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durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La visite du président russe en Inde est notable car Vladimir Poutine voyage peu depuis le mandat d'arrêt de la CPI ; mais elle est aussi significative des grandes manœuvres qui visent à redéfinir l'ordre mondial, tout comme la visite d'Emmanuel Macron en Chine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:21:35 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Guerre hybride, ingérences électorales : face aux multiples visages de la menace russe, l'Europe peut-elle encore défendre son projet démocratique ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Cristina Gherasimov vice-Première ministre de Moldavie; Hanno Pevkur ministre estonien de la Défense
C dans l'air du 5 décembre 2025 - Poutine tout-puissant… qui peut encore l'arrêter ? C'est une nouvelle visite qui suscite beaucoup d'attention. Après avoir reçu vendredi dernier Viktor Orbán à Moscou pour mener des discussions autour de l'énergie, Vladimir Poutine a déclaré ce vendredi qu'il allait continuer de « livrer du pétrole sans interruption » à l'Inde. Le Premier ministre indien Narendra Modi et le président russe se sont retrouvés ce vendredi 5 décembre à New Delhi pour des entretiens destinés à resserrer leurs liens, malgré la pression des États-Unis depuis des mois sur l'Inde pour qu'elle cesse ses achats de pétrole russe en pleine guerre en Ukraine.Une visite du maître du Kremlin qui en dit long sur les grandes manœuvres qui se déroulent actuellement et visent à redéfinir l'ordre mondial. À l'offensive sur les terrains militaire et diplomatique, Vladimir Poutine veut montrer au reste du monde que, malgré les sanctions et le mandat d'arrêt dont il fait l'objet, il n'est pas isolé. Inflexible dans les négociations sur le plan de paix avec l'Ukraine, le président russe entend apparaître comme le grand gagnant de cette période d'intenses discussions qui s'est soldée jeudi par un échange d'amabilités avec Donald Trump, après l'apparent échec de la réunion au Kremlin mardi avec Steve Witkoff et Jared Kushner.« Parvenir à un consensus entre des parties en conflit n'est pas chose aisée, mais je crois que le président Trump s'y emploie sincèrement », a ainsi affirmé hier le maître du Kremlin. « Je pense que nous devons nous engager dans cet effort plutôt que d'y faire obstruction », a-t-il ajouté, faisant allusion aux Européens que Moscou accuse de vouloir empêcher un accord. Un peu plus tôt dans la journée, Donald Trump a évoqué de son côté « une très bonne rencontre », assurant que Vladimir Poutine voulait bien « mettre fin à la guerre ».Des émissaires américains et ukrainiens mènent de nouvelles discussions depuis jeudi en Floride pour tenter de trouver une issue à la guerre, au moment où Washington a annoncé assouplir ses sanctions à l'égard du géant du pétrole russe Lukoil.À Pékin, le président français Emmanuel Macron a pressé hier son homologue chinois d'œuvrer à la fin de la guerre en Ukraine, mais a entendu son hôte rejeter fermement toute part de responsabilité dans la poursuite de la crise ukrainienne. Ce vendredi, il a appelé les Européens à maintenir « l'effort de guerre » et à accroître « la pression sur l'économie russe ». « La seule qui ne veut pas la paix, c'est la Russie, parce qu'elle veut tout », a estimé le chef de l'État. L'Allemagne, de son côté, a promis une aide supplémentaire de 100 millions d'euros à l'Ukraine pour réparer ses infrastructures énergétiques mais veillera « strictement » à son utilisation, en plein scandale de corruption qui ébranle le gouvernement de Kiev. Parallèlement, la Turquie a convoqué les ambassadeurs russe et ukrainien, appelant les deux pays à « laisser les infrastructures énergétiques en dehors de la guerre ».Depuis plusieurs semaines, Moscou multiplie les attaques et pilonne les infrastructures énergétiques de l'Ukraine. En réponse, Kiev intensifie son offensive contre les installations pétrolières russes. En frappant un important terminal pétrolier russe et deux cargos pétroliers liés à Moscou en mer Noire ces derniers jours, Kiev a touché un axe stratégique pour la Russie, le pétrole étant le carburant de l'effort de guerre russe.Nos journalistes se sont rendus il y a quelques semaines aux portes du Donbass, région déchirée de l'Est ukrainien, au cœur de toutes les négociations de paix.Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire : Des trains dans la guerre - Antoine VITKINE - Journaliste, réalisateur du documentaire Opération Trump : les espions russes à la conquête de l'Amérique - Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou
C dans l'air du 5 décembre 2025 - Poutine tout-puissant… qui peut encore l'arrêter ? Nos experts :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Lucas MENGET - Grand reporter, réalisateur du documentaire : Des trains dans la guerre - Antoine VITKINE - Journaliste, réalisateur du documentaire Opération Trump : les espions russes à la conquête de l'Amérique - Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou
durée : 00:03:12 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La visite du président russe en Inde est notable car Vladimir Poutine voyage peu depuis le mandat d'arrêt de la CPI ; mais elle est aussi significative des grandes manœuvres qui visent à redéfinir l'ordre mondial, tout comme la visite d'Emmanuel Macron en Chine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les discussions entre la Russie et les États-Unis et l'avancée des FSR au Soudan. Guinée-Bissau : la Cédéao a-t-elle des moyens de pression sur la junte ? Suite au coup d'Etat en Guinée-Bissau, la Cédéao a suspendu le pays de ses "organes décisionnels ». Après l'envoi d'une délégation de médiation lundi à Bissau, l'organisation ouest-africaine envisage-t-elle des sanctions plus sévères ? Quelle est sa marge de manœuvre auprès du nouvel homme fort, le général Horta N'Tam ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Guerre en Ukraine : pourquoi Poutine ne veut rien céder sur les territoires occupés