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Pablo Longoria est-il en train de se perdre ? Pascal Olmeta : "Ceux qui aiment l'OM sont les plus heureux aujourd'hui. Moi je l'ai connu à mon époque : t'as toujours une personne à côté de la table de massages."
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En partie formé à l'AC Milan, l'entraîneur de l'OM Roberto De Zerbi ne veut pas voir la finale de la Ligue des champions entre l'Inter et le PSG, le 31 mai prochain à Munich.
Arabie Saoudite, Qatar, Emirats Arabes Unis : le Trump tour au Moyen-Orient devrait prendre fin ce vendredi. Le président américain a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux. Mais il a également fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien...rencontre assortie d'une levée des sanctions. Que faut-il retenir de cette grande visite? On a posé la question à Pauline Hofmann, cheffe adjointe du pôle International.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
ARTCENA présente des apéro-livres. Lundi 28 avril 2025, Gwénola David s'entretenait avec Bernard Kudlak à l'occasion de la parution de son ouvrage « Le Grand livre du Cirque Plume ». Crédits : Production : ARTCENA Création sonore : Marc Sayous
Démissionné d'office en janvier 2024 pour soupçons de malversations, le greffier du parlement wallon, Frédéric Janssens avait introduit des recours au Conseil d'Etat pour contester son licenciement. Pour rappel, l'ancien greffier faisait également l'objet de plaintes pour harcèlement. Cette semaine, nouveau coup de théâtre : l'auditrice du Conseil d'Etat suggère l'annulation pure et simple de ce licenciement. On ne sait pas encore si le Conseil d'Etat suivra cette recommandation mais l'enjeu est de taille : si l'avis de l'auditrice est suivi, Frédéric Janssens pourrait en théorie recouvrer son ancienne fonction. On fait le point avec Joël Matriche, journaliste au pôle Enquêtes.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
100 jours que le gouvernement Arizona a été mis sur pied, 100 jours que Bart de Wever est Premier ministre. Un peu plus de 3 mois pour lancer des réformes, pour mesurer la vigueur de l'opposition mais pour ne pas trop communiquer.Que retenir de ces 100 premiers jours ? Y'a-t-il déjà des points de bascule ? On va voir ça avec Bernard Demonty et Alexandre Noppe du pôle Pouvoirs« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Serge est préoccupé par la santé mentale de sa fille, étudiante en médecine, qui souffre de dépression et résiste aux traitements médicamenteux. Elle est actuellement hospitalisée et suit un protocole de stimulations électromagnétiques pour améliorer son état. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du 13 au 24 mai, le monde du cinéma se donne rendez-vous à Cannes pour le Festival. Cette année, c'est la 78ème édition, le jury sera présidé par Juliette Binoche. Le festival 2025 arrive en même temps que le verdict du procès Depardieu, quelques semaines après le rapport de la commission d'enquête sur les violences commises dans le milieu culturel. D'où une question que l'on se pose cette année : ce festival de Cannes est-il un festival des femmes? On va répondre avec notre envoyée spéciale à Cannes, notre spécialiste cinéma Fabienne Bradfer.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
durée : 00:02:36 - Bientôt chez vous - À Santa Monica, un quartier côtier de Los Angeles, une expérience immersive permet encore pendant quelques jours de vivre une mission spatiale simulée sur la Lune. Proposée par la société Back to Space, cette aventure ne relève pas du tourisme spatial traditionnel comme ceux proposés par SpaceX ou Blue Origin, mais d'un dispositif de réalité virtuelle scénarisée.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - C'est la question qui anime les diplomaties ukrainiennes et européennes depuis hier. Le président russe à proposé des pourparlers directs jeudi en Turquie, Kiev accepte mais les conditionne à un cessez-le-feu immédiat qui met le Kremlin dans l'embarras.