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Today, you'll learn about a newly discovered genetic link between high voices and high blood pressure, a mysterious new discovery behind some ancient Egyptian art, and about freshwater lying underneath the ocean floor. Find episode transcripts here: https://curiosity-daily-4e53644e.simplecast.com/episodes/high-voice-gene-egyptian-art-x-ray-finding-fresh-waterHigh Voice Gene“Have a High-Pitched Voice? It Might Be In Your Genes.”https://www.nature.com/articles/d41586-023-01901-5“Do you have high-pitched voice? Note, it's in your genes.” by IANS. 2023.https://www.onmanorama.com/lifestyle/health/2023/06/13/you-have-high-pitched-voice-it-is-in-genes.amp.html Egyptian Art X-Ray“Paint Like an Egyptian: X-Rays Reveal Creative Process Behind Ancient Tomb Art.” by Tanvi Dutta Gupta. 2023.https://www.science.org/content/article/paint-egyptian-xray-egyptian-tomb-art“Hidden mysteries in ancient Egyptian paintings from the Theban Necropolis observed by in-situ XRF mapping.” by Philippe Martinez, et al. 2023.https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0287647Finding Fresh Water “Found: Giant Freshwater Deposits Hiding Under the Sea.”https://www.scientificamerican.com/article/found-giant-freshwater-deposits-hiding-under-the-sea/“5 Billion People Will Face Water Shortages by 2050, U.N. Says.” by Daniel Cusick. 2022.https://www.scientificamerican.com/article/5-billion-people-will-face-water-shortages-by-2050-u-n-says/“Earth's Underground Water Quantified.” by Jonathan Amos. 2015.https://www.bbc.com/news/science-environment-34837461Follow Curiosity Daily on your favorite podcast app to get smarter with Calli and Nate — for free! Still curious? Get exclusive science shows, nature documentaries, and more real-life entertainment on discovery+! Go to https://discoveryplus.com/curiosity to start your 7-day free trial. discovery+ is currently only available for US subscribers.
Retrouvez les meilleurs moments de L'Œil de Philippe Caverière, consacrés ce matin à Emmanuel Macron.
Le premier jour du reste de sa vie. Dans quelques heures, Laurent Berger ne sera plus directeur général de la CFDT. C'est donc une journée spéciale pour l'homme, qui se réveillera demain « un peu plus léger en termes de charge mental », qu'il transmettra désormais à Marylise Léon, sa successeure, mais également avec un peu de nostalgie. Croit-il avoir exaucé sa volonté de réussir à être utile ? « Je crois qu'on a fait émerger le monde du travail de façon différente depuis ces dernières années, notamment concernant les travailleurs intermédiaires, ceux des ‘premières et deuxièmes lignes' qu'on a connu pendant le confinement », a-t-il déclaré à Thomas Sotto. Parmi les exemples de combats gagnés, on compte l'accord de 2013, selon lequel la complémentaire santé des salariés est désormais payée à 50% par les employeurs du privé, qui arrive bientôt dans le public, et qui est une « vraie réussite. » Parmi les autres combats du secrétaire général de la première force syndicale de France, on se souvient également de celui contre la réforme des retraites. La CFDT exigeait tout simplement le retrait du projet. Un combat qui n'a malheureusement pas été gagné mais qui a été « un formidable élan de dignité ». Même si cette réforme va prendre forme de « façon dramatique », elle a créé « une grosse énergie » de lutte au sein du mouvement. Cette énergie, et ce rôle si stimulant va-t-il lui manquer ? « Sincèrement, non », a répondu honnêtement le syndicaliste, car c'est « très impactant pour son entourage ». Il prévoit désormais d'être très discret et silencieux car il le « doit à la CFDT ». Parmi les causes qui pourraient faire se réengager celui qui milite depuis son adolescence, on dénombre la lutte contre les inégalités, contre les pauvretés, la question migratoire, celle de l'environnement et celle du mal-logement. Dans un an, les élections européennes auront lieu. A la question de savoir si un engagement européen aurait sens pour lui, Laurent Berger a répondu par la positive, arguant toutefois qu'il était possible de s'engager « au niveau civil » : « Je vais rester à distance mais ça ne veut pas dire que je ne parlerai pas, et notamment sur le sujet européen ». Ce dernier jour est aussi l'occasion de réhabiliter l'image du syndicaliste, encore injustement perçu comme « un homme âgé, en colère, et qui gueule ». Aujourd'hui, cette image surannée est révolue. Il y a en effet 51% d'adhérentes à la CFDT, qui est représentée dans 97% des branches professionnelles, et dans des secteurs « plutôt féminins ». Le syndicalisme est donc très divers aujourd'hui, en tout cas au sein de la CFDT, dont Marylise Léon sera désormais la secrétaire générale après avoir été secrétaire générale adjointe du syndicat depuis 2018. Il n'y aura pas de changement de ligne pour autant, mais, évidemment, un changement de style. Marylise Léon est plus jeune et possède bien sûr une autre histoire professionnelle. Concernant le futur proche de Laurent Berger, il compte notamment aller « boire un verre dans les semaines à venir » avec Philippe Martinez, avec qui il est « plutôt en bons termes ». A son petit garçon, il a dit : « demain, c'est papa qui t'emmène à l'école, et c'est papa qui ira te chercher, et ça, c'est sympa. »
Retrouvez les meilleurs moments de la chronique de Philippe Caverivière.
Philippe Caverivière revient sur les différences entre Laurent Berger et Philippe Martinez, les anciens leaders syndicalistes, sur les accidents de trottinettes électriques et sur les fans du groupe de K-pop, BTS.
Ce mercredi 26 avril, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Martinez, Gérard Depardieu ou encore Pascal Praud.
durée : 00:02:58 - Le sketch - Le sketch d'aujourd'hui nous plonge dans un cabinet de coach spécialisé en reconversion professionnelle. Ses clients ? Philippe Martinez, Olivier Véran, Elisabeth Borne et Laurent Berger.
Retrouvez les meilleurs moments de la chronique de Philippe Caverivière.
