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C dans l'air
Affaire Epstein: Trump cherche la parade - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 64:48


C dans l'air du 18 décembre 2025 - Affaire Epstein: Trump cherche la parade« Il y a onze mois j'ai hérité d'un désastre et je le répare ». C'est avec ces mots que Donald Trump a lancé ce mercredi une courte allocution en guise de bilan de fin d'année. Malgré le mécontentement des Américains, le président américain a maintenu son cap économique tout en accablant son prédécesseur démocrate Joe Biden. Il lui a reproché de lui avoir laissé une économie « au bord de la ruine ». Parmi les autres thèmes abordés : la résolution de huit guerres, selon lui-même, « un boom économique » à venir, ou encore un processus de « migration inversée » enclenché, mais un sujet manquait à l'appel : l'affaire Epstein. Pourtant le dossier est brulant. Les derniers documents liés au délinquant sexuel décédé en 2019 doivent être divulgués d'ici à vendredi par le ministère de la Justice. Après des mois de fausses promesses complotistes puis une volte-face l'amenant à dénoncer un « canular » politique, Donald Trump a été forcé par sa base MAGA à rendre publics les derniers secrets dans cette affaire. La semaine dernière, des élus démocrates au Congrès avaient déjà rendu publiques de nouvelles photos émanant des légataires du criminel sexuel Jeffrey Epstein, qui incluent notamment des images de Donald Trump. « Ces images troublantes soulèvent encore plus de questions sur Jeffrey Epstein et ses relations avec certains des hommes les plus puissants du monde », avaient relevé les élus démocrates de la commission de surveillance à la Chambre des représentants. Qu'en sera-t-il ce vendredi 19 décembre ? Michael Wolff, connu pour ses enquêtes et livres consacrés à Donald Trump, devrait suivre de près la divulgation des derniers dossiers de l'affaire Epstein. Les 23.000 documents publiés, en novembre dernier, révèlent une proximité troublante avec le criminel sexuel, qu'il qualifie pourtant de « monstre ». L'écrivain s'est également confronté à Melania Trump, dans cette affaire. Michael Wolff a porté plainte contre la femme de Donald Trump, qu'il accuse d'avoir tenté de le faire taire après ses révélations sur ses liens avec Jeffrey Epstein. Selon l'auteur du « Feu et la fureur », la Première dame aurait été présentée à son mari par le criminel sexuel. Donald Trump augmente la pression sur le Venezuela. Le président américain a annoncé, mardi 16 décembre, un « blocus total » contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, renforçant la pression économique sur Caracas en pleine crise entre les deux pays. La chute du président vénézuélien Nicolas Maduro apparaît aujourd'hui comme l'un des principaux objectifs de la Maison Blanche.Les dernières révélations sur l'affaire Epstein peuvent-elles avoir des conséquences pour Donald Trump ? Qui est Michael Wolff, le journaliste qui défie le président américain ? Que signifie le « blocus total et complet » imposé par Donald Trump dans la crise politique face au Venezuela ? Nos experts :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales - Corentin SELLIN - Historien spécialiste des États-Unis, chroniqueur Les Jours - Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Les juges contre l'Amérique - Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper

C dans l'air
Affaire Epstein: Trump cherche la parade - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 4:31


C dans l'air du 18 décembre 2025 - Affaire Epstein: Trump cherche la parade« Il y a onze mois j'ai hérité d'un désastre et je le répare ». C'est avec ces mots que Donald Trump a lancé ce mercredi une courte allocution en guise de bilan de fin d'année. Malgré le mécontentement des Américains, le président américain a maintenu son cap économique tout en accablant son prédécesseur démocrate Joe Biden. Il lui a reproché de lui avoir laissé une économie « au bord de la ruine ». Parmi les autres thèmes abordés : la résolution de huit guerres, selon lui-même, « un boom économique » à venir, ou encore un processus de « migration inversée » enclenché, mais un sujet manquait à l'appel : l'affaire Epstein. Pourtant le dossier est brulant. Les derniers documents liés au délinquant sexuel décédé en 2019 doivent être divulgués d'ici à vendredi par le ministère de la Justice. Après des mois de fausses promesses complotistes puis une volte-face l'amenant à dénoncer un « canular » politique, Donald Trump a été forcé par sa base MAGA à rendre publics les derniers secrets dans cette affaire. La semaine dernière, des élus démocrates au Congrès avaient déjà rendu publiques de nouvelles photos émanant des légataires du criminel sexuel Jeffrey Epstein, qui incluent notamment des images de Donald Trump. « Ces images troublantes soulèvent encore plus de questions sur Jeffrey Epstein et ses relations avec certains des hommes les plus puissants du monde », avaient relevé les élus démocrates de la commission de surveillance à la Chambre des représentants. Qu'en sera-t-il ce vendredi 19 décembre ? Michael Wolff, connu pour ses enquêtes et livres consacrés à Donald Trump, devrait suivre de près la divulgation des derniers dossiers de l'affaire Epstein. Les 23.000 documents publiés, en novembre dernier, révèlent une proximité troublante avec le criminel sexuel, qu'il qualifie pourtant de « monstre ». L'écrivain s'est également confronté à Melania Trump, dans cette affaire. Michael Wolff a porté plainte contre la femme de Donald Trump, qu'il accuse d'avoir tenté de le faire taire après ses révélations sur ses liens avec Jeffrey Epstein. Selon l'auteur du « Feu et la fureur », la Première dame aurait été présentée à son mari par le criminel sexuel. Donald Trump augmente la pression sur le Venezuela. Le président américain a annoncé, mardi 16 décembre, un « blocus total » contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, renforçant la pression économique sur Caracas en pleine crise entre les deux pays. La chute du président vénézuélien Nicolas Maduro apparaît aujourd'hui comme l'un des principaux objectifs de la Maison Blanche.Les dernières révélations sur l'affaire Epstein peuvent-elles avoir des conséquences pour Donald Trump ? Qui est Michael Wolff, le journaliste qui défie le président américain ? Que signifie le « blocus total et complet » imposé par Donald Trump dans la crise politique face au Venezuela ? Nos experts :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales - Corentin SELLIN - Historien spécialiste des États-Unis, chroniqueur Les Jours - Anne DEYSINE - Juriste et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Les juges contre l'Amérique - Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, auteure de L'art de trumper

Home(icides)
L'affaire Viguier, la fabrique d'un coupable (4/4) : l'ultime procès

Home(icides)

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 24:15


Rediffusion. Pendant 10 ans, Jacques Viguier, professeur de droit à l'université de Toulouse a vécu l'enfer. A la suite de la disparition de sa femme Suzanne, une nuit de février 2000, il a été accusé de l'avoir tuée. Comment cet homme est-il devenu le coupable idéal ? Dans le dernier épisode de la saison, Stéphane Durant Souffland, chroniqueur judiciaire au Figaro, sera l'invité de Caroline Nogueras pour nous faire revivre le procès en appel de Jacques Viguier. L'ultime procès Ce 1er mars 2010, c'est un nouveau procès qui s'ouvre pour Jacques Viguier. Cette fois, il va devoir faire face aux jurés de la cour d'assise d'Albi. Désormais pour assurer sa défense, l'accusé a pris le toulousain Jacques Lévy et le redoutable ténor du barreau Eric Dupond-Moretti. La petite ville d'Albi est en effervescence. Quel sort attend l'éminent professeur de droit ? Va t-il être plus combatif qu'à Toulouse ? Sera-t-il condamné ou acquitté du meurtre de son épouse ? Parmi les nombreux journalistes venus couvrir ce procès, il y a Stéphane Durand Souffland, chroniqueur judiciaire au Figaro. Il est l'invité de ce dernier épisode. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

The Bamgboshe Happy Hour
Hollywood Tragedy, Sports Scandals & Reality TV Reckonings

The Bamgboshe Happy Hour

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 55:44


In this episode, we break down the biggest and most unsettling stories shaping pop culture right now—spanning Hollywood, sports, film, and reality TV.  

Choses à Savoir
Pourquoi le “pied du roi” a-t-il servi à mesurer ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 2:14


Avant le mètre, avant les règles graduées identiques partout dans le monde, mesurer était une affaire… de corps humain. Parmi ces anciennes unités, l'une des plus célèbres en France est le « pied du roi ». Mais à quoi servait-il exactement ?Le pied du roi était une unité de longueur officielle, utilisée en France jusqu'à la Révolution. Contrairement à ce que son nom pourrait suggérer, il ne correspondait pas au pied d'un roi en particulier, mais à une valeur standardisée par le pouvoir royal. Sa longueur était fixée à 32,48 centimètres.Ce pied servait de base à tout un système de mesures. Un pied était divisé en 12 pouces, chaque pouce en 12 lignes. Ce découpage en multiples de 12 pouvait sembler complexe, mais il avait un avantage pratique : il facilitait les divisions, bien plus que notre système décimal dans certaines situations concrètes.Le pied du roi était utilisé dans de nombreux domaines. En architecture, il permettait de concevoir bâtiments, ponts et cathédrales avec des proportions cohérentes. En artisanat, il servait aux menuisiers, tailleurs de pierre ou charpentiers pour fabriquer des pièces compatibles entre elles. En arpentage, il aidait à mesurer les terrains, même si d'autres unités, comme la toise, étaient aussi employées.Pourquoi “du roi” ? Parce que la mesure était garantie par l'autorité royale. À une époque où chaque région pouvait avoir ses propres unités, le pied du roi incarnait une tentative de centralisation et d'unification. Des étalons officiels — des règles en métal ou en pierre — étaient conservés dans des lieux de référence afin d'éviter les fraudes et les erreurs.Malgré cela, les confusions restaient nombreuses. Le pied variait selon les pays, parfois même selon les villes. Le pied anglais, par exemple, n'avait pas exactement la même longueur que le pied du roi français. Résultat : le commerce international devenait un véritable casse-tête.C'est précisément pour mettre fin à ce chaos que la Révolution française introduit le système métrique à la fin du XVIIIᵉ siècle. Le mètre, défini à partir de la Terre elle-même, devait être universel, rationnel et égal pour tous. En 1799, le pied du roi est officiellement abandonné.Pourtant, son héritage demeure. Les notions de pied et de pouce existent encore dans certains pays, et de nombreux bâtiments anciens portent la trace de ces mesures anciennes.Le pied du roi nous rappelle une chose essentielle : mesurer, ce n'est pas seulement une affaire de chiffres. C'est aussi une question de pouvoir, d'organisation sociale et de vision du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage International
Bulgarie: l'appropriation d'entreprises, un exemple de corruption

