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durée : 00:59:00 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Depuis la prise d'El-Fasher le 26 octobre, les forces paramilitaires poursuivent leur conquête à l'est, dans la région du Kordofan. Quelles sont les causes de cette guerre qui ravage le Soudan depuis 2023, qualifiée par les Nations Unies de plus grande crise humanitaire au monde ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Roland Marchal Chercheur au CERI de Sciences Po Paris ; Thierry Vircoulon Chercheur associé à l'Observatoire de l'Afrique centrale et orientale à l'IFRI; Jérôme Tubiana Conseiller aux opérations de Médecins sans frontières; Raphaëlle Chevrillon Guibert Chercheuse à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), associée au Centre d'études et de documentation économiques, juridiques et sociales au Soudan (CEDEJ) de Khartoum
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La France doit « accepter de perdre ses enfants », a déclaré le chef d'état-major français au Congrès des Maires de France : cette déclaration a fait polémique. Elle signifie d'abord que la dissuasion n'est efficace que si on est prêt - et que l'adversaire y croit. Or c'est loin d'être le cas. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La France doit « accepter de perdre ses enfants », a déclaré le chef d'état-major français au Congrès des Maires de France : cette déclaration a fait polémique. Elle signifie d'abord que la dissuasion n'est efficace que si on est prêt - et que l'adversaire y croit. Or c'est loin d'être le cas. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Benjamin Netter navigue dans un univers où une simple erreur de clic peut coûter des millions.Un monde où l'humain est souvent la première faille, et où la menace est devenue si sophistiquée que même un Bac + 8 peut tomber dans le piège.Tout ça, il l'a vécu chez October, la plateforme de prêts aux entreprises qu'il avait cofondée.Un simple email de phishing a suffi pour compromettre leurs systèmes.Et là, c'est le déclic : si sa boîte peut se faire piéger, alors des milliers d'entreprises sont en danger.Il teste d'abord sa propre équipe, 15 % se font prendre, même la CFO.Benjamin comprend que la cybersécurité ne peut plus être un sujet réservé aux experts.Elle doit devenir un réflexe collectif.Il quitte tout, lance RIOT, et décide de protéger le maillon le plus vulnérable, l'employé.Aujourd'hui, RIOT accompagne 1 500 entreprises, protège 1,5 million d'employés, et double son revenu chaque année.L'objectif, atteindre 20 millions d'ARR d'ici la fin de l'année.RIOT envoie des fausses attaques pour tester les équipes, analyse les comportements et déploie un compagnon cyber intelligent qui sensibilise chaque employé de manière personnalisée.Une pédagogie moderne, directe, qui ressemble davantage à un coach individuel qu'à un audit poussiéreux sur PowerPoint.Après 2 millions levés auprès de Y Combinator, puis 45 millions au total auprès d'autres fonds, Benjamin garde la même philosophie : construire une boîte faite pour durer, pas pour impressionner.Dans cet épisode, découvrez les coulisses d'un marché qui explose, pourquoi les LLM ont rendu les cybercriminels encore plus dangereux, et comment RIOT se prépare à devenir une référence mondiale.Bonne écoute !===========================
durée : 00:25:17 - Journal de 18h - Le discours du général Mandon devant les maires de France provoque une vive polémique : Les Insoumis, les communistes et le Rassemblement national dénoncent des propos jugés irresponsables, tandis que le gouvernement défend la "légitimité du général Mandon à alerter sur les menaces".
durée : 00:25:17 - Journal de 18h - Le discours du général Mandon devant les maires de France provoque une vive polémique : Les Insoumis, les communistes et le Rassemblement national dénoncent des propos jugés irresponsables, tandis que le gouvernement défend la "légitimité du général Mandon à alerter sur les menaces".
