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Direction Israël avec une nouvelle manifestation contre la guerre. Plusieurs centaines de pilotes de l'armée israélienne, des réservistes ou des hommes à la retraite, se sont mobilisés à Tel Aviv pour dénoncer la stratégie de Benyamin Netanyahou à Gaza. Le Premier ministre israélien qui, on le rappelle, a déclaré son intention de prendre le contrôle de l'enclave palestinienne. Reportage de notre correspondante Bethsabée Salem.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 13 août 2025 - Budget: quand la canicule s'en mêleEmission présentée par Salhia Brakhlia.Déjà en difficulté, l'économie française est mise à mal par la canicule, qui coûte cher à l'Etat et aux Français. Soumis à de très fortes chaleurs, les employés du bâtiment ou agricoles travaillent moins et la productivité diminue. Alors que le système de climatisation de nombreux trains risquent de tomber en panne sous l'effet des températures élevées, la SNCF est contrainte d'en supprimer par dizaines. Quand aux centrales nucléaires, certaines se retrouvent forcées de mettre des réacteurs à l'arrêt car les rivières étant trop chaudes, l'eau ne peut être prélevée normalement pour les refroidir.En matière budgétaire, l'Etat commence à être à bout de souffle. Le gouvernement de François Bayrou s'apprête ainsi à prendre des mesures drastiques qui font déjà grincer des dents. Car ce sont en effet plus de 43 milliards d'euros qu'il faudra mobiliser pour boucler le budget de l'année 2026.Suppression de l'abattement de 10% sur les impôts des retraités, suppression de jours feriés, économies sur l'assurance chômage ou encore sur le système hospitalier... Le Premier ministre a multiplié les ballons d'essai. Tous ces arbitrages auront lieu en septembre mais on peut d'ores et déjà s'attendre à un serrage de vis difficile à accepter.Parmi les différentes mesures annoncées par François Bayrou, certaines cristallisent les crispations. C'est notamment le cas de la suppression de deux jours fériés. Le Premier ministre avait cité "comme exemple" le "lundi de Pâques" et le "8-Mai". Une mesure qui doit permettre d'économiser "4,2 milliards" d'euros, selon Matignon.Au sein des entreprises, les avis sont unanimes. Une équipe de C dans l'air a pu le vérifier en se rendant dans une usine qui produit des panneaux de bois. Sur place, il est hors de questions pour les ouvriers de se priver de deux jours de congé. La cadence élevée de la production et l'usure à la tâche rendent nécessaires ces temps d'arrêt où les travailleurs peuvent souffler. C'est selon eux une respiration indispensable pour bien faire leur travail. Auprès d'employés de bureau, l'opinion est la même, comme, d'ailleurs, dans le reste de la population. Selon un récent sondage Elabe pour BFMTV, 75% des Français se disent opposés à cette suppression de deux jours fériés. Plus généralement, 72 % des Français trouvent que le Premier ministre ne "répartit pas équitablement les efforts demandés", selon un sondage de l'Ifop publié en juillet pour LCI.Les Français se plaignent également d'une baisse de la qualité des services publics. C dans l'air a suivi un postier qui effectue sa tournée à l'ancienne. Il regrette de voir son entreprise tenter de faire des économies à tout prix. Il dénonce les services à la personne, payants, mis en place par La Poste, comme le fait de passer un peu de temps avec les personnes âgées et isolées. Ce moment simple était autrefois naturel et gratuit. Lui met un point d'honneur à essayer de passer du temps avec les gens qu'il suit. La disparition de ce lien du quotidien fait selon lui partie des éléments qui nourrissent une colère croissante au sein de la population.Entre le vote du budget et une mobilisation sociale qui s'organise pour septembre, la rentrée politique s'annonce compliquée.Comment trouver les 43 milliards d'euros manquants pour finaliser le bugdet 2026 ? L'effort demandé aux Français est-il équitablement réparti ? Les services publics français sont-ils menacés par les futures restrictions budgétaires ?LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance - Auteur de « L'Horizon des possibles »- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions – « Les Echos »- Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - « La Tribune Dimanche »- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - « Le Nouvel Obs »
durée : 00:26:25 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - Alors qu'une grande partie de la France est touchée par une nouvelle période de canicule, certaines études montrent que la chaleur accroît les inégalités. Grand Entretien avec l'urbaniste Amandine Richaud-Crambes, l'architecte Éric Daniel-Lacombe et l'épidémiologiste Kévin Jean. - invités : Amandine Richaud-Crambes, Kevin Jean, Eric Daniel-Lacombe - Amandine Richaud-Crambes : Urbaniste, directrice de La Fabrique des Mobilités, Kevin Jean : Epidémiologiste, maître de conférences au CNAM, Eric Daniel-Lacombe : Architecte Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:29 - Le Masque et la Plume - Discussion autour du film « Sorry Baby » d'Eva Victor, qui met en scène une jeune femme confrontée aux conséquences d'un viol. Un récit fragmenté qui interroge la notion de temporalité et de résilience. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:33 - C'est mon boulot - La vie professionnelle se termine parfois au tribunal. Dans "C'est mon boulot" au mois d'août, on explore des contentieux entre salariés et employeurs. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 6 août 2025 : Incendie dans l'Aude : la France doit-elle se préparer au pire ?Emission présentée par Salhia BRAKLIUn immense panache de fumée, 13 000 hectares calcinés et au moins un mort. C'est le bilan mercredi midi du plus gros incendie de l'été qui ravage l'Aude depuis hier après-midi. Le bilan pourrait s'alourdir puisqu'une personne est en urgence absolue, et une autre a disparu. Parmi les quinze communes touchées par l'incendie, les efforts des pompiers se concentrent sur le village de Roquefort-des-Corbières. 1800 soldats du feu et 600 engins ont été déployés, dont plusieurs canadairs. De l'autre côté de l'A9, deux campings ont été évacués par précaution à La Palme. Si les causes du départ demeurent inconnues, le département avait été placé en vigilance rouge aux feux de forêt avec risque très élevé d'incendie. Les températures autour de 35 degrés, la faible humidité et les rafales de vent jusqu'à 40 km/h n'arrangent rien à la situation. Le Premier ministre François Bayrou se rend cet après-midi dans le département pour constater les dégâts.Alors que le réchauffement climatique se fait toujours plus pressant, les agriculteurs doivent eux-aussi s'adapter aux sécheresses à répétition et à une consommation de vin en recul, en France, depuis plusieurs années. Dans le sud de la France, de nombreux viticulteurs ont fait le choix de la diversification : herbes aromatiques, grenades, pomelos et autres agrumes côtoient désormais les vignes. "Ce sont deux activités qui se complètent bien. Quand le travail se réduit dans les vignes, on attaque la récolte des grenades, entièrement manuelle. Et c'est un arbre qui résiste bien aux maladies et se cultive sans traitement", témoignait un viticulteur du Gard au journal Le Monde cet hiver. Une équipe de C dans l'air s'est rendue dans le département pour comprendre comment la filière s'adapte à la crise.L'environnement est d'ailleurs devenu une des principales préoccupations des Français, en témoigne le niveau inédit de 2 millions de signatures de la pétition contre la loi Duplomb. Le texte, déjà