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durée : 00:04:48 - La BO du monde - A l'image de leur opinion publique très pro-palestinienne, les artistes irlandais sont nombreux à prendre la parole pour Gaza et à critiquer Israël... quitte à susciter la polémique. Les rappeurs de Kneecap en ont fait l'expérience.
Culture Numérique, c'est le podcast qui décrypte pour vous le meilleur de l'actu tech, chaque semaine ! Au programme de cet épisode :Apple poursuivi pour 5 millions de dollars après la perte de 2 To de données iCloud d'un utilisateur américain, suite au vol de son iPhone.ChatGPT Search franchit les 41 millions d'utilisateurs mensuels en Europe, suscitant l'intérêt et l'inquiétude face à Google – mais des études pointent aussi un fort taux d'erreurs dans les résultats.Deezer tire la sonnette d'alarme sur la musique générée par IA, qui représente désormais près de 18 % des nouveaux morceaux quotidiens. La plateforme développe des outils de détection et milite pour une régulation.Netflix se lance dans les podcasts vidéo, pour concurrencer Spotify, YouTube et diversifier son offre dans un contexte de forte concurrence et de critiques sur ses hausses de prix.Mark Zuckerberg admet une baisse d'usage sur Facebook et Instagram, en partie due à TikTok et à la montée de la messagerie privée, au détriment des fils d'actualité publics.Meta renforce la modération sur Instagram grâce à l'IA, pour détecter les adolescents qui mentent sur leur âge et imposer des restrictions adaptées, avec un contrôle parental renforcé.Suivez toute l'actualité du numérique sur Siècle Digital et abonnez-vous au podcast Culture Numérique pour ne manquer aucun épisode ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le géant de la tech est en grand danger. L'entreprise est accablée de procès, chez nous en Europe mais aussi et surtout aux Etats-Unis. Celui qui vient de s'ouvrir à Washington pour 3 semaines pourrait lui couter très cher : la vente, contrainte et forcée, de son navigateur internet, Chrome. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le géant de la tech est en grand danger. L'entreprise est accablée de procès, chez nous en Europe mais aussi et surtout aux Etats-Unis. Celui qui vient de s'ouvrir à Washington pour 3 semaines pourrait lui couter très cher : la vente, contrainte et forcée, de son navigateur internet, Chrome. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En parcourant l'histoire du nord-vaudois, c'est toute la mécanique de la crise industrielle qu'on découvre. Alors qu'une exposition consacrée à cette rupture s'apprête à ouvrir ses portes au musée d'Yverdon, Histoire Vivante est allée à la rencontre d'un historien qui l'a vécue de l'intérieur : Laurent Tissot a fait son mémoire de doctorat sur l'entreprise Paillard, qui, entre 1814 à 1989, a produit les objets phare du XXème siècle, de l'horlogerie aux machines à écrire Hermès Baby en passant par les gramophones, les premières radios et la mythique caméra Bolex. Laurent Tissot, auteur de E.Paillard & Cie, société anonyme. Une entreprise vaudoise de petite mécanique (Editions Delvak, 1987).
Plus de 80% des diamants bruts sont aujourd'hui polis en Inde, pays qui n'est pas épargné par la nouvelle politique douanière américaine. Avec les nouvelles taxes qui s'imposent, toute une filière est plongée dans l'inconnu, de la compagnie minière au bijoutier. Les produits indiens sont désormais taxés à 27% pour entrer sur le sol américain. Cette mesure concerne aussi les diamants qui sont taillés en Inde, car même s'ils ne sont que polis dans le pays, au regard des douanes américaines, la transformation est suffisante pour que leur origine devienne en quelque sorte indienne.D'autres pierres taillées en Inde entrent aux États-Unis simplement pour y être analysées et certifiées avant d'être réexpédiées à leur diamantaire et vendues sur un autre marché. Le laboratoire le plus réputé en la matière est le Gemological Institute of America. Et même ces pierres-là, qui ne sont pas destinées à être vendues sur le sol américain, sont soumises aux taxes. Mais comme la règlementation n'est pas encore très claire, le centre d'expertise a écrit début avril aux diamantaires étrangers pour leur conseiller de ne plus envoyer de pierres à analyser, le temps que la situation se décante.Des milliers d'emplois menacés en IndeLe diamant est le troisième produit d'exportation de l'Inde vers les États-Unis. À court terme, les pertes d'emploi sont inévitables, estime le président de l'Indian Diamond Institute, basé à Surate, la capitale indienne de cette industrie dans laquelle a été inaugurée une bourse au diamant en 2023. L'Inde espère neutraliser ces nouvelles taxes. Les autorités n'ont, pour l'instant, pas pris de mesure de rétorsion. Elles privilégient la négociation d'un accord commercial bilatéral, accord qui pourrait être conclu d'ici à quelques mois.Une filière inquièteÀ chaque étape, de l'extraction à la vente des diamants, c'est l'inconnu qui prévaut. À l'instar de cette mesure prise par un opérateur minier, qui vient d'annoncer, lundi 7 avril, l'annulation d'une vente aux enchères qui arrivait à échéance cette semaine. Annulation jusqu'à nouvel ordre, face aux « incertitudes » du moment, écrit-il dans une lettre à ses clients. Les États-Unis achètent la moitié des diamants vendus dans le monde, et c'est grâce à eux que la consommation avait redécollé avant les fêtes de Noël. Si les Américains s'offrent moins de pierres précieuses, on pourrait voir des compagnies minières du Botswana, ou de Namibie peut-être, lever le pied et moins produire, pour ne pas inonder le marché et risquer de faire chuter les prix. Aucun pays ne pourra, par sa demande en diamants, compenser une éventuelle paralysie du marché américain. Et ce d'autant que les acheteurs qui ont les moyens d'offrir des diamants sont aussi souvent ceux qui ont investi dans les marchés financiers et qui sont aujourd'hui très inquiets de la situation économique mondiale, relève un expert de la filière.À lire aussiInde: Narendra Modi inaugure une «Bourse du diamant» à Surate dans l'État du Gujarat
A l'occasion de la sortie du film Mikado, Pierre Lescure part à la rencontre de Vimala Pons et Féliz Moati. Parents à l'écran, ils reviennent sur leur enfance, leurs rêves et futurs projets.
