POPULARITY
Categories
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - Le gouvernement a pédalé dans la choucroute toute la journée concernant sa stratégie pour l'alimentation, la nutrition et le climat. Elle devait être dévoilée cet après-midi et finalement elle est reportée.
durée : 00:31:39 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Sophie Nauleau - Avec Joël-Claude Meffre (poète, auteur de "Tique", Propos 2 Editions) - réalisation : Rafik Zénine, Vincent Abouchar, Emily Vallat
Aujourd'hui, Abel Boyi, Laura Warton Martinez et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Novembre est le mois consacré à la santé mentale des hommes. Voilà le sujet qui a retenu l'attention du journaliste et prof de philo Simon Brunfaut pour son billet « A quoi tu penses ? ». Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs du soir :-Jules Torres, journaliste politique au JDD-Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs ActuellesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : Gauthier Le Bret, journaliste politiqueGénéral Jean-Paul Palomeros, ancien chef d'Etat-major de l'armée de l'airLouis de Raguennel, journaliste politiqueLaetitia Guinand, journaliste politiqueEric Naulleau, journaliste et essayisteCatherine Nay, éditorialiste politiqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : Gauthier Le Bret, journaliste politiqueGénéral Jean-Paul Palomeros, ancien chef d'Etat-major de l'armée de l'airLouis de Raguennel, journaliste politiqueLaetitia Guinand, journaliste politiqueEric Naulleau, journaliste et essayisteCatherine Nay, éditorialiste politiqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christian Estrosi répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des propos du chef d'État major des armées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christian Estrosi, maire de Nice et Vice-Président de Horizons, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des propos du chef d'état-major des ArméesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La sortie de Jonathan Trudeau hier au 98,5. Il faut demander le consentement d’un bébé avant de lui changer une couche. PLQ: médias trop vites et trop sévères? Carney réconcilié avec l’Alberta. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque matin dans Europe 1 Matin, Dimitri Pavlenko reçoit un invité pour évoquer les dernières actualités. Aujourd'hui, Général Christophe Gomart, député français LR au parlement européen et ancien directeur du renseignement militaire, après le message du du chef d'état-major des armées lors du Congrès des maires de France.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Un teint frais, une peau régénérée, le tout à petit prix: ce sont les promesses du microneedling un soin esthétique à base de micro-aiguilles. Proposé par des professionnelles, il est aussi disponible en kits en ligne ou en magasins. ABE a enquêté sur cette tendance beauté qui séduit autant qu'elle inquiète.
BALADO du MARDI! Marc Denis revient sur la défaite du CH hier! Ce que les femmes et les hommes aiment de l’autre! Est-ce qu’on a joué la toune de Passe-Partout au complet? MO et SM se chicanent à propos de la vaisselle!
En juin 2025 Audiorama sort le premier CD de Bill Balsa Doppelgänger. Nos 2 commentateurs favoris discutent de cette oeuvre.
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Propos de Souchon : voter RN, un vote "de cons" ?", et "Fusionner toutes les aides sociales en une : pour ou contre ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
Pour débuter l'émission de ce lundi 17 novembre 2025, les GG : Jean-Loup Bonnamy, prof de philo, Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, et Charles Consigny, avocat, débattent du sujet du jour : "Propos de Souchon : voter RN, un vote "de cons" ?".