Salut c'est Floune, Bienvenue dans Papas Poules, le podcast le plus sous-côté de la parentalité ! Ici c'est un peu comme la maison des maternelles mais en mieux. Aujourd'hui je vous propose le before de l'épisode 47. C'est parti ! Dans cette trilogie spéciale du podcast Papas Poules, nous plongeons au cœur de trois conflits majeurs : l'Ukraine, la Palestine et la République Démocratique du Congo.Avec Yannick Quéau, directeur du GRIP en Belgique, nous analysons l'histoire et les enjeux géopolitiques de ces guerres, tout en mettant en lumière leur impact sur les populations les plus vulnérables : les enfants.Comment grandir dans un environnement marqué par la violence ? Quelles conséquences psychologiques, sociales et éducatives pour ces générations ? Et quelles pistes pour espérer un avenir plus serein ?Un voyage nécessaire pour comprendre, réfléchir et ne jamais oublier que derrière chaque conflit, il y a des visages d'enfants.À la semaine prochaine pour l'épisode complet. Floune Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour en savoir plus sur helloDarwin : https://go.hellodarwin.com/hypercroissance?utm_source=helloDarwin&utm_medium=podcast&utm_campaign=grants-hypercroissanceJeff Bezos relance la guerre de l'intelligence artificielle avec un investissement colossal de 6,2 milliards de dollars dans Prometheus. Dans cet épisode d'Hypercroissance, Antoine Gagné et Jonathan Léveillé analysent le retour spectaculaire d'un des dirigeants les plus influents de notre époque et les conséquences majeures pour les entrepreneurs au Canada.Nous explorons :✅ Pourquoi Jeff Bezos revient aux opérations à 61 ans✅ La stratégie derrière Prometheus et l'IA appliquée au monde physique⚡ La bataille technologique entre Amazon, Tesla et les géants de l'IA
Invité: Mathieu Couttenier. Une personne sur huit dans le monde vit dans une zone affectée par des explosions, des affrontements armés ou des violences dirigées contre les populations civiles. Tous ces conflits causent de drames, des haines, des traumatismes parfois très longs à cicatriser. Quel est le coût réel de ces guerres? A qui profite-t-elles? Tribu reçoit Mathieu Couttenier, enseignant et chercheur en économie, auteur du livre, "L'économie de la violence. À qui profite la guerre? Enjeux et solutions", paru aux éditions Les Léonides.
La guerre en Ukraine, ce sont aussi des disparitions d'enfants. On estime officiellement à 20.000 le nombre de ces enfants volatilisés depuis 2022, depuis le début du conflit. Ils sont peut-être en réalité 10 fois plus nombreux. Écoutez RTL autour du monde du 18 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux-cent-trente-cinquième numéro de Chemins d'histoire, huitième numéro de la septième saison, émission animée par Luc Daireaux Émission diffusée le mardi 18 novembre 2025 Thème : Mémoires et transmission de la guerre d'Algérie Invitée : Anne Schneider, maîtresse de conférences, habilitée à diriger des recherches en langue et littérature françaises auprès de l'université de Caen, directrice de l'Institut national supérieur du professorat et de l'éducation Normandie-Caen, directrice du volume La Guerre d'Algérie et sa transmission. Enjeux mémoriels et médiation, Presses universitaires de Caen, 2025.
durée : 00:59:02 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Francisco Franco est né en 1892 à Ferrol en Galice. Comment grimpe-t-il progressivement les échelons du commandement militaire, notamment lors de la guerre du Rif ? Quel rôle joue-t-il dans le coup d'État de juillet 1936, qui fait basculer l'Espagne dans la guerre civile, jusqu'à devenir Caudillo ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Pierre Salmon Maître de conférences en histoire contemporaine à l'École normale supérieure; Mercedes Yusta Rodrigo Professeure d'histoire de l'Espagne contemporaine à l'Université Paris 8
durée : 00:39:01 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Depuis septembre 2025, Bamako subit un blocus des djihadistes du JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans), coalition affiliée à Al-Qaïda et dirigée par Iyad Ag Ghaly. - invités : Antoine Glaser Journaliste, écrivain, fondateur de La Lettre du Continent, spécialiste de l'Afrique; Marc-Antoine Pérouse de Montclos Politologue, Directeur de recherche de l'IRD
durée : 00:59:56 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - En 2011, à l'invitation de Christian Rosset, Emmanuel Guibert retourne à l'Île de Ré, sur les traces de son ami Alan Ingram Cope qui lui a inspiré une œuvre dessinée, "La guerre d'Alan". Un voyage raconté dans ce documentaire diffusé pour la première fois sur France Culture le 29 novembre 2011 - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Emmanuel Guibert Dessinateur et scénariste de Bandes Dessinées
durée : 00:39:01 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Depuis septembre 2025, Bamako subit un blocus des djihadistes du JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans), coalition affiliée à Al-Qaïda et dirigée par Iyad Ag Ghaly. - invités : Antoine Glaser Journaliste, écrivain, fondateur de La Lettre du Continent, spécialiste de l'Afrique; Marc-Antoine Pérouse de Montclos Politologue, Directeur de recherche de l'IRD
Moins de 3% des entreprises cotées dans le monde le sont en Afrique, selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Mais les places financières du continent progressent de façon spectaculaire depuis l'an dernier. Rien que sur les six premiers mois de l'année 2025, les actions de la bourse du Ghana ont bondi de 49%, la bourse du Nigeria a gagné 36%, celle du Maroc 35%, la Bourse régionale des valeurs mobilières en Côte d'Ivoire a progressé de 16%... Comment expliquer ces performances ? La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) en Côte d'Ivoire a gagné plus de 2 000 milliards de francs CFA de capitalisation – l'équivalent de 3 milliards d'euros – en moins d'un an. La bonne santé des marchés d'actions africains est d'abord, selon les experts, le reflet de la croissance économique du continent (4% prévus en 2025), qui se manifeste dans beaucoup de secteurs. « Les sociétés cotées sur les bourses africaines dans le domaine bancaire ont des performances relativement