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - C'est la question qui anime les diplomaties ukrainiennes et européennes depuis hier. Le président russe à proposé des pourparlers directs jeudi en Turquie, Kiev accepte mais les conditionne à un cessez-le-feu immédiat qui met le Kremlin dans l'embarras.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - C'est la question qui anime les diplomaties ukrainiennes et européennes depuis hier. Le président russe à proposé des pourparlers directs jeudi en Turquie, Kiev accepte mais les conditionne à un cessez-le-feu immédiat qui met le Kremlin dans l'embarras.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Mikaël Mittelstadt qui devrait incarner Filip Nikolic dans le téléfilm que la chaîne va consacrer au leader des 2 Be 3, la future chaîne NOVO19 a confirmé le nom de celle qui animera son talk-show quotidien, plusieurs informations ont fuité concernant la future émission présentée par Cyril Hanouna sur W9 et l'avocat Gilles-William Goldnadel saisit l'ARCOM après le passage de Thierry Ardisson dans l'émission “Quelle Époque” sur France 2. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Satyryczny podcast Klubu Polskich Nieudaczników. Tematy: Prawicowo ekstremistyczna AfD, kto będzie Führerem? Dyskryminacje mężczyzn przed niemieckimi sądami, jak długo jeszcze? Nurkujący bocian w Niemczech, co na to darwiniści? L4 na narcyzm, czy grozi nam fala zwolnień lekarskich? Zapraszają Adam Gusowski, Ewa Lewy i Piotr Mordel. Uwaga! Satyra! Może zawierać treści! Instagram a_propos_satyra: https://www.instagram.com/a_propos_satyra/?igshid=MzRlODBiNWFlZA%3D%3D Von Adam Gusowski.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphanie de Muru, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était presqu'un ovni dans le paysage médiatique belge. Un flamand, employé d'un grand quotidien, qui couvrait exclusivement les affaires wallonnes. Peter De Lobel change d'attribution, on en a donc profité pour discuter avec lui de ses années passées à parcourir Gembloux, Arlon, Liège et Tournai.A-t-il vu la Wallonie changer en presque deux décennies? A-t-il vérifié les clichés sur le sud du pays ? On lui a posé toutes ces questions en compagnie de Bernard Demonty, le chef du pôle Pouvoirs.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Mikaël Mittelstadt qui devrait incarner Filip Nikolic dans le téléfilm que la chaîne va consacrer au leader des 2 Be 3, la future chaîne NOVO19 a confirmé le nom de celle qui animera son talk-show quotidien, plusieurs informations ont fuité concernant la future émission présentée par Cyril Hanouna sur W9 et l'avocat Gilles-William Goldnadel saisit l'ARCOM après le passage de Thierry Ardisson dans l'émission “Quelle Époque” sur France 2. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Loïc Tassé critique sévèrement la prise de position du pape, qui invite l’Ukraine à « avoir le courage du drapeau blanc », un message perçu comme pro-russe et contraire aux principes démocratiques. Dans ce segment, il analyse aussi les tractations internationales autour de la guerre en Ukraine, les négociations de Trump avec la Chine, l’Iran et la Russie, la remise en question de l’habeas corpus aux États-Unis, et la nouvelle interdiction du jeu d’échecs par les talibans. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans un pays où les transports en commun font souvent défaut, deux Tunisiens ont lancé, il y a quatre ans, la start-up Pixii Motors pour développer un scooter électrique intelligent. Leur objectif : désengorger les villes grâce à l'intelligence artificielle embarquée et promouvoir un mode de transport écologique. De notre correspondante à Tunis,Dans la technopole d'El Ghazela à Tunis, Anis Fekih, l'un des cofondateurs de Pixii Motors, met les dernières touches à son prototype de scooter intelligent, le Shadow. « C'est une moto électrique. On n'a rien réinventé. La roue existe déjà, mais ce qu'on a un peu poussé, c'est la partie technique. Ce que vous voyez ici, c'est un cockpit avec toutes les données : la météo du jour, l'autonomie, l'état de la batterie, et tout ça ». Scooter rechargeable sur prise 220 VPas du tout issus du monde de la moto, Anis et ses cofondateurs, alors salariés d'entreprise, voulaient surtout créer