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durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - Les représentants des filières économiques françaises se réunissent à Bercy ce mercredi pour évoquer les conséquences de l'accord entre l'Europe et les Etats-Unis ainsi que la suite des négociations.
C dans l'air du 30 juillet 2025 : J-9 : l'ultimatum de Trump à PoutineDonald Trump durcit le ton face à Vladimir Poutine. Le président américain a décidé de raccourcir le délai de son ultimatum : lundi, il a donné "10 à 12 jours" à son homologue russe pour mettre fin à la guerre en Ukraine, faute de quoi de lourdes sanctions seront imposées. Le 14 juillet, il lui avait pourtant accordé un délai de 50 jours. Deux semaines plus tard, le Républicain estime qu'"il n'y a aucune raison d'attendre", déplorant l'absence de "progrès".Mardi, Donald Trump a confirmé n'avoir reçu aucune réponse de la part de Vladimir Poutine. "Je n'ai aucune réponse. C'est dommage", a-t-il déclaré. Et de poursuivre : "Nous allons imposer des droits de douane et d'autres choses". Avant d'ajouter : "Je ne sais pas si cela affectera la Russie, car de toute évidence, il [Vladimir Poutine] veut que la guerre continue".Du côté du Kremlin, le porte-parole Dmitri Peskov a regretté un "ralentissement" dans le processus de normalisation entre Moscou et Washington. Il a assuré son "engagement en faveur d'un processus de paix" en Ukraine.Cet ultimatum n'est pas une première de la part de la Maison-Blanche. Aucun, jusqu'à présent, n'a véritablement infléchi la position de Moscou. Donald Trump commence-t-il à perdre patience ? Que signifie ce changement de calendrier ? Quelles sanctions les États-Unis pourraient-ils mettre en œuvre ? Et où en est réellement la situation sur le terrain ukrainien ?Alors que la Russie intensifie ses frappes, le président américain a annoncé dimanche l'envoi imminent de systèmes de défense antiaérienne Patriot à l'Ukraine. Cette annonce survient deux semaines après que Washington a suspendu certaines livraisons d'armes. De son côté, Kiev a signé un accord avec Swift Beat – la nouvelle entreprise d'Éric Schmidt, ex-PDG de Google – pour la livraison de « centaines de milliers » de drones intercepteurs kamikazes d'ici la fin de l'année. Ces engins sont destinés à contrer les drones iraniens Shahed, massivement utilisés par la Russie.Face à une grave pénurie de soldats, Volodymyr Zelensky a également promulgué une loi autorisant le recrutement de volontaires de plus de 60 ans dans l'armée. Ces personnes, à condition d'être médicalement aptes et approuvées par les autorités militaires, pourront servir dans des fonctions non combattantes.Par ailleurs, le président ukrainien a annoncé le dépôt imminent d'un projet de loi garantissant l'indépendance des agences anti-corruption et une "véritable protection" contre l'ingérence russe. Une initiative qui fait suite aux critiques venues de la rue et de l'Union européenne. Quelques jours plus tôt, une loi controversée supprimant l'indépendance de deux agences anti-corruption, officiellement pour les protéger de l'influence de Moscou après l'arrestation de deux hauts responsables, avait déclenché d'importantes manifestations à Kiev. L'UE avait exprimé sa "profonde préoccupation", y voyant un "sérieux recul" pour l'Ukraine dans sa lutte contre la corruption.Nos journalistes ont récemment pu suivre le travail des enquêteurs de ces agences anti-corruption. Leur reportage est à retrouver dans notre émission du jour. Nous reviendrons également, dans #cdanslair, sur les enjeux de l'initiative franco-saoudienne à l'ONU, ainsi que sur la situation à Gaza et en Cisjordanie.LES EXPERTS : - NICOLAS TENZER - Enseignant à Sciences Po, spécialiste des questions stratégiques- MARIE JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- BERTRAND GALLICHER- Journaliste, spécialiste des questions internationales- JEAN-MAURICE RIPERT - Diplomate, ancien ambassadeur de France en Russie
C dans l'air l'invité du 29 juillet avec Gilles Kepel, professeur émérite des universités, spécialiste du Moyen-Orient. Alors que la France et l'Arabie saoudite coprésident aujourd'hui une conférence à l'ONU visant à relancer le dialogue autour de la solution à deux États, la situation dans la bande de Gaza continue de se détériorer. Les bombardements israéliens se poursuivent, l'aide humanitaire reste difficilement accessible. Deux ONG israéliennes parlent désormais de « génocide » pour qualifier la situation à Gaza, ce qui bouscule une partie de l'opinion publique israélienne. Dans ce contexte, la France prévoit « dans les prochains jours » des largages aériens d'aide humanitaire, selon une source diplomatique à l'AFP. La famine, qui menace une grande partie de la population, est décrite par certains comme un levier de guerre, visant à pousser les civils au départ.À cette crise humanitaire s'ajoutent des tensions croissantes en Cisjordanie. Ce lundi 28 juillet, le village chrétien de Taybeh, dont plusieurs habitants possèdent la double nationalité palestino-américaine, a été attaqué par des colons israéliens. Le ministère français des Affaires étrangères a dénoncé des « actes de terrorisme » en Cisjordanie, soulignant la gravité des violences. Ces attaques, qui visent désormais aussi des villages chrétiens, suscitent une vive inquiétude sur la scène diplomatique, notamment aux États-Unis.La France s'apprête à reconnaître officiellement l'État de Palestine. Dans une lettre adressée à Mahmoud Abbas, Emmanuel Macron a confirmé son intention de procéder à une « pleine reconnaissance », qui pourrait être officialisée en septembre à l'Assemblée générale des Nations unies. Une initiative contestée par Benjamin Netanyahu, qui estime qu'elle reviendrait à « récompenser le terrorisme ». Près de 150 pays reconnaissent aujourd'hui l'État palestinien, et le Royaume-Uni pourrait bientôt s'ajouter à cette liste. Qu'attendre concrètement de cette conférence à l'ONU ? La paix reste-t-elle possible avec une solution à deux États, Israël et Palestine ?Gilles Kepel, professeur émérite des universités et spécialiste du Moyen-Orient, analysera l'initiative franco-saoudienne à l'ONU, l'aggravation de la crise humanitaire à Gaza et la montée des violences en Cisjordanie.
durée : 00:14:54 - Journal de 8 h - Les représentants des filières économiques françaises se réunissent à Bercy ce mercredi pour évoquer les conséquences de l'accord entre l'Europe et les Etats-Unis ainsi que la suite des négociations.
