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While mammograms are often pushed at age 40 as the gold standard for breast health screening, many women are questioning the risk-reward ratio and seeking safer, more holistic alternatives. Could thermography be a more proactive, less harmful approach to identifying early dysfunction in the body? This episode explores the topic of thermography as a non-invasive, radiation-free tool for wellness assessment. In this episode, we are joined by special guest Amanda Allen, owner of Austin Thermography, to break down the science, safety, and practical application of thermal imaging. We discuss how thermography differs from conventional screenings, what types of patterns it can detect—ranging from inflammation to hormonal imbalances—and how it may serve as an early warning system long before a disease manifests structurally. Whether you're looking to support breast health, monitor chronic conditions, or simply stay in tune with your body's signals, this episode will help you consider if thermography has a place in your wellness toolbox. More about Amanda Allen of Austin Thermography: Amanda is trained and certified by the Professional Academy of Clinical Thermology as a Thermographic Technician. As the owner of Austin Thermography, she provides the highest quality thermographic imaging, using the latest, most advanced infrared camera available, so you can have a more complete picture of your health. Amanda has 15 years of experience in patient care and takes great pride in putting her clients at ease throughout the screening process. More information here: Austin Thermography Breast Thermography International Also in this episode: Episode 313 Estrogen Metabolism and Breast Health Why Ali's opting out of mammogram Exposing the Mammogram Myth: A New Era of Breast Cancer Screening with Dr. Jenn Simmons Amanda's Story What is thermography? Lymph activation Episode 298 Moving Your Lymph The importance of early detection How to prep for thermography How EMF can interfere Episode 394 The Human Electrical Force Patient success stories Breastfeeding and pregnancy concerns Sponsors for this episode: This episode is sponsored by FOND Bone Broth, your sous chef in a jar. FOND's bone broths and tallows are produced in small batches with premium ingredients from verified regenerative ranches. Their ingredients are synergistically paired for maximum absorption, nutritional benefit, and flavor. Use code ALIMILLERRD to save at https://fondbonebroth.com/ALIMILLERRD.
Hear Robert's answer to our Mens Room Question: Good or Bad, What Food Reminds You Of Home?
J'ai reçu Laurent à l'occasion de la sortie de son essai Bienvenue dans le dataisme, ce monde dans lequel le traitement de la donnée est absolument partout et incontournable, de l'affectation des étudiants au choix de son ou sa conjointe. Ensemble, on évoque aussi la transformation d'un géant bancaire qui fait partie du TOP 10 mondial et qui s'appuie entre autres sur les startups pour avancer et toujours mieux servir ses clients. Des startups que le groupe rachète ou lance lui-même à travers son startup studio, La Fabrique*, créé il y a 6 ans. ▶️ Pourquoi ce corporate startup studio ? ▶️ Comment ça fonctionne ? ▶️ En quoi il peut dessiner le futur de la banque ?On voit tout cela dans ce hors-série
Dans le supplément de ce samedi, deux reportages consacrés à un mouvement de guérilla islamiste qui sévit en Afrique centrale, l'ADF, un des groupes les plus violents du continent, fondé en Ouganda dans les années 1990 pour évincer le président Museveni, il sévit dans l'est de la RDC. «ADF» est l'acronyme anglais pour Forces démocratiques alliées. Le groupe se présente aujourd'hui comme la branche de l'État islamique en Afrique centrale depuis que son chef a prêté allégeance à l'État islamique en 2017. Qui se cache derrière le groupe État islamique en Afrique centraleC'est l'un des groupes armés les plus meurtriers et les plus mystérieux de l'est de la RDC. Leur nom : les ADF, acronyme anglais désignant les Forces démocratiques alliées. Fondé il y a 30 ans par des Ougandais, le groupe se présente aujourd'hui comme la branche de l'État islamique en Afrique centrale, depuis que son chef a prêté allégeance au groupe terroriste en 2017. Nous nous sommes rendus à Kampala dans un centre de déradicalisation pour anciens combattants. Un centre qui a ouvert sa porte à un.e journaliste pour la première fois.Un Grand reportage de Florence Morice qui s'entretient avec Jacques Allix. Organisation État islamique en RDC: la mécanique de la radicalitéDepuis 2021, l'armée ougandaise a noué un partenariat avec la fondation Bridgeway. En plus des opérations militaires menées contre le groupe islamiste ADF, la fondation a mis en place un programme de réinsertion et de déradicalisation à destination de leurs anciens membres. Pour la première fois, en mars, les équipes ont ouvert leurs portes à RFI. Florence Morice a passé une semaine à l'intérieur du centre. Grand Reportage.Un Grand reportage de Florence Morice qui s'entretient avec Jacques Allix.
Créer une maison de gastronomie inclusive et relever le défi d'intégrer des profils neuro-atypiques dans un secteur traditionnel : c'est l'ambition de Biscornu. Fondée par Olivier Tran, cette entreprise réinvente les codes de la cuisine tout en mettant en lumière les talents des personnes porteuses de handicap.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Fondée par Cindy et Malika Gavin, l'association Indie's World dédiée au sauvetage, à la réhabilitation et au placement des animaux, vient d'acquérir la propriété de La Martinière, située à Surinam. Cette propriété de 14 000 m² accueillera un refuge de 7 000 m² pouvant héberger plus de 170 chiens. La Martinière sera transformée en sanctuaire animalier doté d'une clinique de stérilisation et d'un espace de rétablissement. Les chiens sauvés en urgence dans la région, de Tamarin à Surinam, ainsi que ceux provenant de l'ancien refuge de Baie-du-Cap, y bénéficieront d'un environnement sûr et confortable. Indie's World se démarque par son engagement envers les chiens âgés ou handicapés. Soutenue par des bénévoles et des dons privés, l'association prévoit l'ouverture officielle du refuge pour début novembre.
In the final episode of Twang, host Lane Wendell Fischer and Daily Yonder reporter Ilana Newman explore queerness in country music's past and present. Though there is only one openly queer artist currently signed by a major country music label, the rising popularity of artists like Chappell Roan, Orville Peck, and Brandi Carlile mark the increasing visibility of queer artists in the genre. Lane and Ilana discuss these contemporary artists – and the lesser known queer musicians who came before them – and the mark they've made on country music. Artists discussed include: Chappell Roan, Orville Peck, Brandi Carlile, Tracy Chapman, Kacey Musgraves, Wilma Burgess, Patrick Haggerty.Listen to the episode companion playlist here.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La Pologne, acteur central de la sécurité européenne, face aux menaces russes, élit un nouveau président. Premier tour ce week-end... et l'enjeu dépasse de loin les préoccupations de politique intérieure. Le Premier ministre Donald Tusk et sa coalition pro-européenne espère bien mettre à ce siège stratégique leur candidat. ET mettre fin à une cohabitation avec un chef de l'État conservateur qui mine toutes les volontés de réforme. Mais c'est sur le terrain international que l'élection est suivie de près. La Pologne qui ambitionne de devenir la première armée européenne et qui a porté son budget défense à plus de 4% du PIB, forme aussi ses jeunes au maniement des armes. Reportage d'Adrien Sarlat dans un lycée de Varsovie qui a ouvert une section «préparation militaire». Les Pfas polluants no 1 en EuropeOn les appelle les polluants éternels. Les Pfas sont partout dans nos emballages alimentaires, dans nos vêtements de pluie, dans nos cosmétiques. Mais aussi dans l'eau que nous buvons, dans l'air que nous respirons et la terre que nous cultivons. Selon une vaste enquête journalistique et collaborative, le forever lobbying project, 23 000 sites sont concernés, mais la décontamination est extrêmement complexe et très coûteuse. La dépollution pourrait coûter 2 000 milliards d'euros sur 20 ans. C'est dans ce contexte que les experts de l'agence européenne des produits chimiques Reach examinent une demande d'interdiction portée par cinq pays, l'Allemagne, le Danemark, la Norvège, la Suède et les Pays-Bas. Première étape avant une première recommandation de la Commission européenne... Les explications de Noémie Jegou, chargée de mission sur les substances chimiques au Bureau Européen de l'environnement, une organisation parapluie à Bruxelles qui chapeaute toutes les ONG de défense de l'environnement. Et en France, à Lyon où se trouve « La Vallée de la Chimie », près de 220 000 personnes sont impactées par cette pollution. Les actions des riverains se multiplient... Certains militants d'Extinction Rebellion qui avaient lancé une action de désobéissance civile sur le site de l'usine Arkema sont même poursuivis par la justice, ils seront fixés demain. Quel est l'impact de cette pollution au Pfas sur la vie quotidienne des habitants… Comment lutter ? C'est le reportage à Lyon de Juliette Pietraszewski. La chronique musique de Vincent Théval Σtella Omorfou Mou (Grèce).
