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Dans cette nouvelle saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Les Bonanno pris au piège New York, 1980. Joseph Pistone, infiltré dans la mafia sous le nom de Donnie Brasco, joue son rôle à la perfection. Entre deals dangereux et tensions croissantes, il s'approche du sommet de la famille Bonanno. Mais pour gagner leur confiance ultime, il devra franchir une ligne qu'il s'est toujours juré de ne pas dépasser… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : protéger et servir (1/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : l'ordre et la morale (2/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : l'omerta (3/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : à la vie, à la mort (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Mary-Lou Oeconomou Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
En Guinée, après le Premier ministre Bah Oury, grand invité de RFI Afrique, hier, et après la bousculade meurtrière qui a fait au moins 56 morts dimanche dernier à Nzérékoré, place aujourd'hui au principal opposant guinéen, en exil depuis plusieurs mois. Cellou Dalein Diallo réagit aux propos du Premier ministre sur ce drame, et il s'exprime également sur l'avenir de la transition après le 31 décembre prochain. Il répond aux questions de Esdras Ndikumana. RFI : Hier, sur RFI, le Premier ministre Bah Oury a annoncé la mise en place d'un comité de crise, en plus de la commission d'enquête déjà décidée par le président Mamadi Doumbouya pour faire la lumière sur ce qui s'est passé à Nzérékoré. Qu'en pensez-vous ?Cellou Dalein Diallo : Je pense que le gouvernement a un peu paniqué parce qu'il a pris l'initiative de promouvoir la candidature de Doumbouya à la prochaine élection présidentielle, ce qui constituerait un parjure parce que le monsieur, en tant qu'officier, a juré à plusieurs reprises de ne pas prendre part aux élections qu'il organiserait pour le retour à l'ordre constitutionnel.Mais, Mamadi Doumbouya n'a jamais dit qu'il sera candidat ?Oui, mais déjà il y avait dans la charte de la transition les articles 46, 55 et 65 qui interdisaient à tous les responsables de la transition de candidater à ces élections. Evidemment, on aurait dû reprendre ces dispositions dans l'avant-projet de Constitution. Ils l'ont éliminé pour donner la possibilité à Doumbouya de se présenter. Depuis lors, il y a une vaste campagne de promotion et de justification de sa candidature et c'est dans ce cadre que le tournoi de football qui a entraîné la mort de plus de 135 personnes a été organisé. C'est toujours dans la promotion de cette candidature.Le Premier ministre a reconnu qu'il y a eu impréparation et incompétence dans l'organisation de ce tournoi. N'est-ce pas un discours de vérité qui mérite quand même d'être salué ?Quel discours de vérité ? Il faut situer l'événement dans le contexte. Il y a des concerts géants, des tournois de football, des manifestations dans les rues et sur les places publiques pour justifier et soutenir cette candidature du président de la transition.Vous dites que le pouvoir est responsable de cette catastrophe, mais vous savez bien que ce ne sont pas les autorités qui ont prémédité cette bousculade. Que répondez-vous à ceux qui vous accusent de vouloir exploiter un drame humain à des fins politiques ?Il faut chercher les causes profondes. La candidature de Doumbouya est illégale et illégitime. En tant qu'officier, il a juré devant la Cour suprême, devant le peuple de Guinée, devant la communauté internationale, de ne pas prendre part aux élections organisées pour le retour à l'ordre constitutionnel. Aujourd'hui, avec le goût du pouvoir, ils ont décidé de dispenser Doumbouya de cette obligation à laquelle lui-même il s'est engagé. Alors, en organisant justement ces manifestations grandioses et évidemment sans prendre les précautions pour garantir la sécurité des participants, donc ils sont les seuls responsables de ce qui est arrivé. Et ils doivent répondre.Le Premier ministre maintient le bilan provisoire de 56 morts. Vous avez évoqué la question du bilan, alors que le Collectif régional des organisations de défense des droits humains donne un bilan de 135 morts, mais aussi de plus de 50 disparus...Les informations que j'ai eues en téléphonant à des responsables de mon parti qui vivent là-bas font état de plus de 100 morts. Alors, il y a les organisations de la société civile qui sont à Nzérékoré et qui estiment qu'il y a 135 ou 136 morts et 50 disparus. Je crois que ça correspond à la réalité.Nous sommes le 6 décembre, il reste moins de 30 jours avant la fin de l'année, qui était initialement censée marquer le retour à l'ordre constitutionnel en Guinée. Vous et les forces vives affirmez ne plus reconnaître le CNRD à partir de cette date, est-ce que ce n'est pas annonciateur de troubles dans le pays ?Le CNRD et Mamadi Doumbouya ont librement décidé de ne pas rester un jour de plus au 31 décembre. A plusieurs reprises, ils ont passé un accord avec la Cédéao, au terme duquel ils s'engagent à rendre le pouvoir au civil le 31 décembre. Le peuple de Guinée estime qu'à partir de cette date, il n'aura « aucune légitimité », de conserver le pouvoir, et les forces vives le prennent au mot.Mais concrètement, comment est-ce que vous allez procéder pour les obliger à le faire ?Évidemment, nous allons appeler la population à sortir pour exiger le départ de la junte qui n'a aucune légitimité, qui s'est emparée du pouvoir par les armes, qui le conserve aujourd'hui par les armes et par la corruption, en utilisant les ressources publiques à cette fin.Est-ce que vous serez à côté de cette population-là ? Quand est-ce que vous y allez ?Je serai à côté. J'ai un parti, l'un des mieux organisés en Afrique, au sud du Sahara. L'UFDG sera là, l'Anad sera là, les forces vives de Guinée seront là et c'est la population qui mène son combat pour l'exercice plein et entier de ses droits et de ses libertés.
