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Selon François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, « la BCE a encore une marge progressive de baisse des taux d'intérêt ». Jusqu'où pourra-t-elle aller ? Cette nouvelle baisse peut-elle vraiment contrecarrer le ralentissement économique en Zone euro ? Réponse avec Christian Parisot, économiste et conseiller auprès d'Aurel BGC. Ecorama du 29 avril 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 28 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au lendemain de la réunion de politique monétaire de la BCE, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, était l'invité exclusif de l'émission Ecorama du 18 avril 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 11 avril 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.L'ÉTAT DU COMMERCE INTERNATIONALDonald Trump a lancé le 2 avril une charge commerciale massive sous la forme d'une augmentation des droits de douane si lourde qu'elle sonne comme une déclaration de guerre commerciale contre des concurrents, mais aussi contre des alliés traditionnels de Washington. Le président américain a annoncé 46% de hausse pour le Vietnam, 34% pour la Chine, 24% pour le Japon, 20% pour l'Union européenne, mais aussi 50% pour le Lesotho, 47% pour Madagascar, 37% pour le Botswana et rien pour la Russie, la Corée du Nord, la Biélorussie … Tandis que l'Union européenne se préparait à négocier, Pékin a riposté vite et fort, les tarifs douaniers sur les importations américaines passantde 34% à 84%. Bloomberg décrivait alors l'escalade en cours entre la Chine et les Etats-Unis - qui représentent 40% de l'économie mondiale à eux deux - comme une « guerre nucléaire commerciale"».Coup de théâtre mercredi soir : Donald Trump a annoncé la suspension des droits de douane pour 90 jours, laissant cependant un taux minimum uniforme de 10%. Une pause qui ne s'applique pas à la Chine taxée à 125%, ennemie principale des Etats-Unis qui a osé répliquer à Washington. Donald Trump justifie la pause « par la volonté de plus de 75 pays de négocier. »Concrètement, durant cette période, qui a pris effet « immédiatement » après son annonce, l'ensemble des pays du globe sont désormais soumis à des droits de douane ajustés à 10%.Selon l'Insee, le commerce mondial devrait reculer de 4 points. En Europe, l'Allemagne ou l'Italie, dont 10% des exportations vont vers les États-Unis (respectivement 3,3 et 4,2% de leur PIB), devraient être plus touchées que la France et l'Espagne (moins de 7,5% de leurs exportations et moins de 2% du PIB). Mais, rappelle l'ancien commissaire européen au Commerce et ex-directeur général de l'Organisation mondiale du commerce - OMC, Pascal Lamy « les Etats-Unis représentent 13% des importations mondiales, donc 87% du commerce international n'a aucune raison de se laisser contaminer par cette folie »Visée depuis mi-mars par des droits de douane américains de 25% sur l'acier et l'aluminium, l'Union européenne, après que le président américain a fait machine arrière, a suspendu pour 90 jours les mesures de rétorsion approuvées par les États membre et qui prévoient une hausse de 25% sur l'acier et l'aluminium, les amandes, le jus d'orange, la volaille, le soja, le tabac et les yachts… Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau asalué un « début de retour à la raison économique », alors que la Bourse de New York s'est envolée à l'annonce de cette pause. Toutefois, l'incertitude et la confusion se répandent dans les cercles industriels et chez les distributeurs américains comme européens, tandis que les marchés ne savent plus à quel saint se vouer.LA TURQUIE À L'HEURE DES RÉGIMES AUTORITAIRESAu pouvoir depuis 22 ans, le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, a fait incarcérer le 23 mars, une des rares personnes qui étaient en mesure de le battre dans les urnes : le social-démocrate et atatürkiste revendiqué Ekrem Imamoglu, maire d'Istanbul depuis 2019, qui devait être, le même jour, désigné comme candidat à la prochaine présidentielle du Parti républicain du peuple. En l'attaquant avec l'arme la plus redoutable dont il dispose − la justice −, sous couvert de multiples accusations, dont celle de « corruption », et en réprimant les imposantes manifestations de protestation organisées dans tout le pays, l'homme fort de la Turquie achève ce qu'il a commencé il y a une bonne dizaine d'années : le détricotage systématique de l'État de droit et des contre-pouvoirs. Cette régression de la démocratie a été marquée dès 2013 par la répression des manifestations anti-Erdoğan du parc de Gezi à Taksim, suivie d'une dérive autoritaire. Puis, deux ans plus tard, par la fin brutale et sanglante des négociations de paix avec les Kurdes et l'incarcération d'élus et de figures politiques comme le populaire Selahattin Demirtaş. S'y sont ajoutées aussi les répercussions du coup d'Etat raté de 2016 et les purges gigantesques au sein des institutions publiques des membres de la confrérie du prédicateur Fethullah Gülen ; avec qui le président s'était pourtant allié pendant des décennies. Il y a eu ensuite l'adoption de lois liberticides, la destitution de maires et les arrestations de plus en plus nombreuses d'intellectuels, d'artistes, de journalistes de gauche ou proches de l'opposition libérale. De tout temps, le chef de l'État est apparu prêt à faire un pas de plus pour garder le pouvoir. Jamais, toutefois, il n'était allé aussi loin qu'aujourd'hui.Dans la foulée de l'arrestation du maire d'Istanbul, la livre turque a plongé à son niveau le plus bas face au billet vert et l'indice de la Bourse d'Istanbul a chuté de près de 7%, déclenchant une suspension temporaire. Le Quai d'Orsay a fait part de sa « profonde préoccupation » tandis que Berlin a dénoncé « un grave revers pour la démocratie ». L'autoritarisme croissant d'Erdoğan embarrasse particulièrement les Européens au moment où la Turquie, de par sa puissance militaire, se pose en alliée incontournable pour renforcer le pilier européen de l'OTAN, face au rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Située à la croisée de l'Europe, de l'Asie et du Moyen-Orient, et point de passage stratégique vers la mer Noire (via le détroit du Bosphore), elle se sait indispensable sur de nombreux dossiers : la guerre en Ukraine, où Ankara a su dès le début ménager à la fois Kyiv, en lui livrant des drones, et Moscou, en contournant les sanctions ; la Syrie de l'après-Bachar, où elle entend user de son influence auprès des nouvelles autorités. Sans oublier son industrie d'armement en plein boom, à laquelle s'intéressent déjà certaines capitales européennes pour contrer l'expansionnisme de Poutine. De quoi faire dire au secrétaire général de l'OTAN qu'il serait temps que Bruxelles et Ankara coopèrent plus étroitement sur la question sécuritaire.