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durée : 00:03:32 - "Les bruits de scooters ressemblent à ceux des drones" : une vingtaine d'enfants ukrainiens, en vacances, à Toulouse - Une vingtaine de jeunes Ukrainiens âgés de 9 à 16 ans passent trois semaines dans le Midi toulousain, grâce notamment à leur professeur de français. Votre radio ICI Occitanie les a rencontrés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il fait chaud, ce sont les vacances, il est donc temps de lancer le programme estival pour vous accompagner tout au long de cette pause bien mérité. Cette année, nous avons choisi de passer ces vacances avec Manga Hakken pour vous proposer des lectures venues tout droit du Japon. Pour cette première émission, nous parlons d'un sujet important. Le mois de juillet est encore un mois de fierté consacré, cette fois, au Handicap. Nous avons envie de parler de la façon dont celui-ci est perçu au Japon, mais aussi en France. Pour nous accompagner, l'équipe est heureuse de recevoir Béatrice qui officie dans les associations Dear Valid People et les Dévalideuses. Elle est également consultante diversité et inclusions. Les représentations du handicap Nous parlons de ce sujet au travers d'une sélection de titres qui nous ont touchés et que nous voulions partager avec vous. Ceux-ci nous ont permis d'échanger et d'écouter les expériences au quotidien de personnes concernées par le sujet. À Sign Of Affection Faye a choisi de vous parler de ce titre de Suu Morishita, un duo de mangaka qui s'est beaucoup intéressé au quotidien des personnes sourdes et muettes. Pour raconter le quotidien de Yuki, une étudiante sourde, l'équipe s'est plongée dans la lecture d'ouvrages, mais surtout, ils collaborent avec une assistante directement concernée, retranscrivant ainsi ses expériences. À Sign Of Affection est une histoire d'amour touchante entre deux étudiants, un voyageur parlant plusieurs langues et Yuki qui doit faire face à un mode qui ne tient pas compte de ses problématiques. Le manga est une réflexion sur la communication et invite le lecteur à ouvrir les yeux et se demander comment faire preuve de plus d'empathie. Entends-tu le chant du soleil ? Béatrice poursuit sur le thème de la surdité avec Entends-tu le chant du soleil ? de Fumino Yuki. On suit dans leur quotidien deux étudiants, Un sourd et l'autre qui l'assiste pour suivre ses cours. Au fur et à mesure qu'ils apprennent à se connaître, l'amour naît entre eux. Le titre permet de mettre en avant l'exclusion que peut ressentir une personne sourde au milieu d'un groupe de personnes non handicapées et combien cela lui demande de l'énergie simplement pour ne pas être ignorés. Ce manga est encore une bonne façon de poursuivre la réflexion sur les notions de visibilité et d'intégration à la société des personnes en situation de handicap. Real James nous parle de handisport avec le manga de Takehiko Inoue, Real. On y suit l'histoire d'adolescents qui doivent affronter différentes épreuves et traumatismes. Certains tentent de reprendre goût à la vie et au sport à la suite d'un accident ou d'une maladie pendant qu'un autre fait face à sa culpabilité à la suite d'un accident. C'est un titre pas facile à lire, mais qui vaut le coup de s'y plonger grâce à la qualité de son écriture très réaliste ainsi que la beauté de son trait. Run To Heaven On termine avec un récit de science-fiction choisi par Stolas. Dans Run To Heaven, Toan, invite le lecteur en 2036 dans un monde en guerre. Les gens tentent de survivre tant bien que mal, profitant d'un petit moment de paix. Fee une jeune adolescente, vit avec son père atteint de la maladie de Charcot. Sa mère militaire n'est pas rentrée depuis un moment, laissant sa famille se débrouiller. Le Père de Fee fait tout pour sa fille malgré toutes les remarques qu'il subit depuis que son état de santé lui a fait abandonner l'armée. Ce manga français est une pépite qui mérite d'être découverte. L'histoire est drôle, mais aussi touchante et choquante. Fee et son père sont attachants et l'univers dans lequel ils évoluent est riche. Les dessins rendent honneurs à l'histoire, apportant encore plus de profondeur et d'émotions. Quels sont les titres qui vous ont marqué ? Un grand merci à Béatrice d'avoir été avec nous, vous pouvez la retrouver en suivant ce lien : https://linktr.ee/bea.pradillon Le mot de la finComme toujours, nous vous invitons à partager votre avis avec nous ! Que vous soyez d'accord ou non, échanger avec vous est toujours un plaisir.Si vous souhaitez nous écouter en direct, rendez-vous le mardi soir à 21 h sur notre chaîne Twitch :James et Faye sur Twitch. Suivez-nous sur nos réseaux sociaux : Facebook : ComicsDiscovery sur Facebook Twitter (X) : @comicsdiscovery sur Twitter Instagram : @comicsdiscovery sur Instagram TikTok : @jamesetfaye sur TikTokÉcoutez nos podcasts sur vos plateformes préférées : Spotify : ComicsDiscovery sur Spotify Ausha : ComicsDiscovery sur Ausha Apple Podcasts : ComicsDiscovery sur Apple Podcasts Deezer : ComicsDiscovery sur Deezer Retrouvez nos replays vidéo : YouTube : ComicsDiscovery sur YouTube Twitch : James et Faye sur Twitch Pour nous soutenir :Vous aimez notre travail ? 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BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 23 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 23 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On dit souvent que nous vivons une époque marquée par des enjeux sociaux de plus en plus complexes. Heureusement, des organismes à but non lucratif (OBNL) agissent sur le terrain pour soutenir les personnes les plus vulnérables. Mais ces organismes, à leur tour, ont souvent besoin d'aide — notamment pour mieux structurer leur gestion. C'est pourquoi, dès 1990, Peter Drucker publiait Managing the Non-Profit Organization, un ouvrage devenu une référence incontournable. Drucker, grand penseur du management moderne, a largement contribué à humaniser la gestion. On lui doit aussi la popularisation des fameux objectifs SMART. Selon lui, les OBNL, bien qu'ils ne poursuivent pas de but lucratif, doivent néanmoins être rigoureux, performants et guidés par des indicateurs clairs. Ils ont une mission vitale pour la société et méritent qu'on les accompagne avec compétence et respect. Pour discuter de ces enjeux, j'ai le plaisir d'accueillir à nouveau mon fils, Zachary Guénette, CPA et fondateur du cabinet Les Bâtisseurs CPA, spécialisé dans l'accompagnement des OBNL. Cette clientèle s'est imposée à lui