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    Le Nouvel Esprit Public
    Consommateur ou citoyen : les contradictions françaises / COP 30

    Le Nouvel Esprit Public

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 61:20


    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 14 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CONSOMMATEUR OU CITOYEN : LES CONTRADICTIONS FRANÇAISESDominant dans le commerce en ligne, Shein, le géant chinois de la mode jetable, s'est installé le 5 novembre pour la première fois en boutique, au BHV parisien puis progressivement dans des Galeries Lafayette franchisées à Dijon, Reims, Grenoble, Angers et Limoges. Une arrivée qui provoque un tollé dans le secteur. Spécialiste de la mode éphémère – une production caractérisée par le renouvellement ultra-rapide des collections à des prix cassés dépourvus de normes sociales et environnementales –, le géant chinois a été condamnée à 40 millions d'euros d'amendes par la Direction générale de la répression des fraudes pour « pratiques commerciales trompeuses », puis à 150 millions d'euros par la Commission nationale de l'informatique et des libertés pour « non-respect du consentement des internautes » dans la collecte de leurs données. Adoptée par l'Assemblée nationale puis amendée par le Sénat en juin 2025, la proposition de loi visant à « démoder la mode éphémère grâce à un système de bonus-malus » revient au cœur des débats.Le chiffre d'affaires de Shein en France (son deuxième marché dans le monde après les États-Unis) était de plus de 1,5 milliard d'euros en 2024. Cette année-là, l'Institut français de la mode a estimé que 35 % des Français ont acheté au moins un produit sur la plateforme Shein, qui compte plus de 12 millions d'utilisateurs par mois. Ces derniers savent pertinemment ce qui est reproché à l'entreprise, ses pratiques contestées et l'impact que son essor à sur le prêt-à-porter français. N'importe. Le caractère compulsif de l'achat est plus fort. Dans un pays pourtant obsédé par la reconquête de sa « souveraineté », qui tient la mondialisation en horreur, le consommateur agit souvent à rebours des convictions du citoyen.Ainsi, si selon un sondage Ipsos BVA, les Français placent sans surprise le prix en tête des critères guidant leurs achats (62 %), devant la qualité (58 %) et la durabilité (32 %) des vêtements, toutefois, 49 % des sondés expriment une « mauvaise opinion » à l'égard de la qualité des produits. Et 52 % désapprouvent l'installation d'une boutique Shein au BHV. Une nette majorité approuverait des mesures « pour freiner le développement des géants chinois de l'habillement en France et en Europe ». En Dr Jekyll et Mr Hyde, nous exigeons du gouvernement ou de l'Union européenne qu'ils régulent les opérateurs dont les pratiques mettent à mal notre économie, nos emplois et la planète, quand nous achetons leurs produits et leurs services. Et ce n'est pas vrai que dans le secteur de la mode ou du textile… Philippe Moati, cofondateur de l'Observatoire société et consommation prévient : « En cas de désaccord entre le citoyen et le consommateur, c'est le consommateur qui gagne quand l'offre est très attractive.COP 30L'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle, figurant dans l'Accord de Paris il y a 10 ans, est « sur le point de s'effondrer », a averti fin septembre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Du 10 au 21 novembre, la COP 30 est réunie à Belém, au Brésil aux portes de l'Amazonie. Le président brésilien Lula entend faire des forêts l'un de ses sujets principaux de cette conférence. Il souhaite y formaliser un fonds d'un nouveau genre, une « Facilité de financement des forêts tropicales » visant 125 milliards de dollars de collecte, placés sur les marchés financiers. Les bénéfices rémunéreront des pays à forte couverture forestière et à faible déforestation pour leurs efforts de conservation. Cinq autres États disposant de forêts tropicales ont rejoint le projet (Colombie, Ghana, République démocratique du Congo, Indonésie et Malaisie). Par ailleurs, cinq pays développés qui pourraient investir à l'avenir travaillent à organiser l'initiative (Allemagne, Émirats arabes unis, France, Norvège et Royaume-Uni).Depuis 2015, chaque pays doit soumettre tous les cinq ans une feuille de route climatique détaillant sa stratégie de réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin de mesurer leurs efforts pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. Mais alors que ces « contributions déterminées au niveau national » devaient être rendues avant la fin du mois de septembre, dans un contexte géopolitique tourmenté, où les guerres, les conflits commerciaux et la pression du président américain climatosceptique qui s'est retiré de l'Accord de Paris ont relégué le climat au second plan. Ainsi, la majorité des pays n'avaient pas rendu leur copie à la veille de la conférence, tandis que les États-Unis n'enverront pas de représentants de haut niveau à Belém.En 2019, la Commission européenne lançait le pacte vert pour l'Europe, avec un objectif ambitieux : faire de l'Europe le premier continent climatiquement neutre d'ici à 2050. Mais sous la pression de lobbies agricoles et depuis le virage à droite et à l'extrême droite du Parlement après les élections de 2024, la copie initiale est peu à peu revue à la baisse : abandon de la loi sur les pesticides, assouplissement de la politique agricole commune, remise en question de l'interdiction des voitures thermiques d'ici à 2035, de la finance durable et de la responsabilité des entreprises… En France, après avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), Emmanuel Macron se montre moins écologiste au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. Il entend compenser son peu d'allant dans le développement des énergies renouvelables par la relance du nucléaire. Cependant, selon un sondage Ipsos, 89% des Français disent leur inquiétude face à l'aggravation de la crise climatique.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Reportage International
    Le retour contrarié des migrants mexicains, expulsés ou poussés au départ des États-Unis

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 2:37


    La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump.   À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis

    Les têtes d'affiches de Denise Epoté
    Sékou Ouedraogo (Burkina Faso) et Douglas Mbiandou (Cameroun)

    Les têtes d'affiches de Denise Epoté

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 3:32


    Dans le palmarès cette semaine, deux innovateurs qui se distinguent par la qualité de leurs travaux, qui font de l'Afrique une terre d'excellence scientifique. Sur la première marche du podium cette semaine, un ingénieur originaire du Burkina Faso, diplômé de l'école d'ingénieurs Polytechnique de Nantes, Sékou Ouedraogo, possède également un master de l'Ecole Nationale des Mines de Paris et un troisième cycle en relations internationales approfondies du Centre d'études diplomatiques et stratégiques de Paris. Passionné d'aérospatiale, son ambition est de faire de ce secteur un outil de développement pour le continent. La seconde tête d'affiche, est également ingénieur, originaire du Cameroun. Douglas Mbiandou est diplômé de l'Institut national des sciences appliquées (INSA) Lyon. Après avoir développé des applications en France, en Suisse et aux États-Unis il y a 20 ans, il a fondé Osgi, un centre de formation spécialisé dans les technologies Java, Web et mobile.

    Religions du monde
    COP 30 : comment des représentants de différentes religions s'engagent sur le climat

    Religions du monde

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 48:30


    La COP 30 (Conférence sur les changements climatiques), grand rendez-vous pour tenter de s'entendre au niveau mondial dans la lutte contre le changement climatique, s'est ouverte à Belém au Brésil, aux portes de la forêt amazonienne. 10 ans après les Accords de Paris qui avaient fait naître l'espoir d'un effort collectif de toutes les nations du monde pour réduire les gaz à effet de serre et tenter d'inverser la tendance du réchauffement de la planète, le constat est amer. «La vérité est que nous n'avons pas réussi à maintenir le réchauffement à moins de 1,5°C», a reconnu le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Ces efforts conjoints doivent s'exercer au niveau politique, mais en l'absence des plus grands pollueurs comme les États-Unis qui sont sortis de l'Accord de Paris et qui déploient un climato-scepticisme à travers le globe, la dynamique de l'effort n'est pas au rendez-vous. Du côté des représentants des religions dans le monde, certains tentent de s'impliquer. Qu'est-ce que les religions ont à dire sur ces questions ? Comment ces questions sont-elles relayées auprès de leurs fidèles ? Comment certaines des déclarations ont pu avoir un impact, par exemple l'encyclique du pape François, Laudato Si en 2015, qui prône la «sauvegarde de la maison commune» ? Plusieurs représentants de différentes religions et des chercheurs s'expriment dans cette émission, sur les messages et les relais auprès des communautés à travers le monde.   Invités : - Dominique Serra-Coataena, théologienne, maître de conférences en Théologie morale et éthique aux Facultés Loyola à Paris, responsable du domaine éthique, social et environnemental, présidente de l'Association des théologiennes et théologiens pour l'étude de la morale (ATEM), domaine de recherche sur la doctrine sociale de l'Église, thèse sur le Bien Commun. Autrice de : Le défi actuel du Bien commun dans la doctrine sociale de l'Église. Études à partir de Gaston Fessard s.j, éditions Lit-Verlag, coll. «Études de théologie et d'éthique», vol.10, Zurich, 2016. COATANEA Dominique, THOMASSET Alain, (dir.), Le défi écologique : vers de nouveaux chemins, RETM, HS 2018, 2018. - Martin Kopp, théologien protestant, chercheur associé à l'Université de Strasbourg, membre du Conseil de la Fédération protestante de France, très engagé sur les questions d'environnement, au sein de l'ONG GreenFaith, auteur de «Vers une écologie intégrale, théologie pour des vies épanouies» (Éd. Labor et Fides, 2023).   Entretiens : - Yeshaya Dalsace, rabbin du Mouvement Massorti, a fait sa thèse rabbinique sur judaïsme et écologie - Omero Marongiu-Perria, sociologue et théologien musulman - Aurelio Borges, l'un des représentants des quelque 600 communautés quilombolas de l'État du Para (par Jeanne Richard). Analyse et reportage au Village Laudato Si à Castelgandolfo (Italie) / Éric Sénanque.   Éléments : Message du pape Léon XIV lors de la conférence internationale «Raising hope for climate justice» à Castelgandolfo en octobre 2025. Message de Bartholomée 1er, Patriarche Œcuménique de Constantinople, lors de l'Assemblée Générale de la Conférence des Évêques de France à Lourdes, le 4 novembre 2025.

