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Le premier qui se plaint à perdu by Rav David Touitou
Dans cette édition :Des orages violents ont traversé la France cette nuit, causant de nombreux dégâts et faisant deux morts dans certains départements.Les 32 pays membres de l'OTAN se sont accordés sur un objectif de dépenses de sécurité et de défense à 5% de leur PIB d'ici 2032, sous la pression des États-Unis.Le meurtrier du médecin militaire Alban Gervaise a été jugé pénalement irresponsable, ce qui soulève de nombreuses interrogations.Les obsèques de l'ancien joueur et dirigeant historique de l'Olympique Lyonnais, Bernard Lacombe, ont eu lieu dans un contexte d'inquiétude pour l'avenir du club relégué en Ligue 2.Le Premier ministre François Bayrou tiendra une conférence de presse cet après-midi pour dévoiler les dernières conclusions du conclave sur la réforme des retraites.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des orages violents ont traversé la France cette nuit, causant de nombreux dégâts et faisant deux morts dans certains départements.Les 32 pays membres de l'OTAN se sont accordés sur un objectif de dépenses de sécurité et de défense à 5% de leur PIB d'ici 2032, sous la pression des États-Unis.Le meurtrier du médecin militaire Alban Gervaise a été jugé pénalement irresponsable, ce qui soulève de nombreuses interrogations.Les obsèques de l'ancien joueur et dirigeant historique de l'Olympique Lyonnais, Bernard Lacombe, ont eu lieu dans un contexte d'inquiétude pour l'avenir du club relégué en Ligue 2.Le Premier ministre François Bayrou tiendra une conférence de presse cet après-midi pour dévoiler les dernières conclusions du conclave sur la réforme des retraites.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le Premier ministre cherche une "voie de passage" après l'échec du conclave social sur les retraites. Les syndicats dénoncent le blocage du patronat sur la pénibilité. Une motion de censure a été déposée à l'Assemblée.
durée : 00:02:29 - La politique avec - Le Premier ministre François Bayrou multiplie les initiatives pour rassembler sa majorité, mais le socle commun continue de se fissurer. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:14:20 - Journal de 7 h - Le Premier ministre va prendre la parole dans une minute.
Dans une interview accordée à plusieurs médias haïtiens, Fritz Jean, le président du Conseil présidentiel de transition (CPT), dresse un «constat alarmant» sur la situation du pays. Entre manque de coordination, blocages administratifs, inertie étatique et pressions d'acteurs puissants mus par des intérêts inavoués, il expose l'impuissance criante d'«un pouvoir de transition guetté par le désespoir», rapporte notre confrère Gotson Pierre, directeur d'Alterpresse. Dans cet entretien, Fritz Jean accuse notamment des responsables, y compris au sein de l'État, d'avoir «collaboré ou fermé les yeux sur les agissements des gangs». Au sujet du processus de révision constitutionnelle qui est bloqué, il avoue «ne pas comprendre certaines parties de l'avant-projet» et annonce la tenue d'un comité de lecture pour le réécrire. Ce texte est de toute façon «contesté par plusieurs secteurs», souligne Gotson Pierre. À six semaines de la fin de son mandat et alors que le processus de transition est censé s'achever dans sept mois, Fritz Jean semble fait un aveu d'échec et d'impuissance. «Il prend le peuple à témoin», analyse Gotson Pierre. Mais le bilan du CPT sera quoi qu'il arrive «bien maigre». La Cour suprême autorise Donald Trump à expulser des sans-papiers vers des pays tiers L'administration Trump pourra envoyer des migrants dans des pays dont ils ne sont pas citoyens, explique le Washington Post, et avec lesquels ils n'ont même aucun lien, précise le New York Times. Actuellement, huit hommes attendent sur une base militaire américaine de Djibouti, transformée en centre de détention improvisé, d'être envoyés au Soudan du Sud, raconte le quotidien. Depuis le mois de mai 2025, ils y vivent dans des conditions sanitaires précaires et sous la menace de tirs de roquettes. En première instance, des juges progressistes avaient ordonné que leur transfert vers le Soudan du Sud soit stoppé parce que ces personnes n'avaient pas pu contester devant la justice leur expulsion, ni fournir des preuves qu'ils risquaient d'être torturés dans le pays d'accueil choisi par les États-Unis. Cette décision de la Cour suprême n'est que provisoire. Comme l'explique le New York Times, c'est maintenant à une cour d'appel, puis à nouveau à la Cour suprême, de se prononcer sur le fond du dossier. Pour l'administration Trump, ces expulsions vers des pays tiers concernent «les pires des pires criminels», rapporte le Washington Post, et elles sont nécessaires car souvent, leurs pays d'origine refusent d'autoriser leur retour. Faux, répond la défense pour qui la plupart des sans papiers concernés n'ont jamais été condamnés et sont initialement entrés légalement aux États-Unis avec un visa de réfugié, d'étudiant ou de travail. Le Canada et l'UE signent un accord de défense Le Premier ministre canadien, Mark Carney, était présent à Bruxelles hier pour assister au 20è sommet Union européenne/Canada. Face à la menace de son voisin du sud d'en faire le 51ème État américain, et face aux droits de douane qui le frappe, Ottawa cherche à renforcer ses partenariats avec l'UE. Bruxelles est dans la même optique : l'Union européenne entend noyer des accords internationaux pour faire face à la remise en cause de l'ordre mondial par Donald Trump. Pour le New York Times, le président américain repousse ses alliés de toujours. Il exige que ses partenaires dépensent plus pour s'armer et promet de réduire le rôle de son pays en ce qui concerne la sécurité internationale. Et en même temps, «il a lancé une guerre commerciale contre certains des alliés traditionnels les plus proches» du pays, analyse le quotidien. Une attitude qui «reconfigure le réseau mondial des partenariats», écrit le New York Times. Le Canada, la France, l'Allemagne et les autres pays de l'Union européenne nouent de nouvelles alliances pour être moins dépendant des États-Unis qui sont de plus en plus capricieux, juge le journal. Le parc du Mapocho Rio, à Santiago du Chili Notre dossier du jour nous emmène au Chili, à la découverte d'un immense parc dans la capitale. Le Mapocho Rio vient d'ouvrir, équipé pour accueillir des familles et des habitants des deux communes les plus pauvres du pays qui l'entourent. Le parc compte des jeux pour enfants, plusieurs terrains de foot, des tables de ping-pong, un mur d'escalade, un skate parc et surtout des milliers d'arbres qui font du Mapocho Rio, une sorte de poumon vert à Santiago. Reportage de Naïla Derroisné. De quelle nationalité était Carlos Gardel ? Né en France, mais de nationalité argentine ou uruguayenne ? Ce mardi, c'est le 90è anniversaire de sa mort et le débat continue, écrit La Nacion. Le succès de Carlos Gardel a été tel que des deux côtés du Rio de la plata, on s'approprie le chanteur, compositeur de tango et acteur. Lui-même a entretenu la confusion, explique le quotidien. Comme le raconte Walter Santoro, le président de la Fondation internationale Carlos Gardel, dans les colonnes de La Nacion, l'artiste disait toujours que dans la vie, il ne faut pas diviser, mais multiplier. Pas question pour lui de soutenir un parti ou une équipe de football. Pas question non plus de parler de religion. Et en 1930, pour le premier mondial de football, lors de la finale opposant l'Argentine à l'Uruguay, chaque pays pouvait choisir un artiste le représentant. Carlos Gardel a chanté pour les deux. Et à la presse qui lui demandait qui il voulait voir gagner, il a répondu : «Mon petit coeur est divisé». Le journal de la 1ère En Martinique, le président de la Collectivité Territoriale se dit «surpris et déçu» par le futur projet de loi «contre la vie chère».