presque naturellement, et il a choisi d'approfondir cette relation en développant une approche humaine, rigoureuse et adaptée à leurs réalités. Dans cet épisode, nous abordons plusieurs dimensions de la gestion dans les OBNL : finances, gouvernance, relation avec le conseil d'administration, lien à la communauté, marketing de collecte de fonds, gestion des ressources humaines (salariés et bénévoles), ainsi que le développement continu des leaders. Notre ambition : offrir des pistes concrètes et inspirantes pour que ces organismes puissent encore mieux remplir leur mission. Ordre du jour 0m23: Introduction 18m23: Présentation du livre 25m07: 1. La mission d'abord: et votre rôle comme leader 34m13: 2. De la mission à la performance: marketing, innovation et développement des fonds 40m31: 3. Gérer pour la performance: comment la définir, comment la mesurer 46m56: 4. Les personnes et les relations: employés, bénévoles, CA, communauté 1h04m38: 5. Développe-toi: comme personne, comme dirigeant, comme leader 1h14m43: Échange avec Zachary Guénette 1h26m42: Réflexion personnelle Pour encore plus de détails, consulte la page web de l'épisode
Dans la cité italienne accrochée aux flancs des collines de Ligurie, entre mer et montagnes, les chansons des poètes disparus courent encore les rues, les carruggis. Dans les ruelles étroites et sinueuses du centre historique, il faut lever le nez pour entrapercevoir un morceau de ciel. Ouvrir grand ses oreilles aussi pour en saisir la mélodie si singulière, encore populaire et métissée, entre ses minuscules échoppes de tripes ou de foccacias, ses venelles qui dévalent vers la mer et le port ou ses demeures patriciennes qui rappellent le passé glorieux de la République maritime de Gênes. Jadis rivale de Venise, « la Dame de la mer », comme l'a surnommée le poète florentin Pétrarque, a vu bien des départs et des arrivées, des explorateurs à commencer par le Génois Christophe Colomb, des négociants, des marins, des travailleurs, des immigrés, des émigrés pour les Amériques, l'aristocratie du Grand Tour au XVIIIème siècle jusqu'aux touristes, en croisière aujourd'hui, sans parler des artistes... Façonnée au gré de ces mouvements, Gênes s'est alors beaucoup racontée en musique, celle des ailleurs débarquant plus tôt -dit-on- sur les ports ; Gênes serait ainsi la ville par laquelle le jazz est « arrivé » en Italie. Déjà, une solide tradition polyphonique venue des montagnes, le « trallalero », s'était enraciné à Gênes, parmi les dockers. Puis, dès les années 60, des auteurs interprètes génois, les « cantautori » ont fait école ici, portés notamment par le grand chanteur italien Fabrizio De André qui, comme personne, a chanté l'âme de ce port tourné vers la mer et le monde. Ainsi, la chanson, cette littérature du peuple, dit beaucoup de Gênes, qui elle est réellement mais aussi poétiquement ; car à Gênes, la chanson est au coin de la rue… Un voyage sonore d'Anne Girard Esposito. À découvrir / écouter : - Le Museo Via de Campo 29 Rosso, consacré à Fabrizio de André et l'École génoise des «cantautori » - Le site du musicien Max Manfredi, cantautore génois - Le disque Crêuza de mä, de Fabrizio De André, Ricordi. À lire (en italien) : - Genova. Canzoni in salita, Guida alla città e alle sue canzoni, Marzio Angiolani, Zona - Fabrizio De André. La storia dietro ogni canzone. Guido Michelone, Barbera Editore - Amorazzi, Max Manfredi, Zona.
Dans la cité italienne accrochée aux flancs des collines de Ligurie, entre mer et montagnes, les chansons des poètes disparus courent encore les rues, les carruggis. Dans les ruelles étroites et sinueuses du centre historique, il faut lever le nez pour entrapercevoir un morceau de ciel. Ouvrir grand ses oreilles aussi pour en saisir la mélodie si singulière, encore populaire et métissée, entre ses minuscules échoppes de tripes ou de foccacias, ses venelles qui dévalent vers la mer et le port ou ses demeures patriciennes qui rappellent le passé glorieux de la République maritime de Gênes. Jadis rivale de Venise, « la Dame de la mer », comme l'a surnommée le poète florentin Pétrarque, a vu bien des départs et des arrivées, des explorateurs à commencer par le Génois Christophe Colomb, des négociants, des marins, des travailleurs, des immigrés, des émigrés pour les Amériques, l'aristocratie du Grand Tour au XVIIIème siècle jusqu'aux touristes, en croisière aujourd'hui, sans parler des artistes... Façonnée au gré de ces mouvements, Gênes s'est alors beaucoup racontée en musique, celle des ailleurs débarquant plus tôt -dit-on- sur les ports ; Gênes serait ainsi la ville par laquelle le jazz est « arrivé » en Italie. Déjà, une solide tradition polyphonique venue des montagnes, le « trallalero », s'était enraciné à Gênes, parmi les dockers. Puis, dès les années 60, des auteurs interprètes génois, les « cantautori » ont fait école ici, portés notamment par le grand chanteur italien Fabrizio De André qui, comme personne, a chanté l'âme de ce port tourné vers la mer et le monde. Ainsi, la chanson, cette littérature du peuple, dit beaucoup de Gênes, qui elle est réellement mais aussi poétiquement ; car à Gênes, la chanson est au coin de la rue… Un voyage sonore d'Anne Girard Esposito. À découvrir / écouter : - Le Museo Via de Campo 29 Rosso, consacré à Fabrizio de André et l'École génoise des «cantautori » - Le site du musicien Max Manfredi, cantautore génois - Le disque Crêuza de mä, de Fabrizio De André, Ricordi. À lire (en italien) : - Genova. Canzoni in salita, Guida alla città e alle sue canzoni, Marzio Angiolani, Zona - Fabrizio De André. La storia dietro ogni canzone. Guido Michelone, Barbera Editore - Amorazzi, Max Manfredi, Zona.
La Paroisse du Sacré-Cœur à Beau-Bassin accueille à partir de ce dimanche et ce jusqu'au 27 juillet prochain, la Semaine du Jubilé des Détenus, une initiative portée par l'Église catholique dans le cadre du Jubilé 2025. Dans son homélie ce matin, Monseigneur Jean Michael Durhône affirme qu'il est important pour l'Eglise de porter l'espérance et un projet d'inclusion à ceux qui sont marginalisés. L'Évêque de Port-Louis souligne que ce Jubilé invite les détenus ainsi que leurs familles à chercher des chemins d'espérance. Cette semaine sera marquée par une série d'activités spirituelles, sociales et éducatives autour de la réinsertion des personnes détenues et de la lutte contre les dépendances. À travers cette mobilisation, l'Église affirme sa volonté d'être « proche de ceux qui cherchent à se relever, unie dans la prière et l'action ».