solides, souligne le directeur général de la BRVM, Edoh Kossi Aménounvé. Quand on regarde le secteur des télécommunications, c'est pareil. Quand on regarde la grande distribution, la consommation générale, c'est pareil. Par conséquent, les investisseurs, quand ils se mettent dans une position d'avoir à acheter des actions des sociétés cotées sur les bourses africaines, ont une demande qui est forte. Et par conséquent, on a une évolution positive des cours, et donc une performance des indices boursiers du continent. » Investisseurs canadiens La faiblesse du dollar avantage aussi les sociétés africaines exposées au billet vert. « Avec la baisse du dollar, cette exposition et les charges financières qui en découlent sont moindres, explique l'économiste. Il est clair que ça augmente le résultat de la société. » Avec un retour sur investissement parmi les plus élevés au monde, les bourses africaines attirent ainsi de nouveaux investisseurs, qui se détournent des marchés américains à cause de la guerre commerciale lancée par Donald Trump. « Même ceux qui ne regardaient pas l'Afrique, comme le Canada, commencent à regarder l'Afrique, observe Stanislas Zeze, PDG de l'agence de notation Bloomfield Investment Corporation. Donc ils font attention aux réformes, se rendent compte qu'il y a une évolution significative en termes de gestion des finances publiques, en termes de réorganisation des secteurs privés, en termes de capacité de production, etc. » Décolonisation des bourses africaines Cette diversification géographique des investisseurs est une tendance de fond. « En fonction des zones, des pays et des bourses, il y avait une relation avec les entreprises ou les nations colonisatrices, rappelle l'expert. Et progressivement, il y a une diversification extraordinaire qui se fait, parce que les liens historiques coloniaux sont en train de se défaire. Aujourd'hui, ce sont des liens business qui sont en train de se créer. » La moitié des investisseurs sur les bourses africaines sont des nationaux : 30% sont des investisseurs régionaux et 20% des investisseurs internationaux. Mais la part de ces derniers progresse à mesure qu'ils bénéficient de facilités à rapatrier chez eux les gains réalisés en Afrique. À lire aussiL'Éthiopie inaugure son premier marché d'actions en plus de cinquante ans
Invités :Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs ActuellesJoseph Macé-Scarron, essayiste et écrivainHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Steve Bégin se joint au trio pour décortiquer l’actualité du Canadien de Montréal. L’ancien attaquant du CH estime que la gestion des gardiens a été adéquate jusqu’ici, mais il pointe du doigt certains joueurs mal utilisés, dont Alexandre Carrier, qui selon lui « n’est pas dans la bonne chaise ». Bégin insiste aussi sur l’urgence d'aller chercher un deuxième centre de qualité, surtout après la blessure d’Alex Newhook, et déplore que Martin St-Louis « parte à la guerre avec des fusils à l’eau ». De son côté, Stéphane Waite revient sur les deux défaites humiliantes subies par le CH cette semaine. L’ancien entraîneur des gardiens observe une équipe qui joue avec la peur de se faire marquer, et souligne que lors du revers de 7-1 contre Dallas, aucun but n’était réellement mauvais, mais qu’il a simplement manqué des arrêts clés. Waite se dit également déçu du rendement de Joe Veleno, qu’il juge « presque invisible », et rappelle que le CH figure 24e dans la LNH en termes de gabarit — un manque de robustesse qui doit être corrigé. Enfin, Tony Marinaro s’interroge sur la manière dont Kent Hughes et Jeff Gorton réagiront aux blessures d’importance à Newhook et Guhle. Il appelle au calme, sans nier les préoccupations liées à David Reinbacher, dont il remet en question le développement actuel. Quand le CH fait parler, personne ne reste de glace — surtout pas le Premier Trio! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:10:24 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Après la guerre méconnue des Balkans et la bataille de Caporetto dans les Alpes, aujourd'hui encore plus méconnue : ce que fut la Première Guerre mondiale en Afrique. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:11:45 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Malgré l'échec de la bataille des Dardanelles, les alliées n'abandonnent pas l'idée de créer un contre-feu en Orient à l'automne 1915, dans le but de soulager la Russie et de venir en aide à la Serbie qui vient d'être envahie par les armées austro-allemandes et bulgares. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Né à Strasbourg en 1753, Jean-Baptiste Kléber est un soldat d'exception et un esprit libre. Il tiendra tête à l'intransigeant Robespierre, n'hésitera pas à s'opposer à Napoléon et deviendra pourtant général en chef de l'armée d'Égypte. C'est au Caire, dans son quartier général, que son destin va basculer. Partez sur les traces d'un homme au courage exemplaire, un colosse invaincu sur tous les champs de bataille. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Deltombe. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:18 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Au début de l'année 1915, le front de l'Ouest s'enlise dans une guerre de tranchées qui semble bloquée et sans issue. Pour tenter de reprendre une guerre de mouvement sur de nouveaux champs de bataille, les alliés franco-britanniques décident d'intervenir en Orient. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le 26 septembre, le Parisien a fait le portrait d'un ancien militaire de 33 ans, devenu professionnel de MMA, un sport de combat mêlant différentes techniques, légalisé en France en 2020. Grâce à cette discipline, David Sipra surnommé « Le Sergent », a pu surmonter un syndrome post-traumatique dont il souffrait notamment depuis une mission en République centrafricaine, en 2014, en pleine guerre civile.David Sipra témoigne au micro de la reporter de Code source, Barbara Gouy. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network.Annonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 12 novembre 2025, les GG : Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de : La France est-elle prête à faire la guerre ?
