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Cinq ans après avoir quitté son poste de ministre du Travail, Muriel Pénicaud signe un retour remarqué avec un projet au format inattendu : une bande dessinée intitulée "Travailler demain", co-écrite avec le journaliste Mathieu Charrier. Les contributions de 13 personnalités issues du monde socio-économique se mêlent à la fiction pour explorer les grandes transformations du monde du travail. Un format accessible, intergénérationnel, et résolument tourné vers l'action, pour inciter chacun à penser — et surtout à construire — le travail de demain, dès aujourd'hui.
Elle est co-auteure de la BD « Travailler demain » aux éditions Glénat Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Muriel Pénicaud, ex-ministre du Travail et co-auteure de la BD "Travailler demain" aux éditions Glénat était l'invitée de l'émission Ecorama du 24 avril 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la transformation du marché du travail, le vieillissement de la population et les défis de l'intelligence artificielle. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 02:58:27 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la matinale du jeudi 10 avril 2025 sont François Villeroy de Galhau / Yaël Braun-Pivet / Muriel Pénicaud x Philippe Martinez / Laurent Garnier / Geneviève Rapjeu
120 secondes prend des vacances et revient le lundi 6 janvier ! En attendant, découvrez WOMEN ON BOARD, la série d'interview menée par Guila Clara Kessous pour Harvard Business Review. Pourquoi est-il, aujourd'hui encore, si difficile de parvenir à plus de mixité dans les comités exécutifs ? Des femmes présentes dans les instances dirigeantes de leur entreprise ont répondu à la questionUn podcast à retrouver sur toutes les plateformes à ce lien : https://lnk.to/womenonboard***Ex-ministre du Travail et ambassadrice, Muriel Pénicaud est membre des conseils d'administration de ManpowerGroup, Galileo Global Education, senior advisor chez Bain Capital, et membre du conseil du Global Summit of Women. Elle nous explique comment elle a intégré son premier board, l'importance des quotas dans les instances dirigeantes et comment, en tant que femme, parvenir à la fois à se fondre dans le collectif et à avoir de l'influence. Un podcast sur une idée originale et présenté par Guila Clara Kessous, coach executive en entreprise & artiste de l'Unesco pour la paix.Réalisation : Lucas Wybo Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Dans cet épisode passionnant de Yes We Care, Faustine Duriez a l'honneur de recevoir Muriel Pénicaud, ancienne ministre du Travail et figure incontournable du monde du travail en France. À travers un parcours qui mêle politique, entreprise, et engagement associatif, Muriel incarne un leadership audacieux et humaniste, guidé par sa conviction que l'on peut transformer la société pour la rendre plus juste et inclusive. Durant cette conversation, Muriel nous livre son parcours atypique, marqué dès son enfance par une révolte intérieure qui l'a poussée à défendre les valeurs d'égalité et d'inclusion. Elle revient sur ses grandes réformes, de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes à la mise en place du Compte Personnel de Formation, tout en partageant sa vision d'un avenir où l'audace et la coopération peuvent déplacer des montagnes. Elle nous parle aussi de son expérience en politique et dans les entreprises, où elle a su "pousser les murs" pour impulser des changements durables, notamment pour les jeunes générations. Muriel nous offre également des conseils inspirants pour ceux qui souhaitent développer leur leadership, oser prendre des risques et agir pour un avenir plus équitable. À ne pas manquer : son livre "Engagée" et ses réflexions sur la persévérance, l'audace et l'importance de ne jamais abandonner. Un épisode riche en enseignements pour les dirigeants, les entrepreneurs, et tous ceux qui aspirent à construire un futur plus juste. Écoutez cet épisode pour découvrir une grande figure du leadership, toujours prête à repousser les limites pour créer un monde du travail plus équitable.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:05 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Muriel Pénicaud et François Asselin : apprentissage, vers une baisse de moyens
durée : 00:59:13 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - L'apprentissage va t'il faire les frais des économies ? 850 000 apprentis sont concernés en France car les aides coûtent chers au budget estime le Premier Ministre. Faut il les limiter aux petites entreprises ? ou à certains métiers en tension ? Réponses avec Muriel Pénicaud et François Asselin.
Président de Quintet Conseil, auteur de “Sortir du travail qui ne paie plus” aux éditions de l'Aube Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Samedi 31 août, Emmanuel Lechypre a reçu a reçu Julien Damon, professeur associé à Sciences Po, Charlène Descollonges, hydrologue, conférencière, Antoine Foucher, président de Quintet Conseil et ancien directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, Emmanuel Grimaud, président de Maximis, dans l'émission la librairie de l'éco sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Les syndicats plutôt unis face au RN. Le patronat gêné aux entournures. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que veut dire "diriger comme un chef d'orchestre" ?De Danone au Ministère du Travail, l'invitée de JP dans l'épisode de cette semaine du Positive Leadership podcast, Muriel Pénicaud est une chef d'entreprise, une diplomate et une politicienne hors pair, connue pour sa capacité à réunir le social et l'économique en une parfaite harmonie.Écoutez le podcast.Pour en savoir plus sur les invités mentionnés dans l'épisode de cette semaine, cliquez ici:Elisabeth Moreno https://thepositiveleadershippodcast.buzzsprout.com/1798971/14085690-fr-realiser-l-impossible-avec-elisabeth-morenoLucie Basch https://thepositiveleadershippodcast.buzzsprout.com/1798971/13074476-fr-construire-une-entreprise-pour-un-monde-meilleur-avec-lucie-baschPierre Dubuc https://thepositiveleadershippodcast.buzzsprout.com/1798971/9146427-fr-lancer-une-entreprise-a-mission-avec-pierre-dubuc-cofounder-and-ceo-openclassroomsSal Khan https://www.buzzsprout.com/1798971/12348288-revolutionizing-education-with-sal-khan Subscribe now to JP's free monthly newsletter "Positive Leadership and You" on LinkedIn to transform your positive impact today: https://www.linkedin.com/newsletters/positive-leadership-you-6970390170017669121/
