Podcasts about Contre

Commune in Hauts-de-France, France

  • 4,037PODCASTS
  • 25,848EPISODES
  • 22mAVG DURATION
  • 3DAILY NEW EPISODES
  • Dec 8, 2025LATEST
Contre

POPULARITY

20172018201920202021202220232024

Categories




    Best podcasts about Contre

    Show all podcasts related to contre

    Latest podcast episodes about Contre

    Grand bien vous fasse !
    Comment supporter les traitements contre le cancer ?

    Grand bien vous fasse !

    Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 24:33


    durée : 00:24:33 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Ce matin, dans le Mag de la vie quotidienne, nos deux invités sont co-auteurs du livre "Vivre avec, vivre après" paru chez L'Iconoclaste. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Learn French with daily podcasts
    Listening Practice - Du choux contre le cancer

    Learn French with daily podcasts

    Play Episode Listen Later Dec 6, 2025 1:52


    Voici l'essentiel sur le lien entre les choux et le traitement du cancer. Here is the essential information about the link between cabbages and cancer treatment.On se demande souvent si ce qu'on mange peut vraiment faire une différence, hein. We often wonder if what we eat can really make a difference, right?Eh bien, une étude toute récente nous dit que oui. Well, a very recent study tells us that yes.Des chercheurs ont testé ça sur des animaux. Researchers tested this on animals.Un groupe a mangé un régime riche en légumes comme le chou ou le brocoli, et l'autre non. One group ate a diet rich in vegetables like cabbage or broccoli, and the other did not.Le résultat ? Pour le groupe chou, l'immunothérapie a été plus efficace pour plus de la moitié d'entre eux. The result? For the cabbage group, immunotherapy was more effective for more than half of them.C'est énorme, parce que dans l'autre groupe, on était à seulement 20 %. That's huge, because in the other group, it was only 20%.Alors attention, ce n'est pas un remède miracle, bien sûr, c'est plutôt une façon de mettre toutes les chances de son côté. So be careful, it's not a miracle cure, of course, it's rather a way to put all the odds in your favor.De garder son système immunitaire en forme pour qu'il réponde mieux au traitement. To keep your immune system in shape so that it responds better to treatment.D'ailleurs, des études sur l'homme sont déjà en cours pour confirmer tout ça. Furthermore, studies on humans are already underway to confirm all of this.En résumé, ajouter des légumes comme le chou à son alimentation, ça pourrait bien être une stratégie simple, mais vraiment puissante, pour aider le corps à se défendre pendant un traitement contre le cancer. In summary, adding vegetables like cabbage to one's diet could well be a simple, but truly powerful strategy, to help the body defend itself during cancer treatment. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Reportage International
    Le Kosovo avance sur son projet de location de places de prison pour des pays étrangers

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Dec 6, 2025 2:31


    Discuté depuis 2021, le projet danois de location de places de prison au Kosovo pour y envoyer des criminels condamnés, originaires de pays non membres de l'Union européenne, prend petit à petit forme. Contre 200 millions d'euros, l'un des pays les plus riches d'Europe veut envoyer 300 prisonniers vers l'un des plus pauvres. Le Danemark, qui avait soutenu l'intervention de l'Otan en 1999 et l'indépendance du Kosovo, voit dans ce projet une coopération gagnant-gagnant. Mais sur place, le sujet divise. Surtout que ce genre de projets se multiplient dans des pays des Balkans, toujours tenus à la porte de l'UE. De notre correspondant à Gjilan dans le sud du Kosovo, La route goudronnée s'arrête à quelques dizaines de mètres des miradors. Perchée sur une colline sans arbres, juste au-dessus d'un village et de sa mosquée, la prison de Gjilan surplombe la deuxième ville du Kosovo. Une fois passé les portiques et les grilles de sécurité, le bruit des clés des gardiens résonne dans des couloirs particulièrement propres. Selon l'accord ratifié en 2024 à une large majorité par le Parlement, les prisonniers kosovars qui font aujourd'hui les 100 pas dans la prison de Gjilan devraient laisser la place à des détenus condamnés par la justice danoise, à 2 000 kilomètres du Kosovo. À lire aussiDanemark: premier accord pour envoyer 300 détenus dans une prison du Kosovo « C'est un mauvais accord » « Ces transferts de prisonniers ne concerneront pas les personnes condamnées pour extrémisme, extrémisme religieux ou terrorisme. Ce seront principalement des personnes condamnées à des peines de 5 à 10 ans de prison et originaires de pays tiers. On espère que cette collaboration sera un succès et un modèle pour d'autres pays », précise Ismaïl Dibrani, directeur général du système pénitentiaire du Kosovo. Les premiers détenus en provenance de Copenhague ne sont annoncés que pour avril 2027. Mais déjà, de nombreux pays comme la France ou la Belgique auraient demandé à pouvoir eux aussi louer des places de prison au Kosovo. À quelques kilomètres de la prison, le projet danois n'anime pas vraiment les conversations du centre piéton de Gjilan. Zarife Asllani en veut au gouvernement kosovar d'avoir signé un tel accord. Pour cette psychologue sociale de 38 ans, « c'est un mauvais accord. Nous ne sommes pas contre ces prisonniers. Mais ces 200 millions d'euros, cela aurait été mieux de les investir autrement au Kosovo ». À lire aussiEnvoyer ses détenus dans des prisons étrangères: une idée en vogue en Scandinavie Un geste de reconnaissance envers les États-Unis Comme plusieurs pays membres de l'Otan, le Danemark a soutenu l'indépendance et la construction du nouvel État kosovar. Les autorités de Pristina présentent cet accord comme un moyen de rembourser une dette historique et de conforter ses soutiens diplomatiques. Originaire de Gjilan, l'activiste Donika Emini dénonce une dérive honteuse. « Ces accords transforment les Balkans en dépotoir des pays riches, qui font ici ce qu'ils ne peuvent pas faire chez eux. C'est vraiment très problématique et hypocrite. Par exemple, dans le cas du Danemark, qui est un pays qui est toujours au sommet des classements internationaux pour son respect des droits humains. » À la demande de Washington, le Premier ministre kosovar, Albin Kurti, a également accepté d'accueillir 50 ressortissants latino-américains expulsés des États-Unis. Un geste de reconnaissance éternelle envers le principal soutien du Kosovo, mais qui n'a pour l'instant pas dépassé l'effet d'annonce.

    Le Cours de l'histoire
    Le Moyen Âge y a déjà pensé : Écrire contre le patriarcat… au XVe siècle

    Le Cours de l'histoire

    Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 3:41


    durée : 00:03:41 - Le Fil histoire - Au XVè siècle, on s'écharpe déjà sur ce que signifie et implique le patriarcat à coups de pamphlets et de romans. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Emanuele Arioli Archiviste paléographe et docteur d'études médiévales, chroniqueur du "Fil histoire" sur France Culture.

    Rothen s'enflamme
    Tous contre Rothen : le quiz de Louis Gerbier – 04/12

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 6:19


    Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.