durée : 00:10:54 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - C'est la Russie, alliée de la Serbie, de la France et du Royaume-Uni qui, la première, entre dans la guerre. Une guerre qui va l'opposer à trois empires : l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie, et bientôt l'empire ottoman. - invités : Michaël Bourlet - Michaël Bourlet : Agrégé et docteur en histoire - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:45 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est Timothée qui pose la question au micro des P'tits bateaux. Et c'est l'historien et enseignant à l'école de la Guerre, Géraud Létang qui lui répond et retrace l'évolution de la guerre depuis les premières traces découvertes par les archéologues jusqu'aux conflits modernes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:31 - France Inter sur le terrain - Le "Dacian Fall", un gigantesque exercice multinational organisé par l'Otan avec 5000 militaires, dont presque 3000 français, se déroule en Roumanie pendant trois semaines pour tester la capacité de l'armée française à monter en puissance et se déployer en cas de crise. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:34 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie DUNCAN - A l'occasion de la commémoration du 11 novembre, nous débutons une nouvelle série. Comment la guerre, suite à l'attentat de Sarajevo, s'est déclenchée en août 1914, d'abord en Europe, puis au fil des années s'est propagée dans le monde. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Après la guerre de sept ans (1756-1763), la Grande-Bretagne est victorieuse mais ses finances vont mal. Afin de remplir ses caisses qui crient famine, elle sollicite ces Treize colonies d'Amérique du Nord qui refusent de voir cette souveraineté lointaine mettre le nez dans leur gouvernement local. Cette métropole a-t-elle encore une raison d'être alors que la démographie et le commerce se portent si bien dans cette Amérique d'avant les Etats-Unis ? La question est posée et une guerre d'indépendance s'apprête à éclater au nom de la liberté. Avec Agnès Delahaye, professeure d'histoire et de civilisation américaines, spécialiste de la colonisation anglaise aux XVIIe et XVIIIe siècles et autrice de Aventuriers, pèlerins, puritains: Les mythes fondateurs de l'Amérique (Editions Passés composés).
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 novembre 2025.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT LE TERRORISME A TRANSFORMÉ LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DEPUIS DIX ANS ? Voilà bientôt dix ans qu'un commando terroriste a semé la terreur dans les rues de Paris, le 13 novembre 2015, assassinant 130 personnes et en blessant plusieurs centaines d'autres. Trois rescapés se sont depuis donné la mort, succombant à leurs blessures psychiques. Ces attentats ont profondément impacté la société française. Les médias jouent un rôle central lors de tels événements. Difficile d'informer avec précision dans un climat de peur et d'incertitude après un attentat. Le 9 janvier 2015 notamment, des chaînes d'information en continu ont divulgué la présence d'otages cachés dans la chambre froide de l'Hypercacher de Vincennes, mettant leur vie en danger. Les médias servent de caisse de résonance aux terroristes, qui, pour la plupart sont avides de spectacle. Face à la sidération après les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hypercacher, la société française s'est immédiatement massivement mobilisée comme en témoigne la grande manifestation du 11 janvier 2015. La vie quotidienne a été transformée, bouleversée par les dispositifs de surveillance, de prévention et de lutte antiterroriste. Le terrorisme provoque également des effets perturbateurs comme la montée de sentiments xénophobes, antimusulmans ou antisémites et leurs réponses politiques. Il a induit des progrès considérables de la recherche, en particulier, depuis 2015, sur la question des traumatismes. Il impacte les procédures judiciaires. En France, depuis 2019, le nombre de procès criminels pour terrorisme a été multiplié par sept : la raison principale en est non seulement la création d'un parquet national antiterroriste, mais aussi la volonté de donner réparation à toutes les victimes et leur offrir la possibilité de s'exprimer dans le lieu symbolique d'une cour de justice.Procureur de la République de Paris en charge de la lutte contre le terrorisme entre 2011 et 2018, François Molins a vécu les événements les plus dramatiques qui se sont succédé pendant cette période, des attentats de Mohamed Merah en 2012, au 13 novembre 2015, en passant par le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo. Insistant sur le fait qu'il a fallu trouver une juste mesure entre le durcissement de la réponse et le respect des libertés et droits fondamentaux, François Molins considère que « dans l'ensemble, la France y est parvenue » : L'état d'urgence décrété au lendemain du 13 Novembre a duré un peu moins de deux ans, jusqu'au 1er