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Origines de Stars : Kevin Durant ! (Calendrier Avent #1)Bienvenue sur le Calendrier de l'Avent du Basket Lab 2025 !Cette année pour attendre Noël, nous patientions jusqu'à Noel chaque jour avec un nouveau voyage dans le temps : nous replongeons dans le passé pour revisiter et découvrir qui étaient les stars NBA...a leurs débuts ! Ceux qui étaient prédestinés à être les meilleurs joueurs du monde, et ceux qui le sont devenus à grande surprise !Pour ce deuxième numéro, l'explosion de star la plus lointaine et improbable : Kawhi Leonard.Nous revisitions le profil de Kawhi grâce à l'article de scouting de l'époque de Matt Kamalsky pour Draftexpress datant du 04 Mai 2011 !Bienvenue dans le Basket Lab.Guillaume (@GuillaumeBLab)--0:00 Intro1:02 Le scouting report de Kawhi Leonard en 201110:48 Commentaire et évolution depuis (question centrale du touche, explosivité, biais du survivant) --Flux LIVE "Le Basket Lab LIVE" pour les quotidiennes : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-live/Flux secondaire "Le Basket Lab - Extraits" pour des formats courts tous les jours : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-extraits/--Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlabTwitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlabTwitter : https://twitter.com/GuillaumeBLabDiscord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'ancien ministre de l'Éducation nationale et père du service civique nous offre son point de vue sur ce nouveau service volontaire. Selon lui, il n'a rien à voir avec le service militaire de l'époque et n'a pas beaucoup d'intérêt étant donné son caractère facultatif.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Origines de Stars : Kevin Durant ! (Calendrier Avent #1)Bienvenue sur le Calendrier de l'Avent du Basket Lab 2025 !Cette année pour attendre Noël, nous patientions jusqu'à Noel chaque jour avec un nouveau voyage dans le temps : nous replongeons dans le passé pour revisiter et découvrir qui étaient les stars NBA...a leurs débuts ! Ceux qui étaient prédestinés à être les meilleurs joueurs du monde, et ceux qui le sont devenus à grande surprise !Pour ce premier numéro, peut être le meilleur prospect scoreur de l'Histoire de la NBA : Kevin Durant.Nous revisitions le profil de KD grâce à l'article de scouting de l'époque de Jonathan Givony pour Draftexpress datant du 28 Février 2007 !Bienvenue dans le Basket Lab.Guillaume (@GuillaumeBLab)--0:00 Intro1:02 Le scouting report de Kevin Durant en 200711:29 Commentaire et évolution depuis (spacing, pull-up, drives...) --Flux LIVE "Le Basket Lab LIVE" pour les quotidiennes : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-live/Flux secondaire "Le Basket Lab - Extraits" pour des formats courts tous les jours : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-extraits/--Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlabTwitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlabTwitter : https://twitter.com/GuillaumeBLabDiscord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:17:34 - Interception - par : Antoine Giniaux - Ancien enseignant-chercheur et co-signataire du rapport sur la sixième extinction de masse, Gabriel Cornic prépare désormais avec sa femme Marie-Françoise Pichavant un refuge pour que ses descendants puissent trouver un endroit pour vivre, manger, et faire face au réchauffement climatique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
'Alors Anne prononça cette prière : La joie remplit mon cœur, ╵c'est grâce à l'Eternel ; oui, grâce à l'Eternel, ╵mon front s'est relevé et j'ai de quoi répondre ╵à ceux qui me blessaient. Oui, je jubile, ╵car Dieu m'a secourue. Nul ne l'égale. ╵L'Eternel seul est saint, et, à part lui, ╵il n'y a pas de Dieu, pas de rocher ╵semblable à notre Dieu. Que cessent donc, ╵vos paroles hautaines et les bravades ╵sortant de votre bouche ! Car l'Eternel ╵est un Dieu qui sait tout, c'est lui qui pèse ╵les actes des humains. Voilà brisé ╵l'arc des guerriers ! Ceux qui chancellent ╵sont armés de vigueur. Tous les repus ╵s'embauchent pour du pain, les affamés ╵seront comblés de biens et la stérile ╵met sept enfants au monde, alors que celle ╵qui en avait beaucoup ╵sera flétrie. C'est l'Eternel ╵qui fait mourir et vivre, il fait descendre ╵dans le séjour des morts ╵et en fait remonter. L'Eternel seul ╵dépouille et enrichit, il humilie, ╵et il élève aussi. De la poussière, ╵il arrache le pauvre, et il relève ╵l'indigent de la fange pour l'installer ╵au milieu des puissants et lui donner ╵une place d'honneur. A l'Eternel ╵sont les fondements de la terre, et c'est sur eux ╵qu'il a posé le monde. Il gardera les pas ╵de ceux qui lui sont attachés, mais les méchants ╵périront dans la nuit, car aucun homme ╵n'est vainqueur par la force. Ceux qui contestent ╵contre Dieu sont brisés. Du haut du ciel, ╵il tonnera contre eux. Il jugera ╵les confins de la terre ; il donnera ╵la puissance à son roi et il élèvera ╵l'homme qui, de sa part, ╵a reçu l'onction d'huile. '1 Samuel 2:1-10
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Samedi dernier, c'était France-Australie. Et ça m'a fait quelque chose car mon premier match au Stade de France, le 27 novembre 2010, était justement un France –Australie. Et nous avions perdu : 16 à 59. Et pourtant j'étais content, là haut proche du périphérique, avec le club de Senlis et mon jambon beurre préparé avec amour par ma maman.Depuis 2010 donc, 2 choses ont changé : ce n'est plus mon sandwich qui est complètement beurré mais mon copain Hélios, et la France assure sans trop de problème une victoire contre une nation majeure du rugby : l'Australie.Pour gagner il faut des joueurs, et c'est d'eux dont nous allons parler aujourd'hui. Qui sont les hommes qui ont marqué ce match et marqué cette série de novembre? (6) Qui sont ceux qui marquent ? Ceux qui se démarquent ? Ceux que l'on ne remarque plus ? C'est qui Marc ? Au programme: Le conseil de classe de la tournée de novembre00:00 - Intro02:14 - Les coachs08:36 - Les avants21:59 - Les arrières37:02 - La question de la semaine: Est-on mal barrés pour le VI Nations?Pour plus de Rugby Chaud au quotidien, viens faire un tour sur nos réseaux :Insta - https://www.instagram.com/lerugbychaud/Tiktok - https://www.tiktok.com/@lerugbychaudLe Podcast audio dispo sur toutes les plateformes (Deezer, Spotify, Apple Podcasts...)Le Rugby Chaud, c'est chaud gros!
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Lorsque Ya'akov part chez Lavan, il rencontre des bergers, et s'adresse à eux d'une manière assez étonnante pour un étranger. Ceux-ci sont, pourtant, très réceptifs à son message. Pourquoi ? Chercher son Zivoug, est-ce aussi compliqué que chercher une aiguille dans une botte de foin ? En quoi le rêve de Ya'akov Avinou rappelle-t-il que, dans la vie, Hachem peut être très proche de nous et qu'il faut savoir être souple pour progresser ? Réponse à travers des propos du Pné Ména'hem.
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Au Soudan, se déroule depuis avril 2023 l'un des conflits les plus meurtriers. À l'origine de « la plus grande crise humanitaire au monde », selon l'ONU. Massacres, violences à caractère ethnique, viols et agressions sexuelles. C'est l'horreur décrite par ceux qui ont réussi à fuir El-Fasher, la capitale du Darfour-Nord, tombée aux mains des paramilitaires FSR du général Mohamed Hamdan Dogolo, dit Hemedti. Certains Soudanais ont réussi à quitter El-Fasher pour se réfugier au Tchad voisin. Témoignage de certains d'entre eux à Tiné, au nord du pays et le long de la frontière soudanaise. De notre envoyée spéciale de retour de Tiné, Dans le centre de transit de Tiné, Kaltouma est assise par terre, entourée de ses enfants. Le regard abattu, fixant le vide, cette mère de 32 ans a quitté El-Fasher, il y a moins d'un mois, elle y a vécu l'enfer. Kaltouma Ibrahim Abakar : « Nous étions encore à El-Fasher avant la chute. Il y a eu quatre ou cinq jours d'affrontements avec des bombardements. Le jour de la chute, il était impossible de sortir des trous qu'on a creusés sous-terre. On ne pouvait pas risquer d'aller chercher à manger ou à boire pour les enfants. Il fallait rester à l'abri, sous-terre. » Après la chute d'El-Fasher, Kaltouma et ses enfants réussissent à fuir. « Ils ont creusé toute la ville. Certains ne pouvaient pas sortir des tranchées. Ils sont restés bloqués à l'intérieur. Mais on devait passer par ces trous creusés. On n'avait pas le choix. Ceux qui avaient la force d'en sortir partaient et ceux qui n'y arrivaient pas mourraient dedans. Les enfants, les femmes sans force, les vieillards, tous sont restés bloqués là-bas. » À lire aussi«Soit tu passes, soit tu meurs»: au Tchad, des réfugiés soudanais racontent leur fuite d'El-Fasher Hawa Adam Abdallah s'avance d'un pas décidé. Elle veut parler, raconter ce que traverse son pays : « À la sortie d'El-Fasher, il y avait des tranchées creusées. En sortant de là, il y avait des paramilitaires. Ils ont tué certains d'entre nous. Parmi eux, mon frère, et ils ont enlevé mon père. Et j'ai un autre frère perdu, plus aucune nouvelle. Et puis sur la route, quand on a dépassé El-Fasher, ils nous sont tombés dessus. Ils nous ont chassés, frappés. Ils nous ont enlevé tout ce qu'on avait. Et si on n'a aucun bien, ils nous font enlever nos vêtements. On est arrivé ici sans rien. » Les deux femmes sont arrivées il y a quelques jours. Elles attendent d'être relocalisées au camp de Touloum, à deux heures de route de la frontière. « Beaucoup sont morts sur la route » Abdelmajad Ahmad Mouhammad descend du camion qui l'a transporté à Touloum. Avec ces quatre jeunes garçons, il espère retrouver sa femme et sa fille parties plus tôt : « Morts, tortures, déplacements forcés, exécutions, destructions, incendies, que des choses horribles ». C'est ainsi qu'Abdelmadjid décrit sa ville natale El-Fasher. Pourtant, ce père de 34 ans n'a quitté la capitale du Darfour du Nord qu'après sa chute le 26 octobre dernier. « Certains ont réussi à sortir, d'autres non. Beaucoup sont morts sur la route aussi à cause de la soif, de la faim, de la torture, mais d'autres, on ne sait même pas quelles directions ils ont empruntées. Leurs propres familles ne savent pas où ils sont. Ils ne savent même pas s'ils sont morts ou vivants. » Plusieurs organisations humanitaires font état de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité. Les Nations unies parlent d'« une spirale d'atrocités » Impossible de communiquer avec ceux qui sont encore à El-Fasher. 170 000 à 250 000 personnes étaient encore bloquées dans la ville au moment de sa chute.