    Ça va Beaucoup Mieux
    "C'est contre-productif" : Jimmy Mohamed explique pourquoi il vaut mieux ne pas boire de Coca quand on a une gastro

    Ça va Beaucoup Mieux

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 3:22


    Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 04 décembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Invité Afrique
    RDC-Rwanda: «Des mesures radicales doivent être prises contre les FDLR»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 19:02


    C'est ce jeudi 4 décembre 2025, à Washington, aux États-Unis, que le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagame doivent ratifier un accord de paix en présence de Donald Trump. Mais comme les combats font rage actuellement au Sud-Kivu, beaucoup s'interrogent sur la portée réelle de l'accord à venir sur le terrain. Léonard She Okitundu a été le ministre congolais des Affaires étrangères de 2016 à 2019. Aujourd'hui, il est député national et vice-président de la commission des Affaires étrangères à l'Assemblée congolaise. Pour lui, la solution passe par une vraie neutralisation des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda). De passage à Paris, il le dit au micro de Christophe Boisbouvier et Patient Ligodi. RFI : Alors, la principale condition que pose le Rwanda au retrait de ses troupes du Congo, c'est la neutralisation par l'armée congolaise des rebelles hutus rwandais FDLR qui sont basés au Congo. Pourquoi cela n'a-t-il pas encore été fait ? Léonard She Okitundu : Concernant la République démocratique du Congo, cette question des FDLR est une question déterminante. Et c'est pour ça que moi, j'essaye par tous les moyens que le gouvernement soit considéré comme le meilleur élève de l'application des résolutions du Conseil de sécurité. Parce que le seul reproche qu'on fait à la RDC sur cette question-là, c'est justement cette fameuse collaboration avec les FDLR. Par conséquent, de mon point de vue, il doit être pris en République démocratique du Congo des mesures radicales contre ce mouvement. Parce que finalement, ce mouvement est en train de prendre en otage toute la République démocratique du Congo. Parce que sur cette question des FDLR, je crois qu'il y a une certaine unanimité de la part des membres du Conseil de sécurité, sur la nécessité, si pas, l'obligation de neutraliser ces groupes armés qui opéreraient sur le territoire de la République démocratique du Congo. Des mesures radicales, ça veut dire des mesures crédibles ? Crédibles, c'est-à-dire qui soient considérées crédibles par ceux auprès de qui nous cherchons l'appui en vue de dégager une solution diplomatique à ce conflit. Parce qu'il n'y a pas de solution militaire. Oui, mais il y a quelques jours, un porte-parole des FDLR présents sur votre territoire a affirmé qu'il n'était pas question pour ces forces de désarmer. Est-ce que ce n'est pas une déclaration qui donne raison au Rwanda, dans les reproches de laxisme et de négligence qu'il adresse aux autorités congolaises ? Effectivement, moi, je considère cette déclaration comme extrêmement grave. On ne peut pas accepter que le responsable de ce mouvement fasse une telle déclaration. Par conséquent, j'estime que le gouvernement, par mesure radicale, devrait considérer toute personne qui se réclame de ce groupe armé indésirable sur le territoire de la République démocratique du Congo. Persona non grata ? Persona non grata. Mais franchement, est-ce que les FARDC du Congo et les FDLR rwandais ne combattent pas ensemble depuis de très longues années contre le M23 et l'armée rwandaise… Et du coup, est-ce que, sur le terrain, les officiers FARDC ne sont pas redevables à l'égard de leurs frères d'armes hutus rwandais ? Et du coup, est-ce qu'ils ne sont pas hostiles à toute neutralisation de ces FDLR ? S'il y a des gens qui sont hostiles, alors là franchement, cela devrait être sévèrement sanctionné. Nous ne pouvons pas accepter la moindre collaboration avec les FDLR. Jusqu'à présent, d'ailleurs, dans les négociations qui sont faites, on ne mentionne pas le gouvernement en tant que tel, mais on considère que ce sont certains éléments des forces armées congolaises qui collaborent avec les FDLR. Alors, dans ces conditions, autant on doit être sévère à l'égard de ces FDLR, autant aussi à l'égard de tout officier militaire qui s'exposerait à une telle collaboration, on ne peut pas accepter du tout. L'autre condition que pose le Rwanda au retrait de ses troupes du Congo, c'est la fin des discriminations à l'égard des Congolais d'origine tutsi. Est-ce que le gouvernement de Kinshasa a pris toutes les mesures nécessaires pour protéger ces populations ? Alors franchement, là, c'est amuser la galerie. Moi, je suis parlementaire, nous avons les parlementaires d'origine tutsi avec nous au Parlement congolais. Donc, on ne peut pas du tout accuser le gouvernement de la RDC d'adopter une attitude discriminatoire à l'égard de la communauté tutsi. Il y a des ministres d'origine tutsi et dans l'armée aussi, tout comme dans les services. Donc cette discrimination est un véritable prétexte pour justifier l'injustifiable. Est-ce que, de ce point de vue, il ne faut pas une déclaration solennelle du pouvoir congolais ? Effectivement, sur ces deux choses, moi, j'aurais préféré franchement, en toute modestie, que les deux questions, la discrimination prétendument faite par le gouvernement congolais à l'égard de la communauté tutsi et puis, ensuite, cette collaboration avec les FDLR, il faudrait qu'à un moment donné, le gouvernement traite de ces questions en Conseil des ministres et qu'à la suite d'un Conseil des ministres, on entende le ministre de la Communication solennellement donner la position du gouvernement de la RDC sur ces deux questions. D'une part, rappeler la pleine citoyenneté de ceux qui remplissent les conditions, la citoyenneté congolaise des personnes d'origine tutsi, ceux qui remplissent les conditions, je dis bien, et puis en même temps interdire toute discrimination à leur égard. Et en ce qui concerne les FDLR, il faut absolument les considérer comme indésirables, proclamer, décréter, l'indésirabilité de ces gens sur le territoire de la République démocratique du Congo. Et puis en même temps, s'il y a des réfractaires, il faudra utiliser la contrainte pour finalement mettre fin à cela. À lire aussiRDC-Rwanda: rencontre au sommet à Washington pour une paix incertaine

    Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
    Punchline - Guerre contre le Russie : la peur s'installe en Europe

    Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 8:07


    Invités :Eric Naulleau, journalisteGauthier Le Bret, journalisteCatherine Nay, editorialisteLaetitia Guinand, journaliste politiqueLouis de Raguenel, journaliste politiqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Affaires sensibles
    Le C.L.O.DO. ou la révolte contre l'informatisation de la société

    Affaires sensibles

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 48:52


    durée : 00:48:52 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'histoire du CLODO. Un groupe mystérieux qui, au début des années 80, s'en prend à l'informatique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Le téléphone sonne
    Les sondages : pour, contre, ne se prononce pas ?

    Le téléphone sonne

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 37:31


    durée : 00:37:31 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Ces dernières semaines plusieurs sondages ont fait polémiques. L'heure est à la réflexion. Comment sont fabriqués les sondages ? En avons-nous de trop ? Sont-ils tous de qualité ? Quels usages politiques et médiatiques en sont faits ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Rothen s'enflamme
    Tous contre Rothen : le quiz de Louis Gerbier – 03/12

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 7:36


    Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.

    Rothen s'enflamme
    Jérôme Rothen est très remonté contre le président du club Fabrice Bocquet – 03/12

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 6:27


    Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.

    Les Grandes Gueules
    Municipales : pour ou contre un front anti-LFI ? - 03/12

    Les Grandes Gueules

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 28:18


    Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 3 décembre 2025 : "Municipales, pour ou contre un front anti-LFI ?" avec Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises et Fatima Ait Bounoua, professeure de Français.