novembre 2017. Il a rassuré les gens et permis une amplification de la lutte - assignations à résidence, perquisitions, interdictions de séjour, fermeture de mosquées radicalisées -, toujours sous le contrôle de la justice administrative et du Parlement. Mais le risque de dérive est réel, met en garde François Mollins. En octobre 2025, cinq actes terroristes d'inspiration djihadiste ont été réalisés ou projetés, dans quatre pays européens, rappelle l'ancien procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Ces faits, insiste-t-il, doivent nous alerter sur la persistance d'une menace qui prend des formes nouvelles.LA GUERRE AU SOUDAN Au Soudan, le 26 octobre la ville d'El-Facher, capitale de la province du Darfour du Nord est tombée aux mains des Forces de soutien rapide (FSR) qui assiégeaient la ville depuis plus de dix-huit mois. C'était le dernier bastion, au Darfour, des Forces armées soudanaises (FAS). La guerre au Soudan a commencé en avril 2023 lorsque les tensions autour du projet d'intégration des FSR à l'armée régulière ont éclaté en un conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé de 12 à 13 millions de personnes. Deux acteurs qui s'étaient partagé le pouvoir après la chute du dictateur Omar el-Béchir, renversé en 2019 s'affrontent : l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhane ; et les FSR, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemetti. En début d'année, l'armée soudanaise et ses supplétifs miliciens ont reconquis la capitale, Khartoum, ainsi que la région agricole de la Jézira, le long du Nil. Depuis, ils contrôlent toute la moitié orientale du Soudan. A l'ouest, en revanche, les RSF dominent. Le noyau dur des hommes de Hemetti est composé d'anciens combattants arabes jenjawids employés, à l'époque d'El-Béchir, pour effectuer les sales besognes du régime et écraser les mouvements rebelles du Darfour. Ils sont eux-mêmes originaires de cette région, grande comme la France métropolitaine.Situé à la lisière de la partie subsaharienne de l'Afrique et du Moyen-Orient, le Soudan concentre une multitude de richesses et d'avantages géostratégiques suscitant toutes sortes de convoitises et d'ingérences : d'immenses terres arables, les eaux du Nil, des mines d'or, du pétrole, l'accès à la mer Rouge face à l'Arabie saoudite, des frontières avec huit pays africains. Soutenues par une partie des Émirats arabes unis, les FSR contrôlent les mines d'or du Darfour, les circuits de contrebande vers la Libye et la Centrafrique, et finance une armée privée plus riche que l'État soudanais, tandis que les FAS ont bénéficié de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs. Tous nient toute implication.Les réactions internationales demeurent d'une discrétion gênée. Lundi, toutefois, le bureau du procureur de la Cour pénale internationale a averti que les atrocités commises par les FRS à El-Fasher « pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ». Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme mentionne des « massacres massifs de civils et de combattants désarmés ». La région, déjà extrêmement affaiblie depuis les massacres de Geneina en 2023, s'enfonce dans un nouveau cycle de violences entre communautés, où vengeance et désordre remplacent toute stratégie politique. Le pays s'est disloqué en zones d'influence : le Darfour aux mains des FSR, le Nord et l'Est sous commandement militaire, le Sud livré au chaos. L'État soudanais, déjà amputé du Soudan du Sud en 2011, se délite à nouveau.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:22 - Récits d'enquête - par : Mattéo Caranta - En Israël, pour une partie de l'extrême droite, les Caterpillar D9 sont devenus de véritables icones de la guerre, et leur chauffeurs, des héros. Une enquête du monde révèle l'utilisation militaire et politique de ces machines de chantiers transformées en rouleaux compresseurs militaires.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La chute d'El Fasher, dans le Darfour, accompagnée de terribles massacres, a fait ressortir la guerre civile au Soudan de l'oubli. Mais au-delà de l'émotion, il faut que cessent les ingérences de puissances de la région, en particulier celle des Émirats arabes unis du côté des miliciens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:33:00 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - La prise d'El Fasher, capitale du Darfour, s'est accompagnée de massacres ciblant la population civile, ravivant le spectre d'un conflit ethnique. Cette victoire des paramilitaires constitue-t-elle un tournant dans cette guerre, qui a éclaté en 2023 ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Tristan Coloma réalisateur de films, collaborateur pour le Monde diplomatique et chercheur indépendant notamment pour l'IFRI; Clément Deshayes anthropologue, chercheur à l'institut de recherche pour le développement (IRD), laboratoire Prodig