Le Nigeria est de nouveau dans le viseur de l'administration Trump. Le président américain a récemment menacé le pays d'une intervention militaire pour protéger les chrétiens du Nigeria, qui seraient victimes, selon lui, de violences ciblées sous l'œil indifférent des autorités. Le Nigeria a été réintégré à la liste américaine des « pays particulièrement préoccupants en matière de liberté religieuse », dont il était sorti en 2021. Avant cela, Washington avait déjà annoncé un durcissement considérable des conditions d'obtention de visas « non immigrants » pour les citoyens nigérians désireux de se rendre aux États-Unis. Fin octobre, l'écrivain Wole Soyinka a également révélé que son visa américain avait été annulé. RFI a rencontré, à Paris, le premier prix Nobel africain de littérature, en 1986, qui a toujours été une voix critique de la politique de Donald Trump. RFI : Pensez-vous retourner un jour aux États-Unis ? Wole Soyinka : J'en doute vraiment. C'est peu probable Récemment, vous avez annoncé que votre visa américain avait été révoqué. Pour quelles raisons exactement ? C'est un problème ancien qui remonte déjà à la première élection de Donald Trump. J'enseignais aux États-Unis et j'ai vu l'émergence de cette rhétorique politique à la fois raciste, exclusioniste, mais aussi égocentrique. Et en général extrêmement méprisant vis-à-vis des immigrés et même des étrangers. Rappelez-vous, quand il est arrivé au pouvoir, il a désigné un certain nombre de pays comme « des pays de merde », pardonnez l'expression. Je l'ai compris dès la campagne et j'ai promis que si cet homme arrivait au pouvoir, je déchirerais ma carte verte. C'est exactement ce que j'ai fait. Pourtant, après cela, vous avez quand même obtenu un autre visa pour les États-Unis ? Oui, parce que, peu après avoir déchiré ma carte verte, j'ai reçu un courrier de l'administration fiscale américaine, pour m'annoncer que j'allais avoir un contrôle fiscal. Donc, je suis allé à l'ambassade au Nigeria, je leur ai expliqué que j'avais détruit mon permis de résidence aux États-Unis, mais que je ne voulais pas être considéré comme un fraudeur ou un fugitif. J'ai demandé un nouveau visa pour répondre à cette missive. C'est ce visa qui vient d'être annulé ? Oui, c'est correct. Cette fois, je n'ai même pas pris la parole. J'ai été directement ciblé, comme d'autres gens. J'ai reçu une lettre générique du consulat, une lettre qu'ils ont aussi adressée à d'autres Nigérians – et j'en suis sûr, aux citoyens d'autres pays – pour me demander de me présenter à un entretien. Parce que, je cite, « il y a eu des changements depuis l'émission de votre visa ». Ils me demandaient de me présenter au consulat, avec mon passeport. Je suis trop occupé pour cela et je savais très bien qu'ils avaient déjà pris leur décision, donc je n'y suis pas allé. Depuis que Donald Trump est revenu au pouvoir aux États-Unis, les immigrés sont ramassés dans la rue, au restaurant, et même dans les écoles. Je n'ai pas vraiment envie d'être associé à ce que cette société est devenue sous Donald Trump. Plus récemment, Donald Trump a fait de nouvelles déclarations concernant le Nigeria. Selon lui, les Chrétiens seraient les victimes d'une violence ciblée dans le pays. Qu'en pensez-vous ? D'abord, c'est arrogant, mais c'est aussi profondément irresponsable. Je ne connais aucun pays à travers le monde qui ne connait pas de frictions. Bien sûr, il n'est pas question de nier l'existence d'extrémistes religieux au Nigeria et plus spécifiquement d'islamistes intégristes. Je le dis ouvertement. D'ailleurs, j'ai même écrit une pièce sur le meurtre d'une jeune étudiante, accusée de blasphème, qui a été lynchée et déshumanisée. On sait qu'il y a un problème. Mais c'est un acte extrêmement hostile lorsqu'une personne venue de l'extérieur exacerbe et exagère ce problème. Il y a des tensions, il y a des violences, notamment entre les fermiers et les éleveurs. Des centaines de personnes ont été tuées dans ce conflit. Parfois, la religion est en cause, mais souvent, c'est plutôt une question économique. Bien sûr, les enlèvements d'enfants contre rançon sont des actes criminels. Mais choisir un aspect du problème, et affirmer que c'est la religion qui est au centre de toutes ces violences, ce n'est pas seulement mauvais, c'est aussi criminel. Rappelez-vous les mots qu'il a utilisés pour menacer le Nigeria d'une intervention militaire. Il a dit que les américains attaqueraient « armes à la main » et que ce serait « rapide, vicieux et doux ». Est-ce vraiment le genre de déclarations que l'on attend d'un leader ? Un chef d'État n'a pas le droit d'être simpliste. Et surtout n'a absolument pas le droit de creuser encore les divisions qui existent déjà. Il n'y a pas de société sans tensions, même aux États-Unis. Pour finir, au mois d'octobre, le théâtre national de Lagos a rouvert ses portes sous le nom de Centre Wole Soyinka pour la culture et les arts créatifs. Appréciez-vous cette attention pour votre 90e anniversaire ? Oui, c'est évidemment un honneur. Mais celui-ci devait-il m'être attribué ? C'est une autre question. Notamment lorsque vous avez passé, comme moi, toute votre vie à traverser toutes sortes de dictatures, où les dirigeants donnent leur nom à tout et n'importe quoi, y compris à des toilettes publiques. Je suis indifférent à ce genre de chose. J'ai vécu ma vie, j'ai fait mon travail, je suis satisfait. À lire aussiDonald Trump en croisade pour protéger les chrétiens africains?