La Pologne, acteur central de la sécurité européenne, face aux menaces russes, élit un nouveau président. Premier tour ce week-end... et l'enjeu dépasse de loin les préoccupations de politique intérieure. Le Premier ministre Donald Tusk et sa coalition pro-européenne espère bien mettre à ce siège stratégique leur candidat. ET mettre fin à une cohabitation avec un chef de l'État conservateur qui mine toutes les volontés de réforme. Mais c'est sur le terrain international que l'élection est suivie de près. La Pologne qui ambitionne de devenir la première armée européenne et qui a porté son budget défense à plus de 4% du PIB, forme aussi ses jeunes au maniement des armes. Reportage d'Adrien Sarlat dans un lycée de Varsovie qui a ouvert une section «préparation militaire». Les Pfas polluants no 1 en EuropeOn les appelle les polluants éternels. Les Pfas sont partout dans nos emballages alimentaires, dans nos vêtements de pluie, dans nos cosmétiques. Mais aussi dans l'eau que nous buvons, dans l'air que nous respirons et la terre que nous cultivons. Selon une vaste enquête journalistique et collaborative, le forever lobbying project, 23 000 sites sont concernés, mais la décontamination est extrêmement complexe et très coûteuse. La dépollution pourrait coûter 2 000 milliards d'euros sur 20 ans. C'est dans ce contexte que les experts de l'agence européenne des produits chimiques Reach examinent une demande d'interdiction portée par cinq pays, l'Allemagne, le Danemark, la Norvège, la Suède et les Pays-Bas. Première étape avant une première recommandation de la Commission européenne... Les explications de Noémie Jegou, chargée de mission sur les substances chimiques au Bureau Européen de l'environnement, une organisation parapluie à Bruxelles qui chapeaute toutes les ONG de défense de l'environnement. Et en France, à Lyon où se trouve « La Vallée de la Chimie », près de 220 000 personnes sont impactées par cette pollution. Les actions des riverains se multiplient... Certains militants d'Extinction Rebellion qui avaient lancé une action de désobéissance civile sur le site de l'usine Arkema sont même poursuivis par la justice, ils seront fixés demain. Quel est l'impact de cette pollution au Pfas sur la vie quotidienne des habitants… Comment lutter ? C'est le reportage à Lyon de Juliette Pietraszewski. La chronique musique de Vincent Théval Σtella Omorfou Mou (Grèce).
Les Rainbow Swingers (ou Ensemble Vocal des Universités de Grenoble – EVUG) sont une chorale universitaire basée sur le campus de Saint-Martin-d'Hères, soutenue par l'UGA. Fondée en 2000, l'association a été reconnue d'utilité publique en 2023. Le 14 mai est... Continue Reading →
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
C'est l'un des groupes armés les plus meurtriers et les plus mystérieux de l'est de la RDC. Leur nom : les ADF, acronyme anglais désignant les Forces démocratiques alliées. Fondé il y a 30 ans par des Ougandais, le groupe se présente aujourd'hui comme la branche de l'État islamique en Afrique centrale, depuis que son chef a prêté allégeance au groupe terroriste en 2017. Nous nous sommes rendus à Kampala dans un centre de déradicalisation pour anciens combattants. Un centre qui a ouvert sa porte à un.e journaliste pour la première fois. « Qui se cache derrière le groupe État islamique en Afrique centrale », un Grand reportage de Florence Morice.
(00:00): Venstre vil droppe forslaget om at Danmark skal være gasfyr-fri i 2035. Medvirkende: Christian Friis Bach, Energiordfører for Venstre. (14:00): Pjerrot sagde nej til billede med MAGA-hat: Nu opfordrer hun til boykot af Pjerrot. Medvirkende: Vivian Anita Alexandru, forfatter til videoen på Bakken. (32:00): Fond svarer på spørgsmål om investering i selskab, som hjælper militærstyret i Myanmar. Medvirkende: Lars Krogsgaard, Chief Investment Officer hos Innovationsfonden for Udviklingslande. (48:00): De største selskaber i Danmark, ser ud til at kunne modstå diversitetspresset fra USA. Medvirkende: Gine Maltha Kampmann, administrerende direktør for tænketanken EQUALIS Værter: Anne Phillipsen og Nicolai Dandanell See omnystudio.com/listener for privacy information.
Existe-t-il des actions préventives pour protéger à la fois son cerveau et son système immunitaire ? Le système nerveux peut-il avoir un impact sur le système immunitaire ? Où en est la recherche sur la santé mentale ? Le Dr Guillaume Fond répond à ces 3 questions dans ce nouveau bonus de "Symptômes" ! Vous pouvez retrouver ici le lien de son compte Instagram @dr_guillaume_fond : https://www.instagram.com/dr_guillaume_fond/ Retrouvez chaque mois, un nouvel épisode inédit de "Symptômes", ainsi qu'un bonus la semaine suivante. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Recorded LIVE from the Desert Storm Street Party in downtown Lake Havasu City, AZ, the "Bros" talk to Nick Petersen, Mercury Racing's Propeller Mastermind, about all the happenings at the Fond du Lac, WI company and attending the West Coast's premier event, Desert Storm that features their Poker Run and the Shugrue's Shootout while enjoying the World Famous Street Party, which may have been the largest one to-date. Myrick Coil is the driver for the National Champion Monster Energy / M CON Class 1 team, Speedboat Magazine Test Team Driver, lead shop foreman at Performance Boat Center and a dedicated family man. Ray Lee is the publisher of the national/international publication Speedboat Magazine, where nine high quality issues are printed each year with global distribution, and popular social media platforms on Facebook, Instagram and TikTok. With all of the "bros" experience, knowledge, and friends and colleagues in the industry and sport, this podcast is sure to entertain, enthuse and educate the powerboating community.
Michal Šmída založil Twisto a dnes řídí fond RockawayQ. Jeho otec Petr Šmída stál u transformace českého bankovnictví a spoluzakládal jeden z prvních venture kapitálových fondů v Česku – Enern. V podcastu Money Maker poprvé otevřeně mluví o tom, jak spolu investují, co je žene dál a jak vidí budoucnost Česka i Evropy. „Neformálně tomu říkáme Šmída Invest. Víc a víc přemýšlíme o odkazu a směřování,“ říkají Šmídovi v novém dílu podcastu Money Maker.- Jak funguje Šmída Invest?- V čem spočívá Petrova investiční teorie tří olympiád?- A proč jsou radši na chalupě než v Karibiku?Pusťte si unikátní rozhovor se dvěma klíčovými postavami české startupové a investiční scény. Čtěte nás i na webu https://cc.cz, kde pro vás každý den pokrýváme témata, která hýbou Českem a světem.00:00:00 Začínáme00:07:35 Krysí závody a teorie tří olympiád00:13:42 Česko – USA – Rusko – Londýn – Česko00:18:24 „V 35 limuzína s řidičem, prostě báječný.“00:28:22 Kouzelná Almara a začátky Twista00:37:30 „Michal se potatil, mám k němu obdiv.“00:46:31 Fond, zahraniční trhy a tvorba vztahů00:51:10 „Nechceme, aby po nás zůstal jen majetek.“1:01:22 Záchranná mise a evoluce průmyslu1:07:15 „Lepší než lítat tryskáčem, je být spolu na chalupě.“
At Level Beer's big brewpub spot, Level One, we enjoy an intimate session in their private barrel room. This week we had to nerd out with our menu favorites, and talk about some other local spots we like to enjoy. This short show is dedicated to our long time friend and Top Field Reporter, John Paul, hands down our greatest supporter. Fond farewaells and some of the best beers in town, on this week's episode of Brew Happy!
