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C'est une guerre des airs à laquelle nous assistons depuis une semaine, et qui s'installe. Des dizaines de civils sont tués en Iran, tout comme en Israël. Les responsables européens tentent de ramener Téhéran à la table des négociations. Pendant ce temps, d'autres en profitent pour poursuivre leur mission. La Russie maintient une pression militaire très forte sur l'Ukraine. Les dirigeants du G7 ne sont pas parvenus à prendre des mesures fortes vis à vis de Moscou.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération du frère du roi des Mossis et la guerre Israël-Iran. Sénégal : sept ans de prison pour un passeur de migrants Responsable de la mort d'une trentaine de personnes, le convoyeur de la pirogue qui avait chaviré en septembre 2024 au large de Mbour avec à son bord plus d'une centaine de migrants a été condamné à sept ans de prison ferme. Pourquoi la justice sénégalaise a-t-elle prononcé une peine plus lourde que celle requise par le procureur ? Lors du procès, les familles des victimes ont retiré leur plainte. Pourquoi le juge n'en a pas tenu compte ? Avec Gwendal Lavina, correspondant de RFI à Dakar. Burkina Faso : le frère du roi des Mossis relâché après un mois de détention Arrêté sans motif officiel le à Ouagadougou, Abdul Aziz Congo, demi-frère du roi traditionnel des Mossis, a été libéré après 37 jours de détention. Que sait-on des raisons de son arrestation ? Quels sont les liens entre la famille royale et le pouvoir en place ? Avec Frédéric Garat, journaliste au service Afrique de RFI. Guerre Israël-Iran : que reste-t-il des infrastructures nucléaires iraniennes ? Après sept jours de frappes israéliennes et la mort de scientifiques iraniens de haut niveau, quel est l'impact sur les infrastructures nucléaires et plus largement sur le programme nucléaire iranien ? Guerre Israël-Iran : vers un engagement des Etats-Unis ? Donald Trump entretient le doute sur une intervention militaire des Etats-Unis dans le conflit : « Je vais peut-être le faire, peut-être pas », a-t-il déclaré devant la presse. Comment expliquer ces tergiversations ? Une intervention militaire américaine est-elle envisageable ? Guerre Israël-Iran : Ali Khamenei met en garde Donald Trump En réponse aux menaces de Donald Trump, l'ayatollah Ali Khamenei a menacé les États-Unis de « dommages irréparables » en cas d'intervention militaire dans le conflit. Que signifie cette déclaration ? l'Iran en a-t-il les moyens ? Avec Firouzeh Nahavandi, professeure émérite à l'université libre de Bruxelles, autrice de « Femmes iraniennes, évolution ou révolution, comment survivre sous un régime islamique » (éditions La Pensée et les Hommes).
Qu'est-il passé par la tête de Lando Norris ? Lors du GP du Canada ce week-end, le Britannique a placé une attaque suicidaire et désespérée sur Piastri, le poussant à abandonner et laissant son coéquipier avec désormais 22 points d'avance au championnat. Est-ce l'erreur de trop pour Norris ? Que doit faire McLaren ? Zak Brown doit-il désormais privilégier Piastri ? Manu, Brice et Hamza tirent les 4 enseignements de la 10ᵉ manche du championnat 2025.• Enseignement #1 : Norris, stop à la culture de l'excuse• Enseignement #2 : Mercedes, beaux jours sans lendemain • Enseignement #3 : Peuvent-ils faire craquer Max Versappen • Enseignement #4 : Ocon, à l'audace, façon Haas !
Qu'est-ce que Legora ?Legora est une plateforme d'intelligence artificielle juridique collaborative conçue pour accélérer la recherche, affiner l'analyse, automatiser la rédaction et appuyer les avocats dans leur capacité de conseil.Le mot-clé ici, c'est collaborative. Contrairement aux outils qui balancent de l'IA à la va-vite pour faire joli sur une plaquette, Legora s'intègre profondément dans les workflows des cabinets.Une levée de fonds qui en dit long80 millions d'euros levés. Ce n'est pas anodin. C'est un signal très clair : les investisseurs savent que le marché du droit est en train de basculer. Et ils parient sur une solution qui a décidé de ne pas faire dans la demi-mesure.Ce n'est pas une "legaltech de plus". C'est une machine de guerre. Structurée. Lucide. Et surtout : alignée sur ce que veulent les avocats (même s'ils ne le savent pas encore).Une vision pragmatique (et pas du tout naïve)Lors de notre échange, Jonathan Williams – qui pilote Legora en France – m'a exposé une vision du métier qui tranche avec le discours ambiant. Pas de promesses marketing fumeuses. Juste une réalité brute : les avocats qui refusent d'évoluer vont se faire dépasser. Vite.“L'objectif n'est pas de remplacer les avocats. L'objectif, c'est d'armer les meilleurs pour qu'ils deviennent inarrêtables.”Ce qui différencie Legora des autres outils d'IA juridiqueBeaucoup d'outils se contentent de plaquer un modèle d'IA sur une interface. Legora fait l'inverse : ils partent des besoins réels des avocats, puis intègrent l'intelligence artificielle pour résoudre des problèmes concrets. Résultat : une efficacité opérationnelle rarement vue.Les avantages concrets de Legora :Recherche ultra-rapide sur la jurisprudence et les textesAnalyse augmentée de documents complexesRédaction intelligente et personnalisableIntégration fluide dans les outils déjà utilisés par les cabinetsUn outil au service de la croissance des cabinetsAdopter Legora, ce n'est pas un effet de mode. C'est un choix stratégique. Pour les cabinets qui veulent :Gagner du temps (beaucoup)Travailler mieux (et plus intelligemment)Scaler sans exploser les équipesUn épisode du Cheat Code à ne pas manquerDans le prochain épisode du podcast Cheat Code, Jonathan Williams partage sans filtre sa vision de l'avenir du droit à l'ère de l'IA. C'est direct, sans langue de bois, et franchement inspirant.Si vous êtes avocat, entrepreneur du droit ou juste fatigué de perdre du temps sur des tâches à faible valeur ajoutée, cet épisode est pour vous.
Lors du Salon aéronautique du Bourget à Paris, François Legault a annoncé que la défense remplace désormais la filière batterie dans son top 3 des priorités. Airbus a d'ailleurs vendu 40 avions A220 qui seront construits à Mirabel. Ce contrat est d'une valeur de près 4 milliards de dollars. C'est un transporteur polonais qui a acheté les avions d'Airbus. Autre sujet abordé Deux marques américaines emblématiques qui ont perdu des plumes ces dernières années tentent de remonter la pente: GAP et Starbucks. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Au menu de la troisième heure des GG du lundi 16 juin 2025 : Un blessé grave lors d'un match de foot amateur ; avec Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeur d'aïkido, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie.
