Ce podcast est un espace pour raconter la psychothérapie autrement. Valentin Spitz a 35 ans, il est écrivain et psychothérapeute, auteur de nombreux ouvrages. Ce podcast a pour ambition de donner une nouvelle vision de la psychothérapie et de la raconter, jour après jour, cas cliniques, petites histoires et conseils à l’appui. Derniers livres parus: « comment ne pas aller voir de psy avec son enfant » aux éditions du Cherche Midi et en 2020 d’ »Éloge de l’imperfection parentale » aux éditions Flammarion en 2019.
Comment vivre après une dépression? À partir du témoignage de Laura publié sur le compte Instagram du « métier de vivre », Valentin Spitz et Véronique Bernheim, respectivement psychothérapeute et psychanalyste, vous répondent dans ce nouvel épisode du « métier de vivre ».
Dans cette programmation spéciale du podcast du « métier de vivre » que j'ai nommé pour susciter la réflexion « comment ne pas aller voir un psy avec son enfant » mon propos n'est pas de dire que nos enfants ne doivent plus aller voir de psy du tout. Je constate tous les jours, dans ma clinique et à la Maison de Solenn, où j'interviens chaque lundi, comme c'est utile. Mon propos est plutôt de sortir de ce que j'appellerai les « psys magiques » ou « gourous ». Outre que cela infantilise les parents, les dévalorise parfois aux yeux de leur progéniture (eux n'y arrivent pas, et le psy si), cela les rend dépendants de la parole du psy pour éduquer leurs enfants. Par ce podcast spécial, je veux montrer aux parents que les meilleurs spécialistes de leurs enfants, ce sont eux-mêmes, et que la famille a bien souvent en son propre sein de quoi se renouveler, avancer et permettre aux enfants de s'épanouir, pour peu que l'on ait quelques clés, quelques pistes à suivre, comme celles que je propose ici. Je veux enfin et surtout dire, raconter, que la meilleure manière de ne pas emmener son enfant chez le psy, c'est d'y aller soi-même, de s'occuper de soi, de s'écouter. Ce sera le fil rouge de mon propos et de ce troisième épisode, le debrief du soir. Un outil simple et efficace pour que parents et enfants se sentent mieux! Cette aventure à laquelle je vous invite à participer avec moi va durer dix semaines, correspondant à chacun des épisodes, bonne écoute! Je précise que les textes de ce podcast sont à retrouver dans mon ouvrage « comment ne pas aller voir un psy avec son enfant » paru aux éditions du Cherche Midi et également disponible en format Pocket sous le titre « et si vous arrêtiez de vouloir être un parent parfait? ». 3 points à retenir de cet épisode: 1) En rentrant à la maison, apprenez à appuyer sur pause. Vous verrez que, contrairement à ce que nous dictent nos croyances, cela vous fera gagner du temps. 2) Prenez dix minutes pour vous isoler avec votre enfant, par exemple avant qu'il dorme. 3) Là, racontez-lui un temps fort, ce que vous avez préféré dans la journée et incitez-le à faire de même. Renouvelez l'expérience tous les jours à la même heure.
Dans cette programmation spéciale du podcast du « métier de vivre » que j'ai nommé pour susciter la réflexion « comment ne pas aller voir un psy avec son enfant » mon propos n'est pas de dire que nos enfants ne doivent plus aller voir de psy du tout. Je constate tous les jours, dans ma clinique et à la Maison de Solenn, où j'interviens chaque lundi, comme c'est utile. Mon propos est plutôt de sortir de ce que j'appellerai les « psys magiques » ou « gourous ». Outre que cela infantilise les parents, les dévalorise parfois aux yeux de leur progéniture (eux n'y arrivent pas, et le psy si), cela les rend dépendants de la parole du psy pour éduquer leurs enfants. Ce travers n'est pas conforme à ce que je considère être comme essentiel dans notre éthique : nous sommes là pour qu'un jour nos patients puissent se passer de nous, pour qu'ils puissent vivre libres et responsables de leurs propres choix. Sans nous. Ados et enfants compris. Par ce podcast spécial, je veux montrer aux parents que les meilleurs spécialistes de leurs enfants, ce sont eux-mêmes, et que la famille a bien souvent en son propre sein de quoi se renouveler, avancer et permettre aux enfants de s'épanouir, pour peu que l'on ait quelques clés, quelques pistes à suivre, comme celles que je propose ici. Je veux enfin et surtout dire, raconter, que la meilleure manière de ne pas emmener son enfant chez le psy, c'est d'y aller soi-même, de s'occuper de soi, de s'écouter. Ce sera le fil rouge de mon propos et de ce deuxième épisode « la lettre entre parents »… Cette aventure à laquelle je vous invite à participer avec moi va durer dix semaines, correspondant à chacun des épisodes, bonne écoute! Je précise que les textes de ce podcast sont à retrouver dans mon ouvrage « comment ne pas aller voir un psy avec son enfant » paru aux éditions du Cherche Midi et également disponible en format Pocket sous le titre « et si vous arrêtiez de vouloir être un parent parfait? ». 3 points à retenir de cet épisode: Avant d'emmener l'enfant chez le psy… 1) On achète du beau papier et un stylo que l'on aime bien – il faut que l'encre glisse sur la feuille. 2) D'abord, sans en parler ensemble, on écrit cinq pages à l'autre parent pour évoquer les problèmes que l'on traverse avec l'enfant ou l'ado. L'autre parent fait de même. On s'envoie les lettres. On les lit chacun de son côté. 3) Quand on a fait cela, on prend rendez-vous dans un endroit que l'on aime, où l'on est bien. On croise les infos, on échange. Éventuellement, si l'on est toujours bloqué, on écrit une lettre au psy. À deux.
