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Priscilla Lubin, 35 ans, souffre du trouble dysphorique prémenstruel. Pendant la seconde moitié de son cycle menstruel, jusqu'à l'arrivée de ses règles, elle traverse des phases de dépression et d'anxiété. Pendant plusieurs années, Priscilla vit ces changements d'humeur brutaux avec incompréhension. Elle a des comportements excessifs, fait plusieurs tentatives de suicide, mais les médecins qu'elle consulte ne font pas le lien avec son cycle menstruel. En 2019, elle découvre l'existence du trouble dysphorique prémenstruel et prend rendez-vous dans une clinique spécialisée, où elle est enfin diagnostiquée, 10 ans après l'apparition des premiers symptômes.Pour Code source, Priscilla Lubin raconte son histoire, au micro d'Ambre Rosala.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque matin, l'équipe répond à une question existentielle avec un expert. Retrouvez Bruno sur Fun Radio avec Bruno Guillon, Christina, Pino, Karina, et Maurine sur funradio.fr et sur l'application Fun Radio.
durée : 00:01:59 - Le vrai ou faux - En plein conflit entre Israël et le Hamas, et alors que les actes antisémites se multiplient en France, le député Les Républicains Philippe Juvin affirme que deux tiers des enfants juifs en France ne vont pas à l'école publique. Le Vrai ou Faux a vérifié.
Épisode 1054 : aujourd'hui on s'attaque au rêve de tout directeur commercial et la hantise de tout social média manager : LE BUZZ. Oui parce que le buzz, c'est un peu le dahu du marketing, tout le monde en a entendu parler, tout le monde en rêve mais personne ne sait comment l'attraper.Appliqué au marketing, c'est une tactique qui vise à générer du bouche-à-oreille autour d'un produit ou d'un événement. L'objectif est d'amplifier son écho médiatique.Popularisé avec les réseaux sociaux, le mot buzz est devenu un « buzz world ». Une mot clé devenu vide de sens à force d'être utilisé à tours de bras. La fameuse phrase « on veut du buzz » est devenu un même, une bonne blague qu'on se raconte dans les milieux de la com.Pourtant le buzz ça existe réellement ! —La mécanisme du buzz repose sur le principe du consommateur comme mediaLe buzz repose sur un principe clé : le consommateur se transforme en média. Il devient non seulement le récepteur, mais aussi le diffuseur du message. C'est le consommateur qui propage l'information de manière virale.Cette propagation, elle se passe par le bouche à oreille. « tiens tu as vu, Intermarché ils sont chauds dans leur dernière pub ».————Buzz Marketing : Les 6 leviers de Mark HughesBref, Mark Hugues a théorisé le concept de buzz marketing. Il retient 6 leviers capables de générer un buzz.—Utiliser le Tabou : Parler de ce qui est généralement évité.Par exemple : Une marque de lingerie lançant une campagne sur la santé mentale liée à l'image corporelle.-Jouer la carte de l'insolite : Créer de l'étonnement. Proposer du jamais vu.-Flirter avec le scandale : Provoquer mais avec modération. Éveiller l'intérêt sans dépasser les limites morales.Susciter l'hilarité :Utiliser l'humour. Rendre le contenu divertissant et mémorable.—Créer de l'admiration :Inspirer. Réaliser des actions ou créer des produits remarquables.—Cultiver le secret et la curiosité : Quoi Lemieux qu'un secret pour attirer l'attention.———Bon Buzz vs Bad BuzzEvidemment quand on cherche le buzz on n'est jamais très loin du retour de bâton.Bon Buzz : Génération d'un emballement positif autour d'un sujet. Le but est de créer un intérêt positif et de renforcer la marque.Mauvais Buzz (Bad Buzz) : Lorsque l'emballement collectif intègre un caractère polémique qui peut nuire durablement à la marque. C'est le cas lorsqu'il ya des scandales, mais aussi lorsqu'une campagne est mal interprétée.Des exemples de campagnes mal interprétée (ou maladroites) il y en a plein.