Podcasts about universit paris descartes

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Le design parmi les gens
#16 Sophie Pène, l'amie du design

Le design parmi les gens

Play Episode Listen Later Apr 25, 2024 88:36


Sophie Pène est une figure du monde académique sur  l'innovation numérique. Professeure à l'Université Paris Descartes en sciences de l'information et de la communication, elle est une sociolinguiste spécialiste des pratiques numériques.Ancienne directrice de la Recherche de l'ENSCI-Les Ateliers et commissaire de l'exposition "Le monde sinon rien", Sophie Pène a construit un long compagnonnage avec le design, dont elle est une ambassadrice reconnue. Son enseignement porte sur les littératies numériques, incluant les controverses éducatives autour des données, des algorithmes et des compétences numériques en éducation. Elles a suivi de nombreuses thèses.Sophie Pène travaille dans le champ croisé de la recherche sur les pratiques numériques et les processus d'apprentissage. Elle fait partie de nombreuses instances influentes, telles que le Conseil pour les Générations Futures, le Conseil scientifique de l'Institut Mines Telecom et l'Académie des technologies. Ancienne membre du Conseil National du Numérique, elle a contribué à de nombreuses réflexions sur les politiques publiques numériques.Avec son parcours et son engagement pour l'innovation éducative et numérique, Sophie Pène nous fera découvrir dans ce podcast les enjeux de la recherche et les manières dont elle peut faire progresser le design . --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/nodesignstudio/message

Affaire suivante
Université Paris-Descartes : 30 ans d'horreur - 05/11

Affaire suivante

Play Episode Listen Later Nov 5, 2023 17:01


Dominique Rizet, en compagnie de Philippe Gaudin, revient sur de grandes affaires policières et judiciaires faisant l'actualité. Chaque dimanche, l'émission pilotée par Philippe Gaudin avec à ses côtés Dominique Rizet, consultant police/justice BFMTV, traite d'un événement majeur de la semaine, ainsi que d'autres affaires qui sont revenues sur le devant de la scène. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.

Histoire en séries
159 Séries turques et softpower avec Laurence Larochelle

Histoire en séries

Play Episode Listen Later Jan 7, 2022 64:11


Dimitra Laurence Larochelle est docteure en Sciences de l'Information et de la Communication (Université Sorbonne Nouvelle). Elle a trois Masters en communication (Université Panthéon-Assas), en sociologie (Université Paris Descartes) et en Anthropologie (Université Paris 8 Vincennes – Saint-Denis). Depuis 2015 jusqu'à 2018 elle a enseigné en tant que chargée d'enseignement vacataire aux Universités Paris Descartes, Sorbonne Nouvelle, Paris 8 Vincennes – Saint-Denis et Paris 13. Par la suite, elle a enseigné en tant qu'ATER à l'université de Bourgogne Franche-Comté et à l'université Sorbonne Nouvelle. Elle a travaillé en tant qu'ingénieure de recherche aussi bien en France qu'en Chypre. Actuellement, elle est Youth Representative de l'Association Internationale de Sociologie (AIS) aux Nations Unies, membre du bureau du Comité de Recherche 14 (Sociologie de la Communication, de la Connaissance et de la Culture) de l'AIS et éditrice associée à la revue internationale Art Style | Art & Culture International Magazine. Elle présente ici une émission sur le Soft Power de la Turquie à travers les séries selon les thématiques suivantes : Le contexte culturel et politique de production des fictions sérielles turques • L'identité culturelle turque : une identité entre l'Occident et l'Orient • De l'idéologie kémaliste vers le néo-ottomanisme Les feuilletons turcs : du local au global • Le « coming out » mondial des fictions sérielles turques • Les fictions sérielles turques : produits de propagande ? L'impact de la politique turque aux représentations projetées par les feuilletons turcs • L'importance de l'institution de la famille et de la maternité • Le « tabou » de la sexualité • Néo-ottomanisme et culture populaire : le passé ottoman dans les feuilletons historiques Plus d'informations sur https://www.histoireenseries.com

Priorité santé
Priorité santé - La timidité, comment la surmonter ?

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 30, 2021 48:30


Rougissements intempestifs, peur panique de prendre la parole en public ou encore incapacité à dire non... La timidité est souvent vécue comme un handicap. Comment parvenir à s'affirmer lorsque l'on rêverait de pouvoir disparaître dès que les projecteurs sont braqués sur nous ? Comment surmonter cette difficulté à aller vers l'autre ? Timide, ça se soigne ? Dr Marie-Claude Gavard, médecin psychiatre, psychothérapeute, psychanalyste à Paris. Auteur de Mais qu'est-ce qui se passe dans ma tête ? chez Marabout   À l'occasion des journées de dermatologiques de Paris qui se déroulent du 30 novembre au 4 décembre, nous faisons le point avec le Pr Nicolas Dupin, président de ces journées, professeur de Dermato-Vénérologie à l'Hôpital Cochin, Université Paris Descartes et directeur du Centre de santé sexuelle de l'Hôtel Dieu à Paris.

Invité France
Invité France - Covid-19: «Il faut bloquer la circulation virale avec une immunité collective d'au moins 90%»

Invité France

Play Episode Listen Later May 26, 2021 6:22


Pour atteindre « une immunité collective suffisante pour contrôler l'épidémie », l'académie nationale de médecine préconise de rendre obligatoire le vaccin contre le Covid-19 pour un certain nombre de professions comme les enseignants ou les restaurateurs. Selon ses membres, il faudrait aussi, dès homologation, étendre la vaccination aux enfants et adolescents. On en parle avec le Pr Christine Rouzioux, professeur de virologie à l’Université Paris-Descartes, membre de l’Académie de médecine. 

Répliques
La question de l’euthanasie et le suicide assisté

Répliques

Play Episode Listen Later May 15, 2021 51:51


durée : 00:51:51 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Alors que la proposition de loi du député Olivier Falorni sur la fin de vie "libre et choisie" n'a pas été adoptée en avril dernier, Alain Finkielkraut reçoit Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d’éthique et auteur du rapport "Penser solidairement la fin de vie" en 2012. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Didier Sicard Médecin, ancien président du Comité consultatif national d’éthique, professeur émérite de médecine à l’Université Paris Descartes.

Débat du jour
Débat du jour - Faut-il légaliser le cannabis?

Débat du jour

Play Episode Listen Later May 11, 2021 29:30


C'est une question qui a 50 ans et même plus. Elle se pose depuis la loi de 1970 sur la toxicomanie qui pénalise les consommateurs. Elle est reposée régulièrement, et elle l'est de nouveau depuis quelques semaines, et la guerre contre la drogue lancée par l'exécutif. Mais manifestement, tout le monde dans la majorité n'a pas la même vision puisque plusieurs députés continuent à se poser cette question. Car la législation, particulièrement répressive, n'empêche pas à la France d'être l'un des pays où l'on consomme le plus. La semaine dernière, un député a brandi un joint en pleine séance à l'Assemblée nationale. Faut-il légaliser le cannabis ?  Et c'est notre question du jour. Pour en débattre : Caroline Janvier, députée du Loiret (LREM), rapporteur thématique sur le cannabis «récréatif» de la mission d'information cannabis Bruno Laforestrie, directeur de la radio Mouv’ et cofondateur de la radio Générations 88.2. Spécialiste de la jeunesse et des questions relatives aux quartiers populaires, auteur du livre « Hasch, la honte de la République », éditions Jean-Claude Lattès Alain Ehrenberg, sociologue, directeur de recherche émérite au CNRS et fondateur du Centre de recherche Santé mentale et Société, rattaché au CNRS, Inserm, Université Paris-Descartes. 

Vous m'en direz des nouvelles !
Vous m'en direz des nouvelles ! - Salomé Baudino sonde l'obsolescence programmée de l'amour

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later May 5, 2021 48:30


Salomé Baudino publie son premier roman « Le syndrome des cœurs brisés », aux éditions de l'Observatoire. Un premier roman surprenant, malicieux et tendre qui nous transporte dans les tourments de l'amour au temps des nouvelles technologies. C’est l’histoire d’un jeune couple. Lui s’appelle Victor, il donne des cours collectifs privés de musique ; elle s’appelle Lola, elle est doctorante et rédige sa thèse. Et ils s’aiment, tout simplement. Un amour sans nuage, que ni l’étroitesse de leur appartement, ni les problèmes d’argent, ni les conflits avec belle-maman n’ont jamais ébréché. Jusqu’au jour où un programme informatique à l’énorme succès populaire leur prédira la date de fin de leur relation amoureuse. Et c’est là que tout se dérègle, chacun voulant déjouer à sa manière la prédiction funeste. C’est dans cette mécanique infernale que nous entraîne ce premier roman qui nous transporte avec tendresse, malice et ironie dans les affres de l’amour au temps des nouvelles technologies. On rit, on est ému, on se pose aussi pas mal de questions sur l’époque que nous vivons. « Le syndrome des cœurs brisés », le premier roman de Salomé Baudino, est paru aux éditions de l’Observatoire. Reportage : Baptiste Antoine a demandé à Jean-Noël Fabiani-Salmon, professeur à l’Université Paris-Descartes, membre de l’Académie de Médecine, et ancien chef du service de Chirurgie cardio-vasculaire à l’Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris, d'expliquer d'un point de vue médical « Le syndrome des cœurs brisés », appelé aussi le Tako Tsubo. En fin d'émission, la chronique musique d'Alain Pilot. Il a rencontré Soleil Bleu composé du duo Lou Lesage et Arthur Jacquin. Ils sortent un EP de six morceaux inédits intitulé « Félins pour l'autre ».

Milgram de Savoirs
Le mariage, un rite identitaire? Le cas des femmes tamoules - Melanie Vijayaratnam

Milgram de Savoirs

Play Episode Listen Later Mar 19, 2021 32:25


Dans ce 1000 grammes de savoir nous avons eu le plaisir de recevoir Mélanie Vijayaratnam, psychologue clinicienne transculturelle, auteure, co-fondatrice du site internet “Les mondes de Parvati” qui a pour but de mettre la culture tamoule en avant. Récemment, elle a également été proclamée docteure en psychologie transculturelle à l’Université Paris-Descartes. Sa thèse “un sari rouge en héritage” est une analyse qualitative des stratégies identitaires mises en place chez les femmes tamoules de France de seconde génération. Ce podcast explique son secteur de recherche, la psychologie clinique transculturelle et la notion d’identité, centrale dans ses travaux. On a pu découvrir la culture tamoule et le rite du mariage. Pour terminer, elle nous explique la méthodologie utilisée lors de ses recherches. Shownotes: https://cescup.ulb.be/milgram-de-savoirs-podcast/1000g/mariage-femmes-tamoules/

Parler comme jamais
En pratique | Les liaisons prestigieuses

Parler comme jamais

Play Episode Listen Later Jan 6, 2021 30:48


Faire ou ne pas faire de liaison. La façon de prononcer l’enchaînement entre deux mots joue sur la perception de l’autre et permet de se distinguer. Dans ce deuxième volet pratique, Laélia Véron, Maria Candea et Céline Dugua détaillent les enjeux sociaux autour de la liaison, à travers des extraits de romans ou des discours politiques et journalistiques. En quoi la liaison peut-elle être une pratique valorisante ou stigmatisante ? Pourquoi respecter cette norme peut parfois créer un problème de sens ? Comment les mouvements de modes font-ils évoluer le prestige conféré à la prononciation des liaisons ?L’INVITÉECéline Dugua, maîtresse de conférences en sciences du langage au Laboratoire Ligérien de Linguistique de l’Université d’OrléansLES RECOMMANDATIONSLa reco de Céline : « La Belle lisse poire du prince de Motordu » de Pef La reco de Maria : Faire un tour sur la page du Baby Lab de l’Université Paris Descartes, une équipe de recherche sur la cognition et l'apprentissage du langage chez les très jeunes enfants, avec plein d’infos et des appels à participation : https://baby.biomedicale.parisdescartes.fr/fr La reco de Laélia : « Zazie dans le métro » de Raymond Queneau, « le boudin zaricos verts » et la « foire aux puces qui va-t-a-z-eux ». RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉPISODE Les travaux de Céline Dugua 1/ J.P Chevrot, C. Dugua, M. Fayol (2009) Liaison, word segmentation and construction in French: a usage-based account, Journal of Child Language. 36 (3), 557-596.https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-007180022/ C. Dugua, O. Baude, 2017, La liaison à Orléans, corpus et changement linguistique: une première étude exploratoire (2017) Journal of French Language Studies, 27, 41-54.https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-016793593/ C. Dugua, A. Nardy, L. Liégois, JP Chevrot, D. Chabanal (2017) L’acquisition des liaisons après les clitiques préverbaux est-elle spécifique ? Apport d’une expérimentation à grande échelle, Journal of French Language Studies, 27, 73-86.https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-01674595 Autres références1/ Jennifer Ruimi, La Parade de société au XVIIIe siècle. Une forme dramatique oubliée, Honoré Champion, 2015 2/ Pierre Encrevé, La liaison avec et sans enchainement, phonologie tridimensionnelle et usage du français. Seuil, Paris, 1983 3/ Françoise Gadet, Le Français ordinaire, A. Colin, Paris, 1989 4/ Le numéro entier de la revue Langages, n°158, 2005. La liaison : de la phonologie à la cognition. https://www.persee.fr/issue/lgge_0458-726x_2005_num_39_158?sectionId=lgge_0458-726x_2005_num_39_158_2661 et plus particulièrement l’article de Bernard Laks « Liaison et illusion » Corpus littéraire cité : Jean-Bête à la Foire (Beaumarchais). A la recherche du temps perdu (Proust). Zazie dans le métro (Queneau).CREDITSParler comme jamais est un podcast de Binge Audio animé par Laélia Véron avec la collaboration scientifique de Maria Candea, enseignante-chercheuse à l’université de Paris 3 et réalisé en partenariat avec les Éditions Le Robert. Cet épisode a été enregistré en octobre 2020 dans les studios de Binge Audio à Paris. Réalisation : Adel Ittel El Madani. Générique : Thomas Oger. Production : Marika Mathieu. Edition : Sirine Azouaoui. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Parler comme jamais
D'ours à nounours, de la liaison au langage

