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Les chiffres de la Direction de l'immobilier de l'État (DIE) créée en 2016 et dirigée aujourd'hui par Alain Resplendy-Bernard sont à couper le souffle : l'État se trouve à la tête d'un énorme patrimoine et sous-employé : 195 745 bâtiments, 31 170 terrains nus, pour une valorisation totale de 74 milliards d'euros dans les comptes publics ! Comment alors faire pour rationaliser l'immobilier de l'État et par la même occasion trouver de nouvelles recettes pour boucler le futur budget 2026 ? Dès la déclaration de son discours de politique générale en janvier, le Premier ministre François Bayrou l'avait assuré devant les parlementaires : « La modernisation de l'État est au cœur de mon projet ». Sa solution : c'est l'augmentation de la vente de biens publics immobiliers, bâtiments, bureaux, terrains, parcelles agricoles, appartements…. ou aussi dans le déploiement de l'Intelligence artificielle dans les services publics. Jean-Paul Matteï, député du groupe (MoDem) des Pyrénées-Atlantiques (circonscription de Pau), président du Conseil de l'immobilier de l'État depuis le 24 janvier 2018 et notaire de profession, réfléchit à cette idée depuis plus de cinq ans. Ce proche de François Bayrou en est convaincu : « Il faut dissocier l'État propriétaire et l'État exploitant. » Avec notamment le député de (Ensemble pour La République) Thomas Cazenave, ancien ministre chargé des comptes publics, et François Jolivet, député de l'Indre, député (Horizons) de l'Indre, vice-président de la Commission des finances, Jean-Paul Matteï réfléchit à déposer une proposition de loi (PPL) pour alléger l'immobilier de l'État en reprenant la totalité de l'amendement bloqué par le Conseil constitutionnel
C dans l'air l'invitée du 27 mai 2025 avec Marina Carrère d'Encausse, médecin et journaliste pour France 5 et France Culture. Ce mardi à l'Assemblée nationale, les députés votent en première lecture deux textes sur la fin de vie. L'un consensuel sur les soins palliatifs, l'autre très sensible sur la création d'une aide à mourir. La proposition de loi du député Olivier Falorni crée un "droit à l'aide à mourir". Pour être éligible, le demandeur doit remplir cinq conditions cumulatives : être majeur, de nationalité française ou résider de façon stable et régulière en France, être atteint "d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, qui engage le pronostic vital, en phase avancée" ou "terminale" , présenter "une souffrance physique ou psychologique constante" qui "soit réfractaire aux traitements" et être "apte à manifester sa volonté".Ce texte divise, y compris au sein du gouvernement. Si la ministre de la Santé y est aujourd'hui favorable, et rassure sur le fait que "l'aide à mourir sera strictement encadrée, d'autres membres du gouvernement sont inquiets. Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, estime, lui, que cette proposition de loi est "un texte d'abandon", et le Premier ministre François Bayrou, ce matin, a affirmé que s'il était député il se serait abstenu, craignant des dérives possibles. Il dénonce notamment le "délit d'entrave" prévu par le texte. "Ce n'est pas une entrave que d'essayer de persuader quelqu'un de vivre", a-t-il affirmé.Marina Carrère d'Encausse, médecin et journaliste particulièrement sensibilisée au sujet, nous donnera son point de vue sur la loi, un texte historique qui pourrait être voté à l'Assemblée, et réagira aux réticences exprimées dans la société.