adopté par le Parlement, doit passer devant le Conseil Constitutionnel à partir de demain. Au cœur de cette loi, la réintroduction, sous conditions, d'un pesticide banni en France depuis 2018, pourrait faire basculer la décision des Sages. Certains juristes s'appuient sur le principe de "non-régression" du droit environnemental, instauré par le Code de l'environnement, pour évoquer une potentielle censure. Mais rien n'est moins sûr : en 2020, le Conseil constitutionnel avait déjà rendu une décision en faveur de la réintroduction exceptionnelle de pesticides. Sur le versant politique, les opposants estiment que la loi a été victime d'un déni démocratique. La proposition de loi avait en effet fait l'objet d'une motion de rejet par ses défenseurs, visant à négocier son contenu en commission mixte paritaire pour éviter les amendements.Où en est l'incendie dans l'Aude ? La vague de chaleur dans le sud de la France risque-t-elle d'aggraver la situation ? Comment les viticulteurs s'adaptent au réchauffement climatique ? Et le Conseil constitutionnel peut-il retoquer la loi Duplomb ?LES EXPERTS :- Marc LOMAZZI - Journaliste spécialiste des questions environnementales Auteur de « France 2050. Le scénario noir du climat »- Emma HAZIZA - Hydrologue, docteur de l'École des Mines- Amélie MOUGEY - Directrice de la rédaction - Reporterre- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Eric BROCARDI (en duplex) - Porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France
durée : 00:02:51 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Marius, 9 ans, compte bien en savoir plus sur les origines géographiques précises de notre lignée humaine qui recouvre encore plein de mystères ! Pour lui répondre, Evelyn Heyer, biologiste et paléoanthropologue. - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Premier ministre israélien durcit le ton. « Dimanche, rapporte Haaretz à Tel Aviv, Netanyahu annonce une extension de la guerre contre le Hamas. Puis, dans une vidéo publiée le lendemain, il affirme qu'il est déterminé à poursuivre la guerre, à éliminer le Hamas à Gaza et, dit-il, à "libérer nos fils otages". Enfin hier soir, un autre message radical arrive : Netanyahu, par l'intermédiaire d'un haut responsable de son équipe, annonce sa décision de conquérir l'ensemble du territoire de Gaza ». Autant d'annonces radicales, donc, et ce, pointe encore Haaretz, « malgré l'opposition du chef d'État-major de Tsahal, le général Eyal Zamir, malgré l'épuisement des unités combattantes et malgré les réserves croissantes de l'opinion publique israélienne ». Et le quotidien israélien d'opposition de s'interroger : « pourquoi la pression militaire, qui n'a pas donné de résultats depuis des mois, devrait-elle maintenant permettre la libération des otages ? Comment les récupérer intacts des tunnels ? Qu'est-ce qui assure Netanyahu que confier cette mission aux forces terrestres épuisées réussira cette fois-ci ? Qui remplacera le chef d'État-major, le général Zamir, s'il est effectivement remplacé ? (…) On a coutume de dire qu'il est difficile en Israël de mener une guerre sans consensus public, et sans l'approbation du chef d'État-major des armées. Or, dans le cas présent, Netanyahu affiche sa détermination à poursuivre la guerre sans l'un et sans l'autre ». Jusqu'au-boutiste… « En Israël, le coup de pression de Benyamin Netanyahu pour une opération visant à contrôler l'ensemble de Gaza », titre Libération à Paris. « Selon la presse israélienne, le Premier ministre souhaiterait que l'armée prenne le contrôle de l'ensemble du territoire palestinien. Mais le chef d'État-major a mis en garde le chef du gouvernement sur les risques que feraient peser une telle stratégie sur la vie des derniers otages israéliens retenus à Gaza ». Et Libération de s'interroger : « est-ce le signe d'un désaccord entre le pouvoir politique et l'armée israélienne ? » En tout cas, pointe encore le quotidien français, « ce nouveau coup de pression du Premier ministre israélien semble une nouvelle fois privilégier une position jusqu'au-boutiste, en dépit des réticences de l'institution militaire et des services de sécurité ». Quel horizon ? Comment sortir de ce conflit ? Pour Le Monde à Paris, « une seule issue, la mobilisation internationale. La démarche (hier) des anciens hauts responsables de la sécurité de l'État hébreu qui appellent Donald Trump à faire pression sur Benyamin Netanyahu confirme qu'il ne faut rien attendre de la coalition au pouvoir en Israël et que la pression internationale est le seul moyen de faire plier le Premier ministre israélien. Lorsque ces personnalités évoquent la mise en place d'une "coalition régionale-internationale qui aide l'Autorité palestinienne (une fois réformée) à offrir aux Gazaouis et à tous les Palestiniens une alternative au Hamas", ils appuient à leur manière l'initiative lancée conjointement par la France et l'Arabie saoudite pour tirer de l'oubli la solution des deux États. Personne ne peut plus se contenter, en effet, conclut Le Monde, d'un cessez-le-feu privé d'horizon diplomatique. L'internationalisation du conflit israélo-palestinien par la mobilisation d'une coalition de bonnes volontés est aujourd'hui une nécessité ». Isoler le Hamas « Quelle est la prochaine étape pour Gaza ? », s'interroge en écho le New York Times. « Certainement pas tenter d'occuper Gaza à long terme, comme l'envisage Netanyahu. Ce serait une erreur colossale. (…) Tout d'abord, et c'est le plus évident : le gouvernement israélien doit acheminer, en abondance et avec un effet immédiat et indéniable, de la nourriture et des médicaments aux endroits de Gaza qui en ont désespérément besoin ». Ensuite, le New York Times fait sienne la proposition de l'ancien Premier ministre Naftali Bennett, à savoir : « encercler et isoler le champ de bataille, en permettant l'entrée de nourriture et de médicaments, mais bloquer les choses dont le Hamas a besoin pour maintenir sa machine de guerre, en particulier le carburant pour les générateurs dans les tunnels et le béton pour les construire. (…) Il est temps, s'exclame le quotidien américain, que le Hamas subisse le poids de la pression, surtout de la part des habitants de Gaza, pour les ruines qu'il a créées ».
Ecoutez RTL Midi avec Pierre Herbulot du 05 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un conflit qui ne date pas d'hier, celui entre Arianne Navarre-Marie et AnishtaBabooram.Le post de cettedernière sur sa page Facebook entémoigne :« J'aigardé le silence et j'aisupporté les choses assezlongtemps. Tout le monde mérite d'être traité avec dignité. »AnishtaBabooramaffirme ne plus pouvoir supporter la situation ni la manièredontelleesttraitéepar la ministre de l'Égalité des genres.Enrevanche, lorsd'unecérémonie le 4 août, Arianne Navarre-Marie a précisé que ceux qui veulenttravailler le font avec engagement.Une guerre froide qui duredepuisjanvier de cetteannée entre les deux femmes,
Le secteur du thé en pleine expansion. En 2023, la production de feuilles de thé a enregistré une hausse de 6,5 % par rapport à 2022. Le National Agricultural Products Regulatory Office (NAPRO), sous la tutelle du ministère de l'Agro-Industrie, a publié un communiqué officiel concernant le premier paiement partiel des feuilles de thé vert pour l'année 2024/2025. Conformément aux nouvelles dispositions, les producteurs devront verser une rémunération de Rs 6,00 par kilo aux cultivateurs, qu'il s'agisse de planteurs individuels ou de membres de coopératives. Rajkumar Jalloo, Senior Technical Officer rappelle que ces paiements devront être effectués au plus tard le 31 août 2025.
