Podcast appearances and mentions of Emmanuel Macron

25th President of the French Republic

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Emmanuel Macron

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    Monde Numérique - Jérôme Colombain

    L'influence des réseaux sociaux sur l'information inquiète à l'approche des élections. Dans cet épisode, on analyse les appels à la régulation, les investissements massifs dans l'IA et les dérives potentielles de la technologie.

    Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
    Emmanuel Macron, «Mozart de la finance» ? Selon le journaliste Eric Revel, «l'égo du Président a dévoré sa fonction»

    Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

    Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 13:49


    Invités : - Éric Revel, journaliste et auteur de C'est Mozart qu'on assassine ! Les fiascos de la décennie Macron aux Editions Ellipses - Georges Fenech, ancien magistrat - Vincent Roy, journaliste et essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Primera Plana: Noticias
    Detienen a otro exfuncionario ligado a “La Barredora”

    Primera Plana: Noticias

    Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 4:55


    Fuerzas federales detuvieron en Chiapas a Leonardo Arturo Leyva Ávalos, conocido como “El Carnal”, quien es el segundo al mando en la organización criminal “La Barredora”. Marcelo Ebrard, secretario de Economía, se reunió con el representante comercial de Estados Unidos, Jamieson Greer, para revisar el progreso del T-MEC. Claudia Sheinbaum dio a conocer que el próximo 7 de noviembre, el presidente francés, Emmanuel Macron, visitará México para reunirse con la mandataria nacional. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

    C ce soir
    Réseaux sociaux : Une menace pour la démocratie ?

    C ce soir

    Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 65:42


    Emmanuel MACRON a lancé un appel à la « résistance » contre les réseaux sociaux et leurs algorithmes… Et si c'était ça, la plus grande menace pour nos démocraties ? C'est en tout cas la conviction d'Emmanuel MACRON, qui appelait hier à ne plus laisser les plateformes numériques et leurs algorithmes déstabiliser nos sociétés… Un risque “d'ingérence sous stéroïde” pointé du doigt à 6 mois des élections municipales et à 1 an et demi seulement de la prochaine présidentielle… Nous allons en débattre avec nos invités :▶︎ Asma MHALLA Politologue, enseignante à Sciences Po, autrice de Cyberpunk - Le nouveau système totalitaire aux éditions du Seuil (19.09.25)▶︎ Clara CHAPPAZ Ancienne ministre déléguée chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique▶︎ David COLON Chercheur au centre d'histoire de Sciences Po, membre du conseil d'experts du Forum économique mondial sur l'intégrité de l'information, auteur du livre La guerre de l'information. Les Etats à la conquête de nos esprits aux éditions Tallandier (collection Texto, 2023, réédité en janvier 2025)▶︎⁠ Mathieu SLAMA Consultant et analyste, auteur du livre Adieu la liberté aux Presses de la Cité (2022)▶︎⁠ Imane BOUNOUH Communicante politique, collaboratrice parlementaire de la députée Les Écologistes Léa Balage, créatrice de contenu (Substack « Le scroll, c'est politique »)

    L'Edito Politique
    Emmanuel Macron glisse encore sur le toboggan de l'impopularité

    L'Edito Politique

    Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 5:51


    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Invité Afrique
    Dr De-Joseph Kakisingi: «Il y a très peu de visibilité sur la crise congolaise»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 5:44


    Passer de 500 millions de dollars à 2,5 milliards de dollars d'aide humanitaire pour cette année 2025, c'est le premier objectif de la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité des Grands Lacs, qui se tient aujourd'hui à Paris, en présence notamment du Congolais Félix Tshisekedi et du Français Emmanuel Macron. Quelles sont les plus grandes urgences de l'heure dans l'est de la RDC ? Le médecin gynécologue De-Joseph Kakisingi exerce à Bukavu et préside le Conseil National des Forums d'ONG Humanitaires et de Développement (CONAFOHD). Il est présent à Paris et répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel est le problème le plus urgent à régler pour les millions de Congolais déplacés par la guerre ? De-Joseph Kakisingi : Le problème le plus urgent à régler aujourd'hui, c'est d'abord l'accès à l'alimentation, à la nourriture. Parce que ces milliers de déplacés aujourd'hui sont bloqués dans une zone sans accès physique, et donc ils sont coupés de leur source d'alimentation. Et donc ça devient très urgent qu'ils aient accès à la nourriture, qu'ils aient accès aux soins médicaux. Donc, il faut l'approvisionnement en soins médicaux et, en fait, qu'ils aient aussi accès à des espaces sûrs. Est-ce que la prise des villes de Goma et de Bukavu au début de l'année par les rebelles et leurs soutiens rwandais, est-ce que cette prise a aggravé la crise humanitaire ? Effectivement, cette crise est venue aggraver davantage une crise humanitaire qui était déjà assez alarmante, et notamment par les blocus que cela fait autour de ces villes-là et autour des zones périphériques. Ça entraîne notamment la fermeture de l'espace aérien et des aéroports, comme l'aéroport de Goma et celui de Bukavu. Les routes aujourd'hui sont dégradées pendant la saison des pluies et les banques sont fermées et l'accès par les frontières est très difficile. Et donc cela vient exacerber une situation humanitaire qui était déjà assez grave. Ces millions de Congolais déplacés, ils vivent dans quelles conditions concrètement ? Alors, ils vivent dans des conditions très difficiles. Vous savez, avant la chute de Goma et de Bukavu, il y avait des camps de déplacés autour de Goma, autour de Bukavu, et donc l'assistance était assez facile à partir des ONG nationales et internationales et des Nations unies qui pouvaient subvenir aux besoins urgents de ces populations. Mais aujourd'hui, les camps de déplacés ont été fermés et ça fait que ces populations sont en train d'errer sans abri, sans assistance, sans possibilité qu'elles puissent être mieux regroupées pour être mieux aidées. Et ça fait qu'elles vivent dans des conditions très, très difficiles. Ce qui veut dire que vous-même qui êtes médecin gynécologue, vous ne pouvez pas soigner tous les malades, c'est ça ? Oui, c'est ça, effectivement, le problème est là où l'accès est difficile pour s'approvisionner en médicaments, beaucoup d'hôpitaux, beaucoup de zones de santé voient leurs stocks de médicaments en rupture, et ça fait que les hôpitaux ne peuvent plus offrir des soins de qualité parce qu'il n'y a pas de médicaments. Et nous, comme médecins, nous nous trouvons face à une grave difficulté. Parfois, on est obligé d'assister à des décès de personnes qu'on aurait pu sauver si on avait des médicaments à portée de main. Moi, je viens de Bukavu, au cœur de la crise, et il nous arrive de voir des femmes mourir ou des enfants par manque de médicaments. Il nous arrive de voir des femmes mourir d'hémorragie post-partum parce qu'on n'a pas l'ocytocine pour pouvoir prévenir les hémorragies et parce que la chaîne du froid devient difficile dans ces conditions où l'espace aérien est fermé. Il nous arrive aussi de voir des enfants mourir parce qu'on manque des médicaments essentiels et parce que les voies d'accès sont difficiles. Est-il vrai qu'il y a encore des stocks de médicaments sur plusieurs sites du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, mais qu'on ne peut pas les acheminer jusqu'aux centres de santé, jusqu'aux populations à cause des tracasseries administratives, à cause des checkpoints ? Oui, il arrive effectivement que certaines organisations internationales disposent des stocks dans les grandes villes, mais il y a effectivement des tracasseries administratives, comme par exemple, je viens de voir une note qui est sortie il y a quelques jours au niveau de Kinshasa, où on annonce que toute tentative de contractualisation d'aide humanitaire avec les zones périphériques doit d'abord se référer au ministère national. Et quand on voit l'étendue du pays, quand on voit tout ce qu'il y a comme zones de santé et les difficultés, ça fait des tracasseries administratives en plus. Y a-t-il aussi des tracasseries du côté des rebelles du M23 ? Effectivement, c'est des deux côtés, de plus en plus. Il y a des doubles taxations, il y a des contraintes pratiquement pour les ONG nationales, il y a des menaces, des intimidations et ça rétrécit l'espace humanitaire et ça fait que l'aide humanitaire n'arrive pas. Est-ce qu'il y a au moins des corridors humanitaires ? Jusqu'à ce jour, non. On a essayé d'établir un corridor humanitaire entre Bukavu et Uvira par exemple, et cela n'a pas marché à la dernière minute. Toutes les parties au conflit se sont opposées ou ne l'ont pas permis. Cette conférence de Paris, où vous êtes ce jeudi, qu'est-ce que vous en attendez ? La première chose, c'est en fait donner un peu plus de la lumière sur la crise congolaise. Si vous voyez, il y a beaucoup de visibilité sur la crise de Gaza, beaucoup de visibilité sur la crise de l'Ukraine, mais très peu de visibilité sur la crise congolaise. La deuxième chose qu'on attend de cette conférence, c'est en fait une sensibilisation pour le financement de l'action humanitaire. Le plan de réponse humanitaire de cette année était évalué à 2,5 milliards de dollars pour pouvoir répondre aux besoins des 6,8 millions sur les 21 millions de personnes qui sont en besoin d'aide humanitaire au Congo. Mais jusqu'à ce jour, ce plan n'a été financé qu'à 500 millions de dollars. Et on attend de cette conférence, qu'il y ait un peu plus de solidarité pour qu'on arrive peut-être à lever le double de ce qui a déjà été donné et ainsi pouvoir apporter de l'aide à toutes ces communautés qui sont dans les besoins humanitaires urgents. À lire aussiRDC: à Paris, une conférence de soutien à la paix dans la région des Grands Lacs

    Meio Ambiente
    COP30 será mais uma rodada de promessas? Presidente da conferência espera recursos para adaptação