EXPERTS BRUNO JEUDY Éditorialiste politique JEAN-CLAUDE MAILLY Vice-président du think tank Synopia Ancien secrétaire général de Force Ouvrière STÉPHANIE MATTEUDI-LECOCQ Directrice du département formation, conseil et dialogue social – Alixio ALIX BOUILHAGUET Éditorialiste politique - « France Télévisions » Son élection est une surprise. A l'issue d'une nuit et d'une matinée mouvementées, les instances de la CGT se sont finalement mises d'accord sur un nom pour succéder à Philippe Martinez, en ce dernier jour de congrès, et ce ne sera finalement ni Marie Buisson, candidate de l'équipe sortante, ni Céline Verzeletti, mais Sophie Binet. A 41 ans, la secrétaire générale de l'Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (Ugict), le syndicat des cadres de la CGT, prend les rênes de l'organisation. Et ce n'est pas anodin en plein conflit social. D'ailleurs, la nouvelle patronne de la CGT, une première depuis la création de la Centrale, a tout de suite levé le doute sur la ligne du syndicat. "L'intersyndicale unie" rencontrera ce 5 avril Elisabeth Borne "pour exiger le retrait de la réforme" des retraites, a-t-elle lancé depuis la tribune. Hier, le leader de la CDFT avait lui aussi répété que les 64 ans devaient être au coeur des discussions avec la Première ministre. "J'en parlerai et si on me dit 'vous ne pouvez pas en parler', alors on partira. Il y a une profonde contestation, un ressentiment qui monte. De quoi voulez-vous parler d'autre ? On ne va pas aller discuter d'autre chose" avait insisté Laurent Berger sur Franceinfo. La Première ministre qui y effectuait ce vendredi dans la Nièvre son premier déplacement en province depuis deux mois est donc prévenue. Si le gouvernement entend passer à autre chose, les syndicats restent eux déterminés sur le dossier des retraites alors que sur le terrain les blocages se poursuivent soutenus par des caisses de grève qui font le plein. Jeudi la cagnotte solidarité de intersyndicale a dépassé le montant inédit de 3,21 millions d'euros, surpassant le seuil des 3,2 millions d'euros collectés en 2020 lors du précédent mouvement de grève massif. Et elle est loin d'être la seule à atteindre un montant record. Pour prêter main-forte aux grévistes, de nombreuses personnes font des dons aux syndicats via les 400 cagnottes en ligne qui ont été créées pour les éboueurs, les salariés de l'énergie, les professeurs, les cheminots… Il est aujourd'hui impossible de toutes les recenser mais rien qu'en additionnant les montants récoltés par les plus grosses, la barre des 5 millions d'euros est largement dépassée. Preuve que la contestation sociale de la réforme des retraites demeure forte et que de nombreux Français ont décidé d'adopter la stratégie du temps long en finançant notamment la grève dans des secteurs stratégiques. Une avalanche de dons qui survient pourtant dans une période où les ménages sont de plus en impactés par l'inflation. Car si en mars, on assiste à un ralentissement de la hausse des prix à 5,6 %, dans l'alimentation ils continuent de flamber, poussant notamment 200 000 nouvelles personnes vers les Restos du cœur. L'association qui a distribué 142 millions de repas l'an dernier pense cette année, qu'à la fin de la campagne qui est en cours, elle en aura distribué 170 millions. Une précarité qui touche tous les publics, dans les villes mais aussi dans les campagnes où les bénévoles ont décidé d'aller au-devant des bénéficiaires en organisant des distributions itinérantes. L'association prévoit d'ouvrir 600 centres itinérants d'ici l'année prochaine. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce jeudi 30 mars, Laurent Gerra a imité notamment Philippe Martinez, Philippe De Villiers et Patrick Bruel.
EXPERTS DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique - « France Info » CAROLINE-MICHEL AGUIRRE Grand reporter au service politique – « L'Obs » DRISS AÏT YOUSSEF Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité Comment sortir de la crise sociale ? Quelques heures avant la dixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, le patron de la CFDT Laurent Berger a exhorté le gouvernement à mettre "en suspens la mesure des 64 ans" qui cristallise les oppositions, estimant que "rentrer dans un processus de médiation" serait "un geste fort à poser". "Il faut prendre un mois, un mois et demi, pour demander à une, deux, trois personnes de faire de la médiation", a déclaré le leader syndical sur France Inter. Ce que propose l'intersyndicale, "c'est un geste d'apaisement", qu'il faut "saisir", a insisté Laurent Berger. Lors d'une réunion organisée lundi à l'Élysée, Emmanuel Macron avait dit vouloir "continuer à tendre la main aux forces syndicales". Mais "nul besoin de médiation" a répondu ce matin le porte-parole du gouvernement qui entend camper sur ses positions et tourner rapidement la page des retraites alors que les cortèges s'élançaient un peu partout dans le pays et que les grèves se poursuivent dans de nombreux secteurs stratégiques comme l'énergie. Les raffineries du pays sont en effet toujours à l'arrêt et après la Provence et l'Ouest, l'Ile-de-France est touchée à son tour par les pénuries de carburants dans les stations-service provoquées par la grève des opérateurs. Des salariés de l'énergie très présents ce mardi dans les cortèges aux côtés également de nombreux jeunes. Depuis l'usage du 49.3, les manifestations contre la réforme des retraites se sont rajeunies et plusieurs universités sont occupées à Paris mais aussi à Lille, Lyon, Grenoble ou Bordeaux. Depuis Clermont-Ferrand où il a défilé, le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez y voit "la preuve que le mouvement ne s'essouffle pas" même si le nombre de manifestants est en baisse de 20 % ce mardi par rapport à jeudi dernier d'après plusieurs syndicats. Le 23 mars, il y avait eu 3,5 millions de personnes dans les rues selon les organisations syndicales, 1,09 million d'après le ministère de l'Intérieur. Aujourd'hui "c'est en baisse mais ce n'est pas une surprise parce que depuis le début, il y a des journées plus hautes et des journées plus basses". C'est encore une mobilisation très importante", a affirmé Laurent Berger. Le leader de la CFDT a également jugé "insupportable que la réponse" de l'exécutif "soit une fin de non-recevoir. On ne peut pas dire qu'on nous tend la main. On a proposé une voie de sortie, il faut que le gouvernement nous réponde. Apparemment, il n'est pas prêt pour l'instant, mais peut-être que ça va changer dans quelques heures" a-t-il souligné. Contrairement au gouvernement qui, par la voix de son porte-parole, a refusé ce mardi matin la main tendue par Laurent Berger, les députés MoDem, faisant partie de la majorité, se disent eux favorables à la médiation proposée par le patron de la CFDT. "Le temps est venu de trouver des points de convergence avec les syndicats et renouer le dialogue", a déclaré leur président de groupe (51 députés), Jean-Paul Matteï, aux journalistes à l'Assemblée nationale. "Le dialogue social, on ne peut pas le laisser de côté (...) Si une médiation est possible, nous l'encouragerons, on ne peut pas laisser un pays comme cela se déchirer", a