L’Etat français est-il toujours souverain, c’est la question que l’on peut se poser pour plusieurs raisons. Souveraineté numérique de la France L’intégration de la France dans l’ensemble européen impose de renoncer à des compétences régaliennes. Le niveau de dette rend la politique française dépendante de ses créanciers. Mais le destin numérique de la France est-il bien protégé. Un rapport récent de la cour des comptes nous éclaire sur ce sujet. L’Etat français est-il toujours souverain On imagine que l’État protège jalousement ses données les plus sensibles, les enfermant dans des forteresses numériques impénétrables. La souveraineté numérique est devenue un mot d’ordre politique, une promesse de contrôle et d’indépendance face aux géants technologiques étrangers. Ceux que l’on nomme les GAFAM. Le paradoxe standard du marché ou souveraineté Il faut garder en tête que les standard du marché sont américains et ensuite Chinois. L’Europe arrive ensuite en ordre dispersé. Sur le plan analytique, il existe une tension concernant la politique numérique française : d’un côté, l’ambition affichée de souveraineté ; de l’autre, le besoin des administrations de disposer d’outils performants, modernes et à un coût maîtrisé. J’ajoute aussi que les agents de l’Etat veulent utiliser des outils qu’ils connaissent car ils ont été formés dessus avec ou en disposent chez eux. Bien souvent, c’est le second impératif qui l’emporte. Le cas le plus notable est celui du nouveau système d’information de ressources humaines du ministère de l’Éducation nationale, Virtuo, pour lequel le ministère a choisi une solution cloud opérée par une entreprise américaine. Ce choix a été fait en passant outre les recommandations initiales de la doctrine “Cloud au centre”, car aucune offre souveraine ne répondait aux exigences de performance et de coût. Le ministère estime a posteriori que sa décision est conforme à la version finale de la loi SREN, qui a restreint le champ d’application de l’obligation de souveraineté en exigeant non seulement que les données soient sensibles, mais aussi que leur violation présente un risque direct pour l’ordre public. Quand la loi se met elle même une balle dans le pied et fait de la vertu un vice. Circulaire Cloud au centre Revenons sur ce texte important, la circulaire cloud au centre. La doctrine « Cloud au centre » est une orientation édictée par le Premier ministre pour que les administrations privilégient les infrastructures cloud (informatique en nuage) pour leurs nouveaux projets numériques. Le cloud est appelé à devenir l'environnement par défaut de tout nouveau projet informatique de l’État. Cette doctrine est la déclinaison opérationnelle de la Stratégie nationale pour le cloud lancée en mai 2021, qui vise à encourager l’utilisation du cloud tout en assurant l’autonomie de l’État, la maîtrise de ses données et le respect des règles européennes en matière de protection des données à caractère personnel. Version de juillet 2021 : La première version de la circulaire, diffusée en juillet 2021, stipulait que toute application manipulant des données d'une sensibilité particulière, notamment les données personnelles des citoyens français, devait être hébergée sur une infrastructure souveraine. Voir mon article sur ce sujet ici Version de mai 2023 : La doctrine a été mise à jour en mai 2023 (circulaire n° 6404/SG). Cette version a restreint l'obligation de recourir à une offre souveraine, ne l’exigeant que lorsque deux critères sont cumulativement observés : Les données doivent relever de secrets protégés par la loi. Leur violation doit être susceptible « d'engendrer une atteinte à l'ordre public, à la sécurité publique, à la santé et à la vie des personnes, ou à la protection de la propriété intellectuelle ». Voilà comment faire entrer le loup dans la bergerie. Loi SREN : Ces critères cumulatifs ont été élevés au niveau législatif par l’Article 31 de la loi du 21 mai 2024 visant à sécuriser et à réguler l'espace numérique (dite loi SREN). La restriction du champ d’application de cette obligation visait notamment à consolider la doctrine sur le plan juridique en limitant les risques de recours par des opérateurs étrangers au regard des règles du marché intérieur européen et du principe de non-discrimination de l'OMC. Le Cloud de confiance et SecNumCloud Le concept de « cloud de confiance » remplace la notion initiale de « cloud souverain ». Il repose sur deux solutions jugées équivalentes en termes de sécurité pour les données sensibles : Les clouds internes de l'État (dits du 1er cercle), comme Nubo (opéré par la DGFiP) et Pi (opéré par le ministère de l'Intérieur). Les offres commerciales qualifiées SecNumCloud. La qualification SecNumCloud est un référentiel d'exigences techniques, opérationnelles et juridiques élaboré par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi). Il garantit le plus haut niveau de sécurité pour les services de l'État et les opérateurs d'importance vitale (OIV). Un apport essentiel de ce référentiel est l’accent mis sur la souveraineté. Il garantit une immunité aux lois non européennes à portée extraterritoriale, telles que le Cloud Act ou le Foreign Intelligence Surveillance Act (Fisa) américain. Cela impose notamment que le siège social du prestataire soit situé dans l'Union européenne et qu’une entité non européenne ne détienne pas, à elle seule, plus de 24 % du capital et des droits de vote du prestataire. Les limites de la mise en œuvre Cloud au centre Malgré l’ambition politique affichée, la mise en œuvre de la doctrine « Cloud au centre » rencontre des difficultés. Bien que la commande publique en services cloud soit passée de 1 M€ en 2020 à 52 M€ en 2024, atteignant 120 M€ au total sur cette période, cela reste très modeste par rapport aux dépenses informatiques annuelles de l'État, de l'ordre de 3 Md€. De plus, le recours aux solutions qualifiées SecNumCloud induit un surcoût par rapport aux offres cloud non qualifiées, estimé entre +25 % et +40 %. Ce point est à challenger car, pour avoir fait le travail de passer tout une entreprise SECNUMCLOUD, cela à pu être fait à ISO cout en partant d’un système déjà Cloud. C’est sur que si on part de On premise, on a ce surcout. Mais on ne compare pas la même solution. Cloud au centre L'échec des clouds internes Face à la domination des géants américains, l’État a tenté de construire ses propres solutions Cloud souverain. Deux clouds interministériels ont ainsi vu le jour : Nubo, porté par le ministère des Finances, et Pi, porté par celui de l’Intérieur. L’ambition était de fournir une alternative sûre et maîtrisée pour les données les plus sensibles. La réalité est cependant bien loin des ambitions affichées. Les chiffres sont sans appel : “la part d'interministériel pour les clouds Pi et Nubo plafonne à 5 %”. En clair, ces solutions sont très peu utilisées en dehors des ministères qui les ont créées. La raison principale ? Un sous-investissement chronique. Le rapport note que Nubo a coûté 55 millions d’euros en neuf ans, une somme modeste au regard des dépenses numériques annuelles de l’État qui s’élèvent à environ 3 milliards d’euros. En conséquence, la gamme de services offerts reste limitée et la tarification est jugée inadaptée. Cet échec à attirer les utilisateurs empêche Nubo et Pi d’atteindre la “taille critique” nécessaire pour justifier de nouveaux investissements, créant ainsi un cercle vicieux de sous-performance et de sous-utilisation qui les rend non compétitifs. Peut être aussi la stratégie n’est pas bonne de vouloir créer son propose cloud plutôt qu’externaliser cela à un hyperscaler souverain qui pourra mutualiser les couts. La souveraineté SECNUMCLOUD un coût : jusqu’à 40 % plus cher Qu’est-ce qu’une solution numérique “vraiment” souveraine ? En France, le plus haut standard est défini par la qualification SecNumCloud, délivrée par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Ce label garantit non seulement un très haut niveau de sécurité technique, mais aussi une immunité juridique contre les lois extraterritoriales, comme le fameux Cloud Act américain. Cette loi qui permet aux autorités américaines de contraindre