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Rassembler l'ensemble des médecins spécialistes dont les patients diabétiques ont besoin dans un même centre en centre-ville : c'est l'idée de la start-up Diabet'. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Dans cette édition :Le débat sur l'installation des crèches de Noël dans les mairies continue, certains maires hésitant à les exposer face aux procédures judiciaires engagées par des élus ou associations au nom de la laïcité.Dans la Drôme, deux jeunes femmes ont été la cible de tirs mortels dans ce qui semble être un règlement de comptes lié au trafic de drogue, illustrant l'expansion de ce fléau jusque dans les zones rurales.Le prix de la viande, notamment bovine, a connu une hausse d'environ 20% en un an, en raison de l'augmentation des coûts de production pour les éleveurs.Le gouvernement est divisé sur la question de l'interdiction du port du voile pour les mineurs dans l'espace public, certains ministres y étant favorables tandis que d'autres s'y opposent.Le Premier ministre tente de convaincre le Parti Socialiste de voter le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale, afin d'éviter un déficit de 30 milliards d'euros l'an prochain.Le festival de bande dessinée d'Angoulême a été annulé pour l'édition 2026, les organisateurs mettant en cause la responsabilité des pouvoirs et financeurs publics.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le débat sur l'installation des crèches de Noël dans les mairies continue, certains maires hésitant à les exposer face aux procédures judiciaires engagées par des élus ou associations au nom de la laïcité.Dans la Drôme, deux jeunes femmes ont été la cible de tirs mortels dans ce qui semble être un règlement de comptes lié au trafic de drogue, illustrant l'expansion de ce fléau jusque dans les zones rurales.Le prix de la viande, notamment bovine, a connu une hausse d'environ 20% en un an, en raison de l'augmentation des coûts de production pour les éleveurs.Le gouvernement est divisé sur la question de l'interdiction du port du voile pour les mineurs dans l'espace public, certains ministres y étant favorables tandis que d'autres s'y opposent.Le Premier ministre tente de convaincre le Parti Socialiste de voter le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale, afin d'éviter un déficit de 30 milliards d'euros l'an prochain.Le festival de bande dessinée d'Angoulême a été annulé pour l'édition 2026, les organisateurs mettant en cause la responsabilité des pouvoirs et financeurs publics.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:13 - Ce finistérien est le premier malade atteint de Parkinson à faire un tour du monde en voilier en équipage Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le 5 mai 1821, Napoléon Bonaparte (1769-1821) meurt après six années d'exil à Sainte-Hélène, territoire hostile perdu dans l'Atlantique sud. L'Empereur déchu avait 51 ans. Depuis plusieurs mois, sa santé se dégradait : douleurs à l'abdomen, fièvres, nausées et vomissements liés à un ulcère qu'il avait contracté. Mais depuis le XIXe siècle, les conditions de sa mort ont suscité des débats, y compris chez les historiens…Dans le second épisode d'un entretien consacré aux derniers mois de Napoléon Bonaparte, Virginie Girod interroge le médecin légiste et archéo-anthropologue Philippe Charlier, qui livre ses conclusions quant aux causes de sa mort prématurée.Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition du générique : Julien Tharaud- Visuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve Dave Morissette en compagnie de Max et Pascal. Un segment du podcast La Poche Bleue.Abonne-toi à la chaîne pour ne rien manquer des prochains épisodes!--Pour collaborations ou toutes questions : info@lapochebleue.comAbonne-toi pour ne rien manquer! Facebook: https://www.facebook.com/lapochebleueqc/ Instagram: https://www.instagram.com/lapochebleue TikTok: https://www.tiktok.com/@lapochebleue Twitter: https://twitter.com/lapochebleue Youtube : https://www.youtube.com/@LaPocheBleueNos podcasts sont disponibles sur toutes les plateformes : https://linktr.ee/lapochebleue Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une étude est tombée sur le premier baiser, qui remonterait à plus de 20 millions d''années… Les premiers primates s''embrassaient déjà sur la bouche à l''époque… Alors, qu'est ce qu'on a tous ressenti, lors d'un premier baiser ?
Une étude est tombée sur le premier baiser, qui remonterait à plus de 20 millions d''années… Les premiers primates s''embrassaient déjà sur la bouche à l''époque… Alors, qu'est ce qu'on a tous ressenti, lors d'un premier baiser ?
durée : 00:05:28 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Trains supprimés, vols annulés, écoles et crèches fermées, hôpitaux perturbés : la Belgique connaît, depuis hier, trois jours de grève pour "mettre fin au démantèlement social". Le Premier ministre Bart De Wever prévoit 9 milliards d'économies d'ici 2029 pour assainir les finances publiques.
Le chef militaire du Hezbollah, Haitam Ali Tabatabaï, a été abattu dimanche 24 novembre par une frappe qui visait la banlieue sud de Beyrouth. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a affirmé qu'Israël ne permettra pas au mouvement chiite de reconstruire son pouvoir, alors qu'un cessez-le-feu est pourtant toujours en vigueur depuis un an entre les deux partis. Entretien avec Anthony Samrani, rédacteur en chef du quotidien libanais L'Orient le Jour. À lire aussiLiban: le Hezbollah confirme la mort du chef militaire Ali Tabatabaï dans une frappe israélienne
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 novembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Y A-T-IL EN FRANCE UNE GAUCHE DE GOUVERNEMENT ?Le 16 octobre, le choix du Parti socialiste de ne pas censurer Sébastien Lecornu a réinterrogé les alliances au sein du bloc non mélenchoniste. Ce vote a profondément divisé la gauche. Une partie de ce camp, incarnée par les socialistes, a décidé de jouer le jeu du compromis avec l'exécutif, obtenant la promesse d'une suspension de la réforme des retraites et un abandon du 49.3. Une victoire sur les retraites accueillie favorablement par la direction de la CFDT perçue comme un jalon dans le rétablissement de liens, aujourd'hui ténus, avec le mouvement social-réformateur. Pour L'historien Mathieu Fulla, ce choix de la non-censure par le Parti socialiste s'inscrit dans « une mémoire partisane qui associe socialisme et défense de la République ». Les socialistes considèrent qu'il vaut mieux faire des concessions, contre quelques victoires. Une autre partie de la gauche, celle emmenée par La France Insoumise mais composée d'une écrasante majorité des députés écologistes et communistes, n'a pas souhaité épargner le gouvernement et entend voter la censure. Les Insoumis, avec leur héritage de la gauche radicale, estiment que tout compromis est un « piège ».Dimanche dernier, à Pontoise dans le Val-d'Oise, l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve organisait un rassemblement, présenté comme « inédit », des « différentes composantes de la gauche réformiste », avec un casting qui ne manquait pas de présidentiables, à dix-huit mois de l'échéance. Outre le président du mouvement la Convention, fondé en 2022 après sa rupture avec le Parti socialiste, on comptait l'ancien président de la République François Hollande, la présidente PS de la région Occitanie, Carole Delga, et le député européen et coprésident de Place publique, Raphaël Glucksmann. Une étude publiée par l'IFOP pour L'Opinion et Sud Radio, le 30 septembre, sur le premier tour de l'élection présidentielle de 2027 donne pour la première fois, une longueur d'avance à Raphaël Glucksmann par rapport à Jean-Luc Mélenchon et, dans certains scénarios, place l'eurodéputé au second tour du scrutin face à l'extrême droite. Les participants de ce rassemblement de la gauche réformiste partagent un même refus obstiné de l'alliance avec La France Insoumise. Ici, la culture du compromis continue de tenir lieu de boussole, en opposition à ce qu'ils nomment la « gauche de l'outrance ».Quoiqu'invité au rassemblement de Pontoise, le premier secrétaire du PS a privilégié, la veille, une autre rencontre. Celle qui réunissait à Trappes dans les Yvelines la gauche dite « unitaire », qui prépare l'organisation d'une primaire afin de désigner un candidat commun en 2027 : PS, Écologistes, Génération.s, L'Après, parti de Clémentine Autain, et Debout, de François Ruffin, autour de l'ex-première ministrable du Nouveau Front populaire, Lucie Castets. Mais, d'une primaire, tous les participants au raout social-démocrate de dimanche n'en veulent pas. À dix-huit mois de la présidentielle, la gauche avance toujours en ordre dispersé.L'ALGÉRIE ET LA FRANCE : ENTENTE IMPOSSIBLE, RUPTURE IMPROBABLEEntre embellies et tensions, la relation entre la France et l'Algérie oscille sans cesse. Après une série de différends entre les deux pays, le 31 juillet 2024 allait marquer un tournant majeur : à la surprise générale, le président français est sorti de sa traditionnelle neutralité sur le dossier ultrasensible du Sahara occidental en reconnaissant la souveraineté marocaine sur ce territoire disputé par Rabat et les indépendantistes du Front Polisario, soutenus par Alger. Ce revirement spectaculaire provoqua la colère de l'Algérie, qui rappela son ambassadeur et suspendit la coopération entre les deux pays, notamment en matière de politique migratoire, de sécurité et d'accords économiques. Ce fut le début d'une des crises diplomatiques les plus graves depuis l'indépendance en 1962.Après plus d'un an de cette crise émaillée par l'arrestation à Alger en novembre 2024 de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, gracié le 12 novembre dernier et de retour en France, le nouveau ministre français de l'Intérieur, Laurent Nuñez, multiplie les déclarations exprimant sa volonté de renouer « le dialogue » avec l'Algérie. Il se démarque ainsi de son prédécesseur, Bruno Retailleau et assume d'engager une politique de détente avec l'Algérie pour reprendre la coopération sécuritaire sur les questions de terrorisme et de narcotrafic. Il compte aussi sur Alger pour faciliter les expulsions d'Algériens en situation irrégulière.Le Premier ministre français a regretté le vote par l'Assemblée nationale, le 30 octobre, pour la première fois de la Vème République, d'un texte du Rassemblement national, en faveur de la dénonciation de l'accord franco-algérien de 1968 – qui régit les règles du séjour des Algériens en France. Sébastien Lecornu s'est toutefois dit favorable à une renégociation de l'accord, que deux rapports parlementaires de 2025 ont jugé trop favorable aux Algériens et ne se justifiant plus, soixante-trois ans après l'indépendance. Les immigrés algériens en France représentent la plus importante communauté immigrée dans le pays, avec près de 900.000 personnes.Si l'heure semble à la décrispation, cependant, l'historien Benjamin Stora estime que « la crise entre l'Algérie et la France a été très dure et très profonde. D'un côté comme de l'autre, elle va laisser des traces. » Il pointe les écueils qui demeurent : à commencer par l'incarcération du journaliste français Christophe Gleizes, arrêté en mai 2024 alors qu'il réalisait des reportages sur le football en Kabylie, mais aussi la position de Paris sur le Sahara-Occidental, la question des obligations de quitter le territoire français (OQTF), les questions sécuritaires dans le Sahel et les questions migratoires.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 21 novembre, la confusion autour de la participation des États-Unis au sommet du G20 à Johannesburg, a été abordée par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans cette édition :Le ministre de l'Intérieur et le ministre de la Justice se sont rendus à Marseille pour aborder la menace du narcotrafic, qui est considérée comme équivalente à celle du terrorisme, et ont promis des moyens supplémentaires pour lutter contre ce fléau.Le protoxyde d'azote, un gaz supposément hilarant, fait de plus en plus de ravages chez les jeunes, pouvant entraîner des complications graves comme des thromboses et des atteintes de la moelle épinière, malgré les alertes des professionnels de santé.Le président Emmanuel Macron a effectué une visite en Afrique, notamment aux Îles Maurice, pour renforcer la coopération en matière de sécurité maritime et de lutte contre la pêche illégale, qui sont liées au narcotrafic.Le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé des mesures de décentralisation et de simplification des normes pour les maires, ainsi qu'une prime régalienne symbolique de 500 euros par an.Les services de l'État se préparent à l'arrivée de l'hiver avec la mise en place du dispositif de viabilité hivernale, mobilisant 7500 agents sur les routes et autoroutes pour assurer la sécurité des automobilistes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement annonce le renfort de 11 magistrats supplémentaires dédiés à la lutte contre les cartels de la drogue à Marseille, dans le cadre d'un nouveau déplacement des ministres de l'Intérieur et de la Justice.L'opposition locale critique ces visites ministérielles, les jugeant davantage comme des coups de communication que de véritables actions concrètes.Les Marseillais réclament des moyens supplémentaires pour la police et une approche plus ferme contre le narcotrafic, tout en déplorant l'abandon des quartiers par l'État pendant des années.Le Premier ministre promet l'organisation d'un débat extraordinaire sur le narcotrafic à l'Assemblée nationale.Un détenu s'est évadé lors d'une sortie culturelle de la prison de Rennes, entraînant le limogeage du directeur de l'établissement.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement annonce le renfort de 11 magistrats supplémentaires dédiés à la lutte contre les cartels de la drogue à Marseille, dans le cadre d'un nouveau déplacement des ministres de l'Intérieur et de la Justice.L'opposition locale critique ces visites ministérielles, les jugeant davantage comme des coups de communication que de véritables actions concrètes.Les Marseillais réclament des moyens supplémentaires pour la police et une approche plus ferme contre le narcotrafic, tout en déplorant l'abandon des quartiers par l'État pendant des années.Le Premier ministre promet l'organisation d'un débat extraordinaire sur le narcotrafic à l'Assemblée nationale.Un détenu s'est évadé lors d'une sortie culturelle de la prison de Rennes, entraînant le limogeage du directeur de l'établissement.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le ministre de l'Intérieur et le ministre de la Justice se sont rendus à Marseille pour aborder la menace du narcotrafic, qui est considérée comme équivalente à celle du terrorisme, et ont promis des moyens supplémentaires pour lutter contre ce fléau.Le protoxyde d'azote, un gaz supposément hilarant, fait de plus en plus de ravages chez les jeunes, pouvant entraîner des complications graves comme des thromboses et des atteintes de la moelle épinière, malgré les alertes des professionnels de santé.Le président Emmanuel Macron a effectué une visite en Afrique, notamment aux Îles Maurice, pour renforcer la coopération en matière de sécurité maritime et de lutte contre la pêche illégale, qui sont liées au narcotrafic.Le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé des mesures de décentralisation et de simplification des normes pour les maires, ainsi qu'une prime régalienne symbolique de 500 euros par an.Les services de l'État se préparent à l'arrivée de l'hiver avec la mise en place du dispositif de viabilité hivernale, mobilisant 7500 agents sur les routes et autoroutes pour assurer la sécurité des automobilistes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:55 - Capture d'écrans - par : Dorothée Barba - Il fallait bien deux films pour comprendre et restituer toute la subtilité de "La Véritable Histoire de la Méchante Sorcière de l'Ouest". Après un premier volet boursoufflé comme une meringue, place à l'action ! Cynthia Erivo et Ariana Grande dans une suite beaucoup plus sombre et politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Signe de dégel », s'exclame le site d'information Seneweb. « Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a rencontré avant-hier les membres du Bureau politique de Pastef, son parti, pour aborder, entre autres, sa relation avec son Premier ministre Ousmane Sonko et les récentes nominations contestées, notamment celle d'Aminata Touré. » En effet, rappelle Le Monde Afrique, « le 11 novembre dernier, Bassirou Diomaye Faye avait précipité la crise en annonçant retirer à Aïda Mbodj, une proche du Premier ministre, la direction de la coalition “Diomaye président“. Et nommer à sa place Aminata Touré, sa conseillère spéciale, elle aussi une femme politique expérimentée, plusieurs fois ministre. » Une éviction et une nomination qui n'ont pas été, du tout, du goût du Premier ministre qui avait alors rué dans les brancards… « Dans le viseur du Premier ministre également, pointe Le Monde Afrique : le ministre de l'Environnement, Abdourahmane Diouf. Réputé proche du président Faye, à la tête d'un petit parti allié au Pastef, Abdourahmane Diouf avait récemment appelé à se montrer clément à l'égard des cadres en poste du temps de l'ancien président Macky Sall. Un propos qui va à l'encontre des positions défendues par Ousmane Sonko. » Et déjà, rappelle encore Le Monde Afrique, « dès juillet, une première divergence était apparue entre les deux dirigeants. Le Premier ministre, violemment attaqué par l'opposition, s'était publiquement demandé alors pourquoi son camarade ne se montrait pas plus ferme avec cette dernière. » Réconciliation de façade ? Avant-hier, donc, le président Diomaye Faye a joué l'apaisement… « Je ne ferai jamais de mal à Ousmane Sonko, et je sais qu'il ne me fera jamais de mal », a-t-il notamment déclaré. Des propos repris par toute la presse sénégalaise, à l'instar du site Dakar Matin qui estime qu'il s'agit là d'une « phrase lourde de sens, destinée à couper court aux rumeurs de froid, de rupture ou de prises de distance entre les deux figures majeures du parti. » Commentaire d'Afrik.com : « si les tensions persistent, le rapprochement affiché entre Diomaye et Sonko marque un moment important. En réaffirmant leur cohésion au cœur de la tempête, les deux figures fondatrices de la majorité envoient un message qui peut ainsi être décrypté : malgré les divergences, l'ossature du pouvoir reste solidaire. » Reste, tempère Seneplus que « le président a confirmé qu'il campait sur sa position de maintenir Aminata Touré à la tête de la coalition “Diomaye président“. Cette nomination apparaît désormais comme un fait accompli. » En attendant les élections… Et pour une partie de la presse sénégalaise, rien n'est réglé… « Diomaye intraitable », s'exclame WalfQuotidien en première page. « La crise est loin de s'estomper au sein de la majorité présidentielle, affirme le journal. Malgré l'implication du Bureau politique de Pastef, le Président Diomaye semble inflexible face aux exigences du chef de file du parti, le Premier ministre Ousmane Sonko. » Pour l'analyste politique, Ibrahima Bakho, interrogé par Walf, « les deux leaders sont dépassés par les violences verbales des deux camps. Il faudra du temps pour régler cela. Et ce temps, regrette l'analyste, on ne l'a pas, parce que les élections, c'est en 2027 pour les locales et en 2029 pour la présidentielle. Toutefois, souligne-t-il, cette période au Sénégal a toujours été marquée par des campagnes électorales déguisées. » Alors, résume Le Quotidien, toujours à Dakar, « si l'élection de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko a été perçue comme un geste de décrispation majeure, le processus de réconciliation politique reste délicat. Le dialogue s'étend aux anciens adversaires, mais les défis persistent, y compris au sein de Pastef, la coalition au pouvoir, où il y a des divergences sur l'exercice de l'autorité. La mission reste d'éviter que les querelles politiciennes n'entravent le projet de transformation du pays et de maintenir le cap sur les attentes du peuple. » En effet, prévient Le Monde Afrique, « d'ici à l'élection présidentielle de 2029, la recomposition du paysage politique sénégalais pourrait se concentrer essentiellement à l'intérieur même du Pastef, au risque de voir ce parti, autrefois capable de réunir des sensibilités différentes de la gauche jusqu'aux libéraux, finir par se scinder. »
Dans cette édition :Le gouvernement français fait face à la menace du narcotrafic, considérée comme équivalente à celle du terrorisme, avec des visites ministérielles répétées à Marseille sans résultats concrets.Face à la possibilité d'un conflit avec la Russie, le gouvernement publie un guide de survie à l'attention de la population, recommandant la constitution d'un kit d'urgence.Notre-Dame de Paris est illuminée en rouge pour alerter sur le sort des chrétiens persécutés dans le monde, avec une veillée de prière organisée sur le parvis.Le Premier ministre promet de simplifier les normes pour les collectivités locales et d'accorder une prime aux maires.Les températures devraient chuter de manière importante dans les prochains jours, avec un risque de grand froid sur une large partie du territoire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement français fait face à la menace du narcotrafic, considérée comme équivalente à celle du terrorisme, avec des visites ministérielles répétées à Marseille sans résultats concrets.Face à la possibilité d'un conflit avec la Russie, le gouvernement publie un guide de survie à l'attention de la population, recommandant la constitution d'un kit d'urgence.Notre-Dame de Paris est illuminée en rouge pour alerter sur le sort des chrétiens persécutés dans le monde, avec une veillée de prière organisée sur le parvis.Le Premier ministre promet de simplifier les normes pour les collectivités locales et d'accorder une prime aux maires.Les températures devraient chuter de manière importante dans les prochains jours, avec un risque de grand froid sur une large partie du territoire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Signe de dégel », s'exclame le site d'information Seneweb. « Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a rencontré avant-hier les membres du Bureau politique de Pastef, son parti, pour aborder, entre autres, sa relation avec son Premier ministre Ousmane Sonko et les récentes nominations contestées, notamment celle d'Aminata Touré. » En effet, rappelle Le Monde Afrique, « le 11 novembre dernier, Bassirou Diomaye Faye avait précipité la crise en annonçant retirer à Aïda Mbodj, une proche du Premier ministre, la direction de la coalition “Diomaye président“. Et nommer à sa place Aminata Touré, sa conseillère spéciale, elle aussi une femme politique expérimentée, plusieurs fois ministre. » Une éviction et une nomination qui n'ont pas été, du tout, du goût du Premier ministre qui avait alors rué dans les brancards… « Dans le viseur du Premier ministre également, pointe Le Monde Afrique : le ministre de l'Environnement, Abdourahmane Diouf. Réputé proche du président Faye, à la tête d'un petit parti allié au Pastef, Abdourahmane Diouf avait récemment appelé à se montrer clément à l'égard des cadres en poste du temps de l'ancien président Macky Sall. Un propos qui va à l'encontre des positions défendues par Ousmane Sonko. » Et déjà, rappelle encore Le Monde Afrique, « dès juillet, une première divergence était apparue entre les deux dirigeants. Le Premier ministre, violemment attaqué par l'opposition, s'était publiquement demandé alors pourquoi son camarade ne se montrait pas plus ferme avec cette dernière. » Réconciliation de façade ? Avant-hier, donc, le président Diomaye Faye a joué l'apaisement… « Je ne ferai jamais de mal à Ousmane Sonko, et je sais qu'il ne me fera jamais de mal », a-t-il notamment déclaré. Des propos repris par toute la presse sénégalaise, à l'instar du site Dakar Matin qui estime qu'il s'agit là d'une « phrase lourde de sens, destinée à couper court aux rumeurs de froid, de rupture ou de prises de distance entre les deux figures majeures du parti. » Commentaire d'Afrik.com : « si les tensions persistent, le rapprochement affiché entre Diomaye et Sonko marque un moment important. En réaffirmant leur cohésion au cœur de la tempête, les deux figures fondatrices de la majorité envoient un message qui peut ainsi être décrypté : malgré les divergences, l'ossature du pouvoir reste solidaire. » Reste, tempère Seneplus que « le président a confirmé qu'il campait sur sa position de maintenir Aminata Touré à la tête de la coalition “Diomaye président“. Cette nomination apparaît désormais comme un fait accompli. » En attendant les élections… Et pour une partie de la presse sénégalaise, rien n'est réglé… « Diomaye intraitable », s'exclame WalfQuotidien en première page. « La crise est loin de s'estomper au sein de la majorité présidentielle, affirme le journal. Malgré l'implication du Bureau politique de Pastef, le Président Diomaye semble inflexible face aux exigences du chef de file du parti, le Premier ministre Ousmane Sonko. » Pour l'analyste politique, Ibrahima Bakho, interrogé par Walf, « les deux leaders sont dépassés par les violences verbales des deux camps. Il faudra du temps pour régler cela. Et ce temps, regrette l'analyste, on ne l'a pas, parce que les élections, c'est en 2027 pour les locales et en 2029 pour la présidentielle. Toutefois, souligne-t-il, cette période au Sénégal a toujours été marquée par des campagnes électorales déguisées. » Alors, résume Le Quotidien, toujours à Dakar, « si l'élection de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko a été perçue comme un geste de décrispation majeure, le processus de réconciliation politique reste délicat. Le dialogue s'étend aux anciens adversaires, mais les défis persistent, y compris au sein de Pastef, la coalition au pouvoir, où il y a des divergences sur l'exercice de l'autorité. La mission reste d'éviter que les querelles politiciennes n'entravent le projet de transformation du pays et de maintenir le cap sur les attentes du peuple. » En effet, prévient Le Monde Afrique, « d'ici à l'élection présidentielle de 2029, la recomposition du paysage politique sénégalais pourrait se concentrer essentiellement à l'intérieur même du Pastef, au risque de voir ce parti, autrefois capable de réunir des sensibilités différentes de la gauche jusqu'aux libéraux, finir par se scinder. »
[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, partez à l'aventure avec notre saison spéciale Explorateurs de l'impossible. Six destins hors normes, prêts à défier les limites du monde… et de l'humain. Le premier homme à avoir été dans l'espace Il y a 60 ans, on ne connaissait encore que peu de choses sur l'espace. Neil Armstrong n'avait pas encore fait son premier pas sur la Lune, Mars n'avait pas été explorée et aucun humain n'avait voyagé au-delà de la Terre. Le 13 avril 1961, un homme va ainsi marquer l'histoire. Il est Russe, jeune, c'est un citoyen comme les autres. Mais il va réaliser le premier vol autour de la Terre. Son nom : Youri Gagarine. Autour de cette expédition hors du commun, découvrez son fabuleux destin. Ecriture : Karen Etourneau Réalisation : Celia Brondreau Voix : Andréa Brusque Une production Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Choose France a permis de valoriser les investissements industriels français, mais n'a pas dissipé les inquiétudes des chefs d'entreprise face à l'incertitude budgétaire. Le Premier ministre a tenté de rassurer, tout en affirmant son opposition à une surenchère fiscale. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités s'interrogent sur la crise de confiance entre l'Etat et les entreprises industrielles.« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en novembre 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Anne Feitz (journaliste au service France des Echos), Matthieu Quiret (chef du service Industries des Echos) et Elizabeth Ducottet PDG de Thuasne). Réalisation : Willy Ganne. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Stephane Lemouton/SIPA. Sons : Extrait « Le livre de la jungle », extrait « Buffet froid », Cnews, extrait de « Papy fait de la résistance », L'Elysée, Global Industries.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryAnnonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:55 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Alors que Donald Trump peine à se sortir du scandale Epstein, revenu dans l'actualité cette semaine, Laurence Nardon, chercheuse, responsable du programme Amériques à l'IFRI, l'Institut français des relations internationales. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Journal en français facile du mardi 18 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CC9O.A
(00:00:32) La Russie s'acharne sur le réseau énergétique ukrainien (00:10:30) Comment Mr. Beast est devenu le premier milliardaire de Youtube? (00:17:29) Le geste de la Première ministre japonaise qui a déclenché une crise avec la Chine
La candidate de la coalition de gauche, Jeannette Jara (issue du parti communiste) est arrivée légèrement en tête du premier tour de l'élection présidentielle. Elle affrontera au second tour, le 14 décembre 2025, José Antonio Kast (extrême-droite), qui a de fortes chances de bénéficier d'un report important de voix des autres candidats des droites. Comme anticipé par les instituts de sondage, c'est bien Jeannette Jara qui a remporté le premier tour de l'élection présidentielle au Chili. Mais elle a obtenu un score un peu moins important qu'attendu (26,8%), tandis que la droite dans son ensemble a fait un très bon score. José Antonio Kast, nostalgique de la dictature du général Augusto Pinochet (1973-1990) décroche son ticket pour le second tour (23,9%). Johannes Kaiser l'ultra-libertarien (d'extrême-droite lui aussi) est arrivé en quatrième position. À la cinquième place, Evelyn Matthei, la candidate de la coalition de droite traditionnelle est la grande perdante de ce scrutin. Ensemble, Matthei et Kaiser ont réuni environ 26% des voix. Tous deux ont appelé hier soir (16 novembre 2025) à voter pour José Antonio Kast, qui se positionne ainsi comme favori du second tour, explique notre correspondante à Santiago, Naïla Derroisné. «Ce sera l'élection la plus importante de notre génération. Ce sera un choix entre deux modèles de société, a asséné le candidat d'extrême-droite après l'annonce des résultats. Le modèle de l'actuel gouvernement et qui a conduit le Chili vers la destruction, la stagnation, la violence et à la haine. Et l'autre projet, le nôtre, qui parle de vérité, qui promeut la liberté, l'espoir et le progrès !», a-t-il martelé devant ses partisans. Pour Jeannette Jara en revanche, le scénario du second tour est beaucoup moins favorable. Car les autres candidats de gauche n'ont pas obtenu de résultats suffisants pour espérer un report de voix qui pèserait dans la balance face au bloc de droite. L'ancienne ministre du Travail du président Gabriel Boric va donc devoir adopter une nouvelle stratégie pour élargir sa base électorale. Elle pourrait annoncer sa démission du Parti Communiste (où elle milite depuis son adolescence) et qui n'a cessé d'être un frein lors de sa campagne, explique Naïla Derroisné. «Quasiment la moitié des Chiliens et des Chiliennes n'ont pas voté pour moi, c'est vrai. Mais ils et elles n'ont pas voté non plus pour Kast ! Et c'est à eux que dès demain nous irons parler et que nous écouterons attentivement», a réagi Jeannette Jara dimanche soir. Elle pourrait chercher à séduire notamment les électeurs du candidat populiste Franco Parisi, arrivé en troisième position (19%). En Haïti, le sort des familles contraintes de quitter Port-au-Prince à cause des gangs En Haïti, les gangs contrôlent près de 80% de la capitale, selon l'ONU, et imposent leur loi dans des zones comme Bas-Delmas, Croix-des-Bouquets, Mariani ou encore Gressier. Des milliers de familles sont donc forcées de fuir Port-au-Prince. Menacées par la violence, certaines ont trouvé refuge dans le département du Sud, où elles tentent tant bien que mal de reconstruire leur vie, expliquent-elles à notre correspondant Peterson Luxama. Si ceux qui retrouvent leur ville natale arrivent parfois à se réadapter, d'autres, sans attaches ni soutien, vivent dans des conditions extrêmement précaires. C'est le cas de Dany, un octogénaire qui erre dans la ville des Cayes et dort à même le sol à la belle étoile. La violence des gangs a coûté la vie à ses deux enfants. «Les bandits m'ont chassé et j'ai atterri ici. Je n'ai personne pour m'accompagner, je suis seul. Je fais mon petit lit à même le sol sur la place avec des draps que la mairie m'a offerts», témoigne-t-il. Face à l'afflux croissant de personnes déplacées venues de Port-au-Prince, le maire de Saint-Jean-du-Sud, Dupont Estimé, reconnaît l'ampleur de la crise et les moyens limités de la commune. «Certaines organisations ont l'habitude de soutenir les déplacés, salue-t-il. Elles exigent toutefois le respect de certains critères, comme la présentation d'une liste accompagnée des cartes d'identité des bénéficiaires», ce que n'ont pas toujours les déplacés. «Nous ne pouvons pas repousser ces personnes ni demander qu'on les chasse, poursuit le maire. Tant que ces personnes vivent paisiblement, elles resteront ici jusqu'à ce qu'un changement permette à tout le monde de rentrer chez soi», conclut-il. L'Équateur dit quatre fois «non» aux référendums proposés par le gouvernement «No», le mot s'affiche à la Une de la presse équatorienne... C'est la réponse des électeurs équatoriens aux quatre questions qui leur étaient posées, ce dimanche 16 novembre, par référendum, par le gouvernement de Daniel Noboa. Une «première défaite électorale», souligne Primicias. Un «net revers» pour le pouvoir en place, selon La Hora. Un «coup dur», même, pour le président de droite, estime le journal Expreso, qui souligne la forte participation : 80% des électeurs sont allés voter, notamment les jeunes. «Le pays ne cautionne pas le projet autoritaire de Noboa», estime le quotidien, pour qui les électeurs ont refusé de donner un chèque en blanc au président pour réformer la Constitution. Le site Vistazo rappelle que les électeurs devaient décider s'ils souhaitaient réduire le nombre de parlementaires (non à 53%), mettre fin au financement public des partis politiques (non à 58%), changer de constitution (non à 61%) et autoriser à nouveau les bases militaires étrangères dans le pays (non à 61%). Les États-Unis n'étaient pas mentionnés directement, mais c'est bien ce pays qui aurait pu être invité à réinstaller des bases militaires en Équateur, notamment pour lutter contre le trafic de drogue. C'est ce que souhaitait le président Daniel Noboa, allié de Donald Trump. Depuis les États-Unis, l'agence Bloomberg parle de son côté d'une «défaite cuisante» et «surprenante», car les sondages laissaient présager une victoire du «oui». Mais le journal La Hora n'y voit pas uniquement un succès de l'opposition, car le «non» a été soutenu par différents courants, analyse le journal dans un éditorial. Y compris par des jeunes qui se tiennent à l'écart «de l'influence des gourous du marketing politique», estime encore La Hora. qui questionne par la même occasion la stratégie de Daniel Noboa de communiquer presque uniquement via les réseaux sociaux. Dans les Outre-mer françaises Six femmes ont perdu la vie en Guadeloupe l'an dernier (2024), sous les coups de leur conjoint ou ex-conjoint, explique Alex Leveillé de La 1ère.
Invité :Franck Zal, fondateur de Hemarina Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La justice valide la cession partielle de l'acieriste Novasco à un consortium d'investisseurs, entraînant la fermeture de trois usines sur quatre et plus de 500 licenciements.Le Premier ministre Sébastien Lecornu tente de rassurer les chefs d'entreprise sur les mesures fiscales en cours de discussion au Parlement, appelant au compromis.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky signe avec la France une déclaration d'intention pour l'acquisition de 100 avions de combat Rafale.Des participants à un rassemblement illégal de tuning à Bourg-en-Bresse attaquent violemment les forces de l'ordre avec des mortiers d'artifice.Le Louvre ferme temporairement une de ses galeries en raison de problèmes de sécurité, un nouveau coup dur pour le prestige du musée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour CHOOSE FRANCE - Édition FRANCE, le gouvernement invite des entreprises françaises qui investissent sur le territoire français. On est sur du 100% tricolore ! La rencontre se tiendra à la maison de la Chimie à Paris. Plus de 150 entreprises présentes, des élus également, des organisations patronales. Le Premier ministre Sébastien Lecornu prononcera le discours d'ouverture à midi et demi, il y aura ensuite des tables rondes toute l'après-midi. Et la journée se terminera par un dîner au palais de l'Elysée présidé par Emmanuel Macron.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour CHOOSE FRANCE - Édition FRANCE, le gouvernement invite des entreprises françaises qui investissent sur le territoire français. On est sur du 100% tricolore ! La rencontre se tiendra à la maison de la Chimie à Paris. Plus de 150 entreprises présentes, des élus également, des organisations patronales. Le Premier ministre Sébastien Lecornu prononcera le discours d'ouverture à midi et demi, il y aura ensuite des tables rondes toute l'après-midi. Et la journée se terminera par un dîner au palais de l'Elysée présidé par Emmanuel Macron.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le préfet de la Meuse va porter plainte contre des propos "révisionnistes" tenus en marge de l'hommage à Philippe Pétain et ses soldats dans un église de Verdun, samedi. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Premier ministre a passé la partie recettes du projet de loi de financement de la sécurité sociale, préalable au vote des dépenses où figurera la suspension de la réforme des retraites. Il présente cela comme une victoire, mais il brade tout l'héritage d'Emmanuel Macron... Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 10 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On parle ici d'un sujet essentiel : la famille comme premier soignant naturel. On a réalisé à quel point, bien avant l'hôpital, c'est à la maison que tout commence. Oui, accompagner un proche, c'est bien plus que surveiller sa santé : c'est vivre des instants forts, découvrir une force insoupçonnée, mais aussi traverser des difficultés, entre fatigue, culpabilité et soutien collectif. Soutenir un proche, ça bouscule la famille, ça change la vie, mais c'est aussi un acte d'amour et de courage. Si cet épisode t'inspire, abonne-toi pour continuer ce chemin ensemble. Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Voici 3 enseignements clés à retenir :
durée : 00:04:57 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Selon un nouveau rapport international, le réchauffement dépasse désormais le seuil critique pour les coraux d'eau chaude. Ce point de bascule se traduit par leur blanchissement et la colonisation des récifs par des macroalgues et menace des écosystèmes dont dépendent des populations humaines.
C dans l'air du 4 novembre 2025 : Aides sociales, santé : la fin de la "générosité" ?Une nouvelle étape du marathon budgétaire s'ouvre ce mardi à l'Assemblée : après avoir mis sur pause les débats sur la partie « recettes » du projet de loi de finances, les députés s'attaquent à l'examen du budget de la Sécurité sociale, et des coupes sévères sont avancées. Franchises médicales, durée des arrêts de travail, cotisation sur les tickets-restaurant… Le gouvernement a prévu des économies massives pour réduire le déficit de la Sécu à 17,5 milliards d'euros en 2026, contre 23 cette année.Les discussions s'annoncent inflammables, et le texte sera sans aucun doute remanié. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a lui-même déclaré vendredi être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux, l'une des mesures les plus contestées. Une nouvelle concession, après avoir fait inscrire la suspension de la réforme des retraites dans le texte, l'une des conditions du Parti socialiste pour ne pas censurer. « En réalité, c'est sur le PLFSS que le sort du gouvernement se joue dans les jours qui viennent », a déclaré à l'AFP le socialiste Jérôme Guedj."Si on n'a pas le courage de s'attaquer à bras-le-corps à son équilibre, ça va déraper. On va arriver à un moment où on ne sera plus capable de payer les retraites, de payer les remboursements", a estimé, de son côté, le ministre du Travail ce matin sur France Inter. "Il faut faire attention, je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale", a également averti Jean-Pierre Farandou.Parmi les sujets en discussion, la question des affections de longue durée (ALD) risque notamment de donner ces prochains jours matière à de vifs échanges. Celles-ci concernent des maladies dont la gravité ou le caractère chronique nécessitent un traitement prolongé (cancers, accidents vasculaires cérébraux invalidants, diabète de type 1 ou 2, certaines affections psychiatriques, etc.). « L'augmentation inédite des maladies chroniques invite à une réforme profonde du dispositif des affections de longue durée (ALD) : 26 % de la population pourrait relever de ce dispositif en 2035, soit 18 millions de personnes représentant les trois quarts de la dépense d'Assurance maladie, contre 14 millions de bénéficiaires en 2022 », écrit le gouvernement dans le dossier accompagnant la présentation du PLFSS 2026. Nos journalistes ont rencontré des Français atteints d'affections de longue durée (ALD).Ils sont aussi allés à Chalon-sur-Saône, où le ministre de l'Industrie, Sébastien Martin, a piloté pendant dix ans la réindustrialisation du site Kodak, fermé en 2008.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Marc VIGNAUD - Journaliste en charge du suivi des politiques économiques – L'Opinion
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Abel Boyi et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 4 novembre, Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France à New Delhi et Moscou, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Il a abordé la visite officielle du Premier ministre russe en Chine visant à renforcer la coopération économique et stratégique, ainsi que le rapprochement entre la Corée du Nord et la Russie. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans cette édition :Le Premier ministre Sébastien Lecornu fait face à des débats budgétaires difficiles à l'Assemblée nationale, avec une majorité introuvable et des alliances mouvantes.Pour tenter de faire passer le budget, Lecornu mise sur une stratégie des petits pas, avec des discussions en coulisses et des gestes comme la réindexation des retraites ou le dégel des minimas.Le casse du Louvre pousse les musées français à renforcer leur sécurité, avec notamment l'installation de caméras supplémentaires dans les musées de Bordeaux.Un jeune homme de 19 ans est décédé à Lille après avoir été renversé par un chauffard qui tentait d'échapper à un contrôle de police.À Moissac, la décision du procureur de ne pas poursuivre l'agresseur présumé d'une nonne indigne le maire de la ville.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Des contenus TikTok inquiétants poussant à l'automutilation et au suicide sont dénoncés par Amnesty International, avec le témoignage d'une adolescente victime de harcèlement et de plusieurs tentatives de suicide.Un étudiant de 19 ans a été tué par un chauffard à Lille, un homme de 31 ans a été interpellé.Le gouvernement fait face à de vives critiques sur son projet de budget 2026 de la Sécurité sociale, avec des économies prévues de 7 milliards d'euros.Le Premier ministre fait des concessions, mais la gauche reste opposée à plusieurs mesures du projet de loi.Le Président Macron tente de relancer son image avec un nouveau sommet des entreprises et des investisseurs français.Le magazine Capital en partenariat avec Europe 1 explique comment bien préparer sa retraite avec le plan épargne-retraite (PER).Novembre est le mois sans tabac, avec de nombreux bénéfices pour la santé dès les premiers jours d'arrêt.Jannik Siner remporte le Rolex Paris Masters et redevient numéro 1 mondial.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 2 novembre 2025.Avec cette semaine :Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique.Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.BILAN DE L'EXAMEN DU PLFLes députés ont commencé le 24 octobre l'examen de la partie recettes du projet de loi de finances (PLF), à l'Assemblée nationale.Après les trois premiers jours de débat à l'Assemblée nationale, les députés ont dégradé d'environ 4 Mds d'€ l'équilibre de la copie initiale. Lundi, la hausse de 2 Mds d'€ de la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises a été votée à l'initiative du gouvernement, mais contre son camp. Les députés ont également adopté une mesure plus favorable aux entreprises, en votant l'article 11 du PLF, qui prévoit de reprendre l'an prochain la baisse de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises, dont l'exécutif souhaite la suppression progressive pour « soutenir la dynamique de réindustrialisation ». Mercredi, les députés ont continué à détricoter la copie budgétaire du gouvernement avec l'adoption de deux amendements déposés par LFI : l'un pour élargir le champ d'application de l'impôt minimum de 15% sur les bénéfices des multinationales, l'autre pour instaurer une taxe exceptionnelle sur les superdividendes. De son côté, le RN a fait adopter grâce à l'abstention de la gauche une taxe de 33% sur les rachats d'actions qui, selon lui, rapporterait 8 Mds d'€. Face à ces revers pour le gouvernement, le bloc central a dénoncédepuis mardi une « surenchère fiscale ». Vendredi, l'article 3 du projet de loi sur le budget : la taxation des holdings a été adoptée par 224 députés, contre 10. La gauche s'est abstenue. La taxe Zucman sur les très hauts patrimoines a été largement rejetée, ainsi que sa version allégée, malgré la pression du PS. Vendredi soir, les députés ont lesté le budget Lecornu près de 45Mds€ de taxes supplémentaires (notamment la taxation proportionnelle des multinationales : 25Mds€, l'extension de la taxe sur les rachats d'actions : 8Mds€, la surtaxe de l'Impôt sur les Sociétés : 6Mds€, et dans la nuit un impôt sur la fortune improductive ...) Le Premier ministre a annoncé de nouvelles discussions avec les différents groupes parlementaires durant ce week-end. Les débats reprendront lundi.Les députés arrêteront leurs discussions sur le PLF lundi soir, avant de s'attaquer au projet de loi de financement de la Sécurité sociale à partir de mardi. Après son vote, prévu le 12 novembre, les débats pourront reprendre sur les recettes de l'État, pour enchaîner sur la deuxième partie du PLF, concernant les dépenses. Les projets de loi de finances et de financement de la sécurité sociale doivent être adoptés avant le 31 décembre. Les délais sont serrés, entre promesse de ne pas recourir au 49-3 et débats sur la réforme des retraites.