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Au Caire, dans un passage couvert oublié du centre-ville, subsiste un petit salon de manucure hors du temps. Derrière sa devanture vintage, une légende locale veille au grain : Madame Lucie. À 88 ans, elle incarne l'époque révolue des stars de l'âge d'or de la capitale égyptienne et d'un savoir-faire inchangé depuis plus de soixante ans. De notre correspondant au Caire, Martin Dumas Primbault Pénétrer dans le salon de manucure de Madame Lucie, c'est un peu comme remonter dans le temps. Presque caché dans un passage couvert du centre-ville du Caire, l'institut exigu est resté dans son jus, depuis la devanture jusqu'au combiné de téléphone rouge qui reçoit les demandes de rendez-vous. « Moi et mon mari, on voulait travailler ensemble. En 1960, on a pris ce magasin ici. On a commencé petit parce qu'on n'avait pas d'argent. Je ne savais pas ce que voulait dire manucure. J'ai appris à ce moment-là la manucure et la pédicure », se souvient Madame Lucie. Le reste appartient à l'histoire. Aujourd'hui âgée de 88 ans, la dame d'origine arménienne a bichonné les mains des plus grandes stars égyptiennes de l'époque, comme la chanteuse Dalida, les acteurs Omar Sharif et Faten Hamama ainsi que le prix Nobel de littérature Naguib Mahfouz, dont une photo avec Madame Lucie est toujours accrochée au mur. « Il venait chaque mois, toujours le vendredi à 9h30. Il arrivait à 9h20 et déambulait dans le passage puis ouvrait la porte du salon à l'heure exacte », ajoute la patronne. « Nous avons gardé les mêmes méthodes, c'est ce qui fait notre succès » Aujourd'hui, les célébrités ont laissé place à une clientèle plus anonyme. Mais l'esprit, lui, perdure grâce au fils adoptif de Madame Lucie, formé ici même : « J'ai appris avec mon père, le mari de Madame Lucie, ici dans ce salon, en 1971. Madame Lucie m'a élevé depuis l'âge de neuf ans, donc je considère que c'est ma mère ». Un héritage familial donc, mais aussi une méthode immuable. Rien n'a changé en six décennies, ni les produits, ni les gestes : « Ça, c'est l'acétone, pour enlever le vernis à ongle. Ça, c'est de l'antiseptique, pour désinfecter après avoir nettoyé et traité. Et ici, on a de l'eau oxygénée pour enlever les peaux mortes. Nous avons gardé la même décoration et les mêmes méthodes, c'est ce qui fait notre succès », poursuit le fils de l'esthéticienne. Et pour l'ambiance, une radio d'époque coincée entre les solvants et les produits de beauté diffuse les grandes voix du passé. « On n'écoute que les chansons d'antan. Rien de nouveau. Mais tous ces chanteurs sont morts, maintenant », regrette la patronne. Elle, en revanche, est toujours là. Tous les matins à six heures, Madame Lucie ouvre les portes de son salon, fidèle au poste. À lire aussi6 octobre 1981 : le dernier défilé du président égyptien Anouar el-Sadate
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour la première fois depuis bien longtemps, on a senti poindre une lueur d'espoir en ce qui concerne les négociations pour un gouvernement à Bruxelles. La mission de facilitation d'Yvan Verougstraete avait débouché sur une proposition. Proposition que presque tous les partis ont validée....Presque tous....et puis l'Open VLD a dit non. Renvoyant tout le monde à la case départ.En quoi consistait la proposition d'Yvan Verougstraete? Et pourquoi est ce que les libéraux flamands ont dit non ? On va voir ça avec Alexandre Noppe du pôle Pouvoirs.
Pour la première fois depuis bien longtemps, on a senti poindre une lueur d'espoir en ce qui concerne les négociations pour un gouvernement à Bruxelles. La mission de facilitation d'Yvan Verougstraete avait débouché sur une proposition. Proposition que presque tous les partis ont validée....Presque tous....et puis l'Open VLD a dit non. Renvoyant tout le monde à la case départ.En quoi consistait la proposition d'Yvan Verougstraete? Et pourquoi est ce que les libéraux flamands ont dit non ? On va voir ça avec Alexandre Noppe du pôle Pouvoirs.
Invités : Pierre Arditi et Nicolas Briançon, pour la pièce "Je me souviendrai de presque tout" à partir du 18 septembre au Théâtre Montparnasse Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'histoire d'un homme seul qui sans armes et sans complice, a réussi le casse du siècle. Cet homme, c'est Tony Musulin. Le 5 novembre 2009, ce convoyeur de fonds s'envolait avec son fourgon blindé contenant 11,6 millions d'euros. Il sera rattrapé, jugé, condamné, interrogé et photographié. Mais force est de constater qu'encore aujourd'hui le convoyeur braqueur reste un mystère. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un épisode spécial pour vous mettre l'eau à la bouche : nouveautés, coulisses, actualité et les surprises que nous vous réservons pour cette nouvelle saison de Terratypique ! Bonne écoute
Pendant des années, j'ai enseigné avec musique, presque par évidence. Danseuse de formation, formatrice influencée par mes professeurs de Yin… la musique m'accompagnait partout. Et puis, peu à peu, le silence a pris plus de place. Par choix, par circonstances, par maturité aussi.Vous allez découvrir : ✨ pourquoi j'ai longtemps utilisé la musique comme support dans mes cours, ✨ ce qui m'a poussée à l'abandonner, ✨ et comment j'en fais aujourd'hui un outil ponctuel et intentionnel, plutôt qu'un fond sonore automatique.Que vous soyez pratiquant·e ou enseignant·e, je vous invite à observer vos habitudes : musique ou silence, qu'est-ce que cela change pour vous ?Un épisode pour titiller vos réflexions pédagogiques, et peut-être vous donner envie d'expérimenter autrement. Retrouvez l'épisode 97 lui aussi sur la place de la musique dans la pratique.Pour poursuivre l'aventure, rejoignez la Newsletter qui s'adresse aux profs de Yoga.