    Reportage international
    Le retour contrarié des migrants mexicains, expulsés ou poussés au départ des États-Unis

    Reportage international

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 2:37


    La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump.   À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis

    Lesfrancais.press's Podcast
    En toute confidence avec Christopher Weissberg, redevenu député des Français de l'étranger

    Lesfrancais.press's Podcast

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 12:37


    Partagez votre opinion avec la rédactionDans ce nouvel épisode d'« En toute confidence » publié sur lesfrancais.press, Christopher Weissberg, député de la 1re circonscription des Français de l'étranger (États‑Unis et Canada), revient sur son retour à l'Assemblée nationale. Suppléant de Roland Lescure, nommé au gouvernement, notre invité franco‑américain retrouve les bancs du Palais‑Bourbon qu'il avait déjà connus de 2022 à 2024. Au fil du podcast, le parlementaire fixe notamment ses priorités pour les Français d'Amérique du Nord : entre recomposition politique à Paris, durcissement des conditions de séjour en Amérique et débats fiscaux récurrents, il veut, entre autres, accompagner nos compatriotes face à ces nouveaux défis.Support the show

    Religions du monde
    COP 30 : comment des représentants de différentes religions s'engagent sur le climat

    Religions du monde

    Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 48:30


    La COP 30 (Conférence sur les changements climatiques), grand rendez-vous pour tenter de s'entendre au niveau mondial dans la lutte contre le changement climatique, s'est ouverte à Belém au Brésil, aux portes de la forêt amazonienne. 10 ans après les Accords de Paris qui avaient fait naître l'espoir d'un effort collectif de toutes les nations du monde pour réduire les gaz à effet de serre et tenter d'inverser la tendance du réchauffement de la planète, le constat est amer. «La vérité est que nous n'avons pas réussi à maintenir le réchauffement à moins de 1,5°C», a reconnu le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres. Ces efforts conjoints doivent s'exercer au niveau politique, mais en l'absence des plus grands pollueurs comme les États-Unis qui sont sortis de l'Accord de Paris et qui déploient un climato-scepticisme à travers le globe, la dynamique de l'effort n'est pas au rendez-vous. Du côté des représentants des religions dans le monde, certains tentent de s'impliquer. Qu'est-ce que les religions ont à dire sur ces questions ? Comment ces questions sont-elles relayées auprès de leurs fidèles ? Comment certaines des déclarations ont pu avoir un impact, par exemple l'encyclique du pape François, Laudato Si en 2015, qui prône la «sauvegarde de la maison commune» ? Plusieurs représentants de différentes religions et des chercheurs s'expriment dans cette émission, sur les messages et les relais auprès des communautés à travers le monde.   Invités : - Dominique Serra-Coataena, théologienne, maître de conférences en Théologie morale et éthique aux Facultés Loyola à Paris, responsable du domaine éthique, social et environnemental, présidente de l'Association des théologiennes et théologiens pour l'étude de la morale (ATEM), domaine de recherche sur la doctrine sociale de l'Église, thèse sur le Bien Commun. Autrice de : Le défi actuel du Bien commun dans la doctrine sociale de l'Église. Études à partir de Gaston Fessard s.j, éditions Lit-Verlag, coll. «Études de théologie et d'éthique», vol.10, Zurich, 2016. COATANEA Dominique, THOMASSET Alain, (dir.), Le défi écologique : vers de nouveaux chemins, RETM, HS 2018, 2018. - Martin Kopp, théologien protestant, chercheur associé à l'Université de Strasbourg, membre du Conseil de la Fédération protestante de France, très engagé sur les questions d'environnement, au sein de l'ONG GreenFaith, auteur de «Vers une écologie intégrale, théologie pour des vies épanouies» (Éd. Labor et Fides, 2023).   Entretiens : - Yeshaya Dalsace, rabbin du Mouvement Massorti, a fait sa thèse rabbinique sur judaïsme et écologie - Omero Marongiu-Perria, sociologue et théologien musulman - Aurelio Borges, l'un des représentants des quelque 600 communautés quilombolas de l'État du Para (par Jeanne Richard). Analyse et reportage au Village Laudato Si à Castelgandolfo (Italie) / Éric Sénanque.   Éléments : Message du pape Léon XIV lors de la conférence internationale «Raising hope for climate justice» à Castelgandolfo en octobre 2025. Message de Bartholomée 1er, Patriarche Œcuménique de Constantinople, lors de l'Assemblée Générale de la Conférence des Évêques de France à Lourdes, le 4 novembre 2025.

    Les Nuits de France Culture
    Ombres et lumières américaines : Conservatisme et ultradroite aux États-Unis : une longue histoire de 1776 au mouvement du Tea Party

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 60:26


    durée : 01:00:26 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Depuis la Révolution américaine de 1776, la droite conservatrice aux États-Unis oscille entre héritage révolutionnaire et opposition à l'État. L'historien André Kaspi nous en explique les racines et les mutations, jusqu'à l'émergence du mouvement Tea Party en 2009 sous Barack Obama. - réalisation : Emily Vallat - invités : André Kaspi Historien, spécialiste des Etats-Unis

    Atelier des médias
    «L'envers de la tech»: Mathilde Saliou observe «ce que le numérique fait au monde»

    Atelier des médias

    Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 41:32


    Alors que la COP30 se déroule à Belém, au Brésil, la journaliste Mathilde Saliou, auteure de L'envers de la tech, expose le coût réel de l'industrie numérique. Le secteur épuise nos ressources et pollue l'écosystème informationnel. L'industrie technologique a réussi à faire accepter, dans l'esprit commun, l'idée que ses services sont dématérialisés, explique la journaliste Mathilde Saliou qui déconstruit ce « mythe complet » dans son livre L'envers de la tech – ce que le numérique fait au monde (éditions Les Pérégrines, octobre 2025). « En fait, l'endroit où l'on envoie nos données, c'est un agrégat de choses très concrètes », rappelle-t-elle en citant data centers, câbles et autres équipements. L'extraction des métaux nécessaires à ces équipements engendre des drames humains. En République démocratique du Congo (RDC) par exemple, la quête du coltan participe à une économie militarisée. La journaliste alerte : « Miner, c'est à la fois, déjà, obliger des populations à travailler dans des conditions déplorables – quelquefois proche de l'esclavage – mais c'est aussi, dans le cas spécifique de la République démocratique du Congo, alimenter les conflits sur place. » Au-delà des mines, les infrastructures comme les centres de données participent à l'artificialisation des sols et aux conflits d'usage pour l'accès à l'eau et à l'énergie. Course à l'IA et pollution de l'information La frénésie pour l'intelligence articielle (IA) générative accélère cette consommation. Mathilde Saliou rappelle qu'une requête à un robot conversationnel « consommerait jusqu'à 10 fois plus d'électricité qu'une recherche par un moteur de recherche classique ». Cette course a rendu caduques les promesses de neutralité carbone des géants du numérique. Sur le plan de l'information, l'IA a donné naissance au phénomène de « boue d'IA » (AI slop), car « c'est aussi un outil qui permet de fabriquer énormément de contenus de faible valeur voir très médiocre, sans intérêt », rendant la recherche en ligne d'information de qualité plus difficile. De plus, Mathilde Saliou estime que le journalisme spécialisé dans ce secteur « manque d'esprit critique », masquant souvent les impacts au profit d'une lecture purement économique du progrès. Face aux velléités des dirigeants de la Silicon Valley, qui adoptent des logiques impériales et autoritaires, la régulation est essentielle, estime la journaliste. Pour elle, l'Europe ne doit pas plier aux pressions venues des États-Unis. L'espoir dans le care Pour reprendre la main face à cette situation, Mathilde Saliou invite à pratiquer une « éthique du soin », préférant la robustesse et la souplesse à la performance. Cela passe par le soin des outils existants (garder plus longtemps son smartphone, réparer son ordinateur au lieu de le remplacer) et le soin des liens sociaux dans le monde réel. Elle conclut en insistant sur la possibilité de débattre et de remettre en question les mythes de l'industrie : « On a vraiment le droit de questionner tous les discours liés à ces notions de progrès ». En construisant des « petites poches de numérique plus égalitaires », chacun peut contribuer à remettre la technologie à sa place d'outil et à œuvrer pour des sociétés plus démocratiques.

    Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
    Ai-je le droit de me regrouper avec d'autres citoyens pour faire condamner une entreprise qui m'a lésé, comme aux États-Unis ?

    Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

    Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 4:07


    Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les émissions de Radio M's en Replay

    13 Unis est un ensemble d'actes mémoriaux de l'Association des victimes du terrorisme. Ils ont organisé des courses et des marches sur les lieux des attaques du 13 novembre, avec les survivants et les familles de victimes. Dans le cadre de 13 Unis, l'artiste plasticien Olivier Terral crée une fresque collaborative, invitant toutes les personnes présentes aux commémorations des 10 ans du 13 novembre à y participer. Réalisé par Tanguy Lacroix.Site de 13 Unis : https://www.13-unis.org/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Six heures - Neuf heures, le samedi - La 1ere

    La 27ème édition de Filmar, le festival du cinéma latino-américain en Suisse, propose cette année un nouveau prix : le Premio Nuestra Voz, décerné par un jury dʹhispanophones de Genève. Parmi les cinq films en compétition : " Dreamers ", qui suit un travailleur mexicain aux États-Unis sans reconnaissance légale. Le documentaire a été tourné avant lʹélection de Donald Trump à la Maison-Blanche. Son coréalisateur, Luc Peter (avec Stéphanie Barbey), a gardé des liens avec le protagoniste du film, qui a depuis obtenu un permis de résidence.

