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L'euphorie autour des valeurs technologiques et de l'intelligence artificielle touche-t-elle à sa fin ? Alors que les indices boursiers tutoient des sommets, plusieurs poids lourds de Wall Street – Goldman Sachs, Morgan Stanley, et même Michael Burry, le célèbre investisseur du "Big Short", tirent la sonnette d'alarme. Valorisations excessives, essoufflement de l'enthousiasme malgré des résultats spectaculaires, et prévisions de corrections allant jusqu'à 20 % : sommes-nous à l'aube d'un nouveau cycle ou au bord d'une bulle façon années 2000 ? L'analyse de John Plassard, responsable de la stratégie d'investissement et associé de la banque Cité Gestion. Ecorama du 6 novembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Il a juré qu'il ne travaillerait ni à Paris, ni en banque.Puis un jour, il découvre la banque privée : non pas des chiffres, mais des histoires de vies. Là, quelque chose s'allume.Des années plus tard, on lui remet les clés de Neuflize OBC. Le jour de sa nomination, une pensée traverse la pièce : “Pourquoi moi ?” Ce n'est pas de la com', c'est une vraie montée d'adrénaline, un pincement au ventre. Il regarde l'ascenseur : 1000 collaborateurs vont y monter demain matin. “Les actifs, se sont eux.” Il faudra décider vite, et décider juste.Sa première décision pour tenir la promesse du service ?Couper une partie de la base clients : un quart, ceux pour qui le coût de la conformité étouffe l'attention. Sur le papier, c'est froid. Dans la vraie vie, c'est une série de coups de fil, des conversations avec chacun d'eux. “Voilà pourquoi, voilà comment on vous accompagne ailleurs.” Des silences parfois lourds, des remerciements aussi. Choisir, c'est prendre sur soi.Ce recentrage n'est pas un repli. C'est une clarification : Neuflize ne sert pas seulement l'entreprise, elle finance l'entrepreneur, la personne.Avances sur cash-out, prêts adossés aux titres, ingénierie sur-mesure. Là où beaucoup s'arrêtent à la trésorerie, la banque entre dans la matière intime : ce moment où l'on vend une part de soi, où l'on sécurise une famille, où l'on repart dans l'arène.En face, la concurrence est affûtée, les family offices poussent, la réglementation serre le jeu. Demain, IA et fraude testeront la confiance comme jamais. Les acteurs trop petits devront sans doute se rapprocher. Mais le vrai sujet reste immuable : connaître son client, répondre, même en deux lignes, tenir la parole donnée.Il raconte aussi les ratés, les recrutements manqués, les soirs où l'on se demande si l'on a tiré la bonne ficelle.Et puis arrive un message, celui de son frère. D'une simple question, on comprend la fierté et la fragilité d'un homme “parti de rien” qui n'a pas oublié d'où il vient.Alors, et l'après ?Il dit qu'il voudrait souffler. S'asseoir dans quelques boards, transmettre, peut-être entreprendre enfin pour de bon. Pas pour briller : pour être utile. Comme si tout son parcours revenait à ça.À l'animation :Thomas Benzazon, cofondateur de FeuilleBlancheUn podcast conçu par FeuilleBlanche, producteurs de médias, podcasts, et récits stratégiques pour les marques.À vos écouteurs
Depuis qu'il a été réélu, il y a un an tout juste, Donald Trump imprime sa marque sur les États-Unis : guerre commerciale, offensive contre les migrants, mais aussi chasse aux employés fédéraux. Près de 300 000 postes ont été supprimés depuis le début de l'année dans la Fonction publique au nom de «l'efficacité gouvernementale». Des fonctionnaires qui subissent, en plus, le «shutdown» depuis plus d'un mois. Certains travaillent sans être payés ; d'autres ont été placés au chômage forcé, sans toucher de salaire. Des banques alimentaires organisent désormais des distributions d'aide alimentaire spécialement réservées aux fonctionnaires. Reportage de Vincent Souriau à Memphis, dans le Tennessee. Anne Cantener poursuit la discussion sur ce sujet avec son invité Corentin Cellin, professeur agrégé d'Histoire et chroniqueur sur le site d'information Les jours. Il analyse la «purge idéologique» que vivent les États-Unis. «Les fonctionnaires qui sont chassés sont ceux qui ont pris position contre l'administration Trump», raconte Corentin Cellin. Particulièrement visés : le ministère de la Justice et le FBI. Cette mise au pas était annoncée et prévue par le Projet 2025 de la Fondation Heritage. Mais l'expert des États-Unis se dit surpris par la vitesse avec laquelle Donald Trump met son plan en application. Au Mexique, l'émotion après l'assassinat du maire de Uruapan Les députés ont observé une minute de silence en mémoire de Carlos Manzo tué samedi (1er novembre 2025) lors de la célébration de la Toussaint dans sa ville, et alors qu'il bénéficiait pourtant d'une protection policière, rapporte El Sol de Mexico. Sur leurs sièges ou leurs bureaux, les parlementaires du PRI, le Parti révolutionnaire institutionnel, ont déposé un chapeau blanc tâché de rouge. Ce même chapeau qui était le signe distinctif de Carlos Manzo, explique le quotidien. Un maire qui a tenté de lutter contre les groupes criminels. Il a enregistré quelques victoires. Il a porté des coups sérieux aux cartels qui opèrent dans le Michoacan, rapporte El Sol de Mexico. Et cela lui a coûté la vie. Carlos Manzo était courageux, téméraire même, mais il était seul, estime David Saucedo, expert en Sécurité publique et délinquance organisé, interviewé par El Sol de Mexico. Uruapan a 400.000 habitants mais seulement 350 policiers. Et son maire n'avait le soutien ni du gouvernement provincial ni du gouvernement fédéral, analyse ce spécialiste. Au cours des quatre dernières années, six maires du Michoacan ont été assassinés, cinq autres victimes d'attentats. La présidente Claudia Sheinbaum a annoncé un plan pour le Michoacan hier, lors de sa conférence de presse quotidienne. Cela fait une vingtaine d'années que «des gouvernements de bords politiques différents promettent de rétablir la paix au Michoacan, et ils ont toujours échoué», relève Milenio. En 2006, Felipe Calderon avait envoyé l'armée dans cet État. Résultat : une escalade de violences. En Haïti, les