Reportage International

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 2:38


En Bulgarie, le président a commencé les consultations pour essayer de former un nouveau gouvernement après la démission du Premier ministre sur fond de manifestations monstres contre le budget 2026. Le pays s'apprête à adopter la monnaie européenne, mais il est miné par l'instabilité politique et une corruption endémique aux multiples formes. Parmi les pratiques qui se répandent, l'appropriation d'entreprises est en plein essor. Exemple à Sunny Beach, au cœur du tourisme balnéaire bulgare.  L'hôtel Paradise Beach est le symbole d'une autre époque : des centaines de chambres sur plusieurs étages, plusieurs restaurants, bars et boîtes de nuit, sans oublier la tour sur la plage. Il fait partie du parc immobilier de Venelin Tachev, qui est propriétaire de cinq hôtels pour une capacité totale de 3 000 lits. C'est après avoir revendu un terrain à son voisin que les ennuis commencent. Après avoir déposé une demande auprès de la mairie pour mieux délimiter sa propriété, Venelin Tashev et ses clients sont harcelés. « Ils ont commencé à mettre de la musique à fond entre minuit et six heures du matin. Et de la musique horrible. Avec mes clients, on a dû appeler les autorités des milliers de fois. Sans aucune conséquence pour ce voisin. Les institutions ne font rien, ni la police, ni le parquet », relate le propriétaire de l'hôtel.   Ce voisin n'est pas n'importe qui, c'est un mafieux suspecté de trafic de drogue. Le terrain racheté a été transformé en villa luxueuse avec un restaurant qui accueille des invités d'honneur. « Je n'ai jamais voulu de conflit avec cette personne, parce que je vois bien qui lui rend visite, poursuit Venelin Tashev. Des personnes très haut placées dans le pays, des personnalités connues, des politiques... Je ne veux pas donner de nom. Tout ça pour qu'on s'approprie mon business, pour mettre la main sur l'hôtel. C'est un des meilleurs hôtels de Sunny Beach. C'est un hôtel cinq étoiles, sur la plage. » « Je m'inquiète [...] des proportions que la corruption va atteindre si on ne fait rien » Le mercredi 10 décembre, à Sofia, 150 000 personnes étaient mobilisées pour protester contre la corruption. Le récit de Venelin Tachev est loin d'être un cas isolé. C'est même devenu chose courante, en Bulgarie. C'est également une des raisons pour lesquelles Yoanna, la vingtaine, est venue protester : « Je m'inquiète surtout de l'avenir et des proportions que la corruption va atteindre si on ne fait rien. Combien de fois des proches de mes parents m'ont raconté comment des responsables politiques faisaient pression sur eux. C'est vraiment démotivant. »  Le budget 2026 a remis de l'huile sur le feu d'un paysage politique déjà tendu. Dimitar, la quarantaine, travaille dans la finance. Pour lui, une chose est évidente : quelqu'un veut se remplir les poches sur le dos du contribuable.  « La raison pour laquelle je suis ici, c'est la corruption et le budget. Il est évident qu'il a été conçu pour que Boïko Borissov, Delyan Peevski et leur clique continuent à s'approprier des millions, voire des milliards. Le fait qu'ils contrôlent tout le système judiciaire en appliquant le principe de la carotte et du bâton, c'est inacceptable. Et c'est pour cela qu'on veut leur démission », assène-t-il.  Finalement, les manifestants ont obtenu gain de cause : le gouvernement de Rossen Jéliazkov, en fait contrôlé par Borissov et Peevski, a démissionné. Mais les législatives anticipées qui suivront risquent de reproduire le même problème que les sept élections qui se sont succédées depuis 2021 : un Parlement fragmenté, une majorité ingouvernable et un gouvernement instable.  À lire aussiBulgarie : le Premier ministre Rossen Jéliazkov démissionne sous la pression de la rue

Les visites du Centre Pompidou
Dessins sans limite

Les visites du Centre Pompidou

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 33:09


Parmi les 300 dessins de la collection du Musée national d'art moderne, cinq conférencières et conférenciers du Centre Pompidou présentent leur dessin coup de cœur. Une série de six portraits peints, un film, une photographie retouchée, trois silhouettes géantes et un dessin exécuté par une danseuse. Crédits :Réalisation : Delphine Coffin et Claude TanguyVoix : Delphine CoffinMontage : Antoine DahanMixage : Ivan GarielRemerciements à : Olivier Font, Elisa Hervelin, Gabriela Kraviez, Catherine Lascaud et Gaëlle PelachaudDesign musical : Sixième son L'exposition "Dessins sans limite" se tient au Grand Palais du 16 décembre 2025 au 15 mars 2026.Coproduction Grand Palais x Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Y'a de l'idée
Cadeaux ratés, fêtes réussies : quand Noël se recycle au musée (et autres idées si vous en manquez)

Y'a de l'idée

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 3:21


Noël approche à grands pas et, soyons honnêtes, il arrive parfois que les cadeaux ne fassent pas plaisir. Pas parce qu'ils sont moches ou inutilisables, mais simplement parce qu'ils ne correspondent pas à nos besoins : un pantalon au lieu d'un pull, un livre en double, un bijou qui ne nous ressemble pas. C'est précisément pour ces cadeaux « mal aimés » qu'existe l'opération Cadeaux pourris.Pour la deuxième année consécutive, cette initiative est lancée par l'association Musées et Société en Wallonie, une fédération qui regroupe depuis près de 30 ans de nombreux musées en Wallonie et à Bruxelles. Le principe est aussi simple qu'astucieux : vous apportez un cadeau que vous venez de recevoir mais que vous n'utiliserez pas… et en échange, un musée vous offre une entrée.Près de 30 musées participent à l'opération. Parmi eux : le Musée du Train à Bruxelles, l'Abbaye de Villers-la-Ville, le SPARKOH! (ancien Pass) à Frameries, la Citadelle de Namur ou encore le Préhistomuseum de Ramioul, où l'on peut découvrir la Préhistoire de manière très immersive. Une visite culturelle en échange d'un objet qui dormait dans une armoire : difficile de faire plus circulaire.Les cadeaux récoltés ne sont évidemment pas jetés. Ils sont redistribués via Les Petits Riens, à condition d'être en bon état et dignes d'intérêt. Les musées se réservent le droit de refuser un objet qui ne pourrait pas faire plaisir à quelqu'un d'autre. L'opération est limitée à un cadeau par famille et par musée, histoire de rester équitable.Et tant qu'à parler de cadeaux, autant réfléchir à ce que l'on offre en amont. De plus en plus de personnes cherchent aujourd'hui à sortir du tout-matériel, et les alternatives ne manquent pas. Parmi les idées qui gagnent du terrain : les abonnements à des bouquets de fleurs de saison, parfois même sous forme d'auto-cueillette directement dans les champs. Une manière poétique et locale de faire plaisir tout au long de l'année.Autre option : les potagers en auto-cueillette, où l'on offre quelques mois d'accès à des légumes frais, locaux et de saison. Utile, sain et économique. Les ateliers chez des artisans rencontrent aussi un succès grandissant : création de parfum, céramique, cuisine, textile… En Belgique, une plateforme centralise ces bons cadeaux auprès de plus de 200 artisans et a déjà séduit des dizaines de milliers de personnes. N'hésitez pas non plus à pousser la porte d'un producteur de votre région pour voir s'il organise ce genre d'ateliers... Côté culture, il existe aussi des abonnements nomades au théâtre, valables dans plusieurs salles, ou encore des abonnements cinéma comme Cineville, qui donnent accès à des salles indépendantes dans différentes villes. Enfin, pour celles et ceux qui aiment changer de style sans surconsommer, les abonnements de location de vêtements permettent de porter des pièces de créateurs, de les échanger régulièrement et de réduire l'impact environnemental de la mode.En résumé : même les cadeaux ratés peuvent devenir de belles expériences, et Noël peut aussi être l'occasion d'offrir du sens, du lien et de la culture.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

Y'a de l'idée
Rompre la solitude des aînés : Samen Toujours rassemble réseaux d'entraide des personnes âgées isolées

Y'a de l'idée

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 3:07


À l'approche des fêtes de fin d'année, une réalité revient avec plus d'acuité : celle des personnes qui se retrouvent seules, parfois très seules. Parmi elles, de nombreuses personnes âgées pour qui Noël, le réveillon ou simplement l'hiver peuvent devenir des périodes particulièrement difficiles. Pourtant, des solutions existent, à échelle humaine, basées sur la proximité et la solidarité.Parmi elles, l'association Bras dessus Bras dessous, active notamment à Bruxelles mais aussi à La Louvière, Morlanwelz, Nivelles, Ottignies–Louvain-la-Neuve et Rixensart. Son principe est volontairement simple : créer des binômes entre personnes vivant dans un même immeuble ou un même quartier. Il ne s'agit pas de devenir aidant professionnel, mais de donner un peu de temps : passer dire bonjour, téléphoner de temps en temps, partager une promenade, prendre un café, ou simplement appeler le 24 décembre pour rompre le silence.Bras dessus Bras dessous fait partie d'une plateforme plus large appelée Samen Toujours, qui fédère plusieurs réseaux d'entraide bruxellois spécialisés dans l'accompagnement des personnes âgées isolées. Une plateforme qui se distingue par son approche : ici, pas de regard misérabiliste ni de pitié. L'objectif est au contraire de changer le regard sur la vieillesse.Comme l'explique la coordinatrice Estelle Huchart, l'enjeu est de sortir d'une vision où vieillir serait assimilé à une maladie ou à un déclin inévitable. Vieillir, c'est avant tout continuer à faire société. Et si l'isolement s'installe, ce n'est jamais du jour au lendemain : il progresse lentement, au fil de la perte de liens, de mobilité, de confiance. D'où l'importance d'agir tôt, et surtout de cultiver les relations tout au long de la vie.Ces réseaux jouent aussi un rôle plus large de sensibilisation. Car l'isolement n'est pas qu'une question individuelle : il est aussi lié à l'aménagement de nos villes et de nos communes. Manque de bancs publics, éclairage insuffisant, transports peu accessibles, trottoirs difficiles à emprunter… Autant d'éléments qui peuvent renforcer le sentiment d'insécurité et replier les personnes âgées chez elles.Former un binôme, donner un peu de son temps, c'est donc bien plus qu'un geste de gentillesse. Cela permet de recréer de la mobilité, d'améliorer la santé physique, de lutter contre la dépression et certaines maladies chroniques, mais aussi de renforcer l'autonomie. C'est également un puissant levier contre l'âgisme — cette discrimination fondée sur l'âge - dans les deux sens : les plus jeunes déconstruisent leurs clichés sur les aînés, et inversement.À Bruxelles, la plateforme Samen Ensemble centralise cette expertise depuis sept ans. En Wallonie, un tel réseau structuré n'existe pas encore, mais les portes sont grandes ouvertes. L'équipe se dit prête à partager ses outils, son expérience et ses conseils avec toute association ou collectif souhaitant se lancer. Une invitation à essaimer, encore et toujours, des idées simples qui rendent la société plus solidaire.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli ! Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be

Ecorama
Christophe Périllat (Valeo) : "Notre performance n'est pas en ligne avec le cours de Bourse"

Ecorama

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 17:50


Christophe Périllat, directeur général de Valeo, spécialiste mondial des technologies automobiles, était l'invité de l'émission Ecorama du 15 décembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la réaction des marchés au plan ELEVATE 2028, l'année de transition 2026, le carnet de commandes de Valeo, les incertitudes du marché automobile mondial, la montée en puissance des véhicules électriques, l'impact de l'IA et de la robotique, les marges et la dette de l'entreprise, la valorisation du titre en Bourse, ainsi que la décision européenne sur l'interdiction des ventes de voitures thermiques en 2035. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi le “sous-projet 94” voulait transformer des animaux en armes vivantes ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 2:34