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Dans cette édition :Des sociétés de sécurité privées sont mobilisées dans certains quartiers de Toulouse pour lutter contre les violences urbaines et le trafic de drogue, malgré les risques encourus par les agents.Un tag antisémite révoltant a été découvert à Toulouse, illustrant une montée de l'antisémitisme en France depuis les attaques du 7 octobre 2023, poussant certains juifs à dissimuler leur appartenance religieuse.Le Royaume-Uni annonce la reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant la colère d'Israël, tandis que 17 pays appellent le Hamas à quitter le pouvoir à Gaza.Le gouvernement français reçoit les représentants des filières concernées par les surtaxes douanières américaines, avec des enjeux autour des investissements européens aux États-Unis et des achats d'hydrocarbures.Gérald Darmanin, le ministre de la Justice, prévoit une réforme du système judiciaire, notamment en transformant la peine avec sursis et en rétablissant les courtes peines de prison.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Yahya, Ahmed, Yamen, Ayloul, Tahani... Le Washington Post publie les noms et prénoms, en anglais et en arabe, des 18.500 enfants tués à Gaza depuis le début de la guerre, avec parfois une photo et un court texte pour raconter qui ils étaient, à quoi ils rêvaient et comment ils sont morts. ⇒ Le Washington Post. Saand, par exemple, avait 70 jours (un peu plus de deux mois) quand il a été tué dans une frappe aérienne avec ses deux frères de 5 et 8 ans. Le plus grand, Tarik, avait un vélo et voulait devenir pédiatre, nous apprend le Washington Post. Il y a 15 jours, le ministère de la Santé de Gaza a publié le nom et l'âge de tous ceux qui sont morts depuis le 7 octobre 2023 : 60.000 personnes, dont 18.500 enfants donc. «Certains ont été tués dans leur lit. D'autres pendant qu'ils jouaient. Beaucoup ont été enterrés avant même de savoir marcher», écrit le quotidien qui a fait des décomptes plus précis et nous apprend que 953 de ces victimes avaient moins d'un an. Depuis que la guerre a commencé, chaque heure, un enfant est tué, explique le Washington Post. Les États-Unis doivent-ils continuer à soutenir Israël ? Dans le camp Maga, le soutien des États-Unis à Israël commence à faire débat. Ce mardi (29 juillet 2025), pour la première fois, une élue républicaine a utilisé le mot «génocide» pour parler des actions menées par le gouvernement de Benyamin Netanyahu, nous raconte Achim Lippold. Marjorie Taylor Greene, fervente partisane de Donald Trump, a aussi évoqué la crise humanitaire et la faim qui frappent les Palestiniens. Avant elle, le YouTuber conservateur Theo Von avait lui aussi accusé Israël de commettre un génocide. Et plus récemment, l'ancien présentateur vedette de Fox News, Tucker Carlson, a pris la parole pour dénoncer la destruction d'une église à Gaza. La question, maintenant, c'est de savoir si ces remous dans la base électorale de Donald Trump pourraient l'amener à infléchir sa position. Pour l'instant, le soutien républicain à Israël reste massif. D'après un sondage Gallup publié mardi (29 juillet), plus des deux-tiers des électeurs conservateurs approuvent les opérations militaires israéliennes à Gaza. Donald Trump toujours englué dans l'affaire Epstein Mardi (29 juillet), dans l'avion qui le ramenait d'Écosse, le président américain a donné une nouvelle version de sa rupture avec l'ancien homme d'affaires. Si Donald Trump a chassé Jeffrey Epstein de Mar-a-Lago, c'est parce qu'il a «volé des employés de son spa», rapporte Politico. L'homme d'affaires a embauché des jeunes femmes qui travaillaient pour le président américain et ce dernier ne l'a pas supporté. Parmi elles, Virginia Giuffre, l'une des principales victimes du trafic sexuel de mineures, dont était accusé Jeffrey Epstein, et qui s'est suicidée en avril 2025. Mais on ne connait pas l'identité des autres jeunes femmes évoquées par le président, souligne le New York Times. La Maison Blanche n'a pas répondu aux demandes de précisions du quotidien. Les médias américains ne semblent pas convaincus par cette nouvelle version des faits. «Si le président a fourni sa version la plus complète de sa rupture avec Jeffrey Epstein, il ne répond toutefois pas à toutes les questions», regrette le Washington Post qui souligne que les explications livrées hier, par Donald Trump, ne collent pas puisque Virginia Giuffre a travaillé à Mar-a-Lago en 2000. Or, en 2002, Donald Trump disait à un journal américain que Jeffrey Epstein était un «type formidable». Pour le Washington Post, les deux hommes se seraient en réalité fâchés en 2004 à cause d'une propriété à Palm Beach qu'ils voulaient tous les deux acheter. En tout cas, la Maison Blanche estime que la tempête est en train de se calmer. C'est ce qu'a confié au Washington Post un haut responsable sous couvert d'anonymat. Selon lui, «la vague de critiques au sein du mouvement Maga est en train de refluer». Les appels de militants en colère ont cessé. Mais selon un sondage du Washington Post, seuls 43% des républicains pro-Trump approuve sa gestion de cette affaire. Un taux qui passe à 16% quand on prend l'ensemble des électeurs. Même si Donald Trump tente de faire diversion en mettant en avant ses réussites ou en balançant des noms de démocrates impliqués selon lui, dans l'affaire Epstein, certains, dans le camp Maga, craignent qu'une petite frange de leur base électorale soit perdue à jamais. «Les gens oublient», assure, de son côté, la source du Washington Post à la Maison Blanche. À écouter aussiÉtats-Unis: Donald Trump tente de faire diversion sur l'affaire Epstein Le fentanyl, une «excuse» pour justifier les droits de douane américains Une enquête de l'agence La Presse canadienne montre qu'en matière de drogues, c'est le Canada qui a un problème avec les États-Unis, et non l'inverse. Durant les quatre premiers mois de 2025, les douaniers canadiens n'ont intercepté que 2 kilos de fentanyl destiné aux États-Unis. En revanche, ils ont saisi énormément de cocaïne et de méthamphétamines venues des États-Unis, explique La Presse Canadienne qui ne donne toutefois pas d'informations sur les volumes saisis. En tout cas, le fentanyl produit au Canada ne représente pas une menace grandissante pour les États-Unis, contrairement à ce qu'affirme Donald Trump. C'est juste une excuse pour justifier la hausse des tarifs douaniers, décrypte un expert interrogé par La Presse canadienne. Et cela a coûté cher au Canada : pour tenter de calmer le président américain, Ottawa a déboursé fin 2024, un milliard de dollars pour renforcer les contrôles aux frontières. À écouter aussiÉpidémie de fentanyl : les États-Unis commencent à reprendre pied L'impact de la hausse des tarifs douaniers sur le Brésil Alors que l'Union européenne est parvenue à un accord avec Washington pour réduire les droits de douane prévus au 1er août 2025 de 30 à 15%, le Brésil n'a pas cette chance. À partir de vendredi, tous les produits exportés vers les États-Unis seront taxés à 50%. Une sanction politique justifiée par Donald Trump qui veut venger son allié, l'ancien président Jair Bolsonaro, jugé pour tentative de coup d'État. Mais les États-Unis sont le 2ème partenaire commercial du Brésil, et cette décision impactera de nombreux secteurs, de l'aéronautique à l'agriculture. La correspondance à Rio de Janeiro de Sarah Cozzolino. À lire aussiEn soutien à Jair Bolsonaro, Donald Trump menace d'imposer au Brésil une taxe douanière de 50% Le journal de la 1ère En Guadeloupe, la qualité des eaux de baignade est globalement satisfaisante.
Dans cette édition :Un puissant séisme de magnitude 8,8 a frappé au large de la péninsule russe du Kamtchatka, déclenchant des alertes tsunami dans plusieurs pays du Pacifique, notamment en Polynésie française où des vagues de 4 mètres sont attendues.Les relations entre la France et Israël se tendent suite à l'annonce de la reconnaissance d'un État palestinien par Emmanuel Macron, l'ambassadeur israélien en France dénonçant une "soumission" de la France à "l'idéologie" du Hamas.Les actes antisémites se multiplient dans le monde, notamment en France, poussant certains juifs à dissimuler leur appartenance religieuse par peur des représailles.Des dégradations ont été commises par de jeunes adolescents dans une école d'Arles, en pleine période de vacances scolaires.Le gouvernement français est préoccupé par l'accord commercial entre l'UE et les États-Unis, jugé trop déséquilibré, malgré les efforts de compromis.Le statut de la Corse fait l'objet d'un projet de réforme constitutionnelle, suscitant de vives oppositions.Le nageur français Léon Marchand vise à battre le record du monde du 200 mètres 4 nages lors des championnats du monde de natation à Singapour.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À contre-courant des autres majors pétrolières, l'italien ENI s'engage dans une transition énergétique ambitieuse. Son objectif, faire en sorte que ses profits issus des énergies bas-carbone dépassent ceux du pétrole d'ici 2040. Une stratégie pragmatique et rentable, qui pourrait redéfinir le modèle économique du secteur. Alors que Shell et BP réduisent leurs investissements dans les énergies renouvelables, ENI affiche des ambitions claires : atteindre la parité entre profits fossiles et bas-carbone d'ici 2035, avant de faire basculer l'avantage aux énergies vertes cinq ans plus tard. Le groupe a présenté cette stratégie dans le Financial Times, rompant avec la tendance générale au repli face aux incertitudes du secteur. BP, par exemple, a récemment vendu ses parcs éoliens terrestres aux États-Unis, tandis que Shell a mis fin à ses projets d'éolien en mer pour se concentrer sur le gaz naturel liquéfié. À lire aussiInvestir dans le renouvelable ou pas, le dilemme des compagnies pétrolières Des filiales rentables pour garantir la transition Pour atteindre ses objectifs, ENI ne mise pas sur un modèle monolithique, mais sur la création de deux filiales indépendantes et spécialisées. L'une pour les activités fossiles, l'autre pour le renouvelable. Ces entités, pensées comme des satellites autour de la maison-mère, ont généré à elles seules près de 600 millions d'euros de bénéfices sur le premier semestre 2025. Résultat : un regain de confiance des investisseurs, avec 3,8 milliards d'euros de liquidités collectés en quelques mois. Ces filiales représentent désormais près de la moitié de la valorisation boursière d'ENI. Une diversification géographique et financière calculée Au-delà de son modèle économique, ENI s'appuie sur une diversification géographique intelligente via des co-entreprises avec des partenaires solides comme Petronas en Asie ou BP en Angola. Cette approche lui permet de limiter les risques tout en poursuivant sa croissance. En capitalisant sur les revenus du pétrole pour financer sa mutation verte, le groupe entend prouver qu'une transition énergétique rentable est non seulement souhaitable, mais possible. Si le pari est réussi, ENI pourrait devenir un modèle pour l'industrie pétrolière mondiale.
