POPULARITY
Categories
Alors même qu'elle est censée porter la voix du peuple, l'Assemblée Nationale est un haut lieu de performance d'un pouvoir viriliste, incarné par une masculinité hégémonique blanche, bourgeoise et hétérosexuelle. Que ce soit à travers le faste des lieux, la façon de mener les débats ou l'humour sexiste qui s'y déploie, tout dans cette institution clé de la Ve République tend à valoriser un mode de gouvernance violent et dominateur, où seule une petite part de la population se voit réellement représentée. De quelle manière le fonctionnement quotidien de l'Assemblée nationale s'imprègne-t-il du virilisme ? Comment se mettent en place les violences sexistes et sexuelles en politique ? La réelle parité femmes-hommes dans les institutions suffirait-elle à changer les choses ? Pourrait-on fonctionner sans “Père de la Nation” ? Pour en parler, Victoire Tuaillon reçoit Mathilde Viot, juriste en droit public et ancienne collaboratrice d'élu·es. Dans son essai « L'homme politique, moi j'en fais du compost » (éd. Stock, 2022), notre invitée revient sur ses 7 ans passés au Palais Bourbon. Elle interroge à travers une analyse acérée la valeur démocratique des lois qui régissent notre quotidien. Après avoir fondé le collectif Chair collaboratrice et participé au lancement du #MeTooPolitique, elle propose de composter le virilisme mortifère de nos institutions politiques pour faire advenir une démocratie féministe, écologiste et antiraciste.Un épisode initialement diffusé le 22 septembre 2022.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées à la page https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/composter-lhomme-politique Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice CRÉDITS Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré dans les studios de Binge Audio (Paris, 19e). Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Prise de son, réalisation et mixage : Elisa Grenet et Paul Bertiaux. Chargée de production et d'édition : Naomi Titti et Marie Foulon. Marketing et communication : Jeanne Longhini, Lise Niederkorn et Justine Taverne. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Neuilly à l'Élysée, Nicolas Sarkozy a transformé la politique en une course frénétique, faite de trahisons, de coups d'éclat et d'omniprésence médiatique. Ascension fulgurante, règne fébrile : il a fracturé les vieilles familles de la droite pour se hisser au sommet, avant d'entraîner son camp dans sa chute, laissant derrière lui l'image d'un président consumé par sa soif de conquête.Thomas Rozec raconte.Un épisode écrit par David Carzon.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Mathieu Thevenon. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de presque 1h, je raconte vos témoignages d'horreur que vous m'avez envoyés par e-mail. Prenez une bonne boisson et installez vous confortablement pour 1h de frissons
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Journaliste sportif passionné par le football africain, Christophe Gleizes a été condamné en juillet 2025 à sept ans de prison en Algérie pour avoir simplement exercé son métier. Officiellement condamné pour « apologie du terrorisme », il paye en réalité le prix d'un reportage et des tensions diplomatiques entre Paris et Alger. Son histoire, tragique et absurde, dit l'urgence de défendre la liberté de la presse.Pour signer la pétition pour la libération de Christophe Gleizes, rendez-vous ici.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Jude Rigaud. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
✨ Dans cet épisode inédit, Caroline Ferriol vous invite au cœur d'une consultation Fée Dodo.On y rencontre Nathalie, une jeune maman épuisée, et son petit Eden, 5 mois, qui refuse catégoriquement de s'endormir dans son lit. Les siestes se font uniquement en poussette ou dans les bras, les pleurs sont systématiques dès qu'on le pose, et la transition allaitement/biberon est compliquée.Une consultation pleine de tendresse, pour aider cette famille à retrouver un quotidien plus serein. On parle de portage, d'allaitement, de pleurs, de transitions… et surtout de solutions concrètes pour accompagner Eden vers l'endormissement autonome, dans son lit.
