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Pour ce second et dernier épisode consacré à la Nuit des Étoiles du Congo et d'Afrique , L'Interview Street vous propose une émission exceptionnelle en direct, entièrement dédiée à l'échange et à la parole.Autour du micro, plusieurs figures marquantes de la scène urbaine africaine ont pris le temps de se livrer dans des interviews calmes, profondes et sincères : • White N • Donk 1er Toni Rossetto • Dio Mede aka DIOMEDE KING • Glenn • Stookie Williams (pour le débrief final) Chacun d'eux revient sur son parcours, son lien avec la culture congolaise et africaine, ses engagements, ses projets… Une conversation collective riche en émotions, en lucidité et en transmission.Un moment suspendu, au cœur de l'Afrique artistique d'aujourd'hui.
durée : 00:03:49 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - En congrès ce week-end, le parti socialiste a acté ses divisions. Autour d'une seule question - toujours la même : son lien avec La France Insoumise.
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, "Les Grandes Gueules du Sport" analysent l'actu sport avec le recul de la semaine écoulée, et donnent le ton des week-ends sport à suivre sur RMC. Autour de Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux, des consultants de renom: David Douillet, Marie Martinod, Stephen Brun, Denis Charvet, Christophe Urios, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret ou Renaud Longuèvre.
Les modèles de formation planétaire indiquent que la formation de planètes géantes est beaucoup plus difficile autour des étoiles de faible masse en raison de l'échelle des masses du disque protoplanétaire avec la masse stellaire. Mais pourtant, une équipe d'astrophysiciens vient de découvrir une planète de 53 masses terrestres en orbite autour d'une étoile de 0,2 masses solaires. Ils publient leur étude dans Nature Astronomy. Source A transiting giant planet in orbit around a 0.2-solar-mass host starEdward M. Bryant et al.Nature Astronomy (4 june 2025)https://doi.org/10.1038/s41550-025-02552-4 Illustration Positionnement de TOI-6894 b dans le graphe (masse et rayon de planète en fonction de la masse de l'étoile hôte le contexte des planètes en transit connues) (Bryant et al.) Edward Bryant
"C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir. "
C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir.
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C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanche entre 13h et 15h. Autour de la table : Benoït Boutron, Pierre-Ambroise Bosse, nos invités et vous bien sûr ! Les 3 sujets de débat Sport qui animent le week-end, la semaine écoulée ou la semaine à venir.
Autour de Carine Galli et Alex Vizorek, retrouvez deux équipes composées de sportifs de légende pour s'affronter dans un grand quizz sportif en plusieurs manches. D'un côté, Nathalie Péchalat (patinage), Brahim Asloum (boxe) et Philippe Bernat-Salles (rugby). De l'autre, Henri Leconte (tennis), Brice Guyart (escrime) et Yannick Souvré (basket).Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:00:07 - Documentaire : Autour de lIntonation juste - par : François Bonnet - Du shruti indien au Long String Instrument, quatre compositeur·rice·s : Ellen Arkbro, Ellen Fullman, Duane Pitre, Catherine Lamb, explorent l'intonation juste : un voyage où l'espace, le corps et l'écoute réinventent l'harmonie. - réalisé par : Alexandre Bazin
En Corée du Sud, les semi-conducteurs font la richesse du pays, mais aussi la souffrance de nombreux travailleurs. Exposés à des produits chimiques, les ouvriers des usines de semi-conducteurs dénoncent un manque de protection qui provoque de nombreux cancers. Un problème sur lequel de nombreuses entreprises ferment les yeux. Après 20 ans de carrière passée à Samsung, Jeong Hyang-suk porte un constat amer sur son travail qui l'a poussée à démissionner en 2015 : « J'étais fière de travailler pour Samsung, mais cela a failli me tuer. Quand je suis arrivée dans l'entreprise après le lycée, je n'avais pas eu de formation sur les dangers de ce métier. On ne savait pas les risques, on allait dans l'inconnu ». Sur les chaînes de production des semi-conducteurs, elle et ses collègues ont été exposés pendant des années à des produits chimiques dangereux entraînant notamment des cancers. Des maladies dont souffrent encore Jeong Hyang-suk et ses anciens collègues : « J'ai fait deux fausses couches, eu des problèmes d'infertilité et deux tumeurs, l'une à l'utérus et l'autre à la tête. Je suis encore aujourd'hui sous traitement. Autour de moi aussi, les gens tombaient malades. Mes deux supérieurs, l'un a eu un cancer de la peau, l'autre un cancer du poumon, ils en sont morts. J'ai aussi vu une collègue accoucher d'un enfant mort-né. Une cheffe d'équipe est décédée très vite, sans que l'on sache de quelle maladie il s'agissait. Avec le recul, on pense que c'était peut-être une leucémie. À l'époque, on ne connaissait pas cette maladie. Elle n'avait que 24 ou 25 ans. Ça m'a choquée ». À lire aussiCorée du Sud: le gouvernement dépose un projet de loi pour augmenter la durée de travail hebdomadaire Plusieurs centaines de produits chimiques différents sont utilisés dans les usines de semi-conducteurs de n'importe quelle entreprise du secteur. Seulement, en Corée du Sud, la législation autorise les sociétés à garder secrète la liste exacte des composants utilisés. Une mesure pour se protéger de la concurrence mais qui ne permet pas de demander des mesures de protection adéquates. Lee Jong-ran, de l'association Sharps, qui regroupe d'anciens employés du secteur, témoigne de la difficulté à mieux protéger les ouvriers : « Samsung par exemple, après avoir été condamné en justice en 2018, s'est excusé pour le manque de protection et a promis des améliorations. Mais dans le même temps, l'entreprise a décidé de sous-traiter une grande partie de sa production à des sociétés externes qui sont moins regardantes et ne peuvent tenir Samsung pour responsable. Le problème s'est déplacé ». Aujourd'hui encore, les travailleurs des usines de semi-conducteurs ont deux à trois fois plus de chance de développer un cancer à cause des produits chimiques. Les syndicats et la communauté scientifique appellent à lever le secret industriel autour des composants de fabrication. À lire aussiLa Corée du Sud investit pour devenir un leader des semi-conducteurs liés à l'IA
Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Dominique Severac, Gilles Verdez et FLorian Gazan pour 1h de débat. Au sommaire ce 14 juin 2025 : La Coupe du monde des Clubs peut-elle gagner le cœur du public ? Le calendrier est il réellement surchargé ? Dembele doit il réussir cette compétition pour gagner le BO ? 3 débats flashs : - Cherki à City : en route pour la gloire ou attention à la marche (un peu haute) ? - Portugal vainqueur de la L.d.Nations : et si c'était le favori de la prochaine Coupe du Monde ? - Pogba à Monaco : peut il revenir au très haut niveau et devenir un pilier de l'équipe ? Ecoutez On refait le match avec Philippe Sanfourche du 14 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Corée du Sud, les semi-conducteurs font la richesse du pays, mais aussi la souffrance de nombreux travailleurs. Exposés à des produits chimiques, les ouvriers des usines de semi-conducteurs dénoncent un manque de protection qui provoque de nombreux cancers. Un problème sur lequel de nombreuses entreprises ferment les yeux. Après 20 ans de carrière passée à Samsung, Jeong Hyang-suk porte un constat amer sur son travail qui l'a poussée à démissionner en 2015 : « J'étais fière de travailler pour Samsung, mais cela a failli me tuer. Quand je suis arrivée dans l'entreprise après le lycée, je n'avais pas eu de formation sur les dangers de ce métier. On ne savait pas les risques, on allait dans l'inconnu ». Sur les chaînes de production des semi-conducteurs, elle et ses collègues ont été exposés pendant des années à des produits chimiques dangereux entraînant notamment des cancers. Des maladies dont souffrent encore Jeong Hyang-suk et ses anciens collègues : « J'ai fait deux fausses couches, eu des problèmes d'infertilité et deux tumeurs, l'une à l'utérus et l'autre à la tête. Je suis encore aujourd'hui sous traitement. Autour de moi aussi, les gens tombaient malades. Mes deux supérieurs, l'un a eu un cancer de la peau, l'autre un cancer du poumon, ils en sont morts. J'ai aussi vu une collègue accoucher d'un enfant mort-né. Une cheffe d'équipe est décédée très vite, sans que l'on sache de quelle maladie il s'agissait. Avec le recul, on pense que c'était peut-être une leucémie. À l'époque, on ne connaissait pas cette maladie. Elle n'avait que 24 ou 25 ans. Ça m'a choquée ». À lire aussiCorée du Sud: le gouvernement dépose un projet de loi pour augmenter la durée de travail hebdomadaire Plusieurs centaines de produits chimiques différents sont utilisés dans les usines de semi-conducteurs de n'importe quelle entreprise du secteur. Seulement, en Corée du Sud, la législation autorise les sociétés à garder secrète la liste exacte des composants utilisés. Une mesure pour se protéger de la concurrence mais qui ne permet pas de demander des mesures de protection adéquates. Lee Jong-ran, de l'association Sharps, qui regroupe d'anciens employés du secteur, témoigne de la difficulté à mieux protéger les ouvriers : « Samsung par exemple, après avoir été condamné en justice en 2018, s'est excusé pour le manque de protection et a promis des améliorations. Mais dans le même temps, l'entreprise a décidé de sous-traiter une grande partie de sa production à des sociétés externes qui sont moins regardantes et ne peuvent tenir Samsung pour responsable. Le problème s'est déplacé ». Aujourd'hui encore, les travailleurs des usines de semi-conducteurs ont deux à trois fois plus de chance de développer un cancer à cause des produits chimiques. Les syndicats et la communauté scientifique appellent à lever le secret industriel autour des composants de fabrication. À lire aussiLa Corée du Sud investit pour devenir un leader des semi-conducteurs liés à l'IA
Sous une chaleur caniculaire, l'émission de ce week-end sur déguste comme une Pina Colada après avoir cramé au soleil ! Servis bien frais : d'improbables questions culturelles, une chronique médias qui a quelques secrets à vous révéler, une incroyable superstition au Japon, de l'amour dans l'air dans les recos ciné, un indomptable blind test des connexions, de très hautes études, de savoureux jeux de mots et une seule vraie interrogation : la team survivra t-elle à cet enregistrement sous 38 degrés Celsius ?Autour de la table : Patrick, Élise, Lise, Gautier et les deux Alexandre.Plus que 2 émissions avant des vacances bien méritées. Merci pour tous vos messages, on vous aime très fort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après l'offensive lancée dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin par Israël sur l'Iran, Téhéran a riposté avec des missiles balistiques sur l'État hébreu. Quelle va être la durée et la suite des événements ? Pour en parler, Joshua L. Zarka, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l'État d'Israël en France, invité international de RFI. RFI : L'armée israélienne annonce dans un communiqué que ses avions de chasse vont reprendre les frappes, que les voix vers l'Iran ont été ouvertes. Concrètement, c'est une nouvelle phase de ce qu'on peut qualifier de guerre ouverte ? Joshua L. Zarka : Non, ce n'est pas une nouvelle phase. Nous avions clarifié d'une façon très claire que notre but n'était pas d'avoir une opération qui durerait un jour seulement. Nous allons nous débarrasser et débarrasser le Moyen-Orient de la capacité nucléaire militaire que l'Iran voulait développer. Et tant que cela n'est pas terminé, nous devons continuer cette opération. Nous allons continuer cette opération. Mais quand le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, déclare que « Téhéran brûlera », si l'Iran tire de nouveaux missiles sur Israël, cela va au-delà justement de cet objectif que vous évoquiez, des installations nucléaires... C'est exactement pour clarifier aux dirigeants iraniens, parce que ce n'est pas avec le peuple iranien que nous avons