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage nous emmène en Chine qui est à la fois dépendante du charbon et qui se lance aussi le défi de la neutralité carbone avec les énergies renouvelables. En deuxième partie, direction l'Inde, au Kerala, où l'archipel Munroe Island est englouti par les eaux. (Rediffusion) Énergie verte et dépendance au charbon : le paradoxe chinois La Chine en plein paradoxe. La Chine reste extrêmement dépendante du charbon… et à la fois elle tente de relever par tous les moyens le défi des énergies renouvelables. Gros enjeux : cela lui permettrait de dominer le marché mondial du solaire ou de l'éolien. Deux fers au feu : puisqu'elle s'est engagée à atteindre un pic d'émissions de dioxyde de carbone d'ici la fin de la décennie et à les éliminer d'ici 2060. À l'heure de la Conférence internationale sur le Climat de Bakou, essentielle pour l'avenir, la Chine a adopté vendredi dernier (8 novembre 2024) une nouvelle loi sur l'énergie dans l'optique de «promouvoir la neutralité carbone». Notre envoyée spéciale permanente à Pékin nous emmène à la rencontre d'une Chine volontaire, face à ses vieux démons… Un Grand reportage de Clea Broadhurst, (avec la collaboration de Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix. Kerala : le «pays des dieux» englouti par les eaux En Inde, le Kerala est appelé le «pays de Dieu lui-même» pour ses sublimes paysages aquatiques tropicaux. Il est aussi en première ligne face au changement climatique. Symbole de cette menace : Munroe Island, un archipel intérieur inexorablement englouti par les eaux. Premiers réfugiés climatiques du Kerala, plusieurs milliers d'habitants ont déjà quitté l'île qui se noie, comme on la surnomme ici. Ceux qui restent, cernés par les eaux, vivent dans des conditions de plus en plus éprouvantes. Le destin de ce bout de paradis est un avertissement. Cochin, la plus grande ville du Kerala, est, elle aussi, menacée par l'océan. Pour s'adapter à cette nouvelle donne climatique, beaucoup reste à faire. Un Grand reportage de Côme Bastin qui s'entretient avec Jacques Allix.
L'Unesco s'est alarmée à plusieurs reprises d'un « niveau sans précédent » des « menaces sur la culture » au Soudan, s'appuyant sur les rapports de « pillages de musées, de sites patrimoniaux et archéologiques et de collections privées ». On en parle avec notre grande invitée Afrique ce samedi : Ikhlas Abdel Latif, directrice des musées à l'Autorité nationale des antiquités du Soudan, présente à Paris fin juin, pour participer à une réunion sur les vestiges historiques pillés ou menacés dans certains pays comme le Soudan, le Yémen ou la Libye. Ikhlas Abdel Latif affirme que tous les musées nationaux et privés dans les zones contrôlées par les paramilitaires des Forces de soutien rapide ont été pillés. Selon elle, il s'agit d'un « pillage organisé ». RFI : Pourriez-vous nous mettre au courant de la destruction qui a touché le secteur des musées et du patrimoine au Soudan ? Ikhlas Abdel Latif : Il est certain que les infractions, la destruction et le pillage qui ont affecté les sites archéologiques et historiques tout comme les musées ont été une pratique répandue à grande échelle. À Khartoum il y a 13 musées qui dépendent de l'Autorité générale des antiquités et des musées du Soudan. Mais il y a d'autres musées, comme le Musée militaire, le Musée du Palais présidentiel, le Musée d'Histoire naturelle… Ils sont rattachés à nous, car nous avons une responsabilité technique et artistique sur tout le secteur des musées au Soudan. L'Autorité générale pour les antiquités et les musées est officiellement responsable de tous les musées au Soudan. Et donc, tous ces musées à Khartoum ont été vandalisés ? Tous les musées qui ont été sous contrôle de la milice des Forces de soutien rapide ont été pillés, y compris celui d'histoire naturelle, qui abritait des animaux rares vivants. Il a été détruit. Ce qui a entrainé la mort de ces animaux. De même pour le musée de la Guerre où une grande partie des chars historiques a été détruite. Celui du Palais républicain a également été dévasté. Tous ces musées sont situés dans la région de Khartoum. Parmi les musées affiliés officiellement à l'Autorité générale des antiquités et des musées, il y a celui de l'Ethnographie, qui représentait les tribus et l'identité du Soudan dans sa diversité, tout en mettant en valeur l'unité à travers cette diversité. Il a été entièrement ravagé. Quant au Musée du Khalife Abdulah al-Taachi d'Omdurman, qui retrace une partie de la colonisation ottomane, et jusqu'à la libération, il a été partiellement détruit. Le musée national de Khartoum n'a pas non plus échappé à ce sort, des trésors inestimables, 100 000 pièces ont disparu ? Le Musée national soudanais à Khartoum est le plus grand du pays et l'un des plus importants. Il a été totalement pillé et vandalisé. Il abrite le plus grand entrepôt d'antiquités soudanaises. Le contenu du musée ainsi que l'entrepôt ont été pillés. Les objets n'étaient pas en exposition, mais emballés et disposés dans des caisses en raison des travaux en cours avant la guerre pour réhabiliter le lieu. Ce qui a facilité le pillage des pièces habituellement exposées. Quant au dépôt, il s'agit du plus grand des antiquités du Soudan. Malheureusement, les salles de stockage, également pillées, contenaient la plus grande quantité d'or du Royaume de Koshe. Tout cet or a été volé. Parmi les musées les plus importants également touchés, il y a celui de Nyala, au Darfour, le plus important de la région ? À Khartoum et sa région, nous avons des équipes qui travaillent à évaluer les pertes, mais en ce qui concerne les musées de Nyala et d'el-Geneina, ils sont toujours sous contrôle de la milice des FSR, tout ce que l'on sait, c'est que toutes les pièces du patrimoine qui se trouvaient à el-Geneina, ainsi qu'au musée privé du Sultan Bahr Eddine appartenant à la tribu Massalit, une tribu menacée par la milice, ont été entièrement pillées. Leur propre résidence l'a été également et les effets personnels de la famille du Sultan Bahr Eddine ont été emportés. Le musée de Nyala est considéré comme un musée national à l'échelle de la région du Darfour. Même les vitrines d'exposition ont été pillées et la milice y réside toujours. Il y a encore