un moyen de transport adapté aux besoins urbains actuels en Tunisie, où les bornes de recharge électriques sont encore rares. « On s'est dit qu'aujourd'hui, dans les grandes villes, la majorité des habitants habitent dans des appartements, donc il y a un vrai souci de recharge. On a donc créé le scooter sur la base d'une batterie amovible, et deuxièmement, une batterie qui peut se recharger comme n'importe quel téléphone, avec une prise 220 volts classique, rechargeable en trois heures », explique Anis Fekih.De l'IA pour plus de sécuritéAvec un premier capital de 7 000 euros, obtenu grâce à un concours de pitchs organisé par l'accélérateur tunisien RedStart, ils conçoivent pendant trois ans ce scooter, deux fois moins lourd qu'un modèle à essence. Proposé à un prix compétitif, environ 2 400 euros, il concurrence les autres marques grâce à ses options technologiques avancées. « On a intégré un chatbot qui peut assister le conducteur pour effectuer certaines tâches, anticiper des besoins ou fournir du support en cas de panne. On a aussi intégré un système anticollision, un système de détection d'angle mort... donc on a beaucoup misé sur la sécurité ».Au début de l'année, la start-up a sécurisé une levée de fonds de 530 000 euros et finalise les détails pour obtenir une certification et s'aligner sur les régulations européennes. L'objectif : viser le marché tunisien, mais aussi international.Les scooters électriques, l'imparfaite solution à la pollution de l'air en Inde
Il était un peu plus de 19h jeudi 8 mai à Rome. Une foule nombreuse assiste, Place Saint-Pierre, à l'annonce du nom et de l'identité du nouveau pape. Robert Francis Prevost régnera donc sous le nom Léon XIV. Le premier souverain pontife originaire des États-Unis. Dans sa première prise de parole, il a lancé un «appel de paix» à «tous les peuples». Qui est-il et pourquoi a-t-il été élu ? On va voir ça avec William Bourton du pôle Idées.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
C'est une étude qui vient clouer le bec à plusieurs théories du complot. En 2020, la pandémie de Covid-19 mettait le monde entier à l'arrêt et très vite, on se demandait «mais d'où vient cette maladie»? On a parlé du pangolin, on a parlé d'une fuite d'un laboratoire. Une étude menée par des chercheurs internationaux nous apprend que ce n'est très certainement pas le labo, que ce n'est certainement pas le pangolin....mais des chauves-souris.Michel de Muelenaere, du pôle Planète, a lu cette étude et interrogé un de ses auteurs, il nous explique.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
George Simion, candidat nationaliste d'extrême droite et admirateur de Donald Trump est arrivé largement en tête au premier tour de la présidentielle roumaine confirmant ainsi la vague de “dégagisme” des partis traditionnels. Le second tour s'annonce tout de même serré puisqu'il affrontera le maire de Bucarest qui défend une vision plus libérale et pro-européenne. Deux modèles qui s'opposent et incarnent les scissions idéologiques présentes en Roumanie, pays voisin de l'Ukraine et sixième plus peuplé de l'Union européenne. Marine Leduc est correspondante pour Le Soir à Bucarest. Elle revient avec nous sur les enjeux qui entourent ce scrutin et sur ce qu'ils disent de la société roumaine actuelle. « À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Depuis quatre mois, les sorties musclées contre le modèle culturel francophone belge s'entassent à droite. Plusieurs prises de position du président du MR Georges-Louis Bouchez ont suscité de vives réactions au sein du secteur culturel belge. Notamment sa remise en question de l'existence même d'un ministère de la culture, des subsides trop systématiques ou encore des conseils d'administration « trop politisés ».Marine Buisson, cheffe du pôle culture et Bernard Demonty, chef du pôle Pouvoirs ont rencontré le président du MR pour qu'il leur livre sa vision idéale du modèle culturel belge francophone, entre provocation et rationalisation.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Tous les matins, à 6h10 et 6h50 sur Chérie FM, Tiffany Bonvoisin nous présente une info qui l'a marquée !