durée : 00:58:34 - LSD, la série documentaire - par : Quentin Tenaud - Comment la neige crée-t-elle une culture et des imaginaires dans les pays où elle tombe ? En Lozère et en Isère, la neige fait rêver autant qu'elle effraie petits et grands enfants. - réalisation : Agnès Cathou
durée : 00:05:49 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Deux affaires récentes secouent le monde économique turc. L'arrestation du patron de la Tüsiad, le Medef turc, et de son bras droit. Ils dénonçaient l'absence d'état de droit dans le pays, qui nuit aux affaires. Et la démission forcée du directeur du conglomérat Zorlu, sur une question religieuse.
Un malaise social et financier : ces derniers mois, l'Institut royal du Patrimoine fait face à d'importants dysfonctionnements. Le personnel de l'Institut dénonce, notamment, le «manque d'empathie et de communication transparente», un «suivi chaotique» et une «absence de vision» de la part de la direction et un ‘»climat de plus en plus anxiogène». Côté financier, un trou d'un million d'euros est annoncé pour l'exercice comptable de 2024 et l'inspection des finances serre la vis sur d'autres aspects budgétaires.Alain Lallemand s'occupe des questions de politiques culturelles pour Le Soir, dans ce podcast, il revient sur son enquête.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Ils paraissaient jusque-là épargnés par les tensions qui agitent leurs partenaires du Nouveau front populaire (NFP). Les Écologistes affichent depuis l'an passé une certaine sérénité et jouent le rôle du point d'équilibre de l'union de la gauche, régulièrement déchirée par les conflits entre socialistes et insoumis. Ces derniers jours toutefois, les crises s'enchaînent et la direction menée par Marine Tondelier vacille. Avec tout d'abord cette séance de mea culpa médiatique que la patronne des Écologistes a dû s'infliger cette semaine. Marine Tondelier a exprimé « ses regrets » sur la manière dont le parti a géré les accusations contre Julien Bayou. La plainte pour harcèlement moral et abus de faiblesse contre l'ancien dirigeant des Verts vient en effet d'être classée sans suite… Mais celui-ci a vu sa carrière politique exploser en vol, après notamment que les Écologistes aient diligenté une enquête interne contre lui. « Il était impossible de bien faire dans ce dossier » a tenté de se défendre Marine Tondelier. Trop peu, trop tard selon son prédécesseur qui regrette qu'elle ne soit pas capable de reconnaître « son innocence ». Julien Bayou dénonce aussi l'acharnement contre lui de la députée Sandrine Rousseau. Or celle-ci devrait garder sa place dans la direction du parti à l'issue du congrès des Écologistes prévu fin avril.Un congrès sous tensionUn congrès qui suscite aussi de vives critiques à l'encontre de la direction actuelle. Notamment en raison des nouveaux statuts votés l'an passé destinés« à supprimer la balkanisation » habituelle des Écologistes, explique l'eurodéputé David Cormand, proche de Marine Tondelier. Désormais il est plus simple pour la motion la plus importante d'obtenir la majorité absolue, ce qui était quasiment impossible auparavant. « Un problème démocratique et une rupture avec l'esprit du parti », clament de leur côté les opposants, qui reconnaissent toutefois « se réveiller un peu tard ». « On va vers une LFIsation des écolos », peste un cadre du parti, y voyant la volonté de Marine Tondelier de s'inspirer des méthodes autoritaires de Jean-Luc Mélenchon pour préparer sa candidature à la présidentielle.Ambitions présidentielles multiplesSauf qu'elle n'est pas la seule chez les Écologistes et que là aussi, ça pose problème. Notamment avec le maire de Grenoble Éric Piolle, qui ne briguera pas un nouveau mandat en 2026, et qui se serait bien vu porte-parole du parti pour gagner en exposition médiatique en vue de 2027. « Ce n'est pas le principe du poste de porte-parole », cingle David Cormand. Un observateur avisé de la vie des Écologistes préfère lui en rire :« Éric Piolle a été bien naïf de croire que son ancienne protégée Marine Tondelier allait lui dérouler le tapis rouge. Maintenant elle veut être la seule sur la photo ». « Jalousies », réplique-t-on dans le camp Tondelier, où l'on persifle : « certains n'acceptent simplement pas qu'elle soit plus populaire qu'eux ». Bref, bonne ambiance à deux mois du Congrès.
