout, que signifie cette décision pour l'avenir d'un Internet de plus en plus fragmenté entre grandes puissances ?Pour répondre à ces questions et décrypter les enjeux économiques et stratégiques de cette affaire, nous accueillons aujourd'hui Pierre Poignant, CEO d'ESSOR. c'est maintent sur FRENCHWEB.FRBecome a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/frenchweb-business--3299227/support.

    Idées
    L'historien Ran Halévi : « Le chaos de la démocratie américaine »

    Idées

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 48:30


    À la veille de l'investiture de Donald Trump aux États-Unis, Pierre-Édouard Deldique invite dans son émission Idées, sous le thème de la démocratie américaine : Ran Halévi, historien, directeur de recherche au CNRS, professeur au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron, et directeur de collections aux éditions Gallimard. Il publie une nouvelle édition, en poche, de son essai publié en 2022 : « Le chaos de la démocratie américaine » suivi d'un nouveau texte « Une république éclatée » (Folio actuel).

    Reportage international
    Mexique: à Ciudad Juárez, ville frontalière, l'inquiétude à la veille de l'investiture de D. Trump

    Reportage international

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 2:47


    Donald Trump menace de fermer la frontière avec le Mexique à son arrivée à la Maison Blanche et Kristi Noem, la prochaine secrétaire à la Sécurité intérieure des États-Unis, a déjà annoncé devant le Sénat l'intention du gouvernement de supprimer l'application CBP One, lancée par l'administration Biden pour obtenir un rendez-vous pour faire une demande d'asile aux États-Unis. Dans la ville frontalière de Ciudad Juárez, en face d'El Paso, si la frontière n'est pas saturée de monde comme elle a pu l'être par le passé, les incertitudes et les craintes liées aux premières mesures de Donald Trump inquiètent les personnes souhaitant migrer. De notre envoyée spéciale à Ciudad Juárez,  Le pont international de Ciudad Juárez est l'un des principaux points d'entrée vers les États-Unis. Au milieu du pont, au côté des voitures, s'est formée une file de plus d'une centaine de personnes. Avec leurs bagages et leurs papiers à la main, ce sont des personnes migrantes qui ont obtenu un rendez-vous cet après-midi pour déposer une demande d'asile.Adriana Flores est Salvadorienne. Cette infirmière a tout quitté pour tenter sa chance du côté des États-Unis. Elle descend tout juste de l'avion depuis la capitale mexicaine où elle a attendu quatre mois avant de décrocher un rendez-vous. « J'ai mon passeport, la confirmation du rendez-vous et le mail qu'on m'a envoyé, explique-t-elle. J'ai été très heureuse, quand c'est arrivé. Car avec le nouveau président qu'il va y avoir, j'avais peur que le rendez-vous n'arrive jamais. Je doutais, mais grâce à dieu, j'arrive à temps. Aujourd'hui, je suis là. »À ses côtés, des Vénézuéliens, des Haïtiens, des Mexicains... Ils pourraient être parmi les derniers à passer aux États-Unis via la procédure de CBP One.À la moitié du pont, deux agents de l'immigration états-unienne vérifient les identités de ceux qui ont un rendez-vous avant de les laisser continuer d'avancer. Alicia Gonzalez, son mari et sa fille viennent de l'État du Michoacán, au Mexique. Cela fait un an qu'ils attendent de partir, pour fuir l'insécurité. « Je suis très nerveuse, car je ne sais pas ce qui nous attend, confie-t-elle. Justement, le mandat de Donald Trump va commencer et qui sait comment ça va se passer pour nous là-bas ? »Comme tous ceux qui veulent aller aux États-Unis, elle est inquiète des menaces du président des États-Unis qui a promis de lancer un plan d'expulsions massives.À écouter dans Grand reportageTrump, le retour: le Texas se prépare à l'expulsion massive de migrantsDe fausses informations renforcent l'inquiétude des personnes souhaitant migrerDans le centre-ville de Juarez, les migrants sont peu nombreux. L'endroit a mauvaise réputation et beaucoup de migrants craignent les enlèvements contre rançon. Mais assise à un kiosque, Emilie Diaz attend encore une chance de faire une demande d'asile - elle a essayé aussi à Tijuana, sans succès pour l'instant.Arrivée dans le nord depuis 20 jours, elle se plaint de douleurs, accentuées par le froid qui avoisine les zéro degré en ville. Cette Vénézuélienne emmène avec elle une amie et quatre enfants. Elle vend des bonbons dans la rue pour payer quotidiennement sa chambre d'hôtel. Emilie raconte être confuse par toutes les fausses informations. « Comme l'investiture est le 20, on nous a dit que le 19, ils vont ouvrir la porte. C'est une rumeur. » Elle hésite à essayer de passer. « Je préfère attendre le rendez-vous, mais si ça ne donne rien ?! Certains disent qu'ils se livrent aux autorités… Je ne sais pas quoi faire. »À écouter dans Grand reportageTrump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire

    Lignes de défense
    La présence de soldats Nord-coréens en Ukraine inquiète Séoul

