POPULARITY
Categories
À quoi sert le mépris de classe ? Faut-il quitter ostensiblement le dance floor quand le DJ met du Sardou ? Que cherchons-nous à dire aux autres quand nous exhibons nos vinyles de David Bowie ? Pourquoi faut-il attendre la reprise de Juliette Armanet pour pouvoir danser sur “Partir un jour” des 2be3 sans avoir peur de passer pour un gros beauf ? Est-ce vraiment si cool de porter un T-shirt Johnny Hallyday au “second degré” ? En quoi aimer Dalida serait-il un plaisir coupable ? Pour l'autrice Rose Lamy toutes ces questions de goûts musicaux sont aussi des questions politiques. Dans son livre, Ascendant beauf, elle évoque son enfance en zone pavillonnaire à Bourges, où elle a grandi avec les tubes du Top 50 et les soirées en salle des fêtes. Tiraillée entre son goût pour les chansons populaires et la culture scolaire, elle réfléchit aux rouages de la distinction sociale et s'attaque au mythe du beauf. Car, pour Rose Lamy, le mépris culturel qui s'exerce envers les « beaufs » ou ses avatars contemporains comme le téléspectateur de Cyril Hanouna n'a rien d'anodin. Il s'inscrit dans un continuum de violences de classe, que chacun.e entretient ou subit tour à tour, sans toujours en mesurer les implications. Les effets que ça peut avoir sur nos trajectoires sociales, les relations avec notre milieu d'origine, mais aussi, de loin en loin, sur notre bulletin de vote. Dans cet épisode, Delphine Saltel mêle le récit de Rose Lamy et le travail du sociologue Félicien Faury qui a mené une grande enquête de terrain auprès des électeurs du RN en région PACA. Une réflexion musicale et politique pour remettre en question nos petits snobismes et la manière dont ils alimentent les clivages électoraux et la montée des extrêmes.Bibliographie : Pierre Bourdieu, "La distinction"Archives ou extraits : - Le goût des autres, Agnèes Jaoui et Jean-Pierre Bacri - Gérard Mauger sur France Culture dans 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? émission de Géraldine Mosna Savoye, "Sans oser le demander" Vendredi 2 juin 2023 - Extrait de Aymeric Lompret sur Radio NovaPour aller plus loin : - Félicien Faury, Vote FN et implantation partisane dans le Sud-Est de la France : racisme, rapports de classe et politisation, thèse de doctorat en science politique, sous la direction d'Éric Agrikoliansky, Université Paris Sciences et Lettres, École doctorale SDOSE, Paris, 2021.- Gérard Mauger, « De “l'homme de marbre” au “beauf” Les sociologues et “la cause des classes populaires” », Savoir/Agir, 2013. - Gérard Mauger, « Sociogenèse et usages de la figure du “beauf” », Sens-Dessous, 2019.- Philippe Coulangeon, Julien Duval (dir.), Trente ans après La Distinction, de Pierre Bourdieu, Ed. La Découverte, 2013.- Xavier de La Porte, « Pourquoi mépriser les électeurs RN est un vilain défaut », Le Nouvel Obs, 2024. - Benoît Coquard, Ceux qui restent, Ed. La Découverte, 2019.- France Culture : D'où vient la figure du beauf ?- France Culture : 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? Enregistrements mai - juin 2025 Entretiens, prise de son et montage Delphine Saltel Musiques préexistantes Larusso tu m'oublieras / Juliette Armanet Joe Dassin, De ton côté du lit Vivaldi Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Accompagnement éditorial Mina Souchon Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
durée : 00:55:04 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - Clair Obscur : Expédition 33 confirme à quel point le jeu vidéo français séduit un nombre incroyable de joueur(se)s sur la planète. Il faut dire qu'avec une telle élégance graphique et de mise en scène, un scénario si fouillé et une bande son aussi sublime, les qualités du jeu sont indéniables… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le jeudi 3 juillet et nous fêtons saint Thomas, Apôtre.Aujourd'hui l'Église fête saint Thomas, l'un des douze apôtres. Il est considéré comme l'évangélisateur de l'Inde. Il est surtout connu pour être celui qui, après avoir douté de la résurrection du Seigneur, a fait une extraordinaire confession de foi. Je demande la grâce de mettre, moi aussi, le Ressuscité au centre... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Reflections de Joseph Nimoh interprété par Joseph Nimoh - Reflections © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Bonjour amis RP,Quand avez-vous investi pour la dernière fois dans vos projets ou dans votre entreprise?De mon côté, je ne compte plus les formations et les programmes de coaching que j'ai suivis.Je me souviens notamment d'une formation avec Kris Plachy, une coach d'affaires exceptionnelle, grâce à qui je suis passée de « les ressources humaines, ce n'est pas ma force » à « j'adore gérer mon équipe ! »Ceux qui me connaissent bien savent que c'est un tour de force, tellement « gérer du personnel » me rebutait.Aussi, le prix de cette formation me semblait très élevé, et je doutais du retour sur investissement.En plus, ce n'était pas simple. Kris m'a demandé de redéfinir les valeurs de NATA PR et de repenser entièrement chaque poste.Je n'avais aucune envie de faire cet exercice. J'avais déjà une liste de valeurs et des descriptions de poste. Tout était « fait ».Mais c'est précisément ce retour à la base qui a transformé ma manière de gérer, mes croyances, et mes résultats.Je vous épargne les détails du programme, mais je peux vous dire que je referais cet investissement sans hésiter.Ses impacts financiers sont encore visibles aujourd'hui.La rétention des employés, ça se chiffre. Mon équipe est plus heureuse, plus engagée.Et cela me permet de mieux servir mes clients... qui restent plus longtemps chez NATA PR.Vous voyez l'impact de cet investissement ?Plus rentable que la bourse !Je me suis à nouveau inscrite à un programme de business coaching, et je le suis avec un tout nouveau regard.C'est un programme d'un an, axé sur la mise en place d'actions immédiates.C'est une formation qui me stimule : j'ai l'impression que mon cerveau s'allume en continu, et