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C dans l'air l'invitée du 8 juillet 2025 : Noémie Schulz, grand reporter au service police-justice de France Télévisions.Le 8 juillet 2023, il y a tout juste deux ans, disparaissait Emile, deux ans, dans un hameau des Alpes-de-Haute-Provence. "Rien ne nous aura été épargné" depuis la disparition tragique d'Emile, ont déploré mardi ses parents, dénonçant le rôle des "médias" et des "réseaux" dans une rare prise de parole."Cela fait deux ans que la disparition d'Emile a déchiré nos vies, que le sol s'est dérobé sous nos pieds et que nous avons été noyés dans l'angoisse", écrivent Marie et Colomban Soleil, dans un communiqué transmis aujourd'hui par leur avocat. "Nous avons vu étalés et décryptés nos visages, notre passé, nos parcours, nos opinions politiques réelles ou fantasmées, notre foi catholique, nos habitudes, nos qualités, nos défauts, ceux de nos chères familles, de nos amis", déplorent-ils. Emile était arrivé la veille de sa disparition pour les vacances chez ses grands-parents maternels, dans leur résidence secondaire du Haut-Vernet, un hameau perché à 1.200 m d'altitude dans les Alpes-de-Haute-Provence. Pendant neuf mois, et malgré plusieurs jours de battues et ratissages, l'enquête sur sa disparition ne donne rien de concret, jusqu'à la découverte fortuite, le 30 mars 2024 par une promeneuse, du crâne et de dents de l'enfant, à environ 1,7 km du hameau. Lors de sa dernière conférence de presse le 27 mars dernier, le procureur avait révélé qu'Emile avait été victime d'un "traumatisme facial violent", évoquant "la probable intervention d'un tiers". Il avait également précisé que la piste familiale n'était "pas refermée".Noémie Schulz, grand reporter au service police-justice de France Télévisions, fera avec nous le point sur l'enquête sur la mort d'Emile, et reviendra sur le déroulé des investigations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Guillaume Lariche reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:02 - Journal de 8 h - Un appel téléphonique sans grands résultats. Donald Trump reconnaît n'avoir fait aucun progrès pour mettre fin à la guerre en Ukraine, lors de sa conversation hier soir avec Vladimir Poutine.
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Imaginez une balle posée contre un mur vertical. À l'arrêt, elle tombe. Classique. Mais maintenant, imaginez qu'elle commence à grimper toute seule, lentement mais sûrement, sans moteur, sans aimant, sans trucage. Ça semble impossible ? Et pourtant, c'est ce qu'ont réussi des chercheurs de l'Université de Waterloo, au Canada. Leur expérience repose sur un principe de physique méconnu mais fascinant : l'asymétrie des frottements dans un système vibré.Le dispositifLe mur n'est pas totalement passif : il est vibré verticalement à haute fréquence. En d'autres termes, il oscille de haut en bas, des dizaines de fois par seconde. C'est ce mouvement qui alimente le système en énergie.La balle, quant à elle, est souple, élastique et adhérente. Elle est légèrement comprimée contre le mur, ce qui crée un contact ferme. Ce point est crucial : le comportement de la balle dépend de sa forme et de sa capacité à se déformer au contact.Le cœur du phénomène : briser la symétrie temporelleQuand un objet est soumis à des vibrations périodiques, on pourrait penser que le mouvement est symétrique : autant d'énergie vers le haut que vers le bas, donc aucun déplacement net. Mais ici, les chercheurs exploitent une rupture de symétrie temporelle induite par la nature du contact entre la balle et le mur.Lors des phases descendantes des vibrations, la balle a tendance à rester collée au mur (par adhérence et inertie). Mais quand le mur remonte rapidement, la balle, plus lente à réagir, est légèrement décollée, comprimée puis relâchée, ce qui provoque un mini bond vers le haut. Ce déséquilibre dans la dynamique des contacts produit une force moyenne dirigée vers le haut.Un moteur sans moteurCe type de mouvement est un cas particulier de ce qu'on appelle un moteur brownien ratchet, ou "cliquet brownien". C'est un système dans lequel une source d'énergie non dirigée (ici : les vibrations) peut être transformée en mouvement dirigé, grâce à une asymétrie structurale ou matérielle.La combinaison :d'une base vibrante,d'une balle souple avec un comportement non linéaire,et d'un frottement directionnel variable selon les phases du cycle,…permet à la balle de grimper sans aucune commande externe.Une prouesse fondamentaleCette expérience n'est pas juste une curiosité : elle ouvre des pistes en robotique douce, en nanotechnologie, ou pour le transport passif de matériaux dans des environnements où l'énergie est diffusée de façon globale et non ciblée. Ce genre de système pourrait inspirer des machines capables de se déplacer ou de grimper sans moteur, alimentées uniquement par des vibrations ambiantes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au soir de la motion de censure, Ruth Elkrief en avait marre des critiques adressées à François Bayrou. En revanche, elle a lancé un coup de gueule, entre autres, aux députés socialistes et ceux du bloc central, en leur demandant de se comporter comme des adultes, de discuter et de se mettre d'accord entre eux pour produire des textes de consensus. Pour elle, c'est l'occasion unique de montrer de la responsabilité au lieu de ronchonner. La vague de chaleur exceptionnelle qui touche la France actuellement fait réapparaître le débat entre l'adaptation et la lutte contre le changement climatique, et notamment sur un sujet brûlant qu'est la climatisation. François Lenglet explique pourquoi les Écologistes radicaux continuent à la vouer aux gémonies. Il estime alors qu'il est temps maintenant de regarder les choses en face. Lors d'une cérémonie officielle, Kim Jong-Un a été filmé en train de s'agenouiller, de retenir ses larmes devant les cercueils des soldats nord-coréens tués en Ukraine. Abnousse Shalmani estime que l'émotion intense du président de la Corée du Nord vise non seulement à montrer le grand chef affecté par la perte humaine, à renforcer la bonne vieille solidarité nationale, mais aussi à justifier l'engagement militaire du pays aux côtés de la Russie. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si les plantes détenaient des réponses que nous avons oubliées ?Lors de mon voyage à La Réunion j'ai eu la chance de rencontrer Julien Darga Biret, alias @zilien.aroma. Amoureux de la nature, il est naturopathe, aromathérapeute et praticien en herboristerie depuis plus de 20 ans.De son enfance réunionnaise au contact des traditions malgaches et hindoues, à ses voyages en Colombie ou au Maroc, Julien raconte comment les plantes ont façonné sa vision de la santé, du sacré, et de notre lien à la Terre.Il aborde avec sincérité :son parcours d'ethnobotaniste et sa vision de la santé naturelle,les plantes adaptogènes et médicinales, leur usage quotidien et leurs limites,les plantes dites "sacrées" comme l'ayahuasca, le cacao ou certains champignons psychotropes et pourquoi il invite à la prudence et à l'ancrage culturel,son regard critique sur le tourisme spirituel et la mode du “sacré importé”,et surtout, ses conseils concrets pour réintégrer le végétal dans nos vies, créer un lien simple, respectueux et durable avec les plantes.Un épisode qui ouvre notre regard sur notre lien au vivant et sur nos modes de consommation.RéférencesPouvoirs et sagesse des plantes - Julien Darga BiretLes livres du Dr Jean ValnetLes livres d'Anny SchneiderL'intelligence des arbres - DocumentaireThe Biggest Little Farm (Netflix)Toi aussi tu veux lancer ton podcast ?Prendre rdv : https://calendly.com/lilirbreit/30min?month=2024-08Nous suivre : https://www.instagram.com/materrehappy.eu/Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez vous que les abeilles dansent ? Non pas en rythme sur de la musique comme nous, mais pour se parler… La danse des abeilles a été documentée pour la première fois en par l'éthologue autrichien Karl Von Frisch dans son livre Vie et mœurs des abeilles en 1955. Ce sont les éclaireuses qui dansent pour les autres abeilles. Lors de cette danse elles tournent en rond ou en forme de huit en se frétillant. Elles communiquent la distance et la direction des points d'eau, de nectar, mais aussi la quantité de nectar. Elle peuvent aussi signaler un danger. Comment les insectes utilisent-ils les phéromones pour communiquer ? Et les sons ? Et la lumière ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez culture ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Où sont les insectes en hiver ? Pourquoi ne mange-t-on pas d'animaux carnivores ? Les animaux peuvent-ils vraiment prédire les catastrophes naturelles ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez culture". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 28/05/2025 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aurore a coupé les liens avec sa famille en raison de violences psychologiques et physiques subies dans son enfance. Lors du mariage de son oncle, elle a été confrontée à ses peurs et aux tensions familiales persistantes. Elle travaille actuellement sur sa culpabilité et cherche à se libérer de l'influence négative de sa famille. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Isabelle est tourmentée par la culpabilité de ne pas avoir été présente lors du décès de sa mère, survenu à une heure du matin. Elle se remémore les moments passés avec sa mère et s'interroge sur l'importance d'être physiquement présent au moment du décès. Durant le mois de juillet, en direct, Cécilia Commo accueille les auditeurs pour 2h d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un accident à l'étranger, un bagage perdu ou un vol manqué et vous pensez être couvert grâce à votre carte bancaire. Pourtant, au moment de faire jouer les garanties, c'est parfois le parcours du combattant. Quels sont vos droits ? Comment faire valoir vos recours en cas de litige ? Réponses dans ce podcast, avec Maître Emma Leoty.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Paludisme, dengue, zika... Les moustiques sont les vecteurs de maladies parfois mortelles pour les humains. Le petit insecte piquant est responsable d'environ 800 000 décès par an. D'où l'idée récurrente d'éradiquer tous les moustiques de la planète. Mais est-ce vraiment une bonne idée ? [REDIFFUSION] Vous avez très certainement déjà tué un moustique, sans doute guidé par votre instinct de survie, puisque le moustique – la femelle moustique – est l'animal le plus dangereux pour les humains : il provoque environ 800 000 morts par an. Alors peut-être qu'en écrasant entre vos mains l'un de ces insectes piquants vous êtes-vous demandé : et si on tuait tous les moustiques pour sauver des vies humaines ? « C'est plutôt un fantasme d'éradiquer les moustiques de la surface de la Terre », répond Frédéric Simard, directeur de recherche à l'IRD, l'Institut de recherche pour le développement, basé à Montpellier dans le sud de la France. « On n'est absolument pas capable de cela. Les moustiques sont présents sur la planète depuis bien avant nous et ils y seront probablement encore après nous. » Les premiers moustiques sont apparus sur Terre il y a environ 250 millions d'années, quand notre plus lointain ancêtre, Homo habilis, a fait ses premiers pas il y a moins de 3 millions d'années. Le moustique est écologique En finir avec les moustiques serait surtout une mauvaise idée en raison des nombreux services écologiques que rendent les moustiques là où ils se trouvent, c'est-à-dire partout sur la planète, sauf en Antarctique et dans un petit pays insulaire, l'Islande. « Ils sont tout petits, mais ils sont très nombreux, rappelle Frédéric Simard. Ils sont une source de nourriture importante pour tous les insectivores, terrestres et aquatiques. Ils peuvent aussi, à l'âge adulte, contribuer à la pollinisation. Il faut savoir que les moustiques, mâles comme femelles, se nourrissent de sucre – ils vont butiner les fleurs. » Les moustiques ont également un rôle souvent méconnu : ils filtrent l'eau. « Les larves qui se développent dans l'eau vont être un maillon initial de la dégradation des feuilles mortes qui tombent dans les flaques d'eau par exemple. Elles vont les réduire en bouille pour transformer l'azote organique en azote minéral et le rendre disponible pour les plantes. » On connait 3 500 espèces de moustiques sur la planète, et seulement cinq ou six transmettent, malgré elles, des virus, comme la dengue, ou des parasites, comme le paludisme. Ces moustiques dangereux gagnent du terrain en raison de la mondialisation et du réchauffement climatique – en témoigne la très rapide colonisation de la France par le moustique-tigre, une espèce exotique envahissante. Soigner le mal par le mâle La chimie et l'utilisation d'insecticides ayant montré leurs limites (au fil de générations, les moustiques développent une résistance) et leurs effets négatifs sur les autres espèces animales (en frappant les insectes indifféremment), on a imaginé d'autres moyens de démoustication dans certaines zones habitées. L'IRD développe ainsi une technique pour provoquer la ponte d'œuf non fécondé. « On va stériliser les mâles en les exposant à une dose de radiation aux rayons X, comme si on leur faisait passer une radio », décrit Frédéric Simard. « Ça va détruire les spermatozoïdes, et ensuite on va lâcher ces mâles dans l'environnement pour qu'ils s'accouplent avec les femelles. » Lors d'une expérimentation sur l'île de La Réunion, l'IRD a ainsi fait baisser de moitié la fertilité des moustiques. « La technique commence à marcher, mais nécessite du développement, de l'ingénierie. Il va falloir construire des usines de production de moustiques à grande échelle pour être capable de traiter des grandes surfaces », plaide Frédéric Simard. Ou comment soigner le mal par le mâle.
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 27/06/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Iannis Roder, professeur agrégé d'histoire dans un collège de Seine-Saint-Denis, Nesrine Slaoui, écrivaine et journaliste, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne, ainsi que la dessinatrice de presse Coco.2027 : Dominique, Gérald, Raphaël et les autres…Le nombre de candidats en lice pour l'élection présidentielle de 2027 ne cesse de grimper. Ce lundi 23 juin, Dominique de Villepin annonçait la création de son parti, La France humaniste. Le même jour, l'eurodéputé socialiste Raphaël Glucksmann présentait sa "vision pour la France" et posait ses jalons pour la course présidentielle. Mercredi, c'était au tour de Gérald Darmanin, qui n'a jamais caché ses ambitions présidentielles, d'annoncer une série de propositions censées "susciter le débat" au cours de l'été. Pourquoi y a-t-il tant de candidats alors que le premier tour de la présidentielle n'est que dans deux ans ? Donald Trump : dirigeant belliqueux ou futur Nobel de la paix ?Lors de sa campagne, Donald Trump jurait de mettre un terme aux "guerres éternelles de l'Amérique". Le président américain avait annoncé terminer la guerre en Ukraine "en 24 heures", mais il semble finalement n'avoir que peu d'influence sur ce conflit. S'il a bien réussi à instaurer un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran en s'impliquant lui-même dans le conflit en frappant l'Iran. Donald Trump est-il un homme de guerre ou un homme de paix ? Nous recevons Alexandre Mare, commissaire de l'exposition consacrée à David Lynch à la galerie Duchamp d'Yvetot. Pour cette exposition, la facette cinématographique de David Lynch est mise de côté pour laisser toute la place aux lithographies surréalistes du réalisateur. Une cinquantaine d'œuvres, choisies par Alexandre Mare et David Lynch avant sa mort, y sont exposées jusqu'au 21 septembre. "La langue française n'est pas la propriété singulière de la France", a dit Jean-Luc Mélenchon le 18 juin lors d'un colloque sur la francophonie. Il n'en fallait pas plus pour provoquer l'ire du Garde des Sceaux Gérald Darmanin qui lui a rétorqué que "la langue française appartient aux Français". C'est le duel de la semaine de Marion L'Hour. Dans une énième outrance postée sur son réseau social Truth Social, Donald Trump s'est employé à menacer l'Iran. Le tube "Barbara Ann" des Beach Boys s'est transformé en "Bombing Iran", chanson parodique jalonnée d'appels à "transformer l'Iran en parking" ou à "mettre dans une boîte" Ali Khamenei. C'est le Point com de Natacha Triou. Mardi 24 juin, Zohran Mamdani a créé la surprise en s'imposant à la primaire démocrate pour le poste de maire de New York. Cet homme de 33 ans, arrivé aux États-Unis à l'âge de 7 ans depuis Le Cap, était encore inconnu des New-yorkais il y a quelques mois. Mais, la communication audacieuse de ce partisan de l'aile gauche des démocrates a payé. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les nouvelles tractations entre Trump et Zelensky ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 juin 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
En Centrafrique, trois jours de deuil national ont été décrétés après la mort mercredi d'au moins 29 lycéens dans une bousculade provoquée par l'explosion d'un transformateur électrique pendant les épreuves du baccalauréat.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Au Kenya, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de plusieurs villes, un an jour pour jour après le premier anniversaire des manifestations anti-gouvernementales.