Parler comme jamais

Play Episode Listen Later Dec 30, 2020 36:06


Les haricots, un ordinateur, ses ami·e·s… La prononciation des mots évolue à l’oral selon les mots qui les précèdent. Phénomène complexe de la langue française, les liaisons s’acquièrent avec le temps, en fonction de la perception des sons et de la langue. Au cours de leur apprentissage, les enfants font des erreurs bien souvent attendrissantes. Qu’est-ce qui se joue dans les fautes récurrentes de liaison ? Pourquoi les enfants ont-ils du mal à acquérir les liaisons obligatoires ? Que révèlent les liaisons sur les étapes d’apprentissage du langage par les enfants ? L’INVITÉECéline Dugua, maîtresse de conférences en sciences du langage au Laboratoire Ligérien de Linguistique de l’Université d’OrléansLES RECOMMANDATIONSLa reco de Céline : « La Belle lisse poire du prince de Motordu » de Pef La reco de Maria : Faire un tour sur la page du Baby Lab de l’Université Paris Descartes, une équipe de recherche sur la cognition et l'apprentissage du langage chez les très jeunes enfants, avec plein d’infos et des appels à participation : https://baby.biomedicale.parisdescartes.fr/fr La reco de Laélia : « Zazie dans le métro » de Raymond Queneau, « le boudin zaricos verts » et la « foire aux puces qui va-t-a-z-eux ». RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉPISODE Les travaux de Céline Dugua 1/ J.P Chevrot, C. Dugua, M. Fayol (2009) Liaison, word segmentation and construction in French: a usage-based account, Journal of Child Language. 36 (3), 557-596.https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-007180022/ C. Dugua, O. Baude, 2017, La liaison à Orléans, corpus et changement linguistique: une première étude exploratoire (2017) Journal of French Language Studies, 27, 41-54.https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-016793593/ C. Dugua, A. Nardy, L. Liégois, JP Chevrot, D. Chabanal (2017) L’acquisition des liaisons après les clitiques préverbaux est-elle spécifique ? Apport d’une expérimentation à grande échelle, Journal of French Language Studies, 27, 73-86.https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-01674595 Autres références 1/ La thèse en cours de Jennifer Ganaye, "Module ESLO-Enfants : enquête sur l’input et l’output des enfants en cours d’acquisition du langage". Corpus ESLO2 (Enquêtes sociolinguistiques d’Orléans) : http://eslo.huma-num.fr/ 2/ JP Chevrot, M. Fayol, B. Laks, (2005) La liaison de la phonologie à la cognition, Langages, 158.3/ J. Durand, B. Laks, B. Calderone, A. Tchobanov, (2011). Que savons-nous de la liaison aujourd'hui ?, Langue française, n°169, p. 103-135. https://www.persee.fr/issue/lgge_0458-726x_2005_num_39_158?sectionId=lgge_0458-726x_2005_num_39_158_2661 4/ S. Wauquier, « Acquisition de la liaison en L1 et L2 : stratégies phonologiques ou lexicales ? » (2009) Acquisition et interaction en langue étrangère, Aile... Lia 2 | https://journals.openedition.org/aile/4540 CREDITSParler comme jamais est un podcast de Binge Audio animé par Laélia Véron avec la collaboration scientifique de Maria Candea, enseignante-chercheuse à l’université de Paris 3 et réalisé en partenariat avec les Éditions Le Robert. Cet épisode a été enregistré en octobre 2020 dans les studios de Binge Audio à Paris. Réalisation : Adel Ittel El Madani. Générique : Thomas Oger. Production : Marika Mathieu. Edition : Sirine Azouaoui. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Priorité santé
Priorité santé - Journée internationale de lutte contre les violences à l’encontre des femmes

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 25, 2020 48:30


Cette journée vise à sensibiliser l’opinion, dans le sillage de la déclaration sur l’élimination de la violence à l’encontre des femmes, adoptée en 1993, par l’Assemblée générale des Nations unies. Ces actes susceptibles de causer chez les femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles, psychologiques, peuvent intervenir aussi bien dans un cadre public que privé. Au cours de l’émission, nous verrons comment ces maltraitances (en particulier au cours de l’enfance) peuvent avoir un impact persistant, en termes de santé mentale et accroître les risques de troubles du comportement, d’addiction et de suicides. Pr Florence Thibaut, professeur de Psychiatrie et d'Addictologie à l’Université Paris-Descartes et praticien hospitalier dans le service de Psychiatrie de l’Hôpital Cochin de l'Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP-HP), vient d’être élue présidente de l’Association internationale pour la santé mentale des femmes (International association for women’s mental health, IAWMH). Chercheure au Centre de Psychiatrie et Neurosciences de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm U894). Auteure de l'ouvrage Les abus sexuels : des clés indispensables pour comprendre, aider et prévenir, aux éditions Odile Jacob Katia Henrys,  psychologue clinicienne, psychothérapeute, doctorante en Psychologie sociale critique au Graduate Center, à New York. Sonia Laffargue, vice-présidente de l’association Le monde à travers un regard.   BeAMan, le clip lancé par La Maison des femmes, à l'occasion de cette Journée internationale de lutte contre les violences à l’encontre des femmes.  

Intime & Politique
La Fille sur le canapé : Chapitre VI - "Réparer l'intime"

Intime & Politique

Play Episode Listen Later Nov 16, 2020 45:11


TW : Ce documentaire aborde la thématique des violences sexuelles sur mineures. Il est parfois difficile à écouter. Assurez-vous de le faire dans les meilleures conditions possibles.“Dans cet épisode, que vous soyez ou non concernée par les questions de violences sexuelles dans l’enfance ou dans la jeunesse, c’est d’accompagnement thérapeutique, dont j’ai eu envie de vous parler en compagnie de la psychothérapeute Racky-Ka Sy.Je vous emmène ensuite en immersion au sein de l’Institut Women Safe dédié à l’accueil des personnes victimes de violences, avant d’échanger avec la Capitaine de police Agnès Naudin, sur les moyens alloués aux forces de l’ordre dans la lutte contre les violences.” Axelle Jah NjikéBiographie des invitées : Racky Ka-SyPsychologue, Docteure en Psychologie Sociale et diplômée de l’Université Paris Descartes. Chercheuse à l’Edhec Business School sur les concepts de Diversité, Inclusion et Leadership & formatrice dans le domaine de la lutte contre les discriminations, les stéréotypes et les préjugés. Mariée et mère de 2 enfants, elle milite contre toute forme de racisme et de xénophobie.A Women SafeFrédérique Martz, et son équipeCo-fondatrice et Directrice Générale de l’institut Women Safe qui prend en charge des femmes ou des enfants victimes ou témoins de violences.Clémence Martin, psychologueDr Claire Dumollard, GynécologueSamia, juristeCapitaine Agnès NaudinCapitaine de police en disponibilité. Elle a travaillé 3 ans au sein d’une brigade territoriale de protection de la famille, autrice de «Affaires de famille, immersion au sein d’une brigade spéciale » & “Affaires d’ados” (2019), aux Éditions du Cherche Midi. La Fille sur le canapé est un documentaire écrit par Axelle Jah NjikéTextes lus par la comédienne Atsama Lafosse Voix crédits : Ashley TolaMusique originale : Sandra NkakéProductrice exécutive : Lauren BastideProductrice : Marine RautRéalisatrice : Aurore Meyer-MahieuMixeuse : Marthe Cuny

Le Conseil Santé
Le conseil santé - Diabète : quand l'insuline est-elle nécessaire ?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Nov 12, 2020 2:08


À deux jours de la Journée mondiale du diabète, nous parlons du rôle dans la prise en charge de cette maladie métabolique, de l’hygiène de vie (alimentation et activité physique), qui occupe un rôle important, au même titre que le suivi et les traitements médicamenteux. Les effets bénéfiques d'une alimentation équilibrée sur la glycémie et la santé en général sont scientifiquement prouvés. Dans quels cas les personnes atteintes de diabète doivent-elles le traiter avec de l'insuline ? Comment évaluer la dose d'insuline nécessaire ?  · Dr Dominique Huet, chef du service de diabétologie endocrinologie du groupe hospitalier Paris Saint-Joseph 14e, enseignant à l’Université Paris Descartes. Membre du conseil d’administration de l’association le Kaïcedrat, ONG travaillant au Sénégal oriental. ► Retrouvez l'émission intégrale en cliquant ici. 

Priorité santé
Priorité santé - Semaine nationale de prévention du diabète

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 10, 2020 48:30


À 4 jours de la Journée mondiale du diabète, nous parlons du rôle dans la prise en charge de cette maladie métabolique, de l’hygiène de vie (alimentation et activité physique), qui occupe un rôle important, au même titre que le suivi et les traitements médicamenteux. Les effets bénéfiques d'une alimentation équilibrée sur la glycémie et la santé en général sont scientifiquement prouvés. Quels sont les aliments à éviter et ceux à privilégier ? Pourquoi est-ce important de se faire suivre par un professionnel ? Pourquoi la sédentarité est préjudiciable pour la santé en général, et celle des personnes diabétiques en particulier ? · Dr Dominique Huet, chef du service de Diabétologie endocrinologie du Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph 14e, enseignant à l’Université Paris Descartes. Membre du Conseil d’administration de l’association le Kaïcedrat, ONG travaillant au Sénégal oriental. · Stéphane Besançon, nutritionniste, directeur général de l’ONG Santé diabète à Bamako au Mali.

Le Conseil Santé
Le conseil santé - Quel est l'impact de l'hypertension artérielle sur la santé cardiaque ?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Sep 30, 2020 1:48


À l’occasion de la Journée mondiale du cœur, nous faisons un point sur les maladies cardiovasculaires. Avec 17,5 millions de décès d’après l’OMS, les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. Alimentation, activité physique, prise en charge de l’hypertension et de l’excès de cholestérol. Pourquoi l’hypertension artérielle peut-elle avoir des conséquences sur la santé cardiaque ?  Pr Jacques Blacher, cardiologue, spécialiste d’hypertension artérielle, chef de service du Centre de diagnostic et de thérapeutique à l’Hôpital Hôtel Dieu de Paris et professeur à l’Université Paris Descartes. Professeur de Thérapeutique. Ancien président de la Société Française d’Hypertension Artérielle (PAST) Retrouvez l'émission en intégralité en cliquant ici 

Priorité santé
Priorité santé - Hypertension artérielle et santé du cœur

Priorité santé

Play Episode Listen Later Sep 29, 2020 48:30


À l’occasion de la Journée mondiale du cœur, nous faisons un point sur les maladies cardiovasculaires. Avec 17,5 millions de décès d’après l’OMS, les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. Alimentation, activité physique, prise en charge de l’hypertension et de l’excès de cholestérol. Comment prévenir ces maladies ? Où en est la recherche ? Quels sont les traitements ? Quel est l’impact de l’hypertension artérielle sur la santé cardiaque ? Pr Jacques Blacher, cardiologue, spécialiste d’hypertension artérielle, chef de service du Centre de diagnostic et de thérapeutique à l’Hôpital Hôtel Dieu de Paris et professeur à l’Université Paris Descartes. Professeur de Thérapeutique. Ancien président de la Société Française d’Hypertension Artérielle (PAST) Dr Abdoul Sarr, cardiologue et spécialiste des Maladies Cardiovasculaires à la Clinique Louise Michel à Pointe-Noire au Congo. Dr Marjorie Richardson, cardiologue à l'Institut Cœur Poumon du CHU de Lille et membre du réseau cœur et grossesse. En fin d’émission, Hervé Meinrad, directeur de la Collecte de l’Établissement Français du sang alerte sur le niveau des réserves de sang, au plus bas depuis dix ans.

