Commune in Hauts-de-France, France
POPULARITY
Categories
durée : 00:05:36 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Si la légalité des opérations militaires menées par les États-Unis contre des narcotrafiquants supposés dans les Caraïbes est mise en doute à Washington, Donald Trump accroît sa pression contre son homologue vénézuélien Nicolás Maduro pour qu'il quitte le pouvoir ; menaces d'opérations terrestres.
durée : 00:39:30 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - En décembre 1895 les frères Lumière donnaient la première séance publique de l'histoire du cinéma. 130 ans plus tard, le public n'est plus au rendez-vous. Fréquentation en chute libre, offensive du RN contre le CNC, menaces de taxation américaine : le cinéma traverse une période de turbulences. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marie-Ange Luciani Productrice de cinéma; Thierry Frémaux directeur de l'Institut Lumière de Lyon et le délégué général du Festival de Cannes
durée : 01:20:58 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Roger Pillaudin - Interprètes : Jacques Berthier, Roger Bret, Michel Bouquet, Jacques Castelot, René Farabet, Jean-Marie Fertey, Fred Fischer, Henri Gilabert, Philip Gaunt, Julien Guiomar, Pierre Leproux, Serge Lopoukhine, Jean Mauvais, Ruth Morrow, Jean-Paul Moulinot, Jean Négroni, Pierre Olivier, André Torrent, Guy Tréjan et Claude Vernier - Réalisation Henri Soubeyran - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
durée : 00:23:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - La leader de la CGT, Sophie Binet, a annoncé mardi sur France Inter sa mise en examen pour "injure publique" après avoir qualifié en janvier à la radio les patrons de "rats qui quittent le navire" dont "le seul objectif, est l'appât du gain". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un label pour lutter contre la désinformation, l'Elysée répond à Cnews.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - La leader de la CGT, Sophie Binet, a annoncé mardi sur France Inter sa mise en examen pour "injure publique" après avoir qualifié en janvier à la radio les patrons de "rats qui quittent le navire" dont "le seul objectif, est l'appât du gain". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 02:29:49 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
À l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, nous faisons le point sur la lutte contre cette infection, qui attaque et fragilise le système immunitaire de l'organisme. Si l'on dispose aujourd'hui d'outils efficaces pour prévenir et traiter le VIH, des pénuries menacent-elles les populations les plus vulnérables ? Après plus de 40 ans de lutte et de travail auprès des populations clés, les associations sont-elles à bout de souffle ? Depuis 1988, la date du 1er décembre est placée sous le signe de la « Journée mondiale de lutte contre le sida ». Presque 40 ans de lutte pour sensibiliser et alerter sur cette pandémie qui a tué plus de 44 millions de personnes, à l'échelle planétaire. Aujourd'hui, d'après l'ONUSIDA, plus de 40 millions de personnes vivent avec le virus et la majorité d'entre elles (31,5 millions) ont accès à un traitement antirétroviral, les ARV. Cette prise en charge a permis de faire reculer sensiblement la mortalité de cette infection complexe, qui affaiblit le système immunitaire. Des avancées, mais un avenir incertain Cette lutte a permis d'enregistrer des progrès significatifs (y compris en termes de nouveaux traitements : en particulier, les recommandations de juillet 2025, sur l'utilisation du nouveau traitement injectable Lenacapavir, en prophylaxie pré-exposition, à raison de deux injections annuelles). Mais le VIH demeure un problème majeur de santé publique et en 2025, une menace inédite pèse sur la riposte. Désengagement international généralisé Ce danger majeur qui se dessine aujourd'hui pour toutes celles et ceux qui luttent contre le sida a une explication : la baisse brutale et sensible des financements internationaux… Ces coupes s'ajoutent à l'arrêt de l'aide américaine depuis janvier 2025, avec la fin de l'USAID (l'agence américaine pour le développement international) et la réduction drastique du PEPFAR (plan d'aide américain à la lutte contre le sida à l'étranger initié depuis 2003). À ce retrait américain, s'ajoute la baisse significative des aides des pays développés, dont la France, qui à ce jour n'a toujours pas annoncé le montant de sa contribution à la reconstitution du Fonds Mondial, alors que Paris en était le deuxième contributeur à l'échelle internationale. À lire aussiFinancement de la lutte contre le VIH: «La France est vraiment en-deçà des attentes», s'inquiète une association Les associations plus mobilisées que jamais Suite à cette désaffection, le Sidaction, association qui soutient la recherche contre le sida, fait part de sa sidération. L'association Aides rappelle qu'avec une charge virale indétectable, le virus ne se transmet pas. Le CNS (Conseil national du sida et des hépatites virales) s'inquiète