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une guerre des airs à laquelle nous assistons depuis une semaine, et qui s'installe. Des dizaines de civils sont tués en Iran, tout comme en Israël. Les responsables européens tentent de ramener Téhéran à la table des négociations. Pendant ce temps, d'autres en profitent pour poursuivre leur mission. La Russie maintient une pression militaire très forte sur l'Ukraine. Les dirigeants du G7 ne sont pas parvenus à prendre des mesures fortes vis à vis de Moscou.
REDIFF - Gastro-entérologue spécialisée en maladies du foie, Pauline est confrontée à de nombreuses pathologies qui touchent le système digestif et ses organes concomitants. Tabac, alcool, alimentation... Lors de ses consultations, la praticienne a pour habitude de questionner ses patients sur leur quotidien. Cela permet parfois de comprendre et d'expliquer certains diagnostics. Pourtant, il arrive que certaines questions passent à la trappe. C'est ce qui s'est passé, au tout début de la carrière de Pauline. Ce jour-là, la jeune médecin recevait un patient souffrant de vomissements répétés, et inexpliqués... Pour découvrir le compte Instagram de Pauline : @pauline.hepato Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération du frère du roi des Mossis et la guerre Israël-Iran. Sénégal : sept ans de prison pour un passeur de migrants Responsable de la mort d'une trentaine de personnes, le convoyeur de la pirogue qui avait chaviré en septembre 2024 au large de Mbour avec à son bord plus d'une centaine de migrants a été condamné à sept ans de prison ferme. Pourquoi la justice sénégalaise a-t-elle prononcé une peine plus lourde que celle requise par le procureur ? Lors du procès, les familles des victimes ont retiré leur plainte. Pourquoi le juge n'en a pas tenu compte ? Avec Gwendal Lavina, correspondant de RFI à Dakar. Burkina Faso : le frère du roi des Mossis relâché après un mois de détention Arrêté sans motif officiel le à Ouagadougou, Abdul Aziz Congo, demi-frère du roi traditionnel des Mossis, a été libéré après 37 jours de détention. Que sait-on des raisons de son arrestation ? Quels sont les liens entre la famille royale et le pouvoir en place ? Avec Frédéric Garat, journaliste au service Afrique de RFI. Guerre Israël-Iran : que reste-t-il des infrastructures nucléaires iraniennes ? Après sept jours de frappes israéliennes et la mort de scientifiques iraniens de haut niveau, quel est l'impact sur les infrastructures nucléaires et plus largement sur le programme nucléaire iranien ? Guerre Israël-Iran : vers un engagement des Etats-Unis ? Donald Trump entretient le doute sur une intervention militaire des Etats-Unis dans le conflit : « Je vais peut-être le faire, peut-être pas », a-t-il déclaré devant la presse. Comment expliquer ces tergiversations ? Une intervention militaire américaine est-elle envisageable ? Guerre Israël-Iran : Ali Khamenei met en garde Donald Trump En réponse aux menaces de Donald Trump, l'ayatollah Ali Khamenei a menacé les États-Unis de « dommages irréparables » en cas d'intervention militaire dans le conflit. Que signifie cette déclaration ? l'Iran en a-t-il les moyens ? Avec Firouzeh Nahavandi, professeure émérite à l'université libre de Bruxelles, autrice de « Femmes iraniennes, évolution ou révolution, comment survivre sous un régime islamique » (éditions La Pensée et les Hommes).
Le lien entre sexualité et sommeil fascine autant qu'il interroge. Beaucoup de personnes rapportent mieux dormir après un rapport sexuel, mais que dit réellement la science ? Est-ce un simple ressenti ou un véritable phénomène physiologique ?De plus en plus d'études tendent à confirmer que l'activité sexuelle, et en particulier l'orgasme, peut favoriser un meilleur sommeil, parfois de façon comparable, voire supérieure, à certains somnifères légers.Lors d'un rapport sexuel, plusieurs mécanismes physiologiques se mettent en place. Pendant l'orgasme, le cerveau libère un cocktail de neurohormones : ocytocine (hormone de l'attachement et de la détente), prolactine (associée à la sensation de satiété sexuelle et à la somnolence), ainsi qu'une diminution du taux de cortisol, l'hormone du stress. Cette combinaison favorise naturellement un état de relaxation propice à l'endormissement.Une étude australienne de 2019, menée par le Dr Michele Lastella de l'Université de Central Queensland, a exploré ce phénomène. L'équipe a interrogé 460 adultes : 64 % des participants déclaraient qu'après un rapport sexuel avec orgasme, leur qualité de sommeil s'améliorait nettement. L'effet était encore plus marqué chez les couples ayant une vie sexuelle régulière.Plus récemment, une étude publiée en 2022 dans Frontiers in Public Health a montré, à partir de mesures objectives (actimétrie et questionnaires), que les participants ayant eu une activité sexuelle avec orgasme s'endormaient en moyenne 15 à 20 minutes plus rapidement, et bénéficiaient d'un sommeil plus profond, comparé aux nuits sans activité sexuelle.Faut-il en conclure que l'orgasme est plus thérapeutique que les médicaments ? Il convient de nuancer. Si l'effet apaisant de l'activité sexuelle est réel, il ne remplace pas un traitement médical adapté en cas d'insomnie chronique sévère. Toutefois, pour les troubles du sommeil légers ou modérés liés au stress ou à l'anxiété, il peut représenter une approche naturelle, sans effets secondaires.Autre point intéressant : cet effet bénéfique s'observe aussi bien après des rapports sexuels en couple qu'après la masturbation, selon une étude de 2016 par Brody et Krüger, publiée dans Sleep and Biological Rhythms. Cela confirme que c'est bien le relâchement neuro-hormonal lié à l'orgasme qui agit.En résumé, l'activité sexuelle — avec orgasme — constitue un véritable levier naturel pour favoriser un sommeil de qualité. Sans se substituer aux traitements médicaux en cas de pathologies, elle offre une stratégie complémentaire, agréable et accessible, pour favoriser l'endormissement et améliorer la récupération nocturne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est l'un des dossiers les plus stratégiques du moment. Lors du salon VivaTech, Emmanuel Macron a lancé un signal fort : la souveraineté numérique européenne passera par la maîtrise des semi-conducteurs avancés. Fini les puces « matures », ces composants gravés à 28 nanomètres ou plus. L'heure est désormais à la haute précision : des puces de moins de 5 nm, indispensables à l'intelligence artificielle, aux voitures autonomes ou à la 5G. Problème : seuls deux géants mondiaux dominent ce marché hypertechnologique — TSMC à Taïwan et Samsung en Corée du Sud.Les États-Unis l'ont bien compris. Ils ont sorti le chéquier pour attirer ces mastodontes sur leur sol : TSMC construit une usine en Arizona, Samsung une autre au Texas. La France entend suivre le modèle, avec un cocktail d'aides publiques issues du plan France 2030, de crédits d'impôt, et un argument de poids : une énergie nucléaire bas carbone pour alimenter les futures « salles blanches ». Face à la lenteur du projet TSMC en Allemagne, Paris voit une fenêtre d'opportunité. Mais attention : attirer une méga-usine gravant à 2 nm, c'est engager des investissements colossaux – plus de 20 milliards d'euros – et mobiliser des milliers d'ingénieurs spécialisés. Une ressource rare. Le gouvernement mise sur la reconversion des salariés de STMicroelectronics, qui prévoit pourtant de supprimer 1 000 postes d'ici 2027. Une contradiction qui fragilise la filière à un moment clé.Et le temps presse. Construire une usine EUV de pointe prend 5 à 7 ans, alors que la technologie progresse vite : le 2 nm pourrait bientôt céder la place au 1,8. Pourtant, sans cette ambition industrielle, la France risque de rester à la traîne, simple cliente dans une guerre mondiale des composants. Un manifeste signé par 300 acteurs du secteur appelle à l'action. Leur message est limpide : 265 milliards d'euros de dépendance technologique chaque année, ça suffit. Il est temps d'investir chez nous pour retrouver une part de ce marché dont l'Europe ne détient aujourd'hui que 10 %, contre 60 % pour l'Asie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bénédicte est préoccupée par l'état de santé de sa mère, hospitalisée un mois pour des douleurs au dos et des problèmes de mobilité. Elle s'inquiète également de la rupture brutale avec le compagnon de sa mère, qui a refusé de la reprendre chez lui après son hospitalisation. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vince, père adoptif, partage son expérience d'adoption de deux enfants de la République Démocratique du Congo, soulignant les défis et les joies de ce parcours. Il évoque les obstacles rencontrés, notamment les tensions géopolitiques qui ont retardé l'adoption, et exprime sa gratitude pour la résilience de ses enfants. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du lundi 16 juin 2025 : Un blessé grave lors d'un match de foot amateur ; avec Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