des musées que les Forces de soutien rapide utilisent comme résidence pour leurs hommes armés, ce qui expose les lieux et leur contenu à des dommages irréparables ? Oui, en effet, c'est bien ce que j'ai mentionné, le musée de Nyala est considéré comme leur siège. Le musée est au Darfour qui n'est pas encore libéré de leur présence. Les FSR sont une milice primitive qui ne comprend rien à la valeur de ces vestiges, à l'archéologie et à l'histoire. Alors oui, ils volent ces antiquités de manière systématique et étudiée : seules les antiquités distinctives et de très grande valeur ont été volées. Qui voulez-vous accuser ? Ceux qui financent les FSR et qui sont derrière eux. Je n'en dirai pas plus. Vous avez formé un comité pour récupérer et suivre les vestiges pillés ? J'ai formé ce comité en tant que présidente de la direction des musées, et la présidente de l'unité de suivi des vestiges pillés. Il y a un directeur sur le terrain à Khartoum. Ce comité s'occupe de tous les musées libérés dans la zone de Khartoum, et travaille sur l'évaluation des dommages. Il dresse l'inventaire de ce qui a été pillé et de ce qui reste. En même temps, il s'occupe aussi de la protection de ce qui reste. Espérez-vous récupérer ces objets pillés ? Nous y travaillons d'arrache-pied. Nous faisons tout notre possible. Depuis août 2023, nous avons pris rapidement des mesures pour surveiller ce qui se passe. L'Autorité générale des antiquités et des musées travaille main dans la main avec le gouvernement comme avec le procureur général, l'antenne locale d'Interpol, la police, la justice et le ministère des Affaires étrangères. Nous œuvrons tous à ce que la communauté internationale sache ce qui se passe à ce niveau. Nos partenaires à l'étranger ont proposé effectivement leur aide. Ils ont tous manifesté leur intérêt à l'échelle mondiale. Est-il vrai que l'on trouve ces vestiges en vente en ligne sur certains sites ? Je tiens à préciser que nos antiquités, jusqu'à maintenant n'ont pas fait leur apparition en ligne ou dans les maisons de ventes aux enchères. Ce qui indique le contrôle du gouvernement du Soudan, sur l'acheminement de ces objets volés. Nous considérons que c'est un pillage en règle pour détruire l'identité du Soudan. Ces vestiges ne sont pas uniquement un héritage soudanais, mais c'est aussi un legs international et humain. Le Soudan regorge de pièces qui portent non seulement l'histoire de la civilisation au Soudan, mais qui font également partie de l'héritage de l'humanité. Ces vestiges sont notre héritage et montrent notre union, nos liens et notre identité. Au Soudan nous avons plus de sept pays voisins, c'est l'un des plus grands pays d'Afrique et il faut savoir que la multiplicité des tribus chez nous fait partie d'un seul moule, celui de notre civilisation ancienne, la civilisation Koushite qui nous lie tous. Il s'agit donc d'une guerre systématique contre l'identité du peuple soudanais. Y a-t-il un mot pour conclure ? Oui, j'aimerais juste lancer un appel à la communauté internationale. Tous nos partenaires mondiaux sont à nos côtés, mais je réitère mon appel à cette communauté, aux Nations unies, à l'Unesco, pour qu'ils rappellent une nouvelle fois l'interdiction de faire commerce de toute œuvre du patrimoine historique du peuple soudanais. Et de multiplier la lutte contre le trafic illicite de ces vestiges.
durée : 00:09:40 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - Dans "La Fresque", une ancienne prof de piano, son arrière-grand-mère et un ami du lycée croisent François Truffaut et Emmanuel Carrère. C'est le huitième opus de Vincent Delerm qui a voulu rendre hommage à celles et ceux qui ont traversé sa vie. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Vincent Delerm Auteur, compositeur, interprète
En invitant Olivier Robert, fondateur de Sacrés Français, je prolonge un cycle, celui de rencontrer des dirigeants de notre économie soucieux de reproduire en France. Il est petit le cercle de celles et ceux qui pense comme moi. L'avenir économique et social de notre pays passera nécessairement par un retour de la production locale. Je sais, le Made in France peut paraître ringard. Ceux parmi vous qui le pensent seront soulagés d'apprendre que notre industrie est de nouveau sur une pente descendante depuis bientôt un an. Les autres comme Olivier feront tout pour que cette glissade cesse. Il faut être un drôle de Français pour entreprendre un tel chemin. Olivier préfère le mot de « sacré ». Suivre Olivier sur LinkedIn Si cette nouvelle interview vous a plu, parlez-en autour de vous, notez 5 ⭐ le podcast (Spotify, Deezer, ApplePodcast...) et rédigez un avis.N'hésitez pas à m'écrire sur LinkedIn ➡️ LinkedIn/MartinVidelaine et à vous abonner à notre Newsletter hebdomadaire Toutes les Histoires d'Entreprises sont également disponibles sur histoiresentreprises.com et sur le site de bluebirds.partners, site de la communauté d'indépendants que j'anime et qui conseille ou remplace des dirigeants. Un podcast co-réalisé avec Agnès GuillardHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:23 - Les Pieds sur terre - par : Inès Léraud - De simples citoyens se battent pour changer le monde et y parviennent, menant des combats victorieux pour le bien commun. Laura Pfeiffer raconte comment une inspection de l'entreprise Téfal qui tourne au calvaire la conduit à devenir lanceuse d'alerte sur les pressions subies par sa profession. - réalisation : Cécile Laffon, François Caunac
En Inde, le Kerala est appelé le « pays de Dieu lui-même » pour ses sublimes paysages aquatiques tropicaux. Il est aussi en première ligne face au changement climatique. Symbole de cette menace : Munroe Island, un archipel intérieur inexorablement englouti par les eaux. (Rediffusion) Premiers réfugiés climatiques du Kerala, plusieurs milliers d'habitants ont déjà quitté l'île qui se noie, comme on la surnomme ici. Ceux qui restent, cernés par les eaux, vivent dans des conditions de plus en plus éprouvantes. Le destin de ce bout de paradis est un avertissement. Cochin, la plus grande ville du Kerala, est, elle aussi, menacée par l'océan. Pour s'adapter à cette nouvelle donne climatique, beaucoup reste à faire. « Kerala : le "pays des dieux" englouti par les eaux », un Grand reportage de Côme Bastin.