les idées affluent --- sur ce que je pourrais tester dès maintenant.L'objectif est simple : tenter des actions concrètes rapidement (nouvelle infolettre, nouveau podcast, nouvelle offre ou offre adaptée) et, si ça ne fonctionne pas, analyser vite ce qui bloque, recevoir du coaching, puis retourner mettre en place une version améliorée.Ce programme me fait évidemment penser à ceux que j'offre --- entièrement tournés vers la pratique.Alors si vous me suivez, c'est sans doute parce que vous cherchez à augmenter vos ventes et attirer de nouveaux clients.Pourquoi ne pas investir dans vos ventes?Je vous invite à revoir les offres de la NATA PR SCHOOL --- non pas comme une dépense, mais comme un investissement stratégique.Vous souhaitez intégrer les RP et les influenceurs dans votre plan marketing pour gagner en visibilité et augmenter vos ventes, mais vous ne savez pas par où commencer ?Je vous promets qu'en un simple appel gratuit, je saurai vous guider.Votre seul investissement aujourd'hui : un peu de temps.RÉSERVEZ VOTRE CONSULTATION GRATUITE ➤ https://calendly.com/natapr/30-minutes-zoom?month=2025-06Je suis là pour vous aider, simplement et concrètement.NataLE MODÈLE NATA PR GRATUIT ➤ https://prschool.natapr.com/Le-Modele-NATA-PRINSCRIVEZ-VOUS À NOTRE INFOLETTRE ➤ www.natapr.comRP 101 - ATELIER DE 30 MINUTES ➤ https://bit.ly/4cI3aRuFAITES PARLER DE VOUS GRATUITEMENT ➤ https://prschool.natapr.com/evergreen_frINSTAGRAM ➤ https://www.instagram.com/nata_pr_school/
C dans l'air du 1er juillet 2025 - Canicule : l'angoisse s'installeAprès plusieurs jours d'une chaleur étouffante, la France est entrée dans le dur de la canicule aujourd'hui. La vigilance rouge, le plus haut niveau de surveillance, est activée dans 16 départements, de la Vienne à l'Aube avec toute l'Île-de-France, et quasiment tout le reste du pays est placé en vigilance orange. Les maximales devraient atteindre 36 °C, voire 41 °C, avec deux prochaines nuits qui s'annoncent "tropicales", avant un progressif rafraichissement attendu par la façade ouest.D'ici là, Météo France prévoit un pic caniculaire "très fort" dans le bassin parisien avec une chaleur "particulièrement éprouvante". Le gouvernement a multiplié les appels à la vigilance. À Paris, des restrictions de circulation ont été mises en place. Au niveau national, les obligations des entreprises sont renforcées, les services d'urgence sont sur le pont. Le réacteur de la centrale nucléaire de Golfech dans le Tarn-et-Garonne a été mis à l'arrêt en raison de la hausse de la température dans la Garonne voisine. Près de 1896 écoles publiques sont également fermées, "totalement ou partiellement". Mais ces décisions suscitent débat et polémique.Dimanche soir, en conférence de presse, la ministre de la Santé a rappelé que les fermetures d'écoles devaient se faire "au cas par cas". Mais face à la vague de chaleur, de plus en plus de maires ont pris la décision de fermer les établissements et beaucoup critiquent l'absence de réaction sérieuse du ministère ou de "directives précises". Les élus pointent aussi les conséquences d'un fonds vert dont le budget a été raboté. Mis en place en janvier 2023 pour aider les collectivités à s'adapter, il était doté de 2 milliards dont 500 millions d'euros dédiés à la rénovation des écoles. Mais il a été réduit à 1, 5 milliard en 2024 et 1 ,15 milliard cette année à cause de la rigueur budgétaire. De son côté, Marine Le Pen, a fustigé l'action du gouvernement, qui selon elle "marche encore sur la tête" en demandant "à des familles d'arrêter de travailler du jour au lendemain car les écoles ne peuvent plus accueillir nos bambins, tout en leur conseillant d'aller au cinéma du coin qui lui, est climatisé". La leader du parti d'extrême droite a également réclamé "un grand plan pour la climatisation", relayé par son allié Eric Ciotti qui souhaite équiper en priorité "écoles, hôpitaux et maisons de retraite". Dans la foulée, sur le réseau social X, Marine Tondelier, secrétaire nationale d'Europe-Ecologie-les-Verts a raillé l'idée : "La France subit une canicule historique. Le programme écologique de Marine Le Pen : acheter des climatiseurs", a-t-elle écrit. La ministre de la Transition écologique s'est, elle, étonnée de la sortie médiatique de Marine Le Pen. "Ceux qui parlent (Marine Le Pen et Eric Ciotti, ndlr) de grand plan de climatisation viennent de découvrir la lune alors qu'ils ont voté contre une loi il y a deux semaines qui permettait de faire des réseaux de froid", a dénoncé Agnès Pannier-Runacher sur le plateau de BFMTV.Fonds vert raboté, zones à faibles émissions supprimées, normes agricoles, pesticides… Depuis le début de l'année, une quantité inédite de votes et de décisions politiques ont mis à mal l'ambition écologique du pays, détricotant des objectifs environnementaux contraignants adoptés ces dernières années en matière d'énergie, de transports, de logement et d'agriculture.LES EXPERTS :- ARNAUD GOSSEMENT - Avocat en droit de l'environnement - Professeur associé à Paris 1- Dr GÉRALD KIERZEK - Médecin urgentiste, directeur médical - Doctissimo- AUDREY GARRIC - Journaliste au service Planète - Le Monde - LAURENT ROMEJKO - Journaliste spécialiste des questions météorologiques, présentateur Météo à la carte - France 3
durée : 00:51:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Christian Nève - Avec les enseignants Pierre Rimbaud et Raoul Ollier, Pierre Bonnaud (linguiste et auteur), Claude Dallet (conservateur du centre Henri Pourrat de Clermont-Ferrand), Joseph Allard (prêtre), Jeanne Convert (habitante d'Ambert), Marguerite Gras (fabricante de chapelets à Escalon) - Réalisation Philippe Sibille - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
En 3 minutes, le père Charles-Thierry Ndjandjo répond à la question d'Anna : "Comment peut-on être heureux dans le Royaume, malgré l'amour fou que l'on a pour Dieu, si les personnes que nous aimons sont dans la souffrance ici-bas ?". Vous aussi, posez vos questions à pourquoipadre@ktotv.com.