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:20 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, était l'invité de Sonia Devillers ce jeudi, après l'annonce de la suspension des nouveaux droits de douane imposés par Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis. - invités : François VILLEROY DE GALHAU - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France
durée : 02:58:27 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la matinale du jeudi 10 avril 2025 sont François Villeroy de Galhau / Yaël Braun-Pivet / Muriel Pénicaud x Philippe Martinez / Laurent Garnier / Geneviève Rapjeu
durée : 00:09:20 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, était l'invité de Sonia Devillers ce jeudi, après l'annonce de la suspension des nouveaux droits de douane imposés par Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis. - invités : François VILLEROY DE GALHAU - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France
L'émission 28 minutes du 22/03/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : la journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po, Aysegul Sert ; le directeur adjoint de la rédaction de la revue “Causeur”, Jeremy Stubbs ; la correspondante de la télévision publique polonaise TVP, Anna Kowalska et le dessinateur de presse, Nicolas Vadot. Hausse des dépenses militaires : “qui va payer à la fin ?” Nouvelle rencontre au sommet. Dans un contexte de basculement de l'ordre mondial, les dirigeants européens se sont retrouvés le 20 mars à Bruxelles afin d'aborder la question du réarmement de l'Europe ainsi que des investissements nécessaires. Le ministre de l'Économie français, Éric Lombard, a annoncé qu'une somme de 5 milliards d'euros, provenant des secteurs publics et privés, serait investie dans des entreprises d'armement telles que Dassault, Safran, Thales, pour que celles-ci développent leur production. Conjointement, les citoyens français pourront aussi investir dans ce secteur à partir de 500 euros au travers un “produit d'épargne”. Alors que le gouvernement prévoit de doubler le budget de la défense d'ici les prochaines années, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a averti : “Il ne peut pas y avoir de nouveau ‘quoi qu'il en coûte' […] Qui va payer à la fin ? Et la réponse est malheureusement claire, c'est forcément de la dépense publique.”Emmanuel Macron est-il l'opposant numéro 1 à Vladimir Poutine en Europe ? Volodymyr Zelensky est attendu en France dans les prochains jours pour une série de rencontres dont une avec Emmanuel Macron. Au cœur de la discussion entre les deux dirigeants, qui entretiennent une communication quotidienne, l'épineux dossier de la guerre. Depuis plusieurs semaines, le président français a durci son discours envers la Russie qualifiant Vladimir Poutine d'“impérialiste révisionniste de l'Histoire”, après que ce dernier l'ait comparé à Napoléon. Ce changement d'attitude intervient après nombre de critiques concernant son approche trop conciliatrice avec le Kremlin il y a deux ans de cela, lorsqu'il préconisait de “parler à tout le monde”. Aujourd'hui, Emmanuel Macron affirme sans relâche que la France et l'Europe se tiennent et seront “toujours du côté de l'Ukraine”.Nous recevons la journaliste et autrice, Charlotte Dekoker. Dans “Tout sauf charmants ? Un nouveau regard sur les contes de fées” (éditions Mango), elle revisite dix contes classiques et y appose une lecture contemporaine, mettant en lumière des enjeux de notre société moderne. À travers une relecture à la fois humoristique et critique, elle dévoile comment ces histoires reflètent nos valeurs et perceptions sociétales d'aujourd'hui.Valérie Brochard rend visite à nos voisins transalpins où une grande première mondiale dans la presse vient d'avoir lieu : le journal italien “Il Foglio” publie un supplément entièrement réalisé par l'intelligence artificielle. Olivier Boucreux décerne le titre d'employée de la semaine à Pamela Anderson. L'actrice phare d'“Alerte à Malibu” se détache de son image sulfureuse, en prenant un rôle majeur dans “The Last Showgirl” de Gia Coppola. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé turque où d'importantes manifestations ont éclaté dans la capitale. Ekrem Imamoglu, maire d'Istanbul et principal opposant à Recep Tayyip Erdogan, a été arrêté cette semaine, accusé par le régime de “soutien à une organisation terroriste”. Les réactions des habitants ne se sont pas faites attendre.Paola Puerari s'intéresse à ce que devient l'amour chez la génération Z pour qui la frontière entre l'amitié et l'amour est de plus en plus floueEnfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : Le monde (des humains) est-il moins coloré qu'autrefois ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 22 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 20 mars 2025 - Prêts à financer la défense ?Face au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. Après avoir validé le plan d'investissements "ReArm Europe" au début du mois, les Vingt-Sept se réunissent de nouveau ce jeudi pour examiner les orientations du Livre blanc sur la défense, présenté par la Commission européenne. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé par Ursula von der Leyen il y a deux semaines, avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour réarmer l'Europe d'ici 2030 ainsi que des propositions pour aider les États à augmenter leurs dépenses militaires et renforcer l'industrie de défense. Mais des divergences persistent quant au financement de ce plan.En France, le chef de l'Etat a promis mardi d'augmenter les commandes de Rafale ainsi que "d'importantes décisions pour nos armées" dans les "prochaines semaines", dans le cadre de nouveaux investissements décidés en raison de la "bascule" géopolitique. En quelques semaines, la défense est devenue la priorité du gouvernement. Son budget, de plus de 50 milliards d'euros en 2025, devrait doubler d'ici 2030 pour se rapprocher de 100 milliards d'euros, selon le ministre de la Défense. Mais comment financer le réarmement de la France ? A-t-on les moyens de nos ambitions ? Alors qu'investisseurs et entreprises sont réunis ce jeudi au ministère de l'Economie pour réfléchir à une montée en cadence, dans le contexte de la guerre en Ukraine, Eric Lombard a annoncé ce jeudi la création d'un fonds de 450 millions d'euros dans lequel les Français pourront investir pour financer le secteur de la défense. "Il ne peut pas y avoir de nouveau 'quoi qu'il en coûte'" a prévenu de son côté le gouverneur de la Banque de France. La réunion de ce jeudi répond à "une première question 'Qui va prêter au début aux industries de défense ?'""Mais la question plus difficile qui viendra ensuite, qui est plus difficile, c'est : 'Qui va payer à la fin ?'", a poursuivi François Villeroy de Galhau.Si l'exécutif exclut toute hausse d'impôts, le Premier ministre, François Bayrou, a défendu l'idée d'une "reconquête de la production" sur France Inter, sans préciser comment. En travaillant plus, dans la semaine ou dans l'année et tout au long de la vie, a expliqué de son côté Edouard Philippe alors qu'à gauche c'est l'idée d'un grand emprunt européen et d'une taxe Zucman sur les ultrariches qui est poussée. L'Observatoire européen de la fiscalité dirigé par l'économiste français Gabriel Zucman propose de taxer à hauteur de 2 % ou 3 % le patrimoine des ultrariches européens (plus de 100 millions d'euros) pour financer l'effort de défense du Vieux Continent. Cette taxe rapporterait, en fonction du taux retenu, de 67 milliards à 121 milliards d'euros par an.Parallèlement, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Olivier Faure, Mathilde Panot ou encore Marine Tondelier ont alerté l'éxécutif sur la situation de Vencorex, un sous-traitant stratégique pour la dissuasion nucléaire française, placée en redressement judiciaire en septembre dernier. "On ne peut pas laisser Vencorex fermer" a estimé le leader de la France insoumise que nous avons suivi lors de son déplacement sur le site ce mercredi. Il a également exhorté le gouvernement à cesser "son baratin sur la souveraineté".Nos journalistes sont également allés en Estonie. Ce pays frontalier de la Russie est désormais l'un des pays de l'OTAN qui investit le plus dans sa défense. Il y consacre 3,4 % de son PIB depuis l'année dernière et entend passer à plus de 5 % de son PIB à partir de 2026. "Avec la Russie, nous avons un délai de trois à cinq ans" a expliqué le ministre des Affaires étrangères estonien qui appelle les autres pays européens à investir de la défense européenne. Les experts :- ALAIN PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro , spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors, auteure de Géopolitique de l'économie - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
durée : 00:23:33 - L'invité de 8h20 - Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, était l'invité du Grand entretien ce vendredi. Il revient sur les conséquences économiques et financières de l'incertitude mondiale actuelle.
durée : 03:01:12 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Aujourd'hui dans le 6/9; nous recevons à 6h20 le docteur Marc Rey pour la 25ème journée du sommeil. A 7h45, le débat éco : "5 ans après le confinement, qu'en teste-t-il ?" et à 8h20, nous recevons le - réalisé par : Marie MéRIER
durée : 00:24:15 - 8h30 franceinfo - François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, était l'invité du “8h30 franceinfo”, lundi 3 février 2025
Pour la première fois depuis février 2020, le taux du Livret A va baisser le 1er février prochain. 2,4%, contre 3% aujourd'hui. Conséquence logique de la baisse de l'inflation. L'augmentation des prix ralentit, ce qui est une bonne nouvelle. En revanche, du côté du déficit public, les bonnes nouvelles ne sont pas légions, loin s'en faut… La situation des finances publiques semble chaque jour plus mauvaise que la veille. Qui plus est, la Banque de France prévoit une croissance nulle au dernier trimestre de 2024. François Villeroy de Galhau revient sur l'inflation, les déficits publics, et le rôle social de la Banque de France. Il évoque également les 225 ans de la Banque de France, créé par Bonaparte le 18 janvier 2025. Il détaille aussi son espérance pour la nouvelle année. François Villeroy de Galhau est le gouverneur de la Banque de France.
Prévision de la Banque de France, incertitude politique, croissance en berne... François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, est l'invité de C à Vous.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nos invités du jeudi 19 décembre 2024 : François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, est l'invité de C à Vous pour évoquer la dette de la France. Procès de l'assassinat de Samuel Paty : indignation et colère après les réquisitions. On reçoit Gaëlle Paty, sœur de Samuel Paty, et Virginie Le Roy, avocate des parents de Samuel Paty.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, La story de Mohamed Bouhafsi, Le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Quel scénario pour l'économie en 2025 ? Le gouverneur de la Banque de France, qui a été reçu par François Bayrou samedi, livre ses prévisions et appelle de ses vœux une stabilité politique. François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 17 décembre 2024.