Ce mercredi 28 mai, la question de la TVA sociale, l'effort budgétaire des Français voulu par François Bayrou, et la saison des AG qui passent en communication de crise, ont été abordés par Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste du cabinet d'audit BDO France, et Guillaume Richard, président du groupe de services à la personne OuiCare, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Après trois soirées en 2016 (François Fillon, Marine Le Pen, François Bayrou) et 2021 (Marine Le Pen à nouveau, Valérie Pécresse, Anne Hidalgo), Karine Le Marchand revient dimanche 1er juin pour un nouveau volet de "Une ambition intime". Fabien Roussel, Sandrine Rousseau, Gérald Darmanin et Jordan Bardella seront ses invités. L'animatrice et productrice sur M6 est l'invitée pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 28 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payer.Le Premier ministre a annoncé, ce mardi matin, un vaste plan de redressement des finances publiques qui portera sur trois ou quatre ans. Détaillé par le gouvernement au mois de juillet ce plan pluriannuel "de retour à l'équilibre des finances publiques va demander un effort à tous les Français. Le plus juste possible, mais un effort suffisant pour que la France sorte de cette situation qu'on a laissé grandir" a déclaré François Bayrou. Confronté d'ores et déjà à la colère des taxis, le chef du gouvernement a confirmé que la réforme de la rémunération du transport des malades s'appliquera bien début octobre et générera même "davantage d'économies que prévu" grâce à la concertation qui va s'ouvrir. Le Premier ministre a également indiqué qu'il souhaitait que les partenaires sociaux s'emparent de la question de la TVA sociale, abrogée par François Hollande en 2012. Ce dispositif consiste à compenser les réductions de cotisations qui repose sur le travail par une augmentation de la TVA pour compenser les pertes de recettes de la Sécurité sociale."Je souhaite que tous ceux qui ont la responsabilité du monde du travail, du monde de l'entreprise et du monde des salariés, acceptent de poser ensemble cette question", a affirmé le chef du Modem. François Bayrou ajoutant que "le travail en France n'est pas récompensé comme il devrait l'être" et se disant "prêt à revoir la totalité de la question du financement du modèle social français". Emmanuel Macron avait exprimé le 13 mai dernier son souhait d'"aller chercher de l'argent en dehors du seul travail", notamment par le biais de la "consommation", pour financer notre modèle social alors que les défaillances d'entreprises continuent d'augmenter en 2025 et les comptes publics sont dans le rouge.Hier, à quelques heures de présenter un rapport sur la Sécurité sociale, le premier président de la Cour des Comptes Pierre Moscovici a appelé la France à "reprendre le contrôle" de ses finances, dénonçant des dérapages et des années noires en 2023 et 2024. Face à une trajectoire des comptes de la Sécurité sociale "hors de contrôle", les sages de la rue Cambon explorent dans leur dernier rapport plusieurs préconisations. Parmi celles-ci, se trouvent des mesures de rééquilibrage des charges patronales, le cumul emploi-retraite ou encore la lutte contre la fraude à l'étranger.Alors quelle est la situation des finances publiques ? Comment redresser les comptes ? Qu'est-ce que la TVA sociale ? La fiscalité sur le travail est-elle trop lourde ? Le capital doit-il être plus taxé ? Quelles sont les pistes d'économie ? Qui va payer ?LES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 27 mai, la question des efforts exigés par François Bayrou pour compenser les comptes publics, et l'alerte de la Cour des comptes vis-à-vis des finances de la sécurité sociale, ont été abordées par Laurent Vronski, DG d'Ervor, Mathieu Plane, directeur adjoint du département analyse et prévision de l'OFCE, et Marc Vignaud, journaliste à L'Opinion, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre François Bayrou veut "demander des efforts" à tous les Français, dans l'attente d'un plan économique prévu pour juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez l'émission du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 26 mai 2025, Laurent Gerra a notamment imité Laurent Delahousse, François Bayrou ou encore Bernard-Henri Lévy. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Interrogé par Mademoiselle Jade sur les différents sujets faisant débat en France, François Bayrou semble vouloir faire remonter sa côte de popularité. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
With 299 victims over 25 years, why wasn't serial rapist Joël Le Scouarnec stopped sooner? Closing arguments in the trial of the 74-year-old surgeon in the western French city of Vannes. We'll ask about a man convicted of purchasing child pornography online two decades ago and yet investigators failed to uncover worse crimes and the medical board allowed him to continue to practice. France's largest-ever sex abuse trial concludes, exposing decades of abuse at the Bétharram Catholic school in the southwest. The children of Prime Minister François Bayrou attended the school, where his wife also worked. Bayrou, however, maintains that he was unaware of the abuse at the time. At what point does it become a cover-up and when does deference cross a line in a nation where children are taught to obey authority figures?Most important are the victims. On the stand, Le Scouarnec eventually confessed – but to the plaintiffs, his answers felt mechanical, devoid of real remorse. Why is it so often the victims who carry the shame? Two of them took their own lives. How can that shame be overcome, and how does one begin to find closure?Produced by Théophile Vareille, Elisa Amiri, Ilayda Habip.