Au quatrième jour de la guerre entre Israël et l'Iran, un hôpital de Kermanshah dans l'ouest du pays, a été touché ce matin, (16 juin 2025) et a subi d'importants dégâts. On déplore 224 morts en Iran et 24 en Israël. Benyamin Netanyahu poursuit l'opération lancée vendredi, avec l'approbation américaine. Au micro d'Anne Cantener, Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à l'Université Paris Sorbonne et ancien chercheur au Collège de défense de l'Otan décrypte cette actualité. «Depuis 80 ans, le soutien à Israël est l'un des piliers de la politique étrangère des États-Unis. Aujourd'hui, Washington n'a pas d'autre choix que d'accompagner Israël», explique Guillaume Lasconjarias. Pour autant, les États-Unis souhaitent «éviter un embrasement généralisé» et ne veulent pas que leurs bases dans la région soient impliquées. Leur soutien est donc «très limité pour l'instant» afin de «ne pas être entraîné de manière rampante» dans une guerre qu'ils n'ont pas choisie, d'autant que contrairement à Israël, les États-Unis ne souhaitent pas la chute du régime des mollahs. Dans ce contexte, l'option diplomatique est-elle encore une piste crédible ? Les discussions sur le nucléaire engagées entre Téhéran et Washington restent une solution possible mais «pas tout de suite», juge Guillaume Lasconjarias. En attendant, ce conflit vient souligner les fractures idéologiques qui existent déjà parmi les partisans de Donald Trump alors que celui-ci avait promis de ne pas engager les États-Unis dans un nouveau conflit à l'étranger. Reportage de notre correspondant Edward Maille. La Colombie ne vend plus de charbon à Israël Alors que les bombardements sont toujours quotidiens à Gaza et si les Américains affichent toujours un appui total, d'autres pays du continent choisissent de tourner le dos à Israël, comme la Colombie qui n'a plus de relation diplomatique avec l'État hébreu depuis plus d'un an. Bogota parle de génocide pour qualifier la situation. En août 2024, le gouvernement colombien a annoncé la suspension de ses exportations de charbon à Israël, dont il était le premier fournisseur. Bilan de ces décisions signé de notre correspondante, Marie-Eve Detoeuf. Qu'attendre du G7 ? Alors que le G7 s'ouvre ce lundi, (16 juin 2025) au Canada, Donald Trump a promis des avancées dans de nombreux domaines, notamment en ce qui concerne les tensions au Proche-Orient et la guerre commerciale, nous apprend le New York Times. Il ne devrait toutefois pas y avoir de communiqué conjoint à l'issue du sommet. Jamais le «fossé» entre le président américain et ses alliés n'a été aussi grand, insiste le quotidien. Comme le fait remarquer une chercheuse de l'Atlantic Council's Europe Center, plus que le regroupement des plus grandes économies du monde, «le G7 représente une communauté de valeurs communes. Or ces valeurs, Donald Trump ne les partage pas ou plus». Dans ces conditions, les États-Unis ne seront plus l'artisan du consensus comme avant. C'en est fini des partenariats mondiaux. Donald Trump préfère les relations bilatérales. À ce petit jeu, Keir Starmer aimerait être celui qui murmure à l'oreille de Donald Trump, celui qui fait le lien entre le président américain et les autres dirigeants du G7, écrit Politico. Le Premier ministre britannique estime être en bonne position, notamment sur l'Ukraine, depuis que le Royaume-Uni a décidé d'augmenter ses dépenses de défense. Et puis les deux hommes ont une «relation personnelle très, très forte». Lors de leur rencontre dans le Bureau ovale, début mars, «Keir Starmer a touché délicatement le bras de Donald Trump quatre fois au cours des 100 secondes qu'a duré leur apparition devant la presse», relève le site d'informations. Keir Starmer n'est pas le seul à espérer influencer Donald Trump «Emmanuel Macron se voit comme le responsable politique européen le plus capé», tandis que Giorgia Meloni «se considère comme proche idéologiquement» de Donald Trump et met en avant ses liens étroits avec l'écosystème MAGA, écrit Politico. «Les médias du monde entier seront attentifs à tout indice (...) sur le degré de respect accordé à chaque dirigeant – et sur la capacité de l'un d'entre eux à transformer cela en progrès» sur les dossiers chauds du moment, analyse le journal en ligne. Bref, il va falloir scruter à qui Donald Trump serre la main et comment. Le journal de la 1ère Après sept mois passés dans l'Hexagone, le président de la Collectivité Territoriale est revenu ce dimanche (15 juin 2025) en Guyane !
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT RÉPARTIR L'EFFORT DU DÉSENDETTEMENT ?Visant un déficit à 4,6 % du PIB l'année prochaine, au lieu de 5,4 % cette année, le gouvernement entend serrer la vis budgétaire, avec un effort de 40 milliards d'euros en 2026. La répartition de cet effort devrait être précisée à la mi-juillet. Dans ce contexte budgétaire alarmant, et quatre mois après avoir été votée par une large majorité de députés, la proposition de loi des Ecologistes visant à instaurer un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des ultra-riches, dite « taxe Zucman » a été rejetée jeudi par le Sénat par 188 voix contre 129 voix.Aux côtés de deux économistes français reconnus internationalement - Olivier Blanchard, ancien chef économiste du Fonds monétaire international et Jean Pisani-Ferry, architecte du programme économique d'Emmanuel Macron en 2017 -, Gabriel Zucman a défendu mercredi dans Le Monde ce mécanisme pour rétablir le « principe constitutionnel d'égalité devant l'impôt ». « Nous partageons le constat que les plus riches ne contribuent pas aujourd'hui à hauteur de ce qui est demandé aux autres catégories sociales, et que le mécanisme voté à l'Assemblée est le plus efficace pour remédier à cette situation. » L'Institut des politiques publiques, fondé sur de nouvelles données administratives, a établi que les plus grandes fortunes payent dans l'ensemble très peu d'impôts sur le revenu, car elles peuvent le contourner – légalement – grâce à diverses techniques d'optimisation, comme l'utilisation de sociétés holdings. En conséquence, alors que l'ensemble des Français acquittent environ 50 % de leurs revenus en impôts et cotisations sociales, tous prélèvements compris, ce chiffre tombe à 27 % pour les milliardaires, soit presque deux fois moins. Le dispositif voté à l'Assemblée ne concerne que les fortunes d'au moins 100 millions d'euros, soit environ 1.800 foyers fiscaux. Il rapporterait entre 15 et 25 milliards d'euros.Le gouvernement est opposé à la taxe Zucman. « Une telle contribution serait à la fois confiscatoire et inefficace », a tranché la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, en février. « Confiscatoire », parce qu'elle est trop élevée : sans mécanisme de plafonnement, la proposition pourrait être censurée par le Conseil constitutionnel, met aussi en garde la commission des finances du Sénat. « Inefficace », dans la mesure où elle pousserait, de façon « catastrophique », les contribuables visés à fuir la France. Pour relativiser l'argument, Gabriel Zucman s'appuie sur des études qui tendent à démontrer que, lorsqu'un impôt sur la fortune est créé, le nombre de départs à l'étranger pour y échapper est marginal.Cette taxe pourrait revenir au budget 2026 à l'automne. Gabriel Zucmanrappelle que l'impôt sur le revenu, voté en 1909 par la Chambre des députés a attendu 1914 pour que le Sénat, déjà dominé par la droite conservatrice, finisse par l'adopter.TRUMP CONTRE LA CALIFORNIE Après des heurts à Los Angeles sur fond d'expulsions d'immigrés en situation irrégulière le président américain a envoyé le 7 juin la garde nationale dans la ville, contre l'avis des autorités