autorités alertent une nouvelle fois sur la recrudescence du choléra Oui, recrudescence notamment à Pétionville, nous apprend Le Nouvelliste. «Des opérations d'assainissement, de fumigation et de dératisation sont en cours dans la région métropolitaine (de Port-au-Prince), particulièrement dans les quartiers où les inondations et les accumulations d'ordures augmentent le risque de contamination», peut-on lire dans le journal. Le gouvernement est, en effet, inquiet pour les zones qui ont été dévastées par Melissa, surtout le sud et l'ouest d'Haïti. «Les fortes pluies et inondations provoquées par le passage de l'ouragan (...) risquent d'aggraver la situation sanitaire, en favorisant la contamination de l'eau et la transmission du choléra», écrit Alterpresse. Le ministère de la Santé redoute également une hausse de cas de diarrhée, de typhoïde et de paludisme, précise Le Nouvelliste. Les campagnes de communication visant à rappeler les règles d'hygiène se sont intensifiées. Mais la priorité reste, bien sûr, l'accès à l'eau potable dans les zones sinistrées. Le journal de la 1ère En Martinique, le procès des déboulonneurs de statues a commencé ce lundi 3 novembre 2025.
Le directeur général du Groupe Crédit Coopératif revient sur les résultats de son étude sur le rapport des Français à l'argent et plus précisément sur leurs attentes par rapport à leurs banques. Pour de nombreuses personnes, elles jouent un rôle dans la transition écologique à travers leurs financements. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:15 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - L'once d'or se négocie autour des 3 500 euros, soit le triple de son prix d'il y a dix ans. Si l'on connaît le rôle de "valeur refuge" de ce métal précieux pour les particuliers, on sait moins que les banques centrales en sont très demandeuses. Pour des raisons géopolitiques notamment.
Au menu de la troisième heure des GG du lundi 27 octobre 2025 : "Frais bancaires : les banques se gavent ?" avec Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, et Charles Consigny, avocat.
Le gouverneur de la Banque d'Angleterre s'inquiète de la montée en puissance des fonds d'investissement dans l'économie mondiale. Ces acteurs non bancaires, de plus en plus présents dans le financement des entreprises, pourraient représenter un risque systémique pour la stabilité financière. Le gouverneur de la Banque d'Angleterre tire la sonnette d'alarme. Les fonds d'investissement prennent une place grandissante dans l'économie mondiale. Ces structures, grands acteurs non bancaires de la finance, occupent désormais un rôle central dans le financement des entreprises. Et ce n'est pas sans risque. Pour bien comprendre, il faut revenir au lendemain de la crise financière de 2008. À l'époque, les entreprises se finançaient essentiellement auprès des banques, en contractant un crédit. C'était le modèle classique de l'intermédiation financière : un prêteur, un emprunteur et une banque au milieu. Mais depuis, un troisième acteur est apparu : les fonds d'investissement. Ces sociétés collectent de l'argent auprès d'investisseurs – particuliers fortunés, compagnies d'assurances, ou même d'autres fonds – en leur promettant un rendement attractif. Ces fonds prêtent ensuite cet argent directement à des entreprises, sans passer par le circuit bancaire traditionnel. Autrement dit, ils deviennent eux-mêmes des sources de financement alternatives. Aujourd'hui, ces structures occupent une part croissante du financement des entreprises. On estime qu'environ 9 % des expositions de crédit des grandes banques concernent ce marché de la dette privée. Un chiffre en constante progression. Des acteurs moins régulés… et plus risqués Moins régulés que les banques, les fonds d'investissement attirent par les gains potentiellement élevés qu'ils peuvent offrir. Pour les entreprises, c'est un mode de financement rapide, souvent plus souple, et parfois plus généreux qu'un prêt bancaire classique. Mais cette liberté a un prix. Ces fonds peuvent être tentés de prêter à des entreprises fragiles, en échange de taux d'intérêt élevés. Le pari est simple : plus le risque est grand, plus le rendement est élevé. Sauf qu'en cas de défaillance, le fonds qui a prêté peut lui-même se retrouver en difficulté. Et l'effet boule de neige peut être rapide. Ces fonds empruntent parfois eux-mêmes à d'autres investisseurs, qui peuvent à leur tour se retrouver exposés. De proche en proche, une simple défaillance peut se transformer en réaction en chaîne. Pour reprendre une image familière, c'est un peu comme un ver dans un fruit : le problème est invisible au départ, mais il peut fragiliser tout l'ensemble. Un risque de contagion pour tout le système financier C'est précisément ce scénario que redoutent les banques centrales. Car ces fonds non bancaires ne sont pas isolés : les banques traditionnelles investissent, elles aussi, dans ces structures ou leur prêtent de l'argent. Si un fonds tombe, la secousse peut donc atteindre directement les établissements financiers classiques. L'exemple récent de First Brands, un groupe industriel américain lourdement endetté sur le marché de la dette privée, l'a rappelé. Sa faillite a provoqué des pertes chez plusieurs grandes banques, dont JP Morgan et UBS. Un cas concret qui illustre ce risque d'effet domino : chute des prix, pertes pour les investisseurs, tensions sur les banques exposées, et, finalement, menace sur l'ensemble du système financier. Les fonds d'investissement ne sont pas des banques, mais ils en ont pris une partie du rôle, sans en avoir les mêmes garde-fous. Or, la régulation actuelle reste largement pensée pour le monde bancaire, celui d'avant 2008. Face à un système financier désormais beaucoup plus interconnecté, les régulateurs – à commencer par la Banque d'Angleterre – appellent à adapter la surveillance et les règles. Car si ces acteurs offrent de nouvelles opportunités de financement, ils portent aussi en eux une vulnérabilité : celle d'un risque qui, s'il est mal maîtrisé, pourrait se propager à toute l'économie. À lire aussi2. Banques : attention, danger !