    Meio Ambiente

    Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 15:23


    Em uma semana, o Brasil estará no foco das atenções do mundo, com o início da Cúpula do Clima em Belém, no Pará (COP30). Num contexto internacional desfavorável, a presidência brasileira do evento trabalha para que esta seja a COP da implementação: que a conferência enderece soluções para os países tirarem do papel as promessas feitas até aqui, para o enfrentamento do aquecimento do planeta.  Lúcia Müzell, da RFI em Paris Em entrevista exclusiva à RFI, em Paris, o presidente designado da COP30, embaixador André Corrêa do Lago, ressaltou que a revolução das energias renováveis desde a assinatura do Acordo de Paris, há 10 anos, traz razões para otimismo. “Antes do acordo, havia uma perspectiva de que a temperatura chegaria a no mínimo 4ºC até 2100, e agora já há um certo consenso científico que ela deve estar a caminho de 2,7ºC, se nós não fizermos ainda mais esforços", ressaltou. "Por mais que a gente não esteja no nível que nós deveríamos estar, muitos avanços aconteceram e nós podemos ser otimistas." A COP30 vai ocorrer em duas etapas: primeiro, nos 6 e 7, chefes de Estado e de Governo se reunião para a Cúpula dos Líderes na capital paraense, a convite do presidente Luiz Inácio Lula da Silva. O francês Emmanuel Macron e o presidente do Conselho Europeu, António Costa, estão entre os que confirmaram presença, mas é esperado que Belém não receberá números expressivos de lideranças, ao contrário do que ocorreu na reunião em Dubai, há dois anos.  Na sequência, de 10 a 21 de novembro, acontece a conferência propriamente dita, reunindo diplomatas, cientistas, especialistas, setor privado e sociedade civil, para duas semanas de negociações sobre os principais temas relacionados à mudança do clima. "Nós vamos ter anúncios muito importantes de aumento de recursos para adaptação", antecipa Corrêa do Lago.  A preocupação de que os Estados Unidos não apenas não participem da COP, como atuem para bloquear qualquer acordo em Belém, paira sobre o evento. O país, maior emissor histórico de gases de efeito estufa, não tem participado das negociações prévias à conferência, mas poderia enviar uma delegação para as negociações oficiais. “A questão da participação americana ainda é uma incógnita”, reconheceu o diplomata.   Confira os principais trechos da conversa: Quantos líderes exatamente vão participar da cúpula? Quais serão os chefes de Estado e de governo esperados e, depois dela, quantos países vão participar da Conferência do Clima de Belém? O número de autoridades que vão vir para cúpula ainda está indefinido, porque qualquer programação que inclua chefes de Estado hoje em dia é muito complexa: questões de deslocamento, segurança etc. Eu acredito que vai ser uma cúpula com alguns dos chefes de Estado mais relevantes, porque a liderança do presidente Lula hoje é particularmente notável no mundo e a questão do clima é um tema que alguns acreditam que diminuiu de intensidade do ponto de vista das trocas internacionais, mas quando a gente está falando de fortalecimento do multilateralismo, a questão do clima é absolutamente central. Então, eu acredito que nós vamos ter a esmagadora maioria dos países na COP. Dez anos depois da assinatura do Acordo de Paris, não podemos dizer que algum país tenha cumprido plenamente as suas metas climáticas. Nenhum grande emissor está, de fato, no caminho de limitar o aquecimento global a 1,5ºC, conforme o acordo prevê, entre eles o próprio Brasil. O que precisa acontecer em Belém para que essa conferência não seja lembrada como apenas mais uma rodada de promessas? Eu acho que tem certos países que estão no bom caminho, sim. Um deles é o nosso. A nossa NDC [Contribuição Nacionalmente Determinada, na sigla em inglês] para 2030 deve ser cumprida. Nós realmente temos sido exemplares, inclusive porque, como todos sabem, um dos grandes problemas das nossas emissões é o desmatamento. Eu acho que nós vamos continuar a ter números positivos no combate ao desmatamento. Outros países também progrediram de maneira significativa, aumentando os seus investimentos em renováveis. Tem uma quantidade de países que a gente não imagina que evoluiu de maneira incrível. Você pega o Uruguai, por exemplo: em oito anos, passou a ter tanta eólica que agora está com 99% da sua eletricidade renovável. O Quênia também está praticamente com 99%. Para nós, brasileiros, é natural, porque o Brasil tem renováveis há muito tempo, mais ou menos a 90%. Essa tendência tem se expandido de maneira impressionante. Vários países desenvolvidos estão reduzindo de maneira significativa as suas emissões. Ou seja, tem muitos resultados, e um dos que são muito claros é o quanto nós já conseguimos mudar o caminho que estava traçado antes do Acordo de Paris. Havia uma perspectiva de que a temperatura chegaria a no mínimo 4ºC até 2100, e agora já há um certo consenso científico que ela deve estar a caminho de 2,7ºC, se nós não fizermos ainda mais esforços. Ou seja, o Acordo de Paris funcionou para baixar, mas ainda não o suficiente. A expectativa é que nós poderemos progredir ainda mais, porque a economia que mais está crescendo e tem mais impacto sobre o clima, a chinesa, está clarissimamente voltada para o combate à mudança do clima. Então, eu acho que é isso que a gente gostaria muito que saísse de Belém: que o mundo reconhecesse que, por mais que a gente não esteja no nível que nós deveríamos estar, muitos avanços aconteceram e nós podemos ser otimistas. O Brasil pode continuar sendo um exemplo na área de clima depois de o Ibama autorizar os testes para a prospecção de petróleo na foz do rio Amazonas, apenas duas semanas antes da COP30?  Nós temos instituições, e o momento em que essa autorização pôde ser concedida foi agora. É o Ibama a instituição que decidiu. Eu acho que isso mostra que o Brasil, como todos os países, tem interesses e circunstâncias diferentes. Em um país que se tornou um produtor importante de petróleo, como o Brasil, é preciso pensar no petróleo no conjunto da equação do nosso esforço para diminuir a dependência das energias fósseis. Isso parece um pouco estranho, mas o Brasil já demonstrou coisas extraordinariamente positivas, como nas energias renováveis. Nós somos, ao mesmo tempo, campeões das energias renováveis e um importante produtor de petróleo. É preciso que a sociedade brasileira decida quais são as direções que o país deverá tomar e esse é um debate muito importante no Brasil. Decisões sobre a adaptação dos países às mudanças climáticas, que durante muito tempo foi um tema tabu nas COPs, estão entre as apostas da Conferência de Belém. Quais são as medidas concretas que o senhor espera sobre a adaptação? Isso não abre o caminho perigoso de os países acabarem contornando o grande causador do problema, que são os combustíveis fósseis? Quando eu comecei a trabalhar na área de clima, mais ou menos no ano 2000, havia, sim, essa ideia. “Meu Deus do céu, se a gente já for cuidar de adaptação, a gente não vai fazer o esforço de mitigação” [redução de emissões]. E a verdade é que nós todos estávamos errados, porque nós não sabíamos que a mudança do clima chegaria tão rápido. Você vê hoje, no Brasil, uma percepção muito clara do impacto da adaptação. Quando você pega o que aconteceu em Porto Alegre, é uma coisa que poderia ter sido diminuída se as obras de adaptação tivessem sido feitas – e isso é um alerta para todas as cidades brasileiras, de certa forma. Mas quando os rios secam na Amazônia, não é uma questão de adaptação. Isso só a mitigação resolve. Então, nós temos que avançar com os dois juntos. Leia tambémDivisão de europeus sobre metas climáticas simboliza riscos à COP30 em Belém Mitigação tem uma outra dimensão que sempre a tornou mais atraente na negociação que é a seguinte: onde quer que você reduza as emissões, vai ter um impacto no mundo todo. E a adaptação é vista como um problema local, um problema de prefeitura ou de estados dentro de um país, o que também é uma percepção errada, porque a adaptação é algo que tem hoje muito claramente um impacto grande, inclusive na atração de investimento para um país. Um país que tem condições para receber fábricas, infraestrutura, vai fazer uma diferença gigantesca nos investimentos. Eu acho que a gente tem que entender que são dois problemas diferentes, mas que são dois problemas que não podem ser dissociados. Na COP de Belém, nós vamos ter anúncios muito importantes de aumento de recursos, porque um dos problemas é que, como adaptação não tem um efeito global, muitos países doadores preferem dar dinheiro para mitigação porque, de certa forma, indiretamente, eles serão beneficiados, enquanto a adaptação é uma coisa que vai atingir pessoas que eles nem conhecem. Eu acredito que, inclusive, os bancos multilaterais de desenvolvimento vão colocar a adaptação como uma prioridade absoluta. Diante de um contexto internacional delicado, a presidência brasileira da conferência também dá ênfase à implementação das metas, ou seja, viabilizar que essas promessas feitas nas COPs sejam cumpridas. Vai ter como impulsionar a implementação sem resolver o grande embate sobre o financiamento, que sempre bloqueia as COPs? O senhor reconheceu recentemente que não vai ser possível garantir já em Belém o US$ 1,3 trilhão por ano de financiamento que se estimam necessários.   Não, ninguém vai aparecer um cheque com esses recursos. Mas o que há é uma consciência muito grande de que a mudança do clima está atingindo todos os setores da economia e os países em desenvolvimento não podem continuar a ter as responsabilidades, que ainda têm de assegurar educação, saúde, infraestrutura para as suas populações e, além do mais, incorporar a dimensão de mudanças do clima. Desde o início dessas negociações, os países desenvolvidos, que já emitiram muito para o seu desenvolvimento, teriam que contribuir. Eles têm contribuído menos do que se espera, mas eles têm contribuído. Dos US$ 100 bilhões que eram supostos aparecer entre 2020 e 2025, só a partir de 2023 é que ultrapassaram os US$ 100 bi que deveriam ter vindo. Agora, houve um acordo na COP de 2024 em Baku, de subir para US$ 300 bilhões a partir de 2035. Muitos países em desenvolvimento ficaram muito frustrados, porque ainda é muito pouco. É esse número que você disse sobre o qual nós estamos trabalhando, US$ 1,3 trilhão. Esse valor parece estratosférico. Na verdade, é um valor possível. Eu devo publicar dia 3 de novembro mais um relatório que deve sair antes da COP, assinado por mim e o presidente da COP29, sobre como traçar o caminho para conseguir US$ 1,3 trilhão. Especialistas em negociações climáticas temem que os Estados Unidos não apenas não participem da COP30, como atuem fortemente para bloquear qualquer acordo relevante na conferência. Essa é uma preocupação sua? Hoje há várias preocupações. Nas negociações oficiais, tudo tem que ser aprovado por consenso. Na verdade, qualquer país pode bloquear uma COP, e já aconteceu em várias negociações de um país se opor ao que os mais de 190 outros estavam de acordo. A questão da participação americana ainda é uma incógnita, porque, em princípio, os Estados Unidos, ao se retirarem do Acordo de Paris formalmente há 11 meses, apenas estão esperando a formalidade do trâmite. Eles têm que esperar um ano para sair formalmente, o que só vai acontecer em janeiro. Em princípio, os Estados Unidos não têm participado das negociações porque eles querem sair delas. Vamos ver como é que a coisa evolui, porque nós sabemos muito bem que há um contexto internacional um pouco especial. Os Estados Unidos têm participado muito ativamente de outras reuniões em organismos e convenções das quais eles não disseram que sairiam, que foi o que aconteceu com a Organização Marítima Internacional e na negociação de plásticos, em que os Estados Unidos foram muito atuantes. Mas eles estavam atuantes num contexto em que eles são membros plenos e pretendem continuar a ser membros plenos, que não é o caso do Acordo de Paris. Então, vamos ver como é que vai ser: se os Estados Unidos vão mandar uma delegação, e como vai ser a atuação americana em Belém. Leia tambémAmazônia: a equação delicada entre preservação e combate à pobreza