locales. Désormais, 4.800 membres de la garde nationale de Californie et marines se trouvent déployés autour des bâtiments fédéraux, pour apporter leur soutien à la police locale et aux agents de l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Officiellement, il s'agit de protéger bâtiments et agents fédéraux. En s'en prenant au « Golden State », Le choix de cibler la Californie n'a rien d'anodin. « Le déploiement sans fondement de la garde nationale par l'administration Trump est manifestement une mesure de rétorsion contre la Californie, bastion des communautés immigrées, et s'apparente à une déclaration de guerre à l'égard de tous les Californiens », a dénoncé l'ACLU, influente organisation de défense des libertés civiles.Depuis son retour à la Maison Blanche, soutenu par un Congrès à majorité conservatrice, la confrontation s'est envenimée. Véhicules électriques, protection des transgenres, gestion de l'eau : aucun domaine n'échappe à la croisade. Plus que jamais ciblée, la Californie riposte dans l'arène judiciaire. Lors du premier mandat de Trump, l'État avait intenté plus de 120 recours contre son administration, en majorité remportés, se dressant notamment contre le décret anti-immigration Muslim Ban, le démantèlement des protections des jeunes sans papiers et la sortie de l'accord de Paris sur le climat. Depuis janvier, le rythme s'est accéléré. Seule ou alliée à d'autres États, la Californie a déjà déposé plus d'une vingtaine de recours : contre la remise en cause du droit du sol, contre l'accès du Doge (le département de l'Efficacité gouvernementale) au système de paiement du Trésor, contre les coupes dans la recherche médicale ou contre l'augmentation des droits de douane. Sur le plan économique, l'escalade commerciale avec la Chine menace lourdement l'État de la côte ouest, dont les ports jouent un rôle majeur dans les importations venues d'Asie.Sur le sujet central de l'immigration, la « résistance » californienne passe aussi par la loi. Fin 2017, malgré les menaces répétées de l'administration Trump, les élus de l'État avaient adopté une loi limitant strictement la coopération entre polices locales et agents fédéraux chargés des expulsions. Surnommée « loi sur les valeurs californiennes », cette législation a fait de l'Étatle premier « sanctuaire » du pays pour les immigrés sans papiers. Validée en 2019 par la justice, elle reste une épine dans le pied de l'administration Trump, qui accuse la Californie d'entraver sa politique migratoire.Jeudi, le sénateur Padilla, successeur de Kamala Harris, a été arrêté et menotté pour avoir interrompu la conférence de presse de Kristi Noem, Secrétaire à la sécurité intérieure et vigoureuse promotrice des lois anti-immigrés. Samedi, de grandes manifestations ont été organisées pour s'opposer la politique du président républicain, tandis que la présidente démocrate de la chambre des représentants du Minnesota était assassinée.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de l'Édimbourg du début du XIXe siècle, l'université de médecine connaît un essor fulgurant. Les étudiants affluent pour suivre les cours des plus grands anatomistes. Mais il y a un problème : la loi écossaise autorise seulement l'utilisation des cadavres de condamnés à mort pour les dissections. Bien trop peu pour répondre à la demande grandissante des écoles de médecine. C'est dans ce contexte que s'installe un marché noir macabre : le trafic de cadavres.C'est là qu'entrent en scène William Burke et William Hare. Les deux hommes se rencontrent en 1827 à Édimbourg. Hare tient une modeste pension de famille. Un jour, un de ses pensionnaires meurt brutalement, laissant une dette impayée. Plutôt que d'alerter les autorités, Burke et Hare décident de vendre le corps à un certain docteur Robert Knox, éminent professeur d'anatomie. Knox leur offre une belle somme pour ce cadavre tout frais. L'idée fait son chemin : pourquoi attendre les morts naturelles quand on peut... provoquer la mort ?Le duo sombre alors dans une spirale criminelle. Leur méthode est simple et redoutablement efficace : attirer des victimes isolées, souvent des mendiants ou des prostituées, dans la pension, les enivrer, puis les étouffer — une technique baptisée plus tard le "Burking", qui ne laisse pas de traces visibles. Ensuite, les corps sont vendus à Knox, qui ferme volontairement les yeux sur l'origine douteuse de ses précieuses fournitures.En moins d'un an, Burke et Hare assassinent au moins 16 personnes. Mais leur série macabre finit par éveiller les soupçons. En novembre 1828, le corps d'une de leurs victimes, Margaret Docherty, est découvert dissimulé dans la pension. La police intervient.Lors du procès retentissant, Hare passe un accord : il témoigne contre son complice en échange de l'immunité. Burke, lui, est condamné à mort. Il est pendu en janvier 1829 devant une foule immense. Ironie du sort : son propre corps est ensuite... disséqué publiquement par les médecins d'Édimbourg.Quant au docteur Knox, bien qu'il ne soit jamais poursuivi, sa réputation est irrémédiablement ternie. L'affaire provoque un tollé en Écosse et en Grande-Bretagne. En 1832, une nouvelle loi sur l'anatomie est votée : désormais, les hôpitaux peuvent utiliser les corps non réclamés des pauvres, mettant fin au sinistre commerce des "résurrectionnistes".Ainsi se clôt l'histoire glaçante de Burke et Hare — deux hommes ordinaires devenus serial killers par appât du gain, dans une ville fascinée... par la science du corps humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est une rediffusion de Petit Poisson deviendra Podcast. Avec Combats et Nomen, PPDP est l'un des 4 petits frères de Baleine sous Gravillon. Nous diffusons cette série Céphalopodes du petit frangin chez le grand à l'occasion de la journée mondiale de l'océan, le 8 juin de chaque année._______La Seiche flamboyante est vraiment une Seiche hors norme de par ses couleurs, sa manière de se déplacer et sa petite taille. Mais ne la touchez pas... elle est hautement toxique !Le secret des magnifiques couleurs de la Seiche flamboyante ? Les chromatophores ! Des petites cellules colorées, disséminées dans sa peau. Metasepia pfefferi a cette capacité incroyable de changer d'apparence, qu'elle utilise pour se camoufler et dans ses interactions sociales.À dire vrai, la Seiche flamboyante porte la plupart du temps une teinte couleur sable lui permettant de se fondre dans son environnement. Lors de la parade nuptiale, le mâle arbore du jaune, du rose, du violet... Il veut en mettre plein la vue à la femelle.Comme souvent dans le règne animal, “couleur vive” veut dire “attention danger!”. En effet, alors que de nombreuses Seiches possèdent une morsure venimeuse, elle est la seule à avoir une chair contenant une toxine puissante rivalisant avec celle du Poulpe à anneaux bleus.La Seiche flamboyante est l'une des plus petites espèces de Seiche avec une moyenne de 7 cm pour les mâles (les femelles sont plus grosses), à comparer au mètre de la Seiche géante d'Australie.Son os, ou sépion, est trop petit pour assurer sa flottabilité. Elle va donc privilégier la "marche" pour se déplacer lentement sur le plancher océanique.Vous rêvez de l'observer ? Metasepia pfefferi vit dans les eaux tropicales situées entre les Philippines et le Nord de l'Australie.______ Invitée : Jeanne Benichou_______
Le marché dévoilé par les experts — retour sur la 4ᵉ édition de MunicitéLe marché de l'emploi à Munich : aussi prometteur qu'exigeant. Comment y trouver sa place quand on est francophone, en reconversion ou fraîchement arrivé ?Lors de cette 4ᵉ rencontre, trois expert·es ont partagé leurs éclairages :
Dans le cadre de l'événement organisé par KEEP IT REAL Paris le 06.06.2025 au Bar TDTF, l'équipe SOFRESH s'est entretenu pour un Talk avec le graffeur DISEK, il revient sur son parcours à travers une sélection de photos marquantes.DISEK a commencé à taguer à la fin des années 90, puis se met à réaliser des pièces au début des années 2000.Lors d'un séjour au Brésil en 2014, il peint pour la première fois à l'étranger.Un objectif se dessine, celui de voyager et de peindre, afin d'aller à la rencontre des populations locales.La sortie de son livre "J'irai graffer chez vous / Le tour du monde en 80 murs " (éditions alternatives) était l'occasion de revenir, avec lui et en public, sur son parcours.