2025 est une année complexe pour les indépendants et entrepreneurs : pertes d'emplois, marchés tendus, économie incertaine, clients plus prudents… Comment rester rentable sans s'épuiser ?Dans cet épisode, je partage mes prédictions pour la fin 2025 et 2026 et les leviers concrets pour naviguer dans ce climat volatile.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Beaucoup d'objets présents dans vos placards ne servent à rien, ou pas souvent. Prenez l'appareil à raclette. Vous savez combien de Français en ont un ? 2 Français sur 3, selon une étude de l'Institut Appinio. Et combien de fois dans l'année vous vous en servez ? En moyenne, c'est 3 fois... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 09 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ah, les conflits... Si vous suivez Happy Work depuis quelque temps, vous savez que j'ai déjà abordé la gestion des conflits. Cependant, je me suis rendu compte d'une chose importante : je n'ai jamais parlé de comment les éviter. Non, je ne vais pas vous dire que la meilleure solution est de fuir ! Au contraire, je souhaite partager avec vous comment prévenir l'émergence des conflits.Pourquoi ce sujet maintenant ? Je suis en pleine rédaction de mon prochain livre où j'explore ce thème en profondeur. Voici un aperçu des techniques pour vous aider à rester à l'écart des conflits imminents :
Beaucoup d'objets présents dans vos placards ne servent à rien, ou pas souvent. Prenez l'appareil à raclette. Vous savez combien de Français en ont un ? 2 Français sur 3, selon une étude de l'Institut Appinio. Et combien de fois dans l'année vous vous en servez ? En moyenne, c'est 3 fois... Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez plein de projets, d'idées, d'envies… au point de vous sentir éparpillé et épuisé ? Vous êtes entrepreneur multicasquettes et multipotentiel ?Dans cet épisode, nous allons explorer :❌ Les faux problèmes que les multipreneurs croient être la cause de leur fatigue (trop d'idées, trop de casquettes, manque de discipline…).✅ Les vraies raisons de l'épuisement entrepreneurial : tout porter seul, ne pas respecter son rythme naturel, rester coincé dans l'opérationnel, travailler avec des clients désalignés, manquer de fil conducteur.
Dans cet épisode, je partage une expérience marquante vécue lorsque j'étais Formateur spécialisé en préparation mentale à l'école des officiers de police. Un élève étranger, policier dans son pays d'origine, s'est retrouvé en grande difficulté lors d'une séance de tir. Derrière son blocage se cachait un drame personnel bouleversant, qui a profondément changé ma manière d'accompagner en préparation mentale.Vous découvrirez notamment :Comment un simple exercice de tir peut réveiller un événement personnel marquantL'aveu choquant qu'un élève m'a confié et qui a bouleversé ma posture de formateur.Pourquoi la posture est la clé de tout accompagnement, bien avant les outils.En quoi cette expérience m'a permis de comprendre que la préparation mentale est avant tout un style de vie.La leçon fondamentale que tout coach, préparateur mental ou accompagnant devrait retenir Prenez ce qui est bon pour vous .Belle écoute.Geoffrey
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si vous avez grandi en France, dans les années 90-2000, il est fort probable qu'à un moment donné, vous ayez croisé la route d'une souris aux grands pieds. Une gerboise tout droit tombée d'un cartoon, avec de grands yeux, un sourire et une salopette : Diddl.Pendant plus d'une décennie, Diddl a régné dans le cœur des petit·es européen·nes, menaçant même de détrôner Mickey sur le podium des souris imaginaires préférées des enfants. Et puis Diddl a disparu avant de faire son grand retour le 1er octobre 2025.Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Estelle Colas. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Investisseurs Sereins - Investissement Immobilier Rentable