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(Premier épisode) Des coups de feu retentissent à 20h25 lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris. Costume gris, chemise blanche et sacoche à la main, un homme est retrouvé mort devant le 14 boulevard Edgar Quinet. Le Premier ministre, Jacques Chirac, se rend rapidement sur les lieux. La victime s'avère être une figure de l'industrie automobile. Il s'agit de Georges Besse, le PDG de Renault, qui vient d'être tué. Cela fait un an et demi que l'Auvergnat de 58 ans a pris la tête de l'entreprise française en difficulté. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième épisode) Des coups de feu retentissent à 20h25 lundi 17 novembre 1986 près de la gare Montparnasse, à Paris. Costume gris, chemise blanche et sacoche à la main, un homme est retrouvé mort devant le 14 boulevard Edgar Quinet. Le Premier ministre, Jacques Chirac, se rend rapidement sur les lieux. La victime s'avère être une figure de l'industrie automobile. Il s'agit de Georges Besse, le PDG de Renault, qui vient d'être tué. Cela fait un an et demi que l'Auvergnat de 58 ans a pris la tête de l'entreprise française en difficulté. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de La Croix, L'Argus, et Secours rouge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
durée : 01:00:12 - Les Nuits de France Culture - par : Geneviève Huttin - Surnommé le "Préfet du maquis", le résistant communiste Georges Guingouin raconte dans "Mémoires du siècle" en 1990 l'organisation de la résistance dès 1940, la création du maquis du Limousin et les combats contre le régime de Vichy et l'armée allemande d'occupation. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Georges Guingouin Instituteur résistant
C dans l'air l'invité du 24 octobre 2025 avec Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas.Dans la nuit de mercredi à jeudi, le volet recettes du projet de loi de finances a été rejeté en commission des finances, ce qui augure de débats houleux en séance à l'Assemblée, dont le coup d'envoi a été donné aujourd'hui à 15h. Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a d'ores et déjà prévenu que "si dans les toutes prochaines heures, en gros jusqu'à lundi prochain, il n'y avait pas d'évolution sensible sur le texte, en réalité, ce serait terminé". Mais le Premier ministre, qui sera particulièrement présent sur les bancs de l'Assemblée et qui a donné le coup d'envoi de l'examen de la partie recettes du budget, a assuré, selon des propos rapportés par Le Parisien, qu'il fallait "être mobiles, être adeptes de la guerre de mouvement plutôt que de la guerre de tranchées." De son côté Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale dénonce un "théâtre", un "sketch préparé entre le gouvernement et le Parti socialiste", "Un scenario a été écrit. Les décors sont de Sébastien Lecornu, les textes de Olivier Faure."Reste à savoir si des compromis pourront tout de même être trouvés pour donner un budget à la France et ainsi éviter au gouvernement de recourir à une loi spéciale ou, chose inédite, aux ordonnances. En effet, Sébastien Lecornu a fait le choix de renoncer au 49-3 pour satisfaire les socialistes, sur lesquels reposent la responsabilité de faire tomber, ou non, le gouvernement.Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas, sera notre invité ce soir pour nous livrer son éclairage sur le début de l'examen de la partie recettes du budget pour 2026 à l'Assemblée nationale. Il est l'auteur de "Le nouveau régime. Ou l'impossible parlementarisme", paru aux éditions Passés composés.
C dans l'air du 24 octobre 2025 : Face à Poutine, Trump passe à l'offensive« Des sanctions énormes ». C'est ainsi que Donald Trump a qualifié les sanctions économiques inédites qu'il s'apprête à prendre contre la Russie et ses deux grandes compagnies pétrolières. « À chaque fois que je parle avec Vladimir, cela ne mène nulle part », a déclaré le président des États-Unis. Le chef du Kremlin admet un impact possible sur l'économie russe, tout en prévenant que toute livraison de missiles Tomahawk de Washington vers l'Ukraine serait considérée comme une escalade majeure.Dans ce contexte, les Européens se rassemblent pour faire bloc derrière l'Ukraine. Réunis hier à Bruxelles (en présence de Zelensky) puis aujourd'hui à Londres, les Vingt-Sept discutent de l'accélération de leur réarmement et de la livraison d'armes de longue portée à Kiev. L'accord sur l'utilisation des avoirs russes gelés dans l'Union a quant à lui été renvoyé à décembre. Pour aider l'Ukraine, la Commission européenne voudrait en effet utiliser les avoirs russes “immobilisés” par les sanctions occidentales. Le Premier ministre belge se montre là-dessus méfiant : c'est à Bruxelles que se trouve Euroclear, la société internationale de dépôts de fonds qui gère des dizaines de milliards d'euros d'actifs russes.De son côté, le chef d'état-major des armées françaises l'assure : la France doit être « prête à un choc face à la Russie dans trois, quatre ans ». L'Otan, lui, se prépare déjà. Une simulation de débarquement a eu lieu en juin dernier. Plus de trois mille militaires français et étrangers ont participé à cet exercice militaire dans l'Atlantique et dans la Manche. Les forces françaises étaient à la manœuvre de cet exercice de préparation opérationnelle baptisé Polaris 25.Enfin, du côté du Venezuela, la pression américaine continue, officiellement dans le cadre d'une opération contre le narcotrafic. Face au déploiement de bateaux de guerre dans les Caraïbes, et neuf attaques ayant fait au total 37 morts, Nicolás Maduro cherche à apaiser les tensions avec Trump et a réitéré ses appels à la paix. « Non à la guerre des fous !» a-t-il lancé.Alors, les sanctions économiques de Trump envers la Russie seront-elles efficaces ? L'utilisation par l'Europe des avoirs gelés russes est-elle risquée ? À quoi joue Trump au Venezuela ?LES EXPERTS :- Dominique TRINQUAND - ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur D'un monde à l'autre (Robert Laffont)- Anthony BELLANGER - Journaliste, éditorialiste et spécialiste des questions internationales sur Franceinfo TV- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste à Ouest France- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie au Monde, ancienne correspondante à Moscou
durée : 00:36:05 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Des milliers de Hongrois sont descendus dans la rue dans deux manifestations rivales lancées par le gouvernement et l'opposition. Le Premier ministre Viktor Orban, tout comme son concurrent le plus sérieux depuis quinze ans, Peter Magyar cherchent à mobiliser, à six mois des élections législatives. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Joël Le Pavous Journaliste indépendant; Paul Gradvohl Historien, professeur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste de la Hongrie