Au quatrième jour de la guerre entre Israël et l'Iran, un hôpital de Kermanshah dans l'ouest du pays, a été touché ce matin, (16 juin 2025) et a subi d'importants dégâts. On déplore 224 morts en Iran et 24 en Israël. Benyamin Netanyahu poursuit l'opération lancée vendredi, avec l'approbation américaine. Au micro d'Anne Cantener, Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à l'Université Paris Sorbonne et ancien chercheur au Collège de défense de l'Otan décrypte cette actualité. «Depuis 80 ans, le soutien à Israël est l'un des piliers de la politique étrangère des États-Unis. Aujourd'hui, Washington n'a pas d'autre choix que d'accompagner Israël», explique Guillaume Lasconjarias. Pour autant, les États-Unis souhaitent «éviter un embrasement généralisé» et ne veulent pas que leurs bases dans la région soient impliquées. Leur soutien est donc «très limité pour l'instant» afin de «ne pas être entraîné de manière rampante» dans une guerre qu'ils n'ont pas choisie, d'autant que contrairement à Israël, les États-Unis ne souhaitent pas la chute du régime des mollahs. Dans ce contexte, l'option diplomatique est-elle encore une piste crédible ? Les discussions sur le nucléaire engagées entre Téhéran et Washington restent une solution possible mais «pas tout de suite», juge Guillaume Lasconjarias. En attendant, ce conflit vient souligner les fractures idéologiques qui existent déjà parmi les partisans de Donald Trump alors que celui-ci avait promis de ne pas engager les États-Unis dans un nouveau conflit à l'étranger. Reportage de notre correspondant Edward Maille. La Colombie ne vend plus de charbon à Israël Alors que les bombardements sont toujours quotidiens à Gaza et si les Américains affichent toujours un appui total, d'autres pays du continent choisissent de tourner le dos à Israël, comme la Colombie qui n'a plus de relation diplomatique avec l'État hébreu depuis plus d'un an. Bogota parle de génocide pour qualifier la situation. En août 2024, le gouvernement colombien a annoncé la suspension de ses exportations de charbon à Israël, dont il était le premier fournisseur. Bilan de ces décisions signé de notre correspondante, Marie-Eve Detoeuf. Qu'attendre du G7 ? Alors que le G7 s'ouvre ce lundi, (16 juin 2025) au Canada, Donald Trump a promis des avancées dans de nombreux domaines, notamment en ce qui concerne les tensions au Proche-Orient et la guerre commerciale, nous apprend le New York Times. Il ne devrait toutefois pas y avoir de communiqué conjoint à l'issue du sommet. Jamais le «fossé» entre le président américain et ses alliés n'a été aussi grand, insiste le quotidien. Comme le fait remarquer une chercheuse de l'Atlantic Council's Europe Center, plus que le regroupement des plus grandes économies du monde, «le G7 représente une communauté de valeurs communes. Or ces valeurs, Donald Trump ne les partage pas ou plus». Dans ces conditions, les États-Unis ne seront plus l'artisan du consensus comme avant. C'en est fini des partenariats mondiaux. Donald Trump préfère les relations bilatérales. À ce petit jeu, Keir Starmer aimerait être celui qui murmure à l'oreille de Donald Trump, celui qui fait le lien entre le président américain et les autres dirigeants du G7, écrit Politico. Le Premier ministre britannique estime être en bonne position, notamment sur l'Ukraine, depuis que le Royaume-Uni a décidé d'augmenter ses dépenses de défense. Et puis les deux hommes ont une «relation personnelle très, très forte». Lors de leur rencontre dans le Bureau ovale, début mars, «Keir Starmer a touché délicatement le bras de Donald Trump quatre fois au cours des 100 secondes qu'a duré leur apparition devant la presse», relève le site d'informations. Keir Starmer n'est pas le seul à espérer influencer Donald Trump «Emmanuel Macron se voit comme le responsable politique européen le plus capé», tandis que Giorgia Meloni «se considère comme proche idéologiquement» de Donald Trump et met en avant ses liens étroits avec l'écosystème MAGA, écrit Politico. «Les médias du monde entier seront attentifs à tout indice (...) sur le degré de respect accordé à chaque dirigeant – et sur la capacité de l'un d'entre eux à transformer cela en progrès» sur les dossiers chauds du moment, analyse le journal en ligne. Bref, il va falloir scruter à qui Donald Trump serre la main et comment. Le journal de la 1ère Après sept mois passés dans l'Hexagone, le président de la Collectivité Territoriale est revenu ce dimanche (15 juin 2025) en Guyane !
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 15 juin 2025.Avec cette semaine :Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT RÉPARTIR L'EFFORT DU DÉSENDETTEMENT ?Visant un déficit à 4,6 % du PIB l'année prochaine, au lieu de 5,4 % cette année, le gouvernement entend serrer la vis budgétaire, avec un effort de 40 milliards d'euros en 2026. La répartition de cet effort devrait être précisée à la mi-juillet. Dans ce contexte budgétaire alarmant, et quatre mois après avoir été votée par une large majorité de députés, la proposition de loi des Ecologistes visant à instaurer un impôt plancher de 2 % sur le patrimoine des ultra-riches, dite « taxe Zucman » a été rejetée jeudi par le Sénat par 188 voix contre 129 voix.Aux côtés de deux économistes français reconnus internationalement - Olivier Blanchard, ancien chef économiste du Fonds monétaire international et Jean Pisani-Ferry, architecte du programme économique d'Emmanuel Macron en 2017 -, Gabriel Zucman a défendu mercredi dans Le Monde ce mécanisme pour rétablir le « principe constitutionnel d'égalité devant l'impôt ». « Nous partageons le constat que les plus riches ne contribuent pas aujourd'hui à hauteur de ce qui est demandé aux autres catégories sociales, et que le mécanisme voté à l'Assemblée est le plus efficace pour remédier à cette situation. » L'Institut des politiques publiques, fondé sur de nouvelles données administratives, a établi que les plus grandes fortunes payent dans l'ensemble très peu d'impôts sur le revenu, car elles peuvent le contourner – légalement – grâce à diverses techniques d'optimisation, comme l'utilisation de sociétés holdings. En conséquence, alors que l'ensemble des Français acquittent environ 50 % de leurs revenus en impôts et cotisations sociales, tous prélèvements compris, ce chiffre tombe à 27 % pour les milliardaires, soit presque deux fois moins. Le dispositif voté à l'Assemblée ne concerne que les fortunes d'au moins 100 millions d'euros, soit environ 1.800 foyers fiscaux. Il rapporterait entre 15 et 25 milliards d'euros.Le gouvernement est opposé à la taxe Zucman. « Une telle contribution serait à la fois confiscatoire et inefficace », a tranché la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, en février. « Confiscatoire », parce qu'elle est trop élevée : sans mécanisme de plafonnement, la proposition pourrait être censurée par le Conseil constitutionnel, met aussi en garde la commission des finances du Sénat. « Inefficace », dans la mesure où elle pousserait, de façon « catastrophique », les contribuables visés à fuir la France. Pour relativiser l'argument, Gabriel Zucman s'appuie sur des études qui tendent à démontrer que, lorsqu'un impôt sur la fortune est créé, le nombre de départs à l'étranger pour y échapper est marginal.Cette taxe pourrait revenir au budget 2026 à l'automne. Gabriel Zucmanrappelle que l'impôt sur le revenu, voté en 1909 par la Chambre des députés a attendu 1914 pour que le Sénat, déjà dominé par la droite conservatrice, finisse par l'adopter.TRUMP CONTRE LA CALIFORNIE Après des heurts à Los Angeles sur fond d'expulsions d'immigrés en situation irrégulière le président américain a envoyé le 7 juin la garde nationale dans la ville, contre l'avis des autorités locales. Désormais, 4.800 membres de la garde nationale de Californie et marines se trouvent déployés autour des bâtiments fédéraux, pour apporter leur soutien à la police locale et aux agents de l'ICE, l'agence chargée de l'immigration. Officiellement, il s'agit de protéger bâtiments et agents fédéraux. En s'en prenant au « Golden State », Le choix de cibler la Californie n'a rien d'anodin. « Le déploiement sans fondement de la garde nationale par l'administration Trump est manifestement une mesure de rétorsion contre la Californie, bastion des communautés immigrées, et s'apparente à une déclaration de guerre à l'égard de tous les Californiens », a dénoncé l'ACLU, influente organisation de défense des libertés civiles.Depuis son retour à la Maison Blanche, soutenu par un Congrès à majorité conservatrice, la confrontation s'est envenimée. Véhicules électriques, protection des transgenres, gestion de l'eau : aucun domaine n'échappe à la croisade. Plus que jamais ciblée, la Californie riposte dans l'arène judiciaire. Lors du premier mandat de Trump, l'État avait intenté plus de 120 recours contre son administration, en majorité remportés, se dressant notamment contre le décret anti-immigration Muslim Ban, le démantèlement des protections des jeunes sans papiers et la sortie de l'accord de Paris sur le climat. Depuis janvier, le rythme s'est accéléré. Seule ou alliée à d'autres États, la Californie a déjà déposé plus d'une vingtaine de recours : contre la remise en cause du