C dans l'air du 12 juin 2025 - De New York à L.A... la colère anti-Trump s'étendChicago, Atlanta, New York… les émeutes qui ont commencé vendredi à Los Angeles pour s'opposer aux raids de la police de l'immigration (ICE) contre les immigrés clandestins, s'étendent au reste des Etats-Unis. Dans l'état de Washington où plusieurs manifestations ont éclaté, la ville de Spoklane a instauré un couvre-feu de mercredi à jeudi, suivant la mesure décrétée par la maire de Los Angeles Karen Bass, mardi. Avec le gouverneur de la Californie Gavin Newsom, ils sont les deux têtes de gondole du mouvement d'opposition à Donald Trump. Le président américain, qui a envoyé dans un premier temps la garde républicaine, puis 700 marines pour réprimer les émeutes, contre l'avis du gouverneur californien, les accuse désormais d'avoir payé des fauteurs de trouble et insurgés et de "faciliter l'occupation de la ville par des envahisseurs criminels". De son côté la maire a dénoncé l'escalade entretenue par la Maison Blanche : "Quand vous faites des descentes sur des lieux de travail, quand vous séparez parents et enfants et quand vous faites circuler des caravanes blindées dans nos rues, vous provoquez la peur et la panique".Face à un Donald Trump qui n'entend pas changer de cap, un homme s'est porté candidat pour mener la révolte. À 57 ans, le gouverneur de la Californie Gavin Newsom a prononcé mardi un vibrant discours contre la politique de Donald Trump qui détruit, selon lui, la démocratie et l'état de droit : "Ce que nous voyons n'a pas trait à l'application de la loi – il s'agit d'autoritarisme, a-t-il déclaré. La Californie est peut-être la première. Mais ce ne sera pas la dernière. D'autres États suivront. La démocratie est la prochaine cible." Si le nom de Gavin Newsom circule désormais comme une candidature crédible pour la présidentielle 2028, les Américains le connaissaient déjà. Cet ancien homme d'affaires avait notamment débattu à la télévision avec le gouverneur républicain Ron DeSantis lors de la primaire républicaine, en 2023. Lors des gigantesques incendies qui avaient ravagé la Californie début 2025, Donald Trump avait lancé les hostilités en le qualifiant d'"incompétent". Leurs relations se sont ensuite envenimées. En avril, lors de l'annonce des droits de douane américains, la Californie est devenue le premier État américain à contester la décision en justice. Considéré comme modéré dans son camp, Newsom pourrait bien devenir le prochain leader du camp démocrate.Pendant que les immigrés découvrent la violence de la politique de Donald Trump, d'autres minorités voient leurs droits rétrécir à vue d'œil, à l'image des personnes transgenres. "À partir d'aujourd'hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera de dire qu'il n'y a que deux sexes, masculin et féminin", avait prévenu le président républicain lors de son investiture. Quelques semaines plus tard, ce détracteur du "wokisme" signait un décret excluant les femmes transgenres des catégories sportives féminines et un autre coupant les financements publics aux hôpitaux qui proposent des traitements de transition de genre aux moins de 19 ans. Près d'une trentaine d'États interdisent aujourd'hui ce type de soins. Dans un rapport publié début juin, l'ONG Human Rights watch s'est dite inquiète que ces lois "causent [aux personnes LTBT+] de graves préjudices, ainsi qu'à leurs familles". Depuis plusieurs jours, des marches des fiertés s'exercent un peu partout dans un climat tendu, certaines entreprises ont même retiré leurs sponsors.Les émeutes de Los Angeles peuvent-elles aboutir à un mouvement national ? Qui est Gavin Newsom, la nouvelle bête noire de Donald Trump ? Et comment la communauté LGBT+ se retrouve ciblée par l'administration américaine ?LES EXPERTS :- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis et éditorialiste à Ouest-France- Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis et autrice de Les juges contre l'Amérique- Mathieu GALLARD - Directeur d'études chez Ipsos, auteur de Les États-Unis au bord de la guerre civile ?- Olivier PITON (en duplex) - Avocat aux barreaux de Paris et de Washington DC, auteur de Kamala Harris, la pionnière de l'AmériquePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Et si traiter la dépression ne nécessitait plus systématiquement des antidépresseurs ou des électrochocs, mais simplement... des ultrasons ? C'est ce que suggère une avancée prometteuse réalisée par une équipe française, réunissant psychiatres du GHU Paris, chercheurs de l'Inserm, du CNRS, de l'ESPCI Paris-PSL et de l'Université Paris Cité. Ces spécialistes ont franchi une étape clé en démontrant l'efficacité des ultrasons ciblés pour moduler l'activité cérébrale chez des patients atteints de dépression résistante.Concrètement, il s'agit d'utiliser des ultrasons focalisés de faible intensité pour stimuler une zone précise du cerveau : le cortex cingulaire antérieur, une région profondément enfouie et impliquée dans la régulation des émotions, de l'humeur et de la douleur. Cette zone est souvent hyperactive chez les personnes souffrant de dépression sévère. Le défi était donc de la "réajuster", sans recourir à des techniques invasives comme la stimulation cérébrale profonde.C'est là que les ultrasons entrent en jeu. En concentrant des ondes acoustiques très précises dans cette région, les chercheurs sont parvenus à modifier temporairement son activité, en la rendant moins active chez les patients concernés. Le tout, sans douleur, sans anesthésie, et sans ouverture du crâne.Lors de la première phase expérimentale menée sur des volontaires sains, les scientifiques ont observé une modification de l'activité cérébrale à l'IRM fonctionnelle, confirmant que les ultrasons atteignaient bien leur cible. Ensuite, chez des patients souffrant de dépression résistante, les premiers résultats cliniques ont été encourageants : certains ont rapporté une amélioration de leur humeur et une diminution de leurs symptômes dès les premières séances, sans effets secondaires majeurs.Cette approche s'inscrit dans une nouvelle génération de thérapies dites de « neuromodulation non invasive », qui cherchent à agir directement sur les circuits neuronaux défaillants, sans médicament ni chirurgie. Elle présente aussi un autre avantage : la grande précision spatiale des ultrasons, qui permet de cibler des structures profondes du cerveau, ce que d'autres méthodes comme la stimulation magnétique transcrânienne (TMS) ne permettent pas aussi facilement.Cependant, cette découverte reste encore au stade de la recherche clinique. Des essais à plus grande échelle sont nécessaires pour confirmer son efficacité à long terme, évaluer la durabilité des effets, affiner les protocoles, et identifier les profils de patients qui pourraient le mieux en bénéficier.Mais une chose est sûre : cette technologie ouvre la voie à une révolution thérapeutique potentielle. Une alternative douce, ciblée et prometteuse pour les millions de personnes qui ne répondent pas aux traitements classiques contre la dépression. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
Lors d'un festival en plein air, Raphaëlle et 13 autres personnes sont frappées par la foudre dans un événement rare de fulguration collective. Bien que les examens médicaux initiaux ne révèlent rien d'anormal, Raphaëlle développe rapidement des symptômes mystérieux, perdant ses capacités de parole, d'écriture et de calcul. Face à ces séquelles inexpliquées, elle s'engage alors dans un long et difficile processus de rééducation pour retrouver ses facultés perdues. Documentaire - "Fulgurés, quand la foudre ne tue pas", réalisé par Émilie Grall Mickaël Royer et diffusé sur Canal+. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la deuxième fois de son histoire, Apple change le design des interfaces de ses produits. Lors de la WWDC 2025, la marque à la pomme a dévoilé un tout nouveau design baptisé Liquid Glass, qui s'imposera dès l'automne prochain sur tous les appareils de l'écosystème : iPhone, iPad, Mac, Apple Watch et même Vision Pro. Une refonte esthétique majeure qui marque la fin d'une époque.Bye-bye le flat design, que l'on connaît depuis 2013. Hello Liquid design ! A la rentrée prochaine, les appareils Apple auront un nouveau style quand on les allumera, avec des icones minimalistes semblant être posées sur une plaque de verre. Plus élégant, plus sobre, plus pratique ? Le design a toujours été important chez Apple. Liquid design uniformisera aussi encore plus tous les appareils de la marque. Autre nouveauté notable : Apple abandonne la numérotation confuse de ses systèmes d'exploitation. Place à des versions millésimées (ex. iOS 26, macOS 26 Tahoe) pour plus de lisibilité.Mais derrière ce vernis translucide, Apple peine à cacher un certain essoufflement. Peu d'annonces véritablement marquantes, si ce n'est quelques nouvelles fonctionnalités liées à Apple Intelligence, comme le tri intelligent des appels téléphonique, la traduction en temps réel dans les apps de communication ou encore l'intégration d'un framework IA pour les développeurs, etc.Enfin, quelques fonctionnalités pratiques ont été présentées, notamment :Un nouveau multitâche plus souple sur iPadUne recherche Spotlight améliorée sur MacDes options de jeu vidéo enrichies sur toutes les plateformesDes outils collaboratifs dans l'app Messages-----------
La dernière grande étape. Ils volent de Cairns à la Tasmanie, et louent une voiture sur place. La surprise : il neige. Ils se réveillent un matin avec 0 °C dans le van. Une expérience marquante, surtout après la chaleur du Centre Rouge.Ils en profitent pour visiter deux lieux forts :une visite guidée nocturne, avec lampes torches, pour observer les wombats, possums et wallabies en liberté ;un refuge de diables de Tasmanie, espèce en voie de disparition, où les enfants apprennent beaucoup.-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
Quelles sont les actions les plus "clutch" de l'histoire des Finales NBA ?