Sur sa page Facebook, la ministre déléguée au ministère de l'Égalité des genres, Anishta Babooram, avait publié le message suivant : « I have been bearing things for long enough… » Cette publication a provoqué une réaction de la ministre Arianne Navarre-Marie, qui a pris la parole dans une vidéo pour pointer du doigt l'attitude de la Junior Minister. En réponse, Anishta Babooram a affirmé que les propos de la ministre sont faux, tout en rappelant qu'elle est une élue du peuple. Cependant, elle a choisi de ne pas faire d'autres déclarations à ce stade, indiquant qu'elle préfère attendre la réunion prévue entre le Deputy Prime Minister Paul Bérenger et le Premier ministre, le Dr Navin Ramgoolam. Anishta Babooram a également précisé qu'Arianne Navarre-Marie lui aurait uniquement confié des tâches administratives, à savoir prendre des notes et contacter des personnes de sa circonscription rencontrant des difficultés avec les crèches.
durée : 00:05:36 - La main verte - par : Alain Baraton - Ce matin pour sa "Main verte", Alain Baraton remonte le temps et nous parle du plus noble des métiers, celui de jardinier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La colère gronde à Paris. Ce 18 mars 1871, le président de la République Adolphe Thiers et contraint d'opérer un repli tactique, et décide de partir pour Versailles, laissant le pouvoir aux insurgés. La Commune de Paris durera 72 jours. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 31 juillet 2025 : Loi Duplomb, budget, retraites : ça chauffe pour l'exécutif !Le dernier Conseil des ministres, ce mercredi, avant quelques jours de vacances, n'a pas marqué la fin des problèmes pour l'équipe de François Bayrou. Le Premier ministre en est bien conscient. Il devrait d'ailleurs ces prochaines semaines à négocier avec les différents groupes politiques les pistes d'économies qu'il a présentées à la mi-juillet, en vue du projet de loi de finances pour 2026. Un sommet de l'Himalaya, selon les mots qu'il utilise régulièrement pour décrire la difficulté de sa tâche.La perspective, pour l'équipe gouvernementale, d'être renversée lors du vote du budget à l'automne est dans tous les esprits. Mais ce n'est pas la seule menace qui plane sur l'exécutif.Le secrétaire général de Force ouvrière, Frédéric Souillot, a adressé mardi un courrier au Premier ministre. Il y dénonce les mesures envisagées dans le cadre du budget 2026 et annonce un préavis de grève allant du 1er septembre au 30 novembre 2025. Le troisième syndicat français a choisi de poser un jalon sans attendre la réunion de l'intersyndicale programmée pour le 1er septembre. Dans le même temps, la pétition lancée par les organisations syndicales pour dire "non au budget Bayrou" avait déjà récolté plus de 275 000 signatures mardi.Parallèlement, depuis quelques jours, des appels à bloquer le pays à partir du 10 septembre se multiplient sur les réseaux sociaux. À l'origine de cette initiative : un collectif de citoyens baptisé "Bloquons tout ! Mobilisation 10 septembre", qui revendique son indépendance vis-à-vis des partis politiques et des syndicats.Menacé par une rentrée sociale et un automne parlementaire à hauts risques, François Bayrou est également empêtré dans la contestation de la loi Duplomb. Dans une tribune publiée mardi dans Le Monde, des dizaines de scientifiques en appellent au Conseil constitutionnel pour rejeter cette loi qu'ils jugent "dangereuse pour la santé".Hier, le Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom) a lui aussi pris position contre le texte, estimant dans un communiqué que "le doute n'est pas raisonnable" et que "les alertes ne peuvent être ignorées". "Nous déplorons l'écart persistant entre les connaissances scientifiques disponibles et les décisions réglementaires. Ce décalage compromet l'application effective du principe constitutionnel de précaution", écrit le Cnom, alors que la pétition contre la loi Duplomb a franchi, lundi, le cap des deux millions de signatures sur le site de l'Assemblée nationale.Cette loi prévoit notamment la réintroduction de l'acétamipride, un puissant insecticide néonicotinoïde interdit en France depuis 2018 mais toujours autorisé ailleurs en Europe. Une mesure réclamée notamment par les producteurs de betteraves et de noisettes.Nous sommes allés à leur rencontre, au cœur de la filière française de la noisette.Avec une cote de popularité au plus bas dans les sondages, François Bayrou doit également faire face à des tensions internes, provoquées notamment par Bruno Retailleau et Rachida Dati, au sein même du gouvernement. Le chef du gouvernement a appelé ses ministres à éviter "les divergences".LES EXPERTS :- Frédéric DABI - Directeur Général Opinion de l'Ifop- Lou FRITEL - Reporter à Paris Match- Valérie GAS - Chef du service politique de RFI- Lilian ALEMAGNA - Rédacteur en chef adjoint à Libération
Le Canada suit la France et va reconnaître la Palestine comme État souverain lors de la prochaine Assemblée générale des Nations Unies en septembre. Le Premier ministre canadien Mark Carney a fait cette annonce, affirmant que son pays condamne le fait que le gouvernement israélien ait laissé une catastrophe se produire à Gaza.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les manifestations en Angola, la création d'un gouvernement parallèle des FSR et la reconnaissance prochaine d'un État palestinien par le Royaume-Uni. Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara entre officiellement dans la course présidentielle Après plusieurs mois d'attente, le président ivoirien a officialisé son intention de briguer un quatrième mandat. Pourquoi a-t-il mis autant de temps avant d'annoncer sa candidature à la présidentielle ? Pourquoi les opposants estiment que cette candidature est anticonstitutionnelle ? Avec Benoît Almeras, correspondant de RFI à Abidjan. Angola : violentes émeutes en réaction à la hausse du prix de l'essence En Angola, les heurts entre les forces de l'ordre et les manifestants contre la vie chère ont fait 22 morts en quelques jours. Pourquoi la hausse des prix du carburant a-t-elle eu un tel effet déclencheur chez les populations ? Comment le gouvernement réagit-il face à ces émeutes ? Avec Chloé Buire, chargée de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), laboratoire Les Afriques dans le Monde. Soudan : les FSR passent à l'offensive politique Les Forces de soutien rapide ont annoncé la formation d'un gouvernement parallèle au Soudan. Quel est le pouvoir réel de ce gouvernement parallèle sur le terrain et qui en sont les principaux acteurs ? Quels sont les risques d'escalade militaire entre l'armée régulière et les FSR après cette annonce ? Avec Houda Ibrahim, journaliste au service Afrique de RFI. Royaume-Uni : vers une reconnaissance d'un État palestinien? Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni pourrait reconnaître l'État palestinien en septembre sauf si Israël répond à plusieurs engagements. Pourquoi le Royaume-Uni insiste-t-il pour poser des conditions sur cette reconnaissance ? L'État hébreu pourrait-il répondre favorablement à cet appel ? Avec David Rigoulet-Roze, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégique (IFAS), rédacteur en chef de la revue Orients Stratégiques.
