"Inspiration" donne la parole aux hommes et aux femmes qui construisent ce monde discrètement et passionnément. Elle propose de la formation pour mieux vivre notre quotidien et notre vie de couple et de famille. Elle donne la parole aux mouvements et associations animés par des croyants. Elle propos…
« Sauver ou périr », c'est la devise des sapeurs pompiers. On connaît bien la sirène qui signale le camion rouge, fonçant pour secourir au plus vite une victime ou pour éteindre un feu. On connaît peut-être moins la vie de ces soldats du feu et les convictions qui les animent. Lætitia de Traversay est allée à leur rencontre, à la caserne Lyon-Rochat, dans le quartier de la Madeleine dans le 7e arrondissement de Lyon. Elle a rencontré l'adjudant-chef Anthony Boudaud, sapeur-pompier depuis 24 ans.
Prendre soin de son couple dès les premières années de vie commune, c'est essentiel ! Avec Inès de Muizon et Fredérique Veyron Lacroix, conseillères conjugales et familiales au Cabinet Raphaël, nous avions envie de faire un beau focus sur les premières années de la vie de couple, ces belles années de découverte et d'émerveillement réciproque où tout est neuf et souvent joyeux. Beaucoup de jeunes couples se posent des questions, se mettent la pression, ils veulent "bien faire", "tout réussir” (et c'est positif !). Mais parfois, l'énergie n'est pas toujours investie au bon endroit : le risque est de se perdre un peu en route en ne sachant pas toujours comment faire. Voici quelques pistes pour avancer sur ce chemin à deux.
Noël rime souvent avec course contre-la-montre pour préparer des cadeaux, un bon dîner ou une belle fête familiale. Comment, pris dans cette frénésie, se recentrer et préparer notre cœur à un temps fort spirituel ? C'est la question que nous nous explorons avec le père Xavier Grillon, prêtre responsable de la paroisse Sainte-Blandine et trois jeunes de "Lyon-Centre" : Yves-Marin, responsable de la maison Focus (pastorale des collégiens et lycéens), Émilia, en service civique à la maison Focus, et Jessica, membre de la paroisse.
« Sauver ou périr », c'est la devise des sapeurs pompiers. On connaît bien la sirène qui signale le camion rouge, fonçant pour secourir au plus vite une victime ou pour éteindre un feu. On connaît peut-être moins la vie de ces soldats du feu et les convictions qui les animent. Lætitia de Traversay est allée à leur rencontre, à la caserne Lyon-Rochat, dans le quartier de la Madeleine dans le 7e arrondissement de Lyon. Suite de notre découverte de leur univers avec Anaïs Charbin, sapeur-pompier volontaire depuis deux ans. À 28 ans, elle est par ailleurs chargée de projet dans une association de promotion de la santé. Au centre d'intervention de Lyon-Rochat, elle nous partage sa passion et son engagement.
"Soulager les douleurs chroniques grâce à la thérapie brève", selon l'école de Palo Alto : voici un ouvrage et une méthode inédite qui permet aux personnes souffrantes de reprendre le pouvoir sur les douleurs ! Une démonstration des solutions que proposent cette approche à travers 15 cas cliniques, proposée par Nathalie Goujon.Névralgie cervico-brachiale, polyarthrite, fibromyalgie, endométriose... Ces maladies toutes plus mystérieuses les unes que les autres ont un point commun : des douleurs chroniques, et l'impuissance du patient à trouver du soulagement et au corps médical à proposer des nouvelles pistes. L'errance diagnostique est souvent la règle : on sait qu'on a mal, souvent, beaucoup et depuis longtemps, sans savoir ce qu'on a ! On s'interroge, et souvent, on s'entend dire " mais non tu n'as rien, c'est dans ta tête ! "Non ce n'est pas dans la tête : la douleur est bien dans le corps ! En revanche, la tête peut nous aider : parmi les thérapies non médicamenteuses, la thérapie brève selon l'Ecole de Palo Alto peut soulager durablement les douleurs chroniques. C'est l'approche que propose Nathalie Goujon.
Chères douleurs : la thérapie brève pour soulager les douleurs chroniques, selon l'école de Palo Alto : voici un ouvrage et une méthode inédite qui permet aux personnes souffrantes de reprendre le pouvoir sur les douleurs ! Une démonstration des solutions que proposent cette approche à travers 15 cas cliniques, proposée par Nathalie Goujon. Névralgie cervico-brachiale, polyarthrite, fibromyalgie, endométriose... Ces maladies toutes plus mystérieuses les unes que les autres ont un point commun : des douleurs chroniques, et l'impuissance du patient à trouver du soulagement et au corps médical à proposer des nouvelles pistes. L'errance diagnostique est souvent la règle : on sait qu'on a mal, souvent, beaucoup et depuis longtemps, sans savoir ce qu'on a ! On s'interroge, et souvent, on s'entend dire " mais non tu n'as rien, c'est dans ta tête ! " Non ce n'est pas dans la tête : la douleur est bien dans le corps ! En revanche, la tête peut nous aider : parmi les thérapies non médicamenteuses, la thérapie brève selon l'Ecole de Palo Alto peut soulager durablement les douleurs chroniques. C'est l'approche que propose Nathalie Goujon.