ESSENTIEL - Côté Jardin. Emission présentée par Jacques Benhamou Il reçoit Claire Marie Le Guay, à propos de son livre-concert « C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière » aux éditions Flammarion. À propos du livre : « C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière » paru aux éditions Flammarion Claire-Marie Le Guay a conçu ce livre comme un concert écrit. En s'appuyant sur la vie et la personnalité de cinq compositeurs et l'exploration de leurs œuvres, elle nous convie à une lecture musicale. Le foisonnement joyeux de Mozart, lumineux au-delà du drame, nous prend par la main, l'équilibre de la construction de Bach organise nos pensées, le flot des sentiments amoureux de Liszt éveille nos sens et nous guide de la douleur à la consolation, la force créatrice de Mahler, puisant sa source dans la nature, nous aide à trouver notre place, et la puissance expressive de Rachmaninov nous fait vibrer et nous donne l'énergie du dépassement. Étayé de nombreux liens d'écoute, ce livre est un partage de ce que l'on peut puiser dans la musique pour éclairer notre vie. Claire-Marie Le Guay, née à Paris le 13 juin 1974, est une pianiste française. Présente sur les scènes internationales, lauréate de nombreux concours internationaux et des Victoires de la Musique, Claire-Marie Le Guay se distingue également par ses enregistrements. Son dernier disque Bach a d'ailleurs été brillamment salué par la presse
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de l'interdiction de travailler le 1er mai.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 01/05/2025, il revient sur les propos de Thomas Porte, député LFI, concernant la police. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Spotify retire peu à peu le Cosy Corner de son catalogue... mais il se trouve que le Cosy Corner n'avait jamais spécialement cherché à en faire partie, alors disons que ça tombe finalement plutôt bien ! Pour continuer à écouter le Cosy Corner, ce lien de flux RSS peut être glissé dans la plupart des applications dédiées au podcast : https://feeds.soundcloud.com/users/soundcloud:users:274829367/sounds.rss Et sinon, le podcast est toujours disponible gratuitement, et sans pub, sur soundcloud, sa plateforme de publication d'origine : https://soundcloud.com/lecosycorner Et sinon sinon, le Cosy Corner est également disponible sur Patreon, sans pub et en avance à partir de 3€ par mois ! https://www.patreon.com/lecosycorner Merci de nous suivre, et à bientôt !
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du rassemblement contre l'islamophobie, suite au meurtre dans une mosquée du Gard et de la récupération politique de La France Insoumise qui à suivie dans la foulée, notamment avec les propos de Ritchy Thibault.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Insultes, diffamation, menaces... Sur les réseaux sociaux, certains mots peuvent coûter cher. Mais quels propos sont réellement punissables par la loi ? Et comment les faire retirer ? Réponses dans ce podcast, avec Me Sylvie Noachovitch. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pismo to aż i zaledwie 96 stron. Czującym niedosyt przynoszę polecenia tekstów kultury, które najlepiej uzupełniają temat przewodniego tekstu numeru – à propos smogu. Posłuchajcie! Zuzanna Kowalczyk Wersja audio felietonu nagrano w Studiu Plac. Czyta Tamara Pawlik-Lipska. ---------------------------------- Słuchaj więcej materiałów audio w stałej, niższej cenie. Wykup miesięczny dostęp online do „Pisma”. Możesz zrezygnować, kiedy chcesz. https://magazynpismo.pl/prenumerata/miesieczny-dostep-online-audio/
Chaque matin, Vincent Hervouët nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce jeudi 24 avril, il revient sur Donald Trump qui s'est attaqué à Volodymyr Zelensky. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Franz-Olivier Giesbert, journaliste, écrivain et auteur répond aux questions de Romain Desarbres au sujet du rapport du pape François à l'Europe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme. Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant, il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ? Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.