ajouté le député Philippe Vigier sur fond de crainte de nouvelle escalade de la violence. Pour contrer les casseurs en marge des cortèges, un dispositif de forces de l'ordre à l'ampleur inédite depuis la Coupe du Monde 98 a été déployé par le ministre de l'Intérieur. De son côté, Philippe Martinez, de la CGT, a expliqué que compte tenu de "la mobilisation qui ne faiblit pas, on a proposé une nouvelle fois au gouvernement et surtout au président de la République de suspendre son projet et de nommer une médiation. Cette proposition qui a été faite par l'intersyndicale va être adressée par écrit au président de la République" a précisé celui qui quittera la tête de la CGT, après huit ans au poste de secrétaire général, à l'issue du 53e Congrès de la CGT qui se déroule jusqu'au 31 mars à Clermont-Ferrand. Sa succession se joue actuellement entre Marie Buisson, qu'il soutient et Céline Verzeletti, sa chalengeuse disposant du soutien de puissantes fédérations. Alors quelles sont les pistes pour sortir de la crise ? Pourquoi le gouvernement ferme-t-il la porte à une "médiation" avec les syndicats ? Présents ces derniers jours dans les cortèges, qui sont les black blocs ? Enfin qui succèdera à Philippe Martinez à la tête de la CGT ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
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Le leader de la CGT cède la direction du syndicat la semaine prochaine après 8 ans. Trois candidats sont sur les rangs et la succession s'annonce difficile surtout dans le contexte de bras de fer social du moment. Les explications de Martial YOU pour RTL. Ecoutez L'éco & You du 24 mars 2023 avec Martial You.
Ce vendredi 24 mars, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Martinez, Pascal Praud et Cyril Lignac.
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter – « Le Monde » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe Après presque une semaine de crise depuis le recours du gouvernement au 49.3, et alors que les manifestations et les blocages se multiplient dans le pays, Emmanuel Macron s'est adressé ce mercredi aux Français lors d'une interview télévisée sur TF1 et France 2. Le chef de l'Etat qui ne veut ni dissolution, ni remaniement, ni référendum, entendait montrer qu'il tenait la barre, engagé sur un chemin dont la direction n'a pas changé. Il a ainsi réaffirmé la nécessité de sa réforme des retraites dont il souhaite l'entrée en vigueur "d'ici la fin de l'année" et s'est dit prêt à "endosser l'impopularité" pour la mettre en œuvre. Renouvelant sa confiance à Élisabeth Borne mais lui demandant d'"élargir" la majorité, le président de la République a par ailleurs regretté que les syndicats n'aient pas présenté de "proposition de compromis" sur le texte, soulignant que le gouvernement l'a fait, en revanche, "avec le Parlement". Mardi, au terme d'une journée d'intenses consultations, Emmanuel Macron avait appelé le gouvernement à "apaiser" et "écouter les colères", tout en assumant ses choix, selon des participants à une réunion avec les parlementaires de son camp dont certains sont très remontés après l'usage du 49.3. "La foule, quelle qu'elle soit, n'a pas de légitimité face au peuple qui s'exprime souverain à travers ses élus", avait-il également mis en garde. "Ce sont des propos qui clarifient" a expliqué ce mercredi le président lors de son interview. "On ne peut accepter ni les factieux, ni les factions" a-t-il aussi fait valoir alors que de nouveaux rassemblements ont été organisés hier soir dans plusieurs grandes villes françaises, théâtre pour certaines d'entre elles de tensions entre forces de l'ordre et manifestants. "Qu'il y ait des manifestations, c'est légitime. Ça a été fait de manière calme et organisé. Les violences il faut les condamner, les blocages, il faut les lever. On ne tolérera aucun débordement" a encore prévenu Emmanuel Macron à la veille d'une 9e journée de de grèves et de manifestations prévue ce jeudi 23 mars à l'appel de l'intersyndicale. Vu la gravité de la crise politique, le chef de l'Etat a par ailleurs annoncé le report de l'examen de la loi immigration au Sénat. "Nous allons réagencer les choses et découper les textes plus courts", a-t-il expliqué. Le président de la République a également dit souhaiter "réengager" le dialogue avec les partenaires sociaux sur les conditions de travail, pour entendre "ce besoin de justice" exprimé par les manifestants. Il a promis que la discussion concernerait notamment l'évolution des carrières ou la pénibilité, et se tiendrait "dans les prochaines semaines". Mais a-t-il convaincu ? Furieux, Laurent Berger n'a pas tardé à répondre sur Twitter, accusant Emmanuel Macron de "déni et de mensonge ! La CFDT a un projet de réforme des retraites. Macron 2019 l'avait compris, il avait repris notre ambition d'un système universel. Macron 2023 refait l'histoire et ment sur la CDFT pour masquer son incapacité à trouver une majorité pour voter sa réforme injuste" a écrit le leader du syndicat réformiste. Les propos d'Emmanuel Macron sont "du mépris pour les millions de personnes qui manifestent", a réagi de son côté Philippe Martinez. Le patron de la CGT a également fait part de son inquiétude. "Le président de la République est sûr tout seul de ce qu'il fait, et c'est grave", a-t-il déclaré sur France 2. Du côté de l'opposition, les réactions et les critiques n'ont également pas tardé. Le leader de la France insoumise a dénoncé les "traditionnelles marques de mépris" et "l'arrogance" d'Emmanuel Macron après son entretien télévisé, estimant que le chef de l'Etat "vit en dehors toute réalité". "La foule est au peuple ce que le cri est à la voix", a ajouté Jean-Luc Mélenchon en référence aux propos de la veille du président. Le premier secrétaire du Parti socialiste a lui aussi jugé avec sévérité l'interview du président de la République, estimant que celui-ci aggrave le mécontentement social. "C'est hallucinant, il est dans un déni absolu. Je crains qu'il n'ait mis plus d'explosifs sur un brasier déjà bien allumé", notamment en "disqualifiant les syndicats" a déclaré Olivier Faure depuis l'Assemblée nationale. Marine Tondelier, la secrétaire nationale d'EELV, s'est dit pour sa part sur Twitter "glacée par la démonstration d'autosatisfaction du président" qui, à ses yeux, a tenu des "propos offensants". Le député LR Aurélien Pradié, qui a croisé le fer avec le gouvernement sur la réforme des retraites, a de son côté accusé Emmanuel Macron de "jouer avec le feu". C'est "une provocation de plus", a-t-il affirmé. Alors que retenir de l'interview du président de la République ? Comment Elisabeth Borne peut-elle bâtir une "majorité élargie" ? Et que vont faire maintenant les syndicats ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce jeudi, Sébastien Thoen raconte son dîner avec Philippe Martinez, "celui qui va faire tout péter dans pas très longtemps". Du lundi au vendredi, à 7h20 sur RTL, découvrez le nouveau rendez-vous humour de la matinale, avec Bertrand Chameroy, Mathieu Madénian, Élodie Poux, Sébastien Thoen et Sandrine Sarroche. Chaque jour, un humoriste délivre son billet d'humeur, mais surtout son regard décalé sur l'actualité.