durée : 00:58:31 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Arthur Sarradin qui rentre de Syrie, puis table-ronde sur le Soudan où la prise d'El Fasher, la capitale du Darfour, par les paramilitaires, marque une étape dans la guerre qui dure depuis 2023. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Arthur Sarradin correspondant pour Radio France; Tristan Coloma réalisateur de films, collaborateur pour le Monde diplomatique et chercheur indépendant notamment pour l'IFRI; Clément Deshayes anthropologue, chercheur à l'institut de recherche pour le développement (IRD), laboratoire Prodig
C'est l'histoire d'une collaboration artistique de prestige entre Londres et Tel-Aviv qui s'effondre. Le Royal Ballet & Opera du Royaume-Uni a annulé sa participation à Tosca, refusant d'associer son nom à l'opéra israélien. En cause : le soutien affiché de l'institution à l'armée israélienne dans la guerre à Gaza. Les Britanniques dénoncent un lieu qui « récompense et légitime ouvertement les forces même, responsables des meurtres quotidiens de civils à Gaza », en référence aux billets gratuits offerts aux soldats. Mais loin d'annuler, l'opéra israélien contre-attaque : il monte l'œuvre seul et promet une version éminemment politique. De notre envoyé spécial à Tel-Aviv « Quand les canons ont tonné, les muses ne se sont pas tues », proclame Nili Cohen, la présidente du conseil d'administration de l'opéra israélien de Tel-Aviv. Et c'est précisément ce qui est reproché à cette institution dans une lettre ouverte de plus de 200 membres du Royal Ballet and Opera de Londres, qui ont annulé une coproduction de la Tosca de Puccini. « C'est un alignement délibéré avec un gouvernement actuellement engagé dans des crimes contre l'humanité », affirment les signataires du texte. Tali Barash Gottlieb, directrice générale l'opéra israélien, raconte : « Nous avons rencontré de grandes difficultés au cours de l'année qui s'achève. Et nous nous attendons à des problèmes pas moindres lors de la prochaine saison. Et c'est pour cela que nous mettons l'accent sur la participation de créateurs israéliens. C'était, de toute façon, notre intention pour cette quarantième saison qui est véritablement l'occasion de présenter sur le devant de la scène des talents israéliens, car les productions internationales présentent un grand défi. » La Tosca est donc au programme de cette nouvelle saison emblématique. Mais dans une production purement israélienne donc. Une situation qu'Anat Czarny, mezzo-soprano à l'Opéra de Tel-Aviv, regrette profondément. « Je peux comprendre les deux protagonistes concernés. Mais j'étais très déçue, car je crois que l'art est quelque chose de sacré. C'est quelque chose produit pour rapprocher les gens les uns des autres. J'ai un peu l'impression que ce n'est pas la politique qui est gagnante, mais plutôt l'art qui est perdant », se désole la chanteuse. Après la période du Covid-19, et surtout depuis le 7 octobre 2023, la profession de chanteuse lyrique est très précaire en Israël. Mère de deux enfants, Anat Czarny va entamer une carrière parallèle d'infirmière, un de ses rêves d'enfance : « Le matin, je suis soit à l'hôpital, soit à l'opéra. Le soir, soit à l'opéra, soit à l'hôpital. Mais quand même, je veux être chanteuse d'opéra. C'est tout ce que je voudrais faire. » Également au cœur de cette nouvelle saison de l'opéra israélien : le Dibbouk, histoire dans la tradition juive kabbaliste d'un esprit qui entre dans le corps d'un vivant pour le posséder, à la suite de mauvaises actions. Tout un programme. À lire aussi«J'ai retrouvé mon enfant démembré»: à Gaza, les bombes israéliennes non-explosées sèment la terreur
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La chute d'El Fasher, dans le Darfour, accompagnée de terribles massacres, a fait ressortir la guerre civile au Soudan de l'oubli. Mais au-delà de l'émotion, il faut que cessent les ingérences de puissances de la région, en particulier celle des Émirats arabes unis du côté des miliciens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Eh oui, après un an de pause, Allô 213 est de retour. Et j'ai très hâte de vous montrer ce qu'on a en réserve pour cette cinquième saison! Qu'on se le dise avec ce gouvernement et cette Assemblée nationale, ce ne sont pas les sujets sur l'Algérie qui manquent. À ce niveau, chaque semaine est accompagnée de son débat sur l'Algérie dans l'hémicycle. Le dernier en date? Le 30 octobre dernier, et pour la première fois de son histoire, une proposition de loi portée par le Rassemblement national a été votée d'une voix. Celle-ci dénonce l'accord franco-algérien de 1968, obsession de la droite et de l'extrême droite française depuis des décennies. Sauf que lorsque l'on creuse, on se rend vite compte que les premiers détracteurs n'ont aucune idée de ce que renferme cet accord.Est-ce que l'accord de 1968 favorise les Algériens? Est-il vraiment ce que la droite appelle “droit automatique à l'immigration” ”? Pourquoi une telle obsession?Pour répondre à ces questions, j'ai rencontré Maître Magda El Haitem, avocate au barreau de Paris travaillant aux questions du droit des étrangers.