Le Nouvel Esprit Public
Thématique : La psychiatrie dans la cité / n° 151 (26 juillet 2020)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jul 26, 2020 59:03


Merci de nous avoir rejoint pour cette discussion en compagnie de Raphaël Gaillard, professeur de psychiatrie à l’Université Paris Descartes et chef de pôle à l’hôpital Sainte-Anne à Paris.Dans une tribune publiée par Le Monde du 1er juillet, l’économiste Jean de Kervasdoué et le psychiatre Daniel Zagury écrivent : « Les partis politiques n’abordent les questions de santé que sous leur aspect économique et financier. Il y a fort à parier que, après le choc de l’épidémie de Covid-19, il ne sera pas dit grand-chose de la santé mentale qui, à notre connaissance, n’est pasà l’agenda du Ségur de la santé lancé le 25 mai. Pourtant, depuis une décennie, la situation est passée de grave à catastrophique. Certes, de tout temps, la folie – terme aujourd’hui refoulé – a dérangé, mais le rejet collectif du différent, de l’anormal dans une société du bien-être n’explique pas à lui seul la persistance du massacre. Certes, la reconnaissance publique par Agnès Buzyn de l’abandon de la psychiatrie a dégagé l’Etat d’une posture perverse de déni, mais, sur le fond, rien n’a changé. »L’institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes) a publié en juin une étude consacrée aux effets du confinement sur la santé mentale des Français : un tiers des répondants déclare avoir été en situation de détresse psychologique durant le confinement.La psychiatrie a un rôle important à jouer dans la gestion de l’après-coronavirus mais les décideurs publics se sont, depuis de nombreuses années, détournés du soin des troubles mentaux. Cette spécialité est pourtant un observatoire pertinent de notre société : les troubles qu’elle cherche à soulager sont en effet les conséquences de notre organisation sociale et de ses dysfonctionnements. De plus, elle témoigne de la manière dont la déviance est appréciée dans notre pays.Raphaël Gaillard, en tant que président du Congrès de l’encéphale, , vous êtes auteur de nombreux articles qui permettent de découvrir la gestion de la crise sanitaire de l’intérieur. On peut y lire que la psychiatrie a, une fois encore, été le parent pauvre des politiques menées avec un oubli du GHU Psychiatrie dans la distribution de masques. Celui-ci accueille 70.000 patients par an. Vous livrez également votre vécu de la crise en tant que chef d’un pôle qui compte 600 soignants qui ont dû parfois recourir au système D pour continuer à prodiguer des soins. Par ailleurs, l’observation clinique que vous faite du champ politique dans le cadre de cette vous conduit à remarquer une recherche de coupables qui témoigne de l’impossibilité pour de nombreux citoyens de vivre avec la contingence d’un virus que nous découvrons chaque jour. Cet effritement de la contingence constitue « l’être au monde du paranoïaque », ce qui doit nous interroger.

Le fil sciences
Comment parler du cerveau aux enfants ?

Le fil sciences

Play Episode Listen Later Jul 4, 2020 4:50


durée : 00:04:50 - Les Savanturiers - par : Fabienne Chauvière - A quoi sert le cerveau et comment travaille-t-il avec le reste du corps ? Olivier Houdé, professeur de psychologie à l’Université Paris Descartes et directeur du laboratoire CNRS de Psychologie du Développement et de l’Éducation de l’enfant (LaPsyDÉ) à la Sorbonne explique le cerveau aux enfants.

Vous m'en direz des nouvelles !
Vous m'en direz des nouvelles ! - Fabiani et Bercovici, médecins de corps et d'esprit

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Jun 24, 2020 48:30


«L'Incroyable histoire de la médecine», de Jean-Noël Fabiani et Philippe Bercovici nous emporte pour un palpitant voyage en bande dessinée à travers les siècles et les continents. C’est une réédition qui tombe à pic, une histoire pleine de rebondissements, danslaquelle on croise des génies, quelques charlatans et quelques illuminés aussi. Au scénario, le professeur Jean-Noël Fabiani. Il a longtemps dirigé le département de Chirurgie cardio-vasculaire de l’Hôpital européen Georges Pompidou. Membre de l’Académie de Chirurgie, il enseigne toujours l’histoire de la médecine à l’Université Paris-Descartes. Au dessin, Philippe Bercovici, le créateur de la série « LesFemmes en blanc » avec Raoul Cauvin. Un duo de choc pour cette « Incroyable histoire de la médecine », aussi hilarante que passionnante et accessible à tous, dont la réédition, augméntée de 8 chapitres et 32 pages dont une sur le Covid vient de sortir aux éditions Les Arènes-BD. Et en fin d'émission, Alain Pilot nous a présenté le nouveau mini-album de Léo Fifty Five «Enchanté».

Parler comme jamais
Francophonie, à qui appartient le français ?

Parler comme jamais

Play Episode Listen Later Jun 24, 2020 46:26


On a tendance à penser que la « vraie », la « bonne » langue française vient de France et que les autres parlers français sont des dialectes plus ou moins éloignés. Ailleurs dans le monde, qui parle français ? Comment et pourquoi ? à qui appartient le français ?Dans cet épisode, Laélia a échangé avec Mariem Guellouz, danseuse et maîtresse de conférences en sciences du langage à l’Université Paris Descartes, Kaoutar Harchi, écrivaine et sociologue des institutions littéraires, Michel Francard, linguiste et professeur émérite de l’université catholique de Louvain, en Belgique.Note : Cet épisode a été enregistré à distance, ce qui explique la différence de qualité sonore par rapport aux épisodes précédents.RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒUR LA RECO DE MARIEM : l’épisode « Luttes féministes et LGBT en Tunisie » d’Un podcast à soi produit par Arte radioLA RECO DE KAOUTAR : le livre « Les frontières racialisees de la littérature française. Contrôle au faciès et stratégie de passage », de Sarah Burnautzki, aux éditions Honoré Champion, Paris, 2018.LA RECO DE MICHEL : la série « La minute belge » disponible sur YouTube, chaque épisode de la série explique de manière humoristique, en 1 minute, la signification d’un belgicisme (mot ou expression).RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONToutes les références sont détaillées sur le site binge.audioCRÉDITSParler comme jamais est un podcast de Binge Audio animé par Laélia Véron, avec la collaboration scientifique de Maria Candea, enseignante-chercheuse à l’université de Paris 3 et en soutien avec la Délégation générale à la langue française et aux langues de France. Cet épisode a été enregistré en juin 2020 depuis Orléans et Paris. Prise de son : Quentin Bresson. Réalisation : Thomas Plé. Générique : Thomas Oger. Production et édition : Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Entendez-vous l'éco ?
Oh les beaux jours ! (1/4) : Des vacances dans l'hexagone

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later Jun 22, 2020 58:59


durée : 00:58:59 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Marguerite Catton - La crise du coronavirus est-elle l’occasion de refonder la politique sociale du tourisme, en perte de vitesse face à la marchandisation du secteur ? Ou mettra-t-elle définitivement fin à ce qui n’est déjà plus une priorité dans les investissements touristiques français ? - réalisation : Anne Depelchin, Philippe Baudouin - invités : Saskia Cousin sociologue du tourisme, Maître de conférences à l’Université Paris Descartes, Membre de l’Institut Universitaire de France; Hervé Novelli ancien secrétaire d’État au commerce, à l’artisanat et aux PME, et acteur de la mise en place du statut d'auto-entrepreneur en 2009.

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: soupçon de micmac dans l’affaire Fillon

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 20, 2020 5:09


C’est une affaire dans une affaire, celle des pressions exercées dans « l’affaire Fillon ». Pour avis, Emmanuel Macron saisit le Conseil supérieur de la magistrature, après les propos polémiques de l’ancienne procureure du Parquet national financier Éliane Houlette. Le président français attend du Conseil supérieur de la magistrature qu’il vérifie si le parquet national financier « a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression », lors de son enquête dans l'affaire Fillon. Tout a commencé il y a trois jours par un article de l’hebdomadaire Le Point qui a soulevé cette tempête politico-judiciaire. Laquelle tempête est épinglée ce matin à la Une du Figaro. Proche de la droite en France, ce quotidien dénonce « en manchette » lesdites « « pressions » dans l’affaire Fillon », subies par l’ancienne procureure Eliane Houlette quand elle instruisait ladite affaire, en pleine campagne électorale, avant que le candidat de droite François Fillon soit prestement mis en examen puis éliminé au premier tour de l’élection présidentielle de 2017. Tempête en effet car, dans une interview à l’hebdomadaire Marianne il y a pile un an, la même Eliane Houlette déclarait qu’elle n’avait « jamais subi aucune pression. Ni reçu aucune consigne ». Depuis, cette procureure est partie à la retraite. Alors ? Alors, à neuf jours du jugement dans l’affaire Fillon, Le Figaro, ce matin, se penche sur « l’onde de choc » de cette affaire dans l’affaire. Comme le relève le magazine Le Point, lors de son audition le 10 juin dernier par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur « l’indépendance du pouvoir judiciaire », Eliane Houlette a dit avoir subi la « pression du parquet général », sous la forme de « demandes très pressantes de remontées d’informations ». « Le ver est dans le fruit », formule Le Figaro, la procédure dans l’affaire Fillon est « désormais pourrie de l’intérieur ». Dans le résumé qu’il publie de cette « tempête », le quotidien Le Parisien précise que lesdites « pressions » admises sous serment par l’ancienne procureure du Parquet national financier émanaient de sa supérieure hiérarchique, Catherine Champrenault, qui est « toujours procureure générale de la cour d’appel de Paris », souligne ce journal. Eliane Houlette, hier, a eu beau dire que ceux qui « exploitent » ses propos « en ce sens les dénaturent » et qu’ils font preuve de « mauvaise foi », Me Antonin Lévy, avocat de l’ancien Premier ministre, enfonce le clou dans Le Figaro de ce matin en déclarant que l’enquête qui visait François Fillon, ainsi que son épouse, « n’a pas suivi un cours normal » et que son client « a fait l’objet d’un traitement de défaveur ». Et Me Lévy affirme que, dans l’affaire Fillon, le parquet général « tire les ficelles depuis le début ». Le charnier de Paris-Descartes Du nouveau dans le scandale du Centre de don des corps de l’Université Paris-Descartes (des corps destinés aux leçons d’anatomie). L’Igas, l’Inspection générale des affaires sociales, a rendu son rapport. En attendant les conclusions de l’enquête préliminaire de la justice, toujours en cours. Le journal Libération dévoile ce samedi matin la synthèse de ce rapport de l’Igas. Publié le 13 juin, ce rapport «  pointe la responsabilité directe de l’université Paris-Descartes » dans l’affaire du le centre du don des corps de cette université, « temple  parisien de l’anatomie, formule ce quotidien. Etant rappelé que ce scandale a été révélé par l’hebdomadaire L’Express le 26 novembre 2019, et que nous avons alors rapporté l’essentiel dans la revue de presse des hebdomadaires et magazine, le dimanche matin sur RFI, on résumera qu’à grands traits, L’Express mettait au jour l’existence d’un vrai « charnier » dans ce centre où les corps destinés à la dissection pour les besoins de formation des médecins étaient entassés pêle-mêle, souvent démembrés façon puzzle, rats et souris en faisant leurs repas, sans que l’état de putréfaction de ces macchabés ne leur coupe l’appétit, quand ils n’étaient tout simplement pas utilisés dans l’industrie automobiles lors de « crash-tests », vous savez, ces accidents de voiture en atelier, et durant lesquelles sont observés les effets des chocs sur le corps humain. Nous en avons déjà parlé. Passons. Libération a rencontré des familles révoltées dont des proches avaient fait don de leur corps à la science. 72 d’entre elles ont en effet saisi la justice. Ce journal signale aussi que Frédéric Dardel, président de Paris-Descartes de 2011 à 2019, a été démis de ses fonctions de conseiller spécial de la ministre de l’Enseignement supérieur « la veille » de la publication du rapport de l’Igas. En tout cas, l’état de délabrement avancé de ce centre d’anatomie n’était pas le résultat d’un manque de moyens. Libération révèle même que le CDC gagnait de l’argent, un million huit cent mille euros « au profit de l’université entre 2013 et 2016 », sans compter des dons. Et ce journal se demande comment on a pu « à ce point bafouer la générosité du don opéré par le mort du temps de son vivant pour faire avancer la recherche médicale ou scientifique ? Comment dédaigner avec un tel cynisme la souffrance des familles ? », interroge Libération. Une vraie danse macabre…

Le Conseil Santé
Le conseil santé - Affections bucco-dentaires : pourquoi faut-il les traiter sans attendre ?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Jun 2, 2020 1:47


Selon l’OMS, près de la moitié de la population mondiale serait touchée par des affections bucco-dentaires. Bien qu’elle soit l’affection la plus courante, la carie dentaire non traitée reste une cause majeure de douleurs et de morbidité. Pourquoi des affections bucco-dentaires telles que la carie ou l'abcès nécessitent d'être traitées sans attendre ?  Dr Marjolaine Gosset, parodontiste à l’Hôpital Charles Foix à Ivry-Sur-Seine en région parisienne. Professeur des universités à l’Université Paris Descartes. Présidente scientifique de la Sfpio Retrouvez l'émission intégrale en cliquant ici. 

Priorité santé
Priorité santé - Santé des dents

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 29, 2020 48:30


Selon l’OMS, près de la moitié de la population mondiale serait touchée par des affections bucco-dentaires. Bien qu’elle soit l’affection la plus courante, la carie dentaire non traitée reste une cause majeure de douleurs et de morbidité. La plupart des maladies bucco-dentaires sont évitables grâce à une bonne hygiène dentaire si elles sont prises en charge à un stade précoce. Comment éviter les caries ? Comment prendre soin de ses dents tout au long de la vie ? Dr Marjolaine Gosset, parodontiste à l’Hôpital Charles Foix à Ivry-Sur-Seine en région parisienne. Professeur des universités à l’Université Paris Descartes. Présidente scientifique de la SfpioDr Aimé Désiré Kaboré, président de l'Ordre national des chirurgiens du Burkina Faso, directeur du Centre municipal de santé bucco-dentaire de Ouagadougou.  En fin d’émission, nous vous proposons une séance de relaxation avec le Dr Adrian Chaboche, psychothérapeute et hypnothérapeute, co-fondateur ducentre Vitruve à Paris.