les fournisseurs de services américains à livrer des données, où qu’elles soient stockées dans le monde. Services secnumcloud Cette garantie a un prix. Le rapport de la Cour des comptes met un chiffre précis sur ce coût, une donnée rarement rendue publique : le surcoût d’une infrastructure qualifiée SecNumCloud par rapport à une offre cloud traditionnelle est estimé “entre +25 et +40 %”. De nouveau, je pense que ce montant est un maximum et que en faisant appels à un hyperscaler et en optimisant, on peut le faire à iso cout. Marché public cloud Vos logiciels de bureautiques sont un enjeu stratégique majeur D’un point de vue politique, le débat sur la souveraineté devient le plus tangible lorsqu’il touche aux outils quotidiens des agents publics. Exemple très concret des suites bureautiques pour illustrer ce défi. La dépendance historique de l’administration française à la suite Microsoft Office est devenue un problème stratégique lorsque l’entreprise a commencé à pousser agressivement son offre cloud, Microsoft 365. Face à ce mouvement, la Direction interministérielle du numérique (DINUM) a demandé aux ministères de ne pas y souscrire, afin de protéger la souveraineté des communications électroniques. La réponse de l’État a été pour le moins fragmentée. D’un côté, le ministère de l’Éducation nationale, le plus grand employeur de France, a entrepris de remplacer la suite Office par une solution basée sur un logiciel libre (Collabora Online). De l’autre, la DINUM, l’autorité numérique de l’État, développe sa propre alternative (“La Suite”) en coopération avec l’Allemagne et les Pays-Bas. Cette divergence entre le plus grand ministère et l’autorité interministérielle illustre un manque de stratégie unifiée, même sur un sujet aussi fondamental que l’outil de travail quotidien de ses agents. La France, une voix isolée dans la bataille pour la souveraineté en Europe Le combat pour la souveraineté numérique ne se joue pas seulement à l’échelle nationale. C’est au niveau européen que se dessinent les règles du jeu, et sur ce terrain, la France peine à imposer sa vision exigeante. Le cas du projet de certification européen des services cloud (EUCS) est emblématique. La France a plaidé pour y inclure un niveau de sécurité maximal, inspiré de son propre label SecNumCloud, afin de garantir une immunité totale face aux lois extraterritoriales. La conclusion de la Cour des comptes est sans équivoque : “La démarche de la France est restée jusqu'à présent isolée au sein de l'UE.” Cet isolement n’est pas purement idéologique ; il est alimenté par de dures réalités économiques. Comme le note le rapport, la position de l’Allemagne s’est considérablement assouplie après l’annonce par Amazon Web Services d’un investissement de 7,8 milliards d’euros dans un cloud “souverain” sur son territoire, démontrant comment la puissance d’investissement des géants américains de la tech peut directement influencer la politique européenne. La quête de souveraineté numérique de la France n’est pas une stratégie assez coordonnée. Comme souvent c’est une série de compromis tactiques où la performance prime sur le principe, où les solutions internes échouent à se déployer à l’échelle, et où l’ambition européenne est contrecarrée par la réalité économique. Le parfait exercice des missions de service public peut être garanti sans nécessairement aligner les spécifications des systèmes d'information sur le plus haut niveau technologique dès lors qu'un degré trop élevé de performance à court terme peut constituer un double écueil : par la mise en cause de la souveraineté sur les données et par une dépendance de l'administration vis-à-vis de la politique commerciale d'un éditeur dominant.The post L'Etat français est-il toujours souverain ? first appeared on XY Magazine.
Nouvelle diffusion du 17 mai 2025 Dans deux mois, Léonidas aura 18 ans. Il devra quitter le foyer dans lequel il a été placé par mesure de protection. Il est ce quʹon nomme un care leaver, à savoir un jeune ayant grandi en institution et appelé à prendre son autonomie. Ce passage à la vie adulte est semé dʹembûches. Léonidas ne bénéficie pas du même soutien (économique et social) quʹun·e jeune ayant grandi dans sa famille dʹorigine. La COPMA (Conférence en matière de protection des mineurs et des adultes) recommande dʹailleurs aux cantons " de soutenir les enfants placés jusquʹà ce quʹils acquièrent les capacités leur permettant de mener leur vie de manière autonome ", avec une limite dʹâge fixée à 25 ans. À deux mois de sa majorité, Léonidas se confie au micro de Muriel Mérat.
Bonne journée de la jeunesse à tous les jeunes dans la salle. Ceux de 62 ans et moins. Alors, Dieu renouvelle notre jeunesse, ne l'oubliez pas. Amen. Nous avons l'intention de rester forts et surtout en bonne santé. Louez le Seigneur. Amen. C'est un trésor, je vous le dis. Et...
Nous sommes à Belém en Amazonie pour la COP30, le bon endroit pour parler du rôle des forêts tropicales dans la régulation du climat. Comment les protéger en harmonie avec ceux qui y vivent ? Nous sommes dans le nord du Brésil à Belém, en direct du Centre de presse de la COP30. Cette 30ème conférence des Nations unies se déroule dans le plus grand bassin forestier du monde : en Amazonie ! Le Brésil abrite 60% de cette forêt tropicale. Le président Lula s'est engagé à éradiquer la déforestation d'ici 2030. Si elle est en recul pour la quatrième année consécutive, le pari est audacieux dans un pays où l'agriculture qui grignote les forêts représente plus de la moitié des exportations et 20% des emplois. Mais c'est un sujet qui nous concerne tous, car l'ensemble des forêts tropicales de l'Amazonie à l'Indonésie en passant par le Bassin du Congo sont des écosystèmes vitaux pour l'équilibre du monde. Mais comment les préserver sans nuire aux populations qui y vivent ? Le sujet a été débattu pendant des heures de conférences et de négociations ici à Belém. Nous allons vous donner un aperçu de la complexité de la réponse avec nos invités... Avec Christiane Taubira, nouvelle présidente de la Chaire José Bonifácio de l'Université de São Paulo au Brésil, elle présente lors de cette COP30 ses activités de recherche sur le thème «Sociétés amazoniennes : réalités plurielles, destin commun ?» Catherine Aubertin, économiste de l'environnement et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts à Greenpeace Afrique. Musiques diffusées pendant l'émission Vital Farias - Saga da Amazônia Dona Onete - No meio do Pitiu.
Nous sommes à Belém en Amazonie pour la COP30, le bon endroit pour parler du rôle des forêts tropicales dans la régulation du climat. Comment les protéger en harmonie avec ceux qui y vivent ? Nous sommes dans le nord du Brésil à Belém, en direct du Centre de presse de la COP30. Cette 30ème conférence des Nations unies se déroule dans le plus grand bassin forestier du monde : en Amazonie ! Le Brésil abrite 60% de cette forêt tropicale. Le président Lula s'est engagé à éradiquer la déforestation d'ici 2030. Si elle est en recul pour la quatrième année consécutive, le pari est audacieux dans un pays où l'agriculture qui grignote les forêts représente plus de la moitié des exportations et 20% des emplois. Mais c'est un sujet qui nous concerne tous, car l'ensemble des forêts tropicales de l'Amazonie à l'Indonésie en passant par le Bassin du Congo sont des écosystèmes vitaux pour l'équilibre du monde. Mais comment les préserver sans nuire aux populations qui y vivent ? Le sujet a été débattu pendant des heures de conférences et de négociations ici à Belém. Nous allons vous donner un aperçu de la complexité de la réponse avec nos invités... Avec Christiane Taubira, nouvelle présidente de la Chaire José Bonifácio de l'Université de São Paulo au Brésil, elle présente lors de cette COP30 ses activités de recherche sur le thème «Sociétés amazoniennes : réalités plurielles, destin commun ?» Catherine Aubertin, économiste de l'environnement et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement Bonaventure Bondo, chargé de campagne Forêts à Greenpeace Afrique. Musiques diffusées pendant l'émission Vital Farias - Saga da Amazônia Dona Onete - No meio do Pitiu.