    24H Pujadas - Les partis pris
    Les Partis Pris : "Réseaux sociaux, et l'extrême gauche alors ?", "Xi/Trump, la Chine a gagné !" et "Pays-Bas, Geert Wilders, un vrai faux perdant"

    24H Pujadas - Les partis pris

    Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 16:09


    Emmanuel Macron veut réguler les réseaux sociaux pour protéger la démocratie. Il dénonce les contenus d'extrême droite sur X et l'ingérence russe via TikTok. Selon Arlette Chabot, il a peut-être trouvé une cause qui pourrait entraîner derrière lui une partie des Français, peut-être une partie des Européens. Le problème des réseaux sociaux, c'est un combat qu'il ne peut pas mener tout seul, ajoute-t-elle. Lors de sa rencontre avec Xi Jinping, ce jeudi 30 octobre, Donald Trump a découvert que la Chine disposait de moyens de pression : le contrôle des terres rares et la possibilité d'arrêter ses achats de soja aux États-Unis. Pour Dominique Seux, sans aucun doute, c'est Xi Jinping qui a gagné. Donald Trump, manifestement, respecte les forts et regarde de très haut les plus faibles. Les élections législatives aux Pays-Bas du mercredi 29 octobre ont abouti à un résultat très serré entre le parti centriste pro-européen D66 et le parti d'extrême droite PVV de Geert Wilders. Abnousse Shalmani estime que ce dernier a tout perdu, car il n'avait aucune chance d'être Premier ministre, personne ne voulait travailler avec lui, mais il a tout remporté en faisant réagir tout le monde à ses propositions. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Pascal Praud et vous
    Emmanuel Macron et les réseaux sociaux : «On a fait n'importe quoi, on a totalement tort d'aller s'informer là-dessus»

    Pascal Praud et vous

    Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 2:52


    Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    TẠP CHÍ XÃ HỘI
    Hoàng gia Anh : Lịch sử, sở hữu, chi tiêu và nguyên tắc kế vị đặc biệt