durée : 00:02:07 - Le grand format - Aux États-Unis, Donald Trump poursuit la lutte contre l'immigration, visant en priorité les étrangers qui ont commis des actes répréhensibles, dit-il. Mais selon plusieurs ONG, beaucoup de personnes sans casier judiciaire se retrouvent enfermées dans des centres de rétention. Reportage à Washington. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Des sociétés de sécurité privées sont mobilisées dans certains quartiers de Toulouse pour lutter contre les violences urbaines et le trafic de drogue, malgré les risques encourus par les agents.Un tag antisémite révoltant a été découvert à Toulouse, illustrant une montée de l'antisémitisme en France depuis les attaques du 7 octobre 2023, poussant certains juifs à dissimuler leur appartenance religieuse.Le Royaume-Uni annonce la reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant la colère d'Israël, tandis que 17 pays appellent le Hamas à quitter le pouvoir à Gaza.Le gouvernement français reçoit les représentants des filières concernées par les surtaxes douanières américaines, avec des enjeux autour des investissements européens aux États-Unis et des achats d'hydrocarbures.Gérald Darmanin, le ministre de la Justice, prévoit une réforme du système judiciaire, notamment en transformant la peine avec sursis et en rétablissant les courtes peines de prison.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un puissant séisme de magnitude 8,8 a frappé au large de la péninsule russe du Kamtchatka, déclenchant des alertes tsunami dans plusieurs pays du Pacifique, notamment en Polynésie française où des vagues de 4 mètres sont attendues.Les relations entre la France et Israël se tendent suite à l'annonce de la reconnaissance d'un État palestinien par Emmanuel Macron, l'ambassadeur israélien en France dénonçant une "soumission" de la France à "l'idéologie" du Hamas.Les actes antisémites se multiplient dans le monde, notamment en France, poussant certains juifs à dissimuler leur appartenance religieuse par peur des représailles.Des dégradations ont été commises par de jeunes adolescents dans une école d'Arles, en pleine période de vacances scolaires.Le gouvernement français est préoccupé par l'accord commercial entre l'UE et les États-Unis, jugé trop déséquilibré, malgré les efforts de compromis.Le statut de la Corse fait l'objet d'un projet de réforme constitutionnelle, suscitant de vives oppositions.Le nageur français Léon Marchand vise à battre le record du monde du 200 mètres 4 nages lors des championnats du monde de natation à Singapour.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In dieser spannenden Folge des Karriere Insider Podcasts spricht David Döbele mit Sebastian Ahlhorn, Managing Director bei der Commerzbank, über den Alltag im Private Banking mit Ultra-High-Net-Worth-Individuals. Du erfährst, wie man Zugang zur Finanzelite bekommt, welche Rolle Vertrauen und Diskretion spielen – und was du mitbringen musst, um in diesem exklusiven Segment der Finanzwelt Karriere zu machen. LinkedIn Sebastian Ahlhorn: https://www.linkedin.com/in/sebastianahlhorn/ Commerzbank Karriereseite: https://www.commerzbank.de/konzern/karriere/ Mein SPIEGEL-Bestseller-Buch: https://nach-ganz-oben.de/?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 Unsere Website: https://pumpkincareers.com/jetzt-hier-bewerben/?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 _____________________________________________ Timestamps 00:00:00 - Vorschau 00:01:24 - Intro 00:03:23 - Vorstellung & Karriereweg 00:09:22 - Einstieg bei KPMG (Deal Advisory) 00:13:44 - Wechsel zu Spudy (Family Office) 00:26:10 - Wechsel zu Röko (Private Equity) 00:35:46 - Wechsel zu FINVIA (Family Office) 00:41:08 - Wechsel zur Commerzbank 00:51:25 - Für wen lohnt sich eine Karriere im Wealth Management? 00:55:20 - Großbank vs. Boutique: Unterschiede im Wealth Management 00:57:45 - Aktuelle Herausforderungen im Wealth Management 01:00:30 - Hat man auch als Managing Director noch Mentoren? 01:04:30 - Weitere Fragen (Routinen, Buchempfehlung, Tipps, usw.) 01:31:44 - Outro _____________________________________________ Weitere hilfreiche YouTube-Videos: Der Karriere Insider Podcast: https://www.youtube.com/@KarriereInsiderPodcast INVESTMENT BANKER WERDEN (Guide): https://youtu.be/smtlWs5WPUM?si=nLG14-z-VNx0bk0f UNTERNEHMENSBERATER WERDEN (Guide): https://youtu.be/jLK24iLsGPM?si=5DlTJvVKLf1FhpnU Die besten Unis für den Bachelor: https://youtu.be/n-YSo8ss0Ks Die besten Unis für den Master: https://youtu.be/fdKknPZzO4w ALLE JOBS NACH DEM BWL-STUDIUM: https://youtu.be/D1Ssf6uAQlY ALLE FINANCE JOBS nach dem BWL-Studium: https://youtu.be/6kD05whSvEU _____________________________________________ Wenn du dich für den Berufseinstieg in Investment Banking, Unternehmensberatung oder Private Equity interessierst, haben wir hier einige nützliche Links für dich zusammengefasst: Target-Uni-Report: https://pumpkincareers.com/target-uni-report?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 Investment Banking Analyst Report: https://pumpkincareers.com/investment-banking-analyst-report?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 Consulting Einsteiger Report: https://pumpkincareers.com/consulting-report?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 Eine Gesamtübersicht über alle unsere bisher veröffentlichten Reports findest du übrigens hier: https://pumpkincareers.com/reports/?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 Schau gerne auch noch auf unserem Blog vorbei: https://pumpkincareers.com/blog/?htrafficsource=organic&hcategory=yt_organic&el=CommerzbankManagingDirectorWirverwaltendasGeldderTop01KarriereInsider300725 Falls du Fragen hast, die du persönlich mit uns besprechen willst, kannst du uns gerne auch auf LinkedIn (David Döbele, Jonas Stegh) oder Instagram (@pumpkincareers, @david.doebele) anschreiben. LinkedIn: https://www.linkedin.com/company/pumpkincareers/
C'est une photo qui a fait le tour du monde des médias. Celle du petit Yazan, deux ans. Une photo prise il y a une semaine, dans le camp de réfugiés d'al-Shati à Gaza. Le petit Yazan est photographié de dos : il est tellement maigre qu'on peut lui compter les vertèbres… Une photo, parmi d'autres, qui a inspiré le titre de cette tribune de l'écrivain libanais d'origine juive Selim Nassib publiée dans Libération : « Gaza : le virage de l'enfant affamé ». En effet, écrit Selim Nassib, « un nouvel acteur est apparu sur la scène de Gaza : l'enfant mort-vivant. Squelettique, ventre gonflé, yeux exorbités qui vous fixent pour l'éternité, son corps est éminemment politique. C'est lui qui a déclenché la reconnaissance trop longtemps retardée de l'État de Palestine par le président Macron, lui qui a dicté le communiqué commun de Londres, Paris et Berlin adressé à Israël – “La catastrophe humanitaire doit cesser immédiatement“ −, lui qui a contraint les autorités israéliennes à allumer en catastrophe un contre-feu “humanitaire“. » Est-ce « un premier pas vers la fin de l'impunité d'Israël ? », s'interroge l'écrivain libanais. « En réalité, répond-il, rien n'aboutira vraiment sans que la société israélienne elle-même ne sorte de l'état d'hypnose et de déni dans lequel elle se trouve, sans qu'elle n'ouvre les yeux sur les malheurs insensés qu'elle provoque autour d'elle – sans, enfin, qu'elle ne renoue avec ce sens moral enraciné dans le meilleur de la pensée juive avec lequel, à d'importantes exceptions près, elle semble aujourd'hui avoir rompu. » L'indéfendable Le Temps à Genève fait écho à cette tribune : « la famine, qui vient s'ajouter aux destructions et aux déplacements de population, n'empêche pas Israël de continuer à défendre l'indéfendable. Aujourd'hui, constate le quotidien suisse, même les tueries – abondamment corroborées – de centaines de Palestiniens affamés se rendant aux points de distribution israéliens ne font pas vaciller l'aplomb des responsables de l'État hébreu. Ni le sort des otages israéliens, ni la mainmise du Hamas, et encore moins le prétendu “antisémitisme“ de l'ONU ne sont aujourd'hui des arguments recevables, s'exclame Le Temps, tant les mensonges israéliens s'écroulent d'eux-mêmes, souvent à peine énoncés. » Des pressions contre-productives ? Alors, les pressions s'intensifient sur Israël. Après la France qui tente de raviver la solution à deux États, le Royaume-Uni annonce qu'il reconnaitra l'État de Palestine en septembre, à moins qu'Israël ne respecte un cessez-le-feu. Une décision vivement critiquée par le Times à Londres. « Le Premier ministre a engagé la Grande-Bretagne sur une voie qui ne contribuera guère à apaiser les souffrances de la population de Gaza », affirme le quotidien conservateur. Cette menace, poursuit le Times, « consterne les familles des victimes du 7-Octobre et conforte le Hamas en s'aliénant Israël, un allié clé. (…) Le fait qu'une part importante de l'État palestinien, tel que proposé, soit toujours sous l'emprise d'une organisation terroriste meurtrière qui continue de recruter des combattants tout en appelant sans cesse à la destruction de l'État juif semble avoir échappé à Keir Starmer et aux quelque sept ministres qui l'ont poussé à prendre cette décision imprudente. » Trump va-t-il hausser le ton ? Voilà pour la position du Times. Reste que les photos, les images, les témoignages de la guerre et de la famine à Gaza bouleversent les opinions. Que peut-il se passer maintenant ? Trois chroniqueurs du Washington Post tentent de répondre. « Il n'y a pas beaucoup de raisons d'être optimiste, affirment-ils, à moins que les États-Unis ne décident d'exercer une réelle pression sur Israël pour qu'il change de cap. Cette reprise de l'aide est trop faible et trop tardive. La famine est en marche. L'espoir est que le président Donald Trump change d'avis ; avant-hier, il a commenté les photos d'enfants palestiniens affamés, en exhortant Israël à veiller à ce que la nourriture parvienne aux habitants de la région. (…) Mais Trump est imprévisible… (…) Et de son côté, Netanyahu continue de poursuivre l'objectif probablement chimérique d'éradiquer complètement le Hamas, sans proposer de plan d'après-guerre pour maintenir la sécurité à Gaza. »