Philippe Tabarot, Ministre chargé des Transports répond aux questions de Yoann Usaï au sujet des syndicats qui brandissent la menace d'une semaine noire à la SNCF. La CGT et Sud Rail appellent les contrôleurs à faire grève du 7 au 11 mai.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Traviata, Rigoletto... tout le monde connait les opéras italiens de Verdi. Ce qu'on sait moins, c'est que certaines de ses œuvres furent créées à Paris en... français ! Mais quelle histoire lie la langue française à l'opéra italien ? Don Carlos est un opéra de Verdi basé sur un drame du poète Friedrich Von Schiller et qui raconte les amours contrariées entre Elisabeth de Valois et Don Carlos, le prince héritier. C'est aussi une pièce politique qui pointe le pouvoir tyrannique de Philippe II, mais aussi le pouvoir de l'Église avec le personnage de l'Inquisiteur. Cet opéra a été créé en français à Paris en 1867. Les compositeurs italiens sont tous passés par Paris vers la fin de leur carrière pour profiter de conditions de travail offertes par l'Académie Royale.Triompher à Paris au dix-neuvième siècle était le point d'orgue de la carrière, la consécration suprême à condition de produire des œuvres en français !Damien Colas-GalletÀ l'époque, l'opéra fonctionnait un peu comme la Comédie française : avec une troupe et un cahier des charges très exigeant. On ne pouvait composer en italien qu'au théâtre italien… L'opéra a ensuite été raccourci et renommé Don Carlo dans sa version italienne. Le ballet a été « coupé », le Iᵉʳ acte a également été coupé. En abrégeant l'opéra, il a dû modifier certaines parties comme le duo entre Philippe II et le Marquis de Posa... Le duo était à l'origine composé « à la mode italienne » mais cela ne fonctionnait pas en français. Pour les compositeurs, modifier une œuvre pour la réadapter était donc un défi ! Tant sur le fond que sur la langue… Il faut parfois travailler la prononciation et la stylistique. Passer d'une langue à l'autre en opéra est un travail énorme et passionnant ! La langue influence sur la couleur de la voix et sur l'expression. Tout le défi était qu'ils ne sentent pas entravés dans la manière de chanter les phrases ! Sandra Westphal Au XXe siècle, on a favorisé de nouveau la langue d'origine : langue italienne ou langue allemande. ► Invités : Damien Colas-Gallet, directeur de recherche au CNRS, musicologue et spécialisé sur l'opéra italien. Sandra Westphale, pianiste, cheffe de chant à l'Opéra de Paris. Le chef de chant est un pianiste qui participe à tout le travail artistique qui se prépare avant l'arrivée de l'orchestre, qui joue la participation au piano pour faire travailler les chanteurs. Elle a travaillé sur le Don Carlos de Verdi, mis en scène par Krzysztof Warlikowski et actuellement joué à l'Opera Bastille. Avec également le témoignage de Charles Castronovo, ténor lyrique américain qui joue le rôle de Don Carlos. Propos recueillis par Cécile Lavolot. ► Programmation musicale : L'artiste Anna Madjinson avec le titre Rose épine.
La Traviata, Rigoletto... tout le monde connait les opéras italiens de Verdi. Ce qu'on sait moins, c'est que certaines de ses œuvres furent créées à Paris en... français ! Mais quelle histoire lie la langue française à l'opéra italien ? Don Carlos est un opéra de Verdi basé sur un drame du poète Friedrich Von Schiller et qui raconte les amours contrariées entre Elisabeth de Valois et Don Carlos, le prince héritier. C'est aussi une pièce politique qui pointe le pouvoir tyrannique de Philippe II, mais aussi le pouvoir de l'Église avec le personnage de l'Inquisiteur. Cet opéra a été créé en français à Paris en 1867. Les compositeurs italiens sont tous passés par Paris vers la fin de leur carrière pour profiter de conditions de travail offertes par l'Académie Royale.Triompher à Paris au dix-neuvième siècle était le point d'orgue de la carrière, la consécration suprême à condition de produire des œuvres en français !Damien Colas-GalletÀ l'époque, l'opéra fonctionnait un peu comme la Comédie française : avec une troupe et un cahier des charges très exigeant. On ne pouvait composer en italien qu'au théâtre italien… L'opéra a ensuite été raccourci et renommé Don Carlo dans sa version italienne. Le ballet a été « coupé », le Iᵉʳ acte a également été coupé. En abrégeant l'opéra, il a dû modifier certaines parties comme le duo entre Philippe II et le Marquis de Posa... Le duo était à l'origine composé « à la mode italienne » mais cela ne fonctionnait pas en français. Pour les compositeurs, modifier une œuvre pour la réadapter était donc un défi ! Tant sur le fond que sur la langue… Il faut parfois travailler la prononciation et la stylistique. Passer d'une langue à l'autre en opéra est un travail énorme et passionnant ! La langue influence sur la couleur de la voix et sur l'expression. Tout le défi était qu'ils ne sentent pas entravés dans la manière de chanter les phrases ! Sandra Westphal Au XXe siècle, on a favorisé de nouveau la langue d'origine : langue italienne ou langue allemande. ► Invités : Damien Colas-Gallet, directeur de recherche au CNRS, musicologue et spécialisé sur l'opéra italien. Sandra Westphale, pianiste, cheffe de chant à l'Opéra de Paris. Le chef de chant est un pianiste qui participe à tout le travail artistique qui se prépare avant l'arrivée de l'orchestre, qui joue la participation au piano pour faire travailler les chanteurs. Elle a travaillé sur le Don Carlos de Verdi, mis en scène par Krzysztof Warlikowski et actuellement joué à l'Opera Bastille. Avec également le témoignage de Charles Castronovo, ténor lyrique américain qui joue le rôle de Don Carlos. Propos recueillis par Cécile Lavolot. ► Programmation musicale : L'artiste Anna Madjinson avec le titre Rose épine.
