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Alexandre Dana reçoit Matthieu Ricard, moine bouddhiste, photographe et interprète français du Dalaï-Lama. À l'heure où nous mitraillons le réel de milliers d'images sans plus vraiment le regarder, que devient notre capacité d'émerveillement ? Comment la lumière, les formes et les couleurs deviennent-elles une voie spirituelle lorsqu'on apprend à les accueillir plutôt qu'à les capturer ? La photographie peut-elle encore être un art du silence, de la présence et de la contemplation ? Matthieu Ricard et Alexandre Dana nous embarquent dans un lumineux voyage visuel et méditatif ! Le livre de Matthieu Ricard, Lumière, est publié chez Allary Éditions. Épisode #630Quelques citations du podcast avec Matthieu Ricard :"Les privations de contact avec la nature nuisent à la créativité.""La lumière ultime, c'est celle de l'éveil spirituel.""S"émerveiller devant le potentiel de l'être humain, mettre en accent notre humanité commune, on en a tant besoin pour faire face au défi du XXIe siècle."À réécouter : #431 Matthieu Ricard : La puissance des liens#249 Matthieu Ricard : L'amour altruiste#180 Matthieu Ricard & Ilios Kotsou : Folles histoires du sage Nasredin#54 Matthieu Ricard : S'émerveiller, un chemin de vastitude intérieureRecevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Matthieu Ricard :00:00Introduction02:00Présentation invité02:47La lumière pour un photographe04:20Les risques d'une vie sans lien avec la nature06:25Lien quête de lumière / quête spirituelle09:16Le symbole de la lumière dans le bouddhisme12:09Comment cultiver la lumière au quotidien ?14:14Nourrir l'altruisme18:16Les formes fractales et l'art d'observer20:19L'évidence de certaines photos22:15Nourrir son émerveillement en ville26:15La solidarité face aux crises27:09Patience et détermination29:39L'intention derrière les nouveaux outils numériques34:28Protéger sa qualité de présence37:19L'association Karuna-Shechen39:16Le passage de l'argentique au numérique43:31Voir un univers dans un grain de sableAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La géopolitique vue d'en haut : territoires, frontières, ressources. Lire les tensions du XXIe siècle autrement Pendant quelques décennies, on a cru que la mondialisation effaçait les frontières, que les flux économiques et numériques reléguaient la géographie au second plan. Mais l'histoire se charge de nous rappeler que le territoire reste au cœur des rapports de force. L'Ukraine, Gaza, Taïwan, l'Arctique, les grands fleuves d'Afrique ou d'Asie : partout, les lignes sur une carte disent quelque chose des tensions qui s'exacerbent autour des sols, de l'eau, des routes maritimes, des ressources critiques.Comprendre la géopolitique, c'est comprendre cette articulation entre espace, ressources et pouvoir. Et c'est là que les cartes deviennent essentielles : elles permettent de voir en un instant ce qu'aucun texte ne peut raconter, mais elles sont aussi des récits en elles-mêmes, parfois des instruments de légitimation ou de manipulation.Aujourd'hui, alors que le changement climatique reconfigure les routes maritimes, que la transition énergétique redessine les rapports de force, et que de nouvelles vulnérabilités apparaissent, il est urgent de réapprendre à lire le monde à travers ses territoires.Pour en parler, j'accueille Virginie Raisson-Victor, experte en géopolitique et en prospective, qui a notamment co-créé l'émission Le dessous des cartes. Elle nous aide à décrypter ce que révèlent les cartes sur les grands enjeux du siècle.Série “La République des cartes”, en partenariat avec l'IGN. La carte n'est pas qu'un outil : c'est une invitation à voir le monde autrement, à agir collectivement et à imaginer des futurs communs. La République des Cartes, c'est cette aventure ambitieuse qui rassemble chercheur·euses, artistes, élu·e·s, entreprises, associations et citoyen·ne·s pour faire des cartes un levier de démocratie et de transition.Interview enregistrée le 25/09/2025---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 00:05:44 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Alors que l'on célèbre les 80 ans de la Sécurité sociale, des réflexions se font jour pour proposer qu'un nouveau risque soit pris en charge par la solidarité nationale : les coûts liés à la multiplication des conséquences du dérèglement climatique et ceux engendrés par la transition écologique. - invités : Marine Braud Associée-fondatrice d'Alameda, ex-conseillère écologie auprès de l'ancienne Première ministre Élisabeth Borne
Cette semaine dans Silicon Carne on parle du :
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Actualités. Gros plan. International. La Slovaquie sans frontieres. La Vie comme elle va. La céramique fait partie des métiers d'art populaire pratiqué en Slovaquie, terre de tradition. Rencontre avec Ján Viglaš : ce céramiste slovaque expérimenté fabrique des objets de grande taille. Le Musée du Design inaugure sa deuxieme exposition consacrée au design slovaque. L'exposition présente une sélection d'ouvres représentatives, intemporelles et uniques du design slovaque des XXe et XXIe siecles.
Le 11 septembre 2001, les États-Unis sont frappés par l'attentat le plus marquant de leur histoire. Dans cette vidéo, je vous propose de revivre cette journée qui a bouleversé le monde :1. Le contexte qui a mené à ces attaques2. Le 11 septembre raconté heure par heure3. L'après, avec vingt ans de guerre, de décisions politiques et de conséquences qui touchent encore notre quotidien.Un récit clair et documenté pour mieux comprendre comment, en quelques heures, le monde a basculé dans le XXIe siècle.