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste politique à CNEWS. - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs du jour : -Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles -Éric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le préfet de la Meuse va porter plainte contre des propos "révisionnistes" tenus en marge de l'hommage à Philippe Pétain et ses soldats dans un église de Verdun, samedi. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Alexandre Jardin, écrivain et fondateur du mouvement des gueux et auteur de Les Gueux (Michel Lafon) Débatteurs du jour : -Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro -Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : -Alexandre Jardin, écrivain et fondateur du mouvement des gueux et auteur de Les Gueux (Michel Lafon) Débatteurs du jour : -Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro -Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:29 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Né Off-Broadway en 1982, la comédie musicale "La Petite Boutique des Horreurs" revient au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Seymour, jeune fleuriste, découvre un jour une plante, miraculeuse, mais carnivore... Humour noir et surprises scéniques font revivre l'esprit déjante du musical culte. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Zoé Sfez Productrice de La Série musicale sur France Culture; Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O
durée : 00:21:27 - L'invité de 8h20 - par : Ali Baddou, Marion L'hour - Tony Estanguet, triple champion olympique, président du comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, et auteur de "Par amour du sport" (Calmann Lévy) en appelle "tous les acteurs à continuer d'investir dans le sport". - invités : Tony ESTANGUET - Tony Estanguet : Athlète français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
"Les livres qu'on sème", le nouveau podcast Cultura à écouter en famille pour découvrir des livres pour enfants racontés par des enfants... Parce que les enfants sont sans doute les meilleurs prescripteurs de livres pour enfants, nous sommes allés à la rencontre de jeunes lecteurs et lectrices pour qu'ils nous racontent leur plaisir de lire ! Ecoutez-les parler avec passion, humour et émotion de leurs livres préférés, des endroits et des moments où ils aiment lire et des personnages qui les font vibrer… Et vous, quel est votre livre jeunesse préféré ? “Les Livres qu'on sème“ est un podcast proposé par Cultura et produit par Création Collective. Les enfants se sont confiés au micro de Brune Bottero et les épisodes ont été réalisés par Anna Buy. Une initiative issue du programme "Tous à la lecture !" de Cultura. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Matthieu Valet, eurodéputé RN - Sébastien Lignier, journaliste politique Valeurs Actuelles - Christophe Bordet, rédacteur en chef Europe 1 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate - Gauthier le Bret, journaliste - Georges Fenech, ancien magistrat - Fabien Onteniente, réalisateur Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate - Gauthier le Bret, journaliste - Georges Fenech, ancien magistrat - Fabien Onteniente, réalisateur Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:55 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - L'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn et Agnès Giannotti, la présidente de MG France, principal syndicat de médecins généralistes, sont les invitées de France Inter. - invités : Agnès Giannotti, Agnès Buzyn - Agnès Giannotti : Médecin généraliste,vice-présidente du syndicat MG France, Agnès Buzyn : fondatrice du Think thank "Évidences", ancienne ministre des solidarités et de la santé Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:55 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Benjamin Duhamel, Florence Paracuellos - L'ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn et Agnès Giannotti, la présidente de MG France, principal syndicat de médecins généralistes, sont les invitées de France Inter. - invités : Agnès Giannotti, Agnès Buzyn - Agnès Giannotti : Médecin généraliste,vice-présidente du syndicat MG France, Agnès Buzyn : fondatrice du Think thank "Évidences", ancienne ministre des solidarités et de la santé Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bloc d'actualités. Rubrique Ako sa mâche?, A propos du programme Junior Ranger Slovakia