L'hiver s'est confortablement installé dans la vallée, mais pas question pour autant de lambiner toute la journée devant la cheminée. Aujourd'hui, Théo et Zora ont décidé de décorer les portes du refuge avec des couronnes végétales. Du coup, cet après-midi, c'est chasse aux feuilles mortes, pommes de pin et branches de houx. Crédits : cette p'tite histoire a été écrite par Andorys. Racontée par Karine Texier et Arnaud Guillou. Mix : Studio Module. Générique : Léa Chevrier. Become a member at https://plus.acast.com/s/les-ptites-histoires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette nouvelle saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Nom de code, “Donny Brasco” 1970, Joseph Pistone infiltre la famille Bonanno sous le nom de Donnie Brasco. Entre des rencontres périlleuses et une tension constante, il s'immerge dans l'univers impitoyable de la mafia italienne. En suivant Lefty Ruggiero, il découvre les codes, les jeux de pouvoir et les risques d'une infiltration où chaque faux pas peut être fatal. Une mission sous haute tension, au cœur du crime organisé new-yorkais… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : protéger et servir (1/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : l'ordre et la morale (2/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : l'omerta (3/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : à la vie, à la mort (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Mary-Lou Oeconomou Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Cette soirée de censure du 4 décembre 2024 rentrera dans les annales de l'histoire politique française, avec notamment cette statistique implacable pour Michel Barnier... Il est le Premier Ministre le plus éphémère de la 5e République : 3 mois seulement à la tête de Matignon. Mais qui détient le record inverse, le record de longévité ? Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête.
En Guinée Conakry, c'est la première interview d'une autorité depuis la bousculade meurtrière qui a fait au moins 56 morts dimanche dernier à Nzérékoré. Ce matin, le Premier ministre Bah Oury s'exprime sur RFI. Il n'exclut pas un bilan plus lourd que les 56 morts annoncés officiellement. Et il annonce que, désormais, le nom du président de la transition, Mamadi Doumbouya, ne sera plus associé à une manifestation sportive, quelle qu'elle soit. Le Premier ministre Bah Oury, qui rentre de Nzérékoré et qui vient de présider un comité de crise à Conakry, répond en exclusivité aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous rentrez de Nzérékoré, qu'est-ce qui s'est passé pour qu'on en arrive à cette bousculade meurtrière ? Bah Oury : Vous savez, on ne peut pas dire exactement les circonstances qui ont amené à cela, mais il y a eu un arbitrage qui n'était pas du tout adéquat, qui a amené des frustrations et des colères. Et c'était un début d'un engrenage tragique. Et en plus dans un stade qui n'est pas aux normes, qui n'a qu'une seule ouverture. Et ça a tourné à cette tragédie macabre que nous déplorons.Est-ce que vous confirmez que l'un des deux ministres présents au match a voulu annuler la décision de l'arbitre sur ce carton rouge ? Bon, dans le contexte actuel, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, a mis en place une commission d'enquête qui passera en revue tous les aspects du match pour situer les responsabilités.Je crois qu'il y avait deux ministres, c'est ça ? Dans les gradins ?C'est vrai, il y avait deux ministres, celui de l'Agriculture et celui des Sports.Est-ce que ces deux ministres ont été empêchés de quitter les lieux ? Et est-ce la raison pour laquelle les forces de l'ordre ont tiré des gaz lacrymogènes sur les supporteurs ? Je ne pense pas, mais les enquêtes nous permettront de nous édifier sur tout cela.Mais pourquoi les forces de sécurité ont-elles tiré des gaz lacrymogènes sur les supporteurs dans un endroit fermé ? C'est très dangereux…Vous savez, c'est tout à fait vrai ce que vous dites. Mais la bêtise humaine, la fatalité, parfois l'incompétence dans une ambiance de surexcitation et aussi d'impréparation… La mal gouvernance, elle est globale. C'est la raison pour laquelle le comité de crise qui a été institué s'est retrouvé tout à l'heure et il a été indiqué, premièrement, de ne plus utiliser, sauf accord formel, le nom et l'image du président de la République dans l'organisation de quelques activités sportives, quelles qu'elles soient. Deuxièmement, que toute manifestation, qu'elle soit festive ou autre, doit être dument encadrée. Et le dernier point, la commission d'enquête est totalement responsable et en toute indépendance pour mener les enquêtes aujourd'hui.Et si des responsabilités sont établies au niveau des autorités de Nzérékoré ou au niveau des autorités nationales, est-ce que ces personnes responsables seront traduites en justice ? Bien entendu, puisque l'intérêt de la commission d'enquête, c'est d'avoir la vérité sur cette affaire.Alors la vérité, c'est d'abord le bilan des victimes. Quel est le bilan des morts ? Bon, c'est vrai qu'il y a eu des personnes qui ont été amenées dans les hôpitaux et selon les sources hospitalières, il y a 56 morts, nous sommes à ce niveau-là. Toutefois, il faut que des enquêtes nous permettent de savoir : est-ce qu'il y a eu des personnes blessées ou mortes qui ont été soustraites du circuit des hôpitaux et qui pourraient se retrouver parmi le lot des victimes ? Quoi qu'il en soit, le gouvernement guinéen, à tous les niveaux, est soucieux d'avoir une idée claire de l'arithmétique des personnes qui sont décédées. Nulle intention de sous-estimer ou de surévaluer le nombre de morts.Le Collectif des organisations de défense des droits humains de la région de Nzérékoré a estimé le bilan à 135 morts. C'est un bilan qui vous paraît crédible ? Je pense qu'il