François, un pape inattendu (épisode 1/4)Le pape François s'est éteint le 21 avril 2025, à l'âge de 88 ans. À cette occasion, les correspondants de La Croix au Vatican livrent leur regard sur les années marquantes de son pontificat, entamé en 2013. À travers leurs témoignages, ils racontent comment ils ont couvert ce pontife venu des « confins du monde », qui aura marqué l'Église catholique d'une empreinte singulière.Dans ce premier épisode, Frédéric Mounier, correspondant permanent de La Croix au Vatican à l'époque, revient sur les heures et les jours qui ont précédé l'élection du cardinal argentin Jorge Mario Bergoglio. Le 13 mars 2013, ce nom résonne comme une surprise dans la salle de presse du Vatican. Peu connu du grand public, l'archevêque de Buenos Aires n'était pas parmi les favoris. Pourtant, c'est bien lui que les cardinaux réunis en conclave choisissent pour succéder à Benoît XVI.Dès son apparition au balcon de la basilique Saint-Pierre, François donne le ton : simplicité, humilité, et proximité avec les fidèles. Le style du nouveau pape tranche avec celui de ses prédécesseurs. Il choisit de s'installer dans la résidence Sainte-Marthe plutôt qu'au palais apostolique, refuse certains signes extérieurs du pouvoir pontifical, et insiste sur le rôle pastoral du successeur de Pierre.Tout au long de ses douze années de pontificat, le pape François n'a cessé de bousculer les habitudes bien établies au sein du Vatican. Il a placé les périphéries au cœur de son action, renouvelé la parole sociale de l'Église, et donné une place inédite aux enjeux écologiques, notamment avec l'encyclique Laudato si'. S'il a suscité l'enthousiasme d'une grande partie du monde catholique, ses positions ont aussi parfois dérouté, voire inquiété certains cercles plus conservateurs. Mais sa détermination à réformer, à dialoguer avec les autres religions et à faire de la foi un levier d'engagement concret dans le monde n'a jamais faibli.Dans cette série en quatre épisodes, La Croix revient sur le parcours d'un pape dont le style et la vision ont transformé le visage du catholicisme au XXIe siècle.► Vous avez une question ou une remarque sur notre podcast dédié au pape François ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com CRÉDITS :Rédaction en chef : Loup Besmond de Senneville et Paul de Coustin. Réalisation : Clémence Maret, Célestine Albert-Steward, Flavien Edenne. Textes : Clémence Maret et Célestine Albert-Steward. Captation et montage : Flavien Edenne. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Musique et mixage : Emmanuel Viau. Voix : Laurence Szabason. Illustration : Isaline Moulin. Directrice du marketing audience et développement de la marque : Laurence Szabason.Place Saint-Pierre est un podcast original de LA CROIX - Avril 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:53 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - «L'accès à des informations fiables est la ressource fondamentale qui alimente l'économie du XXIe siècle», estiment une dizaine d'économistes dont les Nobel Joseph Stiglitz et Daron Acemoglu dans une déclaration collective publiée par le Forum sur l'information et la démocratie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:53 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - «L'accès à des informations fiables est la ressource fondamentale qui alimente l'économie du XXIe siècle», estiment une dizaine d'économistes dont les Nobel Joseph Stiglitz et Daron Acemoglu dans une déclaration collective publiée par le Forum sur l'information et la démocratie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:53 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - «L'accès à des informations fiables est la ressource fondamentale qui alimente l'économie du XXIe siècle», estiment une dizaine d'économistes dont les Nobel Joseph Stiglitz et Daron Acemoglu dans une déclaration collective publiée par le Forum sur l'information et la démocratie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Nous sommes le 10 mai 1953, à Saint-Etienne, à 60 km, au sud-ouest de Lyon. Dans une allocution qu'il prononce à la bourse du travail, le futur prix Nobel de littérature, auteur de « La Peste » ou de « L'Etranger, Albert Camus déclare : « Si quelqu'un vous retire votre pain, il supprime en même temps votre liberté. Mais si quelqu'un vous ravit votre liberté, soyez tranquille, votre pain est menacé, car il ne dépend plus de vous et de votre lutte, mais du bon plaisir d'un maître. La misère croît à mesure que la liberté recule dans le monde et inversement. » Gage de stabilité politique au cours des siècles, la pain, lorsqu'il vient à manquer, devient le combustible des révolutions. Un peu moins de deux siècles plus tôt, en 1770, dans ses « Dialogues sur le commerce des blés », l'abbé Galiani, économiste italien, écrit : « Le blé peut être regardé comme une production du sol, et sous cette vue, il appartient au commerce et à la législation économique. Ensuite, il peut et doit être, en même temps, regardé comme la matière de première nécessité et le premier soin de l'ordre civil des sociétés, et sous ce point de vue, il appartient à la politique et à la raison d'Etat ». Invités : Coline Arnaud et Denis Saillard, chercheuse et chercheur au Centre d'histoire culturelle des sociétés contemporaines, à l'université de Versailles. « Pain et liberté – Une histoire politique du pain, du Moyen Âge au XXIe siècle » paru aux éd. Textuel. Sujets traités : pain, politique, liberté, Albert Camus, misère, blé Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bien traiter l'environnement dans les médias, c'est le titre d'un livre publié en France à destination des journalistes. Car si les enjeux écologiques prennent davantage de place dans l'actualité qu'il y a quelques années, il reste encore du travail. L'atelier des médias reçoit les deux auteurs de ce manuel pour faire le point et trouver des pistes pour mieux informer sur ces questions qui nous concernent toutes et tous. Béatrice Héraud et Valéry Laramée de Tannenberg, co-auteurs de Bien traiter l'environnement dans les médias, paru en juillet 2025 chez ÉdiSens, dressent un bilan mitigé du traitement de l'urgence écologique par les rédactions. Ce qu'ils qualifient de « défi principal du XXIe siècle » est largement « sous-traité et maltraité par les médias ». Un traitement « extrêmement inégal » et hors sol Pour Béatrice Héraud, journaliste spécialisée sur ces questions depuis quinze ans, le traitement de l'environnement est « extrêmement inégal selon les supports ». Elle observe que lors des débats politiques, en particulier durant les campagnes électorales, il y a « extrêmement peu de questions sur l'environnement ». Lorsque ces sujets sont abordés, c'est presque « quasiment exclusivement sous le prisme de l'énergie ». Valéry Laramée de Tannenberg, qui entre autres casquettes est président de l'Association des journalistes de l'environnement (AJE), note que, malgré une augmentation du nombre de sujets, « on a sacrifié la qualité ». Il insiste sur la nécessité que tous les journalistes se saisissent des enjeux écologiques, au-delà des rubriques spécialisées. Par exemple, il qualifie d' « hors sol » les journalistes économiques qui n'interrogent pas les patrons sur l'impact climatique de leurs activités. La peur d'être considéré comme militant et la complexité scientifique L'un des freins majeurs est le manque de formation. Valéry Laramée de Tannenberg rappelle que l'écologie « c'est de la biologie, c'est de la physique, c'est de la thermodynamique, c'est plein de choses très compliquées », ce qui nécessite de s'y plonger « pleinement et de façon ardue » afin de créer un socle de compétences commun. Béatrice Héraud confirme que la difficulté principale soulevée par les professionnels qu'elle rencontre lors des formations qu'elle dispense, c'est la crainte « d'apparaître comme militant ». Or, comme le rappelle Steven Jambot, le paradoxe est que l'« on se retrouve à être accusé d'être militant alors même que l'on est du côté de la science ». Face à l'écoanxiété – qui touche aussi les journalistes –, Béatrice Héraud suggère que les médias proposent des sujets « plus orientés solution », permettant aux journalistes de « sortir la tête de l'eau ». Valéry Laramée de Tannenberg cite en exemples deux quotidiens britanniques, le Financial Times et le Guardian, qui considèrent le climat comme un sujet transversal, devant « être traité par tout le monde ». Il conclut que la défense de l'environnement est « un projet de société » qui doit être porté par l'ensemble des composantes du débat public, dont les médias.