Bank of France Governor François Villeroy de Galhau, Bank of Japan Governor Kazuo Ueda, Bank of Spain Governor José Luis Escrivá and European Central Bank President Christine Lagarde discuss the implications of climate change for the real economy and central banks. Link to event page: https://www.bis.org/events/green_swan_2024/overview.htm
durée : 00:22:06 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Quelles perspectives pour l'économie française ? François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, est l'invité du Grand entretien de la matinale.
durée : 02:59:20 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Arnaud Rousseau, François Villeroy de Galhau, Aurélie Jean, David Chavalarias, Miguel Bonnefoy, et Fanny Brun, sont les invités de la matinale.
durée : 00:22:06 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Quelles perspectives pour l'économie française ? François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, est l'invité du Grand entretien de la matinale.
durée : 00:46:09 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Au menu ce samedi : un débat sur la première polémique industrielle du gouvernement Barnier, un reportage sur les transports low-cost, un détour par Rome... Et un entretien avec le gouverneur de la Banque de France. L'inflation se calme mais la croissance inquiète... A-t-on fait caler le moteur ? - invités : François VILLEROY DE GALHAU - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France - réalisé par : Céline ILLA, Helene Bizieau
durée : 00:37:15 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Entre hausse des impôts, taux d'inflation et explosion de la dette, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, répond à nos questions, tandis que le budget 2025 sera annoncé jeudi par le Premier ministre.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 27 septembre 2024.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.David Djaïz, entrepreneur, essayiste et ancien secrétaire général du Conseil National de la Refondation.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE GOUVERNEMENT FACE AU BUDGETLe nouveau Premier ministre a écarté une hausse des impôt et des taxes qui toucherait « l'ensemble des Français », mais non celles qui pourraient mettre à contribution « les plus aisés et les grandes entreprises ». Pour se justifier, Michel Barnier se dit l'héritier d'une situation financière qu'il qualifie de « très grave ». Mercredi, le nouveau ministre du Budget, Laurent Saint-Martin a confirmé que le déficit public devrait dépasser cette année les 6% du PIB. Jusqu'alors, Bercy prévoyait 5,1% de déficit. Dans ces conditions, c'est toute la trajectoire budgétaire française qui se retrouve fragilisée. Alors que la France est actuellement sous le coup d'une procédure pour déficit excessif à Bruxelles, un respect a minima des nouvelles règles budgétaires européennes (3% de déficit) se traduirait par plus de 30 milliards d'euros d'économies en 2025. Signe de l'importance de ce dossier, Michel Barnier a souhaité que le ministre du Budget et des Comptes publics lui soit directement rattaché.Le prochain projet de loi de finances pour 2025 est présenté par Pierre Moscovici, le premier président de la Cour des comptes, comme « le plus compliqué à élaborer depuis le début de la Ve République ». Les pistes explorées porteraient sur la réduction de certaines niches fiscales, le retour d'une taxation sur les patrimoines les plus importants, le gel du barème des plus hautes tranches d'impôts sur le revenu, l'alourdissement de la « flat tax » sur les revenus du capital... Elles ne manquent pas pour récupérer des recettes sur les contribuables aisés. Du côté des entreprises, le premier ministre « envisage une surtaxe sur l'impôt sur les sociétés » - dont le taux a été ramené de 33,3 % à 25 % pendant le premier quinquennat d'Emmanuel Macron -, selon un ancien conseiller gouvernemental.À droite, des voix se sont déjà élevées avec véhémence contre toute hausse d'impôt, de quelque nature qu'elle soit, comme celles de Marine Le Pen ou Éric Ciotti, mais également dans le camp macroniste. En revanche, de fins connaisseurs des comptes publics se montrent bien plus ouverts à cette idée, à l'image du gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.Le chef du gouvernement, qui fera sa déclaration de politique générale « début octobre », envisage de présenter le projet de loi de finances au Parlement le 9 octobre, au lieu du 1er, comme le recommande pourtant la loi organique. L'utilisation du 49-3 pourrait faire partie des armes constitutionnelles brandie par le nouvel exécutif pour faire passer son budget dans un contexte éruptif. Les oppositions ont déjà annoncé qu'elles seraient prêtes à utiliser la censure au Parlement.LE LIBAN FACE À UNE POSSIBLE GUERREAprès les attaques aux bipeurs et aux talkies-walkies piégés les 17 et 18 septembre, l'armée israélienne a lancé ses plus importantes frappes contre le Hezbollah au Liban depuis onze mois. Sous la pression de quelques 80 000 Israéliens déplacés du nord du pays depuis octobre par les tirs de roquettes du mouvement chiite, le gouvernement israélien a fini par inscrire, lundi, le retour des populations dans les zones évacuées parmi les buts de guerre. Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a indiqué qu'après Gaza, « le centre de gravité se déplace vers le nord ». La campagne prévoit des frappes massives sur les infrastructures du Hezbollah, son arsenal (environ 150.000 roquettes, missiles et drones), pouvant être suivies d'une intervention terrestre pour installer une « zone tampon » au Liban sud. La doctrine de l'usage disproportionné de la force par Israël au Liban, théorisée en 2006 par le général Gadi Eisenkot, alors chef des opérations des forces israéliennes, sous le nom de Dahiya, une banlieue sud de Beyrouth qui héberge le fief du Hezbollah, continue visiblement à être appliquée. Les responsables militaires israéliens disent vouloir forcer le Hezbollah à mettre un terme à la guerre d'usure qu'il a déclenchée le 8 octobre 2023, en ouvrant un « front de soutien » avec le Hamas. Il s'agissait alors pour Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, de soulager son allié de Gaza en fixant des troupes israéliennes au nord et en semant la panique dans cette région.Depuis plus de quatre décennies, avec la création du mouvement chiite, en 1982, Israël et le Hezbollah s'affrontent sans discontinuer. À deux reprises récemment, ce dernier a pris l'avantage sur Tsahal. En 2000, lorsque l'armée israélienne s'est retirée du sud du Liban après 22 ans d'occupation. Et à l'été 2006, en stoppant son offensive terrestre, ses 40.000 militaires, ses blindés et ses armes de pointe, avec seulement 5.000 combattants très mobiles et efficacement protégés par un réseau de tunnels. Depuis, le Hezbollah n'a cessé de renforcer son recrutement, son organisation ainsi que son arsenal, principalement d'origine iranienne. Se targuant d'avoir tenu tête à Israël, et en tirant une partie de sa légitimité, le mouvement chiite se revendique, à la place de l'armée libanaise, comme le véritable défenseur du peuple libanais.Alors que le président iranien, Massoud Pezechkian a déclaré, mardi, que son allié le Hezbollah ne pouvait « pas rester seul » face à Israël, les mises en garde se sont multipliées de la part des chefs d'Etat et de gouvernement qui se succèdent cette semaine à la tribune de l'ONU. Son secrétaire général, Antonio Guterres s'est déclaré « inquiet de la possibilité que le Liban se transforme (en) un autre Gaza ». Tandis qu'Israël poursuit sa campagne de bombardements contre le Hezbollah, faisant plus de 600 morts en trois jours, et malgré l'appel de plusieurs pays à un arrêt des combats de vingt et un jours, Benyamin Nétanyahou a demandé jeudi à son armée de « poursuivre les combats avec toute la force nécessaire » au Liban.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
L'émission 28 minutes du 28/09/2024 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Arancha Gonzalez, doyenne de l'École des affaires internationales de Sciences Po ; Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po ; Michel Taubmann, écrivain et éditeur franco-israélien et le dessinateur de presse Patrick Chappatte. Vers une inéluctable hausse des impôts sur les plus riches en France ? Michel Barnier a affirmé dimanche dernier qu'il n'excluait pas une hausse d'impôts pour “les plus fortunés”. Alors que le déficit public risque “de dépasser les 6 %”, selon le nouveau ministre du Budget Laurent Saint-Martin, la baisse des dépenses ne semble plus être l'unique mantra du gouvernement pour renflouer les caisses. Ainsi, le nouveau Premier ministre mettrait fin au dogme macroniste depuis 2017 de baisse des impôts. Le patron de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, pourtant peu enclin à la pression fiscale, préconise un “cocktail” de mesures dont “certaines hausses d'impôts ciblées”. Mais pour qui exactement ? Israël prêt à une intervention militaire terrestre au Liban ? En trois jours, plus de 2 000 frappes israéliennes au sud du Liban et sur des cibles attribuées au Hezbollah ont fait plus de 600 morts dont 50 enfants. Depuis le début des attaques, des milliers de Libanais prennent la route de l'exode vers le nord du pays. En marge de l'assemblée générale de l'ONU, qui s'est tenue cette semaine, la France et les États-Unis ont proposé un cessez-le-feu de 21 jours pour tenter de résoudre le conflit par la diplomatie. Le ministère des Affaires étrangères israélien a pour l'instant affirmé qu'il “n'y aura pas de cessez-le-feu avec le Hezbollah jusqu'à la victoire”. L'armée israélienne n'exclut d'ailleurs pas une intervention terrestre au Liban. Antonio Guterres, le secrétaire général de l'ONU, met en garde : “Le monde ne peut pas laisser le Liban devenir un autre Gaza.” Ancien inspecteur général de la DGSI, Michel Guérin s'intéresse aux agents doubles dans son livre “Walk-ins, ces grands espions de l'histoire qui ont fait défection” (Mareuil, 2024). Le terme “walk-ins” qualifie les espions qui frappent à la porte d'un service de renseignement adverse. Pour les services spéciaux qui les reçoivent, ils représentent à la fois une source d'informations inespérée et un cadeau empoisonné. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins suisses. Pour la première fois, le 23 septembre, un suicide assisté a eu lieu, en Suisse, à l'aide de la capsule "Sarco". Cette nouvelle technologie est un sarcophage d'assistance au suicide, activé de l'intérieur par la personne qui s'y trouve. Si le suicide assisté est légal en Suisse (dans des conditions très précises), cette capsule n'a pas été autorisée. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision espagnole et revient sur l'arnaque aux “faux Brad Pitt”. Près d'un an d'enquête plus tard, la Guardia Civil est parvenue à démanteler un groupe de délinquants qui ont soutiré des centaines de milliers d'euros à des femmes en se faisant passer pour l'acteur Brad Pitt sur internet. Ce week-end, Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Edmundo Gonzalez Urrutia. Les députés européens ont décidé de reconnaître l'opposant à Maduro, actuellement en exil en Espagne, comme “le président légitime, élu démocratiquement, du Venezuela”. Les autorités vénézuéliennes avaient déclaré le président sortant Nicolas Maduro vainqueur de l'élection de juillet. Une partie de la communauté internationale avait alors alerté sur le manque de preuves tangibles sur la transparence du scrutin. La chanteuse Mylène Farmer se produit ce week-end au Stade de France. Alors que Taylor Swift est au programme de plusieurs facultés américaines, Paola Puerari se demande si Mylène Farmer doit être enseignée à l'université. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes qui se demande comment rendre les routes de forêt plus sûres ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 28 septembre 2024 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 19/09/2024 La France en déficit : faut-il lever le tabou des augmentations d'impôts ? Interrogé mardi 17 septembre par "Le Parisien" sur la meilleure façon de réduire le déficit français, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a répondu que si l'essentiel de l'effort doit porter sur la réduction des dépenses publiques, il faudra aussi, "à titre complémentaire, lever le tabou des hausses d'impôts, sans toucher, si possible, les classes moyennes ni les PME". Il a également souligné que les baisses d'impôts successives depuis 2017 "creusent encore plus les déficits, ce qui renforce l'inquiétude des Français et des acteurs économiques". En sept ans, le camp présidentiel a accordé 50 milliards d'euros de baisses d'impôts, tant pour les entreprises que pour les ménages. Une stratégie qui, selon les macronistes, a permis à la France de redevenir attractive et de faire baisser le chômage. Toutefois, Michel Barnier a donné quelques indices laissant penser que la fiscalité pourrait être utilisée par le nouveau gouvernement pour réduire le déficit. Cela signifie-t-il que le Premier ministre est prêt à mener une politique contraire à celle défendue par Emmanuel Macron ? Ce choix pourrait lui coûter de précieux soutiens, non seulement au sein du camp présidentiel, mais aussi dans sa propre famille politique. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 19 septembre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
L'émission 28 Minutes du 19/09/2024 Y a-t-il une violence politique débridée aux États-Unis ? Dimanche 15 septembre, Donald Trump a été victime d'une tentative présumée d'assassinat alors qu'il se trouvait sur son terrain de golf à West Palm Beach, en Floride. Le 13 juillet, déjà, le candidat à la Maison-Blanche avait été visé par des tirs lors d'un meeting en Pennsylvanie. La violence est une constante de l'histoire politique des États-Unis, particulièrement à l'encontre de ses dirigeants. En 1835, Andrew Jackson est le premier chef d'État d'une longue liste à faire l'objet d'une tentative d'assassinat. Si le septième président des États-Unis en sort indemne, tous n'ont pas cette chance, à l'instar de John Fitzgerald Kennedy, abattu à Dallas en 1963. La violence semble toutefois s'intensifier et se banaliser ces derniers temps, favorisée par un climat politique extrêmement tendu, notamment depuis l'attaque du Capitole en janvier 2021. Selon un sondage de l'université de Chicago, 10 % des Américains en âge de voter justifient l'usage de la violence pour lutter contre Donald Trump. La démocratie américaine est-elle en danger ? Analyse d'Amy Greene, politologue franco-américaine et auteure de "L'Amérique face à ses fractures" (Tallandier, 2024). La France en déficit : faut-il lever le tabou des augmentations d'impôts ? Interrogé mardi 17 septembre par "Le Parisien" sur la meilleure façon de réduire le déficit français, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, a répondu que si l'essentiel de l'effort doit porter sur la réduction des dépenses publiques, il faudra aussi, "à titre complémentaire, lever le tabou des hausses d'impôts, sans toucher, si possible, les classes moyennes ni les PME". Il a également souligné que les baisses d'impôts successives depuis 2017 "creusent encore plus les déficits, ce qui renforce l'inquiétude des Français et des acteurs économiques". En sept ans, le camp présidentiel a accordé 50 milliards d'euros de baisses d'impôts, tant pour les entreprises que pour les ménages. Une stratégie qui, selon les macronistes, a permis à la France de redevenir attractive et de faire baisser le chômage. Toutefois, Michel Barnier a donné quelques indices laissant penser que la fiscalité pourrait être utilisée par le nouveau gouvernement pour réduire le déficit. Cela signifie-t-il que le Premier ministre est prêt à mener une politique contraire à celle défendue par Emmanuel Macron ? Ce choix pourrait lui coûter de précieux soutiens, non seulement au sein du camp présidentiel, mais aussi dans sa propre famille politique. Enfin, Xavier Mauduit nous parle de la lutte des Kali'na pour ramener les dépouilles de leurs ancêtres en Amérique du Sud, sur leur terre d'origine, et Marie Bonnisseau revient sur la faillite de Tupperware. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. 19 septembre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
C dans l'air du 18 septembre - Hausse d'impôts : ça se précise...Faut-il augmenter les impôts des plus riches ? Le gouverneur de la Banque de France lui-même le préconise face à la dégradation des comptes publics. Dans une interview accordée au Parisien-Aujourd'hui en France, François Villeroy de Galhau a appelé à "lever le tabou sur les hausses d'impôts", avec "un effort exceptionnel et raisonnable sur certaines grandes entreprises et gros contribuables" "tant qu'on n'est pas revenu sous 3 %" de déficit public. Le Premier ministre Michel Barnier lui-même a publiquement indiqué qu'il ne s'interdisait pas "une plus grande justice fiscale". Mais cette piste bouscule les rangs macronistes. Sur France 2, Gérald Darmanin a défendu "sept ans de baisse d'impôts" qui ont selon lui suscité "baisse du chômage" et "attractivité de la France". "Il ne faut absolument pas casser cette machine économique", a martelé l'ancien ministre des Comptes publics. Gabriel Attal, désormais chef des députés Ensemble pour la République, a dit non et exigé des clarifications. Il devait être reçu ce matin à Matignon avec des élus de son camp mais le rendez-vous a été annulé une demi-heure avant. Suivi d'une déclaration du Premier ministre transmise à la presse : "La situation budgétaire du pays que je découvre est très grave. J'ai demandé tous les éléments pour en apprécier l'exacte réalité. Cette situation mérite mieux que des petites phrases. Elle exige de la responsabilité." Depuis plusieurs jours, le débat sur la fiscalité fait son retour alors que les échéances budgétaires se rapprochent avec un budget 2025 à présenter début octobre, avant un examen à l'Assemblée. Avec une contrainte de taille, trouver 30 milliards d'euros pour réduire le déficit. La semaine dernière, le patron de la Cour des comptes, Pierre Moscovici avait estimé que ce le débat sur la fiscalité ne devait "pas être tabou". De son côté l'organisation de lutte contre les inégalités sociales, Oxfam, dirigée par l'ancienne ministre écologiste Cécile Duflot, plaide dans son dernier rapport pour une refonte totale du système de l'héritage qu'elle juge totalement injuste. D'après l'ONG, 0,1 % des héritiers reçoivent en moyenne 13 millions d'euros. Surtout grâce au 467 niches fiscales qui existent dans le pays, plus on est riche, moins on serait imposé sur l'héritage : 10 % de taxation pour les enfants "bien nés", contre 