    TẠP CHÍ XÃ HỘI

    Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 13:48


    Hoàng gia Anh hiện được cho là một trong những hoàng gia giàu có nhất châu Âu và sẽ còn có sức sống lâu dài vì sau khi vua Charles lên nối ngôi Nữ hoàng Elizabeth II vào năm 2022, thì có con ngài là Thái tử William còn trẻ. Và William hiện có ba con, hai hoàng tử bé và một công chúa. Như thế, việc nối ngôi cho triều đại của dòng họ Mountbatten-Windsor được đảm bảo. Nhưng thực sự chúng ta có biết nhiều về Hoàng gia Anh ? Thông tín viên Nguyễn Giang, người đã sống ở Anh nhiều năm và theo dõi chủ đề này, cho RFI biết về lịch sử Hoàng Gia Anh, những gì họ sở hữu, điều đặc biệt trong cách chi tiêu và nguyên tắc kế vị : RFI : Ngược về quá khứ lịch sử, Hoàng gia Anh có gốc gác từ đâu ?  TTV Nguyễn Giang : Vâng, xin giải thích dài dòng là chế độ phong kiến tập quyền của Anh đến từ đâu. Đến từ Pháp vào nửa sau thế kỷ 11 và tồn tại đến bây giờ, Hoàng gia, như một định chế chính trị và văn hóa, tồn tại ở Anh liên tục từ thế kỷ 11, không đứt quãng, còn gia tộc nào nắm quyền thì mỗi thời một khác. Chúng ta biết trong lịch sử có các triều đại làm vua chúa ở Anh như Plantagenet (gốc Anjou, Pháp), có nhà Tudor (tức Theodore, xứ Wales), có nhà Stuart (Scotland), và dòng Hanover từ Đức mà người đại diện cuối cùng là Nữ hoàng Victoria. Gia tộc nắm ngai vàng hiện nay có họ gốc Đức là Saxe-Coburg-Gotha, đến năm 1917 thời vua George V thì đổi sang họ Windsor, lấy tên lâu đài Hoàng gia ở gần Luân Đôn. Còn về dòng máu của các thành viên Hoàng gia Anh cũng như châu Âu thì họ thường có hôn nhân pha trộn rất phức tạp. Cụ thể vua Charles hiện nay có ông bà là người Anh, người Đan Mạch, Đức, Hy Lạp và cả Scotland nữa. Còn nói về thể chế và các quy tắc họ tuân theo để bảo tồn một nhà nước có vua thì tất cả bắt đầu từ năm 1066. Năm đó, công tước Guillaume hay William từ xứ Normandy ở vùng bờ biển miền tây bắc nước Pháp đem quân sang đánh vua Harold, người gốc Đan Mạch, ở trận Hastings bên bờ biển và tiến quân về Luân Đôn, giành được ngai vàng Anh.  Từ đó, Anh chính thức có chế độ phong kiến tập quyền theo mô hình Pháp và các đời vua Anh (Kings of England), trên thực tế trong 300 năm tiếp theo vẫn dùng tiếng Pháp ở triều đình, tiếng Anh Trung đại (Middle English) chỉ dùng trong dân. Hoàng gia Anh thực chất là sinh hoạt theo kiểu Pháp và giới quý tộc Anglo-Saxon cũ, thường rất đơn giản, chỉ có ba cấp vua, các thân vương và tộc trưởng (chieftain, gọi là earl- sau đổi thành count-bá tước), cũng cải tổ theo hệ thống kiểu Pháp, đủ 5 tước vị : công - hầu - bá - tử - nam tước theo truyền thống hiệp sỹ (chivalry) của châu Âu. RFI : Trong thời hiện đại, khác với các nước châu Âu đã chuyển sang nền cộng hòa, Anh vẫn còn vua chúa và quý tộc. Vậy thực sự họ làm gì và có vai trò gì trong xã hội ?  TTV Nguyễn Giang : Nhiều nghi lễ ngày nay dòng họ Windsor vẫn giữ nguyên như thế từ thế kỷ 11 và Hoàng gia đứng đầu 600 dòng họ quý tộc gốc, hình thành sau cuộc xâm lăng của William, người chinh phục và được phong tước trong mấy thế kỷ sau đó. Đây là các tước quý tộc thực thụ của giới chúa đất vẫn còn quyền lợi (landed gentry), và được quyền trao lại cho con cháu họ (hereditary titles). Họ khác hẳn với những người bình thường, được tặng các tước sir, lord (baronnes), hiệp sĩ, quý ông quý bà trong danh sách của Hoàng gia công bố mỗi dịp năm mới (New Year's Honours List). Danh sách này có hàng trăm người thuộc giới doanh nhân, văn nghệ sĩ, nhà hoạt động xã hội và sĩ quan quân đội. Sau nhiều năm phong tặng, con số người có các tước “quý tộc ban thưởng” này hiện ở Anh có trên 30 nghìn, mới đây gồm cả cựu cầu thủ bóng đá David Beckham. Thế nhưng các tước này có giá trị như huân huy chương, bằng khen, và không có quyền thế tập, truyền lại cho con cháu.  RFI : Hiện nay Đế quốc Anh không còn nữa thì vai trò chính trị của Hoàng gia là gì?  TTV Nguyễn Giang : Anh quốc là nền dân chủ có lâu đời trên thế giới nhưng theo thể chế quân chủ lập hiến (constitutional monarchy), và vẫn duy trì Vương triều: dòng họ Windsor. Nhà vua đóng vai trò Nguyên thủ Quốc gia (Head of State) để đại diện cho nước Anh trên thế giới, và phê chuẩn các đạo luật, bổ nhiệm thủ tướng. Ngài cũng là Tổng tư lệnh quân đội và theo truyền thống của Quân đội Anh, các sĩ quan cao nhất của các quân binh chủng đều được nhà vua phong tước quý tộc tượng trưng, còn bản thân vua Charles khi còn là Thái tử được mẹ của ngài, Nữ hoàng Elizabeth II lúc sinh thời, phong tước Nguyên soái (Field Marshall) vào năm 2012. Không quân và Hải quân Anh đều có chữ “Hoàng gia” (Royal) và trên lý thuyết là thuộc về nhà vua.  Thế nhưng, vua Charles III còn có vai trò nữa là “người dẫn dắt quốc gia” (Head of Nation) về mặt văn hóa, là người nắm quyền chủ thể (the Sovereign) duy trì tính truyền thống Anh, và lễ nghi, đem lại sự ổn định và tính kế thừa, đoàn kết quốc dân. Các hoạt động vì cộng đồng, từ thiện nếu làm tốt là được nhận huân huy chương từ Hoàng gia, chứ không phải từ quan chức chính phủ.  RFI : Hoàng gia Anh, cụ thể là vua Charles III và các thành viên Hoàng gia có sở hữu tài sản khắp cả nước hay không và họ quản lý tài sản ra sao?  TTV Nguyễn Giang : Ở đây cần phân biệt hai loại tài sản. Loại thứ nhất tư dinh, điền sản và tiền bạc của riêng Nhà vua và Hoàng gia, thuộc về cá nhân họ. Loại thứ hai là tài sản của vương triều (Crown Estate) và ai làm vua nước Anh thì được sử dụng suốt đời nhưng không phải là tài sản cá nhân nên không thể bán đi bỏ túi.  Xin nói cụ thể, tính đến tháng 5/2025 thì tài sản riêng của Nhà vua Charles III (personal fortune, not including the crown estate) là £640 triệu bảng Anh (trên 850 triệu USD), đưa ông trở thành triệu phú lớn nhưng chưa phải tỷ phú. Đó là trị giá hai khu dinh thự ở Balmoral (Scotland) và Sandringham (Norfolk) kèm đất đai xung quanh, cộng các khoản nhà vua đầu tư vào các quỹ khác nhau, lợi tức từ kinh doanh mà vua giao cho các công ty phụ trách.  Còn tài sản Hoàng triều, gồm các cung điện lớn nhất nước Anh và cũng là trụ sở và nơi ở của vua như Điện Buckingham ở thủ đô và Lâu đài Windsor ở phía Tây Nam Luân Đôn, cùng nhiều điền trang thái ấp như Duchy of Cornwall...ước tính có giá trị 16 tỷ bảng Anh, thực chất là thuộc về Vương quốc Anh, và ai làm vua thì quản trị chứ không phải của riêng của dòng họ Windsor hiện nay. Lâu đài Windsor chẳng hạn có từ thời vua William người Pháp (1066), nay là trụ sở ngoài Luân Đôn của Vua Charles nhưng cũng là dinh thự quốc gia, nơi đón các khách quốc tế, ví dụ như Tổng thống Emmanuel Macron của Pháp mới đây. Ngoài ra, Crown Estate sở hữu và quản trị các “công quốc” (duchies), tức là các khu trang trại sản xuất nông nghiệp, đem lại lợi tức lớn. Tiền đó được chuyển vào một ngân hàng do chính phủ Anh quản lý (Consolidate Fund) và chừng 25% đem ra chi lại cho Hoàng gia để đi lại, bảo dưỡng, trùng tu các cung điện...  Thế nhưng, các tài sản này như đã nói, thuộc về Vương triều, và vua Anh không thể đem cho thuê, bán cho bất cứ ai ở Anh hay ở nước ngoài. Các hoàng tử, công chúa cũng không được hưởng gì từ những tài sản này. Ví dụ còn nhỏ thì họ được ở cùng cha mẹ, tức là vua và hoàng hậu (thời trước là nữ hoàng và phu quân) trong các cung điện đó nhưng họ không có quyền thừa kế. Chỉ vị trưởng nam, hoặc trưởng nữ (như trường hợp công chúa cả Elizabeth kế vị vua cha George V), thì được hưởng tiếp tục quyền lợi ở trong các cung điện, dinh thự này. Những người khác, vẫn là hoàng tử, công chúa thì có thể phải rời đi.  RFI : Về chi tiêu của Hoàng gia thì nhà nước Anh, hay người đóng thuế Anh phải bỏ ra bao nhiêu một năm?  TTV Nguyễn Giang : Số tiền Nhà nước Anh, chi cho hoạt động của nhà vua và Hoàng gia hàng năm là khoảng 86-87 triệu bảng (tương đương 115 triệu USD). Như tôi nói ở trên, tổng tài sản của Hoàng triều (Crown Estate) trị giá 16 tỷ bảng, đem lại lợi tức hàng năm và nhà nước Anh thu tiền đó lại rồi lấy ra 25% chi lại cho Hoàng gia, gọi là Sovereign Grant.  Trong khoản tiền này thì chừng 50-51 triệu bảng chủ yếu để bảo vệ, duy trì, sửa sang các dinh thự, cộng với chi phí đi lại, ví dụ vua Charles đi thăm nước nào đó, ở cương vị Nguyên thủ Quốc gia thì đó là chi phí máy bay, khách sạn... Ví dụ từ năm ngoái tới nay, Hoàng gia có thuê 55 chuyến bay riêng với gần 600.000 bảng Anh, và các chuyến bay theo lịch trình mất 126.000 bảng Anh. Tổng chi phí đi lại của hoàng gia là 4,7 triệu bảng Anh, tăng 500.000 bảng so với năm trước. Trong năm qua, khoản chi lớn nhất là 400.000 bảng cho chuyến đi của Nhà vua và Hoàng hậu tới Úc và Samoa. Nếu chia ra thì để duy trì các hoạt động của Hoàng gia, mỗi người dân Anh hàng năm đóng góp chừng 77 xu Anh.    RFI : Theo anh tìm hiểu thì nguyên tắc truyền ngôi và thừa kế tài sản, các cung điện, dinh thự lớn của Hoàng gia Anh ra sao?  TTV Nguyễn Giang : Phải nói rằng Hoàng gia Anh đứng trên cao nhất nhưng không đứng ngoài các nguyên tắc của quý tộc Anh : hạn chế quyền thừa kế, chỉ cho trưởng nam, hoặc trưởng nữ nếu vua không có con trai. Đây là nguyên tắc ‘primogeniture', nói rằng trừ một số biệt lệ với quý tộc Scotland cho con gái có quyền thừa kế, chỉ con trai trưởng được thừa kế gia sản đi kèm tước vị. Nếu nhà quý tộc có hai con trai trở lên, các con trai thứ sẽ không nhận được gì.  Với Hoàng gia Anh, khi Nữ hoàng Elizabeth còn sống thì Thái tử Charles là người duy nhất thừa kế ngai vàng cùng các điền sản, tiền bạc từ mẹ. Các hoàng tử thứ Andrew và Edward, cùng công chúa Anne bị loại ra ngoài khoản thừa kế. Nay thì vua Charles sẽ để lại hết cho Thái tử William, còn hoàng tử Harry thì ngoài các khoản tiền hay dinh thự tư nhân mẹ để lại, không được thừa kế cả quyền sống trong các lâu đài của Hoàng gia. Nay đã sang Mỹ sinh sống, vị Hoàng tử này đã trọ ở khách sạn trong lần gần nhất về Luân Đôn tham gia một vụ kiện chống lại báo chí Anh. Tất nhiên ta phải hiểu là Hoàng tử Harry như một công dân bình thường thì vẫn có quyền nhận thừa kế từ cha mẹ (Công nương Diana khi tử nạn năm 1997 ở Paris có để lại tài sản cho hai con trai, William và Harry), nhưng đó là tài sản cá nhân, còn các điền trang thái ấp thuộc Hoàng triều (Crown Estate) thì chỉ được trao cho trưởng nam, hoặc trưởng nữ nếu nhà vua không có con trai.  Nguyên tắc này còn phân biệt đối xử với phụ nữ. Với các công chúa Anh thì con của họ đều không còn tước quý tộc. Ví dụ hai con của Công chúa Anne, em gái Vua Charles, là Zara và Peter Philipps, thì mang họ cha, một sĩ quan quân đội không phải quý tộc. Xin mở ngoặc là điều này khiến Hoàng gia Anh khác hẳn với các dòng đế hệ của triều Nguyễn ở Việt Nam mà từ thời vua Minh Mạng đã để lại các tên riêng, đánh dấu địa vị quý phái của họ, gồm cả công tằng tôn nữ cho cháu chắt của vua chúa đến mấy đời sau. Bên này chỉ đến đời thứ hai, con của công chúa trưởng đã mất hết tước vị.  Chúng ta hiểu là thời xưa, nguyên tắc ưu tiên trưởng nam trong luật thừa kế của vua chúa có ý nghĩa lớn cho sự ổn định của triều đại. Họ hạn chế nạn phân phong đất đai, dẫn tới cạnh tranh kiểu sứ quân. Ngày nay, quy chế truyền ngôi chỉ cho trưởng nam đúng là bất công với anh em trong một nhà, nhưng lại giúp bảo toàn được uy quyền của Vương triều, không để xảy ra việc xé lẻ đất đai, cung điện và tài sản.  RFI : Cuối cùng, Hoàng gia làm gì để tồn tại và phù hợp với tình hình?  TTV Nguyễn Giang : Việc đầu tiên tôi thấy là tính minh bạch của tiền bạc Hoàng gia. Họ công bố hết mọi chi tiêu trên các trang mạng của Quốc hội, của Hoàng triều, ai cũng đọc được. Điều này nhằm mục tiêu chứng minh cho công chúng rằng Hoàng gia không phải là một bộ máy phong kiến « ăn trên ngồi trốc ». Họ đóng góp vào công quỹ và nhận được trợ cấp từ chính phủ để lo việc nước. Có thế họ mới tồn tại được trong một thể chế dân chủ. Vua cũng có trách nhiệm giải trình.  Thứ nhì, từ thời Nữ hoàng Elizabeth II thì số người thuộc Hoàng gia (Royal Family) đã bị giảm đi rất nhiều, để tránh tiếng là Hoàng gia đông quá. Ngày xưa, người trong Hoàng tộc, gồm hàng trăm người, và ai cũng giàu có, cao quý cả. Nhưng nay danh sách “thành viên Hoàng gia đang làm việc cho Quốc vương” (working royals) chỉ còn 11 đại diện cho vua để dự các lễ nhà nước, lo hoạt động đối ngoại, tiếp tân, từ thiện … Những người này được nhận tiền trợ cấp của vua khi làm việc chứ không ăn lương năm.  Còn về tài sản riêng, có những động tác cho thấy Hoàng gia cắt giảm chi tiêu. Ví dụ, năm nay vua Charles vừa ra lệnh dừng sử dụng đoàn tàu hỏa riêng từ năm 2027 để tiết kiệm. Đây là đoàn tàu Royal Train do Nữ hoàng Victoria đặt hàng hai toa riêng cho Hoàng gia vào năm 1869. Khi đó, xe lửa là phương tiện giao thông công cộng duy nhất nối các vùng của Anh, với tuyến đầu tiên xây xong năm 1825. Cho tới gần đây, Royal Train được sử dụng rộng rãi trong các sự kiện trong thời kỳ kỷ niệm vàng và kim cương của Nữ hoàng Elizabeth II ở nửa sau  thế kỷ 20 – và lần tân trang mới nhất cho các toa tàu diễn ra vào giữa thập niên 1980.  Thế nhưng càng về gần đây, Hoàng gia dùng xe hơi, máy bay, trực thăng để di chuyển, nên trong năm 2024-2025 đoàn tàu chỉ được sử dụng trong hai dịp nên họ quyết định từ năm 2027 sẽ dừng dịch vụ này, đem các toa tàu đi trưng bày.  Cuối cùng, như đã nói ở trên, nguyên tắc trưởng nam thế tập tước vị và điền sản, còn con trai thứ, con gái, dù là hoàng tử, công chúa đều bị loại hoàn toàn khỏi các chức vụ và đặc quyền đặc lợi, khiến cho công chúng cảm thấy là chỉ có một người được làm thái tử, làm vua, và đó là làm việc cho đất nước.  Tài sản của Hoàng triều là của nước Anh chứ không phải của riêng của vua, nữ hoàng, để rồi có bao nhiêu cung điện - di sản của quốc gia - lại đem chia nhau. Như đã nói ở trên, Hoàng tử Harry là không còn sống ở Anh, không làm việc đại diện cho Hoàng gia nữa thì không chỉ mất luôn tiền trợ cấp mà còn bị tước hết các chức vụ trong quân đội. Đây là thông điệp mạnh mẽ của vua Charles để chứng minh Hoàng gia đặt lên mức cao nhất công tác phụng sự quốc dân, chứ không bao giờ thiên vị con mình. 

    C à vous
    La démocratie menacée par les réseaux sociaux: Macron appelle à la "résistance".*

    C à vous

    Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 4:49


    Emmanuel Macron a invité mardi quelque 200 experts et acteurs de terrain réunis à l'Élysée à proposer des pistes d'ici la fin de l'année pour lutter contre les menaces de l'internet et des réseaux sociaux sur la démocratie et les élections. Il faut "lancer le travail de résistance", "créer une petite plateforme d'action", "bâtir un projet d'action commun", au-delà des mesures législatives et réglementaires, a-t-il dit aux chercheurs, responsables d'associations, neuropsychologues, entrepreneurs et élus présents.Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.