Ce vendredi 8 mars marque la journée internationale du droit des femmes. Une date symbolique dont Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, compte se servir pour faire entendre la voix des femmes. Cette dernière appelle à la mobilisation pour l'égalité salariale qui est encore loin d'être acquise. En attendant, elle tient à souligner une petite victoire concernant l'interruption volontaire de grossesse. La bataille engagée par Simone Veil en 1975 n'aura pas été vaine et entre enfin dans la Constitution. Une première mondiale après des mois de consensus autour de cette réforme. Sur le plateau des 4 vérités, Marylise Léon salue ce vote historique au congrès : « C'est un message extrêmement fort adressé aux femmes en France d'un droit de disposer de leur corps. Et puis c'est un message au monde entier. Je pense que c'est extrêmement important ». Sur son site, la secrétaire générale de la CFDT dénonce ouvertement ce qu'elle considère encore comme « une dérive sexiste dans la société française ». Et ce nouveau progrès social est encore loin de mettre à terre toutes les inégalités entre les hommes et les femmes. « C'est important d'avoir conscience que le féminisme c'est un combat qu'il faut mener dans les entreprises et dans la vie de tous les jours parce qu'on peut avoir des reculs. On constate qu'il y a toujours autant de difficultés pour les femmes d'accéder à des postes à responsabilités. Les écarts salariaux demeurent encore importants […] on a toujours un écart de salaire de 24% entre les hommes et les femmes. Des écarts que rien ne justifient si ce n'est qu'il y a une différence de genre entre deux personnes ce qui est intolérable » alerte notre invitée. Sur la question du sexisme, le Haut comité à l'égalité a produit un rapport en 2024. Et le constat est édifiant : un homme sur cinq entre 25 et 34 ans considère normal qu'à poste égal, un homme gagne plus qu'une femme. Pour la syndicaliste, il faut avant tout faire évoluer les mentalités et effacer les stéréotypes. C'est donc pour cette raison que Marylise Léon va, pour la première fois, manifester et appeler à la grève pour cette journée du 8 mars. « Nous le faisons en 2024 parce qu'il y a des éléments à travailler avec le gouvernement, avec les employeurs et que c'est une année exceptionnelle » explique-t-elle avant d'inviter les Français à se joindre à l'une des 200 manifestations prévues sur tout le territoire. À sa place sur le plateau de Télématin, la ministre du Travail, Catherine Vautrin, défendait quant à elle le bilan de l'index égalité salariale. Ce dispositif mis à en place à l'initiative de son prédécesseur, Muriel Pénicaud, permet sur le papier de faire progresser l'égalité salariale au sein des entreprises « en mesurant de manière objective les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes tout en mettant en évidence leurs axes de progression ». Trois quart des entreprises se sont prêtées au jeu tandis que le Haut comité de l'égalité reste très mitigé sur les résultats. « On peut largement mieux faire. Cet index a permis de mettre en lumière l'inégalité salariale entre les hommes et les femmes. C'est un thermomètre. Il est insuffisant. C'est loin de couvrir l'ensemble des entreprises. Et il n'y a pas eu de sanctions. Ce n'est pas assez contraignant de notre point de vue » fustige Marylise Léon qui appelle le gouvernement à simplifier l'index, à imposer une transparence sur les salaires des unes et des autres et à mettre en place de vraies sanctions. Et pour encourager la transparence salariale et comparer les salaires à poste égal, une directive européenne a été votée en juillet 2023. Mesure progressiste qui sera transposée au plus tard en 2026. « 2024 c'est l'année où il faut le faire. On va revoir l'index, il faut que la transposition de la directive européenne se fasse cette année dans le même cadre » insiste notre invitée pour que les entreprises fassent la lumière sur les salaires de tous les collaborateurs. Assurance-chômage : les attentes syndicales Ce jeudi 7 mars 2024, Catherine Vautrin a affirmé que la question de l'assurance-chômage n'était pas sur la table. Or, Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, veut reprendre la main sur ce dossier épineux, jugeant que la durée d'indemnisation de 18 mois maximum est trop longue. Une déclaration qui a suscité l'indignation des syndicats à l'instar de la CFDT. « Il y a un flottement clair dans le gouvernement. Ce n'est pas aux chômeurs d'en faire les frais. Il y a une discussion actuellement sur l'emploi des seniors et dans la droite ligne d'une négociation qui s'est faite en 2023 sur l'assurance-chômage. J'ai un message extrêmement clair au gouvernement : laissez nous négocier, laissez nous terminer et arrêtez de taper sur les chômeurs en considérant que c'est en durcissant encore une fois les droits que les personnes retourneront plus vite à l'emploi » argue la secrétaire générale de la CFDT qui déplore la politique budgétaire du ministère de l'Économie. La fameuse prime Macron pour le partage de la valeur a touché quelques six millions de salariés en 2023 et 520 000 entreprises qui la versent. Pour aller encore plus loin pour soutenir le pouvoir d'achat des Français, certains syndicats appellent le gouvernement à l'intégrer au salaire puisque cette prime n'est pas calculée dans la future retraite des salariés concernés. « Cette prime n'a pas fait l'objet de cotisation sociale donc c'est un manque à gagner pour notre système de protection sociale » rappelle notre invitée.
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Muriel Pénicaud, ancienne ministre du Travail, était l'invitée de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mercredi 21 décembre. Ils ont abordé la réforme du gouvernement du CPF, soit la participation financière des salariés à celui-ci, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 21 décembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Maud Caillaux, cofondatrice de Green-Got, Frédéric Valletoux, député de Seine-et-Marne et porte-parole du groupe d'Horizon, Jean-Claude Maillard, président de Figeac Aero, Muriel Pénicaud, ancienne ministre du Travail, Alain Pitous, consultant ESG, Benoît Serre, DRH de L'Oréal et vice-président de l'ANDRH, et Jean-Louis Bourlanges, député MoDem des Hauts-de-Seine et président de la commission des affaires étrangères, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 10 novembre, Laure Closier et Christophe Jakubyszyn ont reçu Aymeric Déchin, président et cofondateur de Faume, Antoine Foucher, président de Quintet Conseil et ex-directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, Jean-Laurent Granier, PDG de Generali France, Olivia Grégoire, ministre des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l'Artisanat et du Tourisme, et Matthias Baccino, directeur général France de Trade Republic, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Antoine Foucher, président de Quintet Conseil et ex-directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, était l'invité de Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce jeudi 10 novembre. Ils sont revenus sur les propositions du gouvernement pour réduire le coût du Compte personnel de formation (CPF) pour les finances publiques, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Muriel Pénicaud, ancienne Ministre du Travail, est une femme qui n'a jamais douté malgré son parcours inhabituel. Très attachée à la diversité professionnelle, elle a débuté au Ministère du Travail puis a occupé plusieurs postes de direction au sein de grandes entreprises telles que Dassault Systèmes, le groupe Danone ou encore Business France. Par la suite, elle revient au Ministère du Travail en tant que ministre. Par ailleurs, Muriel Pénicaud nous révèle, durant cette interview, les principaux enjeux de la gestion de la ressource humaine en France, notamment l'intégration des seniors sur le marché du travail, l'insertion des formations en interne et l'index de l'égalité professionnelle.