par ses troupes ? Les cinq heures de discussion, mardi soir à Moscou, entre Steve Witkoff, le représentant de Donal Trump, et Vladimir Poutine n'ont débouché sur aucun compromis concernant les territoires ukrainiens occupés. Pourquoi cette question territoriale est-elle non-négociable pour la Russie ? Les États-Unis pourraient-ils céder à certaines exigences russes pour mettre fin à la guerre ? Avec Carole Grimaud, spécialiste de la Russie à l'Université de Montpellier, chercheure en sciences de l'information à l'Université d'Aix-Marseille. Autrice de l'ouvrage « Les étudiants face à la guerre russe en Ukraine » (éditions L'Harmattan). Soudan : la guerre bascule-t-elle à l'avantage des paramilitaires ? Après deux semaines de violents combats, les forces paramilitaires soudanaises ont annoncé avoir pris le contrôle de Banabusa, dernier bastion de l'armée régulière dans le Kordofan Occidental. En quoi la prise de cette ville est-elle stratégique ? Après la chute d'El-Fasher, cette nouvelle victoire des FSR aura-t-elle des conséquences sur les pourparlers ? Avec Roland Marchal, chercheur au CERI de Sciences Po Paris.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 04 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:52:01 - Les informés de franceinfo - Les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce jeudi 4 décembre, Jean-Joseph Boillot, chercheur associé à l'Iris et spécialiste de l'Inde, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Erwan Morice. Il s'est exprimé sur la visite officielle de deux jours de Vladimir Poutine en Inde pour discuter d'affaires, en particulier dans les domaines de l'énergie et de la défense. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
C dans l'air du 3 décembre 2025 - Poutine "prêt" à la guerre avec l'EuropeMoscou et Kiev se sont déclarés, ce mercredi, prêts à poursuivre les pourparlers sur un plan de paix, au lendemain d'une réunion entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff qui n'a débouché sur aucune percée. À l'issue d'une réunion de près de cinq heures au Kremlin, Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, a reconnu qu'« aucune solution de compromis [sur les territoires ukrainiens] n'a encore été choisie ». « Il reste encore beaucoup de travail », a-t-il prévenu, se contentant de qualifier la conversation d'« utile » et « constructive », au terme d'un mois d'intenses négociations.Steve Witkoff, critiqué pour sa gestion des négociations et accusé de complaisance envers son homologue russe après la révélation d'une conversation téléphonique avec Iouri Ouchakov par l'agence Bloomberg, s'est abstenu de tout commentaire. Depuis le Kremlin, l'émissaire de la Maison-Blanche, accompagné dans sa mission de Jared Kushner, gendre du président américain, s'est rendu à l'ambassade américaine à Moscou afin de s'entretenir avec Donald Trump sur une ligne téléphonique sécurisée.Quelques heures avant sa rencontre avec les Américains, Vladimir Poutine avait menacé les Européens, les accusant de chercher à « empêcher » les efforts de Washington pour mettre fin au conflit. « Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant », a-t-il lancé en marge d'un forum économique.De son côté, Volodymyr Zelensky a accusé Moscou d'utiliser les pourparlers actuels pour tenter « d'affaiblir les sanctions » visant Moscou. Le président ukrainien a aussi appelé à la fin de la guerre et non « seulement à une pause » dans les combats. Sur le terrain, l'Ukraine a par ailleurs fermement démenti la prise de la ville stratégique de Pokrovsk, annoncée la veille par la Russie, et a dénoncé « une manipulation » de la part du Kremlin.En Europe, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a présenté ce mercredi le plan de l'UE pour financer l'Ukraine sur deux ans et la « mettre en position de force » dans les négociations avec la Russie. Cette proposition prévoit deux options visant à couvrir les deux tiers des besoins de financement de l'Ukraine pour 2026 et 2027 : un emprunt ou une utilisation des avoirs russes gelés en Europe, dont l'essentiel se trouve en Belgique. La décision de recourir à un emprunt européen, qui nécessite l'unanimité des États membres, se heurte pour l'heure aux réticences de certains d'entre eux et à l'opposition radicale de la Hongrie. La Commission n'a pas caché qu'elle privilégiait, dans ces conditions, le recours aux avoirs russes gelés, mais doit encore convaincre la Belgique.Parallèlement, le Parlement européen a adopté la semaine dernière EDIP, le premier programme pour l'industrie européenne de la défense. Doté de 1,5 milliard d'euros, ce dispositif doit renforcer les capacités de l'Union européenne.Quels sont les contours et les ambitions d'EDIP ? Les rapporteurs du projet, François-Xavier Bellamy (PPE) et Raphaël Glucksmann (S&D), nous ont accordé une interview, à retrouver aujourd'hui dans #cdanslair.Nos experts :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Philippe GELIE - Directeur adjoint de la rédaction – Le Figaro- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream - Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House
C dans l'air du 3 décembre 2025 - Nos experts :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre - Philippe GELIE - Directeur adjoint de la rédaction – Le Figaro- Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express, auteure de Le piège Nord Stream - Samantha de BENDERN - Chercheuse en relations internationales - Chatam House
Alors que les émissaires américains ont rencontré Vladimir Poutine hier soir à Moscou, la mise en garde du président russe aux Européens ne va pas dans le sens de l'apaisement des tensions. Des déclarations qui font notamment suite aux propos maladroits de l'amiral italien Cavo Dragone. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Le président russe s'est montré particulièrement menaçant avec les Européens, juste avant de recevoir l'émissaire de Donald Trump au Kremlin. La Russie est prête à riposter militairement, même si Vladimir Poutine se défend de vouloir faire la guerre à l'Europe.
