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Tous les matins, 8h50 sur Chérie FM, Alex et Tiffany l'équipe du Réveil Chérie vont chacun vous donner une info ! Une seule est vraie ! L'autre est complètement fausse !" A vous de trouver qui dit vrai !
Lʹartiste suisso-guatemaltèque Baby Volcano présente son deuxième EP "Supervivenxia" qui sort le 25 avril chez Humus Records & Association du Volcan (Sony Music Publishing). LʹEP 5 titres (dont le single "Olor a Fogata") sera disponible en digital et en vinyle. Baby Volcano est en concert au Romandie à Lausanne ce jeudi 24 avril à 21h. Avant une tournée européenne. Davantage dʹinfos sur: https://www.songkick.com/artists/10195730-baby-volcano/calendar Baby Volcano est lʹinvitée dʹAnne Laure Gannac. Avec lʹinterview-portrait de lʹartiste par Yacine Nemra.
durée : 00:19:49 - Journal de 12h30 - La Cour des Comptes rendait son rapport ce matin sur le budget de l'Etat 2024. Pas franchement de quoi rassurer quant à l'espoir d'améliorer l'état des finances publics.
durée : 00:19:49 - Journal de 12h30 - La Cour des Comptes rendait son rapport ce matin sur le budget de l'Etat 2024. Pas franchement de quoi rassurer quant à l'espoir d'améliorer l'état des finances publics.
Semaine Sainte : « Nous entrons dans un temps fort, et les chrétiens sont invités à se rapprocher davantage de Jésus, » rappelle le père Jean-Max Coowar
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 9 avril 2025 : "Une commune sommée d'accueillir davantage de HLM, logique ?" avec Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Etienne Liebig, éducateur, et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises.
Expert en commercialisation, Philippe Richard Bertrand commente les tendances technologiques, les nouvelles campagnes et le choix marketing douteux.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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durée : 00:02:37 - Le brief éco - Comment les cadres âgés de la quarantaine – les ‘'quadras'' – se sentent aujourd'hui dans le monde de l'entreprise ? L'enquête du cabinet conseil Georges pour Arthur Hunt jette un regard nouveau sur le sujet. Les cadres quadras attendent plus de l'entreprise dans laquelle ils travaillent
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrière Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Samedi 22 mars, des milliers de manifestants ont défilé dans les rues de Tel-Aviv et de Jérusalem après le limogeage, acté la veille par le gouvernement israélien, de Ronen Bar, chef du Shin Bet. Cette décision a dans la foulée été suspendue par la Cour suprême, en attendant une audience le 8 avril prochain. Si le gouvernement ne respecte pas l'avis de la Cour, l'opposition menace d'entamer une grève générale. Peut-on parler d'une dérive autoritaire de Benyamin Netanyahu ? Jusqu'à quel point la société israélienne est-elle divisée ? Éléments de réponse avec Alain Dieckhoff, politiste, ex-directeur du Centre de recherches internationales à Sciences Po, spécialiste de l'État d'Israël.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 20 mars 2025, les GG : Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et prof d'aïkido, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent du sujet du jour : Retraites, aux riches de payer davantage ?