C dans l'air du 24 mai 2025 : Taxis, agriculteurs... le retour des colères sociales ?Il « ne fera pas machine arrière ». Face à la grève des taxis, le gouvernement n'entend pas revenir sur le projet de nouvelle tarification de l'Assurance-maladie sur les transports de malades. Son objectif : freiner la progression des dépenses liées au transport sanitaire. Celles-ci ont atteint 6,74 milliards d'euros en 2024, soit une hausse de 45% depuis 2019. Le chiffre d'affaires des chauffeurs de taxis risquerait selon eux de baisser de 40%.Mais après le blocage hier des prises en charge dans deux gares parisiennes, une réunion aura lieu cet après-midi au ministère des Transports, en présence de François Bayrou. Si aucun accord n'est trouvé aujourd'hui, l'intersyndicale menace de perturber Roland Garros. Le sujet de la concurrence des VTC alimente aussi leur colère.Les agriculteurs se mobilisent également. Ceux-ci veulent mettre la pression sur les députés, à la veille de l'examen de la proposition de loi Duplomb visant à lever certaines de leurs contraintes (le stockage de l'eau ou l'accès à des pesticides). Plusieurs permanences d'élus de gauche opposés à ce texte ont été dégradées, tandis que l'autoroute A16, près de Beauvais, a été bloquée hier.Enfin, dans les petites communes, les maires sont de plus en plus nombreux à démissionner. Ceux-ci se sentent pris à la gorge par des contraintes budgétaires difficiles à suivre et à justifier auprès de la population locale. Entre désillusion et découragement, leur mécontentement est accentué par la surcharge bureaucratique et l'excès de normes. Cela fait craindre une pénurie de candidats pour les municipales de 2026.Alors, le gouvernement va-t-il éteindre la colère des chauffeurs de taxi ? La loi Duplomb sur l'agriculture va-t-elle être adoptée ? Comment apaiser le malaise des maires de petites villes ?LES EXPERTS :François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco, auteur de « Mécomptes publics »OLIVIER BABEAU - Essayiste, président de l'Institut SapiensGAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à ChallengesSANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOCPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:05 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le 5 mai, François Bayrou a lancé à Marseille la Conférence des mobilités "Ambition France Transport" pour réfléchir au financement des infrastructures, dans un contexte budgétaire tendu. L'objectif est de trouver des solutions durables pour moderniser et développer le réseau ferroviaire.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 22 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à Delphine Depardieu, ce 21 mai 2025, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité François Bayrou, Jean-Michel Aphatie et François Cluzet. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 20 mai 2015, Laurent Gerra imitait François Hollande, François Bayrou ou encore Alain Juppé.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Mourad Boudjellal et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:09 - Le brief politique - Le Premier ministre invite mardi soir les députés macronistes à Matignon, une première depuis qu'il est chef du gouvernement. Un cocktail qui va surtout ressembler à une séance de câlinothérapie.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 16 mai 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.MACRON : INVENTAIRE AVANT BILAN …Interrogé mardi sur TF1, le président de la République a croisé le fer avec plusieurs personnalités de la société civile sur toute une série de sujets : Ukraine, défense, politique sociale, sécurité, dépenses, santé mentale, fin de vie, salaires, Gaza ... Peu d'annonces concrètes lors de cette intervention de plus de trois heures. A deux ans de la fin de son deuxième quinquennat, Emmanuel Macron s'est surtout attaché à défendre sa présidence, et notamment sa ligne économique : travailler plus, produire plus, ne pas augmenter