Dans cette édition :Une étudiante gazaouie exclue de Sciences Po Lille pour des propos antisémites et pro-terroristes est sur le point de quitter le territoire français, malgré une enquête judiciaire ouverte à son encontre.En Corse, un accident impliquant un petit train touristique a fait plusieurs blessés graves, le conducteur a été placé en garde à vue.Le nageur français Léon Marchand a remporté le titre de champion du monde sur 200m 4 nages, battant des records.La préfète du Rhône dénonce un sentiment d'impunité chez les étrangers en situation irrégulière face à la hausse des délits violents.Le Premier ministre François Bayrou appelle la France à s'affirmer face à la politique commerciale de Donald Trump et aux tensions en Ukraine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant de devenir ce vieillard décharné admiré par toute l'Europe, ce grand dramaturge ami des souverains, défenseur de Calas, le riche ermite de Ferney a été un jeune homme libre et charmant. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Droits de douane : L'accord conclu entre Donald Trump et Ursula von der Leyen dimanche n'est pas accueilli de la même manière par tous les Etats européens. Et pour cause : les intérêts économiques des 27 membres de l'UE divergent. La France, déçue de l'accord commercial annoncé dimanche entre l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis, a plaidé lundi pour que l'Europe se montre plus ferme lors des négociations à venir sur ses modalités d'application. Le Premier ministre français François Bayrou a regretté "un jour sombre" pour l'Europe qui "se résout à la soumission". Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Vincent Derosier du 29 juillet 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 28 juillet 2025 - Droits de douane: Trump humilie l'EuropeC'est à l'issue d'un entretien express de tout juste une heure, en Écosse, que Donald Trump et Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ont annoncé hier avoir trouvé un accord commercial entre les États-Unis et l'Union européenne. "Nous avons trouvé un accord", s'est félicité le président américain, n'hésitant pas à le qualifier de "plus grand jamais conclu en matière de commerce". Ursula von der Leyen a salué, pour sa part, un "bon accord" qui devrait "apporter de la stabilité".Au cœur de l'accord : les droits de douane. Washington s'engage à limiter à 15 % les taxes sur les produits européens importés, contre les 30 % initialement envisagés par Donald Trump. En contrepartie, Bruxelles renonce à toute riposte tarifaire et s'engage à injecter des sommes colossales dans l'économie américaine : 750 milliards de dollars d'achats d'énergie sur trois ans, ainsi que 650 milliards d'investissements, notamment dans l'implantation d'usines. Des achats d'équipements militaires sont également évoqués.En échange, plusieurs produits stratégiques — aéronautique, chimie, semi-conducteurs, agriculture et matières premières critiques — seront exemptés de droits de douane. La surtaxe sur les voitures européennes passera de 25 % à 15 %.L'accord doit encore être validé par les États membres. L'Allemagne, premier partenaire commercial des États-Unis en Europe, a salué l'initiative : "Nous avons su préserver nos intérêts fondamentaux", a estimé le chancelier Merz, tout en regrettant le manque d'avancées sur certains volets. L'Italie a également applaudi l'accord dans la soirée.En France, en revanche, le ministre délégué aux Affaires européennes a estimé que cet accord apporte "une stabilité temporaire" mais reste "déséquilibré" et a insisté sur la nécessité d'agir pour le "rééquilibrer", en particulier sur les services. Le Premier ministre François Bayrou a, lui, évoqué une "soumission" et a dénoncé "un jour sombre" alors que les réactions se multiplient dans la classe politique. "Fiasco politique, économique et moral", selon Marine Le Pen. "Tout est cédé à Donald Trump", d'après Jean-Luc Mélenchon.Alors, que contient cet accord commercial ? Comment se sont déroulées les négociations avec Donald Trump ? L'Europe cède-t-elle à une « extorsion mafieuse » de Donald Trump ? Pour Jean-Luc Demarty, ancien directeur général du Commerce extérieur et de l'Agriculture à la Commission européenne de 2011 à 2019, les méthodes utilisées par le président des États-Unis sont assez proches de celles de la mafia. Il a accordé à nos journalistes une longue interview.LES EXPERTS : - Richard WERLY - Correspondant France/Europe de Blick.fr- Florian LOUIS - Historien, spécialiste des relations internationales- Sylvie MATELLY - Economiste et directrice de l'Institut Jacques Delors- Sonia DRIDI - Correspondante à Washington pour France24 et la RTBF PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans le supplément de ce samedi, direction l'Inde pour suivre la Kumbh Mela, pèlerinage qui pourrait être le plus grand rassemblement religieux de l'humanité, entre démesure et défi organisationnel pour son plus fervent promoteur, Narendra Modi. Puis, en deuxième partie, nous allons au Brésil voguer avec les derniers transporteurs de marchandises en voiliers traditionnels, moyen de transport qui tend à disparaître... (Rediffusion) La Kumbh Mela, grand-messe mystique, grands jeux politiques C'est un festival attendu depuis 144 ans. Ce sont les astres qui définissent le calendrier. Nous sommes en Inde et, depuis le 13 janvier, la Maha Kumbh Mela se poursuit sur les berges du Gange. Pour les fidèles hindous, durant 45 jours, se baigner dans le fleuve sacré, c'est l'assurance de sortir du cycle maudit des réincarnations. Il s'agirait du plus grand rassemblement de l'humanité. En tout cas, si on en croit Narendra Modi qui, depuis 2014, se pose en grand promoteur de l'hindouisme. Le Premier ministre indien a voulu en faire le plus démesuré, mais également le plus propre et le plus technologique des pèlerinages. Il y a la foi… mais cette Kumbh Mela, c'est aussi une gigantesque vitrine idéologique. ► « La Kumbh Mela, grand-messe mystique, grands jeux politiques », un Grand Reportage de Côme Bastin. Brésil : le transport de marchandises en voilier traditionnel, à bout de souffle Ils sont les derniers survivants d'une époque révolue. Dans la baie de Salvador de Bahia au Brésil, les Saveiros voguent toujours. Mais ils sont les derniers voiliers traditionnels en bois, à acheminer des matériaux de construction vers des rives difficilement accessibles. Ils ne sont plus qu'une dizaine à convoyer pierres, graviers et sable, à la force du vent. Ils étaient plus d'une centaine, il y a environ 60 ans, approvisionnant Salvador, la capitale régionale en produits agricoles. Routes et ponts ont eu raison de ce trafic. Et, au désintérêt général, s'ajoute l'impossibilité pour les charpentiers de marine de trouver les arbres nécessaires à l'entretien des bateaux. ► « Brésil : le transport de marchandises en voilier traditionnel, à bout de souffle », un Grand Reportage de Quentin Bleuzen.
Emission C dans l'air du 25 juillet 2025 : Palestine : pourquoi Macron fait polémique C'est une annonce majeure sur la scène diplomatique. La France va reconnaître officiellement l'État de Palestine. Le président Emmanuel Macron, qui s'était engagé en faveur de cette reconnaissance il y a plusieurs mois, a confirmé jeudi soir sur le réseau social X qu'il ferait "une annonce solennelle" devant l'ONU en septembre prochain. Il a invoqué "l'engagement historique de la France en faveur d'une paix juste et durable au Moyen-Orient".Dans le même message, le chef de l'État a souligné "l'urgence" aujourd'hui "que la guerre cesse et que la population civile soit secourue". "Il faut immédiatement un cessez-le-feu, la libération de tous les otages et une aide humanitaire massive à la population de Gaza. Il faut aussi garantir la démilitarisation du Hamas, sécuriser et reconstruire Gaza. Il faut enfin bâtir l'État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu'en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient" écrit le chef de l'Etat. Il a par ailleurs adressé une lettre au président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, pour lui faire part de sa "détermination à aller de l'avant".La réponse palestinienne n'a pas tardé. Le vice-président de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Hussein al-Cheikh, a salué une "position qui reflète l'attachement de la France au droit international", selon des propos rapportés par la BBC. Mahmoud Abbas a, de son côté, qualifié la décision de "victoire pour la cause palestinienne".En Israël, la réaction a été immédiate et virulente. Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou a dénoncé "fermement" cette annonce. "Dans ces conditions, un État palestinien serait un tremplin pour anéantir Israël, et non pour vivre en paix à ses côtés", a-t-il écrit sur X. Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a pour sa part qualifié la décision française de "honteuse" et de "capitulation face au terrorisme".Allié historique d'Israël, Washington a également rejeté l'initiative. Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a dénoncé une décision "imprudente" et un "camouflet pour les victimes du 7 octobre". À l'inverse, plusieurs États arabes ont salué la décision française. Le ministère saoudien des Affaires étrangères a notamment évoqué "une décision historique qui réaffirme le consensus de la communauté internationale sur le droit du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'établissement d'un État indépendant sur les frontières de 1967".Sur le territoire national, les réactions sont tout aussi divisées. Le Rassemblement national a dénoncé "une faute politique et morale", tandis qu'à gauche, plusieurs responsables ont salué une "victoire morale" et ont appelé à "des sanctions" contre le gouvernement israélien de Benyamin Netanyahou.Avec cette annonce, la France est le premier pays du G7 à avoir officialisé son intention de reconnaître l'État de Palestine. Pourtant, elle n'est pas seule. La Palestine est déjà reconnue officiellement par 147 États sur les 193 membres de l'ONU, soit près de 75 % des États membres. Depuis mai 2024, l'Espagne, l'Irlande, la Norvège, puis la Slovénie l'ont également fait.Alors, que va changer cette décision ? Pourquoi est-elle historique ? Quels sont les enjeux derrière cette reconnaissance de l'État de Palestine ?LES EXPERTS : - Vincent HUGEUX - Journaliste spécialiste des enjeux internationaux, enseignant à Sciences Po- Patricia ALLEMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales - Anthony BELLANGER - Éditorialiste international - Franceinfo TV- Richard WERLY - Journaliste, correspondant à Paris du média suisse Blick.ch
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou tente de ressouder les différentes sensibilités politiques au sein du gouvernement.La droite s'organise en vue de la prochaine élection présidentielle, avec le maire LR de Cannes, David Lisnard, qui propose un projet commun pour unir l'ensemble des formations de droite.Le président Emmanuel Macron annonce la reconnaissance de l'État palestinien, suscitant de vives réactions de la part d'Israël et des États-Unis.13 nouveaux détenus, dont Mohamed Amra, sont transférés sous haute sécurité dans la prison de Vendin-le-Vieil, un an après l'évasion qui a coûté la vie à deux agents.Une nouvelle procédure simplifiée est mise en place pour permettre aux propriétaires de récupérer plus rapidement les loyers impayés.Des chefs de cuisine lancent un appel pour protéger la gastronomie française, menacée par l'augmentation des coûts des matières premières et les normes trop contraignantes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou tente de ressouder les différentes sensibilités politiques au sein du gouvernement.La droite s'organise en vue de la prochaine élection présidentielle, avec le maire LR de Cannes, David Lisnard, qui propose un projet commun pour unir l'ensemble des formations de droite.Le président Emmanuel Macron annonce la reconnaissance de l'État palestinien, suscitant de vives réactions de la part d'Israël et des États-Unis.13 nouveaux détenus, dont Mohamed Amra, sont transférés sous haute sécurité dans la prison de Vendin-le-Vieil, un an après l'évasion qui a coûté la vie à deux agents.Une nouvelle procédure simplifiée est mise en place pour permettre aux propriétaires de récupérer plus rapidement les loyers impayés.Des chefs de cuisine lancent un appel pour protéger la gastronomie française, menacée par l'augmentation des coûts des matières premières et les normes trop contraignantes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous que le thé a déjà déclenché des révolutions ? Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Alexandre Jouan de la chaîne @danstonassiette3254 Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Claude Fohlen, Les Pères de la Révolution américaine, Paris, Albin Michel, 1989. Howard Zinn, Une histoire populaire des États-Unis, Marseille, Éditions Agone, 2002 Bernard Cottret, La Révolution américaine : La quête du bonheur (1763-1787), Paris, Perrin, coll. « Pour l'histoire », 2003 https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22424/boston-tea-party/ https://www.grafiati.com/fr/literature-selections/boston-tea-party/ https://www.youtube.com/watch?v=1Nnlinlz-ns Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #the #tea #revolution #americanrevolution
C'est un marché en plein essor : celui des batteries, de plus en plus cruciales dans un monde qui cherche à recourir à plus d'électrique, et à moins de pétrole. Pour donner un coup de fouet à l'économie de son pays, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a invité plusieurs entreprises chinoises à s'implanter, malgré la réticence, voire l'hostilité, d'une majorité de la population. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe La population hongroise rétive aux usines de batteries Dans 10 ans, les voitures neuves vendues dans l'Union européenne devront toutes être électriques et la course à la production de batteries est lancée. Le Premier ministre Viktor Orban veut faire de la Hongrie un producteur de rang mondial, notamment parce que l'industrie automobile allemande fabrique beaucoup dans son pays. Il a invité des entreprises chinoises à venir s'implanter. Un grand pôle industriel est en train de voir le jour dans l'est du pays où le géant chinois CATL construit la plus grande usine de batteries du continent européen. Selon plusieurs sondages, la majorité de la population est hostile à la présence de ces usines et à Debrecen, la colère gronde : les riverains dénoncent un risque élevé de pollution. Reportage Florence La Bruyère. En Grèce, faire de la radio pour apprendre La radio comme outil ludique et pédagogique, c'est ce que propose en Grèce, le réseau social éducatif ‘European School Radio', installé dans les locaux de l'Université internationale de Thessalonique. Repérer les infox et les campagnes de manipulation demande une vigilance sans cesse plus élevée et l'éducation joue un rôle essentiel : mi-avril 2025, le festival Radio kids Europe a permis aux enfants et adolescents grecs, avec la participation de jeunes Allemands, Français et Chypriotes de s'exercer au décryptage et à la production de l'information. Reportage à Neos Marmaras, dans le nord de la Grèce, Joël Bronner. Chronique musicale Le choix musical de Vincent Théval : Call me back, du groupe Suisse Sirens Of Lesbos. Charpentière et infirmier : l'Allemagne face aux préjugés de genre L'Allemagne fait partie des pays européens qui manquent cruellement de main-d'œuvre. De nombreux secteurs professionnels peinent à recruter outre-Rhin : la santé, le soin, la construction, les métiers manuels ou encore l'informatique. Parmi les facteurs qui entrent en jeu dans cette situation, il y a les préjugés de genre. Certains métiers sont toujours considérés comme féminins ou masculins, que ce soit par les candidats ou par les employeurs. Pour casser les stéréotypes et susciter des vocations, l'Allemagne organise tous les ans des journées découvertes des métiers. Celle qui concerne les filles, le « girls' day » a beaucoup de succès. Reportage à Berlin, Delphine Nerbollier.
C'est un marché en plein essor : celui des batteries, de plus en plus cruciales dans un monde qui cherche à recourir à plus d'électrique, et à moins de pétrole. Pour donner un coup de fouet à l'économie de son pays, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a invité plusieurs entreprises chinoises à s'implanter, malgré la réticence, voire l'hostilité, d'une majorité de la population. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe La population hongroise rétive aux usines de batteries Dans 10 ans, les voitures neuves vendues dans l'Union européenne devront toutes être électriques et la course à la production de batteries est lancée. Le Premier ministre Viktor Orban veut faire de la Hongrie un producteur de rang mondial, notamment parce que l'industrie automobile allemande fabrique beaucoup dans son pays. Il a invité des entreprises chinoises à venir s'implanter. Un grand pôle industriel est en train de voir le jour dans l'est du pays où le géant chinois CATL construit la plus grande usine de batteries du continent européen. Selon plusieurs sondages, la majorité de la population est hostile à la présence de ces usines et à Debrecen, la colère gronde : les riverains dénoncent un risque élevé de pollution. Reportage Florence La Bruyère. En Grèce, faire de la radio pour apprendre La radio comme outil ludique et pédagogique, c'est ce que propose en Grèce, le réseau social éducatif ‘European School Radio', installé dans les locaux de l'Université internationale de Thessalonique. Repérer les infox et les campagnes de manipulation demande une vigilance sans cesse plus élevée et l'éducation joue un rôle essentiel : mi-avril 2025, le festival Radio kids Europe a permis aux enfants et adolescents grecs, avec la participation de jeunes Allemands, Français et Chypriotes de s'exercer au décryptage et à la production de l'information. Reportage à Neos Marmaras, dans le nord de la Grèce, Joël Bronner. Chronique musicale Le choix musical de Vincent Théval : Call me back, du groupe Suisse Sirens Of Lesbos. Charpentière et infirmier : l'Allemagne face aux préjugés de genre L'Allemagne fait partie des pays européens qui manquent cruellement de main-d'œuvre. De nombreux secteurs professionnels peinent à recruter outre-Rhin : la santé, le soin, la construction, les métiers manuels ou encore l'informatique. Parmi les facteurs qui entrent en jeu dans cette situation, il y a les préjugés de genre. Certains métiers sont toujours considérés comme féminins ou masculins, que ce soit par les candidats ou par les employeurs. Pour casser les stéréotypes et susciter des vocations, l'Allemagne organise tous les ans des journées découvertes des métiers. Celle qui concerne les filles, le « girls' day » a beaucoup de succès. Reportage à Berlin, Delphine Nerbollier.