La secte terroriste connue sous le nom Boko Haram a lancé une insurrection armée en 2009 pour établir un État islamique, tuant des dizaines de milliers de personnes et déplaçant plus de deux millions dans le nord-est du Nigeria. Pour résoudre cette crise sécuritaire et humanitaire qui frappe également les pays voisins, Abuja a lancé plusieurs programmes de réconciliation et de réintégration pour favoriser les défections dans les rangs de Boko Haram et de l'Iswap. Une perspective qui indigne certaines victimes, qui se sentent abandonnées par l'État. De notre correspondant au Nigeria, La colère ne quitte plus Aisha. En 2011, son fils est pris dans une énorme rafle de l'armée nigériane, car il était suspecté, comme des milliers d'hommes, d'être un Boko Haram. Aujourd'hui, Aisha ne sait pas si son enfant est encore vivant. Et malgré les intimidations, cette septuagénaire au visage fin et tatoué, hurle à l'injustice à la face des autorités politiques et militaires qu'elle croise dans Maiduguri. « Le gouvernement fédéral ne nous reconnaît pas comme citoyens nigérians. Pourquoi il accepte les repentis ? Et en plus, il les réintègre dans la communauté ? Pourquoi l'armée ne libère-t-elle pas nos enfants pour qu'on puisse connaître la vérité ? Le gouvernement incarcère nos enfants sans jugement et accepte les repentis de Boko Haram. Ce n'est pas cela la justice pour moi », dénonce Aisha. Abba Ashigar réajuste sa prothèse orthopédique remplaçant sa jambe gauche : cet étudiant a survécu à un attentat suicide. Le 16 janvier 2017, il entre avec son père et son jeune frère dans une des mosquées du campus de l'Université de Maiduguri. À peine l'imam démarre la prière de l'aube, un kamikaze déclenche son engin explosif. « Même si vous voulez pardonner, vous ne saurez pas vraiment ce que vous pouvez pardonner. Voulez-vous dire que je dois pardonner à ceux qui ont commis un attentat suicide dans la mosquée ? Ou à ceux qui ont organisé cet attentat ? Ou à ceux qui les ont financés ? Qui dois-je pardonner ? », interroge Abba. À lire aussiNigeria: comment j'ai basculé dans Boko Haram [1/5] Le jeune frère d'Abba, ainsi que trois autres personnes, ont succombé à leurs blessures. Abba est encore marqué psychologiquement par ce drame même s'il se dit fort. Comme Aisha, Abba est choqué par le retour sans procès des repentis Boko Haram : « Comment vous, le Gouverneur de l'État de Borno, vous les gens du gouvernement fédéral, vous osez simplement ramener ces gens ? Ceux qui ont massacré votre mère sous vos yeux. Ceux qui ont massacré votre père, vos voisins. Ou ceux qui ont commis des attentats-suicides contre vous. Les ramener simplement dans la ville, puis dire : "Ce sont des repentis". Pourquoi se repentiraient-ils devant nous ? » Loin de se laisser abattre, Abba se concentre sur son master en statistiques. Et chaque jour, il retourne prier dans la même mosquée du campus, pour le repos de l'âme de son petit frère. À lire aussiNigeria: la réintégration d'ex-membres de l'Iswap dans la société, sans passer par la case prison [2/5]
C'est entouré d'une lourde protection policière qu'Amine Kessaci participera ce mardi 18 novembre aux obsèques de son frère Mehdi. La piste d'un crime d'intimidation est maintenant privilégiée après l'assassinat, jeudi, de ce proche du militant écologiste, connu pour sa mobilisation contre les narcotrafiquants. Dans cet épisode du Choix info RTL, nous vous racontons la menace croissante qui pèse contre ceux qui osent défier les criminels à Marseille. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À huit mois du début du Mondial 2026 (11 juin-19 juillet) et au sortir d'une campagne de qualifications menée en deux mois, les contours de la liste des joueurs de l'équipe de France pour le tournoi peuvent d'ores et déjà se dessiner, avec des interrogations au milieu et en attaque. Le sélectionneur Didier Deschamps dévoilera cette liste "mi-mai", a-t-il indiqué dimanche à Bakou après la victoire contre l'Azerbaïdjan (3-1). Quels sont les éléments sûrs d'y participer ? Ceux qui ont marqué des points ces derniers mois ? Ceux qui en ont perdu ? Tour d'horizon avec Éric Silvestro et Nicolas Georgereau. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Didier Giraud, agriculteur en Saône-et-Loire, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Trois semaines après les massacres, les témoignages de civils ayant fui la ville se multiplient et dépeignent l'ampleur des atrocités commises. Le 26 octobre, les Forces de soutien rapide (FSR), milice menée par le général Mohamed Hamdan Daglo, dit « Hemetti », ont repris la ville d'El-Fasher aux mains de l'armée régulière du Soudan, dirigée par le général Al-Bourhane.Dès le lendemain, des vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, puis dans les médias du monde entier montrant les soldats des FSR s'en prenant aux civils. Ceux qui sont parvenus à fuir parlent d'exécutions sommaires, de viols et de torture.Les deux généraux s'opposent depuis avril 2023 pour le contrôle du pays et de ses ressources. Les civils sont les premières victimes du conflit qui s'enlise depuis plus de deux ans au Soudan. Plus de 160 000 personnes ont été tuées, dix millions ont été déplacées, tandis que les maladies et la famine se développent, selon l'Organisation des Nations unies, qui parle de la « pire crise humanitaire au monde ».Quelles sont les origines de cette guerre ? Pourquoi les puissances régionales et occidentales ont-elles une part de responsabilité dans ce conflit ? Reste-t-il un espoir de résolution ? Eléments de réponse dans cet épisode de « L'Heure du Monde » avec Eliott Brachet, correspondant au Caire qui couvre le Soudan pour Le Monde.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'Antonio Guterres à Doha le 4 novembre 2025.Cet épisode a été diffusé le 13 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
✨ Suis-moi sur Instagram : instagram.com/laurita.socaliente/ Venez je vous fais gagner 10 ans de thérapie en 20 minutes, avec un podcast décousu, comme on les aime ! On aborde divers sujets, vous trouverez forcément votre bonheur. - Parfois, c'est une bénédiction de ne pas comprendre quelqu'un. - Certaines personnes aiment leurs problèmes - Out, les gens qui vous font vous questionner sur si vous êtes ami(e)s - Si vous avez les mains gelées, l'eau froide paraît chaude - Les gens marrants ont grandi dans des environnements "pas marrants" - Vous êtes une personne différente pour chaque personne que vous rencontrez. - Ceux qui veulent te voir gagner, t'aident à gagner. - Comment juger le choix de quelqu'un quand on ne connaît pas ses options ? - Arrêtons de négocier avec la version la plus faible de nous-même Et bien d'autres réflexions. A tout de suite ;)
Il y a plusieurs années, vous étiez là, à m'écouter dans l'ombre. Des histoires de tueurs, de fantômes, de créatures tapis sous le lit. Vous étiez des milliers à frissonner chaque samedi soir, dans le noir. Aujourd'hui, la peur revient. Plus forte. Plus immersive. Et cette fois… je ne suis plus seul.Je vous présente Echo. Mon nouveau compagnon de route, mon petit fantôme. Certains se souviendront peut-être de Bobby, celui qui a hanté mes débuts. Echo, lui, est différent. Il observe. Il écoute. Et parfois… il répond.Dès ce soir, Dans Le Noir fait peau neuve. On repart comme avant, avec un Creepshow chaque samedi à 21h : une histoire d'horreur, une critique de film, et des recommandations pour prolonger vos cauchemars. Et chaque mercredi à 21h, un contenu spécial : fait divers, témoignage, ou exploration d'un sujet horrifique.La peur commence ici.Et parce que ce projet vit grâce à vous, j'ai rouvert le Patreon. Vous pouvez y rejoindre la communauté et soutenir le podcast pour qu'il continue à exister. De nouveaux niveaux d'abonnement, des épisodes exclusifs, des histoires inédites, et surtout, un accès privilégié à La Chambre d'Echo — notre serveur Discord, où vous pourrez partager vos expériences, vos photos, vos histoires, et peut-être même… vos témoignages paranormaux.Car c'est aussi ça, Dans Le Noir. Donner la parole à ceux qui ont vu. Ceux qui ont senti. Ceux qui ont vécu l'horreur.Si vous travaillez dans un EHPAD, dans une morgue, si vous êtes medium, secouriste, ou simplement témoin d'un phénomène inexpliqué… je veux vous entendre.Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Ces images ont fait le tour des écrans du monde entier au petit matin du 14 novembre 2015. On y voit des dizaines de personnes s'échappant d'une sortie de secours, dans une petite ruelle, en courant, en rampant. D'autres sont au sol et ne peuvent plus bouger. Une, enfin, est suspendue à une fenêtre du premier étage et crie à qui veut bien l'entendre qu'elle est enceinte et qu'elle va bientôt lâcher prise. Ces images, ce sont celles des spectateurs du Bataclan tentant de fuir les terroristes qui ont ouvert le feu dans la foule, le 13 novembre 2015, aux alentours de 21 h 40. Elles ont été filmées par Daniel Psenny, alors journaliste au Monde et habitant de cette ruelle parisienne, le passage Saint-Pierre-Amelot, dans laquelle donnent les sorties de secours de la salle de spectacle.Dix ans plus tard, il a retrouvé et interviewé une partie des personnes qui apparaissent dans cette vidéo. Il en a tiré un documentaire,Vendredi noir, réalisé avec Franck Zahler et diffusé sur LCP. Dans cet épisode, vous entendrez deux d'entre eux : Charlotte, la femme enceinte suspendue dans le vide, et Sébastien, l'homme qui lui a tendu la main. Vous entendrez également Daniel Psenny raconter son 13 novembre 2015. Celui d'un journaliste témoin des attentats, qui ont fait 132 morts et des centaines de blessés à Paris et Saint-Denis. Mais aussi celui d'un rescapé, puisqu'il a lui-même été touché par balle en tentant de secourir un blessé.