Alors que les chiffres du baromètre 2025 de la lecture réalisée par le CNC pointe une baisse significative de la lecture chez les Français, quelle histoire de la lecture ? Quels ont été les modes d'apprentissage de la lecture ? Que doit la lecture à l'écriture ? Comment apprendre à lire ? À quel âge ? Avec quelles méthodes ? À quel rythme ? Alors que le niveau ne cesse de baisser en lecture depuis les années 80, le débat revient régulièrement sur la table. Il faut dire que les chiffres sont évocateurs : à la fin du Cours préparatoire, près d'un élève sur deux ne parvient pas à lire les cinquante mots à la minute requis. Pour comprendre la situation aujourd'hui, il est important d'expliquer comment les méthodes d'enseignement de la lecture ont-elles évolué au fil des siècles. Ce qu'on appelle lecture est en fait le «déchiffrage d'un code» et celui-ci varie d'un pays à l'autre : en Chine, un enfant de six ans devra par exemple apprendre près de 2000 idéogrammes quand un enfant français devra connaître vingt-six lettres. La lecture commence donc avec l'invention de l'écriture, il s'agissait de déchiffrer des pictogrammes. Au Moyen-Orient, là où on parlait hébreu, arabe ou araméen, la langue était découpée en syllabes : c'était la phonétisation. Au VIIIè siècle avant Jésus-Christ, les Grecs inventent l'alphabet : c'est le début de la démocratisation de la lecture. Puis plus tard, ce sera la Réforme Protestante qui favorisera l'enseignement de la lecture, puis l'invention de l'imprimerie. L'alphabétisation et la généralisation de la lecture feront aboutir, en France, au premier livre de lecture, vers 1831 : on y apprend sur B et A font BA… C'est ce qu'on appelle la méthode syllabique : c'est-à-dire apprendre le code qui sert à transcrire les énoncés langagiers. Puis la méthode qu'on appelle globale apparaîtra un peu plus tard. Fondée au début du XXè siècle par le pédagogue Ovide Decroly, elle avait pour but de développer une lecture «intelligente», comprendre ce que l'on lit. Pour faire simple, la méthode syllabique part de la syllabe pour aller vers le mot, quand la méthode globale part du mot pour reconstituer la syllabe. Cette méthode a connu son heure de gloire dans les années 80 en France. Depuis, une méthode hybride est enseignée à l'école, mais le débat sur la méthode à appliquer à l'école n'est pas encore clos... Invité : Jean-Pierre Terrail, sociologue. Auteur de Petite histoire de la lecture et de son enseignement, aux éditions Le Bord de l'eau.Jean-Pierre Terrail est sociologue, professeur honoraire à l'Université de Versailles-Saint-Quentin, Cofondateur des éditions la Dispute et du Groupe de recherche sur la démocratisation scolaire (GRDS), il travaille sur les questions scolaires depuis de nombreuses années. InvitéLa chronique Ailleurs nous emmène en Côte d'Ivoire où Anges-Félix Ndakpri nous présente la quinzième édition du SILA (Salon International du Livre d'Abidjan) qui aura lieu du 6 au 10 mai. Le thème retenu pour cette année est «Livres racines» avec l'autrice Marguerite Abouet comme invitée d'honneur. Programmation musicale : L'artiste Ghislain N avec le titre Tout à l'amour.
Alors que les chiffres du baromètre 2025 de la lecture réalisée par le CNC pointe une baisse significative de la lecture chez les Français, quelle histoire de la lecture ? Quels ont été les modes d'apprentissage de la lecture ? Que doit la lecture à l'écriture ? Comment apprendre à lire ? À quel âge ? Avec quelles méthodes ? À quel rythme ? Alors que le niveau ne cesse de baisser en lecture depuis les années 80, le débat revient régulièrement sur la table. Il faut dire que les chiffres sont évocateurs : à la fin du Cours préparatoire, près d'un élève sur deux ne parvient pas à lire les cinquante mots à la minute requis. Pour comprendre la situation aujourd'hui, il est important d'expliquer comment les méthodes d'enseignement de la lecture ont-elles évolué au fil des siècles. Ce qu'on appelle lecture est en fait le «déchiffrage d'un code» et celui-ci varie d'un pays à l'autre : en Chine, un enfant de six ans devra par exemple apprendre près de 2000 idéogrammes quand un enfant français devra connaître vingt-six lettres. La lecture commence donc avec l'invention de l'écriture, il s'agissait de déchiffrer des pictogrammes. Au Moyen-Orient, là où on parlait hébreu, arabe ou araméen, la langue était découpée en syllabes : c'était la phonétisation. Au VIIIè siècle avant Jésus-Christ, les Grecs inventent l'alphabet : c'est le début de la démocratisation de la lecture. Puis plus tard, ce sera la Réforme Protestante qui favorisera l'enseignement de la lecture, puis l'invention de l'imprimerie. L'alphabétisation et la généralisation de la lecture feront aboutir, en France, au premier livre de lecture, vers 1831 : on y apprend sur B et A font BA… C'est ce qu'on appelle la méthode syllabique : c'est-à-dire apprendre le code qui sert à transcrire les énoncés langagiers. Puis la méthode qu'on appelle globale apparaîtra un peu plus tard. Fondée au début du XXè siècle par le pédagogue Ovide Decroly, elle avait pour but de développer une lecture «intelligente», comprendre ce que l'on lit. Pour faire simple, la méthode syllabique part de la syllabe pour aller vers le mot, quand la méthode globale part du mot pour reconstituer la syllabe. Cette méthode a connu son heure de gloire dans les années 80 en France. Depuis, une méthode hybride est enseignée à l'école, mais le débat sur la méthode à appliquer à l'école n'est pas encore clos... Invité : Jean-Pierre Terrail, sociologue. Auteur de Petite histoire de la lecture et de son enseignement, aux éditions Le Bord de l'eau.Jean-Pierre Terrail est sociologue, professeur honoraire à l'Université de Versailles-Saint-Quentin, Cofondateur des éditions la Dispute et du Groupe de recherche sur la démocratisation scolaire (GRDS), il travaille sur les questions scolaires depuis de nombreuses années. InvitéLa chronique Ailleurs nous emmène en Côte d'Ivoire où Anges-Félix Ndakpri nous présente la quinzième édition du SILA (Salon International du Livre d'Abidjan) qui aura lieu du 6 au 10 mai. Le thème retenu pour cette année est «Livres racines» avec l'autrice Marguerite Abouet comme invitée d'honneur. Programmation musicale : L'artiste Ghislain N avec le titre Tout à l'amour.
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Dans ce nouvel épisode de "Symptômes", le Dr Guillaume Fond, psychiatre et chercheur en santé mentale à Marseille. Il raconte l'histoire poignante d'une patiente en proie à une dépression résistante depuis plus de six ans. Après avoir essayé de nombreux antidépresseurs sans succès, cette femme de 44 ans se retrouve face à un diagnostic complexe mêlant traumatisme d'enfance et maladie auto-immune. Tel un détective de la santé mentale, le Dr Fond explore des pistes peu communes, pour tenter de soulager sa patiente ! Retrouvez chaque mois, un nouvel épisode inédit de "Symptômes", ainsi qu'un bonus la semaine suivante. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un diggeur passionné des Caraïbes talonné par un poète anglo-trinidadien qui slame la mémoire des afro-descendants. Emile Omar est notre 1er invité pour présenter le 3e volume de la série Disques Debs International Mizik Maladi (Strut Record 2025). Une compilation concoctée par Emile Omar et Hugo Mendez.Strut présente avec enthousiasme le troisième volume tant attendu de la série Disques Debs International, explorant plus en profondeur les archives de l'un des plus grands labels franco-caribéens, Disques Debs, basé en Guadeloupe. Fondé par le visionnaire Henri Debs à la fin des années 1950, le label et son studio ont fonctionné pendant plus de 50 ans, produisant plus de 300 singles 7” et 200 albums, faisant de Disques Debs un pilier de l'histoire musicale caribéenne.Au début des années 1980, Henri Debs s'était déjà imposé comme un producteur prolifique, avec un catalogue de sorties inégalé en Guadeloupe et en Martinique. Parti d'un simple magnétophone deux pistes installé à l'arrière d'une boutique de vêtements, Disques Debs s'est transformé en une véritable institution, avec un studio ultramoderne en plein cœur de Pointe-à-Pitre, des magasins de disques et d'instruments de musique en Guadeloupe, en Martinique et à Paris, une discothèque au Gosier, ainsi que des accords de distribution internationale en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud.Disques Debs a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la musique caribéenne moderne, créant un pont entre les genres traditionnels comme la biguine et le gwoka et les styles contemporains comme le cadence, le compas et le zouk. Ce dernier est devenu un phénomène mondial dans les années 1980 grâce à des groupes emblématiques comme Kassav' et Zouk Machine. Durant cette période, le label a soutenu une nouvelle génération d'artistes tout en continuant à collaborer avec des figures légendaires des décennies précédentes.Le volume 3 de cette série, compilé par Emile Omar et Hugo Mendez, met en lumière l'une des périodes les plus dynamiques et influentes du label, alors qu'il étendait son rayonnement international dans les années 1980. À travers deux vinyles, cette sortie propose une sélection soigneusement choisie de morceaux issus de l'univers Disques Debs, mettant en avant à la fois de jeunes talents et des artistes confirmés qui ont marqué cette époque.Cette collection célèbre non seulement l'héritage inégalé d'Henri Debs, mais offre également un instantané de l'âge d'or de la musique caribéenne, confirmant Disques Debs comme une véritable institution culturelle.