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En Guinée, les banques ne permettent plus aux consommateurs et aux entreprises de retirer les sommes qu'elles souhaitent, les retraits sont plafonnés. Faiblement bancarisée, l'économie guinéenne est mise en difficulté par cette pénurie de monnaie. Les commerçants et les cambistes, les agents de change, notamment, peinent à effectuer leurs transactions. De notre correspondant à Conakry, Ali est cambiste à Kaloum, le centre administratif de Conakry, capitale de la Guinée. Il avait l'habitude d'échanger d'importantes sommes en euros ou en dollars avec des voyageurs, mais la difficulté à accéder aux francs guinéens le gêne dans son travail. « On a des difficultés avec le franc guinéen contre la devise. Si on a un chèque que l'on dépose à la banque pour avoir des francs guinéens, ou des espèces pour acheter des devises, on n'arrive pas à avoir de l'argent à la banque. Si on dépose le chèque de 2 milliards 500, on n'arrive pas à avoir 50 millions, on ne nous propose que 30 millions. C'est peu, on ne peut pas travailler avec ça », explique-t-il. Les autorités ont peu communiqué sur cette crise. Le Premier ministre Bah Oury a apporté des explications, le vendredi 20 juin. Pour lui, c'est le dynamisme de l'économie guinéenne qui est à l'origine de cette pénurie de billets : « En 2024, malgré une conjoncture particulièrement difficile en début d'année, la Guinée est sortie avec un taux de croissance avoisinant les 7 %, ce qui est exceptionnel. Dans ce contexte, une monnaie fiduciaire pourrait ne pas satisfaire les besoins de cette économie. » Manque de fluidité dans le marché interbancaire ? Il a déjà annoncé une première mesure pour répondre à cette crise : l'administration doit cesser les règlements en cash pour les salaires et les autres dépenses, les virements bancaires doivent devenir la norme. Pour lui, la Banque centrale ne doit pas faire « tourner la planche à billets » au risque, selon ses mots, de « mettre en péril l'économie ». L'analyste financier Bella Bah estime que la crise n'est pas liée à la forte croissance économique. Pour lui, la pénurie de monnaie est avant tout le résultat de la crise de confiance entre la Banque centrale et les banques commerciales. « L'une des causes fondamentales de cette crise de liquidités, c'est le marché interbancaire, c'est-à-dire entre la Banque centrale et les banques primaires, détaille-t-il. Aujourd'hui, la majorité des banques primaires ne font plus les dépôts au niveau de la Banque centrale parce que quand elles veulent avoir accès à leurs dépôts, c'est un problème. En plus, la Banque centrale leur facture à hauteur de 1 % tous les retraits en dollars et en euros. Le marché interbancaire s'est bloqué et c'est dû au fait que la Banque centrale ne joue pas pleinement son rôle. » Sollicitée, la Banque centrale n'a pas souhaité communiquer sur cette pénurie. À lire aussiGuinée: la société civile appelle le nouveau patron de la Cédéao à œuvrer à la libération de militants
durée : 00:07:29 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - François Bayrou ne lâche pas l'affaire. Alors que le conclave sur les retraites s'est achevé ce lundi après quatre mois de négociations sur un constat d'échec. Le Premier ministre appelle les partenaires sociaux à venir le rencontrer ce mardi. Le MEDEF ira, assure son président Meurthe-et-Mosellan. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En décidant de bombarder le site souterrain d'enrichissement d'uranium à Fordo et les installations nucléaires à Ispahan et Natanz, Donald Trump a rappelé son soutien indéfectible à Benyamin Netanyahu, dans un contexte d'escalade militaire sans précédent. Le Premier ministre israélien sort renforcé après ses frappes qui lui offrent une victoire politique. L'Iran a averti Washington d'un risque d'« extension de la guerre dans la région ». L'analyse de la stratégie de Benyamin Netanyahu avec Michel Duclos, conseiller spécial géopolitique à l'Institut Montaigne, auteur de Diplomatie française (éditions Alpha). À lire aussiAttaque des États-Unis contre l'Iran: quelles sont les options de Téhéran pour riposter?
Épisode 5 sur l'Univers Cinématographique de Marvel, Captain America: Le Premier Vengeur, réalisé par Joe Johnston et sorti en 2011. Rendez-vous sur le site du podcast PREMIERVISIONNEMENT.COM pour accéder facilement à toutes les autres rétrospectives couvertes par le podcast. Liens du podcast: feed rss: https://anchor.fm/s/590d508/podcast/rss Facebook: https://www.facebook.com/premiervisionnement/ Twitter: @visionnement Le podcast est disponible sur la plupart des distributeurs de balado-diffusion. Bonne écoute!
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un bloc central qui n'a plus rien d'un bloc. Entre tensions, ambitions divergentes et désaccords stratégiques, l'ambiance est morose ce qui affaiblit l'unité macroniste à l'approche de 2027. Les sujets de friction sont nombreux. Proportionnelle, zones à faibles émissions (ZFE), interdiction du port du voile aux jeunes filles de moins de 15 ans. Entre Horizons avec Édouard Philippe, le Modem de François Bayrou et Renaissance de Gabriel Attal, depuis la dissolution le mariage s'est de plus en plus transformé en « cohabitation ». Dans cette maison commune du macronisme, chacun fait de plus en plus chambre à part. Et plus la présidentielle de 2027 approche plus les ambitions s'aiguisent dans chaque parti créant des fragilités dans la cohérence d'ensemble. Chacun tente de faire cavalier seul Gabriel Attal, Édouard Philippe, Gérald Darmanin. Trois personnalités qui appartiennent au bloc central et dont les envies de se présenter ne trompent personne et agacent au plus haut point aussi bien le président de la République que le Premier ministre. Des divergences idéologiques entre eux exacerbées par une querelle des ego. L'ancien Premier ministre Edouard Philippe s'est affiché il y a quelques semaines en Une de l'hebdomadaire Le Point avec un titre évocateur « Je suis en colère ». Il estime que tout va mal et livre un diagnostic sévère sur le pays, manière de prendre de la distance avec Emmanuel Macron et François Bayrou et alors même qu'il a déjà officialisé sa candidature pour 2027 il y a quelques mois. Gabriel Attal lui a surpris sa famille politique et ses alliés en proposant d'interdire le voile aux jeunes filles de moins de 15 ans. François Bayrou s'est immédiatement désolidarisé. Quant à Gérald Darmanin, il a annoncé il y a quelques semaines sans en informer grand monde de la création d'une prison de haute sécurité en Guyane provoquant la colère présidentielle. Ce bloc central peut-il tenir jusqu'en 2027 ? Prochain crash test, les municipales en 2026 dans moins d'un an et dont les prémices laissent déjà présager un éclatement de cette union dans la plupart des grandes villes. De mauvais augure pour la présidentielle ? En coulisses les politiques qui plaidaient et pensaient possible une candidature commune pour 2027 déchantent. On se dirige donc vers un morcellement et un proche d'Édouard Philippe le confiait, « s'il y a deux ou trois candidats macronistes et LR la droite et le centre mourront ». Un effacement au profit du RN et de la gauche que le Premier ministre tente d'éviter. Afin de recoller les morceaux du socle fissuré il a organisé trois dîners récemment avec les composantes du bloc central. Le Premier ministre a également le projet d'organiser une nouvelle réunion des chefs de parti. Ce serait seulement la seconde depuis sa nomination fin 2024. Reste à savoir si ces « agapes » seraient suffisantes pour sauver le mariage abîmé de la macronie.