Depuis le 2 avril, le marché n'avait plus qu'un seul objectif : retourner de là où il venait. Depuis la semaine dernière, c'est chose faite, puisque le S&P500 et le Nasdaq sont aux plus hauts de tous les temps. Ceux qui ont appliqué la bonne vieille théorie du Sell in May and Go Away, doivent … Continued
Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
Avez-vous déjà vu le Peuplier scintiller quand un souffle de vent l'agite ? Tout comme le Tremble, ses feuilles sont pourvues de pétioles bien spécifiques. Ceux-ci sont plats et argentés : quand la feuille bouge, la feuille brille. Dans cet épisode, légendes et mythes tentent d'expliquer l'origine des frissons du Tremble et du Peuplier..._______
Entre 1996 et 2000, le Pérou a vécu l'un des épisodes les plus sombres et les plus méconnus de son histoire récente : des milliers de femmes, en grande majorité pauvres, indigènes et rurales, ont été stérilisées de force, dans le cadre d'un programme gouvernemental présenté comme… une politique de santé publique.À cette époque, le président Alberto Fujimori dirige le pays d'une main de fer. Officiellement, son gouvernement lance une vaste campagne de "planification familiale" pour réduire la pauvreté. L'idée semble simple : moins d'enfants, donc moins de misère.Mais derrière les slogans, une réalité bien plus brutale se met en place.Dans les villages reculés, souvent quechua ou aymara, des femmes sont convoquées dans des centres de santé. On leur promet une consultation gratuite, un vaccin, une aide financière… mais une fois sur place, elles sont emmenées en salle d'opération. Sans explication. Sans consentement. Parfois même sous la menace.On leur ligature les trompes. C'est irréversible.Au total, plus de 300 000 femmes ont été stérilisées. Certaines ont été attachées. D'autres anesthésiées à moitié. Des témoignages évoquent des douleurs atroces, des infections, et même des décès. Il y a eu aussi des cas d'hommes stérilisés de force, mais en bien plus petit nombre.Ce programme n'avait rien d'un choix éclairé : c'était une campagne de contrôle démographique ciblé, avec des quotas imposés aux médecins. Ceux qui ne "produisaient" pas assez de stérilisations étaient sanctionnés. Un véritable système, bureaucratisé, cynique.Pourquoi ces femmes ? Parce qu'elles étaient pauvres. Parce qu'elles parlaient peu ou pas l'espagnol. Parce qu'elles avaient peu de moyens pour se défendre, et que leurs voix avaient peu de poids dans les instances politiques.Pendant des années, ce scandale a été ignoré, minimisé, étouffé.Mais les témoignages ont fini par remonter. Des associations de femmes, des journalistes, des ONG ont documenté les faits, rassemblé des preuves, et porté plainte.Aujourd'hui encore, les victimes attendent réparation. Le procès contre Fujimori a été ouvert en 2021, mais traîne. Pour beaucoup, cette affaire n'est pas seulement une question de justice, mais de mémoire collective : rappeler que derrière les statistiques, il y avait des vies. Des mères. Des jeunes femmes. Et que tout cela s'est produit au nom de la lutte contre la pauvreté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour la dernière émission de la saison, Jean-Alphonse Richard et son équipe donnent la parole aux auditeurs pour une émission spéciale sur l'affaire Grégory ! Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quelles compétences faut-il vraiment développer pour devenir un bon investisseur immobilier ? Dans cet épisode, on explore les 4 piliers essentiels de tout investisseur immobilier performant : 1) Maîtriser les bases juridiques et fiscales Un bon investisseur immobilier ne doit pas devenir juriste, mais il doit comprendre les grandes lignes des réglementations immobilières : autorisations, fiscalité, normes… Informez-vous, posez les bonnes questions et entourez-vous de professionnels fiables (notaires, agents, avocats). 2) Développer une vraie résilience L'immobilier n'est pas un long fleuve tranquille. Retards, imprévus, blocages administratifs : les défis sont fréquents. Ceux qui réussissent sont ceux qui persévèrent, même quand c'est inconfortable. 3) Adopter un véritable mindset d'investisseur Voyez ce que les autres ne voient pas : valorisation, division, cashflow caché... Inspirez-vous de ceux qui ont déjà réussi. Fréquentez d'autres investisseurs, échangez, apprenez, évoluez. 4) Passer à l'action, sans attendre la perfection La connaissance est utile, mais c'est l'action qui génère des résultats. Visitez, faites des offres, négociez. C'est en pratiquant que vous progressez et que vous gagnez en confiance. Que vous soyez débutant ou confirmé, ces 4 compétences sont la base pour vraiment réussir. ---------------------------------------------------------------------------------- Tu es propriétaire de ta résidence principale en Belgique ou tu aimerais le devenir ? Et si ta maison devenait ton meilleur actif (quelque chose qui te rapporte de l'argent) ? On t'offre une mini-formation où on te partage 5 leviers pour utiliser ta résidence principale comme un investissement. Le lien est ici : https://www.money-mindset.be/5strategiesrp ----------------------------------------------------------------------------------
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ceux qui ont vu Bob Marley sur scène n'ont jamais pu l'oublier.Ceux qui ont vu Bob Marley savent ce qui se passait quand il était dans la salle. Je vous raconte ?Fermez les yeux une seconde. Imaginez… la grande fosse de Forest National en 1978, le moment où on éteint les lumières, la clameur, la chaleur presque moite, et voilà le lieu devenu subitement un temple. Un projo sur scène, il est là. Bob Marley. Silhouette fine, dreadlocks dansant au rythme du groove de son discours de bienvenue et sa voix, … Ah, sa voix, elle s'élève comme un cri d'espoir, comme une prière musicale. La foule est déjà conquise. Ce n'est pas un concert. C'est une cérémonie. Une messe rasta. Les bras se lèvent, les corps ondulent doucement, comme portés par un courant invisible. Pas besoin de savoir danser, ici c'est l'âme qui bouge. Même les plus raides deviennent fluides. Et Marley, lui, il est comme toujours, habité. Yeux mi-clos, sourire discret, il prêche, en musique.Déjà en arrivant, devant Forest National il y avait cette foule immense, colorée, bigarrée, des jeans pattes d'eph et des chemises bariolées, évidemment, mais aussi des écharpes rasta, et des effluves qui chatouillaient les narines. Ça parlait français, flamand, anglais, ça rigolait, ça planait déjà un peu. Ce soir, Bob Marley est à Bruxelles. Un Bob qui, si ne parle pas beaucoup entre les chansons, rayonne. Il est le chef d'orchestre d'un truc bien plus fort que lui. Quand il entonne Punky Reggae Party, Forest devient un village. On se connaît pas, mais on se serre. On chante. Y a cette nana juste devant, les larmes aux yeux et ce gars torse nu qui bat le rythme comme s'il était en transe. C'est que Bob, il chante pas seulement pour les oreilles, il chante pour les tripes. Et puis arrive No Woman No Cry. Là, tout le monde se lève, bien sûr. Mais c'est plus que ça. C'est une clameur. Une déclaration. Comme si pendant quelques minutes, la Belgique entière se dressait contre l'injustice du monde. Dans le noir de Forest National, on voit s'allumer des centaines de petites flammes humaines et des briquets aussi. Une communion. Quand les lumières se rallument à la fin, les gens ne bougent pas. Ils restent là, hébétés, rincés, heureux. Comme si un prophète venait de passer, avec une guitare, un sourire, et une vérité simple : l'amour, la paix, la dignité. Ce soir de 1978, comme toutes les autres fois, à Bruxelles, Bob Marley n'a pas donné un concert. Il a allumé la lumière. Et ceux qui y étaient s'en souviennent encore, pas vrai, le cœur qui bat un peu plus lentement, mais toujours en rythme.