C'est un festival attendu depuis 144 ans. Ce sont les astres qui définissent le calendrier. Nous sommes en Inde et, depuis le 13 janvier, la Maha Kumbh Mela se poursuit sur les berges du Gange. Pour les fidèles hindous, durant 45 jours, se baigner dans le fleuve sacré, c'est l'assurance de sortir du cycle maudit des réincarnations. Il s'agirait du plus grand rassemblement de l'humanité. En tout cas, si on en croit Narendra Modi qui, depuis 2014, se pose en grand promoteur de l'hindouisme. Le Premier ministre indien a voulu en faire le plus démesuré, mais également le plus propre et le plus technologique des pèlerinages. Il y a la foi… mais cette Kumbh Mela, c'est aussi une gigantesque vitrine idéologique. «La Kumbh Mela, grand-messe mystique, grands jeux politiques», un Grand Reportage de Côme Bastin. (Rediffusion)
Gel des dépenses de l'État, non remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite, une coupe de cinq milliards dans les dépenses de santé. Le Premier ministre François Bayrou a annoncé un plan destiné à économiser près de 44 milliards d'euros pour limiter le déficit public. « Des mesures simples, voire simplistes, fustige Le Point dans son éditorial. En tout cas rapides à mettre en œuvre ». L'hebdomadaire déplore l'absence de réforme annoncée. Un sentiment que partage le Le Journal du Dimanche : « Quand s'attaquera-t-on aux dépenses de l'État ?» se demande le média qui pointe le risque à terme d'une dégradation de la note de la France sur les marchés financiers, ce qui obligerait le pays à emprunter à des taux plus élevés. « Des mesures qui visent les classes moyennes et les plus modestes », écrit Le Nouvel Obs qui recense plusieurs mesures comme le gel des prestations sociales « qui laissent effectivement à penser que les classes populaires seront bien plus mise à contribution que les Français les plus riches ». Marianne, de son côté, déplore que le Premier ministre demande « des efforts aux français, aux plus âgés notamment, sans leur expliquer pourquoi le pays s'est enfoncé dans les déficits ? Sans exercer un droit d'inventaire sur les orientations du président de la République ? » S'attaquer au déficit public L'Express consacre tout un dossier au déficit public et s'interroge : « Pourquoi les autres font mieux que nous ? ». La France est l'un des plus mauvais élèves en la matière en Europe, elle « s'endette désormais à des taux plus élevés que le Portugal, l'Espagne et la Grèce ». L'Italie qui a longtemps traîné une mauvaise réputation est parvenue à faire passer son déficit à 3,4% du PIB en 2024 contre 7,2% un an plus tôt. « Un ajustement serré réalisé en un temps record, indique le magazine. Le gouvernement de Georgia Meloni a notamment supprimé différents dispositifs d'aides (...) comme le super bonus pour les travaux de rénovation énergétique (...) des mesures passées quasiment inaperçues », poursuit l'Express. L'Espagne, elle, bénéficie d'une croissance forte, mais elle a su faire des réformes, marché du travail et retraites : « elle fait davantage contribuer les plus haut revenus et maintien l'âge de départ à 67 ans », contre 62 ans en France. Et justement, « la dépense publique est de plus en plus consacrée aux retraites », poursuit l'hebdomadaire. « Les retraités vrais coupables ou boucs émissaires », s'interroge Marianne. « Depuis trente ans, la France enchaîne les réformes reculant l'âge de la retraite sans toucher aux pensions. Car les sabrer serait remettre en cause un contrat moral passé entre les générations : impensable », affirme le magazine. Et « si le sujet est tabou, c'est aussi parce que les retraités pèsent lourd dans l'électorat (...): 74% des plus de 60 ans ont voté aux dernières élections contre 51% des 25-34 ans ». L'accord sur la Nouvelle-Calédonie Accord signé après dix jours et dix nuits de négociations, selon Le Point, une table de ping-pong aurait aidé à « parvenir à un accord ». Cela a « aidé à détendre l'ambiance », raconte une des participantes. Concrètement, le document « esquisse la création d'un État de la Nouvelle-Calédonie, un ovni juridique imaginé par l'exécutif français, relate l'Express. (...) Le territoire reste inscrit dans la Constitution française. De l'autre, le "Caillou" se dote de presque tous les symboles d'un État à part entière ». Le Congrès calédonien pourra modifier nom, drapeau, hymne et devise et les relations internationales et diplomatiques deviennent aussi une compétence calédonienne. Les indépendantistes « ont renoncé à une indépendance sèche », précise l'hebdomadaire. Les non-indépendantistes « ont aussi accepté des concessions sur les compétences régaliennes, ligne rouge déclarée indépassable avant le début des négociations ». C'est un « pari réussi pour Emmanuel Macron », résume l'Express. Le Nouvel Obs s'intéresse à la gentillesse La force de la gentillesse qui viendrait au secours de nos démocraties menacées. « Dans le contexte actuel d'oppositions et de clashs permanents, réhabiliter cette qualité essentielle, injustement prise de haut, relève d'un devoir démocratique », affirme au magazine la philosophe Laurence Devillairs. « Dans nos sociétés laïcisées, on préfère les notions de bienveillance ou d'empathie (...) car la bienveillance est plus chic que la gentillesse », poursuit l'Obs. Bienveillance ou gentillesse, il en faudrait en tout cas plus en entreprise car elle est « la base de toute relation saine ». Alors quel gentil êtes-vous ? Le magazine distingue trois catégories : « les gentils stratèges », c'est plutôt la flatterie que vous pratiquez pour parvenir à vos fins. Les « gentils lâches », ceux qui disent oui pour avoir la paix. Et puis, les « gentils tout court ».
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… La tête du “traître” mise à prix New York, 26 juillet 1981. Dans une petite planque de Little Italy, Sonny Black reçoit une nouvelle qui va bouleverser son monde : Donnie Brasco, son protégé et associé de confiance, n'était pas un voyou comme les autres, mais un agent infiltré du FBI. La trahison frappe au cœur de la famille Bonanno, déclenchant une onde de choc dans les cercles mafieux. Cette révélation marque la fin d'une opération d'infiltration historique, ayant duré six ans, et conduit à l'arrestation de plus de 200 membres de la mafia. Mais elle scelle aussi le destin de Sonny, condamné par sa propre famille… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le 19 juillet 1903 Maurice Garin devient le premier vainqueur du Tour de France. Un récit surprenant truffé d'anecdotes de Francois Vantomme.