droit du sol, contre l'accès du Doge (le département de l'Efficacité gouvernementale) au système de paiement du Trésor, contre les coupes dans la recherche médicale ou contre l'augmentation des droits de douane. Sur le plan économique, l'escalade commerciale avec la Chine menace lourdement l'État de la côte ouest, dont les ports jouent un rôle majeur dans les importations venues d'Asie.Sur le sujet central de l'immigration, la « résistance » californienne passe aussi par la loi. Fin 2017, malgré les menaces répétées de l'administration Trump, les élus de l'État avaient adopté une loi limitant strictement la coopération entre polices locales et agents fédéraux chargés des expulsions. Surnommée « loi sur les valeurs californiennes », cette législation a fait de l'Étatle premier « sanctuaire » du pays pour les immigrés sans papiers. Validée en 2019 par la justice, elle reste une épine dans le pied de l'administration Trump, qui accuse la Californie d'entraver sa politique migratoire.Jeudi, le sénateur Padilla, successeur de Kamala Harris, a été arrêté et menotté pour avoir interrompu la conférence de presse de Kristi Noem, Secrétaire à la sécurité intérieure et vigoureuse promotrice des lois anti-immigrés. Samedi, de grandes manifestations ont été organisées pour s'opposer la politique du président républicain, tandis que la présidente démocrate de la chambre des représentants du Minnesota était assassinée.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de l'Édimbourg du début du XIXe siècle, l'université de médecine connaît un essor fulgurant. Les étudiants affluent pour suivre les cours des plus grands anatomistes. Mais il y a un problème : la loi écossaise autorise seulement l'utilisation des cadavres de condamnés à mort pour les dissections. Bien trop peu pour répondre à la demande grandissante des écoles de médecine. C'est dans ce contexte que s'installe un marché noir macabre : le trafic de cadavres.C'est là qu'entrent en scène William Burke et William Hare. Les deux hommes se rencontrent en 1827 à Édimbourg. Hare tient une modeste pension de famille. Un jour, un de ses pensionnaires meurt brutalement, laissant une dette impayée. Plutôt que d'alerter les autorités, Burke et Hare décident de vendre le corps à un certain docteur Robert Knox, éminent professeur d'anatomie. Knox leur offre une belle somme pour ce cadavre tout frais. L'idée fait son chemin : pourquoi attendre les morts naturelles quand on peut... provoquer la mort ?Le duo sombre alors dans une spirale criminelle. Leur méthode est simple et redoutablement efficace : attirer des victimes isolées, souvent des mendiants ou des prostituées, dans la pension, les enivrer, puis les étouffer — une technique baptisée plus tard le "Burking", qui ne laisse pas de traces visibles. Ensuite, les corps sont vendus à Knox, qui ferme volontairement les yeux sur l'origine douteuse de ses précieuses fournitures.En moins d'un an, Burke et Hare assassinent au moins 16 personnes. Mais leur série macabre finit par éveiller les soupçons. En novembre 1828, le corps d'une de leurs victimes, Margaret Docherty, est découvert dissimulé dans la pension. La police intervient.Lors du procès retentissant, Hare passe un accord : il témoigne contre son complice en échange de l'immunité. Burke, lui, est condamné à mort. Il est pendu en janvier 1829 devant une foule immense. Ironie du sort : son propre corps est ensuite... disséqué publiquement par les médecins d'Édimbourg.Quant au docteur Knox, bien qu'il ne soit jamais poursuivi, sa réputation est irrémédiablement ternie. L'affaire provoque un tollé en Écosse et en Grande-Bretagne. En 1832, une nouvelle loi sur l'anatomie est votée : désormais, les hôpitaux peuvent utiliser les corps non réclamés des pauvres, mettant fin au sinistre commerce des "résurrectionnistes".Ainsi se clôt l'histoire glaçante de Burke et Hare — deux hommes ordinaires devenus serial killers par appât du gain, dans une ville fascinée... par la science du corps humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est une rediffusion de Petit Poisson deviendra Podcast. Avec Combats et Nomen, PPDP est l'un des 4 petits frères de Baleine sous Gravillon. Nous diffusons cette série Céphalopodes du petit frangin chez le grand à l'occasion de la journée mondiale de l'océan, le 8 juin de chaque année._______La Seiche flamboyante est vraiment une Seiche hors norme de par ses couleurs, sa manière de se déplacer et sa petite taille. Mais ne la touchez pas... elle est hautement toxique !Le secret des magnifiques couleurs de la Seiche flamboyante ? Les chromatophores ! Des petites cellules colorées, disséminées dans sa peau. Metasepia pfefferi a cette capacité incroyable de changer d'apparence, qu'elle utilise pour se camoufler et dans ses interactions sociales.À dire vrai, la Seiche flamboyante porte la plupart du temps une teinte couleur sable lui permettant de se fondre dans son environnement. Lors de la parade nuptiale, le mâle arbore du jaune, du rose, du violet... Il veut en mettre plein la vue à la femelle.Comme souvent dans le règne animal, “couleur vive” veut dire “attention danger!”. En effet, alors que de nombreuses Seiches possèdent une morsure venimeuse, elle est la seule à avoir une chair contenant une toxine puissante rivalisant avec celle du Poulpe à anneaux bleus.La Seiche flamboyante est l'une des plus petites espèces de Seiche avec une moyenne de 7 cm pour les mâles (les femelles sont plus grosses), à comparer au mètre de la Seiche géante d'Australie.Son os, ou sépion, est trop petit pour assurer sa flottabilité. Elle va donc privilégier la "marche" pour se déplacer lentement sur le plancher océanique.Vous rêvez de l'observer ? Metasepia pfefferi vit dans les eaux tropicales situées entre les Philippines et le Nord de l'Australie.______ Invitée : Jeanne Benichou_______
Créée en automne 2024 à Savigny, l'association Graines de Nature a pour but principal de reconnecter notre société à la nature. Pour atteindre son objectif d'inspirer, de sensibiliser et d'éduquer autour de la nature, ses responsables ont décidé de mettre en place une micro-pépinière communautaire ainsi qu'un jardin-forêt de 1 hectare sur le site de l'institution La Branche à Savigny. Concrètement, des milliers de plantes sont actuellement plantées sur ce terrain de 1 hectare prêté par La Branche afin de former un écosystème productif, résilient et conçu comme un lieu de déconnexion et de bien-être. Cet espace favorisera le travail collaboratif, la mixité sociale ainsi que la biodiversité et prouvera qu'un autre type de production est possible. Il sera conçu comme un espace productif, mais également didactique puisqu'il permettra, dès le printemps 2026, d'organiser des animations et d'accueillir des classes, des familles et des groupes. Lors de sa création, l'association Graines de Nature avait mis sur pied un crowdfunding qui lui a permis de commencer ce printemps les journées de plantation initiale des premières plantes comestibles et des arbres fruitiers, mais elle cherche actuellement du matériel pour pouvoir mieux s'installer et organiser des animations avec des familles. DEMANDE: - Toute sorte de matériel de jardinage et d'entretien de jardin (outils de jardin, brouettes, bêches, pelles, ramasse-feuilles, fourches à bêcher, pioches, sécateurs, scies, cisailles, tuteurs, arrosoirs, gants de jardinage, etc.) - Une débroussailleuse et une motofaucheuse - Des échelles en bois ou en aluminium - Des longs tuyaux d'arrosage (idéalement haut-débit) - Des tréteaux et des panneaux de bois pour faire des tables de rempotage - Des bénévoles intéressés à venir participer à des journées de plantation et d'entretien
Le marché dévoilé par les experts — retour sur la 4ᵉ édition de MunicitéLe marché de l'emploi à Munich : aussi prometteur qu'exigeant. Comment y trouver sa place quand on est francophone, en reconversion ou fraîchement arrivé ?Lors de cette 4ᵉ rencontre, trois expert·es ont partagé leurs éclairages :
Lors de l'exercice budgétaire 2025/2026, il a été annoncé qu'une enveloppe de Rs 900 millions sera allouée au ministère du Tourisme, dans le but de renforcer la compétitivité et la résilience de cette industrie clé pour l'économie mauricienne. Il est également prévu l'élaboration d'un blueprint stratégique visant à redéfinir la vision du tourisme à long terme. Par ailleurs, à partir du 1er octobre 2025, le gouvernement introduira une taxe touristique de 3 euros par nuitée et par touriste, applicable dans les hôtels, maisons d'hôtes, résidences touristiques et domaines. Qu'en pensent les acteurs du secteur ?
Lors de la présentation du Budget 2025‑2026, le Premier ministre et ministre des Finances, Dr Navin Ramgoolam, a annoncé une enveloppe de Rs 70 millions pour la lutte contre la drogue. Sam Lauthan, nommé à la tête de l'Agence nationale de lutte contre la drogue, a indiqué que le travail est énorme à tous les niveaux, mais que ce budget est encourageant, et que « nous allons nous donner les moyens pour faire du bon travail ».
Lors de son audition à l'Assemblée, Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris, réfute un " fiasco sécuritaire " suite aux nombreuses violences qui ont eu lieu après le sacre du PSG en ligue des champions.