"RTL Sans Filtre", c'est le nouveau rendez-vous d'humour cette saison sur RTL. Désormais le week-end, les Grosses Têtes vous proposent de découvrir en podcast les chroniques de Sébastien Thoen, que vous connaissez tous, mais également celles de Mathieu Madénian, Bertrand Chameroy, Elodie Poux ou encore Sandrine Sarroche. Dans ce podcast, Sébastien Thoen raconte son dîner avec Philippe Martinez, "celui qui va faire tout péter dans pas très longtemps". Du lundi au vendredi, à 7h20 sur RTL, découvrez "RTL Sans Filtre", le nouveau rendez-vous humour de la matinale. Chaque jour, un humoriste délivre son billet d'humeur mais surtout son regard décalé sur l'actualité.
Ce jeudi 9 mars, la succession de Philippe Martinez à la tête de la CGT, notamment le duel inattendu entre Marie Buisson et Céline Verzeletti a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique La polémique dans l'émission BFM Patrimoine présentée par Cédric Decoeur sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
J-1 avant la grande journée de mobilisation du 7 mars contre la réforme des retraites, la CGT par la voix de son secrétaire général Philippe Martinez a indiqué qu'ils étaient plus jamais mobilisé pour bloquer le pays
Marceau refait l'info du 6 mars 2023
Ce lundi 27 février, Laurent Gerra a imité Xavier Demoulin, Philippe Martinez et Pascal Praud.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Fidèle au poste tous les dimanches soir, notre ami Laurent Ruquier anime "Les enfants de la télé", une émission qui réunit les stars du petit écran d'aujourd'hui et de demain.
En cette journée de mobilisation, Philippe Caverivière est évidemment revenu sur la question des retraites sous l'œil et l'oreille de Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT.
"L'Intersyndicale a annoncé deux nouvelles journées de mobilisation la semaine prochaine contre la réforme des retraites, l'occasion de retrouver un nouvel extrait de la compil CGT featuring Philippe Martinez ..."
durée : 02:29:15 - Le 7/9.30 - Au lendemain des manifestations contre la réforme des retraites, Gabriel Attal, ministre délégué des Comptes Publics, est l'invité du 7h50. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT est l'invité du Grand Entretien de 8h20. Paul Pavlowitch, petit-cousin de Romain Gary, est l'invité du 9h10.
durée : 00:25:18 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Au lendemain de la réforme des retraites, le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez se réjouit de la mobilisation massive et envisage la suite. Deux autres journées de grève sont attendues.
EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » BRUNO JEUDY Éditorialiste politique Bis repetita. Après un mouvement très suivi le 19 janvier, les organisations syndicales organisent aujourd'hui une nouvelle journée de mobilisation et de grève contre la réforme des retraites. Le patron de la CGT Phillipe Martinez espérait ce matin "autant de monde, si ce n'est plus" dans la rue. Il y a dix jours, pas moins de 1,12 million de manifestants selon les autorités (plus de 2 millions selon les syndicats) s'étaient retrouvés pour faire plier le gouvernement sur son projet phare. Cette deuxième journée de mobilisation apparait donc comme un test pour le mouvement social. Face aux manifestants, le gouvernement a changé de ton ces derniers jours. Fini la carte de la "pédagogie" et du "dialogue", place à la fermeté. À l'image de la Première ministre Elisabeth Borne, qui déclarait dimanche dans une interview à France Info que le report de l'âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans prévu par la réforme n'était "plus négociable". Une posture inflexible reprise par plusieurs poids lourds de l'exécutif, très présents dans l'espace médiatique ces derniers jours. Dans ce bras de fer, le nombre de gréviste semble en baisse aujourd'hui. Selon les syndicats, ils sont 36,5% à la SNCF, contre 46,3% le 19 janvier. Selon la direction d'EDF, il y a 40,3% de grévistes dans l'entreprise, contre 44,5% le 19 janvier. La mobilisation serait également en baisse dans la fonction publique d'Etat, avec 19,4% de grévistes contre 28% le 19 janvier, selon le ministère de la Fonction publique. Si on observe donc un recul de la grève dans plusieurs secteurs, les manifestations semblent, en revanche, accueillir plus de monde. À la mi-journée, le constat est encourageant pour le mouvement social. "Tout ce qui nous remonte partout en France ce sont de très très gros chiffres, largement aussi bien voire mieux que le 19 janvier dernier", a déclaré le chef de file de la CFDT Laurent Berger, tandis que son homologue de la CGT a annoncé qu'il fallait durcir le ton. "C'est bien nous sommes plus nombreux que le 19 janvier dernier", a assuré Philippe Martinez depuis la place d'Italie, peu avant le départ du cortège parisien. "Il y aura une suite et même des suites, si le gouvernement ne change pas et n'écoute pas", avait-il lancé ce matin sur RMC-BFMTV. Le constat est clair, le mouvement est massif. Et face à un gouvernement qui joue désormais la fermeté, le conflit pourrait être amené à durer. Dans cette hypothèse, les syndicats conserveront-ils le contrôle de l'action ? Ou se retrouveront-ils débordées par leur base et par des mouvements mouvements extérieurs, comme celui observé à Noël à la SNCF ? L'automne dernier, un collectif composé de plusieurs centaines de contrôleurs s'était en effet organisé sur Facebook, en dehors de tout cadre syndical. Ils avaient entamé leur mouvement début décembre, en déposant un préavis de grève pour le week-end de Noël. Ces salariés n'étaient pas les représentants des organisations habituellement en première ligne au moment des blocages. Ces quelque 3500 membres du "collectif national ASCT" rejetaient même toute accointance avec les syndicats, bien que ces derniers aient fini par les soutenir. En parallèle de l'actuelle mobilisation, ce scénario pourrait se reproduire. À côté du conflit, un sujet demeure sous les radars. Celui de la retraite progressive. Et pour cause, moins de 25 000 salariés bénéficient aujourd'hui de ce dispositif. Il permet, notamment, d'amoindrir le choc psychologique du passage d'une activité salariale très chronophage à l'absence totale d'obligation professionnelle que confère une retraite pleine et entière. Un salarié proche de l'âge auquel il est en droit de mettre un terme à sa carrière peut ainsi demander à son employeur de ne plus travailler à temps complet, par exemple s'il souhaite disposer toute l'année d'un week-end de quatre jours ou de toutes ses après-midis, tout en commençant à percevoir une partie de sa pension de retraite. Syndicats, gouvernement, qui va remporter la deuxième manche de cette bataille des retraites ? Les syndicats peuvent-ils être débordés par leur base si le mouvement de contestation s'inscrit dans la durée ? La retraite progressive pourrait-elle se généraliser dans les années à venir ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:58:44 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - A quelques jours de la 2ème journée de mobilisation contre la réforme des retraites, Marie Buisson secrétaire générale de la branche éducation de la CGT est l'invitée du 13/14. Elle fait également partie des pressentis pour remplacer Philippe Martinez à la tête du syndicat au printemps prochain.