En Corée du Sud, les touristes américains achètent en masse des produits de beauté coréens avant que leurs prix n'explosent aux États-Unis à cause des tarifs douaniers souhaités par le président Donald Trump. À partir du 1er août, tous les produits coréens sont imposés de 25% de droits de douane à leur arrivée aux États-Unis. De notre correspondant à Séoul, Panique à l'approche de la mise en place des tarifs douaniers américains le 1er août. Si l'industrie coréenne va en pâtir – notamment les secteurs de l'automobile et de la sidérurgie, tous deux frappé de 50% de droits de douane –, du côté des consommateurs américains, on s'inquiète de la montée des prix de la K-beauty, les produits de beauté coréens, imposé à 25% de droits de douanes. Liah Yoo est une influenceuse beauté américaine. Dans une vidéo à ses followers, elle explique les conséquences de la politique commerciale américaine sur les produits cosmétiques en provenance de Corée du Sud : « À partir de maintenant, vous verrez beaucoup de marques augmenter leur prix. Ce n'est pas par cupidité, mais c'est inévitable. La nouvelle politique commerciale annoncée par le président Donald Trump va changer beaucoup de choses. Beaucoup d'Américains aiment la K-beauty, car elle n'est pas chère, mais je ne sais pas combien de temps elle pourra le rester avec la mise en place de cette politique commerciale très prochainement. » Taylor Bosman, autre influenceuse beauté américaine, a trouvé la parade. Acheter en gros avant que les prix n'explosent : « Je ne sais pas ce qui se passe avec ces tarifs, personne n'y comprend rien. J'ai entendu des rumeurs sur la manière dont cela allait affecter le prix des produits de beauté coréens aux États-Unis. L'avenir est incertain, mais ce dont je suis sûre, c'est que je ne veux pas passer à côté de mes produits préférés. Alors, j'ai commandé à l'avance tout ce dont j'ai besoin pour ma routine quotidienne. » Dans le quartier commercial animé de Myeongdong à Séoul, les voyageurs du monde entier viennent chaque jour dans les boutiques de cosmétiques faire leurs emplettes avant de retourner chez eux. « Je voulais faire un stock avant de repartir, explique ainsi une touriste, les bras chargés de sacs. Je veux acheter en gros pour ne pas avoir à revenir. Les Coréennes ont vraiment une peau incroyable que tout le monde veut imiter, je pense. » Plusieurs centaines de dollars d'achats, une valise pleine de crèmes, masques et fonds de teint : de quoi tenir quelques mois et économiser avant la mise en place des droits de douanes américains le 1er août. À lire aussiLes Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes
Le Journal en français facile du mardi 29 juillet 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bsng.A
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le cessez-le-feu conclut entre la Thaïlande et le Cambodge, l'accord commercial signé entre l'Union européenne et les États-Unis et l'annulation du mandat d'arrêt français contre l'ancien président syrien. Cameroun : Maurice Kamto évincé de la campagne présidentielle Au Cameroun, la candidature de Maurice Kamto a été rejetée. Comment l'opposant peut-il contester son exclusion de la présidentielle ? Pourquoi seulement 13 candidatures ont été retenues ? Avec Stéphane Akoa, politologue camerounais et chercheur à la Fondation Paul Ango Ela. Thaïlande/Cambodge : vers un cessez-le-feu durable ? Un cessez-le-feu a été conclu entre la Thaïlande et le Cambodge après cinq jours de combat ayant fait 42 morts et 330 000 déplacés. Que prévoit cet accord de cessez-le-feu ? Pourquoi ce conflit frontalier s'est-il intensifié d'un coup alors qu'il était jusqu'à maintenant relativement calme ? Avec Jeanne Bartoli, journaliste au service international de RFI. Droits de douane : un accord commercial conclut entre les États-Unis et l'Union européenne Les États-Unis et l'Union européenne ont conclu un accord de 15% de taxes douanières. Qui sort vraiment gagnant de cet accord ? Cet accord peut-il réellement permettre d'éviter une guerre commerciale ? Avec Julien Marcilly, chef économiste au cabinet de conseil Global Sovereign Advisory, destiné aux États et aux entreprises publiques. Syrie : annulation du mandat d'arrêt français contre Bachar al-Assad En France, le mandat d'arrêt contre l'ancien président syrien Bachar al-Assad a été annulé. Comment expliquer cette décision ? Pourquoi faisait-il l'objet d'un mandat d'arrêt français ? Avec Aghiad Ghanem, directeur scientifique du Programme MENA (Moyen-Orient/Afrique du Nord) à Sciences Po.
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - La solution à deux États, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux États membres des Nations unies, lors d'une conférence internationale fustigée par Israël et les États-Unis. - réalisation : Brice Garcia
En Libye, la situation politique va-t-elle évoluer ces prochaines semaines ? À l'ouest, le Premier ministre du gouvernement d'union nationale, Abdelhamid Dbeibah, semble en perte de vitesse, suite aux affrontements entre milices qui ont touché Tripoli au mois de mai. Alors qu'à l'est, le maréchal Khalifa Haftar paraît, lui, monter en puissance. La Turquie par exemple, longtemps alliée des autorités de Tripoli, est en train de se rapprocher de lui. Comment expliquer ce probable basculement d'Ankara ? Quelles pourraient en être les conséquences ? Jalel Harchaoui est chercheur associé au Royal United Services Institute de Londres. Il est l'invité de Pierre Firtion. RFI : Est-on à la veille de changements majeurs en Libye ? Jalel Harchaoui : Il n'y a pas de changement spectaculaire. Ça a l'air d'être calme, ça a l'air d'être statique même depuis une demi décennie. En réalité, il y a beaucoup de variables qui évoluent. Il ne faut pas, à mon avis, prêter trop attention à cette impression de calme. Par exemple, il y a notamment l'espèce de pivotage de la part de la Turquie, qui est connue pour avoir soutenu le gouvernement de Tripoli en 2019 et sortir victorieuse de cette intervention en 2020. Depuis, la Turquie est restée enracinée militairement à l'ouest et a tout de suite embrayé sur un effort de séduction, une espèce d'opération de charme vis-à-vis de son ancien ennemi, c'est-à-dire la famille Haftar à l'est. Et ce changement est en train d'accélérer en ce moment, avec des conséquences très néfastes pour la Grèce notamment. Ça veut dire que la Turquie pourrait basculer véritablement dans le camp de l'est dans les prochaines semaines, les prochains mois ? C'est en train de se faire. Si vous regardez par exemple les vols cargo de nature militaire entre la Turquie et Benghazi, vous serez absolument époustouflé par la fréquence des vols militaires. Ce sont des ventes d'armes qui sont en train de se faire. C'est un argument qui est très séducteur aux yeux des Libyens parce que l'industrie d'armement de la Turquie est très appréciée dans la région et dans le monde même. La famille Haftar est en très bonne position, notamment fiscale. Elle a beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent, vraiment des milliards et des milliards de dollars. Donc, le basculement dont vous parlez est en train de se faire, et il est en train de se faire de manière extrêmement fiévreuse, si bien que je m'en inquiète. C'est-à-dire que je trouve que finalement, le calcul de la Turquie, il n'est pas juste limpide, il est aussi naïf. C'est très dangereux parce que les Libyens, c'est leur pays quand même. Quand ils veulent acheter des armes sur les marchés noirs internationaux, ils le font. Ils ont de l'argent sur le côté. Donc, cette idée que la Turquie peut tellement se permettre d'être décontractée par rapport à Tripoli, qu'elle possède soi-disant déjà pour aller fricoter à l'est tout en gardant Tripoli, ça peut très très mal finir cette histoire. Dans ces conditions, le maréchal Haftar pourrait-il être tenté de profiter de l'affaiblissement du gouvernement de l'ouest pour lancer une nouvelle offensive sur Tripoli ? Pas à froid, ça ne se fera pas à froid parce que ce n'est pas possible en termes d'image, en termes de réaction violente de la part de certaines villes qui compte, autres que Tripoli. Je pense notamment à Misrata qui est une ville riche et surtout ultra militarisée, très anti Haftar. En revanche, il y a un scénario qui m'inquiète, ce serait que pour des raisons dues à la paranoïa, assez justifiée finalement du point de vue d'Abdelhamid Dbeibah, qu'il lance la phase deux de la campagne violente qu'il a démarré en mai, parce qu'il y a une phase deux qui est en train de couver, là, elle est en train de fomenter. S'il la lance et qu'il ne réussit pas, c'est-à-dire qu'il ne détruit pas la seule milice qui continue à lui tenir tête à Tripoli, s'il ne la détruit pas en 48 ou 72h, eh bien on aurait une espèce de bourbier urbain dans lequel la famille Haftar interviendra sans doute. Et ça, ça pourrait survenir dans les prochaines semaines, les prochains mois ? Oui, dans les prochaines semaines, parce que l'ONU n'a pas eu de feuille de route précise depuis deux ans à peu près. Et donc elle prépare le dévoilement, si vous voulez, elle va révéler au monde sa nouvelle feuille de route au mois d'août, autour du 15 août à peu près. Et si le langage de cette nouvelle feuille de route inclut des expressions comme nouveau gouvernement unifié à Tripoli, nouveau gouvernement, ça veut dire que dans le plan diplomatique proposé par l'ONU, eh bien, on préconise le départ de la famille de Dbeibah. Eh bien, ça voudra dire que Dbeibah aurait toutes les raisons du monde de lancer son attaque avant pour empêcher ce genre de langage diplomatique. Donc, on assiste à une situation un petit peu comme en avril 2019, parce que, à l'époque, l'envoyé spécial de l'ONU, Ghassan Salamé, était en train de préparer une bonne initiative de paix. Et bien cet argument avait fini par accélérer l'attaque physique, une attaque militaire donc, de la part du maréchal Haftar contre Tripoli. On a le sentiment que le maréchal Haftar travaille son image à l'international. Son fils, Saddam a récemment effectué une tournée diplomatique qui l'a amené notamment aux États-Unis, en Turquie, au Pakistan, en Égypte ou encore en Italie… Oui, c'est le fils le plus actif, le plus ambitieux, le plus audacieux. Le maréchal Haftar a six fils. Au moins six fils. Et Saddam est un des plus jeunes, mais en même temps un des plus voraces. Et donc ce qu'il essaye de faire, c'est s'ériger en tant que successeur presque non controversé avant la mort de son père. Les États étrangers sont contents de lui prêter le flanc, de le flatter, de ne pas le critiquer pour ses nombreuses activités de crime organisé, des choses comme ça, parce qu'on se dit de toute façon, il va sans doute pouvoir s'imposer comme non pas le remplaçant de son père à l'est et au sud, mais il va sans doute, avec le temps, puisqu'il est jeune, parvenir à s'affirmer et s'imposer comme le leader de toute la Libye pour la première fois depuis 2011.