Au cœur de la guerre froide, les États-Unis comme l'URSS multiplient les programmes secrets les plus extravagants. Parmi eux, un dossier longtemps resté dans l'ombre porte un nom anodin : le “sous-projet 94”. Derrière cette appellation administrative se cachait pourtant une idée déroutante : utiliser certains animaux comme outils militaires, capables d'espionner, de détecter des cibles, voire d'endommager des infrastructures ennemies. Un projet qui en dit long sur l'imagination — et l'inquiétude — des stratèges de l'époque.Les documents déclassifiés évoquent plusieurs pistes explorées en parallèle. D'abord, l'idée d'exploiter les capacités sensorielles exceptionnelles de certains animaux, notamment les oiseaux, les chiens ou les mammifères marins. L'objectif n'était pas de les transformer en armes au sens létal, mais plutôt d'utiliser leurs talents naturels là où la technologie humaine était encore limitée. Ainsi, durant les années 1960, on espérait qu'un oiseau dressé puisse discrètement transporter un dispositif d'écoute miniature, ou qu'un dauphin reconnaisse une forme sous-marine suspecte mieux qu'un sonar.Dans le cadre du sous-projet 94, les chercheurs examinaient également comment ces animaux réagissaient au dressage, à la contrainte ou à des environnements inhabituels. Le but était de contrôler leur comportement suffisamment précisément pour les déployer dans des missions délicates : repérage d'un sous-marin, surveillance d'un port, détection d'explosifs. Rien de spectaculaire, mais une volonté très pragmatique d'exploiter la biologie comme un complément à la technologie.Cependant, ce projet s'est heurté à deux obstacles majeurs. Le premier est éthique : la simple idée d'utiliser des êtres vivants comme instruments militaires soulevait déjà des résistances, même dans un contexte de tension internationale extrême. Le second est pratique : les animaux ne sont pas des machines. Ils restent imprévisibles, sensibles au stress, aux bruits, aux environnements inconnus. Leur “fiabilité opérationnelle” s'est révélée largement insuffisante, au point que plusieurs lignes du programme furent rapidement abandonnées.Avec le temps, le sous-projet 94 est devenu un symbole des limites de la science militaire. Il incarne cette époque où l'on croyait encore que la biologie pourrait être modelée à volonté, sans mesurer la complexité du vivant. Aujourd'hui, il demeure un épisode fascinant : un projet à la fois ambitieux, dérangeant et révélateur des angoisses technologiques de la guerre froide, où l'on cherchait désespérément à trouver l'avantage décisif — quitte à regarder du côté du règne animal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir
Qu'est-ce que le zeugma, cette figure de style qui surprend l'esprit ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 2:04


Parmi les figures de style qui donnent de l'éclat et de l'originalité à un texte, le zeugma – parfois écrit zeugme – occupe une place très particulière. Il s'agit d'une figure qui associe, sous une même construction grammaticale, deux éléments qui n'appartiennent pas au même plan de signification. Concrètement, un même verbe ou un même adjectif va gouverner deux compléments très différents… créant un effet souvent drôle, inattendu ou poétique.L'exemple classique est celui-ci : « Il a pris le train et ses jambes à son cou. » Le verbe prendre relie deux réalités incompatibles : un moyen de transport et une expression figurée. Le lecteur est surpris, parfois amusé, parce que l'esprit doit faire un petit écart mental pour associer deux images qui ne vont normalement pas ensemble.Le zeugma peut prendre deux formes principales. Le zeugma sémantique est le plus fréquent : on y associe des termes dont les sens n'ont rien à voir. On peut dire par exemple : « Elle a perdu ses clés et le sourire », où perdre s'applique à un objet concret puis à un état émotionnel. Vient ensuite le zeugma syntaxique, plus rare, qui joue non pas sur le sens mais sur la structure grammaticale : un verbe commun sert de lien à deux constructions grammaticalement différentes. Par exemple : « Il admire son courage et d'être venu », où admirer relie un nom et un infinitif.Le zeugma a une longue histoire. On en trouve des traces dans l'Antiquité grecque – le mot lui-même vient du grec zeugnynai, « joindre » – mais il s'épanouit particulièrement dans la littérature classique, puis chez les romantiques et les auteurs contemporains. Victor Hugo, Rabelais ou encore Voltaire l'utilisent pour surprendre, créer un contraste ou faire sourire. Plus près de nous, Raymond Queneau ou Amélie Nothomb affectionnent ce procédé qui bouscule la logique du discours.Pourquoi cette figure fonctionne-t-elle si bien ? Parce qu'elle joue sur une rupture de sens, un décalage qui oblige le lecteur ou l'auditeur à reconstruire mentalement l'image. Le zeugma brise nos automatismes linguistiques et déclenche une petite gymnastique intellectuelle. Soudain, le langage devient un terrain de jeu : les mots glissent, se superposent, se heurtent avec malice.En somme, le zeugma est l'art de faire tenir ensemble des choses qui ne vont pas ensemble, pour mieux étonner. Une figure brève, parfois subtile, mais qui révèle toute la créativité de la langue française. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

SBS French - SBS en français
Retour sur l'année politique en Australie

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 18:08


En politique australienne, l'année 2025 a été marquée par des mesures prévisibles et des résultats surprenants. Parmi ces surprises, on peut citer les élections de mai dernier qui ont vu le Parti travailliste remporter une victoire écrasante et la défaite de deux chefs de partis d'opposition, Peter Dutton et Adam Bandt, qui ont perdu leur siège.

Choses à Savoir SANTE
Quelle est la différence entre la chirurgie esthétique et la médecine esthétique ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 2:17


Quand on parle de modifier son apparence, on mélange souvent deux domaines pourtant très différents : la chirurgie esthétique et la médecine esthétique. Elles partagent un objectif commun — améliorer l'apparence physique — mais leurs méthodes, leurs actes et leurs implications n'ont rien à voir.La chirurgie esthétique est une branche de la chirurgie plastique. Elle consiste à intervenir de façon invasive, en salle d'opération, sous anesthésie locale ou générale, avec souvent des incisions et un temps de récupération. Elle modifie de manière durable, parfois définitive, la structure du corps. Par exemple : une rhinoplastie, une augmentation mammaire, un lifting du visage, une liposuccion ou une blépharoplastie. La chirurgie esthétique requiert un chirurgien spécialisé, un bloc opératoire et un suivi médical post-opératoire. Elle engendre aussi des risques plus importants : complications anesthésiques, infections, cicatrices, ou résultats définitifs parfois difficiles à corriger. C'est une démarche lourde, pensée sur le long terme.La médecine esthétique, elle, est une pratique médicale non chirurgicale. Elle repose sur des actes minimaux ou non invasifs, réalisés en cabinet, sans anesthésie générale ni hospitalisation. L'objectif est d'obtenir un embellissement progressif et naturel, souvent avec des résultats temporaires. Parmi les actes les plus courants : les injections d'acide hyaluronique, le Botox, les peelings, la mésothérapie, la lumière pulsée ou encore le laser pour traiter la peau. Ces procédures ont généralement peu d'effets secondaires et n'exigent qu'un temps de récupération très court, parfois aucun. Le médecin esthétique agit donc davantage en surface, en retardant les signes du vieillissement plutôt qu'en modifiant la structure profonde du corps.La différence la plus importante tient donc au niveau d'invasivité et à la réversibilité. La chirurgie esthétique transforme, la médecine esthétique optimise. La première demande une vraie préparation, un bilan médical et un engagement personnel, puisque les résultats sont durables. La seconde s'inscrit souvent dans une routine de soins, réalisée tous les 6 à 18 mois selon les patients et les techniques.Enfin, les motivations des patients divergent parfois. La médecine esthétique attire ceux qui veulent prévenir ou corriger légèrement, sans transformation radicale. La chirurgie, elle, répond aux attentes de changement plus marqué, parfois à des complexes installés de longue date.En résumé : la médecine esthétique embellit, la chirurgie esthétique transforme. Deux approches complémentaires, mais fondamentalement différentes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage Afrique
Maroc, une nation de foot [1/5] : témoignage des joueurs de la génération 1976

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 2:15


Le Maroc se prépare à accueillir la CAN. Le pays est bien décidé à remporter à nouveau le trophée ! Dans l'histoire du football africain, c'est comme une anomalie : le royaume fait partie des grandes nations du continent, et pourtant, il n'a remporté la compétition qu'une seule fois en 1976, en Éthiopie. S'il y a bien des personnes qui savent comment faire pour gagner, ce sont les anciens internationaux marocains de cette époque. Rencontre avec Abdelâali Zahraoui et Abdallah Tazi, deux joueurs de la sélection 1976.  De notre correspondant de retour de Fès,  En 1976, la compétition oppose alors huit sélections. Parmi elles, il y a le Zaïre, le Nigéria, la Guinée, l'Égypte, des cadors du continent. Le Maroc ne fait pas partie des favoris. Abdelâali Zahraoui était milieu de terrain de la sélection marocaine : « Tout le monde a joué avec leur force, avec leur volonté, avec tout ! » L'Éthiopie accueille la CAN cinq mois tout juste après un coup d'État militaire. Abdallah Tazi est également ex-milieu de terrain marocain. « Il y avait deux chars devant l'hôtel. Quand on sortait, on était suivis par des policiers », se remémore-t-il.  Cette CAN se joue sous la forme d'une poule finale. Le dernier match, le 14 mars 1976, oppose le Maroc à la Guinée. Une équipe légendaire avec des grands noms comme Petit Sory, Papa Camara… Les Lions de l'Atlas ont besoin d'un match nul pour finir en tête du classement, les Guinéens doivent absolument l'emporter. « Les Guinéens, dès le début du match, ils ont été supérieurs à nous. Ils avaient une très belle équipe, c'était le Brésil d'Afrique, certainement la meilleure du continent », retrace Abdallah Tazi.  À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6]   C'est le Syli national qui ouvre le score à la 33ᵉ minute, et pendant près d'une heure, il est champion d'Afrique. Mais à la 86ᵉ minute, venu de la défense marocaine, Ahmed Magrouh, alias « Baba », envoie un boulet de canon pleine lucarne. « Un but exceptionnel, mais Baba, il monte seulement dans le corner. Si tu lui demandes de tirer 50 fois, il ne marquera jamais. Ils avaient de la réussite », commente Abdelâali Zahraoui.  Il ressort les photos de cette époque. Sur l'un des clichés en noir et blanc, on le voit poser amoureusement ses yeux sur une petite coupe de métal brillant, c'est la CAN 76. « On nous demande à chaque fois de parler de notre parcours, s'amuse Abdallah Tazi. Il n'y en a que pour la CAN 76. L'équipe actuelle va remporter la CAN et on sera enfin tranquilles, les journalistes n'auront plus à nous appeler ! » Pour Abdelâali Zahraoui, également, c'est une certitude : « Au Maroc, on va gagner la Coupe d'Afrique. Cette année ! » À lire aussiCAN: ces héros peu connus qui ont illuminé la Coupe d'Afrique

Le Vieux Sage
Yoga Vasistha

Le Vieux Sage

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 27:53


« Pour ceux qui aspirent à la plus haute félicité, le Yoga Vasistha est pareil au nectar. C'est un puits de sagesse.  » Swami Venkatesananda.A ceux qui désirent connaître le sens de la vie, on prescrit depuis la nuit des temps la lecture et l'étude des Ecritures. En se fondant sur de telles sources, ils ne sont jamais induits en erreur. Le Yoga Vasishtha décortique la conscience, notre perception du monde, sa dissolution ultime, la libération de l'âme et la création de l'univers, du point de vue du sage libéré. Parmi les grands monuments fondateurs de la pensée hindoue, il est une référence incontestée en matière d'Advaita Vedanta.Abondamment citée par les grands maîtres, cette oeuvre intemporelle fait partie de ces textes radicaux qui vont droit à l'essentiel, bousculent et répondent à toutes les questions. Attribué à Valmiki, voleur devenu sage, également auteur du Ramayana, le Yoga Vasishtha présente l'enseignement du saint Vasishtha à son élève, le prince Rama, alors en proie au doute et au découragement.Ses trente-deux mille versets dispensent la connaissance ultime, depuis la création du monde jusqu'à la transcendance absolue qu'est notre identité véritable. Ses multiples éclaircissements, ses contes révélateurs regorgeant d'analogies et ses répétitions nécessaires, tant l'ego et le mental sont retors, font de l'enseignement de Vasishtha un guide fiable.Il apaise immanquablement et le tourbillon des pensées ralentit pour laisser poindre peu à peu la quiétude. Disciple proche du grand maître de Yoga et de Vedanta, Swami Sivananda [1887-1963] de la Divine Life Society de Rishikesh, Swami Venkatesananda [1921-1982] nous offre ici la quintessence absolue du Yoga Vasishtha.Parue en anglais il y a bien longtemps, sa traduction est la version de référence. L'essentiel, autant que l'essence des trente-deux mille versets de l'oeuvre originale, s'y retrouve, inaltéré, dans toute sa pureté et sa puissance salvatrice.Quatrième section du Yoga Vasistha traitant de l'existence. Bibliographie: Le Yoga Vasistha par Swami Venkatesananda, traduction de Patrice Repusseau, éditions Inner Quest (https://www.babelio.com/livres/Venkat...) Musique: Simon Slater (https://simonslator.bandcamp.com/album/four-patterns) Narration et réalisation: Bruno Léger Production:  Les mécènes du Vieux Sage Que règnent la paix et l'amour parmi tous les êtres de l'univers.  OM Shanti, Shanti, Shanti. 