    Invité Afrique
    Centrafrique: l'opposant Henri-Marie Dondra envisage de «reconcilier le pays et lutter contre la pauvreté»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 11:14


    Les Centrafricains sont appelés aux urnes le 28 décembre prochain pour élire leur futur président. Six candidats sont dans les starting-blocks pour croiser le fer avec le chef de l'État sortant, Faustin-Archange Touadera qui, lui, brique un troisième mandat. Parmi eux : l'opposant et ex-Premier ministre Henri-Marie Dondra, dont la candidature a été validée par la Cour constitutionnelle. Organisation des élections, validation des opposants par le Conseil constitutionnel, questions sécuritaires, situation socio-économique, priorités de son programme... Henri-Marie Dondra s'exprime au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans son interview à RFI le 24 novembre dernier, le président sortant Faustin-Archange Touadéra a mis en avant son bilan sécuritaire, notamment la signature de plusieurs accords avec de nombreux groupes rebelles et la pacification de tout le territoire centrafricain. Est-ce qu'il n'a pas raison ? Henri-Marie Dondra : Il faut être franc aussi, reconnaître qu'effectivement, il y a aujourd'hui une sécurité qui progressivement s'installe. Elle n'est pas totale, mais elle est aujourd'hui en train de s'installer. Mais à quel prix ? C'est-à-dire ? Ben, écoutez, nous notons des exactions qui sont commises çà et là. Je pense qu'il va falloir davantage que le pouvoir prenne ses responsabilités pour pouvoir justement réprimer toutes les bavures qui sont parfois commises, autant par nos forces de défense et de sécurité que par les forces alliées qui accompagnent nos soldats. Si vous êtes élu, monsieur le Premier ministre, quelles seront vos deux priorités ? Alors, d'abord, réconcilier les Centrafricains par le grand pardon. Donc, j'envisage tout d'abord de convoquer un grand débat national avec toutes les forces vives de la nation pour débattre des questions qui divisent nos compatriotes, notamment les questions liées à la Constitution, à la citoyenneté, au mandat présidentiel. Et je ferai revenir tous nos compatriotes qui sont aujourd'hui en exil. Et d'un... De deux, vous savez que près de 70 % de nos compatriotes vivent sous le seuil de pauvreté, et nous nous attaquerons à la résolution de ces problèmes-là à travers des politiques sectorielles, grâce à un plan d'urgence qui va s'articuler autour de l'agriculture, autour de l'éducation, la santé et les infrastructures de base. Nous allons nous attaquer au secteur de l'eau, au secteur de l'énergie, à l'autosuffisance alimentaire par une agriculture qui sera davantage mécanisée. Henri-Marie Dondra, vous avez été le ministre des Finances du président Touadéra pendant tout son premier mandat. Vous avez même été son Premier ministre au début de son deuxième mandat. Du coup, est-ce que le président sortant ne peut pas vous dire aujourd'hui : « Mais cher monsieur Dondra, mon bilan est aussi le vôtre ! » ? J'assume. J'ai travaillé avec le président Touadéra pendant six ans et tout n'a pas été parfait. Mais au plan économique, nous avons atteint certains objectifs parce que, durant les cinq premières années où j'étais encore au ministère des Finances, nous avons pu stabiliser l'économie avec une croissance qui était d'environ 4,5 %, un chiffre record d'ailleurs enregistré depuis les indépendances. Mais aujourd'hui, quand on observe les chiffres qui sont affichés en termes de croissance, nous oscillons autour de 1,4 ou 1,5. Or depuis quatre ans, je ne suis plus avec lui. Donc, vous assumez les six premières années, mais vous dénoncez les quatre dernières années ? Mais ces quatre dernières années, nous avons assisté à la mise en œuvre d'une nouvelle Constitution et nous avons tous remarqué qu'effectivement, durant ces quatre dernières années, le pouvoir a cherché par tous les moyens à faire passer un troisième mandat. Et nous notons aussi que, bon, les priorités de nos compatriotes ont été reléguées au second plan. Depuis le départ des militaires français, les militaires russes occupent une très grande place dans le dispositif sécuritaire de votre pays. Si vous êtes élu, est-ce que vous leur demanderez de rester ou de partir ? Bon, il y a des conventions qui ont été signées. Si effectivement, dans le cadre des commissions mixtes, nous pouvons arriver à auditer justement les conventions signées, et bien, on aura l'occasion soit de les ajuster à défaut de les revoir. Donc, voilà ma position. Je ne veux pas faire de mon pays un théâtre de conflits géopolitiques en tout cas. Et si les audits ne signalent aucune infraction, vous êtes d'accord pour que les militaires russes restent dans votre pays ? Non, mais je ne demande pas à ce que telle force reste dans mon pays forcément. Nous sommes un pays souverain. À l'occasion, justement des échanges que nous aurons dans le cadre des commissions mixtes, comme je le disais, nous aurons à ajuster les choses et nous aurons à aviser. L'objectif du président sortant, c'est un coup K.O., la victoire au premier tour, comme la dernière fois en 2020. Alors vu son bilan qui n'est pas que négatif comme vous le dites vous-même, est-ce qu'il n'a pas de bonnes chances de réussir son coup ? Ben, vous savez, la politique n'est pas un ring et le peuple n'est pas un arbitre de boxe. Quand on parle d'un coup K.O., on oublie la souffrance des Centrafricains, la déchirure qu'il y a dans le pays. Et je pense qu'il faut parfois être aussi sérieux. Le dire pour moi de cette façon, c'est avoir aussi un peu de mépris pour cette population qui vit dans la misère totale aujourd'hui. Maintenant, s'il y a un coup K.O. avec les adversaires qu'il a aujourd'hui en face, ça sera forcément une fraude qui aura été bien planifiée. Donc moi, je ne pense pas à ce passage du président au premier tour. À lire aussiCentrafrique: «Je ne dis pas que tout est parfait, mais nous avons fait un grand pas», estime le président Touadéra

    Le zoom de la rédaction
    Pour lutter contre le narcotrafic, ces élus occupent les points de deal

    Le zoom de la rédaction

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 4:32


    durée : 00:04:32 - Le Grand reportage de France Inter - Face au narcotrafic, les élus de Fontaine, dans l'agglomération de Grenoble, ont décidé d'occuper le terrain, pour faire fuir les dealers et redonner confiance aux habitants. Une opération qui porte ses fruits, au moins à court terme. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Les matins
    Attaques contre le CNC, fréquentation en baisse : un mauvais scénario pour le cinéma français ?

    Les matins

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 39:30


    durée : 00:39:30 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - En décembre 1895 les frères Lumière donnaient la première séance publique de l'histoire du cinéma. 130 ans plus tard, le public n'est plus au rendez-vous. Fréquentation en chute libre, offensive du RN contre le CNC, menaces de taxation américaine : le cinéma traverse une période de turbulences. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marie-Ange Luciani Productrice de cinéma; Thierry Frémaux directeur de l'Institut Lumière de Lyon et le délégué général du Festival de Cannes

    Les matins
    Les États-Unis vont-ils entrer en guerre contre le Venezuela ?

    Les matins

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 5:36


    durée : 00:05:36 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Si la légalité des opérations militaires menées par les États-Unis contre des narcotrafiquants supposés dans les Caraïbes est mise en doute à Washington, Donald Trump accroît sa pression contre son homologue vénézuélien Nicolás Maduro pour qu'il quitte le pouvoir ; menaces d'opérations terrestres.