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tavu ? C'est le retour des mascottes sur les réseaux sociauxLes mascottes, c'est vieux comme la com. Ou presque.La création de mascottes publicitaires remonte à 125 ans, avec Michelin et son personnage Bibendum comme exemples notables .Avec l'explosion de TiKTok, les mascottes sont toujours d'actualité. Duolinguo, Paris2024, RyanAir, Mcdonald's autant de marques qui aujourd'hui misent encore sur le capital sympathie de ces grosse peluches colorées.Une mascotte ça permet d'identifier la marqueLa mascotte rend la marque mémorable et facilite son identification par les consommateurs.L'exemple de Michelin.https://vm.tiktok.com/ZGedm3tcY/La mascotte de Michelin, connue sous le nom de Bibendum ou “l'homme Michelin”, est l'un des logos les plus connus au monde. Créé en 1884, Bibendum est une représentation avenante et sécurisante de la marque et est largement utilisé dans la communication de Michelin, y compris sur les réseaux sociaux.D'ailleurs, on retrouve une vidéo TikTok qui retrace toutes les évolutions de cette mascotte.Une mascotte humanise la maqueUne mascotte permet de descendre plus facilement un message complexe. Elles rapportent de l'engagement à certains sujets parfois très institutionnelsLe meilleur exemple c'est la mascotte des JO de Paris 2024La première mascotte olympique a été créée en 1932, pour les JO de Los Angeles. Et Paris 2024 ne fait pas exception avec une mascotte en forme de bonnet phrygien.https://www.tiktok.com/@paris2024officiel/video/7168519491016494342Ces mascottes sont omniprésentes dans le contenu proposé par Paris 2024. Sur TikTok quasiment 10% des posts repose sur cette sympathique petite peluche.Objectif : rapporter de l'authenticité et communiquer de façon ludique et engageante des messages parfois institutionnels.https://www.tiktok.com/@paris2024officiel/video/7233833504885296410... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans les épisodes précédents de cette série, il a été question des débuts dʹune enquête avec lʹappel à collecte du musée dʹYverdon sur son histoire industrielle et sur la fin de cet âge dʹor de la grande usine. Pour comprendre comment cette nouvelle manière de produire, avec une forte concentration dʹouvriers et dʹouvrières a transformé le droit du travail, nous nous penchons sur les règles et le droit. Des règles qui très progressivement ont amélioré les conditions du travail ouvrier, une page dʹhistoire qui nous parlent très fort à lʹoreille aujourdʹhui à lʹheure où lʹon cherche des solutions pour la " ré-industrialisation ". Lʹindustrialisation commence au XVIIIe siècle mais on en entend souvent parler sous lʹexpression " révolution industrielle ". Une expression quʹon trouve fréquemment dans les manuels scolaires mais que les historiens et les historiennes nʹaiment pas beaucoup. Véronique Stenger est historienne, et chargée de cours à lʹuniversité de Genève. Elle sʹintéresse particulièrement à lʹhistoire des organisations internationales et à la santé au travail. https://www.hion.ch/member/veronique-stenger https://www.unige.ch/lettres/istge/corps-enseignant/hco/enseignantes/stengerplata https://www.rts.ch/audio-podcast/2020/audio/les-ouvriers-1-5-25160103.html
Le Liberia s'apprête à tourner une page : celle des années George Weah. L'ancien footballeur, largement élu président en 2017, a été battu d'un cheveu la semaine dernière, lors du second tour de la présidentielle, par un vieux routier de la politique libérienne : Joseph Boakai, 78 ans, qui a été durant douze ans le vice-président d'Ellen Johnson Sirleaf. Vaincu en 2017 par George Weah, Joseph Boakai a donc pris sa revanche. Comment analyser ce résultat ? George Weah a-t-il fait les frais d'un bilan jugé par certains très décevant ? Et quel avenir désormais pour le pays ? Mathias Hounkpè, directeur pays de la Fondation internationale pour les systèmes électoraux (IFES) au Mali, est notre invité. RFI : Joseph Boakai a été déclaré lundi vainqueur de l'élection présidentielle avec 50,64% des voix, une victoire à l'arraché. Mais dès vendredi, avant même la proclamation des résultats, George Weah avait reconnu sa défaite. C'est là un geste très rare ?Mathias Hounkpè : Disons que c'est un geste assez rare lorsque vous êtes en Afrique subsaharienne et en Afrique de l'Ouest, et donc je pense qu'il faut saluer le président sortant George Weah pour avoir posé cet acte qui a réduit de façon considérable les risques de protestation ou les tensions dans le pays, surtout lorsqu'on sait que les résultats de la présidentielle étaient très serrés.Les soutiens les plus radicaux de George