    Woman's Hour
    Brigitte Macron cyberbullying case, Comedian Laura Smyth, Autism de-diagnosis

    Woman's Hour

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 53:30


    Brigitte Macron, wife of French President Emmanuel Macron, has accused ten people of posting malicious comments about her, claiming she was a born a man, something Macron says is completely untrue. Her case is in court in France today and, if found guilty, the eight men and two women standing trial could face up to two years in prison. Sophie Pedder, Paris Bureau Chief at The Economist and Sarah Ditum, columnist at The Times, explain the significance of the trial.A study in Sweden has found that some adults who have had a diagnosis of autism or ADHD as children would like to be considered for a de-diagnosis due to stigma and sometimes restrictions associated with the condition. Nuala McGovern talks to Dame Uta Frith, Emeritus Professor of Cognitive Development at University College London, and psychologist Sebastian Lundström, from the University of Gothenberg, who is one of the study's researchers.What if all your dreams come true and you still find yourself a bit grumpy? That's the brilliantly blunt question at the heart of Laura Smyth's stand-up tour, Born Aggy. Laura's journey into comedy wasn't exactly textbook. She left behind a career in teaching, was diagnosed with Stage 3 breast cancer that same year and - just two weeks after finishing treatment - was on stage in Live at the Apollo. She joins Nuala in the studio. The safety of some manicures has been called into question after the EU banned the use of TPO, a key ingredient in many gel polishes, due to fertility risks in animal trials. Melissa Wright tells us about producing her own line of gel nail products that don't contain TPOs and Dr Naila Dinani, Consultant Dermatologist at the Royal United Hospital in Bath, explains the risks.Presenter: Nuala McGovern Producer: Simon Richardson

    RTÉ - Morning Ireland
    Ten on trial over online harassment of French first lady

    RTÉ - Morning Ireland

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 3:50


    Elaine Cobbe, Paris based Journalist, discusses the trial of 10 people charged with online harassment of Brigitte Macron, wife of French President Emmanuel Macron.

    Débat du jour
    France : faut-il des élections pour sortir de la crise

    Débat du jour

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 29:30


    Olivier Faure, le chef des socialistes, a prévenu dimanche dernier (26 octobre 2025) : d'ici la fin de la semaine, «nous saurons si nous allons à la dissolution ou pas». À l'Assemblée nationale, les débats sont houleux sur le budget de l'État 2026 - alors que le sort du gouvernement de Sébastien Lecornu dépend de ce texte. Depuis plusieurs semaines, les appels à convoquer des législatives anticipées se multiplient en France. Certains - y compris Édouard Philippe, longtemps un compagnon de route d'Emmanuel Macron - demandent même une élection présidentielle. Mais le résultat ne risque-t-il pas d'être le même qu'aux précédentes élections, avec un chef d'État sans majorité parlementaire ? À quelles conditions un scrutin peut-il mettre fin à la crise ? D'autres voies sont-elles possibles ?   Pour en débattre :  - Marine Fleury, maitresse de conférences en Droit public, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) - Erwan Lestrohan, directeur conseil à l'Institut de sondages Odoxa.  - Gérard Courtois, ancien directeur éditorial du Monde. Il est l'auteur notamment de « La Saga des élections présidentielles », éd. Perrin, Prix du livre Politique 2025.

    Accents d'Europe
    L'Europe face à la guerre hybride

    Accents d'Europe

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 19:30


    Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire.   La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat.     Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery.   Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge.     Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre.  Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits.     Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto.   Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.

    Débat du jour
    France : faut-il des élections pour sortir de la crise

    Débat du jour

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 29:30


    Olivier Faure, le chef des socialistes, a prévenu dimanche dernier (26 octobre 2025) : d'ici la fin de la semaine, «nous saurons si nous allons à la dissolution ou pas». À l'Assemblée nationale, les débats sont houleux sur le budget de l'État 2026 - alors que le sort du gouvernement de Sébastien Lecornu dépend de ce texte. Depuis plusieurs semaines, les appels à convoquer des législatives anticipées se multiplient en France. Certains - y compris Édouard Philippe, longtemps un compagnon de route d'Emmanuel Macron - demandent même une élection présidentielle. Mais le résultat ne risque-t-il pas d'être le même qu'aux précédentes élections, avec un chef d'État sans majorité parlementaire ? À quelles conditions un scrutin peut-il mettre fin à la crise ? D'autres voies sont-elles possibles ?   Pour en débattre :  - Marine Fleury, maitresse de conférences en Droit public, Université de Picardie Jules Verne (UPJV) - Erwan Lestrohan, directeur conseil à l'Institut de sondages Odoxa.  - Gérard Courtois, ancien directeur éditorial du Monde. Il est l'auteur notamment de « La Saga des élections présidentielles », éd. Perrin, Prix du livre Politique 2025.

    Accents d'Europe
    L'Europe face à la guerre hybride

    Accents d'Europe

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 19:30


    Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire.   La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat.     Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery.   Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge.     Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre.  Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits.     Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto.   Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.

    Esprits Libres
    Face au danger des réseaux sociaux il y a « un enjeu démocratique que l'on ne voit pas » déplore l'éditorialiste Cécile Cornudet

    Esprits Libres

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 14:28


    Dans un contexte de montée en puissance des réseaux sociaux, Emmanuel Macron s'est engagé à créer, dans les mois à venir, les conditions d'un débat éclairé et apaisé sur le sujet. L'éditorialiste politique aux Échos, Cécile Cornudet et le directeur général des éditions du Cerf, Jean-François Colosimo réagissent à cette annonce. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Daily Easy Spanish
    La hija de Brigitte Macron asegura que la vida de su madre ”se deterioró” por las afirmaciones de que es una mujer transgénero

    Daily Easy Spanish

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 15:16


    Tiphaine Auzière, de 41 años, es hijastra del presidente francés Emmanuel Macron.

    Estelle Midi
    Le répondeur de Pierre-Antoine Damecour - 28/10

    Estelle Midi

    Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 5:10


    Qui va appeler RMC aujourd'hui ? Tom Cruise, Emmanuel Macron ? Gislain de Guéret ? « Le répondeur de Pierre-Antoine Damecour » détourne le 3216 de RMC tous les jours, du lundi au vendredi, à 13h50 dans « Estelle Midi ».

    La ContraCrónica
    Por qué gusta Meloni

    La ContraCrónica

    Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 57:37


    ¡Vótame en los Premios iVoox 2025! Giorgia Meloni acaba de cumplir tres años en el cargo, un hito notable en un país como Italia, caracterizado desde hace décadas por la inestabilidad política y los gobiernos efímeros. Desde el final de la segunda guerra mundial sólo Silvio Berlusconi ha conseguido superar los tres años en el Palazzo Chigi. Si Meloni se mantiene otros diez meses más le igualará. Es muy posible que así sea porque goza de una posición sólida, su popularidad está por encima del 40%, un porcentaje de aprobación mucho más elevado que el de Emmanuel Macron, Keir Starmer o Pedro Sánchez. Italia, antes un dolor de cabeza para Bruselas por sus vaivenes políticos y económicos, es ahora todo un modelo a seguir. En estos tres años Meloni ha reducido el déficit público a la mitad, los rendimientos de los bonos a 10 años han bajado hasta situarse a la par de los de Francia, y el desempleo ha pasado del 8% al 6%, lo que está animando la recaudación fiscal. En septiembre la agencia Fitch mejoró la calificación crediticia del país precisamente por eso, porque el cuadro macroeconómico pinta mejor que el de otros países europeos. Sólo la monstruosa deuda pública, del 137% sobre PIB, ensombrece el panorama. Meloni se las ha apañado para transformar en muy poco tiempo la imagen internacional de Italia, especialmente si lo comparamos con el caos político en el que se han sumido sus vecinos franceses, que coleccionan primeros ministros, protestas callejeras y mociones de censura en el parlamento. La coalición de Meloni, que ganó en 2022 con el 44% de los votos, mantiene su ventaja en las encuestas. Esto es así porque ha sabido equilibrar su base electoral más dura con cierto pragmatismo que tranquiliza a los moderados y a Bruselas. Aunque en el pasado, cuando estaba en la oposición, criticaba sin piedad a la Unión Europea, ahora prioriza el control del déficit y ha desarrollado una relación muy constructiva con Ursula von der Leyen. En el interior da satisfacción a sus votantes con medidas típicamente conservadoras como los límites que ha impuesto al aborto pero sin derogar la ley de 1978, ha convertido en delito la gestación subrogada y ha endurecido las penas contra quienes atenten contra la policía. Su política migratoria no es tan agresiva como se esperaba, pero ha reducido las llegadas gracias a un acuerdo con Túnez, que la Unión Europea ha firmado en su nombre. Eso sí, su plan de procesar las solicitudes de asilo en Albania no ha terminado de salir. Sus críticas al Pacto Verde de la UE han encontrado eco en otras partes de Europa, especialmente en Alemania, donde el canciller Friedrich Merz se ha convertido en su aliado. Su éxito es innegable, pero tiene por delante algunos escollos como el problema del raquítico crecimiento económico de Italia. La economía no se ha recuperado del todo del impacto de la pandemia y la inflación que le siguió. Sus aliados de la Liga le buscan algunos problemas en el extranjero, pero ha conseguido domar a Matteo Salvini y ponerle esencialmente a su servicio. Por suerte para ella la oposición de izquierda está dividida y desconectada de las preocupaciones del italiano medio. Su sentido práctico quizá no apasione a la mayoría, pero si parece convencerles. Es quizá la opción menos mala posible y eso mismo es lo que hace que se mantenga en el poder. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:54 Por qué gusta Meloni 32:45 Premios iVoox - https://premios.ivoox.com/ 35:10 Trump y Milei 42:10 La caída de AWS 48:53 Cuba: infierno o paraíso - https://diazvillanueva.com/cuba-infierno-o-paraiso · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #meloni #italia Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

    Hoy por Hoy
    La mirada | Ignacio Martínez de Pisón: "Ay, Francia"

    Hoy por Hoy

    Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 2:00


    La próxima vez que vaya por París me acercaré al Museo del Louvre y me llevaré tres o cuatro cuadros, que me quedarán muy bien en el cuarto de estar. La Gioconda, por ejemplo, que con esos tonos verdes y pardos hace juego con la tapicería del sofá. Ahora que todos sabemos que las medidas de seguridad del museo son casi nulas, seguro que no tendré problemas para robarlo. Emmanuel Macron no gana para disgustos. Acaba de inaugurar la reconstrucción de Notre Dame fotografiándose entre las espantables gárgolas y quimeras de la torre y ahora van unos tipos y en unos minutos le roban las joyas más valiosas del museo. ¿Qué será lo siguiente? ¿Qué calamidad le caerá encima cuando anuncie que han cogido a los ladrones y recuperado el botín? Yo apuesto por un temblor de tierra que derribe la Torre Eiffel.