Un conflit extrêmement violent ravage le Soudan depuis 2023. Il s'agit de la "pire crise humanitaire au monde", selon l'ONU. Depuis la prise de la ville d'El-Facher dans le Darfour fin octobre 2025, un nouveau cap est franchi. Le Point J se demande pourquoi cette guerre est oubliée avec Raphaëlle Chevrillon-Guibert de l'Institut français de recherche pour le développement. Journaliste: Camille Degott Réalisation: Colin Kurth >> Pour aller plus loin: -"Il se passe quoi au Soudan?", Le Point J, RTS, 23.04.2023 (en ligne) -"Soudan: guerre oubliée", Le dessous des cartes, ARTE, 7.11.2025 (en ligne) Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Ce mercredi 5 novembre, la situation actuelle du conflit au Soudan et les réactions de la communauté internationale face à cette guerre ont été abordées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:31:29 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Clément Baudet - Alaa a dix ans et a grandi dans la ville de Gaza avec ses six frères et sœurs. Depuis le début de la guerre, sa maison a été bombardée, sa mère et son frère ont été blessés, elle s'est déplacée huit fois. Nous avons parlé avec elle pendant deux mois. Elle raconte son quotidien à hauteur d'enfant. - réalisation : Sylvain Richard
L'héritage de Nuremberg traverse l'Atlantique. Aux États-Unis, les militants des droits civiques invoquent les crimes contre l'humanité pour dénoncer le racisme. Pendant la guerre du Vietnam, des tribunaux d'opinion, comme celui de Bertrand Russell reprennent cet esprit de justice universelle. Sans sanction, mais avec une portée symbolique puissante. Avec Guillaume Mouralis, historien et auteur de Le moment Nuremberg. Le procès international, les lawyers et la question raciale paru aux Presses de Sciences Po
durée : 00:28:41 - La Saga du Philharmonique de Vienne II - 1918-1937, La République (1/4) - par : Christian Merlin - Deuxième volet de notre vaste histoire de l'Orchestre Philharmonique de Vienne, pour évoquer l'après-Mahler et l'après-Première guerre mondiale. Où l'on croisera les figures de Richard Strauss, Clemens Krauss et Furtwängler, sans oublier la fondation du Festival de Salzbourg. - réalisé par : Marie Grout Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:34 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Moins d'une semaine après la chute d'El-Fasher, assiégée dix-huit mois, l'ONU dénonce la poursuite des atrocités au Darfour : viols, mutilations et meurtres en toute impunité. Comment décrire l'enfer au Soudan ? Récit d'une journaliste de la BBC, de retour de Khartoum. - invités : Nawal Al-Maghafi Correspondante internationale Senior à BBC World Service
durée : 00:59:21 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Début novembre, la Cour suprême des États-Unis examinera la légalité des droits de douane imposés par Donald Trump. Leurs effets se font déjà ressentir sur le commerce international comme sur l'économie américaine, tandis que, sur le plan intérieur, la démocratie vacille. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Anne Deysine Juriste et américaniste, professeure émérite de l'université Paris-Nanterre.; Élisa Chelle Professeure des universités en sciences politiques; Florence Pisani Cheffe économiste de Candriam et enseignante à l'université Paris Dauphine; Agathe Demarais Économiste, Responsable des travaux du Conseil Européen pour les Relations Internationales (ECFR) dans le domaine de la géoéconomie
Depuis plus de deux ans et demi, la guerre civile fait rage au Soudan, devenu un « trou noir de l'information ». Alors que s'y rendre est très compliqué, comment informer sur ce qui se passe dans ce pays ? Le journaliste Eliott Brachet, ancien correspondant de RFI à Khartoum, est l'invité de L'atelier des médias pour en discuter. La guerre civile qui ravage le Soudan depuis le 15 avril 2023 oppose les forces armées soudanaises du général Burhan aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) du général Hemetti. L'ONU décrit la situation comme la « pire crise humanitaire au monde » : 150 000 morts, 13 millions de déplacés et 25 millions de personnes en proie à la famine. Dans ce contexte, le journaliste indépendant Eliott Brachet, ancien correspondant à Khartoum (2020-2023) désormais installé au Caire, décrypte les défis qu'il rencontre pour continuer d'informer sur le Soudan. Eliott Brachet rappelle que son arrivée en octobre 2020 visait à raconter « la fenêtre de liberté qui venait de s'entrouvrir avec la chute d'Omar el-Béchir ». La révolution soudanaise de décembre 2018 avait engendré une effervescence culturelle et une grande liberté de ton, favorisant la