Weah appelaient l'ex-chef de l'État à contester les résultats du scrutin. Lundi, à Monrovia, une voiture a foncé sur une foule de partisans du vainqueur, faisant plusieurs morts. Avec ce résultat très serré, un peu plus de 20 000 voix d'écart, doit-on craindre une montée en tension dans le pays, selon vous ?Je pense que ça dépendra en partie de la manière dont le nouveau président, donc le président Boakai, va gérer le pays. Parce que lorsqu'on hérite d'un pays aussi divisé, il faut d'abord attendre et voir les résultats des élections au niveau du Sénat et de l'équivalent de l'Assemblée nationale, la première chambre, pour voir si à ce niveau également les chambres ne seront pas pratiquement divisées en deux parce que ça, ça peut rendre la gouvernance politique même difficile. Et ensuite, le nouveau président, comme je le disais, aura la responsabilité de réunir le pays. Et lorsque vous écoutez le discours de Weah où il a concédé la victoire au nouveau président, l'un des défis sur lequel il a attiré son attention, c'est justement la nécessité d'unir le pays. Joseph Boakai a donc pris sa revanche sur George Weah, après son revers de 2017. George Weah a-t-il fait les frais de son bilan, jugé décevant par certains, voire même très décevant ?Oui, à mon avis, la raison fondamentale, c'est vraiment que George Weah n'a pas eu de résultats, et ceci pour diverses sortes de raisons. En-dehors de quelques secteurs, par exemple les infrastructures, un peu quand même dans le domaine de l'emploi, je crois que le président Weah n'a pas pu vraiment produire des résultats, a déçu et aussi a adopté des comportements qui donnaient le sentiment que s'occuper des préoccupations des citoyens n'était pas vraiment sa première préoccupation. Par exemple, lorsqu'on l'a vu passer une dizaine de jours pendant la Coupe du monde [de football au Qatar en 2022] pour aller regarder les matchs, on a vu que dans le pays, il était devenu comme un prêtre qui animait des messes, il a construit une maison de composition en musique, etc. Donc je pense que les citoyens ont eu le sentiment à un moment donné que le président Weah n'avait pas vraiment à cœur leurs préoccupations.Vous diriez que ce sont ses résultats en matière de lutte contre la pauvreté et contre la corruption qui lui ont coûté l'élection ?Oui, surtout la lutte contre la corruption. Je pense que Weah n'a pu rien faire contre ça. Vous vous rappelez que dans ce pays, il y a deux ou trois juges de l'équivalent de la Cour des comptes qui ont été tués, simplement parce que l'équivalent de la Cour des comptes était sur un dossier qui était très sensible. Donc je pense que non seulement il n'a pas réussi mais il n'a même pas laissé la marge aux institutions mises en place pour aider la lutte contre la corruption. De mon point de vue, c'est l'un des grands défis auxquels le nouveau président aura à se confronter.Pour gagner, Joseph Boakai a bénéficié du soutien du très influent Prince Johnson. Or, ce sénateur est un ancien chef de guerre accusé de nombreux meurtres pendant la guerre civile. Est-ce à dire que le Liberia ne va jamais juger ses bourreaux des années 90 ?Je pense que ça va être très difficile pour lui et pour le Liberia, parce que j'ai le sentiment, en ce qui me concerne, que l'un des prix pour obtenir la stabilité dans le pays c'est aussi de savoir gérer cet aspect de leur histoire et essayer d'éviter de rechercher nécessairement à sanctionner, à punir, etc. Ce n'est pas surprenant que Prince Johnson continue d'être dans l'espace politique, comme Charles Taylor à travers son parti politique. Donc, je pense qu'ils ont peut-être décidé de s'accommoder de ça, afin de garantir la stabilité et éviter encore des facteurs qui pourraient contribuer à raviver les plaies qui peut-être avec le temps sont en train de se cicatriser.
durée : 00:58:35 - Le 13/14 - par : Bruno DUVIC - Nous recevons aujourd'hui, François Decoster, maire de Saint Omer, missionné par Emmanuel Macron pour penser à "l'après" inondations dans le Pas-de-Calais.
durée : 00:02:35 - Le brief politique - Le projet de loi immigration arrive en commission des lois lundi 27 novembre à l'Assemblée nationale. La droite et la majorité se préparent à la bataille politique.