C dans l'air du 12 juin 2025 - De New York à L.A... la colère anti-Trump s'étendChicago, Atlanta, New York… les émeutes qui ont commencé vendredi à Los Angeles pour s'opposer aux raids de la police de l'immigration (ICE) contre les immigrés clandestins, s'étendent au reste des Etats-Unis. Dans l'état de Washington où plusieurs manifestations ont éclaté, la ville de Spoklane a instauré un couvre-feu de mercredi à jeudi, suivant la mesure décrétée par la maire de Los Angeles Karen Bass, mardi. Avec le gouverneur de la Californie Gavin Newsom, ils sont les deux têtes de gondole du mouvement d'opposition à Donald Trump. Le président américain, qui a envoyé dans un premier temps la garde républicaine, puis 700 marines pour réprimer les émeutes, contre l'avis du gouverneur californien, les accuse désormais d'avoir payé des fauteurs de trouble et insurgés et de "faciliter l'occupation de la ville par des envahisseurs criminels". De son côté la maire a dénoncé l'escalade entretenue par la Maison Blanche : "Quand vous faites des descentes sur des lieux de travail, quand vous séparez parents et enfants et quand vous faites circuler des caravanes blindées dans nos rues, vous provoquez la peur et la panique".Face à un Donald Trump qui n'entend pas changer de cap, un homme s'est porté candidat pour mener la révolte. À 57 ans, le gouverneur de la Californie Gavin Newsom a prononcé mardi un vibrant discours contre la politique de Donald Trump qui détruit, selon lui, la démocratie et l'état de droit : "Ce que nous voyons n'a pas trait à l'application de la loi – il s'agit d'autoritarisme, a-t-il déclaré. La Californie est peut-être la première. Mais ce ne sera pas la dernière. D'autres États suivront. La démocratie est la prochaine cible." Si le nom de Gavin Newsom circule désormais comme une candidature crédible pour la présidentielle 2028, les Américains le connaissaient déjà. Cet ancien homme d'affaires avait notamment débattu à la télévision avec le gouverneur républicain Ron DeSantis lors de la primaire républicaine, en 2023. Lors des gigantesques incendies qui avaient ravagé la Californie début 2025, Donald Trump avait lancé les hostilités en le qualifiant d'"incompétent". Leurs relations se sont ensuite envenimées. En avril, lors de l'annonce des droits de douane américains, la Californie est devenue le premier État américain à contester la décision en justice. Considéré comme modéré dans son camp, Newsom pourrait bien devenir le prochain leader du camp démocrate.Pendant que les immigrés découvrent la violence de la politique de Donald Trump, d'autres minorités voient leurs droits rétrécir à vue d'œil, à l'image des personnes transgenres. "À partir d'aujourd'hui, la politique officielle du gouvernement des États-Unis sera de dire qu'il n'y a que deux sexes, masculin et féminin", avait prévenu le président républicain lors de son investiture. Quelques semaines plus tard, ce détracteur du "wokisme" signait un décret excluant les femmes transgenres des catégories sportives féminines et un autre coupant les financements publics aux hôpitaux qui proposent des traitements de transition de genre aux moins de 19 ans. Près d'une trentaine d'États interdisent aujourd'hui ce type de soins. Dans un rapport publié début juin, l'ONG Human Rights watch s'est dite inquiète que ces lois "causent [aux personnes LTBT+] de graves préjudices, ainsi qu'à leurs familles". Depuis plusieurs jours, des marches des fiertés s'exercent un peu partout dans un climat tendu, certaines entreprises ont même retiré leurs sponsors.Les émeutes de Los Angeles peuvent-elles aboutir à un mouvement national ? Qui est Gavin Newsom, la nouvelle bête noire de Donald Trump ? Et comment la communauté LGBT+ se retrouve ciblée par l'administration américaine ?LES EXPERTS :- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis et éditorialiste à Ouest-France- Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis et autrice de Les juges contre l'Amérique- Mathieu GALLARD - Directeur d'études chez Ipsos, auteur de Les États-Unis au bord de la guerre civile ?- Olivier PITON (en duplex) - Avocat aux barreaux de Paris et de Washington DC, auteur de Kamala Harris, la pionnière de l'AmériquePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Et si traiter la dépression ne nécessitait plus systématiquement des antidépresseurs ou des électrochocs, mais simplement... des ultrasons ? C'est ce que suggère une avancée prometteuse réalisée par une équipe française, réunissant psychiatres du GHU Paris, chercheurs de l'Inserm, du CNRS, de l'ESPCI Paris-PSL et de l'Université Paris Cité. Ces spécialistes ont franchi une étape clé en démontrant l'efficacité des ultrasons ciblés pour moduler l'activité cérébrale chez des patients atteints de dépression résistante.Concrètement, il s'agit d'utiliser des ultrasons focalisés de faible intensité pour stimuler une zone précise du cerveau : le cortex cingulaire antérieur, une région profondément enfouie et impliquée dans la régulation des émotions, de l'humeur et de la douleur. Cette zone est souvent hyperactive chez les personnes souffrant de dépression sévère. Le défi était donc de la "réajuster", sans recourir à des techniques invasives comme la stimulation cérébrale profonde.C'est là que les ultrasons entrent en jeu. En concentrant des ondes acoustiques très précises dans cette région, les chercheurs sont parvenus à modifier temporairement son activité, en la rendant moins active chez les patients concernés. Le tout, sans douleur, sans anesthésie, et sans ouverture du crâne.Lors de la première phase expérimentale menée sur des volontaires sains, les scientifiques ont observé une modification de l'activité cérébrale à l'IRM fonctionnelle, confirmant que les ultrasons atteignaient bien leur cible. Ensuite, chez des patients souffrant de dépression résistante, les premiers résultats cliniques ont été encourageants : certains ont rapporté une amélioration de leur humeur et une diminution de leurs symptômes dès les premières séances, sans effets secondaires majeurs.Cette approche s'inscrit dans une nouvelle génération de thérapies dites de « neuromodulation non invasive », qui cherchent à agir directement sur les circuits neuronaux défaillants, sans médicament ni chirurgie. Elle présente aussi un autre avantage : la grande précision spatiale des ultrasons, qui permet de cibler des structures profondes du cerveau, ce que d'autres méthodes comme la stimulation magnétique transcrânienne (TMS) ne permettent pas aussi facilement.Cependant, cette découverte reste encore au stade de la recherche clinique. Des essais à plus grande échelle sont nécessaires pour confirmer son efficacité à long terme, évaluer la durabilité des effets, affiner les protocoles, et identifier les profils de patients qui pourraient le mieux en bénéficier.Mais une chose est sûre : cette technologie ouvre la voie à une révolution thérapeutique potentielle. Une alternative douce, ciblée et prometteuse pour les millions de personnes qui ne répondent pas aux traitements classiques contre la dépression. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors d'un festival en plein air, Raphaëlle et 13 autres personnes sont frappées par la foudre dans un événement rare de fulguration collective. Bien que les examens médicaux initiaux ne révèlent rien d'anormal, Raphaëlle développe rapidement des symptômes mystérieux, perdant ses capacités de parole, d'écriture et de calcul. Face à ces séquelles inexpliquées, elle s'engage alors dans un long et difficile processus de rééducation pour retrouver ses facultés perdues. Documentaire - "Fulgurés, quand la foudre ne tue pas", réalisé par Émilie Grall Mickaël Royer et diffusé sur Canal+. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la deuxième fois de son histoire, Apple change le design des interfaces de ses produits. Lors de la WWDC 2025, la marque à la pomme a dévoilé un tout nouveau design baptisé Liquid Glass, qui s'imposera dès l'automne prochain sur tous les appareils de l'écosystème : iPhone, iPad, Mac, Apple Watch et même Vision Pro. Une refonte esthétique majeure qui marque la fin d'une époque.Bye-bye le flat design, que l'on connaît depuis 2013. Hello Liquid design ! A la rentrée prochaine, les appareils Apple auront un nouveau style quand on les allumera, avec des icones minimalistes semblant être posées sur une plaque de verre. Plus élégant, plus sobre, plus pratique ? Le design a toujours été important chez Apple. Liquid design uniformisera aussi encore plus tous les appareils de la marque. Autre nouveauté notable : Apple abandonne la numérotation confuse de ses systèmes d'exploitation. Place à des versions millésimées (ex. iOS 26, macOS 26 Tahoe) pour plus de lisibilité.Mais derrière ce vernis translucide, Apple peine à cacher un certain essoufflement. Peu d'annonces véritablement marquantes, si ce n'est quelques nouvelles fonctionnalités liées à Apple Intelligence, comme le tri intelligent des appels téléphonique, la traduction en temps réel dans les apps de communication ou encore l'intégration d'un framework IA pour les développeurs, etc.Enfin, quelques fonctionnalités pratiques ont été présentées, notamment :Un nouveau multitâche plus souple sur iPadUne recherche Spotlight améliorée sur MacDes options de jeu vidéo enrichies sur toutes les plateformesDes outils collaboratifs dans l'app Messages-----------
La dernière grande étape. Ils volent de Cairns à la Tasmanie, et louent une voiture sur place. La surprise : il neige. Ils se réveillent un matin avec 0 °C dans le van. Une expérience marquante, surtout après la chaleur du Centre Rouge.Ils en profitent pour visiter deux lieux forts :une visite guidée nocturne, avec lampes torches, pour observer les wombats, possums et wallabies en liberté ;un refuge de diables de Tasmanie, espèce en voie de disparition, où les enfants apprennent beaucoup.-----------Idée originale et hôte : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
Quelles sont les actions les plus "clutch" de l'histoire des Finales NBA ?