Cette semaine, à l'aube de la deuxième édition en Juillet, analyse et réaction au premier PPV toute féminin de la WWE : Évolution! Bon podcast!Pour nous suivre…Facebook:https://www.facebook.com/Entre2chaisesdemetal?mibextid=LQQJ4dInstagram:https://www.instagram.com/entre2chaisesdemetal?igsh=MTZ1aWM5bWZ2NG51cA==Youtube:https://youtube.com/@entredeuxchaisesdemetal2377?si=L5iq6WRdfYHQ3mElApple Podcast:https://podcasts.apple.com/ca/podcast/entre-deux-chaises-de-metal/id1546525482Balado Quebec:https://baladoquebec.ca/entre-deux-chaises-de-metalSpotify:https://anchor.fm/entre-deux-chaises-de-mtaCWC:https://www.facebook.com/groups/canadianwrestlingcollectors/?ref=shareLWA:https://www.facebook.com/LWALiveWrestlingAuctions/WCA:https://www.facebook.com/wrestlingcollectibleauction?mibextid=LQQJ4dGPW:https://www.facebook.com/GatineauProWrestling?mibextid=LQQJ4dArriba!!
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi dans CLAP !, Laurie Cholewa revient sur l'actualité du Septième art, en compagnie d'invités.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme : Contrôle technique moto : la mesure au sonomètre arrive le premier juillet ! / Les consommateurs français restent réticents à l'égard des véhicules 100 % électriques / Combien de kilomètres puis-je faire avec mes pneus ?
Donald Trump a quitté précipitamment le G7 au Canada pour se concentrer sur le dossier iranien, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient. Les frappes ont déjà causé plus de 225 morts côté iranien et 24 côté israélien. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, estime que l'élimination de l'ayatollah Khamenei pourrait mettre fin au conflit. Ce dernier, qui dure depuis 46 ans, a été marqué par des opérations secrètes et la prise d'otages de 1979. Trump, de plus en plus menaçant, affirme savoir où se cache Khamenei, mais ne prévoit pas de l'éliminer pour le moment. Emmanuel Macron, resté au G7, craint les répercussions de la situation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rubrique:nouvelles Auteur: georges-de-lys Lecture: Daniel LuttringerDurée: 18min Fichier: 13 Mo Résumé du livre audio: Une nouvelle d'amour de Georges de Lys (1855-1931) parue dans la Revue Hebdomadaire en septembre 1896. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Donald Trump a quitté précipitamment le G7 au Canada pour se concentrer sur le dossier iranien, alors que les tensions entre Israël et l'Iran s'intensifient. Les frappes ont déjà causé plus de 225 morts côté iranien et 24 côté israélien. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, estime que l'élimination de l'ayatollah Khamenei pourrait mettre fin au conflit. Ce dernier, qui dure depuis 46 ans, a été marqué par des opérations secrètes et la prise d'otages de 1979. Trump, de plus en plus menaçant, affirme savoir où se cache Khamenei, mais ne prévoit pas de l'éliminer pour le moment. Emmanuel Macron, resté au G7, craint les répercussions de la situation.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis le vendredi 13 juin et l'offensive initiale d'Israël contre l'Iran, les deux pays échangent les frappes.Les attaques israéliennes ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, afin d'empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique.Elles ont déclenché un conflit sans précédent…Au moment de l'enregistrement de ce podcast mardi 17 juin, au cinquième jour de l'escalade, le bilan était de 224 morts en Iran et de 24 morts côté israélien, selon des sources officielles.Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé vouloir changer "la face du Moyen-Orient". De son côté, Téhéran a promis de bombarder Israël "aussi longtemps qu'il le faudra" pour mettre fin à l'attaque israélienne.Israël peut-il atteindre ces buts de guerre ? Quels sont les risques à l'échelle mondiale ? Une désescalade est-elle possible ?Réalisation : Maxime MametInvités : Kevan Gafaïti, enseignant à Sciences Po Paris et chercheur au Centre Thucydide de l'Université Paris II Panthéon-Assas; Thomas Juneau, professeur à l'Ecole supérieure d'affaires publiques et internationales de l'Université d'Ottawa; Jérémy Dieudonné, chercheur en relations internationales à l'Université catholique de Louvain.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:38 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Israël et l'Iran ont échangé barrages de missiles et menaces guerrières pour la cinquième nuit consécutive. Le Premier ministre israélien affirme que son pays est en train de changer "la face du Moyen-Orient" mais les éditorialistes se demandent quel sera le prix de cette guerre.
Le sommet du G7 se poursuit pour une journée encore au Canada, mais sans Donald Trump. Le président américain est parti plus tôt que prévu lundi (16 juin 2025). Il affirme vouloir se concentrer sur la guerre en cours entre Israël et l'Iran. Le Premier ministre canadien espère tout de même passer un accord sur les droits de douane avec Washington dans les semaines à venir. Les États-Unis ont décidé récemment d'appliquer des droits de douane conséquents jusqu'à 50% sur l'acier et l'aluminium en provenance du Canada, alors que ce pays est le principal fournisseur des États-Unis, rappelle notre envoyée spéciale au G7, Murielle Paradon. Une décision jugée « injustifiée et illégale » par Ottawa qui a pris des mesures de rétorsion en appliquant des taxes sur certains produits américains. Hier, à l'ouverture du G7, le Premier ministre canadien Mark Carney a rencontré Donald Trump, pour discuter de ce sujet sensible. « Je pense qu'on a des visions différentes, a estimé Donald Trump. Moi je suis pour les droits de douane, Mark [Carney] a une vision différente mais qui est aussi bonne » Une différence d'approche que le Premier ministre canadien va essayer d'infléchir. Mark Carney souhaite une meilleure coopération, pour le bien de tous : « Nous ne sommes pas forcément d'accord sur tout mais chaque point d'accord va faire une énorme différence, pour les citoyens et pour le monde, pour amener à une nouvelle ère de prospérité, j'espère, pour le bénéfice de ceux que nous servons » À l'issue de la rencontre avec Donald Trump hier (16 juin), Mark Carney a annoncé que des négociations allaient se poursuivre avec les Américains. Il se donne 30 jours pour obtenir un accord. Les médecins cubains envoyés au Mexique sont-ils victimes de travail forcé ? Depuis le début du mois de juin 2025, les conditions de travail des plus de trois mille médecins cubains qui travaillent au Mexique sont revenus dans l'actualité du pays et de la région. Ils sont envoyés depuis des années par La Havane afin de combler le manque de personnel médical spécialisé dans les régions les plus isolées du Mexique. Cet accord a été dénoncé par l'administration des États-Unis au début du mois. Dans l'ombre du Travel ban, Washington a annoncé qu'elle retirerait les visas de certains fonctionnaires de pays centraméricains qui accueillent sur leur territoire des médecins cubains via un accord avec les autorités de La Havane. L'objectif officiel : lutter contre des réseaux d'exploitation et de travail forcé mis en place par les autorités cubaines. Certains médias y voient une volonté américaine d'empêcher Cuba de faire entrer des devises sur son territoire. « C'est un message direct » adressé