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les réactions sont vives dans le pays après l'enlèvement et les sévices subis par l'avocat Mohamed Traoré. Dans la nuit de vendredi à samedi dernier, relate Jeune Afrique, « un groupe de personnes encagoulées (cinq selon la famille, au moins sept selon le barreau de Guinée) font irruption chez les Traoré, à Sonfonia, un quartier de la banlieue Est de Conakry. Giflé, ainsi que sa fille aînée qui voulait s'interposer, l'avocat est embarqué de force et conduit vers une destination inconnue (…). Au cours de sa séquestration, il est allongé au sol puis cruellement fouetté. Le chef présumé de l'opération donne l'ordre explicite de ne pas interrompre la flagellation avant d'atteindre 500 coups. Le dos de Me Traoré est couvert de plaies, signes manifestes des sévices subis. » L'ancien bâtonnier sera ensuite retrouvé, inconscient, à 70 km de la capitale, avant de recevoir des soins dans un lieu tenu secret. Trop critique Pourquoi cet enlèvement, pourquoi ces tortures ? Mohammed Traoré avait critiqué à maintes reprises le pouvoir militaire en place. Il avait, précise Jeune Afrique, « claqué la porte du Parlement de transition, après l'expiration du délai de deux ans donné, sous l'égide de la CEDEAO, à la junte pour le retour des civils au pouvoir. Et il avait récemment critiqué publiquement la création d'une Direction générale des élections, qui va se substituer à la Commission électorale nationale indépendante dans l'organisation des prochains scrutins. » Jeune Afrique rapporte les premiers mots de l'avocat après qu'il a été retrouvé : « je vais faire une pause, dit-il, par respect pour ma famille et mes amis (…). Ceux qui veulent me faire taire diront sûrement : “Voilà, il a compris l'avertissement.” Mais je les laisse dans leurs illusions. » Condamnations en série Depuis ces derniers jours, les réactions indignées se succèdent. Dans un communiqué repris notamment par l'hebdomadaire Le Lynx, l'ordre des avocats de Guinée condamne cet enlèvement et ces tortures : « cet acte jette une ombre sur la crédibilité de l'Etat de droit en Guinée. Le Barreau exige que toute la lumière soit faite sur les auteurs, exécutants, complices et commanditaires de cette opération ignoble. » La Conférence des Barreaux de l'UEMOA condamne également fermement l'enlèvement de Me Traoré. « Quand les avocats sont attaqués, c'est la justice qui est en danger », affirme l'organisation dans un communiqué repris par le site Guinée 360. Vive réaction également de l'opposant en exil Cellou Dalein Diallo, à lire sur le site Guinée Live : « jusqu'à quand allons-nous rester silencieux pendant que cette junte écrase les libertés, viole les lois et continue de faire taire, par tous les moyens y compris par l'élimination physique et la disparition forcée toute voix dissonante ? » « Toutes les voix dissonantes sont en train d'être supprimées par la junte », renchérit Aboubacar Biro Soumah, président du Parti pour le progrès et le changement, dans un entretien à Guinée Matin. Allusion aux personnalités enlevées ces derniers mois et dont on est toujours sans nouvelles : les responsables du Front national pour la défense de la Constitution, Foniké Menguè et Mamadou Billo Bah, le journaliste Habib Marouane Camara, ou encore l'ancien secrétaire général du ministère des Mines, Saadou Nimaga. La stratégie de la répression ? Interrogé par Ledjely, Alseny Sall, de l'Organisation guinéenne de défense des droits de l'homme, exprime sa préoccupation face à cette recrudescence d'enlèvements ciblés. : « ce qui est encore plus alarmant, affirme-t-il, c'est que le dénominateur commun à la quasi-totalité des victimes est leur engagement pour la démocratie et leur prise de position contre les dérives de la transition en cours. Cela laisse penser qu'il ne s'agit pas d'actes isolés, mais d'une stratégie bien orchestrée visant à faire taire les voix dissidentes, ce qui est contraire aux principes d'un État de droit. » Il y a une semaine, lors d'une visite officielle en Côte d'Ivoire, le chef de la junte guinéenne, le général Mamadi Doumbouya affirmait : « ma profonde conviction est que la stabilité politique est la pierre angulaire de tout développement durable. » Des élections législatives et présidentielles sont prévues à la fin de l'année en Guinée. Auparavant en septembre, un référendum constitutionnel doit avoir lieu. Il y a quelques jours, le pouvoir a fait voter un projet de Constitution qui pourrait entraîner la suppression de la limitation des mandats présidentiels. D'où cette question posée par Jeune Afrique : « Mamadi Doumbouya s'ouvre-t-il la voie à une présidence à vie ? »
Pour avoir plus d'info sur le CIEL et passer le test pour voir si c'est fait pour toi, clique ici : https://www.formactions.outilsdumanager.com/ciel-cf16515d ***Découvre ce que nous avons créé pour t'aider à aller plus loin :Des formactions pratiques et concrètes pour manager efficacement, quel que soit ton rôle ou ton secteur.Une communauté unique en ligne, le CIEL, où dirigeants et cadres dirigeants, s'entraident pour réussir ensemble.L'offre exclusive du moment pour t'aider à passer à l'action dès aujourd'hui.Clique ici pour explorer le catalogue ODM : https://www.formactions.outilsdumanager.com/cataloguecomplet***Peut-on vraiment changer sa façon de manager sans tout recommencer, ni tout sacrifier ? Dans ce premier épisode de la série « En vrai, c'est quoi diriger ? », Adélie donne la parole à Guillaume. À 52 ans, il a changé de job. Il raconte un basculement intérieur : celui d'un manager expert et performant, fatigué, surinvesti dans son rôle.Il découvre un management relationnel et structuré. Il apprend à lâcher le contrôle, redonne du sens à son travail. Et il devient dirigeant… sans créer son entreprise. Il raconte : Comment un problème de santé a provoqué une introspection salvatrice ; Le passage d'un management expert à un leadership sobre et structuré ; La redéfinition d'une identité professionnelle à 50 ans passés ; Pourquoi il a choisi l'intrapreneuriat plutôt que l'entrepreneuriat ; Et comment il a structuré un système de management libérant… pour lui et pour ses équipes. Ce n'est pas une success story. C'est un chemin. Un récit vrai, de terrain, de tête et de cœur, comme on en entend peu.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
☀️ Fortes chaleurs : que manger et que boire quand il fait (très) chaud ?