France Culture physique
Peut-on trouver des responsables de la crise ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later May 22, 2020 42:52


durée : 00:42:52 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Les États-Unis réclament des comptes à la Chine et à l'OMS, tandis qu'au niveau national les plaintes contre les membres du gouvernement s'accumulent. Mais avec quelle finalité ? Et que signifie ce besoin de trouver des responsables ? - réalisation : Marie-Laure Ciboulet, Thomas Dutter, Assia Khalid, Alexandre Manzanares, Peire Legras - invités : Philippe Sands avocat spécialisé dans la défense des droits de l'Homme, professeur de droit au University College de Londres; Olivier Beaud Professeur de droit public à l'Université Paris 2; Avishag Zafrani docteure en philosophie, chercheuse associée au laboratoire Philépol (Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité), spécialiste de Hans Jonas, auteure de “ Le défi du nihilisme : Ernst Bloch et Hans Jonas (éditions Hermann, 2014)

Du grain à moudre
Peut-on trouver des responsables de la crise ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later May 22, 2020 42:52


durée : 00:42:52 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Les États-Unis réclament des comptes à la Chine et à l'OMS, tandis qu'au niveau national les plaintes contre les membres du gouvernement s'accumulent. Mais avec quelle finalité ? Et que signifie ce besoin de trouver des responsables ? - réalisation : Marie-Laure Ciboulet, Thomas Dutter, Assia Khalid, Alexandre Manzanares, Peire Legras - invités : Philippe Sands avocat spécialisé dans la défense des droits de l'Homme, professeur de droit au University College de Londres; Olivier Beaud Professeur de droit public à l'Université Paris 2; Avishag Zafrani docteure en philosophie, chercheuse associée au laboratoire Philépol (Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité), spécialiste de Hans Jonas, auteure de “ Le défi du nihilisme : Ernst Bloch et Hans Jonas (éditions Hermann, 2014)

Priorité santé
Priorité santé - Épidémie de rumeurs: l’infodémie

Priorité santé

Play Episode Listen Later May 18, 2020 48:30


Depuis le début de la crise sanitaire du coronavirus, les rumeurs, théories complotistes, annonces de remèdes miraculeux et fausses informations qui concernent la maladie infectieuse pullulent sur les réseaux sociaux, et sont relayées jusqu'au sommet de certains États. Comment expliquer une telle frénésie de fausses informations ? De quoi sont-elles révélatrices ? Comment lutter contre ces fake news ? Pr Jean-Noël Fabiani, chirurgien cardiovasculaire à l’Hôpital Européen Georges Pompidou à Paris, et professeur à l’Université Paris-Descartes. A publié : «Le chirurgien et le marabout», aux éditions PlonDr Anne-Marie Moulin, médecin et philosophe, spécialiste des Maladies tropicales, directrice de recherche émérite au CNRSPr Pierre-Marie Girard, infectiologue à l’Hôpital Saint-Antoine à Paris, directeur du réseau des Instituts PasteurIgor Strauss, journaliste à RFI. En fin d’émission, nous retrouvons la séance d’activité physique anti sédentarité, avec le Dr Jean-Marc Sène, médecin du sport et médecin de l’équipe de France de judo.

France Culture physique
Laisserons-nous à la nature la place qu’elle a reprise ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later May 7, 2020 43:13


durée : 00:43:13 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - La période de confinement dans les villes a rendu visible la possibilité d'une vie sauvage et animale à l'intérieur même des grandes métropoles. A l'émerveillement premier que ce constat a suscité, que restera-t-il de cette période dès lors qu'il s'agira de penser la cohabitation hommes/animaux ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Vinciane Despret philosophe, professeure de philosophie à l’université de Liège; Nicolas Gilsoul architecte, docteur en science et professeur d'urbanisme, d'architecture et de paysage; Didier Sicard médécin, ancien président du Comité consultatif national d’éthique, professeur émérite de médecine à l’Université Paris Descartes et membre du conseil d'administration de l'institut Pasteur au Laos

Du grain à moudre
Laisserons-nous à la nature la place qu’elle a reprise ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later May 7, 2020 43:13


durée : 00:43:13 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - La période de confinement dans les villes a rendu visible la possibilité d'une vie sauvage et animale à l'intérieur même des grandes métropoles. A l'émerveillement premier que ce constat a suscité, que restera-t-il de cette période dès lors qu'il s'agira de penser la cohabitation hommes/animaux ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Vinciane Despret philosophe, professeure de philosophie à l’université de Liège; Nicolas Gilsoul architecte, docteur en science et professeur d'urbanisme, d'architecture et de paysage; Didier Sicard médécin, ancien président du Comité consultatif national d’éthique, professeur émérite de médecine à l’Université Paris Descartes et membre du conseil d'administration de l'institut Pasteur au Laos

Matières à penser
Médecine et cinéma (4/10) : La folie dans tous ses états

Matières à penser

Play Episode Listen Later Apr 16, 2020 44:00


durée : 00:44:00 - Matières à penser - par : René Frydman - Rencontre autour du film "Vol au-dessus d’un nid de coucou" (1976) pour aborder la question de la santé mentale et de sa prise en charge avec Jean-Pierre Olié, chef de service de psychiatrie à l’hôpital et professeur à l’Université Paris-Descartes, et Pierre Murat, journaliste et critique de cinéma. - réalisation : Romain Masson - invités : Pierre Murat Critique cinéma (Télérama); Jean-Pierre Olié Chef de service de psychiatrie à l’hôpital Sainte-Anne et professeur à l’Université Paris-Descartes

Parler comme jamais
La voix neutre n’existe pas

Parler comme jamais

Play Episode Listen Later Mar 25, 2020 42:10


Elle change et ce, tout au long de notre vie. Pas seulement parce que nous vieillissons, mais aussi, parce que nous la travaillons, nous l’adaptons, consciemment ou pas, à des normes. Notre voix aussi obéit à des codes culturels et sociaux.Pourquoi une voix grave nous rassure ? Pourquoi attend-on d’une femme qu’elle ait une voix aiguë, d’un homme qu’il ait une voix grave ? Nos voix sont-elles différentes selon notre genre, notre race et notre classe sociale ? Comment nos voix sont-elles hiérarchisées ? Quelles sont les voix qui sont valorisées socialement ?Laélia Véron a reçu Maria Candea, conseillère scientifique de ce podcast et socio-linguiste à l’université de Paris 3 et François Oulac, journaliste et co-auteur du podcast Le Tchip distribué par Binge Audio.RECOMMANDATIONS ET COUPS DE CŒURLES RECOS DE MARIA : écouter des contre-ténors comme Philippe Jaroussky ou Gérard LesneLES RECOS DE FRANÇOIS : écouter Justin Timberlake, le groupe de pop Rhye, la rappeuse KamaiyahRÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSIONLes travaux de Suzie Telep :« Whitiser, c’est parler comme un Blanc ». Langage, subjectivité et postcolonialité chez des militants afrodescendants d’origine camerounaise à Paris, thèse de doctorat, Université Paris-Descartes, 2019‘‘Moi je whitise jamais.’’ Accent, subjectivité et processus d’accommodation langagière en contexte migratoire et postcolonial, publié en 2018 dans « Langage et Société, no 165, p. 31-49Les travaux d’Aron Arnold :Voix et transidentité : changer de voix pour changer de genre ?, Langage et société, 2015/1, n°151, p. 87-105La voix genrée, entre idéologies et pratiques ? Une étude sociophonétiqueComment étudier l’influence des stéréotypes de genre et de race sur la perception de la parole ?, Langage et société, 2015/2 (n°152), p. 75-96, avec Maria CandeaLes travaux de Gaëlle Planchenault :La commodification des voix au cinéma : un outil de différentiation et de stigmatisation langagière, publié dans Entrelacs le 07 janvier 2015 « Voices in the Media – Performing French Linguistic Otherness » publié aux éditions Bloomsbury en 2015Cinéma : « Le métier du doublage a un problème avec la couleur », article écrit par Yasmine Modestine publié sur Rue89 le 2 novembre 2016Retour à Bel Air (Le Tchip, Binge Audio, 2019)Sorry to Bother You, black Americans and the power and peril of code-switching, article écrit par AT McWilliams publié dans theguardian.com le 25 juillet 2018CRÉDITS Parler comme jamais est un podcast de Binge Audio animé par Laélia Véron, avec la collaboration scientifique de Maria Candea, enseignante-chercheuse à l’université de Paris 3 et en soutien avec la Délégation générale à la langue française et aux langues de France. Cet épisode a été enregistré en mars 2020 au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Quentin Bresson. Générique : Thomas Oger. Production et édition : Diane Jean et Camille Regache. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Carrefour de l'Europe
Carrefour de l'Europe - L’Arctique, un enjeu pour l’Europe

Carrefour de l'Europe

Play Episode Listen Later Mar 19, 2020 46:00


Le réchauffement de la planète passe par les Pôles, et d’abord par le Pôle Nord. En février 2018, la région a connu un pic de chaleur avec des températures 30 degrés au-dessus des normales saisonnières.   Même si le phénomène est exceptionnel, il s’inscrit sur fond de réchauffement de l’Arctique. Avec la fonte de la banquise, de nouvelles routes maritimes voient le jour, des champs gaziers et pétroliers deviennent accessibles, les mines d’uranium et les « terres rares » du Groënland seront bientôt exploitables. En Arctique, l’économie prend le dessus sur les préoccupations écologiques. Et les appétits grandissent, outre le Canada, les Etats-Unis et la Russie, la Chine entend développer sa « route de la soie polaire ». Mais, l’Arctique est aussi un enjeu pour les Européens. La Norvège est aux avant-postes de cette prochaine passe d’arme géostratégique, tandis que le Groënland sous tutelle danoise aspire à devenir indépendant.(Rediffusion du 13 mai 2018) Avec : - André Gattolin, sénateur LREM (La République en marche) des Hauts-de-Seine. Membre du groupe d’études Arctique, Antarctique et Terres australes su Sénat.→ Son site ici - Barbara Kunz, chercheuse à l’IFRI (Institut français des relations internationales). Coordinatrice du N° de Politique étrangère consacré à l’Arctique.→ Plus d’infos ici - Thierry Garcin, chercheur associé à l’Université Paris-Descartes et auteur de la Géopolitique de l’Arctique chez Economica - Damien Degeorges, consultant basé en Islande et spécialiste des enjeux européens de l’Arctique. En ligne de Reykjavík. → Plus d'infos ici         Avec Maria Afonso,  les photos du Groënland de Thomas Massé,  et en partenariat avecCourrier International

Matières à penser
Quelles catastrophes ? (4/5) : Vivre dans un monde toxique

Matières à penser

Play Episode Listen Later Feb 27, 2020 44:20


durée : 00:44:20 - Matières à penser - par : Frédéric Worms - Nous recevons ce soir Soraya Boudia, historienne et sociologue des sciences et des techniques à l’Université Paris Descartes, pour discuter de la toxicité qui a envahi notre monde, et des moyens de la combattre. - réalisation : Anne-Pascale Desvignes - invités : Soraya Boudia Historienne et sociologue des sciences et des techniques à l’Université Paris Descartes

France Culture physique
Municipales : les magasins sont-ils des lieux d'intérêt public ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Feb 20, 2020 39:05


durée : 00:39:05 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Le dynamisme des centres urbains et ruraux se mesure-t-il à ses commerces ? Au-delà de sa fonction marchande, le magasin est un lieu d’animation, d’échanges et s'érige en enjeu politique municipal. Que dit-il de notre rapport au lien social, au territoire, à la consommation ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Vincent Chabault Maître de conférences en sociologie à l’Université Paris Descartes, spécialiste de la médiation marchande du livre; Anaïs Daniau Docteure en sociologie, a soutenu sa thèse en 2019 sur « L’animation politique des marchés. Le management commercial au service de la gestion des centres urbains. »; Nathalie Lemarchand Géographe, professeure à l'université Paris 8 et directrice adjointe du Laboratoire Dynamiques sociales et recomposition des espaces (Ladyss).; Emeline Jupin associée de la coopérative "Chez Jeanne" à Saint-Martin-de-la-Cluze

Du grain à moudre
Municipales : les magasins sont-ils des lieux d'intérêt public ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Feb 20, 2020 39:05


durée : 00:39:05 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin, Chloë Cambreling - Le dynamisme des centres urbains et ruraux se mesure-t-il à ses commerces ? Au-delà de sa fonction marchande, le magasin est un lieu d’animation, d’échanges et s'érige en enjeu politique municipal. Que dit-il de notre rapport au lien social, au territoire, à la consommation ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Vincent Chabault Maître de conférences en sociologie à l’Université Paris Descartes, spécialiste de la médiation marchande du livre; Anaïs Daniau Docteure en sociologie, a soutenu sa thèse en 2019 sur « L’animation politique des marchés. Le management commercial au service de la gestion des centres urbains. »; Nathalie Lemarchand Géographe, professeure à l'université Paris 8 et directrice adjointe du Laboratoire Dynamiques sociales et recomposition des espaces (Ladyss).; Emeline Jupin associée de la coopérative "Chez Jeanne" à Saint-Martin-de-la-Cluze