Comme chaque année, à l'automne, la littérature est à la fête. Les prix tombent comme les feuilles, et comme les festivals littéraires. Notamment celui du Mans, «Faites lire !», qui se déroule du 29 septembre au 5 octobre 2025. Cette année, des centaines d'auteurs se déplaceront pour signer et parler de leurs œuvres. C'est le cas de l'auteur et illustratrice Rébecca Dautremer, l'invitée d'honneur de cette édition. Avec plus de 2 millions de livres vendus, traduits en vingt-et-une langues, Rébecca Dautremer est l'une des plus grandes illustratrices pour enfants du XXIe siècle. On l'a découvert en 2009 avec son album Princesses oubliées ou inconnues qui fut un immense succès. Depuis, on reconnaît son pinceau en librairie, avec ses créatures sombres et fantastiques. Elle a réinventé Alice au Pays des Merveilles, revisité Des souris et des hommes de Steinbeck et créé le petit lapin Jacominus, animal adorable aux yeux ronds comme des olives noires dont on suit les aventures depuis bientôt dix ans.Dans ce nouvel épisode du Moment des livres, la journaliste Alice Develey reçoit l'auteur et illustratrice Rébecca Dautremer.Vous pouvez retrouver Le Moment des livres sur Figaro Radio, le site du Figaro et toutes les plateformes d'écoute. Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à vous abonner et à donner votre avis !Animation : Alice DeveleyMontage : Jade VerbekePrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Salomé Boulet, pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous poursuivons le portrait de Jan Smuts, homme d'Etat sud-africain, impérialiste et raciste convaincu, qui illustre les ambivalences de l'ordre colonial mondial à la recherche d'un équilibre mondial de paix incarné par la Société des Nations puis par l'ONU. Un équilibre étrange à nos yeux du XXIe siècle ou le racisme d'Etat cohabite avec la recherche d'un universalisme mais un universalisme hiérarchisé, où paix et progrès ne remettent pas en question les discriminations raciales. Chercheur à l'université de Genève, Thomas Gideney retrace la suite de la trajectoire politique internationale de Jan Smuts au micro de David Glaser.
durée : 00:47:45 - La 20e heure - par : Eva Bester - L'écrivaine, traductrice et critique de cinéma vient nous parler de son nouveau roman « Nerona » sorti chez Actes Sud. Le portrait d'une Lady Macbeth du XXIe siècle, paranoïaque, autoritaire, climatosceptique, égérie de l'efficacité gouvernementale et pourfendeuse de toutes les « déviances ». Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:09 - Une semaine dans leurs vies - Le Centre historique minier de Lewarde a lancé un programme de "décarbonation". Le défi ? valoriser le patrimoine minier du Nord tout en devenant un lieu démonstrateur de la question énergétique au XXIe siècle, et raconter l'aventure du charbon dans le contexte du réchauffement climatique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Une vidéo polémique laisse entendre que les journalistes de France Inter Patrick Cohen et Thomas Legrand complotent avec des cadres du Parti Socialiste contre la candidate LR Rachida Dati pour les prochaines élections municipales à Paris.Le Premier ministre François Bayrou fait face à un vote de confiance décisif à l'Assemblée Nationale, alors que l'opposition de droite et d'extrême-droite dénonce une collusion entre les journalistes de France Inter et le Parti Socialiste.Le pape s'apprête à canoniser Carlo Acutis, un adolescent italien décédé à 15 ans, devenant le premier saint du XXIe siècle, surnommé le "geek de Dieu" pour ses talents en informatique.La météo du dimanche s'annonce mitigée avec des nuages et quelques averses sur l'Ouest, mais un temps ensoleillé et estival à l'Est avec des températures dépassant localement les 30 degrés.Le championnat de rugby Top 14 reprend avec notamment la victoire de Bordeaux-Bègles face à La Rochelle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
This week, we hear from researcher and activist Dr. Sadia Agsous-Bienstein, recorded at a teach-in hosted at the Institute of Postcolonial Studies in Naarm/Melbourne.Sadia speaks on the erased histories of Arab–Jewish solidarities and their meaning in the current moment of genocide in Gaza, perpetrated by Israel and its Zionist footsoldiers — including descendants of Jewish communities of North Africa and the Middle East.From anti-fascist resistance in colonial Algeria, to Arab solidarities against European antisemitism, to shared struggles against colonial rule in the Maghreb and Mashreq, Sadia traces how Western colonial divide-and-rule and Zionist settler-colonialism fractured and erased attempts at common life and joint struggle between Jews, Arab-Muslims, and Palestinians.In the second half of the show, Tasnim Sammak joins Sadia in conversation to reflect on what these histories mean in the current moment of genocide in Gaza — and how remembering solidarities is itself an act of resistance.Sadia mentions the following authors in her talk:Avi Shlaim, Three Worlds: Memoirs of an Arab-Jew. London: Oneworld Publications, 2019.Ella Shohat, On the Arab-Jew, Palestine, and Other Displacements. London: Pluto Press, 2017.Rashid Hussein, Selected Poems. Edited by Adina Hoffman, translated by Sasson Somekh. Jerusalem: Ibis Editions, 2002.Sadia Agsous, Le dialogue culturel entre Palestiniens et Israéliens dans les années 1950 : Rashed Hussein et Sasson Somekh, histoire d'un rendez-vous manqué, dossier spécial, L'histoire culturelle des relations entre Juifs et Arabes en Palestine/Israël de la fin du XIXe siècle au début du XXIe siècle, Revue d'histoire culturelle XVIIIe-XXIe siècles, 2021.Mahmoud Darwish, interview cited in Elia J. Ayoub, The Jewish and Arab Questions and European Fascism, eliaayoub.com, 22 May 2021. Please note the guest lecture was co-organised by Tasnim Sammak and this week's presenter, Scheherazade Bloul.
Dans cette édition :Une vidéo polémique laisse entendre que les journalistes de France Inter Patrick Cohen et Thomas Legrand complotent avec des cadres du Parti Socialiste contre la candidate LR Rachida Dati pour les prochaines élections municipales à Paris.Le Premier ministre François Bayrou fait face à un vote de confiance décisif à l'Assemblée Nationale, alors que l'opposition de droite et d'extrême-droite dénonce une collusion entre les journalistes de France Inter et le Parti Socialiste.Le pape s'apprête à canoniser Carlo Acutis, un adolescent italien décédé à 15 ans, devenant le premier saint du XXIe siècle, surnommé le "geek de Dieu" pour ses talents en informatique.La météo du dimanche s'annonce mitigée avec des nuages et quelques averses sur l'Ouest, mais un temps ensoleillé et estival à l'Est avec des températures dépassant localement les 30 degrés.Le championnat de rugby Top 14 reprend avec notamment la victoire de Bordeaux-Bègles face à La Rochelle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Surnommée « la Divina », Maria Callas demeure encore au XXIe siècle l'une des cantatrices les plus célèbres, à la fois par le timbre particulier de sa voix, son art du chant et sa vie amoureuse – une tragédie moderne. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'artiste qui a vendu le plus d'albums aux États-Unis depuis le début du XXIe siècle. Aujourd'hui, Decode vous raconte l'histoire du petit garçon chétif qui a grandi dans une caravane et est devenu l'un des plus grands rappeurs de tous les temps. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Quand naît l'idée d'Europe ? À quelle période apparaissent les valeurs et les structures considérées aujourd'hui comme ses fondements politiques, économiques, culturels et religieux ? L'Antiquité, le Moyen Âge ou l'époque moderne nous ont-ils légué le libéralisme, la démocratie, l'égalité entre les peuples et les individus ? Pour répondre à ces questions, cette série d'ouvrages se penche sur l'émergence, la construction et l'évolution de l'Europe vue aujourd'hui comme un ensemble homo-gène, voire intangible et uniforme. Elle offre une lecture originale et pertinente de la manière dont cet espace a été perçu par les peuples qui l'ont occupé au travers des âges et sur lequel ils ont pro-jeté progressivement un substrat religieux, politique, et parfois civilisationnel. Ce premier volume s'ouvre sur la préhistoire pour se conclure à la fin de la période antique, au Ve siècle. L'Europe des institutions étatiques et du droit, de la science et des techniques, de l'alphabet et du plurilinguisme, de la psychanalyse et de la philosophie, des fêtes et des plaisirs, et de tant d'autres choses encore, doit en effet beaucoup à l'Antiquité. Les parois peintes de Lascaux, les mégalithes de Stonehenge, l'Acropole d'Athènes et le Colisée de Rome, Spartacus et Astérix font bien partie intégrante de l'imaginaire des Européens du XXIe siècle, et plus encore, de tous ceux qui s'affirment comme des Occidentaux. C'est pourquoi les auteurs, à travers un récit d'une richesse exceptionnelle, interrogent la géographie même de l'Europe, racontent les grandes évolutions hu-maines et politiques depuis les temps les plus anciens et explorent la richesse culturelle et sociale du legs antique.L'historienne qui a dirigé ce premier tome, Violaine SEBILLOTTE CUCHET, est notre invitée en studioHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Depuis ces derniers jours, tribunes, éditoriaux et autres chroniques au vitriol se succèdent dans les colonnes des journaux au Maroc, avec comme cible une série d'articles publiés récemment par le quotidien français Le Monde. Au total, 6 articles, 6 pleines pages sur le souverain chérifien. Une série intitulée « l'énigme Mohammed VI », avec 6 épisodes donc. On peut citer quelques titres : « au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI » ; « Mohammed VI, le monarque des réformes inachevées » ; « Mohammed VI, roi des grandes manœuvres diplomatiques », ou encore, « Mohammed VI, le makhzen et l'art des secrets de palais ». Le Monde présente ainsi sa série : « Vingt-six ans après son arrivée au pouvoir, le souverain marocain demeure un personnage complexe, dont le rapport au pouvoir ne cesse d'interroger. Alors que la question de sa succession commence à se poser, nous retraçons son parcours ». « Ignominie journalistique… » La presse marocaine a donc très vite réagi. Dès le lendemain de la parution du premier article du Monde, le quotidien L'Opinion faisait grincer sa plume : « la vilénie qui sous-tend la trame malicieusement tissée de cet article mensonger est d'une bassesse inégalée et franchement étonnante de par sa médiocrité. Si le méfait était l'œuvre d'un vulgaire tabloïd […], on ne s'en serait guère étonné et même pas offusqué. Mais que cette ignominie journalistique émane d'un journal aussi expérimenté et prestigieux que Le Monde ne peut que décevoir ». Quelques jours plus tard, le site d'information Hespress, l'un des plus lus dans le royaume, dégaine à son tour : « les Marocains n'avaient pas besoin d'une nouvelle preuve que Le Monde a perdu ce qui lui restait de crédibilité, s'exclame-t-il. Autrefois respecté et considéré comme un média d'élite, le mythe du journalisme français est tombé très bas, devenu une machine à salir, un papier de basse besogne désolant. Ces articles consacrés au Maroc et à son roi sont publiés sous forme d'une pseudo "enquête journalistique" comme s'il s'agissait d'une découverte scientifique, alors qu'en réalité ce n'est rien d'autre qu'un pamphlet médiocre, réalisé dans un esprit de rancune et de règlement de comptes ». Un « deal médiatico-politique » ? le360, autre site d'information marocain, enfonce le clou, avec ce titre : « Le Monde à l'envers. […] Au lieu d'éclairer, dénonce-t-il, le journal cabotine. L'enquête prend la forme d'un miroir convexe où défilent clichés orientalistes et colportage de cancans. La fécondité créatrice de la fiction se mue en stérilité journalistique, incapable de produire autre chose que des reflets biaisés orientés vers le sensationnel. Le journal ne décrit pas le Royaume : il monte son propre spectacle ». Et le360 de dénoncer « un choix éditorial qui ressemble fort à un deal médiatico-politique. Certaines voix, à Paris comme à Alger, chercheraient-elles à renouer le fil ? Le quotidien ajuste sa focale et joue sa partition. […] Lorsqu'un organe de presse travestit sa mission et se met au service d'influences étrangères, peut-on encore parler de média indépendant ? ». Et puis le monde politique marocain a également réagi… à l'unisson. Même l'opposition a exprimé son indignation. Exemple, cité par le site Yabiladi : « le journal Bayane Al Yaoum du PPS, le Parti du progrès et du socialisme, a estimé que la série d'articles du Monde "ne relevait pas du cadre de la pratique journalistique professionnelle ou des différences légitimes d'approche, mais plutôt d'une campagne systématique visant le Maroc, s'appuyant sur des rumeurs et de la désinformation" ». L'énigme Mohammed VI… Levée de boucliers donc de la presse et du monde politique. En revanche, aucune réaction officielle. C'est ce que souligne Afrik.com : « fait remarquable, le palais royal maintient un silence total. Aucun communiqué, aucune réaction formelle émanant directement de l'institution monarchique. Cette stratégie du mutisme contraste avec l'agitation médiatique orchestrée en sous-main ». Au final, analyse Afrik.com, « Mohammed VI reste effectivement une "énigme", mais peut-être pas celle que décrit Le Monde. L'énigme n'est pas tant dans sa santé fragile ou ses absences répétées que dans sa capacité à maintenir un système monarchique absolutiste au XXIe siècle, à quelques kilomètres de l'Europe démocratique ». Et Afrik.com de s'interroger : « Comment concilier l'image d'un roi moderne, amateur de jet-ski et de sports mécaniques, avec celle du Commandeur des croyants, héritier d'une tradition séculaire ? Comment gérer la transition vers son fils dans un contexte régional instable ? Comment maintenir l'équilibre entre ouverture économique et fermeture politique ? Comment gérer une alliance avec Israël, premier fournisseur d'armement du Royaume, alors que la population soutient massivement Gaza ? ».
Au moins 17 personnes, dont quatre enfants, ont été tuées la nuit à Kiev lors d'une des plus importantes attaques russes contre l'Ukraine. Le Kremlin se dit toujours intéressé par les négociations sur un accord de paix, mais assure que ses « forces armées » continueront de frapper tant que les objectifs ne seront pas atteints. Un bâtiment abritant des locaux de l'Union européenne a été endommagé dans ces frappes, tout comme le British Council, poussant Bruxelles et Londres à convoquer les ambassadeurs russes respectifs. Alors cette nouvelle offensive est-elle un tournant dans la guerre ? L'analyse de Thibault Fouillet, directeur scientifique de l'Institut d'études de stratégie et de défense de l'université Jean-Moulin Lyon 3 et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. Auteur de La guerre au XXIe siècle, éditions du Rocher.