    Revue de presse internationale
    À la Une: révélations sur la stratégie militaire américaine à Gaza

    Revue de presse internationale

    Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 4:01


    C'est un article exclusif du Guardian. Selon le quotidien britannique, « les États-Unis prévoient d'établir à Gaza « une zone verte sécurisée par des troupes internationales et israéliennes ». Il y aurait aussi une « zone rouge », « destinée à être laissée en ruines », et « où seraient déplacés, la quasi-totalité des Palestiniens », selon une information exclusive du quotidien britannique. Pour le Guardian, il y a de quoi s'interroger. « Les plans militaires américains soulèvent de nombreuses questions quant à l'engagement de Washington à transformer le cessez-le-feu, annoncé le mois dernier, en un règlement politique durable avec un contrôle palestinien sur Gaza, comme l'avait promis Donald Trump ». Car tout change très vite côté américain, précise le Guardian, qui parle « d'une approche chaotique et improvisée pour résoudre l'un des conflits les plus complexes et les plus insolubles du monde ». Ainsi, « la reconstruction sous forme « de camps fermés pour des petits groupes de Palestiniens », a-t-elle été « abandonnée cette semaine », selon un responsable américain. Un changement de plan dont « les organisations humanitaires n'ont pas été informées ». Pendant ce temps, conclut le Guardian, « près d'un million et demi de Palestiniens attendent des abris d'urgence, et des centaines de milliers d'autres vivent sous des tentes sans accès aux services essentiels, comme l'eau potable ». L'ombre des narcotrafiquants sur un nouvel assassinat à Marseille Toute la presse française s'en émeut ce matin. « Absolument terrifiant » titre Le Parisien, « Mehdi, 20 ans, petit frère d'Amine Kessaci, militant écologiste de 22 ans engagé dans la lutte contre le narco-banditisme, a été tué jeudi par un commando. L'ombre d'un crime d'avertissement plane » ajoute le quotidien, qui parle « d'une exécution en règle par deux hommes à moto, devant une pharmacie des quartiers nord de la ville ». « Un travail de pro », selon une source sécuritaire. Le Monde cite les propos du ministre de la Justice, Gérald Darmanin qui évoque « un point de bascule effrayant », un assassinat qui « doit faire prendre conscience du danger de cette mafia du narco-banditisme à l'ensemble de la société française ». « Le narcotrafic s'immisce dans la campagne pour les municipales », titre de son côté Le Figaro, pour qui « l'assassinat du frère du militant écologiste ravive les craintes des élus locaux, confrontés à un niveau de violence et d'intimidation jamais atteint ». Quant au journal Libération, il a interrogé la chercheuse Clotilde Champeyrache, qui parle de « méthodes qui font écho à l'ultra-violence des narcos colombiens ». « L'assassinat de Mehdi Kessaci est-il un acte d'intimidation, est-ce nouveau ? » lui demande le journal. « Si c'est avéré, oui, ça serait une nouveauté en France », répond-elle […] Ce sont des façons de faire qui font écho à l'Amérique latine ».  Où est vraiment Vladimir Poutine ? Question posée par le quotidien français La Croix, qui se fait l'écho d'une enquête de Radio Free Europe, selon laquelle « le bureau du président russe aurait été reproduit à l'identique dans deux autres lieux, pour faire croire à sa présence dans la capitale ». La radio américaine « a ainsi analysé près de 700 vidéos et en est arrivée à la conclusion que bon nombre des séquences présentées comme filmées à Moscou, l'étaient en réalité dans des résidences secondaires du chef de l'État, à Valdaï (entre Moscou et Saint-Pétersbourg) ou à Sotchi ». Selon La Croix, « c'est une poignée de porte qui a mis Radio Free Europe sur la piste du subterfuge », elle a en effet constaté « que la poignée de porte était, dans un cas, quelques centimètres plus haut que l'autre, par rapport à une ligne sur le papier peint ». D'autres défauts ont aussi été relevés. Pourquoi Vladimir Poutine joue-t-il ainsi à cache-cache ? Sans doute pour « des raisons de sécurité », estime La Croix. « Sa résidence de Valdaï est dissimulée dans une forêt à l'abri des frappes de drones ukrainiens ».

    Les matins
    Josep Borrell, ancien chef de la diplomatie de l'UE : "Face à Gaza, l'Europe a été hors-jeu, incapable d'agir"

    Les matins

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 35:36


    durée : 00:35:36 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - De Gaza, à l'Ukraine en passant par les rapports avec les États-Unis de Donald Trump, l'ancien vice-président de la Commission européenne Josep Borrell revient sur le rôle de l'Europe dans ces crises. Même si celle-ci tente de s'affirmer, elle reste trop souvent, selon lui, au second plan. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Josep Borrell Ancien vice-président de la Commission européenne - Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité

    Cultures monde
    Retour des Etats-Unis // Table-ronde - Turquie : face à Erdogan, une opposition impossible ?

    Cultures monde

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 58:57


    durée : 00:58:57 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Max Laulom qui rentre d'Oklahoma aux États-Unis, puis table-ronde sur la Turquie où l'opposition à Erdoğan est affaiblie suite à l'arrestation du maire d'Istanbul, en mars 2025 : Ekrem İmamoğlu. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Max Laulom Réalisateur/Producteur; Didier Billion directeur adjoint de l'IRIS, dirige le Programme Moyen-Orient/Afrique du Nord de cet institut, spécialiste de la Turquie.; Gülçin Erdi directrice de recherche au CNRS au sein du laboratoire CITERES-MSH à Tours

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] Sénégal : dette record, qu'est-ce qui bloque avec le FMI ?

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 19:30


    Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les difficultés de la filière du coton africain et la fin du shutdown aux États-Unis. Sénégal : dette record, qu'est-ce qui bloque avec le FMI ?  Écrasé par un endettement devenu insoutenable, le Sénégal n'a pas réussi à obtenir un accord avec le Fonds monétaire international lors de récentes discussions à Dakar. Comment expliquer l'échec des négociations ? Quelles conséquences cette impasse pourrait avoir sur l'économie du pays ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.     Coton : la filière africaine en lutte pour sa survie   Déjà confronté à la chute des cours mondiaux et à une forte concurrence, le coton africain traverse une période critique depuis la mise en place des droits de douane de Donald Trump. De quelle manière les taxes américaines affectent-elles la filière ? Comment rendre plus attractif l'or blanc africain ? Avec Marie-Pierre Olphand, journaliste pour la Chronique des matières premières sur RFI.     États-Unis : comment les sénateurs ont-ils réussi à mettre fin au shutdown  ?  Après six semaines de blocage, le Congrès a adopté un texte mettant fin à la plus longue paralysie budgétaire de l'histoire des États-Unis. Pourquoi une partie des démocrates a-t-elle finalement voté en faveur du texte républicain ? Quelles ont été les conséquences de ce shutdown sur l'économie américaine ?    Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en Rhétorique présidentielle.

    La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
    L'Argentine, les États-Unis et le Maroc font la Une de la presse internationale

    La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 2:45


    Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Invité Afrique
    «Le Sahel est l'épicentre de l'expansion jihadiste en Afrique», explique le chercheur Luis Martinez