Un malaise social et financier : ces derniers mois, l'Institut royal du Patrimoine fait face à d'importants dysfonctionnements. Le personnel de l'Institut dénonce, notamment, le "manque d'empathie et de communication transparente", un "suivi chaotique" et une "absence de vision" de la part de la direction et un '"climat de plus en plus anxiogène". Côté financier, un trou d'un million d'euros est annoncé pour l'exercice comptable de 2024 et l'inspection des finances serre la vis sur d'autres aspects budgétaires. Alain Lallemand s'occupe des questions de politiques culturelles pour Le Soir, dans ce podcast, il revient sur son enquête.
La parole se libère dans d'autres institutions privées suite aux révélations sur les pratiques à Bétharram, principalement dans le sud ouest. Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Mohamed Bouhafsi raconte une des histoires qui a fait l'actualité du jour.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Au Kurdistan irakien, le gel du financement de l'aide au développement étatsunienne (USAID) décrétée par Donald Trump a entraîné l'interruption de la plupart des programmes humanitaires. Dans une région qui accueille toujours des centaines de milliers de déplacés, les ONG sont sidérées. De notre envoyé spécial au camp de Sharia,Dans les couloirs du centre psychosocial du camp de Sharia, les rires des enfants ont disparu. La suspension de l'aide humanitaire américaine a porté un coup fatal à ce sanctuaire pour les milliers de familles de la minorité Yézidie, victimes des persécutions de l'État islamique et qui vivent depuis 10 ans dans ce camp du Kurdistan irakien.Huwayda, la directrice des lieux, nous ouvre ses portes : « La situation est très triste honnêtement… Regardez le centre, c'est vide. D'habitude, nous avions beaucoup de gens qui venaient visiter le centre, demander du soutien. Mais depuis la suspension des financements, nous n'avons plus grand monde qui travaille. »Les bureaux sont désertés : sur 81 salariés, l'ONG jésuite qui gère le centre depuis 2014 a rompu du jour au lendemain la moitié des contrats. À l'étage, Ikram travaille pour cinq et s'inquiète de l'avenir d'une communauté à laquelle ce programme offrait un soutien encore trop rare en Irak : « Maintenant, sur ma liste d'attente, j'ai plus de 400 personnes qui ont besoin d'un suivi psychologique, de traitements psychiatriques, alerte-t-il. Si nous les laissons comme ça, ils penseront que nous les abandonnons et que nous n'avons rien fait pour eux. Peut-être que la confiance sera détruite. »À lire aussiIrak: dix ans après, les Yézidis toujours marqués par le génocide perpétré par l'État islamique« Ils ont dit que tout pourrait s'arrêter d'un coup, c'était un choc »Pour Zéré, déplacée depuis dix ans avec ses enfants, les visites au centre sont toujours un soulagement avant de regagner sa tente. Prise au dépourvu, elle confesse son angoisse à l'annonce de la nouvelle : « Les psychologues nous ont préparés pour nous dire que nous ne pourrions peut-être pas continuer au-delà de 90 jours. Ils ont même dit que tout pourrait s'arrêter d'un coup. J'ai d'abord pleuré, je n'arrivais plus à manger, c'était un choc. Je crains pour mon futur… »Dans l'intimité d'une salle de consultation, une maman accompagnée de sa petite fille revient sur les traumatismes qui la hantent et qu'elle essaye d'apaiser avec les équipes du centre : « Je revis les massacres que Daech nous a fait subir. Les décapitations, les tortures, je vois encore tout ça, témoigne-t-elle. Ici même, j'ai essayé de me pendre dix fois. J'ai failli réussir. Mon cou devenait bleu. J'ai encore les marques. Honnêtement, c'est grâce à ce centre que je suis encore en vie aujourd'hui. »L'ONG jésuite, financée aux trois quarts par les États-Unis, a choisi d'interrompre la plupart de ses programmes de manière à maintenir tant bien que mal les soins pour les personnes les plus fragiles, comme cette femme : « C'est tellement difficile pour nous. J'espère qu'on ne nous coupera pas l'accès à nos médicaments, qu'on nous laissera les prendre. »Mais faute de financements durables, le centre pourrait bien fermer définitivement.À lire aussiPour les Kurdes syriens réfugiés au Kurdistan irakien, l'impossible retour?