L'intelligence artificielle n'est plus un sujet d'avenir, mais un outil du présent — à condition de savoir s'en emparer. Marjolaine Grondin, entrepreneuse, cofondatrice de Jam et créatrice du Bootcamp IA, partage une vision concrète, pragmatique et inspirante de l'IA générative dans le monde de l'entreprise.En partenariat avec le salon Ready for IT : https://www.ready-for-it.com/fr-FR(Rediffusion du 7 mai 2025)Utilisée comme un assistant, un chef de projet ou même un cofondateur personnel, l'IA devient selon elle « l'électricité du XXIe siècle » : omniprésente, invisible et indispensable. Marjolaine raconte comment elle forme des entreprises de toutes tailles à intégrer efficacement ces outils dans leurs processus, en insistant sur l'importance d'itérer, d'expérimenter, et surtout de poser les bonnes questions.Loin des discours anxiogènes ou trop théoriques, cet échange met en lumière des cas d'usage très concrets : traitement des emails, préparation de réunions, création de présentations, automatisation des recherches… Le tout avec une posture lucide sur les limites et les enjeux (coût, protection des données, impact cognitif). Une plongée passionnante dans l'ère post-exploratoire de l'IA.Site Web du Bootcamp IAhttps://www.lebootcampia.com/Sites mentionnés dans l'interviewhttps://www.fyxer.com/https://gamma.work/https://happygeranium.notion.site/Mes-agents-IA-1da9d1ca276c80a8a0e7d9ff208013e9-----------♥️ Vous aimez ce podcast ? Soutenez-le !https://donorbox.org/monde-numerique
Décès de Zdena Salivarová, grande écrivaine et éditrice - Tennis : clap de fin pour Petra Kvitová, meilleure joueuse tchèque du XXIe siècl - Après la garde-robe, l'arrêt de tram : à Prague, le Petit Jésus a tout d'un grand
Décès de Zdena Salivarová, grande écrivaine et éditrice - Tennis : clap de fin pour Petra Kvitová, meilleure joueuse tchèque du XXIe siècl - Après la garde-robe, l'arrêt de tram : à Prague, le Petit Jésus a tout d'un grand
« L'arrivée des nazis au pouvoir procéda d'un choix, d'un calcul et d'un pari ». C'est ce qu'écrit l'historien Johann Chapoutot. Dans son nouvel essai (« Les irresponsables », Gallimard), il pointe du doigt l'attitude de ceux qu'il qualifie de « libéraux autoritaires » : ceux qui ont ouvert la porte à Hitler et ont décidé de faire alliance avec l'extrême droite. Dans son livre, l'historien nous laisse entendre de nombreux échos entre cette période et celle que nous traversons : c'est pour le moins perturbant ! Johann Chapoutot est notre invité, cette semaine. Dans son « A quoi tu penses ? », Martin Legros estime que par les temps qui courent il est temps de faire resurgir la question éthique fondamentale de Simone Weil : « Quel est ton tourment ? ». Enfin, dans « En toutes lettres ! », l'historien et écrivain Gil Bartholeyns écrit au XXIe siècle. Ce numéro vous avait déjà été proposé en avril 2025. Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - Un mort, un disparu et un blessé grave dans l'Aude. C'est le dernier bilan en date du deuxième feu le plus important de ces cinquante dernières années. L'Union européenne se tient "prête" à venir en aide à la France. Mais, il faut rester prudent, le vent s'est calmé en cette fin d'après-midi.
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - Un mort, un disparu et un blessé grave dans l'Aude. C'est le dernier bilan en date du deuxième feu le plus important de ces cinquante dernières années. L'Union européenne se tient "prête" à venir en aide à la France. Mais, il faut rester prudent, le vent s'est calmé en cette fin d'après-midi.
Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Olivier Bas, que vous avez déjà eu l'occasion d'entendre deux fois sur le podcast. À la fois mentor, challenger et source d'inspiration, Olivier est quelqu'un avec qui je ne suis pas toujours d'accord, mais pour qui j'ai énormément d'admiration, tant pour la profondeur et la singularité de ses réflexions que pour son sens inégalé de la formule.Ancien vice-président d'Havas Paris, conférencier et auteur à succès, Olivier remet en question l'idée même de crise du travail dans son dernier ouvrage « La has been company ». Pour lui, la véritable crise est celle du salariat. Dans un monde où les jeunes générations préfèrent la liberté à la sécurité, et où les modèles d'organisation des entreprises semblent figés dans un anachronisme, Olivier nous propose des pistes pour réinventer nos entreprises et répondre à ces nouvelles aspirations.Dans cet épisode, nous explorerons les idées les plus disruptives du dernier ouvrage d'Olivier : pourquoi nos entreprises doivent évoluer vers plus de liberté et d'agilité, comment l'esprit critique et le dialogue constructif sont devenus des compétences clés du XXIe siècle, et pourquoi l'avenir des entreprises se jouera peut-être plus dans les PME et les ETI que dans les grandes structures.Accrochez-vous, car Olivier nous invite, avec son talent habituel pour les mots, à réfléchir autrement sur ce que doit être l'entreprise de demain.Bonne écoute !Lien d'inscription vers la newsletter gratuite : Le cercle des leaders de demain : https://lecercledesleadersdedemain.substack.com/?r=1t1xsv&utm_campaign=pub-share-checklist2 minutes – 7 questions expressPour mieux comprendre vos attentes et vous proposer un podcast encore plus utile.https://tally.so/r/npYXlB
Un titan du business mondial… aujourd'hui sur la liste rouge d'Interpol, après une fuite spectaculaire du Japon vers le Liban — caché dans une malle conçue pour transporter des instruments de musique.Voici l'histoire improbable de l'un des plus grands dirigeants du XXIe siècle.Carlos Ghosn est un génie industriel. En 1999, Renault le missionne pour redresser Nissan, alors au bord de la faillite.En trois ans, il efface la dette de l'entreprise (c'est-à-dire 20 milliards de dollars sur 40 milliards de chiffre d'affaires) et la rend de nouveau rentable. Malgré la méfiance initiale des Japonais, il devient une véritable star.Adulé à l'international, il prend la tête de l'alliance Renault–Nissan–Mitsubishi et propulse le groupe au sommet de l'industrie automobile mondiale.Mais au sommet de la gloire, tout bascule. Arrêté au Japon sans avertissement, il est incarcéré pendant plus de 100 jours.Libéré sous caution mais interdit de quitter le pays, il comprend rapidement que s'enfuir est sa seule option, et organise dans le plus grand secret une exfiltration digne d'un thriller.Le monde découvre alors, stupéfait, son évasion rocambolesque.Aujourd'hui réfugié au Liban, Carlos Ghosn revient sur sa carrière fulgurante, sa vision du business, ses méthodes de management, ses convictions… et la polémique judiciaire qui entoure sa chute.Dans cet épisode :La seule stratégie pour devenir leaderComment redresser une entreprise croulant sous la detteLe rôle des États face aux multinationales (et l'implication de Macron dans l'affaire Nissan)Sa plus grosse erreurToute l'équipe est fière de vous proposer cet épisode inédit. Probablement l'un des plus captivants et enrichissants que l'on ait eu la chance de publier.PS : avec ces 3h d'entretien, Carlos Ghosn a pu partager sa version des faits : coupable ou innocent, on vous laisse vous faire votre avis !On lira tous vos commentaires.TIMELINE:00:00:00 : Le goût de la diversité et la culture libanaise00:12:43 : L'ascension jusqu'au sommet de l'industrie automobile00:24:06 : Masterclass sur la restructuration : comment BIEN réduire les coûts et raviver la croissance00:31:35 : Carlos Ghosn était prêt à faire le Hara-Kiri pour redresser Nissan00:43:34 : Pourquoi Renault piétine alors que BYD rafle le marché mondial00:53:58 : Travailler avec les Japonais et réduire les dépenses avec délicatesse01:11:00 : Pour être leader, il faut exceller dans un domaine au lieu de disperser ses efforts01:17:35 : L'État “stratège” est une farce : l'implication de Macron dans l'affaire Nissan01:29:20 : Il fallait se débarrasser de Carlos Ghosn : la justice de l'otage au Japon01:36:12 : Pourquoi la notice rouge d'Interpol est contestable01:50:30 : La plus grosse erreur de sa vie02:05:43 : Pourquoi il est bloqué au Liban et l'humiliation infligée par le système japonais02:16:23 : L'évasion du siècle02:32:21 : L'“avant-après” de Renault02:41:32 : L'épée de Damoclès de la France : la dette qui court02:50:29 : Organiser ses journées comme un titan de l'industrie02:53:46 : L'autonomie intellectuelle et ses conseils pour la jeunesseLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #158 Edgar Grospiron - Athlète et conférencier - Avance, fais-toi confiance.