un problème, bien au contraire. Le peuple iranien en a assez de ses dirigeants, de ces mollahs, de ce régime qui les tue. Alors c'est pour clarifier à ce régime qu'il faudrait mieux de ne pas tirer contre nos civils. Nous n'attaquons ni Téhéran, ni les civils iraniens, bien sûr, mais seulement des militaires et des infrastructures militaires. Pour rebondir sur ce que vous dites, parmi les victimes qui ont été annoncées vendredi en Iran, une grande partie sont des civils, selon l'ambassadeur de l'Iran à l'ONU... Oui, c'est vrai, c'est selon l'ambassadeur de l'Iran, comme vous l'avez dit. Mais donc vous niez la qualité de civils de ces personnes ? Nous faisons en sorte, mais nous ciblons seulement les militaires. Si vous avez vu les frappes, certaines des frappes qui ont été faites, c'est non seulement les militaires et les personnes chargées des opérations militaires, mais c'est aussi la chambre à coucher spécifique de la personne où il dormait. C'est seulement l'appartement, par exemple, de M. Salami qui était responsable du programme nucléaire et d'autres. Ce n'est pas contre des civils. Ce qu'a fait l'Iran hier en quatre différentes occasions, c'est de tirer des missiles contre des gens, contre des civils, contre des endroits qui sont peuplés par des civils. Ils n'ont pas ciblés, par exemple, des bases militaires, ce qui serait, comme on dit, de bonne guerre. Vous dites que vous voulez débarrasser le Moyen-Orient de la menace nucléaire iranienne. Beaucoup d'experts doutent de cette faisabilité. Pensez vraiment que ce soit véritablement un objectif réaliste ? Vous utilisez le terme de ce qui est connu justement. Vous savez, dans le développement de capacités militaires, il y a énormément de choses qui ne sont pas connues par le public. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous savons qu'elle peut aboutir. À lire aussiRiposte iranienne à l'attaque d'Israël: à Tel-Aviv, le quartier du ministère de la Défense lourdement touché Vous estimez avoir les capacités militaires pour atteindre les infrastructures souterraines ? Ce qui est connu par des gens qui sont soi-disant, des experts militaires qui ne savent pas ce qu'il y a exactement, ce qui existe dans les arsenaux israéliens, ne veut rien dire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous sommes certains de pouvoir y aboutir. De pouvoir éradiquer complètement le programme nucléaire, pas juste de le retarder ? Vous savez, regardez, il y a eu deux différentes occasions. Il y a eu des événements dans lesquels Israël a débarrassé le Moyen-Orient de programmes nucléaires illicites, c'était en Irak et en Syrie. Dans les deux cas, des experts internationaux disaient que c'était impossible et que de toute façon, ça allait repousser le programme de un ou deux ans. Et dans les deux cas, depuis et jusqu'à présent, les deux dictateurs ont disparu, mais quand ils étaient encore en vie, ils n'avaient pas repris leur intention de développer une arme nucléaire. Alors les experts, souvent, sont des experts civils qui ne savent pas exactement de quoi il s'agit. Ou bien c'est des gens qui connaissaient les facteurs dans le passé, mais ils ne savent pas de quoi il s'agit aujourd'hui. Encore une fois, je le je répète d'une façon très claire. Si nous avons décidé de faire cette opération, c'est que nous pensons que nous savons que nous pouvons y aboutir. Monsieur l'ambassadeur, vous parlez d'opération préventive. Dans quel cadre légal notamment, se déroule cette opération ? Il n'y a pas de résolutions de l'ONU et a priori pas de concertation avec les alliés d'Israël ? Mais ce n'est pas une question seulement d'opération préventive. Vous savez, le 7-Octobre est un événement iranien. Sans l'Iran, le Hamas n'aurait pas eu d'armes, n'aurait pas eu le soutien militaire, n'aurait pas eu le soutien économique qu'il a eu. Et non seulement cela, mais en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement sur notre territoire des centaines de missiles. La première fois 350 missiles, missiles de croisière et drones, la seconde fois 180 missiles. Mais il n'y a pas eu d'armes nucléaires utilisées le 7-Octobre ? Madame, j'essaie de vous répondre. Donc, en deux différentes occasions, l'Iran a tiré directement des centaines de missiles contre Israël. Nous sommes déjà en guerre avec l'Iran depuis des années. Depuis très longtemps, l'Iran a tiré des missiles de croisière, des drones, contre Israël à maintes occasions. Alors dire que c'est une opération qui vient « comme ça », comme si on était en paix avec le régime iranien et que d'un seul coup on a décidé d'attaquer, c'est pas du tout le cas. L'Iran nous a attaqué, nous attaque régulièrement. L'Iran a essayé d'assassiner des gens en Israël. L'Iran arme les terroristes, les groupes terroristes qui opèrent en Israël, et l'Iran a attaqué directement le territoire israélien avec des missiles de son territoire directement. Est-ce que c'est une opération qui s'inscrit pour votre pays dans un temps long ? Non, ce n'est pas dans un temps long. Notre intention est de faire ça le plus rapidement possible. Ce n'est pas une opération de plusieurs longues semaines. Ce n'est clairement pas une opération de plusieurs mois. C'est une opération que nous essayons de faire le plus rapidement possible, de raccourcir autant qu'on peut. Le président français a défendu le droit d'Israël à se protéger tout en appelant à la négociation pour régler la question nucléaire iranienne. Est-ce que le Premier ministre Benyamin Netanyahu a parlé à Emmanuel Macron ? Oui, ils se sont parlé. Ils ont eu une très bonne discussion. Les deux dirigeants se parlent assez régulièrement et généralement ont de très bonnes discussions. Est-ce que la France participe aux opérations d'une manière ou d'une autre ? D'abord, la France n'a pas du tout participé à l'attaque. C'était une attaque, une opération qui était une opération israélo-israélienne. La question de la défense d'Israël par rapport aux attaques iraniennes est une question, je pense que le président a parlé qu'il comptait aider Israël à se défendre contre les attaques iraniennes. À lire aussiÀ la Une: l'escalade entre l'Iran et Israël La question de la légalité a été posée par un certain nombre de personnes. Vous estimez que vous étiez dans un état de légitime défense après le 7-Octobre ? C'est ça qui constitue la légalité, le cadre juridique dans lequel vous intervenez ? Ce n'est pas seulement le 7-Octobre. Vous savez, quand un pays comme l'Iran dit d'une façon très claire, et c'est le président, le dirigeant de ce pays qui déclare d'une façon très claire plus d'une fois, il le répète pratiquement chaque semaine, qu'il compte détruire l'État d'Israël, il met même une date, 2035 était la date à laquelle l'Iran devait terminer de détruire Israël. Quand ce pays arme tous les ennemis autour d'Israël, et non seulement cela, mais les encourage, les finance et en plus, quand cet ennemi développe la capacité de détruire mon État, nous sommes en toute légitimité. En plus, si vous voulez ajouter cela, l'Iran a deux fois attaqué, comme je l'ai dit auparavant. L'Iran a attaqué Israël deux fois par des centaines de missiles tirés de son territoire. Au-delà du nucléaire, l'objectif c'est la chute du régime iranien ? C'est l'anéantissement de l'Iran ? Non, clairement non. Je dis ça d'une façon catégorique. D'abord, l'anéantissement de l'Iran, pas du tout. Le peuple iranien est un peuple pacifique, un peuple qui veut et qui a vécu en paix avec nous. Nous n'avons aucune raison de ne pas vivre en paix avec eux. Nous voulons et nous pourrons et nous vivrons en paix avec le peuple palestinien. Alors clairement, ce n'est pas d'anéantir l'Iran. Mais non seulement cela, ce n'est pas non plus d'amener un changement de régime. Nous sommes un petit pays et nous nous défendons. Nous ne sommes pas un nouvel architecte du Moyen-Orient. Même si le Premier ministre Netanyahu disait vendredi dans une vidéo que « le temps est venu pour le peuple iranien de s'unir face au régime pervers et oppressif »... Est-ce que du fait de cette opération contre l'Iran, le front de Gaza devient pour votre pays un théâtre d'opération secondaire ? Je voudrais d'abord répondre à la question dont vous parlez. Le Premier ministre a dit cela en disant que c'était au peuple iranien de choisir leurs dirigeants. Ce n'est pas à Israël de le faire. Et effectivement, je peux vous dire d'une façon très claire que tant que ce régime sera en place, tant que le régime iranien sera en place, il n'y aura pas entièrement de paix au Moyen-Orient, parce que c'est un régime révolutionnaire qui veut changer la façade du Moyen-Orient, qui veut changer le Moyen-Orient en utilisant la force et la violence et le terrorisme. Et sur Gaza, est-ce que ce théâtre est devenu secondaire pour Israël ? De toutes les façons, nous arrivons à la fin de la guerre à Gaza. Le Hamas n'a plus les capacités qu'il avait. Cette guerre à Gaza se terminerait immédiatement si demain ou aujourd'hui le Hamas libérait tous nos otages. Mais ça nous l'avons dit depuis longtemps et ils n'ont qu'à nous tester, qu'ils libèrent nos otages. Cette guerre sera terminée. Nous n'avons rien à faire à Gaza. Nous ne comptons pas rester à Gaza. Nous n'avons jamais voulu annexer ou repeupler Gaza. Gaza est aux Palestiniens, appartient aux Palestiniens et restera aux Palestiniens. Ce que nous voulons, c'est nos otages et qu'ils nous laissent vivre en paix. Vous dites que la guerre arrive à sa fin à Gaza, pourtant le processus politique est un petit peu à l'arrêt. Autour de la bande de Gaza, les négociations peinent à avancer. C'est quoi l'avenir de Gaza ? D'abord, les négociations peinent à avancer. Parce que vous savez que deux fois et à deux occasions, des offres de cessez-le-feu ont été présentées par l'envoyé spécial du président des États-Unis, monsieur Steve Witkoff. Et ces deux occasions, Israël les a acceptées et elles ont été rejetées par le Hamas. Alors, vous savez, le fait que ces organisations, les dirigeants palestiniens rejettent des offres de paix qui sont faites, c'est quelque chose qui se fait régulièrement. Toutes les offres faites par le Hamas ont été rejetées par Israël. C'est le propre des négociations, c'est qu'il faut parvenir à un compromis... C'est pour ça qu'il y a l'envoyé spécial des États-Unis. Mais ce ne sont pas des offres israéliennes. Ce sont des offres américaines avec lesquelles les négociations auxquelles ont participé les Égyptiens et les Qataris. Quel est l'avenir de Gaza dans la vision israélienne ? Notre vision c'est que Gaza appartient aux Gazaouis et doit être géré éventuellement par les Gazaouis et simplement que ce soit démilitarisé, désarmé et qu'ils vivent en paix avec nous. À lire aussi«Israël peut continuer à détruire des sites en Iran mais l'expertise nucléaire va rester»
Au sommaire du Café des Sports – Vendredi 13 juin 2025 - Direct à 18h10 TU (rediffusion à 21h10 TU). Sur RFI, France 24, Facebook Live, YouTube : - Mondial des clubs : Ça démarre fort ! ; - Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples. ; - Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? Mondial des clubs : Ça démarre fort ! - Focus sur le lancement historique de cette première édition XXL aux États‑Unis ! - Analyse du premier choc : Inter Miami (Messi) vs Al‑Ahly Le Caire samedi soir à Miami - Débat : la compétition sera-t-elle inégale entre superpuissances européennes et outsiders à moins que... ? - Autre enjeu : quel impact sur le Ballon d'or à venir ? Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples - Retour sur ce transfert surprise de l'été : De Bruyne quitte Manchester City pour Naples à 33 ans. - Débat : coup gagnant pour Naples ? Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? - Votre sélection des moments forts en vidéo cette semaine. - Cartons : rouges pour les frasques, jaunes pour les avertissements, verts pour les gestes remarquables. - Échanges avec auditeurs et consultants sur les images marquantes de l'actu foot ! Autour d'Annie Gasnier et Frédéric Suteau : Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara -- Chef d'édition : David Fintzel -- TCR : Laurent Salerno -- Réalisation vidéo : Souheil Khedir, Yann Bourdelas -- Réalisation audio : Alice Mesnard.