► Titres joués- Christian Yéyé – Misyé Zanndo- Horizon – Neg Mawon- Alex Rosa – L'Appel des champions- Max et Henri – Sé Pou Demen► Album Mizik Maladi, l'âge d'or des Disques Debs International (Strut Record 2025)Bandcamp Volume 1 Bandcamp Volume 2 Cadence Revolution Bandcamp Volume 3 Mizik MaladiÀ écouter aussiSpéciale Disques Debs international avec Émile Omar Notre 2nd invité est Anthony Joseph pour la sortie de l'album Rowing up River to Get Our Names Back.L'origine africaine des OVNI, George Clinton en personne, n'aurait pas désavoué ce concept afro-futuriste dont Anthony Joseph avait fait le sujet de The African Origins Of Ufo's, sa nouvelle écrite il y a bientôt vingt ans. Durant ce laps de temps, les albums du chanteur-poète de Trinidad se sont succédé, mais l'idée ne s'est pas évaporée. Après un travail de réflexion et de recherches artistiques avec le musicien-producteur Dave Okumu, il est même devenu l'axe de rotation de son nouvel album. Base des premiers titres élaborés en duo, la nouvelle est ensuite devenue la rampe de lancement de Rowing Up River To Get Our Names Back Vol 1 & 2. D'une aventure si dense qu'il a fallu la scinder en deux parties. Après avoir solidement assuré la connexion musicale de toute la diaspora caribéenne sur ses précédents albums, Anthony Joseph s'engage dans une fresque musicale aussi ambitieuse que fascinante : l'exploration de toutes ces strates qui constituent la longue et tumultueuse histoire de la musique noire. Ces couches créatives qui se sont superposées et additionnées, la nouvelle se nourrissant de la précédente pour, sans le savoir, préparer l'arrivée de la suivante. Cet immense puzzle où, reliées par une forte conscience politique, les différentes pièces ont noirci les portées de leurs notes les plus intenses. Sculpté dans la cire des œuvres si impérissables qu'elles ont rendu stériles toutes les tentatives d'altération des décennies qui se sont accumulées. Forme, fond, portée révolutionnaire, tout est resté intact. Y compris l'esprit de tous ces musiciens qui ne se sont exprimés que par la voix de leur instrument, la puissance de leur groove, la radicalité de leur démarche artistique.Funk, P-Funk, soul, dub, free-jazz, jazz, afrobeat, blues, confrontant leurs deux visions musicales pour n'en former plus qu'une, c'est en binôme éclairé par les phares de leur créativité qu'Anthony Joseph et Dave Okumu ont façonné un afro-futurisme à l'esthétique mouvante et sans limites d'expansion. Stabilisée par cette volonté de raviver toutes les racines, l'exploration se conjugue à celle qui mène aux patronymes perdus. Ceux qui, entre le voyage depuis l'Afrique vers l'Amérique, se sont évaporés dans les flots de l'Atlantique et le claquement des fouets. Ceux dont ont été dépossédés les déracinés de force qui ont dû endosser celui du maître. Les peaux des batteries, le bois des baguettes et celui des percussions, le nylon de cordes, les métaux des saxophones et les trompettes, tout ce qui constitue l'arche organique dans laquelle ont embarqué les héros de la musique noire, révèle au moment du décollage un tableau de bord à l'électronique sophistiquée. Renforcer, voire supplanter certaines fonctions peut s'avérer utile tant la destination est lointaine. Elle est à des années-lumière d'ici. La rejoindre impose de connecter le présent avec le passé pour pouvoir l'emmener dans le futur. Dans l'afro futur. Là où, après avoir remonté la rivière, tous auront récupéré leurs noms et se seront réappropriés un pan de leur histoire.► Titres joués extraits de l'album- Satellite- Tony- Black History- Churches of Sound► Album Rowing up River to Get Our Names Back (Heavenly Sweetness 2025)Site – Bandcamp – YouTube
Un diggeur passionné des Caraïbes talonné par un poète anglo-trinidadien qui slame la mémoire des afro-descendants. Emile Omar est notre 1er invité pour présenter le 3e volume de la série Disques Debs International Mizik Maladi (Strut Record 2025). Une compilation concoctée par Emile Omar et Hugo Mendez.Strut présente avec enthousiasme le troisième volume tant attendu de la série Disques Debs International, explorant plus en profondeur les archives de l'un des plus grands labels franco-caribéens, Disques Debs, basé en Guadeloupe. Fondé par le visionnaire Henri Debs à la fin des années 1950, le label et son studio ont fonctionné pendant plus de 50 ans, produisant plus de 300 singles 7” et 200 albums, faisant de Disques Debs un pilier de l'histoire musicale caribéenne.Au début des années 1980, Henri Debs s'était déjà imposé comme un producteur prolifique, avec un catalogue de sorties inégalé en Guadeloupe et en Martinique. Parti d'un simple magnétophone deux pistes installé à l'arrière d'une boutique de vêtements, Disques Debs s'est transformé en une véritable institution, avec un studio ultramoderne en plein cœur de Pointe-à-Pitre, des magasins de disques et d'instruments de musique en Guadeloupe, en Martinique et à Paris, une discothèque au Gosier, ainsi que des accords de distribution internationale en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud.Disques Debs a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la musique caribéenne moderne, créant un pont entre les genres traditionnels comme la biguine et le gwoka et les styles contemporains comme le cadence, le compas et le zouk. Ce dernier est devenu un phénomène mondial dans les années 1980 grâce à des groupes emblématiques comme Kassav' et Zouk Machine. Durant cette période, le label a soutenu une nouvelle génération d'artistes tout en continuant à collaborer avec des figures légendaires des décennies précédentes.Le volume 3 de cette série, compilé par Emile Omar et Hugo Mendez, met en lumière l'une des périodes les plus dynamiques et influentes du label, alors qu'il étendait son rayonnement international dans les années 1980. À travers deux vinyles, cette sortie propose une sélection soigneusement choisie de morceaux issus de l'univers Disques Debs, mettant en avant à la fois de jeunes talents et des artistes confirmés qui ont marqué cette époque.Cette collection célèbre non seulement l'héritage inégalé d'Henri Debs, mais offre également un instantané de l'âge d'or de la musique caribéenne, confirmant Disques Debs comme une véritable institution culturelle.► Titres joués- Christian Yéyé – Misyé Zanndo- Horizon – Neg Mawon- Alex Rosa – L'Appel des champions- Max et Henri – Sé Pou Demen► Album Mizik Maladi, l'âge d'or des Disques Debs International (Strut Record 2025)Bandcamp Volume 1 Bandcamp Volume 2 Cadence Revolution Bandcamp Volume 3 Mizik MaladiÀ écouter aussiSpéciale Disques Debs international avec Émile Omar Notre 2nd invité est Anthony Joseph pour la sortie de l'album Rowing up River to Get Our Names Back.L'origine africaine des OVNI, George Clinton en personne, n'aurait pas désavoué ce concept afro-futuriste dont Anthony Joseph avait fait le sujet de The African Origins Of Ufo's, sa nouvelle écrite il y a bientôt vingt ans. Durant ce laps de temps, les albums du chanteur-poète de Trinidad se sont succédé, mais l'idée ne s'est pas évaporée. Après un travail de réflexion et de recherches artistiques avec le musicien-producteur Dave Okumu, il est même devenu l'axe de rotation de son nouvel album. Base des premiers titres élaborés en duo, la nouvelle est ensuite devenue la rampe de lancement de Rowing Up River To Get Our Names Back Vol 1 & 2. D'une aventure si dense qu'il a fallu la scinder en deux parties. Après avoir solidement assuré la connexion musicale de toute la diaspora caribéenne sur ses précédents albums, Anthony Joseph s'engage dans une fresque musicale aussi ambitieuse que fascinante : l'exploration de toutes ces strates qui constituent la longue et tumultueuse histoire de la musique noire. Ces couches créatives qui se sont superposées et additionnées, la nouvelle se nourrissant de la précédente pour, sans le savoir, préparer l'arrivée de la suivante. Cet immense puzzle où, reliées par une forte conscience politique, les différentes pièces ont noirci les portées de leurs notes les plus intenses. Sculpté dans la cire des œuvres si impérissables qu'elles ont rendu stériles toutes les tentatives d'altération des décennies qui se sont accumulées. Forme, fond, portée révolutionnaire, tout est resté intact. Y compris l'esprit de tous ces musiciens qui ne se sont exprimés que par la voix de leur instrument, la puissance de leur groove, la radicalité de leur démarche artistique.Funk, P-Funk, soul, dub, free-jazz, jazz, afrobeat, blues, confrontant leurs deux visions musicales pour n'en former plus qu'une, c'est en binôme éclairé par les phares de leur créativité qu'Anthony Joseph et Dave Okumu ont façonné un afro-futurisme à l'esthétique mouvante et sans limites d'expansion. Stabilisée par cette volonté de raviver toutes les racines, l'exploration se conjugue à celle qui mène aux patronymes perdus. Ceux qui, entre le voyage depuis l'Afrique vers l'Amérique, se sont évaporés dans les flots de l'Atlantique et le claquement des fouets. Ceux dont ont été dépossédés les déracinés de force qui ont dû endosser celui du maître. Les peaux des batteries, le bois des baguettes et celui des percussions, le nylon de cordes, les métaux des saxophones et les trompettes, tout ce qui constitue l'arche organique dans laquelle ont embarqué les héros de la musique noire, révèle au moment du décollage un tableau de bord à l'électronique sophistiquée. Renforcer, voire supplanter certaines fonctions peut s'avérer utile tant la destination est lointaine. Elle est à des années-lumière d'ici. La rejoindre impose de connecter le présent avec le passé pour pouvoir l'emmener dans le futur. Dans l'afro futur. Là où, après avoir remonté la rivière, tous auront récupéré leurs noms et se seront réappropriés un pan de leur histoire.► Titres joués extraits de l'album- Satellite- Tony- Black History- Churches of Sound► Album Rowing up River to Get Our Names Back (Heavenly Sweetness 2025)Site – Bandcamp – YouTube