    Lignes de défense

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 4:25


    Quelque 300 soldats nord-coréens ont été tués et plus de 2 000 blessés sur les milliers d'hommes déployés par Pyongyang en Russie, c'est le chiffre donné en début de semaine par un député sud-coréen. Ni Moscou, ni Pyongyang ne reconnaissent la présence de troupes nord-coréennes dans la région de Koursk. En revanche, l'Ukraine, les États-Unis et la Corée du Sud accusent le régime de Kim Jong Un d'avoir envoyé plus de 10 000 soldats pour aider les forces russes dans leur invasion. Et il y a quelques jours, Kiev a diffusé le 11 janvier les images de deux prisonniers, une preuve irréfutable de cette présence Nord-Coréenne. Le NIS, le renseignement Sud-Coréen, auditionné par le Parlement à Séoul a admis avoir participé à leur interrogatoire nous dit notre confrère Stéphane Lagarde, de passage en Corée : « Les médias ici effectivement ont repris ce qui est sorti du briefing à huis clos des parlementaires sud-coréens, donc l'agence de renseignement sud-coréenne a fait une conférence à l'Assemblée nationale concernant ces soldats nord-coréens arrêtés dans la région de Koursk. Des éléments ont fuité. L'agence de renseignement sud-coréenne aurait pointé tout d'abord une préparation au terrain, ce qui expliquerait ces pertes importantes de soldats Nord-Coréens qui n'ont pas l'habitude notamment des grandes plaines : ils étaient dans des zones découvertes visiblement. « Et puis un manque de préparation aussi à la guerre moderne avec les drones. On a vu beaucoup de ces vidéos de duels quasiment au corps à corps entre soldats nord-coréens et drones. Donc ils n'étaient pas préparés à cela. Et on a vu également passer ce dessin de soldats Nord-Coréens, montrant justement qu'ils auraient peut-être servi d'appâts, puisqu'on a retrouvé sur une dépouille d'un soldat nord-coréen un dessin montrant des soldats au sol, combattants ces drones. On a vu aussi les images, évidemment, dans la presse sud-coréenne des deux soldats prisonniers. L'un avec le visage bandé, l'autre avec une bande sur le menton. Ce sont des soldats dévoués au pouvoir nord-coréen. Il y a eu des mémos qui ont été retrouvés sur les dépouilles des soldats disant qu'ils avaient reçu pour ordre de se suicider plutôt que de se laisser capturer. Puis le média de fact.kr, pointe également ces images, d'un Nord-Coréen qui dégoupille une grenade et crie : "Vive le général Kim Jong-un !" Donc voilà des ordres de ne pas se laisser prendre »À lire aussiQue cherche l'Ukraine en diffusant des images des soldats nord-coréens combattant en Russie?L'implication de la Corée du Nord constitue une escalade majeure et inquiète vivement Séoul, relève encore Stéphane Lagarde : « Il y a d'abord la crainte d'une délocalisation d'un conflit européen ici en dans le nord-est asiatique. Et puis surtout de l'échange qu'il y a dû y avoir. Pyongyang est sorti de l'isolement post-Covid-19 avec cet accord avec la Russie, avec cet envoi de soldats nord-coréens en Ukraine, forcément, il y a un deal derrière. Et donc ici, on s'inquiète de ce qui a été donné par la Russie en matière technologique, en matière de renforcement de l'arsenal nord-coréen. Et puis on s'inquiète aussi sur le plan intérieur. « La Corée du Sud est en pleine crise politique suite à la loi martiale qui avait été décrétée par le président Yoon Suk-yeol, qui aujourd'hui est en procédure de destitution. Ce président avait dégainé la loi martiale en raison soi-disant de menaces nord-coréennes. Et donc des démocrates ici demandent à ce que les agents des renseignements sud-coréens ayant participé aux interrogatoires des soldats nord-coréens aux côtés des forces ukrainiennes rentrent au pays. Cela ainsi que les conseillers militaires sud-coréens pour éviter d'alimenter tout conflit. »Contreparties dans la balance ?Qu'a bien pu promettre Moscou pour inciter Pyongyang à s'engager dans une aventure militaire sur le sol européen   Beaucoup de capacitaire et une bonne dose de diplomatie, estime le chercheur en relations internationales Cyrille Bret : « Des contreparties diplomatiques, avec un soutien du veto russe au Conseil de sécurité des Nations unies et sur d'éventuelles négociations nucléaires avec l'administration Trump 2. Évidemment, des contreparties capacitaires, avec le transfert d'équipements de défense anti-aérienne russe. Une mutualisation des retours d'expérience d'aguerrissement sur le théâtre européen, et puis probablement également des échanges d'informations grâce à la couverture satellitaire que la Russie opère sur la plupart des champs connexes à son territoire national. »Un « deal », pointe Cyrille Bret, qui signe la renaissance d'une très vielle alliance née lors de la guerre de Corée : « L'alliance Russie-Corée du Nord, conçue comme une façon d'équilibrer l'expansion de la puissance chinoise en Eurasie. Ceka dit la crainte des Coréens du Nord de trop dépendre de la République populaire de Chine. Puis cela dit la crainte des stratèges russes d'être vassalisés ou relégués comme brillants seconds de la République populaire de Chine. » Pyongyang, lié à Moscou par un pacte de défense mutuel ratifié en novembre, apparaît donc comme un troisième acteur du conflit ukrainien, à même de déstabiliser les équilibres jusqu'en Asie.À lire aussiL'axe Moscou-Pyongyang: un message à l'Occident, mais aussi à la Chine – par Cyrille Bret