Les chemins de la philosophie
Profession philosophe (48/74) : Paul Audi, philosophe de l'identité

Les chemins de la philosophie

Play Episode Listen Later Nov 15, 2019 59:01


durée : 00:59:01 - Les Chemins de la philosophie - par : Adèle Van Reeth, Géraldine Mosna-Savoye - Paul Audi a rencontré la philosophie par la littérature. Après plusieurs années d'enseignement, il y a renoncé afin de se consacrer à l'écriture et à la recherche, fuyant les groupes et les chapelles. Auteur d'une trentaine d'ouvrages, il questionne la possibilité pour l'homme de devenir sujet... - réalisation : Thomas Beau - invités : Paul Audi philosophe, enseignant, membre statutaire de l’équipe de recherches Philépol à l’Université Paris Descartes

Matières à penser
Médecine et cinéma (4/10) : La folie dans tous ses états

Matières à penser

Play Episode Listen Later Nov 14, 2019 44:00


durée : 00:44:00 - Matières à penser - par : René Frydman - Rencontre autour du film "Vol au-dessus d’un nid de coucou" (1976) pour aborder la question de la santé mentale et de sa prise en charge avec Jean-Pierre Olié, chef de service de psychiatrie à l’hôpital et professeur à l’Université Paris-Descartes, et Pierre Murat, journaliste et critique de cinéma. - réalisation : Romain Masson - invités : Pierre Murat Critique cinéma (Télérama); Jean-Pierre Olié Chef de service de psychiatrie à l’hôpital Sainte-Anne et professeur à l’Université Paris-Descartes

Le fil sciences
Les promesses des nouvelles méthodes d’apprentissage pour les enfants

Le fil sciences

Play Episode Listen Later Aug 25, 2019 57:26


durée : 00:57:26 - Les Savanturiers - par : Fabienne Chauvière - Résister, inhiber sont les maîtres-mots d’Olivier Houdé, professeur de psychologie du développement à l’Université Paris-Descartes. Ses découvertes en neurosciences permettent de regarder l’enfant différemment, avec plus de bienveillance et de considération.

Croisement(s)
Peut-on modeler le cerveau pour qu'il soit plus innovant ?

Croisement(s)

Play Episode Listen Later Jul 18, 2019 50:45


Dans ce nouvel épisode de Croisement(s) nous allons nous questionner sur la manière dont notre cerveau évolue lorsque que nous innovons.Qu’est ce que la plasticité cérébrale ? Quel est le lien avec la créativité?Est-ce que il y a un lien entre les neurones et la plasticité ? Comment cela dans le temps? Qu’est-ce que la pensée créative ?Quelle partie du cerveau est stimulée lorsque l’on innove ? Individuellement et collectivement.Le concept du flow et le lien avec la démarche créative. Les pistes pour y parvenir ?Est-ce que dans les « nouveaux » outils à disposition : méditation, sport, le bien mangé, pouvons-nous trouver des moyens d’être plus créatif ?Est-il possible de déterminer la créativité de quelqu’un en analysant son cerveau ?Toutes ces questions, et même plus, vont être abordées dans cet épisode avec nos invités : Todd Lubart et Aurélie Marchal.Todd Lubart est professeur de Psychologie à l’Université Paris Descartes, il est l'ancien directeur du laboratoire « Adaptation Travail - Individus » dans le domaine de la psychologie appliquée. Todd a obtenu son doctorat à l’Université de Yale aux USA et travaille depuis plusieurs décennies sur des thèmes de créativité, notamment les différences individuelles, et de l’innovation.Il est aussi auteur de nombreux articles et d’ouvrages scientifiques, dont Defying the crowd: Cultivating creativity in a culture of conformity, Psychologie de la créativité, et Enfants Exceptionnels.Aurélie accompagne, à travers sa société am-designthinking, les entreprises dans leurs projets de transformations avec une démarche emphatique, collaborative et créative qui s’appuie sur le design thinking. Ses méthodes intègrent aussi des approches neurocognitives et comportementales.Elle publie des articles, enseigne à HEC, CentralSupelec, SciencePo et intervient auprès de la Chaire de conduite du changement de l’ESSEC.Aurélie est aussi l’auteure des livres : « Innovation organisationnelle et transformation managériales par le design thinking » et « Design Thinking & Creative Problem Solving, deux méthodes d’innovation et de recherche de solutions». Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.