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Attentat antisémite à Sydney : «Les Iraniens, selon le Mossad, cherchent à recruter parmi les milieux pakistanais en Australie des cellules dormantes», confie Maxime Perez, spécialiste des questions de défense

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 10:16


Invités :Maxime Perez, ancien correspondant en Israël et spécialiste des questions de sécurité/défense.Michel Fayad, analyste politique et géopolitique.Jules Torres, journaliste politique au JDD.Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

TOPFM MAURITIUS
Entre engagement et créativité, la Collection Maurice lance son 32ᵉ titre et valorise les talents littéraires du pays

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 1:19


La Collection Maurice poursuit son engagement en faveur de la création littéraire locale avec le lancement, cette semaine, de son 32ᵉ titre. Portée chaque année par Immedia, cette initiative offre une plateforme d'expression aux écrivains mauriciens et met en valeur la richesse linguistique et culturelle du pays. Pour l'édition 2025, 36 textes écrits par 31 auteurs ont été retenus autour du thème « Awakening / Nouvel Envol / Lanprint L'avenir », abordant les réalités sociales contemporaines et les aspirations de la société. L'éditeur de la Collection Maurice et directeur d'Immedia, Rama Poonoosamy, est revenu sur les enjeux sociaux explorés dans cet ouvrage, notamment ceux touchant les jeunes, comme la drogue. Il a évoqué, à travers une référence musicale, l'idée qu'un magicien pourrait transformer les armes en guitares, symbolisant le pouvoir de la culture et de la création pour favoriser un changement positif. Parmi les auteurs ayant contribué à cette édition, Luckshmee Jeawon a salué l'initiative, estimant que la Collection Maurice constitue un levier important pour encourager et valoriser les talents littéraires locaux. Elle a souligné que ce projet permet aux écrivains mauriciens de partager leurs récits avec un public plus large.

Reportages par SBS French - Reportages par SBS French
Retour sur l'année politique en Australie

Reportages par SBS French - Reportages par SBS French

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 18:08


En politique australienne, l'année 2025 a été marquée par des mesures prévisibles et des résultats surprenants. Parmi ces surprises, on peut citer les élections de mai dernier qui ont vu le Parti travailliste remporter une victoire écrasante et la défaite de deux chefs de partis d'opposition, Peter Dutton et Adam Bandt, qui ont perdu leur siège.

Fr. Paul Adrien, L'Amour Vaincra !
Évangile du jour & commentaire • Les laissés pour compte de la citation

Fr. Paul Adrien, L'Amour Vaincra !

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 7:02


COMMENTAIRE DE L'EVANGILE DU JOUR Saint Matthieu 11, 2-11En ce temps-là, Jean le Baptiste entendit parler, dans sa prison, des œuvres réalisées par le Christ. Il lui envoya ses disciples et, par eux,  lui demanda : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » Jésus leur répondit : « Allez annoncer à Jean ce que vous entendez et voyez : Les aveugles retrouvent la vue, et les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, et les sourds entendent, les morts ressuscitent, et les pauvres reçoivent la Bonne Nouvelle. Heureux celui pour qui je ne suis pas une occasion de chute ! » Tandis que les envoyés de Jean s'en allaient, Jésus se mit à dire aux foules à propos de Jean : « Qu'êtes-vous allés regarder au désert ? un roseau agité par le vent ? Alors, qu'êtes-vous donc allés voir ? un homme habillé de façon raffinée ? Mais ceux qui portent de tels vêtements vivent dans les palais des rois. Alors, qu'êtes-vous allés voir ? un prophète ? Oui, je vous le dis, et bien plus qu'un prophète. C'est de lui qu'il est écrit : Voici que j'envoie mon messager en avant de toi, pour préparer le chemin devant toi. Amen, je vous le dis : Parmi ceux qui sont nés d'une femme, personne ne s'est levé de plus grand que Jean le Baptiste ; et cependant le plus petit dans le royaume des Cieux est plus grand que lui. »

I am an Equestrian - Le Podcast
Hors-série - En immersion au CHI de Genève | #4 On debrief de l'assemblée générale annuelle de l'IJRC avec François Mathy Jr

I am an Equestrian - Le Podcast

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 27:24


Ce matin, comme chaque année, nous avons assisté à la réunion de l'IJRC, l'International Jumping Riders Club. Un moment rare, précieux, durant lequel cavaliers, représentants de la FEI, organisateurs, fédérations nationales et médias se retrouvent autour de la même table pour échanger, débattre, faire évoluer les règles de notre sport.Parmi les sujets abordés cette année, un thème brûlant : l'article 259, qui autorisait jusqu'ici l'élimination immédiate d'un couple cavalier-cheval à la sortie de piste en cas de trace de sang, quelle que soit la situation. Une règle qui a suscité de vives réactions ces derniers mois, et qui a donc été largement discutée, redéfinie, retravaillée pour proposer une nouvelle version, plus juste, plus adaptée.Dans cet épisode, nous vous proposons de revenir sur ce sujet aux côtés du président de l'IJRC, qui nous apporte son éclairage, son point de vue et les clés pour mieux comprendre les enjeux de cette évolution.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'Évangile du jour
Évangile du 14 décembre : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » (Mt 11, 2-11)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 1:45


Voici l'Évangile du dimanche 14 décembre 2025 :« Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » (Mt 11, 2-11)En ce temps-là, Jean le Baptiste entendit parler, dans sa prison, des œuvres réalisées par le Christ. Il lui envoya ses disciples et, par eux,  lui demanda : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » Jésus leur répondit : « Allez annoncer à Jean ce que vous entendez et voyez : Les aveugles retrouvent la vue, et les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, et les sourds entendent, les morts ressuscitent, et les pauvres reçoivent la Bonne Nouvelle. Heureux celui pour qui je ne suis pas une occasion de chute ! » Tandis que les envoyés de Jean s'en allaient, Jésus se mit à dire aux foules à propos de Jean : « Qu'êtes-vous allés regarder au désert ? un roseau agité par le vent ? Alors, qu'êtes-vous donc allés voir ? un homme habillé de façon raffinée ? Mais ceux qui portent de tels vêtements vivent dans les palais des rois. Alors, qu'êtes-vous allés voir ? un prophète ? Oui, je vous le dis, et bien plus qu'un prophète. C'est de lui qu'il est écrit : Voici que j'envoie mon messager en avant de toi, pour préparer le chemin devant toi. Amen, je vous le dis : Parmi ceux qui sont nés d'une femme, personne ne s'est levé de plus grand que Jean le Baptiste ; et cependant le plus petit dans le royaume des Cieux est plus grand que lui. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

Finta! le podcast
Roquefort, le blues du centenaire ? (bande-annonce)

Finta! le podcast

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 9:42


1925. Depuis cette année-là, on ne peut plus produire du roquefort n'importe où ni n'importe comment. C'est en décrochant son appellation d'origine, la toute première en France, que le « roi des fromages » a été défini par la loi. Pour le consommateur, cela assure sa traçabilité : fini le roquefort au lait de vache, de brebis et de chèvre réunis. Pour les éleveurs, les laitiers et les fabricants, c'est l'assurance d'ancrer l'activité sur un territoire précis et de pérenniser, ainsi, une filière économique non-délocalisable, par définition. 3 mastodontes mondiauxDans les grandes lignes, environ 2600 agriculteurs alimentent 7 entreprises, seulement, qui fabriquent aujourd'hui les 14 000 tonnes de roquefort commercialisées chaque année dans le monde. Parmi ses 7 fabricants, on compte trois mastodontes de l'industrie agroalimentaire mondiale : Lactalis, Savencia, Sodiaal. Les trois leaders industriels français ont leurs propres caves à Roquefort, c'est dire l'attrait de cette filière. A eux trois, ils représentent 95% de la production de roquefort. Les quatre « petits », comme on les appelle souvent, se partagent les 5% restants.Bataille foncièreJuste en disant cela, on comprend que, derrière la vitrine du centenaire, fêté en 2025, se cachent des enjeux plus insoupçonnés : car si la convoitise de grands groupes agroalimentaires a permis au roquefort de s'exporter dans le monde entier, d'être un fleuron du capistalisme agroalimentaire, elle a aussi participer à vider, littéralement, le village de Roquefort-sur-Soulzon, aujourd'hui quasi-fantôme. Puisque le cahier des charges de l'appellation d'origine oblige les fromages à être affinés dans les caves du village, et nulle part ailleurs, la bataille foncière fait rage. Jusqu'à laisser sur la touche des éleveurs qui voudraient renouer avec la fabrication fermière du roquefort, comme il était coutume jusqu'au XIXe siècle, avant l'industrialisation de la filière.Si les acteurs ont réussi, en 1925, à s'allier pour défendre bec et ongle leur fromage face à une concurrence débridée, à la sortie de la première guerre mondiale, il est une autre paire de manche que de faire perdurer cette solidarité dans un marché plus que jamais mondialisé, dans un contexte de difficile renouvellement des générations en agriculture, et parmi des habitudes alimentaires en perpétuelle évolution. Face à la baisse de consommation enregistrée par le roquefort depuis plusieurs années, la filière est bousculée. Mais le cahier des charges demeure pour protéger l'unicité du produit, du « roi des fromages ». Allier la puissance capitalistique du produit à son ancrage ancestral… en voilà un sacré défi à relever !Une trilogie documentaire de Finta !... le 20 décembre 2025, dans vos oreilles !