Au sommaire du Café des Sports – Vendredi 13 juin 2025 - Direct à 18h10 TU (rediffusion à 21h10 TU). Sur RFI, France 24, Facebook Live, YouTube : - Mondial des clubs : Ça démarre fort ! ; - Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples. ; - Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? Mondial des clubs : Ça démarre fort ! - Focus sur le lancement historique de cette première édition XXL aux États‑Unis ! - Analyse du premier choc : Inter Miami (Messi) vs Al‑Ahly Le Caire samedi soir à Miami - Débat : la compétition sera-t-elle inégale entre superpuissances européennes et outsiders à moins que... ? - Autre enjeu : quel impact sur le Ballon d'or à venir ? Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples - Retour sur ce transfert surprise de l'été : De Bruyne quitte Manchester City pour Naples à 33 ans. - Débat : coup gagnant pour Naples ? Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? - Votre sélection des moments forts en vidéo cette semaine. - Cartons : rouges pour les frasques, jaunes pour les avertissements, verts pour les gestes remarquables. - Échanges avec auditeurs et consultants sur les images marquantes de l'actu foot ! Autour d'Annie Gasnier et Frédéric Suteau : Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara -- Chef d'édition : David Fintzel -- TCR : Laurent Salerno -- Réalisation vidéo : Souheil Khedir, Yann Bourdelas -- Réalisation audio : Alice Mesnard.
Young, Wild & Freelance | Le podcast pour ta vie d'indépendant
Dans cet épisode de Young, Wild & Freelance je réagis à un post LinkedIn qui reflète à mon sens quelque chose de plus profond qui se joue partout dans notre écosystème entrepreneurial : une crise de sens et de dissonance cognitive entre le quotidien de nos entreprises, et le triste état du monde. Je vous propose des pistes de réflexion pour réconcilier : - votre action entrepreneuriale et votre business - avec les enjeux de notre société et les crises de notre monde - et votre épanouissement individuel en tant qu'humainCette vidéo est en réaction à un post LinkedIn que vous pouvez retrouver ici : https://www.linkedin.com/posts/inessegk_comment-on-fait-pour-tenir-la-barque-quand-activity-7338103679230631936-nw8p?utm_source=share&utm_medium=member_desktop&rcm=ACoAABSaZhkBpWql00z0U7kD_PuFr9_S6HVgkNEJe remercie d'ailleurs grandement Inesse pour la publication, c'est ce qui m'a donné l'élan de faire cette vidéo. Si ce que je vous partage vous inspire, peut-être que notre façon d'accompagner les entrepreneur·es vous correspondra ? Rejoignez notre espace communautaire pour les freelances et indépendant·es qui veulent entreprendre autrement ici : https://www.communaute.kaleidoscopehorizons.com/share/mptIDd7t3MjshbGX?utm_source=manual--- Young, Wild & Freelance est un podcast hebdomadaire pour les entrepreneurs solo et les indépendants dans lequel Thomas Burbidge te partage toutes les clés pour créer, développer et structurer ton entreprise.Tu y retrouveras des interviews, des épisodes thématiques avec Thomas sur toutes les dimensions de ton entreprise (marketing, gestion, organisation, vente, finances, ...) Pour aller plus loin, retrouvez tous nos contenus pour les freelances sur :- La newsletter : https://thomasburbidge.com/newsletter- Instagram : https://www.instagram.com/thomas.burbidge/- LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/thomasburbidge/Et pensez à mettre une note de 5 étoiles sur le podcast
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'envoi de la Garde Nationale et de Marines à Los Angeles s'est transformé en confrontation entre Donald Trump et le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, qui estime que « la démocratie est en danger ». Le tout sur fond de guerre des narratifs aidée par les outils d'IA.
Aujourd'hui, je vous emmène au lycée Edgard Pisani, au sud d'Angers, un lieu de formation, de passion… et de mise en réseau.À l'occasion d'un colloque dédié à l'installation en viticulture, nous avons eu le plaisir d'enregistrer ce podcast en clôture de journée. Un moment riche, ancré dans les réalités du métier, et tourné vers l'avenir.Vous y entendrez les voix de :
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'envoi de la Garde Nationale et de Marines à Los Angeles s'est transformé en confrontation entre Donald Trump et le gouverneur démocrate de Californie, Gavin Newsom, qui estime que « la démocratie est en danger ». Le tout sur fond de guerre des narratifs aidée par les outils d'IA.