est trop tôt pour se prononcer. Mais quoi qu'il en soit, on est tout à fait attentif à se dire qu'il y a eu trop de morts.Alors le match de dimanche dernier, c'était la finale d'un tournoi de football doté du trophée Mamadi Doumbouya, du nom du président de la transition. Est-ce que vous ne craignez pas que le drame de dimanche dernier ne casse la dynamique dont essayait de bénéficier le président de la transition ? C'est la raison pour laquelle, tout à l'heure, au niveau du comité de crise, il a été interdit de manière formelle d'utiliser le nom et l'image du président de la République dans le cadre d'activités qui n'auraient pas eu une autorisation formelle des services de la présidence.Et si, par exemple, il avait l'intention de se porter candidat [à la prochaine présidentielle], ça ne le fera pas changer d'avis ?Je pense que les deux sujets sont totalement différents. Il n'y a pas de lien de causalité entre la situation tragique qui s'est passée dimanche dernier à Nzérékoré et la façon du président de la République de penser sa mission et sa charge vis-à-vis du peuple de Guinée.
C dans l'air du 4 décembre - Barnier chute, Macron au pied du mur...Les deux motions de censure déposées contre le gouvernement de Michel Barnier vont être débattues à partir de 16 heures à l'Assemblée nationale, et sa chute ce soir est quasiment certaine. Les dernières déclarations du RN ne laissent aucune place au doute. Les députés du parti d'extrême droite vont renverser le gouvernement en votant le texte du Nouveau Front Populaire.Et si officiellement, Michel Barnier est toujours Premier ministre et a jugé hier soir "possible" que son gouvernement ne soit pas censuré, dans les coulisses, le camp présidentiel phosphore déjà sur l'après. Depuis l'Arabie Saoudite, Emmanuel Macron a affirmé mardi qu'il ne pouvait "pas croire" au vote de la censure mais en réalité le président de la République a déjà commencé à lui chercher un successeur. Des noms sont testés, des candidats sont en campagne alors que dans les travées de l'Assemblée nationale le camp présidentiel remet en avant l'idée de former une grande coalition. Ainsi Gabriel Attal a écrit une lettre aux groupes parlementaires de droite et de gauche, en excluant le RN et LFI. Dans sa missive, il détaille le "pacte d'action" dont les grandes lignes avaient été dévoilées en juillet et qui vont du redressement des comptes publics au pouvoir d'achat en passant par la défense de la laïcité ou le soutien aux agriculteurs."Il n'y a aucune remise en cause de la politique menée et j'ai du mal à voir du consensus sur ce texte. On dirait que pour Gabriel Attal, c'est toujours son camp qui doit gouverner", a estimé le député socialiste Arthur Delaporte. Depuis plusieurs jours, les socialistes qui ne citent plus Lucie Castets comme Première ministre, réclament "un Premier ministre partageant les valeurs de la gauche sur les chantiers prioritaires du Nouveau Front populaire" et jugent, à l'instar du chef des députés PS Boris Vallaud, que "la question des conditions d'une non-censure" avec les autres groupes doit être posée. Mais si la succession de Michel Barnier ressuscite l'option Bernard Cazeneuve, qui avait beaucoup circulé durant l'été dernier, l'hypothèse, comme l'été dernier, n'emballe pas le patron du Parti socialiste. "Bernard Cazeneuve est un homme de gauche, mais il n'a soutenu ni Raphaël Glucksmann aux élections européennes ni le NFP aux législatives. Il ne s'est jamais exprimé sur ce qu'il voudrait faire s'il arrivait à la tête du gouvernement", a rappelé Olivier Faure, qui juge "paradoxal de nommer quelqu'un au nom d'une victoire, celle du NFP, à laquelle il n'a pas voulu contribuer". Le Premier secrétaire du PS a également justifié, dans un entretien au Monde, la décision de voter la motion de censure, soulignant la responsabilité d'Emmanuel Macron dans la crise politique, tout en rejetant les appels à la démission du chef de l'Etat lancés notamment par La France insoumise. Sur ce point, avec LFI, "il y a une divergence fondamentale sur ce que nous voulons faire" a -t-il affirmé.De retour au fort de Brégançon, le chef de l'Etat dont la popularité est au plus bas dans les sondages, consulte après avoir répondu mardi à ceux qui appellent à sa démission qu'il sera président "jusqu'à la dernière seconde". Les experts : - Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN)- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- Soazig QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche- Lou FRITEL - Journaliste politique – Paris Match PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.fr
Dans cette nouvelle saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Immersion dans la mafia New Yorkais Dans le New York des années 70, rongé par la mafia, un homme va tout risquer pour faire tomber l'empire du crime organisé. Sous le nom de Donnie Brasco, l'agent du FBI Joseph Pistone infiltre la famille Bonanno, nouant des liens avec le dangereux Lefty Ruggiero. Entre faux-semblants et dangers constants, il joue une partie où la moindre erreur peut être fatale. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : protéger et servir (1/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : l'ordre et la morale (2/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : l'omerta (3/4) [INEDIT] Frank Serpico, une vie à combattre la corruption : à la vie, à la mort (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Mary-Lou Oeconomou Production : Bababam Voix : Andréa Brusque Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:00 - Le vrai ou faux - Le Premier ministre Michel Barnier a prévenu des conséquences du vote éventuel d'une motion de censure à son encontre mercredi 4 décembre à l'Assemblée. Selon lui, l'une de ces conséquences est la hausse des impôts de 18 millions de Français.