Au Kurdistan irakien, le gel du financement de l'aide au développement étatsunienne (USAID) décrétée par Donald Trump a entraîné l'interruption de la plupart des programmes humanitaires. Dans une région qui accueille toujours des centaines de milliers de déplacés, les ONG sont sidérées. De notre envoyé spécial au camp de Sharia,Dans les couloirs du centre psychosocial du camp de Sharia, les rires des enfants ont disparu. La suspension de l'aide humanitaire américaine a porté un coup fatal à ce sanctuaire pour les milliers de familles de la minorité Yézidie, victimes des persécutions de l'État islamique et qui vivent depuis 10 ans dans ce camp du Kurdistan irakien.Huwayda, la directrice des lieux, nous ouvre ses portes : « La situation est très triste honnêtement… Regardez le centre, c'est vide. D'habitude, nous avions beaucoup de gens qui venaient visiter le centre, demander du soutien. Mais depuis la suspension des financements, nous n'avons plus grand monde qui travaille. »Les bureaux sont désertés : sur 81 salariés, l'ONG jésuite qui gère le centre depuis 2014 a rompu du jour au lendemain la moitié des contrats. À l'étage, Ikram travaille pour cinq et s'inquiète de l'avenir d'une communauté à laquelle ce programme offrait un soutien encore trop rare en Irak : « Maintenant, sur ma liste d'attente, j'ai plus de 400 personnes qui ont besoin d'un suivi psychologique, de traitements psychiatriques, alerte-t-il. Si nous les laissons comme ça, ils penseront que nous les abandonnons et que nous n'avons rien fait pour eux. Peut-être que la confiance sera détruite. »À lire aussiIrak: dix ans après, les Yézidis toujours marqués par le génocide perpétré par l'État islamique« Ils ont dit que tout pourrait s'arrêter d'un coup, c'était un choc »Pour Zéré, déplacée depuis dix ans avec ses enfants, les visites au centre sont toujours un soulagement avant de regagner sa tente. Prise au dépourvu, elle confesse son angoisse à l'annonce de la nouvelle : « Les psychologues nous ont préparés pour nous dire que nous ne pourrions peut-être pas continuer au-delà de 90 jours. Ils ont même dit que tout pourrait s'arrêter d'un coup. J'ai d'abord pleuré, je n'arrivais plus à manger, c'était un choc. Je crains pour mon futur… »Dans l'intimité d'une salle de consultation, une maman accompagnée de sa petite fille revient sur les traumatismes qui la hantent et qu'elle essaye d'apaiser avec les équipes du centre : « Je revis les massacres que Daech nous a fait subir. Les décapitations, les tortures, je vois encore tout ça, témoigne-t-elle. Ici même, j'ai essayé de me pendre dix fois. J'ai failli réussir. Mon cou devenait bleu. J'ai encore les marques. Honnêtement, c'est grâce à ce centre que je suis encore en vie aujourd'hui. »L'ONG jésuite, financée aux trois quarts par les États-Unis, a choisi d'interrompre la plupart de ses programmes de manière à maintenir tant bien que mal les soins pour les personnes les plus fragiles, comme cette femme : « C'est tellement difficile pour nous. J'espère qu'on ne nous coupera pas l'accès à nos médicaments, qu'on nous laissera les prendre. »Mais faute de financements durables, le centre pourrait bien fermer définitivement.À lire aussiPour les Kurdes syriens réfugiés au Kurdistan irakien, l'impossible retour?
Accusations de vol et d'intimidations : des Policiers de la DCIU Nord dans la tourmente
Plus de 90% de l'huile de canola (colza) du Canada est exportée aux États-Unis. L'annonce de la mise en place de taxes de 25% à compter du 1er février pourrait peser sur les exportations et avoir un impact sur le marché des autres huiles. Dans la famille des matières premières qui pourraient souffrir de l'arrivée de Donald Trump, à la présidence des États-Unis, il y a le canola, un cousin du colza, cultivé au Canada. Le marché canadien est devenu très dépendant de son voisin américain : en 2023-2024, Washington a acheté 96% de l'huile canadienne, autant dire la quasi-totalité. Résultat, le moindre ralentissement des exportations vers les États-Unis pourrait avoir un impact important pour le Canada, qui n'a pour l'instant plus d'autres gros clients. Durant la campagne 2020-2021, la Chine achetait en effet près de la moitié de la production canadienne d'huile de canola, mais ses importations ont fondu, en raison de soupçons de concurrence déloyale. Pékin a lancé une enquête anti-dumping qui est toujours en cours et qui a eu comme effet provisoire de ralentir les échanges.Impact sur les cours du soja américainSi le canola se vend moins, ses prix seront mécaniquement tirés à la baisse. Ils ont déjà accusé le coup après l'élection de Donald Trump, avant de chuter une nouvelle fois cette semaine à la bourse de Winnipeg après l'annonce formelle de l'instauration de nouvelles taxes au premier février, relève Arthur Portier, consultant pour Argus Media France.En cas de baisse avérée des échanges entre les États-Unis et le Canada, les cours du soja américain pourraient, à l'inverse de ceux du canola, être tirés vers le haut : son huile est une alternative toute désignée aux volumes canadiens qui n'arriveront plus, même si ses caractéristiques ne sont évidemment pas les mêmes.Une diminution des ventes aux États-Unis « ferait perdre gros aux opérateurs canadiens, commente Arthur Portier. Et ne serait pas sans conséquence sur les cours de l'ensemble du complexe oléagineux ». Les normes d'incorporation des biocarburants, l'autre inconnueD'autres huiles devraient être moins impactées par la tourmente américaine, pour l'instant : celle de tournesol et celle de palme, dont les acheteurs sont surtout, à cette saison, concentrés sur le potentiel d'exportation de la Malaisie.Ce qui va dominer dans les prochaines semaines, c'est une forte volatilité sur les marchés et une incertitude folle, résume un de nos interlocuteurs. L'évolution du prix des huiles sera en effet aussi liée aux choix énergétiques du nouveau gouvernement Trump et à sa politique en matière de biocarburant. Ces choix auront un impact inévitable sur la production agricole américaine et sa commercialisation.À lire aussiLes matières premières suspendues aux orientations chinoises et américaines