    Reportage international
    Groenland: Trump, l'allié improbable des indépendantistes

    Reportage international

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 2:26


    Les élus et une majorité de Groenlandais voient dans les velléités du président américain élu, Donald Trump, l'opportunité de se libérer de la tutelle danoise. L'indépendance du territoire stratégique est au cœur des débats.  De notre correspondante à Nuuk,Le Groenland américain ? Pas grand monde à Nuuk, la capitale, pense que Donald Trump mettra à exécution ses plans d'annexion de l'île arctique. Tida, 60 ans, n'y croit pas du tout : « Les gens ici n'en ont rien à foutre. On ne peut pas être acheté. On sait de génération en génération à quel point les peuples autochtones sont maltraités aux États-Unis ». « Nous ne sommes pas des objets, mais des êtres humains. Ça nous fait beaucoup rire. Mais nous ne voulons pas être doublement colonisé. Nous voulons être nous-mêmes et je pense que le temps est venu », rajoute Kira, étudiante de 25 ans.Et c'est ainsi que Trump est devenu l'allié improbable des indépendantistes groenlandais. Son intérêt pour la plus grande île du monde a ravivé et attisé les espoirs de nombreux Groenlandais. C'est le cas de Qarsoq, youtubeuse et ingénieure, qui grimpe rapidement dans sa voiture pour aller se réchauffer dans un café. « Il y a deux jours, j'ai annoncé me présenter aux élections. Je viens de rejoindre le parti indépendantiste et je vais me battre pour l'indépendance du Groenland, affirme-t-elle. Le fait que Trump s'intéresse au Groenland, ça a provoqué un immense déclic. Les Groenlandais commencent vraiment à réaliser qu'ils ont beaucoup plus de valeur que ce qu'ils pensaient. Beaucoup se disent : "Wow, ok, peut-être qu'on peut faire plus que ce qu'on pensait". Je vois tout ça d'un œil très positif ». À écouter aussiGroenland: les déclarations de Trump créent la stupeur, le Danemark se dit «ouvert au dialogue»« Beaucoup de personnes ont été mentalement colonisées »Svend Hardenberg, appareil photo argentique autour du cou, prend quelques clichés des passants. Il est une figure locale très populaire. Il a été chef de cabinet sous l'ancienne Première ministre du Groenland, il est aujourd'hui homme d'affaires et un acteur connu. Pour lui, les Groenlandais ont toujours voulu leur indépendance, mais pour y arriver, le peuple doit encore briser des barrières psychologiques. « Beaucoup de personnes ont été mentalement colonisées à travers le temps et c'est très difficile de se libérer ces schémas de pensée. C'est tout un processus ».Pourquoi acheter un territoire déjà totalement acquis à la cause américaine ? Ça n'a pas de sens pour Pele Broberg, leader de Naleraq, le parti de l'opposition et indépendantiste. « S'il veut plus de forces armées au Groenland, je l'y invite. S'il veut plus de sécurité autour de l'Arctique, on veut la même chose, souligne-t-il. Le Groenland a été annexé en 1953 par le Danemark qui est comme un mari violent pour un enfant qui essaie de sortir de cette relation. Et d'un coup, il y a ce grand type avec de grands enjeux qui débarque et qui dit "Hé, laissez cet enfant partir". Lui, c'est Trump pour l'État danois ».Ça ne fait aucun doute. L'enjeu majeur des élections générales le 6 avril prochain sera l'indépendance de la plus grande île du monde.À lire aussiDonald Trump veut-il sérieusement rattacher le Groenland aux États-Unis?

    Chad Damord FM
    Chad Damord FM - 18 janvier 2025

    Chad Damord FM

    Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 183:55


    Nous recevons la talentueuse artiste, Gaya. Malgré son talent, elle a été victime de violence de conjugale durant plusieurs années. Elle a toute une histoire. Nous en discutons avec elle. On reçoit la journaliste, Françoise Essangui, nous aborderons avec elle l'impact de la présidence du Président Trump sur le Canada et les répercussions de la démission de Justin Trudeau sur la représentation du Canada face aux États-Unis.