Xam Sa Dine
003-Parmi les maladies du cœur et la responsabilité de chacun

Xam Sa Dine

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 45:05


003-Parmi les maladies du cœur et la responsabilité de chacun by XamSaDine

Choses à Savoir ÉCONOMIE
A quoi sert l'indice “carton” ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 2:15


Parmi les signaux discrets que surveillent certains économistes pour anticiper un ralentissement, il en est un particulièrement méconnu mais redoutablement révélateur : l'indice “carton”. Son principe est simple : observer la production de boîtes en carton ondulé, ces emballages qui expédient l'immense majorité des biens du quotidien. Et cet indicateur pourrait annoncer, avant les statistiques officielles, l'arrivée d'une récession.L'idée n'est pas nouvelle. Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine, utilisait déjà les volumes de cartons produits pour prendre la température de l'économie. Pourquoi ? Parce que plus de trois quarts des biens non durables — nourriture, produits ménagers, vêtements bon marché, électronique, etc. — sont transportés dans ces boîtes. Si les entreprises réduisent leurs commandes de cartons, c'est souvent parce qu'elles anticipent une baisse de la demande. Et lorsque l'activité ralentit à la base même de la chaîne logistique, cela peut être le signe que la consommation se contracte.En 2024, l'économiste Jadrian Wooten, de Virginia Tech, a remis cet indicateur sous les projecteurs. Il relève une chute notable dans l'industrie américaine du carton : les fabricants prévoient de fermer environ 9 % de la capacité nationale de production. C'est un recul massif, sans équivalent depuis la grande crise de 2008. Une telle contraction implique aussi des conséquences directes : potentiellement des milliers d'emplois supprimés et une activité industrielle affaiblie.Ce mouvement n'arrive jamais par hasard. Si les producteurs ferment des lignes, c'est qu'ils ne reçoivent plus suffisamment de commandes. Et cette baisse des commandes reflète souvent un phénomène plus large : les entreprises vendent moins, donc elles expédient moins, donc elles emballent moins. En d'autres termes, l'indice carton agit comme un thermomètre placé au tout début du cycle économique.Si cette tendance se prolonge, d'autres indicateurs risquent de suivre la même trajectoire : ralentissement du PIB, recul de la production industrielle, puis montée du chômage. Car moins de cartons, c'est finalement moins de biens qui circulent, moins de consommation, et un tissu économique qui commence à se contracter.À travers un objet aussi banal qu'une boîte, l'indice carton rappelle une vérité simple : parfois, ce sont les signaux les plus ordinaires qui permettent de détecter, avant tout le monde, les tensions qui se préparent dans l'économie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reporters
En Israël, la ruée vers les armes des femmes après le 7-Octobre

Reporters

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 24:44


Depuis les attaques terroristes du 7 octobre 2023, Israël a délivré quelque 217 000 nouveaux permis de port d'armes à des civils. Parmi les nouveaux détenteurs : une proportion croissante de femmes. Mères de famille, religieuses ou laïques, vivant dans des colonies comme dans les villages aisés de la côte israélienne, elles défendent toutes l'extension du droit au port d'armes, qu'elles souhaitent voir se généraliser dans leur société. Nos correspondantes, Claire Duhamel et Solène Chalvon-Fioriti, ont enquêté au cœur d'un Israël toujours plus radicalisé, qui mise sur les armes pour assurer sa sécurité.

C dans l'air
Michel Barnier - Budget: la droite dans tous ses états!

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 11:28


C dans l'air l'invité du 10 décembre 2025 avec Michel Barnier, député LR de Paris, ancien Premier ministre, également ancien vice-président de la Commission européenne, et commissaire européen au Marché intérieur.Sébastien Lecornu a salué l'adoption hier du budget de la Sécurité sociale en nouvelle lecture à l'Assemblée, "après un débat exigeant, sans 49.3" et grâce à une "majorité de responsabilité" qui "montre que le compromis n'est pas un slogan". Il a "remercié" les députés qui soutiennent son gouvernement et ont voté le texte "parfois éloigné de leurs propres convictions", alors que les députés Horizons se sont majoritairement abstenus, ne soutenant pas la suspension de la réforme des retraites concédée aux socialistes, ainsi que les Républicains bien que plus partagés.Les députés ont donc voté ce mardi pour le budget de la Sécurité sociale, à 13 voix près, offrant un soulagement certain au gouvernement. De son côté, le Projet de loi de finances (PLF), rejeté à l'Assemblée nationale le 21 novembre, est encore en discussion au Sénat. La France a un budget 2026, ou presque. L'Assemblée nationale a voté la partie dépenses du Projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) par treize voix d'écart. Cela devrait se traduire par un déficit de la "Sécu" limité à 19,6 milliards d'euros en 2026. Parmi les mesures phares du projet, il y a effectivement la suspension de la réforme des retraites, le congé de naissance, qui sert l'objectif de "réarmement démographique" d'Emmanuel Macron, ou encore une surtaxe exceptionnelle sur les mutuelles.Dans une récente tribune aux Echos, Michel Barnier avait indiqué qu'il ne voterait pas ce budget. "On ne doit jamais marchander l'équilibre et la pérennité de notre modèle social au prix de petits calculs politiques irresponsables et de courte vue", estime-t-il. "L'esprit de compromis ne doit pas conduire à tout céder, à tout brader", a-t-il ajouté. Dans C dans l'air l'invité, il réagira au vote du budget de la Sécurité sociale, survenu hier soir à l'Assemblée.

C dans l'air
Michel Barnier - Budget: la droite dans tous ses états!

C dans l'air

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 11:28


C dans l'air l'invité du 10 décembre 2025 avec Michel Barnier, député LR de Paris, ancien Premier ministre, également ancien vice-président de la Commission européenne, et commissaire européen au Marché intérieur.Sébastien Lecornu a salué l'adoption hier du budget de la Sécurité sociale en nouvelle lecture à l'Assemblée, "après un débat exigeant, sans 49.3" et grâce à une "majorité de responsabilité" qui "montre que le compromis n'est pas un slogan". Il a "remercié" les députés qui soutiennent son gouvernement et ont voté le texte "parfois éloigné de leurs propres convictions", alors que les députés Horizons se sont majoritairement abstenus, ne soutenant pas la suspension de la réforme des retraites concédée aux socialistes, ainsi que les Républicains bien que plus partagés.Les députés ont donc voté ce mardi pour le budget de la Sécurité sociale, à 13 voix près, offrant un soulagement certain au gouvernement. De son côté, le Projet de loi de finances (PLF), rejeté à l'Assemblée nationale le 21 novembre, est encore en discussion au Sénat. La France a un budget 2026, ou presque. L'Assemblée nationale a voté la partie dépenses du Projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS) par treize voix d'écart. Cela devrait se traduire par un déficit de la "Sécu" limité à 19,6 milliards d'euros en 2026. Parmi les mesures phares du projet, il y a effectivement la suspension de la réforme des retraites, le congé de naissance, qui sert l'objectif de "réarmement démographique" d'Emmanuel Macron, ou encore une surtaxe exceptionnelle sur les mutuelles.Dans une récente tribune aux Echos, Michel Barnier avait indiqué qu'il ne voterait pas ce budget. "On ne doit jamais marchander l'équilibre et la pérennité de notre modèle social au prix de petits calculs politiques irresponsables et de courte vue", estime-t-il. "L'esprit de compromis ne doit pas conduire à tout céder, à tout brader", a-t-il ajouté. Dans C dans l'air l'invité, il réagira au vote du budget de la Sécurité sociale, survenu hier soir à l'Assemblée.

RTL Soir
"Vous n'allez pas boire un shot d'œuf" : à Paris, ce restaurateur réclame l'assouplissement du label "fait maison"

RTL Soir

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 1:49


Le ministre du Commerce Serge Papin a présenté, ce jeudi 11 décembre, ses mesures pour soutenir le secteur de la restauration. Parmi elles, la volonté d'assouplir les règles du "fait maison", sans en altérer la qualité. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Franck Ferrand raconte...
La plus sage des Mazarines

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 24:52


Parvenu au pouvoir, le cardinal Mazarin fait venir ses neveux et nièces d'Italie, pour qu'ils bénéficient de sa fortune. Parmi eux, Anne-Marie Martinozzi s'apprête à faire le plus incroyable des mariages…   Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Pourquoi les ventes de slips sont-elles un indicateur économique ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 2:26


Parmi les signaux inattendus que les économistes scrutent pour prendre la température d'un pays, il en existe un particulièrement étonnant : la vente de slips et de caleçons masculins. Derrière son apparence anecdotique, cet indicateur repose pourtant sur une logique comportementale simple et révélatrice.L'idée a été popularisée par Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine. Selon lui, la consommation de sous-vêtements masculins évolue très lentement… sauf en période de tension économique. Pourquoi ? Parce que, pour beaucoup d'hommes, l'achat de slips n'est pas une priorité. Contrairement à des produits visibles comme les chaussures ou les vêtements de dessus, personne ne remarque vraiment si vos sous-vêtements sont neufs ou un peu usés. En temps normal, les achats se font à un rythme stable. Mais lorsque l'économie se dégrade, ces dépenses jugées secondaires sont les premières à être repoussées. Autrement dit : si les hommes conservent plus longtemps leurs vieux sous-vêtements, c'est souvent que le portefeuille se serre.Ce comportement fait des ventes de slips une sorte de baromètre discret, un indicateur avancé de ralentissement économique. À la différence d'autres grandeurs macroéconomiques — chômage, PIB, inflation — qui bougent avec inertie, les dépenses du quotidien réagissent immédiatement au moral des ménages. Dès que la confiance baisse, même légèrement, les achats non essentiels sont reportés. Les sous-vêtements masculins, avec leur cycle de renouvellement très régulier, deviennent alors un marqueur sensible de cette prudence accrue.Ce principe s'applique d'ailleurs à d'autres consommations “banalisées”. La fréquentation des restaurants, ou des salons de coiffure, recule souvent avant que les statistiques officielles ne signalent une crise. Et parfois, certains produits deviennent presque des thermomètres économiques traditionnels. À New York, par exemple, le célèbre restaurant Gray's Papaya propose depuis des décennies un menu surnommé sans détour le “Recession Special” : un repas bon marché qui voit ses ventes bondir chaque fois que l'économie vacille. Lorsque les clients affluent vers ces offres à bas prix, c'est généralement que la population commence à ajuster son budget.Ainsi, derrière l'humour apparent de l'“indice du slip”, se cache une observation sérieuse : dans l'économie, les petits arbitrages du quotidien disent souvent plus que les grandes statistiques. Suivre la consommation de biens anodins permet de capter très tôt les changements d'humeur des ménages. Et parfois, un simple slip raconte beaucoup sur l'état d'un pays. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

De vive(s) voix
«Il y a des gens qui rêvent en patois»: la transmission des langues non-majoritaires

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 28:59


Une émission consacrée à la transmission des langues non majoritaires, en compagnie de deux invité.e.s qui partagent leur vision du passage des langues rares : le patois normand dans le documentaire Ma langue natale avec Rémi Mauger, et une multitude d'autres langues, comme l'esperanto, le wolof ou le créole avec le podcast Ma langue maternelle n'est pas la langue de ma mère d'Alice Magdelaine. [L'intervention de Rémi Mauger a été largement écourtée suite à un problème technique indépendant de notre volonté. Nous vous prions de nous en excuser.] Le podcast d'Alice Magdelaine donne la parole chaque mois à un.e invité.e qui livre le récit intime de son rapport à sa langue familiale, souvent différente du français ou de la langue dominante. Ils rendent ainsi visibles la multitude des trajectoires langagières, les rapports affectifs, interrogent leurs propres racines et déconstruisent certaines représentations.  Son dernier épisode est consacré à l'esperanto car, dans certaines familles, bien qu'il s'agisse d'une langue inventée dans un projet de pont entre les peuples, l'esperanto se parle comme une langue maternelle ou ici «conjugale».  Rémi Mauger se penche quant à lui sur le patois normand, dans un documentaire aux allures de road-movie à travers la Normandie. En France, le normand n'a pas de statut officiel : il n'est ni reconnu comme langue régionale à part entière ni enseigné massivement. Le film documente une réalité fragilisée : la langue normande, comme beaucoup de langues régionales en France, risque de disparaître si elle n'est pas transmise.  Ma langue natale nous emmène donc à la rencontre des gardiens et passeurs de ce parler normand. Parmi eux, le Père Marc, rencontré dans cet extrait des bonus du documentaire à l'abbaye de Bricquebec dans le Cotentin.   Invités :  – Alice Magdelaine, sociolinguiste et réalisatrice du podcast mensuel Ma langue maternelle n'est pas la langue de ma mère. – Rémi Mauger, journaliste et réalisateur français originaire d'Herqueville dans la Manche. Son documentaire Ma langue natale sera diffusé sur France 3 Normandie le 11 décembre 2025 à 22h50. Le documentaire est déjà disponible gratuitement en replay sur France TV. Programmation musicale :  La chanteuse martiniquaise Meryl avec le titre Biznes issu de son nouvel album La dame.  Et la chronique de Lucie Bouteloup La Puce à l'oreille qui décrypte aujourd'hui l'expression «mettre les pieds dans le plat», avec la complicité des CM2 de l'École Vulpian à Paris, en partenariat avec Le Robert. 