de l'augmentation de 41 % des découvertes de séropositivité chez les jeunes de 15 à 24 ans, en France, entre 2014 et 2023. Signe que partout dans le monde, la prévention, l'accompagnement et la prise en charge du VIH-sida continue de représenter une urgence de santé publique, qui nécessite une mobilisation mondiale le 1ᵉʳ décembre, comme tous les jours. Avec : Hélène ROGER, directrice du pôle analyse et plaidoyer de Sidaction Rodrigue KOFFI, coordinateur du réseau Grandir Ensemble, en Côte d'Ivoire Gratien CHIBUNGIRI, directeur de SOS SIDA, qui œuvre dans la province du Sud Kivu, Est RDC. Kevin AMBAH EVINA, Directeur exécutif de l'organisation Affirmative Action, association Camerounaise de lutte contre le VIH/SIDA Programmation musicale : ► Elton John – I'm still standing ► Phyno – Ask me of now
durée : 00:37:20 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Les financements publics de la lutte contre le Sida sont insuffisants. La France n'a promis aucun don au Fonds mondial. Les Etats-Unis l'ont quant à eux réduit. Les autorités de santé s'inquiètent de cette situation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:13:47 - L'invité d'un jour dans le monde - Les financements publics de la lutte contre le Sida sont insuffisants. La France n'a promis aucun don au Fonds mondial. Les Etats-Unis l'ont réduit. Les autorités de santé s'inquiètent de cette situation. On en parle avec Florence Giard, directrice générale adjointe de Coalition PLUS. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, nous faisons le point sur la lutte contre cette infection, qui attaque et fragilise le système immunitaire de l'organisme. Si l'on dispose aujourd'hui d'outils efficaces pour prévenir et traiter le VIH, des pénuries menacent-elles les populations les plus vulnérables ? Après plus de 40 ans de lutte et de travail auprès des populations clés, les associations sont-elles à bout de souffle ? Depuis 1988, la date du 1er décembre est placée sous le signe de la « Journée mondiale de lutte contre le sida ». Presque 40 ans de lutte pour sensibiliser et alerter sur cette pandémie qui a tué plus de 44 millions de personnes, à l'échelle planétaire. Aujourd'hui, d'après l'ONUSIDA, plus de 40 millions de personnes vivent avec le virus et la majorité d'entre elles (31,5 millions) ont accès à un traitement antirétroviral, les ARV. Cette prise en charge a permis de faire reculer sensiblement la mortalité de cette infection complexe, qui affaiblit le système immunitaire. Des avancées, mais un avenir incertain Cette lutte a permis d'enregistrer des progrès significatifs (y compris en termes de nouveaux traitements : en particulier, les recommandations de juillet 2025, sur l'utilisation du nouveau traitement injectable Lenacapavir, en prophylaxie pré-exposition, à raison de deux injections annuelles). Mais le VIH demeure un problème majeur de santé publique et en 2025, une menace inédite pèse sur la riposte. Désengagement international généralisé Ce danger majeur qui se dessine aujourd'hui pour toutes celles et ceux qui luttent contre le sida a une explication : la baisse brutale et sensible des financements internationaux… Ces coupes s'ajoutent à l'arrêt de l'aide américaine depuis janvier 2025, avec la fin de l'USAID (l'agence américaine pour le développement international) et la réduction drastique du PEPFAR (plan d'aide américain à la lutte contre le sida à l'étranger initié depuis 2003). À ce retrait américain, s'ajoute la baisse significative des aides des pays développés, dont la France, qui à ce jour n'a toujours pas annoncé le montant de sa contribution à la reconstitution du Fonds Mondial, alors que Paris en était le deuxième contributeur à l'échelle internationale. À lire aussiFinancement de la lutte contre le VIH: «La France est vraiment en-deçà des attentes», s'inquiète une association Les associations plus mobilisées que jamais Suite à cette désaffection, le Sidaction, association qui soutient la recherche contre le sida, fait part de sa sidération. L'association Aides rappelle qu'avec une charge virale indétectable, le virus ne se transmet pas. Le CNS (Conseil national du sida et des hépatites virales) s'inquiète de l'augmentation de 41 % des découvertes de séropositivité chez les jeunes de 15 à 24 ans, en France, entre 2014 et 2023. Signe que partout dans le monde, la prévention, l'accompagnement et la prise en charge du VIH-sida continue de représenter une urgence de santé publique, qui nécessite une mobilisation mondiale le 1ᵉʳ décembre, comme tous les jours. Avec : Hélène ROGER, directrice du pôle analyse et plaidoyer de Sidaction Rodrigue KOFFI, coordinateur du réseau Grandir Ensemble, en Côte d'Ivoire Gratien CHIBUNGIRI, directeur de SOS SIDA, qui œuvre dans la province du Sud Kivu, Est RDC. Kevin AMBAH EVINA, Directeur exécutif de l'organisation Affirmative Action, association Camerounaise de lutte contre le VIH/SIDA Programmation musicale : ► Elton John – I'm still standing ► Phyno – Ask me of now
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.