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extraits de la vidéo de Daniel Psenny filmée le 13 novembre 2015 ; d'une interview vidéo de Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, diffusée sur Lemonde.fr le 11 novembre 2016 ; de l'édition spéciale de France 2, le 13 novembre 2015.Cet épisode a été diffusé le 12 novembre 2025---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Invitée : - Témoignage exclusif de la fille d'un militaire mort pour la France en Afghanistan en 2011 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jacqueline Kelen, avec la flamme si ardente qui l'anime, propose d'aller à la rencontre de femmes inoubliables et remarquables, des femmes qui nous viennent de plus loin encore que les premières étoiles. Ces femmes, une trentaine de figures qui appartiennent aux mythes et aux légendes, expriment les milles facettes de l'âme féminine, l'un des deux composantes de l'âme humaine, qui anime autant les femmes que les hommes. Une nouvelle fois, Zeteo propose d'aller revisiter les mythes. Pour Jacqueline Kelen, ils viennent au secours de la vie, ils lui donnent le sens du large, ils parient toujours sur l'infini, la grandeur, et ce qui paraît impossible : « Autant dire sur la merveilleuse liberté de l'être humain », précise t-elle. En évoquant ici Antigone, Pénéloppe, Médée, Pandore, Viviane, Juliette, Dulcinée et tant d'autres, Jacqueline Kelen nous décrit des femmes passionnées, furieuses ou jalouses, possessives ou rêveuses, des victimes inadaptées ou sacrifiées. Avec ces grandes figures, elle restaure l'identité et la vocation sacrée de la femme, qui est pour elle à la fois reine et fée, éveilleuse de lumière, médiatrice céleste. Il y a un lien, dans la pauvreté de notre époque, entre la désertion du sacré et du spirituel – tout juste tolérés dans une sphère privée où ils ne peuvent qu'étouffer – et l'ignorance des mythes relégués à des fables dépassées ou, pire, à des affabulations. Les trésors que nous recherchons, nous les détenons sans le savoir. Ils sont à trouver dans l'éveil d'une vie spirituelle animée par le souffle divin, et dans le réveil des figures et des symboles archétypiques que les peuples premiers, antiques et médiévaux ont découvert. En ces temps agités, il semble plus important que jamais de réconcilier notre humanité avec sa propre mémoire. Il n'est plus temps d'ignorer tout ce qui a été révélé, dans leur dialogue permanent avec le Ciel, aux hommes et aux femmes depuis qu'ils vivent sur cette Terre. Avec une attention particulière aux messages trop longtemps oubliés qui nous viennent des femmes qui « respirent dans l'éternité ». -------------- Pour lire Les femmes inoubliables, le livre de Jacqueline Kelen, cliquer ici. -------------- Pour en savoir plus au sujet J'ai besoin d'air, c'est pour ça que je fume, la pièce de Clémence de Vimal, cliquer ici. À NE PAS MANQUER Clémence de Vimal est femme exceptionnelle et une excellente comédienne. Avec un grand courage, une authenticité et une sensibilité si émouvantes, et la légèreté de son humour mordant, elle témoigne d'une histoire personnelle très douloureuse, du combat qu'elle a mené avant de pouvoir lever le lourd secret familial qui l'accablait, et de s'en libérer. Clémence a déjà participé à l'épisode #111 de Zeteo avec le poète Éric de Rus. Elle a raconté sa propre histoire au cours des épisodes #10 et #11 de notre podcast Bethesda. Dans quelques jours, Clémence va interpréter pour la première fois J'ai besoin d'air, c'est pour ça que je fume, la pièce qu'elle a écrite. Pourquoi faut-il absolument y aller ? Parce que cette pièce n'est pas seulement un spectacle, c'est une invitation à parler, à guérir, à se rassembler. En exergue de la présentation de sa pièce, Clémence cite Christiane Singer : « Je crois qu'il existe une manière d'offrir sans impudeur ce qui touche au tréfonds de l'être, d'en faire le don sans porter atteinte à son inviolable secret. » Nous sommes tous, de près ou de loin, touchés par les abus sexuels dont les coupables, si souvent, sont nos plus proches… Pour en savoir plus, pour vivre l'expérience théâtrale bouleversante que propose Clémence de Vimal, cliquer ici. CES FEMMES ÉTERNELLES QUI NOUS TOUCHENT Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Qui ne sera pas gagné par l'élan qui anime si fort Hervé Leprêtre, et qui entraîne autour de lui tant de personnes qui vont aujourd'hui à sa rencontre aux quatre coins de France ? Si je n'ai pas connu Hervé avant l'amputation et la perte de sa jambe, je ne suis pas sûr que le jeune homme qu'il était, avant le grave accident qu'il a vécu il y a près de 20 ans, avait en lui une énergie aussi forte que celle qui rayonne aujourd'hui en lui avec tant de force, de joie et de douceur à la fois. Écouter ou rencontrer Hervé, c'est recevoir en soi une magnifique vague de cette lumière infinie dont il témoigne. Celle qui nous donne la force suffisante d'accepter tout ce qui vient. Ce qui nous terrorise souvent dans la vie, c'est la peur de ce qui risque d'advenir. C'est souvent plus la menace, plus que la réalité de ce que nous vivons vraiment, ici et maintenant. C'est ce qu'Hervé appelle la folie des hommes. Ce qui est formidablement révélateur et réconfortant, dans le témoignage d'Hervé comme de tant d'autres porteurs de lumière, c'est d'apprendre que nous n'avons pas à nous préoccuper de ce qui vient. Comme les oiseaux qui ne sèment ni ne moissonnent, qui n'amassent rien dans des greniers. C'est le Père céleste qui les nourrit. L'adversité, comme le dit encore Hervé, c'est l'aventure. Elle peut nous transporter plus loin et plus haut que nous. La force de surmonter toutes les adversités, le mal, la mort, la solitude et les souffrances, nous ne l'avons pas. Elle nous est donnée. Notre foi, c'est la confiance que cette force ne nous manquera pas au moment de l'épreuve, et qu'elle nous accompagnera, qu'elle nous portera jusqu'à l'autre rive. Notre foi, c'est grâce à elle que nous pouvons accueillir tout ce qui vient et qui nous dépasse si souvent. L'amour nous dépasse toujours. Il nous transforme et nous transporte, en nous surprenant si souvent. Qu'il est bon de sentir dépassé, et de reconnaître que c'est la bienveillance d'autrui qui est à l'oeuvre à travers nous ! C'est cette foi, cette merveilleuse confiance que nous sommes si heureux de partager avec vous. L'une de nos récentes invités disait que tous ensemble, nous sommes les chevaliers de la lumière. Hervé le confirme. Des liens invisibles et divins nous relient tous les uns aux autres. Ceux de la lumière et de l'amour. Fraternellement, Guillaume Devoud Pour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo. Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. 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Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le patriarcat, dans son sens littéral, signifie “le commandement du père”. Des pères, de la paternité, il en sera question dans les prochains épisodes des Couilles sur la table. En France, près de 70 % des hommes adultes ont des enfants. Qui sont-ils, que font-ils ? Qu'est-ce que ça veut dire, être père ? Quels sont les liens entre la paternité et les masculinités ?Victoire Tuaillon reçoit Myriam Chatot, docteure en sociologie, qui vient de soutenir sa thèse sur les pères au foyer. Elles s'interrogent sur cette impression selon laquelle les pères d'aujourd'hui seraient beaucoup plus impliqués, aimants et tendres, que les pères des générations précédentes. Et sur le poncif des pères qui ne demandent qu'à en faire plus, mais qui en sont empêchés par les institutions de la petite enfance, l'État et les mères possessives. La révolution de la paternité a-t-elle déjà eu lieu ? Comment s'exerce la paternité aujourd'hui ? Ceux qu'on surnomme “les nouveaux pères” existent-ils vraiment ?Un épisode initialement diffusé le 24 septembre 2020.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées sur https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/a-la-recherche-des-nouveaux-peresCRÉDITS Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré le 2 septembre 2020 à Binge Audio (Paris 19e). Prise de son : Quentin Bresson. Réalisation et mixage : Solène Moulin. Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Chargée de production : Camille Regache. Chargée d'édition : Naomi Titti. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Plusieurs dizaines de morts et plusieurs centaines de personnes arrêtées ». C'est le premier bilan de la crise post-électorale au Cameroun, que révèle ce matin, sur RFI, le ministre camerounais de la Communication, René-Emmanuel Sadi. Depuis l'annonce officielle de la réélection de Paul Biya, l'opposant Issa Tchiroma dénonce « une mascarade » et appelle la population à résister. Y a-t-il un mandat d'arrêt contre Issa Tchiroma ? L'heure est-elle à la fermeté ou à l'apaisement ? En ligne de Yaoundé, le ministre René-Emmanuel Sadi, qui est aussi porte-parole du gouvernement, répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pour beaucoup d'observateurs, et notamment pour l'archevêque de Douala, Monseigneur Kleda, les résultats officiels ne sont pas crédibles parce qu'il s'est passé quinze longues journées entre le jour du vote et le jour de la proclamation des résultats, et parce qu'en quinze jours, toutes les manipulations sont possibles… René-Emmanuel Sadi : Évidemment, l'opinion de Monseigneur Kleda lui est propre, mais je pense qu'il n'ignore pas que nous avons un code électoral qui a une procédure tout à fait connue, et l'élection présidentielle a connu toutes les étapes au niveau de son dépouillement. Et s'agissant du délai de quinze jours, il est non seulement conforme à la loi électorale, mais il tient compte aussi de nos réalités du moment. Il faut encore plusieurs heures, voire plusieurs jours, pour disposer de tous les procès-verbaux. Ceux-ci devant être acheminés à partir des localités parfois très éloignées des centres urbains. Oui, mais pendant les quinze jours, on ne sait rien au niveau des instances officielles, on n'a aucun chiffre, aucun rapport d'étape, rien du tout. Vous savez que justement, le problème, c'est que ce sont ces tendances, que l'on proclame parfois à travers les réseaux sociaux, qui créent des polémiques inutiles. Et ceci est de nature à porter atteinte à l'ordre public. Mais si les instances officielles et si Elecam publiaient des rapports d'étape, faisaient le point bureau de vote par bureau de vote, département par département, région par région, est-ce qu'il n'y aurait pas plus de transparence et moins de suspicion ? C'est une hypothèse que vous avancez. Pour l'instant, l'instance chargée de ces élections, qui est Elecam en premier, je crois, essaie de faire du mieux possible. Maintenant, si cette hypothèse que vous avancez est favorablement appréciée avec le temps, il est possible que, au cours des échéances prochaines, on procède de cette manière pour, comme vous le dites, plus de transparence de cette façon. La semaine dernière, votre collègue le ministre de l'Administration territoriale, Paul Atanga Nji, a fustigé « l'irresponsabilité d'Issa Tchiroma » et a déclaré que celui-ci devrait répondre devant les juridictions compétentes. Est-ce qu'un mandat d'arrêt a été lancé contre le candidat de l'opposition ? Je crois qu'à ma connaissance, Monsieur Tchiroma n'aurait pas encore fait de façon officielle l'objet d'un mandat d'arrêt. Ce sont un certain nombre de choses qui relèvent de nos juridictions. Il est vrai que les appels à l'insurrection, les appels aux atteintes à l'ordre public, les incitations à la révolte, face à une situation comme celle-ci, sont passibles de sanctions par la loi. Et il n'est pas à exclure que Monsieur Tchiroma fasse l'objet d'une interpellation. Il n'est pas à l'exclure. Et pour vous, l'heure est plutôt à la fermeté ou à l'apaisement avec Issa Tchiroma ? Ecoutez, tout est possible. Nous pensons que nous avons tous intérêt à faire en sorte que notre pays connaisse la paix et la stabilité. Et donc le porte-parole que je suis ne prêche que l'apaisement. La semaine dernière, la proclamation des résultats officiels a été suivie de manifestations et d'affrontements avec les forces de l'ordre. Et aujourd'hui, deux sources de l'ONU citées par l'agence Reuters donnent le chiffre de 48 morts. Est-ce que vous confirmez ? Il y a eu certes des pertes en vies humaines et cela ne peut que nous attrister. Les forces chargées du maintien de l'ordre ne pouvaient rester inactives face au déchaînement des manifestants, en dépit de l'extrême retenue dont ces forces ont su faire preuve. Et les chiffres qui sont avancés par ces instances, comme l'ONU, ne sont pas vérifiés, ne sont pas recoupés. Toujours selon ces deux sources de l'ONU citées par Reuters, près de la moitié de ces 48 morts seraient survenues à Douala, et parmi ces morts, il y aurait trois gendarmes. Oui. Parmi les personnes qui ont perdu leur vie, comme vous le savez, il y a eu des jeunes Camerounais. Mais il y a également des membres des forces de défense et de sécurité. Combien de victimes d'après vos informations ? Combien de morts ? On a parlé de plusieurs dizaines. Comme les enquêtes sont en cours, nous saurons dans les prochains jours le bilan de tous ces morts. Donc, vous nous dites plusieurs dizaines de morts ? Plusieurs dizaines de morts, selon les indications qui ont été données par le gouverneur de la région du Littoral, il y a quelque temps. Il y a les morts et puis il y a les prisonniers. D'après le collectif des avocats camerounais qui s'en occupe, il y aurait actuellement 2 000 personnes qui auraient été mises en prison à la suite de la proclamation des résultats officiels. Est-ce que vous confirmez ce chiffre ? Nous sommes effectivement à plusieurs centaines de personnes arrêtées. Vous ne dites pas 2 000, mais plusieurs centaines, c'est ça ? En tout cas, plusieurs centaines. Plusieurs centaines.
Dans cet épisode, je t'invite à explorer un courage souvent ignoré : celui de ceux qui accompagnent la fin de vie. Je te raconte avec sensibilité le rôle essentiel des aidants, des soignants et de tous ceux qui, dans l'ombre, apportent soutien, douceur et humanité à ceux qui vivent leurs derniers instants. Ce courage discret, celui des mains qui tiennent, des voix qui apaisent et des silences bienveillants, celui qui tient le monde debout dans les moments les plus fragiles. À travers mon témoignage personnel et une ode au travail d'équipe auprès des mourants, je mets en lumière la force invisible qui lie tous ceux qui aiment et prennent soin, même face à la peur et à l'inconnu. Préparez-vous à un épisode touchant, empli de reconnaissance et d'inspiration pour tous ceux qui apportent lumière et chaleur dans l'obscurité. Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Voici 3 idées clés à retenir : Le courage invisible existe : je célèbre ce courage silencieux des soignants, aidants, proches, bénévoles – ceux qui donnent sans projecteurs, simplement par une main posée ou un regard sincère. L'accompagnement est un travail d'équipe : Du médecin à la cuisinière, chaque rôle compte pour créer un environnement humain et apaisant, offrant réconfort et dignité aux personnes en fin de vie. Reconnaître sa propre force : Cet épisode nous invite à ne pas comparer notre courage, mais à le reconnaître et le célébrer, tout en allégeant la culpabilité de ne pas toujours se sentir assez forts face à cette épreuve. Un épisode puissant pour honorer ce courage du quotidien, celui qui réchauffe le monde sans bruit. Timeline de l'épisode 00:00:5700:01:10 Le courage invisible autour de la fin de vie : Ce courage-là, il ne fait pas de bruit, il ne porte pas de médailles, il s'exprime dans les petites choses, les choses minuscules, comme une main posée, un regard qui ne fuit pas, un souffle retenu pour ne pas pleurer trop fort. 00:02:2400:02:30 Le courage invisible des soignants : "Ce jour-là, j'ai compris que la mort en réalité ne s'entoure pas de silence, elle s'entoure d'humanité, c'est ça le courage invisible." 00:03:5300:04:16 : Le courage invisible au travail : Voilà, c'était notre moment du jour et aujourd'hui j'aimerais une fois de plus que tu aies une pensée pour tous ces visages qu'on ne voit pas, ceux qui travaillent dans l'ombre, ceux qui tiennent la main et ceux qui ferment doucement la lumière le soir.
Une guerre oubliée, ignorée par les grands médias internationaux, et qui se retrouve désormais sous les feux de l'actualité : il aura fallu les terribles massacres de civils à El-Fasher pour que le monde prenne conscience de l'atrocité de cette guerre et commence à réagir, notamment par le biais des Nations-Unies. C'est le constat dressé par le Sudan Tribune, l'un des rares médias encore en activité au Soudan. « La chute d'El-Fasher et le génocide et le nettoyage ethnique perpétrés par les FSR nous rappellent cruellement l'incapacité du monde à tirer les leçons de l'histoire, affirme le quotidien soudanais. L'inaction de la communauté internationale face aux atrocités a enhardi les auteurs de ces crimes, permettant au conflit de dégénérer en une véritable crise humanitaire. La communauté internationale doit prendre des mesures immédiates et énergiques pour protéger les civils, garantir que les auteurs de crimes de guerre rendent des comptes et mettre fin aux violences. Les peuples du Darfour et du Soudan ne méritent rien de moins. » Et le Sudan Tribune d'« exiger un cessez-le-feu immédiat, la garantie de l'accès humanitaire, la protection des civils de la violence, l'arrêt des livraisons d'armes, l'activation d'enquêtes indépendantes et la mise en œuvre de sanctions ciblées contre les individus et les entités responsables de crimes de guerre et d'atrocités ». Ceux qui « entretiennent le chaos » Récemment, Le Monde à Paris dénonçait « l'insupportable passivité internationale face à la tragédie au Soudan » et constatait qu'« aucune des grandes puissances qui se disent officiellement préoccupées par le sort des Soudanais n'a jamais demandé le moindre compte à ceux qui entretiennent le chaos ». En effet, précisait le journal, « pour le plus grand malheur des Soudanais, cette lutte pour le pouvoir et pour les ressources est entretenue et attisée par l'interventionnisme de puissances régionales qui font du Soudan le terrain par procuration de leurs rivalités ». La Croix, toujours à Paris, rebondit : « la crise soudanaise s'étend bien au-delà des frontières du pays : les paramilitaires (des FSR) sont soutenus par les Émirats arabes unis, tandis que l'armée régulière reçoit l'aide de l'Égypte, de l'Arabie saoudite ou encore de la Turquie. Elle représente un enjeu international majeur, d'autant qu'une partition du pays, déjà amputé du Soudan du Sud en 2011, n'est plus à exclure ». « Cette tragédie nous concerne tous, s'exclame encore le quotidien catholique. Les victimes ne sont d'aucun camp ; elles sont d'abord nos frères et sœurs, installés sur une terre qui voit se succéder les drames à un rythme infernal depuis au moins 20 ans. Il y a