De vive(s) voix
«Il y a des gens qui rêvent en patois»: la transmission des langues non-majoritaires

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 28:59


Une émission consacrée à la transmission des langues non majoritaires, en compagnie de deux invité.e.s qui partagent leur vision du passage des langues rares : le patois normand dans le documentaire Ma langue natale avec Rémi Mauger, et une multitude d'autres langues, comme l'esperanto, le wolof ou le créole avec le podcast Ma langue maternelle n'est pas la langue de ma mère d'Alice Magdelaine. [L'intervention de Rémi Mauger a été largement écourtée suite à un problème technique indépendant de notre volonté. Nous vous prions de nous en excuser.] Le podcast d'Alice Magdelaine donne la parole chaque mois à un.e invité.e qui livre le récit intime de son rapport à sa langue familiale, souvent différente du français ou de la langue dominante. Ils rendent ainsi visibles la multitude des trajectoires langagières, les rapports affectifs, interrogent leurs propres racines et déconstruisent certaines représentations.  Son dernier épisode est consacré à l'esperanto car, dans certaines familles, bien qu'il s'agisse d'une langue inventée dans un projet de pont entre les peuples, l'esperanto se parle comme une langue maternelle ou ici «conjugale».  Rémi Mauger se penche quant à lui sur le patois normand, dans un documentaire aux allures de road-movie à travers la Normandie. En France, le normand n'a pas de statut officiel : il n'est ni reconnu comme langue régionale à part entière ni enseigné massivement. Le film documente une réalité fragilisée : la langue normande, comme beaucoup de langues régionales en France, risque de disparaître si elle n'est pas transmise.  Ma langue natale nous emmène donc à la rencontre des gardiens et passeurs de ce parler normand. Parmi eux, le Père Marc, rencontré dans cet extrait des bonus du documentaire à l'abbaye de Bricquebec dans le Cotentin.   Invités :  – Alice Magdelaine, sociolinguiste et réalisatrice du podcast mensuel Ma langue maternelle n'est pas la langue de ma mère. – Rémi Mauger, journaliste et réalisateur français originaire d'Herqueville dans la Manche. Son documentaire Ma langue natale sera diffusé sur France 3 Normandie le 11 décembre 2025 à 22h50. Le documentaire est déjà disponible gratuitement en replay sur France TV. Programmation musicale :  La chanteuse martiniquaise Meryl avec le titre Biznes issu de son nouvel album La dame.  Et la chronique de Lucie Bouteloup La Puce à l'oreille qui décrypte aujourd'hui l'expression «mettre les pieds dans le plat», avec la complicité des CM2 de l'École Vulpian à Paris, en partenariat avec Le Robert. 

Code source
Argent prêté, vies bouleversées… Un avocat parisien accusé d'escroquerie

Code source

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 21:48


Le 29 novembre, le Parisien a publié une enquête sur un avocat francilien, accusé d'escroquerie par plusieurs membres de son entourage. Parmi eux, des collègues, voisins ou encore un ancien camarade de promotion. Tous racontent lui avoir prêté d'importantes sommes d'argent… Sans jamais avoir été remboursés. Cet avocat s'appelle Xavier Cazottes. Il travaille dans un prestigieux cabinet d'avocat, présente bien et mène une vie d'apparence tranquille. Aujourd'hui pourtant, six plaintes ont été déposées contre lui pour escroquerie, abus de faiblesse, abus de confiance ou encore harcèlement.Retour sur cette affaire dans cet épisode de Code source avec les deux journalistes du Parisien à l'origine de l'enquête, Juliette Halliez du service vidéo et Florian Loisy de l'Édition de Paris. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le téléphone sonne
Les ruptures conventionnelles, y a-t-il des abus ?

Le téléphone sonne

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 37:26


durée : 00:37:26 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Les négociations sur le budget 2026 touchent bientôt à leur fin. Le gouvernement Lecornu II cherche à faire des économies. Parmi celles-ci, les ruptures conventionnelles et en particulier les indemnités chômages qui coûtent beaucoup à l'Etat. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Winamax Football Club - Le podcast
WFC - OM : De Zerbi doit-il tout changer ?

Winamax Football Club - Le podcast

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 66:55


L'Olympique de Marseille se déplace en Belgique pour affronter l'Union Saint-Gilloise ce soir pour la 6e journée de Ligue des champions. Avec 6 points au compteur et 3 matches encore à jouer, l'OM pourrait faire un grand pas vers la qualification en cas de victoire en Belgique. Comment l'OM aborde cette rencontre ? Les deux matches sans victoire en championnat vous ont-ils inquiétés ? Parmi les autres chocs de la soirée, le déplacement de Liverpool à Milan pour affronter l'Inter… sans Mohamed Salah. Après ses déclarations contre le club et le coach Arne Slot, le Pharaon a été sanctionné. Est-ce la bonne réaction de la part de Liverpool ? L'équipe doit-elle prouver ce soir qu'elle peut performer sans l'Égyptien ?

Mon Carnet, l'actu numérique
{RÉFLEXION} - Débrief Transatlantique avec Jérôme Colombain

Mon Carnet, l'actu numérique

Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 24:16


Dans leur débrief enregistré depuis Las Vegas, Bruno Guglielminetti et Jérôme Colombain comparent Re:Invent à un « pré-CES » tant l'événement attire un public massif et technique. AWS y a présenté un repositionnement clair autour des agents IA, ces outils capables d'exécuter des tâches autonomes à grande échelle, et un écosystème complet allant des modèles Nova jusqu'aux processeurs maison Tranium. Les deux compères reviennent aussi sur les enjeux de souveraineté numérique que soulève l'expansion de l'infonuagique, en évoquant notamment l'AI Factory d'AWS et l'affaire OVH au Canada. Parmi les découvertes, Bruno retient ShopTravel, un agent de voyage intelligent, tandis que Jérôme met en avant Pyanotte, spécialiste de la diarisation vocale. L'épisode se conclut sur une annonce majeure : une entente AWS-Google, bientôt rejointe par Microsoft, visant à assurer une redondance réseau qui pourrait réduire les grandes pannes du web.

Choses à Savoir
Pourquoi Gazap est-elle la bombe non nucléaire la plus puissante jamais créée ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 2:31


Dans l'univers de l'armement moderne, une catégorie d'armes intrigue par sa puissance phénoménale : les bombes thermobariques. Parmi elles se trouve Gazap, considérée comme la bombe non nucléaire la plus puissante du monde. Au dernier salon international de l'industrie de la défense, en 2025 à Istanbul la République de Turquie l'a présentée. Ason nom circule depuis plusieurs années dans les analyses de défense, car elle représente l'aboutissement extrême d'une technologie conçue pour produire un souffle d'une intensité inégalée… sans recourir à l'énergie atomique.Une bombe thermobarique, ou « arme à effet de souffle amélioré », fonctionne selon un principe différent des explosifs classiques. Au lieu de contenir tout le comburant nécessaire dans l'ogive, elle disperse dans l'air un nuage d'aérosol explosif, puis l'enflamme. L'oxygène ambiant devient alors le carburant de la détonation. Résultat : une onde de choc extrêmement longue et destructrice, beaucoup plus intense qu'une explosion traditionnelle.Gazap — dont les caractéristiques exactes restent classifiées — est réputée surpasser largement ses équivalents américains, notamment la célèbre MOAB (« Mother of All Bombs »), qui libère l'équivalent de 11 tonnes de TNT. Les estimations, basées sur des essais publics et des données issues d'experts militaires, suggèrent que Gazap pourrait atteindre une puissance de 40 à 50 tonnes de TNT, soit près de quatre fois l'énergie libérée par la MOAB. Cette puissance titanesque en fait l'arme conventionnelle la plus redoutable jamais construite.Mais ce qui rend les armes thermobariques particulièrement impressionnantes — et controversées —, c'est leur mode d'action. L'explosion produit une dépression instantanée, suivie d'une surpression violente. Cette alternance détruit quasi automatiquement les structures, écrase les bunkers, et peut aspirer l'air présent dans les cavités fermées. Les températures générées dépassent parfois 2 000 °C, vaporisant tout ce qui se trouve dans la zone centrale.Les bombes comme Gazap sont principalement conçues pour détruire :des fortifications souterraines,des réseaux de tunnels,des grottes,des zones urbaines fortifiées.Leur efficacité est telle qu'un rayon de plusieurs dizaines de mètres devient littéralement inhabitable après l'impact, même sans radiation.Bien que non nucléaire, Gazap appartient à une catégorie d'armes dont l'effet psychologique et matériel rivalise avec celui de certaines charges atomiques tactiques. Son existence montre jusqu'où peut aller la technologie militaire moderne pour produire de la puissance sans franchir le seuil nucléaire.En résumé, Gazap n'est pas seulement une bombe : c'est un symbole de la capacité humaine à amplifier l'énergie explosive au-delà de tout ce qui était imaginable sans atome. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

NBA Extra
Où classer CP3 parmi les meilleurs meneurs de l'Histoire ?