durée : 00:29:23 - Les Pieds sur terre - par : Inès Léraud - De simples citoyens se battent pour changer le monde et y parviennent, menant des combats victorieux pour le bien commun. Laura Pfeiffer raconte comment une inspection de l'entreprise Téfal qui tourne au calvaire la conduit à devenir lanceuse d'alerte sur les pressions subies par sa profession. - réalisation : Cécile Laffon, François Caunac
Invité : - Général Christophe de Saint-Chamas, gouverneur des Invalides Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Charles Consigny et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Charles Consigny et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
"Ne craignez pas ceux qui tuent le corps"Médiation de l'évangile (Mt 10, 24-33) par la Pasteure Magali GirardChant Final : "Ne crains pas" de Frère Jean-Baptiste Du JonchayRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participer à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Prière du matin : https://audmns.com/DwJysxvHalte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La perte de confiance dans le personnel politique est un des symptômes d'une crise démocratique qui gangrène progressivement le pays. Il est pourtant des hommes et des femmes qui font mentir ce triste diagnostic, tels qu'Olivier Marleix, dont on a appris ce lundi 7 juillet le suicide. Notre éditorialiste Natacha Polony a tenu à rendre hommage à l'action du député LR, qui s'était intéressé aux causes de la désindustrialisation et vivait la politique comme un don de soi à la collectivité.Le magazine Marianne est en kiosques et en ligne chaque jeudi."Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti". Albert CamusMarianne TV : https://tv.marianne.net/Marianne.net : https://www.marianne.net/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je reçois Pauline Rochart, consultante, formatrice et autrice de Ceux qui reviennent. Un livre-enquête né de sa propre trajectoire : après douze années à Paris, Pauline est retournée vivre à vingt kilomètres de son village natal, dans le Nord. Ce retour, à la fois intime et universel, soulève une question aussi simple qu'essentielle : qu'est-ce que ça veut dire, "être de quelque part", revenir dans son territoire d'origine ?Avec justesse et sensibilité, Pauline interroge ce mouvement de plus en plus fréquent de celles et ceux qui quittent la capitale pour revenir dans leur région d'origine. Elle explore les ambivalences du retour – le familier devenu étranger, le rythme ralenti qui apaise autant qu'il bouscule, les attaches qui réconfortent et questionnent. Et en creux, se dessine aussi un regard nouveau sur ceux qui n'ont jamais quitté leur lieu d'origine, par attachement, par choix ou par nécessité, et dont les trajectoires, souvent invisibilisées, n'en sont pas moins riches ou engagées.Au cœur de ces sujets se tissent des questions de sentiment d'appartenance, de honte parfois liée à l'idée d'un "retour en arrière", de pression sociale autour de la réussite, et de ces frictions fécondes avec ceux qui ne partagent pas nos repères, autant d'éléments qui interrogent notre manière de faire société. On parle aussi de rires, de sensations, de famille, de ce qui nous ancre et qui fait qu'on se sent chez soi.Un échange profondément humain sur l'ambition, les attachements, et la possibilité de réconcilier nos différentes appartenances pour repenser notre manière de faire société.Bonne écoute !SandraLe lien vers le livre : Ceux qui reviennent - Pauline Rochart**************Merci de faire une place aux Équilibristes dans votre vie. Si vous voulez soutenir le podcast, prenez quelques instants pour dire pourquoi vous l'appréciez sur votre plateforme d'écoute préférée, en laissant 5 ⭐et un commentaire. Merci pour votre soutien !Numéros d'Equilibristes est la lettre que j'envoie 2 fois par mois - c'est là que je partage ressources, observations et analyses, dont le point de départ est souvent le quotidien ou mon travail avec mes clients. C'est là aussi que j'annonce en avant-première tous les événements et opportunités de travailler ensemble. Vous pouvez vous abonner ici.Découvrez mon livre, En Équilibre, qui déconstruit le mythe de l'équilibre vie pro vie perso et explore 4 grands besoins derrière celui de préserver son équilibre de vie.Pour découvrir comment travailler ensemble, rendez-vous sur www.conscious-cultures.comPour écouter tous les épisodes, rendez-vous sur www.lesequilibristes.comConnectons-nous sur les réseaux : https://www.linkedin.com/in/sandra-fillaudeau-23947ba/ et https://www.instagram.com/les_equilibristes_podcast/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Bernard Carayon, élu du Tarn et maire de Lavaur (UDR). - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
9 000 licenciements sont annonçés chez Microsoft, soit moins de 4 % des effectifs. L'intelligence artificielle poursuit sa course folle, avec des percées dans la recherche. Mais une inquiétude monte : celle d'une vague de destructions d'emplois, notamment parmi les cadres. Sommes-nous à l'aube d'un “bain de sang social” ou d'un nouveau siècle des Lumières ? Faut-il se reconvertir plombier, apprendre à parler aux animaux ou explorer d'autres nouveaux métiers aussi surprenants qu'inattendus ?
À quoi sert le mépris de classe ? Faut-il quitter ostensiblement le dance floor quand le DJ met du Sardou ? Que cherchons-nous à dire aux autres quand nous exhibons nos vinyles de David Bowie ? Pourquoi faut-il attendre la reprise de Juliette Armanet pour pouvoir danser sur “Partir un jour” des 2be3 sans avoir peur de passer pour un gros beauf ? Est-ce vraiment si cool de porter un T-shirt Johnny Hallyday au “second degré” ? En quoi aimer Dalida serait-il un plaisir coupable ? Pour l'autrice Rose Lamy toutes ces questions de goûts musicaux sont aussi des questions politiques. Dans son livre, Ascendant beauf, elle évoque son enfance en zone pavillonnaire à Bourges, où elle a grandi avec les tubes du Top 50 et les soirées en salle des fêtes. Tiraillée entre son goût pour les chansons populaires et la culture scolaire, elle réfléchit aux rouages de la distinction sociale et s'attaque au mythe du beauf. Car, pour Rose Lamy, le mépris culturel qui s'exerce envers les « beaufs » ou ses avatars contemporains comme le téléspectateur de Cyril Hanouna n'a rien d'anodin. Il s'inscrit dans un continuum de violences de classe, que chacun.e entretient ou subit tour à tour, sans toujours en mesurer les implications. Les effets que ça peut avoir sur nos trajectoires sociales, les relations avec notre milieu d'origine, mais aussi, de loin en loin, sur notre bulletin de vote. Dans cet épisode, Delphine Saltel mêle le récit de Rose Lamy et le travail du sociologue Félicien Faury qui a mené une grande enquête de terrain auprès des électeurs du RN en région PACA. Une réflexion musicale et politique pour remettre en question nos petits snobismes et la manière dont ils alimentent les clivages électoraux et la montée des extrêmes.Bibliographie : Pierre Bourdieu, "La distinction"Archives ou extraits : - Le goût des autres, Agnèes Jaoui et Jean-Pierre Bacri - Gérard Mauger sur France Culture dans 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? émission de Géraldine Mosna Savoye, "Sans oser le demander" Vendredi 2 juin 2023 - Extrait de Aymeric Lompret sur Radio NovaPour aller plus loin : - Félicien Faury, Vote FN et implantation partisane dans le Sud-Est de la France : racisme, rapports de classe et politisation, thèse de doctorat en science politique, sous la direction d'Éric Agrikoliansky, Université Paris Sciences et Lettres, École doctorale SDOSE, Paris, 2021.