Au programme de Tour d'Europe, cette semaine, Cyril Morin vous propose de se pencher sur le choc entre le Partis Saint-Germain et Manchester City et aussi d'évoquer le rôle de Zlatan Ibrahimovic à l'AC Milan. C'est le choc de cette 7e journée de Ligue des champions : mercredi, le PSG reçoit Manchester City au Parc des Princes pour jouer sa survie dans la compétition. Très mal en point en novembre et en décembre, l'équipe de Pep Guardiola a réussi à inverser la tendance depuis. Au point d'être redevenue aussi forte qu'avant ? Philippe Auclair et Elton Mokolo analysent ce match.C'est le débat de la saison au PSG : Luis Enrique doit-il arrêter avec ses "faux" N°9 pour privilégier un vrai buteur, comme Erling Haaland ? Le Catalan a longtemps rechigné à aligner des buteurs à l'ancienne, en témoigne sa relation avec Kun Aguero. Alors, le coach du PSG est-il dans la même logique ?Enfin dans la dernière partie, direction l'Italie avec un focus sur l'AC Milan. Le club traverse une crise de résultats et de gouvernance marquée en cette saison 2024-2025. En cause, notamment, le rôle d'un certain Zlatan Ibrahimovic, conseiller officieux du propriétaire du fonds RedBirds mais décideur au club. Résultat, le Suédois incarne l'échec du projet. Explications dans Tour d'Europe, avec Guillaume Pacini. Bonne écoute ! Tour d'Europe est un podcast Eurosport Football Club. Présentation : Cyril MorinGraphisme : Quentin Guichard [extraits en vidéo]Réalisation : Hadrien Hiault Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'invité : Pierre Grosser, enseignant à Sciences Po Paris, historien des relations internationales Le sujet : la présidence de Jimmy Carter entre 1977 et 1981 La discussion : Introduction (00:00) D'où vient Jimmy Carter ? (5:00) L'équipe Carter et la tensions Cyrus Vance / Zbigniew Brzeziński (15:30) Les droits de l'homme au cœur de la politique étrangère de Carter … Continue reading "363. Jimmy Carter dans la tourmente des années 1970"
L'avenir de Justin Trudeau à la tête du gouvernement demeure plus incertain que jamais après la démission fracassante de la vice-première ministre et ministre des Finances, Chrystia Freeland.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.
Le premier ministre français dans la tourmente après la menace d'une motion de censure qui pourrait être déposée lundi. Quelles sont les options de Barnier alors que son gouvernement est menacé d'une motion de censure ? Doit-il encore céder aux exigences du RN pour tenter de sauver ce qui peut l'être ? Une alliance du RN avec la gauche pour renverser le gouvernement est-elle plausible ? On en parle avec Pierre MATHIOT, politologue et professeur de sciences politiques à l'Université de Lille. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Suite aux révélations de la VRT concernant des dysfonctionnements majeurs au sein du CPAS d'Anderlecht, de nombreuses questions se posent quant à la gestion, à la fois politique et économique de cette institution. Pacal Lorent est journaliste au pôle Economie. Il revient avec nous sur cette enquête et plus largement sur ce mauvais feuilleton qui aura des répercussions certaines sur les CPAS, mais pas que... « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Retour sur le laborieux nul au Parc des Princes contre Nantes
Suite aux révélations de la VRT concernant des dysfonctionnements majeurs au sein du CPAS d'Anderlecht, de nombreuses questions se posent quant à la gestion, à la fois politique et économique de cette institution. Pacal Lorent est journaliste au pôle Economie. Il revient avec nous sur cette enquête et plus largement sur ce mauvais feuilleton qui aura des répercussions certaines sur les CPAS, mais pas que...
Ce vendredi 22 novembre, la chute historique de l'empire Adani en Inde suite à la condamnation de son Gautam Adani aux États-Unis a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:06:35 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après seulement cinq mois de pouvoir, Garry Conille a été limogé de son poste de Premier ministre, remplacé par l'homme d'affaires Alix Didier Fils-Aimé. Il s'est "engagé" à "rétablir la sécurité" dans ce pays des Caraïbes en plein chaos. Des avions américains ont essuyé des tirs à Port-au-Prince.
durée : 00:57:08 - LSD, la série documentaire - par : Rafael Lewandowski - C'est le début de la guerre. Les attaques sont d'une extrême violence et une question ne cesse de persister dans la tête des civils "Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu pour qu'on nous punisse comme ça ?". - réalisation : Rafik Zénine
durée : 00:05:03 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le géant français du jeu vidéo dévisse en bourse. Après une année 2024 difficile, Ubisoft a annoncé réviser ses objectifs à la baisse et a repoussé la sortie de son jeu phare "Assassin's Creed Shadows". - invités : Julien Pillot Enseignant-chercheur
Jeudi 26 septembre, Frédéric Simottel a reçu Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft Asie du Sud et France, Lucas Perraudin, fondateur de Mula Digital et ancien directeur de Meta Reality Labs, Jérôme Marin, fondateur de cafetech.fr, et Marjorie Paillon, journaliste. Ils se sont penchés sur l'enchaînement d'évènements fâcheux chez Ubisoft, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Coles et Woolworths accusés d'avoir trompé les consommateurs. Donald Trump ne se présentera pas dans quatre ans en cas de défaite contre Kamala Harris. En France, premier conseil des ministres pour le gouvernement Barnier.