NBA Extra

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 4:16


Chris Paul a longtemps été considéré comme l'incarnation du meneur parfait : vision du jeu unique, science du pick-and-roll, clutch, leadership naturel et deuxième meilleur passeur de tous les temps. Mais où le placer dans la hiérarchie ultime aux côtés de Magic Johnson, Stephen Curry, Isaiah Thomas, John Stockton ou encore Jason Kidd ? Avec un palmarès collectif limité mais une influence immense sur chaque équipe traversée, CP3 divise autant qu'il fascine.Avec Fred Weis et Baptiste Denis.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Reportage Afrique
CAN 2025: Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 2:17


Parmi les six villes hôtes de la CAN 2025 au Maroc du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026, Rabat est celle qui accueillera le plus de matchs. Avec ses quatre stades, tous construits pour l'occasion, la capitale marocaine déploie une infrastructure sportive sans équivalent, pour une ville de 500 000 habitants. C'est là désormais que bat le cœur du football marocain.  De notre correspondant à Rabat, Stade olympique, stade Moulay Abdellah, stade Al Medina, stade Moulay Hassan… Additionnées, ces quatre stades représentent plus de 130 000 places. Et au mois de novembre, la clameur des supporters a résonné pour la première fois dans ces arènes ultra-modernes. Les infrastructures à Rabat ont été pensées pour le foot Lors des barrages Afrique de la Coupe du monde 2026, Rabat a pu les tester en conditions réelles. Omar Khyari est le conseiller du président de la Fédération royale marocaine de football, Fouzi Lekjaa. Une fédération dont le siège flambant neuf se trouve évidemment à Rabat. « Rabat reste quand même la capitale du royaume du Maroc, et on ne peut que se satisfaire de la voir être améliorée. Moi, je pense que le plus important, c'est que le Maroc développe ses infrastructures sportives dans toutes ses régions, afin qu'un maximum puisse en profiter. Et, aujourd'hui, c'est le cas. La chance du Maroc, c'est d'avoir une vision à long terme », développe Omar Khyari. Il ne dira pas que Rabat est devenue, en vingt ans, le centre névralgique du foot marocain. Ce serait passer sous silence les investissements dont ont bénéficié d'autres villes, et peut-être aussi risquer d'alimenter une concurrence entre régions. Qu'à cela ne tienne, les infrastructures sorties de terre ces dernières années parlent à sa place. À Rabat, elles ont été pensées pour le foot. Rabat, la ville adaptée pour les grandes compétitions « Ce qui est extraordinaire à Rabat, c'est que toute l'infrastructure est complémentaire. Par exemple, l'aéroport de Sal est à cinq minutes du complexe » Mohammed VI de football, dont Hassan Kharbouch est le directeur. À bord d'une voiturette de golf, nous visitons ses 35 hectares. Inauguré en 2019 près de Rabat, avec ses onze terrains d'entraînement, il sert de lieu de rassemblement pour toutes les équipes nationales marocaines. C'est ici que les coéquipiers d'Achraf Hakimi seront hébergés durant la CAN. Le complexe a nécessité un investissement de près de 60 millions d'euros. « Les anciens joueurs, particulièrement quand ils passent, disent toujours que dans cette génération, maintenant, ils ont une chance et qu'ils ont tous les moyens pour percer. Ça fait de Rabat un outil pour toutes les exigences d'organisation d'un méga événement, d'une compétition », complète Hassan Kharbouch. L'été dernier, c'est la Fifa qui a inauguré à Rabat son bureau principal en Afrique. Devenue capitale d'une puissance émergente du football mondial, la ville réunit aujourd'hui les centres de décision, mais aussi les infrastructures qui contribuent au rayonnement du Royaume. À lire aussiCAN: quand David croque Goliath ou dix exploits de petits-poucets à la Coupe d'Afrique des nations

Le Vieux Sage
Yoga Vasistha

Le Vieux Sage

Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 25:28


« Pour ceux qui aspirent à la plus haute félicité, le Yoga Vasistha est pareil au nectar. C'est un puits de sagesse.  » Swami Venkatesananda.A ceux qui désirent connaître le sens de la vie, on prescrit depuis la nuit des temps la lecture et l'étude des Ecritures. En se fondant sur de telles sources, ils ne sont jamais induits en erreur. Le Yoga Vasishtha décortique la conscience, notre perception du monde, sa dissolution ultime, la libération de l'âme et la création de l'univers, du point de vue du sage libéré. Parmi les grands monuments fondateurs de la pensée hindoue, il est une référence incontestée en matière d'Advaita Vedanta.Abondamment citée par les grands maîtres, cette oeuvre intemporelle fait partie de ces textes radicaux qui vont droit à l'essentiel, bousculent et répondent à toutes les questions. Attribué à Valmiki, voleur devenu sage, également auteur du Ramayana, le Yoga Vasishtha présente l'enseignement du saint Vasishtha à son élève, le prince Rama, alors en proie au doute et au découragement.Ses trente-deux mille versets dispensent la connaissance ultime, depuis la création du monde jusqu'à la transcendance absolue qu'est notre identité véritable. Ses multiples éclaircissements, ses contes révélateurs regorgeant d'analogies et ses répétitions nécessaires, tant l'ego et le mental sont retors, font de l'enseignement de Vasishtha un guide fiable.Il apaise immanquablement et le tourbillon des pensées ralentit pour laisser poindre peu à peu la quiétude. Disciple proche du grand maître de Yoga et de Vedanta, Swami Sivananda [1887-1963] de la Divine Life Society de Rishikesh, Swami Venkatesananda [1921-1982] nous offre ici la quintessence absolue du Yoga Vasishtha.Parue en anglais il y a bien longtemps, sa traduction est la version de référence. L'essentiel, autant que l'essence des trente-deux mille versets de l'oeuvre originale, s'y retrouve, inaltéré, dans toute sa pureté et sa puissance salvatrice.Troisième section du Yoga Vasistha traitant de la création.Ce chapitre traite de l'irréalité de la création. Bibliographie: Le Yoga Vasistha par Swami Venkatesananda, traduction de Patrice Repusseau, éditions Inner Quest (https://www.babelio.com/livres/Venkat...) Musique: Simon Slater (https://simonslator.bandcamp.com/album/four-patterns) Narration et réalisation: Bruno Léger Production:  Les mécènes du Vieux Sage Que règnent la paix et l'amour parmi tous les êtres de l'univers.  OM Shanti, Shanti, Shanti. 

Reportage Afrique
Côte d'Ivoire: à Abidjan, un programme aide les enfants à sortir de la rue

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 6, 2025 2:32


En Côte d'Ivoire, en 2023, le ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfant a identifié plus de 16 300 enfants vivant dans la rue dans une dizaine de villes ivoiriennes, dont Abidjan. Ils dorment sur les trottoirs, survivent de petits boulots ou de mendicité… Des enfants livrés à eux-mêmes et exposés à la violence et aux abus. Mais depuis peu, les choses changent. Grâce au Programme pour la protection des enfants et adolescents vulnérables, des équipes sillonnent les quartiers pour leur tendre la main. Entre missions de rue, écoute et réinsertion, ces acteurs sociaux tentent de redonner une chance à ces enfants oubliés. De notre correspondant à Abidjan, Ce matin-là, des agents du Programme pour la protection des enfants et adolescents vulnérables arpentent les rues d'Abidjan. À bord de leurs véhicules, ils avancent prudemment, scrutent les trottoirs, les marchés, les dessous de ponts et les feux tricolores. Leur mission : repérer les enfants livrés à la rue. Parmi eux, Seaty Ebert, conseiller d'éducation. « Ce sont les mineurs qui sont recherchés. Celles qui vendent l'eau, qui ont l'âge d'aller à l'école et qui sont dans la rue. Et puis au niveau des jeunes garçons, ceux qui sont entre les véhicules en train d'essuyer les pare-brise. À vue d'œil, on les reconnaît », explique-t-il. Prise en charge des enfants au centre d'écoute et d'orientation du programme Quelques minutes plus tard, deux fillettes en train de mendier, un petit vendeur de chips, et un garçon fiévreux couché à même le sol sont identifiés. Embarqués dans le véhicule, les enfants se montrent d'abord méfiants. Ebert tente alors de les rassurer. « N'ayez pas peur, ne pleurez pas. On ne va pas vous faire du mal. C'est compris ! Votre place ce n'est pas dans les rues. » Direction Yopougon, au centre d'écoute et d'orientation du programme. Ici, les enfants mangent, reçoivent les premiers soins, puis sont suivis par des psychologues et des éducateurs. L'intérêt est de comprendre leur parcours, de recontacter les familles quand c'est possible, ou de préparer leur réinsertion. « Chaque enfant est un cas spécifique pour nous », précise Mamadou Touré, responsable dudit centre. « Si c'est un enfant qui a été déscolarisé, on a des écoles partenaires où on place l'enfant. Pour ceux dont l'âge excède 18 ans, on a des centres partenaires. On essaie de déceler le talent qui est le sien et on l'envoie vers cette formation. » Un réseau d'exploitation d'enfants découvert Le dispositif a permis de sortir plus de 4 000 enfants de la rue ces deux dernières années, assure le ministère ivoirien de la Femme, de la Famille et de l'Enfant. Mais les causes restent profondes : pauvreté familiale, violences domestiques, ruptures sociales. Pour certains enfants, revenir dans un cadre strict n'est pas une chose facile. Le sociologue Bini Koffi explique les résistances. « Un enfant qui s'est autonomisé dans la rue, qui a l'habitude d'agir seul et qui est libre de ses actions, si vous le remettez dans une situation familiale, que ce soit dans sa famille, ou dans un centre où il doit être orienté en terme de comportement, il est évident qu'il y aura un clash et il ne peut pas supporter. » Les maraudes ont aussi permis de mettre au jour un réseau d'exploitation d'enfants à des fins de mendicité, provenant de pays voisins. Fin 2023, 18 adultes ont été interpellés. Une enquête a été ouverte par le procureur de la République. Les enfants, eux, ont été confiés à leurs ambassades à Abidjan. À lire aussiCôte d'Ivoire: sortir de la rue

Dans la playlist de France Inter
Meryl : "Biznes" qui roule

Dans la playlist de France Inter

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 6:18


durée : 00:06:18 - Dans la playlist de France Inter - La chanteuse Martiniquaise publie 'La Dame', nouvel album au parfum de bouyon, R'nB et shatta. Parmi les invités, Eva, Pinpin OSP et une certaine Theodora. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Invité Afrique
Centrafrique: l'opposant Henri-Marie Dondra envisage de «reconcilier le pays et lutter contre la pauvreté»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 11:14