Muriel Pénicaud nous parle de son parcours professionnel, de son poste d'ancienne ministre et de sa perception de l'avenir des entreprises et du monde du travail. Découverte des métiers, formations, accès aux emplois, Muriel Pénicaud nous parle dans cette interview de la réforme d'apprentissage dans son livre « Pousser les murs ».
Président de Quintet Conseil et ancien directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, Antoine Foucher, était l'invité de Jean-Pierre Elkabbach dans #LaMatinaleWE sur CNEWS. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vendredi 25 février, Emmanuel Lechypre a reçu Guillaume Bazot, économiste, maître de conférences à l'Université Paris 8, auteur de "L'épouventail néolibéral, un mal français" (Éd. PUF), Antoine Foucher, président du cabinet Quintet Conseil, ancien directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, auteur de "Le monde de l'après Covid" (Éd. Gallimard), Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, Christian Chavagneux, éditorialiste à Alternatives économiques, Claire Sergent, journaliste de BFM Business, ainsi que Benaouda Abdeddaïm, éditorialiste de BFM Business, dans l'émission la librairie de l'éco sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez la en podcast.
Cette semaine dans “Deux pays pour un Rhin”, nous revenons sur le prix franco-allemand "Avenir professionnel" avec Karine Brard-Guillet de l'agence binationale ProTandem. Les lauréats ont été annoncés mardi après-midi en présence de Muriel Pénicaud, ex-ministre du Travail et marraine de cette première édition. Retour sur ce nouveau prix dans le monde du franco-allemand et sur ses répercussions escomptées.
Cet éîsode a été enregistré longtemps avant la pandémie... mais il est toujours d'actualié je crois !Muriel Pénicaud, avant d'être Ministre du Travail, déclarait, alors qu'elle était DRH du Groupe Danone, que « la santé des salariés et d'abord, et avant tout, l'affaire des managers, ça ne s'externalise pas, et ce n'est pas une affaire de docteurs ». Mais alors, quand le cabinet Sapiens nous annonce que l'absentéisme coute 108 milliards d'euros par an à l'économie française, serait-ce affaire de management ? Cette question est sans aucun doute l'occasion de répondre à une autre : un manager bienveillant, ça sert à quoi ? Est-ce un simple effet de mode ou une arme de destruction massive contre le désengagement et l'absentéisme ?Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Au programme de C à Vous : Me HERVÉ TEMIME Avocat de Bernard Tapie Le procès de Bernard Tapie se poursuit sans ses avocats L'état de santé de B. Tapie l'empêche d'assister à son procès Pas de renvoi pour le procès en appel de B. Tapie DIDIER HOUSSIN Président du Comité d'urgence Covid-19 de l'OMS Faut-il rendre la vaccination obligatoire ? Vaccination : comment convaincre les réfractaires ? Aux origines de la vidéo d'un pompier complotiste William Shakespeare, 1er vacciné anglais, est mort Le relâchement des vaccinés inquiète Faudra-t-il vacciner les enfants ? Bientôt le certificat vert numérique européen L'origine de la pandémie fait toujours débat 5/5. Tabac : les films français sans filtre 5/5. Les confessions de Muriel Pénicaud 5/5. Floride : les décolletés de la discorde RACHEL KEKE Gouvernante & porte-parole des femmes de chambre de l'hôtel Ibis Batignolles Rachel Keke, victoire d'une femme de chambre Diffusion : tous les jours de la semaine à 19h Format : 50 minutes Présentation : Anne-Élisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Pierre Lescure, Marion Ruggieri, Émilie Tran Nguyen Réalisation : Pascal Rétif Productions : France Télévisions / Troisième Oeil Productions
Dans "Anne Roumanoff, ça fait du bien", Régis Mailhot rencontre Muriel Pénicaud, ancienne ministre du travail, à l'occasion de son livre “Pousser les murs” aux éditions de l'Observatoire. "Un hymne à la jeunesse", explique l'humoriste, qui a soulevé quelques incohérences.
Rien n'échappe à l'œil avisé d’Anne Roumanoff ! Tous les jours, avec la complicité de ses chroniqueurs et de leurs invités (comédiens, humoristes, politiques...), Anne Roumanoff traite et maltraite l'actualité avec malice et bienveillance. Le rendez-vous idéal pour faire le plein de bonne humeur.
Dans "Anne Roumanoff, ça fait du bien", Régis Mailhot rencontre Muriel Pénicaud, ancienne ministre du travail, à l'occasion de son livre “Pousser les murs” aux éditions de l'Observatoire. "Un hymne à la jeunesse", explique l'humoriste, qui a soulevé quelques incohérences.
Dans "Anne Roumanoff, ça fait du bien", l'ancienne ministre du Travail, Muriel Penicaud, explique avoir longuement hésité avant d'accepter le poste de ministre qu'on lui proposait. "J'ai aussi hésité pour mes proches", reconnait-elle.
durée : 00:17:02 - L'invité du week-end - par : Eric Delvaux - L'ancienne ministre du Travail, désormais représentante permanente de la France auprès de l’OCDE, est l'invité de Pierre Weill pour son livre "Pousser les murs", paru aux éditions de l'Observatoire, dans lequel elle raconte ses trois années au sein des gouvernements d'Édouard Philippe.
durée : 03:00:38 - Le 6/9 - Le 6/9 du samedi 22 mai, avec Pierre Weill et Patricia Martin.
durée : 03:00:38 - Le 6/9 - Le 6/9 du samedi 22 mai, avec Pierre Weill et Patricia Martin.