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 6:49


    « L'Afrique est-elle le prochain califat ? », demandait il y a deux ans l'universitaire français Luis Martinez, dans un ouvrage au titre provocateur, paru aux éditions Tallandier. Aujourd'hui, la question se pose au Mali, où les jihadistes du Jnim essayent d'imposer le blocus de Bamako et où les États-Unis et la France conseillent à leurs ressortissants de quitter le pays au plus vite. Mais y a-t-il vraiment une menace sécuritaire de la part des jihadistes sur la ville de Bamako ? Luis Martinez, qui est directeur de recherches au Centre de recherches internationales (CERI), répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Deux ans après la sortie de votre livre, continuez-vous de penser que l'Afrique peut devenir le prochain califat ? Luis Martinez : Je pense qu'en Afrique, et en particulier dans le Sahel, il y a des conditions pour voir émerger des territoires qui seraient gouvernés par des jihadistes, qui chercheraient à mettre en œuvre ce qu'ils cherchent depuis quelques années, à savoir un califat. Quand vous dites que le jihadisme est en expansion, pensez-vous en priorité à l'Afrique de l'Ouest ou à l'Afrique de l'Est ? Disons que le vivier, le cœur ou l'épicentre, c'est clairement le Sahel. Tout simplement parce que les conditions de ces dix dernières années nous montrent qu'il y a eu une constellation qui a favorisé leur expansion. Je ne reviens pas sur les déterminants intérieurs et régionaux, mais les conditions ont été vraiment propices à leur développement. Et leur projet ne s'arrête pas là. Il est clair qu'on voit bien qu'il y a des tentatives vers l'Afrique de l'Ouest, sur le Bénin, le Togo, le Nigeria, bien évidemment, et depuis longtemps dans certaines régions. Mais le Sahel reste quand même l'épicentre en raison d'un certain nombre de conditions qui sont quand même très favorables. Certains observateurs disent qu'après ses échecs en Irak et en Syrie, le groupe État islamique essaie de faire de l'Afrique de l'Est une base de repli, notamment en Somalie ? En Somalie, c'est clair qu'il y a dans l'État semi-autonome du Puntland ou d'autres régions, là aussi, des conditions qui pourraient amener à une installation. Mais en même temps, on est en Somalie, c'est un environnement qui, peut-être, n'est pas celui du Sahel, avec un engagement des États-Unis qui, sans doute, limite ou limiterait, dans la durée, la possibilité de vraiment s'y installer. Pour revenir à l'Afrique de l'Ouest, quel est, à votre avis, le pays le plus exposé à l'instauration d'un éventuel califat jihadiste ? Clairement, c'est le Mali qui apparaît dans l'agenda jihadiste comme celui qui pourrait le plus facilement, dans les semaines, les mois, voire les années à venir, constituer un terrain nouveau d'instauration d'un califat. Alors pourquoi ? Tout simplement parce qu'il y a quand même un isolement de Bamako, à la fois vis-à-vis de la France et vis-à-vis du voisin algérien. Mais également, ses partenaires et alliés, que ce soit le Burkina ou le Niger, ont eux-mêmes de graves difficultés sur place pour pouvoir lui venir en aide. Quant à la Russie, je pense que les quelque 2 000 ou 3 000 mercenaires de l'Africa Corps ne peuvent strictement rien faire face à une insurrection jihadiste. On l'a vu avec la France avec ses 6 000 hommes, ce ne sont pas les 2 000 ou 3 000 hommes de la Russie qui vont modifier la donne. Je pense que l'approche militaire, de toute manière, est vouée à l'échec. Parce qu'il faudrait vraiment passer par les armes et faire des massacres dans toutes les régions du Mali pour restaurer l'ordre et la sécurité, ce que quasiment aucun État occidental n'assumerait de faire. Et évidemment, la Russie a d'autres soucis en Europe et en Ukraine pour pouvoir considérer que le Mali est stratégique dans sa politique. Aujourd'hui, l'armée malienne est quand même assez isolée pour pouvoir bénéficier d'une capacité, non seulement de résistance, mais de reconquête de son territoire. Cela me semble, comme beaucoup d'observateurs, voué à l'échec. Quand vous voyez que les États-Unis et les grands pays européens appellent leurs ressortissants à quitter Bamako, y voyez-vous le signe d'une prise possible de cette capitale africaine, notamment par le Jnim d'Iyad Ag Ghaly ? Je ne sais pas dans les détails. Aujourd'hui, Bamako peut tomber ou pas. Ce qui est sûr, c'est que depuis quelques années, le Jnim a construit une vraie stratégie pour, entre guillemets, isoler Bamako sur le plan territorial, isoler le pouvoir politique sur le plan sociétal, dont l'influence est limitée. Et maintenant, sans doute, chercher à l'isoler économiquement, financièrement. Toutes ces conditions vont-elles faire que les militaires à Bamako vont considérer qu'il n'y a plus d'échappatoire ? Ou bien vont-ils estimer qu'ils peuvent s'en accommoder ? Un peu comme à Kaboul où, pendant des années, on s'est accommodé de ne pas pouvoir sortir au-delà de 30 km de Kaboul, parce qu'il y avait les talibans à côté. Voilà, cela va dépendre. Le Jnim n'a aucune capacité, aujourd'hui, de conquête, au sens militaire du terme, d'entrer dans Bamako. Le Jnim a toujours recherché ce qu'on pourrait appeler des partenaires politiques, militaires et religieux pour lui ouvrir les portes de Bamako. C'est-à-dire faire en sorte que, de l'intérieur, on se débarrasse de la junte et on négocie des alliances avec le Jnim dans ce qu'on pourrait appeler une co-gouvernance de la capitale et de l'État malien. À une époque passée, pas très lointaine, il y avait l'imam Mahmoud Dicko qui aurait pu remplir ce rôle. Lui-même avait fondé le Coordination des mouvements, associations et sympathisants de l'imam Dicko (CMAS), ce qui est donc une sorte de coordination de mouvements civils et religieux qui avait encouragé un dialogue jusqu'en 2019 et 2020. À partir de 2022, les militaires au pouvoir à Bamako l'ont quasiment pourchassé. Il est exilé en Algérie en ce moment. Mais c'est ce type de personnage que les groupes jihadistes recherchent. C'est-à-dire des figures religieuses, politiques, voire demain militaires, qui puissent être des passerelles pour ouvrir les portes de Bamako. Parce que les djihadistes du Sahel sont pour beaucoup des Arabes et des Touaregs qui seraient minoritaires dans la ville de Bamako ? Il y a à la fois cette dimension ethnique, communautaire qui jouerait, mais en même temps, il y a l'expérience passée, c'est-à-dire la conquête militaire d'une ville, voire sa prise complète du pouvoir. Le Jnim a bien regardé ce qui s'est passé avec le groupe État islamique du côté de Syrte, en Libye. Cela a généré immédiatement une coalition internationale pour déloger le groupe État islamique de la ville de Syrte en 2014 et 2015. Donc il y a cette idée que le Jnim ne veut pas apparaître comme un projet politique radical qui s'imposerait à la société, mais comme une alternative politique et religieuse que la société serait prête à accompagner. Cela fait quelques années que le Jnim, entre guillemets, gouverne un certain nombre de régions, et Bamako serait un peu la vitrine. Entrer par la force à Bamako pourrait susciter des réactions tout à fait contraires à son projet. Il y a dix ans, les attentats de Paris et de Saint-Denis ont été prémédités et préparés au Moyen-Orient, et donc pas en Afrique de l'Ouest. Est-ce à dire que les jihadistes qui opèrent en Afrique et au Sahel ne représentent pas une menace terroriste pour l'Europe ? Il me semble que le contexte du Moyen-Orient, qui était quand même un contexte d'ingérence de forces étrangères extrêmement importantes – la guerre d'Irak, la guerre contre Al-Qaïda, et toute une série de variables – avait construit une vraie haine de l'Occident et des pays alliés à l'Occident. Il me semble que l'on n'a pas cette configuration aujourd'hui dans le Sahel. À la rigueur, je dirais presque que c'est une chance pour la France aujourd'hui de ne pas être associée à cette avancée spectaculaire des jihadistes et de ne pas chercher à les combattre militairement sur place. Tout simplement parce qu'ainsi cela ne va pas générer un certain nombre de griefs, de colère contre la France. Il y a déjà le passé colonial. Il y a déjà le passé post-colonial de la Françafrique. Je pense qu'aujourd'hui, la France est, entre guillemets, mieux lotie en étant loin de ce type de transformation de la société du Sahel plutôt qu'en y étant présente. Cela ne veut pas dire demain que cette région ne pourrait pas, bien évidemment, devenir une base pour certains groupes qui, entre guillemets, échapperaient à la gouvernance du Jnim et chercheraient à exploiter les failles d'une gouvernance califale pour frapper l'Occident. Cela, en toute sincérité, je n'en sais rien aujourd'hui.   À lire aussiMali: record d'enlèvements d'étrangers par les jihadistes

    Une histoire particulière, un récit documentaire
    Marie Denizard, de la présidentielle à l'asile 1/2 : Une candidate d'avant-garde

    Une histoire particulière, un récit documentaire

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 28:49


    durée : 00:28:49 - Une histoire particulière - par : Camille Desombre - À la veille de la Grande Guerre, une féministe amiénoise fait parler d'elle jusqu'aux États-Unis : après les législatives de 1911, elle annonce par voie de presse sa candidature à la présidentielle de 1913… et fait face aux railleries misogynes. - réalisation : Anne Depelchin

    L'info en intégrale - Europe 1
    Le journal de 7h du 14/11/2025

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 8:21


    Dans cette édition :Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, donne de ses nouvelles depuis l'hôpital de Berlin où il est retenu, et exprime son espoir de rentrer bientôt en France.La nation rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, avec une cérémonie émouvante à Paris et la participation de milliers de personnes.Le président du Rassemblement National, Jordan Bardella, regrette de ne pas avoir été convié à la cérémonie officielle, qu'il juge comme un "mépris" envers des millions de Français.La menace terroriste reste préoccupante au Mali, où l'État islamique gagne du terrain et mène un "djihad économique" en coupant les routes et les approvisionnements.L'équipe de France de football se qualifie pour la Coupe du Monde 2026 aux États-Unis, avec une victoire 4-0 contre l'Ukraine, dans une ambiance particulière le 13 novembre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Monde Numérique - Jérôme Colombain
    ✍️ Edito – 2025, année zéro des robots humanoïdes

    Monde Numérique - Jérôme Colombain

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 6:10


    Entre prouesses technologiques et chutes spectaculaires, 2025 marque le véritable départ de la robotique humanoïde. Une course mondiale s'engage entre États-Unis, Chine et Europe.La chute d'A.I.Dol, symbole d'une robotique en apprentissageEn novembre à Moscou, le robot russe A.I.Dol s'est effondré dès son entrée en scène. Pensé pour incarner la puissance technologique du pays, il est devenu malgré lui le symbole des limites actuelles de la robotique humanoïde. L'épisode a fait rire le monde entier, mais il illustre surtout une vérité : la route vers des machines capables d'évoluer naturellement dans notre environnement humain reste longue et semée d'embûches.2025, du laboratoire à la mise en situation réelleCette année, les humanoïdes sortent enfin des labos. Aux États-Unis, Tesla teste Optimus dans ses usines ; Figure AI, soutenue par OpenAI, présente un robot capable d'effectuer des tâches ménagères. En Chine, la mobilisation est massive : des dizaines d'entreprises, soutenues par l'État, développent des robots pour l'industrie et la santé. Même les « marathons de robots » se multiplient à Pékin, preuve d'une émulation sans précédent. La robotique humanoïde est devenue un enjeu stratégique national.L'Europe avance prudemment mais sûrementSur le continent européen, la philosophie est différente : prudente, humaniste, réfléchie. En France, Wandercraft prépare Calvin 40 pour les usines ; au Royaume-Uni, Ameca fascine par ses expressions réalistes ; en Norvège, 1X Technologies commercialise Iron, un humanoïde encore maladroit mais prometteur. L'Europe mise sur la coopération homme-machine plutôt que sur la substitution. Cette approche, parfois jugée lente, pourrait pourtant s'avérer payante sur le long terme.Une course mondiale encore balbutianteAucun humanoïde n'est encore autonome. Tous sont partiellement télécommandés, corrigés par des opérateurs humains. Mais chaque chute, chaque essai, alimente les algorithmes d'apprentissage. 2025 n'est pas l'année des robots parfaits, mais celle du coup d'envoi. Et comme toujours dans la tech, celui qui part au bon moment – ni trop tôt, ni trop tard – pourrait bien remporter la course.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don

    L'info en intégrale - Europe 1
    L'Argentine, les États-Unis et le Maroc font la Une de la presse internationale

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 2:45


    Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Journal d'Haïti et des Amériques
    Chili : bataille électorale très polarisée