    Les Nuits de France Culture
    Les dossiers de l'histoire - Le procès de Nuremberg 2/3 : Crime contre la paix (1ère diffusion : 14/11/1966)

    Les Nuits de France Culture

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 80:58


    durée : 01:20:58 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Roger Pillaudin - Interprètes : Jacques Berthier, Roger Bret, Michel Bouquet, Jacques Castelot, René Farabet, Jean-Marie Fertey, Fred Fischer, Henri Gilabert, Philip Gaunt, Julien Guiomar, Pierre Leproux, Serge Lopoukhine, Jean Mauvais, Ruth Morrow, Jean-Paul Moulinot, Jean Négroni, Pierre Olivier, André Torrent, Guy Tréjan et Claude Vernier - Réalisation Henri Soubeyran - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat

    Rothen s'enflamme
    Tous contre Rothen : le quiz de Louis Gerbier – 02/10

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 7:40


    Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.

    Le sept neuf
    Critique contre les grands patrons : Sophie Binet annonce sa mise en examen pour injure publique

    Le sept neuf

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 23:50


    durée : 00:23:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - La leader de la CGT, Sophie Binet, a annoncé mardi sur France Inter sa mise en examen pour "injure publique" après avoir qualifié en janvier à la radio les patrons de "rats qui quittent le navire" dont "le seul objectif, est l'appât du gain". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    RTL Matin
    Un label pour lutter contre la désinformation, l'Elysée répond à Cnews

    RTL Matin

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 3:07


    Un label pour lutter contre la désinformation, l'Elysée répond à Cnews.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les interviews d'Inter
    Critique contre les grands patrons : Sophie Binet annonce sa mise en examen pour injure publique

    Les interviews d'Inter

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 23:50


    durée : 00:23:50 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - La leader de la CGT, Sophie Binet, a annoncé mardi sur France Inter sa mise en examen pour "injure publique" après avoir qualifié en janvier à la radio les patrons de "rats qui quittent le navire" dont "le seul objectif, est l'appât du gain". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Pascal Praud et vous
    Édito Pascal Praud - Attaque de l'Élysée contre CNews : «Le ministère de la vérité est né»

    Pascal Praud et vous

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 1:54


    Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur l'attaque de l'Élysée contre CNews et Pascal Praud en faisant passer des commentaires pour de la désinformation, c'est la stratégie élyséenne. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les matins
    Lutte contre le sida / Diplomatie vaticane / Jean-Noël Barrot

    Les matins

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 149:49


    durée : 02:29:49 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère

    Priorité santé
    Lutte contre le sida : l'année de bascule ?

    Priorité santé

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 48:30


    À l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, nous faisons le point sur la lutte contre cette infection, qui attaque et fragilise le système immunitaire de l'organisme. Si l'on dispose aujourd'hui d'outils efficaces pour prévenir et traiter le VIH, des pénuries menacent-elles les populations les plus vulnérables ? Après plus de 40 ans de lutte et de travail auprès des populations clés, les associations sont-elles à bout de souffle ?    Depuis 1988, la date du 1er décembre est placée sous le signe de la « Journée mondiale de lutte contre le sida ». Presque 40 ans de lutte pour sensibiliser et alerter sur cette pandémie qui a tué plus de 44 millions de personnes, à l'échelle planétaire. Aujourd'hui, d'après l'ONUSIDA, plus de 40 millions de personnes vivent avec le virus et la majorité d'entre elles (31,5 millions) ont accès à un traitement antirétroviral, les ARV. Cette prise en charge a permis de faire reculer sensiblement la mortalité de cette infection complexe, qui affaiblit le système immunitaire.   Des avancées, mais un avenir incertain  Cette lutte a permis d'enregistrer des progrès significatifs (y compris en termes de nouveaux traitements : en particulier, les recommandations de juillet 2025, sur l'utilisation du nouveau traitement injectable Lenacapavir, en prophylaxie pré-exposition, à raison de deux injections annuelles). Mais le VIH demeure un problème majeur de santé publique et en 2025, une menace inédite pèse sur la riposte. Désengagement international généralisé  Ce danger majeur qui se dessine aujourd'hui pour toutes celles et ceux qui luttent contre le sida a une explication : la baisse brutale et sensible des financements internationaux… Ces coupes s'ajoutent à l'arrêt de l'aide américaine depuis janvier 2025, avec la fin de l'USAID (l'agence américaine pour le développement international) et la réduction drastique du PEPFAR (plan d'aide américain à la lutte contre le sida à l'étranger initié depuis 2003). À ce retrait américain, s'ajoute la baisse significative des aides des pays développés, dont la France, qui à ce jour n'a toujours pas annoncé le montant de sa contribution à la reconstitution du Fonds Mondial, alors que Paris en était le deuxième contributeur à l'échelle internationale. À lire aussiFinancement de la lutte contre le VIH: «La France est vraiment en-deçà des attentes», s'inquiète une association Les associations plus mobilisées que jamais  Suite à cette désaffection, le Sidaction, association qui soutient la recherche contre le sida, fait part de sa sidération. L'association Aides rappelle qu'avec une charge virale indétectable, le virus ne se transmet pas. Le CNS (Conseil national du sida et des hépatites virales) s'inquiète de l'augmentation de 41 % des découvertes de séropositivité chez les jeunes de 15 à 24 ans, en France, entre 2014 et 2023. Signe que partout dans le monde, la prévention, l'accompagnement et la prise en charge du VIH-sida continue de représenter une urgence de santé publique, qui nécessite une mobilisation mondiale le 1ᵉʳ décembre, comme tous les jours.  Avec : Hélène ROGER, directrice du pôle analyse et plaidoyer de Sidaction Rodrigue KOFFI, coordinateur du réseau Grandir Ensemble, en Côte d'Ivoire  Gratien CHIBUNGIRI, directeur de SOS SIDA, qui œuvre dans la province du Sud Kivu, Est RDC.  Kevin AMBAH EVINA, Directeur exécutif de l'organisation Affirmative Action, association Camerounaise de lutte contre le VIH/SIDA    Programmation musicale : ► Elton John – I'm still standing  ► Phyno – Ask me of now

    Un jour dans le monde
    Journée mondiale de lutte contre le Sida

    Un jour dans le monde

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 37:20


    durée : 00:37:20 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Les financements publics de la lutte contre le Sida sont insuffisants. La France n'a promis aucun don au Fonds mondial. Les Etats-Unis l'ont quant à eux réduit. Les autorités de santé s'inquiètent de cette situation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Un jour dans le monde
    La lutte contre le Sida : fin de la maladie ou fin des crédits ?

    Un jour dans le monde

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 13:47


    durée : 00:13:47 - L'invité d'un jour dans le monde - Les financements publics de la lutte contre le Sida sont insuffisants. La France n'a promis aucun don au Fonds mondial. Les Etats-Unis l'ont réduit. Les autorités de santé s'inquiètent de cette situation. On en parle avec Florence Giard, directrice générale adjointe de Coalition PLUS. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Priorité santé
    Lutte contre le sida : l'année de bascule ?