« Sauver ou périr », c'est la devise des sapeurs pompiers. On connaît bien la sirène qui signale le camion rouge, fonçant pour secourir au plus vite une victime ou pour éteindre un feu. On connaît peut-être moins la vie de ces soldats du feu et les convictions qui les animent. Lætitia de Traversay est allée à leur rencontre, à la caserne Lyon-Rochat, dans le quartier de la Madeleine dans le 7e arrondissement de Lyon. Elle a rencontré l'adjudant-chef Thierry Gaydou, sapeur-pompier depuis 37 ans.
Nous explorons le thème de l'empathie avec Françoise Keller, coach, conférencière et formatrice certifiée en CNV, Communication Non Violente. Pourquoi ce thème ? ? Parce que j'aspire à vivre dans un monde qui respecte la dignité, la Vie de chaque personne ; cela suppose que je développe l'empathie, c'est-à-dire une capacité à écouter la Vie ? L'empathie est centrale pour développer des relations de qualité ? L'empathie peut se développer dans deux directions : l'empathie envers les autres et l'empathie envers moi ? C'est le cœur de la non-violence dans les relations ? Il est impressionnant de voir la violence que nous nous infligeons collectivement : de dire, d'écrire, de publier plus que ce que nous ne sommes pas en capacité d'entendre ? Il est urgent d'apprendre à ralentir et de nous écouter pour de vrai. L'empathie nous demande d'emprunter un autre chemin que nous connaissons et en même temps que nous n'avons pas l'habitude d'emprunter : prendre le temps d'écouter la Vie qui s'exprime à travers ce que dit l'autre.
Perte d'un emploi, déménagement, perte d'un être cher... "Perdre et grandir", un sujet qui nous touche tous car tout être humain est confronté à des pertes. Comment vivre au mieux nos pertes et rester dans l'espérance ? C'est la question que nous creusons avec les conseillères conjugales et familiales du Cabinet Raphaël Frédérique Veyron La Croix et Inès Saint Georges. Il n'y a pas qu'un chemin, mais nous vous proposons plusieurs pistes pour vous aider à voir comment cette épreuve peut être source de progression et d'enrichissement.
Fabienne Bellanger a plusieurs cordes à son arc de bien-être et de découverte de soi. Elle est fondatrice de la méthode hypno-coaching minceur, directrice de l'école Happy Change, sophrologue, formatrice en hypno-coaching minceur et en massages de bien-être, et forte d'un cheminement pour apprendre à se comprendre et s'apprécier. Son accompagnement permet une transformation de vie. La conviction de Fabienne est que mincir sans régime, sans frustration avec détermination... c'est possible ! Au micro de RCF Lyon, elle nous raconte comment elle s'est « mariée avec son corps ». Car en effet, s'habiller de nos émotions aura un impact sur toute notre vie. Notre corps réagit selon nos émotions et nos vibrations internes et externes. Chaque personne est unique en ce sens. Notre corps est un cadeau qu'on doit admirer, comprendre et respecter.
34 membres du Club des amis de RCF Lyon sont partis à Assise sur les pas de Saint François du 13 au 17 octobre 2022, guidés par le père François Cristin, directeur des pèlerinages diocésains de Lyon. Nous vous proposons de leur emboîter le pas pour découvrir les lieux emblématiques où à vécu François : Greccio, où il a célébré des crèches vivantes, à l'origine des crèches d'aujourd'hui. Mais aussi l'ermitage des Carcieri, où l'on voit encore les grottes où François et ses disciples séjournaient. Un lieu qui contraste avec l'imposante basilique de Sainte-Marie des Anges qui abrite la petite église de la Portioncule et l'endroit ou Saint François est mort. Les pèlerins sont allés aussi à 100 km d'Assise, dans l'Ermitage de la Verna ou l'homme a reçu les stigmates. Ce pèlerinage a permis une vraie rencontre avec « le petit pauvre d'Assise », précurseur notamment de l'écologie intégrale prônée aujourd'hui par le pape François et nombre de chrétiens, sans oublier Sainte Claire et le jeune Carlo Acutis, amoureux de Jésus, et béatifié à 15 ans.
Docteur en histoire économique et sociale, Vincent Michel préside depuis 2008 la Fédération des Aveugles et Amblyopes de France. Dans son ouvrage Croire sans voir publié aux éditions du Cerf, il donne le témoignage bouleversant d'un aveugle de naissance qui surmonte les difficultés pour bâtir une vie heureuse et reliée aux autres. Comment affronter la vie quand on ne perçoit ni les formes ni les couleurs ? À quelles difficultés un aveugle de naissance est-il confronté ? Est-il possible - ou même souhaitable - de vivre « comme tout le monde » quand on ne partage pas ce que tout le monde voit ? C'est à ce voyage atypique que nous invite ici Vincent Michel. Un voyage de courage et de beauté.