naissance d'un journalisme indépendant. Mais la nouvelle génération de journalistes a vu son travail prendre « un grand coup dans l'aile » depuis l'éclatement du conflit et a souvent été contrainte à l'exil. L'une des difficultés majeures pour la couverture médiatique est de faire franchir au Soudan le « plafond de verre dans les médias et dans l'espace public ». L'exposition Soudan, la guerre sur les cendre de la révolution, qu'Eliott Brachet a supervisée à Bayeux, en Normandie, visait d'ailleurs à recontextualiser cette guerre, en rappelant les avertissements des manifestants après le coup d'État de 2021 : la présence des deux généraux à la tête de l'État ne pouvait mener qu'au chaos. Difficulté d'accès et courage des journalistes soudanais Informer sur ce conflit est rendu extrêmement complexe par les difficultés d'accès pour la presse internationale. Les visas sont délivrés «au compte-goutte», et tout journaliste qui parvient à entrer dans les zones contrôlées par l'armée régulière est souvent suivi de près. C'est ce qu'Eliott Brachet a pu constater lors de son dernier reportage au Soudan, fin 2024. Les accès sont encore plus compliqués du côté des FSR, milice aux lignes de commandement floues, où le risque est de «servir la propagande des groupes en place». Le danger le plus grand pèse sur les journalistes soudanais : 32 ont été tués depuis le début de la guerre, indique Eliott Brachet qui insiste sur l'importance de ces regards locaux, souvent équipés d'un simple téléphone portable, qui documentent la guerre. Ces sources, issues de la génération révolutionnaire (activistes, bénévoles dans des réseaux d'entraide civils), sont essentielles pour obtenir des informations. Malgré les risques, la population reste désireuse de parler aux journalistes étrangers, explique Eliott Brachet pour qui ce conflit n'est pas une «guerre oubliée, c'est plutôt une guerre négligée ou une guerre ignorée», car les informations et les images existent, même si elles sont difficiles à obtenir. Guerre d'influence et enjeu technologique Au-delà de l'affrontement fratricide, le conflit est une « guerre d'influence » avec des ramifications régionales. Le Soudan, riche en ressources comme l'or et le pétrole, voit l'exportation de ses ressources doubler, alimentant cette « économie de guerre » qui permet aux belligérants de s'armer. Chaque camp est soutenu par un réseau d'influence : l'armée régulière reçoit l'appui de l'Égypte, du Qatar, de l'Iran et de la Turquie, tandis que les FSR bénéficient d'un soutien des Émirats arabes unis, qui fournissent notamment des drones chinois de dernière technologie. Un autre défi moderne réside dans le rôle de Starlink. Ces connexions internet, souvent amenées par les acteurs armés (notamment les FSR), créent «une dépendance énorme des populations civiles aux acteurs militaires». Les civils doivent payer «un forfait à la minute pour pouvoir se connecter», transformant la communication en une source de revenus et un moyen de contrôle pour les forces en présence. Le recours aux sources ouvertes (OSINT) Face aux restrictions d'accès sur le terrain, le croisement des informations est crucial en raison de l'énorme propagande diffusée par les deux belligérants. L'utilisation de l'OSINT (enquête en sources ouvertes) et des images satellites est un moyen essentiel de suivre le conflit à distance. Eliott Brachet s'est rapproché de réseaux de journalistes et chercheurs, comme le laboratoire de recherche humanitaire de l'université de Yale, dont le travail permet de « documenter le pillage et la mise à sac et l'incendie en fait de nombreux villages au Darfour ». Ces outils, associés aux témoignages des jeunes Soudanais, constituent aujourd'hui les sources d'information les plus fiables sur ce conflit qui dure.
durée : 02:22:41 - Les Matins - par : Astrid de Villaines, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA, BFM, Europe 1, Sud Radio Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lorsque la Guerre civile prend fin en 1939, les nationalistes, mené par Franco, emportent la victoire. La Deuxième Guerre mondiale commence alors et l'Espagne reste neutre. La dictature s'installe au pouvoir et modèle la société espagnole selon ses valeurs, ses lois et sa version de l'histoire. On découvre L'Espagne des premières années de la dictature avec l'historien Sébastien Farré, directeur exécutif de la Maison de l'Histoire à Genève et spécialiste de l'Espagne contemporaine. Son livre : La Suisse et l'Espagne de Franco. De la Guerre civile à la mort du dictateur (Lausanne, Antipodes, 2006)
durée : 00:54:27 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.