INVITÉE RTL - Dans le monde politique, "la moindre vulnérabilité est utilisée", raconte celle qui est devenue représentante permanente de la France auprès de l'OCDE.
L'ancienne ministre du Travail revient sur les bouleversements occasionnés par la pandémie de Covid-19 dans l'univers professionnel.
Une déflagration dans le monde du travail Muriel Pénicaud a quitté son ministère au gouvernement entre vague de Covid-19. Un moment inédit pour les Français confrontés à une évolution forcée du monde du travail. Télétravail, chômage partiel, perte d’emplois, les bouleversements n’ont pas manqué en la matière. Une petite révolution face à laquelle la France n’était sans doute pas prête. "Le ciel nous est tombé sur la tête. D’abord sur le plan sanitaire. Mais dans le monde du travail, ça a été une déflagration. Tout le monde a fait preuve de résilience" explique l’actuelle ambassadrice de France auprès de l’OCDE, auteure de "Pousser les murs" (éd. de l'Observatoire) Muriel Pénicaud est celle qui a mis en place les premières mesures sociales du candidat Macron, avec la loi travail. 300 heures de discussion avec le patronat, les syndicats. 82 heures de débat parlementaire. La baisse du chômage. "J’avais été 20 ans en entreprise et auparavant dans le monde associatif. Je viens de la société civile. La réforme a libéré psychologiquement la peur d’embaucher dans les entreprises" ajoute l’ancienne ministre du Travail. Priorité à la jeunesse Pour cette dernière, la crise sanitaire du Covid-19 est sans doute l’évènement qui va accélérer la transition écologique et numérique en France, et notamment dans le monde du travail. "Je plaide depuis longtemps pour une évolution des entreprises inéluctable, mais réussie : une dimension numérique, une dimension écologique, et une dimension sociale" lance Muriel Pénicaud. La jeunesse aura été l’une des catégories de population les plus touchées par la crise sanitaire. "C’est le sujet prioritaire du moment. Et c’est un sujet prioritaire pour la relance de l’économie. Notre avenir, ce sont les jeunes. La transmission et la solidarité intergénérationnelle, c’est le grand sens de la vie. Il faut se mobiliser pour et avec la jeunesse. Plus de 2/3 des jeunes ne se projettent pas dans l’avenir. C’est grave" conclut-elle.
Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.
Dans cette épreuve de résilience collective que nous traversons, la réforme de la France n'est pas une priorité. Le but est de trouver des solutions pour passer la tempête en faisant le moins de dégâts possibles. Mais il est important que le dialogue social se couple aux dialogues économiques et environnementaux. Manager par le sens et la cohérence est essentiel. Les jeunes ne resteront pas dans une entreprise rigide dans laquelle ils ne trouveront pas leur espace, et la crise nous impose d'accélérer ce changement de management.
Dans ce 9ème épisode du podcast Le Micro Social, la rédaction d'actuEL-CSE (Editions Législatives, groupe Lefebvre Sarrut) donne la parole à Mikael Klein. Avocat au sein du cabinet LBBa, qui défend les CSE, les syndicats et les salariés, Mikaël Klein nous donne son point de vue et son analyse sur les changements opérés depuis trois ans en matière de droit du travail par le gouvernement d'Edouard Philippe et la ministre Muriel Pénicaud, auxquels ont succédé en début d'été Jean Castex et Elisabeth Borne : création du CSE, primauté donnée aux accords d'entreprise, barème pour les licenciements sans cause réelle et sérieuse, réforme du licenciement économique, etc. Pour l'avocat, ces réformes ont été marquées par la création du CSE, le comité social et économique, mais l'occasion a été manquée de repenser réellement la représentation du personnel, les accords passés étant peu innovants et ont fait souvent l'objet d'une forme de marchandage. Surtout, les entreprises ont obtenu des outils de flexibilité avec la réforme du licenciement économique, le barème en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse, les accords de performance collective, autant de dispositifs qui vont permettre aux employeurs soit de mener de façon plus rapide des ruptures de contrat, soit de modifier les conditions d'emploi des salariés. Cette interview a été réalisée le 20 juillet 2020. Quelques repères ou time code 00:48 La réforme la plus importante est la mise en place des CSE. 1:33 Deuxième réforme très importante, celle du droit du licenciement avec le barème d'indemnisation pour les licenciements injustifiés et avec la redéfinition du licenciement économique. 2:41 Troisième réforme importante : la création des accords de performance collective, les APC. 3:26 Les APC sont une alternative aux suppressions d'emplois et aux départs, l'objectif étant d'imposer aux salariés des changements sur la mobilité et la rémunération. 4:53 On en est aux prémices des APC mais on sent bien que ça peut être vendu comme quelque chose de moins favorable que les PSE. 5:34 Sur les CSE, il y a eu peu de négociations, et elles se sont souvent concentrées sur les moyens, et se sont avérées très peu innovantes. 6:00 Dans les négos CSE, des directions ont été « revanchardes » en réclamant des contreparties (moins d'expertises par ex.) à la sauvegarde de certains moyens pour les IRP. 7:23 Ces réformes menées depuis 2017 s'inscrivent dans la continuité de la loi travail de 2016, mais on a franchi un cap. 8:10 On va toujours un peu plus loin en matière de flexibilité, ce qui finit par représenter une forme de rupture. 