Claude et Marie Andrée FERMON viennent nous présenter les soirées de prière « Pétales de roses » sur les pas de Therese de Lisieux."Je passerai mon ciel à faire du bien sur la terre " nous a dit Thérèse. Pendant ces soirées, on peut confier ses intentions à Dieu par l'intercession de Thérèse.Un temps de louange introduit ce moment, suivi d'un enseignement, de témoignages et de la bénédiction du Saint-Sacrement. Chaque participant a aussi la possibilité d'écrire une lettre personnalisée pour confier une intention précise. Elle sera confié à une congrégation pendant un an qui priera pour cette intention.Les explications de CLAUDE et Marie-Andrée FERMON qui pilotent ces soirées et appellent aussi ceux qui le veulent à les rejoindre.Plus de renseignements à l'adresse mail suivante :pétalesderose69@yahoo.com
« Je passerai mon ciel à faire du bien sur la Terre », nous a dit Thérèse. Pendant les soirées « Pétales de roses », on peut confier ses intentions à Dieu par l'intercession de Thérèse. Un temps de louange introduit ce moment, suivi d'un enseignement, de témoignages et de la bénédiction du Saint-Sacrement. Chaque participant a aussi la possibilité d'écrire une lettre personnalisée pour confier une intention précise. Elle sera confié à une congrégation pendant un an qui priera pour cette intention. Les explications de Claude et Marie-Andrée Fermon, qui pilotent ces soirées et appellent aussi ceux qui le veulent à les rejoindre. Plus de renseignements à l'adresse mail suivante : petalesderose69@yahoo.com
"Oui, Il est possible de devenir actrice de sa grossesse son propre accouchement!" C'est l'invitation de Tiphaine Guillermou dans son ouvrage intitulé "Maternité libre et puissante,guide-journal pour une maternité positive, décomplexée et engagée", illustré par Orane Sigal et publié chez First éditions.Mêlant recherches, formations, et sa propre expérience, Tiphaine Guillermou interroge et déconstruit les mythes qui gravitent autour de la parentalité. Elle propose de se réapproprier son corps et ses pouvoirs pour redevenir l'actrice principale (mais non l'unique vedette) de cette expérience holistique et transformatrice. Dans ce livre, on trouve des astuces et des recettes, une pharmacie naturelle, des listes d'objets vraiment utiles pour s'équiper sans s'encombrer, et de quoi questionner nos habitudes de consommation et nos comportements en tant que parents ou futurs parents. Sans pression. Ce guide-journal permet ainsi d'appréhender cette période (allant de la grossesse jusqu'au au post-partum) d'une manière positive, décomplexée et engagée.
« Oui, il est possible de devenir actrice de sa grossesse et de son propre accouchement ! » C'est l'invitation de la blogueuse et autrice Tiphaine Guillermou dans son ouvrage Maternité libre et puissante : guide-journal pour une maternité positive, décomplexée et engagée, illustré par Orane Sigal et publié aux éditions First.Mêlant recherches, formations, et sa propre expérience, Tiphaine Guillermou interroge et déconstruit les mythes qui gravitent autour de la parentalité. Elle propose de se réapproprier son corps et ses pouvoirs pour redevenir l'actrice principale (mais non l'unique vedette) de cette expérience holistique et transformatrice. Dans ce livre, on trouve des astuces et des recettes, une pharmacie naturelle, des listes d'objets vraiment utiles pour s'équiper sans s'encombrer, et de quoi questionner nos habitudes de consommation et nos comportements en tant que parents ou futurs parents. Sans pression. Ce guide-journal permet ainsi d'appréhender cette période (allant de la grossesse jusqu'au au post-partum) d'une manière positive, décomplexée et engagée.
Comment mieux gérer notre temps ? C'est la question que nous nous posons en ce début d'année. Inès Saint-Georges et Inès de Muizon, conseillères conjugales et familiales au Cabinet Raphaël, nous donnent quelques pistes de réflexion pour vivre le temps autrement : "Alors que le progrès ne cesse de nous faciliter la vie et de nous dégager du temps libre, nous avons bien souvent l'impression d'en manquer de plus en plus. Bien sûr, il n'est pas question de marcher à contre-courant ou en dehors du monde sauf pour ceux et celles qui font un choix de vie radicale comme les moines, les ermites qui se sont retirés du monde pour trouver la solitude…Mais nous pouvons nous poser et réfléchir à comment j'accueille les « temps morts », les temps sans sollicitations ? Suis-je capable de faire une pause ? Ai-je des temps de silence dans ma vie ? Est-ce que les fui, en ai-je peur ? Ai-je besoin d'avoir un agenda toujours rempli ? Ai-je besoin d'etre dans le TROP ? Ou bien encore : Est-ce qu'il me faut tout, tout de suite : tout vivre, tout connaitre, tout maitriser ? Notre rapport au temps dit quelque chose de notre rapport à la vie ET il est différent selon chacun. Il évolue et change en fonction de nos étapes de vie. Nous le savons nous sommes en transit sur la Terre, alors comment se réconcilier avec le temps ? Nous allons prendre le temps d'y réfléchir avec vous."