L'année 2025 a débuté par une excellente nouvelle en ce qui concerne la biodiversité marine dans le Pacifique Nord. Désormais, le thon rouge n'y est plus considéré comme une espèce vulnérable, alors que ces colosses des mers, qui peuvent peser près de 300 kilos, avaient bien failli disparaître en raison de la surpêche. Dès lors, les quotas de prise très stricts en vigueur depuis dix ans ont été rehaussés, au bénéfice notamment du plus grand consommateur mondial de thon rouge : le Japon. De notre correspondant à Tokyo,Dans les restaurants de poissons du grand marché de Toyosu — qui sont plus bondés que jamais —, l'allègement des restrictions relatives à la pêche du thon rouge met les fins gourmets en joie. Car ces dernières années, ils avaient souvent dû se contenter de thons importés, surgelés, provenant de la Méditerranée, ou de thons d'élevage. « Les sushis et les sashimis de thon rouge, c'est merveilleux, s'exclame cette amatrice de poisson. Je me suis empiffrée. Ça fond dans la bouche… Quel bonheur ! » Une autre surenchérit : « Pour sûr, ce sera LA bonne nouvelle de l'année. Cela me fait énormément plaisir ! »Et ce n'est pas que sur le plan gustatif que se réjouissent les clients du marché de Toyosu, ils pensent aussi à leur porte-monnaie : « Davantage de thon rouge disponible, ça veut dire qu'en vertu de la loi de l'offre et de la demande, son prix va baisser… Trop bien ! », vante ce passant. Une opinion que partage une autre cliente : « On en trouvait au supermarché, mais à des prix si élevés que je n'en achetais quasiment jamais, uniquement pour les grandes occasions. »À écouter dans 8 milliards de voisins Comment expliquer la popularité du sushi ?Des pêcheurs soulagésCette année, les pêcheurs nippons pourront capturer 13 000 tonnes de thon rouge dans le Pacifique Nord, contre 9 500 auparavant. C'est un ballon d'oxygène pour une profession qui a été terriblement impactée par l'élévation de la température des océans, due au réchauffement climatique : « J'espère que ce quota augmentera considérablement dans les années à venir parce qu'on souffre. On pêche moins de poissons qu'avant, toutes espèces confondues, car beaucoup ont migré vers le grand large, dans des eaux plus fraîches, regrette ce pêcheur. Et moins d'algues aussi, car elles dépérissent dans ces eaux devenues si tièdes. Du coup, je ne compte plus les collègues qui ont fini par jeter l'éponge et se reconvertir dans une autre activité, à force d'accumuler les déficits. »Cet autre pêcheur, plus nuancé, reconnaît l'impact de ces quotas sur sa profession : « On comprend, bien sûr, ces restrictions : il fallait à tout prix préserver la ressource maritime. Mais, en même temps, cela a été terrible pour les coopératives de pêcheurs. Le thon rouge étant le poisson préféré des Japonais, à cause de ces quotas, leur manque à gagner a été énorme. »À lire aussiLe rythme de réchauffement des océans a presque doublé depuis 2005, selon un rapport CopernicusEmbellie diplomatiqueL'augmentation du quota de pêche du thon rouge est aussi une bonne nouvelle diplomatique pour le Japon. Depuis des années, en effet, à chaque réunion de la commission internationale qui fixe ce quota, le pays bataillait sans relâche en faveur d'une telle mesure. En vain. Tous les autres pays de la région — et le puissant allié américain y compris — s'y opposaient, notamment parce que l'archipel a longtemps été accusé de sévir insuffisamment contre les coopératives de pêcheurs qui fraudent en sous-déclarant leurs prises de thon rouge.Mais depuis, soucieux de son image à l'international, Tokyo a serré la vis : plusieurs coups de filet policiers ont visé les coopératives fautives et la réglementation en la matière a été durcie.La méfiance des pays voisins à son égard s'étant amenuisée et la ressource maritime ayant fini par se reconstituer, dix ans après leur instauration, les quotas de pêche du thon rouge dans le Pacifique Nord ont donc enfin pu être augmentés.À lire aussi « Pillages » : une BD et un constat accablant sur la surpêche et la corruption en Afrique
L'année 2025 a débuté par une excellente nouvelle en ce qui concerne la biodiversité marine dans le Pacifique Nord. Désormais, le thon rouge n'y est plus considéré comme une espèce vulnérable, alors que ces colosses des mers, qui peuvent peser près de 300 kilos, avaient bien failli disparaître en raison de la surpêche. Dès lors, les quotas de prise très stricts en vigueur depuis dix ans ont été rehaussés, au bénéfice notamment du plus grand consommateur mondial de thon rouge : le Japon. De notre correspondant à Tokyo,Dans les restaurants de poissons du grand marché de Toyosu — qui sont plus bondés que jamais —, l'allègement des restrictions relatives à la pêche du thon rouge met les fins gourmets en joie. Car ces dernières années, ils avaient souvent dû se contenter de thons importés, surgelés, provenant de la Méditerranée, ou de thons d'élevage. « Les sushis et les sashimis de thon rouge, c'est merveilleux, s'exclame cette amatrice de poisson. Je me suis