Amazon continue d'intégrer l'intelligence artificielle dans l'ensemble de ses services. Après le shopping, après Amazon Music, c'est désormais au tour des liseuses Kindle d'entrer dans cette nouvelle ère. Le géant du e-commerce vient de dévoiler Kindle Translate, un service de traduction automatique pensé pour aider les auteurs indépendants à toucher un public international — sans supporter les coûts souvent prohibitifs d'une traduction professionnelle.Le programme, encore en phase bêta, n'est accessible qu'à une partie des auteurs utilisant Kindle Direct Publishing, la plateforme d'autoédition d'Amazon. Pour l'instant, seules trois combinaisons linguistiques sont disponibles : anglais, espagnol et allemand. Un champ d'action limité, mais qui pourrait rapidement s'élargir. Amazon justifie ce lancement par un constat : moins de 5 % des livres disponibles sur sa boutique américaine existent dans plus d'une langue. L'entreprise promet donc de combler cette lacune grâce à l'automatisation.Chaque manuscrit traduit via Kindle Translate passera par une évaluation automatique de la qualité avant publication. De plus, le lecteur sera informé par un étiquetage dédié que l'ouvrage provient d'une traduction générée par IA. L'auteur aura de son côté la possibilité de prévisualiser, ligne par ligne, le résultat final. Mais l'initiative soulève déjà plusieurs interrogations. Car la traduction littéraire ne se résume pas à transposer des mots : c'est un véritable travail d'interprétation culturelle, d'humour, de rythme et de sous-texte. Les risques d'erreurs subtiles, de nuances perdues ou de contresens demeurent élevés, même avec les meilleurs systèmes actuels. S'ajoute une autre inquiétude : l'impact sur les traducteurs professionnels. Depuis l'explosion des IA génératives il y a trois ans, la profession se trouve déjà fragilisée. Le lancement de Kindle Translate pourrait accentuer cette pression en habituant éditeurs et auteurs à des traductions rapides, bon marché… mais parfois très éloignées de l'exigence littéraire d'un travail humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les réseaux sociaux nous vendent aussi de la littérature : sur les médias sociaux, de nombreux influenceurs émergent depuis quelques années pour mettre en avant des nouveautés ou des classiques ! Comment vend-on un livre aujourd'hui ? Depuis quelques années, de plus en plus de maisons d'édition font appel aux influenceurs littéraires, font appel aux influenceurs littéraires : «Les réseaux sociaux sont un énorme levier de visibilité. Le temps de lecture baisse alors que le temps passé sur les écrans augmente. Il faut donc aller chercher le lecteur là où il est», nous explique Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire. « Il faut comprendre que les réseaux sociaux, ce n'est pas le marché du contenu, mais le marché de l'attention. Des centaines de milliers de contenus sont postés chaque jour. Il faut donc capter l'attention le plus rapidement possible et créer de l'intérêt ; il faut partir du jeune vers la vidéo alors qu'à l'école, on part de l'œuvre pour aller vers le jeune ». De plus en plus de livres, moins de places dans les médias, moins de lecteurs, la littérature circule énormément sur ces nouveaux canaux d'informations, notamment chez les jeunes. «On n'a pas forcément une très bonne image des influenceurs. J'ai voulu propager des connaissances autour de la littérature sud-américaine ou plus classique, de fil en aiguille les gens se sont intéressés à ce que je disais», raconte Chris Laquieze. Et ça marche : le livre de l'autrice américaine Freida McFadden La femme de ménage a émergé grâce à TikTok. «Un bouche-à-oreille numérique efficace», selon Maïa Gros. C'est également l'occasion de faire (re)découvrir une littérature méconnue en France ou une littérature classique oubliée ou des auteurs moins connus. «J'aime bien mettre en avant des petits auteurs qui sont moins connus qui produisent des maisons d'édition des œuvres exceptionnellement bien, et dont on parle très peu parce qu'ils sont moins médiatisés», précise Chris Laquieze. Invités : Chris Laquieze, auteur et influenceur littéraire. Vous pouvez suivre son compte Instagram ou son compte TikTok. Il sortira en janvier son premier roman La rosa perdida, aux éditions J.-C. Lattès. Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire, une maison d'édition créée en 2016, qui publie des essais et des romans. Et le témoignage de Timothée, responsable de la librairie Temps-Livres au Pré-Saint-Gervais. Propos recueillis par Cécile Lavolot. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, où la 11è fête du Livre a lieu du 2 au 21 novembre (du 8 au 15 dans la capitale, Kinshasa). Et c'est Françoise Balais, directrice déléguée de l'Institut français de Kinshasa qui nous parlera de cet évènement ! On pourra notamment y retrouver en clôture la création de la pièce «Silence» du lauréat du Prix Rfi Théâtre 2025, Israël NZILA. Programmation musicale : L'artiste Orelsan en duo avec Yamé, avec le titre Encore une fois.