Comment trouver la force pour traverser l'épreuve de la maladie et de la fragilité ? C'est le thème que nous approfondissons avec Aude Corvaisier-Riche, laïque en mission ecclésiale, responsable de la pastorale de la santé et membre de l'aumônerie du centre Léon Bérard, et Clémence Pasquier, jeune laïque engagée à la pastorale des jeunes du diocèse de Lyon et confrontée à un cancer du sein depuis cinq ans. Elles ont donné un témoignage cette année lors du pèlerinage des malades à Lourdes et elles nous partagent leur réflexion à ce sujet. Quelles sont les difficultés à surmonter ? Quel impact a la maladie sur la vie de foi ? Que découvre-t-on lorsque l'on est confronté à la maladie ? Quelle attitude aidante avoir lorsque l'on côtoie des personnes éprouvées ?
Les désaccords peuvent-ils être une chance ? C'est la question que nous posons à la coach, conférencière et auteure Françoise Keller, formatrice certifiée en Communication Non Violente et fondatrice de Concertience.Nous explorerons les questions suivantes : pourquoi tant de désaccords ? En quoi la CNV peut-elle aider dans ce domaine ? Quelles sont les attitudes possibles face au désaccord : argumenter ? Laisser dire ? Fuir ? Affronter ? Comment mieux vivre les désaccords en famille ? Au travail ? En couple ? Comment progresser dans l'harmonie et l'authenticité ?
« Bien vivre dans l'esprit Laudato si' », c'est le thème que nous avons choisi d'explorer avec Anne Moreau, diététicienne, psycho-nutritionniste et spécialiste de l'alimentation durable. Il s'agit de prendre soin de soi-même, de la relation aux autres, de la Création et de la dimension spirituelle. Nous allons voir que cet esprit peut s'appliquer pour soi-même, en famille au travail et en couple. Il permet de se poser des questions sur son rapport au temps, et aux choses : « Est-ce que je prends, je consomme, ou bien est-ce que j'accueille et je partage ? Qu'est-ce qui me prend du temps de l'énergie ? Suis-je satisfait(e) ? De quoi puis-je me passer pour faire de la place à l'essentiel ? » Autant de questions qui peuvent nous permettre d'avancer.
Comment concilier foi et politique? C'est la question que nous posons à l'occasion de la célébration du Renouvellement du Voeu des Echevins du 8 septembre à la Basilique de Fourvière, à François-Noël Buffet, PRÉSIDENT DE LA COMMISSION DES LOIS, SÉNATEUR DU RHÔNE, CONSEILLER DE LA MÉTROPOLE DE LYON, MAIRE HONORAIRE D'OULLINS et membre du parti Les Républicains. Il revient sur son parcours humain et spirituel et sur les valeurs qui le portent dans son engagement politique.
Rediffusion de l'épisode « Foi et politique : François-Noël Buffet » diffusé le 19 février 2022, dans le cadre de l'élection présidentielle et d'une série d'entretiens Inspiration avec quatre hommes et femmes politiques (à retrouver dans cet article). Comment concilier foi et politique ? À l'occasion de la célébration du renouvellement du Vœu des Échevins le 8 septembre 2022 à la basilique Notre-Dame de Fourvière à Lyon, nous vous proposons de réentendre François-Noël Buffet, président de la Commission des Lois du Sénat, sénateur du Rhône, conseiller à la Métropole de Lyon, maire honoraire d'Oullins et membre du parti Les Républicains. Il revient sur son parcours humain et spirituel et sur les valeurs qui le portent dans son engagement politique.VIDÉO | Retrouvez le teasing de l'émission par François-Noël Buffet sur YouTube.
Bienvenue aux Itinéraires Ignatiens, un chemin chrétien de progression spirituelle en région lyonnaise, fondé sur la spiritualité d'Ignace de Loyola ! 12 rencontres, 12 exercices pendant deux ans permettent aux itinérants d'approfondir leur vie spirituelle en la confrontant au réel de leur vie, comme nous l'expliquent des animateurs et des participants. À chaque séance "un exercice spirituel" est proposé à travailler chez soi pour la séance suivante. Au début de la séance chacun fait part aux autres de ce que l'exercice lui a permis de découvrir. L'exercice est un moyen concret de progresser sur un sujet où ma façon de vivre rencontre ma foi. La séance se poursuit par un court temps d'enseignement, où un animateur reprend l'essentiel de ce qui a été découvert dans l'exercice par les participants en donnant des points de repères. Elle se termine par l'envoi de l'exercice pour la séance suivante. Deux temps de prière ouvrent et concluent la rencontre. L'échange repose sur l'intérêt porté à l'exercice et sur l'écoute de ce que chacun a vécu, expérimenté et choisi de partager. Ce que je dis, ce que j'écoute des autres au fil des rencontres me permet de m'unifier et de progresser en liberté.