    Journal d'Haïti et des Amériques

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 30:00


    C'est la dernière ligne droite au Chili avant le premier tour de l'élection présidentielle, dimanche prochain. La campagne est très polarisée : d'un côté, la candidate de gauche Yanette Hara, et de l'autre, l'extrême droite. Des camps que tout oppose, nous raconte notre correspondante Naïla Derroisné. Ce dimanche, 16 novembre 2025, plus de 15 millions de Chiliens seront appelés aux urnes pour choisir entre les 8 candidats présidentiels qui se présentent. Jeannette Jara, la candidate communiste du bloc de la gauche est, pour le moment, la favorite. Mais selon les sondages, elle ne remporterait pas assez de voix pour gagner dès le premier tour. Face à elle, trois candidats de la droite et de l'ultra-droite, dont José Antonio Kast, fondateur du parti Républicain bien positionné lui aussi, pour passer au second tour. Ces derniers mois, la campagne a fortement été marquée par les questions de sécurité, de narcotrafic et de délinquance. Tous les candidats en ont fait leur priorité car ce sont les principales préoccupations des Chiliens, nous précise notre correspondante Naïla Derroisné dans un reportage à Santiago. L'affaire Epstein secoue les républicains et une partie du camp MAGA En voulant étouffer la controverse autour des «Epstein files», les républicains ont finalement ravivé l'affaire, estime le New York Times. Face aux démocrates qui tentaient d'imposer un vote pour publier les documents, les dirigeants du Parti républicain ont lancé en septembre une manœuvre destinée à éviter une mise en difficulté politique : confier à la commission de contrôle de la Chambre, déjà dirigée par les conservateurs, la poursuite d'une enquête sur le dossier Epstein. L'objectif, poursuit le journal, était de montrer un effort de transparence tout en protégeant Donald Trump. Mais cette stratégie s'est retournée contre eux. Coincés entre les appels croissants à la transparence et leur volonté de protéger Trump, les républicains peinent désormais à reprendre le contrôle du dossier. Mais ce n'est pas le seul dossier qui pose un problème à Donald Trump Oui, selon le Washington Post, le président américain fait face à une fronde inhabituelle au sein de sa base MAGA, après avoir affirmé que les États-Unis manquaient de travailleurs «talentueux» et avaient besoin de faire venir davantage d'étrangers qualifiés. Une déclaration qui a été jugée contraire à la devise «l'Amérique d'abord». Ces tensions révèlent les limites de l'autorité de Trump sur son propre mouvement, même si tous s'accordent à dire que la base ne se détournera pas durablement de lui. Les critiques, de plus en plus ouvertes, montrent un populisme désormais autonome, parfois prêt à «guider» Trump plutôt qu'à le suivre. En tout cas, d'après le Washington Post, plusieurs stratèges républicains s'inquiètent que l'enthousiasme pro-Trump s'érode à l'approche des élections de mi-mandat de 2026.   Des footballeurs en grève Des footballeurs colombiens se sont couchés sur la pelouse pour protester contre leurs conditions de travail. D'après le journal La Nacion, les joueurs demandent un accord visant notamment à augmenter le pourcentage qui leur revient lors des transferts, à améliorer la couverture santé et à leur accorder une part des revenus liés aux droits de diffusion télévisuelle. Le malaise touche le football colombien depuis un certain moment. Il y a quelques jours, un club a menacé de faire grève pour demander le paiement d'un mois de salaire qui leur est dû. Selon le site Infobae, la saison 2025 du football colombien se termine dans un contexte de graves difficultés financières pour de nombreux clubs. En Colombie, le Bullerengue est devenu patrimoine immatériel de la nation Ce genre musical et cette danse traditionnelle de la côte caribéenne de Colombie sont nés au cœur des communautés afro-colombiennes à l'époque de l'esclavage. Ils constituaient un outil de résistance contre les colons, un art pour exprimer la liberté et l'identité de ces peuples. Avec une nouvelle loi, le gouvernement vient de franchir un pas historique pour la préservation de la culture afro-colombienne. Notre correspondante à Medellín, Najet Benraba, nous en dit plus, après avoir assisté à plusieurs concerts de Bullerengue.   Journal de la 1re Le Conseil départemental de la Guadeloupe veut en faire avec le conflit qui est en cours au centre hospitalier universitaire.

    Ici c'est France Bleu Paris
    "Hugo Ekitike, un modèle de résilience et de croyance en ses capacités" - 100% PSG, le billet

    Ici c'est France Bleu Paris

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 3:34


    durée : 00:03:34 - 100% PSG - Le billet - L'équipe de France s'est imposé 4-0 face à l'Ukraine au Parc des Princes et s'est qualifié officiellement pour la Coupe du Monde aux États-Unis au Canada et au Mexique. Dans ce succès, Hugo Ekitike a brillé et marqué énormément de points auprès de Didier Deschamps. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Le journal - Europe 1
    Le journal de 7h du 14/11/2025

    Le journal - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 8:21


    Dans cette édition :Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, donne de ses nouvelles depuis l'hôpital de Berlin où il est retenu, et exprime son espoir de rentrer bientôt en France.La nation rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, avec une cérémonie émouvante à Paris et la participation de milliers de personnes.Le président du Rassemblement National, Jordan Bardella, regrette de ne pas avoir été convié à la cérémonie officielle, qu'il juge comme un "mépris" envers des millions de Français.La menace terroriste reste préoccupante au Mali, où l'État islamique gagne du terrain et mène un "djihad économique" en coupant les routes et les approvisionnements.L'équipe de France de football se qualifie pour la Coupe du Monde 2026 aux États-Unis, avec une victoire 4-0 contre l'Ukraine, dans une ambiance particulière le 13 novembre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Un air d'amérique
    Gaza : des militants du Hamas bloqués dans un tunnel, le plan Trump peut-il "capoter" ?

    Un air d'amérique

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:11


    La poursuite du cessez-le-feu dans la bande de Gaza est suspendue au sort de militants du Hamas , piégés dans un tunnel dans le sud de l'enclave contrôlée par Israël. Ils sont près de 200 et les États-Unis ont bien l'intention de régler le problème pour éviter de voir "capoter" le plan de Donald Trump.Écoutez RTL autour du monde du 13 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les matins
    Faux streams et Breaking Rust, c'est la cacIAphonie !

    Les matins

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 3:25


    durée : 00:03:25 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le projet Breaking Rust crée la polémique, cet "artiste" s'est classé au top des titres de country les plus téléchargés aux États-Unis, mais le morceau serait totalement généré par l'IA. Explications.

    Entendez-vous l'éco ?
    Sanctions sur le pétrole russe : les États-Unis mettent la pression sur Moscou

    Entendez-vous l'éco ?

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 5:54


    durée : 00:05:54 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Moins d'un mois après leur annonce, les sanctions américaines contre les deux principales compagnies pétrolières russes ont déjà des effets sur les volumes et les prix des exportations opérées depuis la Russie. Notamment en raison de la détermination affichée de Washington à les appliquer. - invités : Sylvain Tronchet Journaliste, correspondant de Radio France à Moscou

    La Story
    La bataille pour les terres rares aura bien lieu

    La Story

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 27:57


    La Chine s'est servie des terres rares pour contrer la guerre commerciale de Donald Trump alors que l'Europe industrielle et militaire a pris conscience de sa dépendance.Car Pékin domine le marché des terres rares, cruciales pour les technologies modernes, en contrôlant 60 % de l'extraction et 90 % du raffinage mondial. Les États-Unis et l'Europe intensifient leurs efforts pour réduire leur dépendance, notamment via des projets industriels et des lois sur les matériaux critiques. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et Etienne Goetz retracent les soubresauts de ce marché essentiel pour la technologie mondiale.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Etienne Goetz (journaliste au service Marchés des Echos) et Stéphane Crosnier (Managing director chez Inverto, groupe BCG). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : David Becker/Zuma/Sipa. Sons : BFM Business, LCP, TV5 Monde, RTBF Info.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryAnnonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    L'info en intégrale - Europe 1
    EXTRAIT - Commémorations des attentats du 13 Novembre : les Français unis dans le reccueillement

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:24


    Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Journal d'Haïti et des Amériques
    Attentats du 13 novembre à Paris: «Au Chili, ma famille et moi sommes seules avec notre douleur»