les impôts. Le chef de l'État refuse de nationaliser Arcelor Mittal, alors que le sidérurgiste vient d'annoncer la suppression de plus de 600 postes en France. Il a demandé au gouvernement de lancer dans les prochaines semaines une « conférence sociale » sur le financement de notre modèle social. Tout en prétendant ne pas « préempter » les termes du débat à venir, il a indiqué que l'une des principales options à explorer consisterait à réduire les cotisations pesant sur les salaires et à mettre davantage à contribution « d'autres facteurs, en particulier la consommation ». Il s'est défendu toutefois de plaider en faveur d'une « TVA sociale ». Rejetant l'idée d'une taxation nationale des grandes fortunes, il a plaidé pour une approche mondiale face à l'exil fiscal.Attendu sur une annonce de référendum, Emmanuel Macron a déclaré opter pour une « consultation multiple » dans le cadre de l'article 11 de la Constitution. C'est-à-dire viades référendums en bonne et due forme et non via un outil purement consultatif créé pour l'occasion. Ceux-ci devraient intervenir « dans les mois qui viennent » et pourraient porter sur de « grandes réformes économiques, éducatives ou sociales ». Un spectre très large, sur lequel il entend réfléchir avec le gouvernement. Il pourrait recourir à un référendum sur l'aide à mourir comme une arme de déblocage qu'il ne dégainera qu'en solution de dernier recours, en privilégiant d'abord la poursuite du débat parlementaire. Ouvert à ce que des « réformes » du premier ministre François Bayrou, sur le « plan économique et social » fassent l'objet d'une consultation, le président de la République ne « voit pas », en revanche, de référendum possible sur l'immigration, demandé par la droite, ni sur la réforme des retraites, comme le lui a suggéré la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Le président de la République s'est dit favorable à l'interdiction des mariages de personne sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), et souhaite un accroissement du pouvoir des polices municipales. Il a confirmé vouloir que soit imposée aux adolescents une vérification de leur âge pour s'inscrire sur les réseaux sociaux, estimant qu'il y a « une jeunesse qui a été percutée » par ces plateformes.Interrogé pour finir sur un troisième mandat en 2032, Emmanuel Macron n'en a pas écarté l'idée en déclarant : « Quand j'aurai fini, je réfléchirai à la suite. »LA DÉSINDUSTRIALISATION EN FRANCE ET EN EUROPEDepuis quarante ans, la France a été confrontée à un important processus de désindustrialisation. Le poids de la valeur ajoutée du secteur manufacturier est passé de 22 à 15% de 1983 à 2023. Seuls 13% des actifs français étaient, employés dans l'industrie en 2023, contre près de 40% quarante ans auparavant. La désindustrialisation française est la conséquence d'une vague de faillites qui a frappé les secteurs du textile, de la machine-outil et de l'automobile, et du choix de certains grands groupes de délocaliser. La production industrielle française a souffert de son positionnement « gamme moyenne ». Elle a été concurrencée frontalement par celle des pays émergents quand l'Allemagne et les pays d'Europe du Nord ont opté pour le haut de gamme. Le manque de capitaux, d'ingénieurs, de techniciens, la faiblesse de la recherche et une préférence donnée aux services expliquent ce mauvais positionnement de l'industrie française qui est, en outre, confrontée à des impôts de production plus élevés que ses concurrentes. Le poids de l'industrie manufacturière représente aujourd'hui 10 % du PIB en France, contre 15 % en Italie et 16 % en Allemagne.La désindustrialisation touche l'ensemble de l'Europe. En 2000, la part de l'Europe dans la production mondiale de l'industrie était de 22,5%, contre 21% pour les Etats-Unis. Vingt ans plus tard, elle est tombée à 14,5% et celle des Etats-Unis à 16%. La part de la Chine est passée de 10 à 28%. Dans la sidérurgie, ArcelorMittal vient d'annoncer 600 suppressions de