BIENVENUE AUX ITINÉRAIRES ignatiens, un chemin chrétien de progression spirituelle en région lyonnaise, fondé sur la spiritualité ignatienne.12 RENCONTRES, 12 EXERCICES pendant deux ans permettent aux itinérants d'approfondir leur vie spirituelle en la confrontant au réel de leur vie, comme nous l'expliquent des animateurs et des participants.À chaque séance "un exercice spirituel" est proposé à travailler chez soi pour la séance suivante. Au début de la séance chacun fait part aux autres de ce que l'exercice lui a permis de découvrir.L'exercice est un moyen concret de progresser sur un sujet où ma façon de vivre rencontre ma foi.La séance se poursuit par un court temps d'enseignement, où un animateur reprend l'essentiel de ce qui a été découvert dans l'exercice par les participants en donnant des points de repères. Elle se termine par l'envoi de l'exercice pour la séance suivante.Deux temps de prière ouvrent et concluent la rencontre.L'échange repose sur l'intérêt porté à l'exercice et sur l'écoute de ce que chacun a vécu, expérimenté et choisi de partager. Ce que je dis, ce que j'écoute des autres au fil des rencontres me permet de m'unifier et de progresser en liberté.
Bienvenue aux Itinéraires Ignatiens, un chemin chrétien de progression spirituelle en région lyonnaise, fondé sur la spiritualité d'Ignace de Loyola ! 12 rencontres, 12 exercices pendant deux ans permettent aux itinérants d'approfondir leur vie spirituelle en la confrontant au réel de leur vie, comme nous l'expliquent des animateurs et des participants. À chaque séance "un exercice spirituel" est proposé à travailler chez soi pour la séance suivante. Au début de la séance chacun fait part aux autres de ce que l'exercice lui a permis de découvrir. L'exercice est un moyen concret de progresser sur un sujet où ma façon de vivre rencontre ma foi. La séance se poursuit par un court temps d'enseignement, où un animateur reprend l'essentiel de ce qui a été découvert dans l'exercice par les participants en donnant des points de repères. Elle se termine par l'envoi de l'exercice pour la séance suivante. Deux temps de prière ouvrent et concluent la rencontre. L'échange repose sur l'intérêt porté à l'exercice et sur l'écoute de ce que chacun a vécu, expérimenté et choisi de partager. Ce que je dis, ce que j'écoute des autres au fil des rencontres me permet de m'unifier et de progresser en liberté.
A 40 ans tout juste sonnés, Charles Wright semble déjà avoir vécu plusieurs vies. Historien de formation, il a été entre autres journaliste, éditeur puis plume de ministre pendant plusieurs années. En 2019, il fait son entrée au noviciat des Jésuites de Lyon.Il décide de se consacrer au “mois-mendiant”, un rite initiatique consistant en une marche de 4 semaines sans argent ni tente ou moyen de communication accompagné d'un autre apprenant. Épreuve de pauvreté, confiance en la providence, compagnonnage imposé, avec Parsac, son acolyte désigné. Le chemin des estives est le récit lumineux et bienfaisant de ce mois de pèlerinage passé à sillonner le Massif Central. Partant d'Angoulême en Charente, une traversée pédestre de 700 kilomètres les attend. Village après village, l'auteur dresse le portrait d'une France profonde oubliée à bout de souffle mais dont le coeur recèle de “trésors d'humanité”. Ode à la liberté, éloge de la sobriété, hommage à la nature et aux gens de peu, "l'explorateur de sous-préfectures" comme il lui plaît de se nommer, nous offre également d'éclairantes observations philosophiques et spirituelles. Un itinéraire initiatique à méditer dans "Le chemin des estives", publié aux éditions Flammarion.
Être femme, cela s'apprend-il ? Et si la féminité était à construire et à accueillir tout au long de sa vie ? C'est l'invitation lancée par Claire de Saint Lager et Clémence Delorme aux jeunes filles. Claire de Saint Lager a créé « Isha Formation », au service du rayonnement de la femme et du féminin, et Clémence Delorme est conseillère conjugale et familiale. En observant notre société, nous constatons qu'elle valorise principalement des modèles de réussite et d'épanouissement reposant sur les codes du masculin. Dans ce contexte, beaucoup de femmes se sentent écartelées, tenant de remplir tous les rôles et de répondre aux attentes de leur environnement, sans connaître leur désir profond. La mission d'Isha Formation est de libérer le féminin, et de permettre à chaque femme de retrouver l'unité et de rayonner. C'est l'occasion pour chaque femme de déployer ses talents harmonieusement, de trouver le lieu de son épanouissement, et d'être dans sa souveraineté. Claire et Clémence s'appuient sur l'ouvrage collectif Devenir femme - Être soi, publié par Claire de Saint Lager aux éditions Mame. Féminité, amour et amitié, beauté, vie intérieure... autant de pistes à creuser pour découvrir et approfondir la joie d'être femme.