à Mexico estimait l'éditorialiste del Universal Salvador Garcia Soto au lendemain de l'annonce début juin. L'ancien président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a en effet passé un contrat avec La Havane. La pratique continue aujourd'hui. El Universal vient de publier une enquête sur la question. Durant les trois dernières années, Mexico a versé plus de 90 millions d'euros à l'entreprise cubaine nommée Comercializadora de servicios cubanos. Une partie en Pesos, l'autre en euros. Une manne importante de devises pour l'île cubaine isolée par les sanctions américaines. Dans un premier temps, el Universal affirmait ne pas avoir reçu de réponse des autorités mexicaines quant au salaire offert par le ministère de la Santé à ses travailleurs cubains. Dans l'enquête publiée hier, le journal offre plus de détails : l'institut de sécurité social mexicain prend en charge les logements, repas, et déplacements des médecins cubains. Le montant des salaires eux restent inconnus, ils sont payés par l'entreprise cubaine. Mais «il ne s'agit pas de travail forcé», a affirmé la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum. «Il faudrait apporter des preuves à de telles accusations. Pour l'heure, on ne nous a rien signalé», affirme-t-elle. Sommet Brésil-Caraïbes : Appel à soutenir contre les gangs en Haïti Comme tous les mardis, nous revenons sur l'actualité haïtienne avec le directeur de l'agence AlterPresse, Gotson Pierre. Le site d'information revient notamment sur l'appel des dirigeants du Brésil et des pays des Caraïbes pour soutenir les efforts du gouvernement intérimaire haïtien pour démanteler les groupes armés criminels. Dans un communiqué conjoint, ils insistent sur la nécessité d'établir des bases solides pour un développement social et économique durable, et d'organiser des élections dès que les conditions de sécurité seront réunies, rapporte AlterPresse. Les signataires exhortent l'Organisation des Nations unies à jouer un rôle central et moteur dans les réponses aux défis sécuritaires majeurs auxquels est confrontée Haïti. L'exclusion systématique des femmes dans la politique haïtienne AlterPresse consacre également tout un dossier à l'absence des femmes dans la vie politique en Haïti, et ce malgré des quotas imposés par la loi. La Floride se prépare aux ouragans C'est à partir de 119 km/h que les dépressions tropicales se transforment en cyclones tropicaux connus comme des ouragans. Ces phénomènes naturels peuvent être particulièrement destructeurs dans toute la zone des Caraïbes, de l'Amérique Centrale et du sud des États. Alors que la saison des ouragans vient juste de commencer, notre envoyé spécial Eric Solo s'est rendu à Miami, capitale américaine des ouragans, pour y voir l'état de préparation de l'État de Floride.
Au quatrième jour de la guerre entre Israël et l'Iran, un hôpital de Kermanshah dans l'ouest du pays, a été touché ce matin, (16 juin 2025) et a subi d'importants dégâts. On déplore 224 morts en Iran et 24 en Israël. Benyamin Netanyahu poursuit l'opération lancée vendredi, avec l'approbation américaine. Au micro d'Anne Cantener, Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à l'Université Paris Sorbonne et ancien chercheur au Collège de défense de l'Otan décrypte cette actualité. «Depuis 80 ans, le soutien à Israël est l'un des piliers de la politique étrangère des États-Unis. Aujourd'hui, Washington n'a pas d'autre choix que d'accompagner Israël», explique Guillaume Lasconjarias. Pour autant, les États-Unis souhaitent «éviter un embrasement généralisé» et ne veulent pas que leurs bases dans la région soient impliquées. Leur soutien est donc «très limité pour l'instant» afin de «ne pas être entraîné de manière rampante» dans une guerre qu'ils n'ont pas choisie, d'autant que contrairement à Israël, les États-Unis ne souhaitent pas la chute du régime des mollahs. Dans ce contexte, l'option diplomatique est-elle encore une piste crédible ? Les discussions sur le nucléaire engagées entre Téhéran et Washington restent une solution possible mais «pas tout de suite», juge Guillaume Lasconjarias. En attendant, ce conflit vient souligner les fractures idéologiques qui existent déjà parmi les partisans de Donald Trump alors que celui-ci avait promis de ne pas engager les États-Unis dans un nouveau conflit à l'étranger. Reportage de notre correspondant Edward Maille. La Colombie ne vend plus de charbon à Israël Alors que les bombardements sont toujours quotidiens à Gaza et si les Américains affichent toujours un appui total, d'autres pays du continent choisissent de tourner le dos à Israël, comme la Colombie qui n'a plus de relation diplomatique avec l'État hébreu depuis plus d'un an. Bogota parle de génocide pour qualifier la situation. En août 2024, le gouvernement colombien a annoncé la suspension de ses exportations de charbon à Israël, dont il était le premier fournisseur. Bilan de ces décisions signé de notre correspondante, Marie-Eve Detoeuf. Qu'attendre du G7 ? Alors que le G7 s'ouvre ce lundi, (16 juin 2025) au Canada, Donald Trump a promis des avancées dans de nombreux domaines, notamment en ce qui concerne les tensions au Proche-Orient et la guerre commerciale, nous apprend le New York Times. Il ne devrait toutefois pas y avoir de communiqué conjoint à l'issue du sommet. Jamais le «fossé» entre le président américain et ses alliés n'a été aussi grand, insiste le quotidien. Comme le fait remarquer une chercheuse de l'Atlantic Council's Europe Center, plus que le regroupement des plus grandes économies du monde, «le G7 représente une communauté de valeurs communes. Or ces valeurs, Donald Trump ne les partage pas ou plus». Dans ces conditions, les États-Unis ne seront plus l'artisan du consensus comme avant. C'en est fini des partenariats mondiaux. Donald Trump préfère les relations bilatérales. À ce petit jeu, Keir Starmer aimerait être celui qui murmure à l'oreille de Donald Trump, celui qui fait le lien entre le président américain et les autres dirigeants du G7, écrit Politico. Le Premier ministre britannique estime être en bonne position, notamment sur l'Ukraine, depuis que le Royaume-Uni a décidé d'augmenter ses dépenses de défense. Et puis les deux hommes ont une «relation personnelle très, très forte». Lors de leur rencontre dans le Bureau ovale, début mars, «Keir Starmer a touché délicatement le bras de Donald Trump quatre fois au cours des 100 secondes qu'a duré leur apparition devant la presse», relève le site d'informations. Keir Starmer n'est pas le seul à espérer influencer Donald Trump «Emmanuel Macron se voit comme le responsable politique européen le plus capé», tandis que Giorgia Meloni «se considère comme proche idéologiquement» de Donald Trump et met en avant ses liens étroits avec l'écosystème MAGA, écrit Politico. «Les médias du monde entier seront attentifs à tout indice (...) sur le degré de respect accordé à chaque dirigeant – et sur la capacité de l'un d'entre eux à transformer cela en progrès» sur les dossiers chauds du moment, analyse le journal en ligne. Bref, il va falloir scruter à qui Donald Trump serre la main et comment. Le journal de la 1ère Après sept mois passés dans l'Hexagone, le président de la Collectivité Territoriale est revenu ce dimanche (15 juin 2025) en Guyane !