8:40 Quel avenir et quelles conséquences de ces réformes avec la crise économique et social ? 9:21 Avoir facilité les licenciements va avoir des conséquences dans la période qui s'ouvre. 10:00 On s'attend à une avalanche de réorganisations d'entreprise à l'automne.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce 8ème épisode du podcast Le Micro Social, la rédaction d'actuEL-CSE (Editions Législatives, groupe Lefebvre Sarrut) donne la parole à Etienne Pujol. Avocat d'entreprise au sein du cabinet BerryLaw, ancien trésorier d'Avosial, Etienne Pujol nous livre son point de vue et son analyse sur les changements opérés depuis trois ans en matière de droit du travail par le gouvernement d'Edouard Philippe et la ministre Muriel Pénicaud, auxquels ont succédé en début d'été Jean Castex et Elisabeth Borne : création du CSE, primauté donnée aux accords d'entreprise, barème pour les licenciements sans cause réelle et sérieuse, etc. Pour l'avocat d'entreprise, ces réformes ont permis aux entreprises de gérer plus souplement leurs évolutions d'effectifs, mais elles ont aussi accru la négociation collective au sein de l'entreprise. Plus qu'une rupture, ces 3 ans s'inscrivent dans une forme de continuité de l'évolution du droit du travail engagé depuis plusieurs années en France, soutient Etienne Pujol. Cette interview a été réalisée le 16 juillet 2020. Quelques repères ou time code 01:20 Les ordonnances de septembre 2017 ont permis, avec la création des CSE, une amélioration du dialogue social. 2:22 Ces réformes s'inscrivent dans une continuité par rapport aux réformes menées par Michel Sapin, François Rebsamen, Myriam El Khomri. 2:40 Les ordonnances Macron ont parachevé les réformes précédentes. 2:54 Il y a eu la volonté de consacrer le dialogue social avec une forme de coconstruction de la norme à l'échelle de l'entreprise entre les partenaires sociaux et la direction. 3:13 Ces réformes vont s'inscrire dans la durée, y compris pour les outils d'adaptation des effectifs aux difficultés économiques, comme l'accord de performance collective (APC). 4:26 Par rapport à la crise de 2008, l'arrêt brutal de l'activité en 2020 a touché tous les acteurs. La principale différence est qu'on a aujourd'hui des plans sociaux « déjudiciarisés » car tout a été fait pour éviter la voie contentieuse. 5:38 L'APC permet, dans un dialogue riche avec les partenaires sociaux, une adaptation au plus près des réalités le temps de voir comment sortir de la crise, et avec quelle organisation « cible ». 6:45 Le point qu'on peut regretter dans les ordonnances de 2017, c'est la disparition du CHSCT dans les entreprises de moins de 300 salariés. 7:20 Par rapport à la mise en place parfois abrupte du télétravail, c'est dommage. 7:49 Mais il y a une plus grande sensibilisation des élus du personnel à l'analyse du bilan et de la base économique et sociale de l'entreprise (BDES), du fait des formations au CSE. Cela concourt aussi à la richesse du dialogue social. 8:39 Sur la limitation des mandats imposée par les ordonnances ? C'est une bonne chose. Car on constatait que certains élus en fin de mandat se préoccupaient plus de leur situation personnelle que de la collectivité. 9:47 J'espère qu'on n'inversera pas la tendance, dans les prochaines années, en faveur de la négociation d'entreprise. 10:00 La France doit sortir de la confrontation salariés-directions. 10:36 Après 8 ans de réformes du droit du travail, il faudrait quand même faire une pause pour que tout le monde digère ces changements. Faisons un bilan et procédons à quelques aménagements si nécessaires, mais pas de grand soir ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nằm trong top các nước chịu nhiều tang thương nhất thế giới vì dịch Covid-19, nhưng Pháp cũng là quốc gia có chế độ trợ cấp Nhà nước rất hào phóng cho các doanh nghiệp và người lao động trong bối cảnh đất nước bị phong tỏa, kinh tế suy thoái nghiêm trọng. Khi dịch bệnh tạm được đẩy lui, đây là lúc chính quyền đẩy mạnh công tác kiểm tra, thanh tra nhắm vào các doanh nghiệp bị nghi ngờ dùng các « thủ đoạn », « chiêu trò » để « trục lợi », hưởng trợ cấp của nhà nước. « Cuộc săn lùng » các doanh nghiệp « gian lận » sẽ kéo dài trong suốt mùa hè 2020. Trong bài phát biểu trên truyền hình thu hút người xem đông ở mức kỷ lục hồi tháng 03/2020, khi nước Pháp bắt đầu bị phong tỏa, tổng thống Emmanuel Macron đã tuyên bố : « Sẽ không một doanh nghiệp nào, bất kể quy mô lớn, nhỏ, phải đương đầu với nguy cơ phá sản. Sẽ không một người Pháp nào bị để rơi vào cảnh không có thu nhập ». Trợ cấp thất nghiệp bán phần chính là một trong số các biện pháp hỗ trợ quan trọng của Nhà nước trong thời phong tỏa chống dịch Covid-19 : Nếu vì hoạt động trong thời khủng hoảng dịch bệnh giảm sút, doanh nghiệp phải cắt toàn bộ hoặc giảm một phần giờ làm của nhân viên thì Nhà nước hỗ trợ 100 % tiền để doanh nghiệp trả lương thất nghiệp bán phần cho người lao động, từ ngày 01/06, tỉ lệ này giảm xuống còn 85%. Trợ cấp trước, kiểm tra sau … Đài France Info cho biết, theo một đánh giá của bộ Lao Động Pháp, có 7,2 triệu lao động đã được hưởng trợ cấp thất nghiệp một hoặc nhiều ngày mỗi tuần trong tháng 3, con số này lần lượt là 8,7 triệu và 7,8 triệu vào tháng 4 và 5. Còn theo đài France Inter, trong vòng 3 tháng, tổng cộng 16,9 tỉ euro trợ cấp đã được nhà nước phát cho 1,2 triệu doanh nghiệp để trả lương thất nghiệp bán phần cho hơn 12 triệu nhân