La France est candidate à l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2030. Le dossier porté par les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur a été déposé le 7 novembre dernier auprès du Comité international olympique (CIO). Mardi 21 novembre, des représentants de cette candidature ont effectué un grand oral devant la commission du CIO, une étape cruciale. « On n'a pas fait de faute. (…) On a fait une prestation fluide, efficace et je crois reconnue comme performante », se réjouit Renaud Muselier, président de la région Provence Alpes Côte d'Azur, mercredi 22 novembre, sur le plateau des 4 Vérités, sur France 2. Il se dit optimiste sur la poursuite des « discussions ciblées ». Etaient également présents,Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports, et Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. « On a additionné nos performances, nos compétences, nos Alpes françaises. Cela représente 60% de son territoire, 50% du mien. C'est une candidature autour des Alpes françaises avec une spécificité autour du développement durable, pour montrer que nous avons la capacité de développer nos montagnes en prenant soin de notre environnement », souligne Renaud Muselier, au micro de Thomas Sotto. "Les Républicains ont oublié le cap pour le pays" Il y a un an, l'ancien membre des Républicains a officiellement rejoint Renaissance, le parti d'Emmanuel Macron, qu'il avait soutenu depuis l'élection présidentielle. « J'y suis très bien, j'ai été très bien accueilli. Je suis un homme de droite qui additionne. Je le fais avec Laurent Wauquiez pour les Jeux Olympiques. C'est mon mode de fonctionnement », précise Renaud Muselier. Alors que le 105e congrès de l'Association des maires de France (AMF) s'ouvrait ce mardi 21 novembre. Le chef de l'Etat, qui avait participé au congrès 2022 et était attendu à l'édition 2023, a finalement annoncé qu'il ne s'y rendrait pas. « Le président de la République n'est pas sous le diktat de telle ou telle association. L'association des maires est très importante. Ce qui est important c'est que nous puissions travailler ensemble face à un État qui peut être centralisateur de façon à ce qu'on ait plus de marge de manœuvre. Le message de la présence obligatoire me paraît relativement peu important par rapport à ce travail collectif », réagit Renaud Muselier. Il l'assure : il a coupé les ponts avec son ancienne famille politique. « M. Ciotti et M. Marleix tombent dans toutes les dérives anti Macron dans tous les cas de figure. Ils ont oublié le cap pour le pays, ils ne font que de la politique politicienne. Ils mélangent tout et n'en sortent que des débats stériles », fustige-t-il. Sur la réforme des retraites, « les LR de l'Assemblée n'ont respecté aucun de leurs engagements ». Les réactions politiques s'enchaînent depuis la mort de Thomas, un adolescent de 16 ans, après avoir été poignardé à la sortie d'un bal, dans le village de Crépol, dans la Drôme. Le leader de Reconquête, Eric Zemmour parle notamment de « francocide », dans un message publié sur X (ex Twitter). « Il n'y a aucune dignité dans la réaction. Il faut que la Justice soit exemplaire. Et si la classe politique pouvait avoir un peu de dignité et de compassion pour la famille ça serait pas mal », estime Renaud Muselier.
durée : 00:15:52 - A votre service par France Bleu Besançon - .
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France bouge retrace une belle histoire entrepreneuriale.
Écoutez Pierre-Yves McSween parler avec Alain Crête de comptes qui sortent des données spectaculaires pour multiplier les partages d'une publication.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee/fr/ pour notre politique de vie privée
Lassée d'aller de déception en déception, l'Argentine a élu dimanche 19 novembre 2023 le président populiste Javier Milei. En France, les électeurs ont été déçus par la gauche, par la droite, et par le « en même temps ». Aurélien Pradié, député (LR) du Lot et invité des 4 vérités, espère ne pas contribuer à amener le pays vers le populisme. Pour lui, « ceux qui ont habitué gérer la misère au quotidien » et « baissé les convictions politiques » ont contribué à « fabriquer l'émergence de ces radicalités ». « La vérité, c'est que plus la politique disparaît, plus elle réapparaît dans les plus grandes forces. (…) Cela guette toutes les grandes démocraties du monde », alerte-t-il. Éric Ciotti a refusé d'être à la troisième édition des rencontres de Saint Denis, à l'invitation du Chef de l'État, le 18 novembre dernier. Dans ce contexte, l'ancien secrétaire général des Républicains approuve cette politique de la chaise vide. « Il y a une constitution. Dans cette constitution, connaissez-vous les rencontres de Saint-Denis ? Moi non ». Il parle de ces rencontres comme d'un « outil de communication » sans apparente utilité et d'« une manière de dégrader notre formation démocratique ». « Un parlement existe. Ces discussions doivent avoir lieu devant les Français. » Aurélien Pradié évoqué l'impossibilité d'avancer sans réformer Gérald Darmanin sera auditionné tout à l'heure à la commission des lois de l'Assemblée sur son projet de loi pour contrôler l'immigration. Pour Aurélien Pradié, « ce sera non. » Parlant en son nom, mais considérant toutefois que Les Républicains sont « assez nombreux » à avoir le même avis, le député (LR) du Lot dénonce l'impossibilité d'avancer sans réformer la Constitution. À propos de cette proposition de loi, l'article qui fâche est celui de l'alinéa 3, qui concerne la régularisation des sans-papiers dans les métiers en tension. Un principe de réalité ne s'impose-t-il pas quant à ces personnes travaillant en France depuis des années ? Pour l'homme politique, deux principes doivent être pris en compte. Celui de la « vraie vie », en effet, mais aussi celui de la « gestion de l'immigration ». Il est question, considère-t-il, de reprendre cette dernière « en contrôle » et ne pas faire « d'appel d'air » à la régularisation. Parfois jugé comme manquant d'humilité, Aurélien Pradié est-il un agitateur ou un enfant turbulent de la droite ? Il parle en tout cas d'un engagement en politique sincère, nourri par des causes profondes. S'il ne déclare pas ouvertement se rêver candidat à la présidentielle, le député Les Républicains, lui « petit gamin qui a grandi dans un territoire avec beaucoup de valeurs », s'imagine indéniablement comme une future personnalité politique de premier plan. Un autre sujet suscite de vives réactions dans la classe politique, le retour d'Éric Dupond-Moretti. Après avoir assisté à son procès pendant deux semaines, le garde des Sceaux sera normalement de retour ce 21 novembre 2023 dans l'hémicycle. Aurélien Pradié juge qu'il n'y sera pas à sa place, et qu'il n'y est d'ailleurs plus depuis un moment. Il rappelle l'épisode des trois bras d'honneur pendant un débat, et parle d'une légitimité sérieusement abîmée. Enfin, le camp LR n'a toujours pas de tête de liste aux Européennes mais devrait faire connaître son choix d'ici la fin de l'année. François-Xavier Bellamy semble en tout cas notamment « tenir la corde ».