Être femme, cela s'apprend-il ? Et si la féminité était à construire et à accueillir tout au long de sa vie ? C'est l'invitation lancée par Claire de Saint Lager et Clémence Delorme aux jeunes filles. Claire de Saint Lager a créé « Isha Formation », au service du rayonnement de la femme et du féminin, et Clémence Delorme est conseillère conjugale et familiale. En observant notre société, nous constatons qu'elle valorise principalement des modèles de réussite et d'épanouissement reposant sur les codes du masculin. Dans ce contexte, beaucoup de femmes se sentent écartelées, tenant de remplir tous les rôles et de répondre aux attentes de leur environnement, sans connaître leur désir profond. La mission d'Isha Formation est de libérer le féminin, et de permettre à chaque femme de retrouver l'unité et de rayonner. C'est l'occasion pour chaque femme de déployer ses talents harmonieusement, de trouver le lieu de son épanouissement, et d'être dans sa souveraineté. Claire et Clémence s'appuient sur l'ouvrage collectif Devenir femme - Être soi, publié par Claire de Saint Lager aux éditions Mame. Féminité, amour et amitié, beauté, vie intérieure... autant de pistes à creuser pour découvrir et approfondir la joie d'être femme.
Ils sont quatre cette année à être ordonnés pour le Diocèse de Lyon. L'ordination a lieu le dimanche 26 juin à 15h30, en la cathédrale Saint-Jean à Lyon. Ils s'appellent Guillaume de la Porte, Olivier de Petiville, Jean Peytou et Vincent Zobler. Tous ont des chemins de foi bien différents. Avec le père Didier Rodriguez, nous revenons sur leur chemin humain et spirituel.
Ils sont quatre cette année à être ordonnés pour le Diocèse de Lyon. L'ordination a lieu le dimanche 26 juin à 15h30, en la cathédrale Saint-Jean à Lyon. Ils s'appellent Guillaume de la Porte, Olivier de Petiville, Jean Peytou et Vincent Zobler. Tous ont des chemins de foi bien différents. Avec le père Didier Rodriguez, nous revenons sur leur chemin humain et spirituel.
Ils sont quatre cette année à être ordonnés pour le Diocèse de Lyon. L'ordination a lieu le dimanche 26 juin à 15h30, en la cathédrale Saint-Jean à Lyon. Ils s'appellent Guillaume de la Porte, Olivier de Petiville, Jean Peytou et Vincent Zobler. Tous ont des chemins de foi bien différents. Avec le père Didier Rodriguez, nous revenons sur leur chemin humain et spirituel.
« Sur les pas de Bernadette », c'est le thème du pèlerinage des malades du diocèse de Lyon qui s'est déroulé à Lourdes du 6 au 11 juin. Ce sont 34 cars qui sont partis de Lyon et de Roanne pour acheminer les pèlerins. La moitié étaient médicalisés pour accueillir des personnes malades. Après une interruption pendant le confinement et un pèlerinage réduit l'année dernière avec 250 pèlerins, ce sont 1 600 personnes qui se sont inscrites cette année. Parmi elles, des hospitaliers et des lycéens de seconde appelés Bobs en raison de leur chapeau de différentes couleurs selon leur établissement. Lætitia de Traversay leur a tendu son micro pour recueillir leur témoignage.
"Secrets de famille, que faire, que dire, que taire ?", c'est le sujet que nous approfondissons avec Inès de Muizon et Frédérique Veyron Lacroix, conseillères conjugales et familiales au Cabinet Raphaël. De quoi parle-t-on quand on parle de secrets de famille ? Il s'agit d'un savoir qui concerne la famille ou un de ses membres, un savoir plus ou moins commun, mais que l'on ne partage pas avec les autres : personne ne sait jamais qui sait quoi exactement, et cela engendre du flou, des rumeurs ou de la confusion. Il y a des secrets, plus ou moins lourds, plus ou moins cachés, pesants, imaginés, fantasmés. Les secrets de famille ont des conséquences sur ceux qui les portent mais aussi sur ceux qui ne les connaissent pas, comme les enfants ou les membres de la famille élargie. Ils ressentent un malaise ou une « anomalie ». Et à leur tour, ils risquent d'adopter un comportement en réaction à ces non-dits, un mal-être. On peut dire que la gravité du secret réside dans son importance mais aussi dans l'insistance mise en œuvre pour le préserver, le dissimuler. Répétitions de maladies, de suicides, des fausses couches, hélas, peuvent mettre la puce à l'oreille, car c'est comme si les personnes subissaient leur vie en portant un héritage lourd et toxique. Nous allons étudier les questions suivantes : comment en parler lorsqu'il est révélé ? Est-il bon de tout dire ? Comment se délivrer du secret ? A qui en parler ? Quel est le moment favorable ?