    Priorité santé

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 48:30


    À l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, nous faisons le point sur la lutte contre cette infection, qui attaque et fragilise le système immunitaire de l'organisme. Si l'on dispose aujourd'hui d'outils efficaces pour prévenir et traiter le VIH, des pénuries menacent-elles les populations les plus vulnérables ? Après plus de 40 ans de lutte et de travail auprès des populations clés, les associations sont-elles à bout de souffle ?    Depuis 1988, la date du 1er décembre est placée sous le signe de la « Journée mondiale de lutte contre le sida ». Presque 40 ans de lutte pour sensibiliser et alerter sur cette pandémie qui a tué plus de 44 millions de personnes, à l'échelle planétaire. Aujourd'hui, d'après l'ONUSIDA, plus de 40 millions de personnes vivent avec le virus et la majorité d'entre elles (31,5 millions) ont accès à un traitement antirétroviral, les ARV. Cette prise en charge a permis de faire reculer sensiblement la mortalité de cette infection complexe, qui affaiblit le système immunitaire.   Des avancées, mais un avenir incertain  Cette lutte a permis d'enregistrer des progrès significatifs (y compris en termes de nouveaux traitements : en particulier, les recommandations de juillet 2025, sur l'utilisation du nouveau traitement injectable Lenacapavir, en prophylaxie pré-exposition, à raison de deux injections annuelles). Mais le VIH demeure un problème majeur de santé publique et en 2025, une menace inédite pèse sur la riposte. Désengagement international généralisé  Ce danger majeur qui se dessine aujourd'hui pour toutes celles et ceux qui luttent contre le sida a une explication : la baisse brutale et sensible des financements internationaux… Ces coupes s'ajoutent à l'arrêt de l'aide américaine depuis janvier 2025, avec la fin de l'USAID (l'agence américaine pour le développement international) et la réduction drastique du PEPFAR (plan d'aide américain à la lutte contre le sida à l'étranger initié depuis 2003). À ce retrait américain, s'ajoute la baisse significative des aides des pays développés, dont la France, qui à ce jour n'a toujours pas annoncé le montant de sa contribution à la reconstitution du Fonds Mondial, alors que Paris en était le deuxième contributeur à l'échelle internationale. À lire aussiFinancement de la lutte contre le VIH: «La France est vraiment en-deçà des attentes», s'inquiète une association Les associations plus mobilisées que jamais  Suite à cette désaffection, le Sidaction, association qui soutient la recherche contre le sida, fait part de sa sidération. L'association Aides rappelle qu'avec une charge virale indétectable, le virus ne se transmet pas. Le CNS (Conseil national du sida et des hépatites virales) s'inquiète de l'augmentation de 41 % des découvertes de séropositivité chez les jeunes de 15 à 24 ans, en France, entre 2014 et 2023. Signe que partout dans le monde, la prévention, l'accompagnement et la prise en charge du VIH-sida continue de représenter une urgence de santé publique, qui nécessite une mobilisation mondiale le 1ᵉʳ décembre, comme tous les jours.  Avec : Hélène ROGER, directrice du pôle analyse et plaidoyer de Sidaction Rodrigue KOFFI, coordinateur du réseau Grandir Ensemble, en Côte d'Ivoire  Gratien CHIBUNGIRI, directeur de SOS SIDA, qui œuvre dans la province du Sud Kivu, Est RDC.  Kevin AMBAH EVINA, Directeur exécutif de l'organisation Affirmative Action, association Camerounaise de lutte contre le VIH/SIDA    Programmation musicale : ► Elton John – I'm still standing  ► Phyno – Ask me of now

    Rothen s'enflamme
    Tous contre Rothen : le quiz de Louis Gerbier – 01/12

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 7:08


    Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.

    Rothen s'enflamme
    Le procès - Di Meco très remontés contre les joueurs : "C'est impossible de prendre ce 2ème but face à Toulouse !" – 01/12

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 4:36


    Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.

    InterNational
    Journée mondiale de lutte contre le Sida

    InterNational

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 37:20


    durée : 00:37:20 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Les financements publics de la lutte contre le Sida sont insuffisants. La France n'a promis aucun don au Fonds mondial. Les Etats-Unis l'ont quant à eux réduit. Les autorités de santé s'inquiètent de cette situation. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Invité Afrique
    Madagascar : «Il y aura des procédures contre toutes les personnes qui ont commis des infractions»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 19:51