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Si Tokyo est un eldorado pour les férus de technologies grâce à ses magasins d'électronique et ses salles d'arcade futuristes, pour les gourmets, elle qui abrite le plus grand nombre de restaurants étoilés au monde, la capitale nipponne est aussi un paradis pour les passionnés de style. Berceau de la créativité et de la mode, le quartier d'Harajuku, voit depuis des décennies, défiler les looks les plus excentriques. Ceux des lolitas qui s'habillent comme des poupées, des gyaru, en mode bling bling, ou encore des Sukeban, ces gangs de filles des années 1970. Au détour des rues, les tenues changent. Tokyo est la ville où l'on passe facilement de la standardisation des uniformes scolaires et des costumes-cravate des quartiers d'affaires, à des looks plus affirmés et personnels. Comment décrypter la mode japonaise ? Que révèlent les choix vestimentaires des Tokyoïtes de leur personnalité ? Avec : • Vanessa Montalbano, journaliste, expatriée au Japon depuis 2017 et autrice de Vu à Harajuku (Komon – Les arènes, 2025) et de Tokyo Crush (Komon-Les arènes) • June Fujiwara, née à Tokyo, expatriée en France à Paris, depuis une vingtaine d'années. Ella a passé 17 ans à la Direction de la Communication de la Maison Louis Vuitton. Elle est l'autrice de La parfaite Tokyoïte (Komon - Les arènes, 2023), Les Secrets du savoir-vivre nippon (2021, Éditions de l'Opportun) et de Mes rituels japonais (2023, Éditions Leduc) • Kadiata Diallo, styliste mauritano-sénégalaise, créatrice de la marque de mode Niuku basée Dakar. Programmation musicale : ► Right/Wrong - VivaOla ► Waya Yawa - Ajaté.
Si Tokyo est un eldorado pour les férus de technologies grâce à ses magasins d'électronique et ses salles d'arcade futuristes, pour les gourmets, elle qui abrite le plus grand nombre de restaurants étoilés au monde, la capitale nipponne est aussi un paradis pour les passionnés de style. Berceau de la créativité et de la mode, le quartier d'Harajuku, voit depuis des décennies, défiler les looks les plus excentriques. Ceux des lolitas qui s'habillent comme des poupées, des gyaru, en mode bling bling, ou encore des Sukeban, ces gangs de filles des années 1970. Au détour des rues, les tenues changent. Tokyo est la ville où l'on passe facilement de la standardisation des uniformes scolaires et des costumes-cravate des quartiers d'affaires, à des looks plus affirmés et personnels. Comment décrypter la mode japonaise ? Que révèlent les choix vestimentaires des Tokyoïtes de leur personnalité ? Avec : • Vanessa Montalbano, journaliste, expatriée au Japon depuis 2017 et autrice de Vu à Harajuku (Komon – Les arènes, 2025) et de Tokyo Crush (Komon-Les arènes) • June Fujiwara, née à Tokyo, expatriée en France à Paris, depuis une vingtaine d'années. Ella a passé 17 ans à la Direction de la Communication de la Maison Louis Vuitton. Elle est l'autrice de La parfaite Tokyoïte (Komon - Les arènes, 2023), Les Secrets du savoir-vivre nippon (2021, Éditions de l'Opportun) et de Mes rituels japonais (2023, Éditions Leduc) • Kadiata Diallo, styliste mauritano-sénégalaise, créatrice de la marque de mode Niuku basée Dakar. Programmation musicale : ► Right/Wrong - VivaOla ► Waya Yawa - Ajaté.
LA BELLE EXPERIENCE ( L'injustice de ceux qui oublient ) 04-05-2025.mp3
LA BELLE EXPERIENCE ( Cinq maux qui frappent ceux qui oublient ) 11-05-2025
POIMEN SERVICE ( Ceux qui sont ignorants; six principes de la loyauté ) 06-05-2025
durée : 00:08:11 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Élisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, était l'invitée de France Inter ce mercredi, au lendemain de la mort d'une surveillante en Haute-Marne, poignardée par un élève. - invités : Elisabeth BORNE - Élisabeth Borne : Femme politique française
durée : 00:08:11 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Élisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, était l'invitée de France Inter ce mercredi, au lendemain de la mort d'une surveillante en Haute-Marne, poignardée par un élève. - invités : Elisabeth BORNE - Élisabeth Borne : Femme politique française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:05 - Le grand format - Le collège Françoise-Dolto de Nogent, en Haute-Marne, restera fermé ce mercredi, après la mort d'une surveillante de 31 ans, poignardée par un élève à l'entrée de l'établissement. La victime était mère de famille. Ceux qui l'ont connue lui rendent hommage et font part de leur incompréhension.
Comme tous les mardis, nous retrouvons Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. Le site d'information haïtien revient notamment sur le « Travel ban » qui interdit aux Haïtiens d'entrer sur le territoire américain. Quelle marge de manœuvre pour les autorités haïtiennes ? Le Conseil présidentiel de transition affirme vouloir négocier avec l'administration américaine pour retirer Haïti du Travel ban, comme l'annonce Alterpresse. Les mesures de Donald Trump interdisant aux ressortissants de 12 pays - dont Haïti - d'entrer sur le territoire américain ont pris effet ce lundi (9 juin 2025). Les autorités haïtiennes affirment vouloir donner des gages sécuritaires aux autorités américaines afin d'être retirées de la liste. Elles ont également affirmé vouloir garder une bonne relation avec les autorités américaines. Mais les marges de manœuvre restent limitées, précise Gotson Pierre. Les provocations de Donald Trump à Los Angeles dénoncées par les médiasLa situation en Californie continue de faire la Une de la presse aux États-Unis. Donald Trump ne s'est pas arrêté à l'envoi de la Garde nationale. Malgré les critiques, le président américain a choisi de muscler un peu plus encore son intervention avec l'envoi de 700 Marines et 2 000 membres supplémentaires de la Garde nationale.Ces troupes n'étaient pourtant pas nécessaires, affirme le Washington Post dans son édito titré «La meilleure façon de mettre fin à l'escalade à Los Angeles».Dès le premier paragraphe, le journal fait un parallèle avec l'assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump, le 6 janvier 2021. Premier constat : «Les violences contre les forces de l'ordre doivent être poursuivies qu'elles soient dirigées contre les services de l'Immigration et des Douanes de Los Angeles ou contre la police du Capitole à Washington.» Mais pour le Washington Post, l'envoi notamment d'un bataillon de Marines en service actif sur