#213 - Adrien Roose - Cowboy - Toucher le fond et se remettre en selle#73 Marc Simoncini - De Meetic à Jaina - Les montagnes russes de l'entrepreneuriat#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seulNous avons parlé de :RenaultNissanHôtel Sofitel Beyrouth Le GabrielL'Évadé : L'étrange affaire Carlos Ghosn (documentaire Netflix)NISSAN REVIVAL PLANLouis Schweitzer (ex-PDG Renault)MitsubishiKeiretsu : ensemble d'entreprises japonaises qui entretiennent de forts liens financiers.Seppuku / Hara-kiri : forme rituelle de suicide par éventration.BYDNissan PATROLNissan LeafAvtoVAZ - LadaLoi FlorangeHitojichi shihō : « justice de l'otage » prive les personnes suspectées d'infractions pénales du droit à une procédure régulière et à un procès équitable.Affaire DatiL'Europe vu par le patron Sylvestre - Les Guignols - CANAL+Affaire Carlos Ghosn : l'audit Mazars contesté en justiceL'Agence des participations de l'État (APE)Greg KellyLes recommandations de lecture :The Road Less TravelledVous pouvez contacter Carlos sur Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:56 - Avoir raison avec... - par : Marceau Vassy - La figure du paysan est très présente dans l'œuvre de Jean Giono. Elle représente pour lui l'harmonie parfaite entre l'être humain et le monde vivant. Un mode de vie paysan qu'il oppose d'ailleurs à celui des grandes villes et à la modernité qui polluent pour Giono les sens et l'essence de l'Homme. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Denis Labouret Professeur émérite à l'université Paris-Sorbonne, spécialiste de la littérature française des XXe et XXIe siècles; Romain de Becdelièvre Auteur, conseiller dramaturgique, producteur à France Culture
Entre les dunes blondes et la forêt d'Hardelot, se dressent les vestiges d'un château pas tout à fait comme les autres…Forteresse médiévale du XIIIe siècle, manoir victorien incrusté dans ses ruines, théâtre élisabéthain primé pour son audace écologique : Hardelot, c'est un palimpseste architectural où les siècles dialoguent.Philippe Hurepel y trace une enceinte octogonale innovante, les Anglais du XIXe y plaquent un gothique revival, et le XXIe siècle y greffe un théâtre en bois et bambou, subtilement fondu dans le paysage.Du fracas des sièges à la précision des rénovations contemporaines, ce lieu raconte l'histoire du bâti autant que celle des peuples.Dans cet épisode, on explore Hardelot comme un laboratoire d'architecture vivante, entre mémoire, usages et réinvention.Bienvenue à Hardelot.Episode écrit par EstherImage teaser DR © clemMTravelSon : Com d'Archi podcast____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pourretrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichirvotre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La métrologie, c'est la science de la mesure. Dit comme ça, cela paraît abstrait, voire anodin. Pourtant, sans elle, rien ne fonctionne : ni l'industrie, ni le commerce, ni la médecine, ni même le numérique. C'est elle qui garantit que le temps, le poids, la température, la tension électrique ou encore les doses de médicaments sont mesurés de manière fiable, reproductible… et surtout comparable d'un pays à l'autre.Mais pourquoi est-elle stratégique ? Parce qu'elle est à la base de toute technologie avancée. Prenons l'exemple des semi-conducteurs : graver des circuits de quelques nanomètres sur une puce exige des instruments de mesure d'une précision extrême. Même chose pour les satellites, les vaccins à ARN, les lasers industriels ou les réseaux électriques intelligents. Celui qui maîtrise la métrologie… maîtrise la technologie.Et cela, la Chine l'a bien compris. En mai 2025, Pékin a dévoilé un plan d'action ambitieux pour révolutionner sa métrologie d'ici 2030. Objectif : devenir leader mondial dans ce domaine discret mais fondamental. Baptisé « Plan pour une métrologie moderne et autonome », il vise à réduire la dépendance technologique vis-à-vis des standards occidentaux — en particulier européens et américains — et à imposer ses propres standards dans les échanges mondiaux.La Chine veut notamment :– renforcer ses laboratoires nationaux de métrologie ;– développer des instruments de mesure de nouvelle génération, basés sur la photonique ou la quantique ;– imposer ses références industrielles dans les secteurs clés : batteries, hydrogène, 5G, médecine de précision, IA embarquée…Mais au-delà de la souveraineté technologique, il y a un enjeu géopolitique. Aujourd'hui, les standards de mesure internationaux — ceux utilisés dans les échanges commerciaux ou dans les normes ISO — sont encore largement pilotés par des institutions occidentales, comme le Bureau international des poids et mesures (BIPM). En développant ses propres références, la Chine cherche à influencer ces règles… et donc à peser davantage dans le commerce mondial.C'est aussi une réponse à la fragmentation croissante du monde. À mesure que les blocs technologiques s'autonomisent, chaque puissance veut ses propres chaînes de valeur — et cela commence par ses propres instruments de mesure.La métrologie n'est donc plus une affaire de laboratoires poussiéreux. Elle est devenue une arme de précision dans la grande bataille pour la domination technologique du XXIe siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 30 juin 2025 - Canicule : quand la France suffoqueLa canicule s'est installée sur presque toute la France. Quatre-vingt-quatre départements, où vivent près de 88 % des Français, sont désormais en vigilance orange canicule. Le "paroxysme" de l'épisode est attendu en milieu de semaine, explique Météo-France, avec des pointes à 41 °C et "des minimales très élevées, comprises entre 20 °C et 24 °C, voire un peu plus très localement".Face à cet épisode caniculaire "intense", une réunion interministérielle de crise s'est tenue dimanche soir. À son issue, les entreprises ont été appelées à "protéger les salariés" et à adapter leurs horaires, par la ministre du Travail. La ministre de l'Éducation nationale a, elle, rappelé les mesures à prendre dans les écoles lors de fortes chaleurs, pouvant aller jusqu'à l'autorisation de garder les enfants à domicile. Quelque 200 écoles publiques, sur 45 000, font l'objet d'une fermeture partielle ou totale ce lundi, mardi ou mercredi.Le Premier ministre a également enjoint ce lundi chacun "à la plus grande prudence et vigilance, notamment envers les populations les plus fragiles". "Une vague de chaleur, c'est plusieurs milliers de morts", a insisté la ministre de la Transition écologique ce matin sur Sud Radio, en répétant que les employeurs devaient protéger leurs salariés.Outre la santé des Français, cette canicule impacte l'environnement : 25 départements étaient, dimanche, en vigilance pour la sécheresse, et