Après le dépôt des motions de censure de la gauche et du RN, Le Premier ministre s'est exprimé aux 20h de France 2 et TF1. Écoutez l'analyse de Philippe Moreau-Chevrolet, spécialiste de la communication politique, professeur à Sciences Po et Senior partner chez Iconic. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 04 décembre 2024.
Dans cette édition :Le Premier ministre français fait appel à l'opposition pour faire preuve de responsabilité face aux deux motions de censure qui visent son gouvernement, soulignant les risques économiques d'une chute du gouvernement.Le président français Emmanuel Macron s'exprime sur la censure probable du gouvernement Barnier, fruit selon lui du cynisme du Rassemblement National et de la perte de repère du Parti Socialiste, tout en rassurant sur les risques d'une potentielle crise financière.En Corée du Sud, le président Yoon Suk-yeol est fragilisé après avoir proclamé la loi martiale, une décision qui a été rejetée par le Parlement et qui pourrait mener à sa destitution.Une entreprise landaise, Bastia-Siège, est fière d'avoir produit exclusivement le mobilier de la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui sera inaugurée dans quelques jours.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition : Le Premier ministre Michel Barnier fait face à deux motions de censure déposées par le Rassemblement National et la gauche, qui pourraient entraîner la chute de son gouvernement.Les conséquences budgétaires d'une éventuelle censure sont analysées, avec notamment l'abandon du projet de budget 2025 prévoyant 40 milliards d'euros de taxes supplémentaires.Le président de la République Emmanuel Macron s'exprime sur la crise politique et écarte l'hypothèse d'une démission, tout en se disant sceptique sur l'alliance entre la gauche et le Rassemblement National.Une journée d'action est prévue le lendemain par les syndicats de la fonction publique, avec des perturbations attendues dans les hôpitaux, les administrations et le trafic aérien.Une nouvelle méthode d'apprentissage des mathématiques, testée avec succès auprès de 1000 élèves de maternelle, est présentée en exclusivité.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Plusieurs dizaines de rassemblements d'agents de la fonction publique sont prévus en France jeudi à l'appel des syndicats. Le mouvement sera très suivi dans l'éducation nationale, poussant les parents à devoir s'organiser pour faire garder leurs enfants.
Après le dépôt des motions de censure de la gauche et du RN, Le Premier ministre s'est exprimé aux 20h de France 2 et TF1. Écoutez l'analyse de Philippe Moreau-Chevrolet, spécialiste de la communication politique, professeur à Sciences Po et Senior partner chez Iconic. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 04 décembre 2024.
Dans cette édition :Le Premier ministre français fait appel à l'opposition pour faire preuve de responsabilité face aux deux motions de censure qui visent son gouvernement, soulignant les risques économiques d'une chute du gouvernement.Le président français Emmanuel Macron s'exprime sur la censure probable du gouvernement Barnier, fruit selon lui du cynisme du Rassemblement National et de la perte de repère du Parti Socialiste, tout en rassurant sur les risques d'une potentielle crise financière.En Corée du Sud, le président Yoon Suk-yeol est fragilisé après avoir proclamé la loi martiale, une décision qui a été rejetée par le Parlement et qui pourrait mener à sa destitution.Une entreprise landaise, Bastia-Siège, est fière d'avoir produit exclusivement le mobilier de la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui sera inaugurée dans quelques jours.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition : Le Premier ministre Michel Barnier fait face à deux motions de censure déposées par le Rassemblement National et la gauche, qui pourraient entraîner la chute de son gouvernement.Les conséquences budgétaires d'une éventuelle censure sont analysées, avec notamment l'abandon du projet de budget 2025 prévoyant 40 milliards d'euros de taxes supplémentaires.Le président de la République Emmanuel Macron s'exprime sur la crise politique et écarte l'hypothèse d'une démission, tout en se disant sceptique sur l'alliance entre la gauche et le Rassemblement National.Une journée d'action est prévue le lendemain par les syndicats de la fonction publique, avec des perturbations attendues dans les hôpitaux, les administrations et le trafic aérien.Une nouvelle méthode d'apprentissage des mathématiques, testée avec succès auprès de 1000 élèves de maternelle, est présentée en exclusivité.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Plusieurs dizaines de rassemblements d'agents de la fonction publique sont prévus en France jeudi à l'appel des syndicats. Le mouvement sera très suivi dans l'éducation nationale, poussant les parents à devoir s'organiser pour faire garder leurs enfants.