La plus vieille entreprise d'Amérique du Nord vient de faire faillite. Fondée en 1670, Hudson's Bay a survécu à tout : guerres, révolutions, crises économiques… mais pas aux années 2020. Comment un tel monument a-t-il pu s'effondrer ? Et surtout, quelles leçons en tirer en tant qu'investisseur ?Dans cette vidéo, je vous raconte l'histoire fascinante de la Hudson's Bay Company, de ses débuts dans le commerce de la fourrure à sa chute en 2025. On parle de stratégie, de management, d'effet Lindy (oui, encore lui), de signaux faibles… et du fait que même les géants peuvent tomber.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
INÉDIT - Dans ce nouvel épisode de "Symptômes", le Dr Guillaume Fond, psychiatre et chercheur en santé mentale à Marseille. Il raconte l'histoire poignante d'une patiente en proie à une dépression résistante depuis plus de six ans. Après avoir essayé de nombreux antidépresseurs sans succès, cette femme de 44 ans se retrouve face à un diagnostic complexe mêlant traumatisme d'enfance et maladie auto-immune. Tel un détective de la santé mentale, le Dr Fond explore des pistes peu communes, pour tenter de soulager sa patiente ! Retrouvez chaque mois, un nouvel épisode inédit de "Symptômes", ainsi qu'un bonus la semaine suivante. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
DoorDash, le géant américain de la livraison de repas, multiplie les manœuvres pour consolider sa position internationale. Dernier coup en date : une proposition de 3,1 milliards d'euros pour racheter Deliveroo, l'entreprise britannique bien implantée en Europe. Cette opération, révélée dimanche par Les Échos, permettrait à DoorDash d'accroître significativement sa présence sur le Vieux Continent.Fondée en 2012 à San Francisco par Tony Xu et trois associés, DoorDash est aujourd'hui le leader incontesté du secteur aux États-Unis avec 67 % de part de marché, loin devant ses concurrents Uber Eats et Grubhub. Cotée au Nasdaq depuis décembre 2020, l'entreprise a généré 10,7 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2024, en hausse de 24 % sur un an.Mais DoorDash ne se contente plus de livrer des repas. La plateforme californienne a élargi son champ d'action à la livraison de courses alimentaires, boissons alcoolisées et produits de grande consommation. Cette diversification, entamée il y a plusieurs années, s'est accélérée avec le rachat en 2021 de la start-up finlandaise Wolt pour 7 milliards d'euros, ce qui a permis à DoorDash d'étendre sa couverture à plus de 30 pays, notamment en Europe du Nord et de l'Est.La tentative d'absorption de Deliveroo s'inscrit pleinement dans cette stratégie. Déjà, en 2024, DoorDash avait exprimé son intérêt, mais les négociations avaient échoué sur des désaccords d'évaluation. Cette fois, Deliveroo reste prudent. Dans un communiqué, la société indique qu'« il n'y a aucune certitude qu'une offre ferme soit faite » et recommande à ses actionnaires de ne prendre « aucune mesure à ce stade ». DoorDash a jusqu'au 23 mai pour formaliser sa proposition.L'acquisition permettrait à DoorDash de se renforcer dans des marchés stratégiques, comme le Royaume-Uni, la France, l'Italie ou encore les Pays-Bas, où Deliveroo dispose d'une implantation solide.Toutefois, cette expansion ne se fait pas sans heurts. En 2025, Uber a déposé plainte contre DoorDash pour pratiques anticoncurrentielles, l'accusant d'imposer des clauses d'exclusivité à certains restaurants pour empêcher toute concurrence. DoorDash a rejeté ces accusations, affirmant que ses relations avec les restaurateurs reposent sur la qualité de ses services et leur propre préférence.L'avenir dira si cette offensive sur Deliveroo se concrétisera, mais une chose est sûre : DoorDash compte bien devenir un acteur incontournable du commerce local, bien au-delà des repas livrés à domicile. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:30:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1955, dans l'émission Le Monde comme il va, Jacques Capdeville proposait un voyage dans le Bas-Rhin, invitant l'auditeur à découvrir la Vallée de la Bruche, le massif du Donon, le lac de la Maix et le Ban de la Roche, à travers l'histoire, les anecdotes et les légendes qui ont marqué ces lieux. - réalisation : Virginie Mourthé
Jim and John reflect on a poignant event in Appleton marking the 50th anniversary of the Vietnam War's end, featuring heartfelt stories from veterans and families affected by the conflict. The show also highlights the importance of mental health, especially among veterans. Later, Kelly North Lee from Fondy Famous joins to champion teacher appreciation and community engagement in Fond du Lac. Her mission is to spotlight local businesses and organizations, and she is working on a project to normalize non-drinking in Wisconsin. Maino and the Mayor is a part of the Civic Media radio network and airs Monday through Friday from 6-9 am on WGBW in Green Bay and on WISS in Appleton/Oshkosh. Subscribe to the podcast to be sure not to miss out on a single episode! To learn more about the show and all of the programming across the Civic Media network, head over to https://civicmedia.us/shows to see the entire broadcast lineup. Follow the show on Facebook and X to keep up with Maino and the Mayor! Guest: Kelly Northlee
#vinayakjoshi #kannadainterviews #podcast In this special episode, we welcome renowned herpetologist Dr. Gowri Shankar, a man who has dedicated his life to the study and conservation of snakes, especially the majestic King Cobra (Kalinga).
Aujourd'hui, Charles Consigny, Jean-Loup Bonnamy et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Cette semaine, plongée au cœur de l'innovation américaine, en direct du Texas et de New York, pour une radiographie de la tech et de l'entreprenariat numérique dans un contexte toujours incertain entre l'Europe et les Etats-Unis.Découvrez Frogans, l'innovation française qui veut réinventer le Web [Partenariat]----------- L'ACTU DE LA SEMAINE - Meta et Apple à l'amende, au nom du DMA européen.- Apple : réorganisation pour améliorer Siri, les 10 ans de la Watch.- Lunettes connectées : des améliorations prometteuses signées Meta et Google.- Faut-il arrêter d'être poli avec ChatGPT ? LE DEBRIEF TRANSATLANTIQUE - Texas : Un nouvel eldorado tech.- Amazon face à Starlink et SpaceX pour les satellites. L'INNOVATION DE LA SEMAINE - Des batteries de véhicules électriques révolutionnaires : 1500 km d'autonomie ! LES INTERVIEWS DE LA SEMAINE - Ilan Abehassera : La tech française aux États-Unis.- Antoine Brenner (Aimigo) : l'IA au service de l'apprentissage des langues.- Mathieu de Boeuf-Rouchon (CapGemini) : les jumeaux numériques 5D révolutionnent l'industrie [PARTENARIAT] -----------
In hour three we discuss the next few rounds and why they are so important to the Dolphins chances this season, we are joined by Omar Kelly, and Sam Bennett hates the Lightning.
Ceny bytů ve velkých městech po covidové stagnaci znovu rychle rostou. Zároveň sílí zájem o nájemní bydlení – a právě to hraje do karet Davidu Hauerlandovi, hostu nové epizody podcastu Money Maker.Jeho společnost Fidurock investuje do retailových parků i starších činžáků v atraktivních částech Prahy nebo Brna. Ty pak opravuje a nabízí k pronájmu nebo na prodej. V portfoliu má desítky nemovitostí, stovky bytů a transakce za miliardy korun.V podcastu Money Maker se dozvíte:Proč má David Hauerland slabost pro činžovní domy?Jak se podle něj mění poptávka po bydlení v Česku?Proč už „stometrové 3+1” nejsou ideální volba?A jak vypadaly jeho podnikatelské začátky?Řeč přišla i na realitní trendy, nový investiční fond Fidurocku nebo chystaný luxusní wellness resort ve Slovinsku. A nakonec i na trochu nečekané téma – sbírku veteránů.Pusťte si nový díl Money Makeru a zjistěte, jak vypadá realitní byznys v roce 2025.