Ce lundi 20 octobre, les signes croissants de tension dans les banques régionales américaines, ainsi que l'ouverture de la session plénière du Comité central du parti socialiste chinois, ont été abordés par Béatrice Mathieu, rédactrice en chef à L'Express, Erwann Tison, chargé d'enseignement à l'Université de Strasbourg, et Patrick Artus, Économiste et conseiller économique de la société de gestion Ossiam, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Filière batterie: les dominos tombent les uns après les autres. La satisfaction envers les grandes institutions financières canadiennes en baisse. Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins, Étienne Bracq revient sur les performances des principaux marchés boursiers et les tendances du moment dans Morning Briefing, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'onde de choc partie des États‑Unis vendredi a fait vaciller les banques de Tokyo à Madrid. Dans le même temps, l'or et l'argent enfoncent des records historiques tandis que le bitcoin cale sous des résistances clés. Surtout, le volet commercial ne se joue plus seulement à Washington: l'allégement ciblé de droits de douane sur des pièces auto au sud de la frontière rebat les cartes de compétitivité pour l'Ontario, alors que Stellantis envisage de déplacer une partie de la production de Brampton vers l'Illinois et qu'Ottawa arbitre des droits de 100% sur les EV chinois au cœur d'un bras de fer plus large (canola, acier, aluminium). Ces quatre dynamiques – risque de crédit bancaire, ruée vers les métaux précieux, hésitation crypto et réalignement tarifaire nord‑américain/asiatique – racontent une même histoire: le capital se repositionne face à la fin de l'argent gratuit, au retour de la prime de risque, et à une géopolitique commerciale qui pèse directement sur l'emploi et la chaîne d'approvisionnement au Canada. Ce billet propose une lecture intégrée de ces mouvements, avec un prisme investisseur sur : banques mondiales, prêts douteux, indice bancaire européen; or record, prix de l'argent; bitcoin autour de 110k; tarifs automobile USA, implications pour Stellantis Brampton/Windsor, droits de 100% sur les EV chinois, coûts de production et effets sur l'écosystème manufacturier ontarien.https://www.daytradercanada.com/billet-boursier/banques-or-bitcoin-tarifs-automobile/Site web: https://daytradercanada.com/Nous joindre: https://daytradercanada.com/nous-joindre/Facebook: https://www.facebook.com/daytradercanadaYoutube: https://www.youtube.com/@DayTraderCanadaLinkedIn: https://www.linkedin.com/company/day-trader-canada/
Le secteur bancaire a été un exemple dans le basculement pour le télétravail en pleine crise sanitaire. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités expliquent comment, inversement, il devient le chef de file du retour au bureau.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en octobre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Krystèle Tachdjian et Gabriel Nédelec (journalistes au service Finances des «Echos»). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Shutterstock. Sons : RTL, Ebunny «Revolution», «Les tontons flingueurs» (1963), «Le père Noël est une ordure» (1982), «Le Dîner de cons» (1998), Lucie Carbone «Le Flex Office, encore plus Flex que prévu» (2024), «Mélodie en sous-sol» (1963). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:21:04 - On s'en parle en Béarn Bigorre - Les bons plans pour votre épargne avec un banquier Laurent Delaunay président du comité local des banques en Béarn et en Bigorre. Comment s'y retrouver dans les différentes formes d'épargne et laquelle choisir suivant nos besoins. Et du nouveau qui concerne nos virements bancaires. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:35 - Debout la Terre - par : Camille Crosnier - L'Alliance bancaire pour le climat, lancée en 2021, prend fin. Ce programme visait à réduire l'empreinte carbone des investissements bancaires. Son échec interroge sur l'engagement réel du secteur financier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au programme de cette édition :Tour d'horizon de l'actualité réglementaire : traitement prudentiel des cryptoactifs, nouvelles propositions législatives sur la titrisation, etc…Stress tests EBA 2025 décryptés par Julien Bertrand, associé KPMG : “un secteur bancaire solide, des risques mieux cernés et une méthodologie plus harmonisée !”Chronique verte : “No-Action Letter de l'EBA, un répit temporaire pour le Pilier 3 ESG”
Auditrice : - Les banques ont bloqué 100.000 euros à Claude, contraint de travailler illégalement Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le PIB du Québec en baisse du 2e trimestre: faut-il s’inquiéter? Des familles aux prises avec des prêteurs sans scrupules: pourquoi tolère-t-on toujours ces prêts abusifs? Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Êtes-vous prêt à plonger dans la plus grande révolution comptable depuis l'ère numérique ? Dans cet épisode, nous explorons le sujet brûlant de la facturation électronique, une réforme qui promet de transformer la gestion des factures pour les entreprises. L'animateur, accompagné de Sébastien Claeys, CEO d'iPaidThat, nous guide à travers les enjeux cruciaux de cette transition numérique. Sébastien partage son expertise sur la manière dont cette réforme va redéfinir le paysage comptable. Ensemble, ils abordent les défis liés à l'automatisation des processus, la nécessité d'adopter un système entièrement numérique, et les implications pour les experts-comptables qui doivent s'adapter à cette nouvelle norme. Au cœur de la discussion, Sébastien met en lumière comment iPaidThat permet de gagner du temps et de réduire les erreurs humaines, rendant la gestion des factures plus fluide et efficace. Mais ce n'est pas tout ! Cet épisode souligne également l'importance de la formation des utilisateurs finaux pour réussir cette transition. Sans une compréhension claire des nouvelles procédures, les entreprises risquent de rencontrer des obstacles majeurs. Les intervenants discutent des différents acteurs impliqués dans la mise en œuvre de la facturation électronique, des entreprises aux experts-comptables, et de la nécessité d'une collaboration étroite pour garantir une adoption réussie. Anticiper ces changements est essentiel pour être prêt le jour J. Cet épisode vous offre des insights précieux et des conseils pratiques pour naviguer dans cette nouvelle ère de la comptabilité. Merci de votre écoute
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot
La note de la dette publique tricolore vient d'être rétrogradée par Fitch de AA- à A+. Une sanction attendue, mais aux conséquences encore floues pour les épargnants, les emprunteurs et les investisseurs. Décryptage des effets concrets de cette décision avec Charles Sannat, fondateur du site insolentiae. Ecorama du 15 septembre 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Laurence Pessez, Global Sustainability Officer de BNP Paribas, un leader européen et un acteur bancaire international implanté dans 64 pays. Par leurs financements et investissements massifs, les banques ont la capacité de favoriser certains secteurs d'activité. Alors que l'Accord de Paris a fixé l'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C d'ici 2100, certaines ONG affirment que tout ne va pas dans ce sens : D'après le rapport d'Oxfam France intitulé « Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré », les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement et d'investissement des six plus grosses banques françaises représentaient huit fois les émissions de CO2 de la France en 2020… Sur le site de BNP Paribas, on peut lire « Le Groupe s'est engagé à dédier plus de 200 milliards d'euros à la transition de ses clients vers une économie bas carbone, notamment via des crédits verts, des fonds. Au cœur même de la raison d'être du groupe BNP Paribas, figure son ambition d'être un acteur de tout premier plan du mouvement vers une économie plus durable. » Quels sont les engagements concrets du Groupe BNP Paribas en matière de ESG ? Quelles actions concrètes ESG ont été mises en place ? Pourquoi continuer à financer de grands groupes pétroliers ? Pourquoi ne pas exclure ces entreprises complètement ? Comment accompagner les clients dans la transition énergétique ? (Surtout les moins engagés et convaincus) ? Laurence Pessez répond à ces questions sans détour dans ce nouvel épisode de L'Empreinte ! Bonne écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans ce nouvel épisode de L'Empreinte, Alice Vachet reçoit Laurence Pessez, Global Sustainability Officer de BNP Paribas, un leader européen et un acteur bancaire international implanté dans 64 pays. Par leurs financements et investissements massifs, les banques ont la capacité de favoriser certains secteurs d'activité. Alors que l'Accord de Paris a fixé l'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C d'ici 2100, certaines ONG affirment que tout ne va pas dans ce sens : D'après le rapport d'Oxfam France intitulé « Banques : des engagements climat à prendre au 4ème degré », les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement et d'investissement des six plus grosses banques françaises représentaient huit fois les émissions de CO2 de la France en 2020… Sur le site de BNP Paribas, on peut lire « Le Groupe s'est engagé à dédier plus de 200 milliards d'euros à la transition de ses clients vers une économie bas carbone, notamment via des crédits verts, des fonds. Au cœur même de la raison d'être du groupe BNP Paribas, figure son ambition d'être un acteur de tout premier plan du mouvement vers une économie plus durable. » Quels sont les engagements concrets du Groupe BNP Paribas en matière de ESG ? Quelles actions concrètes ESG ont été mises en place ? Pourquoi continuer à financer de grands groupes pétroliers ? Pourquoi ne pas exclure ces entreprises complètement ? Comment accompagner les clients dans la transition énergétique ? (Surtout les moins engagés et convaincus) ? Laurence Pessez répond à ces questions sans détour dans ce nouvel épisode de L'Empreinte ! Bonne écoute ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Thème : Comment se lancer (vraiment) dans l'investissement locatif ?
Ce jeudi 4 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Charlotte Thameur, directrice du développement commercial chez Shares, et Marc Tempelman, fondateur de Cashbee, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Du lundi au jeudi, de 16h35 à 17h, Amaury de Tonquédec reçoit dans BFM Bourse experts et acteurs du monde des cryptomonnaies pour tout savoir des actualités et des tendances de ce secteur.
durée : 00:02:29 - Le brief éco - Malgré des blocages réglementaires imposés par l'Union européenne, des opérations de regroupement mobilisant plusieurs dizaines de milliards d'euros ont été réalisées par les établissements bancaires en France, comme en Europe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un entretien au long cours avec un spécialiste de l'économie pour décortiquer une tendance économique de fond. Cette semaine, Sébastien Buron interviewe Anthony Wolf. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir.