Circulation on the Run
Circulation May 27, 2019 Issue

Circulation on the Run

Play Episode Listen Later May 27, 2019 30:34


Dr Carolyn Lam:                Welcome to Circulation on the Run, your weekly podcast summary and backstage pass to the journal and it's editors. We're your co-hosts, I'm Dr Carolyn Lam, associate editor from The National Heart Center and Duke National University of Singapore. Dr Greg Hundley:             And I'm Greg Hundley, associate editor for Circulation and director of The Pauley Heart Center at VCU Health in Richmond, Virginia. Dr Carolyn Lam:                Guess what Greg? Right after this we have a double feature discussion. It is all about dapagliflozin with some really, really important self-analyses from the DECLARED-TIMI 58 trial and about heart failure in Type 2 Diabetes with dapagliflozin. But, all of that coming right up only after we have our chat. So Greg, what do you have for us today? Dr Greg Hundley:             My first article is going to be from Dr Mintu Turakhia at the VA Palo Alto healthcare system at Stanford University and is going to discuss the practice variation in anticoagulation prescription and outcomes after device-detected atrial fibrillation. It's a study that has insights from the VA Health Administration. This study evaluated the relationship between oral anticoagulant prescription practice variation in response to new device detected atrial fibrillation and the association to outcomes.                                                 As you know Carolyn, there are no clearly defined thresholds of AF burden, for which to initiate oral anticoagulation. Dr Carolyn Lam:                Interesting, so what did they find, how did they do this? Dr Greg Hundley:             Carolyn, the investigators performed a retrospective cohort analysis using data from the Veterans Health Administration linked to remote monitoring data that included day level AF burden. They included patients with cardiac implantable electronic devices and remote monitoring from the years 2011 through 2014. A CHA2DS2-VASc score of greater or equal to 2, and no prior stroke or oral anticoagulant receipt in the preceding 2 years. They determined the proportion of patients prescribed oral anticoagulants within 90 days following new device-detected AFib across a range of AFib thresholds. Greater than or equal to 6 minutes, all the way up to greater than 24 hours. And they examined sight variation in oral anticoagulation prescription. Dr Carolyn Lam:                And so? What did they find? Dr Greg Hundley:             Well, you ask among 10,212 patients with defibrillators, proportion receiving oral anticoagulation varied based on device detected AF burden. For example, for those greater than or equal to 6 minutes, it was roughly 13% of individuals, for those greater than 24 hours, 27% of individuals received oral anticoagulants. Importantly, there was a substantial sight variation in oral anticoagulation prescription after device-detected atrial fibrillation, for example, greater than one hour. The median was 16%, but it ranged from as low as 3% up to highs of 67%. And so, in adjusted models, oral anticoagulant prescription after device-detected AFib of greater than 24 hours was associated with reduced stroke risk and has a ratio of 0.28, p-value's 0.02, although, the propensity adjusted model was significant when AFib lasted at least 6 minutes.                                                 So, in conclusion, among veterans with implanted devices, device-detected atrial fibrillation is common. There is large practice variation in 90-day oral anticoagulation initiation after new device-detected AFib with low rates of treatment overall, even for episodes greater than 24 hours. Remember, we said that rate was 27%. The strongest association of oral anti-coagulation with reduction in stroke was observed after device-detected Afib of greater than 24 hours. And what this study shows, is that randomized trials are needed to perform these observational findings.                                                 So, Carolyn, how about your next study? Dr Carolyn Lam:                Well, from anti-coagulants to anti-hypertensives. I'm going to tell you about the 6-month results if the RADIANCE Hypertension Solo Trial. Dr Greg Hundley:             Oh, so, what was the RADIANCE Hypertension Solo Trial? Can you remind us? Dr Carolyn Lam:                Glad you asked. So the trial was the one that demonstrated a greater reduction in daytime ambulatory systolic blood pressure at 2 months by endovascular ultrasound renal denervation compared with a sham procedure among patients who were not treated with anti-hypertensive medications. So the current paper, led by Michel Azizi from Université Paris-Descartes and colleagues, now report the 6-month results following the addition of a recommended, standardized, stepped-care anti-hypertensive treatment to the randomized endovascular procedure under continued blinding to the initial treatment.                                                 Now, remember these were patients with uncontrolled combined systolic and diastolic hypertension who were initially off medications for two months following randomization. Now, between two and five months, if the monthly measured home blood pressure was more than 135/85, the stepped-care antihypertensive treatment approach was recommended and consisted of sequential addition of, for example, amlodipine 5mg a day, then a standard dose of an angiotensin-converting-enzyme inhibitor, or an ARB, and hydrochlorothiazide at 12.5mg a day, followed by sequential uptitration of the hydrochlorothiazide and amlodipine.                                                 So, what did they find? At 6 months, 65% of the patients in the original renal denervation group were being treated by this stepped-care approach, versus 84.5 in the sham group. And the average number of antihypertension medications and defined-daily doses were all less in the renal denervation group than the sham group.                                                 Now, despite less intensive antihypertensive treatment, the renal denervation group had reduced daytime ambulatory systolic blood pressure to a great extent than the sham group. Importantly, there were no major adverse events in either group through 6 months. The blood pressure lowering effect of endovascular ultrasound renal denervation was maintained at 6 months with less prescribed antihypertension medications compared with the sham control. And what this means is if safety is maintained in larger studies with longer follow-up, renal denervation could be a promising adjunct therapy for patients with hypertension. Dr Greg Hundley:             Wow, so we're getting back toward renal denervation? How about that?                                                 Carolyn, my next paper jumps into the world of basic science. This is a study from Kari Alitalo at the University of Helsinki, and it involves endothelial cells and how they regulate physiological cardiomyocyte growth versus VEGFR2 mediated paracrine signaling. The study evaluates the role of bidirectional endothelial cells and cardiomyocyte cross-talk via cardiokine and angiocrine signaling as it pertains to the regulation of cardiac growth and homeostasis in pathological cardiac hypertrophy. The expansion of the cardiac vasculature to maintain adequate supply of oxygen and nutrients is a key determinant of whether the heart grows in a physiological compensated manner, or a pathological decompensated manner.                                                 Understanding how an excess of angiogenesis induces cardiac hypertrophy and how endothelial cells regulate cardiomyocyte homeostasis, could provide novel therapeutic targets for heart failure. Dr Carolyn Lam:                Ah, this is something very close to my heart. So Greg tell us, how did they establish the link between the endothelial cells and cardiomyocytes? Dr Greg Hundley:             The investigators demonstrated that both endothelial cell deletion of vascular endothelial growth factor receptor 1 and AAV-mediated delivery of the VEGFR1's specific ligands, VEGF-B or BGIF, into the myocardium increased the coronary vasculature and induced cardiomyocyte hypertrophy in adult mice.                                                 The resulting cardiac hypertrophy was a physiological as indicated by preserved cardiac function and exercise capacity and lack and pathological gene activation. Also, the investigators demonstrated that the reported changes were mediated by increased VEGF signaling via endothelial VEGFR2 and found that the notch and ERBb pathways are involved in transducing signals for endothelial cell cardiomyocyte cross-talk in response to angiogenesis.                                                 So clinically, the relevance of the findings are highlighted nicely in an editorial by professor Issei Komuro at the University of Tokyo Hospital. First, he emphasizes that cross-talk between the endothelial cell VEGFR2 and cardiomyocyte ErbB signaling pathways coordinates cardiomyocyte hypertrophy with angiogenesis and contributes to physiological cardiac growth. And understanding whether factors could modify this process may impact the treatment down the road of pathologic hypertrophy. Dr Carolyn Lam:                Oh interesting! Well you know what, Greg, I've got a preclinical one for you too, and this time looking at the role of inflammation in atherosclerosis and specifically at the role of the adaptive immune response and T-cells.                                                 So, Greg, let me remind you that when we looked at CANTOS and Canakinumab we were actually looking at the role of the innate immune response. And here is where I had planned this very nice, complicated quiz for you, Greg, about the innate versus the adaptive immune response in the various cells. Would you like to take the quiz? Dr Greg Hundley:             You know what? I think I'm going to pledge that I'm already going to get a D or an F, so why don't you enlighten us? Dr Carolyn Lam:                Now alright, remember that the CD4 T-cells are assumed to be activated by our antigens derived from modified proteins such as oxidized LDL, and these are presented via MHC class II molecules in the context of cytokine signaling, remember those? What I didn't realize is that it hadn't been assumed that atherosclerosis involves a loss of tolerance against these modified self-antigens, generated in response to hypercholesterolemia and that presentation of such antigens on these MHC class II cells, then lead to activation of proatherogenic Th1 cells. So, that was the assumptions, but this was really studied in detail by the authors, Dr Wigren from Scania University Hospital and Lund University in Sweden and their colleagues, who addressed the role of CD4 T-cells in a real novel, unconventional way. And they did this by crossing MHC class ii deficient mice with atherosclerosis-prone ApoE-deficient mice.                                                 Now the result of these double deficient mice was almost complete void of CD4 T-cells. However, despite the lack of these T-cells and inflammation, these mice developed larger atherosclerotic lesions in the aortic root area of the heart than their ApoE-deficient counterparts. Cell transfer and blocking antibody studies also, then supported these findings and suggested that loss of regulatory T-cells is the most important cause of aggravated atherosclerosis in the double-deficient mice.                                                 So, overall these observations demonstrate that deficiency of activation of the adaptive immune responses through MHC class ii is associated with increased development of atherosclerosis, and the findings have important implications for our understanding the possible risks and benefits of immunosuppressive therapy in patients with cardiovascular disease. Now this is discussed in a beautiful editorial by Dr Slütter and Kuiper and they are from Leiden, the Netherlands.                                                 So, Greg, interesting stuff, huh? Dr Greg Hundley:             You bet! Let's go on and here a little bit more about diabetes. Dr Carolyn Lam:                And dapagliflozin coming right up.                                                 Today's feature discussion is all about SGLT2 inhibitors both in heart failure and atherosclerotic disease. A huge discussion because we have two papers, and they're all coming from the DECLARE-TIMI 58 trial. I am so pleased to have the corresponding author, Dr Stephen Wiviott from the TIMI study group at Brigham Women's hospital in Boston, Massachusetts, as well as the first author of one of the papers, and that is Dr Eri Kato, who was at the TIMI study group and is now at Kyoto University, as well as the editorialist for these two papers, Dr Subodh Verma from University of Toronto, and our deputy editor, Dr Darren McGuire from UT Southwestern.                                                 All-star cast, all-star papers. So, Steve, could you start by telling us about the DECLARE-TIMI 58 trial, just to set the background please? Dr Stephen Wiviott:        So DECLARE, for people who don't know, was a large, randomized trial of 17,000+ patients with diabetes, comparing the SGLT2 inhibitor dapagliflozin to placebo. And the patients could be enrolled if the patients had either an established cardiovascular disease, meaning secondary prevention, or simply risk factors for cardiovascular disease with primary prevention.                                                 Patients that were treated with dapagliflozin or placebo were followed for a period of just over 4 years and there were co-primary endpoints. Those were cardiovascular death and hospitalization for heart failure, and the second co-primary endpoint was MACE, major adverse cardiovascular events, a combination of cardiovascular death, MI, or stroke.                                                 And what we saw, initially, this was a safety trial to demonstrate the safety of this diabetes agent according to worldwide guidelines. We saw that there was certainly non-inferiority for MACE, so it was safe with regard to MACE, but we did see a statistically significant reduction in cardiovascular death and hospitalization for heart failure driven predominantly by a large reduction in hospitalization for heart failure, and we also saw consistent with the other SGLT2 inhibitors, a significant reduction in the progression of renal disease. And so we had the opportunity to follow up with a couple of important papers that were published in circulation. Dr Carolyn Lam:                Thanks, Steve. And at this point I would love to invite Eri to tell us, because we just heard that the heart failure hospitalization signal is very strong. What did you do in your analysis? Dr Eri Kato:                         So previously, SGLT2 inhibitors including dapagliflozin have shown to reduce hospitalization for heart failure, now we wanted to take a step further and explore those who are at high risk. So, the aim of our study was to evaluate whether the clinical benefit of dapagliflozin is greater in patients with HFrEF, heart failure with reduced ejection fraction, compared with patients without HFrEF.                                                 So, we used data from the DECLARE-TIMI 58, which you just heard, which included a broad spectrum of patients with Type 2 diabetes, and was also unique that it is the only SGLT trial to date that has detailed the information of these ejection fractions. So, for this study, for our study trying to find patients by the presence or absence of HFrEF, which was defined as having ejection fraction less than 45%, which is pre-specified ejection fraction couplings, and the key outcome in each was cardiovascular death or hospitalization for heart failure, its components, and of course, mortality. But we also additionally looked at MACE and renal composite endpoints.                                                 There are several interesting findings. First, is that dapagliflozin reduced the risk of hospitalization for heart failure regardless of ejection fraction, including those with preserved ejection fraction.                                                 Second, is we have observed lower rates of cardiovascular death in all-cause mortality with dapagliflozin in patients with HFrEF, but not in those without HFrEF.                                                 So, in patients with HFrEF, there was a significant 45% reduction in cardiovascular death, and 41% reduction in all all-cause mortality with dapagliflozin. And I'd like to highlight that these were achieved on top of high-proportional use of conventional evidence-based heart failure therapies, and that it did not increase any adverse events.                                                 And third, and finally, there were lower rates of renal composite endpoints with dapagliflozin regardless rejection fraction, and once again, it improves patients with preserved rejection fraction.                                                 So, to summarize, our results showed a robust mortality benefit in patients with HFrEF, but also showed that dapagliflozin is beneficial in full spectrum patients with diabetes, regardless of ejection fraction. Dr Carolyn Lam:                Thank you Eri, that's beautifully summarized, but could I just clarify? These were patients not just with a reduced ejection fraction, but with heart failure? And how was that determined? Dr Eri Kato:                         We collected data at the baseline and the heart failure was collected based on the medical record. Dr Carolyn Lam:                So, I just wanted to clarify that it wasn't just rEF, but HFrEF, but the HF part was a medical record. So, Darren, I know you thought a lot about this stuff, so what do you think? Is there still equipoise for these heart failure trials, or how do you think this adds? Dr Darren McGuire:        First, as deputy editor of Circulation, I'm thrilled that were attracting these excellent diabetes-related publications, we've had a track record of several years now of capturing many of the key analyses and certainly these two papers we're talking about today qualify among the very best we've had, and I've also had the privilege of working with these investigators on the executive committee at DECLARE. And to the investigators and the credit of the sponsor, we observed these heart failure signals in other trials as DECLARE was ongoing, and we actually made a modification during the trial to begin to collect as much as we could pre-randomization ejection fraction data. And we were able to capture on roughly one-third of the patients, pre-trial EF data and we took any way it was measured and any time of when it was measured, and there are some limitations to that, but this now represents the largest data set where we can stratify the outcomes by some measure of ejection fraction.                                                 And I have to say I was really surprised by these results; that the cardiovascular death benefits were amplified in patients with heart failure with reduced ejection fraction, but not in those with heart failure with preserved ejection fraction, as these medications are relatively modest, diuretic agents I anticipated the opposite, honestly, that heart failure would preserve ejection fraction that is much more volume-sensitive may have incremental benefits from these medications.                                                 So, I was surprised by this, it was a little bit upside-down from what I expected. I know Subodh and Carolyn you've both thought a lot about this as well, I'd be interested in your opinions. Did you expect that heart failure with reduced ejection fraction would drive these clinical results? Dr Carolyn Lam:                Subodh, I'm going to let you go first. Dr Subodh Verma:           First and foremost, I appreciate the opportunity the circulation gave both myself and Professor McMurray to write the editorial to these very important pre-specified analyses from DECLARE.                                                 I actually see the results not only as interesting and tantalizing as you already discussed, but I actually see a lot of consistency between the two phenotypes, if I may, in that there is a heart failure signal or reduction in heart failure hospitalizations that appears to be consistent between the two groups, right? People with an EF of less than 45 with or without heart failure and then on the other side, people without reduced ejection fraction. They're both responsive in terms of reductions in heart failure hospitalization, so it brings into question that is this differences that we're seeing with respect to mortality, a reflection of a difference in phenotypic responsiveness to an SGLT2 inhibitor, or is this simply a reflection of increasing placebo event rates and a response based on baseline of entry in one group versus the other.                                                 So, as has been nicely outlined by the authors, the placebo event rate for CB death and heart failure and the placebo group would have pass, if I may, was about 5 times lower than those with heart failure with reduced ejection fraction. And it might be that as we go up the pyramid of risk, whether that risk is defined based on a TIMI risk score, whether it's based on a post-MI versus stable CAV risk score, or whether it's defined based on GFR, or whether, finally, it's defined based on the event rates for CV death and heart failure, that the higher the event rate, the higher the probability of demonstrating a CV death benefit, but that old strategies are actually demonstrating a consistent benefit on the overall driver of that outcome, which in this case, is a reduction in heart failure.                                                 So, that's what we sort of said in the editorial as well that we think that it may be a bit premature at this point to reach a conclusion that one group is responsive, and the other group is not responsive. But, as you rightfully said, Darren, it is entirely feasible through these analyses to hypothesize that one of the alternative hypotheses could be that there is a greater responsiveness in HFrEF compared to HFpEF. I actually don't understand the mechanisms of it, if that was the pieces I would have a difficult time explaining it based on the overall biology and sort of current understanding of these agents.                                                 But, I would say let’s wait: dapa heart failure is just around the corner. That trial will enroll people with documented heart failure with reduced ejection fraction. I think 4,774 patients that are being randomized on top of base, on top of RNA, on top of MRA, etc. who still have heart failure and who have a BP that's elevated so the definitive proof for this, at least from a rough standpoint, will be forthcoming. And then there are numerous HFpEF studies that are ongoing. There's Emperor Preserve and there's Deliver, and they have characterized the HFpEF population with a little bit more granularity and clarity. And I think we will be able to then look at, specifically, is there a HFpEF group that has the same event rate for CV death and heart failure, and compare that population to a HFrEF group at the same level of risk and whether there is differences in the responsiveness to be definitive about whether this is a matter of risk, threshold, or whether this is a true representation phenotypically. Dr Carolyn Lam:                Subodh is a hard act to follow. So, I will answer your question directly, but maybe not with so many words, because it's already been said, Darren. And I'll just say I expected this benefit to be in both, I wouldn't have said one versus the other, but because we do know that in trials and with prospective studies that HFpEF outcomes are lower, especially mortality is lower, compared to HFrEF. I do wonder if it's a power issue, but the most important message--and this is coming from me also being on the steering on the committee of both DELIVER and EMPEROR Preserve--that please, this doesn't mean that we don't need the trials. I really really think that there's equipoise there still and we need to look at the DEDICATED HFpEF trials.                                                 But, moving on from the concept of risk stratification, I would like to go on and talk about the next paper. About the DECLARE sub-study of those with a prior MI. So, Steve, could you tell us, why did you do this, and what did you find? Dr Stephen Wiviott:        I think that what we've seen as a pattern across the three SGLT2 inhibitor trials including CANVAS, EMPEROR, Outcome, and DECLARE, was that there seems to be, as Subodh has said, reductions that are relatively consistent in heart failure and renal outcomes. But there was what appears to be ischemic outcomes, the MACE outcomes, cardiovascular death, MI and stroke.                                                 In fact, in a meta-analysis that we published at the same time as the primary paper for DECLARE, we demonstrated that there was an interaction between the primary prevention in the population, those without established cardiovascular disease, and the secondary prevention population as it relates to MACE, where the benefits for MACE seem to be in the secondary prevention population.                                                 So, this was seen in DECLARE as well, and so we hypothesized that the population of patients who had myocardial infarction as their entering condition may be particularly at high risk for MACE and it may potentially be that that was driving the benefit. And so, what we did was we stratified the patients based on history of prior myocardial infarction versus none, turned out that there was about 3,500 patients in the trial who had had a prior myocardial infarction. As would be expected from what's known about the conditions, the event rates for those patients in the placebo arm were much higher, about 2.5 times higher than patients without myocardial infarction for MACE, also true for CV death and hospitalization for heart failure.                                                 And then what we saw when we looked at the treatment outcomes was that there tended to be a greater reduction in MACE for patients with prior myocardial infarction. In fact, for the MACE outcome, we saw about a 16% reduction in MACE with patients with prior MI compared to reduction with patients without prior MI. And so, the combination of this higher risk, also a tendency towards a greater relative benefit lead to a much greater absolute benefit, where, in fact, we saw about a 2.5% reduction in MACE over the four-year period for patients with prior MI, compared to a 0% reduction for patients without prior MI.                                                 And, in fact, when we broke this down to three groups: patients with prior MI, patients with atherosclerotic cardiovascular disease without prior MI, and then patients with no atherosclerotic vascular disease, essentially, we saw the same thing, which is that patients with MI were the ones who had the greatest benefit in terms of MACE. And this was almost entirely driven by reductions in myocardial infarction.                                                 Now, I would say in contradistinction, as we look at heart failure reductions, the relative benefits for heart failure were similar among these groups, but because the risk was higher in the patients with prior MI, and of course the absolute benefits were greater in the MI population, and similar for renal outcome. So, I think that this sort of extends what we have previously known that patients with atherosclerotic cardiovascular disease were at higher risk intended to have greater benefit with the SGLT2 inhibitors on MACE events that the core of that appears to be those patients with myocardial infarction. Dr Carolyn Lam:                Thanks, Steve, that was just so clearly explained. Darren, in the last couple of minutes could I ask you to give us the take-home messages from these two studies, and maybe just, what next? Dr Darren McGuire:        I think the take-home message from these two studies in the context of the overall field of SGLT2 inhibitor data, I think the picture's becoming relatively clear and Subodh stated in eloquently before and is reviewed in the editorial is that I think across the board, and independent of how you define higher versus lower risk subsets, this class of medications in general and dapagliflozin, and these studies appear to have augmented benefit, the greater the risk. Whether that greater risk is defined by prior myocardial infarction, or heart failure with reduced ejection fraction, or decreased EGFR, these are all states where various sub studies have consistently shown across the three compounds where we have outcomes data that the treatment benefits are amplified in the higher risk patients.                                                 And it's not just an absolute risk reduction that's augmented based on baseline risk, but there appears to be an interaction where the relative risk reduction is also amplified. And so, it's really a remarkable field and it's providing therapeutic options in these really high-risk subsets of patients where we've really been handicapped up until now with these antihyperglycemic therapies for type ii diabetes. Dr Carolyn Lam:                Thank you everybody for joining us today. This was truly a bonanza feature discussion, didn't I tell you?                                                 You've been listening to Circulation on the Run, thank you for listening today and don't forget to tune in again next week.                                                 This program is copyright American Heart Association 2019  