45 % pour le Français moyen. En globalité, Oxfam estime que ça représente un manque à gagner de 160 milliards d'euros pour l'État dans les 30 ans qui viennent.Alors que va décider le Premier ministre ? Quel budget pour 2025 ? Matignon refuse pour l'heure de transmettre des documents-clés aux députés et les relations se tendent avec le Parlement. Le président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel (LFI), et le rapporteur général Charles de Courson (Liot) sont «en colère» après s'être rendu hier à Matignon et aujourd'hui à Bercy, pour obtenir, en vain, les lettres-plafonds. Des documents, arrêtés depuis août mais pas rendus publics, concernant les projets du gouvernement pour l'année à venir. "On est assez sidérés (...) parce qu'on nous a refusé la consultation de ces documents", a déclaré mardi Éric Coquerel. "C 'est un droit constitutionnel qui est octroyé au président de la commission des Finances et au rapporteur général du budget, on nous l'a refusé", a-t-il ajouté.La colère monte aussi chez les viticulteurs qui ont manifesté mardi 17 septembre à Cognac. Ils dénoncent "l'inaction des pouvoirs publics", "le silence de la France et de l'Union européenne" face aux menaces de surtaxes chinoises sur les brandys européens et en particulier le cognac.Les experts :- PHILIPPE DESSERTINE - Économiste, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "Le grand basculement"- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
Ce mercredi 18 septembre, l'effort budgétaire de 110 milliards d'euros en sept ans qui devra être réalisé selon François Villeroy de Galhau, ainsi que la question de savoir si les hausses d'impôts peuvent être évitées, ont été abordés par François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, Agnès Verdier-Molinié, directrice de la fondation IFRAP, et Sylvain Orebi, président d'Orientis et de Kusmi Tea, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau était l'invité de RTL Matin.
Ecoutez L'invité d'Yves Calvi avec Yves Calvi du 15 mai 2024
Ce lundi 22 avril, l'inquiétude autour de l'instabilité de la note financière française, notamment avec la hausse du taux de la dette publique par rapport au PIB, et la crédibilité des propos de François Villeroy de Galhau concernant la stabilisation des dépenses publique, ont été abordées par Sophie Sidos-Vicat, présidente des Conseillers du commerce extérieur de la France, Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyse et Prévision à l'OFCE, et Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 22 avril, la façon de voir de François Villeroy de Galhau pour "stabiliser les dépenses", le pourcentage des chômeurs en quête d'emploi, l'arrivée du projet de loi simplification, et le déferlement chinois en matière de panneaux solaires ont été abordés par Sophie Sidos-Vicat, présidente des Conseillers du commerce extérieur de la France, Mathieu Plane, directeur adjoint du département Analyse et Prévisions à l'OFCE, et Laurent Vronski, directeur général d'Ervor, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:09:43 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - "La victoire contre l'inflation est en bonne voie", salue François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, alors que la France a connu "un pic d'inflation à 7%" et est désormais "revenue à 2,4%". "D'ici l'an prochain au plus tard, nous serons revenu autour de 2% d'inflation", dit-il. - invités : François VILLEROY DE GALHAU - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France
durée : 02:58:21 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Les invités de la matinale du lundi 22 avril sont : François Villeroy de Galhau, François Lecointre, Ayaam Sureau et Frédéric Lauze, Mathilde Favier, et Juliette Pavy. - invités : François VILLEROY DE GALHAU, François Lecointre, Ayyam Sureau - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France, François Lecointre : Chef d'état-major des armées, Ayyam Sureau : Philosophe, fondatrice et directrice de l'Association Pierre Claver
durée : 00:09:43 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - "La victoire contre l'inflation est en bonne voie", salue François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, alors que la France a connu "un pic d'inflation à 7%" et est désormais "revenue à 2,4%". "D'ici l'an prochain au plus tard, nous serons revenu autour de 2% d'inflation", dit-il. - invités : François VILLEROY DE GALHAU - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France
De beurzen zijn dicht op Goede Vrijdag. De grote vraag was vanochtend of de inflatie in de VS weer op gaat staan of blijft liggen. Inmiddels hebben we een antwoord: gelukkig steeg de maandelijkse inflatie in de VS niet zo hard als in januari, maar de Federal Reserve kijkt waarschijnlijk nog even met argusogen naar data die nog niet écht uitwijst dat de beoogde inflatie van 2% een feit wordt. De PCE-inflatie steeg in februari in de VS met 2.5% op jaarbasis en met 0.3% ten opzichte van januari. De kerninflatie steeg met 2.8%, net iets minder dan verwacht. Voor de rest lagen al deze cijfers wel in de lijn der verwachting. De Federal Reserve blijft dus nog even zitten op de bok, al zullen er grotere bewegingen nodig zijn om iets te veranderen aan de verwachte drie renteverlagingen vanaf ongeveer het midden van het jaar. In Europa is de roep om een renteverlaging luid en duidelijk. De evenknie van Klaas Knot, Francois Villeroy de Galhau van de Franse centrale bank, zei deze week al in een speech dat het hem niet eens uitmaakt of het nou april of juni wordt. En net als bij Klaas Knot zijn loonstijgingen de grootste zorg, maar de Franse inflatie daalt wél netjes. Beursnerds zijn benieuwd naar de ECB-vergadering van 11 april. Beursnerd en Beursnerd XL Iedere werkdag iets na elf uur werpt de Beursnerd in gesprek met presentator Thomas van Zijl een blik op de AEX, waarbij hij of zij de diepgang niet schuwt. Daarnaast is er donderdag om tien voor twaalf een langere beursanalyse. Die neemt Beursnerd XL Jochem Visser voor zijn rekening. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Le vendredi soir, Pierre de Vilno reçoit un invité pour revenir sur l'actualité. Ce soir François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France.