Benjamin Netanyahou veut redessiner la carte du Moyen-Orient. Le Premier ministre israélien se vante de mener une guerre sur sept fronts : la Cisjordanie, le Liban, la Syrie, l'Irak, le Yémen mais surtout Gaza et l'Iran. Après l'offensive israélienne contre Téhéran, comment réagissent les pays arabes aux premières loges de ce conflit, qui menace de déstabiliser toute la région ? Les pays arabes qui, depuis un an et demi, demeurent par ailleurs assez timorés face au drame qui se joue à Gaza, à la différence de leurs opinions publiques. Avec : - Adlene Mohammedi, chercheur en Géopolitique, enseignant à Paris III et à l'IRIS - Guilhem Delteil, journaliste au service international de RFI.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Peer de Jong, ancien colonel des troupes de marine et vice-président de l'Institut Themiis spécialisé dans les questions de paix et de sécurité. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Claudine et Michael se sont rencontrés à l'école et ont vécu un amour de jeunesse avant de se séparer à la fin du collège. Mais presque 40 ans plus tard, grâce à un message inattendu, ils se retrouvent. Une histoire d'amour qui va renaître et qui va bouleverser leurs vies !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elisa et Max, alias les Bestjobers, sont de véritables passionnés de voyages et de grands espaces. Après avoir parcouru le monde en duo, ils ont embarqué leur petite Lily, 6 mois, pour un premier grand road trip en famille l'année dernière ! Adeptes de l'aventure, de la découverte de la nature et toujours partants pour partager leurs astuces, ils nous prouvent qu'on peut explorer les Rocheuses canadiennes avec un bébé sans souci : tout est possible avec un brin d'organisation et beaucoup de curiosité.De Calgary à Canmore, en passant par les Badlands de Drumheller, Elk Island et le royaume des bisons, Edmonton la capitale, puis les incontournables parcs nationaux de Jasper, Yoho et Banff , leur itinéraire est une véritable leçon de nature et d'émerveillement entre randonnées, canoé, chutes spectaculaires et panoramas à couper le souffle… le tout rythmé par la découverte de culture cowboy et les rencontres avec de nombreux animaux.Mais ont-ils vu des ours ??Si vous êtes en quête d'inspiration pour un automne haut en couleurs sous le ciel canadien, cet épisode va vous donner des envies d'évasion !Allez, c'est parti pour le carnet de route des Bestjobers dans les Rocheuses canadiennes !En collaboration avec Destination Canada, l'office de tourisme du Canada en France.-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
C dans l'air l'invitée du 11 juin 2025 avec Cyril Coupaud, proviseur dans un lycée à Evry, dans l'Essonne, membre du syndicat Snpden-Unsa. Hier, à Nogent, dans la Haute-Marne, un adolescent de 14 a poignardé mortellement Mélanie, assistante d'éducation au collège François Dolto, âgée de 31 ans, et mère de famille. Les faits se sont déroulés lors d'un contrôle de gendarmerie devant l'établissement scolaire. Le suspect, âgé de 14 ans, scolarisé en classe de troisième, a été interpellé et placé en garde à vue. Pour l'heure, ses motivations ne sont pas connues.La mort de la surveillante a suscité une émotion immense dans les sphères éducatives et politiques. Emmanuel Macron a évoqué "un déferlement de violence insensé". Le Premier ministre François Bayrou a, de son côté, souhaité que le gouvernement travaille à "l'expérimentation" de portiques de sécurité à l'entrée des établissements scolaires. Il a également assuré que le gouvernement allait interdire "tout de suite" la vente aux mineurs de "tout couteau qui peut constituer une arme".Cyril Coupaud, proviseur dans un lycée à Evry, dans l'Essonne, et membre du syndicat SNPDEN-UNSA, est notre invité. Il nous racontera sa vie quotidienne auprès des adolescents. Il nous donnera son point de vue sur le renforcement de la sécurité dans les établissements scolaires, et nous livrera son sentiment sur la santé mentale des adolescents.
Samia raconte à Elsa l'histoire d'une adolescente qui crushe sur un garçon tiraillé entre deux filles... Quand elle quitte le collège, elle peut enfin tenter sa chance.Retrouvez Elsa sur Instagram (elsa.bern.ard) et dans le podcast De l'amour et du seumPour envoyer une histoire ou un vocal, allez sur le site du Love GangAbonnez-vous à la newsletter du Love Gang : tous les mois, un podcast de récap culturel (livres, films, articles...) et un texte sur l'amour ! C'est 5 euros et un super moyen de me soutenir.La musique est de Timothy Infinite, remixée par Nahaa. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:08:09 - Info médias - En France, 12 millions de personnes sont considérées comme neuroatypiques. Après avoir fondé "Rose Magazine" pour les femmes atteintes de cancer, la journaliste Céline Lis-Raoux lance un nouveau magazine pour celles et ceux qui pensent et réagissent différemment de la norme.
L'émission 28 minutes du 11/06/2025 Surveillante mortellement poignardée : l'école est-elle toujours un sanctuaire ?Mardi 10 juin, une surveillante a été mortellement poignardée par un élève de son collège, à Nogent (Haute-Marne) lors d'un contrôle des sacs. Face à la sidération et au traumatisme provoqués par ce drame, Élisabeth Borne, la ministre de l'Éducation nationale, a annoncé une minute de silence dans les établissements scolaires le 12 juin. Emmanuel Macron a dénoncé "un déferlement de violence insensé" qu'il a notamment expliqué par “l'explosion des familles”, pointant aussi du doigt les réseaux sociaux qu'il souhaiterait “interdire au moins de 15 ans”, si l'Union européenne n'agit pas dans ce sens d'ici “quelques mois”. Le Premier ministre a, quant à lui, annoncé dans la soirée sur TF1 l'interdiction immédiate de la vente d'armes blanches aux mineurs pour se battre contre la “culture du couteau” qui est en train de se répandre “comme une épidémie”. Ce meurtre fait suite à une série d'événements similaires : en avril, un lycéen nantais tuait une camarade en lui assénant 57 coups de couteau. En mars, un adolescent de 17 ans était tué devant un lycée, poignardé au cours d'une rixe en Essonne. Face à cette violence, quelles réponses peuvent être apportées ? On en débat avec Antoine Pelissolo, psychiatre, Olivier Beaufrère, proviseur, secrétaire national du Syndicat national des personnels de direction-UNSA et Marie-Estelle Pech, rédactrice en chef du service Société de “Marianne”.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 11/06/2025 Araignées : ces bestioles mal-aimées qui sont pourtant nos amies !En Europe, un quart des adultes ressentent de la peur face aux araignées, et entre 5 et 10 % se disent arachnophobes. Raphaël Jeanson, éthologue et directeur de recherches au CNRS, avoue aimer "travailler avec une bestiole que personne n'aime". Il publie donc "Dans la tête d'une araignée" (aux éditions HumenSciences) pour démystifier ces insectes à 8 pattes. L'auteur y explique notamment l'aversion occidentale vis-à-vis des araignées, héritée de la mythologie grecque et transmise par les parents. Pourtant, elles jouent un inestimable "rôle dans la régulation des écosystèmes terrestres", en consommant entre 400 et 800 millions de tonnes de proies chaque année, "soit l'équivalent de une à deux fois la masse de l'humanité". Raphaël Jeanson explore aussi la sociabilité des araignées et leurs moyens de communication, qui passent par la détection des "vibrations émises par les congénères qui se propagent sur la toile". Surveillante mortellement poignardée : l'école est-elle toujours un sanctuaire ?Mardi 10 juin, une surveillante a été mortellement poignardée par un élève de son collège, à Nogent (Haute-Marne) lors d'un contrôle des sacs. Face à la sidération et au traumatisme provoqués par ce drame, Élisabeth Borne, la ministre de l'Éducation nationale, a annoncé une minute de silence dans les établissements scolaires le 12 juin. Emmanuel Macron a dénoncé "un déferlement de violence insensé" qu'il a notamment expliqué par “l'explosion des familles”, pointant aussi du doigt les réseaux sociaux qu'il souhaiterait “interdire au moins de 15 ans”, si l'Union européenne n'agit pas dans ce sens d'ici “quelques mois”. Le Premier ministre a, quant à lui, annoncé dans la soirée sur TF1 l'interdiction immédiate de la vente d'armes blanches aux mineurs pour se battre contre la “culture du couteau” qui est en train de se répandre “comme une épidémie”. Ce meurtre fait suite à une série d'événements similaires : en avril, un lycéen nantais tuait une camarade en lui assénant 57 coups de couteau. En mars, un adolescent de 17 ans était tué devant un lycée, poignardé au cours d'une rixe en Essonne. Face à cette violence, quelles réponses peuvent être apportées ? Enfin, à l'aune d'une recrudescence des cas de diphtérie en Europe, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de cette maladie que l'on pensait éradiquée. Marie Bonnisseau nous emmène en Chine, où un homme refuse la démolition de sa maison ; pour protester, il ne cesse d'y ajouter des étages. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 juin 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 10 juin 2025 - Surveillante poignardée : un "déferlement de violence insensé"Vers 9 h ce matin, alors que les gendarmes effectuaient un contrôle inopiné des sacs devant un collège de Nogent, en Haute-Marne, l'un des élèves, pour une raison encore inconnue, s'est jeté sur l'assistante d'éducation présente sur place et l'a poignardée à plusieurs reprises avant d'être maîtrisé par les forces de l'ordre. Grièvement blessée, la jeune femme, âgée de 31 ans, est décédée.Le suspect, Quentin G., âgé de 14 ans et inconnu des services de police, est actuellement entendu par les enquêteurs en garde à vue. Il devrait être examiné par un psychiatre. Des dispositions d'accompagnement ont été mises en place pour prendre en charge les élèves, leurs familles et le personnel de l'établissement. La ministre de l'Éducation nationale s'est rendue sur place en début d'après-midi. Interrogée sur le profil du suspect, Élisabeth Borne a parlé d'un "jeune qui ne présentait pas de difficultés particulières et qui était ambassadeur harcèlement". Elle a estimé qu'il faut une "réponse globale" face à ces drames. "On doit aussi agir sur la santé mentale", a expliqué la ministre, alors que les réactions dans la classe politique sont très nombreuses.Le président de la République a dénoncé ce matin sur X un "déferlement de violence insensé (…) La nation est en deuil". Cette mort "horrifie et elle nous glace", a réagi sur X la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale. Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a déploré une "abomination". "L'école est frappée par l'ultraviolence. Elle résiste, mais ne peut pas tout. On ne peut pas lui demander de réparer seule des décennies d'abandon civique, de désagrégation du lien social et de propagation de la violence", a écrit de son côté Raphaël Glucksmann. La présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale Marine Le Pen, pour sa part, a écrit sur X : "Pas une semaine sans qu'un drame frappe l'école. Désacralisation de la vie, banalisation de l'ultraviolence, encouragée par l'apathie des pouvoirs publics à y mettre fin, explosion du port d'armes blanches : les Français n'en peuvent plus et attendent une réponse politique ferme", a affirmé la leader d'extrême droite, sans en dire plus.Le Premier ministre, qui sera l'invité du 20 heures de TF1, a indiqué vouloir faire de "la menace des armes blanches chez nos enfants" un "ennemi public". Le 24 avril dernier, après une attaque au couteau à Nantes, François Bayrou avait fait renforcer les contrôles inopinés et les fouilles des sacs devant les établissements scolaires. Il avait également demandé "des propositions concrètes en matière de prévention, de réglementation et de répression pour endiguer le phénomène des violences commises par les mineurs avec des armes blanches". Un rapport avait été remis en mai avec une série de propositions : interdiction de la vente, directe comme en ligne, des armes zombies, vidéoprotection et interdiction des téléphones portables dans les établissements scolaires… Parallèlement, le gouvernement entend interdire l'accès aux réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans, en imposant aux plateformes la vérification de l'âge au moment de la création d'un compte. Mais il s'est heurté, pour l'instant, en Europe, à des questions techniques et de compatibilité avec le droit communautaire. LES EXPERTS :- CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - ALAIN BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- AUDREY GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- MARIE-ESTELLE PECH - Rédactrice en chef société à MariannePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:24:58 - Surveillante poignardée en Haute-Marne - François Bayrou promet d'interdire "tout de suite" la vente de certaines armes blanches aux mineurs, après le meurtre d'une surveillante poignardée mardi matin par un élève de 14 ans à l'entrée d'un collège à Nogent, en Haute-Marne. Le Premier ministre veut une "expérimentation" de portiques de détection d'armes, Marine le Pen dénonce un "pur laxisme".
Si vous aimez les jeux vidéos, vous avez peut-être entendu parler de la querelle autour de Yasuke, le samouraï noir… La semaine prochaine, dans Au cœur de l'Histoire, Virginie Girod vous emmène au Japon, le pays du Soleil-Levant, à la rencontre d'un esclave, débarqué du Mozambique au XVIe siècle. Cet homme promis à un destin terrible est finalement devenu samouraï.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?« Encombrement » et « excès des fraudes ». Telles sont les raisons invoquées cette semaine au Sénat par le ministre de l'Économie, Éric Lombard, pour suspendre temporairement MaPrimeRénov'. L'enveloppe budgétaire aurait été consommée, le gouvernement veut donc remettre à plat ce levier pour encourager la rénovation énergétique des logements.De quoi mettre vent debout l'opposition de gauche. « Votre gouvernement accélère son désengagement brutal du financement de la transition écologique », a dénoncé le sénateur écologiste Ronan Dantec. « Une fois réglé, le processus pourra continuer » a voulu rassurer Lombard. En attendant, les particuliers doivent toujours patienter longtemps avant de recevoir l'aide promise. C dans l'air a rencontré un habitant de Clamart (Hauts-de-Seine) qui attend désespérément 40.000 euros suite à la rénovation de son logement.Cette suspension arrive au moment où le gouvernement cherche 40 milliards d'euros pour renflouer les caisses de l'État. C'est l'équation sur laquelle planche Bercy pour le budget 2026. Plusieurs pistes se dessinent comme celle de la TVA sociale. Mais cette mesure a ses détracteurs : les syndicats, la gauche, et le RN, qui pourrait censurer François Bayrou sur ce motif. Celui-ci évoque aussi la possibilité d'une année blanche pour geler tous les budgets, comme les allocations, le portefeuille des collectivités ou l'indexation des retraites - sujet hautement sensible. Le Premier ministre, qui a annoncé qu'il allait demander "un effort à tous les Français", a fixé le 14 juillet comme date limite pour présenter son plan d'économies. L'impossible équation budgétaire est aussi l'occasion pour plusieurs ténors de se positionner pour 2027. Dans son dernier livre, Édouard Philippe prône la rigueur budgétaire mais Xavier Bertrand l'accuse d'être en partie responsable du bilan macroniste. La popularité de Philippe est aussi rattrapée par celle de Bruno Retailleau. Beaucoup verrait bien le très droitier ministre de l'Intérieur à l'Élysée. Alors, quels sont les problèmes de MaPrimeRénov' ? François Bayrou fera-t-il passer son budget 2026 ? Qui est le mieux placé à droite pour la présidentielle ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo
Après avoir fait des études de cinéma en Algérie et au Cameroun, le réalisateur tchadien Aaaron Padacké Zégoubé, appartient à une nouvelle génération de cinéastes africains. Il a plusieurs films à son actif, mais il reste relativement peu connu du grand public. Après deux courts métrages, il réalise un documentaire, Sur les traces de Toumaï. Ce film a fait sa renommée parmi les nouveaux réalisateurs et lui a valu, en 2024, le prix du meilleur documentaire au Camp International des cinéastes d'Afrique à Ouidah au Bénin. Depuis, son premier long-métrage de fiction Warassa (« héritage », en français) est projeté aujourd'hui à Paris. Le réalisateur est l'invité de RFI. ► Le film-documentaire Sur les traces de Toumaï, du cinéaste tchadien Aaaron Padacké Zégoubé, avait attiré l'attention du milieu.