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - La solution à deux États, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux États membres des Nations unies, lors d'une conférence internationale fustigée par Israël et les États-Unis. - réalisation : Brice Garcia
Dans cette édition :Recrudescence des homejackings violents en France, avec des exemples récents de cambriolages à main armée contre des touristes et des célébrités, malgré un taux d'élucidation élevé grâce à l'ADN et aux réseaux sociaux.Flambée de violences au Royaume-Uni lors de manifestations contre l'accueil de demandeurs d'asile dans des hôtels, avec des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre.Fusillade meurtrière dans un quartier d'affaires de New York, avec un bilan de 4 victimes, dont un policier et une femme, l'assaillant ayant des antécédents psychiatriques.Nouvelles tensions entre les États-Unis et la Russie concernant la guerre en Ukraine, avec des frappes russes meurtrières et un ultimatum de Donald Trump à Vladimir Poutine.Mise en place de nouveaux droits de douane américains de 15% sur des secteurs économiques français clés comme l'automobile, les vins ou les cosmétiques, menaçant des milliers d'emplois.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Réactions politiques mitigées suite à l'accord commercial signé entre l'UE et les États-Unis.Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin détaille les contours de sa réforme judiciaire, suscitant des réactions de l'Union syndicale des magistrats qui demande davantage de moyens plutôt qu'une nouvelle réforme.Le nageur français Léon Marchand, héros des Jeux Olympiques de Paris 2024, s'apprête à concourir aux championnats du monde de natation avec l'objectif de décrocher de nouveaux records.Le gouvernement met la pression sur les constructeurs automobiles pour le rappel obligatoire des airbags Takata défectueux d'ici 2026.Découverte du corps de la cinquième et dernière victime de l'incendie d'un gîte en Charente accueillant des personnes en situation de handicap.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette revue de presse :La Normandie, région industrielle de France, est particulièrement exposée aux conséquences de la guerre commerciale menée par Donald Trump, avec près de 4000 entreprises potentiellement pénalisées par les 15% de droits de douane imposés.Le secteur de l'aéronautique obtient une exemption totale, tandis que les biens de luxe made in France, comme les produits maroquiniers, parfums et cosmétiques, subissent une hausse de leur fiscalité, entraînant une perte annuelle de 300 millions d'euros de chiffre d'affaires et menaçant jusqu'à 5000 emplois en France.L'Europe a dû faire des concessions pour ménager le président américain, ce qui met l'Union Européenne face à ses vulnérabilités, notamment le fait que pour un tiers des États, les États-Unis sont le pilier de la sécurité nationale.Emmanuel Macron lance la remilitarisation de la journée d'appel pour encourager l'engagement des jeunes dans l'armée, alors que le service national universel (SNU) a échoué et pourrait être remplacé par un nouveau dispositif volontaire destiné à renforcer la réserve des armées.Le déclin de la natalité en France soulève des inquiétudes quant à l'avenir économique, intellectuel et scientifique du pays, face à la mouvance "No Kids" qui se développe chez les descendants de baby-boomers.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des quartiers de Condé-sur-l'Escaut, dans la banlieue de Valenciennes, sont plongés dans le noir à cause de vols de câbles de cuivre, causant de nombreux désagréments pour les habitants et une facture salée pour la commune.Une mosquée de Bagneux, en région parisienne, est dans le viseur des autorités pour avoir invité un éditeur condamné pour des écrits proches de l'idéologie salafiste.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, dévoile les grandes lignes de sa réforme du système judiciaire, prévoyant notamment de réserver les peines de prison avec sursis aux primo-délinquants.Les viticulteurs français, notamment en Alsace, s'inquiètent des droits de douane de 15% imposés par les États-Unis sur les exportations européennes, craignant un impact important sur leur chiffre d'affaires.Une fusillade dans un gratte-ciel de Manhattan a fait au moins quatre morts, dont un policier, l'assaillant s'étant suicidé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La classe politique française dénonce vivement l'accord conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, le qualifiant de "jour sombre" pour l'Europe et de "soumission" face à Trump.Une fusillade sanglante a eu lieu à Manhattan, aux États-Unis, faisant plusieurs victimes, dont un policier et une femme, l'assaillant s'étant finalement suicidé.Un nouveau mandat d'arrêt a été requis contre l'ancien président syrien Bachar el-Assad pour ses attaques chimiques de 2013, malgré l'annulation d'un premier mandat par la Cour de cassation.Les autorités françaises continuent leur lutte contre le séparatisme, avec la mise en demeure d'une mosquée à Bagneux.La ville des Sables d'Olonne durcit les règles vestimentaires pour les touristes, interdisant la promenade torse nu ou en maillot de bain dans les rues du centre-ville.Le nageur français Maxime Grousset a été sacré champion du monde du 50 mètres papillon, décrochant la première médaille d'or française des mondiaux de natation.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les taux d'intérêt vont-ils baisser aux États-Unis ? Le comité de politique monétaire de la réserve fédérale américaine (la banque centrale du pays), se réunit mardi et mercredi à Washington pour actualiser (ou pas) ses taux directeurs. N'en déplaise au président Donald Trump, les économistes ne s'attendent pas à ce que ces taux baissent. Généralement, la Réserve fédérale laisse entendre en amont si elle prévoit de modifier ses taux. Elle n'a pas donné d'indices en ce sens lors de la dernière réunion de son comité de politique monétaire en juin. Les investisseurs ne s'attendent donc pas à une baisse des taux directeurs ce mercredi. Ces derniers sont d'actuellement entre 4,25 et 4,5%, environ deux fois plus que dans l'Union européenne par exemple. Inflation L'une des principales missions de la Réserve fédérale, en plus de la maîtrise du chômage, est de garder des prix stables. Or la politique protectionniste de Donald Trump et ses hausses de droits de douane tirent les prix vers le haut : l'inflation aux États-Unis reste ces derniers mois au-dessus de la barre des 2% fixée par la Fed. Diminuer les taux maintenant pourrait encourager la hausse des prix. C'est pourquoi la Fed s'est refusée à le faire pour l'instant, au grand regret du président américain Donald Trump. Le milliardaire, de retour à la Maison Blanche depuis janvier, estime que des taux directeurs plus faibles permettraient aux États-Unis de payer moins d'intérêts sur le remboursement de leur colossale dette publique. Lors de son premier mandat (2017-2021), Donald Trump se plaignait déjà des taux directeurs de la Réserve fédérale, mais ces derniers mois, il a intensifié ses critiques, jusqu'à se rendre en personne au siège de la Fed jeudi 24 juillet, pour faire pression sur le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell. « J'adorerais qu'il baisse les taux d'intérêt », lui a-t-il dit devant la presse, en lui assénant une grande tape dans le dos. Incertitudes des droits de douane Donald Trump a même menacé de le limoger, après l'avoir lui-même nommé à ce poste (en 2017). Ces menaces répétées ne plaisent pas beaucoup aux marchés financiers, qui voient dans l'indépendance de la Fed une garantie de stabilité de l'économie. Mais la procédure pour évincer Jerome Powell serait longue et difficile, et risquerait de fragiliser la confiance dans l'économie américaine, alors Donald Trump a renoncé. « Ce n'est pas nécessaire » de l'évincer, estimait-il jeudi 24 juillet aux côtés de l'intéressé. « Car je pense qu'il va prendre la bonne décision. Peut-être un peu tard, mais il va prendre la bonne décision », a déclaré le président des États-Unis. La « bonne décision », selon lui, serait de ramener à seulement 1,5% seulement les taux directeurs dès maintenant. Une telle baisse a peu de chances d'intervenir dans l'immédiat. Les décisions de la Réserve fédérale dépendront en partie des droits de douane décidés par Donald Trump. Un accord de principe a été conclu dimanche entre Donald Trump et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, visant à taxer à hauteur de 15% les produits européens entrant sur le marché états-unien. Les négociations se poursuivent par ailleurs avec la Chine ce mercredi, pour prolonger l'accord trouvé précédemment. Elles patinent avec des dizaines d'autres pays, pour qui l'ultimatum a été fixé à vendredi 1er août, avec la menace de surtaxes allant jusqu'à 50%. Si la Maison Blanche mettait cette menace à exécution, cela risquerait, là-encore, d'alimenter l'inflation et ne plaiderait donc pas en faveur d'une baisse des taux. À moins d'un retournement du marché de l'emploi aux États-Unis, qui ne s'est pas produit pour l'instant.