peu d'endroits au monde qui concentrent autant de malheurs dans une telle indifférence. » Pression Alors, « face à l'ampleur des accusations et des preuves, relève Afrik.com, le chef des FSR, le général Hemetti, a tenté de désamorcer la crise en annonçant l'ouverture d'enquêtes sur les agissements de certains de ses paramilitaires. Cette annonce a été suivie par plusieurs arrestations en fin de semaine dernière, dont celle d'un combattant surnommé Abou Loulou, dont l'authenticité de vidéos le montrant exécuter des personnes non-armées a été confirmée. Toutefois, pointe encore le site panafricain, le Haut-Commissariat des Nations unies exige davantage. Il réclame des “enquêtes indépendantes, rapides, transparentes et approfondies“ sur toutes les violations présumées du droit international, ainsi que l'obligation pour leurs auteurs de “rendre des comptes“. La tragédie d'El-Fasher accentue la pression internationale pour que justice soit faite au Soudan. » Tragédie humanitaire En attendant, « le Soudan est devenu une boucherie à ciel ouvert, soupire Seneweb à Dakar. « Une zone de non-droit, un haut lieu des violations des droits humains. (…) On ne peut plus parler simplement de guerre, tant les violences et les atrocités dépassent toute mesure. Il s'agit désormais d'une tragédie humanitaire aux allures de sanction génocidaire, poursuit Seneweb. Le Soudan continue d'étonner, d'effrayer et de choquer le monde par l'ampleur de cette violence inouïe, orchestrée par deux généraux, deux seigneurs de guerre, (…) dont le seul objectif est la préservation de leur pouvoir et de leurs intérêts personnel. »
Plongée au cœur de l'Amazonie avec Lucile Gimberg du service environnement de RFI en français et Lucia Muzell de la rédaction en brésilien. À l'approche de la COP 30 qui s'ouvrira dans quelques jours au Brésil, Anne Cantener reçoit les deux reporters qui reviennent de ce territoire immense. Elles signent toute une série de reportages disponibles sur le site internet de RFI en français et en brésilien. Les deux journalistes ont été marquées par la richesse et l'importance des savoirs traditionnels des communautés autochtones, en particulier en ce qui concerne la gestion de la forêt amazonienne. Il faut garder en tête que «c'est aussi et surtout une zone de rivières. L'eau fait vraiment partie du quotidien», souligne Lucile Gimberg. «Il y a également de nombreuses villes, comme Belém. 28 millions de personnes vivent en Amazonie», ajoute Lucia Muzell. Les premières traces d'habitat remontent à 12.000 ans et on peut s'inspirer des modes de vie des peuples originels pour protéger la nature, expliquent les reporters. «Par exemple, il faut rediversifier notre alimentation», explique Lucile Gimberg. «Ces peuples mangeaient 37 espèces de poissons !» Ces savoirs ancestraux sont d'ailleurs toujours utilisés aujourd'hui dans les communautés qui s'efforcent de les transmettre aux jeunes générations. Mais leur travail n'est pas toujours suffisamment reconnu et valorisé, notamment au niveau économique. Vidéo : Amazonie : et si l'avenir passait par la bioéconomie ? - RFI Amazônia: a equação delicada entre preservação e combate à pobreza - Planeta Verde COP30: Nas comunidades tradicionais amazônicas, clima mais quente já assusta e mobiliza adaptação - Planeta Verde Melissa : deuil national en Haïti Le Nouvelliste parle d'une trentaine de morts mais là encore, les chiffres devraient augmenter. Trois jours de deuil national ont été décrétés, à partir de ce lundi (3 novembre 2025), nous apprend Gazette Haïti. «Durant cette période, le drapeau national sera mis en berne sur tout le territoire, les discothèques et établissements assimilés resteront fermés, et les médias seront invités à adapter leur programmation avec de la musique et des émissions de circonstance», explique le journal. Six départements du pays restent en état d'urgence : le Sud, le Sud-Est, la Grand-Anse, les Nippes, l'Ouest et le Nord-Ouest, et ce pour une durée, de trois mois. À écouter aussiHaïti : à Petit Goâve, les habitants encore sous le choc après le passage de Melissa Les États-Unis débloquent trois millions de dollars pour Cuba Cet argent destiné en priorité aux habitants des régions orientales de l'île, les plus touchées par Melissa, sera distribué par l'Église catholique, relève 14 y Medio. Ce choix de l'Église catholique, «une institution avec une présence territoriale, crédible et bien vue par la population», précise le journal, met le gouvernement cubain «dans une situation difficile». Ce qui explique l'absence de réactions officielles des autorités face à cette offre de bons services. À lire aussiL'ouragan Melissa a touché Cuba mais perd de la puissance, rétrogradé en catégorie 3 Une majorité d'Américains estiment que Donald Trump va trop loin Selon un sondage effectué par Ipsos pour le Washington Post et ABC, près de deux-tiers des personnes interrogées jugent que le président outrepasse ses pouvoirs. Près de 60% des Américains ont une opinion défavorable de Donald Trump. Un taux d'insatisfaction jamais atteint depuis janvier 2021 et l'attaque du Capitole, fait remarquer le Washington Post. Principales raisons de ce mécontentement : les tarifs douaniers, et l'économie en général, et comment Donald Trump gère le gouvernement fédéral. En revanche, sur les questions d'immigration et de diversité, la société américaine semble divisée. La moitié des personnes sondées juge que Donald Trump va trop loin et l'autre moitié estime que ce qu'il fait est bien ou qu'il ne va pas assez loin. Dernier enseignement intéressant de ce sondage : les démocrates ne bénéficient pas de ce mécontentement. Près de 7 Américains sur 10 estiment que le parti est déconnecté de leurs vies. C'est 6 sur 10 pour les Républicains. Ceux qui désapprouvent l'action de Donald Trump, ne sont pas prêts pour autant à voter démocrates, souligne le Washington Post. À lire aussiÉtats-Unis: Donald Trump assume les méthodes brutales des opérations anti-immigration Nicolas Maduro renforce la censure Selon Tal Cual, le mois dernier, deux personnes ont écopé de 10 et 15 de prison. Elles ont été reconnues coupables de «délit de haine» lors de procès expéditifs, rapporte le journal en ligne. La première, âgée de 44 ans, avait critiqué le gouvernement lors d'une discussion privée sur WhatsApp ; la seconde âgée de 22 ans est accusée d'avoir posté sur TikTok une vidéo dans lequel elle disait du mal des autorités. Ces deux condamnations sont les dernières d'une longue série de personnes condamnées à de lourdes peines de prison pour avoir fait des remarques négatives sur le gouvernement dans un cadre privé, raconte Tal Cual qui fait le lien avec une décision de Nicolas Maduro. Afin d'encourager la délation, le 20 octobre 2025, il a demandé à ce que soit réactivée une fonction de l'appli VenApp afin de pouvoir signaler 24h/24 «tout ce que l'on voit, tout ce que l'on entend». À l'origine, VenApp, c'est un réseau social créé pour faire remonter les problèmes du quotidien, comme lorsqu'un service public ne fonctionne pas, explique Tal Cual. Aujourd'hui, on y trouve des onglets «terrorisme» ou bien «attaque de drones», précise le journal. Tout cela contribue à «créer un climat de silence et de terreur», analyse Martha Tineo, avocate et coordinatrice de l'ONG ONG Justicia, Encuentro y Perdón. Un «silence collectif» pour que la vérité disparaisse. Le journal de la 1ère Après le passage de Melissa, des milliers de Jamaïcains ont tout perdu. À lire aussiOuragan Melissa: le personnel médical de la Jamaïque mobilisé malgré les nombreux dégâts
C dans l'air l'invitée du 1er novembre 2025 avecPascale HEBEL, directrice associée de C-Ways.Alors que 45% des Français se sont retrouvés à découvert au moins une fois en 2024 pour un montant moyen de 223 euros, selon l'étude de Panorabanques du 29 octobre 2025, l'annonce de la fin du découvert automatique à compter du 20 novembre 2026 inquiète. Considérée comme une "mesure antipauvres" par certains, elle viserait à lutter contre le surendettement, avec le risque qu'au contraire elle l'accentue si les plus précaires en venaient à se tourner vers les crédits à la consommation.Dans son enquête bi-annuelle sur les comportements de consommation des Français, le cabinet C-Ways note une baisse de l'inflation et un retour de l'envie de consommer chez les Français, concernant notamment les dépenses liées à l'alimentation, les voyages ou encore les loisirs.Pascale Hebel reviendra également sur l'enquête de l'UFC-Que Choisir du 30 octobre dernier, qui déconseille d'acheter les produits à bas prix Shein et Temu, du fait de la non-conformité de la majorité d'entre eux aux normes en vigueur dans l'Union européenne. Ceux-ci présentent même un risque pour les utilisateurs. A titre d'exemple, seul 1 jouet sur les 54 achetés respectait ces normes.L'occasion de parler de l'implantation polémique de la marque chinoise Shein au BHV Paris, mercredi prochain, ainsi que des taxes sur les petits colis en provenance de Chine. Le gouvernement souhaite instaurer une taxe de 2 euros sur chaque produit de ces petits colis venant de l'extérieur de l'UE.Pascale HEBEL, Directrice associée de C-Ways, est notre invitée ce soir. Elle nous parlera de l'évolution du pouvoir d'achat des Français et de l'impact de la fin programmée du découvert bancaire automatique. Elle reviendra également sur le succès des plateformes Shein et Temu, dont la majorité des produits ne respectent pourtant pas les normes de sécurité de l'Union européenne. Un succès qui se traduit par l'implantation prochaine de Shein au BHV Paris, prévue mercredi prochain.