empiffrée. Ça fond dans la bouche… Quel bonheur ! » Une autre surenchérit : « Pour sûr, ce sera LA bonne nouvelle de l'année. Cela me fait énormément plaisir ! »Et ce n'est pas que sur le plan gustatif que se réjouissent les clients du marché de Toyosu, ils pensent aussi à leur porte-monnaie : « Davantage de thon rouge disponible, ça veut dire qu'en vertu de la loi de l'offre et de la demande, son prix va baisser… Trop bien ! », vante ce passant. Une opinion que partage une autre cliente : « On en trouvait au supermarché, mais à des prix si élevés que je n'en achetais quasiment jamais, uniquement pour les grandes occasions. »À écouter dans 8 milliards de voisins Comment expliquer la popularité du sushi ?Des pêcheurs soulagésCette année, les pêcheurs nippons pourront capturer 13 000 tonnes de thon rouge dans le Pacifique Nord, contre 9 500 auparavant. C'est un ballon d'oxygène pour une profession qui a été terriblement impactée par l'élévation de la température des océans, due au réchauffement climatique : « J'espère que ce quota augmentera considérablement dans les années à venir parce qu'on souffre. On pêche moins de poissons qu'avant, toutes espèces confondues, car beaucoup ont migré vers le grand large, dans des eaux plus fraîches, regrette ce pêcheur. Et moins d'algues aussi, car elles dépérissent dans ces eaux devenues si tièdes. Du coup, je ne compte plus les collègues qui ont fini par jeter l'éponge et se reconvertir dans une autre activité, à force d'accumuler les déficits. »Cet autre pêcheur, plus nuancé, reconnaît l'impact de ces quotas sur sa profession : « On comprend, bien sûr, ces restrictions : il fallait à tout prix préserver la ressource maritime. Mais, en même temps, cela a été terrible pour les coopératives de pêcheurs. Le thon rouge étant le poisson préféré des Japonais, à cause de ces quotas, leur manque à gagner a été énorme. »À lire aussiLe rythme de réchauffement des océans a presque doublé depuis 2005, selon un rapport CopernicusEmbellie diplomatiqueL'augmentation du quota de pêche du thon rouge est aussi une bonne nouvelle diplomatique pour le Japon. Depuis des années, en effet, à chaque réunion de la commission internationale qui fixe ce quota, le pays bataillait sans relâche en faveur d'une telle mesure. En vain. Tous les autres pays de la région — et le puissant allié américain y compris — s'y opposaient, notamment parce que l'archipel a longtemps été accusé de sévir insuffisamment contre les coopératives de pêcheurs qui fraudent en sous-déclarant leurs prises de thon rouge.Mais depuis, soucieux de son image à l'international, Tokyo a serré la vis : plusieurs coups de filet policiers ont visé les coopératives fautives et la réglementation en la matière a été durcie.La méfiance des pays voisins à son égard s'étant amenuisée et la ressource maritime ayant fini par se reconstituer, dix ans après leur instauration, les quotas de pêche du thon rouge dans le Pacifique Nord ont donc enfin pu être augmentés.À lire aussi « Pillages » : une BD et un constat accablant sur la surpêche et la corruption en Afrique
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
Depuis l'adoption de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l'ONU, le rôle déterminant des femmes dans la prévention et la résolution des conflits est mieux reconnu. Pourtant, leur présence aux négociations de paix demeure marginale, alors que leur implication garantit des accords plus solides et durables. De leur côté, les jeunes, véritable moteur du changement, restent trop souvent en marge des processus de consolidation de la paix. Qu'ils négocient, mobilisent ou impulsent des initiatives locales, leur engagement renforce la légitimité et l'impact des solutions mises en place. Mais les blocages persistent. Femmes et jeunes peinent encore à s'imposer dans ces espaces de décision, leurs contributions étant reléguées au second plan. Comment garantir une participation plus juste et efficace ? Quel rôle pour les États, la société civile et les organisations internationales ? Comment passer des intentions aux actes ? Décryptage, témoignages et pistes de solutions.Avec :• Katrina Leclerc, co-fondatrice et conseillère au sein de la Coalition canadienne Jeunesse, Paix et Sécurité• Simone Mbode Diouf, jeune Ambassadrice pour la Paix de l'Union Africaine représentant la région Afrique de l'Ouest. • Artida Minga, attachée de programme au sein de la Direction des Affaires politiques et la Gouvernance démocratique de l'OIF En fin d'émission, place à la chronique sonore de Monica Fantini, Ecouter le monde Programmation musicale : ► Cards On The Table - Nia Archives► Koliko - Vaudou Game
durée : 00:03:29 - Des contrôles routiers réalisés auprès des chauffeurs de cars icaunais à Auxerre - Des opérations de contrôles se multiplient pour les chauffeurs d'autocars dans l'Yonne pour éviter des conduites à risques et sous produits stupéfiants. Mardi 11 mars au matin, une demi douzaine de policiers ont investi la gare routière d'Auxerre à l'heure de dépose des élèves.