Ce mercredi 25 janvier, les propos de Philippe Martinez concernant le service minimum ont été abordés par Patrick Artus, directeur recherche éco de Natixis, Denis Payre, président de Nature & People First, et Xavier Timbeau, directeur principal de l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
EXPERTS BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » SOPHIE FAY Journaliste - « Le Monde » Spécialiste des questions de transports BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondage Elabe « Le million sera dépassé ». Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, s'est montré satisfait aujourd'hui dans le cortège parisien contre la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. Les images d'une place de la République noire de monde a fait le tour des médias, marquant ainsi l'acte un de la grande mobilisation sociale qui s'annonce. Des manifestants en nombre, dans la capitale comme en province, des grèves et des perturbations à l'école comme dans les transports : les syndicats unis promettent de faire reculer le gouvernement sur ce texte. « Le gouvernement a perdu la première bataille » en a conclu Jean-Luc Mélenchon, alors que certains salariés du privé ont participé au mouvement. Mais de son côté, l'exécutif ne s'estime pas vaincu, bien au contraire, assurant qu'il fera passer ce texte de loi « nécessaire » quel que soit l'ampleur de la contestation dans la rue. « Cette réforme sera adoptée », a affirmé la présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée, Aurore Bergé. Celle-ci assure toutefois que le gouvernement « continuera à tendre la main, négocier et concerter » avec les contestataires. Mais les membres de la majorité s'élèvent contre la mobilisation qui commence : « un droit de grève n'est pas un droit de blocage », estiment-ils. Cette situation rappelle en tout cas celle de 1995. À l'époque, le gouvernement d'Alain Juppé avait dû retirer son texte de réforme des retraites. Celui-ci prévoyait un allongement de la durée de cotisation pour les fonctionnaires, les salariés d'EDF, de la SNCF, de la RATP ou encore de la Poste. Les manifestations avaient alors atteint des sommets dans la rue, jusqu'à deux millions de Français avaient défilé à l'unisson. Une équipe de C dans l'air est allé retrouver les acteurs majeurs de ce conflit alors que la gauche et les syndicats de 2023 espèrent le même scénario. La réforme voulue par le gouvernement d'Elisabeth Borne contient en réalité plusieurs points de crispations comme la fin des régimes spéciaux et le report de l'âge de départ à la retraite à 64 ans. Si les retraités aux petites retraites pourraient en sortir gagnants avec une pension minimum élevée à 1200 euros bruts, les perdants seraient surtout les jeunes travailleurs qui devront cotiser 44 ans au lieu de 43. Alors, la mobilisation sociale peut-elle faire céder le gouvernement ? Quelles avaient été les ingrédients de 1995 pour que la rue gagne face à Juppé ? Qui seraient les vrais gagnants et les vrais de cette nouvelle réforme ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales BERNARD VIVIER Directeur de l'Institut Supérieur du Travail Spécialiste du dialogue social MICHAËL ZEMMOUR Maître de conférences en économie - Université Paris 1 Tous leaders syndicaux alignés dans la grande salle de la Bourse du travail. Quelques heures après la présentation par la Première ministre de la réforme des retraites, dont la mesure phare est le recul de l'âge légal de départ de 62 à 64 ans, les huit principaux syndicats étaient réunis hier soir pour organiser la riposte. Et c'est Laurent Berger, le patron de la CFDT, qui a lu leur déclaration commune et a annoncé une première journée de mobilisation le 19 janvier prochain. « Cette réforme va frapper de plein fouet l'ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Le système de retraites par répartition n'est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale », estiment-ils dans le communiqué commun. Un front syndical inédit depuis douze ans dont la solidité sera l'une des clés de la bataille qui s'annonce, a relevé le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez. Elle « constitue un élément de confiance pour les salariés » et « incite les salariés et les agents à se mobiliser massivement », a-t-il fait valoir. Mais jusqu'à quand durera-t-elle ? Alors que certains s'interrogent déjà sur ce point, Laurent Berger a voulu couper court aux spéculations sur l'attitude de la CFDT, dans Le Parisien : « Il faut que ce soit clair, même avec des mesures positives sur les carrières longues ou la pénibilité, on reste opposé à la réforme avec une mesure d'âge. Il n'y aura pas de deal avec la CFDT », a-t-il martelé. Et ce matin sur France inter, il a enfoncé le clou : « Cette réforme des retraites c'est davantage une réforme des finances publiques, d'équilibre financier sur le seul dos des travailleurs ». Certes « il y a des mesures d'amortissement », mais elles « ne remettent pas en cause le fait que les travailleurs et travailleuses de ce pays vont devoir travailler à terme deux ans de plus. Depuis toujours, la CFDT est opposée au report de l'âge légal de départ en retraite, car c'est la mesure la plus injuste ». La CFDT « appelle massivement les salariés à se réunir dans la rue [le 19 janvier] et à manifester pour dire qu'ils sont contre ». La bataille de la rue va commencer, soutenue par les troupes venues de la gauche. Lors d'un meeting à Paris hier soir, la Nupes a ainsi voulu montrer un front uni contre les mesures de l'exécutif et promis un combat dans la rue comme qu'au Parlement. L'« Assemblée nationale cela va être la ZAD » (zone à défendre) a notamment lancé la nouvelle patronne des Verts Marine Tondelier. La coalition de gauche a d'autre part appelé à participer à la première journée de contestation, le seul moyen de bloquer la réforme pour le leader du PCF Fabien Roussel. « C'est ce jour-là qu'il faudra faire péter les jauges. Soyons un million dans la rue et après on parlera ! ». Du côté des Républicains, en revanche, on se dit prêt à « voter une réforme juste » des retraites. « Réforme que nous proposons au Sénat depuis plusieurs années » a insisté Bruno Retailleau ce matin sur France Inter et qui comprend : « départ à 64 ans, accélération de la réforme Touraine, une attention pour les petites retraites et pour les femmes.» Le président du groupe LR au Sénat a par ailleurs indiqué que si « une très grande majorité » des élus LR se prononcera en faveur de la réforme des retraites, certains « pourraient ne pas le voter ». « Peut-être une douzaine ou une quinzaine » à l'Assemblée nationale a-t-il précisé. Age de départ, carrières longues, pénibilité, durée de cotisation... Quelle est l'architecture de cette réforme des retraites ? Qui est concerné ? Qui perd ? Qui gagne ? Enfin alors que le modèle Allemand qui a déjà emprunté cette voie du report de l'âge de départ à la retraite est souvent évoqué dans les débats. Quelle est la situation outre-Rhin ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mercredi 11 janvier, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Martinez, Roselyne Bachelot, Bruno Le Maire et Jean-Michel Apathie.