Bienvenue a tous.tes sur LGBetises, il est 20h et on se retrouve pour une heure de commérage intensif et historique.… The post Les Pédales et leur.es ami.es entre les révolutions first appeared on Radio Campus Angers.
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Le glorieux Saint Esprit a pour mission de nous remplir de la nature divine, de nous conduire dans la victoire du Christ et de nous revêtir de la Puissance dans la discipline . Découvrez les détails dans cette leçon.TEXTES BIBLIQUES : 1 CORINTHIENS 14 :33, MATTHIEU 28 :19-20, JEAN 8 :30-32.Support the show
Le départ de Sam Altman en tant que PDG d'OpenAI a suscité différentes réactions au sein de la communauté scientifique et technologique. Voici quelques-unes des réactions possibles : 1. Reconnaissance des contributions : Certains membres de la communauté peuvent exprimer leur reconnaissance pour les contributions de Sam Altman à OpenAI. Ils soulignent peut-être son rôle dans le développement de la vision éthique de l'IA de l'organisation et son engagement en faveur de la recherche responsable. 2. Spéculations sur l'orientation future : Le départ de Sam Altman peut également susciter des spéculations sur l'orientation future d'OpenAI. Les membres de la communauté peuvent discuter des implications possibles de ce changement de leadership sur les priorités de recherche, les partenariats et les décisions stratégiques de l'organisation. 3. Attentes pour le nouveau leadership : Certains membres de la communauté peuvent exprimer des attentes pour le nouveau leadership d'OpenAI. Ils peuvent espérer que le nouveau PDG continuera à promouvoir les valeurs éthiques et à favoriser la recherche responsable en IA, tout en explorant de nouvelles opportunités pour l'organisation. 4. Réflexion sur les défis et les opportunités : Le départ de Sam Altman peut également amener la communauté scientifique et technologique à réfléchir aux défis et aux opportunités auxquels OpenAI est confronté. Les membres peuvent discuter de la manière dont l'organisation peut faire face aux enjeux de sécurité, de gouvernance et d'impact sociétal de l'IA, ainsi que des moyens de maximiser les avantages de cette technologie. 5. Dialogue sur l'avenir de l'IA : Le départ de Sam Altman peut également stimuler un dialogue plus large sur l'avenir de l'IA et son impact sur la société. Les membres de la communauté peuvent discuter des priorités de recherche, des réglementations nécessaires, de la nécessité de normes éthiques et des moyens de garantir que l'IA soit bénéfique et responsable. Ces réactions peuvent varier en fonction des perspectives individuelles et des intérêts de chaque membre de la communauté scientifique et technologique. Il est important de noter que la diversité des opinions et des idées contribue à une discussion constructive sur l'avenir de l'IA. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/chatgpt20/message
durée : 00:01:50 - Le vrai ou faux - Alors qu'un volcan en Islande menace d'entrer en éruption, des posts sur X ironisent sur les potentielles émissions de CO2 à venir.
Le Président de l'AMF (Association des Maires de France) et maire Les Républicains de Cannes est l'invité du Grand Jury à la veille de l'ouverture du Congrès des maires et Présidents d'intercommunalités à la Porte de Versailles à Paris. Ecoutez Le Grand Jury du 19 novembre 2023 avec Olivier Bost.