Dans cette édition :Une mosquée de Bagneux dans les Hauts-de-Seine est dans le viseur des autorités pour des prêches soupçonnés de promouvoir un islam radical par un éditeur controversé.Une fusillade a fait au moins 4 morts, dont un policier, dans un bâtiment de Manhattan à New York, l'assaillant s'étant ensuite suicidé.L'accord commercial entre l'UE et les États-Unis est jugé très déséquilibré, notamment par la France, malgré quelques exemptions de surtaxes.Le ministre de l'Économie promet de continuer à travailler pour améliorer cet accord commercial jugé défavorable à l'UE.Plusieurs villes balnéaires interdisent la promenade torse nu dans leurs rues pour préserver l'élégance et la décence.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme promis pendant sa campagne, le président Donald Trump a mis fin au statut de protection temporaire, le TPS, pour les Honduriens et les Nicaraguayens vivant aux États-Unis. Les autorités honduriennes, elles, se préparent déjà depuis le mois de janvier 2025 à accueillir et prendre en charge les migrants expulsés. Un reportage de Alice Campaignolle. Toutes les semaines, des migrants expulsés des États-Unis débarquent à l'aéroport de San Pedro Sula, dans le nord du Honduras. Dès leur arrivée, ils sont pris en charge par un centre d'accueil, dirigé par la sœur Idalina Borguignon. Un parcours bien rodé les attend : café, nourriture, examens médicaux, soutien psychologique, démarches administratives. Beaucoup témoignent de la peur et des mauvais traitements subis aux États-Unis, où, selon eux, « le rêve américain est terminé » depuis l'arrivée de Donald Trump. Parmi eux, Jerry, expulsé après deux tentatives de passage par la frontière, espérait retrouver son jeune fils soigné aux États-Unis. Il renonce temporairement à repartir et prévoit de se réinstaller dans son pays. Mais une fois revenus, ces Honduriens doivent repartir de zéro dans un pays où les opportunités restent rares et la violence omniprésente. Certains enfants de retour ne parlent même plus espagnol. Le profil des expulsés a aussi évolué : il s'agit désormais majoritairement de personnes établies de longue date aux États-Unis. Haïti se prépare aussi au retour des migrants en provenance des Etats-Unis C'est à la Une de l'agence Alterpresse et nous en parlons avec son directeur Gotson Pierre : Le ministère de la Justice haïtien a adopté un « protocole pour le traitement des dossiers des Haïtiens déportés ou extradés pour crimes financiers ou liens avec des groupes criminels ou terroristes ». Cette mesure « répond aux nouvelles décisions des autorités américaines visant l'arrestation et l'expulsion de ressortissants haïtiens impliqués dans ce type de délits ». Une manière de montrer, précise Gotson Pierre, que le gouvernement haïtien est prêt à coopérer pleinement avec les autorités américaines dans le domaine des expulsions. Autre sujet à la Une d'Alterpresse : l'enquête sur l'assassinat du président Jovenel Moïse, tué le 7 juillet 2021, est-elle en train de s'enliser dans une impasse judiciaire ? Plus d'une semaine après la fin des auditions en appel des accusés, tous les regards se tournent vers la cour d'appel de Port-au-Prince, dont la décision est désormais très attendue, selon le site d'information. Ce verdict pourrait représenter un tournant dans ce dossier aussi sensible que complexe. Mais les lenteurs de la procédure, les retards accumulés et certaines absences-clés nourrissent la crainte d'un nouveau blocage judiciaire. Colombie : Un verdict historique qui pourrait influencer la campagne présidentielle L'ancien président Álvaro Uribe a été reconnu coupable d'avoir tenté de faire pression sur un témoin, pour éviter d'être associé aux milices d'extrême droite. Le journal El Espectador parle d'un verdict historique et salue le travail de la justice. Il faut désormais, écrit-il, reconnaître la légitimité du jugement et rejeter fermement les voix qui, sans fondement, cherchent à le présenter comme une persécution politique. Le quotidien reconnaît que ce procès a suscité des passions. Juger une figure politique aussi influente qu'Álvaro Uribe entraîne inévitablement des lectures biaisées, selon les appartenances politiques. Mais rien, selon El Espectador, ne permet de conclure que la juge ait agi en dehors du droit. En tout cas, à moins d'un an de la prochaine présidentielle, ce jugement aura forcément un impact politique. D'après El Heraldo, il est indéniable que cette sentence contre le chef naturel du parti conservateur Centre démocratique, le leader de droite le plus influent des dernières décennies, va bouleverser les rapports de force de la campagne électorale. Selon le journal, les positions des uns et des autres risquent de se radicaliser. On continuera à parler de persécution judiciaire, de politisation de la justice ou encore de judiciarisation de la politique, ce qui risque d'alimenter encore davantage la polarisation et la mobilisation sociale. Pour le journal El Tiempo, la droite pourrait exploiter le rejet du verdict et l'impopularité de l'actuel président de gauche Gustavo Petro pour tenter de regagner du terrain. Mais l'incertitude demeure : Álvaro Uribe va-t-il se retirer de la vie politique ou au contraire intensifier son activité en vue de 2026 ? Le Brésil tente d'éviter des surtaxes commerciales Pour le gouvernement brésilien, c'est une course contre la montre pour tenter d'éviter la hausse des droits de douane décidée par le président américain Donald Trump. 50% supplémentaires à partir du 1er août 2025, donc vendredi prochain. Brasilia est en négociation intense avec les autorités américaines, selon Folha de São Paulo. Objectif, selon Carta Capital : exclure de cette surtaxe certains produits stratégiques, comme les aliments ou les avions afin d'atténuer les impacts d'une mesure qui pourrait toucher de plein fouet les secteurs industriels et agroalimentaires. Mais le problème, c'est que Washington refuse de négocier avec Brasilia, alors même qu'il vient de conclure une série d'accords avec l'Union européenne ou le Japon. Donald Trump reste inflexible. Et impose comme condition — jugée inacceptable et absurde par Folha de Sao Paulo — l'abandon du procès contre Jair Bolsonaro, l'ancien président, poursuivi pour tentative de coup d'État contre les institutions démocratiques. Au Mexique, de plus en plus de corps mutilés retrouvés dans les rivières du Chiapas C'est un reportage à lire dans El País. Dans le sud du Mexique, Walter González, un pêcheur de 54 ans, est devenu malgré lui un sauveteur informel de cadavres. Depuis sept ans, il repêche les corps abandonnés dans les rivières du Chiapas, à la frontière avec le Guatemala. Ces dernières semaines, il a été témoin d'une recrudescence de violence extrême liée au crime organisé. Des corps ligotés, mutilés, parfois sans tête, refont surface dans les rivières Suchiate et Cahoacán. Face à l'inaction ou à l'indifférence des autorités, Walter et ses compagnons enterrent parfois eux-mêmes les restes humains, par respect pour les victimes. Cette vague de violence intervient alors que les autorités locales se félicitent des progrès en matière de sécurité. Mais en réalité, les affrontements entre groupes criminels, pour le contrôle du trafic de migrants et des extorsions, ont fortement augmenté depuis mai dernier. Journal de la 1ère En Martinique, le taux de l'octroi de la mer va augmenter.