Le Premier du gouvernement libéral minoritaire en Tasmanie subit une pression croissante concernant la gestion du budget de l'État et les dépenses d'infrastructures majeures.
Après les affaires intérieures sénégalaises, Ousmane Sonko s'attaque aux questions ouest-africaines. Le 16 mai, le Premier ministre sénégalais est allé au Burkina Faso. Puis vendredi dernier, il s'est rendu en Côte d'Ivoire et en Guinée. Comment Ousmane Sonko compte-t-il « pacifier » la sous-région, comme il dit ? Par ces visites à l'étranger, le Premier ministre n'est-il pas en train de marcher sur les plates-bandes du président Bassirou Diomaye Faye ? Maurice Soudieck Dione est professeur agrégé de sciences politiques à l'université de Saint-Louis du Sénégal. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quand le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko dit qu'il envisage « toute forme de collaboration » avec le Burkina Faso pour lutter contre les jihadistes. Est-ce que l'on peut imaginer des soldats sénégalais sur le territoire burkinabé ?Maurice Soudieck Dione : Je crois que rien n'est à exclure. Une coopération en termes de partage, de renseignement, en termes de partage de compétences... Cela peut aller jusqu'à un déploiement de Sénégalais pour appuyer le Burkina Faso dans cette lutte contre ce fléau qui est le terrorisme.Dans l'opposition sénégalaise, plusieurs voix se sont émues de voir que le Premier ministre d'un pays démocratique comme le vôtre est allé saluer à Ouagadougou un président putschiste qui fait jeter en prison des avocats et des journalistes. « C'est du populisme, c'est de l'inculture démocratique de la part d'Ousmane Sonko », disent plusieurs opposants. Qu'est-ce que vous en pensez ?Je crois que le Sénégal s'est toujours affirmé comme étant un pays leader en matière de démocratie. Mais les régimes d'exception que sont les régimes militaires ne sont pas des régimes qui sont appelés à perdurer. Ce sont des régimes qui vont forcément entrer dans une phase de normalisation démocratique. Ce ne sont pas des régimes qui vont s'installer ad vitam aeternam. Je crois qu'il est du devoir des États démocratiques de chercher à les tirer vers le haut, notamment pour le retour à la démocratie et le renforcement de l'État de droit.Deux semaines après son voyage au Burkina Faso, Ousmane Sonko s'est rendu en Côte d'Ivoire où il a été reçu par Alassane Ouattara. Or, on sait que les relations sont très tendues entre ces deux pays, le Burkina et la Côte d'Ivoire. Le Premier ministre sénégalais pourrait-il faire médiation entre ces deux pays ?C'est possible parce qu'en réalité le Sénégal a toujours eu cette attitude de compréhension, d'ouverture et de discussion par rapport aux pays de l'AES pour les amener progressivement à trouver des terrains d'entente avec la Cédéao. Dans ce cadre, le Premier ministre Ousmane Sonko peut jouer un rôle important pour rapprocher le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire puisqu'il a cette capacité à parler aux deux interlocuteurs.Pendant son séjour à Abidjan, Ousmane Sonko est allé saluer l'opposant Laurent Gbagbo qui est interdit de candidature à la présidentielle d'octobre prochain. Est-ce que c'est un message politique d'Ousmane Sonko à Alassane Ouattara ?Je crois qu'il y a deux choses à distinguer. D'abord, Laurent Gbagbo s'est toujours prévalu du panafricanisme. Il a eu à incarner cette posture. Aujourd'hui également, Ousmane Sonko, peut-être, a aussi en tête toutes ces difficultés qu'il a eu à rencontrer au Sénégal, notamment avec les manœuvres politiciennes qui ont abouti à son éviction, au regard de sa candidature pour la présidentielle de 2024, qui a favorisé l'élection du président Bassirou Diomaye Diakhar Faye. Tout cela doit être pris en compte mais aussi cette nouvelle manière de faire la politique.Peut-on imaginer qu'Ousmane Sonko ait demandé à Alassane Ouattara d'organiser une présidentielle inclusive où tout le monde pourrait se présenter y compris Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Tidiane Thiam ?Oui, je crois que l'un des principes essentiels dans les relations internationales est la non-ingérence dans les affaires intérieures d'un pays. Mais je crois que, mis à part cet impératif, on peut tout à fait comprendre que le Premier ministre Ousmane Sonko puisse plaider devant le président de la République Alassane Ouattara pour que la présidentielle soit inclusive, mais de façon tout à fait amicale et diplomatique au regard des relations privilégiées que le Sénégal a toujours entretenues avec la Côte d'Ivoire. Jamais sous le mode de l'injonction.Quand le Pastef est arrivé au pouvoir, on pensait que le président s'occuperait en priorité des Affaires étrangères et le Premier ministre des Affaires intérieures. Mais aujourd'hui, avec tous ces voyages, est-ce qu'Ousmane Sonko n'est pas en train de marcher sur les plates-bandes de Bassirou Diomaye Faye ?Il y a une réalité au pouvoir. C'est que c'est le Premier ministre Ousmane Sonko qui est le chef du parti Pastef et c'est lui qui a fait élire le président Bassirou Diomaye Faye. C'est lui également qui a fait élire les députés du Pastef à hauteur de 130 députés sur 165 députés. Une personnalité de cette nature n'est pas un Premier ministre ordinaire. Compte tenu de la dimension également charismatique d'Ousmane Sonko, c'est un fait, il faut nécessairement composer avec cela et il y a une complémentarité entre les deux. C'est un duo au sommet de l'État. Et je ne pense pas que ce duo puisse se transformer en duel. À lire aussiGuinée: coopération renforcée avec le Sénégal à l'occasion de la visite du Premier ministre Ousmane SonkoÀ lire aussiCédéao: en visite au Faso, le Premier ministre sénégalais évoque les causes du départ des pays de l'AESÀ lire aussiCôte d'Ivoire: le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko en visite pour renforcer les liens économiques
C dans l'air du 4 juin 2025 - Trump / Musk : le premier clash ! LES EXPERTS :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Auteur de La civilisation de la peur, chroniqueur à L'Express - Christine OCKRENT - Journaliste spécialiste des Affaires étrangères - France culture- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang
C dans l'air du 4 juin 2025 - Trump / Musk : le premier clash ! Après un peu plus de cinq mois à la tête du département de l'Efficacité gouvernementale, Elon Musk a officiellement quitté l'administration Trump. Mais si, vendredi dernier, les deux hommes affichaient encore une belle entente dans le Bureau ovale lors de la cérémonie de départ du DOGE, cette fois, la rupture semble bel et bien consommée. Sitôt parti de la Maison-Blanche, le milliardaire a violemment critiqué, sur son réseau social X, la grande loi budgétaire du président américain. Une "abomination répugnante. Honte à ceux qui ont voté pour : vous savez que vous avez eu tort. Vous le savez", a ainsi fustigé mardi l'homme le plus riche du monde.Présenté comme un catalogue de mesures visant à réformer le pays en profondeur, le texte n'a manifestement pas convaincu Elon Musk. "J'ai été très déçu de voir que le projet de loi augmentait le déficit budgétaire au lieu de le réduire et qu'il sapait le travail de l'équipe du DOGE. (...) Je pense qu'une loi peut être grande ou elle peut être belle. Mais je ne sais pas si elle peut être les deux", a aussi regretté le Sud-Africain sur CBS News, le 1er juin, accusant dans un autre tweet le Congrès de mettre "l'Amérique en faillite".La dette américaine s'élève actuellement à 36 200 milliards de dollars, soit 122 % du produit intérieur brut. Elle augmente d'environ 1 000 milliards de dollars tous les trois mois, mais cette cadence devrait s'accélérer avec le projet de loi fiscale promu par Donald Trump. Surnommé "THE ONE, BIG BEAUTIFUL BILL !" ("Le seul, grand et beau texte") par le président sur son réseau Truth Social, il prévoit par exemple 880 milliards de dollars de coupes budgétaires sur une dizaine d'années, concernant principalement les programmes d'assurance santé de 70 millions d'Américains aux revenus modestes. Surtout, il concrétise la prolongation des baisses massives d'impôts accordées durant son premier mandat avant leur expiration, en fin d'année. Ce qui fait dire à l'opposition qu'il s'agit du "plus grand transfert de richesse des pauvres vers les riches de l'histoire américaine", puisqu'il accentue le déficit budgétaire du gouvernement et gonfle la dette publique.La Chambre des représentants a adopté de justesse (215 voix contre 214) le "grand et beau" projet de loi de finances réclamé par le président américain. Mais, pour le faire adopter, Donald Trump a dû recourir aux pressions et aux menaces. Désormais, le texte doit être débattu au Sénat, où des républicains ont déjà exprimé des objections, alors que, sur les marchés, la dette américaine et plusieurs clauses du projet inquiètent.Pour l'heure, Donald Trump n'entend rien changer. Le président américain continue de se mettre en scène depuis le Bureau ovale de la Maison-Blanche : un jour artisan d'une violente guerre commerciale, en signant de nouveaux décrets faisant passer de 25 % à 50 % les droits de douane imposés aux importations d'acier et d'aluminium ; un autre, en imposant une nouvelle séance d'humiliation à l'un de ses invités devant des journalistes triés sur le volet. Après Zelensky, c'est le président sud-africain Cyril Ramaphosa qui a fait les frais, ces derniers jours, du dispositif organisé par l'ancienne star de télé-réalité.Mais tandis que Trump théâtralise sa présidence, les voyants économiques virent au rouge. Les marchés doutent, la récession menace, et la consommation des ménages fléchit, étranglée par l'inflation. Jamie Dimon, le patron de JPMorgan, a récemment tiré la sonnette d'alarme : la politique économique actuelle pourrait déclencher une crise majeure de la dette américaine.Alors, quelles sont les raisons de la rupture entre Elon Musk et Donald Trump ? Faut-il craindre une crise majeure de la dette américaine ? Quelles en seraient les conséquences ? Quel est le bilan de la diplomatie-spectacle de Donald Trump ?LES EXPERTS :- Nicolas BOUZOU - Économiste – Auteur de La civilisation de la peur, chroniqueur à L'Express - Christine OCKRENT - Journaliste spécialiste des Affaires étrangères - France culture- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang
Le 28 mai 2025, le peuple Namibien célèbre pour la première fois la commémoration du génocide des Herero et des Nama. En Namibie sous occupation allemande, ce massacre avait à l'époque tué 80% et 50 % de la population respective de ces deux peuples, entre 1904 et 1908. Pour s'emparer de leurs terres en 1904, le Kaiser Wilhelm II envoie 14 000 soldats. Ils sont dirigés par le Général Von Trotha, qui adressa une lettre au peuple Herero dans laquelle on pouvait lire “Tout Herero, avec ou sans armes sera exécuté” Quel est le contexte de ce génocide ? L'allemagne reconnaît-elle ce génocide ? Comment vivent les Hereros et les Namas aujourd'hui ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le massacre de Thiaroye ? Mines, armes chimiques… : quelles sont les armes interdites en guerre ? Qu'est-ce que le projet Périclès, pour donner le pouvoir à l'extrême droite ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:13:01 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Dans ce nouvel épisode de notre série consacrée aux grands penseurs des relations internationales et de la géopolitique, nous nous penchons aujourd'hui sur l'un de leurs pionniers : Sun Tzu. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Yann Couderc Historien de l'armée de Terre, colonel
C dans l'air du 27 mai 2025 : Dette : "tous les Français" vont payer.Le Premier ministre a annoncé, ce mardi matin, un vaste plan de redressement des finances publiques qui portera sur trois ou quatre ans. Détaillé par le gouvernement au mois de juillet ce plan pluriannuel "de retour à l'équilibre des finances publiques va demander un effort à tous les Français. Le plus juste possible, mais un effort suffisant pour que la France sorte de cette situation qu'on a laissé grandir" a déclaré François Bayrou. Confronté d'ores et déjà à la colère des taxis, le chef du gouvernement a confirmé que la réforme de la rémunération du transport des malades s'appliquera bien début octobre et générera même "davantage d'économies que prévu" grâce à la concertation qui va s'ouvrir. Le Premier ministre a également indiqué qu'il souhaitait que les partenaires sociaux s'emparent de la question de la TVA sociale, abrogée par François Hollande en 2012. Ce dispositif consiste à compenser les réductions de cotisations qui repose sur le travail par une augmentation de la TVA pour compenser les pertes de recettes de la Sécurité sociale."Je souhaite que tous ceux qui ont la responsabilité du monde du travail, du monde de l'entreprise et du monde des salariés, acceptent de poser ensemble cette question", a affirmé le chef du Modem. François Bayrou ajoutant que "le travail en France n'est pas récompensé comme il devrait l'être" et se disant "prêt à revoir la totalité de la question du financement du modèle social français". Emmanuel Macron avait exprimé le 13 mai dernier son souhait d'"aller chercher de l'argent en dehors du seul travail", notamment par le biais de la "consommation", pour financer notre modèle social alors que les défaillances d'entreprises continuent d'augmenter en 2025 et les comptes publics sont dans le rouge.Hier, à quelques heures de présenter un rapport sur la Sécurité sociale, le premier président de la Cour des Comptes Pierre Moscovici a appelé la France à "reprendre le contrôle" de ses finances, dénonçant des dérapages et des années noires en 2023 et 2024. Face à une trajectoire des comptes de la Sécurité sociale "hors de contrôle", les sages de la rue Cambon explorent dans leur dernier rapport plusieurs préconisations. Parmi celles-ci, se trouvent des mesures de rééquilibrage des charges patronales, le cumul emploi-retraite ou encore la lutte contre la fraude à l'étranger.Alors quelle est la situation des finances publiques ? Comment redresser les comptes ? Qu'est-ce que la TVA sociale ? La fiscalité sur le travail est-elle trop lourde ? Le capital doit-il être plus taxé ? Quelles sont les pistes d'économie ? Qui va payer ?LES EXPERTS :- FRANÇOIS ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business et auteur de Le Vacataire- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs