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Retrouvez les partis pris de Louis Sarkozy le Lundi et le Mercredi dans votre chronique "Voix de droite" sur RMC.
4:05 Un influenceur, coach en musculation se fait incendier sa salle de sport après avoir été en conflit avec des antifas
Chaque samedi, dans CLAP !, Laurie Cholewa donne la parole aux critiques, qui commentent les sorties de la semaine. Les auditeurs ont également rendez-vous avec le journal des sorties, et les chiffres du box-office.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:04 - Récits d'enquête - par : Mattéo Caranta - Arab Reporters for Investigative Journalism (ARIJ) revèle comment les réfugiés soudanais tombent entre les mains de gangs criminels organisés. Une enquête qui pointe du doigt l'abandon de la communauté internationale.
Un derby romand est au programme de la soirée de National League en hockey sur glace ce samedi 15 novembre 2025. Ajoie reçoit Genève Servette. Les Servettiens sont largement favoris chez la lanterne rouge. La logique a-t-elle été respectée. Réponse en direct avec Jérôme Jeannin à Porrentruy.
Dans ce format court plus personnel, Thomas Chardin partage ses apprentissages, ce qui l'inspire et avec beaucoup d'humilité ce qui fait son leadership.Celui qui ne cherche pas à tout maîtriser, mais à faire naître le désir collectif.À la question : “Quelle est la phrase qui vous accompagne ?”, Thomas répond :« Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur des hommes le désir de la mer. »Une phrase qu'il relie à sa vision du leadership : créer une forme de désirabilité de la destination commune, non pas parce que “ça marche”, mais parce qu'on y croit profondément.Il ajoute : « Il faut qu'on passe de la collaboration à la coopération. La collaboration, c'est partager le labeur. La coopération, c'est partager l'opus, le bien commun. »Dans cet épisode, il revient aussi sur :le moment où il a pris conscience que le leadership, c'est d'abord une affaire de sens ;les points de bascule de sa posture de dirigeant ;et la manière dont il relie impact économique et impact humain.Un épisode court, sincère, qui redonne au leadership sa dimension la plus essentielle : celle d'un art de relier, d'inspirer et de faire grandir.Un format court pour découvrir les réponses signature de Thomas Chardin.
durée : 00:20:02 - Lectures du soir - " Aujourd'hui jour de Pâques fleuries il y a précisément cinquante ans de ma première connaissance avec Mme de Warens. Elle avait vingt-huit ans alors, étant née avec le siècle. Je n'en avais pas encore dix-sept... "
« Lorsque les États-Unis se sont réveillés de la plus longue paralysie gouvernementale de leur histoire, Jeffrey Epstein était toujours là », ironise El Pais. « Pendant les 43 jours où le robinet de l'argent public est resté partiellement fermé, le souvenir des terribles crimes du millionnaire pédophile – qui, depuis sa mort en 2019, hante Donald Trump – est passé au second plan face à d'autres questions urgentes ». Mais voilà, de nouveaux rebondissements sont intervenus, cette semaine, avec la publication, par les démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, de mails dans lesquels Jeffrey Epstein affirme que Donald Trump « était au courant pour les filles » et qu'il avait passé « des heures » avec l'une des victimes du financier. Le président dénonce des « supercheries ». Mais l'affaire ne s'arrête pas là puisque, comme l'explique El Pais, une pétition parlementaire va contraindre le Congrès à voter et à exiger de la Maison-Blanche la publication des dossiers Epstein par le ministère de la Justice. Malgré les pressions exercées sur certains, « quatre républicains se sont joints à leurs rivaux, précise le quotidien espagnol, pour rassembler les 218 signatures nécessaires pour exiger la publication de ce dossier ». Vote attendu du Congrès sur la publication de dossiers Un démocrate de Californie estime, selon The Guardian, « qu'entre 40 et 50 républicains pourraient voter en faveur de la publication des documents, s'alliant ainsi aux démocrates qui voteront pour ». « Le texte, poursuit The Guardian, devrait ensuite être examiné par le Sénat, où son adoption est peu probable. » Et dans tous les cas, conclue le quotidien britannique, « Donald Trump pourrait opposer son veto à la version finale du projet de loi, même s'il était adopté par les deux chambres ». « Cependant, note The Guardian, la simple perspective d'un vote favorable de la Chambre des représentants, contrôlée par les républicains, pourrait engendrer de sérieux problèmes politiques pour Trump, car elle pourrait alimenter les protestations de sa base politique en faveur de la levée du secret sur ces documents et saper leur soutien envers lui. » « Epstein est le seul sujet qui divise constamment Trump et sa base électorale » : c'est d'ailleurs ce que titre le Washington Post. « Les partisans du slogan "Make America Great Again" n'ont eu aucun mal à fermer les yeux sur le mépris de Donald Trump pour les normes et les principes éthiques, souligne le Washington Post, mais la gestion par son administration des informations relatives aux crimes odieux du délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein est différente. » « C'est tout ce que la Maison Blanche redoutait : que l'affaire Epstein lui revienne en pleine figure », confirme le journal français L'Opinion, qui rappelle qu'en juillet, cette affaire avait déjà failli faire imploser le mouvement MAGA. La procureure générale, Pam Bondi, avait affirmé qu'il n'y avait pas de raison de dévoiler le contenu de l'enquête, après avoir promis de le faire quelques mois plus tôt. La fameuse liste des clients haut placés de l'ancien financier, qui auraient participé à ses crimes, « n'existe pas », avait-elle affirmé. « Plusieurs soutiens trumpistes s'étaient alors sentis trompés par leur chef, poursuit L'Opinion, apprenant par le biais des médias de nouveaux détails sur son amitié avec Jeffrey Epstein. » Le président américain traverse « une mauvaise passe » « En quelques jours seulement, note El Pais, le parti de Trump a subi une défaite cuisante aux urnes, la Cour suprême a exprimé des doutes quant à la constitutionnalité de ses tarifs douaniers, et une guerre intestine a éclaté au sein du mouvement MAGA concernant le niveau d'extrémisme (antisémite) acceptable en son sein, suite à une interview controversée entre Tucker Carlson et le négationniste Nick Fuentes. » Le Washington Post évoque aussi des critiques après une interview de Donald Trump, en début de semaine, faisant comprendre que les États-Unis avaient besoin de travailleurs étrangers parce qu'ils ne disposent pas d'assez de « personnes talentueuses ». Des dissensions qui « ont mis en lumière, analyse le Washington Post, les limites de l'autorité de Trump sur le programme de "l'Amérique d'abord" qu'il a défendu durant sa campagne, et qui ont suscité des inquiétudes au sein du Parti républicain quant à l'enthousiasme des électeurs à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. » « En privé, tempère Politico, les conseillers de la Maison-Blanche réfutent l'idée que la situation actuelle soit particulièrement défavorable ou qu'ils aient essuyé une série de revers ». Mais la Maison-Blanche est, titre le média américain, « sur la défensive ». À lire aussiÉtats-Unis: la Maison Blanche accuse les démocrates de fabriquer «un faux récit» sur Trump et Epstein
Les marchés avancent avec prudence en ce vendredi quatorze novembre. La nervosité s'installe alors que Wall Street retient son souffle avant les résultats financiers très attendus de Nvidia, prévus mercredi prochain. En parallèle, le Bitcoin décroche sous la barre psychologique des cent mille dollars, et plusieurs nouvelles du côté de la techno et de la crypto alimentent un climat d'incertitude.Dans ce billet, on revient sur ce qui bouge aujourd'hui, ce qui inquiète les investisseurs, et surtout ce qui pourrait faire basculer le marché la semaine prochaine.https://www.daytradercanada.com/billet-boursier/marches-en-pause-prudence-avant-les-resultats-financiers-de-nvidia-bitcoin-repasse-sous-100-000/Site web: https://daytradercanada.com/Nous joindre: https://daytradercanada.com/nous-joindre/Facebook: https://www.facebook.com/daytradercanadaYoutube: https://www.youtube.com/@DayTraderCanadaLinkedIn: https://www.linkedin.com/company/day-trader-canada/
Au menu de la troisième heure des GG du jeudi 13 novembre 2025 : Les réseaux sociaux mettent-ils en danger la démocratie ? Avec : Jérôme Marty, médecin généraliste. Zohra Bitan, cadre de la fonction publique. Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire. Et Bruno Poncet, cheminot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
On ne parle jamais assez de la souffrance psychique que peuvent ressentir les adolescent·es, et Isabelle Carré le fait justement très bien, c'est pourquoi j'ai voulu l'inviter dans Folie Douce.Pour son premier film en tant que réalisatrice, Les Rêveurs, sorti en salles le 12 novembre, cette grande actrice a voulu évoquer sa propre enfance, et la tentative de suicide qui l'a précipitée dans un établissement psychiatrique pour adolescent·es. C'est la toute jeune Tessa Dumont Janod qui joue comme un double enfant de la comédienne, et son jeu très juste m'a énormément touchée. Les Rêveurs est l'adaptation de son roman éponyme paru en 2018. Elle y raconte le monde médical et comment elle a trouvé des clés à ses troubles, et finalement, presque par hasard, sa vocation dans le cinéma.Avec Isabelle Carré, nous avons évoqué l'importance de se sentir utile, et le fait de trouver sa voix dans l'écriture. Elle observe avec beaucoup de justesse et d'humilité tous les manquements dans l'accompagnement des jeunes et de leur mal-être, de l'époque de sa propre hospitalisation à aujourd'hui. Sa démarche peut s'assimiler à une forme de pair-aidance. Elle dénonce également l'impunité des auteurs de violences sexistes, la nécessité de changer profondément la société sur ce sujet, et le manque de moyens alloués à la psychiatrie, et à la pédopsychiatrie, son parent pauvre. Finalement pour Isabelle Carré, c'est parfois l'art lui-même qui peut sauver.Photo : Christine Tamalet
durée : 00:20:01 - Lectures du soir - " On veut être estimé des gens qu'on estime et tant que je pus juger avantageusement des hommes ou du moins de quelques hommes, les jugements qu'ils portaient de moi ne pouvaient m'être indifférents. "
C dans l'air du 12 novembre 2025 : Réforme des retraites: la suspension passe...à quel prix?C'est le grand jour pour la réforme des retraites. Sa suspension a été débattue ce mercredi à l'Assemblée nationale, lors de la réouverture des discussions sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Mesure clé, elle conditionne la non-censure du gouvernement Lecornu par les socialistes, qui proposent de financer cette suspension par une hausse de la CSG sur les revenus du capital. Les échanges s'annonçaient houleux à gauche, et certains s'attendaient à un scrutin bien plus serré que prévu.Les députés du Rassemblement national ont approuvé la suspension. Leurs représentants avaient déjà voté en ce sens lors du débat en commission des affaires sociales, où la mesure a été adoptée par 22 voix contre 12. Le groupe socialiste a également voter pour, tout comme le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot), considéré comme l'électron libre du Parlement. « Liot était l'auteur de la motion de censure contre la réforme Borne en 2023 », a rappelé Harold Huwart, député d'Eure-et-Loir. Une motion rejetée à l'époque à neuf voix près.Les députés de La France insoumise, eux, ont voté contre l'article 45 bis. Selon eux, la suspension de la réforme ne vaut pas abrogation. Les écologistes et les communistes, longtemps indécis entre un vote contre et l'abstention, se sont réunis en fin de matinée et en début d'après-midi pour trancher.Les Républicains, qui avaient soutenu la réforme d'Élisabeth Borne et prévu dans leur programme présidentiel un recul de l'âge légal de départ à la retraite, ont voté contre la suspension.Même position du côté d'Horizons, malgré la présence de plusieurs ministres du parti au sein du gouvernement Lecornu.Le MoDem de François Bayrou a annoncé qu'il s'orientait « majoritairement vers l'abstention », tout comme les députés Renaissance.Le chef de file des députés Renaissance, Gabriel Attal, a d'ailleurs appelé ses troupes à s'abstenir, afin de ne pas compromettre le compromis avec le Parti socialiste.Dans le même temps, il plaide pour une « révolution » d'ici 2027, proposant de verser 1 000 euros à chaque enfant dès sa naissance pour anticiper sa retraite — une mesure dont le coût est estimé à 660 millions d'euros par an.« Très concrètement, on veut développer la capitalisation en France. Cela passe par un développement des plans d'épargne retraite, par un fléchage de l'intéressement et de la participation des entreprises vers ces plans, et par cette nouvelle mesure », a expliqué l'ancien Premier ministre. Il nous a accordé une longue interview diffusée dans le #danslair du jour.Pendant ce temps, outre-Atlantique, Donald Trump a de nouveau provoqué la polémique. Lors d'un échange houleux avec une journaliste de Fox News, lundi 10 novembre, l'ancien président américain a critiqué la France, estimant qu'elle « ne vaut pas mieux » que la Chine.« On a eu beaucoup de problèmes avec les Français. Nos technologies ont été taxées de manière très injuste. Ils ont mis 25 % de taxes sur les produits américains », a-t-il insisté, en référence au doublement de la taxe Gafam voté en octobre dernier par les députés de l'Assemblée nationale.Nos experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche- Pauline DE SAINT-REMY - Directrice adjointe de la rédaction de Politico- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions des Echos
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:20:03 - Lectures du soir - " Attiré par les riants objets qui m'entourent, je les considère, je les contemple, je les compare, j'apprends enfin à les classer, et me voilà tout d'un coup aussi botaniste qu'a besoin de l'être celui qui ne veut étudier la nature que pour trouver sans cesse de nouvelles raisons de l'aimer."
durée : 00:05:11 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - L'ex-ministre de l'intérieur, Bruno Retailleau, retrouve aujourd'hui les bancs du Sénat. Son départ du gouvernement, il y a un mois, a mis un terme au réveil politique que connaissait son parti, "Les Républicains", depuis un an.
L'Assemblée nationale a franchi une nouvelle étape dans la transparence alimentaire. Le vendredi 7 novembre 2025, les députés ont voté en faveur d'une mesure rendant obligatoire l'affichage du Nutri-Score sur la quasi-totalité des produits alimentaires. L'objectif est simple : permettre aux consommateurs de savoir ce qu'ils mangent, et de comparer plus facilement la qualité nutritionnelle des aliments qu'ils achètent.Le Nutri-Score, ce logo coloré allant de la lettre A (meilleur équilibre nutritionnel) à E (moins favorable), était jusqu'ici facultatif. Désormais, il devra apparaître sur la majorité des emballages. C'est la députée écologiste Sabrina Sebaihi qui a défendu cette mesure, estimant que “les grandes marques comme Coca-Cola ou Ferrero continuent d'échapper à la règle, alors que leurs produits sont clairement néfastes pour la santé”.Cependant, le texte ne s'appliquera pas à tous les produits. Un sous-amendement porté par le député Renaissance Jean-François Rousset prévoit d'exclure de cette obligation les aliments bénéficiant d'un signe de qualité officiel, comme les AOP (Appellation d'Origine Protégée), les AOC ou les IGP. Ces produits du terroir, considérés comme emblématiques du patrimoine gastronomique français, ne seront donc pas comparés aux aliments ultra-transformés. “On ne peut pas mettre sur le même plan un fromage fermier et une barre chocolatée industrielle”, a résumé le député.Cette exception a été largement saluée dans l'hémicycle, où plusieurs élus ont rappelé l'importance de préserver les savoir-faire locaux. Mais la mesure n'a pas fait l'unanimité. La ministre de la Santé, Stéphanie Rist, a mis en garde contre un possible conflit avec le droit européen, qui pourrait sanctionner la France pour avoir rendu le Nutri-Score obligatoire sans accord communautaire.Certains députés, notamment du camp Les Républicains, ont également souligné la difficulté technique et financière d'une telle mise en œuvre pour les entreprises, évoquant un “casse-tête logistique”.Cette décision illustre un débat plus large : comment concilier santé publique et défense du patrimoine gastronomique ? Les écologistes et les socialistes voient dans cette réforme un pas en avant vers une alimentation plus transparente. D'autres y voient une contrainte supplémentaire pour les industriels et les artisans.En rendant le Nutri-Score quasi universel, la France envoie toutefois un message fort : l'information du consommateur devient une priorité nationale, mais pas au prix d'effacer la richesse de ses terroirs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La comédienne Isabelle Carré passe derrière la caméra pour la première fois. Avec Les rêveurs, elle adapte son premier roman du même nom, qui avait trouvé un large écho. Ce film devrait aussi toucher en plein coeur le public, avec son sujet très fort, celui de la santé mentale des adolescents, avec une part très autobiographique de la part d'Isabelle Carré qui a plongé dans ses propres souvenirs.Il s'agit d'un sujet plus actuel que jamais. La primo-cinéaste l'aborde avec une grande justesse et beaucoup de sincérité. Nous avons rencontré la cinéaste pour parler de cette première expérience de réalisation, de sa genèse à sa sortie. L'occasion également d'évoquer plus largement son actualité, Jean Valjean au cinéma dès la semaine prochaine, et la pièce de théâtre Un Pas de côté, actuellement au Théâtre de la Renaissance.Crédits :Journaliste : Brigitte BaronnetMontage : Constance Mathews Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
À la fois pédagogique, rude et tendre, le premier film réalisé par Isabelle carré réunit la jeune comédienne Tessa Dumont-Janod, Bernard Campan, Alex Lutz, Judith Chemla, Pablo Pauly Nicole Garcia et elle-même... Ecoutez Laissez-vous tenter avec Stéphane Boudsocq du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:32 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mercredi 12 novembre 2025, la comédienne, écrivaine et réalisatrice Isabelle Carré. Son premier film, "Les Rêveurs" sort aujourd'hui au cinéma. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
Après 8 années de sommeil haché, je vois enfin le bout… et au lieu de vous parler du sommeil de mes enfants, j'ai eu envie de vous parler de mon sommeil.Parce qu'à m'être focalisée sur le sommeil de mes filles j'en ai oublié le mien et mes immenses difficultés.Je suis rentrée dans la case de ce qu'on appelle les dyssomnies.Ces troubles ont un impact spécifique sur la durée du sommeil et/ou sa qualité.Après avoir compris les besoins de mes filles en fonction de leur particularité, j'aurais absolument dû apprendre à me concentrer sur moi. La première fois que j'y ai pensé c'est en lisant le livre d'Anna Roy sur le baby clash où elle explique que nos troubles du sommeil sont à prendre au sérieux. Avant ça j'étais tellement dans le dur que je ne voyais que la galère des nuits à cause de mes enfants.Mais au final, les nuits