dix au niveau de crise, entraînant des restrictions importantes des usages. Un contexte propice aux départs de feu : dans l'Aude, un incendie s'est déclaré hier dans le massif des Corbières en raison d'un barbecue mal éteint.Cette 50e vague de chaleur nationale recensée depuis 1947, la 33e du XXIe siècle, s'inscrit dans un contexte de réchauffement climatique, qui augmente l'intensité et la fréquence des canicules. Des périodes où, désormais, les prévisionnistes de Météo-France voient les attaques et les critiques se multiplier. Sur les réseaux sociaux, ils sont de plus en plus souvent accusés d'affoler la population ou d'être des idéologues au service de la lutte contre le changement climatique. Et ces attaques peuvent aller très loin. Après avoir annoncé une canicule sur son compte X, Guillaume Séchet, présentateur météo de BFM TV, a été insulté par de nombreux internautes et menacé — une raison qui l'a poussé à effacer sa publication. D'autres, pour se protéger, envisagent de fermer leurs comptes sur X.Un réseau sur lequel, depuis son rachat par Elon Musk, les comptes climatosceptiques sont particulièrement actifs, explique David Chavalarias, mathématicien et directeur de recherche au CNRS. Co-fondateur de l'observatoire Climatoscope, il pointe un regain d'activité des réseaux climatosceptiques sur la plateforme, dont l'objectif est de semer le doute sur la réalité du changement climatique et de ralentir toutes les actions visant à réduire l'empreinte de l'humanité sur le climat.Nos journalistes l'ont rencontré. Ils sont également allés aux Saintes-Maries-de-la-Mer.Sur le littoral méditerranéen, la commune camarguaise est la plus exposée à l'érosion et à la submersion. Mais alors que plusieurs rapports ont dénoncé l'absence de "stratégie d'adaptation" face aux risques, le débat s'envenime parfois sur la meilleure marche à suivre. Jusqu'à présent, les Saintes-Maries-de-la-Mer, comme le reste du littoral, ont adopté une position défensive, en renforçant chaque année digues et épis avec des milliers de mètres cubes de sable. Mais jusqu'à quand ? Selon les scientifiques, depuis 40 ans, l'eau monte de plus en plus vite, jusqu'à 6 millimètres par an. Cela signifie qu'à ce rythme, d'ici 2100, la Méditerranée aura monté de 40 à 70 centimètres.LES EXPERTS :- ARNAUD GOSSEMENT - Avocat en droit de l'environnement - Professeur associé à Paris 1- Dr GÉRALD KIERZEK - Médecin urgentiste, directeur médical - Doctissimo- AUDREY GARRIC - Journaliste au service Planète - Le Monde - LAURENT ROMEJKO - Journaliste spécialiste des questions météorologiques, présentateur Météo à la carte - France 3PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM :https://www.instagram.com/cdanslair/
La rupture est désormais publique entre Elon Musk et Donald Trump. Le milliardaire, patron de Tesla, critique ouvertement Trump. En cause : une décision budgétaire qui pourrait porter un coup sérieux au secteur des véhicules électriques.Le Sénat américain examine actuellement une loi budgétaire soutenue par Donald Trump, dont une disposition très controversée prévoit la suppression pure et simple des crédits d'impôts accordés aux acheteurs de véhicules électriques. Jusqu'à présent, ces aides pouvaient atteindre 7.500 dollars pour une voiture neuve et 4.000 dollars pour une occasion. Un levier essentiel pour encourager l'adoption de ces technologies encore coûteuses.La version initiale du texte prévoyait une suppression progressive sur six mois. Mais les sénateurs républicains souhaitent accélérer les choses : la fin des subventions pourrait intervenir dès le 30 septembre prochain. Une décision que Musk juge catastrophique pour l'industrie du futur. Sur X (ex-Twitter), il dénonce une loi qui « soutient des industries appartenant au passé et endommage des industries tournées vers l'avenir ». Pour lui, ce choix n'est rien de moins qu'un "suicide politique".Au-delà de Tesla, c'est l'ensemble de l'écosystème des véhicules propres qui se retrouve menacé. Ces aides fiscales ont été un moteur majeur de la transition énergétique dans le secteur automobile aux États-Unis. Leur disparition risque de freiner les investissements et de ralentir la dynamique de croissance verte enclenchée ces dernières années.L'hostilité de Trump ne s'arrête pas là. Il a récemment signé un décret annulant la décision de la Californie d'interdire les ventes de véhicules thermiques à partir de 2035. Une décision qui a suscité une levée de boucliers : onze États ont engagé des poursuites judiciaires contre le gouvernement fédéral, défendant leur droit à fixer leurs propres objectifs climatiques. Un tiers du pays avait déjà adopté des mesures similaires.Enfin, les Républicains souhaitent introduire une nouvelle incitation, jugée archaïque par certains : une exemption d'intérêts sur les prêts pour l'achat de véhicules… à condition qu'ils soient produits aux États-Unis, peu importe leur technologie. En clair, thermique ou électrique, peu importe, pourvu qu'ils soient américains.Pour Elon Musk, qui a bâti son empire sur l'innovation, ces décisions tournent le dos à l'avenir. Sa colère est d'autant plus forte qu'il voit dans ces choix politiques non seulement une erreur stratégique, mais un renoncement à la compétitivité des États-Unis dans l'économie du XXIe siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Episode 207: Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècl Dans ce podcast, les Historiennes Charlotte Courreye et Annik Lacroix présentent l'ouvrage qu'elles ont coécrit avec Augustin Jomier, intitulé Le Maghreb par les textes, XVIIIe – XXIe siècle. Malgré ses liens étroits avec la France, Le Maghreb (Algérie, Libye, Maroc et Tunisie) est généralement méconnu et son passé souvent réduit aux colonisations européennes. Afin de mieux comprendre le devenir et les cultures de cette région du monde, cet ouvrage on retrace l'histoire, du XVIIIe siècle à nos jours. Un corpus original d'une centaine de documents -témoignages, discours politiques, tracts, rapport d'ONG ou encore poèmes et films - éclair les grands événements politiques, ainsi que les dynamiques sociales, économiques, et culturelles. Le lecteur saisit ces sociétés de façon vivante, découvrant la parole des populations locales et de toutes celles et ceux que l'on entend peu d'ordinaire. Précédé d'une introduction qui en présente le contexte de rédaction, chacun de ces textes s'adresse aussi bien à des étudiants et des enseignants du secondaire et du supérieur, qu'à un public curieux de découvrir davantage le Maghreb. (Texte extrait de la 4ème de couverture de l'ouvrage) Charlotte Courreye est chercheuse postdoctorale à l'École normale supérieure, Université Jean Moulin Lyon 3. Elle a enseigné l'histoire et l'arabe à l'INALCO. Annik Lacroix est Maîtresse de conférences en Histoire contemporaine à l'Université Paris-Nanterre et a enseigné l'histoire du Maghreb à l'INALCO. Augustin Jomier est Maître de conférences en Histoire moderne et contemporaine du Maghreb à l'INALCO. Cet épisode a été enregistré le 21 avril 2024 au Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA). Dr. Belkacem Benzenine, Politologue et Directeur de recherche au CRASC, a modéré le débat de cette rencontre Nous remercions notre ami Ignacio Villalón, doctorant à l'Université de Crète/Institute for Mediterranean Studies, pour sa prestation à la guitare pour l'introduction et la conclusion de ce podcast. Réalisation et montage: Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