durée : 00:13:37 - L'invité d'un jour dans le monde - Steve Witkoff et Jared Kushner se déplacent à Moscou pour discuter du plan de paix avec Vladimir Poutine. Mais un accord du Kremlin semble incertain. On en parle avec Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique et conseiller géopolitique à l'institut Montaigne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Dans ce nouvel épisode, Vincent Gabriel et Simon Desplanque reçoivent Julian Alvarez, Professeur des Universités et président de Ludoscience, association dédiée à l'étude du jeu et du serious game. Ensemble, ils explorent les multiples liens entre géopolitique et jeux vidéo.Dans cette troisième partie, ils approfondissent la portée et les limites du jeux vidéo comme outil de soft power. Bonne écoute !Invité : Julian Alvarez. Son article est disponible ici.Le lien pour participer à l'enquête est ici.Avec Vincent Gabriel & Simon DesplanqueSuivez le podcast ! Il est désormais sur X/Twitter : @20MPC_podcast & LinkedIn ! Générique : Léopold Corbion (15 Years of Reflection)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 1er décembre 2025 - Zelensky fragilisé...Poutine et Trump prêts à signer?Encore une semaine cruciale pour l'Ukraine. Volodymyr Zelensky est reçu ce lundi à l'Élysée par Emmanuel Macron, afin d'échanger sur les négociations et le plan de paix proposé par Donald Trump. Cette nouvelle visite en France du président ukrainien, la dixième depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, intervient au lendemain de nouvelles discussions en Floride. Les Russes n'étaient pas autour de la table : il n'y avait que les Américains et les Ukrainiens, mais le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a jugé que ces pourparlers avaient été « productifs », même s'il a prévenu qu'« il restait encore du travail ». Une source proche de la délégation ukrainienne a confié de son côté à l'AFP que ces discussions n'étaient « pas faciles ».Cela n'a pas empêché le président américain d'afficher dimanche son optimisme à bord d'Air Force One. « Je pense que la Russie aimerait que cela se termine, et je pense que l'Ukraine… je sais que l'Ukraine aimerait que cela se termine », a déclaré Donald Trump.L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, qui a participé aux discussions en Floride, doit de nouveau se rendre à Moscou mardi pour discuter avec le président russe Vladimir Poutine. Ces échanges seront suivis de près par les Ukrainiens, les Européens et les Américains, tant l'envoyé spécial est considéré comme proche de Moscou depuis la divulgation d'un appel téléphonique avec un conseiller diplomatique russe par l'agence Bloomberg.Les Européens espèrent que l'administration de Donald Trump, qu'ils soupçonnent de « complaisance » vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifiera pas l'Ukraine, considérée comme un rempart face aux ambitions russes.De son côté, le président ukrainien – qui incarne depuis bientôt quatre ans la résistance ukrainienne à l'invasion russe – a dû se séparer en urgence de son chef de cabinet, Andriy Yermak, éclaboussé par un important scandale de corruption. Un timing qui ne pouvait pas être plus mauvais pour l'Ukraine, alors que dans le pays les attaques incessantes des drones et des missiles russes sur les villes se poursuivent et que sur la ligne de front l'armée russe gagne du terrain, kilomètre carré par kilomètre carré, même si l'armée ukrainienne réussit encore des coups d'éclat, comme l'attaque de deux pétroliers russes par des drones marins le week-end dernier.Nos experts :- Général Jean-Paul PERRUCHE - général de corps d'armée, ancien directeur général de l'état-major de l'Union européenne et ancien chef de la mission militaire auprès du commandement suprême allié de l'Otan en Europe- Alain BAUER - professeur émérite de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers, auteur de Conspiration au Vatican, publié aux Editions First- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang, publié aux éditions du Rocher- Patricia ALLEMONIERE - Grand reporter spécialiste des questions internationales
C dans l'air du 1er décembre 2025 - Zelensky fragilisé...Poutine et Trump prêts à signer?Nos experts :- Général Jean-Paul PERRUCHE - général de corps d'armée, ancien directeur général de l'état-major de l'Union européenne et ancien chef de la mission militaire auprès du commandement suprême allié de l'Otan en Europe- Alain BAUER - professeur émérite de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers, auteur de Conspiration au Vatican, publié aux Editions First- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang, publié aux éditions du Rocher- Patricia ALLEMONIERE - Grand reporter spécialiste des questions internationales
Là, Benoit trace la ligne! Continuez à mettre la pression sur vos supermarchés et refusez d’acheter de la viande halal, point final | Les agents de probation sonnent l’alarme | Un an depuis Santé Québec: les citoyens ne se sentent toujours pas mieux servis! | Les chiens ressemblent-ils à leurs maîtres? Dans cet épisode intégral du 1er décembre, en entrevue : Benoît Fontaine, président des Éleveurs de volailles du Québec. Guillaume Bouvrette, président du Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec. Pierre Blain, directeur général à Les Usagers de la santé du Québec. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les grandes manœuvres diplomatiques se poursuivent autour du plan de paix pour l'Ukraine. Les délégations américaines et ukrainiennes se sont rencontrées ce dimanche, en Floride. Ce lundi, l'envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, critiqué pour sa proximité avec les Russes, doit présenter à Vladimir Poutine un texte amendé. Texte qui sera très certainement rejeté par le maître du Kremlin. Et pendant ce temps, que fait l'Europe ? Elle marche sur des œufs. C'est ce que souligne le Monde à Paris : « le devoir diplomatique des Européens consiste à ne pas provoquer de rupture transatlantique, mais à tout faire pour tirer l'administration américaine par la manche, afin de la ramener vers des positions plus favorables à la victime de l'agression russe. » Les bras ballants Reste que les Européens sont « marginalisés », déplore le Figaro. « Donald Trump est le maître des horloges et Vladimir Poutine est le maître du feu, résume un diplomate européen. (…) Face à la nouvelle machine de guerre américano-russe, l'Europe reste les bras ballants. Après quatre ans de promesses non tenues vis-à-vis de Kiev, de lenteurs dans les livraisons d'armes, de frilosité et de mots en l'air, elle continue à hésiter et à se diviser, elle qui n'a jamais donné aux Ukrainiens les moyens de gagner la guerre. » Et le Figaro s'interroge : « les Européens consentiront-ils l'effort nécessaire, y compris en s'opposant aux Américains, pour éviter que les Ukrainiens ne soient acculés à une paix injuste qui récompense l'agresseur ? » Le Soir à Bruxelles ne prend pas de gants pour fustiger les atermoiements européens : « ridiculisés par les États-Unis de Trump, ignorés par la Russie de Poutine, les dirigeants européens, à tous les étages de l'édifice, sont devenus un bouchon dans l'océan du monde. Ils sont incapables de tenir leurs promesses à Zelensky et au peuple ukrainien et potentiellement, d'empêcher Poutine de poursuivre sa conquête, une fois la capitulation de l'Ukraine engrangée. Le Vieux Continent n'a en fait jamais aussi bien mérité son nom. (…) Son futur ?, s'interroge Le Soir. Dicté de l'extérieur par l'ogre chinois, le diable américain et le dictateur russe. Son présent ? Miné de l'intérieur par les sondages qui font de Bardella et de l'AfD, les prochains maîtres de la France et de l'Allemagne et les futurs alliés du couple Meloni-Orban. Comment arrêter cette descente aux enfers ? La réponse, urgente, fait aujourd'hui totalement défaut. » Des financements et des armes Pour le Guardian à Londres, l'Europe doit impérativement faire plus et mieux. « Après quatre années de résistance, de sacrifices et de souffrances, l'Ukraine ne doit pas céder à un démembrement cynique qui la rendrait durablement vulnérable à l'agression russe, mettrait en péril la sécurité future de l'Europe et inspirerait des régimes autoritaires à travers le monde. Il incombe à l'Europe, affirme le quotidien britannique, d'empêcher une telle situation. (…) En s'engageant à fournir à Kiev les ressources financières et militaires nécessaires pour résister à moyen terme, les dirigeants européens peuvent commencer à infléchir la dynamique des négociations actuelles. Que cette aide prenne la forme d'un “prêt de réparation“ garanti par des avoirs russes gelés, d'un financement du budget de l'UE ou d'un emprunt commun des États membres, il est urgent de trancher après des mois d'atermoiements. Il faut adresser un message clair à MM. Poutine et Trump, conclut le Guardian : l'Europe défendra résolument le droit de l'Ukraine à une paix juste. » Réformer les mécanismes de décision El Pais à Madrid renchérit : « Plus personne ne peut feindre l'ignorance. La dernière initiative de Trump concernant l'Ukraine a servi d'électrochoc. L'UE doit agir selon son propre plan. Et avec toute la célérité que permet la lenteur légendaire de Bruxelles, car il lui reste encore à débattre de la réforme de ses mécanismes de décision entre ses 27 États membres. La majorité ne peut se laisser systématiquement paralyser par le boycott de gouvernements illibéraux qui, dénonce El Pais, à l'instar de celui d'Orban, siègent un jour au Conseil et le lendemain au Kremlin. (…) Plus que des initiatives isolées, l'Europe a besoin de plans et d'actions coordonnées. Ce n'est qu'ainsi qu'elle pourra contrer l'expansionnisme de Poutine et faire comprendre à Trump qu'elle n'est pas un pion passif à la table des négociations. »
Manifestations syndicales: la CSQ ne veut pas se faire imposer des décisions de la CAQ et Jean Boulet garde le cap | Éric Duhaime en opération séduction pour les électeurs anglophones du Québec | Des Montréalais signent une lettre ouverte pour réclamer une meilleure gestion des finances | Revue et corrigée, c’est revu… jusqu’à la dernière minute! | Crise au PLQ: Pablo Rodriguez doit des remerciements au PLC… Dans cet épisode intégral du 1er décembre, en entrevue : Dany Prescott, propriétaire du garage PREDAS pneus mécaniques à St-Amable. Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Alexandre Brodeur, Résident de Ahuntsic-Cartierville. Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Pierre Brassard, acteur. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
C dans l'air du 29 novembre 2025 - Poutine, immigration, inflation: Trump en échec?Au-dessus de Donald Trump, le ciel s'assombrit. Mercredi à Washington, deux membres de la Garde nationale ont été blessés par balle lors d'une fusillade. Le président américain a annoncé le lendemain la mort de l'une des deux militaires suite à ses blessures. Le locataire de la Maison-Blanche a dénoncé un "acte de terreur". Mais loin de vouloir apaiser la situation, il a qualifié "d'animal" le tireur, et a ciblé son prédécesseur Joe Biden, l'accusant d'avoir fait entrer légalement cet individu, un ressortissant afghan. Il a également affirmé vouloir "suspendre définitivement l'immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde". Son administration a aussitôt interrompu toutes les décisions en matière d'asile et suspendu la délivrance de visas à toute personne voyageant avec un passeport afghan. Pas moins de 18 autres pays sont concernés par cette décision.Il s'agit du nouveau tour de vis d'une politique anti-immigration déjà très sévère et contestée, particulièrement dans les grandes métropoles du pays. Dans ces villes, les agissements violents de l'ICE, une agence de police fédérale utilisée par Donald Trump pour faire la chasse aux migrants, ont choqué. Ces municipalités, principalement démocrates, ont décidé de se défendre en passant par la justice.Sur la scène internationale, la révélation par l'agence Bloomberg des conversations secrètes sur le plan de paix en Ukraine a fait l'effet d'une bombe. La proximité manifeste entre l'envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, et Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine a choqué. Il apparait plus que jamais que ce plan de paix a été écrit sous la dictée de Moscou. Cela interroge sur les liens entre le locataire de la Maison-Blanche et la Russie. Qualifiée depuis des années de "liaison dangereuse" par les détracteurs de Trump, cette relation n'a jamais laissé fuiter de preuve accablante pour le président américain. Il est cependant régulièrement accusé de collusion, soit avec les renseignements russes, soit avec le pouvoir politique du Kremlin. Et malgré l'absence de preuve, Donald Trump ne parvient pas à se défaire de ces nombreuses suspicions.Il ne parvient pas non plus à se débarrasser des problèmes économiques du pays. Son pari contre l'inflation est pour l'heure perdant. Lors de la dernière campagne présidentielle, ses promesses sur le sujet lui avaient permis de remporter l'adhésion de la majorité de la population. Mais aujourd'hui, les Américains déchantent. En dépit des discours, ils continuent de voir les prix augmenter. Le niveau d'inflation, à 3% en septembre, devient un véritable sujet de préoccupation politique pour la Maison-Blanche et pour Donald Trump, de plus en plus contesté.La justice pourra-t-elle mettre un coup de frein à la politique anti-immigration de Donald Trump ?La crédibilité de Donald Trump sur la scène internationale est-elle affectée par les révélations de Bloomberg ?Le président américain peut-il perdre l'adhésion des classes populaires, dont le pouvoir d'achat est miné par l'inflation ?Nos experts :- Anthony Bellanger – Éditorialiste, France Info TV – Spécialiste des questions internationales- Nicole Bacharan – Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Requiem pour un monde libre- Corentin Sellin – Historien, spécialiste des États-Unis – Chroniqueur - Les Jours- Marjorie Paillon – Journaliste, spécialiste de la politique américaine- Olivier Piton – Avocat aux barreaux de Paris et de Washington DC (En visio depuis Washington)
C dans l'air l'invité du 29 novembre 2025 Bernard Guetta, député européen Renew Europe.Une équipe de négociateurs ukrainiens est partie samedi pour les Etats-Unis afin de discuter du plan américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine, a annoncé le président Volodymyr Zelensky. Présenté la semaine dernière, le plan de paix américain a été perçu comme largement favorable aux demandes du Kremlin. Ce texte a été amendé le week-end dernier après des consultations avec les Ukrainiens et doit désormais être présenté à Moscou. "Si les troupes ukrainiennes quittent les territoires occupés (par l'Ukraine selon lui, NDLR), nous cesserons les hostilités. Si elles ne partent pas, nous les chasserons par la force militaire", a déclaré jeudi Vladimir Poutine lors d'une conférence de presse à Bichkek, au Kirghizistan.Sur le front, des attaques de drones navals ont fortement endommagé samedi une infrastructure pétrolière dans un port russe en mer Noire, ont annoncé les autorités, tandis que Kiev a revendiqué des frappes contre deux pétroliers de la flotte fantôme qui permet au Kremlin de contourner les sanctions occidentales. Ces attaques interviennent alors que l'Ukraine fait face à une forte pression sur le front militaire et politique: l'armée russe progresse dans l'est du pays, tandis que l'administration de Volodymyr Zelensky est secouée par un grave scandale de corruption qui a poussé le président ukrainien à limoger vendredi son chef de cabinet, Andriï Iermak, bras droit extrêmement influent. Parallèlement, de nouvelles frappes russes sur l'Ukraine, dans la nuit de vendredi à samedi, ont fait au moins trois morts.Bernard Guetta, député européen Renew, est notre invité. Il analysera avec nous la situation de l'Ukraine, après la présentation du plan de paix américain, et la démission du bras droit de Volodymyr Zelensky, dans le cadre d'un scandale de corruption. Il nous dira aussi quel doit être le rôle de l'Europe auprès de l'Ukraine, lui qui appelle à un "G5 européen", face aux impérialismes russe et américain.
C dans l'air du 29 novembre 2025 - Poutine, immigration, inflation: Trump en échec?Nos experts :- Anthony Bellanger – Éditorialiste, France Info TV – Spécialiste des questions internationales- Nicole Bacharan – Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Requiem pour un monde libre- Corentin Sellin – Historien, spécialiste des États-Unis – Chroniqueur - Les Jours- Marjorie Paillon – Journaliste, spécialiste de la politique américaine- Olivier Piton – Avocat aux barreaux de Paris et de Washington DC (En visio depuis Washington)
C dans l'air du 28 novembre 2025 - Nos experts :- VINCENT HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de L'Ukraine se lève - MARYSE BURGOT - Grand reporter – France Télévisions- ALAIN PIROT - Journaliste, spécialiste des questions de défense
C dans l'air du 28 novembre 2025 - Plan de paix : Poutine a-t-il déjà gagné ? Encore une nuit de frappes sur l'Ukraine. Missiles et drones ne laissent que peu de répit aux habitants, alors que les discussions autour du plan de paix américain pour mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie se poursuivent. Jeudi, Vladimir Poutine a déclaré que les grandes lignes de ce plan pourraient servir de base à de « futurs accords » visant à mettre fin au conflit, tout en excluant de signer un document avec les autorités de Kiev, qu'il juge toujours « illégitimes ». Inflexible sur le fond, le président russe a réaffirmé que Moscou mettra fin à son offensive que si les forces ukrainiennes « se retirent des territoires qu'elles occupent » − sans préciser lesquels. « Dans le cas contraire, nous atteindrons nos objectifs militaires », a-t-il menacé.La cession par Kiev à Moscou des régions de Donetsk