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Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix du lundi au jeudi et de Sabine Marin du vendredi au dimanche. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix du lundi au jeudi et de Sabine Marin du vendredi au dimanche. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Comment se libérer des tyrannies alimentaires? C'est le thème que nous abordons avec Nathalie Dumet, professeur de psychopathologie clinique à l'Université Lyon 2 (Institut de Psychologie – CRPPC), psychologue clinicienne et psychanalyste. Elle est aussi Présidente de la Société Rhône-Alpes de Psychosomatique. Nous explorons avec elle les mécanismes inconscients qui nous poussent à nous alimenter de façon plus ou moins équilibrée. Craquer sur des tablettes de chocolat, avoir subitement la viande rouge en horreur, se relever la nuit pour s’attabler, manger sans faim ou refuser du jour au lendemain de s’alimenter, consommer exclusivement des produits bio, ces conduites et bien d’autres constituent l’ordinaire de la vie alimentaire de nombreux hommes et femmes. Point de mauvaise volonté chez eux, encore moins ignorance des recommandations sanitaires en vigueur. Bien plutôt honte, culpabilité, désarroi, et impuissance à faire autrement. Chacune de ces anomalies de la conduite alimentaire échappe à la raison consciente de son auteur. Elle révèle surtout des parts méconnues de sa vie psychique et affective : désirs refoulés, émotions réprimées, vécus douloureux voire traumatismes incorporés. A travers 12 petites histoires de troubles alimentaires ordinaires, l'ouvrage intitulé "l’Inconscient dans l’assiette" publié chez Dunod, invite chacun et chacune à se mettre à l’écoute de soi pour mieux comprendre sa relation à la nourriture et se libérer *du poids des nombreux diktats alimentaires contemporains.
Selon l'Observatoire de la Vie étudiante, 52% des étudiants déclarent sauter des repas pendant une semaine normale de cours et 13% d'entre eux estiment ne pas manger à leur faim. C'est pourquoi, l'Université Lyon 2 en partenarait avec le Secours Populaire ont ouvert une épicerie solidaire. Agoraé, c'est le nom de l'épicerie solidaire installée sur le campus Porte des Alpes de l'Université Lumière Lyon 2, lancée par Gaelis (Groupement des Associations et Elus étudiants de Lyon Indépendants et Solidaires). Les AGORAé sont des espaces d’échanges et de solidarité qui se composent d’un lieu de vie ouvert à tous et d’une épicerie solidaire accessible sur critères sociaux. Portée et gérée par des étudiants pour des étudiants, les AGORAé sont des lieux ouverts à tous, œuvrant pour l’égalité des chances d’accès et de réussite dans l’enseignement supérieur. Ce projet existe depuis 2011 et compte aujourd'hui plus de 18 AGORAé ouvertes. On compte 3019 étudiants ayant bénéficié de l'aide alimentaire. On en parle avec Valérie Haas, vice-présidente en charge de la formation et de la vie étudiante, et Etienne Fradin, bénévole du Secours Populaire dédié à l'accueil des étudiants. " Presque la moitié de la population étudiante déclare sauter des repas durant une semaine normale de cours. Parmi les étudiants qui sautent des repas, plus des deux tiers citent le manque de temps ou des horaires irréguliers comme l’une des raisons. Ceux qui travaillent sont par conséquent plus souvent concernés : 52 % de ceux qui exercent une activité concurrente* ou très concurrente** des études sautent des repas. Le fait de résider hors du domicile familial pousse également les étudiants à sauter des repas : 44 % seulement des étudiants cohabitants sautent des repas contre 48 % de ceux qui vivent dans un logement indépendant et 54 % en résidence collective. Parmi ceux qui déclarent ne pas toujours manger à leur faim (13 % des étudiants), les raisons citées sont encore le manque de temps (37 %), mais aussi le manque d’argent (32 %) et dans une moindre mesure le fait de faire un régime (21 %). * Activité non liée aux études, exercée au moins à mi-temps et moins de 6 mois par an. ** Activité non liée aux études, exercée au moins à mi-temps et plus de 6 mois par an." p22 du Rapport de l'Observatoire National de la Vie étudiante.