INÉDIT - Au fil des années, les réseaux sociaux ont remplacé nos vieux albums photo. Mais publier une image sur Internet n'est pas sans risque. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste à RTL, vous explique les pièges à éviter. Retrouvez chaque dimanche "La Règle d'or numérique" en podcast consacrée aux problèmes du quotidien en ligne.
durée : 00:13:57 - C'est quoi les règles, des inondations en France et les chamailleries entre frère et sœur - Les règles expliquées aux enfants, un remède aux disputes frère-sœur et des inondations dans le nord de la France : c'est le menu du nouvel épisode de "Salut l'info !", l'actualité décryptée pour les 7-11 ans.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Au Libéria, les résultats provisoires donnent vainqueur Joseph Boakai face au président sortant George Weah. Boakai l'emporterait avec 50,89% des suffrages. si cela se confirme ce serait la première qu'un président sortant ne parvient pas à être réélu.
Chaque matin, l'équipe répond à une question existentielle avec un expert. Retrouvez Bruno sur Fun Radio avec Bruno Guillon, Christina, Pino, Karina, et Maurine sur funradio.fr et sur l'application Fun Radio.
C dans l'air du 16 novembre 2023 - Hôpital de Gaza : Israël face à la pression internationale Il n'avait jusqu'ici pas réussi à s'entendre sur une résolution. Pour la première fois depuis le début de la guerre le 7 octobre dernier entre Israël et le Hamas, le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé, mercredi 15 au soir, à des "pauses et couloirs humanitaires" dans la bande de Gaza et à la libération des otages. Ce texte qui a recueilli 12 voix pour et 3 abstentions (Etats-Unis, Royaume-Uni, Russie) est la première résolution adoptée par l'organe exécutif des Nations unies depuis fin 2016 sur le dossier israélo-palestinien qui divise l'instance onusienne alors que les combats se poursuivent dans l'enclave palestinienne. En ce 41e jour de guerre, Tsahal a annoncé avoir pris le "contrôle opérationnel" du port de Gaza et avoir lancé une nouvelle opération dans l'hôpital Al-Shifa. Après de longs jours de siège, les soldats israélien sont entrés mercredi dans le plus grand établissement sanitaire de Gaza, accusé par l'Etat Hébreu de dissimuler dans ses sous-sols un réseau de tunnels et des sites stratégiques du Hamas. Les forces de l'Etat hébreu disent avoir trouvé à l'intérieur "des munitions, des armes et des équipements militaires" du mouvement islamiste palestinien et ont diffusé une vidéo sur X. Après la diffusion de ces images, le ministère de la Santé du Hamas a vivement réagi en déclarant que l'armée israélienne "n'avait trouvé ni armes ni équipement" militaire au sein de l'hôpital. Une nouvelle bataille de communication a débuté entre Israël et le Hamas alors que dans la communauté internationale le raid israélien a été largement condamné. Dans le même temps en France, l'absence du chef de l'Etat à la marche contre l'antisémitisme dimanche dernier continue de susciter la polémique et une visite à l'Elysée dans les jours précédents provoque interrogations et critiques dans une partie de la classe politique. Selon l'hebdomadaire l'Express, l'humoriste Yassine Belattar, ancien membre du Conseil présidentiel des villes, condamné en septembre à quatre mois de prison avec sursis pour menaces de mort et menaces de crime envers des personnalités du spectacle, a été reçu la semaine dernière par deux conseillers d'Emmanuel Macron, à la demande du chef de l'État, pour prendre la température des banlieues sur une éventuelle participation du président à la marche contre l'antisémitisme. Yassine Belattar les aurait mis en garde, appelant Emmanuel Macron à ne pas commettre l'erreur irréparable, qui donnera aux quartiers des raisons de s'enflammer. L'eurodéputé Les Républicains François-Xavier Bellamy a réagi dans un tweet, qualifiant cette rencontre de "honte absolue". De son côté, Marine Le Pen a déploré que le président prenne conseil "auprès d'individus aussi dangereux pour la concorde nationale". Pour Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement national, cette invitation est un signe inquiétant. "Monsieur Macron perd le contrôle. Il pense, à tort, que le fait de lutter contre l'antisémitisme va provoquer une fracture dans la société, à cause de courants islamistes qui seraient trop forts", a-t-il déclaré. Le chef de l'État a affirmé mercredi que "la place d'un président n'est pas d'aller à une marche (...) Mon rôle est de continuer à préserver dans cette période l'unité du pays" LES EXPERTS : - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo, spécialiste des questions internationales - AGNÈS LEVALLOIS - Spécialiste du Moyen Orient et vice-présidente de l'IREMMO, Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient - GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'air et de l'espace, ancien pilote de chasse - FREDERIC METEZEAU - Journaliste international- France-Inter, producteur du podcast "Guerre au Proche-Orient", ancien correspondant en Israël.