    On marche sur la tête
    Cambriolage du Louvre : «Emmanuel Macron m'a promis qu'on récupérerait les bijoux», confie le collectionneur Pierre-Jean Chalençon

    On marche sur la tête

    Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 19:36


    Invités : - Pierre-Jean Chalençon, collectionneur - Erik Tegner, journaliste - Sabrina Medjebeur, essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Estelle Midi
    Le répondeur de Pierre-Antoine Damecour - 27/10

    Estelle Midi

    Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 4:27


    Qui va appeler RMC aujourd'hui ? Tom Cruise, Emmanuel Macron ? Gislain de Guéret ? « Le répondeur de Pierre-Antoine Damecour » détourne le 3216 de RMC tous les jours, du lundi au vendredi, à 13h50 dans « Estelle Midi ».

    Atelier des médias
    GDIY : Matthieu Stefani explique son approche du podcast (rediffusion)

    Atelier des médias

    Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 24:42


    Depuis 2017, Matthieu Stefani reçoit des chefs d'entreprises, des sportifs, des artistes. Son podcast Génération Do It Yourself est un projet rentable qui cumule un million d'écoutes chaque mois. Au micro de L'atelier des médias, Matthieu Stefani partage sa conception du podcast et détaille son approche, notamment en matière de modèle économique. Cet épisode est une rediffusion (en version courte) de l'émission du 15 mars 2025. Matthieu Stefani est un chef d'entreprise et podcasteur français dont le podcast a pour nom Génération Do It Yourself. Il promet de « décortiquer le succès des personnes qui ont fait le grand saut ». À son micro ont défilé ces dernières années plus de 400 chefs d'entreprise, sportifs, artistes. Parmi les derniers : l'auteur Joël Dicker, le fondateur de LinkedIn Reid Hoffman, le skipper vainqueur du Vendée Globe Charlie Dalin ou encore le metteur en scène Thomas Jolly à qui l'on doit les cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques de Paris. Mi-2024, le président Emmanuel Macron avait aussi accepté de répondre à son invitation : tout un symbole. Dans L'atelier des médias, Matthieu Stefani raconte sa conception du podcast et explique comment il parvient à dégager des revenus avec cette activité de créateur. Cet entretien s'est notamment appuyé sur une interview de Matthieu Stefani publiée par Mind Media. 

    VOV - Việt Nam và Thế giới
    Tin quốc tế - Pháp sẽ cung cấp thêm tên lửa Aster và máy bay Mirage cho Ukraine

    VOV - Việt Nam và Thế giới

    Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 1:18


    VOV1 - Ngày 24/10, Tổng thống Pháp Emmanuel Macron tuyên bố sẽ cung cấp thêm các tên lửa Aster và máy bay Mirage cho Ukraine trong những ngày tới.

    Les Grandes Gueules
    La blague du jour - Mourad Boudjellal : "L'information la plus inquiétante, c'est qu'Emmanuel Macron envisage d'être au pouvoir dans 10 ans" - 24/10

    Les Grandes Gueules

    Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 2:46


    Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

    On marche sur la tête
    Vente des voitures thermiques : Emmanuel Macron veut assouplir le passage au 100 % électrique mais garde la date butoir de 2035

    On marche sur la tête

    Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 10:07


    Chroniqueurs : - Gauthier le Bret, journaliste - Fabien Onteniente, réalisateur - Dominique Grimault, journaliste - Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Pascal Praud et vous
    Vente des voitures thermiques : Emmanuel Macron veut assouplir le passage au 100 % électrique mais garde la date butoir de 2035

    Pascal Praud et vous

    Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 10:07


    Chroniqueurs : - Gauthier le Bret, journaliste - Fabien Onteniente, réalisateur - Dominique Grimault, journaliste - Georges Fenech, ancien magistrat Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les Grosses Têtes
    IMITATIONS - Macron, Sarkozy, Delahousse... L'actualité vue par Marc-Antoine Le Bret

    Les Grosses Têtes

    Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 4:48


    Dans l'émission du 23 octobre 2025, Marc-Antoine Le Bret a imité Emmanuel Macron, Nicolas Sarkozy et Laurent Delahousse, Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Aurélie Filippetti - Vol de bijoux au Louvre: "Nous avons été mis en échec"

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 10:35


    C dans l'air l'invitée du 22 octobre 2025 avec Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la Culture et directrice des affaires culturelles de Paris.Cet après-midi à 16h30, la commission des affaires culturelles du Sénat auditionne la présidente-directrice du musée du Louvre, dont huit joyaux ont été dérobés dimanche matin lors d'un cambriolage spectaculaire. Le préjudice est estimé à 88 millions d'euros selon l'établissement, qui a rouvert ses portes ce matin, exception faite de la galerie Apollon où a eu lieu le vol. Alors qu'un pré-rapport de la Cour des comptes, dont la version complète doit être publiée début novembre, pointe des retards "considérables" et "persistants" dans la mise aux normes des installations techniques du musée le plus visité au monde, Emmanuel Macron a demandé ce mercredi en Conseil des ministres une "accélération" des "mesures de sécurisation" du Louvre. Quant au ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez, il a assuré ce matin sur CNews et Europe 1 que l'enquête "progresse" et avoir "toute confiance, ça c'est sûr, dans le fait que nous retrouverons les auteurs". Reste la question de la responsabilité. Le Figaro a affirmé mardi que Laurence des Cars avait présenté sa démission après le vol, mais que cela lui avait été refusé et qu'elle avait reçu le soutien d'Emmanuel Macron. Rachida Dati, la ministre de la Culture, assure de son côté que "les dispositifs de sécurité ont fonctionné" et qu'"ils n'ont pas été défaillants".Une commission d'enquête sur la protection du patrimoine est envisagée par les députés, mais sa création a été reportée.Aurélie Filippetti est ancienne ministre de la Culture et directrice des affaires culturelles de Paris. Elle reviendra sur le cambriolage du Louvre et les questions de sécurité et de responsabilité que ce spectaculaire incident soulève.

    C dans l'air
    Louvre: "Les dispositifs de sécurité ont fonctionné." Vraiment? - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 67:21


    C dans l'air du 23 octobre 2025 : Quatre jours après le spectaculaire cambriolage du Louvre, l'enquête se poursuit et une nouvelle vidéo, filmée par un témoin, est apparue sur les réseaux sociaux. Deux hommes y sont filmés en train de descendre calmement par un monte-charge de la galerie Apollon, tentant de mettre le feu à l'engin — en vain — avant de s'enfuir en scooter. Les malfaiteurs, au nombre de quatre, auraient laissé dans leur fuite deux disqueuses, un chalumeau, de l'essence, des gants, un talkie-walkie, une couverture, ainsi que la couronne de l'impératrice Eugénie et un gilet jaune, selon des sources policières. Un casque aurait également été retrouvé sur place.Auditionnée au Sénat mercredi, Laurence des Cars, présidente-directrice du Louvre depuis 2021, a reconnu des failles dans la sûreté du musée : notamment un manque de caméras sur les façades de l'établissement. « J'assume totalement que nous avons une faiblesse dans la protection périmétrique du Louvre », a-t-elle affirmé. « Nous n'avons pas repéré suffisamment à l'avance l'arrivée des voleurs », a-t-elle concédé. « Les faiblesses de notre protection périmétrique sont connues et identifiées », a indiqué Laurence des Cars, assurant que le futur plan de sécurité permettrait de couvrir « l'ensemble des façades ».La ministre de la Culture, de son côté, a dénoncé les fausses informations circulant à ce sujet :Le dispositif de sécurité « a fonctionné ». « Les systèmes d'alarme ont été déclenchés à chaque effraction, et dès l'intrusion dans la salle, de la fenêtre aux vitrines ! Aucun système n'a été défaillant », a expliqué Rachida Dati. Pourtant, a-t-elle ajouté, « non », tout n'a pas été parfait et « oui », des choses sont à améliorer. Emmanuel Macron a demandé mercredi, en Conseil des ministres, une « accélération » des « mesures de sécurisation » du Louvre. Le président de la République attend sur son bureau une liste de propositions « pour la semaine prochaine », alors que les critiques se multiplient.Ainsi, l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti (2012-2014) estime qu'« il y a aujourd'hui un défaut majeur dans le pilotage du ministère de la Culture (...). On a fait des choix de prestige, de communication souvent tape-à-l'œil, au détriment de l'entretien de base du musée (…) L'argent n'a pas été mis au bon endroit. Par exemple, depuis 2014, il y a eu une diminution de 14 % des personnels d'accueil et de surveillance du musée », a-t-elle expliqué mercredi sur le plateau de C dans l'air.Un rapport de la Cour des comptes pointe un retard « persistant » et « considérable » dans la mise en conformité des équipements de sécurité dans l'enceinte du Louvre. Il révèle notamment que 60 % des salles de l'aile Sully et 75 % de celles de l'aile Richelieu ne sont pas équipées de vidéosurveillance.Mais au-delà du Louvre, ce sont les débats autour de la sécurité des musées en France qui sont relancés. Nos journalistes sont allés à la rencontre de la directrice du musée du Hiéron, à Paray-le-Monial. Le 21 novembre 2024, ce musée d'art a été victime d'un braquage à main armée. Après avoir tiré des coups de feu, quatre individus, casqués, encagoulés et gantés, avaient fait main basse sur de précieux objets comportant de l'or, de l'ivoire et des pierres précieuses. Une partie seulement du butin a été retrouvée dans un sac, au fond de la rivière Arroux, en plein centre-ville de Gueugnon. Douze hommes ont été mis en examen jusqu'à présent dans cette affaire.LES EXPERTS :- Laurent Valdiguié - Journaliste d'investigation à Marianne- Christophe Barbier - Editorialiste politique, Conseiller de la rédaction Franc-Tireur - Didier Rykner - Directeur-fondateur, la Tribune de l'art- Caroline Pigozzi - Journaliste et écrivain- Anne-Elisabeth Moutet (en duplex) - Editorialiste au Daily Telegraph

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] Ghana : un jeune footballeur sénégalais tué par de «faux recruteurs»

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 19:30


    Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les divisions autour de la réforme des retraites en France, l'état d'urgence décrété au Pérou et un accord stratégique entre les États-Unis et l'Australie pour contrer la Chine. Ghana : un jeune footballeur sénégalais tué par de « faux recruteurs»   Parti au Ghana avec la promesse d'un contrat au Maroc, Cheikh Touré, un footballeur sénégalais de 20 ans, est tombé dans un piège tendu par de «faux recruteurs». Victime d'un réseau d'escroquerie, le jeune gardien de but a été assassiné. Que sait-on des circonstances de sa mort ? Comment les autorités sénégalaises et ghanéennes mènent-elles l'enquête sur cette affaire ?   Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar.     France : lorsque le président de la République contredit son Premier ministre   Alors que Sébastien Lecornu a annoncé la suspension de la réforme des retraites lors de son discours de politique générale, Emmanuel Macron a affirmé que le texte ne sera pas suspendu mais reporté. Quelle est la différence entre la «suspension» proposée par le Premier ministre et le «décalage» évoqué par le président ? Les propos d'Emmanuel Macron ne risquent-ils pas de fragiliser le gouvernement ?    Avec Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.       Pérou : plus de 6 000 personnes tuées depuis janvier  Face à la montée inquiétante des violences dans les rues de Lima, Jose Peri, le nouveau président péruvien a décrété l'état d'urgence dans la capitale. Comment expliquer une telle crise dans le pays ? Pourquoi l'insécurité est-elle chronique ? Avec Évelyne Mesclier, géographe, directrice de recherches à l'IRD (Institut de Recherche pour le Développement), spécialiste de l'Amérique latine Andine.       Terres rares : Washington et Canberra signent un accord pour contrer la Chine    Pour contourner la Chine qui détient un quasi-monopole sur la transformation des terres rares, Donald Trump et le Premier ministre australien ont signé un accord stratégique pour les raffiner les minerais directement en Australie. Pourquoi la Chine pose-t-elle problème aux deux pays ? Que sait-on exactement sur cet accord d'exploitation ?  Avec Patrice Christmann, consultant et chercheur indépendant, ancien collaborateur du BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières). 