et de Lougansk figurait dans le plan originel en 28 points présenté la semaine dernière par les États-Unis, plan qui a été perçu par beaucoup à Kiev, en Europe mais aussi outre-Atlantique, comme une capitulation. Le texte a depuis été remanié après des consultations avec l'Ukraine et les Européens. Mais aux États-Unis, le débat sur l'origine réelle de ce plan se poursuit et a mis le feu au Parti républicain, depuis la révélation par le média Bloomberg de conversations entre Steve Witkoff et des proches de Vladimir Poutine, dans lesquelles l'envoyé spécial de Donald Trump apparaît aligné sur la posture russe.Sur le continent, les dirigeants de l'Union européenne tentent de se dresser unis contre la Russie et défendent un plan de paix respectueux de la souveraineté ukrainienne. Pour autant, le Premier ministre hongrois détonne. Viktor Orbán a promis, lors d'une rencontre avec le président Vladimir Poutine ce vendredi au Kremlin, de poursuivre les importations d'hydrocarbures russes dont son pays continue de dépendre. Le président russe, de son côté, s'est dit « très heureux » de la poursuite des relations entre les deux pays, basées selon lui sur le « pragmatisme ».Parallèlement, les autorités anticorruption ukrainiennes ont mené ce vendredi des perquisitions au domicile d'Andriy Iermak, chef de cabinet du président Zelensky. Une nouvelle qui fragilise le président ukrainien, à un moment où il poursuit sa quête d'appuis financiers et militaires en Europe, et alors que Kiev mène des pourparlers très difficiles sur le plan de paix. Andriy Iermak est le négociateur clé dans ce processus.Que contient le plan de paix en discussion ? Que sait-on des perquisitions en cours et de l'affaire de corruption qui secoue l'Ukraine depuis des mois ? Enfin, comment les pays baltes se préparent-ils face à la menace russe ? Nos journalistes se sont rendus à la frontière entre la Lituanie et la Russie.Nos experts :- VINCENT HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de L'Ukraine se lève - MARYSE BURGOT - Grand reporter – France Télévisions- ALAIN PIROT - Journaliste, spécialiste des questions de défense
L'actualité qui a retenu l'attention de La Loupe de la semaine, c'est le plan de paix pour l'Ukraine présenté par Donald Trump. A la consternation générale, et notamment en Europe, l'administration américaine a négocié en secret avec la Russie. La plupart des 28 points allaient à l'encontre des intérêts ukrainiens mais aussi européens. Sous le choc, les alliés de Kiev se sont réunis en urgence pour faire des contre-propositions. Mais au-delà de la fin de la guerre en Ukraine, c'est un moment crucial pour l'Europe, l'heure de faire ses preuves face à Donald Trump et Vladimir Poutine, comme nous l'explique Luc de Barochez, éditorialiste et spécialiste des questions internationales à L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules KrotRédaction en chef : Thibauld MathieuCrédits : Times News Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
60 ans d’histoire de restauration montréalaise | Le Canada est-il vraiment en train de reculer en matière d’environnement | Encore une mauvaise semaine du PLQ | Le Vérificateur général du Québec juge le plan de retour à l’équilibre budgétaire du gouvernement Legault incomplet | Trump ordonne le réexamen des cartes vertes d’immigrants en provenance de 19 pays | Crise au PLQ: l’UPAC s’en mêle | Mike Matheson signe une prolongation de contrat de 5 ans et 6 M$ en moyenne Dans cet épisode intégral du 28 novembre, en entrevue : Olivier Kemeid, auteur et metteur en scène, scénariste de l’exposition « Au menu ». Caroline Brouillette, directrice générale de Réseau Action Climat Canada Mathieu Galarneau, porte-parole de l’Unité permanente anticorruption (UPAC). Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
« J'ai peur qu'un jour on ne puisse plus dire “ceci est un mensonge”. C'est pourquoi je défendrai l'Europe chaque fois qu'on la menace. » Voilà ce qu'écrit Barbara Cassin. La philosophe et philologue décode comment, avec le vocabulaire et la grammaire, Donald Trump et Vladimir Poutine façonnent un monde qui correspond à leurs désirs. Leur novlangue leur permet de réécrire l'histoire et de dessiner les contours de l'avenir. Dans ce contexte, comment l'Europe peut-elle réagir ? Pour Barbara Cassin, « la culture est, doit être, résistance et antidote ». Elle signe La guerre des mots. Trump, Poutine et l'Europe (Flammarion) et elle est notre invitée, cette semaine. Après trois jours de grève nationale en Belgique, le journaliste et prof de philo Simon Brunfaut relit Albert Camus et interroge le sens de la révolte. C'est à retrouver dans son billet « À quoi tu penses ? ». Enfin, dans « En toutes lettres ! », la journaliste et écrivaine Juliette Goudot s'adresse au « backlash ». Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Projet de loi sur la laïcité : l’opposition se prononce | Syndicats vs gouvernement: Mélanie Hubert se prononce | Vendredi fou : gare aux fausses aubaines! | Des citoyens de Laval reçoivent des dizaines de contraventions pour avoir suivi les instructions de l’école de leur quartier | Ludovick Bourgeois s’ouvre sur le deuil de son père Dans cet épisode intégral du 28 novembre, en entrevue : André A. Morin, porte-parole de l’opposition officielle en matière de laïcité. Mélanie Hubert, présidente de la Fédération autonome de l’Enseignement (FAE). Julien Gandelin, fondateur et rédacteur en Chef de achetezlemeilleur. Leyna Sahl, citoyenne de Laval. Ludovick Bourgeois, chanteur. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A la Une de la presse ce jeudi 27 novembre, la conversation entre Steve Witkoff, l'émissaire spécial de Donald Trump et un conseiller de Vladimir Poutine, suscite la controverse et est dénoncé de Kiev à Washington. Le Liban se prépare à toutes les éventualités après les menaces du ministre israélien de la Défense. Et la victoire du Paris Saint-Germain hier face à Tottenham en Ligue des champions.
Campbell dans la soupe chaude : la marque va en payer le prix | Surdoses : deux parents endeuillés aidés par le Parti québécois déposent une pétition à l’Assemblée nationale | Les anglophones du Québec se sentent «aliénés» | Un Québécois ira participer au Championnat mondial de Microsoft Excel | Le bruit urbain, est-ce que ça gâche votre vie? Dans cet épisode intégral du 27 novembre, en entrevue : Éric Blais, président de Headspace Marketing. Christian Boivin, père de Mathis, et Phoudsady Vanny, mère de Nikian. Sylvia Martin-Laforge, directrice générale de TALQ – Talking, Advocating, Living in Québec. Vincent Morin, participant au Championnat mondial de Microsoft Excel et analyste d’affaires en planification et analyse financière chez Harnois Énergies, à Joliette. Il est titulaire d’un baccalauréat en marketing. Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
À quel âge un enfant doit-il quitter le nid familial? | Et si vous étiez Sherlock Holmes? | Crise au PLQ | Mark Carney en conflit d’intérêt? | Le gouvernement doit en faire plus pour les entreprises d’ici | Les voitures connectées nous volent-elles nos données? Dans cet épisode intégral du 27 novembre, en entrevue : Luc Berthold, député conservateur dans Mégantic-L’Érable-Lotbinière. Maxime Dorais, codirecteur général de l’Union des consommateurs. Christine Dufresne, directrice des expositions au Musée Pointe-à-Callière Une production QUB Novembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 26 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel poids pour la France et l'Europe dans les négociations de paix entre la Russie, les États-Unis et l'Ukraine ? L'Europe, dernier rempart face à Poutine ? Quelles sont les menaces qui pèsent sur la France ? Comment y faire face ? Écoutez Emmanuel Macron, invité de RTL Matin avec Thomas Despré du 25 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:56 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Mercredi 19 novembre 2025, un plan de paix américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été révélé. Ce projet, défendu par Donald Trump et négocié avec l'entourage diplomatique de Poutine, a conduit à de fortes tensions avec les Européens qui défendent une autre approche. - invités : Vera Grantseva Politiste Enseignante à Sciences Po Paris; Isabelle Lasserre Journaliste française
durée : 00:38:56 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Mercredi 19 novembre 2025, un plan de paix américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été révélé. Ce projet, défendu par Donald Trump et négocié avec l'entourage diplomatique de Poutine, a conduit à de fortes tensions avec les Européens qui défendent une autre approche. - invités : Vera Grantseva Politiste Enseignante à Sciences Po Paris; Isabelle Lasserre Journaliste française
En 1945, à Nuremberg, de hauts responsables nazis étaient jugés pour crime de guerre et crime contre l'humanité… 80 ans après ce procès historique, comment s'inspirer de ce tribunal fondateur de la justice internationale pour en finir avec l'impunité dans les conflits armés en Ukraine, à Gaza ou encore en RDC ? Le 20 novembre 1945 s'ouvrait à Nuremberg, en Allemagne, le plus grand procès de l'histoire. D'un commun accord, la France, les États-Unis, l'Union soviétique et le Royaume-Uni affirmaient leur volonté de juger vingt-deux dignitaires nazis, chefs militaires ou hauts fonctionnaires, tous accusés de crimes de guerre ou de crimes contre l'humanité. Mais pourquoi invoquer Nuremberg lorsque l'on réclame la fin de l'impunité ? Le président ukrainien Volodymyr Zelensky l'a fait pour son pays l'Ukraine en interpellant le peuple russe dès le 4 avril 2022, suite à l'invasion russe du 24 Février : « Le moment viendra où chaque Russe apprendra toute la vérité sur ceux de ses concitoyens qui ont tué. Qui a donné des ordres. Qui a fermé les yeux sur ces meurtres. Nous allons établir tout cela. Et le faire connaitre dans le monde entier. Nous sommes maintenant en 2022. Et nous avons beaucoup plus d'outils que ceux qui ont poursuivi les nazis après la Seconde Guerre mondiale. » Et le docteur Mukwege, prix Nobel de la paix a explicitement fait référence à Nuremberg, en octobre 2024, lors d'un passage à l'Université de Strasbourg en France : « Les Congolaises et les Congolais ont aussi droit à leur Nuremberg. Telle est la raison pour laquelle nous plaidons aux côtés des victimes et des survivant.es pour l'établissement d'un Tribunal international pénal pour le Congo et/ou des chambres spécialisées mixtes. » Un Nuremberg pour l'Ukraine, Gaza ou la RDC est-il possible ? Une enquête signée Clémentine Méténier avec William Schabbas, professeur de droit pénal international et des droits de l'homme à Londres, Université de Middlesex, Leyden et Sciences Po ; Christian Delage, historien et cinéaste, réalisateur du film historique «Nuremberg, les nazis face à leur crime» ; Thierry Cruvellier, rédacteur en chef du site Justice Info ; Rafaëlle, professeure de droit international à l'Université Paris Saclay et travaille sur la justice pénale internationale, précisément sur la notion de génocide. Reagan Miviri, avocat au Barreau de Goma dans le Nord-Kivu, il travaille au sein de Ebuteli l'Institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence. À lire sur le site Justice Info Le grand entretien de Clémentine Méténier avec l'historien et cinéaste Christian Delage. À suivre au Mémorial de la Shoah à Paris la journée d'étude Nuremberg et son héritage, 1945-2025. Le 20 novembre 2025 marque le 80è anniversaire de l'ouverture, à Nuremberg, du procès des grands criminels nazis, où, pour la première fois, des responsables politiques et militaires de haut niveau – accusés des crimes de conspiracy (complot), crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité – étaient traduits devant une cour internationale, composée des principales forces alliées victorieuses de l'Allemagne nazie. Pour le procureur général Robert H. Jackson, il s'agissait de construire un «procès documentaire», où, en raison des crimes considérables commis par les nazis, notamment leur politique d'extermination des Juifs d'Europe, il était nécessaire de faire reposer l'accusation sur des preuves irréfutables, pour éviter qu'à l'avenir leur réalité fasse l'objet d'une négation. Contre toute attente, les images allaient jouer un rôle majeur pour confronter les nazis à leurs propres crimes. La journée de colloque s'interrogera sur l'héritage des «principes de Nuremberg» depuis les années 1990, grâce au développement d'une justice internationale fondée sur des tribunaux ad hoc (du Rwanda à la Centrafrique) et des cours permanentes (Cour pénale internationale, Cour internationale de justice), appelées à statuer en particulier sur le risque potentiel ou la commission de génocides. Or, la collecte de preuves qui s'inspire de la jurisprudence de Nuremberg est forte des nouveaux outils mis en place par les autorités judiciaires, en collaboration avec des ONG et des applications en open source qui en garantissent la fiabilité. Pour la première fois dans l'histoire, en Europe comme au Proche-Orient, la fabrique du dossier probatoire se déroule en co‑construction avec la société civile, en flux tendu et en temps réel. 11h - LE CHOIX DU PROCÈS DOCUMENTAIRE La construction de la preuve, de Nuremberg à Kiyv, 1945-2025 de Christian Delage, historien, Institut d'histoire du temps présent De Nuremberg au TPIY : la jurisprudence de l'image comme preuve pénale de Ninon Maillard, maîtresse de conférences à Paris Nanterre Modération : Ghislaine Glasson Deschaumes, directrice de la MSH Mondes, Paris Nanterre. 14h - LA CONSOLIDATION D'UNE JUSTICE PÉRENNE Tribunaux pénaux internationaux, tribunaux mixtes, Cour pénale internationale : du Rwanda à la Centrafrique, des instances judiciaires multiples de Joël Hubrecht, responsable d'études et de recherche à l'Institut Robert Badinter. Le rôle de la Cour internationale de justice dans les conflits contemporains de Jean-Louis Iten, professeur de Droit international, et Sharon Weill, professeur de Droit international, American University, Paris. Modération : Emanuela Fronza, professeure de Droit pénal international à l'Université de Bologne. 16h - LE RÔLE DES ONG Mémorial face à la réécriture de l'histoire par Poutine de Nicolas Werth, directeur de recherche honoraire au CNRS, président de l'Association Mémorial. Prendre davantage en compte les violences sexuelles en temps de guerre de Yuliia Chystiakova, chercheuse en droits humains, East Ukrainian Center for Civic Initiatives. Modération : Henry Rousso, directeur de recherche émérite au CNRS (IHTP).
durée : 00:12:50 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Figure de l'extrême droite russe, voix rare dans les médias occidentaux, Alexandre Douguine multiplie pourtant les apparitions dans les médias pro-Trump pour diffuser sa vision d'une Russie messianique et antimoderne. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Frédéric Martel Journaliste, Producteur de l'émission "Soft power" sur France Culture.
durée : 00:31:38 - Bistroscopie - par : Charline Vanhoenacker - La juriste italienne Francesca Albanese, Rapporteuse spéciale de l'ONU sur les droits humains dans les Territoires palestiniens occupés, évoque son parcours et les sanctions américaines dont elle fait l'objet depuis qu'elle a enquêté sur des entreprises impliquées dans les colonies israéliennes. - invités : Francesca Albanese - Francesca Albanese : rapporteuse spéciale de l'ONU sur les droits humains dans les territoires palestiniens occupés. - réalisé par : François AUDOIN Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:41 - Concordance des temps - par : Jean-Noël Jeanneney - Du tsarisme à Poutine, un même despotisme impérial russe se réinvente sans se renier. Sabine Dullin montre comment, sous couvert d'une défense existentielle du pays, ce pouvoir autoritaire s'est perpétué depuis des siècles, de l'autocratie au communisme, jusqu'à la “verticale du pouvoir” actuelle. - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Sabine Dullin Historienne de la Russie, professeure en histoire contemporaine à Sciences Po Paris
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1. - Présentation : Virginie Girod - Production : Nathan Laporte et Caroline Garnier - Réalisation : Clément Ibrahim - Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte et Clara Ménard - Visuel : Sidonie Mangin Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Allison Raskin has a pretty diverse array of interests. She's a former Buzzfeed video creator, co-host of the podcast Just Between Us, and the author of numerous best-selling books, including Please Send Help, Overthinking About You, and the new Save the Date. How does she unwind from this busy life? By being obsessed with Inspector Gamache, the Quebecois crime solver found in novels by Louise Penny and on television, played by Alfred Molina. Join us for a meandering conversation about Gamache's brilliance, maple taffy, and the Quebec lunchtime experience of the “trio”, where you get a half sandwich, a cup of soup, AND a small salad. You don't have to choose in Quebec. You can have it all. Drift off to sleep with that happy contented thought in your head.Get your copy of Allison Raskin's novel Save the Date wherever books are sold. Follow Allison's mental health account @emotionalsupportlady on Instagram. To find out more about Allison or to subscribe to Allison's Substack, visit her website, www.AllisonRaskin.com.Hey Sleepy Heads, is there anyone whose voice you'd like to drift off to, or do you have suggestions on things we could do to aid your slumber?Email us at: sleepwithcelebs@maximumfun.org.Follow the Show on:Instagram @sleepwcelebsBluesky @sleepwithcelebsTikTok @SleepWithCelebsJohn is on Bluesky @JohnMoeJohn's acclaimed, best-selling memoir, The Hilarious World of Depression, is now available in paperback._________________________________________________________________________Join | Maximum FunIf you like one or more shows on MaxFun, and you value independent artists being able to do their thing, you're the perfect person to become a MaxFun monthly member.
La Chine s'inquiète : les berceaux se vident, les cheveux grisonnent Poutine, le maître du ciel et de la peur Le triomphe de Marine Le Pen à l'Assemblée nationale Paris 2026 : le parti d'Emmanuel Macron choisit Pierre-Yves Bournazel pour les municipales La Fondation Cartier, nouveau joyau du Palais Royal
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durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump a ordonné la reprise des tests des armes nucléaires, tandis que Vladimir Poutine vante les mérites de ses missiles et drones sous-marins à capacité nucléaire. Pourquoi cette agitation autour de l'arme nucléaire ? Il s'agit d'abord d'une arme psychologique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.