On ne peut pas progresser si l'on a pas un feedback chiffré pour nous indiquer si nous avançons dans la bonne direction. C'est comme si l'on voulait perdre du poids, mais que l'on ne sait pas combien on pèse, et qu'on ne sait même pas quelles sont nos mensurations avant de commencer le processus de perte de poids. On naviguerait à l'aveugle. Il faut donc poser les mesures que l'on souhaite surveiller de façon précise pour voir si nous évoluons dans le bon sens financièrement parlant. Dans cet épisode, je vous partage les six indicateurs essentiels de l'investisseur, ambitieux, qu'il doit suivre environ tous les 6 mois. Le sixième indicateur est le plus important pour ceux qui visent la liberté financière. Prenez un papier et un stylo pour noter.Bonne écoute,DorineHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On parle beaucoup d'attirer les talents.Mais une fois recrutés, que vivent vraiment vos collaborateurs ? Avec Séverine Loureiro, Directrice Générale du Lab RH, conférencière et autrice de plusieurs livres sur l'expérience collaborateur, on explore un sujet trop souvent sous-estimé : l'expérience vécue après l'embauche.Dans cet épisode de Learning by Doing, Séverine partage son parcours, du recrutement à la DG du Lab RH, comment transformer la vision RH en pensant le collaborateur comme un client, pourquoi il faut donner plus d'autonomie aux managers, mais aussi un projet inspirant autour des JO, où le sport a servi de levier pour engagement et inclusion.Bonne écoute !À très vite,Prenez soin de vous !Plus d'info :Pour suivre Séverine sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/severineloureiro/Le Lab RH : lab-rh.comPour recevoir gratuitement notre sélection hebdo de conseils pratiques pour animer votre équipe, rendez-vous ici : https://teambakery.com/nlEt n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un gentil commentaire sur Apple Podcast et Spotify si l'épisode vous a plu.
Dans cet épisode, je reçois Carole Benaroya. Carole grandit en banlieue parisienne dans une famille aimante et exigeante, où elle développe très tôt son goût pour les chiffres. Brillante, elle intègre Goldman Sachs à Londres après un processus corsé de pas moins de 8 entretiens. Plongée dans l'univers ultra-compétitif de la finance internationale, entre New York et l'Asie, elle s'aguerrit à un niveau d'exigence hors norme. Mais derrière cette réussite éclatante, Carole traverse aussi des épreuves personnelles : un parcours de PMA éprouvant, la naissance de ses premiers jumeaux, le tout au cœur de la crise financière de 2009 qui bouleverse son secteur. C'est alors que sa passion pour la mode reprend toute sa place. Avec son amie d'enfance Stéphanie, elle ose un pari audacieux : réinventer la manière de porter le cachemire. En 2012, elles ouvrent leur première boutique… et à peine une décennie plus tard, Kujten est devenu un succès immense, avec 55 boutiques en France et à l'international, et bientôt une adresse à New York. Dans cet épisode, Carole nous parle sans détour de son rapport à son ambition professionnelle qu'elle conjuge avec ses maternités vécues sans culpabiliser et en résistant aux injonctions ambiantes, de la vie d'entrepreneure et de la suite pour sa marque qui grandit d'année en année, un tour de force dans l'univers ultra compétitif de la mode ! Un témoignage fort et inspirant d'une femme qui assume tout : son ambition, son exigence et sa liberté. À retrouver sur toutes vos plateformes d'écoute, et sur YouTube. Belle écoute ! NOTES DE L'ÉPISODE: Le podcast vous plaît ? Prenez 30 secondes pour le noter 5 étoiles sur Apple podcast ou Itunes, et commentez si vous le souhaitez, c'est très précieux pour moi !