Cameroun : nouvel nouveau pic de tension entre la Fecafoot et le Minsep. Alors que les Lions Indomptables s'apprêtent à démarrer leur double rendez-vous des éliminatoires CAN 2025 face aux « Brave Warriors » namibiens dans trois jours, puis à Kampala pour affronter les Guerriers du Zimbabwe mardi, l'effectif pouvait espérer un contexte plus apaisé. Lieu de ralliement, choix du terrain, de nouveaux cafouillages ont alimenté le feuilleton, alors que le rendez-vous est crucial, pour le début d'une aventure qui doit mener la sélection jusqu'à la phase finale au Maroc. Eto'o tape du poing sur la table. Tandis que les joueurs n'ont pas honoré le rassemblement de Douala décidé par la Fédération, l'instance a réagi face à ce qu'elle considère comme un acte de défi. L'ancien attaquant va-t-il porter l'affaire devant la Fifa ? Va-t-il se passer des A et de leur sélectionneur, et aligner les U20 face à la Namibie ? La rencontre va-t-elle se tenir ? Nous ferons le point avec Joël Wadem.Azzedine Ounahi quitte l'OM. L'international rejoint les « Trèfles » du club grec du Panathinaïkos. On attendait beaucoup du milieu marocain arrivé fin janvier 2023 du côté de la Canebière. Après une expérience en demi-teinte, va-t-il se relancer chez les Vert et Blanc ? Il disputera la Conference League cette saison (C4).Pour débattre avec Hugo Moissonnier et Saliou Diouf, Patrick Juillard et Nabil Djellit – Technique/réalisation Matthieu Degueldre.
Cameroun : nouvel nouveau pic de tension entre la Fecafoot et le Minsep. Alors que les Lions Indomptables s'apprêtent à démarrer leur double rendez-vous des éliminatoires CAN 2025 face aux « Brave Warriors » namibiens dans trois jours, puis à Kampala pour affronter les Guerriers du Zimbabwe mardi, l'effectif pouvait espérer un contexte plus apaisé. Lieu de ralliement, choix du terrain, de nouveaux cafouillages ont alimenté le feuilleton, alors que le rendez-vous est crucial, pour le début d'une aventure qui doit mener la sélection jusqu'à la phase finale au Maroc. Eto'o tape du poing sur la table. Tandis que les joueurs n'ont pas honoré le rassemblement de Douala décidé par la Fédération, l'instance a réagi face à ce qu'elle considère comme un acte de défi. L'ancien attaquant va-t-il porter l'affaire devant la Fifa ? Va-t-il se passer des A et de leur sélectionneur, et aligner les U20 face à la Namibie ? La rencontre va-t-elle se tenir ? Nous ferons le point avec Joël Wadem.Azzedine Ounahi quitte l'OM. L'international rejoint les « Trèfles » du club grec du Panathinaïkos. On attendait beaucoup du milieu marocain arrivé fin janvier 2023 du côté de la Canebière. Après une expérience en demi-teinte, va-t-il se relancer chez les Vert et Blanc ? Il disputera la Conference League cette saison (C4).Pour débattre avec Hugo Moissonnier et Saliou Diouf, Patrick Juillard et Nabil Djellit – Technique/réalisation Matthieu Degueldre.
Le Café de l'e-commerce, c'est le podcast qui vous propose de faire votre veille e-commerce, différemment, dans vos oreilles, même pendant des périodes de transition.Dans cet épisode, Laetitia et Adrien parlent de célébration, de sanction et de cession.❌ The Body Shop France, la liquidation judiciaire semble inévitable
Dans la cacophonie politique actuelle, les chefs d'entreprise tentent de faire entendre leur voix. En moins de 24 heures, beaucoup de projets de loi importants ont été mis en pause. Un vide auquel s'ajoute la possibilité d'un nouveau gouvernement, ce qui inquiète beaucoup les patrons.