    Journal d'Haïti et des Amériques

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 30:00


    Ce jeudi 13 novembre 2025 marque les 10 ans des attentats de Paris et de Saint-Denis. Le Stade de France, des terrasses de bars et la salle de concert du Bataclan avaient été pris pour cible par des terroristes se revendiquant du groupe État islamique. 132 personnes ont été tuées, dont des étrangers, comme Luis Felipe Zschoche Valle, un Chilien de 33 ans. Sa famille vient tous les ans à Paris honorer sa mémoire. Sa famille s'est confiée à RFI. La mère de Luis Felipe, Nancy Valle, a assisté aux cérémonies de ce jeudi 13 novembre 2025, comme les années précédentes. «Pour moi, c'est une année comme les autres», expliquait-elle au micro de Marine de La Moissonnière, quelques heures plus tôt. «Dix ans, ce n'est rien parce que l'absence est toujours là. Ce sont dix années de jours vides, de silences éloquents. Tous les jours, je pense à mon fils», poursuit-elle. «Avec le temps, ma peine s'est transformée. C'est une douleur plus apaisée : je ne ressens plus de rage, d'impuissance, de sentiment d'échec de n'avoir pas réussi à protéger mon enfant. Il n'y a plus rien à faire que se souvenir de lui, célébrer sa vie et honorer sa mémoire. Et c'est très important parce que ça peut permettre que cela ne se reproduise plus jamais», souligne-t-elle. «Chaque année, quand approche la date du 13 novembre, cette blessure qui est en train de cicatriser s'ouvre à nouveau.» Après avoir assisté aux cérémonies d'hommages, elle partira pour Gap où son fils est enterré. «C'est mon rituel, chaque année. Puis chaque fois, quand je repars pour le Chili, j'ai l'impression de l'abandonner, explique-t-elle, très émue. Ça me fait du bien d'être à Paris et à Gap, avec des gens qui ont vécu la même chose que moi. On se réconforte entre nous. Au Chili, ma famille et moi, on est seules avec notre douleur. Je n'ai personne avec qui parler de tout ça. Mais ici en France, si. Et ça fait du bien.» Le procès qui s'est tenu en 2021 et 2022 a aussi contribué à apaiser cette douleur. «Avant le procès, je n'existais pas pour la justice : personne ne nous a prévenues de la tenue du procès. On l'a su grâce à des journalistes de Radio France Internationale qui nous ont aussi expliqué comment y participer», se remémore Nancy Valle. «Ce procès m'a aidée. Il a été comme une reconstruction judiciaire. Cela m'a un peu apaisée de savoir que la justice avait fait son travail. C'est une satisfaction de savoir que les accusés ont été jugés et condamnés», conclut-elle.   Haïti : la sécurité des ports mise en cause par les États-Unis La garde-côtière américaine a déterminé que «le gouvernement haïtien ne mettait pas en œuvre de manière substantielle le Code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires au niveau national et au niveau des installations portuaires» et ne «constatait pas la mise en place de mesures de sécurité efficaces», peut-on lire dans une lettre transmise au gouvernement haïtien via l'ambassade des États-Unis en Haïti, rapporte Le Nouvelliste, mercredi 12 novembre 2025. Tirs, kidnappings, à quai ou en mer, «depuis des mois, les ports et des navires sont attaqués par les gangs», ajoute son rédacteur en chef, Frantz Duval, alors que «Haïti importe par voie maritime plus de 80% de ses biens de consommation», souligne-t-il.    Le plus long shutdown de l'histoire des États-Unis s'achève Après plus de 40 jours de paralysie budgétaire, les fonctionnaires vont de nouveau pouvoir être payés et les programmes d'aides sociales vont reprendre, notamment l'aide alimentaire SNAP. Certains élus démocrates ont voté contre la ligne de leur parti, qui exigeait la prolongation des aides publiques pour le système d'assurance santé Obamacare. «Stupidity never shuts down» («La stupidité ne s'arrête jamais»), ce titre assassin et ce jeu de mots ont été choisis par le Wall Street Journal pour son éditorial du jour. Le quotidien économique se moque des démocrates qui ont cru que, plus la paralysie budgétaire durerait, plus ils auraient de chance d'obtenir la prolongation de l'Obamacare. Ce n'était «pas la stratégie la plus maline», estime le quotidien. Le quotidien Detroit Free Press est plus clément : les élus démocrates qui ont voté avec les républicains pour mettre fin au shutdown le plus long de l'histoire du pays «avaient des arguments entendables», lit-on dans une tribune publiée sur le site de ce média du Michigan. Par exemple, celui de considérer que les citoyens touchés par la paralysie budgétaire avaient «assez souffert». «Qu'auriez-vous fait à leur place ?», interroge l'auteur, qui s'adresse aux électeurs états-uniens. À ses yeux, il reste encore une chance de prolonger Obamacare.   Campagne électorale tendue au Honduras Le Honduras se prépare à voter pour choisir son nouveau ou sa nouvelle présidente, le 30 novembre 2025. La campagne se déroule dans un climat de «crispation» selon El Heraldo, à Tegucigalpa. La majorité sortante de gauche et l'opposition de droite s'accusent mutuellement de vouloir attenter contre la transparence et la sincérité du vote. D'un côté, une enquête a été ouverte contre un député de droite ou encore contre une membre de l'autorité électorale, soupçonnés d'avoir voulu organiser une fraude. De l'autre, le gouvernement de gauche est particulièrement critiqué après avoir annoncé que l'armée sera chargée de réaliser un décompte parallèle des voix. Les candidats de l'opposition ont appelé ce mercredi 12 novembre 2025 à «protéger» l'intégrité du processus électoral. Même les États-Unis ont décidé de s'en mêler. Le secrétaire d'État adjoint du gouvernement Trump, Christopher Landau, prévient que Washington «suit de près le processus électoral», rapporte le journal La Tribuna. Le gouvernement états-unien «exhorte les autorités [...] à respecter les lois et la Constitution», faute de quoi il «réagira rapidement», rapporte encore le média hondurien, qui y voit un «avertissement» de la part du grand voisin régional. El Heraldo nuance tout de même cette menace et pointe du doigt la «naïveté de l'opposition», qui insinue, selon le journal, que les États-Unis pourraient envahir le Honduras en cas de victoire de la majorité sortante de gauche. La présidente Xiomara Castro n'échappe pas aux critiques, cette fois-ci dans La Prensa, dont un des éditorialistes accuse la dirigeante d'attiser les divisions au sein de la société hondurienne.   Dans les Caraïbes françaises... Le saviez-vous ? La Martinique est la région de France où l'on compte le plus de… personnes âgées, nous raconte Benoît Ferrand, de La 1ère.

    Choses à Savoir ÉCONOMIE
    Qu'est-ce que le Shutddown ?

    Choses à Savoir ÉCONOMIE

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 2:47


    Aux États-Unis, le mot shutdown désigne littéralement « la fermeture » du gouvernement fédéral. Mais derrière ce terme se cache un mécanisme bien particulier du système politique américain, lié à la manière dont le pays vote et dépense son budget.Chaque année, le Congrès américain – composé de la Chambre des représentants et du Sénat – doit adopter les lois de finances qui fixent les dépenses de l'État fédéral : salaires des fonctionnaires, fonctionnement des agences, programmes sociaux, armée, justice, etc. Si, pour une raison politique, le budget n'est pas voté à temps, alors les administrations concernées ne peuvent plus être financées. Résultat : elles ferment temporairement. C'est ce qu'on appelle le shutdown.Concrètement, lorsque le Congrès échoue à adopter un nouveau budget avant la date limite, une partie du gouvernement cesse de fonctionner. Les services jugés « non essentiels » ferment : les musées, les parcs nationaux, les bureaux administratifs, certaines recherches scientifiques. Des centaines de milliers de fonctionnaires sont placés en congé forcé, sans salaire. Les autres – policiers, militaires, contrôleurs aériens, hôpitaux publics – continuent de travailler, mais sans être payés immédiatement.Un shutdown ne concerne pas tout l'État américain, mais uniquement les activités dépendant du budget fédéral. Les services locaux (écoles, pompiers, police municipale) continuent, car ils relèvent des États ou des villes. En revanche, plus le shutdown dure, plus ses conséquences économiques s'accumulent : retards de paiement, chute de confiance, baisse de la consommation, blocage administratif pour des millions de citoyens.Pourquoi cela arrive-t-il ? Parce que, contrairement à d'autres pays, les États-Unis reposent sur un équilibre strict entre le pouvoir exécutif (le président) et le pouvoir législatif (le Congrès). Quand les deux ne s'entendent pas – par exemple, si la Maison Blanche et la Chambre des représentants appartiennent à des partis opposés – le budget peut devenir un instrument de pression politique. C'est souvent le cas : un camp bloque le financement pour obtenir des concessions sur un autre sujet, comme l'immigration, la dette ou les dépenses militaires.Depuis les années 1980, les États-Unis ont connu une vingtaine de shutdowns. Certains ont duré quelques heures, d'autres plusieurs semaines, comme celui de 2018-2019, resté le plus long de l'histoire avec 35 jours d'arrêt partiel du gouvernement.En résumé, le shutdown est une arme politique autant qu'une crise budgétaire : c'est la conséquence directe d'un désaccord entre les pouvoirs américains, qui paralyse temporairement l'administration et rappelle la fragilité du compromis au cœur du système fédéral américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Le journal - Europe 1
    EXTRAIT - Commémorations des attentats du 13 Novembre : les Français unis dans le reccueillement

    Le journal - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:24


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    Les histoires de 28 Minutes
    Ta-Nehisi Coates / Djihadisme au Mali : risque de déflagration en Afrique ?

    Les histoires de 28 Minutes

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 45:16


    L'émission 28 minutes du 13/11/2025 Parler, c'est résister : le langage comme arme politique pour l'américain Ta-Nehisi CoatesJournaliste, écrivain, professeur d'université, scénariste : Ta-Nehisi Coates est sûrement l'un des penseurs afro-américains les plus influents de sa génération. Il publie "Le message" (éditions Autrement), un essai écrit après différents voyages dans trois lieux de conflits : au Sénégal, en Caroline du Sud et en Palestine. L'écrivain revient sur le pouvoir de l'écriture et à quel point elle peut être une arme. Il démystifie, entre autres, les récits sur l'île de Gorée, lieu symbolique de l'esclavagisme, questionne la déclaration d'indépendance des États-Unis et s'interroge sur les mécanismes de ségrégation en Palestine. Mali : l'Afrique, nouvel épicentre du djihadisme et du terrorisme dans le monde ? La France a appelé, il y a quelques jours, ses ressortissants à quitter au plus vite le Mali en raison de la menace djihadiste. Bamako, la capitale du pays, est encerclée par les troupes du JNIM, Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans. Depuis deux mois, ce groupe islamiste proche d'Al-Qaida, impose de nombreux blocus sur des villages, dont les convois de carburant. L'objectif du groupe est d'imposer un "calife", selon le chef des services de renseignements extérieurs français. La terreur règne dans le pays. Vendredi dernier, Mariam Cissé, tiktokeuse malienne âgée de 20 ans, a été exécutée en public pour avoir publié des vidéos en faveur de la junte au pouvoir. Dirigée par le général Assimi Goïta, cette dernière avait demandé la fin de l'opération Barkhane au Mali en 2022. Depuis, les troupes françaises ont été remplacées par les forces russes, Africa Corps, milices ayant succédé à Wagner, qui se retrouvent elles-mêmes piégées par le groupe djihadiste. Le JNIM, proche d'Al-Qaida mais aussi de plusieurs émanations de Daech, est-il une menace pour la France ?On en débat avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Francis Kpatindé, enseignant à Sciences Po Paris, spécialiste de la diplomatie africaine et Anna Sylvestre-Treiner, chef du service Afrique au "Monde".  Enfin, Xavier Mauduit revient sur la grâce accordée à l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal pour nous parler de Dostoïevski, lui-même gracié en son temps. Théophile Cossa s'intéresse au fonctionnement de l'économie fragile des trains-couchettes et donne quelques idées de trains de nuit à tester. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio

    Choses à Savoir TECH
    UE/USA : quelles sont les nouvelles réglementations en 2026 ?