Ahhhh la jalousie en couple... quelle émotion ! Ici je te partage mon expérience avec mes anciennes relations jusqu'à celle d'aujourd'hui qui dur depuis maintenant 5 ans et demi. Je reviens de très loin avec des blessures de rejet, d'abandon, du mal à partager mon copain.... A trouver ça normal qu'il puisse trouver une fille jolie dans la rue et se le dire entre nous x)J'espère sincèrement que mon expérience pourra en aider. Car ceux qui sont jaloux ne sont pas méchant, ils détiennent uniquement un coeur qui souffre ❤️Mes réseaux : @angedanslesnuagesPOV sur la jalousie en couple dispo la semaine qui suivra la sortie de cet épisode :)Prenez soin de vous,Poétiquement,Angéline Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans ce dixième hors série de la Matrescence.Un mercredi par mois, un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné. Ce mois-ci, Héloïse Junier, psychologue clinicienne, aborde le thème de la transition maison, garde d'enfants.Que ce soit en crèche, chez la nounou ou à l'école, confier son enfant à une tierce personne peut souvent être délicat. Beaucoup d'angoisses, d'incompréhensions et de culpabilité sont ressentis par les parents.Dans cet épisode nous abordons, les questions qu'il faut poser aux professionnelles de la petite enfance lors de l'adaptation, comment réagir quand on a eu une mauvaise expérience lorsque l'on a confié son enfant, nous parlons des besoins de socialisations des enfants et surtout à partir de quels âges, nous évoquons les questions liés à la rentrée scolaire et aux apprentissages à l'école, mais aussi les déménagements, l'angoisse de la séparation et tout un tas d'autres questions!Je vous souhaite une très bonne écoute C'était Héloise Junier, psychologue Clinicienne.Vous venez d'écouter le 10e hors série de la Matrescence, n'hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux ou autour de vous cet épisode si vous l'avez aimé.Prenez soin de vous Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si l'optimisme était la clé pour transformer votre quotidien au travail ?
C'est l'histoire d'un fait divers, et de ce qu'il en reste 30 ans plus tard. En 1990, un groupe de nonnes de l'ordre des Pauvres Claires quittent la ville de Bruges, en Belgique. Direction, un château pas loin de Toulouse, qu'elles viennent d'acheter avec le produit de la vente de leur couvent. Avec l'argent gagné, outre leur nouvelle demeure, elles s'achètent des Mercedes, des chevaux de courses, et voyagent en jet. Aux côtés de ces religieuses peu banales, on trouve un homme, discret mais omniprésent. Est-il leur protecteur ? Leur homme à tout faire ? Leur bourreau ? Les versions divergent, et la vérité semble s'être perdue en route.Anton Stolper part à la recherche et suit la trace des survivant·e·s de cette histoire oubliée.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en février 2022. Réalisation : Elisa Grenet. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça nous est tous arrivé d'être confronté à un mensonge, que ce soit de la part d'un collègue, d'un manager ou d'un membre de notre équipe. Mais comment réagir sans exploser ou en faire une montagne ?
C'est l'histoire d'un fait divers, et de ce qu'il en reste 30 ans plus tard. En 1990, un groupe de nonnes de l'ordre des Pauvres Claires quittent la ville de Bruges, en Belgique. Direction, un château pas loin de Toulouse, qu'elles viennent d'acheter avec le produit de la vente de leur couvent. Avec l'argent gagné, outre leur nouvelle demeure, elles s'achètent des Mercedes, des chevaux de courses, et voyagent en jet. Aux côtés de ces religieuses peu banales, on trouve un homme, discret mais omniprésent. Est-il leur protecteur ? Leur homme à tout faire ? Leur bourreau ? Les versions divergent, et la vérité semble s'être perdue en route.Anton Stolper part à la recherche et suit la trace des survivant·e·s de cette histoire oubliée.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en février 2022. Réalisation : Elisa Grenet. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'histoire d'un fait divers, et de ce qu'il en reste 30 ans plus tard. En 1990, un groupe de nonnes de l'ordre des Pauvres Claires quittent la ville de Bruges, en Belgique. Direction, un château pas loin de Toulouse, qu'elles viennent d'acheter avec le produit de la vente de leur couvent. Avec l'argent gagné, outre leur nouvelle demeure, elles s'achètent des Mercedes, des chevaux de courses, et voyagent en jet. Aux côtés de ces religieuses peu banales, on trouve un homme, discret mais omniprésent. Est-il leur protecteur ? Leur homme à tout faire ? Leur bourreau ? Les versions divergent, et la vérité semble s'être perdue en route.Anton Stolper part à la recherche et suit la trace des survivant·e·s de cette histoire oubliée.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice CRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en février 2022. Réalisation : Elisa Grenet. Production et édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nesta aula, vamos aprender o vocabulário essencial para consultas médicas e situações em farmácias. Você vai saber como descrever sintomas, pedir medicamentos e entender instruções com clareza e segurança.1. Descrevendo sintomas em uma consultaJ'ai mal à la tête / au ventre / à la gorge. – Estou com dor de cabeça / barriga / garganta. Je tousse / j'ai de la fièvre / j'ai le nez qui coule. – Estou tossindo / com febre / com o nariz escorrendo. Je me sens faible / étourdi(e) / stressé(e). – Me sinto fraco(a) / tonto(a) / estressado(a). J'ai des nausées / des douleurs musculaires. – Tenho enjoo / dores musculares. Depuis quand ? – Desde quando? Depuis deux jours. / Ça a commencé hier. – Há dois dias. / Começou ontem.Exemplo: Bonjour docteur, je me sens très fatigué et j'ai mal au dos depuis deux jours.2. Frases que o médico pode usarOù est-ce que vous avez mal ? – Onde você sente dor? Est-ce que vous avez de la fièvre ? – Você está com febre? Décrivez vos symptômes, s'il vous plaît. – Descreva seus sintomas, por favor. Je vais vous prescrire un médicament. – Vou te receitar um remédio. Prenez ce traitement pendant 5 jours. – Tome esse tratamento por 5 dias.3. Na farmácia – pedir medicamentos e ajudaJe cherche un médicament contre la fièvre. – Estou procurando um remédio para febre. Avez-vous quelque chose contre le mal de tête ? – Você tem algo para dor de cabeça? Est-ce que je dois avoir une ordonnance ? – Preciso de receita médica? C'est pour un enfant / un adulte. – É para uma criança / um adulto. Je suis allergique à la pénicilline. – Sou alérgico(a) à penicilina.Exemple: Bonjour, j'ai besoin d'un sirop contre la toux pour mon fils.4. Compreendendo instruções de usoPrenez un comprimé trois fois par jour. – Tome um comprimido três vezes ao dia. Avant / après les repas. – Antes / depois das refeições. Ne dépassez pas la dose indiquée. – Não exceda a dose indicada. Secouez bien avant emploi. – Agite bem antes de usar. En cas d'effets secondaires, contactez un médecin. – Em caso de efeitos colaterais, entre em contato com um médico.5. Frases para facilitar a comunicaçãoJe ne comprends pas tout, pouvez-vous parler lentement ?Est-ce que vous pouvez écrire le nom du médicament ?Est-ce que c'est remboursé par l'assurance ?Merci pour votre aide.Ir ao médico ou à farmácia pode ser estressante, especialmente em outro idioma. Com esse vocabulário, você poderá se expressar melhor e cuidar da sua saúde com mais autonomia. Bon rétablissement !
La rentrée, c'est souvent le moment de prendre du recul, de réfléchir à sa situation professionnelle et d'envisager des changements. Mais face à cette période de transition, chacun réagit différemment.
Selon une étude réalisée par OpinionWay, seulement 48 % des salariés en France se sentent confiants dans leurs compétences professionnelles. La crédibilité au travail est cruciale pour avancer sereinement dans sa carrière, et il est possible de l'améliorer, même si vous avez déjà une bonne confiance en vous.✅ 1. Cohérence dans les actions : Soyez constant dans vos engagements et actions. Ne promettez pas plus que ce que vous pouvez réaliser et tenez vos engagements pour construire une image fiable.
Et si l'optimisme était la clé pour transformer votre quotidien au travail ?