« Le bouleversement de ma vie. Il y a un an, mon compagnon depuis plus de 20 ans décidait d'une autre vie, décidait de se séparer. Je n'ai pas compris, le sol s'effondrait sous mes pieds. Un déchirement, c'était impossible, c'était un cauchemard, je m'effondrais. J'avais 44 ans, deux enfants de 9 et 14 ans, à qui il a fallu annoncer les choses… » Pour Sandra tout s'est effondré quand son compagnon lui a annoncé son départ. Comment tenir, comment continuer à vivre après une rupture amoureuse quand on a des enfants à charge, comment se reconstruire, renaître, revivre? Valentin Spitz et Véronique Bernheim, psychothérapeute et psychanalyste, vous répondent. Bonne écoute!
Dans cette programmation spéciale du podcast du « métier de vivre » que j'ai nommé pour susciter la réflexion « comment ne pas aller voir un psy avec son enfant » mon propos n'est pas de dire que nos enfants ne doivent plus aller voir de psy du tout. Je constate tous les jours, dans ma clinique et à la Maison de Solenn, où j'interviens chaque lundi, comme c'est utile. Mon propos est plutôt de sortir de ce que j'appellerai les « psys magiques » ou « gourous ». Outre que cela infantilise les parents, les dévalorise parfois aux yeux de leur progéniture (eux n'y arrivent pas, et le psy si), cela les rend dépendants de la parole du psy pour éduquer leurs enfants. Ce travers n'est pas conforme à ce que je considère être comme essentiel dans notre éthique : nous sommes là pour qu'un jour nos patients puissent se passer de nous, pour qu'ils puissent vivre libres et responsables de leurs propres choix. Sans nous. Ados et enfants compris. Par ce podcast spécial, je veux montrer aux parents que les meilleurs spécialistes de leurs enfants, ce sont eux-mêmes, et que la famille a bien souvent en son propre sein de quoi se renouveler, avancer et permettre aux enfants de s'épanouir, pour peu que l'on ait quelques clés, quelques pistes à suivre, comme celles que je propose ici. Je veux enfin et surtout dire, raconter, que la meilleure manière de ne pas emmener son enfant chez le psy, c'est d'y aller soi-même, de s'occuper de soi, de s'écouter. Ce sera le fil rouge de mon propos et de ce premier épisode. Cette aventure à laquelle je vous invite à participer avec moi va durer dix semaines, correspondant à chacun des épisodes, bonne écoute! Je précise que les textes de ce podcast sont à retrouver dans mon ouvrage « comment ne pas aller voir un psy avec son enfant » paru aux éditions du Cherche Midi et également disponible en format Pocket sous le titre « et si vous arrêtiez de vouloir être un parent parfait? ».
« Je ne rentre pas dans ce moule du bonheur » raconte Laura sur le compte Instagram de l'Autopsy… Comment sortir de cette prison injonctive? Comment faire face à ces normes ou à ces injonctions au bonheur qu'on voudrait nous imposer? Y a-t-il une définition du bonheur? On en parle dans ce nouvel épisode avec Valentin Spitz et Véronique Bernheim…
Nouveauté dans le « métier de vivre », Valentin Spitz et Véronique Bernheim échangent en live avec Marie qui avait témoigné sur le compte Instagram de l'autopsy et qui raconte à la fois comment elle a vécu le fait d'être « ghostée » mais aussi comment elle s'en est sortie… Un témoignage riche et émouvant…
À la fois critiqué et idéalisé, le couple est un élément central de la vie de beaucoup d'entre nous en ces temps d'angoisse, de pandémie et de guerre… État des lieux avec Valentin Spitz et Véronique Bernheim, vu de leur cabinets de psychanalystes dans ce nouvel épisode du « métier de vivre ».