    Choses à Savoir TECH

    Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 2:58


    Sept ans après son entrée en vigueur, le RGPD continue d'imposer sa marque, tout en s'inscrivant dans un environnement réglementaire européen devenu beaucoup plus dense. Depuis 2018, l'Union européenne a multiplié les textes pour encadrer l'économie numérique : la directive NIS2 renforce la cybersécurité des opérateurs jugés essentiels, le Data Act organise le partage des données issues des objets connectés, et l'AI Act, premier cadre mondial pour les intelligences artificielles à « haut risque », entre progressivement en application. Ensemble, ces textes redéfinissent les obligations des entreprises, du stockage de données à la gouvernance des algorithmes.Mais une idée reçue circule : non, le registre des traitements n'a pas disparu. La Commission européenne a simplement proposé en 2025 d'en assouplir les conditions pour les petites structures. Ce projet de règlement « Omnibus » permettrait d'exempter davantage d'entreprises, en relevant le seuil de 250 à 750 salariés et en limitant l'obligation aux traitements présentant un « risque élevé ». Le texte est encore à l'étude, mais le principe d'accountability, lui, reste central : chaque organisation doit continuer à documenter ses traitements, ses finalités, ses durées de conservation et ses mesures de sécurité — y compris l'authentification multifacteur et le chiffrement, désormais considérés comme des standards de base. Le Data Act, entré en application le 12 septembre 2025, instaure un droit d'accès et de partage équitable des données générées par les produits connectés. Concrètement, un fabricant ou un fournisseur ne pourra plus bloquer l'accès à ces données : il devra respecter un principe “FRAND” – équitable, raisonnable et non discriminatoire. Les obligations techniques ne s'appliqueront toutefois qu'aux nouveaux produits mis sur le marché à partir de septembre 2026.De son côté, l'AI Act, adopté en 2024, impose d'ici 2026 des obligations lourdes pour les systèmes d'IA dits « à haut risque » : gestion des risques, documentation complète, transparence et audits réguliers. Enfin, NIS2, transposée fin 2024, élargit considérablement le périmètre des entités soumises aux règles de cybersécurité, avec davantage de contrôles, de notifications d'incidents et de sanctions. À l'international, les États-Unis avancent en ordre dispersé : faute de loi fédérale, chaque État – Californie, Virginie, Colorado ou Utah – impose son propre régime. En revanche, les transferts de données entre l'Europe et les États-Unis reposent désormais sur le Data Privacy Framework, validé par Bruxelles en 2023, et toujours en vigueur malgré plusieurs recours. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Un air d'amérique
    Obésité, diabète, apnée du sommeil... : les demandes de visa pour les candidats à l'immigration souffrant de certaines maladies pourront bientôt être refusées ?

    Un air d'amérique

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 1:20


    Les personnes souffrant de diabète, d'obésité ou encore d'apnée du sommeil, ne pourront potentiellement plus obtenir un visa pour les États-Unis, selon une directive de l'administration Trump. Le Président américain pourrait bientôt permettre aux autorités de refuser des visas pour les candidats à l'immigration souffrant de certaines maladies. Écoutez RTL autour du monde du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les actus du jour - Hugo Décrypte
    La Chine dévoile ses ambitions pour écraser les États-Unis dans écologie

    Les actus du jour - Hugo Décrypte

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 12:15


    Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

    Invité Afrique
    «Tshisekedi ne peut aller à Washington sans retrait des troupes rwandaises», estime Patrick Muyaya

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 13:41


    « Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat :  « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR

    Le Super Daily
    Youpi, c'est mercredi et Meta lance sa plateforme IA

    Le Super Daily

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 22:00


    Épisode 1389 : Youpi, c'est mercredi et on vous a compilé un joli récap des dernières nouveautés social media.Meta lance Vibes : des vidéos IA pour remplir le videMeta poursuit sa course à l'intelligence artificielle. Après les États-Unis, le groupe déploie en France sa nouvelle fonctionnalité baptisée Vibes. Objectif : proposer un flux de vidéos courtes générées par IA, à partir de simples descriptions textuelles.Qualitativement c'est plutôt cool. On est pas sur du Sora 2 mais vraiment c'est suffisant pour faire son petit effet. La durée des vidéos générés par conter est extrêmement courte (5 sec).https://www.meta.ai/@hoodville/post/MH3O7rxhIKK?song_id=259335715008035&utm_source=ios_cl—Créateurs vs IA : fascination et inquiétudesL'intelligence artificielle est en train de transformer en profondeur a peu près toutes les industries liées de près ou de loin à la communication et au marketing. Et la Creator Economy n'y écharpera pas. Malgré quelques postures et pudeur de gazelle, les créateurs de contenu comme les professionnels du marketing s'emparent eux aussi de l'IA… mais pas sans réserve. Une étude menée par Stellar Tech sur 5 marchés européens vient mettre des chiffres sur cette mutation.Une étude sur 1000 créateurs de contenu en France, Espagne, Allemagne, Italie.De la nouveauté sur EditTu te souviens de l'application Edits, le capcut à la sauce meta ?La promesse lors de l'annonce était de simplifier et renforcer la création de vidéos verticales pour Instagram . En vrai on l'a attendu avec impatience et au bout du compte on était plutôt déçus. Trop peu d'options, assez rigide et pas beaucoup de place pour l'inspiration.Et bien pour les curieux et les amateurs de montages simples; une mise à jour toute récente a fait évoluer quelques aspects sympa.WhatsApp pourrait bientôt permettre d'échanger avec des utilisateurs d'autres messageries » Si je te parle d'interoperabilité, ca te fait penser à quoi?Et bien aujourd'hui je vais te parler de superoperabilitè.WhatsApp prévoit une nouvelle fonctionnalité pour les utilisateurs européens : la possibilité de communiquer avec des utilisateurs d'autres applications de messagerie. Cette option en test se nomme « Third‑party chat requests » et apparaît dans sa dernière version bêta.En l'activant un utilisateur WhatsApp pourra envoyer et recevoir des messages, photos, vidéos, messages vocaux et fichiers depuis/vers d'autres services compatibles. Une seule application est actuellement mentionnée comme partenaire : BirdyChat, mais d'autres – comme Telegram ou Signal – pourraient suivre s'ils se conforment aux exigences techniques de whatsapp.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    L'info en intégrale - Europe 1
    Le journal de 20h - 12/11/2025

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 11:40


    Dans cette édition :L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été gracié par le président algérien après des mois de négociations, grâce à l'intervention décisive du président allemand.L'Assemblée nationale a voté la suspension de la réforme des retraites, une victoire insuffisante pour la gauche qui réclamait son abrogation totale.Le président Emmanuel Macron a rencontré des agriculteurs remontés à Toulouse et a promis que le traité Mercosur ne serait pas signé sans contrôle aux frontières.Aux États-Unis, Donald Trump espère mettre fin à la paralysie budgétaire qui frappe le pays.Des températures record ont été enregistrées dans le sud-ouest de la France, avec près de 28°C à Biarritz.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    L'info en intégrale - Europe 1
    Le journal de 5h30 du 12/11/2025

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 7:39


    Dans cette édition :Le Mali et Bamako sont menacés par la progression des groupes djihadistes du JNIM, trois ans après le départ des troupes françaises de l'opération Barkhane.Une enquête a été ouverte pour tentative d'assassinat après l'explosion d'un colis piégé à Montluçon, blessant un employé d'une agence d'assurance.Le Parlement français débat de la suspension de la réforme des retraites, une mesure soutenue par une large majorité de députés.Un jeune de 16 ans est décédé à Tourcoing après avoir percuté un poteau en tentant d'échapper à un contrôle de police.Aux États-Unis, le Congrès devrait mettre fin à la paralysie budgétaire qui durait depuis plus de 40 jours.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Aujourd'hui l'économie
    Quel est le coût du «shutdown» pour l'économie des États-Unis?