Plongez dans la traque de Ned Kelly, le plus célèbre hors-la-loi australien. Fils d'un ex-bagnard irlandais, il grandit dans la pauvreté, sous la surveillance constante d'une police coloniale corrompue. Bandit pour les uns, héros pour les autres, Kelly devient l'ennemi public numéro un. Attaques de banques, affrontements sanglants, cavale spectaculaire… À chaque étape, la tension monte. Et tandis que les autorités resserrent l'étau, Ned Kelly forge son mythe — jusqu'à son dernier combat, en armure, face à la loi. La naissance d'un hors-la-loi Ned Kelly, jeune bushranger au passé déjà chargé, est capturé après une traque sanglante. Fils d'immigrés irlandais, élevé dans la pauvreté et la marginalité, il grandit entre vols, injustice et rébellion. À 15 ans, il trahit malgré lui son mentor Harry Power, ce qui lui vaut la méfiance des siens. Libéré un temps, il retombe vite dans les griffes de la justice pour un vol de cheval. Lors de son arrestation, la violence policière s'abat sur lui, scellant définitivement son destin de hors-la-loi. Pour découvrir d'autres traques, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Paul Touvier, le milicien jamais repentis : les origines d'un collabo (1/4) [INÉDIT] Paul Touvier, le milicien jamais repentis : fuite après la libération (2/4) [INÉDIT] Paul Touvier, le milicien jamais repentis : plutôt mourir que de se rendre (3/4) [INÉDIT] Paul Touvier, le milicien jamais repentis : condamné en fin de vie (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Lola Bertet Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Lors de la conférence mondiale sur les océans à Nice ce lundi 9 juin, les dirigeants du monde entier se sont réunis pour discuter des menaces pesant sur les fonds marins et de la pollution plastique. La société civile et les associations locales sont également engagées sur le sujet.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La protection des mers, c'est l'enjeu de la troisième Conférence de l'ONU sur l'Océan, qui s'ouvre lundi 9 juin à Nice, dans le sud de la France. L'un des sujets majeurs de ce sommet, c'est la pollution des mers par les plastiques. Comme dit Foga Agbetossou, les microplastiques n'ont pas besoin de visas pour arriver sur les côtes africaines. Foga Agbetossou est le responsable pour le Togo de l'ONG SOA, pour Sustainable Ocean Alliance, Alliance pour un océan durable, en français. En ligne de Lomé, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Foga Agbetossou, vu d'Afrique, qu'est-ce que vous attendez de cette troisième Conférence des Nations unies sur l'océan ? Foga Agbetossou : Il faut dire que l'Afrique s'attend à beaucoup de choses, surtout en matière de conservation. Donc, nous attendons à ce que les jeunes Africains puissent avoir plus de poids en matière de discussion sur les questions liées aux océans.Est-ce qu'avec le réchauffement climatique, vous craignez une élévation du niveau de la mer sur les côtes africaines ?Bien sûr, cette élévation du niveau de la mer sur les côtes africaines n'est pas à craindre puisque c'est quelque chose qui se passe déjà. Les côtes les plus vulnérables sur le continent africain sont les côtes qui sont principalement constituées de plages sableuses. Puisque, vous le savez, les plages sableuses ne sont pas très résistantes face à l'avancée de la mer, face au phénomène d'érosion côtière. Donc, dès que les vagues déferlent sur les côtes, ces plages sableuses ne résistent pas aux vagues qui les érodent.Et du côté des mangroves ?Et les mangroves aussi. Comme les mangroves sont partie intégrante des systèmes côtiers, elles sont également menacées et, du coup, elles perdent leurs potentiels de résistance face aux inondations et aux phénomènes d'érosion côtière.Et qu'en est-il pour les îles au large du continent africain, notamment du côté de l'océan Indien ? Oui, ces îles sont également très menacées face au réchauffement climatique, puisque ces îles sont des zones de prédilection de ce que nous appelons les récifs coralliens. Et ces récifs coralliens, figurez-vous, ce sont des organismes qui créent des écosystèmes où d'autres poissons viennent se reproduire et où il y a beaucoup en termes de biodiversité marine. Donc, avec le réchauffement climatique, avec ses corollaires d'élévation du niveau de la mer, d'élévation du taux de CO2 dans la mer, ces récifs coralliens perdent en fait leur efficacité, perdent certaines de leurs activités biologiques et expulsent des organismes qui sont responsables de leur croissance. Donc, une fois qu'ils expulsent ces organismes-là, ils subissent ce qu'on appelle le blanchissement et ils perdent leurs fonctions biologiques. Et du coup, cela constitue un très grand problème, surtout pour ces îles comme Zanzibar, les Seychelles, les Comores et autres, qui sont dans l'océan Indien. Et figurez-vous que même une partie de leur économie en matière de pêche repose sur ces écosystèmes de récifs coralliens.Alors, toujours au chapitre du réchauffement climatique, l'un des sujets de cette conférence de Nice, ce sont les émissions de CO2 provoquées par le transport maritime. Ce secteur est à l'origine de 3 % des émissions mondiales de CO2, soit presque autant que l'avion et presque autant que l'ensemble du continent africain. Qu'attendez-vous d'une telle conférence au sujet du trafic maritime, justement ?Oui. Quand vous parlez des 3 %, on peut peut-être penser que c'est un chiffre infime. Mais les 3 % représentent en fait 1056 millions de tonnes de CO2 qui sont émis par le domaine maritime, les bateaux et tout le reste.Est ce qu'il faut que les bateaux arrêtent d'utiliser du fioul ? Et à ce moment-là, par quoi faut-il le remplacer ? Bien entendu, il faudrait qu'on se tourne vers les nouvelles technologies et remplacer ces carburants par d'autres carburants alternatifs comme l'hydrogène. Les recherches sont en cours et, à Lomé même récemment, il y a un institut, un centre Wascal.org qui est un centre de recherche sur les questions climatiques, qui, avec d'autres partenaires, a mis sur pied un institut de recherche sur l'hydrogène dont des avancées se font déjà sur le continent, principalement au Togo. Mais je crois qu'il faut qu'on se tourne beaucoup plus vers ces carburants alternatifs. Comme je le disais, il y a l'hydrogène. Il y a également des biocarburants marins. Des recherches sont en cours pour voir si on pourrait utiliser les algues et les déchets marins pour fabriquer du carburant pour ces bateaux. Il y a également un domaine qui est en pleine recherche actuellement, qui est l'électrification des ports. Il faut doter les ports des équipements d'énergies renouvelables pour réduire l'empreinte carbone.Donc il faudrait, sur le port de Lomé, des bornesélectriques où les bateaux viendraient recharger leurs batteries ?Exactement.Mais est ce que ce n'est pas quelque chose qui va prendre des années et des années ? Bien sûr que ça prendra des années. Mais tout rêve commence par un pas. Donc si nous ne faisons pas ce pas aujourd'hui, on risque de répéter les mêmes choses après 40 ou 50 ans.Lors de cette conférence, la France va proposer que les armateurs et les transporteurs maritimes payent une taxe carbone pour financer la transition énergétique. Mais beaucoup de pays sont contre. Qu'est-ce que vous en pensez ?Oui, la pollution plastique est bel et bien une réalité en Afrique puisque l'Afrique, pour information, produit plus de 17 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Mais moins de 10 % de ces plastiques sont recyclés sur le continent et le reste finit, comme vous le savez, dans les rivières, les fleuves et dans les deux océans, l'océan Atlantique et l'océan Indien.L'un des fléaux des mers aujourd'hui, c'est le plastique. Alors vu d'Afrique, est-ce que la pollution plastique est une réalité ou pas ?Oui, la pollution plastique est bel et bien une réalité en Afrique puisque l'Afrique, pour information, a produit plus de 17 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Mais moins de 10 % de ces plastiques sont recyclés sur le continent et le reste finit, comme vous le savez, dans les rivières, les fleuves et dans les deux océans, l'océan Atlantique et l'océan Indien.Et le problème, c'est que ces plastiques ne sont pas biodégradables. C'est ça ? Oui, la majeure partie de ces plastiques ne sont pas biodégradable. Une fois qu'ils entrent dans l'environnement marin, ils prennent des décennies, quelquefois même des centaines d'années, à se désintégrer par suite des processus physiques qui se déroulent dans la mer. Et donc, année après année, les plastiques augmentent en pleine mer. Et cela constitue un danger notoire pour les organismes qui vivent dans la mer. Et lorsque ces plastiques arrivent à se désintégrer aussi, ils se désintègrent et deviennent des microplastiques qui sont quelquefois confondus par certaines espèces marines avec des aliments. Ces espèces les ingurgitent. Et tout cela finit sur nos tables lorsque nous consommons de ces espèces.Donc il y a des poissons qu'il ne faut plus manger, c'est ça ? Je ne dirai pas qu'il ne faut plus manger, mais on ne sait pas quel poisson a ingurgité ces microplastiques et lequel n'en a pas pris. Donc, nous nous attendons à ce que des avancées notoires soient faites sur la question de la pollution plastique, puisque c'est une question qui touche non seulement l'Afrique, mais aussi les autres continents. Et le problème également, c'est que les plastiques qui sont rejetés sur d'autres continents n'ont pas besoin de visas avant de venir sur nos côtes. Et donc je crois qu'il faut vraiment développer une solution qui serait globale pour la question du plastique. Et je crois qu'une prochaine session se tiendra à Genève, en Suisse, et je crois qu'ils vont développer un traité mondial sur le plastique, un traité mondial que les États vont ratifier pour que tous ensemble, nous puissions trouver une solution globale pour ce problème global.Oui, mais vous savez bien que cet accord international que tout le monde appelle de ses vœux, les pays producteurs de pétrole n'en veulent pas puisque le plastique est fait à partir du pétrole.Oui, oui. Mais ce n'est pas parce que certains États ont refusé de ratifier le traité que nous allons nous empêcher de faire ce qui est bien. Il faut quand même aller dans la bonne direction et, un de ces jours, nous sommes positifs. Nous croyons que ces États vont céder.Et de ce point de vue, qu'est-ce que fait votre ONG, SOA, Sustainable Ocean Alliance, l'Alliance pour un Océan Durable, contre ce fléau des plastiques ?