026-Les invocations en faveur de ceux qu'on a insultes-..-La Talbiyah pour celui qui effectue le Hajj ou la Umrah by XamSaDine
Hervé Leprêtre, après sa première participation à Zeteo il y a quelques mois qui a bouleversé tant d'auditeurs, nous offre ici une nouvelle méditation sur la mort. Diffusé dès le jour où le calendrier liturgique propose de fêter nos défunts, le lendemain de la fête de la Toussaint, ce nouvel épisode avec lui est une invitation à méditer sur le sens de notre propre mort, sur sa place et sa signification dans nos vies, comme sur notre relation avec ceux qui nous ont quitté. Hervé revient sur le jour où sa vie a basculé, lors du grave accident qui l'a confronté de longues heures à sa propre mort. Avant tout, il témoigne de l'incroyable illumination qu'il a vécu, au cœur d'une souffrance inouïe. Écrasé par un arbre, agonisant, il raconte comment la grâce divine l'a inondé, comment elle lui a permis l'acceptation de tout ce qui est et de tout ce qui vient, à commencer par la mort. Hervé Leprêtre raconte sa renaissance, comment il a pris conscience progressivement, après avoir miraculeusement survécu à l'accident, que sa vie avait complètement changé. Aujourd'hui, Hervé est le porteur et le messager d'une lumière rayonnante et irradiante. Avec sa joie, sa douceur, son enthousiasme et sa passion, il rejoint chacun d'entre nous, jusqu'à nos ombres et nos peurs les plus tenaces. Tout cela, Hervé Leprêtre le vit et le revit lors des représentations de Renaissance, la pièce qu'il a créée et qu'il interprète avec deux musiciens partout en France. L'occasion pour lui de prendre conscience, lors des rencontres avec un public de plus en plus nombreux, à quel point nous sommes tous reliés par un tissu invisible de lumière et d'amour. L'humanité est un seul grand corps dont chacun est une cellule. Et nous sommes tous appelés à vivre nos vies et nos adversités comme une aventure collective Sommes-nous à la hauteur de la vie divine qui nous est offerte ? Écouter ou rencontrer Hervé Leprêtre, c'est un excellent moyen de nous libérer des poids qui nous accablent, de nos fausses croyances, de nos plaintes et de nos folies à vouloir changer le monde au lieu de l'accueillir tel qu'il s'offre à nous. Accepter, comme le dit Hervé, c'est être dépassé. C'est s'ouvrir à la bienveillance infinie, parfois immédiate et si souvent surprenante, du divin. Des millions de cœurs reliés par la lumière et unis dans l'amour, c'est infiniment plus grand qu'un cœur tout seul. -------------- Pour lire Quand la souffrance devient lumière, le livre d'Hervé Leprêtre, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Renaissance, la pièce créée et interprétée par Hervé Leprêtre, et pour en connaître quelques dates de représentation, cliquer ici. D'autres dates, dès fin novembre 2025, en cliquant ici. Pour découvrir Vivre Libre, l'association évoquée par Hervé Leprêtre pendant cet épisode, cliquer ici QU'IL EST BON DE SE SENTIR DÉPASSÉ ! Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Qui ne sera pas gagné par l'élan qui anime si fort Hervé Leprêtre, et qui entraîne autour de lui tant de personnes qui vont aujourd'hui à sa rencontre aux quatre coins de France ? Si je n'ai pas connu Hervé avant l'amputation et la perte de sa jambe, je ne suis pas sûr que le jeune homme qu'il était, avant le grave accident qu'il a vécu il y a près de 20 ans, avait en lui une énergie aussi forte que celle qui rayonne aujourd'hui en lui avec tant de force, de joie et de douceur à la fois. Écouter ou rencontrer Hervé, c'est recevoir en soi une magnifique vague de cette lumière infinie dont il témoigne. Celle qui nous donne la force suffisante d'accepter tout ce qui vient. Ce qui nous terrorise souvent dans la vie, c'est la peur de ce qui risque d'advenir. C'est souvent plus la menace, plus que la réalité de ce que nous vivons vraiment, ici et maintenant. C'est ce qu'Hervé appelle la folie des hommes. Ce qui est formidablement révélateur et réconfortant, dans le témoignage d'Hervé comme de tant d'autres porteurs de lumière, c'est d'apprendre que nous n'avons pas à nous préoccuper de ce qui vient. Comme les oiseaux qui ne sèment ni ne moissonnent, qui n'amassent rien dans des greniers. C'est le Père céleste qui les nourrit. L'adversité, comme le dit encore Hervé, c'est l'aventure. Elle peut nous transporter plus loin et plus haut que nous. La force de surmonter toutes les adversités, le mal, la mort, la solitude et les souffrances, nous ne l'avons pas. Elle nous est donnée. Notre foi, c'est la confiance que cette force ne nous manquera pas au moment de l'épreuve, et qu'elle nous accompagnera, qu'elle nous portera jusqu'à l'autre rive. Notre foi, c'est grâce à elle que nous pouvons accueillir tout ce qui vient et qui nous dépasse si souvent. L'amour nous dépasse toujours. Il nous transforme et nous transporte, en nous surprenant si souvent. Qu'il est bon de sentir dépassé, et de reconnaître que c'est la bienveillance d'autrui qui est à l'oeuvre à travers nous ! C'est cette foi, cette merveilleuse confiance que nous sommes si heureux de partager avec vous. L'une de nos récentes invités disait que tous ensemble, nous sommes les chevaliers de la lumière. Hervé le confirme. Des liens invisibles et divins nous relient tous les uns aux autres. Ceux de la lumière et de l'amour. Fraternellement, Guillaume Devoud Pour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo. Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. 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Les invocations en faveur de ceux qu'on a insultés - La Talbiyah by XamSaDine
"Comment faire quand je doute ma relation ? Comment savoir si c'est une vraie remise en question ou juste une phase passagère ?Comment en parler, que faire, quelle est la suite ?"Dans cet épisode, j'invite à nouveau mon conjoint et on partage avec vous une conversation à deux, honnête, sur les moments down de notre couple . Ceux où on doute, où on se questionne, où l'amour ne suffit plus à tout apaiser. Écoute cet épisode pour :• comprendre ce que révèlent les périodes de doute dans une relation• découvrir comment ouvrir un dialogue sincère sans chercher à tout résoudre• apprendre à traverser ces moments délicats de manière constructiveLe podcast de Chris : https://smartlink.ausha.co/l-eveil-du-masculinSon Instagram : https://www.instagram.com/chris__aud
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/seuls-ceux-qui-pensent-en-francais-utilisent-ces-8-phrases
C dans l'air du 25 octobre 2025 : Budget : premiers votes, premiers reversUn premier ministre en sursis. Alors que l'agence de notation Moody's a maintenu vendredi sa note concernant la dette française, Sébastien Lecornu inaugurait dans le même temps à l'Assemblée nationale les débats sur le projet de budget pour 2026. Celui qui a entériné la suspension de la réforme des retraites pour éviter une censure de la part des socialistes s'est dit "prêt à un débat transparent, y compris en modifiant en séance notre propre texte". Les socialistes se sont réjouis que "le Parlement retrouve ses pouvoirs", mais leur patron Olivier Faure menace toujours de censure si la majorité n'adopte pas plus de mesures de justice fiscale d'ici lundi. À l'occasion des débats sur la partie recette du budget, ils ont proposé une "taxe Zucman light" qui exonérerait les propriétaires de start-up et d'entreprises familiales. "Nous voulons montrer que nous ne sommes pas dogmatiques", a ainsi défendu le député PS Philippe Brun. Levée de bouclier chez LFI qui accuse les socialistes de pactiser avec le gouvernement. "L'expérience historique et internationale montre que dès qu'on introduit des exonérations, on relance la machine à optimisation fiscale", a de son côté dénoncé l'économiste Gabriel Zucman, à l'origine de la proposition.Si les socialistes sont indéniablement revenus au centre du jeu politique depuis quelques semaines, ils se sont aussi mis une partie de leurs électeurs à dos en acceptant de négocier avec Sébastien Lecornu. En Haute-Garonne, le député PS de la 8e circonscription, Joël Aviragnet, n'a pas voté la dernière motion de censure contre le gouvernement, ce que lui reprochent déjà certains habitants. "Tu sens un peu la tendance là ? Comment sont les gens ? Toujours inquiets ? C'est assez déstabilisant comme situation", constate-t-il alors qu'une équipe de C dans l'air l'a suivi en circonscription. Alors pour maintenir le lien avec les acteurs économiques du territoire, le député tente de les réunir, une fois par an. Une façon aussi, d'occuper le terrain face au Rassemblement national qui a fortement progressé lors des dernières législatives. Joël Aviragnet alerte sur les dangers selon lui d'une dissolution, ou d'une destitution du président de la République.Dans ce contexte politique dégradé, les retraités sont particulièrement inquiets. Avec la suspension de la réforme des retraites, leur pension, qui doit déjà être gelée l'année prochaine puis sous-revalorisée jusqu'en 2030, pourrait faire l'objet d'un nouveau coup de rabot. Ceux qui ont pu mettre de l'argent de côté craignent maintenant d'être mis à contribution pour venir au secours d'un État mauvais gestionnaire. Une de nos équipes est partie à leur rencontre.Les députés vont-ils parvenir à se mettre d'accord d'ici lundi sur de nouvelles mesures de justice fiscale ? Comment les députés socialistes défendent-ils leur position délicate auprès de leurs électeurs ? Et combien va coûter la suspension de la réforme des retraites pour les retraités ?LES EXPERTS :- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Élisa BERTHOLOMEY - Cheffe adjointe du service politique - Politico- Éric HEYER - Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision - OFCE
Ceux et celles qui ont ouvert le Saguenay–Lac-Saint-Jean l'ont fait par moments au péril de leur vie. Il fallait du courage pour se lancer dans une telle aventure! Cette communauté qui souhaitait faire une contrée libre s'est plutôt heurtée au clergé et au capitalisme sauvage. Gérard Bouchard, qui vient de publier Terre des humbles: les Saguenayens 1840-1940, revient sur l'histoire du « Royaume ».