hachées ont créé chez moi des petits troubles qui ont eu des effets très néfastes sur ma santé.La maternité m'a aussi appris ce qu'était l'hypervigilance et je m'en serai bien passé.A l'automne 2022, mon monde s'écroule. Mon mari décide de se séparer et je me retrouve seule avec 3 enfants qui ne dorment pas.Le choc émotionnel dû à ma séparation m'a fait prendre du xanax pour baisser mon anxiété et arriver à dormir…Mais ce type d'anxiolytiques vous empêche d'avoir accès à un sommeil réparateur.J'étais dans un état de fatigue extrême. J'ai demandé à un moment à me faire interner. Je n'ai pas honte de le dire. Il n'y avait pas de places pour moi et ça ne s'est pas fait mais j'étais dans une grande détresse.Chaque nuit je dormais moins de 4h, de manière ininterrompue en permanence, avec des réveils toutes les 30 minutes. Je vivais une situation que j'ai assimilée à de l'enfer. Les réveils de mes filles se sont estompés, j'en parlerai dans un autre épisode. Ce que j'ai mis en place pour les aider et les accompagner. Ça a pris beaucoup de temps, mais j'y suis arrivée. En revanche, mon sommeil est resté abimé par cette période extrêmement délicate de ma vie.J'avais donc du pain sur la planche pour prioriser mon hygiène du sommeil.Et puis j'ai passé 35 ans… mes hormones ont changé et les réveils nocturnes à 3h du matin sont arrivés sans que je ne comprenne ce qu'il se passait.A cette époque j'ai reçu dans mon podcast le Professeur Pierre Philip qui est un des plus grands spécialistes français du sommeil qui explique tout ce qu'il faut mettre en place pour que notre hygiène de sommeil soit au top.Ça m'a beaucoup aidé. A recadrer les choses. L'épisode c'est le 176.Je vous donne ce que moi j'ai mis en place et comment je l'ai mis en place. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:02 - Lectures du soir - "Je n'ai jamais cru que la liberté de l'homme consistât à faire ce qu'il veut, mais bien à ne jamais faire ce qu'il ne veut pas, et voilà celle que j'ai toujours réclamée, souvent conservée, et par qui j'ai été le plus en scandale à mes contemporains."
Attention à ce que vous lisez sur les étiquettes de vos produits en supermarchés ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 11 novembre, Yann Le Her, conseiller en gestion de patrimoine, et Antoine Larigaudrie vous présentent le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:20:02 - Lectures du soir - " De toutes les habitations où j'ai demeuré (et j'en ai eu de charmantes), aucune ne m'a rendu si véritablement heureux et ne m'a laissé de si tendres regrets que l'île de Saint-Pierre au milieu du lac de Bienne."
Réponses aux questions des auditeurs, informations complémentaires aux dossiers... Olivier Dauvers est un puits de savoir. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, la rédaction d'Europe 1 vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:31 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Que contient l'étrange "Manuscrit du Purgatoire" de la religieuse Marie de la Croix ? Que révèle-t-il sur l'après-vie ? En 1972, dans l'émission "Le monde religieux" de Paul Lesourd, l'écrivain Jean Prieur raconte l'aventure mystérieuse de cette sœur qui, au 19e siècle, communiqua avec l'au-delà... - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
Le Nouvel Obs les appelle « les résistantes de l'ombre ». « Dans les territoires occupés par les Russes », nous dit l'hebdomadaire, « l'opposition s'organise et les femmes sont en première ligne. Et la répression est inouïe ». Elle vise parfois de simples gestes : comme « porter un vernis à ongles jaune et bleu (les couleurs de l'Ukraine) ou un post anti-russe sur Instagram, un partage de pétition ou encore des slogans griffonnés sur un mur ». « Sur ce front qui ne dit pas son nom », poursuit le Nouvel Obs, « les femmes sont en première ligne. Parce qu'elles connaissent les rues, les visages, les habitudes des habitants. Parce qu'on se méfie moins d'elles. Mais surtout parce qu'elles refusent la soumission ». Certaines agissent seules, d'autres se sont organisées en réseau et « mènent clandestinement des actions non-violentes ». Il s'agit parfois de « transmettre des coordonnées GPS » ou « d'observer des convois militaires ». Le Nouvel Obs a rencontré l'une de ces résistantes ukrainiennes, Aliona Romanenko, arrêtée et torturée par les Russes, et désormais réfugiée à Kiev, « en zone libre ». Elle évoque ces moments de captivité où « on la forçait à creuser sa propre tombe ». « J'étais surtout triste pour mes proches », dit-elle, « mais j'étais en paix avec moi-même. J'ai fait ce qui devait l'être. Je le referai sans hésiter ». Otages d'Alger La presse s'intéresse également au sort de deux Français, un écrivain et un journaliste, emprisonnés en Algérie. La photo de Boualem Sansal s'affiche en Une du Journal du Dimanche, avec ce titre : « Un an déjà. Un an après l'emprisonnement de l'écrivain franco-algérien, âgé et malade, la mobilisation