Dans cette édition :Le gouvernement français critique vivement l'accord conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, le qualifiant de 'soumission' face à Donald Trump et de 'déséquilibre profond' servant les intérêts nationaux américains plutôt que l'intérêt global de l'Europe.Les secteurs français du vin, de l'automobile et du luxe s'inquiètent des conséquences des surtaxes douanières américaines de 15% sur leurs exportations, menaçant leurs marges bénéficiaires.La France annonce son intention de reconnaître un État palestinien lors d'une conférence à l'ONU, une initiative rejetée par Israël et les États-Unis qui la jugent 'improductive et inopportune'.Donald Trump donne un ultimatum de 10 à 12 jours à Vladimir Poutine pour faire cesser la guerre en Ukraine, menaçant de sanctions économiques contre les pays achetant des produits russes.Un homme armé a ouvert le feu dans un quartier d'affaires de New York, faisant 5 morts dont un policier, avant de se suicider, la police évoquant des antécédents psychiatriques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le ministre de l'Économie résume le compromis trouvé entre l'Union Européenne et les États-Unis concernant les droits de douane, avec des exemptions pour certains secteurs mais des conséquences pour d'autres filières comme les cosmétiques et les vins.Le garde des Sceaux dévoile les dix articles de sa future réforme du système judiciaire, prévoyant notamment de réserver les peines de prison avec sursis aux seuls primo-délinquants.Les autorités mettent en demeure une mosquée des Hauts-de-Seine pour avoir invité un éditeur controversé soupçonné de faire la promotion d'un islam radical.Les chiffres alarmants des homejackings, ces cambriolages violents où les propriétaires sont menacés, augmentent de 7% en un an en France.Un serpent royal de 1m80 s'est échappé du terrarium de son propriétaire dans l'Essonne, inquiétant les habitants.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Réactions politiques mitigées suite à l'accord commercial signé entre l'UE et les États-Unis.Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin détaille les contours de sa réforme judiciaire, suscitant des réactions de l'Union syndicale des magistrats qui demande davantage de moyens plutôt qu'une nouvelle réforme.Le nageur français Léon Marchand, héros des Jeux Olympiques de Paris 2024, s'apprête à concourir aux championnats du monde de natation avec l'objectif de décrocher de nouveaux records.Le gouvernement met la pression sur les constructeurs automobiles pour le rappel obligatoire des airbags Takata défectueux d'ici 2026.Découverte du corps de la cinquième et dernière victime de l'incendie d'un gîte en Charente accueillant des personnes en situation de handicap.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement français critique vivement l'accord conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, le qualifiant de 'soumission' face à Donald Trump et de 'déséquilibre profond' servant les intérêts nationaux américains plutôt que l'intérêt global de l'Europe.Les secteurs français du vin, de l'automobile et du luxe s'inquiètent des conséquences des surtaxes douanières américaines de 15% sur leurs exportations, menaçant leurs marges bénéficiaires.La France annonce son intention de reconnaître un État palestinien lors d'une conférence à l'ONU, une initiative rejetée par Israël et les États-Unis qui la jugent 'improductive et inopportune'.Donald Trump donne un ultimatum de 10 à 12 jours à Vladimir Poutine pour faire cesser la guerre en Ukraine, menaçant de sanctions économiques contre les pays achetant des produits russes.Un homme armé a ouvert le feu dans un quartier d'affaires de New York, faisant 5 morts dont un policier, avant de se suicider, la police évoquant des antécédents psychiatriques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Recrudescence des homejackings violents en France, avec des exemples récents de cambriolages à main armée contre des touristes et des célébrités, malgré un taux d'élucidation élevé grâce à l'ADN et aux réseaux sociaux.Flambée de violences au Royaume-Uni lors de manifestations contre l'accueil de demandeurs d'asile dans des hôtels, avec des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre.Fusillade meurtrière dans un quartier d'affaires de New York, avec un bilan de 4 victimes, dont un policier et une femme, l'assaillant ayant des antécédents psychiatriques.Nouvelles tensions entre les États-Unis et la Russie concernant la guerre en Ukraine, avec des frappes russes meurtrières et un ultimatum de Donald Trump à Vladimir Poutine.Mise en place de nouveaux droits de douane américains de 15% sur des secteurs économiques français clés comme l'automobile, les vins ou les cosmétiques, menaçant des milliers d'emplois.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des quartiers de Condé-sur-l'Escaut, dans la banlieue de Valenciennes, sont plongés dans le noir à cause de vols de câbles de cuivre, causant de nombreux désagréments pour les habitants et une facture salée pour la commune.Une mosquée de Bagneux, en région parisienne, est dans le viseur des autorités pour avoir invité un éditeur condamné pour des écrits proches de l'idéologie salafiste.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, dévoile les grandes lignes de sa réforme du système judiciaire, prévoyant notamment de réserver les peines de prison avec sursis aux primo-délinquants.Les viticulteurs français, notamment en Alsace, s'inquiètent des droits de douane de 15% imposés par les États-Unis sur les exportations européennes, craignant un impact important sur leur chiffre d'affaires.Une fusillade dans un gratte-ciel de Manhattan a fait au moins quatre morts, dont un policier, l'assaillant s'étant suicidé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La classe politique française dénonce vivement l'accord conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, le qualifiant de "jour sombre" pour l'Europe et de "soumission" face à Trump.Une fusillade sanglante a eu lieu à Manhattan, aux États-Unis, faisant plusieurs victimes, dont un policier et une femme, l'assaillant s'étant finalement suicidé.Un nouveau mandat d'arrêt a été requis contre l'ancien président syrien Bachar el-Assad pour ses attaques chimiques de 2013, malgré l'annulation d'un premier mandat par la Cour de cassation.Les autorités françaises continuent leur lutte contre le séparatisme, avec la mise en demeure d'une mosquée à Bagneux.La ville des Sables d'Olonne durcit les règles vestimentaires pour les touristes, interdisant la promenade torse nu ou en maillot de bain dans les rues du centre-ville.Le nageur français Maxime Grousset a été sacré champion du monde du 50 mètres papillon, décrochant la première médaille d'or française des mondiaux de natation.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :L'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis suscite de vives réactions, avec des critiques sur la soumission de l'Europe face à Trump et la défense des intérêts nationaux français.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, présente un projet de réforme du système judiciaire, prévoyant notamment la fin du sursis pour les récidivistes et le rétablissement des peines de moins d'un mois de prison.Une mosquée de Bagneux près de Paris est dans le viseur des autorités après l'invitation d'un éditeur d'ouvrages salafistes, illustrant la lutte contre la radicalisation.Une fusillade dans un immeuble de Manhattan à New York fait 4 morts, le suspect ayant des antécédents psychiatriques et des griefs envers la ligue professionnelle de football américain.Les homejackings, ces cambriolages violents, sont en hausse en France, touchant notamment des célébrités et des touristes, poussant les autorités à appeler au calme face à ces actes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Une mosquée de Bagneux dans les Hauts-de-Seine est dans le viseur des autorités pour des prêches soupçonnés de promouvoir un islam radical par un éditeur controversé.Une fusillade a fait au moins 4 morts, dont un policier, dans un bâtiment de Manhattan à New York, l'assaillant s'étant ensuite suicidé.L'accord commercial entre l'UE et les États-Unis est jugé très déséquilibré, notamment par la France, malgré quelques exemptions de surtaxes.Le ministre de l'Économie promet de continuer à travailler pour améliorer cet accord commercial jugé défavorable à l'UE.Plusieurs villes balnéaires interdisent la promenade torse nu dans leurs rues pour préserver l'élégance et la décence.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 29/07/2025 Dimanche 27 juillet, l'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis a été scellé par Donald Trump et Ursula von der Leyen. Il prévoit entre autres des tarifs douaniers à hauteur de 15%. Cet accord est loin de faire l'unanimité chez les 27. L'Europe fait-elle un aveu de faiblesse ?On en débat avec Sylvie Matelly, économiste et directrice de l'Institut Jacques Delors, Éric Albert, journaliste économique au Monde et Théo Verdier, co-directeur de l'Observatoire Europe à la Fondation Jean Jaurès.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 29/07/2025 Au programme de l'émission 28 minutes :Serge Zaka est docteur en agroclimatologie : il étudie l'impact du changement climatique sur l'agriculture, et tente d'y apporter des solutions. Profil atypique dans une discipline méconnue, Serge Zaka était un chercheur discret jusqu'à ce qu'une tempête médiatique le propulse sur le devant de la scène en 2021 : il prédit, avec brio, les pertes immenses qui guettent les agriculteurs, en raison d'une vague de gel tardive qui fait suite à des températures estivales. Reconnu pour son expertise, il publie "Orages sur le climat" (éditions Harper Collins), son autobiographie. Il y revient sur sa fascination pour les nuages, ses débuts dans la météorologie, son hobby de chasseur d'orage et donne quelques conseils aux agriculteurs de demain. Dimanche 27 juillet, le très attendu accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis a été scellé par Donald Trump et Ursula von der Leyen. Il prévoit des tarifs douaniers à hauteur de 15% pour les produits européens vendus sur le sol américain, assortis de la promesse européenne d'acheter 750 milliards de dollars d'énergie venue des États-Unis et d'y investir 600 milliards de dollars supplémentaires. Si certains pays, tels que l'Italie et l'Allemagne, sont soulagés d'avoir évité une escalade commerciale, cet accord est loin de faire l'unanimité chez les 27. François Bayrou a ainsi dénoncé une "soumission", alors que la France poussait pour une ligne plus ferme vis-à-vis de Washington. Une marge de négociation au sein de l'accord pourra-t-elle réconcilier les Européens ? L'Europe fait-elle un aveu de faiblesse ?On en débat avec Sylvie Matelly, économiste et directrice de l'Institut Jacques Delors, Éric Albert, journaliste économique au Monde et Théo Verdier, co-directeur de l'Observatoire Europe à la Fondation Jean Jaurès.Puis, Victor Dekyvère nous raconte une calembredaine de la fin du 19e siècle : persuadé d'avoir trouvé un fruit miracle, un illuminé allemand a mené ses disciples jusqu'en Nouvelle-Guinée.Enfin, Quentin Darmon se penche sur Ian Brown, figure mythique et controversée outre-manche, à qui l'on doit la formation du groupe de rock Oasis. Marjorie Adelson nous emmène à Singapour, où des adultes prennent des cours d'interactions humaines. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 29 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Cet accord obtenu à l'arraché dimanche à Turnberry, en Écosse, à l'issue d'une réunion éclair, est loin de satisfaire plusieurs secteurs de l'industrie. Les Vingt-Sept s'engagent aussi à acheter davantage de pétrole et de gaz américains et à investir dans le pays.
durée : 00:39:29 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - Mercredi dernier, le président américain Donald Trump présentait un nouveau plan d'action visant à assurer aux États-Unis une “domination mondiale” en matière d'intelligence artificielle. De son côté, l'Europe investit à coups de milliards d'euros dans le développement des nouvelles technologies. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Irénée Régnauld Doctorant à l'EHESS et chercheur associé au laboratoire COSTECH de l'université de Compiègne.