À SOA Togo, nous nous sommes rendu compte qu'en fait, en Afrique et spécialement au Togo, beaucoup de personnes ne sont pas informées sur les questions relatives aux océans. Et c'est d'ailleurs ce qui a motivé la création de cette organisation au Togo. Et ce que nous faisons, c'est que d'abord nous essayons de rapprocher l'océan des populations. Nous essayons de parler aux populations, nous faisons des tournées dans des écoles pour parler aux jeunes apprenants, pour familiariser les gens sur les questions relatives aux océans. Et pendant ces campagnes de sensibilisation, l'un des sujets principaux que nous débattons, c'est la question du plastique et nous montrons justement aux apprenants les bonnes pratiques à faire pour pouvoir réduire la pollution plastique, sinon l'éviter carrément.Donc votre message, c'est que la mer, ce n'est pas une poubelle.Oui, bien entendu, la mer n'est pas une poubelle, tout comme nos maisons respectives ne sont pas des poubelles. La mer, les fleuves, les rivières, ce sont des écosystèmes, des habitats d'autres organismes. Donc, il faut que nous travaillions à ne pas en faire des poubelles.La préoccupation majeure des professionnels de la mer en Afrique, c'est la surpêche, notamment la pêche industrielle. Que peut faire cette conférence de l'ONU à Nice, en France, pour réguler cette pêche sur les côtes africaines ?Oui, je pense à la convention d'Abidjan et je crois qu'il y a certains éléments qui manquent à la Convention et sur lesquels la Conférence peut également travailler pour régler la question de la surpêche sur le continent. En fait, ce qui se passe sur le terrain, c'est qu'il y a des bateaux, des industriels provenant d'autres pays qui viennent effectuer ces surpêches au large du continent africain et qui violent certains règlements qui sont en cours. Donc, je crois que la Conférence peut travailler à maximiser les efforts pour renforcer les mesures protectives contre cette surpêche.Et vous trouvez que la Convention d'Abidjan n'est pas assez contraignante ? Il y a certains des éléments qu'on pourrait ajouter à cette Convention, tels que la question de la pêche artisanale. Cette question n'a pas été bien traitée dans cette Convention, puisque lorsque ces bateaux industriels font cette surpêche, ils entrent en fait en compétition avec la pêche artisanale et ils menacent la sécurité alimentaire dans nos pays.Un accord a été rédigé qui vise à contrecarrer et éliminer la pêche illégale : 64 % des États côtiers du monde ont signé cet accord, ce qui veut dire qu'il reste 36 % des pays qui ne l'ont pas signé. Ce qui signifie qu'il y a de la résistance, non ? Bien sûr, cette résistance provient principalement de ces pays qui trouvent un intérêt dans la surpêche. Quand je pense à la Chine, vous savez que même la Chine intervient au large de plusieurs pays africains. Au Ghana même, la question est très cruciale. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler du Saiko Fishing. Donc, ce sont des Chinois qui viennent au large des côtes ghanéennes et qui font leurs activités de façon illicite et qui font même des transbordements. Ils vendent des espèces juvéniles. Ils vont jusqu'aux espèces juvéniles, les vendent aux pêcheurs traditionnels qui reviennent les vendre sur le continent. Donc je crois que, au point où nous sommes arrivés, l'océan constitue beaucoup de potentialités que nous pourrons exploiter pour notre développement. Mais pendant que nous exploitons les ressources de l'océan, il faut penser à les exploiter de façon durable, parce que l'océan entretient la vie sur la terre. L'océan produit près de la moitié de l'oxygène que nous respirons et l'océan a encore beaucoup d'éléments à nous offrir. Et si nous nous précipitons à détruire ces ressources, nous risquons de ne pas avoir accès aux autres ressources que l'océan réserve pour nous. Donc, j'exhorte la population mondiale, j'exhorte les États à prendre des décisions qui iront à l'avantage de l'océan.À lire aussiTogo: la ville d'Aného lutte pour faire face à l'érosion et garder ses plagesÀ lire aussiAvant la conférence onusienne sur l'Océan, des scientifiques publient 10 recommandations pour le préserver
Ariane fait parti du paysage culturel québécois depuis plus de 20 ans. Lors de cet épisode elle parle abondamment de son besoin de liberté. Elle aborde aussi l'importance qu'elle accorde à son rôle de mère. La créativité est au centre de ce Ouvre ton jeu. Magnifique rencontre avec une femme qui se laisse guider par son instinct.━━━━━━━━━━━00:00:00 - Introduction00:13:24 - Cartes vertes00:29:56 - Cartes jaunes00:52:30 - Cartes rouges01:23:06 - Cartes Eros01:36:39 - Carte Opto-Réseau━━━━━━━━━━━L'épisode est également disponible sur Patreon, Spotify, Apple Podcasts et les plateformes d'écoute en ligne.Vous aimez Ouvre ton jeu? C'est à votre tour d'ouvrir votre jeu avec la version jeu de société. Disponible dès maintenant partout au Québec et au https://www.randolph.ca/produit/ouvre-ton-jeu-fr/?srsltid=AfmBOoo3YkPk-AkJ9iG2D822-C9cYxyRoVXZ8ddfCQG0rwu2_GneuqTT Visitez mon site web : https://www.marie-claude.com et découvrez l'univers enrichissant du MarieClub, pour en apprendre sur l'humain dans tous ses états et visionner les épisodes d'Ouvre ton jeu, une semaine d'avance. ━━━━━━━━━━━ Ouvre ton jeu est présenté par Karine Joncas, la référence en matière de soins pour la peau, disponible dans près de 1000 pharmacies au Québec. Visitez le https://www.karinejoncas.ca et obtenez 15% de rabais avec le code ouvretonjeu15.Grâce à Éros et compagnie et notre niveau rose, obtenez 15% avec le code rose15 au https://www.erosetcompagnie.com/?code=rose15Merci également à Opto-Réseau, nouveau partenaire d'Ouvre ton jeu. Visitez le https://www.opto-reseau.com pour prendre rendez-vous dans l'une de leurs 86 cliniques.
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Nous sommes en 1670. Année faste pour le peintre liégeois Bertholet Flémal qui se voit reçu à l'Académie royale de peinture et de sculpture, à Paris. Lors de la séance au cours de laquelle il est désigné, Charles Le Brun, premier peintre du roi Louis XIV, directeur de la prestigieuse institution souligne que l'Académie connaît les mérites de Monsieur Bertholet et qu'il sera reçu « sans s'arrêter aux formalités ordinaires. » Fait exceptionnel, l'artiste liégeois ne doit pas présenter de morceau de réception et est donc intégré à l'académie sur la base de sa seule réputation, une dispense lui a été accordée en tant qu'artiste de talent ayant déjà bénéficié de la faveur royale. Alors qui est Bertholet Flémal qui a porté haut les couleurs de la Principauté de Liège ? En quoi est-il l'un des plus grands, et peut-être le plus fameux, représentants de ce que l'on appelle l'Ecole liégeoise de peinture ? Comment décrire cette école ? De quelle côté regarde-t-elle, à une époque où Anvers reste un phare : Rome, Florence ou bien encore Paris ? Quel rôle diplomatique la Principauté fait-elle jouer aux artistes ? Que reste-t-il d'une œuvre non signée, non datée ? Partons sur les traces de Bertholet Flémal ? Avec nous : Pierre-Yves Kairis, chef de travaux principal honoraire de l'Institut royal du Patrimoine artistique, président de l'Institut archéologique liégeois. le Trésor de la cathédrale de Liège a mis sur pied l'exposition intitulée « Bertholet Flémal (1614-1675). Sujets traités : Bertholet Flémal , Liège, peinture, sculpture, Charles Le Brun, Louis XIV, couleurs, Principauté, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tomas Lemoine raconte son incroyable saut du module d'arrivée lors de la Crankworkx Joyride à Whistler-En Roue Libre sur le web:Soutenez le travail d'En Roue Libre sur la plateforme Tipeee: tipeee.com/enrouelibreAbonnez-vous à la newsletter En Roue Libre ici: bit.ly/newsletterEnRoueLibreSuivez En Roue Libre sur Instagram : https://www.instagram.com/enrouelibrepodcast/Suivez-moi sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/taillo/Visitez le site enrouelibre.ccHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoire postée sur le subreddit LetsNotMeet il y a 3 ans par l'utilisateur Top-Flan-2224.Voici son histoire : Salut tout le monde,Ceci est une histoire vraie qui m'a absolument traumatisée, moi et mon copain.Il y a deux ans, j'ai déménagé au Royaume-Uni pour aller à l'université, car j'ai toujours voulu y aller et m'éloigner de mes parents, la situation à la maison devenant trop toxique pour moi.Lors de ma première année à la fac, j'ai emménagé dans une résidence étudiante et j'y ai rencontré des gens vraiment géniaux. C'était une bonne année, même sans avoir encore rencontré mon copain (avec qui je suis toujours aujourd'hui), et je profitais juste de mon temps loin de ma famille en découvrant ce que signifiait réellement l'indépendance.Source : https://www.reddit.com/r/LetsNotMeet/comments/yoo7mv/creepy_neighbor/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la réponse judiciaire après les violences commises lors de la victoire du Paris Saint-Germain en Ligue des Champions.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Les rendez-vous médicaux 2. Les glaces artisanales 3. Guichet: assurances maladie et accidents pour courts et longs séjours à l'étranger
durée : 00:06:23 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro va comparaître à partir du lundi 9 juin devant la Cour suprême brésilienne. Il est accusé d'avoir été le "leader d'une organisation criminelle" ayant conspiré pour son maintien au pouvoir en 2022.