ne faiblit pas pour réclamer la libération de "l'otage d'Alger" ». Pour Le Journal du Dimanche, Boualem Sansal est certes un écrivain, mais surtout « un lanceur d'alerte qui aura foré et révélé ce totalitarisme qui vient, le totalitarisme islamiste. Sansal dérange autant à Alger qu'à Paris, il tient en effet un langage de vérité dont on sait par expérience qu'il n'est pas toujours bon à tenir ». Le Nouvel Obs de son côté, a choisi de mettre en avant celui qu'il appelle « l'autre otage du régime algérien » : le journaliste Christophe Gleize « dont le nom est moins connu que celui de Boualem Sansal, mais le sort, aussi inquiétant. Entré en Algérie en mai 2024, afin de réaliser un reportage sur le club de football JS Kabylie, le journaliste français purge une peine de sept ans de prison pour "apologie du terrorisme". Son procès en appel se tiendra le 3 décembre », nous explique le Nouvel Obs. Pour Le Journal du Dimanche, les deux hommes, Christophe Gleize et Boualem Sansal, « sont les prisonniers d'une relation exécrable entre la France et l'Algérie », « otages innocents d'un régime de plus en plus crispé envers la France ». Les parents de Christophe Gleize, eux, se veulent « optimistes » et le Nouvel Obs met en avant les quelques signes qui pourraient changer la donne. Avec notamment, le remplacement au ministère français de l'Intérieur de Bruno Retailleau, « très virulent contre le régime algérien », par Laurent Nunez. L'hebdomadaire espère visiblement que celui-ci sera plus diplomate. Traducteur ou maçon Que nous réserve l'Intelligence Artificielle ? « Avec l'IA, la fin des cadres », annonce Marianne, annonce illustrée par un dessin, où l'on voit un robot penché sur un ordinateur, alors qu'un humain passe l'aspirateur à ses pieds. Selon l'hebdomadaire, le phénomène a déjà commencé : Marianne évoque « des charrettes d'où débordent des cols blancs et des Bac + 5 ». Marianne qui a réalisé à partir de plusieurs études, un petit tableau, avec d'abord « les 10 professions les plus menacées ». Arrivent en tête, traducteur, historien, mathématicien, et même, en dixième position, journaliste… Dans les professions qui devraient être épargnées, on trouve, notamment, les ouvriers du bâtiment, les femmes de ménage ou les dentistes. C'est tout simple, nous explique l'ingénieur en IA Aymeric Roucher : « Seuls les métiers où l'intervention humaine est indispensable résisteront ». Reste évidemment à savoir ce que l'on entend par « intervention humaine ». Aymeric Roucher nous donne son point de vue sans hésiter : « Tous les métiers qui peuvent se faire en télétravail, et qui sont donc des métiers numérisables seront assez vite transformés en profondeur par l'IA… ». Quant à ce qui restera indéniablement lié à l'humain, l'ingénieur évoque « la main d'un artiste », « la conscience d'un juge », ou encore « la sollicitude d'un soignant. Ce sont autant de parts humaines qu'on ne remplacera pas par des IA » ajoute-t-il. Une concession qui ne suffit pas vraiment à envisager l'avenir avec optimisme...
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse à l'autorisation du découvert bancaire. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actuHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:58:18 - Le Souffle de la pensée - par : Géraldine Mosna-Savoye - 1895 : Emile Durkheim publie "Les Règles de la méthode sociologique", avec une idée : traiter les phénomènes sociaux comme des choses avec leurs propres lois. Le philosophe et sociologue Geoffroy de Lagasnerie revient sur l'œuvre qui a marqué ses propres travaux. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Geoffroy de Lagasnerie Philosophe et sociologue français
Dans ce format court, Michel Barabel répond aux questions signature de L'Entreprise de demain.Un moment intime, sincère et éclairant, où il partage la dimension plus personnelle de son leadership éthique et lucide.Après avoir exploré dans l'épisode principal la place de l'éthique dans la stratégie RH, Michel revient ici sur les fondations de sa posture : ses doutes, ses apprentissages, et les moments de bascule qui ont façonné sa manière de diriger et de transmettre.“L'éthique, ce n'est pas d'avoir raison, c'est d'être aligné.”Il évoque les dilemmes auxquels tout leader est confronté :comment rester fidèle à soi-même dans la complexité,comment décider sans rigidité,et comment cultiver un leadership capable de questionner autant que d'inspirer.Pour lui, le rôle du leader – qu'il soit DRH, manager ou dirigeant – est d'abord d'aider les autres à penser, pas à suivre.Un leadership du discernement, plus que de la certitude.Il parle aussi de transmission : comment faire grandir les futurs DRH et leaders sans leur donner de recettes, mais des repères.Et ce qu'il aimerait que l'on dise de lui dans dix ans : qu'il a contribué à rendre la fonction RH plus lucide, plus humaine, plus durable.Un format court pour découvrir les réponses signature de Michel Barabel.
durée : 00:20:03 - Lectures du soir - "J'ai souvent débité bien des fables, mais j'ai très rarement menti. En suivant ces principes j'ai donné sur moi beaucoup de prise aux autres, mais je n'ai fait tort à qui que ce fût (…). C'est uniquement par là, ce me semble, que la vérité est une vertu."
durée : 00:02:19 - Le vrai ou faux - Une affiche diffusée par plusieurs élus du Rassemblement national affirme que la gauche veut interdire le vin. En réalité, il s'agit d'une proposition bien plus limitée : un député du groupe écologiste Emmanuel Duplessy souhaite bannir l'alcool à la buvette de l'Assemblée nationale, au nom de l'exemplarité des élus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 6 novembre 2025 : L'assurance vie et l'épargne...au secours du budget?Depuis deux jours, les parlementaires débattent à l'Assemblée nationale du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les discussions portent actuellement sur le volet « recettes » du texte, et les députés ont notamment adopté une hausse de la CSG sur les revenus du capital.Concrètement, il s'agit d'une augmentation de 1,4 point de cette contribution, l'une des principales sources de financement de la protection sociale, prélevée sur les salaires, les retraites mais aussi les revenus du capital. Le taux passerait ainsi de 9,2 % à 10,6 %, permettant de dégager environ 2,8 milliards d'euros supplémentaires pour les caisses de la Sécu, afin de financer la suspension de la réforme des retraites.Cette proposition du député socialiste Jérôme Guedj a été adoptée avec le soutien d'une partie du camp gouvernemental, en lieu et place d'une autre mesure portée par l'exécutif, qui prévoyait de geler le barème de la CSG. Une option qui revenait, selon Paul-André Colombani (LIOT, Indépendants), « dans les faits, à augmenter les prélèvements sur les foyers modestes, dont les revenus évoluent à peine au rythme de l'inflation ».La hausse de la CSG sur les revenus du capital concernera tous les Français détenant des produits financiers : assurance-vie, comptes-titres ou livrets ordinaires. En revanche, les épargnes réglementées – livret A, livret Jeune ou livret d'épargne populaire (LEP) – ne seront pas concernées.Cette mesure intervient quelques jours après le vote à l'Assemblée de la transformation de l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) en un nouvel « impôt sur la fortune improductive », incluant notamment les produits d'assurance-vie en fonds euros (ceux qui garantissent le capital sans risque). Les contrats en unités de compte, investis en actions ou obligations, resteraient, eux, épargnés.À droite, Thibault Bazin (LR), rapporteur général du budget, a fait part de son désaccord, estimant que la mesure pèsera sur "les produits d'épargne de millions de Français". De son côté, le chef du groupe Les Républicains, Laurent Wauquiez, a appelé ces derniers jours à la mobilisation contre la "folie fiscale" à l'œuvre selon lui à l'Assemblée nationale.Ces discussions budgétaires offrent aussi au président de la région Auvergne-Rhône-Alpes l'occasion de reprendre la main face à un Bruno Retailleau affaibli et à un Édouard Philippe en difficulté dans les sondages.Selon la dernière enquête Elabe pour La Tribune Dimanche et BFMTV, en vue de la présidentielle de 2027, l'ancien Premier ministre perd 5 points par rapport à avril dernier, tombant à 15,5 % d'intentions de vote. Même s'il conserve sa deuxième place dans tous les scénarios testés, ce recul est perçu comme un signal préoccupant pour lui.Édouard Philippe connaît ce décrochage après avoir demandé la démission d'Emmanuel Macron. Il ne rassemble désormais plus que la moitié de l'électorat Renaissance–MoDem–Horizons des législatives de 2024 et reste faible dans les catégories traditionnellement favorables au chef de l'État : cadres (20 %), retraités (15 %) et Franciliens (14 %).LES EXPERTS :- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - François GEEROLF - Economiste - OFCE - Raphaële SCHAPIRA – Duplex à Rome - Correspondante en Italie – France Télévision
Aux Etats-Unis, plusieurs succès électoraux pour le Parti démocrate. Zohran Mamdani s'est imposé dans la course à la mairie de New York tandis que les démocrates Abigail Spanberger et Mikie Sherrill ont été élues gouverneures, respectivement dans les États de Virginie et du New Jersey.
durée : 00:20:01 - Lectures du soir - "J'ai vu de ces gens qu'on appelle vrais dans le monde. Toute leur véracité s'épuise dans les conversations oiseuses, à citer fidèlement les lieux, les temps, les personnes, à ne se permettre aucune fiction, à ne broder aucune circonstance, à ne rien exagérer."
Invité : Gérard Larcher, président Les Républicains du Sénat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Gérard Larcher, président Les Républicains du Sénat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération d'otages détenus par le Jnim et la victoire de Zohran Mamdani à la mairie de New York. Espace : 3I/Atlas, la comète qui enflamme les réseaux sociaux Découverte en juillet 2025, la comète interstellaire 3I/ATLAS venue d'un autre système solaire intrigue les astronomes. Comment expliquer cet engouement ? Cet objet interstellaire est-il une menace pour notre planète ?, comme l'affirment certains internautes sur les réseaux sociaux. Avec Simon Rozé, chef du service environnement-climat de RFI. Mali : des otages libérés en échange d'une rançon record Capturés le 23 septembre 2025 à une trentaine de kilomètres de Bamako par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim), les trois otages (un Emirien, un Pakistanais et un Iranien) ont été libérés la semaine dernière contre une rançon de 50 à 70 millions de dollars, ainsi que du matériel militaire. Comment ces libérations ont-elles été négociées ? Comment expliquer un montant aussi élevé pour la rançon ? Avec Wassim Nasr, journaliste à France 24, spécialiste des mouvements jihadistes. New-York : un revers pour Donald Trump Figure de l'aile gauche démocrate, Zohran Mamdani est devenu le nouveau maire de New York. Pourquoi, lors de la campagne, Donald Trump a préféré soutenir Andrew Cuomo, candidat issu du camp démocrate plutôt que Curtis Sliwa, le candidat républicain ? Quel impact la victoire de Zohran Mamdani peut-elle avoir sur les élections de mi-mandat dans un an ? Avec Françoise Coste, historienne et professeure d'études américaines à l'Université de Toulouse Jean-Jaurès.
durée : 00:20:02 - Lectures du soir - "Jeté dès mon enfance dans le tourbillon du monde, j'appris de bonne heure par l'expérience que je n'étais pas fait pour y vivre, et que je n'y parviendrais jamais à l'état dont mon cœur sentait le besoin."
Emmanuel Macron plaide pour un encadrement plus strict des plateformes, mais jusqu'où faut-il aller sans basculer dans la censure ?Extrait de L'Hebdo du 1er novembre 2025Un discours présidentiel sans détourLors du Forum de la Paix à Paris, Emmanuel Macron a livré une violente charge contre les réseaux sociaux. Il a dénoncé un modèle économique fondé sur la manipulation de l'attention, accusant les plateformes américaines – et en particulier X – de favoriser les contenus les plus extrêmes. Selon lui, cette dérive menace directement nos démocraties, car l'émotion y supplante la vérité et l'argumentation.Vers une nouvelle ère de régulation ?Le chef de l'État appelle à “reprendre le contrôle” de notre vie démocratique et informationnelle. Transparence des algorithmes, suppression des faux comptes, fin de l'anonymat total… autant de pistes qui s'inscrivent dans un mouvement européen plus large, initié avec le Digital Services Act.Mais ce discours de fermeté révèle aussi un paradoxe : comment encadrer les géants du numérique sans freiner l'innovation ? Et surtout, comment réguler des entreprises souvent hors de portée du droit européen ?Le risque d'un glissement autoritaireImposer l'identité réelle sur les réseaux pose une question fondamentale : faut-il renoncer à l'anonymat pour plus de sécurité ? Ce serait oublier que le pseudonymat protège aussi la liberté d'expression, notamment celle des lanceurs d'alerte ou des citoyens ordinaires. Lutter contre les dérives en ligne ne peut se faire au prix d'une surveillance généralisée.Les réseaux sociaux, toujours sources d'informationEmmanuel Macron affirme que “les réseaux sociaux ne sont plus des lieux où l'on peut s'informer”. Je ne partage pas ce constat. Entre les médias traditionnels, les médias alternatifs et les témoignages directs, ces plateformes restent des espaces d'expression essentiels. Le vrai enjeu, c'est l'éducation au discernement : apprendre à reconnaître la désinformation, à vérifier les sources, à penser contre soi-même.Réguler, oui — mais sans oublier de former les citoyens à exercer leur esprit critique.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
durée : 00:20:00 - Lectures du soir - "Ces ravissements, ces extases que j'éprouvais quelquefois en me promenant ainsi seul, étaient des jouissances que je devais à mes persécuteurs : sans eux, je n'aurais jamais trouvé ni connu les trésors que je portais en moi-même."
durée : 00:19:57 - Lectures du soir - "Tout ce qui m'est extérieur m'est étranger désormais. Je n'ai plus en ce monde ni prochains, ni semblables, ni frères. Je suis sur la terre comme dans une planète étrangère, où je serais tombé de celle que j'habitais."