postes en France et son concurrent allemand, ThyssenKrupp, en supprimera 11.000 d'ici 2030. A côté de la baisse européenne de la production d'acier, les ventes de véhicules en Europe restent inférieures de 25% à leur niveau de 2019 et tous les analystes s'accordent sur le même étiage ces prochaines années. En Allemagne Volkswagen, prévoit 35.000 suppressions d'emplois d'ici à 2030. Chez Stellantis, les effectifs en Italie sont passés de 55.000 salariés en 2021 à 38.000 en 2025 et, en France, de 53.000 en 2017 à 42.000 aujourd'hui.Face à cette crise, la Commission européenne a présenté fin mars leplan acier de l'Europe. En plus d'une réduction immédiate de 15% du quota d'importations d'acier autorisées sur le sol européen, il prévoit une nouvelle clause de sauvegarde à partir de juin 2026, dispositif qui encadre les imports d'acier sur son territoire selon son origine. La Commission européenne a également annoncé 47 projets miniers pour couvrir une partie de ses besoins en minerais stratégiques. Ainsi, l'UE ambitionne d'ici 2030 d'avoir 10% de sa consommation annuelle extraites localement et 40% de sa consommation annuelle issue du raffinage local.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hadrien Clouet, député LFI de Haute-Garonne et vice-président de la Commission des Affaires sociales, répond aux questions d'Alexandre Le Mer. Ensemble, ils reviennent sur l'audition de François Bayrou devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale dans le cadre de l'affaire Bétharram. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 15 mai 2025 : Bétharram : 5h30 sur le grill... Bayrou s'expliqueUne audition longue et sous tension. Pendant plus de cinq heures, François Bayrou, accusé depuis plusieurs semaines d'avoir fermé les yeux sur les violences commises pendant des décennies à Notre-Dame de Bétharram, alors qu'il était à des positions de pouvoir dans la région, s'est expliqué hier devant la commission d'enquête sur les violences dans les établissements scolaires de l'Assemblée nationale. Interrogé par les rapporteurs Paul Vannier (la France insoumise, LFI) et Violette Spillebout (Renaissance), l'élu béarnais n'a cessé d'écarter toute responsabilité politique, a réfuté avoir menti et être intervenu auprès de la justice et a dénoncé une cabale politique. Une séquence tendue de questions - réponses qui s'est prolongée tard dans la soirée et a souvent viré à l'affrontement.À la sortie, si François Bayrou s'est montré satisfait évoquant pour lui un "moment libérateur", la présidente de la commission a peu apprécié la tonalité du Premier ministre. "Nous avons mené nos travaux aussi sereinement que d'habitude, avec la même méthodologie que l'on utilise depuis plus de deux mois et nous avons auditionné plus de cent personnes", a expliqué la députée socialiste de Seine-Saint-Denis, Fatiha Keloua Hachi. "Je l'ai trouvé confus, parfois même agressif et grossier à notre égard (…) Nous devons relire les procès-verbaux" et "revisionner" les cinq heures trente d'audition", a fait valoir la présidente de la commission, avant de promettre de prendre "les mesures qu'il faudra (…) en temps voulu".Le chef du gouvernement s'en est régulièrement pris au corapporteur LFI, Paul Vannier, l'accusant de "malhonnêteté", de "manipulation" et de faire de cette commission un procès politique. Mais pour l'insoumise Sarah Legrain, il faut inverser les accusations. "François Bayrou a décidé d'en faire une guerre politique, là où tout le monde l'attendait sur la question de ses responsabilités politiques." "Il met en cause la commission. Il met en cause un des rapporteurs. Il accable l'enseignante qui a servi de lanceur d'alerte, prétend que deux militaires haut gradés de la gendarmerie sont des menteurs. Il se victimise et il refuse de voir la réalité. Pour moi, c'est assez accablant, c'est un véritable naufrage", a réagi la socialiste Colette Capdevielle.Plusieurs députés, du centre à l'extrême droite, se sont en revanche indignés de la