Finding Genius Podcast
Informing Forms — Cedric Savarese, Founder and CEO of FormAssembly — The Revolutionary Platform That Assists With Data Collection and Form Management

Finding Genius Podcast

Play Episode Listen Later Jan 18, 2019 24:27


Cedric Savarese, founder and CEO of FormAssembly (formassembly.com), delivers an overview of his company's platform and how it is revolutionizing the way we use data and manage forms in an ever-increasing digital world. Savarese's company, FormAssembly, is a prominent provider of data collection and management solutions. Savarese oversees the company's direction and overall growth. Savarese is a skilled business entrepreneur with a passion for technology and innovation. He earned a master's in computer science from the prestigious Université Paris Descartes.  Savarese discusses the premise of FormAssembly as a platform that enables users to collect data via online forms and surveys for business improvement and efficiency; but Savarese stresses they also have a primary goal of helping users to be responsible stewards of this personal data. He gives an overview of the data that is available and collected online and how it is compiled. From surveys to online competitions to college applications, there is a wealth of data online, and as our society becomes more and more dependent on devices, more data will be coming, with a large percentage of it available for collection. FormAssembly helps customers streamline, change or improve processes across a variety of departments, groups, and organizations. And their streamlined visual editing and publishing simplifies the creation and management of complex forms. The platform features forms that utilize conditional logic, calculated fields, save functions, and much more, to help business people create successful online forms. The FormAssembly advantage enables users to create and integrate, with a full spectrum of forms for sales, payment collection, authorizations, and beyond—all available through a complete self-service platform. Savarese discusses privacy issues, confidentiality, and other standards that are regulated when sensitive data is handled. As he states, compliance and regulation are key issues in the field.  Savarese details intake processes and database issues that are part of their industry. Ultimately, efficiency is paramount and Savarese is convinced that the FormAssembly platform can provide easy convenience to individuals and businesses everywhere. Additionally, he discusses the many use cases for their platform, from the small community theater that needs help with their form to collect donations and sell tickets, to Fortune 500 companies with immense funding behind them that prefer to use the FormAssembly platform to save time, and money. Finally, Savarese delivers an overview of the user experience and the type of users that come to their platform, general best practices, their platform's built-in filters, and some interesting past experiences he and others have been through in regard to data and form usage. 

Editions Karthala
JeudiKarthala #6 : Gouverner la mer en Algérie

Editions Karthala

Play Episode Listen Later Dec 22, 2018 70:56


Rencontre enregistrée le 13 décembre 2018 à la librairie de Karthala. A l'occasion de la parution de son ouvrage intitulé "Gouverner la mer en Algérie. Politique en eaux troubles", les éditions Karthala ont le plaisir d'inviter Tarik Dahou à une rencontre publique. Modérateur : Noureddine Amara La politique maritime en Algérie s'inscrit dans un faisceau de normes internationales, nationales et locales. Leur confrontation résulte des logiques de pouvoir qui déterminent l'accès aux espaces et aux ressources marines. En analysant l'évolution de ces droits d'accès sur le littoral du Parc national d'El Kala (Wilaya d'El Tarf), cet ouvrage restitue les hiérarchies sociales et politiques. L'examen de la contrebande du corail et de la pêche révèle diverses historicités qui façonnent les politiques de conservation marine. Il éclaire la manière dont les acteurs maritimes et les corps de l'État s'approprient les normes libérales et environnementales et font évoluer les frontières entre gouvernement terrestre et maritime, entre public et privé, et enfin entre légal et illégal. L'analyse multiscalaire rend compte d'un gouvernement de la mer, qui évolue au gré des flux de ressources et de pouvoir, mais aussi des transactions quotidiennes entre État et société. Cette démarche dévoile à quel point l'exercice du pouvoir politique en Algérie est tributaire de réseaux instables, transversaux aux normes, aux institutions, et aux espaces, qui atténuent sa cohérence. Malgré le caractère prétorien et l'assise pétrolière du régime, l'inscription de son autorité jusque dans les sphères micro-sociales perturbe sa légitimité. Tarik Dahou est anthropologue à l'Institut de Recherche pour le Développement (UMR 208 Patrimoines locaux IRD–MNHN), et spécialisé dans le domaine des écologies politiques. Sa recherche porte sur une anthropologie politique du gouvernement de la meren Afrique. Il est habilité à diriger les recherches (Université Paris Descartes) et membre du comité de rédaction de Politique africaine. Bibliographie : http://www.karthala.com/terrains-du-siecle/3261-gouverner-la-mer-en-algerie-politique-en-eaux-troubles.html

La Matinale de 19h
La Matinale - Combats Kurdes/Turcs à Afrin & Migrantour // 07.03

La Matinale de 19h

Play Episode Listen Later Mar 8, 2018


La situation du peuple kurde en Turquie et en Syrie sera évoquée ce soir en première partie d'émission par le président de l'association Komciwan - Jeunes Kurdes de France, Azad Bapir.  Victimes de guerre et d'exclusion, les Kurdes sont le plus grand peuple sans État. Née en 2017, l'association Komciwan regroupe la jeunesse de la diaspora kurde en France et l'informe sur la culture et l'identité kurde afin d'aider les jeunes à mieux s'intégrer dans la société française. Le vendredi 9 mars, le nouvel an kurde appelé Newroz sera célébré lors d'une soirée solidaire à la Mairie du 11e arrondissement. Les bénéfices obtenus lors de cette soirée seront reversés aux enfants d'Efrîn et de Kermanshah. "Le problème kurde est un problème international." La deuxième partie d'émission est consacrée à l'association Migrantour représentée ce soir par Philippe John, responsable de Migrantour Paris, et Oulaimatou Diallo, médiatrice du Migrantour Paris. Née d'une initiative européenne, l'association donne la possibilité à des personnes issues des migrations de devenir guide de balades thématiques organisées dans Paris et d'autres villes européennes du réseau Migrantour. En échange, ces guides, appelés passeurs de culture, reçoivent des cours de français ! À Paris par exemple, ils et elles sont formés et accompagnés par des partenaires de l'association tels que le Musée national de l'Histoire de l'Immigration et l'Université Paris-Descartes, afin de faciliter l'intégration des personnes d'origine étrangère. "On fait un tourisme responsable, équitable et solidaire." Côté chroniques, June de notre partenaire Radio Parleur s'est rendu sur le Salon de l'agriculture, au "die-in" des Faucheurs Volontaires d'OGM réunis pour manifester contre l'utilisation des pesticides et notamment du glyphosate. Pour en savoir plus, rendez-vous ici. Quant à Quentin, il nous parle du retour du compositeur Nicolas Jaar avec son dernier album 2012-2017 dévoilé sous le mystérieux pseudonyme de A.A.L (Against All Logic). Présentation : Inès Edel Garcia / Réalisation : Antonin Simard / Co-interview : Xenia Ivanova et Noémi Gloor/ Chronique : June et Quentin Bresson / Web : Claire-Anaïs Rigagneau / Coordination : Nina Beltram et Elsa Landard

New Books Network
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books Network

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in Women's History
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman's Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in Women's History

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women's education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman's Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce's work in the field, bringing a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce's own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix's efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie's social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It's an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would've been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in Education
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in Education

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in History
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in History

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in French Studies
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in French Studies

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In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in European Studies
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in European Studies

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in Biography
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in Biography

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

New Books in African Studies
Rebecca Rogers, “A Frenchwoman’s Imperial Story” (Stanford UP, 2013)

New Books in African Studies

Play Episode Listen Later Oct 2, 2014 32:42


In the early 1830s, the French school teacher Eugénie Luce migrated to Algeria. A decade later, she was a major force in the debates around educational practices there, insisting that not only were women entitled to quality education, but that women’s education served a fundamental role in the French mission in the colonies. “Woman is the most powerful of all influences in Africa as in Europe,” she wrote in 1846, the year after she founded a school for the instruction of indigenous Muslim girls. In A Frenchwoman’s Imperial Story: Madame Luce in Nineteenth-Century Algeria, Rebecca Rogers (Stanford University Press, 2013), a Professor at the Université Paris Descartes and an expert in the history of the French educational system, lucidly explores Luce’s work in the field, bringing  a wealth of precise details– everything from what the lessons in the school room were like to prize-giving ceremonies and hygiene inspections. But Rogers also lets the reader in on the questions that remain about Luce’s own life. Rogers notes that while “Eugénie Allix’s efforts to establish and finance her school have left ample traces in the colonial archives,” there are many details of her life that are not present and which can only be lightly sketched. For example, “[C]ivil registers offer tenuous insight into Eugénie’s social network during her first decade of life in Algeria”… The circumstances of her second marriage “have left no trace in the archival record”… It’s an interesting meditation on the limitations of archives– how the story that is told of the life after is dependent upon the letters and signatures and red tape that the people of history have left behind them, as well as the moves the biographer must make to fill those gaps. So often the stories of women in history become the stories of all the men they knew and yet, in this case, the archive itself prevents that. As Rogers writes, the men in her life “[b]oth shaped her life in ways the biographer can only imagine” and yet the biographer is left to imagine precisely because the proof is not there. “She appears in the colonial archives as very much an independent woman,” which represents a rather refreshing reversal, almost as unique today as it would’ve been in the 19th century: a woman whose story stands solely on her work. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Cycle Compulsif
L'addiction au sexe, une nouvelle pathologie ?

Cycle Compulsif

Play Episode Listen Later Jun 18, 2014 84:41


Activité sexuelle obsessionnelle, Hypersexualité, Addiction ou assuétude au sexe, Nymphomanie … comment qualifier Dom Juan quand il devient « accro » ? Le sexe est-il quantifiable ? En France, depuis la sulfureuse « affaire DSK » les langues se délient sur cette forme d'addiction qui toucherait une part non négligeable de la population. Alors, réelle drogue ou nouveau sujet de société ? La pornographie gratuite sur internet a-t-elle amplifié ce phénomène ? De Shame à Nymphomaniac en passant par le plus confidentiel The Slut, le septième art brise-t-il les codes et les tabous ? Avec Vincent Estellon, maître de conférences à l'Institut de Psychologie, Université Paris Descartes, psychologue clinicien et auteur aux PUF ; Florence Sandis, auteur et journaliste-réalisatrice ; Thomas Sotinel, responsable culture, lemonde.fr.

Grand Palais
Cycle Compulsif : L’addiction au sexe, une nouvelle pathologie ?

Grand Palais

Play Episode Listen Later Jun 17, 2014 84:41


Activité sexuelle obsessionnelle, Hypersexualité, Addiction ou assuétude au sexe, Nymphomanie … comment qualifier Dom Juan quand il devient « accro » ? Le sexe est-il quantifiable ? En France, depuis la sulfureuse « affaire DSK » les langues se délient sur cette forme d’addiction qui toucherait une part non négligeable de la population. Alors, réelle drogue ou nouveau sujet de société ? La pornographie gratuite sur internet a-t-elle amplifié ce phénomène ? De Shame à Nymphomaniac en passant par le plus confidentiel The Slut, le septième art brise-t-il les codes et les tabous ? Avec Vincent Estellon, maître de conférences à l'Institut de Psychologie, Université Paris Descartes, psychologue clinicien et auteur aux PUF ; Florence Sandis, auteur et journaliste-réalisatrice ; Thomas Sotinel, responsable culture, lemonde.fr.

Exposition :
Limites, souffrances et dépassement

Exposition : "Le corps en mouvement"

Play Episode Listen Later Apr 27, 2013 58:02


Table ronde dans le cadre de l’exposition "Le corps en mouvement", proposée par l’Université Paris Descartes et la Fondation d’entreprise L’Oréal. Animée par Jean-Louis Caffier, journaliste. Intervenants : Axel Kahn, président de l’Université Paris Descartes, Sébastien Flute, champion olympique de tir à l’arc et Jean-François Toussaint, professeur de physiologie, co-fondateur et directeur de l’Institut de Recherche bioMédicale et d’Epidémiologie du Sport (IRMES). Nos sociétés se confrontent à de multiples obstacles, à la hauteur des progrès dont elles ont bénéficié depuis 10 générations. L’expansion de nos mobilités semble désormais limitée. Le constat est flagrant dans le domaine sportif. Il pourrait l’être aussi dans les domaines scientifique, économique, voire politique. L’amplitude des changements environnementaux, qui se multiplient par ailleurs, et la possibilité récente de les modéliser à l’échelle planétaire, posent de nouvelles questions. Elles nous interrogent sur les contraintes qui pèsent désormais sur notre espèce et, en particulier, les conséquences des modifications d’origine anthropique sur la santé humaine et sur ses marges de progression. Partant du domaine sportif, cette table ronde abordera les notions de réserve physiologique, génomique et culturelle. Elle contribuera aussi à poser un regard tendre, et non dénué d’humour, sur la mouvance et l’étendue de nos capacités d’interprétation face à ces possibles réalités.

Exposition :
Le visage, entre visible et invisible

Exposition : "Le visage dans tous ses états"

Play Episode Listen Later Apr 27, 2013 16:35


Table ronde avec Axel Kahn, président de l’Université Paris Descartes, Jean-Claude Ameisen, président du comité d’éthique de l’Inserm, Thierry Delcourt, psychanalyste et Françoise Gaillard, philosophe. Modérateur : Elisabeth Azoulay, directrice éditoriale de l’ouvrage /100 000 ans de Beauté.Caractères, passions, penchants, sentiments, émotions, psychologie, séduction, expression... Dans le rapport à l’autre, le visage jette des ponts entre le visible et l’invisible, le manifeste et le latent, l’âme et le corps, la personnalité et l’apparence physique. « Le regard est la fenêtre du cœur », « le visage est le miroir de l’âme », toutes sortes de métaphores expriment cette dialectique ô combien humaine... Table ronde dans le cadre de l’exposition "Le visage dans tous ses états", proposée par l’Université Paris Descartes et la Fondation d’entreprise L’Oréal.

Radio Curie, les podcasts
Décryptage - Les nouvelles techniques d’analyse de gene de predisposition génétique - 05/10/12

Radio Curie, les podcasts

Play Episode Listen Later Oct 5, 2012 4:32


Claude Houdayer, généticien à L’institut Curie et maitre de conférence à l’Université Paris Descartes sur les nouvelles techniques d’analyse de gene de predisposition génétique

Cérémonie 2011 de Remise des titres de - Docteur Honoris Causa - de l’Université Paris Descartes
01. Introduction de la Cérémonie de remise des titres de -Docteur Honoris Causa --de l’Université Paris Descartes

Cérémonie 2011 de Remise des titres de - Docteur Honoris Causa - de l’Université Paris Descartes

Play Episode Listen Later Nov 21, 2011 4:07


Introduction de la Cérémonie de remise des titres de -Docteur Honoris Causa --de l’Université Paris Descartes.

Cérémonie 2011 de Remise des titres de - Docteur Honoris Causa - de l’Université Paris Descartes

Éloge de Mme Anne George --par Mme Catherine Chaussain--, Professeur des universités - Praticien hospitalier en sciences biologiques, médecine, chirurgie buccale à la Faculté de chirurgie dentaire de l’Université Paris Descartes.

Cérémonie 2011 de Remise des titres de - Docteur Honoris Causa - de l’Université Paris Descartes
07. Conclusion de la Cérémonie de remise des titres de -Docteur Honoris Causa —de l’Université Paris Descartes

Cérémonie 2011 de Remise des titres de - Docteur Honoris Causa - de l’Université Paris Descartes

Play Episode Listen Later Nov 21, 2011 15:01


Exposition :
Beauté, langage du corps

Exposition : "Le corps en mouvement"

Play Episode Listen Later May 23, 2011 83:24


Table ronde dans le cadre de l’exposition "Le corps en mouvement", proposée par l’Université Paris Descartes et la Fondation d’entreprise L’Oréal. Intervenants :  Michela Marzano, philosophe et professeure à l’Université Paris Descartes ;  Thierry Delcourt, psychanalyste ;  Philippe Liotard, enseignant-chercheur à l'Université Lyon 1 ;  Georges Vigarello, directeur de recherche à l’EHESS Modérateur : Elisabeth Azoulay, directrice éditoriale du livre 100 000 ans de Beauté, Gallimard, 2009Proportions idéales, visage harmonieux, couleurs éclatantes, teint lumineux, corps paré… On pense d’abord que la beauté s’appréhende avec des qualificatifs. Mais c’est bien trop réducteur. En réalité elle vit et se déploie dans le verbe. Se contenter du qualificatif, condamnerait à n’évoquer que la beauté de l’icône ou celle du canon, à occulter celle du vivant, de l’humain. Toujours mouvante, toujours active, la beauté humaine se projette et interagit, elle capte le regard et le renvoie, elle se construit et se corrompt. Tapie dans tous les verbes dont l’être humain est le sujet, elle passe du geste à peine perceptible au mouvement théâtral, du réflexe à l’acte réfléchi, elle s’inscrit dans la banalité quotidienne autant que dans la prouesse car elle veut sourire, séduire, marcher, danser, exprimer, dire, pleurer, poser, parler, toucher, caresser, bouger, rire, dormir, porter, chanter, courir…

Exposition :

Conférence de Bernard Devauchelle, auteur de la première greffe du visage. Animée par Marcel Ichou, journaliste.La greffe du visage a suscité des discussions, soulevé des interrogations : chirurgie, éthique, importance de l’apparence, rapport avec les médias, psychologie... Après la réussite d’une greffe totale du visage en Espagne en 2010, cinq ans après la première greffe du visage réalisée à Amiens, à laquelle ont succédé douze autres greffes, ces questions restent toujours d’actualité… Conférence dans le cadre de l’exposition "Le visage dans tous ses états", proposée par l’Université Paris Descartes et la Fondation d'entreprise L'Oréal au Réfectoire de Cordeliers.

Exposition :

Conférence de Michela Marzano, Université Paris Descartes, présentée par François de Singly, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes et Directeur du Cerlis. Organisé par la mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes dans le cadre de l’exposition "Trois artistes à l’écoute du corps", qui a lieu du 6 au 28 avril 2010.Le corps est l’une des données constitutives et évidentes de l’existence humaine : c’est dans et avec son corps que chacun de nous est né, vit, meurt ; c’est dans et par son corps qu’on s’inscrit dans le monde et qu’on rencontre autrui. Chacun est à la fois un corps physique projeté dans le monde du « dehors » et un corps psychique qui renvoie au « dedans » de l’être. Pourtant, le seul corps aujourd’hui acceptable semble être un corps parfaitement maîtrisé. Depuis les images publicitaires jusqu’aux vidéo-clips, nous sommes d’ailleurs confrontés à un nombre croissant de représentations qui renvoient toutes, d’une façon ou d’une autre, à l’idée de « contrôle » : exhiber un corps bien maîtrisé semble la preuve la plus évidente de la capacité d’un individu à assurer un contrôle sur sa propre vie. C’est l’image corporelle qui séduit ou choque, allèche ou dégoûte. La rhétorique contemporaine est bien rodée. Chaque individu doit être libre de choisir la vie qui lui convient : il doit pouvoir « être lui-même ». Mais, pour cela, il ne lui suffit pas tout simplement « d’être ». Le corps doit être contrôlé. Au point qu’on peut affirmer, sans trop se tromper, que derrière la prétendue liberté de déterminer sa propre vie par la domestication du corps, se cache une dictature des préférences, des désirs et des émotions. Michela Marzano est philosophe, chargée de recherches au CNRS, Université Paris Descartes. Elle travaille dans le domaine de la philosophie morale, politique et s'intéresse en particulier à la place qu'occupe aujourd'hui l'être humain, en tant qu'être charnel. L'analyse de la fragilité de la condition humaine représente pour elle le point de départ de ses recherches et de ses réflexions philosophiques. Elle est notamment l'auteur du Dictionnaire du Corps et de Philosophie du Corps. PUF, 2007. Elle vient de publier L'éthique appliquée, dans la collection « Que sais-je ? » PUF, 2010.

Débats Descartes
Eloge de la médecine

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Jun 29, 2010 60:51


La mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes "Eloge de la médecine", par Patrick Berche, Doyen de la Faculté de Médecine Paris Descartes, animé par Catherine Halpern, journaliste au mensuel Sciences Humaines.

Exposition :
L’invention de la silhouette aux limites de l’art (XVIIIe-XXIe siècles)

Exposition : "Trois artistes à l’écoute du corps"

Play Episode Listen Later May 27, 2010


Conférence de Georges Vigarello, Directeur de recherche à l'EHESS, présentée par François de Singly, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes et Directeur du Cerlis. Organisé par la mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes dans le cadre de l’exposition "Trois artistes à l’écoute du corps", qui a lieu du 6 au 28 avril 2010.La notion de « silhouette » est une invention historique. Le mot apparaît dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Il témoigne d’une volonté précise : celle de prendre en compte l’ensemble du corps lorsqu’est évoquée sa présence, celle de désigner cette même présence en l’enveloppant d’un seul regard. La nouveauté du mot est accompagnée d’une nouveauté de l’iconographie : dessiner autrement les allures et les tenues, accentuer le sens global des contours et des traits. L’enjeu, dans ce cas, est bien de souligner l’importance de la globalité corporelle comme celle de sa singularité. Cette invention du XVIIIe siècle, celle même qui permet de croiser le mot et le trait, porte sur ce qui ne cessera de hanter la société occidentale moderne jusqu’aux sensibilités les plus récentes : interroger le « mystère » de la présence physique (et non plus seulement celui de l’âme) interroger son individualité, son évidente personnalisation. Pourquoi la silhouette ? Pour conduire les études sur le corps vers des objets circonstanciés et précis : éviter coûte que coûte les approximations et généralités qui affaiblissent les investigations des sciences sociales à son sujet. Georges Vigarello est directeur de recherches à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales L'ensemble de son travail porte sur l'histoire des représentations et des pratiques du corps. Il obéit à un projet bien particulier : montrer combien ces représentations et ces pratiques révèlent, dans leurs trajets historiques, des changements majeurs de culture et de société. Les titres de ses ouvrages trahissent ses préoccupations : le corps avec ses normes et les pratiques destinées à l'embellir, à l'entretenir : Histoire de la beauté, corps et embellissement de la Renaissance à nos jours. Ed. du Seuil, 2004. Le sain et le malsain, santé et mieux être depuis le Moyen Age, Ed. du Seuil, 1993. Il vient de publier Les Métamorphoses du gras - Histoire de l'obésité, aux éditions du Seuil en Mars 2010.

Débats Descartes
Eloge de l’adolescence

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Apr 26, 2010 79:15


La mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes "Eloge de l'adolescence", par François MARTY, Directeur de l’Institut de Psychologie Paris Descartes et président du Collège International de L'Adolescence (CILA), animé par François de SINGLY, professeur de sociologie à l'Université Paris Descartes et Directeur du Cerlis.

Débats Descartes
Eloge du médicament

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Apr 13, 2010 85:00


Eloge du médicament La mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes "Eloge du médicament", par Bruno FALISSARD, professeur de biostatistique à l’université Paris-Sud et directeur de l’unité Inserm U669 de la Maison de Solenn, animé par Jean-François MARMION, journaliste au mensuel Sciences Humaines.

Débats Descartes
Eloge de la solidarité

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Mar 8, 2010


Eloge de la solidarité La mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes "Eloge de la solidarité", par Nicolas DUVOUX, maître de conférence en sociologie à l'Université Paris Descartes et membre du Cerlis, animé par Héloïse LHERETE, journaliste au mensuel Sciences Humaines.

Débats Descartes
"UNE MORT MODERNE, la conférence du Docteur Storm"

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Feb 24, 2010


La mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes du 25 janvier 2010, autour du spectacle "UNE MORT MODERNE, la conférence du Docteur Storm" (mise en lecture et jeu de Bruno TUCHSZER, d’après Carl-Henning WIJKMARK, Traduction de Philippe BOUQUET) suivi d'un débat avec Axel KAHN. Ce spectacle est une production de La Virgule, Centre Transfrontalier de Création Théâtrale Tourcoing-Mouscron, direction Jean-Marc CHOTTEAU

Débats Descartes
Eloge de la dignité humaine

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Dec 10, 2009 99:58


La mission "Savoir et Culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes "Eloge de la dignité humaine", par Axel KAHN, président de l’Université Paris Descartes, animé par Jean-François DORTIER, directeur du mensuel Sciences Humaines.

Débats Descartes
Le cerveau rationnel et conscient : une illusion ?

Débats Descartes

Play Episode Listen Later May 28, 2009 95:14


La mission "Savoir et culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes Le cerveau rationnel et conscient : une illusion ? Débat entre Olivier HOUDE, psychologue et professeur à l’Université Paris Descartes et Jean-Didier VINCENT, neurobiologiste et membre de l’Institut de France, animé par Jean-François MARMION, journaliste à Sciences Humaines.

Débats Descartes
La vérité des chiffres : une illusion ?

Débats Descartes

Play Episode Listen Later May 27, 2009 87:46


La mission "Savoir et culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes La vérité des chiffres : une illusion ? Débat entre Alain BLUM, démographe, directeur de recherche à l’INED et Olivier MARTIN, sociologue, professeur à l’Université Paris Descartes, animée par Martine FOURNIER (journaliste à Sciences Humaines).

Journées Numériques
05. Journée Numérique 2009 : Enseigner autrement avec Acolad

Journées Numériques

Play Episode Listen Later May 6, 2009 71:49


La distance pour changer le rapport à la pédagogie. Par Alain Jaillet, Université de Strasbourg. Classe virtuelle et environnement d'apprentissage à distance. Par Gérard Lévy, Université Paris Descartes.

Débats Descartes
le "je" : une illusion ?

Débats Descartes

Play Episode Listen Later Dec 9, 2008 88:18


La mission "Savoir et culture" de l’Université Paris Descartes vous propose le Débat Descartes "le "je" : une illusion ?", entre Pierre Buser, membre de l’Académie des sciences, et Jean-Claude Kaufmann, directeur de recherche au Cerlis, animé par Catherine Halpern, journaliste à Sciences Humaines.