Divisions intestines entre “réformistes” et “radicaux”, adhérents perdus par milliers et crédibilité en berne : alors que la présentation du projet de réforme des retraites donne le “go” du bras de fer annoncé entre exécutif et syndicats, La Loupe vous propose une mini-série consacrée au long déclin de la CGT. Deux épisodes avec Béatrice Mathieu, grand reporter spécialiste de l'Economie à L'Express, pour comprendre à quel point l'ancien premier syndicat de France est proche de la rupture. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter.L'équipe :Écriture : Margaux LannuzelPrésentation : Xavier YvonMontage : Charlotte BarisRéalisation : Jules KrotCrédits : Cnews, TF1, Europe 1, BFM, BFM Business, RTL, LCI, France Inter, Elysée, France 24Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédits image : Lou Benoist / AFPLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:46:38 - On n'arrete pas l'éco - par : Alexandra Bensaid - Pour ouvrir 2023, on débat des perspectives encourageantes, on fait un détour par la Grèce et on se plonge dans les retraites, dont le projet de réforme sera révélé dans trois jours. Si la concertation n'a pas convaincu les syndicats, la confrontation pourrait-elle faire bouger le gouvernement ? - invités : Philippe Martinez - Philippe Martinez : Secrétaire général de la CGT - réalisé par : Charles De Cillia
Ce jeudi 5 janvier, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Martinez, Eric Ciotti, Lambert Wilson et Alain Finkielkraut.
Comme chaque début d'année, les personnalités se pressent dans les médias pour adresser leurs vœux aux Français. Nous avons ouvert notre micro à quelques -unes d'entre elles dont Philippe Martinez.
Ce mardi 27 décembre, dans cette chronique best-of des fêtes de fin d'année, Laurent Gerra a imité Brigitte et Emmanuel Macron, Marine et Jean-Marie Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, Philippe De Villiers, Philippe Martinez, Patrick Bruel et Jean-Marie Bigard.
Ce lundi 12 décembre, Laurent Gerra a notamment imité Jane Birkin, Pierre Arditi, Éric Ciotti et Philippe Martinez.
EXPERTS THOMAS PORCHER Économiste Auteur de « Mon dictionnaire d'économie » FANNY GUINOCHET Éditorialiste – « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste – « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques EMMANUEL DUTEIL Directeur de la rédaction – « L'Usine Nouvelle » Le détail de la réforme des retraites qui sera présentée le 15 décembre prochain se précise. Après une longue interview d'Élisabeth Borne la semaine dernière dans le Parisien, Emmanuel Macron a réuni les poids lourds de la majorité mercredi soir à l'Elysée et confirmé le report de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 65 ans. Le chef de l'état a également évoqué la possibilité de faire passer la réforme des retraites par un projet de loi de finances de la Sécurité sociale rectificative (PLFSSR) et non par un projet de loi ad hoc. Si le véhicule législatif pour faire voter ce texte semble très technique, il a toute son importance. Le temps de débat pour un PLFSSR est très encadré, ce qui permettrait à l'exécutif d'éviter de voir s'enliser le texte et de donner longtemps du carburant à d'éventuelles manifestations. D'autre part le gouvernement peut recourir à nouveau à un 49.3 sur ce texte financier, et faire l'économie de son unique cartouche du 49.3 disponible sur les autres textes de loi de la session parlementaire. Mais cette méthode risque de tendre encore plus les oppositions qui souhaitent un long débat sur le sujet. D'ailleurs, dès le lendemain, les échanges entre la Première ministre et les leaders syndicaux ont été qualifiés de « tendus ». Tous ont réaffirmé leur opposition au relèvement de l'âge légal de départ en retraite et rappelé qu'ils étaient prêts à mobiliser dans la rue dès janvier. « Ils sont obstinés, je pèse mes mots, à dire qu'il faut travailler jusqu'à 65 ans », a dénoncé Philippe Martinez à la sortie de son entretien. « Tout report de l'âge légal de départ en retraite fera que la CFDT sera en intersyndicale pour se mobiliser », a répété Laurent Berger. « La messe est dite, Emmanuel Macron veut aller à l'affrontement », a déclaré de son côté François Hommeril, le président de la CFE-CGC. Lancée début octobre, la concertation entre l'exécutif et les partenaires sociaux sur la réforme touche à sa fin. La Première ministre doit présenter la semaine prochaine le texte qui sera, ensuite, soumis au Conseil d'État, puis présenté en Conseil des ministres début 2023, avant des débats à l'Assemblée nationale et au Sénat dans la foulée. Et les discussions au Palais-Bourbon promettent d'être orageuses. Le RN et la Nupes préparent déjà leurs munitions s'appuyant sur les sondages qui montrent que huit Français sur dix sont opposés à cette réforme des retraites. Alors que dans la majorité, la colère gronde. De nombreux députés du camp présidentiel réclament voix au chapitre et s'inquiètent d'un passage en force. D'autant que le climat économique et social, marqué par l'inflation, la crise de l'énergie, les éventuelles coupures d'électricité et l'augmentation des faillites des entreprises, est déjà tendu. Contenu, méthode, calendrier…que sait-on de la réforme des retraites ? Que préparent les syndicats ? Et pourquoi les faillites des entreprises sont-elles en hausse ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mercredi16 novembre, Laurent Gerra a notamment imité Pascal Praud, Pierre Arditi, Philippe Martinez et Xavier de Moulins.