manière dont François Bayrou a été interrogé sur sa connaissance des faits, évoquant une "indécence totale", un "procès stalinien" ou encore une "exploitation assez indigne". Sur Radio J, le chef des députés Modem, Marc Fesneau, très proche de François Bayrou, s'en est pris à M. Vannier, jugeant "cette façon de traiter les gens assez dégueulasse". "C'est du stalinisme", a-t-il estimé, évoquant "un procès à charge". "Il faut qu'on arrête avec les commissions d'enquête" à l'Assemblée nationale "parce qu'on en fait des objets politiques permanents", où "il ne s'agit pas de combattre, il s'agit d'accuser l'autre".Les travaux de la commission d'enquête sur le contrôle par l'Etat des violences à l'école ont débuté en mars dernier avec l'écoute des victimes, puis l'audition des administrations de l'Etat, des institutions religieuses, de chercheurs. Elles vont se poursuivre avec l'audition des responsables politiques, ministres actuels et passés. Ses conclusions seront rendues à la fin du mois de juin.Que retenir des cinq heures d'audition de François Bayrou ? Quel est le rôle d'une commission d'enquête parlementaire ? Comment fonctionne-t-elle ? Enfin l'affaire Pelicot aurait-elle pu être évitée ? Dans son nouveau livre, "Fétiche45 : les autres vies" de Dominique Pelicot, le grand reporter au magazine Marianne Laurent Valdiguié évoque de nombreux dysfonctionnement. Il en a parlé à nos journalistes.LES EXPERTS :- Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine- Marion SOLLETTY - Grand reporter - Politico- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter - Le Nouvel Obs- Jean GARRIGUES - Historien, président de la commission internationale d'histoire des assembléesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 15 mai 2025 : Bétharram : 5h30 sur le grill... Bayrou s'expliqueLES EXPERTS :- Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine- Marion SOLLETTY - Grand reporter - Politico- Mathieu DELAHOUSSE - Grand reporter - Le Nouvel Obs- Jean GARRIGUES - Historien, président de la commission internationale d'histoire des assemblées
C'était la semaine des grands oraux pour les deux têtes de l'exécutif : mardi, Emmanuel Macron était en prime time sur TF1 pour balayer l'actualité internationale, et surtout nationale, et tenter de reconquérir les Français. Le lendemain, son Premier ministre, François Bayrou était auditionné par une Commission d'enquête parlementaire sur le scandale de l'affaire Bétharram. Dans les deux cas, les réactions sont mitigées.
durée : 00:54:50 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce jeudi 15 mai, autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 15 mai 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Étienne Liebig, éducateur, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent du sujet du jour : Bayrou auditionné sur Bétharram, vous a-t-il convaincus ?
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Bayrou auditionné sur Bétharram, vous a-t-il convaincus ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent débattent de l'audition du Premier ministre François Bayrou qui s'est tenue la veille, lors de la commission d'enquête dans l'affaire Bétharram.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:45 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Il était mis en cause. Devant les députés, le Premier ministre a choisi de contre-attaquer, sans faire son mea culpa.
durée : 00:14:31 - Journal de 7 h - Retour sur l'audition de François Bayrou devant la commission d'enquête de l'assemblée, sur Bétharram. Le premier ministre s'est montré offensif, voire agressif, les précisions dans cette édition.
Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Arthur Bellier du 15 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:05 - Journal de 8 h - Que saviez-vous et qu'avez-vous fait ? Ces questions seront posées ce mercredi après-midi à François Bayrou par la Commission d'enquête sur l'affaire des violences physiques et sexuelle de Bétharram.