Les Centrafricains sont appelés aux urnes le 28 décembre prochain pour élire leur futur président. Six candidats sont dans les starting-blocks pour croiser le fer avec le chef de l'État sortant, Faustin-Archange Touadera qui, lui, brique un troisième mandat. Parmi eux : l'opposant et ex-Premier ministre Henri-Marie Dondra, dont la candidature a été validée par la Cour constitutionnelle. Organisation des élections, validation des opposants par le Conseil constitutionnel, questions sécuritaires, situation socio-économique, priorités de son programme... Henri-Marie Dondra s'exprime au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Dans son interview à RFI le 24 novembre dernier, le président sortant Faustin-Archange Touadéra a mis en avant son bilan sécuritaire, notamment la signature de plusieurs accords avec de nombreux groupes rebelles et la pacification de tout le territoire centrafricain. Est-ce qu'il n'a pas raison ? Henri-Marie Dondra : Il faut être franc aussi, reconnaître qu'effectivement, il y a aujourd'hui une sécurité qui progressivement s'installe. Elle n'est pas totale, mais elle est aujourd'hui en train de s'installer. Mais à quel prix ? C'est-à-dire ? Ben, écoutez, nous notons des exactions qui sont commises çà et là. Je pense qu'il va falloir davantage que le pouvoir prenne ses responsabilités pour pouvoir justement réprimer toutes les bavures qui sont parfois commises, autant par nos forces de défense et de sécurité que par les forces alliées qui accompagnent nos soldats. Si vous êtes élu, monsieur le Premier ministre, quelles seront vos deux priorités ? Alors, d'abord, réconcilier les Centrafricains par le grand pardon. Donc, j'envisage tout d'abord de convoquer un grand débat national avec toutes les forces vives de la nation pour débattre des questions qui divisent nos compatriotes, notamment les questions liées à la Constitution, à la citoyenneté, au mandat présidentiel. Et je ferai revenir tous nos compatriotes qui sont aujourd'hui en exil. Et d'un... De deux, vous savez que près de 70 % de nos compatriotes vivent sous le seuil de pauvreté, et nous nous attaquerons à la résolution de ces problèmes-là à travers des politiques sectorielles, grâce à un plan d'urgence qui va s'articuler autour de l'agriculture, autour de l'éducation, la santé et les infrastructures de base. Nous allons nous attaquer au secteur de l'eau, au secteur de l'énergie, à l'autosuffisance alimentaire par une agriculture qui sera davantage mécanisée. Henri-Marie Dondra, vous avez été le ministre des Finances du président Touadéra pendant tout son premier mandat. Vous avez même été son Premier ministre au début de son deuxième mandat. Du coup, est-ce que le président sortant ne peut pas vous dire aujourd'hui : « Mais cher monsieur Dondra, mon bilan est aussi le vôtre ! » ? J'assume. J'ai travaillé avec le président Touadéra pendant six ans et tout n'a pas été parfait. Mais au plan économique, nous avons atteint certains objectifs parce que, durant les cinq premières années où j'étais encore au ministère des Finances, nous avons pu stabiliser l'économie avec une croissance qui était d'environ 4,5 %, un chiffre record d'ailleurs enregistré depuis les indépendances. Mais aujourd'hui, quand on observe les chiffres qui sont affichés en termes de croissance, nous oscillons autour de 1,4 ou 1,5. Or depuis quatre ans, je ne suis plus avec lui. Donc, vous assumez les six premières années, mais vous dénoncez les quatre dernières années ? Mais ces quatre dernières années, nous avons assisté à la mise en œuvre d'une nouvelle Constitution et nous avons tous remarqué qu'effectivement, durant ces quatre dernières années, le pouvoir a cherché par tous les moyens à faire passer un troisième mandat. Et nous notons aussi que, bon, les priorités de nos compatriotes ont été reléguées au second plan. Depuis le départ des militaires français, les militaires russes occupent une très grande place dans le dispositif sécuritaire de votre pays. Si vous êtes élu, est-ce que vous leur demanderez de rester ou de partir ? Bon, il y a des conventions qui ont été signées. Si effectivement, dans le cadre des commissions mixtes, nous pouvons arriver à auditer justement les conventions signées, et bien, on aura l'occasion soit de les ajuster à défaut de les revoir. Donc, voilà ma position. Je ne veux pas faire de mon pays un théâtre de conflits géopolitiques en tout cas. Et si les audits ne signalent aucune infraction, vous êtes d'accord pour que les militaires russes restent dans votre pays ? Non, mais je ne demande pas à ce que telle force reste dans mon pays forcément. Nous sommes un pays souverain. À l'occasion, justement des échanges que nous aurons dans le cadre des commissions mixtes, comme je le disais, nous aurons à ajuster les choses et nous aurons à aviser. L'objectif du président sortant, c'est un coup K.O., la victoire au premier tour, comme la dernière fois en 2020. Alors vu son bilan qui n'est pas que négatif comme vous le dites vous-même, est-ce qu'il n'a pas de bonnes chances de réussir son coup ? Ben, vous savez, la politique n'est pas un ring et le peuple n'est pas un arbitre de boxe. Quand on parle d'un coup K.O., on oublie la souffrance des Centrafricains, la déchirure qu'il y a dans le pays. Et je pense qu'il faut parfois être aussi sérieux. Le dire pour moi de cette façon, c'est avoir aussi un peu de mépris pour cette population qui vit dans la misère totale aujourd'hui. Maintenant, s'il y a un coup K.O. avec les adversaires qu'il a aujourd'hui en face, ça sera forcément une fraude qui aura été bien planifiée. Donc moi, je ne pense pas à ce passage du président au premier tour. À lire aussiCentrafrique: «Je ne dis pas que tout est parfait, mais nous avons fait un grand pas», estime le président Touadéra

Reportage Afrique
La Centrafrique se dirige vers des élections apaisées, mais demande justice et réparation [1/2]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 2:14


En Centrafrique, les électeurs devront participer le 28 décembre à un quadruple scrutin historique : législatives, régionales, municipales et présidentielle, au cours de laquelle Faustin-Archange Touadéra briguera un troisième mandat, après avoir changé de constitution en 2023. Dans son bilan, le chef de l'État met en avant les progrès en matière de sécurité et de réconciliation. Il affirme que la Centrafrique est aujourd'hui en sortie de crise et qu'on peut traverser le pays sans risque. Mais les Centrafricains n'en sont pas tous persuadés De notre envoyé spécial à Bangui, Il y a cinq ans, les Banguissois avaient voté dans la crainte d'un assaut rebelle. Cette année, l'échéance approche dans une ambiance beaucoup plus apaisée, d'autant que le Conseil constitutionnel a validé les candidatures de plusieurs opposants. À Bimbo, grande commune à la sortie sud-ouest de Bangui, les associations de soutien au président sont mobilisées. Parmi les présents, on loue la figure d'un président sortant pacificateur. « Dès que le président Touadéra est venu, nous avons eu la paix. Vous savez, la Centrafrique revient de loin. On avait la guerre, il y avait la division, il y avait l'insécurité partout, on ne pouvait pas traverser nos provinces. Mais aujourd'hui, on sent qu'il y a la sécurité, il y a la paix. Aujourd'hui, il a fait asseoir le pays. Tout le monde vit dans la joie. » Ces derniers mois, le gouvernement a signé de nouveaux accords avec des groupes armés, un processus de désarmement a été relancé. Pour autant, braqueurs et coupeurs de route entretiennent une insécurité diffuse en province. Les agissements de porteurs d'uniforme et de mercenaires russes sont aussi régulièrement pointés du doigt, ce qui continue d'inquiéter : « Dans la capitale, on se sent en sécurité. Mais ailleurs, dans l'arrière-pays, il y a des tueries, des meurtres. Il faut donc revoir tout ça », déplore un jeune homme rencontré dans une ruelle du quartier Lakouanga. À écouter aussiCentrafrique: un «retour au dialogue» entre le gouvernement et la milice AAKG est «urgent» « On leur doit la vérité » Dix ans après la fin de la transition, cinq ans après avoir repoussé la CPC, les causes profondes des conflits internes ont-elles été traitées ? « Les Centrafricains sont, je pense, aptes à pardonner, analyse le juriste Arnaud Yaliki, spécialiste de justice transitionnelle et commissaire de la Commission vérité, justice, réparation et réconciliation (CVJRR). Mais avant de pardonner, ils estiment qu'on leur doit la vérité sur ce qui s'est passé, ils veulent que justice soit faite, ils veulent la réparation des réformes institutionnelles qui permettent de corriger les inégalités et les injustices qui sont à la base de la récurrence des crises que nous connaissons. Des efforts ont été faits, mais il y a des défis à relever, souligne le juriste. Si on veut la paix dans ce pays, il faut que tous les Centrafricains, quelle que soit leur ethnie, qu'ils appartiennent ou non à un parti politique, aient les mêmes chances que les autres. Je pense que c'est le levier du développement de la République centrafricaine. » Avec le redéploiement de l'État et la nouvelle carte judiciaire, Arnaud Yaliki appelle à s'attaquer à l'impunité et à la pauvreté. Il demande aux magistrats qui s'installent en province de prendre leurs responsabilités et de juger les coupables de violations des droits humains. À lire aussiCentrafrique: l'opposant Henri-Marie Dondra envisage de «reconcilier le pays et lutter contre la pauvreté»

Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 29 novembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 48:30


Franck Alexandre nous entraine avec l'armée française en manœuvre en Roumanie, sur la frontière est de cette Europe où l'Ukraine est sous la menace de Moscou. Un exercice grandeur nature de l'Otan avec la France aux commandes, il vient de se refermer, il a duré un mois. En seconde partie d'émission, la France avec les familles monoparentales, le papa ou la maman, dans la grande majorité des cas, élève son enfant ou ses enfants seule, et les difficultés s'accumulent. Un reportage de Lou Ecalle.  Dacian Fall: grandes manœuvres de l'Otan dans les Carpates Face aux menaces russes, l'Otan s'organise. Notamment sur le front Est européen. En Roumanie, un exercice d'ampleur et très réaliste, Dacian Fall, s'est déroulé sur un mois et s'est achevé à la mi-novembre 2025. L'occasion pour l'Alliance Atlantique de montrer les muscles en durcissant sa posture stratégique. Et  pour la France de franchir une étape majeure en termes de déploiement de troupes : l'armée française démontrant ainsi sa capacite de changer d'échelle : basculer rapidement avec ses alliés d'un bataillon à une brigade (environ 5 000 hommes). Un Grand reportage de Franck Alexandre qui s'entretient avec Jacques Allix. Mamans séparées : élever ses enfants malgré tout En France, le taux de pauvreté a atteint son plus haut niveau depuis quasiment trente ans. Parmi les populations les plus touchées, se trouvent les familles monoparentales. Il y en a de plus en plus, une famille sur 4. À leur tête, le parent est dans l'immense majorité des cas une maman. Elles élèvent un ou plusieurs enfants, travaillent ou survivent grâce aux aides, habitent en banlieue, en campagne ou en ville. Ces mamans solos, qui se sentent souvent livrées à elles-mêmes, luttent désormais pour plus de droits, plus d'assistance et davantage de dignité… Les aides étant insuffisantes à échelle nationale, des communes prennent le problème à bras-le-corps pour aider ces mères aux multiples besoins. Un Grand reportage de Lou Ecalle qui s'entretient avec Jacques Allix.

C dans l'air
Pierre GASTINEAU - La France nid d'espion

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 12:18


C dans l'air l'invité du 27 novembre 2025 avec Pierre GASTINEAU, journaliste, grand reporter pour le média d'investigation sur le renseignement « Intelligence Online ». Il publie, avec Antoine Izambard, Les Espions du président, aux éditions Albin Michel.Dans Les Espions du président, les auteurs décrivent l'intérêt particulier d'Emmanuel Macron pour les services secrets. Un président qui a accordé beaucoup de moyens aux renseignements, et s'est personnellement impliqué dans des opérations clandestines. Des opérations d'ampleur, dans un contexte de guerre sur le sol européen, en Ukraine, mais aussi d'une succession de revers pour la France, affaiblie en Afrique. Des « guerres de l'ombre », qui ont lieu aussi en France, à base de désinformation, tentatives d'assassinats, prédation économique.Pierre Gastineau nous livrera les révélations de son livre, très fourni en documents confidentiels et témoignages inédits, sur les services secrets français, sous la présidence Macron. Il reviendra aussi sur la mise en examen de quatre personnes pour "intelligence avec une puissance étrangère", pour des soupçons d'espionnage et d'ingérence au profit de la Russie. Parmi elles, la fondatrice franco-russe de l'association SOS Donbass.

C dans l'air
Pierre GASTINEAU - La France nid d'espion

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C dans l'air l'invité du 27 novembre 2025 avec Pierre GASTINEAU, journaliste, grand reporter pour le média d'investigation sur le renseignement « Intelligence Online ». Il publie, avec Antoine Izambard, Les Espions du président, aux éditions Albin Michel.Dans Les Espions du président, les auteurs décrivent l'intérêt particulier d'Emmanuel Macron pour les services secrets. Un président qui a accordé beaucoup de moyens aux renseignements, et s'est personnellement impliqué dans des opérations clandestines. Des opérations d'ampleur, dans un contexte de guerre sur le sol européen, en Ukraine, mais aussi d'une succession de revers pour la France, affaiblie en Afrique.  Des « guerres de l'ombre », qui ont lieu aussi en France, à base de désinformation, tentatives d'assassinats, prédation économique.Pierre Gastineau nous livrera les révélations de son livre, très fourni en documents confidentiels et témoignages inédits, sur les services secrets français, sous la présidence Macron. Il reviendra aussi sur la mise en examen de quatre personnes pour "intelligence avec une puissance étrangère", pour des soupçons d'espionnage et d'ingérence au profit de la Russie. Parmi elles, la fondatrice franco-russe de l'association SOS Donbass.