- Gérard Mauger, « De “l'homme de marbre” au “beauf” Les sociologues et “la cause des classes populaires” », Savoir/Agir, 2013. - Gérard Mauger, « Sociogenèse et usages de la figure du “beauf” », Sens-Dessous, 2019.- Philippe Coulangeon, Julien Duval (dir.), Trente ans après La Distinction, de Pierre Bourdieu, Ed. La Découverte, 2013.- Xavier de La Porte, « Pourquoi mépriser les électeurs RN est un vilain défaut », Le Nouvel Obs, 2024. - Benoît Coquard, Ceux qui restent, Ed. La Découverte, 2019.- France Culture : D'où vient la figure du beauf ?- France Culture : 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? Enregistrements mai - juin 2025 Entretiens, prise de son et montage Delphine Saltel Musiques préexistantes Larusso tu m'oublieras / Juliette Armanet Joe Dassin, De ton côté du lit Vivaldi Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Accompagnement éditorial Mina Souchon Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
durée : 00:55:04 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - Clair Obscur : Expédition 33 confirme à quel point le jeu vidéo français séduit un nombre incroyable de joueur(se)s sur la planète. Il faut dire qu'avec une telle élégance graphique et de mise en scène, un scénario si fouillé et une bande son aussi sublime, les qualités du jeu sont indéniables… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le jeudi 3 juillet et nous fêtons saint Thomas, Apôtre.Aujourd'hui l'Église fête saint Thomas, l'un des douze apôtres. Il est considéré comme l'évangélisateur de l'Inde. Il est surtout connu pour être celui qui, après avoir douté de la résurrection du Seigneur, a fait une extraordinaire confession de foi. Je demande la grâce de mettre, moi aussi, le Ressuscité au centre... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Reflections de Joseph Nimoh interprété par Joseph Nimoh - Reflections © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
C dans l'air du 1er juillet 2025 - Canicule : l'angoisse s'installeAprès plusieurs jours d'une chaleur étouffante, la France est entrée dans le dur de la canicule aujourd'hui. La vigilance rouge, le plus haut niveau de surveillance, est activée dans 16 départements, de la Vienne à l'Aube avec toute l'Île-de-France, et quasiment tout le reste du pays est placé en vigilance orange. Les maximales devraient atteindre 36 °C, voire 41 °C, avec deux prochaines nuits qui s'annoncent "tropicales", avant un progressif rafraichissement attendu par la façade ouest.D'ici là, Météo France prévoit un pic caniculaire "très fort" dans le bassin parisien avec une chaleur "particulièrement éprouvante". Le gouvernement a multiplié les appels à la vigilance. À Paris, des restrictions de circulation ont été mises en place. Au niveau national, les obligations des entreprises sont renforcées, les services d'urgence sont sur le pont. Le réacteur de la centrale nucléaire de Golfech dans le Tarn-et-Garonne a été mis à l'arrêt en raison de la hausse de la température dans la Garonne voisine. Près de 1896 écoles publiques sont également fermées, "totalement ou partiellement". Mais ces décisions suscitent débat et polémique.Dimanche soir, en conférence de presse, la ministre de la Santé a rappelé que les fermetures d'écoles devaient se faire "au cas par cas". Mais face à la vague de chaleur, de plus en plus de maires ont pris la décision de fermer les établissements et beaucoup critiquent l'absence de réaction sérieuse du ministère ou de "directives précises". Les élus pointent aussi les conséquences d'un fonds vert dont le budget a été raboté. Mis en place en janvier 2023 pour aider les collectivités à s'adapter, il était doté de 2 milliards dont 500 millions d'euros dédiés à la rénovation des écoles. Mais il a été réduit à 1, 5 milliard en 2024 et 1 ,15 milliard cette année à cause de la rigueur budgétaire. De son côté, Marine Le Pen, a fustigé l'action du gouvernement, qui selon elle "marche encore sur la tête" en demandant "à des familles d'arrêter de travailler du jour au lendemain car les écoles ne peuvent plus accueillir nos bambins, tout en leur conseillant d'aller au cinéma du coin qui lui, est climatisé". La leader du parti d'extrême droite a également réclamé "un grand plan pour la climatisation", relayé par son allié Eric Ciotti qui souhaite équiper en priorité "écoles, hôpitaux et maisons de retraite". Dans la foulée, sur le réseau social X, Marine Tondelier, secrétaire nationale d'Europe-Ecologie-les-Verts a raillé l'idée : "La France subit une canicule historique. Le programme écologique de Marine Le Pen : acheter des climatiseurs", a-t-elle écrit. La ministre de la Transition écologique s'est, elle, étonnée de la sortie médiatique de Marine Le Pen. "Ceux qui parlent (Marine Le Pen et Eric Ciotti, ndlr) de grand plan de climatisation viennent de découvrir la lune alors qu'ils ont voté contre une loi il y a deux semaines qui permettait de faire des réseaux de froid", a dénoncé Agnès Pannier-Runacher sur le plateau de BFMTV.Fonds vert raboté, zones à faibles émissions supprimées, normes agricoles, pesticides… Depuis le début de l'année, une quantité inédite de votes et de décisions politiques ont mis à mal l'ambition écologique du pays, détricotant des objectifs environnementaux contraignants adoptés ces dernières années en matière d'énergie, de transports, de logement et d'agriculture.LES EXPERTS :- ARNAUD GOSSEMENT - Avocat en droit de l'environnement - Professeur associé à Paris 1- Dr GÉRALD KIERZEK - Médecin urgentiste, directeur médical - Doctissimo- AUDREY GARRIC - Journaliste au service Planète - Le Monde - LAURENT ROMEJKO - Journaliste spécialiste des questions météorologiques, présentateur Météo à la carte - France 3
durée : 00:51:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Christian Nève - Avec les enseignants Pierre Rimbaud et Raoul Ollier, Pierre Bonnaud (linguiste et auteur), Claude Dallet (conservateur du centre Henri Pourrat de Clermont-Ferrand), Joseph Allard (prêtre), Jeanne Convert (habitante d'Ambert), Marguerite Gras (fabricante de chapelets à Escalon) - Réalisation Philippe Sibille - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Depuis le 2 avril, le marché n'avait plus qu'un seul objectif : retourner de là où il venait. Depuis la semaine dernière, c'est chose faite, puisque le S&P500 et le Nasdaq sont aux plus hauts de tous les temps. Ceux qui ont appliqué la bonne vieille théorie du Sell in May and Go Away, doivent … Continued