C dans l'air du 14 mai 2025 : Bayrou a-t-il menti ? Macron a-t-il séduit ?LES EXPERTS : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d'après - Michaël HAJDENBERG (en duplex) - Co-responsable du pôle enquêtes – Mediapart
C dans l'air du 14 mai 2025 : Bayrou a-t-il menti ? Macron a-t-il séduit ?C'est une audition très attendue, potentiellement un tournant dans l'affaire Bétharram et pour François Bayrou. Le Premier ministre, accusé d'avoir proféré des mensonges, va s'expliquer à partir de 17 heures devant une commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur ce qu'il savait et son éventuel rôle auprès de la justice dans l'affaire des violences physiques et sexuelles au collège lycée Notre-Dame de Bétharram. A-t-il menti ? A-t-il tenté d'influencer la justice ? Ce sera l'heure de vérité après des semaines de contradiction sur ce scandale pour le Premier ministre.Une affaire politique et personnelle pour François Bayrou, ancien ministre de l'Éducation entre 1993 et 1997, et ancien député, qui a scolarisé plusieurs de ses enfants dans cet établissement catholique des Pyrénées-Atlantiques dont il a été président du Conseil général, et qui est situé près de Pau, la ville dont il est resté maire. L'institution Notre-Dame de Bétharram où sa fille dit avoir été tabassée, où sa femme a enseigné le catéchisme et où 200 anciens élèves ont porté plainte ces derniers mois pour des sévices physiques et sexuels entre la fin des années 1950 et 2010. Parmi eux, Jean-Marie Delbos, qui accuse le prêtre Henri Lamasse de l'avoir violé en 1956. Le Béarnais, aujourd'hui âgé de 79 ans, avait dénoncé dès 1961 son agresseur, placé en garde en vue en février. Il nous a livré son témoignage sur cet immense scandale sur lequel une enquête est menée depuis un an par le parquet de Pau.Si l'enjeu aujourd'hui de la commission porte sur "les modalités du contrôle par l'Etat et de la prévention des violences dans les établissements scolaires", les dénégations de François Bayrou quant à sa connaissance de l'affaire devraient être au centre de l'audition. Un exercice périlleux pour le Premier ministre, qui a plongé ces dernières semaines dans les sondages en raison notamment de ce scandale qui lui colle à la peau depuis trois mois. C'est une affaire "bouleversante, qui m'a fait beaucoup de mal", a confié le principal intéressé à l'AFP. Le Premier ministre a reçu hier soir le soutien du président de la République, invité sur TF1. "Je sais qui il est. C'est un homme que je connais depuis de nombreuses années. J'ai confiance en lui" pour répondre "à toutes les questions" qui lui seront posées a affirmé Emmanuel Macron. Pendant près de trois heures, le chef de l'État a répondu à de nombreuses interrogations, portant sur l'actualité internationale et nationale. Une prestation - destinée à faire son retour sur la scène intérieure mais aussi à défendre son bilan - qui est vivement critiquée ce mercredi dans la classe politique. L'opposition le jugeant "impuissant" et "à bout de souffle".Alors quels sont les enjeux de l'audition de François Bayrou par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale ? À quoi faut-il s'attendre ? Que retenez-vous de l'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ? LES EXPERTS : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue, chercheur associé au CEVIPOF- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Astrid DE VILLAINES - Productrice, présentatrice de "Sens politique" - France Culture- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de La France d'après - Michaël HAJDENBERG (en duplex) - Co-responsable du pôle enquêtes – Mediapart
C dans l'air l'invité du 13 mai 2025 avec Paul Vannier, député la France insoumise, co-rapporteur de la Commission d'enquête parlementaire sur les violences en milieu scolaire, créée dans le cadre de l'affaire d'agressions sexuelles et de violences dans l'établissement Notre-Dame-de-Bétharram.Demain, le Premier ministre François Bayrou sera entendu par cette commission d'enquête. Il est accusé d'avoir été au courant des violences, ce qu'il dément. Depuis trois mois, il est mis sous pression politique par cette affaire, qui porte sur des accusations de viols, violences physiques ou sexuelles, commis essentiellement au début des années 1980 qui visent des religieux et des laïcs.François Bayrou, ministre de l'Éducation nationale de 1993 à 1997, assure dans la presse en mars n'avoir "jamais entendu parler" de risques sexuels. Plusieurs de ses enfants ont été scolarisés dans l'établissement et son épouse y a enseigné le catéchisme. Le 11 février dernier, il avait affirmé devant l'Assemblée nationale n'avoir "jamais été informé de quoi que ce soit, de violences ou de violences a fortiori sexuelles. Jamais".Le 16 février, sur TF1, le gendarme chargé de l'enquête sur le père Carricart, ex-directeur de l'institution accusé de viol en 1998, évoque une "intervention" de Bayrou, alors qu'il était député et président du Conseil général des Pyrénées-Atlantiques. Puis le juge qui enquêtait relate que François Bayrou avait "fait la démarche de venir" le voir. Ce dernier dément dans un premier temps, avant d'évoquer ultérieurement une rencontre fortuite avec le magistrat, qui est son voisin, tout en affirmant n'être "jamais" intervenu dans cette affaire "ni de près ni de loin". Depuis, la fille de François Bayrou, Hélène Perlant, elle-même, victime de violences, a témoigné dans un livre. Sur France Inter, elle a assuré que son père "ne pouvait pas comprendre" le "système pervers" de l'établissement catholique.