Dans la cacophonie politique actuelle, les chefs d'entreprise tentent de faire entendre leur voix. En moins de 24 heures, beaucoup de projets de loi importants ont été mis en pause. Un vide auquel s'ajoute la possibilité d'un nouveau gouvernement, ce qui inquiète beaucoup les patrons.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnement Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 mai 2024. Avec cette semaine : Nicolas Baverez, essayiste et avocat. Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit. Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova. L'UKRAINE À LA PEINE La Russie a lancé le 10 mai une offensive surprise contre Kharkiv, deuxième ville du pays, emportant de l'aveu de l'état-major ukrainien des « succès tactiques ». L'Ukraine a été prise de court, ses forces étant affaiblies par le manque d'armements et d'hommes, du fait notamment de la lenteur de l'aide européenne et de l'arrêt quasi-total pendant des mois de celle venant des États-Unis. En visite à Kyiv, le 15 mai, le secrétaire d'État américain, Antony Blinken a, pour la première fois, laissé entendre que les forces ukrainiennes pourraient frapper le territoire russe avec des armes fournies par les Etats-Unis. Depuis le début du conflit, les alliés de l'Ukraine étaient inflexibles : interdiction d'utiliser leurs missiles, drones ou obus pour bombarder des cibles situées hors du territoire souverain du pays. Seul le sol ukrainien – comprendre la Crimée et la partie du Donbass occupées par les Russes – pouvait être visé. Imposée par peur d'une escalade avec Moscou, cette restriction était respectée par Kyiv, qui dépendait trop des livraisons occidentales pour enfreindre la règle fixée par ses alliés. L'offensive lancée le 10 mai par Moscou dans la région de Kharkiv a changé la donne. Antony Blinken a également annoncé une aide militaire de 2 milliards de dollars pour renforcer les capacités de défense de l'Ukraine. Elle provient de l'enveloppe de 60 Mds de dollars en faveur de l'Ukraine, récemment approuvée par le Congrès américain après des mois de blocage. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rappelé que la défense aérienne constituait « le plus gros problème » de l'Ukraine, et son « plus grand déficit ». Selon lui, l'Ukraine aurait besoin de deux systèmes Patriot supplémentaires pour défendre Kharkiv. Les États-Unis ne sont pas les seuls à se mobiliser en faveur de l'Ukraine : le 13 mai, le chancelier allemand Olaf Scholz et ses homologues des pays nordiques ont appelé à renforcer d'urgence l'aide à l'Ukraine, alors que la France a annoncé la livraison à venir d'un nouveau lot de missiles Aster sol-air à Kyiv. Mardi, l'Union européenne a validé l'utilisation des revenus issus des avoirs russes gelés, soit 3Mds€ cette année dont 90% devraient aller aux forces armées ukrainiennes. Réunis depuis jeudi à Stresa en Italie, les ministres des finances du G7 discutent d'un plan américain visant à accorder à l'Ukraine jusqu'à 50 Mds de dollars de prêt garanti par les futurs bénéfices générés par les actifs russes immobilisés. Selon le commandant suprême des forces alliées en Europe, le général américain Christopher Cavoli, la Russie n'aurait pas les forces suffisantes pour aboutir à une percée majeure dans son offensive en cours en Ukraine. Dimanche, l'état-major ukrainien affirmait que les attaques russes dans la région de Kharkiv avaient été « légèrement ralenties ». Toutefois l'Organisation mondiale de la santé a indiqué mardi que plus de 14.000 personnes ont été déplacées en raison des combats. NOUVELLE-CALÉDONIE : LA TOURMENTE Pillages, incendies, échanges de tirs... La Nouvelle-Calédonie est secouée depuis le 13 mai par des émeutes qui ont déjà fait six victimes et de considérables dégâts qui pèsent sur la vie quotidienne des populations. Elles vont avoir de lourdes conséquences pour l'économie locale déjà traversée par une grave crise du nickel, qui représente plus de 25% des emplois du « Caillou », et près de 20% de son PIB et qui a connu en 2023 une baisse de prix de 45%. Afin de rétablir l'ordre, le président de la République a annoncé l'état d'urgence, entré en vigueur le 15 mai à Nouméa. Il consiste en un couvre-feu nocturne, l'interdiction des rassemblements, du transport d'armes et de la vente d'alcool ainsi que l'interdiction de l'application TikTok. La Nouvelle-Calédonie est devenue un Territoire d'outre-mer en 1946 et les Kanak ont obtenu la nationalité française, puis le droit de vote. Les violences qui ont opposé indépendantistes kanaks et loyalistes caldoches dans les années 1980, ont trouvé un apaisement en 1988 à travers les accords de Matignon négociés par Michel Rocard, accords qui organisaient un rééquilibrage économique et un partage du pouvoir politique. En 1998 l'accord de Nouméa a doté l'archipel d'un statut unique dans la République française reposant sur une autonomie progressive et sur trois référendums. Le premier, en 2018, voit le non à l'indépendance l'emporter à 56,7%, ce que confirme le deuxième, en 2020 (53,26% de non). En 2021 le non l'emporte à 96,5%, mais les indépendantistes contestent la validité du scrutin, marqué par une forte abstention (56,1 %) en pleine épidémie de Covid-19. Jusqu'à présent seuls les électeurs inscrits sur listes avant 1998 et leurs descendants étaient reconnus par le code électoral de Nouvelle-Calédonie pour les élections régionales. En votant un projet d'élargissement du corps électoral aux résidents depuis au moins dix ans, l'Assemblée nationale et le Sénat ont ouvert la voie à une réforme constitutionnelle qui devrait être approuvée par le Congrès. Les indépendantistes la rejettent, estimant qu'elle lèse le poids électoral du peuple autochtone Kanak. Quelque 271.400 habitants, selon le dernier recensement de 2019, vivent dans l'archipel. Parmi eux, 29% de la population est issue de la communauté européenne, dont les Caldoches, descendants des colons blancs. Les Kanak, premiers habitants du pays, sont progressivement devenus minoritaires sur l'archipel avec 41% de la population aujourd'hui, tandis que l'on compte 30 % d'habitants originaires d'îles du Pacifique ou répondant à la catégorie « autres ». Jeudi à Nouméa, le chef de l'État, à défaut de retirer le projet de réforme du corps électoral, s'est engagé à ne pas le « passer en force ». En cas d'accord politique global, il souhaite que le projet soit soumis au vote des Néocalédoniens. Conditionnant la fin de l'état d'urgence à la levée des barrages, il a aussi annoncé la mise en place d'une « mission de médiation et de travail » pour remettre tous les acteurs politiques autour de la table, avec la promesse d'un État « impartial ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Quand rien ne va plus, que le stress gagne du terrain et que vos états d'âme s'enflamment, découvrez comment reprendre ancrage en vous-même et faire un retour au calme, en peu de temps.Pour en savoir plus sur Nicole Bordeleau : www.nicolebordeleau.comNous mesurons le privilège de pouvoir vous offrir cette série sans pauses publicitaires.Cependant, vos dons sont essentiels pour soutenir cette création. Merci de nous supporter, si vous le pouvez. Les façons de nous parvenir votre don sont simples et sécuritaires. À l'avance, un grand merci.