Entre 1996 et 2000, le Pérou a vécu l'un des épisodes les plus sombres et les plus méconnus de son histoire récente : des milliers de femmes, en grande majorité pauvres, indigènes et rurales, ont été stérilisées de force, dans le cadre d'un programme gouvernemental présenté comme… une politique de santé publique.À cette époque, le président Alberto Fujimori dirige le pays d'une main de fer. Officiellement, son gouvernement lance une vaste campagne de "planification familiale" pour réduire la pauvreté. L'idée semble simple : moins d'enfants, donc moins de misère.Mais derrière les slogans, une réalité bien plus brutale se met en place.Dans les villages reculés, souvent quechua ou aymara, des femmes sont convoquées dans des centres de santé. On leur promet une consultation gratuite, un vaccin, une aide financière… mais une fois sur place, elles sont emmenées en salle d'opération. Sans explication. Sans consentement. Parfois même sous la menace.On leur ligature les trompes. C'est irréversible.Au total, plus de 300 000 femmes ont été stérilisées. Certaines ont été attachées. D'autres anesthésiées à moitié. Des témoignages évoquent des douleurs atroces, des infections, et même des décès. Il y a eu aussi des cas d'hommes stérilisés de force, mais en bien plus petit nombre.Ce programme n'avait rien d'un choix éclairé : c'était une campagne de contrôle démographique ciblé, avec des quotas imposés aux médecins. Ceux qui ne "produisaient" pas assez de stérilisations étaient sanctionnés. Un véritable système, bureaucratisé, cynique.Pourquoi ces femmes ? Parce qu'elles étaient pauvres. Parce qu'elles parlaient peu ou pas l'espagnol. Parce qu'elles avaient peu de moyens pour se défendre, et que leurs voix avaient peu de poids dans les instances politiques.Pendant des années, ce scandale a été ignoré, minimisé, étouffé.Mais les témoignages ont fini par remonter. Des associations de femmes, des journalistes, des ONG ont documenté les faits, rassemblé des preuves, et porté plainte.Aujourd'hui encore, les victimes attendent réparation. Le procès contre Fujimori a été ouvert en 2021, mais traîne. Pour beaucoup, cette affaire n'est pas seulement une question de justice, mais de mémoire collective : rappeler que derrière les statistiques, il y avait des vies. Des mères. Des jeunes femmes. Et que tout cela s'est produit au nom de la lutte contre la pauvreté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la dernière émission de la saison, Jean-Alphonse Richard et son équipe donnent la parole aux auditeurs pour une émission spéciale sur l'affaire Grégory ! Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les réactions sont vives dans le pays après l'enlèvement et les sévices subis par l'avocat Mohamed Traoré. Dans la nuit de vendredi à samedi dernier, relate Jeune Afrique, « un groupe de personnes encagoulées (cinq selon la famille, au moins sept selon le barreau de Guinée) font irruption chez les Traoré, à Sonfonia, un quartier de la banlieue Est de Conakry. Giflé, ainsi que sa fille aînée qui voulait s'interposer, l'avocat est embarqué de force et conduit vers une destination inconnue (…). Au cours de sa séquestration, il est allongé au sol puis cruellement fouetté. Le chef présumé de l'opération donne l'ordre explicite de ne pas interrompre la flagellation avant d'atteindre 500 coups. Le dos de Me Traoré est couvert de plaies, signes manifestes des sévices subis. » L'ancien bâtonnier sera ensuite retrouvé, inconscient, à 70 km de la capitale, avant de recevoir des soins dans un lieu tenu secret. Trop critique Pourquoi cet enlèvement, pourquoi ces tortures ? Mohammed Traoré avait critiqué à maintes reprises le pouvoir militaire en place. Il avait, précise Jeune Afrique, « claqué la porte du Parlement de transition, après l'expiration du délai de deux ans donné, sous l'égide de la CEDEAO, à la junte pour le retour des civils au pouvoir. Et il avait récemment critiqué publiquement la création d'une Direction générale des élections, qui va se substituer à la Commission électorale nationale indépendante dans l'organisation des prochains scrutins. » Jeune Afrique rapporte les premiers mots de l'avocat après qu'il a été retrouvé : « je vais faire une pause, dit-il, par respect pour ma famille et mes amis (…). Ceux qui veulent me faire taire diront sûrement : “Voilà, il a compris l'avertissement.” Mais je les laisse dans leurs illusions. » Condamnations en série Depuis ces derniers jours, les réactions indignées se succèdent. Dans un communiqué repris notamment par l'hebdomadaire Le Lynx, l'ordre des avocats de Guinée condamne cet enlèvement et ces tortures : « cet acte jette une ombre sur la crédibilité de l'Etat de droit en Guinée. Le Barreau exige que toute la lumière soit faite sur les auteurs, exécutants, complices et commanditaires de cette opération ignoble. » La Conférence des Barreaux de l'UEMOA condamne également fermement l'enlèvement de Me Traoré. « Quand les avocats sont attaqués, c'est la justice qui est en danger », affirme l'organisation dans un communiqué repris par le site Guinée 360. Vive réaction également de l'opposant en exil Cellou Dalein Diallo, à lire sur le site Guinée Live : « jusqu'à quand allons-nous rester silencieux pendant que cette junte écrase les libertés, viole les lois et continue de faire taire, par tous les moyens y compris par l'élimination physique et la disparition forcée toute voix dissonante ? » « Toutes les voix dissonantes sont en train d'être supprimées par la junte », renchérit Aboubacar Biro Soumah, président du Parti pour le progrès et le changement, dans un entretien à Guinée Matin. Allusion aux personnalités enlevées ces derniers mois et dont on est toujours sans nouvelles : les responsables du Front national pour la défense de la Constitution, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, le journaliste Habib Marouane Camara, ou encore l'ancien secrétaire général du ministère des Mines, Saadou Nimaga. La stratégie de la répression ? Interrogé par Ledjely, Alseny Sall, de l'Organisation guinéenne de défense des droits de l'homme, exprime sa préoccupation face à cette recrudescence d'enlèvements ciblés. : « ce qui est encore plus alarmant, affirme-t-il, c'est que le dénominateur commun à la quasi-totalité des victimes est leur engagement pour la démocratie et leur prise de position contre les dérives de la transition en cours. Cela laisse penser qu'il ne s'agit pas d'actes isolés, mais d'une stratégie bien orchestrée visant à faire taire les voix dissidentes, ce qui est contraire aux principes d'un État de droit. » Il y a une semaine, lors d'une visite officielle en Côte d'Ivoire, le chef de la junte guinéenne, le général Mamadi Doumbouya affirmait : « ma profonde conviction est que la stabilité politique est la pierre angulaire de tout développement durable. » Des élections législatives et présidentielles sont prévues à la fin de l'année en Guinée. Auparavant en septembre, un référendum constitutionnel doit avoir lieu. Il y a quelques jours, le pouvoir a fait voter un projet de Constitution qui pourrait entraîner la suppression de la limitation des mandats présidentiels. D'où cette question posée par Jeune Afrique : « Mamadi Doumbouya s'ouvre-t-il la voie à une présidence à vie ? »
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Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
☀️ Fortes chaleurs : que manger et que boire quand il fait (très) chaud ?