    « Avant la fin de l'année, Madagascar va lancer des poursuites judiciaires contre le président déchu Andry Rajoelina », a annoncé ce lundi 1er décembre sur RFI la nouvelle ministre de la Justice de Madagascar, Fanirisoa Ernaivo. Depuis son exfiltration par la France, le 12 octobre dernier, Andry Rajoelina vit sans doute à Dubaï, où il a placé une partie de sa fortune. Mais il est soupçonné par les nouvelles autorités malgaches de graves faits de corruption. En ligne d'Antananarivo, la ministre de la Justice fait le point, au micro de Christophe Boisbouvier, sur les procédures contre les dignitaires de l'ancien régime de Madagascar. RFI : Fanirisoa Ernaivo, le régime d'Andry Rajoelina est accusé de multiples actes de corruption. Est-ce que vous n'êtes pas submergée par le nombre de dossiers ? Fanirisoa Ernaivo : Effectivement, nous sommes submergées par un grand nombre de dossiers qui n'ont pas pu être instruits au moment où j'étais encore au pouvoir. À lire aussiMadagascar: la société civile critique la trajectoire prise par la transition L'une des causes de l'insurrection du mois d'octobre, c'est le manque d'eau et d'électricité à Antananarivo, est-ce que la société étatique Jirama, qui produit et distribue l'eau et l'électricité, a été l'objet de graves détournements ? Je ne pourrais vous dire oui ou non, parce qu'il y a des détournements et la mauvaise gouvernance dans la Jirama. Mais ça, je ne pourrais en parler dans l'affirmatif sans avoir un dossier devant moi. Et nous sommes en train de faire un audit des contrats de la Jirama au niveau du gouvernement. Et c'est là, après cet audit, après la révision de ces contrats, qu'on pourra parler de quel est vraiment le détournement de pouvoir dont on pourrait accuser quelques personnes et quelques entités dans cette histoire de défaillance de la Jirama. Est-ce que parmi les personnes soupçonnées d'être impliquées dans ces détournements à la Jirama, il y a le milliardaire en fuite, Mame Ravatomanga ? Pour l'instant, on est en train de commencer. Je n'ai même pas encore eu le dossier devant mes yeux. Et donc, sans vouloir tout de suite spoiler le contenu de cet audit, je vais dire qu'il y a des personnes dont, éventuellement, l'opérateur économique, Mame Ravatomanga, plusieurs sociétés, dont il a des branches, pourraient être mises en cause dans les résultats de cet audit. Des sociétés qu'il contrôle de façon indirecte ? Voilà. Dans la filière du litchi, il y avait une société écran qui s'appelait Litchi Trading Company, LTC, et par laquelle transitaient les fonds entre importateurs et exportateurs. Et du coup, tous les exportateurs malgaches viennent d'être approchés par les enquêteurs du Bianco, le bureau indépendant anticorruption. Est-ce à dire que ce sont tous les exportateurs malgaches de Litchi qui ont trempé dans de graves détournements d'argent ? On ne va pas parler de détournement, on va parler d'évasion fiscale. Concernant le dossier Litchi, du groupement des exportateurs de litchi, en effet, il y a eu la création de cette entité qui s'appelle GEL, Groupement des Exportateurs de Litchi. Normalement, ce groupement devait être institué pour pouvoir acheter à des prix avantageux pour les producteurs et pour revendre à l'exportation à des prix avantageux pour l'État et les exportateurs, en termes de retour de rapatriement de devises. Mais ces exportateurs-là, donc, ils vont collecter la production des produits, des producteurs locaux, et ils vont revendre toute la production à une société qui s'appelle LTC, qui est basée à Maurice, et donc qui devient le principal débouché de toute la production malgache. Alors que ce LTC, il s'avère que ça appartient à quelques têtes des membres du GEL. Et cela, donc, s'apparente à plafonner les devises issues de cette exportation au niveau de la vente effectuée entre le GEL et les exportateurs. Après, la LTC, la LitchiTrading Company, va revendre toute la production à d'autres distributeurs qui sont vraiment les vrais distributeurs de l'litchi dans le monde. Mais leur chiffre d'affaires va s'arrêter au niveau de la LTC, qui reste à Maurice. La fameuse société écran ? Voilà, la fameuse société écran. Et donc, du coup, l'État malgache va pouvoir rapatrier juste les devises qui ont été payées au niveau du GEL vers LTC. Et ça s'arrête là. Ça permet de cacher une grande partie des bénéfices ? Ça permet de soustraire une grande partie des bénéfices issus de cette exportation de litchis. Et comme la société est mauricienne, même s'il y a quelques membres du GEL qui sont derrière cette société, Madagascar pense qu'il y a quand même une lésion envers l'État malgache et le fisc malgache, parce que nous, nous ne savons pas donc quel est le vrai chiffre d'affaires du GEL. Parce que ça s'arrête à Maurice. Et combien d'opérateurs économiques sont visés par cette enquête ? Je ne suis pas encore en mesure de vous donner des noms ni des chiffres. Parce que l'enquête est en cours. Ce dossier de GEL LTC est actuellement en instruction parallèle entre Bianco Madagascar, PNF en France. Le parquet national financier et la FCC à Maurice  La commission d'enquête financière de l'île Maurice ? Voilà. Et pour cette enquête-là, le dossier a été déposé en 2021 par Transparency International.  Et il a été réouvert ici à Madagascar à notre arrivée au mois d'octobre dernier. D'accord. Donc l'enquête redémarre depuis le mois d'octobre ? On va dire qu'elle a débuté à Madagascar depuis fin octobre. Donc l'enquête redémarre depuis le mois d'octobre ? Depuis le changement de régime ? Voilà. Ça je voulais le préciser. Donc là actuellement, je n'ai pas encore tous les éléments d'information parce qu'il y a des enquêtes là-dessus. Mais ce qui est sûr, c'est que Mame Ravatomanga est parmi les personnes qui sont directement ou indirectement dans le LTC. Mais ce sera les résultats de l'enquête qui vont le confirmer s'il dirige directement ou indirectement cette société. LTC, Litchi Trading Company, la fameuse société écran ? Dans tous les cas, il dirige cette société. Cette société lui appartient et c'est là que je dis directement ou indirectement. Et il y a d'autres personnes également, je pense. Mais on le saura plus tard. Et donc l'infraction qui est constituée dans ce dossier est donc une évasion fiscale au détriment de l'État malgache. Et l'Ile Maurice est donc coopérative pour identifier le montant et la gravité de l'évasion fiscale. Autre dossier emblématique, Madame la Ministre, celui de 5 avions Boeing 777 qui ont été livrés clandestinement à une compagnie iranienne, Mahan Air. Malgré les sanctions américaines contre l'Iran, les certificats d'immatriculation de ces 5 avions ont été décernés à Madagascar. Alors où en est l'enquête ? Actuellement, nous sommes également sur ce dossier conjointement avec Maurice, le FBI et Madagascar. Nous avons repris les enquêtes au fond sur les principales personnes auteurs ou co-auteurs ou témoins. Et nous avons convoqué l'ancien ministre des Transports, pour être entendu au niveau du pôle anticorruption. Mais son avocat a répondu que le pôle anticorruption n'était pas compétent pour entendre l'ancien ministre. Sur lequel nous avons répondu que selon l'article 134 de la Constitution, pour les infractions de crimes ou délits qui sont extérieures à la fonction de ministre, même les ministres et les personnes assujetties à la haute cour de justice sont justiciables devant les tribunaux de droit commun, donc le pôle anticorruption, sans passer par la haute cour de justice. D'accord. Donc on attend s'il va s'exécuter ou pas selon cet article 134. Il y a plusieurs autres personnes qui ont été indiquées. Et qui ont été réentendues dans le cadre de cette enquête. Elles sont passées en enquête au fond, devant le pôle anticorruption, dans le cadre de cette enquête. Je n'ai pas le nombre de personnes qui sont citées dans le dossier Alors on retrouve aussi dans ce dossier apparemment le nom de Mame Ravatomanga, le milliardaire qui s'est enfui à l'île Maurice. Puisque selon nos confrères du site d'information scoop.mu, c'est ce milliardaire qui aurait usé de ses bonnes relations, avec les autorités malgaches et l'aviation civile malgache, pour faire homologuer ces 5 Boeings à destination de l'Iran. Et pour cela il aurait touché une commission de 5 millions d'euros ? Oui en effet c'est ressorti dans le dossier qu'il a perçu ce montant de 5 millions d'euros ou de dollars, pour permettre la délivrance de la première immatriculation