Une transition rapide et efficace pour Mark Carney. Trudeau part avec sa chaise. Québec ne taxera pas l’électricité…pour l’instant. Pire journée en bourse depuis 2 ans. Beaucoup d’inquiétude à l’usine Paccar de Sainte-Thérèse. Davantage de saisies d'œufs que de fentanyl à la frontière! L’Ukraine présentera un plan pour un cessez-le-feu partiel. Doechhi … femme de l’année 2025 selon Billboard ! Le CH joue contre les Canucks ce soir. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une transition rapide et efficace pour Mark Carney. Trudeau part avec sa chaise. Québec ne taxera pas l’électricité…pour l’instant. Pire journée en bourse depuis 2 ans. Beaucoup d’inquiétude à l’usine Paccar de Sainte-Thérèse. Davantage de saisies d'œufs que de fentanyl à la frontière! L’Ukraine présentera un plan pour un cessez-le-feu partiel. Doechhi … femme de l’année 2025 selon Billboard ! Le CH joue contre les Canucks ce soir. Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Géraldine Woessner et Jean-Marie Colombani commentent l'actualité de ce vendredi 7 mars Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'association 40 millions d'automobilistes a lancé une pétition pour réclamer l'installation de glissières partout où l'on trouve obstacles latéraux le long des routes. Cette demande fait suite aux nombreux accidents causés par des arbres et qui bordent le réseau routier français. Ecoutez l'émission du 05 mars 2025.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
A 10h, ce lundi 24 février 2025, les GG : Barbara Lefebvre, enseignante, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent du sujet du jour : "Les retraités doivent-ils davantage contribuer ?"
Ce phénomène a une explication scientifique, liée à la biologie du sommeil, à la mémoire et même à l'évolution.Le rôle du sommeil paradoxalNos rêves les plus intenses, qu'ils soient positifs ou négatifs, se produisent principalement pendant le sommeil paradoxal, une phase où l'activité cérébrale est proche de l'éveil. Les cauchemars, eux, surviennent souvent en fin de nuit, lorsque cette phase est plus longue. Comme nous nous réveillons plus fréquemment après un cauchemar, il est plus facile de s'en souvenir. En revanche, un rêve agréable peut s'effacer rapidement si nous replongeons dans un sommeil profond.Une question d'émotions et de mémoireLes émotions jouent un rôle crucial dans la mémoire. Le cerveau est conçu pour mieux enregistrer les événements marquants, notamment ceux liés à la peur ou au stress. C'est un héritage évolutif : nos ancêtres devaient retenir les expériences dangereuses pour éviter de répéter des erreurs fatales. Un cauchemar, qui active des émotions intenses comme l'anxiété ou la panique, a donc plus de chances de rester gravé dans notre mémoire.Un mécanisme d'adaptation évolutifCertains chercheurs pensent que les cauchemars servent de « simulation » pour nous préparer à affronter des situations menaçantes. Ce serait une sorte d'entraînement mental, permettant d'anticiper les dangers et d'améliorer nos réactions face à eux. Ce biais expliquerait pourquoi notre cerveau accorde plus d'importance aux scénarios négatifs qu'aux rêves paisibles.Un phénomène amplifié par le stressLe stress et l'anxiété favorisent les cauchemars. Une journée éprouvante ou des préoccupations importantes peuvent influencer notre activité cérébrale nocturne et générer des rêves plus angoissants. À l'inverse, un état d'esprit détendu favorise les rêves agréables, mais comme ils suscitent moins d'émotions intenses, ils s'effacent plus rapidement.En résuméSi nous avons l'impression que les cauchemars reviennent plus souvent que les rêves positifs, c'est parce qu'ils nous marquent davantage. Leur intensité émotionnelle, leur survenue en fin de nuit et leur rôle évolutif font qu'ils restent plus facilement en mémoire. Finalement, notre cerveau met en avant ces expériences pour mieux nous protéger… même si cela signifie parfois des nuits agitées ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 12 février 2025.
Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 12 février 2025.
Mardi 11 février 2025, le baromètre de l'Observatoire Cetelem, la cellule d'études des habitudes de consommation et de mobilité en France, a été publié. Olivier Dauvers tire quelques conclusions de ces nouvelles habitudes de consommation. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé !
durée : 00:02:15 - Le brief éco - La mesure est passée inaperçue dans le budget 2025, mais elle va toucher les très petites entreprises et, par ricochet, de nombreux consommateurs. Si le texte est définitivement adopté, un plus grand nombre de ces sociétés vont être redevables de la TVA.
Le Centre St-Pierre de Montréal est l'hôte de nombreuses conférences. Prochainement, il recevra un groupe propalestinien à son centre. Or, alors que sa mission se veut non partisane, n’est-ce pas une prise de position dans un conflit géopolitique que d’accepter leur venue ? Entrevue avec Charles Fillion, directeur général du Centre St-PierrePour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
A 10h, ce lundi 27 janvier 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Zohra Bitan, fonctionnaire, et Virginie Legrand, cheffe à domicile dans les Yvelines, débattent de : Musées, faut-il faire payer davantage les non-européens ?
A 10h45, ce mardi 21 janvier 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Dr Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : Faut-il taxer davantage les billets d'avion ?
Matthieu Rougé répond aux questions de Romain Desarbres.
Depuis l'assassinat de Samuel Paty, les enseignants d'histoire-géo ne pratiquent plus leur métier de la même façon. En cours d'éducation morale et civique, les questions de laïcité sont abordées avec davantage de précautions. C'est ce qu'a expliqué vendredi la présidente de l'association des professeurs d'histoire-géographie (APHG), Joëlle Alazard, entendue en tant que témoin lors du procès des adultes impliqués dans l'assassinat de cet enseignant le 16 octobre 2020.
Depuis l'assassinat de Samuel Paty, les enseignants d'histoire-géo ne pratiquent plus leur métier de la même façon. En cours d'éducation morale et civique, les questions de laïcité sont abordées avec davantage de précautions. C'est ce qu'a expliqué vendredi la présidente de l'association des professeurs d'histoire-géographie (APHG), Joëlle Alazard, entendue en tant que témoin lors du procès des adultes impliqués dans l'assassinat de cet enseignant le 16 octobre 2020.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités, gros plan. Comment soutenir davantage le logement locatif ? La nouvelle Commission européenne a inclus le logement abordable parmi ses priorités pour les années a venir. La République slovaque envoie une aide de 500 000 euros a l'Ukraine alors que l'on vient de rappeler la semaine passée les 1000 jours du conflit. Une chaine de lumiere a été allumée en Slovaquie.
durée : 00:02:17 - Le vrai ou faux - Le gouvernement veut assouplir le dispositif "zéro artificialisation nette des sols", mais le député ex-LFI François Ruffin estime que la France est déjà suffisamment artificialisée.
Ce mardi 5 novembre, les propos du ministre de l'Économie sur la nécessité d'augmenter le nombre d'heures travaillées en France pour financer le modèle social, ont été commentés par Augustin Landier, professeur à HEC, Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics, et Anna Souakri, professeur à l'ESCP, chercheur chez Square Management Research Center, en soulignant que l'effort de travail doit être équitablement partagé entre tous les acteurs économiques, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les arrêts maladie sont en augmentation. En 2022, dernière année pour laquelle on dispose de chiffres, 42 % des salariés se sont vu prescrire un arrêt maladie, contre 38 % l'année précédente. Toujours en 2022, l'Assurance maladie a déboursé 15 milliards d'euros pour ces arrêts maladie. Cette progression des arrêts maladie conduit d'ailleurs le gouvernement à envisager une augmentation des jours de carence dans le secteur public. Ils passeraient de un à trois, comme dans le privé, ce qui permettrait de limiter les dépenses de la Sécurité sociale. Les agents du secteur public plus souvent absents On peut se demander si ce sont les fonctionnaires ou les salariés du privé qui sont le plus souvent absents. Il semble que les agents du secteur public prennent davantage d'arrêts maladie. En 2022, si l'on en croit les chiffres de l'Inspection des finances, les fonctionnaires se sont absentés 14,5 jours dans l'année, contre seulement 11,7 jours pour les salariés du secteur privé. Par ailleurs, ces chiffres moyens