durée : 00:37:20 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Les financements publics de la lutte contre le Sida sont insuffisants. La France n'a promis aucun don au Fonds mondial. Les Etats-Unis l'ont quant à eux réduit. Les autorités de santé s'inquiètent de cette situation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Avant la fin de l'année, Madagascar va lancer des poursuites judiciaires contre le président déchu Andry Rajoelina », a annoncé ce lundi 1er décembre sur RFI la nouvelle ministre de la Justice de Madagascar, Fanirisoa Ernaivo. Depuis son exfiltration par la France, le 12 octobre dernier, Andry Rajoelina vit sans doute à Dubaï, où il a placé une partie de sa fortune. Mais il est soupçonné par les nouvelles autorités malgaches de graves faits de corruption. En ligne d'Antananarivo, la ministre de la Justice fait le point, au micro de Christophe Boisbouvier, sur les procédures contre les dignitaires de l'ancien régime de Madagascar. RFI : Fanirisoa Ernaivo, le régime d'Andry Rajoelina est accusé de multiples actes de corruption. Est-ce que vous n'êtes pas submergée par le nombre de dossiers ? Fanirisoa Ernaivo : Effectivement, nous sommes submergées par un grand nombre de dossiers qui n'ont pas pu être instruits au moment où j'étais encore au pouvoir. À lire aussiMadagascar: la société civile critique la trajectoire prise par la transition L'une des causes de l'insurrection du mois d'octobre, c'est le manque d'eau et d'électricité à Antananarivo, est-ce que la société étatique Jirama, qui produit et distribue l'eau et l'électricité, a été l'objet de graves détournements ? Je ne pourrais vous dire oui ou non, parce qu'il y a des détournements et la mauvaise gouvernance dans la Jirama. Mais ça, je ne pourrais en parler dans l'affirmatif sans avoir un dossier devant moi. Et nous sommes en train de faire un audit des contrats de la Jirama au niveau du gouvernement. Et c'est là, après cet audit, après la révision de ces contrats, qu'on pourra parler de quel est vraiment le détournement de pouvoir dont on pourrait accuser quelques personnes et quelques entités dans cette histoire de défaillance de la Jirama. Est-ce que parmi les personnes soupçonnées d'être impliquées dans ces détournements à la Jirama, il y a le milliardaire en fuite, Mame Ravatomanga ? Pour l'instant, on est en train de commencer. Je n'ai même pas encore eu le dossier devant mes yeux. Et donc, sans vouloir tout de suite spoiler le contenu de cet audit, je vais dire qu'il y a des personnes dont, éventuellement, l'opérateur économique, Mame Ravatomanga, plusieurs sociétés, dont il a des branches, pourraient être mises en cause dans les résultats de cet audit. Des sociétés qu'il contrôle de façon indirecte ? Voilà. Dans la filière du litchi, il y avait une société écran qui s'appelait Litchi Trading Company, LTC, et par laquelle transitaient les fonds entre importateurs et exportateurs. Et du coup, tous les exportateurs malgaches viennent d'être approchés par les enquêteurs du Bianco, le bureau indépendant anticorruption. Est-ce à dire que ce sont tous les exportateurs malgaches de Litchi qui ont trempé dans de graves détournements d'argent ? On ne va pas parler de détournement, on va parler d'évasion fiscale. Concernant le dossier Litchi, du groupement des exportateurs de litchi, en effet, il y a eu la création de cette entité qui s'appelle GEL, Groupement des Exportateurs de Litchi. Normalement, ce groupement devait être institué pour pouvoir acheter à des prix avantageux pour les producteurs et pour revendre à l'exportation à des prix avantageux pour l'État et les exportateurs, en termes de retour de rapatriement de devises. Mais ces exportateurs-là, donc, ils vont collecter la production des produits, des producteurs locaux, et ils vont revendre toute la production à une société qui s'appelle LTC, qui est basée à Maurice, et donc qui devient le principal débouché de toute la production malgache. Alors que ce LTC, il s'avère que ça appartient à quelques têtes des membres du GEL. Et cela, donc, s'apparente à plafonner les devises issues de cette exportation au niveau de la vente effectuée entre le GEL et les exportateurs. Après, la LTC, la LitchiTrading Company, va revendre toute la production à d'autres distributeurs qui sont vraiment les vrais distributeurs de l'litchi dans le monde. Mais leur chiffre d'affaires va s'arrêter au niveau de la LTC, qui reste à Maurice. La fameuse société écran ? Voilà, la fameuse société écran. Et donc, du coup, l'État malgache va pouvoir rapatrier juste les devises qui ont