Le gouvernement de Michel Barnier devrait vraisemblablement tomber sous le coup d'une motion de censure qui devrait être adoptée grâce aux voix du Rassemblement National et de la gauche. Emmanuel Macron anticipe déjà l'après-Barnier, et plusieurs noms circulent pour le poste de Premier ministre. Roselyne Febvre en parle avec David Revault-d'Allonnes et Pierre Jacquemain.
Le Premier ministre Michel Barnier a tenté jusqu'au bout de jouer sa carte et d'échapper à la censure. Il connaîtra son sort en début de soirée ce mercredi. S'il devait partir, quel scénario pour le budget ? La France se retrouvera-t-elle dans une situation de "shutdown" ? Risque-t-on réellement une tempête financière ? Décryptage.
Dans cette édition : Le Premier ministre Michel Barnier fait face à deux motions de censure déposées par le Rassemblement National et la gauche, qui pourraient entraîner la chute de son gouvernement.Les conséquences budgétaires d'une éventuelle censure sont analysées, avec notamment l'abandon du projet de budget 2025 prévoyant 40 milliards d'euros de taxes supplémentaires.Le président de la République Emmanuel Macron s'exprime sur la crise politique et écarte l'hypothèse d'une démission, tout en se disant sceptique sur l'alliance entre la gauche et le Rassemblement National.Une journée d'action est prévue le lendemain par les syndicats de la fonction publique, avec des perturbations attendues dans les hôpitaux, les administrations et le trafic aérien.Une nouvelle méthode d'apprentissage des mathématiques, testée avec succès auprès de 1000 élèves de maternelle, est présentée en exclusivité.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Le Premier ministre Michel Barnier s'exprimera ce mardi soir sur TF1 et France 2, dans l'attente d'une censure presque inéluctable. Les députés RN devraient voter la motion déposée par la gauche.
C dans l'air du 3 décembre - Barnier sur le départ... et maintenant on fait quoi ?Evoqué depuis des semaines, le scénario d'une chute du gouvernement se précise depuis que le Premier ministre a actionné lundi l'article 49.3 de la Constitution, engageant la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi de la Sécurité sociale. Dans la foulée, le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national ont déposé une motion de censure. Elles seront examinées à partir de ce mercredi 16 heures à l'Assemblée nationale. En attendant, l'entourage du Premier ministre accuse "la garde rapprochée de Marine Le Pen" d'avoir "refusé à trois reprises une rencontre à Matignon". Il est "étonnant de voir le RN dire qu'ils ont été reçus trop tardivement", a fustigé l'entourage de Michel Barnier auprès de médias, dont franceinfo, mardi matin alors qu'au sein du gouvernement le ministre de l'Intérieur a appelé Marine Le Pen " à la responsabilité". "On risque un chaos, on risque la crise financière (...) On a une partie de la classe politique qui joue à la roulette russe", a notamment affirmé Bruno Retailleau. Le Premier ministre a annoncé qu'il interviendrait ce mardi lors du 20 heures de TF1 et de France 2.Pour faire chuter le gouvernement, 288 députés devront voter la censure. Mercredi, la motion de la gauche sera discutée en premier. Sauf rebondissements de dernières minutes, elle devrait être adoptée, le RN ayant dit qu'il la voterait. Le parti de Marine Le Pen, malgré quelques concessions de l'exécutif, votera la censure avec l'ambition de mettre au tapis le gouvernement Barnier. Mais pour la suite c'est le grand flou, sur les finances, sur la succession à Matignon et sur l'avenir du quinquennat Macron. Une situation scrutée par les marchés et qui inquiète les acteurs économiques, alors que sur le front de l'économie les plans sociaux se multiplient. Auchan, Michelin, Valeo, Vencorex, Don Bosco, Saunier Duval… … Annoncée depuis plusieurs mois, la vague de défaillances d'entreprises et des licenciements est bel et bien là. Le Conseil national des administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires indique que "le volume des défaillances devrait probablement atteindre à la fin de l'année 2024, le seuil des 65 000 entreprises ". Plus de 160 000 emplois seraient touchés à court et moyen terme par ces défaillances. Un chiffre spectaculaire, mais qui a augmenté moins vite que le nombre de faillites, en hausse de 20 % par rapport à 2023 dont de nombreuses PME. Dans ce contexte, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet, a alerté, fin novembre sur une "accélération très forte de la dégradation de la situation" en matière de plans sociaux, et a appelé à des mobilisations devant usines et préfectures le 12 décembre prochain. D'ici là, ce jeudi, sera organisée une journée nationale de grève dans la fonction publique pour faire barrage au 1,2 milliard d'euros d'économies, prévues dans l'administration par le gouvernement pour le budget 2025.Quels sont les scénarios sur la table ? Que va faire Emmanuel Macron alors que des appels à sa démission sont d'ores et déjà lancés ? A quoi faut-il s'attendre en matière économique et sociale ? Enfin quels regards portent les Français sur l'état de la société et la situation politique actuelle ? Pour la douzième année consécutive, l'Ipsos vient de publier l'enquête Fractures françaises, pour le Monde, le Cevipof, la Fondation Jean-Jaurès et l'Institut Montaigne. Après une année politique très mouvementée, cette grande étude témoigne d'une défiance toujours plus forte des Français envers la classe politique dans un climat social qui demeure difficile. Ainsi 55 % des Français déclarent rencontrer des difficultés à subvenir aux dépenses courantes de leur foyer. Sans surprise la préoccupation pour le pouvoir d'achat reste de loin la plus citée par les Français (38%). Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SCHUCK - Grand reporter - Le Point, auteure de Les naufrageurs - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Anne-Charlène BEZZINA - Politologue et constitutionnaliste, maître de conférences en droit public, auteure de Cette constitution qui nous protègePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mardi 3 décembre 2024, Emmanuel Macron est en visite officielle en Arabie Saoudite, un des plus gros producteurs de pétrole au monde. Où et quand a eu lieu le tout premier forage pétrolier de l'histoire ? Et qui a été le premier à exploiter le fameux "or noir" ? Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête.