Rien que leur nom témoigne de la diversité de leurs inspirations puisqu'il fait à la fois référence à l'écrivain Alain Damasio et à son chef-d'œuvre, « La Horde du Contrevent », ainsi qu'à l'univers du jeu vidéo « World of Warcraft ». Le dernier épisode de la saison du « Goût de M » interroge cette semaine le goût du collectif (LA)HORDE, qui secoue la danse contemporaine depuis une dizaine d'années et dirige, depuis 2019, le Ballet national de Marseille. Composé d'un trio de jeunes artistes multimédia, Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, (LA)HORDE a déjà collaboré avec Christine and the Queens, Madonna, Sam Smith, et a marqué les esprits avec des pièces fortes comme « Room with a View », dont la musique était composée par Rone.On fait leur connaissance au Théâtre de la Ville, à Paris, où ils dirigeaient « Age of Content », une de leurs pièces qui interroge l'absence de frontières entre le réel et le virtuel. Cet après-midi, fin mai, la vingtaine de danseurs du Ballet national de Marseille, de 16 nationalités différentes, et le trio de cofondateurs débriefent la représentation de la veille, avant d'entamer les répétitions. Ce lieu leur tient à cœur puisqu'ils y étaient des « spectateurs assidus » : « Au Théâtre de la Ville, il y a les artistes les plus underground comme les plus célèbres. On a fait beaucoup de notre éducation théâtrale et chorégraphique ici. »Ceux qui désignent l'artiste italien Romeo Castelluci comme leur « maître ultime », reviennent sur leur rencontre au début des années 2010, où, ils passaient « beaucoup de temps dans les milieux queers, notamment à danser ensemble dans des soirées », à côtoyer de jeunes stylistes qui allaient se faire une notoriété quelques années plus tard. Former un trio leur apparaît comme une force puisque « les choses positives sont multipliées par trois et tout ce qu'il y a de plus difficile on le divise par trois ». Dans cet épisode, ils racontent leur méthode pour travailler de concert, leur attrait pour la danse « post-Internet », leur défense des personnes en marge et leur découverte de Bassiani, night-club de Tbilissi, qui a nourri leur spectacle « Marry Me in Bassiani », en y inscrivant des mouvements de danses géorgiennes.(LA)HORDE, collectif à la tête du Ballet national de Marseille, et ses danseurs se produiront au Théâtre des Salins, à Martigues, le 22 janvier 2026, puis à Paris, au Centquatre, du 2 au 4 avril, et à La Villette, du 16 au 25 avril.-----Cet épisode, le dernier de la saison, a été publié le 20 juin 2025.Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal), préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et de Juliette Savard, enregistré par Malo Williams. Réalisé en alternance par Guillaume Girault, Emmanuel Baux et Benoît Thuault.Musique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Si Tokyo est un eldorado pour les férus de technologies grâce à ses magasins d'électronique et ses salles d'arcade futuristes, pour les gourmets, elle qui abrite le plus grand nombre de restaurants étoilés au monde, la capitale nipponne est aussi un paradis pour les passionnés de style. Berceau de la créativité et de la mode, le quartier d'Harajuku, voit depuis des décennies, défiler les looks les plus excentriques. Ceux des lolitas qui s'habillent comme des poupées, des gyaru, en mode bling bling, ou encore des Sukeban, ces gangs de filles des années 1970. Au détour des rues, les tenues changent. Tokyo est la ville où l'on passe facilement de la standardisation des uniformes scolaires et des costumes-cravate des quartiers d'affaires, à des looks plus affirmés et personnels. Comment décrypter la mode japonaise ? Que révèlent les choix vestimentaires des Tokyoïtes de leur personnalité ? Avec : • Vanessa Montalbano, journaliste, expatriée au Japon depuis 2017 et autrice de Vu à Harajuku (Komon – Les arènes, 2025) et de Tokyo Crush (Komon-Les arènes) • June Fujiwara, née à Tokyo, expatriée en France à Paris, depuis une vingtaine d'années. Ella a passé 17 ans à la Direction de la Communication de la Maison Louis Vuitton. Elle est l'autrice de La parfaite Tokyoïte (Komon - Les arènes, 2023), Les Secrets du savoir-vivre nippon (2021, Éditions de l'Opportun) et de Mes rituels japonais (2023, Éditions Leduc) • Kadiata Diallo, styliste mauritano-sénégalaise, créatrice de la marque de mode Niuku basée Dakar. Programmation musicale : ► Right/Wrong - VivaOla ► Waya Yawa - Ajaté.
Ami·es pour la vie ? Dans ce hors-série en deux épisodes, la journaliste Élodie Font explore la complexité de nos liens d'amitié. Parfois, les amitiés d'enfance se délitent, sans rupture nette. On a du mal à ne plus se considérer comme des ami·e·s, mais lorsqu'on se croise par hasard et qu'on se dit qu'il faudrait se prendre un café, une part de nous sait bien qu'on ne le fera jamais. Une part de nous sait bien qu'on n'aura plus grand-chose à se dire, si ce n'est ressasser des histoires du passé. Qu'est-ce qu'il se passe quand les différences entre ami·es se creusent ? Est-ce que l'on change d'ami·es parce que l'on change soi-même ? Comment faire en sorte que ces liens ne deviennent pas des relations-souvenirs ? Avons-nous une jauge d'amitié qui ne pourrait pas se remplir indéfiniment ?Cette semaine encore, Marie Misset cède son micro à Elodie Font pour une mini-série d'Émotions sur les amitiés d'enfance. Elle recueille les témoignages de Caro*, Anne-Claire, Lina, Camille, Pénélope, Charles et Serge et les analyses de Lubomir Lamy, professeur de psychologie sociale, et Pauline Rochart autrice de l'essai Ceux qui reviennent. Pour aller plus loin : Le numéro Amitié, qu'est-ce qui nous lie ? de la revue Le Un Hebdo du 19 mars 2025L'étude How many hours does it take to make a friend? De Jeffrey Hall pour l'University of KansasLe livre Amitiés – La nature et l'impact de nos relations les plus importantes de Robin DunbarL'étude En bonne compagnie – La grande étude suisse sur l'amitié du Gottlieb Duttweiler Institute L'étude L'amitié comme processus social de Paul Lazarsfeld et Robert MertonÉmotions est un podcast de Louie Media. Elodie Font a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est de Guillaume Girault. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Elsa Berthault est en charge de la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Émotions, écrivez-nous en remplissant ce formulaire ou à l'adresse hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Suivez Louie Media sur Instagram et Facebook.*le prénom a été modifié. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ami·es pour la vie ? Dans ce hors-série en deux épisodes, la journaliste Élodie Font explore la complexité de nos liens d'amitié. Iels ont partagé nos premiers frissons, nos premiers vents d'émancipation, peut-être nos pyjamas et nos premières cigarettes. Pourtant, parfois, les meilleurs ami·es pour la vie se séparent aussi. Pour quelles raisons certaines amitiés survivent au temps et aux épreuves de la vie, là ou d'autres s'essoufflent, se rompent, s'abandonnent ? Est-ce que l'on peut être là toute la vie ? Que se passe-t-il quand on a mis 500 kilomètres entre nous et que le quotidien nous avale ?Cette semaine, Marie Misset cède son micro à la journaliste Elodie Font. Elle recueille les témoignages de Clara, Anne-Claire, Pénélope, Charles et Serge et les analyses de Lubomir Lamy, professeur de psychologie sociale, et Pauline Rochart autrice de l'essai Ceux qui reviennent. Des récits de loyauté, de distance et de transformation pour interroger la manière dont nous aimons nos ami·es d'enfance au fil du temps.Pour aller plus loin : Le livre Amitiés – La nature et l'impact de nos relations les plus importantes de Robin DunbarL' étude En bonne compagnie – La grande étude suisse sur l'amitié du Gottlieb Duttweiler Institute Le livre L'amitié, un lien social de Claire BidartL'étude How many hours does it take to make a friend? De Jeffrey Hall pour l'University of KansasÉmotions est un podcast de Louie Media. Elodie Font a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est de Guillaume Girault. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Elsa Berthault est en charge de la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Émotions, écrivez-nous en remplissant ce formulaire ou à l'adresse hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Suivez Louie Media sur Instagram et Facebook. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.