Je suis très heureux de vous présenter un nouvel épisode de TOPO RH, le podcast qui donne la parole aux DRH !Dans cet épisode, découvrez comment gérer les “temps faibles”, ces périodes de baisses de performances, parfois difficiles à gérer du côté des ressources humaines, qui pour des raisons professionnelles ou personnelles concernent l'ensemble des collaborateurs au moins une fois dans leur carrière.
Spéciale consacrée à l'actualité musicale sénégalaise proposée par Aïssata Sow Mercereau. Avec Ashs The best, Jahman X-Press, VJ, Mia Guisse entre autres. (Rediffusion) Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Ashs The Best feat Amadeus - WaxtuJahman X-Press -Jantu MbëgelVJ - Kaay WaayCherifou - Olome deureumeNdakhté Lo - Defal ñun (Xarit)Bass Thioung - Sagnse ba rafet Sidy Diop - Damala NopWally B. Seck - CélibatairePape Diouf feat Yandé - Ô kino koorCoumba Gawlo -Toc toc tocRetrouvez notre playlist sur Deezer.
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Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mark Scout a subi une opération au cerveau pour séparer vie professionnelle et vie personnelle. Lorsqu'un mystérieux collègue apparaît en dehors du travail, il commence à questionner la vraie nature de son travail.Après la conclusion de la deuxième saison de SEVERANCE, Yanick Dahan se penche sur la série phénomène d'Apple TV+. Lancée en février 2022 au sortir de la crise de la COVID-19, la série réalisée par Ben Stiller connut un succès mondial immédiat et, vu les sujets qu'elle aborde, on comprend vite pourquoi : absurdité du monde de l'entreprise, enfermement consenti, contrôle mental, culte du patronnat, etc. Des thèmes qui renvoient autant à notre quotidien qu'aux théories conspirationnistes circulant sur Internet. Pour ce nouvel épisode, Yannick revient en détails sur les deux saisons de SEVERANCE et leur conclusion. On vous conseille donc de l'écouter après avoir tout vu.Les saisons 1 et 2 de SEVERANCE de Dan Erickson sont disponibles en intégralité sur Apple TV+ depuis le 21 mars 2025.- ACCORD PARENTAL SOUHAITABLE - CONTENU EXPLICITE -Proposé et animé par Yannick DahanRéalisation : Alain MercierImage : Cédric FontanaMoyens techniques : Cappuccino productionProduction : Stéphane Moïssakis, Alain Mercier, Yannick Dahan et Reda BoukakiouHabillage : Cédric Fontana - Benjamin DubretJingle CAPTURE MAG : Thomas CappeauMusiques : Ice Cube - Arrest The President / Jacques Brel - La Valse à mille temps / Mel Tormé - The Windmills Of Your MindsRetrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/Pour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMEn MP3 sur Acast : https://bit.ly/3v6ee7sSur SPOTIFY : https://spoti.fi/3PJYnF3Sur DEEZER : https://bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : https://apple.co/2UW3AyO#benstiller #adamscott #lumon Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Spéciale consacrée à l'actualité musicale sénégalaise proposée par Aïssata Sow Mercereau. Avec Ashs The best, Jahman X-Press, VJ, Mia Guisse entre autres. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Ashs The Best feat Amadeus - WaxtuJahman X-Press -Jantu MbëgelVJ - Kaay WaayCherifou - Olome deureumeNdakhté Lo - Defal ñun (Xarit)Bass Thioung - Sagnse ba rafet Sidy Diop - Damala NopWally B. Seck - CélibatairePape Diouf feat Yandé - Ô kino koorCoumba Gawlo -Toc toc tocRetrouvez notre playlist sur Deezer.
La question du nombre d’immigrants est évacuée du débat selon Rémi. Discussion avec Rémi Villemure, chroniqueurPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr