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À 27 ans, j'ai pris une décision qui a tout changé : quitter une voie toute tracée pour suivre celle de mon intuition.De juriste à coach de vie, je te raconte pourquoi j'ai fait ce choix, ce que j'ai traversé, et ce que ça m'a appris.
Cet épisode avec Chirine, étudiante en droit, est une pépite! Elle te livre son expérience de sa 1ère année et ses conseils pour que tu fasses partie comme elle des 30% qui passeront en 2ème année. Toutes les infos sur mon programme Level -Up ici : https://academy.themisprepa.fr/opt-in-liste-d-attente
durée : 00:04:11 - Une chenille fait des ravages dans les prairies du Béarn - La FNSEA 64 et les JA alertent sur les ravages causés aux cultures de prairies par les chenilles Cirphis depuis mi-juillet. Pour s'en débarrasser les syndicats demandent l'homologation d'un pesticide, le Coragen, interdit pour les prairies, alors qu'il est autorisé dans les cultures de céréales. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Il faut aller à la palabre africaine », disent les évêques de Côte d'Ivoire, après l'exclusion de plusieurs personnalités de l'opposition de la présidentielle du 25 octobre prochain. Dans une lettre pastorale publiée il y a une semaine, la Conférence des évêques de Côte d'Ivoire appelle à une élection « juste et inclusive », à laquelle, outre le président sortant Alassane Ouattara, qui a déclaré sa candidature ce 29 juillet, ses principaux opposants pourraient, eux aussi, se présenter. Mgr Jacques Ahiwa répond aux questions de Christophe Boisbouvier depuis son archevêché de Bouaké. RFI : À trois mois de l'élection présidentielle, vous venez de publier une lettre pastorale dans laquelle vous ne cachez pas votre inquiétude. Pourquoi ? Mgr Jacques Ahiwa : Parce que nous sommes des pasteurs. Nous avons les quinze diocèses de Côte d'Ivoire. Nous sommes au contact des populations. Et ce sont un peu les craintes de ces populations que nous avons essayé d'analyser, de prendre en compte non seulement dans nos prières, mais aussi dans nos analyses pour apporter quelques éléments de réponse et surtout de propositions pour apaiser, aider à apaiser ces craintes-là. Et quelles sont ces craintes ? Les craintes, c'est la peur d'une élection émaillée de violence. Nous savons depuis un certain temps que chaque fois que, les élections sont annoncées, les populations ont la peur au ventre. Et donc ça nous remonte. Tout le monde nous dit "priez, priez pour nous, faites quelque chose". Et ce que nous pouvons faire, effectivement, en tant que pasteur, c'est de prier et puis d'apporter notre contribution à la construction, à la préservation de la paix. Monseigneur Jacques Ahiwa, dans votre lettre pastorale, il y a une semaine, vous appelez à une élection « juste et inclusive », est-ce à dire que pour l'instant ces deux conditions ne vous paraissent pas réunies ? De ce qui revient des différents états-majors, je parle des groupements politiques de la société ivoirienne, nous constatons que, jusqu'à présent, il y a des dinosaures, comme on dit, de la politique ivoirienne qui ne figurent pas sur la liste électorale. Et cela crée beaucoup de tensions. Chacun fait valoir ses arguments et cela crée beaucoup de crispations dans la population. Donc en termes d'inclusion, pour l'instant, je pense que nous n'y sommes pas encore arrivés. Il y a encore du travail à faire pour que cette élection soit la plus large possible. Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé… Plusieurs dinosaures, comme vous dites, n'ont pas le droit de se présenter, car les autorités affirment qu'elles ne sont pas éligibles au regard de la loi ivoirienne. Quelle est la position de la conférence épiscopale à ce sujet ? La position de la conférence, elle porte sur la loi, sur la loi fondamentale. Nous avons fait notre analyse sur la base de la loi, mais aussi de l'environnement. Ceux qui estiment qu'ils ne sont pas éligibles ont les éléments pour argumenter. Mais nous, en tant qu'acteur aussi de la vie sociale, en regardant ce qui se passe, en analysant les crispations, parce que chacun fait valoir ses arguments, on aurait souhaité que les discussions se poursuivent pour voir dans quelle mesure cette exclusion ou bien ce manque qui pourrait permettre à ces candidats de compétir puisse trouver des solutions. Concernant l'éligibilité de ces opposants, et c'est toujours dans votre lettre épiscopale, vous appelez à concilier le respect du droit et le bon sens politique. Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Nous voulons dire que, quand les lois ne permettent pas de préserver la cohésion, il faut peut-être aller à la palabre africaine. La palabre africaine, c'est quand il y a un problème presque insoluble, on active des leviers, des mécanismes pour entendre tout le monde et résoudre la question. D'autant plus que, depuis un certain temps, depuis 2010, la Côte d'Ivoire a quelques fois eu recours à ce genre de procédé. Et nous le disons très bien dans notre lettre que ce n'est pas nouveau que les acteurs de la vie politique puissent s'asseoir autour de la même table au niveau de l'élection présidentielle pour trouver des solutions. On parle même d'arrangements politiques. C'est ce que nous appelons le bon sens politique au regard des crispations, au regard de toutes les plaintes et de tout ce qui est susceptible de créer des désordres jusqu'à mort d'homme. Vous le savez très bien, les dernières élections étaient émaillées de pas mal de violence. Pour éviter tout cela, nous en appelons au bon sens politique qui consiste à s'asseoir autour de la même table et à trouver les solutions pour résoudre définitivement cette question de l'éligibilité. Est-ce que vous faites référence à l'accord politique conclu sous l'égide du président sud-africain, Thabo Mbeki, afin que Monsieur Alassane Ouattara puisse être candidat en 2010 ? Oui, nous l'avons dit dans la lettre aussi, c'est très clairement signifié. Nous parlons des accords issus des négociations de la crise de 2002, qui ont permis à tous les candidats de se présenter, au point qu'en 2010, les élections ont connu quand même un engouement assez fort. Quand il y a contradiction entre le respect du droit et le bon sens politique, qu'est-ce qui doit primer à vos yeux ? C'est la sagesse africaine, la préservation de la paix. Il n'y a pas de sacrifice de trop pour préserver la paix. Si vraiment il faut mettre entre parenthèses, dans un premier temps, le droit pour sauver les vies humaines, je pense que le choix est clair. Il faut sauver d'abord les vies humaines et après trouver vraiment les meilleurs mécanismes pour écrire des lois consensuelles qui pourront être acceptées par tous. Alors ce que disent les autorités ivoiriennes, c'est que, si elles n'appliquent pas le droit de façon stricte et rigoureuse, elles risqueront ensuite d'être accusées d'autoriser les passe-droits. Oui, ça, c'est vrai. C'est ce qu'on a toujours dit. Mais vous le savez très bien, depuis toujours, la loi, elle a été la loi et c'est face à la rigueur de la loi qu'on a toujours sollicité des médiations hors loi pour régler des crises. Il se trouve que nous sommes pratiquement dans les mêmes situations de crise qu'auparavant. Alors, je pense qu'il vaut mieux, pour sauver des vies. Nous, notre objectif, c'est cela : comment préserver la paix ? Comment faire en sorte que chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays puisse aller et venir sans crainte en temps d'élection comme en temps de non élection. Que chacun puisse vaquer normalement à ses occupations et que les élections ne soient pas sources de crainte, de peur et surtout de violence en Côte d'Ivoire. La vie de l'homme est plus que tout. La vie est sacrée et nous, évêques de Côte d'Ivoire, nous sommes au service de la vie. Et nous sommes les veilleurs pour que tout soit mis en œuvre, même s'il faut mettre entre parenthèses pour un moment la loi pour que la vie soit sauvée, il faut le faire. Ce ne sera pas la première fois et ce ne sera pas le premier cas de figure dans le monde entier. Et puis, dans votre lettre pastorale, Mgr Jacques Ahiwa, vous dénoncez, je cite, l'amateurisme de l'administration électorale. Faut-il à vos yeux remplacer la CEI, la Commission électorale indépendante, par autre chose ? La CEI dans sa configuration actuelle est assez critiquée par les différents acteurs de la vie politique et sociale en Côte d'Ivoire. Il y a donc un travail à faire pour avoir une CEI, d'autant plus qu'elle est permanente, une CEI qui puisse être acceptée par tous pour que les règles qu'elle dicte soient reçues et bien mises en œuvre. Je pense qu'on va y arriver, mais pour l'instant, telles que les choses se présentent, la CEI, quand on la regarde, elle est un peu déséquilibrée. Et donc, il y a ce travail d'équilibrage pour qu'elle soit la plus consensuelle possible.
Il y a 50 ans étaient signés les accords d'Helsinki, marquant une étape décisive dans l'histoire de l'après-guerre en Europe. Une signature dans le cadre de la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe (CSCE). À cette occasion, Volodymyr Zelensky a appelé le monde à œuvrer pour « un changement de régime en Russie ». Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors, est notre invité. RFI : Comment expliquez-vous le regain de violence sur le terrain militaire ukrainien ? Cyrille Bret : C'est le pari de Vladimir Poutine. La violence paye, la violence militaire paye et la remise en cause par les armes des traités internationaux paye. Et donc la priorité est donnée à la force. La priorité est donnée à l'action et au terrain. C'est-à-dire au champ de bataille, au rapport de force hors du champ de bataille, dans le domaine économique, dans le domaine cyber. Et c'est ainsi effectivement que l'Europe se trouve désormais non plus être un territoire de droit, mais un champ de confrontation des forces et des puissances. À lire aussiL'Ukraine dénonce une attaque aérienne «massive» de la Russie sur Kiev Comment expliquer que les forces armées russes ont lancé autant de drones contre l'Ukraine en juillet dernier ? Presque 6 300 selon une analyse de nos confrères de l'AFP qui a été publiée vendredi... La raison stratégique transparaît dans votre question. C'est-à-dire que depuis le début de l'année, les autorités russes essaient de remporter le maximum de victoires sur le terrain pour aborder d'éventuelles négociations forcées par les États-Unis en position avantageuse. Sur le plan tactique, les drones, c'est beaucoup moins coûteux en homme, c'est beaucoup moins coûteux financièrement que des missiles. Et puis c'est saturant. C'est-à-dire que ça sature les défenses antiaériennes. Et puis sur le plan industriel, ça montre que l'industrie russe de défense s'est transformée depuis trois ans et est allée vers des solutions low cost high tech à l'instar de ce que l'Ukraine a réussi à faire très vite, avec l'aide des occidentaux et avec l'aide également de la Turquie. À lire aussiUkraine: des missiles et drones russes frappent Kiev dans une importante attaque meurtrière Les accords d'Helsinki ont célébré leurs 50 ans. Ils reposent sur trois principes : l'inviolabilité des frontières, la souveraineté des États et le respect des droits de la personne. Est-ce qu'on peut considérer les accords d'Helsinki comme bel et bien morts ? Oui, ils ont été remis en cause le jour où les forces russes ont franchi officiellement la frontière internationalement garantie de l'Ukraine et ils sont également morts dans la mesure où vous l'avez rappelé, les autres principes des accords d'Helsinki de 1975, c'est l'autonomie des États. C'est-à-dire en fait la non-ingérence des États dans la vie, les institutions, les régimes politiques des autres. À l'époque, en 1975, ça voulait tout simplement dire qu'un État capitaliste n'appelait pas, et ne cherchait pas à faire d'un État communiste, un État de l'Ouest et réciproquement. Ça voulait dire que les États communistes ne remettaient pas en cause le choix du régime et de la nature de l'économie à l'Ouest. Donc, on était dans un statu quo. Ça n'est plus du tout le cas. Les autorités russes appellent depuis de nombreuses années à des changements institutionnels de régime à l'Ouest. Et réciproquement, on l'a entendu, le président ukrainien, et de très nombreuses voix en Europe, appellent à un changement de régime en Russie. L'esprit d'Helsinki, cet équilibre, est bel et bien mort et le droit ainsi que les populations civiles en sont les principales victimes. À lire aussiL'Ukraine dit avoir frappé des cibles militaires et énergétiques en Russie Ça veut dire qu'il faudrait repenser ces accords ? Oui, ça fait des années, malheureusement, que plusieurs voix s'élèvent, y compris la mienne, pour qu'on rebâtisse une architecture comparable à celle des accords d'Helsinki. On en est très loin puisque la condition de sensibilité de ces accords d'Helsinki en 1975, c'était la conscience et l'espoir de deux côtés du rideau de fer qu'il était impossible de remettre en cause par les armes cet équilibre stratégique. On n'en est plus du tout là. Les protagonistes et les différents États en Europe croient dans la force militaire et voient qu'elles payent. Notamment dans la façon dont la Russie a mis la main littéralement par les armes sur plus de 1/5 du territoire ukrainien. Et donc cette architecture de sécurité collective doit commencer à être bâtie dès maintenant par des petits pas, naturellement.
Les journalistes et experts de RFI répondent à vos questions sur l'entrée en vigueur des taxes douanières américaines, des conditions pour la création d'un État palestinien et le séisme à l'est de la Russie. France : vers une restitution simplifiée des biens culturels spoliés ? La France doit présenter un projet de loi visant à faciliter la restitution des biens culturels pillés durant la colonisation. Que dit cette loi sur les conditions de restitution des biens pillés ? Pourquoi le Conseil d'État avait-il bloqué le précédent texte ? Avec Florence Morice, journaliste au service Afrique de RFI. Droits de douane américains : l'heure des comptes a sonné Les droits de douane américains entrent en vigueur aujourd'hui, après une série d'accords commerciaux conclus avec seulement sept pays. Donald Trump sort-il gagnant de tous ces accords financiers ? Maintenant que les taxes américaines entrent en vigueur, quels sont les pays qui vont être les plus touchés ? Avec Lionel Fontagné, professeur d'économie à Paris Panthéon-Sorbonne, titulaire d'une chaire à la Paris School of Economics. Droit international : vers la création d'un État palestinien, mais sous quelles conditions ? En l'espace de quelques jours, trois nouveaux pays ont annoncé reconnaître un État palestinien en septembre lors de l'Assemblée générale de l'ONU. Quelles sont les conditions pour que la Palestine soit considérée comme un État souverain ? Quelles pourraient être les frontières d'un État palestinien reconnu ? Avec Rafaëlle Maison, agrégée des facultés de droit, professeur de droit à l'université Paris-Saclay Russie : comment le séisme a-t-il pu provoquer un tsunami dans tout le Pacifique ? À la suite du puissant séisme survenu à l'est de la Russie, plusieurs pays du Pacifique ont déclenché des alertes au tsunami. Comment ce séisme en Russie a-t-il pu provoquer un tsunami dans tout l'océan Pacifique ? Comment expliquer que les vagues redoutées aient finalement été bien plus faibles que prévu dans plusieurs régions ? Avec Martin Vallée, sismologue à l'Institut de physique du globe de Paris.
La colère, la tristesse, l'injustice… et puis, l'élan.Quand mon fils s'est vu refuser ses aménagements d'examen, j'ai craqué. J'ai partagé.Ce cri du cœur est devenu un cri collectif.Des centaines de témoignages. Une prise de conscience. Et la naissance du collectif Kiffe l'école.
Aujourd'hui dans le BOOST : On questionne Ghyslain Dufresne sur un possible retour de Crampe en Masse!!! À votre demande, quel genre de chose auriez-vous à volonté?? Quels sont les signes de vieillesse pour David Brown et Mathieu Gratton? (Marco Laflamme n'est pas dans la discussion puisqu'il a seulement 20 ans) Bonne écoute :)
Du droit du sport à la gestion fiduciaire : un parcours d'excellence
⚖️ Raphaëlle Petitperrin et Samuela Berdah - Juristes au CN D – Centre national de la danse.Toutes deux accompagnent au quotidien les danseureuses, chorégraphes, administrateurices, professeur.es et directeursrices d'école dans leurs questionnements juridiques et administratifs : contrat de travail, statut social, droit d'auteur, gestion de structure, conventions collectives. Rien ne leur échappe !Raphaëlle Petitperrin a d'abord exercé comme avocate en droit social avant de rejoindre le CN D, il y a plus de dix ans. Spectatrice de danse avant tout, sa première révélation artistique a eu lieu à l'adolescence avec "Fase" d'Anne Teresa De Keersmaeker. Depuis, elle met son expertise juridique au service du secteur chorégraphique, à travers des formations, des fiches pratiques et des accompagnements sur mesure.Samuela Berdah, quant à elle, a pratiqué la danse en amateur pendant vingt ans. Juriste au CN D, depuis 2003, elle a fait de la passerelle entre le droit et la danse sa mission de tous les jours. Son approche rigoureuse et ancrée dans le réel des professionnels en fait une ressource précieuse pour les artistes comme pour les structures de production et de diffusion.Un échange riche, concret et accessible pour mieux comprendre les enjeux légaux qui traversent la vie des danseureuses et des acteurices du secteur culturel.Que vous soyez artiste, porteureuse de projet ou simplement curieux.se des réalités qui structurent le monde de la danse, et que vous souhaitez comprendre le droit dans ces secteurs, cet épisode est fait pour vous !
Invités : - Marc Touati, économiste et conseiller chez eToro - Alexandra Vaillant, secrétaire générale de l'Union syndicale des magistrats Chroniqueurs : - Ophélie Roque, professeure de français et journaliste - Georges Fenech, ancien magistrat, député honoraire du Rhône - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le professeur Julien Dubarry nous propose de partir à la découverte du droit dans un ouvrage original paru aux Éditions Lefebvre Dalloz en juillet 2025. Dans ce podcast, l'auteur nous présente son livre qui apporte les connaissances théoriques et pratiques essentielles pour une vue d'ensemble sur le droit. Préparez-vous au voyage, ô vous, l'élève de terminale (option DGEMC), le jeune étudiant de L1 droit, ou encore le nouvel arrivant en Sciences Po !Animé et préparé par : Marina BRILLIÉ, responsable du Pôle éditorial "Premier accès au droit et Travaux dirigés", Lefebvre Dalloz.Invité : Julien DUBARRY, agrégé des facultés de droit, Professeur à l'université de la Sarre.Réalisé par : Axel GABLE, ingénieur du son, Lefebvre Dalloz ; Jérémy MARTIN, journaliste, Lefebvre Dalloz.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De leurs débuts modestes à la construction d'un empire, David et Victoria Beckham ont traversé scandales, déménagements et succès médiatiques. Entre glamour, stratégie et fidélité, découvrez les coulisses d'un duo qui a su transformer l'amour en marque planétaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 26 juillet 2025 : "Brigitte Macron est née homme" : le couple porte plainte "Je peux vous dire que l'on passe d'une dinguerie absolue à ce que je considère être une affaire d'État", a affirmé Éric Dupond-Moretti. L'ancien garde des Sceaux et proche du couple Macron a décidé de s'exprimer ce samedi au micro de RTL à la suite de la plainte déposée aux États-Unis par le couple Macron contre l'influenceuse américaine Candace Owens, qui avait relayé la fausse information selon laquelle la première dame française serait, "en réalité, née homme"."Tout ça aurait dû tomber dans le caniveau, c'était la seule place pour cette rumeur. Mais il s'avère que cette rumeur a été organisée, diffusée, propagée par des membres de l'extrême droite dédiabolisée", a déclaré l'ancien ministre de la Justice. Avant de poursuivre : "Tout ça pour déstabiliser ou tenter de déstabiliser le président de la République. Ce n'est pas qu'une histoire de fada, c'est aussi une histoire politique". L'ancien garde des Sceaux a ensuite pointé des liens entre des membres de l'extrême droite française et Candace Owens.Depuis janvier, cette créatrice de contenus d'extrême droite s'acharne à relayer et exploiter une rumeur mensongère selon laquelle Brigitte Macron serait "née homme", dans des vidéos cumulant plusieurs millions de vues. Une fake news qui nourrit la sphère complotiste américaine, jusqu'à être partagée récemment sur X par un général trois étoiles proche de Donald Trump, Michael Flynn, et qui resurgit régulièrement en France depuis 2017 sur les réseaux sociaux.Une autre affaire a enflammé les réseaux sociaux ces derniers jours : celle de la "Coldplay Cam". Lors d'un concert du groupe Coldplay, une caméra braquée sur le public a accidentellement mis au jour une histoire d'infidélité. Visiblement surpris dans une situation compromettante, le duo, dont les deux protagonistes sont respectivement mariés de leur côté, est rapidement devenu viral sur les réseaux sociaux. Depuis, la vidéo cumule des millions de vues et des parodies se multiplient sur les réseaux.Si les images du couple tentant de se cacher de la caméra peuvent prêter à sourire, la vague de harcèlement qu'il essuie sur les réseaux a de quoi interroger. Car les deux amants, ainsi que leurs proches, ont été très rapidement identifiés en quelques minutes grâce à des outils que l'on trouve sur Internet et qui utilisent l'intelligence artificielle. Et pour ces deux amants devenus célèbres, les conséquences ont été dramatiques. Travaillant tous deux dans la même entreprise, l'un comme PDG, l'autre comme DRH, ils ont dû démissionner.Alors qui est Candace Owens ? Pourquoi l'ancien ministre de la Justice parle-t-il d'affaire d'État ? Plus largement sommes-nous entrés dans une ère où l'intimité et la vérité sont constamment menacées par la technologie et la viralité ? La capacité de l'IA à identifier rapidement des visages à partir d'une simple vidéo menace-t-elle définitivement le droit à l'anonymat en ligne ? Comment protéger sa vie privée et son e-réputation à l'ère d'Internet et de l'Intelligence artificielle ? Droit à l'image, droit sur les données personnelles, droit à l'oubli… Que dit la loi ? LES EXPERTS : - Alexandre LAZARÈGUE - Avocat spécialisé en droit du numérique - Véronique REILLE-SOULT - Spécialiste de l'opinion et des réseaux sociaux, présidente du cabinet Backbone Consulting- Johanna ROZENBLUM - Psychologue clinicienne - Alexandra PICHARD - Journaliste à l'Informé
durée : 00:08:39 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - À l'occasion du festival Les Escales St-Nazaire, Gringe jouera le dimanche 27 juillet 2025 sur l'île du Petit Maroc. L'occasion de revenir sur son dernier album "Hypersensible", sorti le 20 septembre 2024, où il annonce que dans le naufrage du monde, la lumière pourrait bien devenir sa matière. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Gringe Rappeur et comédien
durée : 00:42:39 - Le Débat de midi - par : Camille Crosnier, Thomas CHAUVINEAU - Les démissions d'un PDG américain et de sa directrice des ressources humaines, tous deux filmés en train de s'enlacer durant un concert de Coldplay, interrogent sur la place des romances au bureau. Peut-on encore draguer à la machine à café ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Elle est cash, voir trash et quand vous tombez sur l'un de ses posts, vous vous en souvenez. Elle accompagne des cabinets d'avocats avec une méthode peu académique, genre Gourou.On la suivait de loin.Et puis, lors de notre dernier épisode, Karine De Luca nous a glissé qu'elle avait participé à l'un de ses bootcamps.Et elle a dit une phrase qui nous a scotchés : “Elle a changé ma vie.” Quand une avocate comme Karine vous dit ça…On tend l'oreille. Alors forcément, on s'est dit qu'on ne pouvait pas ne PAS l'inviter. C'est pour cette raison que Manuel et moi, on est ravis d'accueillir aujourd'hui, dans ce nouvel épisode d'Avocats Génération Entrepreneurs, la plus grande gueule du coaching pour avocats : Alice Maudret.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"C'est pour une réclamation !" Pour le 40e épisode du Micro Social, le podcast de Lefebvre Dalloz sur le travail et le droit du travail, nous vous proposons un échange entre Bernard Domergue, journaliste rédacteur en chef d'actuEL-CSE, et Frédéric Aouate, juriste et rédacteur en chef d'actuEL-CSE. En 15 minutes, vous saurez l'essentiel au sujet des réclamations individuelles et collectives. Une compétence que le CSE a héritée des délégués du personnel. De quoi s'agit ? Quels sujets peuvent-ils être remontés à l'employeur ? Quelle est la différence entre réclamation du CSE et revendication syndicale ? Les représentants de proximité peuvent-ils en être chargés ? Toutes nos explications et nos conseils !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:31 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Hier, l'ONU a accusé Israël d'avoir tué plus de 1000 personnes venant chercher de l'aide humanitaire à Gaza en deux mois. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:31 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Hier, l'ONU a accusé Israël d'avoir tué plus de 1000 personnes venant chercher de l'aide humanitaire à Gaza en deux mois. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:59:26 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Désignant aujourd'hui un prêt à intérêt abusif, la notion d'usure intègre au Moyen Âge une dimension religieuse, politique et sociale, qui structure encore notre manière de considérer les acteurs informels de l'économie. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Valentina Toneatto Maîtresse de conférences en histoire du Moyen-Âge à l'université Lyon 2; Clément Lenoble Chargé de recherche au CNRS, historien du Moyen-Âge
Puisque l'étude de la Torah donne accès au monde futur et que les femmes n'y sont pas tenues, comment peuvent-elles acquérir l'éternité après la mort ? L'amour authentique de la Torah divine, l'admiration sincère pour les Sages, les sacrifices et renoncements faits en faveur de la Torah permettent-ils d'acquérir littéralement la Torah sans avoir à passer par la case étude et donc d'accéder au ‘Olam Haba ? Pourquoi une vérité ne peut devenir nôtre que si elle nous oblige ? La volonté d'accomplir son destin spirituel et moral - et de s'y engager - est-elle le signe de la vraie grandeur ?
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Emission en partenariat avec l’INSERM Grand Ouest Le 27 mai 2025, l'Assemblée nationale a adopté, avec modifications, une proposition de loi qui crée un droit à l’aide à mourir – pour les malades majeurs, condamnés par une affection grave, et qui en ont exprimé la demande, sous certaines conditions – en première lecture par 305 […] L'article La Méridienne – Un droit à l’aide à mourir ? – Vincent CAMUS – François CHAUMIER est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
« L'État de droit, ça n'est pas intangible ni sacré. C'est un ensemble de règles, une hiérarchie des normes, un contrôle juridictionnel, une séparation des pouvoirs. Mais la source de l'État de droit, c'est la démocratie, c'est le peuple souverain ». Ces propos sont ceux du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau dans une interview accordée au Journal du Dimanche le 28 septembre 2024. Un article de la gazette du Palais du 1er octobre relaye les propos de la présidente du Conseil national des barreaux Julie Couturier sur ses réseaux sociaux, « L'État de droit est sacré Monsieur le Ministre ! Il garantit notre démocratie et l'accès à la justice pour tous. Ce qui manque, ce ne sont pas de nouvelles règles juridiques, mais des moyens pour que nos institutions fonctionnent efficacement. » Pourquoi les propos de Bruno Retailleau sont problématiques ? C'est quoi l'Etat de droit au juste ? Quels en sont les principes ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Rachida Dati : comment reconnaître un conflit d'intérêt ? Que changerait la reconnaissance de la Palestine ? D'où vient le mythe de la gauche antisémite ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Frédéric Taddeï reçoit Benjamin Morel, maître de conférences en droit public, pour décrypter le rôle croissant du Conseil constitutionnel dans une France où l'équilibre des pouvoirs vacille. Dissolution, lois censurées, affichage politique : un éclairage essentiel sur les dessous de la vie politique contemporaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je me permets à nouveau un épisode solo pour vous parler des dernières semaines ce mon entraînement en vu du 100km du Vermont 100 qui approche à très grands pas. Je vous partage mes découvertes en frais d'entraînement, de sentiers et quelques trucs voyage de Gaspésie (parce que j'aurai passé presque la moitié du mois de juin en Gaspésie au final
Populisme, justice, démocratie : décryptage des glissements vers l'autoritarisme. Avec Patrice Spinosi.
Pour conclure l'émission, Jacques Weber vous adresse un poème de Victor Hugo, tiré des Contemplations, droit dans les yeux.
Cette semaine, dans notre rendez-vous franco-québécois, nous revenons sur les tensions croissantes entre les grands acteurs de l'intelligence artificielle et les détenteurs de droits d'auteur : procès, accusations de "pillage" de contenus, et débats éthiques sur les méthodes d'entraînement des IA.BBC vs Perplexity La BBC accuse Perplexity d'utiliser ses contenus sans autorisation. Une procédure judiciaire pourrait suivre. Cette affaire illustre les crispations croissantes autour de l'utilisation non consentie de données journalistiques pour entraîner les IA. Une exigence de compensation financière est sur la table.Anthropic et le fair usePendant ce temps, Anthropic bénéficie d'un jugement partiellement favorable en Californie, invoquant le "fair use" pour justifier l'entraînement de ses IA sur des livres existants. Mais le tribunal s'inquiète de la provenance de ces ouvrages : il s'agirait en partie de livres piratés. Résultat : un second procès en vue.Le paradoxe de l'innovation par le piratage Faut-il condamner ou reconnaître les vertus "hackers" des débuts de l'IA ? Si la légalité est en question, l'impact de ces pratiques sur l'innovation est indéniable. Une discussion passionnée s'engage autour de la notion de connaissance universelle, des limites du droit, et des responsabilités des géants du secteur.Auto-entraînement et dérives des LLM Autre sujet d'inquiétude : les modèles de langage de nouvelle génération s'entraînent de plus en plus sur des données qu'ils ont eux-mêmes générées. Un cercle potentiellement vicieux qui menace la qualité des résultats produits par les IA, comme le montrent déjà certaines études sur les images.ChatGPT en plein boomL'usage de ChatGPT progresse rapidement en Europe, au point d'affecter la consommation de certains médias traditionnels. La possibilité de dialoguer avec l'IA pour accéder à l'information remet en question le modèle des radios d'info en continu. Faut-il repenser leur rôle ?Gander : un réseau social 100 % canadien Enfin, focus sur Gander, un nouveau réseau social canadien en phase de test. L'ambition : proposer une alternative souveraine aux plateformes américaines, avec un stockage des données 100 % local. Une démarche qui rejoint les enjeux de souveraineté numérique.-----------
Quand les parents sont défaillants, la société a la responsabilité de s'occuper des enfants pour qu'ils grandissent dans de bonnes conditions matérielles, affectives, sociales. Si l'encadrement familial est privilégié, il arrive que des enfants soient retirés à leur famille pour être placés en institution ou dans des familles d'accueil pour un temps indéterminé. Commence alors une vie familiale particulière, des fratries provisoires, des liens intermédiaires entre parents d'accueil et enfants accueillis. Qui est apte à décider des compétences parentales? Comment les bébés, enfants ou jeunes trouvent-ils leur place au sein de leur nouvelle famille? Comment faire face aux défis particuliers de cette éducation déléguée par l'État, quand surviennent les difficultés induites par des parcours cabossés? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : Rodolphe Bauchau Les invitées: Gaëlle Aeby Sociologue, professeure HES-SO Valais-Wallis, chercheuse associée à l'Institut de recherches sociologiques (Faculté des sciences de la société) et au Centre d'étude, de technique et d'évaluation législatives (Faculté de Droit) de l'Université de Genève. & Joëlle Droux Historienne, spécialiste en histoire de l'éducation à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de l'Université de Genève et spécialiste de l'histoire des politiques de protection de l'enfance au xxe siècle.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Il était VP Worldwide de la relation client chez Tesla, responsable ensuite des opérations chez Lyft avant de bosser avec Masayoshi Son chez Softbank pour devenir enfin CEO de GetAround. Il a vu la Silicon Valley de l'intérieur, de très près. Dans cet épisode Off The Record, Karim Bousta raconte sans filtre son parcours, sa relation avec Elon Musk et Masa Son, ses choix, ses galères, et ce que ça coûte vraiment de réussir dans la Tech américaine.On parle de l'enfer du middle management chez Tesla, de la guerre Uber vs Lyft, de Softbank, et de ses milliards, de burn-out, d'ego, de résilience, et de comment il a fini CEO de Getaround avant de lancer son propre fond.Un épisode sans bullshit, à l'image de Karim : cash, précis, et profondément humain.===============================
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Plus de six millions de réfugiés ukrainiens à travers l'Europe... et une inquiétude croissante sur leur statut et leur place dans les pays d'accueil. C'est le cas en Pologne où vivent 900 000 Ukrainiens. L'élection d'un nationaliste conservateur Karol Nawrocki à la présidence n'est pas de nature à les rassurer. Durant sa campagne, il n'a cessé de les pointer du doigt comme les responsables de tous les maux du pays. Les débats ont été saturés de questions migratoires et sécuritaires. C'est donc l'inquiétude et la peur qui prédominent dans la communauté. Reportage à Varsovie signé Adrien Sarlat. La chronique de The Conversation Avec Gregory Rayko, responsable des pages internationales du site The Conversation qui publie un article très intéressant sur la situation politique en Pologne, il est signé Jacques Rupnik et il s'intitule «Les deux Pologne entre l'UE et Trump». L'élection du candidat Droit et Justice, le populiste Karol Nawrocki, s'est faite sur le fil, et cette victoire il la doit à un report des voix de l'extrême droite, notamment de Slawomir Mentzen, ultranationaliste et libertarien sur le plan économique. Le procès des polluants éternels en Vénétie C'est un procès très attendu qui se tiendra demain (26 juin 2025) en Italie. Celui des Pfas, ces polluants éternels : tout un groupe de produits chimiques qui ne se dégradent pas et qui se sont insinués partout dans nos vies, dans l'eau, l'air, les aliments et nos vêtements. En Vénétie, près de l'immense usine chimique Miteni, aujourd'hui fermée, 350 000 personnes sont concernés par la pollution. Ce sont les femmes, les Mamans no Pfas qui ont été les premières à alerter des dangers encourus par leurs enfants contaminés. Reportage à Lovigo, au coeur de la zone rouge, de Cécile Debarge. Et au Danemark, on a pris avant le reste de l'Europe la mesure du danger que représentent les Pfas. Les techniques de décontamination sont difficiles, voire impossibles, et très couteuses, mais pour le futur, le pays s'est engagé sur une législation modèle. Dès le 1er janvier 2026, tous les polluants éternels seront interdits dans les vêtements, les chaussures et les sprays, Ottilia Ferey.
durée : 00:23:16 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin était l'invité de France Inter ce mardi. Il apporte son analyse sur la guerre entre l'Iran et Israël, après les frappes américaines puis l'annonce d'un cessez-le-feu par Donald Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:34:54 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Reprise du chantier de l'A69, ré-autorisation de l'usage de certains néonicotinoïdes, vote de la loi de simplification de la vie économique... Si le "détricotage" du droit de l'environnement n'est pas nouveau, force est de constater qu'il s'accélère dangereusement. - invités : Chloé Gerbier, Sébastien Mabile - Chloé Gerbier : Juriste de l'association « Notre affaire à tous », Sébastien Mabile : Avocat au barreau de Paris (cabinet Seattle avocats), spécialiste des contentieux environnementaux. - réalisé par : Jérôme BOULET Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En déclarant qu'Israël faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand Merz a choqué, et jeté une ombre ambigüe sur la position de l'Europe dans la guerre. Là où l'Europe devrait défendre le droit, il a semblé s'aligner sur Israël et les États-Unis qui ne jurent que par la force.
durée : 00:03:18 - Géopolitique - par : Pierre Haski - En déclarant qu'Israël faisait « le sale boulot pour nous tous », le chancelier allemand Merz a choqué, et jeté une ombre ambigüe sur la position de l'Europe dans la guerre. Là où l'Europe devrait défendre le droit, il a semblé s'aligner sur Israël et les États-Unis qui ne jurent que par la force.
In this illuminating episode of Better Buildings for Humans, host Joe Menchefski welcomes physicist and daylighting pioneer Marilyne Andersen for a conversation that sheds new light—literally—on how architecture affects our health, productivity, and sense of well-being. From the science of chronobiology to eye morphology and colored glazing, Marilyne explains how light exposure shapes everything from our mood to our sleep cycles. She shares insights from her groundbreaking research at EPFL and her work with the Daylight Academy, revealing why daylight may be more than a design feature—it might be a human right. Plus, discover how her new role at GESDA is helping bridge the gap between scientific discovery and societal impact. A must-listen for anyone designing spaces for real human needs.More About Marilyne Andersen:Marilyne Andersen is a Full Professor at EPFL and head of the LIPID lab since 2010, after 6 years at MIT as tenure-track professor. Since April 2025, she is also the Director General of the GESDA foundation (Geneva Science and Diplomacy Anticipator), whose mission is to anticipate emerging scientific discoveries and translate them into concrete actions for the benefit of society by engaging proactively with policymakers and diplomats. Physicist by training, she specializes in the psycho-physiological effects of (day)light with broader research interests on sustainability in the built environment. She has been Dean of ENAC at EPFL (2013-2018), Academic Director of the Smart Living Lab until 2024 and member of the Board of the Holcim Foundation for Sustainable Construction (2015-2024). She was also Visiting Professor at the Lawrence Berkeley Lab in California and at SUTD in Singapore. Author of over 250 refereed papers with several distinctions, she was the global Daylight Research Award's inaugural laureate in 2016 and led the winning Swiss team for the Solar Decathlon 2017 competition. At EPFL, she is currently Head of the SKIL for project-based learning and PI of the Swiss-wide SWICE consortium on the energy transition. She is also co-founder of the consulting startup OCULIGHT dynamics.In parallel, she has been actively engaged in bridging the gap between art and science, notably since 2021 as co-curator of the exhibition entitled Lighten Up! On Biology and Time and as author of the Circa Diem immersive installation and policy-oriented fiction Droit au Jour ; these works have been on display in diverse venues such as the Seoul Biennale, the EPFL Pavilions, the Gewerbemuseum Winterthur, the Museum of Contemporary Design and Applied Arts (mudac) in Lausanne, and will be showcased at the MIT Museum in 2025-2026.CONTACT:https://www.linkedin.com/in/marilyne-andersen-b617aa1/https://people.epfl.ch/marilyne.andersen Where To Find Us:https://bbfhpod.advancedglazings.com/www.advancedglazings.comhttps://www.linkedin.com/company/better-buildings-for-humans-podcastwww.linkedin.com/in/advanced-glazings-ltd-848b4625https://twitter.com/bbfhpodhttps://twitter.com/Solera_Daylighthttps://www.instagram.com/bbfhpod/https://www.instagram.com/advancedglazingsltdhttps://www.facebook.com/AdvancedGlazingsltd
durée : 00:02:14 - Le vrai ou faux - Les préfets ont demandé aux maires de Saint-Denis et Gennevilliers de retirer les drapeaux palestiniens de leurs mairies, et au maire de Nice d'enlever le drapeau israélien.
Join us for a discussion on the Divine Right of Kings and how it continues to shape modern political systems in our world today!Leave a comment below with any questions--we love to hear from our audience!(Also, please forgive us for the rather abrupt end with no closing comments--Jon forgot to include that in the recording!)
durée : 00:07:32 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de l'émission, la rédactrice en chef de Reporterre Amélie Mougey aborde l'accumulation de dérogations, l'allégement des procédures et la suppression de normes encadrant les projets d'infrastructures, ainsi que vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
Quel point commun entre des œufs ukrainiens et des sites internet de vêtements aux pratiques commerciales pour le moins troublantes ? En apparence, aucun rapport ! Et pourtant... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 13 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Ni les alertes de l'ONU ni celles des ONG sur la famine et le déplacement forcé de population à Gaza ne parviennent à obliger Israël à respecter ses obligations en matière de droit international humanitaire (DIH). Assisterions-nous à la mort du DIH aujourd'hui à Gaza ? - réalisation : Cassandre Puel - invités : Julia Grignon Professeure en droit international humanitaire à l'Institut de recherche stratégique de l'Ecole militaire (IRSEM) ; Jean-François Corty Médecin, président de l'association Médecins du Monde ; Jean-Marc Sorel Professeur de droit à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
Throughout history, leaders have claimed their positions in a variety of ways: military conquests, electoral mandates, revolutionary uprisings, and more. But probably the most common and certainly the furthest from modern democratic sensibilities is the divine right of kings. While it is present in a variety of religious and social traditions, most audiences today are familiar with the Judeo-Christian concept that originates from both the Old and New Testaments. Using the words of Jesus Himself -- "Render unto Caesar that which is his" -- and those of His apostles Peter and Paul, Christian rulers from Late Antiquity to the Enlightenment proclaimed themselves beyond criticism because their thrones had come from Almighty God.___Join us as we explore the idea of the divine right of kings and how two nations, England and France, took different paths in their political cultures--to very different ends.
durée : 00:05:36 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Les Italiens sont appelés à voter par référendum sur une mesure visant à faciliter l'obtention de la nationalité, ainsi que sur l'abolition de lois libéralisant le marché du travail. Le gouvernement s'oppose à ces changements et appelle à s'abstenir afin d'invalider le résultat du vote.
Pour conclure l'émission, Annie Ernaux nous lit un texte inédit, écrit pour l'occasion, droit dans les yeux.
durée : 00:57:49 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Le principe de non-ingérence est un pilier du droit international. L'aide humanitaire cherche à aider au-delà des frontières. Mario Bettati et Bernard Kouchner théorisent le "devoir d'ingérence". Dans quelle mesure l'humanitaire bouscule-t-il le droit international ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Bernard Kouchner Médecin, homme politique; Jean-Jacques Roche Directeur de la formation, des études et de la recherche de l'IHEDN; Sophie Zaccaria Déléguée générale de la Fondation médecin du monde