La protection des mers, c'est l'enjeu de la troisième Conférence de l'ONU sur l'Océan, qui s'ouvre lundi 9 juin à Nice, dans le sud de la France. L'un des sujets majeurs de ce sommet, c'est la pollution des mers par les plastiques. Comme dit Foga Agbetossou, les microplastiques n'ont pas besoin de visas pour arriver sur les côtes africaines. Foga Agbetossou est le responsable pour le Togo de l'ONG SOA, pour Sustainable Ocean Alliance, Alliance pour un océan durable, en français. En ligne de Lomé, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Foga Agbetossou, vu d'Afrique, qu'est-ce que vous attendez de cette troisième Conférence des Nations unies sur l'océan ? Foga Agbetossou : Il faut dire que l'Afrique s'attend à beaucoup de choses, surtout en matière de conservation. Donc, nous attendons à ce que les jeunes Africains puissent avoir plus de poids en matière de discussion sur les questions liées aux océans.Est-ce qu'avec le réchauffement climatique, vous craignez une élévation du niveau de la mer sur les côtes africaines ?Bien sûr, cette élévation du niveau de la mer sur les côtes africaines n'est pas à craindre puisque c'est quelque chose qui se passe déjà. Les côtes les plus vulnérables sur le continent africain sont les côtes qui sont principalement constituées de plages sableuses. Puisque, vous le savez, les plages sableuses ne sont pas très résistantes face à l'avancée de la mer, face au phénomène d'érosion côtière. Donc, dès que les vagues déferlent sur les côtes, ces plages sableuses ne résistent pas aux vagues qui les érodent.Et du côté des mangroves ?Et les mangroves aussi. Comme les mangroves sont partie intégrante des systèmes côtiers, elles sont également menacées et, du coup, elles perdent leurs potentiels de résistance face aux inondations et aux phénomènes d'érosion côtière.Et qu'en est-il pour les îles au large du continent africain, notamment du côté de l'océan Indien ? Oui, ces îles sont également très menacées face au réchauffement climatique, puisque ces îles sont des zones de prédilection de ce que nous appelons les récifs coralliens. Et ces récifs coralliens, figurez-vous, ce sont des organismes qui créent des écosystèmes où d'autres poissons viennent se reproduire et où il y a beaucoup en termes de biodiversité marine. Donc, avec le réchauffement climatique, avec ses corollaires d'élévation du niveau de la mer, d'élévation du taux de CO2 dans la mer, ces récifs coralliens perdent en fait leur efficacité, perdent certaines de leurs activités biologiques et expulsent des organismes qui sont responsables de leur croissance. Donc, une fois qu'ils expulsent ces organismes-là, ils subissent ce qu'on appelle le blanchissement et ils perdent leurs fonctions biologiques. Et du coup, cela constitue un très grand problème, surtout pour ces îles comme Zanzibar, les Seychelles, les Comores et autres, qui sont dans l'océan Indien. Et figurez-vous que même une partie de leur économie en matière de pêche repose sur ces écosystèmes de récifs coralliens.Alors, toujours au chapitre du réchauffement climatique, l'un des sujets de cette conférence de Nice, ce sont les émissions de CO2 provoquées par le transport maritime. Ce secteur est à l'origine de 3 % des émissions mondiales de CO2, soit presque autant que l'avion et presque autant que l'ensemble du continent africain. Qu'attendez-vous d'une telle conférence au sujet du trafic maritime, justement ?Oui. Quand vous parlez des 3 %, on peut peut-être penser que c'est un chiffre infime. Mais les 3 % représentent en fait 1056 millions de tonnes de CO2 qui sont émis par le domaine maritime, les bateaux et tout le reste.Est ce qu'il faut que les bateaux arrêtent d'utiliser du fioul ? Et à ce moment-là, par quoi faut-il le remplacer ? Bien entendu, il faudrait qu'on se tourne vers les nouvelles technologies et remplacer ces carburants par d'autres carburants alternatifs comme l'hydrogène. Les recherches sont en cours et, à Lomé même récemment, il y a un institut, un centre Wascal.org qui est un centre de recherche sur les questions climatiques, qui, avec d'autres partenaires, a mis sur pied un institut de recherche sur l'hydrogène dont des avancées se font déjà sur le continent, principalement au Togo. Mais je crois qu'il faut qu'on se tourne beaucoup plus vers ces carburants alternatifs. Comme je le disais, il y a l'hydrogène. Il y a également des biocarburants marins. Des recherches sont en cours pour voir si on pourrait utiliser les algues et les déchets marins pour fabriquer du carburant pour ces bateaux. Il y a également un domaine qui est en pleine recherche actuellement, qui est l'électrification des ports. Il faut doter les ports des équipements d'énergies renouvelables pour réduire l'empreinte carbone.Donc il faudrait, sur le port de Lomé, des bornesélectriques où les bateaux viendraient recharger leurs batteries ?Exactement.Mais est ce que ce n'est pas quelque chose qui va prendre des années et des années ? Bien sûr que ça prendra des années. Mais tout rêve commence par un pas. Donc si nous ne faisons pas ce pas aujourd'hui, on risque de répéter les mêmes choses après 40 ou 50 ans.Lors de cette conférence, la France va proposer que les armateurs et les transporteurs maritimes payent une taxe carbone pour financer la transition énergétique. Mais beaucoup de pays sont contre. Qu'est-ce que vous en pensez ?Oui, la pollution plastique est bel et bien une réalité en Afrique puisque l'Afrique, pour information, produit plus de 17 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Mais moins de 10 % de ces plastiques sont recyclés sur le continent et le reste finit, comme vous le savez, dans les rivières, les fleuves et dans les deux océans, l'océan Atlantique et l'océan Indien.L'un des fléaux des mers aujourd'hui, c'est le plastique. Alors vu d'Afrique, est-ce que la pollution plastique est une réalité ou pas ?Oui, la pollution plastique est bel et bien une réalité en Afrique puisque l'Afrique, pour information, a produit plus de 17 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Mais moins de 10 % de ces plastiques sont recyclés sur le continent et le reste finit, comme vous le savez, dans les rivières, les fleuves et dans les deux océans, l'océan Atlantique et l'océan Indien.Et le problème, c'est que ces plastiques ne sont pas biodégradables. C'est ça ? Oui, la majeure partie de ces plastiques ne sont pas biodégradable. Une fois qu'ils entrent dans l'environnement marin, ils prennent des décennies, quelquefois même des centaines d'années, à se désintégrer par suite des processus physiques qui se déroulent dans la mer. Et donc, année après année, les plastiques augmentent en pleine mer. Et cela constitue un danger notoire pour les organismes qui vivent dans la mer. Et lorsque ces plastiques arrivent à se désintégrer aussi, ils se désintègrent et deviennent des microplastiques qui sont quelquefois confondus par certaines espèces marines avec des aliments. Ces espèces les ingurgitent. Et tout cela finit sur nos tables lorsque nous consommons de ces espèces.Donc il y a des poissons qu'il ne faut plus manger, c'est ça ? Je ne dirai pas qu'il ne faut plus manger, mais on ne sait pas quel poisson a ingurgité ces microplastiques et lequel n'en a pas pris. Donc, nous nous