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Les Bonanno pris au piège New York, 1980. Joseph Pistone, infiltré dans la mafia sous le nom de Donnie Brasco, joue son rôle à la perfection. Entre deals dangereux et tensions croissantes, il s'approche du sommet de la famille Bonanno. Mais pour gagner leur confiance ultime, il devra franchir une ligne qu'il s'est toujours juré de ne pas dépasser… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:02:18 - Le vrai ou faux - Le Premier ministre François Bayrou a fait des annonces budgétaires pour économiser 43 millions d'euros en 2026, mais n'a pas visé les ultra-riches. Le gouvernement et ses soutiens craignent un exil fiscal des riches qui, pourtant, n'existe pas vraiment. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Nom de code, “Donny Brasco” 1970, Joseph Pistone infiltre la famille Bonanno sous le nom de Donnie Brasco. Entre des rencontres périlleuses et une tension constante, il s'immerge dans l'univers impitoyable de la mafia italienne. En suivant Lefty Ruggiero, il découvre les codes, les jeux de pouvoir et les risques d'une infiltration où chaque faux pas peut être fatal. Une mission sous haute tension, au cœur du crime organisé new-yorkais… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le Premier ministre a dévoilé le 15 juillet les mesures du Budget 2026 visant à endiguer le déficit de l'Etat et à circonscrire la dette française. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Stéphane Loignon donnent les détails du plan d'envergure porté par François Bayrou.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Cécile Cornudet (éditorialiste aux « Echos ») et Stéphane Loignon (journaliste au service France des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Stefano Lorusso/ZUMA Press Wire/Sipa. Sons : BFM TV, Nickpanek620 « Royal Funeral March », « Les tontons flingueurs » (1963), « Twist again à Moscou » (1986), « Kaamelott » (2005). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Sénégal, la semaine dernière a été marquée par les critiques d'Ousmane Sonko à l'encontre du président Bassirou Diomaye Faye. Le Premier ministre, également chef du Pastef, le parti au pouvoir, a reproché au chef de l'État de ne pas suffisamment le soutenir face aux attaques dont il dit faire l'objet. Lundi 14 juillet, Bassirou Diomaye Faye a tenté d'éteindre la polémique, en affirmant qu'il n'avait pas de divergences avec son Premier ministre. « Il est mon ami, je n'ai aucun conflit avec lui », a-t-il assuré. Comment analyser cette séquence ? Traduit-elle un malaise au sommet de l'État sénégalais ? Mamoudou Ibra Kane est éditorialiste. Leader du mouvement « Demain, c'est maintenant », il avait fait campagne l'an dernier pour l'ancien Premier ministre Amadou Ba. Il est l'invité de Pierre Firtion ce matin.
C dans l'air du 16 juillet 2025 : Bayrou allume la mèche budgétaireDépenser moins et travailler plus. Le Premier ministre a dévoilé mardi son plan pour réaliser 43,8 milliards d'économies en 2026 et enrayer la hausse de la dette. Pour ce faire, François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés, le lundi de Pâques et le 8 mai, une année blanche avec un grand gel sur les dépenses de l'État — prestations sociales, pensions de retraite — mais aussi sur le barème de l'impôt, la fin de l'abattement de 10 % pour les retraités, remplacé par un forfait de 2 000 euros, la suppression de 3 000 postes de fonctionnaires, l'augmentation de la franchise sur les médicaments à 100 euros par an et une moindre prise en charge des affections de longue durée (ALD)…Une potion amère qui suscite déjà de vives réactions de plusieurs figures politiques, syndicales et associatives. Si Emmanuel Macron estime que le budget présenté par François Bayrou a « la vertu du courage, de l'audace et de la lucidité », le Rassemblement national, La France insoumise, les écologistes et les socialistes demandent au Premier ministre de "revoir sa copie", sans quoi il sera censuré.Ce mercredi matin, la secrétaire générale de la CGT a, de son côté, appelé à la mobilisation à la rentrée et demandé aux parlementaires de "tout faire pour que ces mesures ne s'appliquent pas, parce qu'elles sont non seulement injustes, mais dangereuses pour le pays". Sophie Binet dénonce ce qu'elle appelle une "honte".Impôts, retraites, jours fériés, année blanche… Quelles sont les principales pistes détaillées par François Bayrou pour le budget 2026 ? Qui pourrait être le plus impacté ? Les retraités sont-ils en première ligne ? Menacé de censure, François Bayrou peut-il faire adopter son plan ? Enfin, le RN, rattrapé par de nouvelles affaires, est-il fragilisé ?LES EXPERTS : - Dominique SEUX - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Metamorphoses francaises
Dans cette saison, plongez dans l'incroyable parcours de Joseph D. Pistone, alias Donnie Brasco. Ancien agent du FBI, il a risqué sa vie en s'infiltrant dans les rangs de la mafia new-yorkaise dans les années 70. Pendant six ans, il a adopté l'identité de Donnie Brasco, un faux malfrat, pour percer les secrets de l'une des organisations criminelles les plus redoutables des États-Unis. Son travail d'infiltration a permis au FBI de mener l'une des plus vastes opérations contre la mafia, entraînant des dizaines d'arrestations et bouleversant à jamais l'organisation criminelle… Immersion dans la mafia New Yorkais Dans le New York des années 70, rongé par la mafia, un homme va tout risquer pour faire tomber l'empire du crime organisé. Sous le nom de Donnie Brasco, l'agent du FBI Joseph Pistone infiltre la famille Bonanno, nouant des liens avec le dangereux Lefty Ruggiero. Entre faux-semblants et dangers constants, il joue une partie où la moindre erreur peut être fatale. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [SPÉCIALE MUSIQUE] Ray Charles, le génie torturé du blues [SPÉCIALE MUSIQUE] Marvin Gaye, le destin tragique du prince de la soul [SPÉCIALE MUSIQUE] Nina Simone, une vie de lutte et de génie musicale [SPÉCIALE MUSIQUE] Fela Kuti, l'afrobeat comme arme politique Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prevaux Voix : Florian Bayoux Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« M.Catlin est parti seul, sans amis et sans conseils, armé de ses pinceaux et de sa palette, pour fixer sur la toile et sauver de l'oubli les traits, les mœurs et les costumes de ces peuplades dites sauvages, et qu'il faudrait plutôt désigner par le nom d'hommes primitifs. Il a consacré huit années à cette exploration, et visité, au péril de sa vie, les divers établissements d'une population d'environ cinq cent mille âmes, aujourd'hui déjà réduite de plus de la moitié, par l'envahissement du territoire, l'eau de vie, la poudre à canon, la petite vérole et autres bienfaits de la civilisation. » Voilà ce qu'écrit George Sand à propos de George Catlin, peintre de Philadelphie qui, au dix-neuvième siècle, mit tout son talent et toute son énergie à la sauvegarde de la culture des Indiens d'Amérique du Nord. Avec Patrick Grainville "le bison" Editions duSeuil Sujets traités : George Catlin, peintre, Indiens , plaines ,Missouri , George Sand Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:56 - Journal de 7 h - Le Premier ministre veut supprimer deux jours fériés. C'est l'une des annonces ce mardi pour le budget 2026. Retour dans cette édition sur les grandes orientations présentées ce mardi. L'objectif du gouvernement est de réaliser près de 44 milliards d'euros d'économies.