Dans Succession, la série à succès produite par HBO, la richissime famille Logan, l'une des plus puissantes des Etats-Unis, est à la fois cimentée et déchirée par l'argent. Impossible de nier que l'histoire de ce clan de milliardaires est inspirée de la réalité. Surtout que, dans « Succession », le patriarche, Roy Logan, a bâti un empire financier qui n'est pas sans rappeler celui d'un magnat bien réel : Rupert Murdoch. Il faut dire que sa vie a de quoi inspirer n'importe quel scénariste. Un épisode en particulier : le scandale de « News of the World ».Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Quentin Bresson et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si l'été commençait par du bien-être, jusqu'à vos pieds ? Les experts de Birkenstock Care Essentials partages leurs expertises de soins fondés sur nos appuis essentiels. Un regard nouveau sur cette partie du corps trop souvent oubliée et parfait pour intégrer douceur et écoute corporelle à votre quotidien. À réécouter pieds nus, en terrasse ou en voyage.----Venez écouter, apprendre et éveiller votre conscience aussi sur notre compte Instagram : @parlonsbpodcastInterview, prise de son et montage réalisés par Nolyne Cerda.Le jingle est une création originale de Julien R.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 3 mars 2020, Robert Morini était abattu devant son domicile à Bastia. Une exécution en plein jour, visant l'un des derniers survivants de la Brise de Mer, un gang corse au passé sanglant. Mais d'où vient la Brise de Mer ? Qu'est-ce qui a permis au gang de prospérer durant tant d'années ? Et qu'est-ce qui a entraîné la chute et la mort brutale de ses parrains ?Thomas Rozec interroge Violette Lazard, journaliste à L'Obs, spécialiste du banditisme corse.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Victor Dubin et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous emmène sur le chemin de la rentrée après un périple de 1 000 kilomètres sur le chemin de Compostelle. Après des semaines de déconnexion, le retour à la réalité peut être un défi pour beaucoup d'entre nous. Grâce à un sondage réalisé sur mon profil LinkedIn auprès de plus de 2 000 personnes, j'ai découvert que les avis sont partagés : certains sont en pleine forme, d'autres moins.Mais quelle que soit votre situation, ce moment de l'année est idéal pour instaurer de nouvelles habitudes positives. Dans cet épisode, je vous partage des conseils pratiques pour reprendre le rythme en douceur, planifier vos journées efficacement, et surtout, prendre soin de votre bien-être pour aborder la rentrée avec sérénité. Vous découvrirez aussi comment fixer des objectifs motivants et l'importance de déconnecter après le travail pour préserver votre équilibre.Que vous soyez au sommet de votre forme ou encore en train de récupérer de l'été, cet épisode vous donnera les clés pour transformer cette rentrée en une véritable réussite. Alors, prêt(e) à faire de cette nouvelle saison un tremplin pour votre bien-être et votre productivité ?0:00 Introduction0:23 Introduction 20:42 Le sondage de la semaine1:41 Reprendre progressivement le rythme2:19 Planifiez vos journées2:56 Prenez soin de votre bien-être3:35 Fixez-vous des objectifs motivants4:08 Privilégiez la déconnexion après le travail4:48 Restez flexible et adaptable5:23 Conclusion 15:56 Conclusion 2Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Derrière ses spectacles à grand renfort de capes, de flammes et de cavalcades, le Puy du Fou ne se contente pas de divertir, il déroule en coulisses une fresque idéologique où l'Histoire se rejoue au service d'un projet conservateur bien huilé. Sous couvert de célébration patrimoniale, le parc vendéen écrit un roman national à sa manière et tisse, loin des projecteurs, des réseaux d'influence qui dépassent largement les frontières du bocage. Plongée dans les coulisses d'un empire familial devenu laboratoire d'une droite en quête de récit.Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Mathieu Thevenon et Paul Bertiaux. Production et édition : Lorraine Besse et Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Prenez votre Delorean et vos santiagues, on part en 2030 pour découvrir l'avenir des parcs européens ! Et dans cette première partie, gros focus sur les parcs de la Compagnie des Alpes dont il y a beaucoup à dire ! Parc Astérix, Walibi Belgium, Walibi Rhône-Alpes, Walibi Holland,... Rendez-vous la semaine prochaine pour la suite ! Découvrez tout ce que notre association a à offrir et soutenez-nous sur Patreon ! TOUS les podcasts Élabète en UN SEUL podcast, c'est possible en cherchant "Élabète" dans votre appli préférée ! Ou sur http://elabete.lepodcast.fr