de ces 5 avions. Immatriculation provisoire. D'accord. ll y a 1, 2, 3, je pense qu'il y a plusieurs personnes qui ont soutenu ce fait. Mais surtout il y a 2 personnes qui sont les témoins clés, témoins mais mis en cause aussi, dans cette remise de somme d'argent. Notamment les personnes qui lui ont remis la somme, et la personne qui a servi d'intermédiaire à cette remise. Je ne peux pas vous dire les noms pour protéger leur témoignage, si elles sont également mises en cause. Mais donc il y a 2 personnes. Et c'est 2 personnes qui devaient confirmer ce fait Alors vous parlez du FBI, le bureau d'investigation fédéral des Etats-Unis. Est-ce qu'il y a actuellement sur le sol de Madagascar des inspecteurs du FBI ? Actuellement non, mais on a demandé leur collaboration sur ce dossier. Je pense qu'ils sont encore sur ce dossier, mais aux Etats-Unis, mais pas encore à Madagascar. Alors quand le milliardaire Mame Ravatomanga a quitté Madagascar pour l'île Maurice, vous avez été mandatée, vous n'étiez pas encore ministre à l'époque, vous avez été mandatée par les nouvelles autorités malgaches pour aller à Port-Louis et pour obtenir l'extradition de monsieur Ravatomanga. Où en est la procédure ? Je vais rectifier. Ma mission sur Maurice, c'était de représenter le nouveau gouvernement, les nouveaux dirigeants de l'Etat malgache pour suivre le dossier et faire toutes les diligences concernant ce dossier. Et donc rapporter à Maurice toutes les infractions, toutes les actions commises sur Madagascar par Ravatomanga et consorts, faire un état de toutes les procédures qui existent à Madagascar contre Mame Ravatomanga et consorts, appuyer la plainte qui a été déposée par un Malgache à Maurice contre Mame Ravatomanga et consorts, et dans le cadre de tout cela, faire écho d'un mandat d'arrêt international décerné à Madagascar contre Mame Ravatomanga, et ce mandat d'arrêt doit être soldé par une extradition. Une extradition à la fin de toutes ces procédures, en sachant qu'une extradition ne peut être effectuée qu'à la fin d'une procédure. Quelle est la situation judiciaire de Mame Ravatomanga aujourd'hui à l'île Maurice ? Il est en état d'arrestation et comme son état de santé s'est dégradé depuis son arrivée à Maurice jusqu'à ce jour, il est en état d'arrestation mais il passe donc sa détention dans une clinique privée ou dans un hôpital. Son statut juridique est un état d'arrestation. Et que souhaitez-vous maintenant à son sujet ? Nous souhaitons poursuivre l'enquête sur les plusieurs dossiers dans lesquels il est impliqué à Madagascar et nous avons demandé des commissions rogatoires internationales à Maurice pour pouvoir faire ses auditions et les enquêtes sur sa personne, sur les personnes qui pourraient être impliquées avec lui et qui sont actuellement sur Maurice, notamment toute sa famille et ses collaborateurs et également faire des enquêtes financières sur ses sociétés à Maurice, conjointement avec la FCC. La commission d'enquête financière mauricienne. Et si au bout de cette enquête il y a procès, est-ce que vous souhaitez qu'il ait lieu à Maurice ou à Madagascar ? Je pense que pour l'instant il est plus judicieux qu'il reste à Maurice car à partir du moment où il sort de Maurice, on n'est plus sûr de rien. On n'est pas sûr qu'il va arriver à Madagascar, on n'est pas sûr qu'il va atterrir à Madagascar ou dans un autre pays. Sauf s'il y a extradition. L'extradition, je vous le dis, c'est après une condamnation. Nous pouvons le condamner ici à Madagascar et le faire condamner également à Maurice et ce ne serait qu'après cette condamnation qu'il va devoir rejoindre les prisons malgaches parce qu'en fait l'extradition c'est, on va dire, la réalisation d'un emprisonnement sur le territoire d'origine. C'est-à-dire ? C'est-à-dire malgache, là où s'est perpétrée l'infraction. Donc si je comprends bien, au bout de l'enquête actuelle, il pourrait y avoir un procès à Madagascar en l'absence de M. Ravatomanga. Et en cas de condamnation, il pourrait être ensuite extradé de Maurice à Madagascar, c'est ça ? Oui, et il pourrait également être jugé à Maurice par les autorités mauriciennes et peut-être soldé par une condamnation si les faits sont avérés. Il pourrait donc y avoir deux procès en parallèle ? Un à Maurice et un à Madagascar ? Exactement. Mais sur des faits différents alors ? Sur des faits différents. Au moment de l'insurrection du mois d'octobre, beaucoup d'autres dignitaires de l'ancien régime se sont enfuis, à commencer par le président, Andry Radjoelina, le Premier ministre, le président du Sénat. Alors du coup, beaucoup de Malgaches se demandent pourquoi vous n'avez pas lancé contre eux des mandats d'arrêt internationaux alors que vous l'avez fait contre M. Ravatomanga ? Si, on en a fait contre l'ancien maire de Tana. Il est impliqué dans un dossier où il y a plusieurs personnes qui sont placées sous mandat de dépôt et où lui-même est inculpé. Mais il a pu se soustraire à l'arrestation. On a lancé un mandat d'arrêt à Madagascar et internationaux contre lui au cas où il arriverait à sortir de Madagascar. Mais pour les autres, les mandats d'arrêt internationaux ne peuvent être faits que sur la base d'une procédure déjà ouverte. Or, aucune procédure n'a été ouverte, ni contre le président Andry Rajoelina, ni contre l'ancien Premier ministre, ni contre l'ancien président du Sénat ? Pas encore. Et justement, quelles sont les personnes contre qui vont être ouvertes des procédures ? Je ne dirais pas les noms parce qu'il y en a qui sont encore à Madagascar et qui risquent de s'enfuir si je vais dire les noms. Il y a des procédures qui ont déjà été ouvertes. Par exemple, pour Mame Ravatomanga, il y a eu ls Boeing 777. Il y a le dossier GEL-LTC. Avec ces deux procédures-là, qui étaient au PNF et au Bianco, il y a eu un mandat d'arrêt pour pouvoir permettre aux juridictions compétentes de procéder à une enquête envers Mame Ravatomanga. Il y a eu une procédure ouverte au niveau du Bianco et du pôle anticorruption contre Le Maire de Tana et Consort. Et comme il n'a pas pu se présenter à cette enquête, un mandat d'arrêt international a été décerné à son encontre également pour pouvoir le présenter devant la justice. On parle du maire d'Antananarivo ? On parle de l'ancien maire, oui. Pour Andry Rajoelina, en tant qu'ancien président, il faut qu'il soit présent. Il faut qu'il y ait une procédure ouverte et nous sommes en train de voir quelles sont les possibilités, ainsi que les autres membres du gouvernement. On est en train également de voir quelles sont les possibilités. Et une fois que ces possibilités de poursuites sont ouvertes, des convocations vont être envoyées. Convocations d'abord et puis mandat d'arrêt après. Et s'ils ne sont pas à Madagascar, donc des mandats d'arrêt internationaux. C'est comme ça en fait les procédures. On ne peut pas lancer tout de suite un mandat d'arrêt. Il faut d'abord qu'on ouvre l'enquête. Qu'on fasse les convocations. Et s'il est avéré que la personne n'est pas à Madagascar, on lance le mandat d'arrêt. Donc vous envisagez une procédure contre l'ancien président Andry Rajoelina ? Bien sûr. Pour toutes les personnes qui ont commis des infractions dans ce pays, il y aura des procédures qui seront ouvertes contre elles, y compris Andry Rajoelina. Et contre Andry Rajoelina, cette procédure pourrait-elle être ouverte d'ici la fin de l'année ? Bien sûr, avant la fin de l'année. Donc dans les semaines qui viennent ? Je ne pourrais pas vous dire dans combien de temps. Avant la fin de l'année. Et sur quelle base ? Sur quels faits précis ? Quand la procédure sera ouverte, vous aurez la communication là-dessus. Plus les avocats de la défense savent moins longtemps à l'avance, moins ils peuvent se défendre. Et préparer leurs alibis. Donc je ne peux pas vous dire sur quelle base on va les inculper avant d'entamer la procédure. C'est sûr qu'ils vont être poursuivis. Mais on ne peut pas vous dire là tout de suite sur quelle base. Sinon ils vont anticiper les preuves, ils vont préparer leur défense, leurs alibis, etc. Et ça rentre dans le cadre du secret de l'instruction. C'est sûr que l'ancien président Andry Rajoelina va être poursuivi ? Voilà. Donc ça c'est une certitude. Alors on sait que beaucoup d'avoirs...Et je pense que lui-même, il n'ignore pas qu'il a commis des infractions dans ce pays. À lire aussiMadagascar: Emmanuel Macron propose au nouveau dirigeant malgache «l'appui de la France» pour la transition