Want a quick estimate of how much your business is worth? With our free valuation calculator, answer a few questions about your business and you'll get an immediate estimate of the value of your business. You might be surprised by how much you can get for it: https://flippa.com/exit -- In this episode of The Exit: In this tactical and deeply personal episode, patent attorney and engineer Craige Thompson shares how a devastating loss in his family sparked a lifelong mission to help entrepreneurs protect—and profit from—their innovations. From protecting EBITDA during an exit to engineering “commercially valuable choke points,” Craige reveals how patents can give you a monopoly-like edge and even solve for all five of Porter's Five Forces. You'll learn when not to file a patent, how to evaluate whether your idea is truly novel, and why licensing your IP with “field of use” carve-outs can lead to surprising monetization wins. Whether you're startup-curious or exit-ready, this episode is packed with frameworks, red flags, and real-world examples to rethink IP as a strategic weapon, not just legal paperwork. -- Craige grew up in his father's entrepreneurial small business in Fond du Lac, WI, where he learned the importance of protecting small businesses and helping them thrive. At Thompson Patent Law, Craige built a firm that focuses on creating Litigation Quality Patents® services—intellectual property assets designed to drive measurable business value. Their team ensures clients avoid unnecessary costs by focusing only on patents with real strategic potential. Through his Amazon #1 best-seller Patent Offense and the Litigation Quality Patent Podcast, Craige shares strategies to maximize IP value. Craige on LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/craigeothompson/ Website: https://thompsonpatentlaw.com/ -- The Exit—Presented By Flippa: A 30-minute podcast featuring expert entrepreneurs who have been there and done it. The Exit talks to operators who have bought and sold a business. You'll learn how they did it, why they did it, and get exposure to the world of exits, a world occupied by a small few, but accessible to many. To listen to the podcast or get daily listing updates, click on flippa.com/the-exit-podcast/
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
For forty seasons, Sam Rosen has been synonymous with New York Rangers hockey. With the Blueshirts missing the playoffs in 2025, Rosen's final game will be Thursday against Tampa Bay.Neil and Vic are privileged to share their discussion with Sam in the regular season finale of NHL Wraparound.We also update the playoff picture with seven of the eight opening round matchups decided, chat about TV networks having to work with the hands they are dealt, some rules NHL players might want to see adopted into the NHL and some player notes.IN THIS EPISODE:[02:09] - The final playoff spot is still up for grabs and that kicks off "Three Things You Need to Pay Attention To." Also noted are the clinching of the of the Western wild card spots by Minnesota and St. Louis and a bow on the Atlantic crown by the Toronto Maple Leafs.[14:12] - Sam Rosen joins Neil and Vic. Following some small talk, Sam shares how he's survived 40 years at MSG.[23:00] - The wine collection Sam has accumulated during his farewell tour around the NHL.[25:54] - Sam shares the overwhelming reactions from fans around the NHL.[28:16] - Neil reminds Sam of the one game they worked together and the interesting sidebar which was part of their telecast.[31:20] - Sam talks about his successor in the Rangers TV booth - Kenny Albert.[34:44] - 40 years later, the some advice for aspiring play-by-play folks.[40:57] - Fond memories of 1994.[46:11] - Thoughts on more recent Ranger teams.[48:49] - Preparing for the finale and going forward.[56:10] - The Us rightsholders - ESPN and TNT - face a playoff with none of the four US-based original six teams in the post with either four or five Canadian clubs involved in this year's tournament. [1:00:23] - Looking for rule changes? Over 500 players were recently polled on various PWHL rules and weighed in on what they'd like to see adapted into the NHL.[1:07:37] - Player Notes[1:13:03] - The Human Side of the Story wraps up our show with more on retiring hall-of-fame broadcaster Sam Rosen.X: https://twitter.com/NHLWraparoundNeil Smith: https://twitter.com/NYCNeilVic Morren: https://www.linkedin.com/in/vic-morren-7038737/NHL Wraparound Instagram:https://www.instagram.com/nhlwraparound/#NHLWraparound #ShortShifts #NYCentric #NeilSmith #VicMorren #NHL #AnaheimDucks # #BostonBruins #BuffaloSabres #CalgaryFlames #CarolinaHurricanes #ChicagoBlackhawks #ColoradoAvalanche #ColumbusBlueJackets #DallasStars #DetroitRedWings #EdmontonOilers #FloridaPanthers #LosAngelesKings #MinnesotaWild #MontrealCanadiens #NashvillePredators #NewJerseyDevils #NewYorkIslanders #NewYorkRangers #OttawaSenators #PhiladelphiaFlyers #PittsburghPenguins #StLouisBlues #SanJoseSharks #SeattleKraken #TampaBayLightning #TorontoMapleLeafs #UtahHockeyClub #VancouverCanucks #VegasGoldenKnights #WashingtonCapitals #WinnipegJets #SamRosen #MSGNetwork #ArArbour #ESPN #HartfordWhalers #JimGordon #PhilEspositio #JohnDavidson #JoeMicheletti #TomWatt # JonCooper #VinnieViola #PhoenixCoyotes #RickTocchet #KennyAlbert #BarryTrotz #StanFischler #ScottyConnal #RogerNeilson #MikeKeenan #MikeGartner #GlennAnderson #MarkMessier #Brian Leetch #SergeiZubov #AlexeiKovalev #Wayne Gretzky #ArtemiPanarin #ChrisKreider #MattRempe #JetGreaves #AdamFantilli #BooneJenner #JohnnyGaudreau #SeanMonahan #MartinSt.Louis #IvanDemidov #JoelErikssonEk #MattBoldy #AdamHuska #MitchMarner #AustonMatthews @AnthonyStolarz #CraigBerube #BradTreliving #TJOshie #MartinBroduer #GabrielLandeskog #NikolajEhlers #DarnellNurse #QuintonByfield #YakovTrenin #DerekForbert #Marc-AndreFleury #JohnHynes #FilipGustavsson #RobertBortuzzo #DougArmstrong #JimMontgomery
La coopération franco-allemande passe un nouveau cap. Désormais, le deux pays coopèrent sur la question de l'origine des objets culturels d'Afrique subsaharienne détenus dans les musées des deux pays. Il y a un an, un fond a été lancé et trois projets sélectionnés. Les diverses équipes de chercheurs se sont réunies pour la première fois la semaine dernière à Berlin. De notre correspondante,Une conférence ouverte au public en plein centre de Berlin, puis deux journées de travail entre chercheurs, ont officiellement lancé le fond franco-allemand de recherche sur la provenance des objets culturels d'Afrique subsaharienne. Au total, plusieurs dizaines de chercheurs vont travailler pendant trois ans. Ils viennent de France, d'Allemagne, mais aussi du Cameroun, du Sénégal, du Bénin, du Mali ou encore de Tanzanie, des pays qui ont été colonisés par ces deux puissances au XIXe et au XXe siècle. Julie Sissia est responsable scientifique de ce fond. Elle nous en explique le concept :« Les gouvernements français et allemands ont fait le constat qu'il était nécessaire pour ces deux pays, qui renferment les collections d'objets d'Afrique subsaharienne parmi les plus importantes en Europe, de mettre en commun les ressources des chercheurs de provenance et aussi les ressources dans les universités et dans les musées, pour faire la lumière sur les circulations des objets qui participent d'un phénomène de colonisation qui est, on le sait, un phénomène européen. Les histoires ne sont pas exclusivement nationales, quand bien même la France et l'Allemagne ont des histoires coloniales qui sont très différentes. La colonisation allemande s'est arrêtée plus tôt, elle a commencé plus tard que celle de la France. »À lire aussiRestitution des œuvres d'art africaines: la France et l'Allemagne lancent un fonds de recherche« L'effet Macron » propulse trois projets de rechercheCe projet de recherche franco-allemand n'aurait pas vu le jour sans l'impulsion donnée par le président Emmanuel Macron sur la question de la restitution des biens culturels aux pays africains. Après son discours de Ouagadougou, en 2017, le président français a restitué 26 biens au Bénin. Pour Hamady Bocoum, ancien directeur du musée des Civilisations noires de Dakar, cette étape a été cruciale :« Il faut reconnaître que finalement, c'est la parole du prince qui a le plus porté. Je veux parler de ''l'effet Macron'', quand il a déclaré ne pas pouvoir accepter qu'une large part du patrimoine culturel des pays d'Afrique soit en France. Il a projeté de les restituer dans les cinq ans, ce qui n'a pas pu être fait, mais il a quand même ouvert les vannes. J'ai la naïveté de penser que les lignes vont bouger malgré de réelles résistances. »Désormais, c'est une nouvelle étape scientifique qui commence. Le fond franco-allemand a sélectionné trois projets de recherche. L'un d'entre eux se concentre sur plus d'une centaine de restes humains, des crânes, des os, des squelettes pillés par les colons dans les actuels Cameroun, Tanzanie et Namibie. Des restes humains conservés dans les collections de l'université de Strasbourg. Sylvain Djache Nzefa coordonne la route des chefferies au Cameroun, et il participe à ce projet de recherche :« Ils viennent de la Tanzanie, du Cameroun, mais il y a un travail encore beaucoup plus poussé que les historiens sont en train de faire sur leur origine exacte. Ces restes humains font partie de quelle communauté ? On parle de 1902, 1905, pour le Cameroun. Comment était le territoire ? Comment étaient organisées les chefferies traditionnelles ? Voilà de quoi il s'agit. »À lire aussiLa restitution des œuvres d'art africainDes objets culturels et objets du quotidien seront analysésUn autre projet vient de débuter. Il concerne les objets culturels issus de la communauté banama et spoliés dans ce qui était le Soudan français au tournant du XXe siècle. Une partie de ces objets se trouvent au musée du Quai Branly à Paris. Une autre, encore plus importante, à Hambourg, en Allemagne. La plupart ont été « rapportés » par l'ethnologue allemand Leo Frobenius, dont il faut désormais analyser les archives. C'est l'une des taches du chercheur allemand Richard Kuba :« On a énormément de matériel visuel, des photographies, des croquis, des aquarelles. Un but de ce projet, c'est d'utiliser ces images, mais aussi les archives écrites, les journaux de voyages qu'on a, qui sont extrêmement difficiles à déchiffrer parce que c'est un monsieur qui a une écriture à la main compliquée. De ramener ça, de le mettre en contexte avec les objets qu'il a collectés au Mali en 1907 et 1908 de la région des Banamas. »Le troisième projet se concentre sur des objets du quotidien, des instruments de musique, des objets cultuels, des ustensiles de cuisine, familiers, mais souvent méconnus dans leurs sociétés d'origine et dans les lieux où ils sont conservés. Les chercheurs souhaitent les relier de nouveau à leurs communautés, et notamment aux femmes, et donner la parole à celles et ceux qui ont été exclus dans l'histoire coloniale.Au final, ces différents projets de recherche donneront lieu à des publications, à des expositions. Mais le but est aussi de créer une dynamique scientifique, avec d'autres pays qui, comme la France et l'Allemagne, possèdent des collections issues d'Afrique subsaharienne.