durée : 00:21:41 - Face à la menace des motions de censure, le Premier ministre va s'exprimer
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Le Premier ministre Michel Barnier s'exprimera ce mardi soir sur TF1 et France 2, dans l'attente d'une censure presque inéluctable. Les députés RN devraient voter la motion déposée par la gauche.
durée : 00:14:28 - Journal de 7 h - Si l'une des deux motions de censure est votée, et ce devrait être le cas, le gouvernement de Michel Barnier vit ces derniers jours.
durée : 00:14:55 - Journal de 8 h - Le Premier ministre Michel Barnier s'exprimera ce mardi soir sur TF1 et France 2, dans l'attente d'une censure presque inéluctable. Les députés RN devraient voter la motion déposée par la gauche.
Dans cette édition :Emmanuel Macron s'exprime depuis l'Arabie Saoudite sur la crise politique en France, écartant toute démission et s'inquiétant des risques de censure du gouvernement Barnier.Le Premier ministre Michel Barnier tente de convaincre le Rassemblement National et le Parti Socialiste de ne pas voter la motion de censure prévue le lendemain.Les conséquences d'une éventuelle censure du gouvernement sont détaillées, avec notamment le risque de reconduction du budget 2024 et ses impacts sur les actifs, les agriculteurs et l'immobilier.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau annonce avoir saisi la justice pour apologie du terrorisme concernant un jeu vidéo.La situation est également explosive en Corée du Sud où le président a proclamé la loi martiale.Donald Trump confirme sa présence à Paris pour la réouverture de Notre-Dame, grâce notamment à la mobilisation des forestiers ayant fourni du bois pour la reconstruction.L'Académie de médecine met en garde contre les séances d'ostéopathie pour les nourrissons, jugeant les bénéfices insuffisamment prouvés.Un partenariat bilatéral est en discussion entre le British Museum et la Grèce concernant le retour des frises du Parthénon.La météo prévoit une journée grise et fraîche sur une large partie nord du pays, avec quelques flocons possibles, avant le retour de la pluie jeudi.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Le Premier ministre Michel Barnier engage la responsabilité de son gouvernement sur le budget de la Sécurité sociale, déclenchant deux motions de censure de l'opposition.Les syndicats français de Stellantis s'inquiètent pour l'avenir de l'usine de Poissy, qui ne dispose que de deux ans de production garantie.Au Proche-Orient, la situation reste tendue avec des bombardements israéliens au Liban et une offensive rebelle en Syrie.La restauration des vitraux de Notre-Dame de Paris mobilise de jeunes artisans et met en lumière les métiers de la restauration.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:14:28 - Journal de 7 h - Si l'une des deux motions de censure est votée, et ce devrait être le cas, le gouvernement de Michel Barnier vit ces derniers jours.
Dans cette édition :Le Premier ministre Michel Barnier engage la responsabilité de son gouvernement sur le budget de la Sécurité sociale, déclenchant deux motions de censure de l'opposition.Les syndicats français de Stellantis s'inquiètent pour l'avenir de l'usine de Poissy, qui ne dispose que de deux ans de production garantie.Au Proche-Orient, la situation reste tendue avec des bombardements israéliens au Liban et une offensive rebelle en Syrie.La restauration des vitraux de Notre-Dame de Paris mobilise de jeunes artisans et met en lumière les métiers de la restauration.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Emmanuel Macron s'exprime depuis l'Arabie Saoudite sur la crise politique en France, écartant toute démission et s'inquiétant des risques de censure du gouvernement Barnier.Le Premier ministre Michel Barnier tente de convaincre le Rassemblement National et le Parti Socialiste de ne pas voter la motion de censure prévue le lendemain.Les conséquences d'une éventuelle censure du gouvernement sont détaillées, avec notamment le risque de reconduction du budget 2024 et ses impacts sur les actifs, les agriculteurs et l'immobilier.Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau annonce avoir saisi la justice pour apologie du terrorisme concernant un jeu vidéo.La situation est également explosive en Corée du Sud où le président a proclamé la loi martiale.Donald Trump confirme sa présence à Paris pour la réouverture de Notre-Dame, grâce notamment à la mobilisation des forestiers ayant fourni du bois pour la reconstruction.L'Académie de médecine met en garde contre les séances d'ostéopathie pour les nourrissons, jugeant les bénéfices insuffisamment prouvés.Un partenariat bilatéral est en discussion entre le British Museum et la Grèce concernant le retour des frises du Parthénon.La météo prévoit une journée grise et fraîche sur une large partie nord du pays, avec quelques flocons possibles, avant le retour de la pluie jeudi.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:19:52 - Journal de 18h - Nouvelle étape dans la crise politique française. Le Premier ministre déclenche le 49.3, la gauche et le Rassemblement national déposent deux motions de censure. Et la chute du gouvernement semble inéluctable d'un point de vue arithmétique, car le RN est prêt à voter les deux textes.
Le gouvernement de Michel Barnier vit, à priori, ses derniers jours. Le Premier ministre a dégainé l'article 49.3 sur le projet de loi de finances de la Sécurité sociale pour éviter un vote. Marine Le Pen a confirmé que le groupe RN déposera sa propre motion de censure et votera celle de la gauche. La gauche, elle, ayant affirmé au préalable qu'elle voterait une motion de censure. Moins de 90 jours après son installation à Matignon, le gouvernement Barnier devrait chuter cette semaine.
durée : 00:19:52 - Journal de 18h - Nouvelle étape dans la crise politique française. Le Premier ministre déclenche le 49.3, la gauche et le Rassemblement national déposent deux motions de censure. Et la chute du gouvernement semble inéluctable d'un point de vue arithmétique, car le RN est prêt à voter les deux textes.
Dans cette édition : Le Premier ministre Michel Barnier a déclenché l'article 49-3 de la Constitution pour faire passer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, faute de majorité à l'Assemblée nationale, ce qui a entraîné le dépôt de deux motions de censure par la gauche et le Rassemblement National.L'imam de la mosquée de Montmagny, Sidiq Mohamed, a été expulsé vers le Pakistan après avoir été retrouvé en Allemagne, où il se cachait sous le coup d'une OQTF pour avoir prêché le djihad.Sur le plan économique, le PDG de Stellantis, Carlos Tavares, a été remercié par le conseil d'administration après 10 ans à la tête du groupe automobile, tandis que Bernard Arnault a été élu à l'Académie des sciences morales et politiques.La situation météorologique du lendemain s'annonce mitigée, avec de nombreux nuages mais peu de pluie, avant l'arrivée d'une nouvelle perturbation.Enfin, l'enquête sur la disparition de la collégienne bretonne Morgane se poursuit, avec de nouvelles pistes envisagées par le procureur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le Premier ministre Michel Barnier engage par le 49.3 la responsabilité du gouvernement, lundi 2 décembre. "Les Français ne nous pardonneraient pas de préférer les intérêts particuliers à l'avenir de la Nation", a-t-il affirmé. "Chacun doit prendre ses responsabilités", je prends les miennes, a-t-il ajouté.
Le premier ministre français dans la tourmente après la menace d'une motion de censure qui pourrait être déposée lundi. Quelles sont les options de Barnier alors que son gouvernement est menacé d'une motion de censure ? Doit-il encore céder aux exigences du RN pour tenter de sauver ce qui peut l'être ? Une alliance du RN avec la gauche pour renverser le gouvernement est-elle plausible ? On en parle avec Pierre MATHIOT, politologue et professeur de sciences politiques à l'Université de Lille. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Dans cette édition : Le Premier ministre Michel Barnier a déclenché l'article 49-3 de la Constitution pour faire passer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, faute de majorité à l'Assemblée nationale, ce qui a entraîné le dépôt de deux motions de censure par la gauche et le Rassemblement National.L'imam de la mosquée de Montmagny, Sidiq Mohamed, a été expulsé vers le Pakistan après avoir été retrouvé en Allemagne, où il se cachait sous le coup d'une OQTF pour avoir prêché le djihad.Sur le plan économique, le PDG de Stellantis, Carlos Tavares, a été remercié par le conseil d'administration après 10 ans à la tête du groupe automobile, tandis que Bernard Arnault a été élu à l'Académie des sciences morales et politiques.La situation météorologique du lendemain s'annonce mitigée, avec de nombreux nuages mais peu de pluie, avant l'arrivée d'une nouvelle perturbation.Enfin, l'enquête sur la disparition de la collégienne bretonne Morgane se poursuit, avec de nouvelles pistes envisagées par le procureur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Le Premier secrétaire du Parti socialiste, député de Seine-et-Marne, était interrogé par Olivier Bost (RTL), Perrine Tarneaud (Public Sénat), Pauline Buisson (M6) et Carl Meeus (Le Figaro). Ecoutez Le Grand Jury avec Olivier Bost du 01 décembre 2024.