    Affaires étrangères
    Trump 2 : l'équipe présidentielle

    Affaires étrangères

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 59:12


    durée : 00:59:12 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Alors que Donald Trump fait son grand retour à la Maison Blanche, quelles sont les personnalités qui composent sa nouvelle administration ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Romain Huret Historien des États-Unis, président de l'EHESS; Martin Quencez Directeur du bureau de Paris du German Marshall Fund et spécialiste de la politique étrangère américaine.; Olivier Alexandre Sociologue, chargé de recherche au CNRS (Centre Internet et Société); Lauric Henneton Maître de conférences à l'université de Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines

    Aujourd'hui l'histoire
    Les tentatives d'annexion du Canada aux États-Unis dans l'histoire

    Aujourd'hui l'histoire

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 23:14


    L'idée d'annexer le Canada aux États-Unis, évoquée avec insistance par Donald Trump, est farfelue en apparence, mais elle a de profondes racines historiques. L'historien et journaliste Dave Noël raconte comment, dès la naissance de la République américaine, des tentatives d'annexion du Canada ont eu lieu.

    Grand reportage
    «Le supplément du samedi» du 18 janvier 2025

    Grand reportage

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 48:30


    Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end est entièrement consacré au retour de Donald Trump à la Maison Blanche et à son programme d'expulsion massive de migrants illégaux qui ont, pour la plupart, refait leur vie et risquent de tout perdre. Le président élu prend ses fonctions le 20 janvier 2025. Va-t-il aussitôt mettre à exécution ce projet jugé «inhumain», selon les ONG gouvernementales ?  Trump, le retour: le Texas se prépare à l'expulsion massive de migrantsÀ l'approche de la prise de fonction de Donald Trump, le 20 janvier 2025, les quelque 11 millions de migrants illégaux présents dans le pays retiennent leur souffle. Car le président élu a promis de lancer dès son premier jour à la Maison Blanche un programme d'expulsion massive. Le Texas s'y prépare déjà : les autorités commencent à mettre en place des infrastructures pour les expulsions. Les Organisations non gouvernementales, elles, promettent la résistance à ce projet jugé inhumain. Sans parler des migrants concernés qui craignent d'être obligés de quitter un pays où ils ont fondé des familles et refait leur vie.Un Grand reportage d'Achim Lippold qui s'entretient avec Jacques Allix.   Trump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoireIl est surnommé par les migrants «la Bestia», la bête. Tellement il est difficile et dangereux de monter à son bord. La Bestia, c'est un train de marchandises qui parcourt 2 500 kilomètres presque du nord au sud du Mexique. Les migrants l'empruntent pour traverser le pays et atteindre la fameuse frontière avec les États-Unis. À quelques jours de l'investiture de Donald Trump, pour un second mandat à la Maison Blanche, ses véhémentes promesses d'une réduction drastique de l'immigration et d'une expulsion massive des immigrés clandestins aiguise la crise migratoire de l'autre coté de la frontière.Et bien sûr du côté des migrants, c'est : incertitude et angoisse. À tel point que beaucoup sont prêts à prendre tous les risques pour poursuivre coûte que coûte le rêve américain : même à sauter dans ce terrible train.Un Grand reportage de Gwendolina Duval qui s'entretient avec Jacques Allix.

    Les informés de France Info
    Trêve à Gaza, fin de TikTok aux États-Unis, Marche du peuple à Washington... Les informés de franceinfo du samedi 18 janvier 2025

    Les informés de France Info

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 54:44


    durée : 00:54:44 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet

    Géopolitique, le débat
    Trump à la Maison Blanche : incertitudes et ondes de choc à travers le monde

    Géopolitique, le débat

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 50:00


    Coup d'envoi lundi prochain (20 janvier 2025) du second mandat de Donald Trump. Le 47è président des États-Unis prendra les rênes d'une économie qui se porte plutôt bien, comparativement à la zone euro, la crise énergétique avec l'augmentation des prix du gaz ayant plutôt épargné les États-Unis. À une semaine de son départ, lundi 13 janvier au Département d'État, Joe Biden prononçait un discours dressant un bilan de son action dans le monde et se couvrant de félicitations. Il a dit laisser à la nouvelle administration des « cartes très fortes à jouer » alors que le retour de Donald Trump est un échec personnel pour Joe Biden. L'accord qui vient d'intervenir entre Israël et le Hamas sur un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages est certainement l'une de ces cartes. Il avait été proposé par Joe Biden, il y a huit mois. La pression mise par Donald Trump depuis son élection et l'affaiblissement du Hamas auront fait le reste. Donald Trump va-t-il renforcer le leadership américain ? Quelle issue au conflit en Ukraine ? Doit-on s'attendre à la confrontation du siècle entre la Chine et les États-Unis ?  Qu'est-ce qui s'impose à l'Europe avec l'arrivée de Donald Trump ?Invités : Célia Belin, directrice du Bureau parisien de l'ECFR, European Council on Foreign Relations. Experte des questions américaines et transatlantiques et auteure de « Des démocrates en Amérique », éd. Fayard Laurence Nardon, responsable du programmes Amériques à l'IFRI. « Géopolitique de la puissance américaine », PUF en 2024. Podcast hebdomadaire sur la politique américaine « New Deal » Stephen Dreyfuss, avocat américain, ancien procureur à NY, ancien président de la Chambre de commerce franco-américaine à NY et ancien président de l'Union Internationale des Avocats Axel Krause, ancien rédacteur en chef de l'International Herald Tribune à Paris et ancien correspondant de Business Week à Paris, Moscou et Washington.