Les réseaux sociaux nous vendent aussi de la littérature : sur les médias sociaux, de nombreux influenceurs émergent depuis quelques années pour mettre en avant des nouveautés ou des classiques ! Comment vend-on un livre aujourd'hui ? Depuis quelques années, de plus en plus de maisons d'édition font appel aux influenceurs littéraires, font appel aux influenceurs littéraires : «Les réseaux sociaux sont un énorme levier de visibilité. Le temps de lecture baisse alors que le temps passé sur les écrans augmente. Il faut donc aller chercher le lecteur là où il est», nous explique Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire. « Il faut comprendre que les réseaux sociaux, ce n'est pas le marché du contenu, mais le marché de l'attention. Des centaines de milliers de contenus sont postés chaque jour. Il faut donc capter l'attention le plus rapidement possible et créer de l'intérêt ; il faut partir du jeune vers la vidéo alors qu'à l'école, on part de l'œuvre pour aller vers le jeune ». De plus en plus de livres, moins de places dans les médias, moins de lecteurs, la littérature circule énormément sur ces nouveaux canaux d'informations, notamment chez les jeunes. «On n'a pas forcément une très bonne image des influenceurs. J'ai voulu propager des connaissances autour de la littérature sud-américaine ou plus classique, de fil en aiguille les gens se sont intéressés à ce que je disais», raconte Chris Laquieze. Et ça marche : le livre de l'autrice américaine Freida McFadden La femme de ménage a émergé grâce à TikTok. «Un bouche-à-oreille numérique efficace», selon Maïa Gros. C'est également l'occasion de faire (re)découvrir une littérature méconnue en France ou une littérature classique oubliée ou des auteurs moins connus. «J'aime bien mettre en avant des petits auteurs qui sont moins connus qui produisent des maisons d'édition des œuvres exceptionnellement bien, et dont on parle très peu parce qu'ils sont moins médiatisés», précise Chris Laquieze. Invités : Chris Laquieze, auteur et influenceur littéraire. Vous pouvez suivre son compte Instagram ou son compte TikTok. Il sortira en janvier son premier roman La rosa perdida, aux éditions J.-C. Lattès. Maïa Gros, attachée de presse aux éditions de l'Observatoire, une maison d'édition créée en 2016, qui publie des essais et des romans. Et le témoignage de Timothée, responsable de la librairie Temps-Livres au Pré-Saint-Gervais. Propos recueillis par Cécile Lavolot. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Kinshasa, en République Démocratique du Congo, où la 11è fête du Livre a lieu du 2 au 21 novembre (du 8 au 15 dans la capitale, Kinshasa). Et c'est Françoise Balais, directrice déléguée de l'Institut français de Kinshasa qui nous parlera de cet évènement ! On pourra notamment y retrouver en clôture la création de la pièce «Silence» du lauréat du Prix Rfi Théâtre 2025, Israël NZILA. Programmation musicale : L'artiste Orelsan en duo avec Yamé, avec le titre Encore une fois.
durée : 00:15:01 - Journal de 8 h - Alors que la classe politique et le monde agricole s'indignent de ses propos plutôt positifs sur un accord avec les pays du Mercosur, Emmanuel Macron se défend. Depuis Mexico, le chef de l'Etat réaffirme qu'il restera vigilant.
durée : 00:15:01 - Journal de 8 h - Alors que la classe politique et le monde agricole s'indignent de ses propos plutôt positifs sur un accord avec les pays du Mercosur, Emmanuel Macron se défend. Depuis Mexico, le chef de l'Etat réaffirme qu'il restera vigilant.
durée : 00:15:01 - Journal de 8 h - Alors que la classe politique et le monde agricole s'indignent de ses propos plutôt positifs sur un accord avec les pays du Mercosur, Emmanuel Macron se défend. Depuis Mexico, le chef de l'Etat réaffirme qu'il restera vigilant.