Les Banques centrales majeures ont toutes baissé leur taux d'intérêt directeur cette année, sauf la FED et le cas particulier de la BoJ. Pourtant, le dollar US est la devise la plus faible du Forex. Comment expliquer ce paradoxe face à la divergence des politiques monétaires ? Vincent Ganne vous propose un tour d'horizon des Banques centrales dite majeures ainsi qu'un diagnostic graphique des paires majeures en USD.
Merci à Franck Henry, ancien braqueur cambrioleur au sein de la mafia parisienne, d'être venu nous voir dans le studio de LEGEND. Après avoir braqué des banques, des casinos, il a purgé une peine de 21 ans et est devenu écrivain en prison. Aujourd'hui auteur et réalisateur il vient nous parler de son spectacle Gangster « Ni Fier, Ni Honteux. »Réservez vos places pour le spectacle de Ni Fier, Ni Honteux à la nouvelle ève ➡️ : https://www.lanouvelleeveparis.com/events/frank-henry-gangster-ni-fier-ni-honteuxRetrouvez le livre Mauvaises nouvelles du milieu ➡️ : https://amzn.to/4a6rw6qRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/x6seg0aD4mMPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu connais le Festival Agir à Lyon ? Inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité le 28 septembre !__ Voici un extrait de l'épisode de demain sur comment donner du sens à ton épargne ?Voici 3 moyens d'agir, en partenariat avec l'association Fair qui délivre le label Finansol. SOMMAIRE 01:01 Le déclic de Patrick 03:00 Victoire 06:37 Peut-on changer les banques décriées ? 13:34 Le label Finansol 16:20 3 moyens d'agir 19:46 Ecrire à ton banquier 23:00 Devenir actionnaire solidaire 27:12 Le pouvoir des citoyens__Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Merci au sponsor du mois : le Festival Agir à Lyon ! Ami Lyonnais, inscris-toi pour une journée de folie sur l'écologie et la solidarité à Lyon le 28 septembre !Au programme : Ateliers, balade sur la nature en ville et témoignages de reconversion pro ! L'Institut Transitions qui forme en 1 an aux métiers de la transition sera sur place.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Malgré un contexte géopolitique sous haute tension, l'économie israélienne affiche des résultats spectaculaires sur les marchés financiers. Portée par un secteur bancaire solide, une industrie de la défense en plein essor et un écosystème technologique résilient, Israël étonne les investisseurs du monde entier. Décryptage. Alors qu'Israël est engagé dans un conflit depuis près de deux ans, la bourse de Tel-Aviv connaît une dynamique sans précédent. L'indice TA-125 a atteint un record historique de 3138 points, avec une progression de 22 % depuis le début de l'année. Le shekel, la monnaie nationale, connaît lui aussi une performance remarquable, sa meilleure depuis plus de vingt ans. Une envolée qui contraste nettement avec la prudence observée sur les places financières européennes ou américaines. Selon Bloomberg, Tel-Aviv affiche une relative sérénité, preuve que les investisseurs font preuve d'une confiance inattendue envers l'économie israélienne. Banques, défense et technologie en ordre de marche Trois secteurs majeurs expliquent en partie cette dynamique. D'abord, le secteur bancaire. Les cinq principales banques israéliennes voient leurs actions bondir de 30 %, dopées par des taux d'intérêt élevés autour de 4,5 %, qui boostent leurs marges et attirent les investisseurs à la recherche de dividendes élevés. Bank Hapoalim, par exemple, vient d'annoncer un bénéfice record de 2,7 milliards de shekels. Ensuite, l'industrie de la défense connaît une croissance fulgurante, avec une hausse de 130 % en un an. Les exportations d'armement israéliennes battent des records, et les récents conflits ont servi de vitrine à des systèmes technologiques éprouvés, comme les boucliers antimissiles qui ont intercepté la quasi-totalité des attaques iraniennes. Enfin, le secteur technologique reste l'un des moteurs de l'économie israélienne. Rien que sur les six premiers mois de 2025, la « start-up nation » a levé 9,3 milliards de dollars, une hausse de 54 % par rapport au semestre précédent. Intelligence artificielle, cybersécurité : les innovations israéliennes, souvent testées en conditions réelles, séduisent les investisseurs internationaux. Une résilience fondée sur la diversification et l'habitude des crises Au-delà des chiffres, la performance de l'économie israélienne s'explique aussi par une résilience structurelle. Les investisseurs locaux, habitués aux tensions géopolitiques depuis des décennies, continuent de miser sur le long terme, convaincus que les chocs sont temporaires et que les fondamentaux économiques restent solides. L'économie israélienne s'est aussi diversifiée. Si la technologie reste un pilier, les secteurs bancaire, de la défense, des assurances et de l'immobilier contribuent, eux aussi, à la croissance. Enfin, paradoxalement, le contexte conflictuel a renforcé la position stratégique du pays. La destruction des capacités nucléaires iraniennes et l'affaiblissement des groupes hostiles ont, aux yeux des investisseurs, rendu Israël plus stable et plus attractif.