Je suis ravie d'ouvrir cette saison 15 du podcast Legend Ladies avec Élisabeth Borne. Plus de 260 épisodes, 5 ans de rencontres et de mise en lumière de femmes qui ont su tracer leur voie et faire entendre leur voix...et celle ci me tenait particulièrement à coeur ! Elisabeth Borne grandi dans un
Héritier de Philippe De Villiers, bras droit de Fillon, chantre d'une droite dure, catholique et identitaire, Bruno Retailleau, l'actuel ministre de l'Intérieur, incarne le basculement assumé d'un camp qui braconne sans honte sur les terres de l'extrême-droite. Un parcours à rebondissements, entre fidélités anciennes et ambitions très actuelles.Thomas Rozec raconte.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De sous-préfet frondeur à prophète identitaire, Philippe de Villiers a construit sa carrière sur un récit : celui d'une France éternelle, assiégée, chrétienne et victimaire. Parc à thème, livres à succès, croisades contre l'Europe ou l'avortement : il n'a rien bâti de durable, mais a su incarner, à chaque époque, le mythe réactionnaire du moment.Thomas Rozec raconte.Cet épisode a été écrit par David Carzon.Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nathalie Tadja grandit dans une famille modeste en HLM dans le 93, entourée de ses deux sœurs. Ses parents sont originaires du Cameroun : un père chauffeur de taxi, une mère qui a arrêté de travailler pour s'occuper de la famille. Enfant curieuse et brillante, Nathalie adore l'école. Mais derrière les murs de l'appartement, elle grandit dans un environnement marqué par les violences conjugales. Ces scènes forgent chez elle une conviction : ne dépendre de personne et conquérir au plus vite son indépendance. Au collège, une passion inattendue naît : l'anglais. Elle s'y accroche avec ferveur et commence à transmettre cette passion, notamment à des enfants en difficulté. C'est le début d'une vocation : la transmission et l'envie d'ouvrir les horizons des autres. Après un parcours en lettres et en langues, elle entre à la Sorbonne. Elle ose postuler pour un programme d'échange et décroche une année à Minneapolis. Cette année américaine est pour elle un rêve : un état d'esprit optimiste, positif, audacieux. Mais au retour à Paris, le contraste est rude. De retour en banlieue, elle enchaîne des missions courtes dans la formation. Les difficultés de transport et le manque de reconnaissance pèsent. Elle finit par accepter un CDI, espérant une stabilité… Mais elle s'y sent exploitée, sous-payée, invisible. Un jour, elle décide de tout quitter. Le 1er mai 2010, elle crée son statut d'auto-entrepreneur. Elle travaille d'arrache-pied, sans compter ses heures. Rapidement, ses efforts paient : son activité dépasse le plafond de l'auto-entreprise. Elle fonde alors sa propre SASU. Son entreprise prend de l'ampleur et connaît une hypercroissance. Puis arrive la pandémie. Le Covid devient un catalyseur : Nathalie passe tout son business en distanciel. Elle réalise un premier investissement immobilier. Elle se rapproche de la nature. Elle construit son patrimoine et finit par acquérir sa propre maison. Tout au long de son chemin, la visualisation positive et les affirmations l'accompagnent. Elles l'aident à tenir le cap, à garder le courage et à cultiver une énergie constructive. Nathalie fait aussi des choix assumés. Celui, notamment, de ne pas devenir mère. Celui d'écouter son corps, ses signaux, et d'apprendre à respecter son rythme. Aujourd'hui, elle raconte avec sincérité son parcours : celui d'une enfant de banlieue devenue femme indépendante, entrepreneuse, libre, fidèle à elle-même. NOTES DE L'ÉPISODE: Le podcast vous plaît ? Prenez 30 secondes pour le noter 5 étoiles sur Apple podcast ou Itunes, et commentez si vous le souhaitez, c'est très précieux pour moi !
Templiers, vikings, Jeanne d'Arc… À droite comme à l'extrême droite, les références à un passé idéalisé se multiplient. Mais derrière cette passion affichée pour l'histoire se cache une stratégie politique bien rodée : réactiver des figures héroïques, magnifier les batailles, réécrire les récits au service d'un projet identitaire. Une instrumentalisation du passé qui alimente une bataille culturelle de plus en plus assumée.Thomas Rozec s'entretient avec André Loez, historien et auteur du podcast Paroles d'histoire. Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.