durée : 00:09:47 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Laurent Nuñez, ministre de l'Intérieur, est notre invité, au lendemain des révélations de nos confrères de Libération et Mediapart sur les violences policières à Sainte-Soline en mars 2023. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:09:47 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Laurent Nuñez, ministre de l'Intérieur, est notre invité, au lendemain des révélations de nos confrères de Libération et Mediapart sur les violences policières à Sainte-Soline en mars 2023. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mercredi matin, pendant 35 minutes, un conducteur âgé de 35 ans a foncé délibérément sur plusieurs personnes, des cyclistes et des piétons, sur l'île d'Oléron, faisant plusieurs blessés graves. Christophe Plassard, député de la Charente-Maritime est l'invité du journal de RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Nigeria, c'est la stupeur après les propos explosifs de Donald Trump, qui a menacé d'y mener une action militaire si le pays n'arrêtait pas ce qu'il appelle « les meurtres de chrétiens par des terroristes islamistes ». Pourquoi cet intérêt soudain du Président américain pour les chrétiens du Nigeria ? Le lobbying à Washington des associations évangéliques y est-il pour quelque chose ? Niagalé Bagayoko vient de publier une enquête sur les relations États-Unis/Afrique pour l'African Security Sector Network et pour la Fondation méditerranéenne d'études stratégiques. Elle répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Niagalé Bagayoko, est-ce que vous êtes surprise par les propos menaçants de Donald Trump contre le gouvernement du Nigeria ? Niagalé Bagayoko : Les propos de Donald Trump, tout comme les prises de position des parlementaires américains, s'inscrivent dans ce retour majeur de la religion aux États-Unis, qui est matérialisé par l'instauration d'un bureau de la foi et des tenants d'un christianisme extrêmement radical, ultra-conservateur, notamment sur le plan sociétal. Et l'un des courants les plus influents est celui du pentecôtisme, qui a été notamment diffusé par les méthodistes noirs américains à travers ce qu'on appelle les Assemblées de Dieu, qui sont très présentes, notamment en Afrique de l'Ouest. Ce que répond le président nigérian Bola Tinubu, qui espère une rencontre dans les prochains jours avec Donald Trump, c'est qu'il remercie le président américain d'avoir autorisé la vente d'armes à son pays et qu'il veut tirer parti de cette opportunité dans la lutte contre le terrorisme, et qu'il espère obtenir des résultats considérables. D'abord, il est, à mon avis, très important de rappeler à quel groupe on a affaire au Nigeria en matière terroriste. Ils sont actifs, notamment au nord-est du Nigeria. C'est contre eux que le gouvernement du Nigeria a mobilisé des moyens opérationnels importants. Ces actions ont eu un certain effet, mais absolument pas dans les zones rurales où ces groupes sont extrêmement implantés. Donc, je ne pense pas qu'il soit réaliste d'envisager un électorat américain qui accepterait de perdre un seul soldat sur le sol africain. Donc, un éventuel soutien aérien pourrait éventuellement avoir un effet d'affaiblissement momentané, mais ne changerait absolument pas cette dynamique d'enracinement de ce type de groupes, dans le contexte du Nigeria ou ailleurs d'ailleurs, non plus. Ce que vous dites dans une étude parue au printemps dernier, c'est que cette nouvelle alliance entre chrétiens ultra-conservateurs des États-Unis d'un côté, chrétiens du Nigeria, du Ghana, de l'Ouganda de l'autre côté, elle ne vise pas seulement à combattre les islamistes, elle vise aussi ce qu'ils appellent « l'homosexualité occidentale ». Oui, bien sûr, il y a vraiment une vision extrêmement morale qui a tendance à cibler des courants woke. Par exemple, il y a Monseigneur Robert Sarah, de Conakry, qui est très proche du cardinal Burke, très influent au sein de l'Église catholique américaine et proche de JD Vance, qui a fait de la lutte contre le wokisme et les courants LGBT l'une de ses thématiques favorites. Et vous allez plus loin : vous dites dans votre article que ces chrétiens d'Afrique entrent en résonance avec les souverainistes du Sahel, notamment du Niger, du Burkina Faso, du Mali et du Sénégal. Alors justement, uniquement sur ces questions