    Aujourd'hui l'économie

    Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 3:01


    La Chambre des représentants américaine doit se prononcer ce mercredi sur un texte de financement qui pourrait mettre fin au plus long « shutdown » de l'histoire du pays. Si le déblocage politique semble à portée de main, l'impact économique, lui, est déjà lourd avec plus de 10 milliards de dollars de pertes de production, une croissance ralentie et une confiance mise à rude épreuve. Depuis plus de six semaines, l'État fédéral américain fonctionne au ralenti. Faute d'accord entre la Maison Blanche et le Congrès sur le budget 2026, une grande partie des administrations, agences et programmes publics sont à l'arrêt. Le Congressional Budget Office (CBO), organe indépendant du Congrès, a livré une première estimation : l'économie américaine pourrait perdre entre 7 et 14 milliards de dollars de production, soit un peu plus de 10 milliards selon les projections médianes. Sur le trimestre d'automne – octobre, novembre, décembre –, le cabinet EY-Parthenon évalue déjà la perte de croissance à 0,8 point de pourcentage ; un chiffre qui peut sembler faible, mais qui représente des dizaines de milliards de dollars d'activité économique en moins. Ce shutdown est désormais le plus long de l'histoire américaine, dépassant celui de 2019 sous Donald Trump. Et contrairement aux précédentes fermetures temporaires, celui-ci intervient dans un contexte économique déjà tendu : croissance molle, inflation persistante et confiance des consommateurs affaiblie. Fonctionnaires, entreprises, ménages : une économie au ralenti Derrière ces chiffres se cachent des réalités très concrètes. Plus de 750 000 fonctionnaires fédéraux ont été placés en congé forcé ou continuent de travailler sans rémunération. Leur pouvoir d'achat s'effondre avec des conséquences directes sur la consommation locale. Dans les zones dans lesquelles les emplois publics sont nombreux — Washington, Virginie, Maryland — les commerces, restaurants et services de proximité voient leur chiffre d'affaires chuter. Les contrats publics sont, eux aussi, suspendus, touchant des milliers d'entreprises privées qui dépendent des commandes de l'État. Pour certaines petites sociétés sous-traitantes, la trésorerie est déjà exsangue : les paiements gelés mettent en péril des emplois et freinent la reprise de l'investissement. Les programmes sociaux sont également frappés de plein fouet. Les retards de versement d'allocations, notamment du programme d'aide alimentaire SNAP, pénalisent les ménages les plus modestes. Pour des millions d'Américains, cela signifie moins de dépenses dans les supermarchés, donc une baisse de la demande. Le programme Head Start, qui soutient la scolarisation des jeunes enfants, a dû fermer plusieurs centres, empêchant certains parents de travailler. Enfin, la publication de nombreux indicateurs économiques a été suspendue pendant la fermeture, faute de personnel. Or ces statistiques – emploi, inflation, production industrielle – servent de boussole aux entreprises, aux marchés financiers et à la Réserve fédérale. Sans ces données, les investisseurs naviguent à vue. Résultat : un climat d'incertitude budgétaire et institutionnelle qui pèse sur la confiance et complique les décisions économiques. Des pertes en partie irrattrapables, malgré une reprise attendue Si le vote de ce mercredi met effectivement fin au blocage, la reprise de l'activité devrait être rapide dans la plupart des agences fédérales. Les fonctionnaires seront payés rétroactivement, les contrats réactivés et les programmes sociaux relancés. Mais, préviennent les économistes, toutes les pertes ne seront pas compensées. Le CBO estime qu'une partie de la production disparue — entre 7 et 14 milliards de dollars — ne sera jamais récupérée, notamment à cause de la baisse de productivité, de la perte de confiance et des retards administratifs qui freinent durablement les investissements. Chaque jour supplémentaire de fermeture creuse davantage le manque à gagner. Au-delà de 40 jours, le blocage pourrait amputer la croissance annuelle américaine de près de 2 points sur le trimestre, selon plusieurs instituts. « Même si l'administration rouvre demain, le mal est fait », résume un économiste d'EY. Une économie fragilisée sur fond de tensions politiques Ce shutdown intervient à un moment délicat pour les États-Unis. L'économie reste solide en apparence, mais les fondamentaux se dégradent : croissance molle, taux d'épargne en baisse, inflation qui résiste autour de 3 %. Pour de nombreux Américains, cette paralysie est un révélateur des fragilités structurelles du pays : une dépendance croissante aux dépenses fédérales, une instabilité politique chronique et un fossé entre les élus de Washington et le quotidien des ménages. Même si les aéroports rouvrent, les salaires sont versés et les aides sociales reprennent, les séquelles économiques et sociales resteront visibles plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Les retards de paiement s'accumulent, les entreprises devront reconstituer leurs stocks, et les ménages endettés peineront à retrouver un équilibre. Le vote attendu ce mercredi pourrait donc ramener le fonctionnement de l'État à la normale, mais il ne suffira pas à effacer les dégâts. Ce shutdown historique restera comme un signal d'alarme : celui d'une économie américaine capable de s'affaiblir de l'intérieur, non pas à cause d'un choc extérieur, mais à force de blocages politiques répétés. À lire aussi«Shutdown» aux États-Unis: quelles conséquences économiques pour les Américains et les marchés?

    Un air d'amérique
    "Cet accord est très bon" : vers la fin du "shutdown" aux États-Unis, après l'adoption d'un projet de loi ?

    Un air d'amérique

    Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 1:14


    Le Sénat a adopté, dans la nuit du 11 au 12 novembre 2025, le texte qui lève la paralysie budgétaire en vigueur depuis plus de 40 jours. Il doit être adopté à présent par la Chambre des représentants à partir du 13 novembre avant d'être signé par Donald Trump. Écoutez RTL autour du monde du 11 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] Mali : l'exécution d'une TikTokeuse bouleverse le pays

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 19:30


    Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'absence des États-Unis à la COP30, l'enrôlement de soldats africains dans l'armée russe et des mandats d'arrêt turcs contre des responsables israéliens.   Mali : l'exécution d'une TikTokeuse bouleverse le pays   L'assassinat de Mariam Cissé suscite un vif émoi sur les réseaux sociaux. La jeune influenceuse a été fusillée en public sur une place de la ville de Tonka, dans la région de Tombouctou, par des jihadistes présumés. Dans quelles circonstances a-t-elle été tuée ? Pourquoi s'en sont-ils pris à elle ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel.     COP30 : l'absence des États-Unis, une bonne ou mauvaise nouvelle ?  Considérant la crise climatique comme « une grande escroquerie », Donald Trump a annoncé que les États-Unis, 2e plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre, n'enverraient aucun représentant de haut niveau à la COP30 qui se tient à Belèm au Brésil. Cette absence peut-elle avoir un impact sur les négociations ?   Avec Stefanie Schüler, journaliste au service environnement-climat de RFI.       Guerre en Ukraine : Kiev dit stop aux recrutements de combattants africains par Moscou   Selon le ministère des Affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, 1 436 soldats africains de 36 nationalités différentes combattent sur le front en Ukraine pour le compte de la Russie. Quelle est la véracité de ce chiffre ? Comment ces recrutements s'organisent-ils ?   Avec Lou Osborn, membre du collectif All Eyes on Wagner. Co-autrice de l'ouvrage « Wagner, enquête au cœur du système Prigojine » (éditions du Faubourg).       Turquie : 37 mandats d'arrêt pour « génocide » contre des responsables israéliens   Le parquet d'Istanbul a émis des mandats d'arrêt visant le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et 36 autres responsables israéliens, les accusant de « génocide » et de « crimes contre l'humanité » dans le cadre des opérations militaires à Gaza. Quel est le poids de ces mandats d'arrêt alors que depuis un an la CPI demande l'arrestation de Benyamin Netanyahu ?  Avec Lyna Ouandjeli, chercheuse à l'Institut européen d'études sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (Eismena). 

    La petite voix
    [Solo] Quand l'amour aide à écouter sa petite voix

    La petite voix

    Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 13:53


    Aujourd'hui, c'est un épisode solo un peu particulier, parce que je vais vous parler d'amour !Pas seulement de l'amour romantique, mais de cet élan profond qui nous pousse parfois à faire un choix, à oser, à écouter notre petite voix.Et si, face à chaque décision importante, on se demandait simplement : qui parle en moi, l'amour ou la peur ?Inspirée par mes 5 invitées du podcast (Tiffany, Véronique Gallo, Céline, mais aussi Hélène et Virginie), je vous partage dans cet épisode trois grands enseignements : comment faire taire le mental pour entendre ce qui aime en nous, comment suivre ce qui nous fait vibrer même quand ça fait peur, et comment faire confiance à la vie quand l'amour nous appelle.En savoir plus sur les invitées citées :En savoir plus sur Véronique : Renaître sous les projecteursEn savoir plus sur Tiffany : De sœur à mamanEn savoir plus sur Céline : L'amour, sans douteEn savoir plus sur Hélène : La thérapeute qui canalise les messages de nos guidesEn savoir plus sur Virginie : La coach qui nous révèle à nous-mêmeRÉSUMÉ DE L'ÉPISODE SOLO00:01:48 – Introduction du thème : l'amourJ'introduis un épisode solo consacré à l'amour, vu comme une boussole intérieure qui aide à écouter sa petite voix.00:02:51 – Le conseil de Virginie : amour ou peur ?Je partage le conseil de la coach Virginie Mathieu : quand on hésite, se demander qui parle en nous – l'amour ou la peur.00:03:36 – L'amour dans les derniers épisodesJe reviens sur Tiffany et son mari, puis sur Véronique Gallo, pour montrer comment leurs parcours sont guidés par l'amour.00:04:27 – Le silence intérieur, première cléPremière leçon : créer le silence pour entendre la petite voix qui aime, celle du cœur plutôt que celle du mental.00:05:16 – La médium Hélène et l'écoute du justeJ'évoque l'épisode avec Hélène Le Bal, qui enseigne à faire confiance au corps et au silence pour sentir ce qui est juste.00:07:00 – Les élans du cœur selon Véronique et TiffanyJe parle de Véronique Gallo et de Tiffany, qui ont suivi leurs élans d'amour malgré la peur et l'incertitude.00:08:42 – L'histoire de Céline, l'amour inattenduJe raconte l'histoire de Céline, qui a tout quitté pour suivre son cœur et l'amour découvert aux États-Unis.00:09:32 – L'amour, voie parfois déraisonnableDeuxième leçon : la petite voix n'est pas toujours raisonnable, mais elle mène à la confiance et à la justesse.00:10:13 – La confiance dans l'amour universelTroisième leçon : quand on suit l'amour, la vie déploie un parachute plus grand que nos peurs.00:11:10 – Conclusion : écouter ce qui est justeJe résume les trois enseignements et invite à écouter ce qui est juste, même si ce n'est pas simple, pour avancer avec amour.amour • intuition • peur • silence intérieur • cœur • confianceSi vous aimez La petite voix, je compte sur vous pour laisser des commentaires, des étoiles ✨ et des bonnes notes sur votre plateforme de podcast préférée. Merci

    French Expat Le Podcast
    Philippe, Lucie & Gabriel : les trois pièces d'un puzzle construit au fil des générations et des continents

    French Expat Le Podcast

    Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 93:36


    Il y a des familles qui portent dans leurs veines le goût du large. Dans la famille qu'on vous présente cette semaine, les racines plongent en Bretagne et les branches s'étendent jusqu'à la Colombie, le Mexique, les États-Unis et l'Espagne.Philippe, le père, a quitté la France il y a plus de quarante ans pour une vie de biologiste marin au Mexique. Sa fille, Lucie, a grandi entre plusieurs continents, marquée par le deuil de sa mère et le besoin vital de se reconstruire.De Paris à San Francisco, du Japon au Costa Rica, elle trace sa route, curieuse et insatiable, avant de poser ses valises à Valence avec Javier et leurs deux enfants.Et puis il y a Gabriel, 7 ans, petit garçon polyglotte qui rêve d'un pays où les maisons seraient en chocolat, en sable et en ballon.Trois générations, trois parcours, une même philosophie : celle d'un monde sans frontières, où les racines ne se perdent pas, elles se multiplient.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Géopolitique
    Pourquoi la visite du président syrien à Washington est historique

    Géopolitique

    Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 3:09


    durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Ahmed al-Charah est le premier président syrien à se rendre en visite officielle aux États-Unis, mais surtout le premier ex-membre d'Al Qaeda à pénétrer dans la Maison-Blanche. Certains Républicains et Israël se méfient encore de cet ancien djihadiste, mais Donald Trump a décidé de miser sur lui. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.