En juin 2024, le gouvernement éthiopien annonçait l'ouverture du secteur bancaire aux acteurs étrangers. Pour la première fois depuis les nationalisations de 1975, les banques internationales étaient autorisées à créer des filiales locales en Éthiopie. Le point sur un an de libéralisation bancaire. L'annonce de l'ouverture du secteur bancaire, il y a un an, a sonné comme une petite révolution en Éthiopie. Pour Tsegay Tekleselassie, économiste et enseignant au Wellesley College de Boston, ce changement était attendu : « Il était temps d'ouvrir le secteur bancaire pour que le secteur privé ait plus de liberté, que la population ait plus facilement accès aux banques, mais aussi pour stimuler la compétitivité des services bancaires ». Depuis la chute de l'empereur Haile Selassié Ier en 1975 et la nationalisation des banques du pays, l'Éthiopie n'a plus jamais autorisé de banque internationale sur son sol. La loi de juin 2024 autorise donc désormais les banques étrangères à créer des filiales, à ouvrir des succursales, mais aussi à prendre des participations dans des banques locales. Un changement qui s'inscrit dans une politique globale d'ouverture prônée par le gouvernement. « D'autres réformes ont été lancées en ce sens, rappelle Tsegay Tekleselassie. Récemment, le marché des devises a été en partie libéralisé. Il existe aussi depuis peu une bourse éthiopienne. Cela fait partie d'une tendance forte dont le but est de libéraliser l'économie ». Une banque kényane est candidate Mais un an après cette annonce, les résultats se font attendre. Jusqu'à maintenant, seule la banque kényane KCB, qui possède des filiales au Rwanda, en Ouganda, ou en Tanzanie, a engagé des discussions avec le gouvernement éthiopien. Certains usagers attendent pourtant avec impatience de pouvoir faire appel aux services d'une banque étrangère. « J'aimerais que les banques me proposent des services qui facilitent nos opérations quotidiennes et nous rendent la vie plus facile, observe Ashenafi Mulugeta, PDG d'une société de production agricole basée à Addis-Abeba. Je veux pouvoir me concentrer sur mon activité principale, qui est de faire de l'agriculture et de la transformation. Je ne veux pas avoir à traiter des problèmes de paiements, de recettes, de dépenses. J'aimerais qu'une banque le fasse pour moi ». Il va pourtant falloir s'armer de patience. L'installation de banques étrangères en Éthiopie pourrait prendre encore du temps. « Certaines banques peuvent refuser d'investir le marché éthiopien à cause de l'instabilité, remarque l'économiste Tsegay Tekleselassie. La proclamation a par ailleurs fixé des restrictions, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose quand on ouvre son secteur bancaire. La loi limite par exemple la participation des investissements étrangers dans une banque à 40% ». Trente-deux banques opèrent actuellement en Éthiopie, avec un capital combiné de 2,4 milliards de dollars.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Le ministre des finances est accusé par des parlementaires de tous bords d'avoir cédé face au lobby bancaire pour détricoter une mesure empêchant la fraude fiscale, dite « CumCum », des banques. Dans une note que Mediapart a pu consulter, l'administration fiscale lui avait pourtant déconseillé de le faire. Un article de Mathias Thépot, publié le 26 juin 2025 sur Mediapart, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hubert Guillaud, journaliste et expert des systèmes numériques, a dirigé pendant 21 ans InternetActu.net (Fing) avant de devenir délégué général de l'association Vecteur et rédacteur en chef de Danslesalgorithmes.net. Auteur de "Les algorithmes contre la société" (La Fabrique Editions, 2025), il décrypte les enjeux critiques de notre transformation numérique.Exit Black Mirror, bienvenue dans la réalité ! Pendant que l'AI Act nous rassure contre le crédit social chinois, des dizaines d'algorithmes nous scorent déjà en silence. Prix modulés, prêts refusés, fraudes détectées, études filtrées... Ce "crédit social à l'occidentale" transforme chaque citoyen en suspect permanent. Avec Hubert Guillaud, nous révélons comment cette notation généralisée détermine nos opportunités de vie.L'État n'est plus aux commandes, mais faut-il s'en rassurer ? Derrière chaque refus de prêt ou orientation Parcoursup se cache une logique algorithmique opaque qui échappe au contrôle démocratique. Hubert Guillaud démonte les mécanismes de cette société du tri permanent et révèle les solutions concrètes pour reprendre la main sur notre avenir numérique.