attendons à ce que des avancées notoires soient faites sur la question de la pollution plastique, puisque c'est une question qui touche non seulement l'Afrique, mais aussi les autres continents. Et le problème également, c'est que les plastiques qui sont rejetés sur d'autres continents n'ont pas besoin de visas avant de venir sur nos côtes. Et donc je crois qu'il faut vraiment développer une solution qui serait globale pour la question du plastique. Et je crois qu'une prochaine session se tiendra à Genève, en Suisse, et je crois qu'ils vont développer un traité mondial sur le plastique, un traité mondial que les États vont ratifier pour que tous ensemble, nous puissions trouver une solution globale pour ce problème global.Oui, mais vous savez bien que cet accord international que tout le monde appelle de ses vœux, les pays producteurs de pétrole n'en veulent pas puisque le plastique est fait à partir du pétrole.Oui, oui. Mais ce n'est pas parce que certains États ont refusé de ratifier le traité que nous allons nous empêcher de faire ce qui est bien. Il faut quand même aller dans la bonne direction et, un de ces jours, nous sommes positifs. Nous croyons que ces États vont céder.Et de ce point de vue, qu'est-ce que fait votre ONG, SOA, Sustainable Ocean Alliance, l'Alliance pour un Océan Durable, contre ce fléau des plastiques ?À SOA Togo, nous nous sommes rendu compte qu'en fait, en Afrique et spécialement au Togo, beaucoup de personnes ne sont pas informées sur les questions relatives aux océans. Et c'est d'ailleurs ce qui a motivé la création de cette organisation au Togo. Et ce que nous faisons, c'est que d'abord nous essayons de rapprocher l'océan des populations. Nous essayons de parler aux populations, nous faisons des tournées dans des écoles pour parler aux jeunes apprenants, pour familiariser les gens sur les questions relatives aux océans. Et pendant ces campagnes de sensibilisation, l'un des sujets principaux que nous débattons, c'est la question du plastique et nous montrons justement aux apprenants les bonnes pratiques à faire pour pouvoir réduire la pollution plastique, sinon l'éviter carrément.Donc votre message, c'est que la mer, ce n'est pas une poubelle.Oui, bien entendu, la mer n'est pas une poubelle, tout comme nos maisons respectives ne sont pas des poubelles. La mer, les fleuves, les rivières, ce sont des écosystèmes, des habitats d'autres organismes. Donc, il faut que nous travaillions à ne pas en faire des poubelles.La préoccupation majeure des professionnels de la mer en Afrique, c'est la surpêche, notamment la pêche industrielle. Que peut faire cette conférence de l'ONU à Nice, en France, pour réguler cette pêche sur les côtes africaines ?Oui, je pense à la convention d'Abidjan et je crois qu'il y a certains éléments qui manquent à la Convention et sur lesquels la Conférence peut également travailler pour régler la question de la surpêche sur le continent. En fait, ce qui se passe sur le terrain, c'est qu'il y a des bateaux, des industriels provenant d'autres pays qui viennent effectuer ces surpêches au large du continent africain et qui violent certains règlements qui sont en cours. Donc, je crois que la Conférence peut travailler à maximiser les efforts pour renforcer les mesures protectives contre cette surpêche.Et vous trouvez que la Convention d'Abidjan n'est pas assez contraignante ? Il y a certains des éléments qu'on pourrait ajouter à cette Convention, tels que la question de la pêche artisanale. Cette question n'a pas été bien traitée dans cette Convention, puisque lorsque ces bateaux industriels font cette surpêche, ils entrent en fait en compétition avec la pêche artisanale et ils menacent la sécurité alimentaire dans nos pays.Un accord a été rédigé qui vise à contrecarrer et éliminer la pêche illégale : 64 % des États côtiers du monde ont signé cet accord, ce qui veut dire qu'il reste 36 % des pays qui ne l'ont pas signé. Ce qui signifie qu'il y a de la résistance, non ? Bien sûr, cette résistance provient principalement de ces pays qui trouvent un intérêt dans la surpêche. Quand je pense à la Chine, vous savez que même la Chine intervient au large de plusieurs pays africains. Au Ghana même, la question est très cruciale. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler du Saiko Fishing. Donc, ce sont des Chinois qui viennent au large des côtes ghanéennes et qui font leurs activités de façon illicite et qui font même des transbordements. Ils vendent des espèces juvéniles. Ils vont jusqu'aux espèces juvéniles, les vendent aux pêcheurs traditionnels qui reviennent les vendre sur le continent. Donc je crois que, au point où nous sommes arrivés, l'océan constitue beaucoup de potentialités que nous pourrons exploiter pour notre développement. Mais pendant que nous exploitons les ressources de l'océan, il faut penser à les exploiter de façon durable, parce que l'océan entretient la vie sur la terre. L'océan produit près de la moitié de l'oxygène que nous respirons et l'océan a encore beaucoup d'éléments à nous offrir. Et si nous nous précipitons à détruire ces ressources, nous risquons de ne pas avoir accès aux autres ressources que l'océan réserve pour nous. Donc, j'exhorte la population mondiale, j'exhorte les États à prendre des décisions qui iront à l'avantage de l'océan.À lire aussiTogo: la ville d'Aného lutte pour faire face à l'érosion et garder ses plagesÀ lire aussiAvant la conférence onusienne sur l'Océan, des scientifiques publient 10 recommandations pour le préserver
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Nous sommes en 1670. Année faste pour le peintre liégeois Bertholet Flémal qui se voit reçu à l'Académie royale de peinture et de sculpture, à Paris. Lors de la séance au cours de laquelle il est désigné, Charles Le Brun, premier peintre du roi Louis XIV, directeur de la prestigieuse institution souligne que l'Académie connaît les mérites de Monsieur Bertholet et qu'il sera reçu « sans s'arrêter aux formalités ordinaires. » Fait exceptionnel, l'artiste liégeois ne doit pas présenter de morceau de réception et est donc intégré à l'académie sur la base de sa seule réputation, une dispense lui a été accordée en tant qu'artiste de talent ayant déjà bénéficié de la faveur royale. Alors qui est Bertholet Flémal qui a porté haut les couleurs de la Principauté de Liège ? En quoi est-il l'un des plus grands, et peut-être le plus fameux, représentants de ce que l'on appelle l'Ecole liégeoise de peinture ? Comment décrire cette école ? De quelle côté regarde-t-elle, à une époque où Anvers reste un phare : Rome, Florence ou bien encore Paris ? Quel rôle diplomatique la Principauté fait-elle jouer aux artistes ? Que reste-t-il d'une œuvre non signée, non datée ? Partons sur les traces de Bertholet Flémal ? Avec nous : Pierre-Yves Kairis, chef de travaux principal honoraire de l'Institut royal du Patrimoine artistique, président de l'Institut archéologique liégeois. le Trésor de la cathédrale de Liège a mis sur pied l'exposition intitulée « Bertholet Flémal (1614-1675). Sujets traités : Bertholet Flémal , Liège, peinture, sculpture, Charles Le Brun, Louis XIV, couleurs, Principauté, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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