Ce lundi 13 novembre, le résultat des évaluations nationales passées par les élèves de primaire et au collège sont tombés. Le niveau des 4ème est "inquiétant" selon Gabriel Attal. Que contiennent ces évaluations ? Que propose le ministre de l'Éducation nationale pour améliorer le niveau ? Explications de Nérissa Hémani, journaliste spécialiste éducation à RTL. "Tout savoir sur" est le podcast de la rédaction RTL. Du lundi au vendredi, un journaliste décrypte une actualité marquante de la journée.
durée : 00:38:36 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Profondément remanié par le Sénat, le projet de loi "pour contrôler l'immigration et améliorer l'intégration" arrivera en décembre à l'Assemblée nationale. Ce serait la 30e loi sur l'immigration en France depuis 1980. Quelles seraient ses conséquences ? - invités : Valérie Boyer Députée-maire Les Républicains des Bouches-Du-Rhône, membre de la commission des affaires sociales, a déposé en 2008 une proposition de loi pour lutter contre l'incitation à l'extrême maigreur et a redéposé en 2015, des amendements sur le même sujet.; Fanélie Carrey-Conte Secrétaire générale de la Cimade; François Crémieux Directeur de l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM)
durée : 00:38:36 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Profondément remanié par le Sénat, le projet de loi "pour contrôler l'immigration et améliorer l'intégration" arrivera en décembre à l'Assemblée nationale. Ce serait la 30e loi sur l'immigration en France depuis 1980. Quelles seraient ses conséquences ? - invités : Valérie Boyer Députée-maire Les Républicains des Bouches-Du-Rhône, membre de la commission des affaires sociales, a déposé en 2008 une proposition de loi pour lutter contre l'incitation à l'extrême maigreur et a redéposé en 2015, des amendements sur le même sujet.; Fanélie Carrey-Conte Secrétaire générale de la Cimade; François Crémieux Directeur de l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM)
Pas de répis pour nos Grandes Gueules du Sport, ils passent la seconde ! L'une des grosses actus sportives décryptée par nos GG.
De Gaulle disait "Les États n'ont pas d'amis, ils n'ont que des intérêts", c'est encore vrai aujourd'hui, on peut constater à travers l'actualité récente et la hausse de l'or que le général De Gaulle avait raison. Le métal jaune se porte comme un charme, et depuis le 7 octobre dernier, début du conflit entre le Hamas et Israël, l'or a grimpé de 10%. Ce qui est le plus étonnant, c'est l'origine véritable de cette hausse de l'or. L'or a toujours été une valeur refuge en cas de guerre ou de tension, mais c'était moins le cas ces dernières années. La vraie raison de la hausse du métal jaune aujourd'hui, elle est plutôt à rechercher du côté des banques centrales qui achètent massivement de l'or. Et quelles sont les banques centrales qui sont les plus acheteuses d'or et qui donc provoquent cette hausse ? Ce sont des pays comme la Chine ou d'autres encore qui se méfient des Etats-Unis. Ces pays ont moins confiance dans le dollar que par le passé car ils ont vu constater de leurs propres yeux, si je puis dire, qu'avec l'Ukraine, les Etats-Unis n'ont pas hésité avec l'Europe à mettre en place des sanctions financières très dures contre la Russie et donc la Chine. Mais d'autres pays asiatiques et du Moyen-Orient, au travers de leurs banques centrales, ont très bien compris qu'ils doivent donc diversifier leurs réserves, leurs avoirs et leurs devises et donc ne plus tout miser sur le dollar. Et le métal jaune est la forme suprême de cette diversification. En réalité, tous ces pays ne rêvent que d'une seule chose c'est se libérer du dollar. Mais entre le rêve et la réalité, il y a une marge effectivement, car le billet vert reste encore et de loin, la monnaie la plus utilisée dans le monde. C'est donc ça l'économie ? Mots-Clés : ennuis, puissance économique, monde, Poutine, Taïwan, politique, président, George Bush, fils, axe du mal, Iran, Venezuela, Joe Biden, exportations, pétrole guerre, Israël, Hamas, géopolitique, bombe, nucléaire, rhétorique, pro palestinien, péril, assurance-vie, Perse, échecs, Pakistan, Corée du Nord, realpolitik, Premier ministre, Belgique, président, République française, philosophe, Chamfort. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.
durée : 00:47:34 - Circuit Bleu - Côté Saveurs - Les Régalines d'Isa ce sont les souvenirs d'enfance, ces odeurs qu'elle aimait découvrir, travailler, incorporer dans la cuisine aux cotés de sa grand mère. Aujourd'hui elle nous partage sa passion.
Tous les jours, du lundi au jeudi, la France bouge retrace une belle histoire entrepreneuriale.
“On commence avec ce mouvement lancé sur les réseaux sociaux avec le #6novembre11H25 qui symbolise le moment, au regard des inégalités de salaire en France, où les femmes commencent à travailler gratuitement jusqu'à la fin de l'année…”
L'actualité du 7 nov. 2023 revue par l'imitateur Rémi Marceau
durée : 00:01:58 - Le vrai ou faux - Le chef de file des sénateurs Les Républicains Bruno Retailleau demande plus de fermeté, alors que l'examen du projet de loi asile et immigration a commencé lundi 6 novembre au Sénat. Il prend l'exemple des États-Unis.
"Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Harcèlement scolaire, les révélations de Gabriel Attal Hidalgo : son voyage polémique en Polynésie...
Après de nombreux reports, le projet de loi immigration a commencé à être examiné, ce lundi 6 novembre 2023, au Sénat français. Objectif affiché par le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, porteur du texte : « contrôler l'immigration et améliorer l'intégration ». Un projet de loi qui fait grincer des dents à gauche pour son volet répressif, mais aussi à droite car il prévoit l'octroi de titres de séjour dans les métiers en tension. En quoi cette loi est-elle nécessaire ? Comment s'entendre ? Pourquoi la France peine-t-elle à trouver un cadre migratoire pérenne ?Pour en débattre : - Cécile Rilhac, députée En Commun apparentée Renaissance du Val-d'Oise- Julien Dive, député Les Républicains de l'Aisne - Christophe Bertossi, sociologue et politiste (HDR), directeur de l'Institut pour la démocratie (ldem), ancien directeur du Centre migrations et citoyennetés de l'Ifri, et auteur du livre Les mots et les choses de l'immigration en France (Éditions Trocadéro, 2021).
Insultes, menaces, propos haineux: la violence continue de déferler sur les réseaux sociaux et les journalistes n'y échappent pas. Discussion avec Karine Gagnon, chroniqueuse politique et adjointe de l'information au Journal de Québec.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Après de nombreux reports, le projet de loi immigration a commencé à être examiné, ce lundi 6 novembre 2023, au Sénat français. Objectif affiché par le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, porteur du texte : « contrôler l'immigration et améliorer l'intégration ». Un projet de loi qui fait grincer des dents à gauche pour son volet répressif, mais aussi à droite car il prévoit l'octroi de titres de séjour dans les métiers en tension. En quoi cette loi est-elle nécessaire ? Comment s'entendre ? Pourquoi la France peine-t-elle à trouver un cadre migratoire pérenne ?Pour en débattre : - Cécile Rilhac, députée En Commun apparentée Renaissance du Val-d'Oise- Julien Dive, député Les Républicains de l'Aisne - Christophe Bertossi, sociologue et politiste (HDR), directeur de l'Institut pour la démocratie (ldem), ancien directeur du Centre migrations et citoyennetés de l'Ifri, et auteur du livre Les mots et les choses de l'immigration en France (Éditions Trocadéro, 2021).
Bluff ou réelle menace? Les Républicains menacent de faire tomber le gouvernement sur la loi immigration. En ont-ils vraiment les moyens? L'avenir d'Élisabeth Borne et Gérald Darmanin est-il menacé?Autour de Thomas Soulié: Perrine Vasque et Benjamin Duhamel vous font entrer dans les coulisses de ce nouveau feuilleton politique, digne de celui des retraites.
Ce n'est pas un secret, Antoine Duléry et Isabelle Mergault ont été ensemble par le passé. Ceux qui sont désormais amis se sont retrouvés ce 3 novembre aux Grosses Têtes. De quoi faire quelques révélations... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
durée : 00:03:59 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Comment faire pour que les crises et les guerres ne se reproduisent pas ? Comment les institutions peuvent-elles réagir face à ce risque de la répétition tragique ?
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 01 novembre 2023 avec Philippe Caverivière.
Little Talk in Slow French : Learn French through conversations
"French Regions: the Basque Country" Transcription : https://www.patreon.com/posts/les-regions-de-90456978 Si vous voulez soutenir ce podcast, vous pouvez faire un don sur Patreon :) https://www.patreon.com/talkslowfrench
C'est la victoire du pari d'Elon Musk. Ecoutez Lenglet-Co du 31 octobre 2023 avec François Lenglet.
This time, our lesson relates to a DIY job that frightens off a lot people, that is, laying tiles. Let's start with a dialogue.
durée : 00:39:06 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Elisabeth Borne a présenté les réponses du gouvernement à la suite des révoltes urbaines déclenchées cet été après le décès du jeune Nahel à Nanterre. L'État, les élus locaux, les chercheurs, la population… ont-ils compris ce qui s'est passé ? Comment éviter que de tels évènements se reproduisent ? - invités : Ali Rabeh Maire de Trappes; Renaud Epstein Professeur de sociologie à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye; Mohamed Mechmache Président du Collectif ACLeFeu; Benoît Digeon Maire de Montargis
durée : 02:29:56 - Les Matins - par : Quentin Lafay - .
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