    Home(icides)
    [LA RECO TRUE CRIME] El Chapo, le trafiquant de drogue le plus dangereux de l'histoire

    Home(icides)

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 75:39


    Chaque dimanche, dans Home(icides), Bababam vous fait découvrir son autre podcast de faits-divers, en version intégrale : La Traque. Dans La Traque, entrez dans les bureaux où se mènent des enquêtes hors normes, ou encore dans les cellules de prison où se préparent les plus grandes évasions… De Rédoine Faïd, au roi de l'évasion Steven Jay Russell, en passant par le célèbre Mesrine… Revivez des duels fascinants entre flics et voyous, des courses-poursuites et des arrestations spectaculaires. Si vous aimez La Traque, abonnez-vous au podcast sur toutes les plateformes d'écoute pour ne manquer aucun épisode ! Dans cette saison de La Traque, découvrez le récit de l'un des trafiquants de drogues les plus dangereux de l'histoire, celui de Joaquín Guzmán alias El Chapo. Connu pour ses nombreux crimes de sang, sa participation à l'émancipation de la cocaïne aux États-Unis, et son caractère froid et calculateur, El Chapo a réellement marqué notre temps et laissé une trace indélébile sur le trafic de drogue international… Alors revivons ensemble son invraisemblable traque.  Production : Bababam  Textes : Pierre Serisier Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage : Jean Gabriel Rassat Date de première diffusion : 20 septembre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

    Livre international
    «D'ici 2 ans, les États-Unis ressembleront plus à la Hongrie d'Orban qu'à l'Amérique de Kennedy»

    Livre international

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 12:57


    Lundi prochain, 20 janvier 2025, il retrouvera le bureau ovale de la Maison Blanche... Donald Trump, 47ᵉ président des États-Unis, de nouveau aux affaires, et à la tête d'une Amérique en « décomposition », selon Romuald Sciora, directeur de l'Observatoire politique et géostratégique des États-Unis de l'Iris. Le chercheur, qui vit aux États-Unis, signe L'Amérique éclatée, plongée au cœur d'une nation en déliquescence, sorti le 15 janvier 2025 aux éditions Armand Colin. Portrait d'une Amérique au bord de l'implosion.  À écouter dans DécryptageTrump peut-il réparer une Amérique dangereusement fracturée ?

    Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
    « Couleur menthe à l'eau » d'Eddy Mitchell

    Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

    Play Episode Listen Later Jan 18, 2025 6:30


    Embarquez pour un voyage musical captivant au cœur des années 80 avec l'épisode de 'La Note Secrète' consacré à la chanson 'Couleur Mentalo' d'Eddie Mitchell. Découvrez les coulisses fascinantes de la création de ce hit emblématique qui a marqué une génération.Remontez le temps jusqu'en janvier 1981, lorsque 'Couleur Mentalo' trônait en tête des ventes de disques. Derrière cette mélodie entraînante se cache une histoire riche en rebondissements. Animé par son enthousiasme contagieux, votre guide Fabrice Lafitte vous plonge dans les coulisses de la naissance de ce titre phare.Découvrez comment le texte d'Eddie Mitchell et la mélodie signée Pierre 'Papa' Diamandis se sont rencontrés pour donner vie à cette chanson. Apprenez les péripéties qui ont failli empêcher sa sortie, lorsque le directeur artistique a remis en question le sujet de la chanson. Mais grâce à la ténacité d'Eddie Mitchell, 'Couleur Mentalo' a finalement vu le jour et connu un succès retentissant.Plongez au cœur de l'enregistrement de ce titre dans les légendaires studios Muscle Shoals aux États-Unis. Laissez-vous captiver par les détails inédits sur la mystérieuse jeune figurante qui a inspiré les paroles d'Eddie Mitchell.

    French Podcast
    News in Slow French #725- Study French while Listening to the News

    French Podcast

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 7:46


    Comme toujours, nous commencerons notre émission en discutant de l'actualité. Tout d'abord, nous commenterons les menaces de Trump de prendre le contrôle du Groenland et du canal de Panama et même de faire du Canada le 51ème État des États-Unis. Ensuite, nous parlerons du déferlement de mensonges et de fausses informations entourant les évènements tragiques qui ont lieu en ce moment à Los Angeles. La partie scientifique de l'émission sera consacrée à un rapport indiquant que les températures mondiales ont atteint en 2024 les niveaux les plus élevés jamais enregistrés, dépassant de plus de 1,5 °C les moyennes préindustrielles. Enfin, nous verrons si les sapins de Noël peuvent être consommés sans danger.    Le premier dialogue sera rempli d'exemples illustrant la leçon d'aujourd'hui : The Interrogative Form: the Inversion. Et le deuxième dialogue montrera comment utiliser l'expression française « faire bon ménage ». - Les dirigeants du monde entier réagissent après les menaces de Trump de s'emparer du Groenland et du canal de Panama - La couverture médiatique des incendies en Californie est marquée par les mensonges, les fausses informations et les récupérations politiques - L'augmentation constante de la température mondiale a dépassé le seuil de 1,5 °C - Les sapins de Noël sont-ils comestibles ? - La France commémore les attentats de janvier 2015 - Une épidémie de grippe d'une intensité exceptionnelle touche la France

    Géopolitique
    Avec Elon Musk dans son viseur, Joe Biden dénonce l'émergence d'une « oligarchie » aux États-Unis

    Géopolitique

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 3:16


    durée : 00:03:16 - Géopolitique - Dans son dernier message à la nation, à quelques jours de son départ, Joe Biden met en garde contre l'émergence d'un « complexe techno-industriel » qui menace la démocratie ; une charge contre les barons de la Tech comme Elon Musk ou Mark Zuckerberg qui ont fait allégeance à Donald Trump.