Nouvelle émission sur LEGEND avec trois experts en cybersécurité qui travaillent pour de grandes banques françaises et veillent à ce que des groupes de hackers ne pénètrent pas le réseau bancaire français. David fait partie de la Red Team, qui simule des attaques pour tester la sécurité d'un système, tandis que Cécile et Nicolas font partie de la Blue Team, qui défend ce système en détectant les intrusions, puis en les bloquant !On a également suivi les équipes de cybersécurité pour filmer des images de hacking en direct, où l'on prend le contrôle d'un ordinateur à distance.Découvrez de nombreuses offres d'emploi juste ici ➡️ https://link.influxcrew.com/LESBANQUESRECRUTENT-LEGENDRetrouvez la FBF sur les réseaux ⬇️YouTube ➡️ https://www.youtube.com/@FederationBancaireFrancaiseLinkedIN ➡️ https://www.linkedin.com/company/fbf/Les réseaux de l'OPCO Atlas ⬇️Instagram ➡️ https://www.instagram.com/orientationatlas/?hl=frYouTube ➡️ https://www.youtube.com/@JinvestislavenirTiktok ➡️ https://www.tiktok.com/@orientationatlas?lang=frLinkedIN ➡️ https://www.linkedin.com/company/opco-atlas/Collaboration commerciale avec FBF et OPCO AtlasPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hier, pendant que Wall Street profitait d'un jour férié bien mérité – le Juneteenth, journée de la liberté – l'Europe, elle, était au bureau. Et pendant qu'on regardait nos écrans clignoter dans tous les sens, entre deux frappes de missiles au Moyen-Orient, un baril de pétrole qui allait dans tous les sens et des banquiers … Continued
François Desquesnes, ministre des Pouvoirs locaux, vient de tirer la sonnette d'alarme : la Région wallonne cherche plus de 600 millions d'euros auprès des banques pour soutenir ses communes. Pour quelle raison ? Parce que certaines d'entre elles se sont retrouvées blacklistées par deux grandes banques belges. Des villes comme Liège ou Charleroi ne trouvent plus preneur pour leurs emprunts car elles sont vues comme trop risquées par leurs créanciers. Et c'est la région qui vole à la rescousse. La Région wallonne, donc, emprunte 3 milliards sur les marchés pour soutenir ces enfants turbulents, si je puis dire. Mais elle le fait en traînant les pieds car elle sait que ce n'est pas tenable éternellement. Et elle a raison. Quand vous commencez à emprunter pour couvrir les emprunts des autres, vous entrez dans une spirale où la seule chose qui s'étend, c'est votre dette publique. Pendant ce temps, certaines communes jouent encore aux illusionnistes. Selon François Desquesnes, elles remplissent leur budget avec des lignes fictives, comme des refinancements fédéraux, et donc on inscrit "40 millions à venir". Et hop, magie budgétaire ! Les communes sont-elles vraiment les seules responsables ? Pas tout à fait : le fédéral adore lancer ses réformes, comme celle du chômage maintenant, et laisser les CPAS, donc les communes, en gérer les conséquences négatives. Et pas 1 € de plus n'est prévu pour ça, ou en tout cas très très peu. Le ministre Desquesnes tente de remettre un peu d'ordre. Oui, il faut de la rigueur, oui, il faut revoir les politiques inefficaces. Et surtout, il faut retrouver la confiance des banques. Parce que sans confiance bancaire, pas d'argent, et sans argent, pas de commune fonctionnelle, et sans commune, pas de Wallonie. Mots clés: dette, emprunt, emprunter, financer, financement, Région Wallonne, villes, Liège, Charleroi, CPAS, argent, politiques, wallonie, ministres, intérêt, taux, conséquences, millions, vivre au crochet, chomage, milliards, sonnette d'alarme, refus, blacklisté, commune, belgique, francois desquesnes, refinancement, fédéral, confiance bancaire, conséquences, responsable --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode du podcast Cryptoast, on reçoit à nouveau Romain, fondateur de l'ex-projet Paladin devenu Trevee. Quatre ans après le DeFi Summer, il revient sur son parcours, les hauts, les bas, et la manière dont lui et son équipe ont transformé un écosystème crypto chaotique en une plateforme pérenne. On parle DAO, stablecoins, tokenomics, Memecoins et de l'évolution du marché crypto en 2025.X de Romain ► https://x.com/Figue_meRings ► https://rings.money/ Paladin ► https://quest.paladin.vote/ Qu'est ce qu'une DAO ? ► https://cryptoast.fr/dao-organisation-decentralisee/ Nos podcasts sont aussi sur :
Le géant britannique Revolut annonce un investissement d'un milliard d'euros en France. Une occasion de faire le point sur ces banques 100 % digitales, qui séduisent de plus en plus d'usagers à travers le monde, en bouleversant les codes traditionnels du secteur. Décryptage. Les banques en ligne, aussi appelées néobanques, se distinguent par leur fonctionnement entièrement digital. Accessibles uniquement via une application mobile ou un site internet, elles n'ont ni agences physiques, ni guichets. Cette absence d'infrastructure leur permet de proposer des services bancaires à des tarifs très compétitifs, voire gratuits. L'ouverture d'un compte se fait en quelques clics, sans frais, sans rendez-vous, et sans paperasse. Les coûts de fonctionnement étant réduits au minimum, ces établissements misent sur l'automatisation pour assurer la gestion des opérations. On distingue deux grands types de banques en ligne : les indépendantes, comme l'Allemande N26 ou la Britannique Revolut, et celles adossées à des banques traditionnelles, comme HelloBank (BNP Paribas) ou Boursobank (Société Générale).Un marché en pleine explosionMême si elles ne rivalisent pas encore en taille avec les banques traditionnelles, les néobanques occupent une place de plus en plus importante. Selon Grand View Research, le marché mondial des banques en ligne, estimé à 67 milliards de dollars en 2022, pourrait dépasser 3400 milliards d'ici à 2030. Cette croissance est portée par la hausse rapide du nombre de clients dans le monde : il a triplé depuis 2020, atteignant aujourd'hui plus de 300 millions.Une solution d'inclusion financière, notamment en AfriqueLe succès des néobanques ne se limite pas à l'Europe ou aux pays occidentaux. Sur le continent africain, elles apparaissent comme de véritables leviers d'inclusion financière. Face à un taux de bancarisation encore faible, elles offrent des solutions simples, mobiles et accessibles à des millions de personnes exclues du système bancaire classique.Des acteurs comme TymeBank en Afrique du Sud, Kuda au Nigeria ou encore Djamo et Orange Bank en Afrique francophone participent à cette transformation. En combinant l'essor du smartphone, le développement du commerce en ligne et le désintérêt des banques traditionnelles pour les populations à faibles revenus, ces néobanques trouvent un terrain fertile. Reste néanmoins un défi de taille : atteindre une rentabilité durable malgré un modèle basé sur des frais réduits, tout en consolidant la confiance des usagers sans relation physique.À lire aussiLe Nigeria à la pointe dans la monnaie digitale de banque centrale
Rencontrez Yves Bennaïm, le Bitcoiner suisse qui à lancé l'initiative populaire visant à ajouter du Bitcoin à la Banque Nationale Suisse (BNS). Avec lui nous avons parlé de son initiative, ainsi que des implications de la création d'une réserve stratégique de BTC pour la Suisse, pour les États-Unis et d'autres gouvernement.Rediffusion de l'émission du 29 avril 2025.