place en renfort est une nouvelle provocation qui ne fera que prolonger la violence. « Comment désamorcer la situation à Los Angeles ? » Le Washington Post ne fait pas que pointer la responsabilité de Donald Trump. Il pointe un couple, le gouverneur démocrate de Californie et le président des États-Unis, qui semblent tous deux voir un avantage à se battre. Pour sortir de ce combat politique, les Américains devraient se tourner vers les tribunaux, avance-t-il.La fédéralisation de la Garde nationale contre l'avis du gouverneur d'un État dépend de l'Insurrection Act de 1807. Si Donald Trump l'invoquait officiellement, il ferait face à une contestation judiciaire lourde qui pourrait amener à des questions plus profondes sur les pouvoirs du président. Des réformes, notamment celles de l'Insurrection act, nécessaires depuis longtemps, estime la Washington Post. « Un aperçu de l'autocratie »Pour l'instant, ce à quoi les Américains assistent à Los Angeles est un «aperçu de l'autocratie», selon le New York Times. C'est le titre de l'édito de Michelle Goldberg. Si le Washington Post appelle les manifestants à rentrer chez eux pour éviter d'être pris dans un engrenage qui les dépasse, le New York Times lui appelle au soulèvement. Michelle Goldberg confie à ses lecteurs que l'envoi de troupes militaires par Donald Trump contre des opposants à sa politique anti-immigration était l'une de ses plus grandes peurs depuis son élection en novembre dernier. Mais la journaliste ne s'était pas imaginé un tel scénario avant même que l'opposition au président ne tourne réellement à la crise. Il n'y avait pas à Los Angeles un risque de rébellion contre l'autorité du gouvernement des États-Unis, affirme Michelle Goldberg. Hier, la police de Los Angeles a d'ailleurs affirmé que l'«arrivée de la Garde nationale sans aucune coordination représentait un défi logistique et opérationnel pour conserver la sécurité dans la ville.»«Le jour où des manifestations contre le roi mobiliseront tout le pays. J'espère que la tentative de Trump d'étouffer la protestation finira par l'alimenter, conclut l'éditorialiste du New York Times. Ceux qui veulent vivre dans un pays libre peuvent avoir peur, mais ils ne doivent pas être intimidés.» « Trump contre la grande ville hispanique »De l'autre côté de la frontière, au Mexique, el Universal consacre également son éditorial à l'évènement. «Trump contre la grande ville hispanique», titre l'éditorialiste Léon Krauze. Selon lui, ce n'est pas un hasard si Donald Trump cible Los Angeles. Elle incarne l'idéal d'une société pluraliste. C'est également la plus grande ville hispanique des États-Unis. Près de 47% des habitants s'identifient hispaniques. 60% des habitants communiquent en espagnol, en coréen, en arménien ou dans une longue liste d'autres langues. Si la Californie était un pays, elle serait la cinquième économie mondiale, précise également el Universal. Une force due en grande partie aux immigrants. Ils méritent d'être protégés, pas persécutés. Un procès « historique » contre l'ancien président brésilien BolsonaroLa Cour suprême brésilienne a commencé lundi les interrogatoires des principaux accusés dans le cadre du procès contre l'ancien président Jair Bolsonaro. Le principal intéressé n'a pas encore été entendu. Mauro Cid, son ancien collaborateur a confirmé les velléités putschistes de l'ex-président. Il avait passé un accord avec la justice en change d'une réduction de peine. Selon l'ancien militaire, Jair Bolsonaro, qui avait perdu les élections de 2022 face à Lula, avait envisagé de décréter l'« état de siège » à Brasilia et de convoquer de nouvelles élections. L'ancien président aurait même lu et modifié un projet de décret présenté par ses conseillers, qui prévoyait aussi l'arrestation de personnalités politiques et judiciaires, comme le juge de la Cour suprême Alexandre de Morales, la bête noire des bolsonaristes, justement en charge des interrogatoires.Jair Bolsonaro lui-même était présent sur le banc des accusés. Il devrait être interrogé ce mardi ou mercredi. Mais sa ligne de défense n'a pas changé : il nie toutes les accusations, comme il l'a réaffirmé à un groupe de journalistes pendant une pause de l'audience. Il affirme être victime d'une persécution politique.Il faudra attendre quelques mois pour connaître le verdict, mais c'est d'ores et déjà un procès historique. Les faits reprochés – tentative de coup d'État – sont très graves. Jair Bolsonaro, qui a toujours fait l'éloge de la dictature, encourt plus de 40 ans de prison en cas de condamnation. Ce procès montre que la démocratie brésilienne, que la justice brésilienne, fonctionnent. Une affaire qui s'impose en parallèle de la situation aux États-Unis, avec l'assaut du Capitole en 2021, le refus de Donald Trump de reconnaître sa défaite. Pour l'instant, le président américain a été épargné par la justice. Colombie – Miguel Uribe était-il suffisamment protégé ? En Colombie, le sénateur Miguel Uribe et candidat déclaré à la présidentielle de l'année prochaine, se trouve toujours entre la vie et la mort. Il a reçu deux balles dans la tête dimanche dernier (8 juin 2025) lors d'une attaque menée lors d'un meeting électoral. Son avocat affirme aujourd'hui que le candidat ne bénéficiait pas d'un dispositif de sécurité suffisante et a porté plainte contre l'unité nationale de protection de la police. « En 2025, nous avons fait plus de 23 demandes de renforcement de la sécurité du sénateur, rapporte Miguel Uribe. La dernière a été déposée le 5 juin dernier, mais on nous l'a refusé en affirmant qu'il n'y avait pas de risque ».Le directeur de cette unité de protection soutient que trois de ses agents étaient sur place, mais que quatre policiers réguliers les auraient épaulés. La procureure, qui confirme que le sénateur Uribe recevait le même niveau de protection que les autres parlementaires, et qu'il n'avait pas fait l'objet de menaces de mort. De son côté, le président Gustavo Petro a dénoncé une «réduction étrange» du dispositif de sécurité le jour de l'attentat.
Les vraies retombées du Grand Prix de Montréal. Entrevue avec Vianney Godbout Lescouzères, ex restaurateur montréalais. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:12 - Le brief politique - La volonté unilatérale d'Emmanuel Macron de dissoudre reste un traumatisme chez les siens. Son ancien Premier ministre, écarté de fait ce soir-là, tente, depuis, de tirer son épingle du jeu.