    Cultures monde
    Table-ronde : les États-Unis dans le monde, Biden à l'heure du bilan

    Cultures monde

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 35:45


    durée : 00:35:45 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - À l'approche de son départ de la Maison Blanche, Joe Biden défendait lundi au département d'État le bilan de son action en matière de politique étrangère. Un mandat marqué à l'international par les guerres en Ukraine et au Proche-Orient. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Steven Ekovich Professeur émérite de politique et d'histoire à l'université américaine de Paris ; Maud Quessard Directrice du domaine Europe, Espace transatlantique, Russie de l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM). ; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde

    Cultures monde
    Retour du Soudan // Les États-Unis dans le monde : Biden à l'heure du bilan

    Cultures monde

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 58:07


    durée : 00:58:07 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Célian Macé, qui revient du Soudan ; suivi d'une table-ronde sur le bilan de la politique étrangère menée par les États-Unis sous Joe Biden. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Célian Macé Journaliste à Libération; Steven Ekovich Professeur émérite de politique et d'histoire à l'université américaine de Paris ; Maud Quessard Directrice du domaine Europe, Espace transatlantique, Russie de l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM).

    Entendez-vous l'éco ?
    La guerre commerciale de Trump passera-t-elle par le dollar ?

    Entendez-vous l'éco ?

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 58:59


    durée : 00:58:59 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - À quelques jours de l'investiture de Donald Trump, tous les regards se portent sur la force actuelle du dollar. La forte appréciation récente de la monnaie américaine en fait-elle un atout pour sa politique ou un handicap ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Benjamin Bürbaumer Économiste et auteur de Chine/États-Unis, le capitalisme contre la mondialisation (Ed. La Découverte, 2024); Jean-François Ponsot Professeur de sciences économiques à l'Université Grenoble-Alpes, chercheur au laboratoire PACTE; Antoine Berthou Economiste à la Banque de France, spécialiste des questions relatives à l'économie internationale

    Entendez-vous l'éco ?
    États-Unis : les milliardaires au pouvoir pour le retour de Donald Trump à la Maison Blanche

    Entendez-vous l'éco ?

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 5:55


    durée : 00:05:55 - Le Journal de l'éco - par : Laura Dulieu - Donald Trump reprend ses fonctions lundi prochain. Le 47e Président a été réélu grâce à des promesses populistes, notamment faites aux électeurs de la classe ouvrière mais il est en train de constituer ce qui sera le gouvernement le plus riche de l'histoire des États-Unis.

    Reportage International
    Los Angeles, une ville-sanctuaire pour éviter les expulsions massives de migrants