Surnommée « la Divina », Maria Callas demeure encore au XXIe siècle l'une des cantatrices les plus célèbres, à la fois par le timbre particulier de sa voix, son art du chant et sa vie amoureuse – une tragédie moderne. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il existe un décalage croissant entre notre biologie et l'environnement alimentaire moderne.Nous sommes programmés pour rechercher le sucre, les graisses et le sel — autrefois rares, aujourd'hui omniprésents. Les aliments ultra-transformés détournent notre cerveau et surchargent notre organisme, rendant la santé plus difficile à maintenir que jamais.Dans cet épisode, on explore comment nos instincts évolutifs entrent en collision avec le système alimentaire du XXIe siècle — et ce qu'on peut faire pour y faire face.Go check out my website for tons of free resources on how to transition towards a healthier diet and lifestyle.You can download my free plant-based recipes eBook and a ton of other free resources by visiting the Digital Downloads tab of my website at https://www.plantbaseddrjules.com/shopDon't forget to check out my blog at https://www.plantbaseddrjules.com/blog You can also watch my educational videos on YouTube at https://www.youtube.com/channel/UCMpkQRXb7G-StAotV0dmahQCheck out my upcoming live events and free eCourse, where you'll learn more about how to create delicious plant-based recipes: https://www.plantbaseddrjules.com/Go follow me on social media by visiting my Facebook page and Instagram accountshttps://www.facebook.com/plantbaseddrjuleshttps://www.instagram.com/plantbased_dr_jules/Last but not least, the best way to show your support and to help me spread my message is to subscribe to my podcast and to leave a 5 star review on Apple and Spotify!Thanks so much!Peace, love, plants!Dr. Jules
Le trumpisme apparaît comme le phénomène politique majeur du premier quart du XXIe siècle. Il est né de la rencontre entre un personnage hors norme, Donald Trump, héritier, entrepreneur et star de la téléréalité, quelques idées fortes et un socle électoral républicain en recomposition, particulièrement après la présidence de George W. Bush et les années de guerre en Irak et en Afghanistan. Donald Trump bouleverse les codes du Parti républicain, secoue les institutions américaines et influence bien au-delà des frontières des États-Unis. Il transforme le paysage politique américain. Entre populisme, nationalisme, rejet des élites – quoique – polarisation extrême et guerre contre les médias, le trumpisme réunit autour de lui chrétiens évangélistes, idéologues nationaux conservateurs, masculinistes et titans de la tech. Il entend détruire l'ordre international hérité de la Seconde Guerre mondiale. Peut-on dire avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche que le trumpisme n'est ni une parenthèse ni une anomalie et qu'il s'est imposé comme une force politique durable et dominante ?Maya Kandel est notre invitée. Chercheuse indépendante associée à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3, historienne spécialiste de la politique étrangère.À lire aussiHistoire du Parti républicain, de l'abolition de l'esclavage à Donald J. Trump
durée : 00:03:47 - Le Regard culturel - par : François Angelier - "Désert, déserts : du Moyen Âge au XXIe siècle", de l'historienne de l'art Marie Gautheron explore le désert sous toutes ses coutures. Le désert, lieu de désertion, d'abandon et de révélation, passe du statut de décor géographique à celui de symbole de marginalité ou de solitude inspiratrice.
Avez-vous déjà entendu parler de l'affaire Cambridge Analytica ? Ou encore du scandale des pentagones papers ou celui du médiator ? Si ces histoires ne vous disent rien vous serez surpris d'apprendre l'existence de ces véritables complots. Des histoires qui dépassent largement la fiction. L'affaire Cambridge Analytica Dans une salle d'audition du Congrès américain, Mark Zuckerberg fait face à 44 sénateurs, impassible malgré les accusations. Au cœur de l'affaire : Cambridge Analytica, qui a siphonné les données de 80 millions d'utilisateurs Facebook. Ces données ont permis de cibler les électeurs indécis avec des contenus politiques sur mesure. Résultat : deux votes historiques – le Brexit et l'élection de Trump – ont peut-être été influencés. Découvrez ce récit et plongez dans l'un des plus grands scandales d'État du XXIe siècle. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : combat contre l'Apocalypse (1/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : la bombe mentale (2/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : massacres et sauvetages (3/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : l'ennemi public des braconniers (4/4) Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clément Prévaux Production : Bababam Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:59:04 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - La fraternité et la sororité sont des mots métaphores, qui désignent le plus souvent ce qui excède le cadre de la famille. Universelle ou choisie, cette solidarité horizontale occupe une place fondamentale dans l'histoire militante et littéraire contemporaine. - réalisation : Thomas Beau - invités : Alexandre de Vitry Maître de conférences en littérature française du XXe et du XXIe siècles à la Faculté des Lettres de Sorbonne Université; Florence Rochefort Chercheuse au CNRS, spécialiste d'histoire des féminismes, des femmes et du genre
durée : 00:57:48 - Avec philosophie - par : Géraldine Mosna-Savoye, Nassim El Kabli - Lors de l'avènement de la Troisième République, Victor Hugo permet au peuple de se reconstruire une mythologie républicaine, avec un modèle de fraternité humaine et universelle. Incarnation du "sacre de l'écrivain", il apparaît ainsi comme la figure publique permettant de croire en la République. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Philippe Raynaud Professeur émérite de science politique à l'université Panthéon-Assas, membre de l'Institut universitaire de France; Alexandre de Vitry Maître de conférences en littérature française du XXe et du XXIe siècles à la Faculté des Lettres de Sorbonne Université
durée : 02:30:04 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Thierry Coville, chercheur à l'IRIS / Emilien Ruiz, historien, professeur à Sciences Po Paris / Hakim El Karoui essayiste et consultant, co-fondateur du "Club du XXIe siècle" et Kaoutar Harchi, écrivaine et sociologue - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:39:05 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Depuis le meurtre d'un fidèle vendredi dernier dans une mosquée du Gard, la colère monte contre des réactions politique jugées trop discrètes et un climat ambiant perçu comme propice aux violences anti-musulmanes. Que nous apprend cet évènement tragique de l'islamophobie en France ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Hakim El Karoui Essayiste et consultant, co-fondateur du "Club du XXIe siècle" ; Kaoutar Harchi Sociologue, romancière
In this episode, I'm with my daughter Lisa who is working on a creative writing project for her French class! She's writing about our neighborhood street in the style of author Thomas Clerc. I explain how her class is creating a book called "Bois-Colombes, Museum of the 21st Century" We also celebrate Emilie who completed the Paris Marathon in exactly 3 hours and 27 minutes - matching her age! Discover French teaching methods, teen vocabulary, and unique writing techniques called "bornes" (markers). Perfect for understanding real French family conversations and educational approaches! #LearnFrench #FrenchPodcast #FrenchVocabulary #ParisMarathon #FrenchWriting #BoiscolombesGuide #FrenchTeenLife #EverydayFrench #FrenchSchoolProject #FrenchCulture