durée : 00:02:04 - Le vrai ou faux - Des internautes dénoncent une faillite sécuritaire après les incidents en marge de la victoire du PSG en Ligue des Champions, samedi 31 mai. Ils affirment que c'est du jamais vu en comparant avec les célébrations de la Coupe du monde de 1998 qui s'étaient passées dans le calme. Vraiment ?
Elon Musk, PDG de Tesla et SpaceX, a récemment démenti avec véhémence les allégations de consommation de drogues formulées par le New York Times. Dans un rapport publié le 30 mai 2025, le journal affirme que Musk aurait consommé de manière intensive des substances telles que la kétamine, l'ecstasy, des champignons hallucinogènes et de l'Adderall, notamment pendant la campagne présidentielle américaine de 2024, où il soutenait activement Donald Trump .Le rapport, s'appuyant sur des témoignages anonymes, indique que Musk aurait utilisé la kétamine à des doses telles qu'elles auraient entraîné des problèmes urinaires. Il est également mentionné qu'il transportait une boîte contenant environ 20 médicaments différents et qu'il aurait manifesté un comportement erratique lors d'événements publics.En réponse, Musk a nié catégoriquement ces accusations sur sa plateforme X (anciennement Twitter), déclarant : « Je ne prends PAS de drogues ! Le New York Times mentait complètement. » Il a reconnu avoir utilisé de la kétamine prescrite médicalement il y a plusieurs années pour traiter des épisodes dépressifs, mais affirme ne plus en consommer actuellement .Lors d'une conférence de presse à la Maison-Blanche marquant la fin de son rôle en tant que directeur du Département de l'Efficacité Gouvernementale (DOGE), Musk a évité les questions sur le sujet, critiquant la crédibilité du New York Times et détournant l'attention vers d'autres sujets .Cette controverse survient alors que Musk quitte son poste au sein de l'administration Trump, où il avait été nommé pour superviser des réductions budgétaires fédérales. Malgré son départ officiel, il a indiqué qu'il continuerait à conseiller le président de manière informelle .Les allégations du New York Times ont ravivé les discussions sur la santé mentale et le comportement de Musk, déjà sujet à controverse par le passé. En 2018, il avait suscité la polémique en apparaissant en train de fumer du cannabis lors d'une interview, ce qui avait entraîné des tests de dépistage de drogues pour les employés de SpaceX .Bien que Musk ait reconnu une utilisation passée de la kétamine à des fins thérapeutiques, il insiste sur le fait qu'il ne consomme actuellement aucune drogue. Cette affaire souligne les tensions persistantes entre Musk et certains médias, ainsi que les préoccupations concernant son influence croissante dans les sphères politique et technologique.Pour plus d'informations, vous pouvez consulter l'article du New York Times détaillant ces allégations . Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La confiance en soi est le carburant de votre succès et bien-être au travail. Elle influence chaque aspect de votre performance, des dynamiques d'équipe à la culture de votre entreprise. Mais soyons honnêtes, ce sentiment peut fluctuer même au cours d'une seule journée (aaaaah la nature humaine !!!).
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est un phénomène discret mais spectaculaire : depuis les années 1980, la France — comme la plupart des pays développés — connaît une hausse marquée du nombre de naissances de jumeaux et jumelles. On parle même d'un « baby boom des jumeaux ». Selon une étude publiée dans la revue Human Reproduction en 2021, le taux de naissances gémellaires a augmenté de plus de 30 % en quatre décennies dans les pays à revenu élevé. Mais d'où vient cette explosion ? Et surtout, quelles en sont les implications médicales ?PMA, FIV : des jumeaux de laboratoire ?La première cause identifiée, c'est l'essor des techniques de procréation médicalement assistée (PMA), notamment la fécondation in vitro (FIV), depuis les années 1980. Lors d'une FIV, il est courant que plusieurs embryons soient implantés dans l'utérus pour augmenter les chances de réussite. Résultat : les grossesses multiples sont plus fréquentes. Et même lorsque la stimulation ovarienne est utilisée sans FIV, elle peut favoriser la libération de plusieurs ovules, augmentant le risque de conception gémellaire.Des mères plus âgées… et plus grandesMais la technologie ne fait pas tout. Un autre facteur important est l'âge de la mère. À partir de 35 ans, les femmes ont plus souvent des cycles où plusieurs ovocytes sont libérés en même temps. Or, l'âge moyen de la première maternité n'a cessé d'augmenter en France, passant de 26 à près de 31 ans entre 1975 et aujourd'hui.La taille et le poids de la mère jouent également un rôle. Les femmes plus grandes ou ayant un indice de masse corporelle (IMC) plus élevé ont un risque légèrement supérieur d'avoir des jumeaux. Il ne s'agit pas ici de juger ces facteurs, mais de constater une tendance biologique.Et la génétique ?Côté hérédité, les jumeaux dizygotes (issus de deux ovules fécondés séparément) sont plus fréquents dans certaines familles. Si une femme a déjà eu des jumeaux ou si elle a des antécédents familiaux, ses chances en sont augmentées. À l'inverse, les jumeaux monozygotes (issus d'un même ovule divisé en deux) semblent répartis plus aléatoirement dans la population.Une grossesse à risquesMais cette hausse n'est pas sans conséquences : les grossesses gémellaires comportent plus de risques, à la fois pour la mère (hypertension, diabète gestationnel) et pour les bébés (prématurité, faible poids à la naissance). Les médecins recommandent donc un suivi renforcé pour ces grossesses multiples.En somme, le « baby boom des jumeaux » est le fruit d'une rencontre entre progrès médical, évolutions sociales et facteurs biologiques. Une aventure à deux… qui demande parfois deux fois plus de précautions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lors du brillant succès du PSG en finale de la Ligue des champions contre l'Inter Milan, de nouvelles violences ont éclaté. En France, un samedi soir de victoire, ce sont désormais des mortiers, des sirènes, des couteaux, des policiers blessés et même des morts.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'histoire de cet adolescent néerlandais de 17 ans qui s'est réveillé d'une anesthésie en parlant uniquement anglais — incapable de comprendre sa langue maternelle — relève d'un phénomène neurologique rare, souvent appelé syndrome de la langue étrangère (Foreign Language Syndrome), à ne pas confondre avec le syndrome de l'accent étranger (Foreign Accent Syndrome). Voici comment une intervention chirurgicale pourrait provoquer une telle transformation linguistique.1. Un phénomène neurologique extrêmement rareLe syndrome de la langue étrangère survient parfois après des traumatismes cérébraux, des AVC, des crises d'épilepsie, ou — plus rarement — des anesthésies générales. Le cerveau, à la suite d'un déséquilibre chimique ou d'une micro-lésion temporaire, semble réorganiser l'accès aux structures du langage, favorisant une langue étrangère apprise mais jusque-là secondaire. Dans le cas du jeune néerlandais, il avait étudié l'anglais à l'école, ce qui laisse penser que la mémoire de cette langue s'est temporairement imposée sur celle du néerlandais.2. Les zones cérébrales impliquéesLe langage est principalement traité dans deux régions du cerveau :• L'aire de Broca (production du langage) dans le lobe frontal gauche.• L'aire de Wernicke (compréhension du langage) dans le lobe temporal gauche.Lors d'une anesthésie, certains déséquilibres métaboliques, une hypoperfusion temporaire (baisse de l'oxygénation dans des zones précises), ou même de minuscules lésions invisibles à l'IRM peuvent désorganiser ces zones ou leurs connexions. Résultat : la langue maternelle devient inaccessible, alors que la langue étrangère — stockée dans des circuits partiellement distincts — reste activée.3. Une forme de plasticité cérébrale inversée ?Ce phénomène pourrait être vu comme une démonstration extrême de la plasticité cérébrale. Le cerveau, confronté à une contrainte (traumatisme, anesthésie, inflammation), tente de recréer un schéma linguistique cohérent avec ce qu'il peut encore mobiliser. Il se "rabat" alors sur une langue étrangère, souvent mieux structurée scolairement, avec des règles syntaxiques plus rigides, parfois plus faciles à reconstruire que la langue maternelle parlée plus intuitivement.4. Récupération et temporalitéDans la majorité des cas documentés, les effets sont transitoires. Le néerlandais du patient est généralement revenu progressivement, parfois en quelques heures ou quelques jours. Le phénomène semble davantage lié à un "réglage" temporaire des connexions neuronales qu'à un effacement profond de la mémoire linguistique.5. Une construction partiellement psychosomatique ?Certains neurologues considèrent que ce syndrome peut avoir une composante psychogène. Un choc émotionnel lié à l'intervention, à l'anesthésie ou à l'environnement médical peut désinhiber certaines fonctions, provoquant un accès anormal à une langue apprise. C'est pourquoi ce syndrome est parfois observé chez des polyglottes ou dans des contextes de stress extrême.En résumé, une intervention chirurgicale peut, dans des circonstances rares mais réelles, désorganiser temporairement les circuits cérébraux du langage, faisant "ressortir" une langue étrangère apprise, au détriment de la langue maternelle. Ce phénomène étonnant reste peu compris, mais fascine les neuroscientifiques pour ce qu'il révèle sur les mystères de la mémoire linguistique et la souplesse du cerveau humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si vous voulez prendre des leçons de français avec moi:logokala@hotmail.com----------------------Lors de l'ouverture du Festival de Cannes, un hommage est rendu à la photojournaliste palestinienne Fatima Hassouna, tuée à Gaza, suscitant l'émotion.Traduction:At the Cannes Film Festival opening, a tribute is paid to Palestinian photojournalist Fatima Hassouna, killed in Gaza, stirring strong emotions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les infos aléatoires du monde by Salomé, c'est tous les matins à 8h10.