C dans l'air du 30 novembre - Barnier : le compte à rebours est lancéLa tension monte à Matignon. Menacé de censure par le Rassemblement national, Michel Barnier multiplie les concessions politiques. Le Premier ministre a annoncé qu'il n'allait pas augmenter les taxes sur l'électricité, comme prévu initialement dans le projet de budget 2025. Selon lui cette concession entraînera une "baisse des prix de l'électricité de 14 %, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9 % prévue initialement". La présidente du RN à l'Assemblée nationale avait fait de ce sujet la ligne rouge à ne pas dépasser. "C'est un début prometteur", a réagi son entourage auprès du journal Les Échos. Mais cela sera-t-il suffisant pour éviter la censure ? Jeudi, à quelques jours du retour du projet de loi de financement de la sécurité sociale à l'Assemblée, le RN a listé ses exigences : le maintien des allégements de charges pour les TPE-PME, l'indexation des pensions sur l'inflation pour tous les retraités au 1er janvier ainsi que la fin du déremboursement des médicaments.À l'opposé de l'hémicycle, les Insoumis se sont fait prendre à leur propre jeu. Lors de leur niche parlementaire ce jeudi, ils avaient prévu de faire voter un texte pour l'abrogation de la réforme des retraites. Mais La droite et les macronistes ont déposé plus de 1000 amendements pour obstruer les débats : "Ils veulent faire vivre le débat, on va faire vivre le débat", avait ironisé le député LR de la Manche Philippe Gosselin. Trois mois après la nomination de Michel Barnier par Emmanuel Macron, l'Assemblée nationale est plus clivée et chaotique que jamais, en témoigne l'altercation qui a éclaté jeudi entre plusieurs députés. Face à ce sentiment de blocage politique, les regards sont de plus en plus tournés vers le chef de l'État : en cas de censure du gouvernement, ils sont plusieurs, de Jean-Luc Mélenchon à Jean-François Copé en passant par Charles de Courcon à suggérer qu'Emmanuel Macron démissionne.Si la panique est palpable à Matignon, à Beauvau, Bruno Retailleau trace son chemin. Le très droitier ministre de l'Intérieur multiplie les déplacements sur les thèmes du narcotrafic et de la lutte contre l'immigration clandestine, comme à Calais ce vendredi. En deux mois, ce catholique conservateur, ancien disciple de Philippe de Villiers, bras droit de François Fillon et proche de Patrick Stefanini, a réussi à imprimer sa marque au ministère de l'Intérieur. Quitte à froisser l'Élysée en choisissant ses propres chefs de la police et de la gendarmerie, au détriment des suggestions de son prédécesseur. L'ancien président du groupe LR au Sénat a aussi multiplié les déclarations chocs en interview, expliquant sur LCI que "l'immigration n'est pas une chance". Malgré les vifs débats et revers (Aide médicale d'État), autour de la dernière loi immigration, Bruno Retailleau envisage déjà un nouveau texte pour 2025, afin d'y remettre les amendements censurés par le Conseil d'État. Il avait d'ailleurs prévenu dans un entretien au JDD : "l'État de droit n'est pas intangible ni sacré".En attendant de voir à quoi ressemblera l'Assemblée dans les prochaines semaines, les députés continuent d'arpenter leurs circonscriptions pour recueillir les impressions de leurs électeurs. Chez LFI et le RN, la plupart souhaite tourner la page Michel Barnier. Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, c'est aussi le cas de plus d'un Français sur deux (53%). Une équipe de C dans l'air a suivi un député RN de l'Eure et une autre LFI en Seine-Saint-Denis pour observer leur travail de terrain.Michel Barnier peut-il encore éviter la censure ? Bruno Retailleau peut-il être un candidat à sa succession ? Et comment les députés d'opposition préparent déjà l'après ?Les experts : - Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions- Myriam ENCAOUA - Journaliste-Présentatrice- LCP- Christelle BERTRAND - Journaliste politique Groupe La Dépêche, auteure de "La Macronie"PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Le Premier ministre israélien a été clair : le cessez-le-feu au Liban va lui permettre de se concentrer sur l'Iran, et sur la Syrie par laquelle passe l'armement du Hezbollah. Mais la vraie question est celle du nucléaire iranien et de l'attitude de Donald Trump à partir du 20 janvier.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Le Premier ministre israélien a été clair : le cessez-le-feu au Liban va lui permettre de se concentrer sur l'Iran, et sur la Syrie par laquelle passe l'armement du Hezbollah. Mais la vraie question est celle du nucléaire iranien et de l'attitude de Donald Trump à partir du 20 janvier.
Le Premier ministre Michel Barnier charge le politologue Pascal Perrineau d'une mission sur la question de la proportionnelle dont les conclusions seront rendues au Printemps. Son dernier livre, "Le goût de la politique", a obtenu le prix du livre politique 2024, chez Odile Jacob. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 29 novembre 2024.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.
Le Premier ministre est victime de deepfakes, de fausses annonces chocs, répandues sur les réseaux sociaux. Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 29 novembre 2024.
Le Premier ministre Michel Barnier charge le politologue Pascal Perrineau d'une mission sur la question de la proportionnelle dont les conclusions seront rendues au Printemps. Son dernier livre, "Le goût de la politique", a obtenu le prix du livre politique 2024, chez Odile Jacob. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 29 novembre 2024.
Face au risque de censure, Michel Barnier renonce à la hausse de la taxe sur l'électricité, prévue dans le budget 2025. Une réponse à une ligne rouge qu'avait fixé Marine Le Pen. Le RN salue une "victoire", mais maintient la pression. Le Premier ministre va-t-il céder sur d'autres mesures, afin d'éviter la censure qui menace dès la semaine prochaine sur le budget de la Sécurité sociale ?
durée : 00:20:19 - Journal de 18h - Le Premier ministre renonce à augmenter les taxes sur l'électricité, une mesure qui permettra une baisse de 14% des factures l'an prochain. C'est exactement ce que lui demandait le RN qui continue malgré tout à faire planer la menace de voter la censure avec la gauche.
durée : 00:02:07 - Le vrai ou faux - Le Premier ministre Michel Barnier veut demander à ses prédécesseurs de faire un "effort" pour réduire les dépenses de l'État. Ces derniers bénéficient de plusieurs avantages.