recouvrent certaines disparités. Ainsi, toujours en 2022, les agents de la fonction publique hospitalière se sont arrêtés 18 jours par an, contre 17 jours pour ceux des collectivités territoriales. On constate d'ailleurs une forte envolée des arrêts maladie dans les hôpitaux. De fait, en 2022, les jours d'absence y ont augmenté de 74 % par rapport à 2019. La progression est de 53 %, sur la même période, pour les agents des collectivités territoriales. Alors que de nombreux parents se plaignent de l'absentéisme supposé des enseignants, les chiffres montrent qu'ils sont plus présents que d'autres. En 2022, ils ne s'absentaient que 5,5 jours par an, même si le chiffre a bondi à 11,7 jours en 2022, rejoignant ainsi les salariés du privé. Les absences plus nombreuses constatées dans le secteur public pourraient s'expliquer en partie par un âge moyen plus élevé. En effet, les agents du public ont 44 ans en moyenne, contre 41 ans dans le secteur privé. On peut donc penser que les premiers sont plus susceptibles de tomber malades que les seconds. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:08 - Le vrai ou faux - Le gouvernement veut aligner le délai de carence du public sur celui du privé en l'allongeant à trois jours. Une mesure qui pénalisera effectivement plus les femmes.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison ! Jérôme Rothen animera des débats enflammés avec sa Dream Team d'anciens joueurs composée d'Emmanuel Petit, Lionel Charbonnier, Éric Di Meco, Mathieu Bodmer, Mathieu Valbuena et Jean-Michel Larqué. Julien Cazarre sortira cette saison encore, des infos exclusives toujours avec son humour et sa plume acérée. En cette année de Coupe du Monde de football, Jérôme Rothen et Jean-Louis Tourre s'entourent d'un casting 5 étoiles avec le grand retour de Juninho (déjà présent lors de la Coupe du Monde au Brésil en 2014), et les arrivées de Patrice Evra, Steven Nzonzi, Mamadou Niang et Jérémy Ménez.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
A 10h, ce mardi 23 juillet 2024, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Stéphane Manigold, restaurateur, débattent sur la question de l'abandon des animaux de compagnie notamment lors des vacances.
Une revue scientifique vient de faire une curieuse révélation : les enfants de 3 à 6 ans auraient plus confiance dans les robots que dans les humains qui les entourent. C'est sans doute pourquoi les jeunes enfants sont plus indulgents pour leurs erreurs que pour celles de leurs parents.L'étude a été menée sur plus de 110 enfants allemands et australiens. On leur a notamment demandé de visionner des vidéos montrant des robots et des humains en train d'étiqueter des objets.Dans l'ensemble, les enfants ont eu tendance à croire plus véridiques les étiquettes apposées par les robots.Et ce n'est pas seulement pour cela que les enfants font davantage confiance aux machines. S'il s'agit de choisir un ami ou de confier un secret, ils se tournent d'abord vers les robots.Si l'on en croit les spécialistes, cette attitude serait due, en grande partie, à la manière dont les jeunes enfants perçoivent les adultes et les robots. Si les premiers se trompent, à leurs yeux, c'est qu'ils le font souvent exprès.De leur côté, les robots n'ont pas toujours la bonne réponse. S'ils ne peuvent pas la donner, c'est qu'ils ne la connaissent pas. Persuadés qu'ils ne mentent pas, les enfants leur font donc davantage confiance.Plus étonnante encore, cette étude néerlandaise, menée sur des enfants mais aussi des adultes, qui montre que les caresses prodiguées par un robot auraient le même effet positif que celles venant d'un humain.Ceci étant, le constat doit être nuancé. En effet, il s'applique plutôt aux enfants les plus jeunes. De leur côté, les plus âgés se fient davantage aux humains, surtout lorsqu'ils s'aperçoivent que les réponses des adultes sont plus satisfaisantes.Les raisons rendant les robots plus fiables aux yeux des enfants sont encore largement inconnues. On comprendrait peut-être mieux leur réaction si on étudiait leur comportement dans la vie réelle.De fait, cette confiance accordée aux robots ne signifie pas forcément que les enfants voudraient en faire des partenaires dans leur vie quotidienne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:49 - Le Biais de Bernard Werber - par : Bernard Werber - Les enfants de 3 à 6 ans font davantage confiance aux robots qu'à leurs parents pour obtenir des informations fiables, ce qui laisse présager qu'ils seront plus facilement influençables par les sources numériques que par leur entourage humain dans le futur.