C dans l'air du 26 mai 2025 : Trump : Poutine "est devenu complètement fou"Donald Trump a durci le ton contre le maître du Kremlin après un week-end d'attaques russes meurtrières en Ukraine malgré les pourparlers engagés pour arriver à un cessez-le-feu. Le président des États-Unis dit vouloir une fin rapide de la guerre mais, malgré son optimisme affiché lundi dernier après un appel de près de deux heures avec son homologue russe, les bombardements se sont intensifiés ces derniers jours. La nuit dernière, 355 drones ont été lancés sur l'Ukraine, un record depuis le début de l'invasion russe en février 2022.Un peu plus tôt dans la journée Donald Trump a fait part de son mécontentement vis-à-vis de Vladimir Poutine, qui "envoie des roquettes sur des villes et tue des gens" en Ukraine alors que "nous sommes en pleines discussions" pour parvenir à un éventuel cessez-le-feu. "J'ai toujours eu de très bonnes relations avec (le président) russe Vladimir Poutine mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU", a écrit Donald Trump sur le réseau social Truth Social. "J'ai toujours dit qu'il voulait TOUTE l'Ukraine, pas seulement une partie, et peut-être que cela se révèle juste mais s'il le fait, cela mènera à la chute de la Russie !", a-t-il ajouté.Ces attaques russes ont poussé Kiev et ses alliés européens à appeler à punir Moscou et à exercer une plus forte pression internationale sur la Russie, pour notamment limiter ses exportations de pétrole et le gaz, essentiels à son effort de guerre. Mais Donald Trump reste évasif sur toute action concrète visant la Russie alors que dans le même temps il multiplie les volte-face vis-à-vis de l'Union européenne. Ainsi après avoir menacé l'UE, vendredi, de lui imposer des droits de douane à hauteur de 50 % à partir du 1er juin, le président américain a rétropédalé, dimanche soir. Il a annoncé reculer cet ultimatum au 9 juillet prochain, soit plus ou moins un retour à la date initiale. Celle de la fin de la période de trois mois qu'il a laissé au monde entier, début avril, avant l'entrée en vigueur de ses "droits de douane réciproques".En déplacement en Asie du sud-est, Emmanuel Macron s'est dit ce lundi "confiant" au sujet des discussions commerciales entre l'Union européenne et les États-Unis. Il a, par ailleurs, estimé que "le président Trump réalise que lorsque le président Poutine lui a dit qu'il était prêt à la paix, il lui a menti". Lors de ce point presse, le chef d'État a également réagi aux images le montrant recevant dans le visage une main de son épouse dans l'avion, à leur arrivée à Hanoï dimanche soir et qui ont suscité de très nombreux commentaires sur les réseaux sociaux. "On se chamaillait, on plaisantait", a assuré le chef de l'Etat. "Nous sommes surpris de voir que ça devient une espèce de catastrophe planétaire. C'est un peu n'importe quoi, il faut que tout le monde se calme". Les vidéos sont vraies mais on fait dire aux vidéos beaucoup de bêtise", a ajouté Emmanuel Macron alors qu'une autre vidéo du chef de l'Etat dans un train pour Kiev, avait agité ces dernières semaines les milieux complotistes, le voyant cacher un mouchoir usagé, interprété comme étant un sachet de cocaïne.LES EXPERTS :- JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express
C dans l'air du 23 mai 2025 : "Dôme d'or" : Trump relance la guerre des étoilesUn "dôme d'or", reposant sur un réseau de satellites capables d'intercepter des missiles jusque dans l'espace : tel est le projet titanesque porté par Donald Trump pour renforcer la défense des États-Unis d'ici la fin de son mandat."Une fois opérationnel, le Golden dome pourra intercepter des missiles, même s'ils sont tirés depuis l'autre bout de la planète ou depuis l'espace", a déclaré le président des Etats-Unis mardi, lors d'un briefing médiatisé depuis le Bureau ovale.Le secrétaire à la Défense a ensuite précisé que le système visait à protéger le territoire américain contre toute attaque de missiles – qu'ils soient de croisière, balistiques, hypersoniques – ainsi que de drones, qu'ils soient armés de charges conventionnelles ou nucléaires.Ces annonces marquent un tournant dans la militarisation de l'espace, longtemps considérée comme un tabou. Elles suscitent scepticisme et inquiétudes. Les experts jugent le calendrier irréaliste, et le budget annoncé – 175 milliards de dollars – largement sous-estimé. Certains spécialistes estiment que le coût réel pourrait être multiplié par dix, vingt, voire trente. Certains redoutent déjà que ce Dôme d'or ne se transforme en "passoire dorée".L'Amérique se dirige-t-elle vers un "Dôme de fer" à l'image d'Israël ? Que recouvre précisément ce dôme d'or voulu par Trump ?Le projet rappelle le programme avorté de "guerre des étoiles" de l'ancien président Ronald Reagan, en 1983, à savoir le bouclier spatial qui devait détecter les missiles balistiques russes, et qui n'a jamais été mis au point. Mais les Soviétiques n'avaient pas pu suivre, à l'époque, cette course à l'armement, et cela avait marqué le début de la fin pour l'URSS. Surtout, le point commun entre les projets de Donald Trump et de Ronald Reagan, c'est une démonstration de force qui relance la course aux armements, impliquant cette fois une militarisation de l'espace et, potentiellement, la fin de la dissuasion nucléaire.Un "Dome d'or" qui symbolise aussi un recentrage des États-Unis sur eux-mêmes, alors que les négociations sur la guerre en Ukraine peinent à aboutir. Lors d'un appel avec des dirigeants européens, Donald Trump a admis que Vladimir Poutine ne cherchait pas la paix, convaincu de pouvoir encore remporter le conflit. Il a toutefois écarté toute nouvelle sanction contre Moscou.Dans le même temps, Donald Trump a pris ses distances avec Benjamin Netanyahu, en pleine tourmente internationale et confronté à une contestation grandissante en Israël.Ce vendredi, le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé a appelé l'État hébreu à mettre un terme aux opérations militaires à Gaza, avertissant que plus de deux millions de personnes y sont "en danger de mort imminente".LES EXPERTS :- Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- Anne BAUER - Grand Reporter, en charge des questions spatiales et de défense – Les Echos - Laurence NARDON - Chercheure - Responsable du programme Amériques de l'IFRI, Institut Français des Relations Internationales- Anthony BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- Caroline BRUNEAU ( en duplex) – Journaliste Industrie – Aérospatium