viên. Số tiền ban đầu nhà nước Pháp dự tính chi trả trợ cấp thất nghiệp bán phần là 8,5 tỉ euro, nay con số này có thể sẽ tăng lên thành 31 tỉ euro cho cả năm 2020. Tại sao số tiền trợ cấp lại phát sinh nhiều đến như vậy ? Liệu các doanh nghiêp có hưởng số tiền trợ cấp này một cách chính đáng ? Có điều gì ẩn khuất hay không ? Cách duy nhất là kiểm tra, thanh tra ! Phát biểu trên các phương tiện truyền thông hồi cuối tháng 06, bộ trưởng Lao Động Pháp khi đó là bà Muriel Pénicaud cho biết, khi đất nước bị phong tỏa, chủ trương của chính quyền là « đặt trọn niềm tin » vào sự trung thực của doanh nghiệp, nhưng khi đó chính phủ cũng thông báo là sau này những doanh nghiệp hưởng tiền trợ cấp của Nhà nước để chi trả lương thất nghiệp cho nhân viên sẽ bị kiểm tra. Trong chuyên mục Giải mã kinh tế trên đài France Info ngày 30/06/2020, phóng viên điều tra kinh tế Fanny Guinochet của tuần báo L’Express giải thích chi tiết : « Mục tiêu của chính phủ là từ nay đến cuối mùa hè phải tiến hành được 50.000 cuộc kiểm tra. Vài trăm viên chức bộ Lao Động đã được giao nhiệm vụ này. Khi cho áp dụng chính sách trợ cấp thất nghiệp bán phần hồi tháng Ba, chính phủ đã cảnh báo : Chính quyền sẽ chấp nhận tất cả những đơn xin trợ cấp thất nghiệp bán phần và đơn thường được thông qua trong vòng 48 giờ đồng hồ, chính phủ tin tưởng vào chủ lao động, nhưng báo trước là sẽ có các cuộc kiểm tra. Tất cả các công ty đã lạm dụng chế độ trợ cấp thất nghiệp có thể sẽ phải trả giá, dù là doanh nghiệp lớn hay nhỏ, bất kể trong lĩnh vực nào ». Cuộc săn lùng bắt đầu « Đã nói là làm », kể từ giữa tháng 05, bộ Lao Động cho tăng cường công tác kiểm tra, đơn vị đầu mối được giao thực hiện chiến dịch kiểm tra là DIRECCTE ( Cơ quan đặc trách quản lý doanh nghiệp, cạnh tranh, tiêu dùng, lao động và việc làm ở cấp vùng ). Từ ngày 22/05 cho đến cuối tháng 6, với 300 viên chức bổ sung, DIRECCTE đã khởi động 12.000 cuộc kiểm tra. Trong số 3.000 cuộc kiểm tra đã hoàn tất, có tới 850 doanh nghiệp bị nghi ngờ sai phạm. Nhà báo Fanny Guinochet cho biết cụ thể : « Kết quả của gần ¼ số cuộc kiểm tra cho thấy có những điều đáng ngờ. Ngay cả đây mới chỉ là những nghi ngờ chứ chưa phải là đã chứng minh được là có sự gian lận thì tỉ lệ này vẫn là cao. Điều này sẽ dẫn đến những cuộc kiểm tra bổ sung, những cuộc điều tra sâu hơn của tổng vụ Lao Động. Những con số nói trên đã được bộ trưởng Lao Động Muriel Pénicaud đưa ra khi trả lời phỏng vấn của tạp chí Challenges. Phải nói rằng tất cả các cuộc kiểm tra này không phải được tiến hành một cách tình cờ : mục tiêu đã được định hướng nhắm đến. Các công chức của bộ Lao Động đã kiểm tra các công ty sau khi nhận được báo động của các công đoàn hay đơn tố cáo của người làm công ăn lương nhắm vào việc chủ lao động lợi dụng họ. Có vài trăm đơn tố cáo như vậy. Một trong những kiểu gian lận thường gặp nhất là công ty khai báo các nhân viên thất nghiệp bán phần, trong khi trên thực tế chủ lao động vẫn yêu cầu nhân viên làm việc từ xa. Các cơ quan của bộ Lao Động cũng ghi nhận là có những chiêu trò gian lận, lừa đảo « tinh vi » hơn, chẳng hạn như lập các « doanh nghiệp ma ». Đó là trường hợp của một chủ doanh nghiệp ở vùng Hauts-de-France. Người này đã thành lập 5 công ty, chỉ để nhận các khoản tiền hỗ trợ của nhà nước. Có rất nhiều kiểu lạm dụng. » Chiêu trò, mánh lới gian lận Như phóng viên điều tra kinh tế Fanny Guinochet đã nói, có rất nhiều hình thức gian lận. Thường gặp nhất là chủ doanh nghiệp khai báo nhân viên làm việc bán phần để lĩnh trợ cấp của nhà nước, nhưng trên thực tế vẫn « dỗ ngon dỗ ngọt », hoặc bắt ép người lao động làm việc từ xa, thường là bằng là bằng cách gọi điện thoại. Vấn đề là nếu khai báo nhân viên làm việc từ xa thì doanh nghiệp phải trả lương, còn nếu khai là nhân viên thất nghiệp bán phần thì coi như nhà nước trả lương, doanh nghiệp không tốn kém. Nhiều người lao động biết là như vậy là « làm việc bất hợp pháp », nhưng trong bối cảnh khủng hoảng, sợ bị chủ đuổi việc, nên đành « nhắm mắt làm ngơ » để chủ doanh nghiệp lợi dụng kiếm lời từ nhà nước. Có nhiều người phải làm việc từ xa đến cuối giai đoạn phong tỏa, đến khi nhận phiếu lương mới phát hiện ra chủ lao động khai báo cho họ hưởng chế độ thất nghiệp bán phần. Bất bình, nhiều người đơn phương hoặc phối hợp với công đoàn viết đơn tố cáo chủ doanh nghiệp. Trong những trường hợp nói trên, người lao động đều không bị xử lý vì họ làm theo lệnh của công ty. Công tác kiểm tra, xử phạt chỉ nhắm vào chủ doanh nghiệp. Còn có nhiều trường hợp chủ doanh nghiệp nhận trợ cấp từ nhà nước, nhưng thay vì trả lương thất nghiệp bán phần cho nhân viên, thì lại « đút tiền ngay vào túi ». Ngoài ra, có chủ doanh nghiệp « chơi chiêu » tuyển thêm nhân viên trong thời phong tỏa rồi cho họ nghỉ bán phần chỉ để nhận trợ cấp của Nhà nước, hoặc liều lĩnh hơn nữa là thành lập « doanh nghiệp ma », khai khống số nhân viên, khai khống lương của người lao động ... Nếu bị xử phạt hành chính, các doanh nghiệp phải hoàn trả tiền cho chính phủ và không được hưởng sự hỗ trợ của Nhà nước trong vòng 5 năm. Chủ doanh doanh nghiệp gian lận có thể bị phạt 30.000 euro, chịu 2 năm tù giam. Những trường hợp nghiêm trọng hơn có thể bị quy vào tội lừa đảo, chủ doanh nghiệp có thể lãnh án tù 7 năm, số tiền nộp phạt có thể lên đến 750.000 euro, thậm chí bị truy tố hình sự. Phóng viên điều tra kinh tế Fanny Guinochet của tuần báo L’Express giải thích thêm : « Khi họ bày trò kiểu như thành lập công ty ma, thì chủ doanh nghiệp lãnh án lên đến 