Dans cet épisode, je reçois Vanessa DL pour explorer ce transit qui durera du 9 juin 2025 au 30 juin 2026 !Nous avons parlé ensemble des grandes dates, des tendances collectives et des aspects majeurs, avant de vous proposer un décryptage signe par signe pour vous aider à situer ce que ce passage pourrait activer dans votre propre vie.Comme d'habitude, je te recommande d'écouter en priorité ton ascendant, puis d'apporter de la granularité avec ton signe solaire (ou signe astrologique) et ton signe lunaire.—Pour retrouver mon invitée Vanessa :→ sur Instagram : https://www.instagram.com/_vanessadl/→ son podcast Résonance : https://open.spotify.com/show/1nBy6a2bXTzQf2PkA7k1Fq—
durée : 01:58:11 - Les musiciens d'orchestre baroques X : autour de la clarinette - par : Christian Merlin - Suite de notre série sur les instrumentistes pionniers des orchestres baroques. Emission moins baroques cette fois, tant la clarinette fait une apparition tardive dans l'histoire, ne s'imposant qu'à partir du XVIIIe siècle. Mais du chalumeau au cor de basset, cette histoire a ses virtuoses ! - réalisé par : Marie Grout
La pollution plastique dans les eaux africaines n'a jamais été aussi élevée. Chaque année, des millions de tonnes de déchets se déversent dans les océans bordant le continent, menaçant les écosystèmes marins et les populations côtières qui en dépendent. Mais contrairement au Pacifique, les données aujourd'hui disponibles sur la pollution plastique autour de l'Afrique demeurent très limitées, freinant de facto la compréhension de ce phénomène. Pour combler ces lacunes, plusieurs études scientifiques essentielles ont été récemment lancées dans le sud-ouest de l'océan Indien, zone particulièrement complexe. Reportage de notre envoyée spéciale de retour des Seychelles, Sarah Tétaud Aussi idylliques soient-elles, les plages des Seychelles ne sont pas épargnées par les détritus qui viennent s'y échouer. « À chaque nouvelle marée, explique un plagiste, on retrouve des petits bouts de plastiques, des sachets... On nettoie deux fois par jour. Même les touristes ramassent les saletés et nous les apportent pour qu'on les mette à la poubelle ». Cette pollution, visible à différents degrés sur les côtes africaines, ainsi que ses effets, restent cependant assez mal connus à l'échelle du continent. Yashvin Neehaul, scientifique, spécialiste de la chimie des océans, basé à Maurice, est co-auteur du livre The African Marine Litter Outlook : « Pour comprendre la pollution plastique marine, il est essentiel de commencer par identifier les sources ainsi que les voies de dispersion des déchets plastiques. Dans les pays continentaux, les rivières et autres cours d'eau constituent les principaux vecteurs de transport des plastiques vers les océans. En fonction des courants marins et de la topographie côtière, ces déchets s'accumulent dans certaines zones spécifiques, le long des côtes africaines ». Les chercheurs ont défini deux zones qui concentreraient des milliers de kilomètres carrés de ce qu'ils appellent des « soupes de microplastiques ». L'une dans l'océan Atlantique, au sud de l'Afrique du Sud ; l'autre dans l'océan Indien, au sud de Madagascar. Néanmoins, rappelle Yashvin Neehaul : « Il est difficile de se prononcer sur les sites exacts où s'accumule le plastique. Pourquoi ? Parce qu'il y a un manque de données sur l'étude des courants autour du continent africain ». Et c'est particulièrement le cas pour la façade est de l'Afrique, comme l'explique Christophe Maes, océanographe et physicien à l'IRD, du Laboratoire d'océanographie physique et spatiale, à Brest, en France : « L'océan Indien souffre d'un manque d'observation in situ et a un gros retard par rapport aux autres océans, tout simplement parce que ce n'est pas forcément le lieu de passage des principaux rails de navigation océanique ... ». Pour y remédier, un programme de collecte de données a lieu en ce moment-même dans le sud-ouest de l'océan Indien, grâce au largage, à partir du navire Plastic Odyssey, de bouées dérivantes, qui émettent un signal GPS.« Quand on lâche des bouées, explique Christophe Maes, ça nous permet d'avoir une description au moins à l'échelle de la bouée, des principaux mouvements de l'océan pour valider nos modèles, et à partir de ces modèles, essayer de mieux comprendre la dynamique que peuvent subir les plastiques dans l'océan Indien. Et le second intérêt de ces largages et d'études sur leur dispersion, c'est qu'en utilisant nos modèles “dans l'autre sens”, on va pouvoir remonter à l'origine de ces plastiques qui viennent polluer l'ensemble de la région. Ça va permettre de comprendre leur dispersion depuis leur zone d'origine à l'échelle de l'océan Indien, et peut-être même plus loin ». Des programmes novateurs et surtout d'intérêt international. La pollution plastique dans les eaux africaines n'a jamais été aussi élevée. Si la majorité des déchets en mer provient de la terre ferme, les chercheurs estiment toutefois que l'abandon et la perte d'équipement de pêche dans les océans seraient responsables jusqu'à 30 % de la diminution des ressources halieutiques. À lire aussiUne mission scientifique inédite dans l'océan Indien À lire aussiEn Afrique, une pollution plastique due surtout aux emballages à usage unique
Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, "Les Grandes Gueules du Sport" analysent l'actu sport avec le recul de la semaine écoulée, et donnent le ton des week-ends sport à suivre sur RMC. Autour de Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux, des consultants de renom: David Douillet, Marie Martinod, Stephen Brun, Denis Charvet, Christophe Urios, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret ou Renaud Longuèvre.
durée : 01:00:53 - Voyage poétique et musical autour de la Méditerranée avec l'ensemble Myrtho - par : Aliette de Laleu - L'ensemble Myrtho explore les liens entre poésies, chansons traditionnelles et mélodies de la Grèce antique à l'Asie mineure en passant par la Corse ou le Quercy. Un voyage accompagné par divers instruments issus de ces cultures et porté par la voix de Laëtitia Marcangeli. - réalisé par : Max James
Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, "Les Grandes Gueules du Sport" analysent l'actu sport avec le recul de la semaine écoulée, et donnent le ton des week-ends sport à suivre sur RMC. Autour de Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux, des consultants de renom: David Douillet, Marie Martinod, Stephen Brun, Denis Charvet, Christophe Urios, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret ou Renaud Longuèvre.
Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Sébastien Tarrago, Dave Apadoo et Arnaud Hermant pour une heure de débat foot. Au sommaire ce samedi 7 juin : - PSG champion d'Europe : plus grand club français de l'histoire ? Avec baromètre Odoxa + réactions Mbappé et Guardiola Comment conserver ce niveau durablement ? Paris peut il jouer la CM des clubs pour la gagner ? Quelle équipe l'an prochain ? - Bleus : Deschamps doit il insister avec sa formule offensive ? Y a-t-il un problème Mbappé et comment le résoudre ? - Ballon d'or : Yamal a-t-il tué tout suspens face aux Bleus ? Ecoutez On refait le match avec Philippe Sanfourche du 07 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:02 - Les musiciens d'orchestre baroques X - autour de la clarinette (4/4) - par : Christian Merlin - Suite de notre série sur les instrumentistes pionniers des orchestres baroques. Emission moins baroques cette fois, tant la clarinette fait une apparition tardive dans l'histoire, ne s'imposant qu'à partir du XVIIIe siècle. Mais du chalumeau au cor de basset, cette histoire a ses virtuoses ! - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:19:12 - Lectures du soir - "Autour du petit Georges, les gens se rassemblèrent, mais il ne bougeait plus, ses yeux étaient clos et un filet de sang lui coulait lentement du front lui poissant ses pauvres boucles rousses. Le cœur avait cessé de battre. "
À Phoenix, la reconstruction s'amorce avec une volonté claire : bâtir autour de Devin Booker. Alors que Brian Gregory vient d'être nommé General Manager, la franchise cherche également un nouveau coach, et deux finalistes émergent selon Shams Charania : deux assisstants de Kenny Atkinson aux Cavaliers : Johnnie Bryant et Jordan Ott. Devin Booker, impliqué dans le processus de recrutement, devrait logiquement rester au cœur du projet. Une manière pour les Suns de recentrer leur projet après une saison décevante et d'ouvrir un nouveau cycle plus stable autour de leur franchise player et le probable départ de Kevin Durant.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Courir sur la route ou courir sur des chemins ? Avec le Gravel Running, plus besoin de choisir ! Avec Irun et Salomon, RMC Running vous emmène à la découverte de la nouvelle pratique de course à pied. En quoi le Gravel Running est si différent ? Pour l'occasion, Salomon, pionner dans le domaine, nous présente sa nouvelle chaussure : la Aero Glide 3 Grvl, qui allie confort, performance et style ! Autour de Benoit Boutron, Romain Berger chef de produit Running chez Salomon, Juan Arbelaez le chef cuistot fan de course à pied et de trail et l'ancien sportif de haut niveau et influenceur Valentin Charles.
durée : 00:28:20 - Les musiciens d'orchestre baroques X - autour de la clarinette (3/4) : du baroque au romantisme - par : Christian Merlin - Suite de notre série sur les instrumentistes pionniers des orchestres baroques. Emission moins baroques cette fois, tant la clarinette fait une apparition tardive dans l'histoire, ne s'imposant qu'à partir du XVIIIe siècle. Mais du chalumeau au cor de basset, cette histoire a ses virtuoses ! - réalisé par : Marie Grout
Pourquoi cherchons-nous désespérément à être en couple ? Comment nos blessures d'enfance influencent-elles nos relations amoureuses ? Dans ce podcast, découvrez une partie des coulisses de l'émission "Parlons-Nous" du 04 juin 2025. En compagnie de Caroline Dublanche, Paul Delair revient sur les témoignages et autres moments qui ont marqué le direct. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Awa Ly, chanteuse française d'origine sénégalaise, présente son troisième album baptisé Essence and Elements, sorti le 16 mai. Sur l'île d'Alicudi, située au nord de la Sicile, l'artiste s'est imprégnée des éléments qui l'entouraient pour composer et écrire ce nouvel album. Accompagnée de son invitée, la chanteuse Nawel ben Kraiem, elle répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Queen Stelyna. (Rediffusion) Awa Ly - Seule reste la terreAwa Ly - Wind VoicesAwa Ly - L'uneNawel Ben Kraiem - Jewez el safarAwa Ly - Sacred water.Retrouvez notre playlist sur Deezer.
durée : 00:28:15 - Les musiciens d'orchestre baroques X - autour de la clarinette (2/4) : Mozart et la clarinette - par : Christian Merlin - Suite de notre série sur les instrumentistes pionniers des orchestres baroques. Emission moins baroques cette fois, tant la clarinette fait une apparition tardive dans l'histoire, ne s'imposant qu'à partir du XVIIIe siècle. Mais du chalumeau au cor de basset, cette histoire a ses virtuoses ! - réalisé par : Marie Grout
Awa Ly, chanteuse française d'origine sénégalaise, présente son troisième album baptisé Essence and Elements, sorti le 16 mai. Sur l'île d'Alicudi, située au nord de la Sicile, l'artiste s'est imprégnée des éléments qui l'entouraient pour composer et écrire ce nouvel album. Accompagnée de son invitée, la chanteuse Nawel ben Kraiem, elle répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Queen Stelyna. (Rediffusion) Awa Ly - Seule reste la terreAwa Ly - Wind VoicesAwa Ly - L'uneNawel Ben Kraiem - Jewez el safarAwa Ly - Sacred water.Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Ce lundi 2 juin est diffusée la treizième émission de notre première saison d’I Love Mes Cheveux. Derrière le micro, deux femmes passionnantes, passionnées et engagées : Marcela Moscol et Jenny Martin. Elles ont parlé des activités de l’association MéViAL (Mémoire Vivante d’Amérique Latine) et raconté comment, après plusieurs générations de marginalisation de leur langue […] L'article I Love Mes Cheveux — autour de la langue et de la culture quechua — avec l’association MEVIAL est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Awa Ly, chanteuse française d'origine sénégalaise, présente son troisième album baptisé Essence and Elements, sorti le 16 mai. Sur l'île d'Alicudi, située au nord de la Sicile, l'artiste s'est imprégnée des éléments qui l'entouraient pour composer et écrire ce nouvel album.Accompagnée de son invitée, la chanteuse Nawel ben Kraiem, elle répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Queen Stelyna. Awa Ly - Seule reste la terreAwa Ly - Wind VoicesAwa Ly - L'uneNawel Ben Kraiem - Jewez el safarAwa Ly - Sacred waterRetrouvez notre playlist sur Deezer.