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:43


    Le 20 janvier, Donald Trump sera de retour à la Maison Blanche, et sa promesse de lancer dès le premier jour de son mandat une vaste opération d'expulsions de « sans-papiers » pourrait toucher des millions de personnes. La Californie et Los Angeles, la plus grande ville de l'État, ont déjà prévenu qu'elle n'assisterait pas le nouveau président américain dans sa tâche et qu'elles feraient de leur mieux pour protéger les quelque 1,8 million de « sans-papiers » qui vivent dans le Golden State. De notre correspondant à Los Angeles,Maria garde un œil sur son adorable petit-fils de 2 ans, elle fait partie des « abuelitas », ces grand-mères, « sans-papiers » et « sans histoire », loin du stéréotype du « dangereux migrant » véhiculé par certains politiques. Et quand Donald Trump parle d'expulsions de masse, il ne cible pas que les criminels endurcis. « Je n'ai jamais eu de problèmes avec la loi, affirme Maria. J'ai toujours essayé de bien me comporter justement pour les éviter. »Arrivée il y a 31 ans du Chili avec un visa touriste, Maria attend sa régularisation. La procédure est bien enclenchée, mais la fermeté affichée par Trump sur l'immigration pourrait tout changer. Il n'exclut pas d'expulser des familles entières. « Il dit tellement de choses qu'on ne sait plus que croire. Il dit que oui, il va expulser tout le monde, puis non. Donc, on vit dans l'incertitude. Qu'est-ce qu'il va se passer ?, s'inquiète Maria. Est-ce qu'il va faire tout ce qu'il annonce ? Est-ce qu'il aura le pouvoir de faire tout ce qu'il annonce ? On vit tous avec ces doutes. »La fille de Maria, Jennifer, est une « Dreamer », une protection spéciale créée par l'administration Obama pour les « sans-papiers » entrés enfants aux États-Unis. Un statut lui aussi incertain. « Il n'y a rien de nouveau avec ce statut. On le renouvelle encore et encore, mais on ne sait pas jusqu'à quand on pourra le faire, explique Jennifer. Trump veut apparemment s'en débarrasser, mais ce serait pour nous trouver une solution permanente. On n'a pas vraiment plus de détails, donc on attend de voir ce qui va se décider. »À lire aussiÉtats-Unis: la Cour suprême valide le statut de 700 000 «dreamers»La Californie, un bastion de la résistance anti-TrumpDans leur situation, la chance de Maria et Jennifer, c'est qu'elles vivent en Californie, un bastion de la résistance anti-Trump. Mi-décembre, des centaines de personnes ont défilé dans le centre de Los Angeles avec des pancartes clamant, en espagnol : « Les immigrés sont bienvenus ». Le Conseil municipal a formalisé le statut de ville-sanctuaire de Los Angeles.« On ne peut pas ignorer les menaces de Trump. Elles ont pour but de faire peur. Ce qu'une ville-sanctuaire veut dire, c'est que Los Angeles ne mettra pas d'argent, de personnel ou de ressources à disposition des agents fédéraux pour mener leurs expulsions, indique Jorge-Mario Cabrera, qui travaille avec Chirla, une association d'aide aux migrants. C'est très simple, mais ça aidera à éviter, ou en tout cas aidera à ralentir, le travail de ces agents à Los Angeles. »Roxanne Hoge, porte-parole du Parti républicain de Los Angeles, dénonce de vaines gesticulations : « L'immigration relève de la compétence du gouvernement, pas d'un Conseil municipal. Est-ce qu'on vit dans un État de droit ou pas ?, interroge-t-elle. C'est très décevant de voir des élus censés défendre la loi faire exactement le contraire. Ils préfèrent qu'on parle d'eux pour montrer qu'ils s'opposent à Donald Trump. »En 2024, l'administration Biden a expulsé 270 000 personnes. Donald Trump vise cinq fois plus chaque année.À écouter dans Grand reportageTrump, le retour : au Mexique sur les rails de la crise migratoire

    Le débat africain
    Loi d'amnistie au Sénégal et méthode Trump… L'actualité vue par les éditorialistes africains

    Le débat africain

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 38:59


    Au sommaire : Selon un rapport publié, ce 16 janvier 2025, par l'Université de Stanford et le Centre de réflexions Africa Jom Center, la loi d'amnistie votée en mars 2024 au Sénégal viole le droit international. Cette loi annulait les poursuites pour les actes criminels liés à des manifestations politiques commis entre 2021 et 2024. Les regards se tournent vers les nouvelles autorités qui ont promis un projet de loi rapportant la loi d'amnistie. Aux États-Unis, Donald Trump deviendra officiellement le 47ème président le 20 janvier 2025. Cessez-le-feu à Gaza, ralliement des milliardaires de la Tech… Que peut-on dire de la « méthode Trump » ?Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : - Cécile Goudou, secrétaire de rédaction à la Société de radio et de télévision du Bénin- Hamidou Anne, éditorialiste au sein du journal « Le Quotidien »- Nouhou Baldé, fondateur et administrateur du site Guinéematin.

    La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
    Le Brésil, la Turquie et le Maroc font la Une de la presse internationale

    La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:57


    La revue de presse internationale aborde trois sujets majeurs. Au Brésil, l'ex-président Jair Bolsonaro se voit interdire par la Cour suprême de se rendre aux États-Unis pour l'investiture de Donald Trump, craignant une fuite pour échapper à la justice dans le cadre d'une enquête sur un coup d'État présumé. Au Maroc, le pays devient la première destination touristique africaine en 2024, avec 17,4 millions de visiteurs en 2023, dépassant l'Égypte, notamment grâce à l'affluence record à Marrakech. En Turquie, l'immobilier connaît une flambée des prix, certaines maisons voyant leur valeur augmenter de 1146% en 5 ans, en raison de l'inflation, de la chute de la livre turque et des coûts de construction post-Covid, aggravés par les séismes de 2023. La stabilisation des prix reste incertaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

    7 milliards de voisins
    L'avortement dans le monde, quelles législations ?