C dans l'air du 14 mars 2024 - Dette, déficit... et hausse d'impôts ? Plusieurs voyants sont au rouge et la situation n'est pas seulement "préoccupante", mais "sérieuse" alerte la Cour des comptes. Dans son dernier rapport publié mardi, l'institution présidée par Pierre Moscovici étrille le gouvernement pour sa gestion des finances publiques "aujourd'hui parmi les plus dégradées de la zone euro". "En cause notamment, nos déficits qui étaient égaux ou supérieurs à 5 % en 2023" et un scénario initial "improbable" pour 2024 avec une trajectoire "peu ambitieuse et fragile" sur le déficit public. Depuis plusieurs semaines, alors que la France est sous le regard des agences de notation, l'exécutif répète que l'urgence est au rétablissement des finances publiques. Bruno Le Maire qui a fait la promesse ramener le déficit public à 4,4 % du PIB fin 2024 et à 3 % en 2027 martèle vouloir réduire la dépense publique. Et pour cela le patron de Bercy entend faire cette année 10 milliards d'euros de coupes budgétaires, essentiellement sur la transition écologique, l'assurance chômage ou l'éducation, puis encore au moins 20 milliards d'euros de coupes dans le budget 2025. Mais pour nombre d'économistes ce plan semble déjà largement insuffisant pour ramener le déficit de la France à 3 % de son PIB, à mesure que le ciel de l'économie française s'assombrit. Mercredi 13 mars, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a ainsi encore révisé la prévision de croissance à la baisse, la ramenant à 0,8 % pour l'année 2024. Mardi, c'était le président de la Cour des comptes qui réclamait un "effort massif" pour économiser 50 milliards de dépenses publiques en trois ans. Avec une croissance au ralenti et des rentrées fiscales à la baisse, c'est également le débat sur les hausses d'impôt qui ressurgit y compris au sein de l'aile gauche de la majorité où le sujet a été longtemps un tabou. Pour l'instant ni Emmanuel Macron, ni Bruno Le Maire ne veulent en entendre parler, mais voilà que même Alain Minc les juge désormais inévitables... Pour ce dernier, il y a urgence à augmenter les impôts sur les revenus des plus élevés mais surtout la TVA. D'autres comme la patronne de la CGT pointe les "200 milliards d'euros qui sont donnés chaque année en aides, sans contreparties, aux entreprises, soit un tiers du budget de l'Etat". Dans cette optique, Sophie Binet invite le gouvernement à "augmenter les impôts des grandes entreprises et des plus riches, parce que de plus en plus de petites entreprises payent plus d'impôts que les plus grandes, qui passent leur temps à faire de l'optimisation et de la fraude fiscale". Des sujets hautement inflammables alors le chômage repart à la hausse et que l'inflation impacte encore durement le budget des Français, obligeant certains à avoir deux emplois pour s'en sortir. Alors la France est-elle un mauvais élève européen ? L'Etat est-il au bord de la faillite ? Comment rétablir les comptes publics ? Faut-il augmenter les impôts ? Et lesquels ? LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Économiste, directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - FANNY GUINOCHET - Éditorialiste - France Info et La Tribune, spécialiste des questions économiques et sociales - LOUIS HAUSALTER - Journaliste politique - Le Figaro - EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle
durée : 00:25:38 - 8h30 franceinfo - Le gouverneur de la Banque de France était l'invité du 8h30 franceinfo du mercredi 13 mars 2024, il répondait à Salhia Brakhlia et Jérôme Chapuis.
durée : 02:58:06 - Le 7/10 - décembreLes invités de la Matinale de France Inter ce mardi 19 décembre sont : François Villeroy de Galhau / Jordan Bardella / S. Saqué x F. Gilbert / Guillaume Gallienne / Julie Duval
durée : 00:09:41 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - A 7h50, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, est l'invité de Sonia Devillers. Il revient sur l'inflation, la hausse des taux d'intêrét et l'emploi en France. - invités : François VILLEROY DE GALHAU - François Villeroy de Galhau : Gouverneur de la Banque de France
durée : 00:05:07 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Depuis son pic de 10 % en octobre 2022, l'inflation diminue dans la zone euro. Les autorités monétaires estiment que ces chiffres prouvent que leur politique de remontée des taux porte ses fruits. Par quel biais ? Réponses de François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France. - invités : François Villeroy de Galhau Gouverneur de la Banque de France