"Secrets de famille, que faire, que dire, que taire ?", c'est le sujet que nous approfondissons avec Inès de Muizon et Frédérique Veyron Lacroix, conseillères conjugales et familiales au Cabinet Raphaël. De quoi parle-t-on quand on parle de secrets de famille ? Il s'agit d'un savoir qui concerne la famille ou un de ses membres, un savoir plus ou moins commun, mais que l'on ne partage pas avec les autres : personne ne sait jamais qui sait quoi exactement, et cela engendre du flou, des rumeurs ou de la confusion. Il y a des secrets, plus ou moins lourds, plus ou moins cachés, pesants, imaginés, fantasmés. Les secrets de famille ont des conséquences sur ceux qui les portent mais aussi sur ceux qui ne les connaissent pas, comme les enfants ou les membres de la famille élargie. Ils ressentent un malaise ou une « anomalie ». Et à leur tour, ils risquent d'adopter un comportement en réaction à ces non-dits, un mal-être. On peut dire que la gravité du secret réside dans son importance mais aussi dans l'insistance mise en œuvre pour le préserver, le dissimuler. Répétitions de maladies, de suicides, des fausses couches, hélas, peuvent mettre la puce à l'oreille, car c'est comme si les personnes subissaient leur vie en portant un héritage lourd et toxique. Nous allons étudier les questions suivantes : comment en parler lorsqu'il est révélé ? Est-il bon de tout dire ? Comment se délivrer du secret ? A qui en parler ? Quel est le moment favorable ?
"Secrets de famille, que faire, que dire, que taire ?", c'est le sujet que nous approfondissons avec Inès de Muizon et Frédérique Veyron Lacroix, conseillères conjugales et familiales au Cabinet Raphaël. De quoi parle-t-on quand on parle de secrets de famille ? Il s'agit d'un savoir qui concerne la famille ou un de ses membres, un savoir plus ou moins commun, mais que l'on ne partage pas avec les autres : personne ne sait jamais qui sait quoi exactement, et cela engendre du flou, des rumeurs ou de la confusion. Il y a des secrets, plus ou moins lourds, plus ou moins cachés, pesants, imaginés, fantasmés. Les secrets de famille ont des conséquences sur ceux qui les portent mais aussi sur ceux qui ne les connaissent pas, comme les enfants ou les membres de la famille élargie. Ils ressentent un malaise ou une « anomalie ». Et à leur tour, ils risquent d'adopter un comportement en réaction à ces non-dits, un mal-être. On peut dire que la gravité du secret réside dans son importance mais aussi dans l'insistance mise en œuvre pour le préserver, le dissimuler. Répétitions de maladies, de suicides, des fausses couches, hélas, peuvent mettre la puce à l'oreille, car c'est comme si les personnes subissaient leur vie en portant un héritage lourd et toxique. Nous allons étudier les questions suivantes : comment en parler lorsqu'il est révélé ? Est-il bon de tout dire ? Comment se délivrer du secret ? A qui en parler ? Quel est le moment favorable ?
Tout semble changer... Où allons-nous ? Faut-il s'en inquiéter ? C'est le sujet développé dans l'ouvrage intitulé "Coach et prêtres en dialogue - Questions d'aujourd'hui", publié aux éditions Nepsis-pare par Philippe Paré, Paul Préaux, Jacques Vautherin, Remi Lanavere et Louis-Hervé Guiny. Philippe Paré est coach et dirige l'enseignement Catholique de Lyon.Il nous propose de réfléchir aux sujets suivants : accélération du temps, risques écologiques et peur de l'effondrement, opposition travail/loisirs, identités et diversités, émotions mal menées, montée des confrontations, sentiments de fragilité ... Comment les hommes et les femmes d'aujourd'hui peuvent-ils vivre ces mutations ? Le prêtre a-t-il encore quelque chose à dire ? Le coach peut-il vraiment aider au développement des personnes ? Entrons dans le débat et intégrons ce grand dialogue que connaît notre monde.
A 40 ans tout juste sonnés, Charles Wright semble déjà avoir vécu plusieurs vies. Historien de formation, il a été entre autres journaliste, éditeur puis plume de ministre pendant plusieurs années. En 2019, il fait son entrée au noviciat des Jésuites de Lyon.Il décide de se consacrer au “mois-mendiant”, un rite initiatique consistant en une marche de 4 semaines sans argent ni tente ou moyen de communication accompagné d'un autre apprenant. Épreuve de pauvreté, confiance en la providence, compagnonnage imposé, avec Parsac, son acolyte désigné. Le chemin des estives est le récit lumineux et bienfaisant de ce mois de pèlerinage passé à sillonner le Massif Central. Partant d'Angoulême en Charente, une traversée pédestre de 700 kilomètres les attend. Village après village, l'auteur dresse le portrait d'une France profonde oubliée à bout de souffle mais dont le coeur recèle de “trésors d'humanité”. Ode à la liberté, éloge de la sobriété, hommage à la nature et aux gens de peu, "l'explorateur de sous-préfectures" comme il lui plaît de se nommer, nous offre également d'éclairantes observations philosophiques et spirituelles. Un itinéraire initiatique à méditer dans "Le chemin des estives", publié aux éditions Flammarion.
C'est un évènement très rare dans l'Église lyonnaise. Pauline Jaricot est béatifiée à Lyon le 22 mai prochain par l'Église catholique, à Eurexpo. 13 000 personnes sont attendues. Pauline Jaricot est la fondatrice de l'Œuvre de la Propagation de foi et du Rosaire Vivant. Œuvrant auprès des familles pauvres des ouvriers canuts, elle est une figure importante et populaire de l'Église de Lyon. Nous revenons sur son parcours humain et spirituel et sur ce qu'elle a à nous dire aujourd'hui, avec Jean Étévenaux et Marie Guyon. Jean Étévenaux est historien et écrivain, ancien journaliste, président de l'association culturelle l'Académie du Merle blanc, et Marie Guyon est trésorière de l'association des amis de Pauline Jaricot et ancienne élue.