Le chef des communistes, Fabien Roussel, a annoncé qu'il participait au Movember, le mois où l'on se laisse pousser la moustache pour sensibiliser à la lutte contre le cancer de la prostate et des testicules. À cette occasion, on vous explique pourquoi la moustache a été l'objet d'une grande grève en France. Là, rien à voir avec le cancer des testicules même si la grève souvent ça casse les... La moustache qui déclenche un mouvement, on précise que ce n'est pas celle de Philippe Martinez de la CGT, puisque là ça s'est passé en 1907 ! De quelle moustache s'agit-il ? Celle des garçons de café parisiens. Tous les jours à 6h50 sur RTL, Florian Gazan révèle une histoire insolite et surprenante, liée à l'actualité.
Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, était l'invité de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mardi 8 novembre. Ils sont revenus sur la relance de la négociation sur le partage de la valeur par les partenaires sociaux, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 8 novembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Paolin Pascot, cofondateur et président d'Agriconomie, Hervé Machenaud, ancien PDG de la division Asie-Pacifique d'EDF et auteur de "La France dans le noir", Pierre Gattaz, président du directoire de Radiall, Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, Raphaël Bloch, co fondateur et rédacteur en chef de The Big Whale, François Chaulet, directeur général Montségur Finance, et Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste économique BFM Business, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
EXPERTS ÉLIE COHEN Économiste - Chercheur au CNRS SOAZIG QUÉMÉNER Rédactrice en chef du service politique - « Marianne » JADE GRANDIN DE L'EPREVIER Journaliste - « l'Opinion » Spécialiste des questions économiques ERWAN BENEZET Journaliste en charge de l'énergie « Le Parisien - Aujourd'hui en France » La CFE-CGC et la CFDT disent oui, la CGT répond non. A l'issue d'une nuit de négociations un accord a été signé par les deux syndicats majoritaires de TotalEnergies mais pas par les grévistes. Le compromis trouvé prévoit d'après le groupe pétrolier une augmentation des salaires de 7 % et une prime allant de 3 000 à 6 000 euros. « Mascarade » rétorque la CGT qui a quitté les discussions à 2 heures du matin. Les propositions sur la table, 5 % de hausse des salaires fixes plus les traditionnelles mesures annuelles liées aux performances, « sont largement insuffisantes ». « C'est en dessous de l'inflation c'est-à-dire que Total Energies refuse à minima de couvrir l'inflation » a déclaré Alexis Antonioli, secrétaire général CGT de la plateforme TotalEnergies Normandie. « Nous, on demande 10 % », une hausse correspondant à « l'inflation plus le partage des richesses, puisque Total se porte bien et que les actionnaires ont été servis depuis longtemps », a souligné le leader cégétiste, Philippe Martinez, ce vendredi sur France Info. « Pour le moment, 5 % c'est loin de 10 % (…) Les salariés n'acceptent pas la proposition de la direction, il faut renégocier », a-t-il ajouté. « On a un patronat qui a décidé de garder tous les bénéfices pour lui. Si Total ne partage pas, personne ne partagera », a estimé de son côté le secrétaire CGT du comité européen TotalEnergies avant d'appeler à « une réaction globale. (...) il faut maintenant appeler à l'indexation des salaires sur l'inflation » en France. Le syndicat FO souhaite lui aussi que la hausse des salaires compense au moins l'inflation actuelle qui est à 6,8 %. En attendant, si dans les deux raffineries Exxon-Mobil les grévistes ont voté la reprise du travail, sur les sites Total Energies il n'est pour l'instant pas question d'arrêter le mouvement. Désormais la CGT a la grève interprofessionnelle de mardi prochain en ligne de mire et appelle à élargir partout le mouvement. Dans plusieurs secteurs, SNCF, RATP, fonction publique, les appels à la grève sont lancés quand chez EDF le mouvement débuté depuis plusieurs jours se prolonge et paralyse les travaux de maintenance dans huit réacteurs nucléaires. Un nouveau risque pour EDF qui manque cruellement de marges de manœuvre pour répondre à la demande d'électricité cet hiver. Alors que prévoit l'accord signé par la CFE-CGC et la CFDT ? Que se passe-t-il dans les centrales nucléaires d'EDF ? Se dirige-t-on vers une grève générale ? Comment sortir de la crise ? Faut-il une indexation des salaires sur l'inflation ? Pouyanné ? Pourquoi six ONG ont assigné le groupe pétrolier en justice pour son projet d'oléoduc en Tanzanie et en Ouganda ? Enfin Berlin vient de confirmer que l'Allemagne va entrer en récession en 2023. Quelle est la situation dans le pays ? Quelles conséquences en Europe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Elle est la voie de la nuit sur RTL. La célèbre psychologue Caroline Dublanche recueille tous les jours les confidences des auditeurs en détresse dans "Parlons-Nous". Philippe Martinez est en ligne et souhaite se confier...