été payées au niveau du GEL vers LTC. Et ça s'arrête là. Ça permet de cacher une grande partie des bénéfices ? Ça permet de soustraire une grande partie des bénéfices issus de cette exportation de litchis. Et comme la société est mauricienne, même s'il y a quelques membres du GEL qui sont derrière cette société, Madagascar pense qu'il y a quand même une lésion envers l'État malgache et le fisc malgache, parce que nous, nous ne savons pas donc quel est le vrai chiffre d'affaires du GEL. Parce que ça s'arrête à Maurice. Et combien d'opérateurs économiques sont visés par cette enquête ? Je ne suis pas encore en mesure de vous donner des noms ni des chiffres. Parce que l'enquête est en cours. Ce dossier de GEL LTC est actuellement en instruction parallèle entre Bianco Madagascar, PNF en France. Le parquet national financier et la FCC à Maurice La commission d'enquête financière de l'île Maurice ? Voilà. Et pour cette enquête-là, le dossier a été déposé en 2021 par Transparency International. Et il a été réouvert ici à Madagascar à notre arrivée au mois d'octobre dernier. D'accord. Donc l'enquête redémarre depuis le mois d'octobre ? On va dire qu'elle a débuté à Madagascar depuis fin octobre. Donc l'enquête redémarre depuis le mois d'octobre ? Depuis le changement de régime ? Voilà. Ça je voulais le préciser. Donc là actuellement, je n'ai pas encore tous les éléments d'information parce qu'il y a des enquêtes là-dessus. Mais ce qui est sûr, c'est que Mame Ravatomanga est parmi les personnes qui sont directement ou indirectement dans le LTC. Mais ce sera les résultats de l'enquête qui vont le confirmer s'il dirige directement ou indirectement cette société. LTC, Litchi Trading Company, la fameuse société écran ? Dans tous les cas, il dirige cette société. Cette société lui appartient et c'est là que je dis directement ou indirectement. Et il y a d'autres personnes également, je pense. Mais on le saura plus tard. Et donc l'infraction qui est constituée dans ce dossier est donc une évasion fiscale au détriment de l'État malgache. Et l'Ile Maurice est donc coopérative pour identifier le montant et la gravité de l'évasion fiscale. Autre dossier emblématique, Madame la Ministre, celui de 5 avions Boeing 777 qui ont été livrés clandestinement à une compagnie iranienne, Mahan Air. Malgré les sanctions américaines contre l'Iran, les certificats d'immatriculation de ces 5 avions ont été décernés à Madagascar. Alors où en est l'enquête ? Actuellement, nous sommes également sur ce dossier conjointement avec Maurice, le FBI et Madagascar. Nous avons repris les enquêtes au fond sur les principales personnes auteurs ou co-auteurs ou témoins. Et nous avons convoqué l'ancien ministre des Transports, pour être entendu au niveau du pôle anticorruption. Mais son avocat a répondu que le pôle anticorruption n'était pas compétent pour entendre l'ancien ministre. Sur lequel nous avons répondu que selon l'article 134 de la Constitution, pour les infractions de crimes ou délits qui sont extérieures à la fonction de ministre, même les ministres et les personnes assujetties à la haute cour de justice sont justiciables devant les tribunaux de droit commun, donc le pôle anticorruption, sans passer par la haute cour de justice. D'accord. Donc on attend s'il va s'exécuter ou pas selon cet article 134. Il y a plusieurs autres personnes qui ont été indiquées. Et qui ont été réentendues dans le cadre de cette enquête. Elles sont passées en enquête au fond, devant le pôle anticorruption, dans le cadre de cette enquête. Je n'ai pas le nombre de personnes qui sont citées dans le dossier Alors on retrouve aussi dans ce dossier apparemment le nom de Mame Ravatomanga, le milliardaire qui s'est enfui à l'île Maurice. Puisque selon nos confrères du site d'information scoop.mu, c'est ce milliardaire qui aurait usé de ses bonnes relations, avec les autorités malgaches et l'aviation civile malgache, pour faire homologuer ces 5 Boeings à destination de l'Iran. Et pour cela il aurait touché une commission de 5 millions d'euros ? Oui en effet c'est ressorti dans le dossier qu'il a perçu ce montant de 5 millions d'euros ou de dollars, pour permettre la délivrance de la première immatriculation de ces 5 avions. Immatriculation provisoire. D'accord. ll y a 1, 2, 3, je pense qu'il y a plusieurs personnes qui ont soutenu ce fait. Mais surtout il y a 2 personnes qui sont les témoins clés, témoins mais mis en cause aussi, dans cette remise de somme d'argent. Notamment les personnes qui lui ont remis la somme, et la personne qui a servi d'intermédiaire à cette remise. Je ne peux pas vous dire les noms pour protéger leur témoignage, si elles sont également mises en cause. Mais donc il y a 2 personnes. Et c'est 2 personnes qui devaient confirmer ce fait Alors vous parlez du FBI, le bureau d'investigation fédéral des Etats-Unis. Est-ce qu'il y a actuellement sur le sol de Madagascar des inspecteurs du FBI ? Actuellement non, mais on a demandé leur collaboration sur ce dossier. Je pense qu'ils sont encore sur ce dossier, mais aux Etats-Unis, mais pas encore à Madagascar. Alors quand le milliardaire Mame Ravatomanga a quitté Madagascar pour l'île Maurice, vous avez été mandatée, vous n'étiez pas encore ministre à l'époque, vous avez été mandatée par les nouvelles autorités malgaches pour aller à Port-Louis et pour obtenir l'extradition de monsieur Ravatomanga. Où en est la procédure ? Je vais rectifier. Ma mission sur Maurice, c'était de représenter le nouveau gouvernement, les nouveaux dirigeants de l'Etat malgache pour suivre le dossier et faire toutes les diligences concernant ce dossier. Et donc rapporter à Maurice toutes les infractions, toutes les actions commises sur Madagascar par Ravatomanga et consorts, faire un état de toutes les procédures qui existent à Madagascar contre Mame Ravatomanga et consorts, appuyer la plainte qui a été déposée par un Malgache à Maurice contre Mame Ravatomanga et consorts, et dans le cadre de tout cela, faire écho d'un mandat d'arrêt international décerné à Madagascar contre Mame Ravatomanga, et ce mandat d'arrêt doit être soldé par une extradition. Une extradition à la fin de toutes ces procédures, en sachant qu'une extradition ne peut être effectuée qu'à la fin d'une procédure. Quelle est la situation judiciaire de Mame Ravatomanga aujourd'hui à l'île Maurice ? Il est en état d'arrestation et comme son état de santé s'est dégradé depuis son arrivée à Maurice jusqu'à ce jour, il est en état d'arrestation mais il passe donc sa détention dans une clinique privée ou dans un hôpital. Son statut juridique est un état d'arrestation. Et que souhaitez-vous maintenant à son sujet ? Nous souhaitons poursuivre l'enquête sur les plusieurs dossiers dans lesquels il est impliqué à Madagascar et nous avons demandé des commissions rogatoires internationales à Maurice pour pouvoir faire ses auditions et les enquêtes sur sa personne, sur les personnes qui pourraient être impliquées avec lui et qui sont actuellement sur Maurice, notamment toute sa famille et ses collaborateurs et également faire des enquêtes financières sur ses sociétés à Maurice, conjointement avec la FCC. La commission d'enquête financière mauricienne. Et si au bout de cette enquête il y a procès, est-ce que vous souhaitez qu'il ait lieu à Maurice ou à Madagascar ? Je pense que pour l'instant il est plus judicieux qu'il reste à Maurice car à partir du moment où il sort de Maurice, on n'est plus sûr de rien. On n'est pas sûr qu'il va arriver à Madagascar, on n'est pas sûr qu'il va atterrir à Madagascar ou dans un autre pays. Sauf s'il y a extradition. L'extradition, je vous le dis, c'est après une condamnation. Nous pouvons le condamner ici à Madagascar et le faire condamner également à Maurice et ce ne serait qu'après cette condamnation qu'il va devoir rejoindre les prisons malgaches parce qu'en fait l'extradition c'est, on va dire, la réalisation d'un emprisonnement sur le territoire d'origine. C'est-à-dire ? C'est-à-dire malgache, là où s'est perpétrée l'infraction. Donc si je comprends bien, au bout de l'enquête actuelle, il pourrait y avoir un procès à Madagascar en l'absence de M. Ravatomanga. Et en cas de condamnation, il pourrait être ensuite extradé de Maurice à Madagascar, c'est ça ? Oui, et il pourrait également être jugé à Maurice par les autorités mauriciennes et peut-être soldé par une condamnation si les faits sont avérés. Il pourrait donc y avoir deux procès en parallèle ? Un à Maurice et un à Madagascar ? Exactement. Mais sur des faits différents alors ? Sur des faits différents. Au moment de l'insurrection du mois d'octobre, beaucoup d'autres dignitaires de l'ancien régime se sont enfuis, à commencer par le président, Andry Radjoelina, le Premier ministre, le président du Sénat. Alors du coup, beaucoup de Malgaches se demandent pourquoi vous n'avez pas lancé contre eux des mandats d'arrêt internationaux alors que vous l'avez fait contre M. Ravatomanga ? Si, on en a fait contre l'ancien maire de Tana. Il est impliqué dans un dossier où il y a plusieurs personnes qui sont placées sous mandat de dépôt et où lui-même est inculpé. Mais il a pu se soustraire à l'arrestation. On a lancé un mandat d'arrêt à Madagascar et internationaux contre lui au cas où il arriverait à sortir de Madagascar. Mais pour les autres, les mandats d'arrêt internationaux ne peuvent être faits que sur la base d'une procédure déjà ouverte. Or, aucune procédure n'a été ouverte, ni contre le président Andry Rajoelina, ni contre l'ancien Premier ministre, ni contre l'ancien président du Sénat ? Pas encore. Et justement, quelles sont les personnes contre qui vont être ouvertes des procédures ? Je ne dirais pas les noms parce qu'il y en a qui sont encore à Madagascar et qui risquent de s'enfuir si je vais dire les noms. Il y a des procédures qui ont déjà été ouvertes. Par exemple, pour Mame Ravatomanga, il y a eu ls Boeing 777. Il y a le dossier GEL-LTC. Avec ces deux procédures-là, qui étaient au PNF et au Bianco, il y a eu un mandat d'arrêt pour pouvoir permettre aux juridictions compétentes de procéder à une enquête envers Mame Ravatomanga. Il y a eu une procédure ouverte au niveau du Bianco et du pôle anticorruption contre Le Maire de Tana et Consort. Et comme il n'a pas pu se présenter à cette enquête, un mandat d'arrêt international a été décerné à son encontre également pour pouvoir le présenter devant la justice. On parle du maire d'Antananarivo ? On parle de l'ancien maire, oui. Pour Andry Rajoelina, en tant qu'ancien président, il faut qu'il soit présent. Il faut qu'il y ait une procédure ouverte et nous sommes en train de voir quelles sont les possibilités, ainsi que les autres membres du gouvernement. On est en train également de voir quelles sont les possibilités. Et une fois que ces possibilités de poursuites sont ouvertes, des convocations vont être envoyées. Convocations d'abord et puis mandat d'arrêt après. Et s'ils ne sont pas à Madagascar, donc des mandats d'arrêt internationaux. C'est comme ça en fait les procédures. On ne peut pas lancer tout de suite un mandat d'arrêt. Il faut d'abord qu'on ouvre l'enquête. Qu'on fasse les convocations. Et s'il est avéré que la personne n'est pas à Madagascar, on lance le mandat d'arrêt. Donc vous envisagez une procédure contre l'ancien président Andry Rajoelina ? Bien sûr. Pour toutes les personnes qui ont commis des infractions dans ce pays, il y aura des procédures qui seront ouvertes contre elles, y compris Andry Rajoelina. Et contre Andry Rajoelina, cette procédure pourrait-elle être ouverte d'ici la fin de l'année ? Bien sûr, avant la fin de l'année. Donc dans les semaines qui viennent ? Je ne pourrais pas vous dire dans combien de temps. Avant la fin de l'année. Et sur quelle base ? Sur quels faits précis ? Quand la procédure sera ouverte, vous aurez la communication là-dessus. Plus les avocats de la défense savent moins longtemps à l'avance, moins ils peuvent se défendre. Et préparer leurs alibis. Donc je ne peux pas vous dire sur quelle base on va les inculper avant d'entamer la procédure. C'est sûr qu'ils vont être poursuivis. Mais on ne peut pas vous dire là tout de suite sur quelle base. Sinon ils vont anticiper les preuves, ils vont préparer leur défense, leurs alibis, etc. Et ça rentre dans le cadre du secret de l'instruction. C'est sûr que l'ancien président Andry Rajoelina va être poursuivi ? Voilà. Donc ça c'est une certitude. Alors on sait que beaucoup d'avoirs...Et je pense que lui-même, il n'ignore pas qu'il a commis des infractions dans ce pays. À lire aussiMadagascar: Emmanuel Macron propose au nouveau dirigeant malgache «l'appui de la France» pour la transition
durée : 00:01:31 - Le billet sciences - Plus de 5 000 personnes ont découvert leur séropositivité en 2024 en France. Les autorités sanitaires incitent à poursuivre les efforts de prévention et de dépistage. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:30:36 - 100% Sainté Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:08 - L'invité d'ICI Matin, ICI Drôme Ardèche - La CGT, la FSU et Solidaires appellent à une journée nationale de grève et de manifestations le mardi 2 décembre 2025 contre l'austérité et pour les salaires, en plein examen du budget 2026. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un extrait qui ne vieillit pas. Un Vendredi fou assez achalandé en fin de semaine ! Carambolage sur la 40 Ouest. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Abonnez-vous à QUB télé via https://www.tvaplus.ca/qub ou écoutez ce segment en balado via https://www.qub.ca/radio/balado/benoit-dutrizacPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque matin à 8h35 on revient sur tout ce qui cartonne sur les réseaux sociaux !
durée : 00:43:05 - 100% Rugby - L'entraineur de la défense de l'Aviron Bayonnais, Nick Abendanon, est invité de 100% Rugby ce lundi 1er décembre, avant les débuts en Champions Cup avec la réception des Sud-Africains des Stormers. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque matin à 8h35 on revient sur tout ce qui cartonne sur les réseaux sociaux !
En Guinée-Bissau, la situation politique reste incertaine depuis le coup d'État qui a ébranlé le pays mercredi. Le processus électoral reste suspendu et le président déchu exfiltré du pays par la Cédéao. Ce samedi, le PAIGC, le grand parti d'opposition du pays a été envahi par des hommes armés. Le parti dénonce une atteinte grave à l'État de droit.
Invitée :Aurore Bergé, ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminationsChroniqueurs :Mathieu Bock-Côté, sociologue et essayisteChristophe Jakubyszyn, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chroniqueurs :Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDDEliott Mamane, chroniqueur politiquHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:57 - Le brief politique - Le président du parti fait la course en tête, à un an et demi de la prochaine élection présidentielle. Mais la patronne des députés RN martèle qu'elle n'a renoncé à rien pour l'instant. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après le coup d'État en Guinée-Bissau, notre expert répond à toutes vos questions sur les raisons de ce putsch, le nouveau président investi, la réaction de la Cédéao, l'avenir du pays... Invité : Avec Francis Kpatindé, spécialiste de l'Afrique de l'Ouest et maître de conférences à Sciences Po Paris. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, elle revient sur les rivalités entre le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko qui rythment les réseaux sociaux depuis plusieurs semaines.
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
On joue ensemble au "Club des Génies" pour gagner 100€ par jour.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan constituerait une « menace existentielle » pour le Japon, la première ministre japonaise encourt les foudres de Pékin depuis trois semaines. Taiwan est la question centrale des tensions en Asie de l'Est, avec Trump qui s'en mêle avec ambivalence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Comment réagir quand un enfant reproduit ce qui ressemble beaucoup à un abus sexuel? Qui prévenir en cas de suspicion d'inceste? Marco travaille depuis plus de 20 ans pour l'Association ESPAS, qui vient en aide aux personnes concernées par ces violences. C'est lui, de l'autre côté de la ligne d'urgence – littéralement, la première ligne. L'oreille qui écoute et conseille. À 48 ans, le Lausannois raconte cette vocation, entre passion, découragement et vertige. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ce jeudi, un document classifié élaboré par l'armée allemande pour se protéger d'une éventuelle attaque de la Russie a été révélé par le Wall Street Journal. Dans le détail, ces 1.200 pages contiennent des plans pour militariser le flan Est de l'Europe en envoyant jusqu'à 800.000 hommes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:26 - Le monde à l'endroit - L'Assemblée nationale a adopté jeudi 27 novembre à l'unanimité une résolution contre l'accord de libre échange UE-Mercosur. Autour de la table des Vingt-sept comme au Parlement européen, la bataille est en revanche loin d'être gagnée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.
durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ce jeudi, un document classifié élaboré par l'armée allemande pour se protéger d'une éventuelle attaque de la Russie a été révélé par le Wall Street Journal. Dans le détail, ces 1.200 pages contiennent des plans pour militariser le flan Est de l'Europe en envoyant jusqu'à 800.000 hommes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan constituerait une « menace existentielle » pour le Japon, la première ministre japonaise encourt les foudres de Pékin depuis trois semaines. Taiwan est la question centrale des tensions en Asie de l'Est, avec Trump qui s'en mêle avec ambivalence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités :Eric Naulleau, journaliste et essayisteCharles Millon, ancien ministre de la DéfenseCatherine Nay, éditorialisteLouis de Raguenel, journaliste politiqueGénéral Bruno ClermontLaetitia Guinand, journaliste politiqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.
Épisode 1397 : Après des années de domination des macro-influenceurs et de leur contenu glamour déconnecté du réel tourné depuis leur gratte ciel des émirats il est temps de revenir sur le plancher des vaches avec des créateurs plus locaux qui affirment leur identité et qui n'ont rien à leur envier !C'est quoi un influenceur local ?Un influenceur local, c'est un créateur de contenu ancré dans son territoire. Il vit dans sa ville. Il connaît les bonnes adresses. Il partage les spots, les restos, les boutiques de sa région. C'est souvent un micro-influenceur. On parle de 10 000 à 100 000 abonnés. Parfois moins. Ces créateurs sont experts d'une thématique. Mode, food, lifestyle, voyage. Mais toujours avec un angle géographique fort. Leur communauté est là, près de chez eux. Ils parlent à des gens qui peuvent vraiment aller dans les endroits qu'ils recommandent.Les campagnes marketing se concentraient sur Paris. Comme si c'était la seule ville en France. Aujourd'hui, les choses changent. Les marques ont compris que les régions comptent.Des exemples concrets d'influenceurs locauxLe phénomène est partout en France. Voici des profils qui cartonnent :À Lille : Mathilde @lillebymat. A Marseille : Liane Comme TarzanÀ Lyon : Clémentine @clementine.drn. A Annecy : Le blog de Neroli—Pourquoi ça marche aussi bien l'influence locale ?Les chiffres parlent d'eux-mêmes.Des taux d'engagement jusqu'à 8 fois supérieurs. Une étude publiée par l'union des métiers de l'influence. Le premier baromètre de l'influence.Les micro-influenceurs locaux génèrent un engagement bien plus fort que les influenceurs nationaux. Un micro-influenceur affiche en moyenne 4,42% d'engagement sur Instagram. Contre 1,72% pour les méga-influenceurs. Sur TikTok, c'est encore plus flagrant : les micro-influenceurs atteignent 10,3% d'engagement moyen. Les créateurs à grande audience peinent à dépasser 2%.Plusieurs signaux expliquent cette montée en puissance.La fatigue envers les gros influenceurs. On appelle ça "l'influencer fatigue". Les consommateurs sont saturés. Trop de placements produits. Trop de partenariats. La confiance s'érode. Les audiences s'engagent moins. Les célébrités digitales perdent de spoints.Ce que la montée des influenceurs locaux dit de notre époqueLa fin du mythe des millions d'abonnés. Pendant longtemps, les marques ont cru que la taille faisait la force. Elles se trompaient. Aujourd'hui, mieux vaut 50 000 abonnés hyper engagés que 2 millions de followers passifs.Comment les marques doivent s'adapterPour le marque nationales il faut revoir sa copie.Multiplier les collaborations et penser réseau. Pour toucher une large audience géographique, il faut activer plusieurs micro-influenceurs dont les communautés couvrent différentes zones. Ce n'est plus un gros coup, c'est un réseau.Penser drive-to-store. L'influenceur local peut générer du trafic en boutique. Des réservations au restaurant. Des visites sur un site touristique. Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 25 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. ► EXERCICE Comprendre un extrait du journal | Worakls, un artiste du mix | niveau B1 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CDND.A
durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, zoom dans cette édition sur le rapport rendu au ministre de la Justice ce mardi concernant les violences intrafamiliales.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSAction justice Apple : CLCV, Le Parisien, France 24, Sud OuestFilms Ghibli France TV : Studios Ghibli France, NumeramaConcert 3D Billie Eilish : BFMTV, VarietyWicked II : France Info, Le FigaroTournée The Weeknd : Rolling Stone, RTBFFestivals France : CNM, Rolling StoneÉcriture : Eden AyachIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:42 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Insuffisamment connues, les violences économiques s'inscrivent dans une continuum de violences faites au femmes. Et rendent difficile le départ du domicile conjugal.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 25 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:25 - Journal de 8 h - En cette journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, zoom dans cette édition sur le rapport rendu au ministre de la Justice ce mardi concernant les violences intrafamiliales.