La fameuse prime rénov' va être suspendu par le gouvernement
Ami·es pour la vie ? Dans ce hors-série en deux épisodes, la journaliste Élodie Font explore la complexité de nos liens d'amitié. Parfois, les amitiés d'enfance se délitent, sans rupture nette. On a du mal à ne plus se considérer comme des ami·e·s, mais lorsqu'on se croise par hasard et qu'on se dit qu'il faudrait se prendre un café, une part de nous sait bien qu'on ne le fera jamais. Une part de nous sait bien qu'on n'aura plus grand-chose à se dire, si ce n'est ressasser des histoires du passé. Qu'est-ce qu'il se passe quand les différences entre ami·es se creusent ? Est-ce que l'on change d'ami·es parce que l'on change soi-même ? Comment faire en sorte que ces liens ne deviennent pas des relations-souvenirs ? Avons-nous une jauge d'amitié qui ne pourrait pas se remplir indéfiniment ?Cette semaine encore, Marie Misset cède son micro à Elodie Font pour une mini-série d'Émotions sur les amitiés d'enfance. Elle recueille les témoignages de Caro*, Anne-Claire, Lina, Camille, Pénélope, Charles et Serge et les analyses de Lubomir Lamy, professeur de psychologie sociale, et Pauline Rochart autrice de l'essai Ceux qui reviennent. Pour aller plus loin : Le numéro Amitié, qu'est-ce qui nous lie ? de la revue Le Un Hebdo du 19 mars 2025L'étude How many hours does it take to make a friend? De Jeffrey Hall pour l'University of KansasLe livre Amitiés – La nature et l'impact de nos relations les plus importantes de Robin DunbarL'étude En bonne compagnie – La grande étude suisse sur l'amitié du Gottlieb Duttweiler Institute L'étude L'amitié comme processus social de Paul Lazarsfeld et Robert MertonÉmotions est un podcast de Louie Media. Elodie Font a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est de Guillaume Girault. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Elsa Berthault est en charge de la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Émotions, écrivez-nous en remplissant ce formulaire ou à l'adresse hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Suivez Louie Media sur Instagram et Facebook.*le prénom a été modifié. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:08:46 - Les Nuits de France Culture - par : Christine Goémé - En 1958, "Soirée de Paris" rend hommage à Robert Desnos. Poèmes, lettres et témoignages ravivent la mémoire d'un poète résistant, à travers les voix de ses proches : Jean Cocteau, Jean-Louis Barrault, Madelaine Renaud, Henri Jeanson, et Youki, sa muse et compagne. - réalisation : Lise Côme - invités : Jean Cocteau Poète, écrivain, peintre, cinéaste, dramaturge; Jean-Louis Barrault Comédien; Madeleine Renaud Comédienne; Gaston Gallimard Editeur, fondateur des éditions Gallimard (1881-1975); Youki Artiste, modèle
Dans cette saison, pas de meurtre mais un récit d'emprise familiale. Dans des immeubles du XIe, XIIe et XXe arrondissements, une étrange communauté s'épanouit depuis plus de deux cent ans. Ce n'est pas vraiment une secte mais plutôt une organisation secrète, une société dans la société, comparable à aucune autre. Tout au long des 4 épisodes, Caroline Nogueras est accompagnée de la journaliste Suzanne Privat, autrice du livre La Famille, itinéraire d'un secret paru aux éditions Points. Ceux qui partent, ceux qui parlent Certains anciens membres qui ont quitté la Famille ont fini par révéler le secret : à commencer par Alexandre dont les enfants et la femme sont encore dans La Famille. Il a contacté le reporter Nicolas Jacquard mais aussi Joseph Fert, l'ancien enfant battu par le gourou de Malrevers. Et puis il y a tous ceux qui pour différentes raisons ont accepté de parler aux journalistes. Parmi eux, Valentine, interrogée par Marie Peyraube dans le documentaire consacrée à La Famille sur BFM TV. Découvrez la dernière saison : L'énigme de l'ange de l'A10 Un podcast Bababam Originals Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday. Première diffusion : 12 octobre 2023 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le président américain Donald Trump a décidé d'interdire aux ressortissants de 12 pays d'entrer aux États-Unis afin de « protéger » le pays de « terroristes étrangers », et imposé des restrictions contre 7 autres États. Décision annoncée, a-t-il précisé, après l'attaque du Colorado qui a visé les participants d'une marche de soutien aux otages israéliens à Gaza. Parmi la liste des pays dont les ressortissants seront interdits d'entrer sur le territoire à partir du 9 juin 2025, se trouve Haïti. Pour le moment, il y a de la confusion en Haïti, constate le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. On essaie de comprendre s'il y a des exceptions. Le gouvernement haïtien est resté silencieux. C'est le deuxième pays à interdire son territoire aux Haïtiens, avant les États-Unis, la République Dominicaine avait pris une mesure similaire. Le Venezuela met en garde ses citoyensLe Venezuela et Cuba se trouvent eux sur la liste des 7 pays qui sont soumis à des restrictions plutôt qu'à une interdiction totale. Le président américain juge que ces derniers ont des vérifications d'antécédents criminels déficients, explique TalCual. Le média vénézuélien tente d'expliquer à ses lecteurs qui sera impacté ou non. Toute personne titulaire d'un visa de tourisme, de travail, ou d'étudiant se trouvant hors des États-Unis verra son visa annulé.Il n'y a que quelques exceptions concernant, par exemple, les sportifs de haut niveau ou les diplomates.En réaction, Caracas a prévenu ses ressortissants que voyager aux États-Unis représentait «un grand risque». Nouvelles mesures contre les universités américainesParallèlement, El Nacional vénézuélien choisi de rappeler aujourd'hui le cas particulier de l'Université américaine d'Harvard. Aucun étudiant étranger participant au programme d'échange avec Harvard ne sera autorisé à entrer sur le territoire. Ceux déjà présents sur le territoire feront l'objet d'un examen, et pourraient voir leur visa révoqué.L'administration Trump poursuit en effet son offensive contre les grandes universités américaines, qu'il qualifie de «foyer du libéralisme et du «wokisme»». En plus de restreindre l'accès d'Harvard aux étudiants étrangers, il a également retiré près de 3 milliards de dollars de subventions fédérales à la grande université. La prestigieuse université de New York, Columbia est également visée. La ministre américaine de l'Éducation l'a annoncé hier dans un communiqué. Selon Linda McMahon, «depuis le 7 octobre 2023, Columbia fait preuve d'indifférence face au harcèlement des étudiants juifs, l'université viole les lois fédérales contre la discrimination et pourrait perdre son accréditation». Une suppression qui entrainerait une perte de toutes les subventions fédérales de l'Université. Depuis plus d'un an, Columbia est l'épicentre des manifestations pro-palestiniennes aux États-Unis. En mars, Mahmoud Khalil, figure du mouvement et étudiant de l'Université new-yorkaise, a d'ailleurs été placé dans un centre de détention fédéral en Louisiane. Il risque l'expulsion.Si Columbia a annoncé qu'elle allait collaborer avec le gouvernement fédéral, la direction d'Harvard, elle, a choisi une autre stratégie. Elle dénonce une nouvelle mesure de rétorsion illégale. Et déclare qu'elle continuera à protéger ses étudiants internationaux. Lula à la recherche d'un accord de Libre-échange à ParisLe président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva en visite d'État à Paris a exhorté ce jeudi son homologue français à « conclure » l'accord de libre-échange entre le Mercosur et l'Union européenne.L'accord de libre-échange entre l'UE et le Mercosur est la meilleure réponse dans un monde incertain marqué par le retour de l'unilatéralisme a estimé le chef d'État brésilien, une référence aux droits de douane et à la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump ces derniers mois.Emmanuel Macron a écouté ce plaidoyer avec le sourire, rapporte notre envoyé spécial à l'Elysée Théo Conscience, mais est resté ferme sur ses positions : la France est en faveur d'un commerce libre, et équitable. Le président français a pointé du doigt des différences de normes sanitaires et environnementales entre les deux blocs, et plaidé pour l'introduction de clauses miroir ou de mesures de sauvegardes. Au Salvador, l'avocate des droits humains Ruth Lopez refuse de plier face aux autorités«On ne me fera pas taire», a crié la directrice de l'Unité anticorruption et juste de l'ONG Cristosal en se rendant à son audience à huis clos. C'est le seul moment où les médias ont pu enregistrer sa voix à la volée.Elle réclame d'ailleurs un procès public.Arrêtée il y a trois semaines, son affaire a été placée par la justice sous un statut de confidentialité. Elle a été officiellement accusée de détournement de fonds publics mais son avocat dénonce une volonté de la faire taire. Ruth Lopez est connue comme une grande voix critique des autorités au Salvador, explique CNN Latinoamérica qui propose un portrait de la militante. Elle s'est rapidement opposée au régime d'exception mis en place par Nayib Bukele officiellement pour lutter contre les gangs. «Il n'y a aucune justification constitutionnelle ni légale pour maintenir ce régime d'exception», plaidait-elle déjà en 2022. «Nous ne défendons pas les gangs, nous défendons les personnes arrêtées injustement et dans des conditions arbitraires.»Ces derniers temps, Ruth Lopez s'était concentrée sur la défense des 252 migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador après leur expulsion des États-Unis. Les deux pays les accusent de faire partie de gangs et les ont soumis à des disparitions forcées, selon Human Rights Watch.L'arrestation a d'ailleurs mobilisé de nombreuses organisations de défense des droits humains nationale et internationale.Mercredi (4 juin 2025), sa détention a été prolongée pour 6 mois, rapporte El Mundo du Salvador. L'accusation est passée de détournement de fonds publics à enrichissement illicite. En sortant de l'audience, Ruth Lopez a crié qu'elle était une prisonnière politique et qu'aucune institution judiciaire n'était indépendante au Salvador.La Prensa Grafica résume l'analyse de plusieurs avocats pénaliste sur cette affaire. Ils dénoncent notamment l'illégalité du changement de qualification de l'accusation contre Ruth Lopez. L'enrichissement illicite demanderait moins de preuve que l'accusation de détournement de fonds publics. L'avocat de la militante lui affirme que les autorités tentent simplement de faire taire une voix qui les effraie.