    Journal de l'Afrique
    Raid contre le siège du parti d'opposition PAIGC en Guinée-Bissau

    Journal de l'Afrique

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 15:54


    En Guinée-Bissau, la situation politique reste incertaine depuis le coup d'État qui a ébranlé le pays mercredi. Le processus électoral reste suspendu et le président déchu exfiltré du pays par la Cédéao. Ce samedi, le PAIGC, le grand parti d'opposition du pays a été envahi par des hommes armés. Le parti dénonce une atteinte grave à l'État de droit.

    L'info en intégrale - Europe 1
    Le Grand Rendez-vous avec Aurore Bergé, ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations

    L'info en intégrale - Europe 1

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 46:14


    Invitée :Aurore Bergé, ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminationsChroniqueurs :Mathieu Bock-Côté, sociologue et essayisteChristophe Jakubyszyn, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Monde Numérique - Jérôme Colombain
    ☕️ GRAND DEBRIEF (nov. 25) – 3 ans de ChatGPT, Google contre-attaque… et les robots se lavent-ils les mains ?

    Monde Numérique - Jérôme Colombain

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 64:09


    ChatGPT fête ses 3 ans : retour sur une révolution technologique désormais ancrée dans nos usages. Google rebondit avec Gemini 3 et relance la bataille de l'IA face à OpenAI. Apple patauge. Les robots prolifèrent… mais sauront-ils prendre soin de leur hygiène ?Partenariat : Free Pro, le meilleur de Free pour les entreprisesAvec François Sorel (BFM Tech & Co) et Bruno Guglielminetti (moncarnet.com)ChatGPT a 3 ans : quel bilan pour l'IA générative ?Lancé en catimini le 30 novembre 2022, ChatGPT compte aujourd'hui plus de 800 millions d'utilisateurs hebdomadaires. Une progression fulgurante, marquée par l'intégration de l'interface vocale et la mémoire conversationnelle. François Sorel salue une nouvelle ergonomie technologique. Bruno Guglielminetti partage des usages concrets, bluffants, parfois presque… thérapeutiques. On s'accorde sur le risque de paresse cognitive qui nous guette. ChatGPT n'est pas un cerveau, c'est un outil — et il faut le manier avec recul.Google revient dans la course avec Gemini 3Après l'échec de Bard, Google a sorti Gemini 3, salué pour ses performances. Fait marquant : le modèle tourne en partie sur les puces maison TPU, marquant une rupture avec la dépendance aux GPU Nvidia. Selon certains analystes, Gemini pourrait concurrencer sérieusement OpenAI, au point d'inquiéter Sam Altman lui-même. L'IA, chez Google, devient un produit à part entière, maîtrisé de bout en bout.Apple : des chaussettes et des doutesApple semble en retrait. Malgré la promesse d'Apple Intelligence, peu de concrétisations sont visibles à ce stade. La firme fait davantage parler d'elle avec des produits… inattendus, comme la chaussette pour iPhone, objet statutaire vendu en édition limitée. Des rumeurs de licenciements et de départ de Tim Cook alimentent le sentiment d'une transition floue.Robots humanoïdes : promesses et absurditésTrois nouveaux robots humanoïdes ont été dévoilés ce mois-ci. La France, absente du hardware, pourrait tirer son épingle du jeu via le logiciel embarqué, à condition de légiférer en amont. Et puis, on se pose une question moins anecdotique qu'elle en a l'air : les robots se lavent-ils les mains ? -----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don

    Le grand rendez-vous
    Le Grand Rendez-vous avec Aurore Bergé, ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations

    Le grand rendez-vous

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 46:14


    Invitée :Aurore Bergé, ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminationsChroniqueurs :Mathieu Bock-Côté, sociologue et essayisteChristophe Jakubyszyn, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    On marche sur la tête
    «Complément d'enquête» à charge contre CNews : «Il y a une panique totale» affirme le jounaliste Eric Revel

    On marche sur la tête

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 10:44


    Invité :Alexandre Jardin, écrivain et fondateur du mouvement des gueux Référence : « Les Gueux » – Michel Lafon, 27 mars 2024 Débatteurs :Éric Revel, journalisteSébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs ActuellesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] Guinée-Bissau : coup d'État contre le président Umaro Sissoco Embaló

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 19:30


    Après le coup d'État en Guinée-Bissau, notre expert répond à toutes vos questions sur les raisons de ce putsch, le nouveau président investi, la réaction de la Cédéao, l'avenir du pays... Invité : Avec Francis Kpatindé, spécialiste de l'Afrique de l'Ouest et maître de conférences à Sciences Po Paris. Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taieb. Aujourd'hui, elle revient sur les rivalités entre le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko qui rythment les réseaux sociaux depuis plusieurs semaines.

    Reportage International
    En Suède, fronde locale contre le plan de retour volontaire des immigrés

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 2:40


    En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ».  Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ».  « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ».  Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».

    Rothen s'enflamme
    Tous contre Rothen : le quiz de Rothen s'enflamme – 28/11

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 6:52


    Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.

    Rothen s'enflamme
    Le multiplex : Lens doit apprendre à être fort contre les "faibles" – 28/11

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 4:28


    Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.

    Manu dans le 6/9 : Le best-of
    "Le Club des Génies" avec Marie contre Jérémy.

    Manu dans le 6/9 : Le best-of

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 3:47


    On joue ensemble au "Club des Génies" pour gagner 100€ par jour.

    Géopolitique
    Quand le président taiwanais mange des sushis pour soutenir Tokyo contre Pékin

    Géopolitique

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:15


    durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan constituerait une « menace existentielle » pour le Japon, la première ministre japonaise encourt les foudres de Pékin depuis trois semaines. Taiwan est la question centrale des tensions en Asie de l'Est, avec Trump qui s'en mêle avec ambivalence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Brise Glace
    En première ligne pour lutter contre les abus sexuels

    Brise Glace

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 33:10


    Comment réagir quand un enfant reproduit ce qui ressemble beaucoup à un abus sexuel? Qui prévenir en cas de suspicion d'inceste? Marco travaille depuis plus de 20 ans pour l'Association ESPAS, qui vient en aide aux personnes concernées par ces violences. C'est lui, de l'autre côté de la ligne d'urgence – littéralement, la première ligne. L'oreille qui écoute et conseille. À 48 ans, le Lausannois raconte cette vocation, entre passion, découragement et vertige. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Un jour dans le monde
    En Allemagne, ce plan militaire contre la Russie révélé

    Un jour dans le monde

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:14


    durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ce jeudi, un document classifié élaboré par l'armée allemande pour se protéger d'une éventuelle attaque de la Russie a été révélé par le Wall Street Journal. Dans le détail, ces 1.200 pages contiennent des plans pour militariser le flan Est de l'Europe en envoyant jusqu'à 800.000 hommes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Un jour dans le monde
    Unanimes contre l'accord Mercosur, pourquoi les Français comptent leurs soutiens au niveau européen

    Un jour dans le monde

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:26


    durée : 00:03:26 - Le monde à l'endroit - L'Assemblée nationale a adopté jeudi 27 novembre à l'unanimité une résolution contre l'accord de libre échange UE-Mercosur. Autour de la table des Vingt-sept comme au Parlement européen, la bataille est en revanche loin d'être gagnée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Rothen s'enflamme
    Tous contre Rothen : le quiz de Louis Gerbier – 27/11

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 7:22


    Nouveau quizz, riche en règles absurdes et en mauvaise foi ! À la fois animateur et agitateur, Louis Gerbier promet de faire monter la température avec des questions piquantes et une bonne dose d'humour.

    InterNational
    Quand le président taiwanais mange des sushis pour soutenir Tokyo contre Pékin

    InterNational

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:15


    durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Pour avoir dit qu'une attaque chinoise contre Taiwan constituerait une « menace existentielle » pour le Japon, la première ministre japonaise encourt les foudres de Pékin depuis trois semaines. Taiwan est la question centrale des tensions en Asie de l'Est, avec Trump qui s'en mêle avec ambivalence. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    InterNational
    En Allemagne, ce plan militaire contre la Russie révélé

    InterNational

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:14


    durée : 00:03:14 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Ce jeudi, un document classifié élaboré par l'armée allemande pour se protéger d'une éventuelle attaque de la Russie a été révélé par le Wall Street Journal. Dans le détail, ces 1.200 pages contiennent des plans pour militariser le flan Est de l'Europe en envoyant jusqu'à 800.000 hommes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Journal en français facile
    Algérie: Biyouna est morte / La Chine revendique Taïwan / Lutter contre les violences faites aux femmes...

    Journal en français facile

    Play Episode Listen Later Nov 25, 2025 10:00


    Le Journal en français facile du mardi 25 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. ► EXERCICE Comprendre un extrait du journal | Worakls, un artiste du mix | niveau B1 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CDND.A