Vincent Debierre interviewe Eliott Savy, étudiant en Master Administration publique, à l'Université Lumière Lyon 2. Musique par CelestiC : https://www.youtube.com/channel/UCFpG47llQKJuZ935fPM7H7Q Mixage par Arnaud Demion.
durée : 00:26:28 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Angéline Escafre-Dublet et Martin Evans, co-commissaires, avec Stéphane Malfettes, de l'exposition " Paris-Londres. Music Migrations, 1962-1989 " évoquent un parcours immersif à expérimenter au Musée national de l'immigration, à Paris. A voir jusqu'au 5 janvier 2020. - invités : Angéline Escafré-Dublet, Martin Evans - Angéline Escafré-Dublet : Commissaire scientifique, historienne de l'immigration et maîtresse de conférences en science politique à l'Université Lyon 2. Martin Evans : Commissaire scientifique, professeur d'histoire moderne européenne à l'Université de Sussex et spécialiste d'histoire coloniale et postcoloniale dans une perspective d'histoire globale et comparée. - réalisé par : Vincent Abouchar
Conférence de Tristan Vigliano, Maître de conférences en littérature française de la Renaissance et Directeur du Département des Lettres à l'Université Lyon 2, membre de l'Institut d'Histoire des Représentations et des Idées dans les Modernités. Lors de la nouvelle journée de formation "Laïcité et valeurs de la République" organisée par Mme Lauer (pilote du dossier Éducation prioritaire - Rectorat de l'Académie de Lyon), le "collège La Tourette" (Lyon) recevait Tristan Vigliano, auteur du livre "L'islam e(s)t ma culture, leçons d'Histoire littéraire pour les jours de tourmente".
Conférence organisée à l'auditorium Huvelin de l'Université Lyon 3, en France, en partenariat avec le Centre Jacques Cartier et faisant partie des Entretiens Jacques Cartier 2012, une série de colloques rassemblant Canadiens et Français autour de grands enjeux de société. Cet événement vise à rassembler des personnes de diverses disciplines et orientations qui s'intéressent aux questions liées à la mort et à la fin de vie au XXIe siècle. Le programme du colloque s'articulera autour de trois enjeux majeurs : celui de mourir dans la dignité, incluant les questions de morale et d'éthique; celui de la nouvelle place de la mort dans nos sociétés, et celui de l'aide apportée aux personnes vieillissantes en perte d'autonomie, aide qui varie fortement d'une société à l'autre.
Mme Maryam Ebrahimi, de la Faculté de droit de Téhéran, est Directrice Juridique de la Bourse de Téhéran. Ce séminaire est organisé dans le cadre d'un projet commun de recherches sur la finance islamique initié par les Universités de Lyon et de Téhéran, respectivement en la personne de Georges Cavalier, Maître de conférences à la Faculté de droit de l’Université Lyon 3, de Jean-Louis Rullière, Professeur d'économie à l'Université Lyon 2, et de Mahmood Bagheri, Professeur à la Faculté de droit de Téhéran.
Entretien avec André Tiran, président de l'Université Lyon 2.
Table ronde dans le cadre de l’exposition "Le corps en mouvement", proposée par l’Université Paris Descartes et la Fondation d’entreprise L’Oréal. Intervenants : Michela Marzano, philosophe et professeure à l’Université Paris Descartes ; Thierry Delcourt, psychanalyste ; Philippe Liotard, enseignant-chercheur à l'Université Lyon 1 ; Georges Vigarello, directeur de recherche à l’EHESS Modérateur : Elisabeth Azoulay, directrice éditoriale du livre 100 000 ans de Beauté, Gallimard, 2009Proportions idéales, visage harmonieux, couleurs éclatantes, teint lumineux, corps paré… On pense d’abord que la beauté s’appréhende avec des qualificatifs. Mais c’est bien trop réducteur. En réalité elle vit et se déploie dans le verbe. Se contenter du qualificatif, condamnerait à n’évoquer que la beauté de l’icône ou celle du canon, à occulter celle du vivant, de l’humain. Toujours mouvante, toujours active, la beauté humaine se projette et interagit, elle capte le regard et le renvoie, elle se construit et se corrompt. Tapie dans tous les verbes dont l’être humain est le sujet, elle passe du geste à peine perceptible au mouvement théâtral, du réflexe à l’acte réfléchi, elle s’inscrit dans la banalité quotidienne autant que dans la prouesse car elle veut sourire, séduire, marcher, danser, exprimer, dire, pleurer, poser, parler, toucher, caresser, bouger, rire, dormir, porter, chanter, courir…