C dans l'air du 28 juillet 2025 - Droits de douane: Trump humilie l'EuropeC'est à l'issue d'un entretien express de tout juste une heure, en Écosse, que Donald Trump et Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ont annoncé hier avoir trouvé un accord commercial entre les États-Unis et l'Union européenne. "Nous avons trouvé un accord", s'est félicité le président américain, n'hésitant pas à le qualifier de "plus grand jamais conclu en matière de commerce". Ursula von der Leyen a salué, pour sa part, un "bon accord" qui devrait "apporter de la stabilité".Au cœur de l'accord : les droits de douane. Washington s'engage à limiter à 15 % les taxes sur les produits européens importés, contre les 30 % initialement envisagés par Donald Trump. En contrepartie, Bruxelles renonce à toute riposte tarifaire et s'engage à injecter des sommes colossales dans l'économie américaine : 750 milliards de dollars d'achats d'énergie sur trois ans, ainsi que 650 milliards d'investissements, notamment dans l'implantation d'usines. Des achats d'équipements militaires sont également évoqués.En échange, plusieurs produits stratégiques — aéronautique, chimie, semi-conducteurs, agriculture et matières premières critiques — seront exemptés de droits de douane. La surtaxe sur les voitures européennes passera de 25 % à 15 %.L'accord doit encore être validé par les États membres. L'Allemagne, premier partenaire commercial des États-Unis en Europe, a salué l'initiative : "Nous avons su préserver nos intérêts fondamentaux", a estimé le chancelier Merz, tout en regrettant le manque d'avancées sur certains volets. L'Italie a également applaudi l'accord dans la soirée.En France, en revanche, le ministre délégué aux Affaires européennes a estimé que cet accord apporte "une stabilité temporaire" mais reste "déséquilibré" et a insisté sur la nécessité d'agir pour le "rééquilibrer", en particulier sur les services. Le Premier ministre François Bayrou a, lui, évoqué une "soumission" et a dénoncé "un jour sombre" alors que les réactions se multiplient dans la classe politique. "Fiasco politique, économique et moral", selon Marine Le Pen. "Tout est cédé à Donald Trump", d'après Jean-Luc Mélenchon.Alors, que contient cet accord commercial ? Comment se sont déroulées les négociations avec Donald Trump ? L'Europe cède-t-elle à une « extorsion mafieuse » de Donald Trump ? Pour Jean-Luc Demarty, ancien directeur général du Commerce extérieur et de l'Agriculture à la Commission européenne de 2011 à 2019, les méthodes utilisées par le président des États-Unis sont assez proches de celles de la mafia. Il a accordé à nos journalistes une longue interview.LES EXPERTS : - Richard WERLY - Correspondant France/Europe de Blick.fr- Florian LOUIS - Historien, spécialiste des relations internationales- Sylvie MATELLY - Economiste et directrice de l'Institut Jacques Delors- Sonia DRIDI - Correspondante à Washington pour France24 et la RTBF PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Revue de l'actualité internationale : différend commercial entre les États-Unis et le Brésil, projet de construction d'un nouveau réacteur nucléaire au Japon, et incendies violents en Grèce.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Cet accord obtenu à l'arraché dimanche à Turnberry, en Écosse, à l'issue d'une réunion éclair, est loin de satisfaire plusieurs secteurs de l'industrie. Les Vingt-Sept s'engagent aussi à acheter davantage de pétrole et de gaz américains et à investir dans le pays.
durée : 00:23:44 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Laurent Saint-Martin, ministre délégué chargé du Commerce extérieur et des Français de l'étranger, était l'invité du Grand Entretien de la matinale ce lundi, au lendemain de l'accord commercial trouvé entre les États-Unis et l'Union européenne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Cet accord obtenu à l'arraché dimanche à Turnberry, en Écosse, à l'issue d'une réunion éclair, est loin de satisfaire plusieurs secteurs de l'industrie. Les Vingt-Sept s'engagent aussi à acheter davantage de pétrole et de gaz américains et à investir dans le pays.
durée : 00:15:29 - Journal de 12h30 - Après 4 mois de menaces, de surenchères, de désescalades, les États-Unis et les 27 signent un accord commercial qui, dans ses grandes lignes, taxe à 15 % les exportations européennes. On n'en connaît pas encore les détails.
Dans cette édition :Les États-Unis et l'Union Européenne ont conclu un accord commercial historique, avec une baisse des droits de douane sur les produits européens en échange d'investissements américains en Europe.Un accident ferroviaire en Allemagne a fait plusieurs morts et blessés, suite à un glissement de terrain après de violents orages.La France prévoit de reconnaître officiellement un État palestinien, une décision saluée par le monde arabe mais qui divise en France.Les jeunes français semblent de moins en moins enclins à s'engager pour honorer la mémoire des anciens combattants, ce qui inquiète les associations.Malgré la hausse des prix, les touristes continuent de visiter Nîmes, mais avec des dépenses plus limitées, impactant les commerçants locaux.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La surpopulation carcérale en France atteint des niveaux record, avec plus de 5 000 nouveaux détenus par an, entraînant des conditions de détention jugées indignes et une insécurité grandissante pour les agents pénitentiaires.Un jeune homme a été grièvement blessé par balle à proximité d'un point de deal à Clermont-Ferrand, l'hypothèse d'un lien avec le trafic de drogue étant privilégiée.La ville de Mandelieu-la-Napoule sur la Côte d'Azur fait figure de bon élève dans la lutte contre la délinquance, avec une police municipale très présente et un système de vidéosurveillance développé.Un accord commercial a été conclu entre l'Union Européenne et les États-Unis, permettant de réduire les taxes sur les produits européens exportés, mais qui semble davantage profiter aux Américains selon un économiste.Les moissons sont de plus en plus précoces en France en raison du changement climatique, avec des récoltes de blé, de colza et de maïs avancées de plusieurs semaines.Les punaises de lit font un retour en force dans les hôtels et locations de vacances, avec une augmentation de 50% des cas détectés en un an, nécessitant des précautions pour éviter une infestation.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les fabricants d'éoliennes et de panneaux solaires qui veulent investir aux États-Unis dénoncent un revirement opéré par la Maison Blanche concernant leur secteur depuis le retour au pouvoir de Donald Trump. Un changement politique qui met en péril leur filière, et ce, pour de nombreuses années à venir. À l'origine de cette situation, « la grande et belle loi budgétaire » du président américain adoptée au forceps le 4 juillet dernier. Ce texte met un tour de vis aux subventions fédérales pour les énergies propres. Trump a juré d'en finir avec « l'arnaque verte » de Joe Biden et de limiter l'envolée des déficits. Le nouveau budget supprime les crédits d'impôt pour les projets éoliens et solaires qui ne seront pas opérationnels d'ici au 31 décembre 2027. Les projets d'hydrogène bénéficient, eux, d'un sursis : à cette date, il faudra avoir commencé à construire l'usine pour bénéficier des aides. À lire aussiLutte contre le réchauffement climatique: Donald Trump en arrière toute L'essor des énergies vertes s'essouffle Pour les professionnels de l'éolien et du solaire, c'est la catastrophe. Selon eux, les projets d'installations risquent de baisser de 20% au cours de la prochaine décennie. Avec des dizaines de milliers d'emplois - ceux d'ingénieurs, d'installateurs, de techniciens ou encore de chefs de projet - qui finalement ne seront pas créés, et ce, alors que les coûts de l'électricité des ménages américains pourraient augmenter de 280 dollars par an d'ici à 2035, alertent les experts. Avec l'arrêt des subventions, financer de nouveaux projets devient très compliqué, voire impossible. Des projets d'investissements à l'arrêt C'est le cas du singapourien Bila Solar, fabricant de panneaux solaires, qui a suspendu le projet d'extension de son usine d'Indianapolis. Son concurrent canadien Heliene a lui remis aux calendes grecques l'installation d'une usine de cellules solaires dans le Minnesota. Enfin, deux projets de parcs éoliens offshore, prévu pour alimenter les États du Maryland et New England, pourraient ne jamais voir le jour. Selon la filière, c'est 373 milliards de dollars d'investissements qui pourraient disparaître. Mais les acteurs du marché disent encore avoir besoin de temps pour évaluer les effets de cette nouvelle législation et de la politique des droits de douane de Trump. Actuellement, le marché américain dépend fortement des importations de composants. Et c'est la Chine qui contrôle 80% de la production mondiale de panneaux solaires. À lire aussiLa politique énergétique de Donald Trump pèse sur l'économie américaine