durée : 00:05:39 - La Revue de presse internationale - par : Laura Dulieu - L'entreprise Thames Water est en grande difficulté financière.
durée : 00:11:44 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Coup de théâtre hier à Madrid : après cinq jours de retraite de la vie politique, le Premier ministre Pedro Sanchez a finalement annoncé qu'il ne démissionnerait pas. - invités : Carole Viñals Maître de conférences-HDR à l'Université de Lille, spécialiste en civilisation de l'Espagne contemporaine
Avec Franck Bethouart
durée : 00:44:45 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - À l'occasion de la sortie en salles du film "Amal, un esprit libre" le 17 avril 2024, Signes des temps s'interroge sur le rôle que jouent les professeurs face à des phénomènes de violences et de remise en cause de la laïcité qui peuvent toucher le milieu scolaire. - invités : Iannis Roder Enseignant; Lubna Azabal Actrice; Jawad Rhalib Réalisateur; Laure Daussy Journaliste.
Le dimanche 10 mars, le palais de Kensington publie une photo de Kate Middleton entourée par ses trois enfants sur les réseaux sociaux. Dans les heures qui suivent, de nombreux internautes détectent des anomalies et se demandent si la photo est authentique. Dans la foulée, plusieurs agences de presse décident de ne pas diffuser la photo.Celle qui est surnommée « Perfect Kate » n'est pas habituée aux faux pas. Depuis son mariage avec le prince William en 2011, elle est appréciée par les Britanniques et participe régulièrement aux évènements officiels. Mais Kate Middleton n'a pas été vue en public depuis Noël dernier, suite à une opération chirurgicale. Cette publication, censée rassurer sur son état de santé, n'a fait que relancer les rumeurs.Pour Code source, Delphine Kargayan, correspondante du Parisien à Londres, retrace le parcours de Kate Middleton.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Clara Garnier-Amouroux et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Le Figaro, ODN, The Royal Family Channel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Journal en français facile 06/03/2024 16h00 GMTRetrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/APCv.A
Ce vendredi 1er mars, l'appel des séparatistes russophones de la Moldavie à la Russie pour protéger leur République autoproclamée depuis la dislocation de l'URSS a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le Journal en français facile du lundi 29 janvier 2024, 17h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AIc9.A
durée : 00:57:47 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Yaël Goujon revient d'Azerbaïdjan, qui a repris en septembre le contrôle du Karabakh // Face aux récents conflits, l'ONU semble paralysée par les vetos des grandes puissances qui bloquent toute résolution. L'institution peut-elle être réformée pour mieux incarner les nouveaux équilibres du monde ? - invités : Yaël Goujon journaliste indépendant ; Jean-Vincent Holeindre Professeur de science politique à l'Université Paris 2 Panthéon-Assas et directeur scientifique de l'IRSEM (Institut de recherche stratégique de l'Ecole militaire); Alain Le Roy Ambassadeur de France et ancien Secrétaire général adjoint de l'ONU chargé des opérations de maintien de la paix.
Tous les jours, Poupette Kenza partage sa vie sur les réseaux sociaux en publiant frénétiquement toutes les heures des petites vidéos d'elle et de sa famille. Cette mère de famille de 23 ans se filme au supermarché avec ses enfants, dans sa cuisine en train de préparer le repas ou encore le matin, dans sa salle de bain. C'est grâce à ce rythme effréné et à cette transparence totale qu'elle est devenue en quelques années l'une des influenceuses les plus puissantes en France, suivie par des millions de personnes.Tout commence en 2019 après sa rencontre avec son futur mari, Allan. A cette période, elle multiplie les vidéos sur Snapchat en chroniquant en ligne leur quotidien, leurs voyages et la naissance de leurs deux enfants. De jour en jour, sa communauté grossit, composée de fans inconditionnels qu'elle appelle « poupettes », mais aussi de détracteurs qui commencent à la harceler en ligne, n'hésitant pas à la signaler aux autorités, notamment pour des faits de maltraitance. Ces derniers mois, plusieurs procédures judiciaires sont ouvertes contre elle.Pour Code source, Ariane Riou et Robin Korda, deux journalistes de la cellule récit du Parisien qui ont consacré cet été une série de trois articles à Poupette Kenza, reviennent sur le parcours de cette maman-influenceuse.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Emma Jacob et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Snapchat, Youtube, C8, TikTok. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.