Have you heard about mineral testing your hair? HTMA, hair tissue mineral analysis, is a functional assessment to provide meaningful information on metabolic, hormone, and nervous system regulation. In this episode, Ali interviews guest dietitian and owner of Trace Elements, Kaely McDevitt to learn more about this lab and the role of mineral imbalance on whole body health. Kaely digs into the impact of minerals in metabolic, hormone, and neurological health. She discusses how and why minerals get depleted and root cause approaches for repletion. We discuss our favorite mineral infusions, food-as-medicine, and supplement sources. Also on this episode: Osteofactors provides a whole food bone form of calcium in MCHC Herbal Infusion: 50:50 ratio of Organic Nettles and Organic Oat Straw brewed as a concentrate, sipped diluted The white blood cell micronutrient panel I currently offer Additional Links: www.kaelyrd.com Pregnancy prep guide email freebie: https://kaelyrd.kartra.com/page/foptin Inner Well membership: https://kaelyrd.kartra.com/page/innerwell Deep nutrition More about Kaely Mc Devitt: Kaely McDevitt is a Registered Dietitian specializing in nutrition for women's health. She owns a virtual private practice where she and her team help their clients reclaim their energy, optimize fertility and overcome hormone symptoms through personalized nutrition. Having experienced the pitfalls of a conventional approach to women's health first hand, Kaely is passionate about empowering women to build health from a place of connection: to self, to nature and to community. In addition to her work with clients she is a co-owner of Trace Elements, the internationally recognized provider of HTMA laboratory services and nutritional metabolic products. Sponsors for this episode: This episode is sponsored by FOND Bone Broth, your sous chef in a jar. FOND's bone broths and tallows are produced in small batches with premium ingredients from verified regenerative ranches. Their ingredients are synergistically paired for maximum absorption, nutritional benefit, and flavor. Use code ALIMILLERRD to save at fondbonebroth.com/ALIMILLERRD
durée : 00:57:01 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui, nous célébrons le millième numéro d'Affaires Sensibles, la millième histoire inédite depuis huit ans. Pour marquer l'événement, une histoire emblématique, mère de toutes les affaires sensibles de ce pays : l'affaire Dreyfus en deux épisodes. - réalisé par : Frédéric Milano
Bio Moiz Doriwala is a seasoned professional with a diverse background spanning real estate finance, investment, and entrepreneurship .... Growing up in Naperville, Illinois, his interest in real estate was sparked by his father's career as a general contractor and developer. He pursued higher education, earning a Bachelor of Arts degree in Economics from the University of Chicago and an MBA in Finance and Management and Strategy from Northwestern University's Kellogg Graduate School of Management. His early career began in the finance sector with a unique rotational program at Bank One (later JP Morgan Chase), where he gained experience in asset-backed securities trading, commercial loan workouts, leveraged leasing, and even worked in a strategic group under Jamie Dimon. He further honed his investment banking skills in the Financial Sponsor Group of J.P. Morgan Securities in New York, focusing on M&A transactions and various financing activities. In 2005, Mr. Doriwala transitioned to the real estate industry, joining S&R Land Development, LLC in Reston, VA, where he was involved in the development of residential and commercial land. Leveraging his financial acumen and real estate exposure, he later became Vice President of Perseus Realty Capital, LLC, specializing in joint venture equity, preferred equity, and mezzanine financings. In 2008, Mr. Doriwala formed his own umbrella company, Stirling Realty Advisors, LLC, a boutique real estate investment bank that provides financial advisory services, primarily focusing on raising debt and equity capital for real estate developers and operators nationwide. While initially focused on capital raising, Stirling has evolved into a vehicle for his various investment activities. Under the Stirling umbrella, Mr. Doriwala manages and invests in several businesses, including: Bookhill Park: An entity that manages a series of small funds and operates as a finance company, providing opportunistic lending across various industries and geographies Investments in mental health and behavioral health businesses Investments in one off LPs in apartment projects His role as President of Superior Living Foundation Inc., a 501c3 non-profit focused on owning businesses in the healthcare region, such as senior housing and behavioral health facilities1 .... Mr. Doriwala also has experience in the senior housing sector, having served as Treasurer for Meridian Senior Living .... Additionally, he was involved in the mobile home park business for a number of years through BHP, building and eventually exiting a portfolio of parks. Throughout his career, Mr. Doriwala has demonstrated an opportunistic and entrepreneurial approach, building strong relationships and a reputation for his ability to navigate complex transactions and provide creative financial solutions. He values strong partnerships, thorough due diligence, and trusting his instincts in his investment decisions. Show Notes [6:30] Introduction to Moiz Doriwala and his diverse business background. He manages or participates in managing at least three businesses. [7:00] Overview of Sterling Realty Advisors. Formed in 2008 as an umbrella company for advising real estate operators and developers on capital raising (joint venture equity, mezz, preferred equity, debt financing). Now primarily a vehicle for personal and business investment activities. [7:50] Discussion of Sterling as an investor. Investing in individual real estate projects and companies, often as a passive investor or advisor. [8:20] Introduction to Bookhill Park. An entity managed by Moiz, functioning as a finance company providing loans across various industries and geographies, focusing on the borrower and path to repayment. [9:10] Overview of investments in mental health and behavioral health businesses. [9:20] Moiz's role as President of Superior Living Foundation Inc. A 501c3 non-profit focused on owning businesses in the healthcare region (senior housing, behavioral health, substance abuse). [9:55] Moiz shares his origins and early life in Naperville, Illinois. Noteworthy growth of the suburb outside Chicago. [10:40] Influence of his father's career as a general contractor and developer on his early real estate exposure. [11:05] Initial aspirations to be a lawyer but a shift to finance and banking during college at the University of Chicago (Economics). [11:30] First job at Bank One and the unique two-and-a-half-year rotational program with simultaneous part-time MBA at Northwestern Kellogg. [12:15] Rotations at Bank One: Asset-backed securities trading desk, managed assets (commercial loan workout group, including the Safety Clean bankruptcy), leveraged leasing group, and "skunk works" group working directly for Jamie Dimon. [14:30] Rotation in the banks' merger and acquisition (M&A) group. [14:45] Unique aspect of the Bank One program: Obtaining an MBA (paid for by the bank) through evening classes while working full-time. [16:15] Jamie Dimon's arrival at Bank One as CEO during Moiz's time there. [16:30] Merger of Bank One with JP Morgan Chase and Moiz's move to New York to work in the investment bank's financial sponsors group. [16:45] Fond memories of working in JP Morgan's financial sponsor group. Considered a top group on the street with a strong balance sheet and access to private equity firms. [18:40] Decision to leave JP Morgan in 2005 due to his wife's desire to return to the DC area and the demanding hours of investment banking. [19:30] Intense work hours in investment banking: Regularly working 12+ hour days, seven days a week, sometimes sleeping at the office. [20:15] Wife's background in the real estate industry and understanding of the demanding work schedule. [20:20] Opportunity to join his wife's family's business in land development in the growing DC area, prompted by his father-in-law coming out of retirement to help a large home builder. [20:50] Reasons for leaving high finance for land development: Opportunity to learn real estate on someone else's dollar, educational and financial rewards, and the desire to move to DC. [21:30] Eye-opening experience transitioning from Wall Street to land development. Different work hours and the need for patience when dealing with the public sector. [23:15] Realization that residential land development was not the right fit. [23:30] The financial crisis impacting the land development industry. Fortunate timing of selling their last project before the major downturn. [24:25] Pivoting after the financial crisis to Perseus Realty Capital. A brokerage firm focused on financing real estate transactions (joint venture equity, mezzanine, preferred equity). [25:15] Reasons for choosing Perseus over larger national players: Desire for a smaller, newer firm with more control over destiny, having experienced both very large and very small companies. [26:25] Perseus's evolution to PRP real estate and shift from intermediary to asset management. [26:45] Learning curve at Perseus regarding traditional real estate financing. Understanding mortgage financing, mezzanine debt in real estate, and the role of institutional investors and private equity funds. [27:45] Focus on networking and finding new sources of capital for clients at Perseus. [28:50] Most challenging deal at Perseus: A high-rise residential building in Denver during the financial crisis where the senior loan fell through after construction began. [29:30] Securing mezzanine financing for the Denver project with another intermediary bringing in Corus Bank as the senior lender. [30:10] Challenges with Corus after Starwood took over, transitioning from dealing with a bank to an opportunity fund. [31:10] Comparison of the lending environment today (more cautious with lower loan-to-cost, higher rates, stronger covenants) compared to before COVID. [32:30] Overview of Bookhill Park's lending activities. Opportunistic lending beyond just real estate, including first and second mortgages, mezzanine, unsecured and secured loans, asset-based loans, inventory financing, payroll loans to government contractors, and factoring. [33:20] Origin of Bookhill Park's lending business: Helping a government contractor with payroll financing due to challenges with traditional bank lending for new contractors. [34:20] Higher return expectations in Bookhill Park's early lending days (17%+) compared to today (12-15%) due to increased private credit competition. [36:00] Impact of higher generic interest rates versus the decrease in Bookhill Park's targeted returns due to market competition. [36:50] Bookhill Park's patient capital base (personal capital, friends, family, investors) allows for selectivity in deals. [38:10] Evolution of Stirling Realty Advisors post-Perseus, focusing on national JV equity and mezzanine raising with a business partner. [38:50] Strategies for finding clients and investors: Networking at conferences (ULI), cold calling developers, and building relationships. [39:55] Business partner's departure and Moiz continuing as a sole entrepreneur with Stirling, leading to involvement in other businesses through new partnerships. [40:30] Evolution of the senior living business involvement. Initial capital raising for healthcare deals leading to a role at Meridian Senior Living. [41:20] Role as Treasurer at Meridian Senior Living. Initially part-time but became more significant, involving corporate infrastructure and learning the operations-focused nature of the healthcare business. [42:50] Financing structure of Meridian Senior Living: Real estate financed by traditional sources (opportunity funds, REITs) through leases, while operations were primarily financed by the three partners. [43:20] Involvement in raising capital for Meridian. [43:30] Managing banking relationships at Meridian. The partners had existing relationships, but Moiz also brought new ones. [44:20] Growth and evolution of Meridian: Hiring a full-time treasurer and assistant treasurer, and starting ancillary businesses (pharmacies, therapy business). [45:20] Parallel development of Bookhill Park and how relationships from the senior housing business led to healthcare lending deals. [46:00] Bookhill Park's unique lending advantage in the senior housing space: Ability to potentially take over management due to the operating company connection. [46:30] Bookhill Park's partnership with regional banks to do larger "A/B" structure loans, effectively syndicating the "A" piece. [48:30] Mobile home park business (BHP): Parallel investment with a different group of partners, attracted by limited supply and affordable housing characteristics. [50:15] Portfolio size of mobile home parks at its peak. [50:20] Opportunistic investment strategy leading to eventual exits from mobile home park projects. [50:45] Sale of a well-located mobile home park in Maryland after a short ownership period due to a strong offer. [51:30] Institutionalization of the mobile home park space over the last 15 years, leading to increased competition and higher acquisition costs, making current returns less attractive. [52:00] Challenges in the current mobile home park market: Increased broker presence and sellers having unrealistic price expectations. [52:50] Differences between mobile home park and traditional multifamily operations. [53:10] Section 8 in mobile home parks. [53:30] Potential future re-entry into the mobile home park market when institutional capital exits. [54:10] Formation of Superior Living Foundation Inc. (501c3) in 2017 by the principals at Meridian Senior Living to grow their presence in senior housing and healthcare through tax-exempt opportunities. [56:00] Avoiding conflicts of interest between the non-profit and for-profit entities. Independent board for the non-profit making decisions at market rates with multiple operator options. [57:15] Interesting financing assignments: Maritime claim settlement through Bookhill Park, involving learning about maritime law and insurance claims. [59:30] Recent closing of a 14-property skilled nursing portfolio acquisition by Superior Living Foundation. A tax-exempt bond deal with institutional buyers, aimed at growing the foundation's ability to provide healthcare services. [1:01:30] Reflection on John's early prediction of Moiz's success and their collaborative transactions over the years. [1:01:45] Moiz's experience in the ULI mentorship program with John as his mentor. [1:02:30] Value of their ongoing relationship and how it has led to successful introductions and investment opportunities, including a senior housing deal in Florida and multiple investments in a former mentee's multifamily projects. [1:04:40] Advice for young listeners on investment criteria and sponsor selection. Prioritizing the sponsor, location, and the sponsor's financial resources and "skin in the game." [1:07:00] Views on signing recourse loans. Moiz's partner's perspective on the development game. [1:08:00] Not personally willing to act as a co-GP solely for providing a guarantee. [1:08:30] Ability to bring both equity and a guarantor to a deal. [1:08:45] The unique aspect of Moiz's ability to raise capital and bring a group of investors to deals. [1:09:50] Investment philosophy and what sets Moiz apart: Creativity without a fixed "box," focusing on the story and exit, and a commitment to doing what they say they will. [1:12:00] Clarification on partnership structure: While Stirling is his sole business, almost all other ventures involve partnerships. [1:12:30] Importance of having partners to bounce ideas off of. [1:13:00] Time management strategies: Making lists, prioritizing, managing multiple transactions, relying on mental organization, and detailed calendar use. [1:14:20] Financial management: Working with an accountant and using QuickBooks for many entities. [1:15:15] Lean administrative structure. [1:16:00] Personal management of investor payouts for Bookhill Park. [1:16:30] Utilizing technology for tracking investments (example of Colin's investor portal) and the recommendation to invest in such technology. [1:17:00] Limited personal exploration of AI but an interest in future use. [1:17:30] Use of a wealth management firm with strong technology to track personal and investment financials. [1:17:45] Effectively having a "family office" through their wealth management firm's tracking capabilities. [1:18:30] Ensuring his wife knows the location of important financial information. [1:19:00] Challenging trends and unique opportunities in investments and capital markets today: Uncertainty due to government changes, tariffs, and financial market fluctuations. Lending still tough, potential impact of rising unemployment on real estate. Possible positive impact on office sector. [1:20:30] Trends in the senior housing business: Demographic upside ("silver tsunami") but challenges with increasing labor, food, and supply costs not yet matched by rent increases. Impact of stock market and interest rates on affordability. Financing and construction costs remain high. [1:22:00] Dynamics in the skilled nursing space: Reliance on Medicaid with capped payments and potential cuts creating nervousness. [1:23:15] Growth potential in healthcare in general and the role of AI. [1:23:45] Growth potential in the energy business, including passive energy. [1:24:00] Concerns and questions surrounding the office sector: Return to office trends, occupancy rates, and the efficiency of operating buildings with hybrid work models. Impact on retail demand. [1:24:45] Approach to future investments: Remaining opportunistic and open-minded across various sectors, continuing high-quality lending and partnerships, and focusing on good real estate in prime locations. [1:26:00] The unique value of Moiz's diverse experience across institutional finance, small entrepreneurial groups, agency, and principal roles. [1:26:15] Accepting that not all ventures will succeed and the importance of learning from both successes and failures. [1:26:45] Most surprising lessons learned: No guarantees in business or life, and the critical importance of personally verifying key information rather than solely relying on team members or partners. [1:28:30] Advice to his 25-year-old self: Be curious, be patient, be a hustler, slow down (balance opportunism with thorough execution), and be passionate. [1:29:55] Priorities of family, work, and giving back: Family is paramount with a focus on spending time with his children. Strong emphasis on giving back in the education space, both domestically and internationally. [1:30:30] Supporting various educational organizations. [1:31:30] Final question: What would a billboard on the Capitol Beltway say? "Trust your gut." [1:32:00] Reflection on times when trusting his gut paid off and, more significantly, times when ignoring his gut led to negative outcomes. [1:32:20] Accepting missed opportunities without regret. [1:33:20] Thank you and closing remarks. Similar Episodes Brad Olsen Shekar Narasimhan Ken Bacon Willy Walker
Le 26 Août 2010, Sarah Scazzi disparaît. Cette disparition mystérieuse, va rapidement devenir une affaire criminelle qui va fasciner l'Italie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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