d'ordre sociétal, puisqu'on voit que, sur le continent africain, ce sont des visions très conservatrices de la société qui tendent à s'imposer, et cela aussi bien dans les pays à majorité chrétienne que dans les pays à majorité musulmane. C'est pour ça que l'opposition entre les deux religions n'est pas nécessairement pertinente. Mais ces souverainistes africains qui font alliance avec les trumpistes américains, est-ce qu'ils ne sont pas quand même plus sensibles au message d'un Vladimir Poutine que d'un Donald Trump ? Je ne parle pas véritablement d'alliance entre les pays du Sahel et les États-Unis. Je parle d'une convergence sur un certain nombre de remises en cause du modèle démocratique libéral, aussi bien d'un point de vue politique que d'un point de vue sociétal. Pour ce qui est de la Russie, je pense qu'on est finalement dans le même type de scénario : c'est-à-dire que je pense que cette convergence de valeurs, notamment religieuses, est extrêmement importante, et j'en veux pour preuve le retour de l'Église orthodoxe dans les pays comme le Kenya ou l'Ouganda. Ça, ça fait également partie du soft power de la Russie, qui est à la fois politique mais aussi, à mon avis, moral. À lire aussiDonald Trump-Nigeria: la diplomatie comme outil de politique intérieure À lire aussiLe Nigeria propose une rencontre à Donald Trump après des menaces proférées par le président américain
durée : 00:28:50 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - C'en est fini du silence. Chef de détention dans une centrale pénitentiaire pendant près de vingt ans, Hervé raconte les dérives du système carcéral qui l'ont conduit à s'en éloigner. Propos recueillis par Sonia Kronlund. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
L'histoire semble absurde, presque inventée. Et pourtant, elle est vraie. En février 1973, le dirigeant chinois Mao Zedong fit à Henry Kissinger, conseiller diplomatique du président américain Richard Nixon, une proposition qui reste l'une des plus extravagantes de la diplomatie moderne : envoyer dix millions de femmes chinoises aux États-Unis.Une proposition déconcertanteLe contexte est crucial. En 1972, Nixon avait ouvert la voie à un rapprochement historique entre Washington et Pékin, mettant fin à plus de vingt ans d'hostilité. L'année suivante, Kissinger effectue une nouvelle visite en Chine pour consolider cette relation naissante. Lors d'une rencontre au ton parfois ironique, Mao, affaibli mais encore maître du verbe, lance cette idée :« Nous avons trop de femmes. Pourquoi ne pas vous en envoyer dix millions ? »Selon les notes de Kissinger, Mao disait cela avec un humour décalé, mais sur un fond de réflexion démographique réelle. À l'époque, la Chine comptait déjà plus de 800 millions d'habitants, et Mao voyait cette croissance comme un fardeau économique.Une blague… mais pas complètementCette proposition n'était évidemment pas sérieuse au sens diplomatique du terme. Kissinger l'a lui-même interprétée comme une plaisanterie politique, typique du style provocateur du dirigeant chinois. Mais elle révélait une préoccupation authentique : Mao redoutait l'explosion démographique de son pays, à une époque où la planification des naissances n'était pas encore mise en place.En même temps, l'idée contenait une pointe de calcul géopolitique. Mao suggérait, avec cynisme, que l'arrivée massive de femmes chinoises provoquerait aux États-Unis un désordre social et démographique comparable à celui que connaissait la Chine — une façon de rappeler à Kissinger la force de son pays et la complexité de sa gestion.Un symbole de la diplomatie maoïsteCette scène illustre le style unique de Mao : mélange d'ironie, de provocation et de stratégie. Il utilisait souvent l'humour pour tester ses interlocuteurs étrangers et mesurer leurs réactions. Derrière la boutade, il envoyait un message : la Chine, même isolée, était un acteur qu'il fallait prendre au sérieux.Cette anecdote, aujourd'hui encore, symbolise la transition du monde bipolaire de la Guerre froide vers une diplomatie plus subtile, où les mots – même les plus extravagants – servaient à redéfinir les rapports de force. Mao n'a jamais envoyé dix millions de Chinoises, mais il a bel et bien envoyé un signal retentissant : la Chine ne plaisantait jamais vraiment, même quand elle semblait le faire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.