2 năm tù giam và bị phạt 30.000 euro. Nhưng cho đến nay, mới chỉ có chưa đến 10 vụ truy tố hình sự. Đa phần các trường hợp đều chưa nghiêm trọng đến mức như vậy, và chính quyền chỉ tập trung vào yêu cầu chủ doanh nghiệp hoàn trả các khoản tiền mà họ đã nhận quá mức được hưởng, những chủ doanh nghiệp phạm luật cũng mất quyền hưởng chế độ hỗ trợ tài chính của nhà nước trong vòng 5 năm. Bộ trưởng Lao Động Muriel Pénicaud cho biết bộ sẽ khoan nhượng, nếu đó đơn giản chỉ là do nhầm lẫn trong tính toán hay khai báo và nếu công ty thành khẩn, thực tâm. Ngược lại, nếu đó là hành vi cố tình gian lận thì sẽ không có sự khoan nhượng nào hết và doanh nghiệp sẽ phải chịu án phạt. » Nhà nước - nạn nhân Để « truy » được càng nhiều càng tốt các doanh nghiệp gian lận, chính phủ khuyến nghị Cơ quan đặc trách quản lý doanh nghiệp, cạnh tranh, tiêu dùng, lao động và việc làm ở cấp vùng tập trung đặc biệt vào các lĩnh vực dễ có gian lận hoặc phương thức làm việc từ xa được triển khai rộng rãi. Nếu tỉ lệ gian lận cao thì công tác kiểm tra sẽ còn được tiếp tục duy trì đến sau mùa hè. Nước Pháp vốn nổi tiếng là nghiêm khắc trong xử lý các vụ gian lận thuế, trợ cấp của Nhà nước. Tuy nhiên, ngay từ ngày 11/06, France Info cho biết những thanh tra lao động mà đài này tham khảo đều cho là có rất ít hy vọng thu hồi lại được phần lớn số tiền trợ cấp thất nghiệp bán phần mà các doanh nghiệp đã ăn gian của nhà nước. Lý do là có hàng triệu doanh nghiệp cần được kiểm tra, công tác kiểm tra, thanh tra thường rất lâu và phức tạp, mà nhân lực của các cơ quan kiểm tra, thanh tra cho dù có được bổ sung thì cũng không đủ. Không chỉ là nạn nhân của Covid-19, với sự hào phóng, lòng tin quá đà, nước Pháp dường như đã trở thành nạn nhân trước các chiêu trò gian lận của nhiều chủ doanh nghiệp!
Pas de grands bouleversements… Le nouveau gouvernement dirigé par Jean Castex s’inscrit dans la trajectoire du précédent, avec une orientation centre-droit, et quelques surprises qui retiennent l’attention des commentateurs ce mardi matin. « La revenante, la verte et le tonitruant », titre Libération. Un titre qui sent bon le western-spaghetti, en hommage à Ennio Morricone, dont on a appris la mort lundi. « La revenante, la verte et le tonitruant », c’est dans l’ordre, Roselyne Bachelot à la Culture, Barbara Pompili à l’Écologie et l’avocat Éric Dupond-Moretti à la Justice. Commentaire de Libé : « Emmanuel Macron, depuis son installation à l’Élysée, s’est appliqué à se bâtir une image de déplorable directeur de ses ressources humaines. Une réputation qu’il doit à son soutien prolongé à Alexandre Benalla, au départ tonitruant de Nicolas Hulot, à son refus de se séparer plus tôt de Christophe Castaner. Il n’est pas sûr que les surprenantes arrivées au gouvernement d’Éric Dupond-Moretti à la Justice et de Roselyne Bachelot à la Culture, ou le transfert de Gérald Darmanin à l’Intérieur, lui permettent d’inverser la tendance. (…) Le casting peu renouvelé de ce premier gouvernement Castex démontre une nouvelle fois la pauvreté du vivier à la disposition du chef de l’État. » Des puncheurs ? Le Parisien n’est pas d’accord : « Après les technos, les puncheurs », s’exclame le journal. « Emmanuel Macron vient de se doter d’une équipe de combattants. Exit les personnalités les plus effacées ou qui ne parvenaient pas à porter clairement le message dans les médias, comme Nicole Belloubet ou Muriel Pénicaud… Bienvenue aux spécialistes des plateaux télé, aux habitués de la joute verbale, aux professionnels de la politique spectacle. Spectaculaire, c’est bien le mot, pointe Le Parisien, pour qualifier l’entrée au gouvernement d’Éric Dupond-Moretti au poste de ministre de la Justice (le célèbre avocat pénaliste s’apprêtait à faire une chronique judiciaire sur une radio privée) ! Roselyne Bachelot aussi va abandonner les studios de télévision pour revenir à la vie politique. Des professionnels de la com’ à deux ans d’une présidentielle, cela a du sens. » Plouf ? « Deux vedettes et après ? », s’interroge Le Midi Libre. « Roselyne et le lion. Ce n’est pas du cinéma avec des vedettes, c’est tout simplement le nouveau casting du gouvernement. Et puis c’est tout. (…) On avait oublié un élément qui, en politique, a déjà fait ses preuves : pour que tout bouge, il faut que rien ne bouge. Et c’est bien là notre déception, soupire encore Le Midi Libre, à la lecture des noms figurant dans ce gouvernement. » « Le pouvoir macroniste n’attire plus, constate Sud-Ouest ; aucune personnalité du PS, d’Europe Écologie ou de LR ne veut aujourd’hui prendre le risque de quitter un parti que les municipales ont requinqué. Quant à la marque de Jean Castex, on la cherche en vain, hormis dans cette absence de grands pôles ministériels que souhaitait Macron, mais dont le Premier ministre ne voulait pas. Encore un effet blast qui fait plouf. » Un « nouveau chemin » déjà emprunté… « Politiquement, ce remaniement n’en est en fait pas un, regrettent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. C’est une opération tiroir. Très peu de sortants et donc, par conséquent, très peu d’entrants. 