Le Premier ministre François Bayrou a annoncé mardi des mesures drastiques pour réduire le déficit public et faire 43,8 milliards d'euros d'économies en 2026. Ecoutez le sentiment de Thomas Ménagé, porte-parole du Rassemblement national et député du Loiret.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre a annoncé "900 millions d'euros de financement en fonds propres supplémentaires à l'investissement dans les entreprises", notamment pour les PME et promet de contrer les retards de paiement, qui représentent aujourd'hui quelque 15 milliards d'euros de trésorerie. Amir Reza-Tofighi, président de la CPME est l'invité de Stéphane Carpentier.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Premier ministre François Bayrou a exposé son plan de redressement : gel des dépenses de l'État (hors dette et défense), une "année blanche" en 2026 (barèmes fiscaux, retraites et prestations figés), ou encore la suppression de deux jours fériés. Écoutez l'analyse de l'éditorialiste Franz‑Olivier Giesbert au micro de Agnès Bonfillon. Ecoutez L'invité événement avec Agnès Bonfillon du 16 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre a dévoilé un plan d'économies de 43,8 milliards d'euros pour 2026 afin de ramener le déficit à 4,6% du PIB, incluant le gel des retraites et des dépenses de l'État, la réduction des postes de fonctionnaires, la suppression de deux jours fériés, ainsi que des mesures sur la santé.Les oppositions de gauche et du Rassemblement National menacent de censurer le gouvernement face à ces annonces jugées trop brutales et inacceptables.Dans le sud-est de la France, le risque incendie est au plus haut niveau, avec plusieurs départements placés en vigilance rouge, entraînant la fermeture de certains massifs forestiers et le déploiement de renforts de pompiers.Le film 'Les Schtroumpfs' sort en salles avec un casting vocal de rêve, dont Rihanna pour la bande originale aux États-Unis et des voix françaises connues comme François Damiens ou Jérôme Commandeur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:22 - Journal de 18h - Le Premier ministre a notamment proposé une "année blanche" en 2026 et la suppression de "deux jours fériés", citant "comme exemple" le "lundi de Pâques" et "le 8-Mai" tout en se disant "prêt à en accepter ou en examiner d'autres", lors de la présentation de son plan pour le prochain budget.
Plusieurs titres du continent s'interrogent, après une prise de parole remarquée du Premier ministre Ousmane Sonko durant le conseil national du Pastef, le parti des deux hommes. Dans cette déclaration, rapporte L'Observateur Paalga, « il accuse le chef de l'État de ne pas avoir suffisamment d'autorité et de ne pas le protéger, lui », face aux critiques dont il a été la cible. Le Premier ministre, poursuit le journal, « appelle donc [le président] à prendre ses responsabilités et à le laisser gouverner. » C'est la première fois, note le Pays, que l'un des deux membres de ce tandem « bris[e] le pacte tacite de retenue » qui les liait, « en exposant publiquement ses frustrations face à ce qu'il considère comme une passivité présidentielle. » À tout le moins, il y a donc « de l'eau dans le gaz », renchérit L'Observateur Paalga, qui se demande « si l'explosion aura lieu » mais constate surtout « que les deux têtes de l'exécutif ne sont pas sur la même longueur d'onde sur bien des sujets. » À lire aussiSénégal: Ousmane Sonko s'en prend à Bassirou Diomaye Faye dans un discours Des différends sur le fond plutôt que sur la forme C'est en tout cas l'analyse de SenePlus, qui fonde son raisonnement sur les propos, il y a quelques mois, du poète Amadou Lamine Sall : selon lui, puisque « Senghor avait dit que pour être président au Sénégal, il faut être un saint ou un héros. » Sous ce prisme, Diomaye Faye serait le saint et Sonko, « le rebelle, l'orage et l'ouragan », et donc « le héros. » Un chef de gouvernement « volcanique », véritable « tribun », abonde le Pays, face à un chef d'État qui serait « l'incarnation d'une alternance apaisée. » Sauf que, tout calme qu'il soit, Bassirou Diomaye Faye « est loin d'être une caisse de résonance des désirs de son Premier ministre », pointe SenePlus, et c'est peut-être bien ce qui agace Ousmane Sonko : il est le patron du PASTEF, et pourtant ; « il n'est pas le maître du jeu dans le gouvernement », estime le journal sénégalais. L'Observateur Paalga va un cran plus loin : « pour un peu, on croirait que Sonko n'a toujours pas digéré le fait d'avoir cédé sa place à Diomaye Faye », option à laquelle il s'est résolu après ses déboires judiciaires. Depuis, c'est comme si, juge le journal, « il trainait cela comme une blessure narcissique dont il n'arrive pas à guérir. » Dans ces conditions, difficile d'imaginer jusqu'où ira ce duo, d'autant que, rappelle enfin le journal burkinabè, « le fauteuil présidentiel n'est pas un banc où tout le monde peut s'asseoir », et « il est toujours plus facile de prendre le pouvoir à deux que de gouverner » de cette manière. À lire aussi[Vos réactions] Sénégal : des tensions au sommet de l'État ? Le Tigré éthiopien à la Une de la presse également La guerre entre les rebelles de cette région du nord du pays et le gouvernement central s'est achevée il y a près de trois ans, mais le Tigré en porte encore les cicatrices. Prêtes à se rouvrir, à en croire Afrique XXI : sur le papier, le conflit est fini ; sur le terrain pourtant, relate un ancien membre des TPLF, « il y a des soldats partout, même si on ne les voit pas. » Et pour cause, précise le journal : « les forces amharas n'ont pas quitté l'ouest de la région, tandis que l'armée érythréenne a élu domicile dans le nord-est, » et c'est sans compter, donc, les soldats tigréens. Un climat qui empêche la population de prendre le chemin du retour : « plus de 1 million de déplacés et des dizaines de milliers de réfugiés n'ont toujours pas pu rentrer chez eux. » De nombreuses femmes parmi ces déplacés Le Monde Afrique s'intéresse ainsi aux 120.000 femmes victimes de viol pendant le conflit, « soit une femme tigréenne sur dix. » Ces violences ont eu lieu, parfois, raconte la fondatrice d'un centre d'aide, « dans des églises, avec l'assentiment du prêtre », de sorte que les victimes « sont persuadées que leur viol a été commis selon la volonté de Dieu. » Parfois, aussi, les témoignages relatent « des actes de torture » qu'on ne détaillera pas à l'antenne, mais dont le but est clair, selon une chercheuse citée : « rendre les femmes stériles, donc empêcher la communauté tigréenne de s'agrandir », le tout dans « un esprit de revanche, toujours intact plus de vingt ans après la fin de la guerre entre l'Ethiopie et l'Erythrée » - entre 2020 et 2022, les soldats érythréens se sont battus aux côtés de l'armée fédérale. Et maintenant que la guerre est finie, il faut, pour les victimes, faire face à « la réticence des autorités (…) à ouvrir les yeux sur ce fléau » car, dénonce une activiste, « ce serait reconnaître l'implication de leurs soldats » dans ces violences. Alors, malgré le manque de reconnaissance, malgré surtout le manque de fonds, les associations d'aide aux victimes poursuivent, sans relâche, leur travail. Après tout, soupire l'une d'elle : « si on s'arrête, qui s'occupera des survivantes ? » À lire aussiEn Éthiopie, la difficile reconstruction de milliers de femmes victimes de viols au Tigré: «je n'ai plus rien pour vivre»
Un malaise s'installe-t-il entre le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko ? Lors d'une réunion du Pastef, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye. Le Premier ministre a critiqué la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un « problème d'autorité ». Nous attendons vos réactions !
Au Sénégal, Ousmane Sonko monte au créneau. Ce jeudi, lors du conseil national du Pastef, le parti au pouvoir, il s'en est ouvertement pris au Président de la République Bassirou Diomaye Faye. Le Premier ministre sénégalais s'est aussi attaqué à ses adversaires politiques et ses détracteurs.