durée : 00:28:36 - Les musiciens d'orchestre baroques X - autour de la clarinette (1/4) : du chalumeau au cor de basset - par : Christian Merlin - Suite de notre série sur les instrumentistes pionniers des orchestres baroques. Emission moins baroques cette fois, tant la clarinette fait une apparition tardive dans l'histoire, ne s'imposant qu'à partir du XVIIIe siècle. Mais du chalumeau au cor de basset, cette histoire a ses virtuoses ! - réalisé par : Marie Grout
Awa Ly, chanteuse française d'origine sénégalaise, présente son troisième album baptisé Essence and Elements, sorti le 16 mai. Sur l'île d'Alicudi, située au nord de la Sicile, l'artiste s'est imprégnée des éléments qui l'entouraient pour composer et écrire ce nouvel album. Accompagnée de son invitée, la chanteuse Nawel ben Kraiem, elle répond aux questions de Claudy Siar, Laura Mbakop et Queen Stelyna. Awa Ly - Seule reste la terreAwa Ly - Wind VoicesAwa Ly - L'uneNawel Ben Kraiem - Jewez el safarAwa Ly - Sacred water.Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Le 24 décembre 1971, à l'aéroport de Lima, au Pérou, une adolescente germano-péruvienne de 17 ans embarque avec sa mère à bord du vol 508 de la compagnie LANSA. Juliane Koepcke est fille de deux scientifiques installés dans la jungle amazonienne. Avec sa mère, Maria, elle s'apprête à rejoindre son père à Pucallpa pour fêter Noël en famille.Mais la saison des pluies bat son plein. Le vol décolle malgré une météo instable. Peu après avoir franchi les Andes, l'avion, un Lockheed Electra, entre dans une violente cellule orageuse. À 6 400 mètres d'altitude, une décharge électrique frappe l'aile. En quelques secondes, la carlingue se déchire en plein ciel. Juliane est projetée hors de l'avion, attachée à son siège, en chute libre vers la jungle amazonienne.Contre toute logique, elle survit à la chute. Elle se réveille des heures plus tard, couchée au sol, dans un fouillis de végétation. Elle a une clavicule cassée, un œil enflé, une profonde plaie au bras et souffre de vertiges. Elle a perdu une chaussure et ses lunettes. Autour d'elle, la jungle est épaisse, chaude, vivante. Elle est seule.Mais Juliane n'est pas une adolescente ordinaire. Enfant, elle a vécu avec ses parents dans une station de recherche en Amazonie. Elle sait que l'eau est la clé de la survie. En titubant, elle trouve un ruisseau et décide de le suivre. Son père lui avait appris que les rivières mènent aux hommes.Elle commence alors une marche lente et harassante. Son seul ravitaillement : quelques bonbons retrouvés dans sa poche. Elle boit l'eau du ruisseau. Le jour, elle marche. La nuit, elle s'abrite sous les feuillages, épuisée, vulnérable. Elle est couverte de piqûres d'insectes. Sa blessure au bras s'infecte. Des asticots s'y développent. Elle continue malgré tout. Elle pense à ses parents. Elle veut survivre.Au cours de son errance, elle découvre les restes de l'avion. Elle reconnaît des vêtements. Elle comprend que sa mère n'a pas survécu. Mais elle ne s'arrête pas.Le onzième jour, alors qu'elle est fiévreuse, déshydratée, elle aperçoit une cabane abandonnée. À l'intérieur, une bouteille d'essence. Elle s'en sert pour nettoyer sa plaie infestée de larves. Le lendemain, des bûcherons arrivent. Ils sont d'abord terrifiés en voyant cette jeune fille méconnaissable, maigre, couverte de sang et de boue. Mais Juliane parvient à leur expliquer ce qui s'est passé. Ils la prennent en charge, la transportent en pirogue jusqu'au premier poste médical. Elle est ensuite transférée en avion vers un hôpital.Juliane Koepcke est la seule survivante des 92 passagers du vol 508. Son histoire fait le tour du monde. Elle raconte plus tard son aventure dans un livre bouleversant, Quand je suis tombée du ciel. Devenue biologiste comme ses parents, elle retourne en Amazonie… non plus comme une victime, mais comme une femme qui a survécu à l'inimaginable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches de 9h à 12h, "Les Grandes Gueules du Sport" analysent l'actu sport avec le recul de la semaine écoulée, et donnent le ton des week-ends sport à suivre sur RMC. Autour de Jean-Christophe Drouet et Christophe Cessieux, des consultants de renom: David Douillet, Marie Martinod, Stephen Brun, Denis Charvet, Christophe Urios, Marc Madiot, Marion Bartoli, Cyrille Maret ou Renaud Longuèvre.
Imaginez un monde il y a plus de 4 000 ans. Les premières grandes sociétés humaines sont en plein essor. En Mésopotamie, dans la plaine entre le Tigre et l'Euphrate, les cultures irriguent les champs. En Égypte, les villages s'organisent le long du Nil. En Iran, en Anatolie, dans la vallée de l'Indus, des peuples sédentaires développent l'agriculture, bâtissent des maisons, inventent des rituels.Et puis soudain, le climat bascule.Autour de l'an 2200 avant notre ère, la pluie cesse de tomber, les rivières se tarissent, les sols s'assèchent. Les arbres meurent, les récoltes s'effondrent. En quelques décennies à peine, ce qui ressemblait à un progrès irrésistible se transforme en crise globale. Cet événement climatique, longtemps ignoré, est aujourd'hui reconnu comme l'un des premiers grands cataclysmes écologiques de l'histoire humaine.Un dérèglement planétaireLes scientifiques qui étudient les cendres des volcans, les couches de sédiments au fond des lacs ou les bulles d'air prisonnières dans les glaces de l'Arctique ont mis en évidence une période de refroidissement rapide, accompagnée d'une aridification brutale. Ce phénomène ne s'est pas limité à une région : du Moyen-Orient à l'Asie centrale, de l'Afrique du Nord jusqu'à la Chine, les signes sont concordants.Pour les sociétés humaines de l'époque, encore jeunes, encore fragiles, cela représente un choc terrible. Leur survie dépend d'une chose : l'eau. Sans elle, pas de moisson, pas de bétail, pas de pain.Un monde qui s'effondre en silenceCe que l'on observe ensuite, c'est une série d'abandons, de migrations, de transformations radicales. En Mésopotamie, la civilisation d'Obeïd décline brusquement. Dans la vallée de l'Indus, les villages se vident. En Égypte, les populations nomades du désert fuient vers les rives du Nil, où naîtra, quelques siècles plus tard, la civilisation pharaonique.Il n'y a pas de bataille décisive, pas d'ennemi venu du nord. Le responsable, c'est le ciel. C'est l'air devenu sec, les saisons devenues imprévisibles. C'est le climat, ce maître invisible mais implacable, qui dicte la chute comme il avait permis l'essor. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.