    Politique
    Élection présidentielle 2027 : Marine Tondelier se lance, la droite se divise

    Politique

    Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 41:06


    Alors que les parlementaires tentent difficilement de doter la France d'un budget, d'autres se projettent déjà dans la présidentielle de 2027 : Marine Tondelier a annoncé sa candidature et la droite affiche ses divisions autour de l'élection suprême. Quant à Emmanuel Macron, il prend position sur un "décalage" de la réforme des retraites plutôt que sur une "suspension", de quoi compliquer la tâche du Premier ministre qui veut éviter de braquer le PS.

    Les Grosses Têtes
    IMITATIONS - Khojandi, Macron, Sarkozy... L'actualité vue par Marc-Antoine Le Bret

    Les Grosses Têtes

    Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 6:31


    Dans l'émission du 22 octobre 2025, Marc-Antoine Le Bret a imité Kyan Khojandi, Emmanuel Macron, Lorànt Deutsch, Laurent Ruquier, Jean Lassalle, Gilbert Montagné et Nicolas Sarkozy, Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Retraites, impôts, santé : avis de tempête - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 64:24


    C dans l'air du 22 octobre 2025 : Retraites, impôts, santé : avis de tempêteAlors que les discussions sur le projet de budget 2026 ont débuté lundi en commission des Finances de l'Assemblée nationale et qu'une menace de censure du gouvernement plane, Emmanuel Macron est remonté au front sur la réforme des retraites, expliquant mardi depuis la Slovénie que le Premier ministre « a fait un choix pour apaiser le débat actuel » : celui de proposer le « décalage d'une échéance », celle « des 63 ans au 1er janvier 2027, qu'il a décalée au 1er janvier 2028, avec un financement par des économies ».« Ce n'est ni l'abrogation, ni la suspension, c'est un décalage », a-t-il souligné, semant le doute sur les intentions du gouvernement.La déclaration a d'ailleurs valu à Sébastien Lecornu une clarification, quelques heures plus tard, lors de la séance des questions au gouvernement. Interrogé successivement par les présidents de groupe du Rassemblement national (RN), Marine Le Pen, et Boris Vallaud, pour le Parti socialiste (PS), le Premier ministre a rappelé avoir bien annoncé la « suspension » tant du décalage de l'âge que de l'augmentation du nombre de trimestres de cotisation, sans laquelle la première mesure ne « serait rien ». Il a également indiqué qu'un Conseil des ministres serait réuni jeudi 23 octobre pour ajouter la suspension de la réforme des retraites au projet de budget de la Sécurité sociale, via une « lettre rectificative ». Une procédure visant à rassurer les socialistes. Car le gouvernement de Sébastien Lecornu ne doit sa survie qu'à la non-censure du Parti socialiste la semaine dernière... mais cela ne durera peut-être pas.Au lendemain du rejet de la taxe Zucman en commission des Finances de l'Assemblée nationale, le premier secrétaire du PS a mis en garde l'exécutif : « Si la copie n'est pas corrigée pour protéger les Français de ce qui est en train de se produire — le choix des milliardaires contre les gens ordinaires — nous serions amenés à avoir un jugement extrêmement sévère », a affirmé Olivier Faure sur RTL. « La censure, elle est possible à tout moment », a-t-il prévenu.Au grand dam de la gauche, la taxe Zucman, sur le patrimoine des ultra-riches, a été rejetée lundi soir. Le camp gouvernemental et le RN ont voté contre. Elle n'est toutefois pas définitivement abandonnée, car, comme toutes les autres mesures examinées cette semaine en commission, elle sera rediscutée à partir de vendredi dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, où les députés repartiront de la copie initiale du texte du gouvernement.La bataille budgétaire s'annonce rude, sur la question fiscale mais également sur celle du budget alloué à la Sécurité sociale. Le texte, marqué par une rigueur budgétaire inédite, prévoit un gel des prestations sociales et des retraites, la suspension promise de la réforme des retraites, et 7 milliards d'euros d'économies en santé.Un sujet qui est devenu, au fil des ans, prioritaire pour les Français. Ainsi, 88 % des Français interrogés par l'Ifop pour le baromètre de l'action sociale placent la santé en tête de leurs préoccupations. Éloignement, temps d'attente, offre de soins incomplète… 87 % du territoire est désormais classé en désert médical et 6 millions de Français n'ont pas de médecin traitant.Les maires tentent, à leur niveau, d'y remédier en créant des maisons de santé pour attirer des médecins. Nous avons rencontré l'un d'entre eux.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique et conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au Nouvel Obs, autrice du livre Le grand détournement co-écrit avec Matthieu Aron est publié aux Allary Editions- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Benjamin MOREL - Constitutionnaliste, maître de conférences en droit public à l'université Paris 2 Panthéon-Assas, auteur de "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", publié aux éditions Passés composés

    Les Experts
    Les Experts : Retraites, Macron n'exclut pas un référendum - 22/10

    Les Experts

    Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 24:53


    Ce mercredi 22 octobre, la possibilité pour Emmanuel Macron de soumettre la question des retraites à un référendum, ainsi que la situation des jeunes qui se sentent lésés face au coût de la vie par rapport aux salaires, ont été abordées par Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Rafik Smati, fondateur de Louxor.ai et président du groupe Aventers, et Isabelle Bordry, fondatrice de Retency, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

    L'invité de RTL
    Pierre Moscovici : "Ça ne va pas du tout" le premier président de la Cour des Comptes demande un budget qui "marque une inflexion"

    L'invité de RTL

    Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 10:38


    Quel budget faut-il pour la France ? Faut-il organiser un référendum sur les retraites comme le suggère Emmanuel Macron ? En pleine tempête politique, une voix qui sort de la mêlée : le premier président de la Cour des Comptes, Pierre Moscovici, est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 22 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    C dans l'air
    9h37: Nicolas Sarkozy entre en prison - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 64:10


    C dans l'air du 21 octobre 2025 : Un président en prisonC'est une première pour un ancien président sous la Ve République. Nicolas Sarkozy a été incarcéré ce mardi 21 octobre à la prison de la Santé, dans le 14e arrondissement de Paris. L'ancien chef de l'Etat a été écroué près d'un mois après sa condamnation pour association de malfaiteurs dans le cadre de l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.Bien qu'il ait fait appel de cette condamnation, la peine – cinq ans d'emprisonnement assortie d'une exécution provisoire – l'a conduit en détention. Il a été placé dans une cellule du quartier d'isolement. Immédiatement après son incarcération, ses avocats ont déposé une demande de mise en liberté. Celle-ci sera examinée dans un délai d'environ un mois, a précisé son conseil, Me Christophe Ingrain.Quelques heures avant son incarcération, Nicolas Sarkozy a publié un message sur les réseaux sociaux : « Mais que le prix à payer aura été écrasant. » L'ex-chef de l'État a également reçu, ce matin, le soutien d'une centaine de fidèles, rassemblés près de son domicile. Parmi eux, son fils Louis Sarkozy, organisateur du rassemblement, le sénateur LR Roger Karoutchi, mais aucun des ténors du parti Les Républicains n'était présent : ni Bruno Retailleau, ni Laurent Wauquiez.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, proche de Nicolas Sarkozy, a lui fait savoir, lundi, qu'il irait le « voir en prison ». Un choix qui fait vivement réagir les magistrats, à commencer par le premier d'entre eux. Le procureur général près la Cour de cassation a estimé ce lundi que la justice doit pouvoir travailler dans la sérénité, en particulier les juges de la cour d'appel de Paris, qui se pencheront dans les prochaines semaines sur la demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy et sur son procès en appel l'année prochaine. « Il y a un risque qu'une telle visite soit ressentie par les magistrats et perçue par l'opinion comme une sorte d'obstacle à cette sérénité recherchée. Il faut préserver de toute influence l'intervention des magistrats dans un dossier aussi sensible », a déclaré Rémy Heitz.Dans la foulée, Gérald Darmanin lui a répondu via un message publié sur X : « S'assurer de la sécurité d'un ancien président de la République en prison, fait sans précédent, n'atteint en rien à l'indépendance des magistrats, mais relève du devoir de vigilance du chef d'administration que je suis, responsable devant le Parlement selon l'article 20 de la Constitution », a-t-il écrit.Le président de la République, Emmanuel Macron, qui a reçu Nicolas Sarkozy vendredi dernier à l'Élysée, a jugé « légitime » le débat sur l'exécution provisoire, en marge d'un déplacement en Slovénie : « Parce que tout le monde souhaite qu'il puisse y avoir des voies d'appel et de recours. Mais c'est un débat qui doit être mené dans le calme et indépendamment des cas spécifiques pour que notre justice puisse se faire et puisse évoluer dans la sérénité qui convient », a-t-il expliqué.En France, 86 % des peines de deux ans de prison et plus sont mises à exécution immédiatement à l'audience.Alors, quelles sont les conditions de détention de Nicolas Sarkozy ? Combien de temps l'ex-président de la République peut-il rester en prison ? Faut-il ouvrir un débat sur l'exécution provisoire des peines ? Et quel avenir pour Les Républicains, fragilisés par cette affaire et traversés par de profondes divisions internes depuis des mois ?LES EXPERTS :- Ludovic VIGOGNE - Journaliste politique - La Tribune Dimanche - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue - Maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po

    C dans l'air
    Alain Minc - Budget: ça passe ou ça casse pour Lecornu

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 10:42


    C dans l'air l'invité du 20 octobre 2025 avec Alain Minc, économiste et essayiste, auteur de "Somme toute", aux éditions Grasset.Les députés de la commission des Finances ont commencé aujourd'hui l'examen du budget de l'État, alors que les délais sont particulièrement contraints, et que pèse l'épée de Damoclès d'une adoption du budget par ordonnances s'ils sont dépassés. Les débats permettront avant tout de jauger l'équilibre des forces sur les différentes dispositions, sachant que les députés repartent dans l'hémicycle de la copie initiale. L'examen du texte en séance plénière commencera vendredi, pour un vote solennel prévu le 4 novembre. Le Premier ministre s'est en outre engagé à ne pas utiliser l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter le budget, ce qui suppose que les débats aillent "au bout" du texte, jusqu'au vote.Avec un déficit qui devrait s'établir à 5,4% en 2025, le gouvernement ambitionne un effort global d'une trentaine de milliards d'euros pour 2026, entre nouveaux prélèvements (14 milliards) et économies de dépenses (17 milliards) afin de ramener le déficit public à 4,7% du produit intérieur brut (PIB). Il accepterait d'assouplir cet objectif jusqu'à "sous 5%" pour permettre des compromis.Vendredi, une autre donnée s'est ajoutée au tableau : l'agence de notation S&P a annoncé abaisser d'un cran la note de la France, invoquant une incertitude "élevée" sur les finances publiques.Alain Minc, économiste et essayiste, auteur de "Somme toute", aux éditions Grasset, nous livrera son analyse sur le budget de l'Etat, et sur la possibilité d'atteindre les objectifs fixés. Il reviendra également avec nous sur les conséquences de la dégradation de la note de la dette de la France par l'agence S&P. Celui qui avait conseillé Emmanuel Macron, nous donnera également son avis sur sa fin de mandat, et son héritage.