"Soft skills" : si vous n'en avez jamais entendu parler, il est temps de vous mettre à la page. Les softs skills ont pris une part encore plus importante dans les recrutements. Autonomie et capacité d'adaptation en tête de la liste qui comprend aussi la confiance, l''intelligence émotionnelle, l'empathie, la communication, la gestion du temps, la gestion du stress et la créativitéL'enseignement en France est trop cartésien et oublie trop souvent d'éveiller les capacités sensorielles et emotionellles des étudiants. Vincent Goubier est à l'initiative du projet ProCESS porté par l'Université Catholique de Lyon. Il présente ce programme européen, qui vise à repositionner les "soft skills" (les compétences relationnelles) sur une base égale aux "hard skills" (les compétences techniques) pour former différemment les étudiants en management. Son champ d'intérêt actuel est le management dans la complexité en lien avec la transition écologique et sociétale.
Anne Moreau est diététicienne, psychonutritionniste et spécialisée en alimentation intuitive. Elle nous donne des pistes pour sortir des diktats alimentaires. Qu'est-ce que le perfectionnisme alimentaire ? C'est la recherche perpétuelle d'aliments qui vont nous rendre parfait. Le perfectionnisme alimentaire comporte trois aspects :1 - Le respects excessifs de règles alimentaires strictes, extrêmes, déraisonnables pour soi et ses proches 2 - Juger de votre valeur personnelle en grande partie sur votre capacité à vous efforcer d'atteindre ces normes élevées et à les atteindre sans relâche. 3 - Continuer à viser ces normes malgré des conséquences toujours négatives Pourquoi cherche-t-on à être parfait dans l'alimentation ? Notre société survalorise la minceur et les régimes, et la croyance qu'il y a des aliments ou des régimes miracles, ce qui peut conduire à une névrose alimentaire. Cela peut induire « une alimentation contrainte » : je mange avec ma tête et non pas avec mes sens et mon bon sens. Cela peut conduire aussi à « une alimentation émotionnelle » : "je suis triste de ne pas être mince, donc je mange..." Nous allons étudier des voies pour nous libérer de ces conditionnements enfermant.
Être à sa place, chercher sa place, trouver sa place, se faire une place, prendre la place de l'autre, changer de place, perdre sa place, s'inventer une place … , autant d'expressions qui traduisent le besoin d'habiter sa juste place. C'est le sujet que nous creusons avec Emmanuelle Bosvet et Inès de Muizon, conseillères conjugales et familiales au Cabinet Raphaël. Chacun a besoin d'être au monde et d'y être bien. Mais depuis 2 ans, l'avenir semble plus incertain que jamais, sans visibilité et très anxiogène, Nous sentons qu'il est plus délicat pour chacun de trouver sa place. Celle-ci questionne notre identité profonde, ce que nous sommes, ce qui nous habite, ce qui a fondé depuis notre naissance la personne que nous sommes. Être à sa place relève d'un sentiment intérieur, d'une posture psychique interne ou je me sens être au bon endroit ou j'ai confiance en moi ou pas. Aujourd'hui, peut-être plus qu'avant, chacun cherche « sa place ». Un terme aux contours plus ou moins larges, qui englobe, tout à la fois et en même temps, l'endroit, le métier, le statut affectif et relationnel. Nous allons voir qu'il s'agit d'un chemin, d'une construction intime. Celle qui mène chacun d'entre nous de la place qui nous a été donnée, à la place qui nous revient légitimement, conformément à nos valeurs, nos désirs. Une place où il sera possible de s'accomplir, d'exprimer ses talents, d'être heureux… Jusqu'à devenir enfin, comme le disait Jung, « un morceau du monde ». Un beau projet, non ? Quel est ce chemin ? Celui sur lequel on va à la rencontre de notre unicité…
Comment transformer la colère en énergie de vie ? C'est la question que nous approfondissons avec Françoise Keller, coach certifiée en CNV (Communication Non Violente), auteure et conférencière. Nous nous posons les questions suivantes : la colère, qu'est-ce que c'est ? Une énergie qui peut détruire mais peut-être aussi une énergie dont on peut se servir pour construire ? En quoi est-elle une émotion particulière ? Pourquoi est-ce si difficile de gérer la colère ? Est-ce l'adulte ou l'enfant qui est en colère en moi ? Comment concilier « colère » et « non-violence » ? Cela paraît contradictoire, car on peut avoir l'idée que lorsque l'on est non-violent, on est forcément zen… Qu'est-ce qui permet d'accueillir la colère et d'apprendre à la transformer, pour qu'elle ne soit pas violente ? Comment distinguer violence et intensité ? Je peux être en colère contre… et vivre avec intensité pour... Autant de pistes à creuser pour mieux canaliser et mettre à profit l'énergie de la colère.