Le jeu vidéo Hell is Us fait parler de lui, et pour cause : il s'agit d'un projet québécois ambitieux, porté par le studio Rogue Factor et une équipe chevronnée issue de l'univers AAA. Cette semaine, Carl-Edwin Michel nous propose une conversation autour du jeu, en compagnie de deux invités : Jonathan Jacques-Belletête, directeur créatif du studio Rogue Factor, et Yves Bordeleau, directeur du studio. Ensemble, ils reviennent sur la genèse du projet, les mécaniques de jeu, la richesse narrative, et l'importance de développer un jeu entièrement produit ici, au Québec. Une incursion au cœur d'un jeu d'action à la troisième personne, qui mêle conflit intérieur, guerre civile et mondes mystérieux, à découvrir avant sa sortie prévue le 4 septembre.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Ami·es pour la vie ? Dans ce hors-série en deux épisodes, la journaliste Élodie Font explore la complexité de nos liens d'amitié. Iels ont partagé nos premiers frissons, nos premiers vents d'émancipation, peut-être nos pyjamas et nos premières cigarettes. Pourtant, parfois, les meilleurs ami·es pour la vie se séparent aussi. Pour quelles raisons certaines amitiés survivent au temps et aux épreuves de la vie, là ou d'autres s'essoufflent, se rompent, s'abandonnent ? Est-ce que l'on peut être là toute la vie ? Que se passe-t-il quand on a mis 500 kilomètres entre nous et que le quotidien nous avale ?Cette semaine, Marie Misset cède son micro à la journaliste Elodie Font. Elle recueille les témoignages de Clara, Anne-Claire, Pénélope, Charles et Serge et les analyses de Lubomir Lamy, professeur de psychologie sociale, et Pauline Rochart autrice de l'essai Ceux qui reviennent. Des récits de loyauté, de distance et de transformation pour interroger la manière dont nous aimons nos ami·es d'enfance au fil du temps.Pour aller plus loin : Le livre Amitiés – La nature et l'impact de nos relations les plus importantes de Robin DunbarL' étude En bonne compagnie – La grande étude suisse sur l'amitié du Gottlieb Duttweiler Institute Le livre L'amitié, un lien social de Claire BidartL'étude How many hours does it take to make a friend? De Jeffrey Hall pour l'University of KansasÉmotions est un podcast de Louie Media. Elodie Font a tourné, écrit et monté cet épisode. La réalisation sonore est de Guillaume Girault. Le générique est réalisé par Clémence Reliat, à partir d'un extrait d'En Sommeil de Jaune. Elsa Berthault est en charge de la production. Si vous aussi vous voulez nous raconter votre histoire dans Émotions, écrivez-nous en remplissant ce formulaire ou à l'adresse hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Suivez Louie Media sur Instagram et Facebook. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, Jean-Loup Bonnamy et Joëlle Dago Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C dans l'air du 24 mai 2025 : Taxis, agriculteurs... le retour des colères sociales ?Il « ne fera pas machine arrière ». Face à la grève des taxis, le gouvernement n'entend pas revenir sur le projet de nouvelle tarification de l'Assurance-maladie sur les transports de malades. Son objectif : freiner la progression des dépenses liées au transport sanitaire. Celles-ci ont atteint 6,74 milliards d'euros en 2024, soit une hausse de 45% depuis 2019. Le chiffre d'affaires des chauffeurs de taxis risquerait selon eux de baisser de 40%.Mais après le blocage hier des prises en charge dans deux gares parisiennes, une réunion aura lieu cet après-midi au ministère des Transports, en présence de François Bayrou. Si aucun accord n'est trouvé aujourd'hui, l'intersyndicale menace de perturber Roland Garros. Le sujet de la concurrence des VTC alimente aussi leur colère.Les agriculteurs se mobilisent également. Ceux-ci veulent mettre la pression sur les députés, à la veille de l'examen de la proposition de loi Duplomb visant à lever certaines de leurs contraintes (le stockage de l'eau ou l'accès à des pesticides). Plusieurs permanences d'élus de gauche opposés à ce texte ont été dégradées, tandis que l'autoroute A16, près de Beauvais, a été bloquée hier.Enfin, dans les petites communes, les maires sont de plus en plus nombreux à démissionner. Ceux-ci se sentent pris à la gorge par des contraintes budgétaires difficiles à suivre et à justifier auprès de la population locale. Entre désillusion et découragement, leur mécontentement est accentué par la surcharge bureaucratique et l'excès de normes. Cela fait craindre une pénurie de candidats pour les municipales de 2026.Alors, le gouvernement va-t-il éteindre la colère des chauffeurs de taxi ? La loi Duplomb sur l'agriculture va-t-elle être adoptée ? Comment apaiser le malaise des maires de petites villes ?LES EXPERTS :François ECALLE - Ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco, auteur de « Mécomptes publics »OLIVIER BABEAU - Essayiste, président de l'Institut SapiensGAËLLE MACKE - Directrice déléguée de la rédaction à ChallengesSANDRA HOIBIAN - Directrice générale du CRÉDOCPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
AZ a un problème avec les personnes qui travaillent des les cafés... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.