Le Premier ministre français François Bayrou était interrogé ce mercredi par une commission d'enquête parlementaire dans le cadre de l'affaire Notre-Dame de Bétharram. Cet établissement scolaire privé est visé par quelque 200 plaintes déposées par des anciens élèves pour violences physiques, agressions sexuelles et viols commis pendant des décennies. François Bayrou est accusé d'avoir été au courant de certains agissements et d'avoir fermé les yeux alors qu'il était élu dans la région concernée. Comment fonctionnent les établissements scolaires privés en France ? Quels comptes doivent-ils rendre ? Comment renforcer les contrôles et éviter d'autres scandales Bétharram à l'avenir ? Avec : - Hélène Laubignat, présidente de l'Apel, Association des parents d'élèves de l'enseignement catholique sous contrat d'État- Ixchel Delaporte, journaliste autrice du livre et du documentaire : Les enfants martyrs de Riaumont, éditions Rouergue - Pierre Merle, sociologue, professeur émérite de sociologie à l'Institut National Supérieur du Professorat et de l'Éducation. Auteur du livre « L'élève humilié, l'école, un espace de non droit ? », éditions Puf.
durée : 00:55:35 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mercredi 14 mai, autour d'Agathe Lambret et de Jean-Rémi Baudot.
durée : 00:20:20 - Journal de 18h - Face aux députés de la commission, le Premier ministre a réaffirmé sous serment qu'il n'avait pas d'informations privilégiées sur le scandale de violences physiques et sexuelles touchant le collège-lycée Notre-Dame de Bétharram. Il a aussi dénoncé une "instrumentalisation" de l'affaire.
durée : 00:15:05 - Journal de 8 h - Que saviez-vous et qu'avez-vous fait ? Ces questions seront posées ce mercredi après-midi à François Bayrou par la Commission d'enquête sur l'affaire des violences physiques et sexuelle de Bétharram.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'empêtrement du premier Ministre, François Bayrou dans le scandale Bétharram depuis trois mois, et qui répond ce mercredi aux questions de la commission d'enquête sur les violences en milieu scolaire dirigée par Paul Vannier Violette Spilebout assemblée nationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 13 mai 2025, Laurent Gerra a notamment imité Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou ou encore Alain Kinkielkraut. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à Alysson Paradie et Davy Sardou, ce 12 mai 2025, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité François Bayrou, Denis Brogniart ou encore Jean-Luc Reichmann. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
François Bayrou va-t-il consulter les Français par le biais d'un référendum, comme il l'a évoqué il y a quelques jours ? Pour Martin, la réponse est oui, et c'est maintenant
Face à Jean-Alphonse Richard, ce 7 mai 2025, Marc-Antoine Le Bret a notamment imité Laurent Ruquier, Elie Semoun et François Bayrou... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.