8 nouveaux ministres sur 31, pas de quoi crier à la révolution. Ou ne serait-ce que dessiner un nouveau chemin. » La Charente Libre est sur la même ligne : « Le "nouveau chemin" annoncé par un Emmanuel Macron prêt à se "réinventer" ressemble beaucoup à la voie précédente. Ni coup de volant, ni changement de braquet : le conducteur de la République a choisi de garder peu ou prou la même voiture gouvernementale, délestée de quelques cylindres dévoués mais grippés (Castaner, Pénicaud, Belloubet, Ndiaye) et ornée de deux nouveaux accessoires bling-bling (Bachelot et Dupond-Moretti) pour donner un coup d’accélérateur jusqu’à 2022. » À droite toute ! En tout cas, « cap à tribord ! », se réjouit pour sa part Le Figaro. « Jean Castex, ancien secrétaire général adjoint de Nicolas Sarkozy, aura pour ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, l’un des fils spirituels de l’ancien président. Bruno Le Maire, ancien candidat à la primaire de la droite, poursuit sa tâche à la tête de l’Économie. Jean-Michel Blanquer, ami intime de François Baroin, conserve le ministère de l’Éducation nationale. À la Culture, Roselyne Bachelot, ancienne ministre de François Fillon, succède à un élu de centre-droit. Subsistent çà et là quelques Marcheurs un peu perdus dans leur propre pays, d’éminents socialistes dont la rose a fané depuis longtemps, une figure écologiste qui ne brandira pas la décroissance en étendard. S’il fallait donner une couleur à cette nouvelle équipe, dont Christophe Castaner et Nicole Belloubet ont été exfiltrés, le bleu l’emporterait largement sur le rose et sur le vert. » Bref, résume Ouest-France, « si les entrées d’Éric Dupond-Moretti à la Justice et de Roselyne Bachelot à la Culture attirent l’attention, ce gouvernement dit "de combat" est, en réalité, tout en continuité. Officiellement pensé pour affronter la crise économique et sociale qui vient, il est aussi un gouvernement de combat électoral, calibré pour conduire Emmanuel Macron à la victoire en 2022. Sans changement de cap par rapport à 2017. Mais avec un coup de barre à droite. »
Une femme remplace une autre femme au ministère du Travail. Elisabeth Borne, ancienne ministre de la Transition écologique et solidaire, succède à Muriel Pénicaud. C'est à elle que revient la lourde tache d'endiguer la forte hausse du chômage après l’épidémie de coronavirus.
Gouvernement Castex: Darmanin à l'Intérieur, Pompili à l'Écologie et Dupond-Moretti à la Justice Gérald Darmanin nommé ministre de l'Intérieur à la place de Christophe Castaner, Barbara Pompili succède à Élisabeth Borne au ministère de la Transition écologique ou encore Éric Dupond-Moretti qui devient le nouveau ministre de la Justice, le nouveau gouvernement français a été dévoilé ce lundi 6 juillet. Après la déroute des municipales, Emmanuel Macron tente de reprendre la main et de relancer son quinquennat avec un nouveau gouvernement. Mené par le Premier ministre Jean Castex, il a été annoncé ce lundi 6 juillet. Découvrez la composition du nouveau gouvernement français : Ministère de l'Intérieur : Gérald Darmanin succède à Christophe Castaner. Ministère de la Transition écologique : Barbara Pompili remplace Elisabeth Borne. Ministère de la Justice : Éric Dupond-Moretti remplace Nicole Belloubet Ministère des Solidarités et de la Santé : Olivier Véran. Ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance : Bruno Le Maire Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères : Jean-Yves Le Drian Ministère des Armées : Florence Parly Ministère de la Culture : Roselyne Bachelot Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports : Jean-Michel Blanquer Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation : Frédérique Vidal Ministère des Outre-mer : Sébastien Lecornu à la place d'Annick Girardin Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation : Julien De Normandie remplace Didier Guillaume Ministère du Travail, de l'emploi et de l'insertion : Elisabeth Borne succède à Muriel Pénicaud Ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collecitivtés territoriales : Jacqueline Gourault Ministère de la Mer : Annick Girardin. Ministère de la Transformation et de la Fonction publique : Amélie De Montchalain. --- This episode is sponsored by · Anchor: The easiest way to make a podcast. https://anchor.fm/app --- Send in a voice message: https://anchor.fm/flicit-vincent/message
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Matthieu Belliard prend les commandes de la matinale d'Europe 1 pour trois heures d’infos, accompagné d’Ombline Roche et de toute la rédaction. Un point complet sur l'actualité pour l'observer sous tous les angles et mieux la comprendre avec de nombreux entretiens, sans oublier l'interview politique de Sonia Mabrouk. Les auditeurs retrouveront les chroniques de Nicolas Barré, Axel de Tarlé, Vincent Hervouët et Anicet Mbida. Et ils découvriront Fanny Agostini, Virginie Phulpin et Jean-Pierre Montanay.
Ce vendredi 12 juin, Muriel Pénicaud et Bruno Le Maire ont demandé au constructeur automobile d'abandonner son projet de faire venir plusieurs centaines de salariés polonais pour renforcer son site français d'Hordain.
Dans cet épisode nous avons le plaisir de recevoir Manon Lamotte avocat au barreau de Paris depuis 2013. Spécialisée en droit social, Manon est counsel chez Evershed Sutherland et elle conseille des entreprises françaises comme internationales sur leurs nombreuses problématiques en droit social, aussi bien sur leur suivi quotidien que lors de grosses réorganisations.
Muriel Pénicaud affirme que le congé parental n'existe pas dans tous les pays.
La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a affirmé lundi sur Europe 1 que la région Paca était l'une de celles qui investissaient le moins dans l'apprentissage. Vrai ou faux ?