« Pervers: Qui se plaît à faire le mal ou à l'encourager. » Dans cet épisode nous partons du témoignage d'Anais publié sur le compte Instagram du « métier de vivre » pour interroger ce que c'est que la perversion et dessiner quelques chemins de lumière pour y faire face… Bonne écoute.
« Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais je sais qu'il n'y aura plus beaucoup de monde pour voir la quatrième. » . Ainsi parlait (non sans humour!) le si brillant et sage Albert Einstein. Il est vrai que bien souvent, tel le trauma qui sans prévenir vient déchirer nos mondes, la guerre nous laisse sans mots. Contre cela nous tentons de lutter dans ce nouvel épisode du « métier de vivre »; nous avons essayé d'assembler, de tisser quelques mots sur ce qui se déroule à nos portes en Ukraine pour voir si derrière l'ombre pouvait se dissimuler un peu de lumière, bien tapie là et qui nous attend…
Dans cet épisode 49 nous parlons des fantômes qui vont et viennent, qui nous hantent, parfois nous détruisent de disparaître et de comment déjouer leurs sortilèges… Bonne écoute.
Dans cet épisode 48 nous parlons de la nuit et des portes qui s'y ouvrent, des trains que l'on prend ou pas, des plaines nues, des étoiles, du silence, de ce qui ne peut se dire mais qui se dit tout de même… Merci à Line qui nous a fait l'honneur (sur le compte insta du métier de vivre) de témoigner par fragments et brisures telles des traces d'une destruction devenue résurrection; des mots lucioles rédigés au fil des lumières blafardes de nos nuits sans sommeil et qu'elle nous livre… Bonne écoute.
Dans cet épisode 47 du métier il est question de lumières, d'ombres et de renaissances, de mort et de désir…
Dans cet épisode il est question de ruptures, de bulles, de libellules et de 2022…
Dans cet épisode spécial Noël et fêtes de fin d'année (en guise de cadeau et d'espoir pour 2022) Valentin Spitz et Véronique Bernheim explorent les pistes de l'écriture qui sauve et nous permet d'advenir à nous-mêmes…
Dans cet épisode 44 du « métier de vivre », Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent aux témoignages de Sophie qui s'est inscrite sur un site de rencontre et de Sam qui n'arrive pas à prendre de décision et est terrifié à l'idée de devenir père…
Dans cet épisode 43 du « métier de vivre », Valentin Spitz répondent aux témoignages d'Irène, Laurence et Tony publiés sur le compte Instagram du « métier de vivre »…
Dans cet épisode spécial du « métier de vivre », Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à trois témoignages bouleversants publiés sur le compte Instagram du « métier de vivre »… Lucien a été violé par son grand-père, Stéphanie par son oncle. Ils racontent.
Dans cet épisode 41 du « métier de vivre » avec Valentin Spitz et Véronique Bernheim il sera beaucoup question de nos idées noires et des armes qui permettent de les déjouer… Autour des témoignages de Laura, Marthe et Helena publiés sur le compte Instagram du « métier de vivre »…
Dans « le métier de vivre », Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent chaque semaine à vos témoignages postés sur le compte Instagram « le métier de vivre »
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Un épisode murmuré à votre oreille pour atterrir en douceur…
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#autopsy
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'#auropsy !
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'autopsy,
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à vos témoignages postés sur le compte Instagram de l'autopsy,
Valentin Spitz répond à Sophie qui témoigne sur le compte Instagram de l'autopsy. Faire face au conflit ou comment naître une seconde fois et advenir à soi-même. Tout est est possible pour peu que l'on se risque à vivre...
Valentin Spitz et Véronique Bernheim répondent à quelques messages envoyés sur le compte Instagram de l'autopsy #écrivez-moi
Dans ce nouvel épisode avec Véronique Bernheim, psychanalyste et thérapeute de couple, on cause recettes d'amour et on pense les maux des couples...
La finalité de toute éducation, au fond, c'est d'aider nos ados à devenir responsables et autosuffisants. En un mot: assez autonome pour nous quitter. Voilà le travail d'un bon capitaine de bateau parental!
Les complexes physiques occupent beaucoup de place dans la vie de nos ados... Comment faire face à cela en tant que parent?