    Le journal de 18h00
    Le gouvernement sécurise la suspension de la réforme des retraites

    Le journal de 18h00

    Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 19:56


    durée : 00:19:56 - Journal de 18h - Une lettre rectificative a été envoyée au Conseil d'État pour l'incorporer au projet de loi de finances de la Sécurité sociale. Une précision faite par Sébastien Lecornu aux députés au moment même où Emmanuel Macron contestait le terme de "suspension" depuis la Slovénie.

    In The News
    Louvre jewel heist: how the robbery that outraged France unfolded

    In The News

    Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 17:50


    Shortly after 9.30am on Sunday, when the Louvre in Paris had just opened its doors to visitors, alarm bells started to ring out through the halls of the world-famous museum.Four thieves had managed to access the building via the first floor balcony facing the river Seine. Seven minutes later they escaped on motorbikes carrying priceless French crown jewels.The robbery has sparked outrage across the French political spectrum – the country's president Emmanuel Macron called the raid “an attack on our history”, while the leader of the far-right National Rally party Jordan Bardella said it was an “intolerable humiliation”.The heist has also prompted serious questions about the security needed in high profile museums and art galleries, and the increasingly brazen nature of criminal art robberies.How exactly did these thieves manage to steal priceless artefacts from one of the most secure museums in Europe in broad daylight? And why are the French authorities now racing against the clock to track down the missing items?BBC Paris Correspondent Hugh Schofield discusses how this audacious heist was pulled off and whether the jewels will ever be seen again.Presented by Sorcha Pollak. Produced by Andrew McNair. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

    Jutranja kronika
    Na vrhu MED9 v Portorožu med nujnimi ukrepi za orepitev evropske konkurenčnosti navedli vlaganja v raziskave in tehnologijo

    Jutranja kronika

    Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 19:39


    Voditelji sredozemskih držav so na vrhu v Portorožu med nujnimi ukrepi za okrepitev konkurenčnosti navedli vlaganja v raziskave in tehnologijo. Govorili so tudi o zelenem prehodu, ki je po besedah premierja Roberta Goloba najboljša pot naprej. Kot je dejal, se zavzemajo za prožen pristop po panogah, s posebnim poudarkom na avtomobilski industriji. Francoski predsednik Emmanuel Macron bo v Ljubljani nadaljeval delovni obisk pri nas. Državi krepita sodelovanje predvsem na področju jedrske energije. Nekaj drugih poudarkov oddaje: - Pred poslankami in poslanci obsežen sveženj sodniške zakonodaje - V domovih za starejše hitijo zbirati soglasja stanovalcev za prevedbo v nov sistem dolgotrajne oskrbe - S slovesnim odprtjem se začenja 28-ti Festival slovenskega filma

    Układ Otwarty. Igor Janke zaprasza
    Bruksela a przylot Putina na spotkanie z Trumpem, systemy Patriot a Ukraina, kanclerz Niemiec - informacje z 21 października

    Układ Otwarty. Igor Janke zaprasza

    Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 9:50


    (0:00) Wstęp(0:51) Unia Europejska ma wątpliwości w sprawie przylotu Władimira Putina na spotkanie z Donaldem Trumpem(2:16) Ukraina i Stany Zjednoczone przygotowują umowę dotyczącą zakupu systemów Patriot przez ukraińskie władze(3:38) Kanclerz Niemiec uważa, że Alternatywa dla Niemiec chce zniszczyć jego ugrupowanie(4:57) Holenderskie partie w programach przedwyborczych ignorują zasady praworządności Unii Europejskiej(6:23) Emmanuel Macron przyjął Nicolasa Sarkozy'ego, który dzisiaj zacznie odbywać karę więzienia(7:45) Szanse na odzyskanie klejnotów skradzionych z Luwru mają być niewielkieInformacje przygotował Maurycy Mietelski. Nadzór redakcyjny – Igor Janke. Czyta Michał Ziomek.

    SBS Mandarin - SBS 普通话电台
    卢浮宫皇冠珠宝被抢,侦破工作进行中

    SBS Mandarin - SBS 普通话电台

    Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 5:06


    法国总统埃马纽埃尔·马克龙(Emmanuel Macron )表示,正在竭尽全力抓捕卢浮宫珠宝盗窃案的幕后黑手。 点击音频收听详细报道

    NTD Good Morning
    AWS Outage Hits Major Sites; Cease-Fire Holds After Alleged Violations | NTD Good Morning (Oct. 20)

    NTD Good Morning

    Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 95:20


    Amazon Web Services reported a major outage on Monday morning, affecting a number of major companies. According to Downdetector.com, platforms like Venmo, Facebook, and Prime Video were among a number of sites affected. Amazon Web Services issued a statement, saying the root cause of the outage had been identified and that they were working to “accelerate recovery.”The cease-fire is holding in Gaza after a deadly flare-up on Sunday. Israeli forces resumed the truce after retaliating in the wake of a Hamas attack that killed two IDF soldiers. President Donald Trump confirmed that the cease-fire remains in place. Special envoy Steve Witkoff and former senior Trump adviser Jared Kushner have arrived back in Israel, according to a U.S. embassy spokesperson. Vice President JD Vance said he might return to Israel in the coming days.Authorities in France are investigating after the Louvre Museum in Paris was robbed in broad daylight on Sunday. Four suspects made off with several priceless items of jewelry in what officials called a “highly professional operation.” The sapphire necklace of Queen Marie-Amélie and the emerald necklace gifted by Napoleon to his second wife Marie-Louise as a wedding present are among the pieces missing. French President Emmanuel Macron responded to criticism over the Louvre's lack of protection for the art pieces. He announced a $1 billion plan to renovate the museum over the next six years.

    SBS Vietnamese - SBS Việt ngữ
    Cướp táo bạo tại Viện Bảo tàng Louvre ở Paris

    SBS Vietnamese - SBS Việt ngữ

    Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 5:17


    Tổng thống Pháp Emmanuel Macron cho biết mọi nỗ lực đang được thực hiện để bắt giữ những kẻ đứng sau vụ trộm trang sức ngoạn mục tại bảo tàng Louvre, vụ mới nhất trong một loạt vụ cướp bảo tàng.

    Débat du jour
    France : la fonction présidentielle est-elle affaiblie ?

    Débat du jour

    Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 29:30


    L'isolement d'Emmanuel Macron ainsi que l'ambiance de fin de règne ou de fin de Cinquième République qui existe depuis quelques mois peut laisser penser à une fragilisation de la fonction présidentielle. Ce à quoi s'ajoute l'incarcération demain, mardi 21 octobre, d'un ancien Président, Nicolas Sarkozy, à qui beaucoup avait reproché justement d'affaiblir la fonction présidentielle. La fonction présidentielle est-elle affaiblie ?Pour en débattre : - Nicolas Roussellier, historien, professeur des universités à Sciences Po, auteur du livre La force de gouverner (Éditions Gallimard)- Eugénie Mérieau, politologue, maîtresse de conférences en droit public à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, auteure du livre Constitution (Anamosa, mai 2025) - Frédéric Micheau, directeur général adjoint d'OpinionWay, enseignant à Sciences Po, auteur du livre Le gouffre démocratique : les gouvernants et l'opinion (éditions du Cerf, 2024)

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    Breaking Down Trump's Gaza Deal

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    Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 89:42


    Tommy & Ben break down the deal between Israel and Hamas–how we got here, who deserves credit (and who doesn't), why the hell it took so long, and then dig into the many questions still to be resolved: Will Hamas disarm? How will Gaza be run? And who might make up the proposed “International Stabilisation Force”? They also talk about Trump's victory lap in Israel and Egypt (including a quick pit stop for some corruption with Indonesia's president), the pervasive media narrative that Israel's “victory” over Iran led to this deal, Benjamin Netanyahu's political future, Drop Site News's rebuttal to the Free Press's vile “reporting” on starving Palestinian children with preexisting conditions, and whether Trump's peacemaking is contagious and could spread to Ukraine. Also covered: how the US's bailout of Argentina will benefit hedge funders in Treasury Secretary Scott Bessent's circle, French President Emmanuel Macron's surprising replacement for his short-lived Prime Minister, and why the recipient of this year's Nobel Peace Prize is dedicating it to Donald Trump. Then, Ben goes deep on the shadow fleet with Michelle Wiese Bockmann, senior maritime intelligence analyst at Windward.For a closed-captioned version of this episode, click here. For a transcript of this episode, please email transcripts@crooked.com and include the name of the podcast.  Get tickets to CROOKED CON November 6-7 in Washington, D.C at http://crookedcon.com Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.

    Global News Podcast
    Trump threatens additional 100% tariff on China

    Global News Podcast

    Play Episode Listen Later Oct 11, 2025 25:54


    President Trump has said he will impose additional 100% import tariffs on Chinese goods by next month, and put export controls on any and all critical software. He said this was in response to China placing new restrictions on exports of crucial rare earth minerals. The news led to US stock markets registering their biggest one-day fall in months. Also: Palestinians in Gaza returning to their homes following the ceasefire between Israel and Hamas say they've been shocked by the scale of destruction; the French president, Emmanuel Macron, has reappointed Sebastien Lecornu as prime minister, just four days after he resigned from the role; the green turtle has been rescued from the brink of extinction in what scientists are calling a major conservation victory.