EXPERTS PHILIPPE DESSERTINE Directeur de l'Institut de Haute Finance Auteur de « Le grand basculement » FANNY GUINOCHET Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » Spécialiste des questions économiques et sociales NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » JÉRÔME FOURQUET Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La France sous nos yeux » « Un retour à la normale dans la semaine ». Emmanuel Macron se serait-il trop avancé hier soir dans l'émission l'Evènement sur France 2 ? Pour l'instant, du côté des raffineries et des dépôts en grève, les négociations sont au point mort. La première discussion entre la CGT et TotalEnergies, mercredi, n'a rien donné. Total proposait que la grève se concentre sur les raffineries et qu'elles soient levées sur les dépôts pour ouvrir les négociations salariales. Finalement dans un communiqué publié ce jeudi, le groupe pétrolier propose le versement en décembre prochain d'un bonus exceptionnel représentant un mois de salaire à l'ensemble de ses salariés dans le monde « sous réserve d'accords salariaux dans les divers pays et filiales concernés ». La prime pourrait également s'accompagner d'un augmentation salariale de 6 % sur l'année 2023. Mais pour les grévistes ce bonus exceptionnel ne doit pas se substituer à une hausse des salaires pour 2022. Pour rappel la CGT, qui a lancé le mouvement le 27 septembre dernier, demande 10 % d'augmentation pour 2022, contre les 3,5 % obtenus en début d'année, afin de compenser l'inflation (6 %) et de profiter des bénéfices exceptionnels du groupe. TotalÉnergies a engrangé près de 19 milliards d'euros de bénéfices sur les six premiers mois de l'année et a décidé le 28 septembre dernier le versement d'une prime exceptionnelle de 2,6 milliards à ses actionnaires, qui s'ajoutera aux dividendes réguliers versés à la fin de l'année. Une annonce qui a donné du grain à moudre aux grévistes qui rappellent que le patron de l'entreprise a également augmenté sa rémunération de 52 % l'année dernière, la portant à 500 000 euros par mois. Dans les raffineries bloquées des assemblées générales auront lieu cet après-midi et l'heure n'est pas à la sortie de crise. La CGT a appelé, jeudi matin, à amplifier et élargir la grève à l'ensemble du secteur de l'énergie et du commerce. Philippe Martinez a aussi dit réfléchir à une grande journée de mobilisation interprofessionnelle la semaine prochaine. Le leader de la CGT a par ailleurs indiqué que son syndicat avait déposé un référé contre la réquisition des grévistes de la raffinerie Esso de Port-Jérôme-Gravenchon, dans la Seine-Maritime. De son côté, le gouvernement a décidé de lancer, ce jeudi, la réquisition de personnels du dépôt des Flandres TotalEnergies près de Dunkerque et a appelé à une hausse des salaires. Alors à quand un retour à la normale dans les stations-service ? Le conflit va-t-il s'étendre ? Pourquoi le groupe TotalEnergies dégage-t-il autant de bénéfices ? Nommé en décembre 2015 directeur général de Total trente-six heures après le décès accidentel de Christophe de Margerie qui est Patrick Pouyanné ? Pourquoi six ONG ont assigné le groupe pétrolier en justice pour son projet d'oléoduc en Tanzanie et en Ouganda ? Enfin Berlin vient de confirmer que l'Allemagne va entrer en récession en 2023. Quelle est la situation dans le pays ? Quelles conséquences en Europe ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
EXPERTS CHRISTOPHE BARBIER Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction - « Franc-Tireur » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » Auteure de « Les 7 péchés capitaux de la gauche » GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Deux semaines après le début du mouvement, alors que les grèves ont été reconduites ce mercredi dans les raffineries Total et Esso-ExxonMobil et que la situation est de plus en plus tendue dans les stations-service, le gouvernement a décidé de riposter. Annoncées hier par la Première ministre, les procédures de réquisition des personnels des raffineries Esso-ExxonMobil ont été lancées. La réquisition des personnels « indispensables au fonctionnement » du dépôt de la raffinerie Esso-ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme « débutera ce jour » a assuré le ministère de la Transition énergétique. Mais reste à voir le visage que prendra cette réquisition. Avant l'aube, une cinquantaine de salariés grévistes de la raffinerie ont voté la poursuite de la grève et l'annonce passe mal. Pour Germinal Lancelin, délégué CGT de l'entreprise, ces réquisitions sont « illégales ». Elles bafouent « le droit de grève ». Selon le gouvernement l'activité doit redémarrer car deux syndicats majoritaires de l'entreprise ont signé lundi avec la direction un accord sur les salaires : 5,5 % d'augmentation. Mais la CGT et FO ont refusé et poursuivent la grève. La réquisition doit être signées cet après-midi par la préfecture pour les personnels du dépôt. Néanmoins les grévistes espèrent empêcher la reprise et prévoient de déposer des référés en justice. Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, est attendu sur le site cet après-midi. Au total six des huit raffineries de l'Hexagone sont désormais à l'arrêt et le gouvernement envisage d'autres perquisitions. « L'impact de ce conflit social est devenu insupportable pour de trop nombreux Français. Certains sont empêchés d'aller travailler, d'emmener leurs enfants à l'école, de faire leurs courses, parfois de se soigner » a déploré le porte-parole du gouvernement à l'issue du Conseil des ministres. Le dépôt de carburant de Flandres, près de Dunkerque, pourrait être le prochain sur la liste des réquisitions si les rencontres prévues cet après-midi entre la direction de Total Energies et les syndicats ne permettent pas de débloquer le site. Et ce alors que le mouvement continue de s'étendre. Une nouvelle raffinerie, celle de Donges en Loire-Atlantique, a rejoint la grève ce mercredi. Dans la centrale nucléaire de Gravelines, les salariés ont également voté pour une grève reconductible à partir du 13 octobre. Leur revendication : obtenir au moins « 5% » d'augmentation de salaires pour compenser la hausse des prix. Des demandes soutenues par la Nupes qui appelle à manifester dimanche 16 octobre à Paris contre « la vie chère et l'inaction climatique ». Alors que changent les réquisitions décidées par le gouvernement ? Peuvent-elles permettre de résoudre le problème d'approvisionner des stations qui n'ont plus d'essence ? Cette lutte salariale débutée dans les raffineries peut-elle s'étendre à d'autres entreprises ? À quoi ressemblera la marche du 16 octobre organisée par la Nupes ? Et comment les collectivités locales parviennent-elles à faire des économies d'énergie en ces temps de crise ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce 23 septrembre, Laurent Gerra a imité Jean-Luc Mélenchon, Philippe Martinez, Dominique Besnehardt, Stéphane Berne et Johnny Hallyday.
Ce 16 septembre, Laurent Gerra a imité Michel Houellebecq, Yann Queffelec, Patrick Sébastien, Philippe Martinez, Jean-Pierre Raffarin et André Manoukian. Ecoutez Laurent Gerra avec Laurent Gerra du 16 septembre 2022