    7 milliards de voisins

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 48:30


    Le 17 janvier 1975, la loi de la ministre de la Santé Simone Veil, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, dépénalisant l'avortement en France, était promulguée. Une étape majeure pour les droits des femmes. 50 ans après, la liberté de recourir à l'interruption volontaire de grossesse est désormais inscrite dans la Constitution française, une première mondiale. Autour du monde aussi, de nombreux pays ont modifié leur législation pour faciliter l'accès à l'avortement et les États qui maintiennent son interdiction sont minoritaires. Pour autant, ce droit ne cesse d'être remis en cause. L'abrogation, en juin 2022, de l'arrêt Roe vs Wade, qui garantissait le droit à l'avortement aux États-Unis au niveau fédéral, a suscité une onde de choc au niveau mondial. La décision américaine rappelle que les droits acquis par les femmes sont bien réversibles et que les obstacles demeurent. Comment expliquer ce recul ?  Émission à l'occasion des 50 ans de la Loi Veil, qui a dépénalisé l'avortement en France. Avec : • Lucie Daniel, responsable de plaidoyer et d'études pour l'ONG de défense des droits des femmes Equipop  et co-autrice du rapport Droits des femmes : combattre le “backlash” publié en 2023• Amandine Clavaud, co-directrice des études de la Fondation Jean-Jaurès, directrice de l'Observatoire de l'égalité femmes-hommes à la Fondation Jean-Jaurès. Co-autrice du rapport Droits des femmes : combattre le “backlash” publié en 2023 et autrice de l'essai Droits des femmes : le grand recul (Éditions de l'Aube, 2023).Un entretien avec Loubna Anaki, correspondante de RFI à New York.  En fin d'émission, la chronique Écouter le monde avec Monica Fantini.Dans sa maison faite de sons, Monica Fantini nous donne à entendre tous les sons du monde : ceux qui nous enveloppent, qui frappent, grouillent, hurlent, grincent, murmurent, caressent, parlent et crient ! Aujourd'hui, elle nous invite à tendre l'oreille aux sons et aux sens du mot « cri », en deux langues : le français et en japonais, avec l'écrivaine et traductrice Ryoko Sekiguchi. Du cri des vendeurs ambulants dans les rues de Paris d'antan et de Tokyo, au cri du cœur, petite exploration intime des sons et des sens du mot.  Programmation musicale :► Chair – Barbara Pravi ► Vocalize My Luv - Florence Adooni.

    InterNational
    Avec Elon Musk dans son viseur, Joe Biden dénonce l'émergence d'une « oligarchie » aux États-Unis

    InterNational

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 3:16


    durée : 00:03:16 - Géopolitique - Dans son dernier message à la nation, à quelques jours de son départ, Joe Biden met en garde contre l'émergence d'un « complexe techno-industriel » qui menace la démocratie ; une charge contre les barons de la Tech comme Elon Musk ou Mark Zuckerberg qui ont fait allégeance à Donald Trump.

    Le magazine de la rédaction
    Immigration : la méthode du nouveau président américain Donald Trump

    Le magazine de la rédaction

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 58:11


    durée : 00:58:11 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Pour son retour à la Maison Blanche, Donald Trump veut stopper le flux migratoire vers les États-Unis. Le président républicain dit vouloir expulser 11 millions d'immigrés "illégaux" et envisage de s'attaquer à certaines voies légales. Un projet radical et risqué pour l'économie américaine. - réalisation : Annie Brault - invités : Olivier Richomme Professeur de civilisation américaine à l'université Lyon 2 - Lumière, membre du laboratoire Triangle, spécialiste du droit électoral

    L'info en intégrale - Europe 1
    L'arrrivée de Donald Trump, l'hommage à David Lynch et le spleen de l'impuissance d'Emmanuel Macron

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 4:30


    Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'arrivée aux affaires de Donald Trump aux États-Unis, l'hommage à David Lynch et le spleen de l'impuissance d'Emmanuel Macron.

    L'info en intégrale - Europe 1
    Le journal de 7h du 17/01/2025

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 8:08


    Dans cette édition :Le gouvernement israélien retarde la mise en œuvre de l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas, repoussant ainsi la libération de 33 otages israéliens détenus depuis 15 mois à Gaza.Aux États-Unis, l'investiture de Donald Trump lundi est présentée comme la victoire du rejet du wokisme, un courant de pensée ultra-progressiste, par les électeurs américains.En France, la motion de censure déposée par la France Insoumise contre le gouvernement est rejetée, malgré les critiques de l'opposition sur la légitimité du gouvernement.Au Royaume-Uni, des enquêtes sont ouvertes sur des viols et agressions sexuelles commis par des gangs d'origine pakistanaise sur des mineurs, des crimes qui auraient été étouffés par le passé.Un influenceur algérien a été interpellé et incarcéré pour avoir menacé de commettre des actions violentes en France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

    L'info en intégrale - Europe 1
    Le Brésil, la Turquie et le Maroc font la Une de la presse internationale

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:57


    La revue de presse internationale aborde trois sujets majeurs. Au Brésil, l'ex-président Jair Bolsonaro se voit interdire par la Cour suprême de se rendre aux États-Unis pour l'investiture de Donald Trump, craignant une fuite pour échapper à la justice dans le cadre d'une enquête sur un coup d'État présumé. Au Maroc, le pays devient la première destination touristique africaine en 2024, avec 17,4 millions de visiteurs en 2023, dépassant l'Égypte, notamment grâce à l'affluence record à Marrakech. En Turquie, l'immobilier connaît une flambée des prix, certaines maisons voyant leur valeur augmenter de 1146% en 5 ans, en raison de l'inflation, de la chute de la livre turque et des coûts de construction post-Covid, aggravés par les séismes de 2023. La stabilisation des prix reste incertaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.