Aujourd'hui je vais vous parler d'érection… Et donc de mes patients hommes... C'est vrai on en parle peu des hommes qui viennent voir des psys et pourtant je vous assure il y en a. Mais je crois que si on en parle peu c'est souvent en raison de ce qui déclenche leur venue sur le divan. Évidemment je ne ferai pas ici de généralités, je ne peux vous parler que de mon travail mais dans mon cas au moins 90% des patients adultes hommes que je reçois viennent d'abord pour des problèmes d'érection...
Aujourd'hui j'aimerai vous parler du jugement, ce mot qui nous enferme tant, nous fait souffrir, nous enrobe, nous étouffe… Et dont il est si souvent question dans mon cabinet de psy. Camus l'écrivait si bien « je vais vous dire un grand secret…. N'attendez pas le jugement dernier, il a lieu tous les jours... » Le jugement est partout, tout le temps, il nous pollue, nous éloigne de nous et des autres.. D'une certaine manière il empêche de vivre... Alors comment faire? Quelques éléments de réflexion...
Aujourd'hui j'aimerai vous parler de ce qu'on appelle les neurones miroirs et vous montrer in fine dans cet épisode que mieux connaitre leur fonctionnement peut rendre nos enfants plus confiants et plus heureux… Mais avant un peu d'histoire pour vous raconter comment on a découvert les neurones miroirs et c'est en fait très récent. En1992 c'est un neurologue italien Giacomo Rizzolatti qui les découvre fortuitement...
Vous le savez peut– être, j'ai publié ces derniers jours un nouveau roman aux éditions Stock qui se nomme « un fils sans mémoire »… J'en profite dans ce nouvel épisode pour vous parler d'écriture… Car étant donné mon deuxième métier, écrivain, il ne se passe pas une semaine sans qu'un patient me parle d'écriture ou de son envie d'écrire, ou de ces carnets rédigés dans l'ombre depuis si longtemps… Vient ensuite la question rituelle : publier ou pas ? À quoi cela sert ? Est-ce que cela peut–être « thérapeutique » ?
La dépression qui touche tant de gens en ce moment c'est la mort du désir... Le voyage au contraire est un des plus beaux moteurs du désir et le désir c'est la vie. Alors, avec Sylvain Tesson, désirons, désirons en rêvant à notre « énergie vagabonde »...
Alors que la jeunesse est un élan vers le monde, une exploration, une découverte, une construction de soi on leur impose au contraire un repli et un isolement. Je ne compte plus les jeunes en larmes sur mon divan, épuisés, abandonnés... Franchement ça me fait beaucoup de peine. Comment les soutenir et les aider à passer ce moment si difficile, car oui c'est possible et nous les plus adultes sommes aussi là pour porter cet espoir. Nous avons des ressources et des expériences que les jeunes n'ont pas pour faire face.. À nous de leur transmettre...
Il me semble que lorsqu'on exerce le métier de psychothérapeute mais aussi lorsqu'on écrit comme moi il nous faut dire quelque chose des effets du livre dont tout le monde parle « la familia grande » de Camille Kouchner... Mais si j'ai attendu un peu pour en parler c'est que je voulais tenter de dire un peu autre chose que ce que l'on entend partout, ou en tout cas de faire réfléchir un peu autrement puisque après tout c'est aussi le but de ce podcast...
"Apporter à l'autre une écoute pleine et entière..." c'est ce qu'une de mes professeurs et mentors disait du métier de psychothérapeute.. j'aimerai vous raconter quelque chose à ce propos et vous parler de ce mot: "écouter..." J'observe depuis quelques mois une nouveauté parmi les patients qui viennent me voir... quand j'ai commencé ce métier on me consultait en quête de réponses, de réponses presque immédiates, de solutions magiques.. comme si j'étais une sorte de mage aux pouvoirs illimités... Depuis quelques mois cependant il se produit un vrai changement: on vient me voir moins pour avoir des réponses que pour être écouté. Etre écouté n'est-ce pas pourtant la base de nos relations humaines?
Dans ce 12ème épisode Valentin Spitz vous aide à y voir plus clair entre déprime et dépression et à savoir quand il faut s'inquiéter...
Comment faire face à cette peur de la mort qui nous touche toutes et tous? Éléments de réponse philosophiques et littéraires dans ce 11ème épisode...
Dans ce 10ème épisode de l'autopsy je vous parle d'un mot trop souvent tabou, « clitoris »... Ouvrez grand vos oreilles!
Dans ce 9ème épisode de l'autopsy Valentin Spitz répond à cette question qu'on se pose si souvent.... C'est quoi être psy? À quoi cela sert?