Aujourd'hui, plongée exceptionnelle dans les coulisses de N26 et leur stratégie crypto explosive
« La machine judiciaire s'emballe » titre du Walf Quotidien autour de l'affaire de détournement de deniers publics provenant du fond « force Covid-19 ». Cinq anciens ministres de Macky Sall et 27 autres personnes ont été arrêtés. Le journal sénégalais a suivi hier jeudi la conférence de presse du procureur général d'appel de Dakar, Mbacké Fall. La plupart de ces 27 personnes ont consigné, c'est-à-dire payé une caution pour éviter la prison. Au total, la justice sénégalaise a perçu 200 millions de francs CFA de la part de ces accusés, selon le journal. De l'argent qui reviendra à la population si certains sont reconnus coupables. Tous sont donc interpelés pour « malversations dans l'utilisation des financements spéciaux dédiés à la riposte contre le coronavirus entre 2020 et 2021 ». Le journal cite le procureur qui prévient : « d'autres arrestations suivront ». Pour le moment, toutes les personnes interpellées n'ont pas été jugées et sont donc présumées innocentes. Une présomption d'innocence que le procureur promet de « respecter, comme les droits de la défense » relève le quotidien.Pour rappel, tout ça a démarré d'un rapport de la Cour des comptes datant de fin 2022. Elle avait relevé de nombreux cas de surfacturation dans ce fonds Covid-19. Nombreuses « fautes de gestion » de ce milliard d'euros mobilisé par les bailleurs internationaux et l'État sénégalais.La capitale du Mali paralysée par une grèveBamako paralysé entre banques fermées, stations-service prises d'assaut et citoyens inquiets. La capitale malienne fait face à une importante grève depuis ce mercredi, selon la presse locale. Protestations déclenchées par le syndicat national des Banques, Assurances, Établissements Financiers, Commerces et Stations-service, le Synabef.Le journal en ligne Sahel Tribune décrit Bamako : Rideaux fermés sur toutes les « agences de toutes les grandes banques. Aucun guichet automatique opérationnel, retraits ou dépôts impossible, frustration généralisée pour les usagers (…) Dans les marchés et les petits commerces de Bamako, (...) Le blocage des opérations bancaires empêche (...) de passer des commandes, d'acheter des marchandises ou d'être payés. Le tout à la veille de pâques ». Concernant les stations-service, rapporte Sahel Tribune, certaines suivent le mouvement de grève. Comme Total Energies ou Shell. D'autres restent ouvertes et sont prises d'assaut. Enfin, de nombreuses agences d'assurances sont fermées selon le journal Bamada.Mais alors, pourquoi cette grève ? Et bien selon l'Agence France Presse, le Synabef réclame la libération de trois de ses membres arrêtés il y a un mois dans une affaire de garantie bancaire. Il exige également de meilleures conditions de travail pour ses membres. Des revendications qui ne sont pas relayées par la presse malienne.Sahel Tribune « le mouvement social, prévu pour 72 heures, devrait initialement prendre fin ce samedi 19 avril à minuit. Toutefois, le syndicat a d'ores et déjà annoncé une reconduction de 120 heures, du 22 au 26 avril, si aucune solution n'est trouvée avec les autorités ».Des déchets transformés en énergieLes déchèteries africaines pourraient-elles se transformer en mine d'or énergétique ? Le Point Gambien appelle à la reconsidération de ce problème des décharges africaines. Le journal cite une récente étude selon laquelle « dans 44 pays d'Afrique subsaharienne, que 95 % des décharges ne sont pas réglementées ». Ce qui, à terme, crée de véritables problèmes de santé publique : « En se décomposant », explique Le Point Gambien « ces décharges libèrent des gaz à effet de serre nocifs. Pourtant, l'utilisation du méthane pour produire de l'énergie, pourrait permettre au continent d'économiser des milliards de dollars. (...) Ce gaz peut être utilisé pour produire de l'électricité, alimenter des chaudières ou être transformé pour être utilisé dans des véhicules. Les décharges contrôlées sont également conçues pour empêcher les polluants de se répandre dans l'air, le sol ou les eaux souterraines ».
Les fermetures accélèrent dans les réseaux d'agences bancaires qui maillent le territoire. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Margaux Boulte et son invitée Krystèle Tachdjian révèlent les bouleversements que vit l'organisation des banques traditionnelles françaises.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Margaux Boulte. Cet épisode a été enregistré en avril 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Krystèle Tachdjian (journaliste spécialiste des banques aux « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Pascal Sittler/REA. Sons : TF1, BFM TV, CIC, Boursorama, Revolut. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.