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/pourquoi-les-francais-font-presque-toujours-greve-cafe-avec-johan-9
Dans cet épisode de De Zéro à 70.3, Gabrielle Théorêt — physiothérapeute et future triathlète — parle de sa première expérience en triathlon avec Guillaume. Le triathlon Olympique de Magog a été son choix : une première expérience de nage en eau libre, une chaleur accablante et une grosse côte l'attendait. Suite à sa blessure à la cheville, elle a du réviser ses objectifs et elle s'est tournée vers le Aqua-Vélo Olympique ! ⏰ TIME CODE ⏰ 00:00 Introduction : Rebondir après une blessure 05:00 Défis de la nage en eau libre ; nos plus grandes peurs 15:00 Logistique et apprentissages en transition 22:00 Sur le vélo : tactiques, erreurs et efforts 29:00 Course, récupération et gestion de la cheville
Débatteurs : - Joseph Macé-Scaron, écrivain et essayiste - Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquant Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:15 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1990, le roman "La Neige était sale" de Georges Simenon est à l'honneur dans l'émission "Pages arrachées" de France Culture. Son invité, Jean-Jacques Pauvert, nous parle de cet ouvrage, du thème de l'adolescence et de la déchéance du personnage. Des explications ponctuées de lectures d'extraits. - réalisation : Emily Vallat - invités : Jean-Jacques Pauvert Éditeur et écrivain
(00:00:31) La santé mentale est devenue une cause (presque) mondiale (00:08:14) Le début de la riposte démocrate à Donald Trump ? (00:13:39) Le secteur automobile allemand mise sur l'armement
durée : 00:01:20 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - . La rentrée approche, et avec elle, son lot de bonnes résolutions. Remise au sport, nouvelles activités... Ces ambitions, souvent éphémères, reflètent un besoin de changement et un bilan estival positif. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Khamzat Chimaev n'a laissé aucune chance à Dricus Du Plessis en main-event de l'UFC 319 !
Suite de la série qui vous emmène tout au long de l'été dans les lieux où l'art vibre et se crée sur le continent. Pour ce sixième rendez-vous direction le Kenya. Et plus précisément sa capitale, Nairobi. Le collectif Kuona y rassemble une vingtaine d'artistes, dans un groupe de containers. Sculpture, peinture, charpenterie ou encore mode, chaque créateur a son studio sur place, et il y expose. Il est presque caché dans un jardin calme, au fond d'une rue à Nairobi. Lorsque l'on franchit le portail du collectif d'artistes Kuona, l'art envahit le regard. Des sculptures sont éparpillées un peu partout. Dans les conteneurs alignés en rang, les artistes travaillent sur leurs prochaines œuvres. Ils sont plus d'une vingtaine à y avoir aménagé leurs studios et à y exposer leurs créations. Meshack Oiro est le président du collectif. « Nous avons des sculpteurs, des graveurs sur bois, des artistes qui travaillent dans la mode, des peintres qui font de la peinture à l'eau, des encadreurs... Nous avons de tout ici à Kuona », dit-il. Meshack est lui sculpteur. Il crée à partir de métaux récupérés. « Regardez cette œuvre : le client va venir la voir aujourd'hui. On distingue bien le moule en deux parties. Je vais souder les métaux tout autour, puis une fois que je l'aurai retiré, je verrai le résultat. Ensuite, j'assemblerai les deux parties, et ça formera un buffle. Ça se voit, non ? » Un collectif aux multiples talents Dans le conteneur mitoyen, les murs sont recouverts d'œuvres colorées. Représentant des fleurs, des animaux, des portraits... Elnah Akware les peint en utilisant des planches en bois sur lesquelles elle a gravé des motifs. Elle travaille, assise à son bureau. « Une fois que j'ai esquissé l'œuvre que j'ai en tête, je grave le motif dans le bois. Parfois, je fais même le croquis directement sur la planche. Une fois que c'est prêt, j'applique la peinture sur la surface gravée, puis je transfère le tout sur une feuille de papier en utilisant des rouleaux pour bien faire adhérer la peinture. Ensuite, il ne reste plus qu'à laisser sécher », raconte-t-elle. Elnah a 27 ans, elle a rejoint le collectif Kuona en 2019, en lançant sa carrière d'artiste professionnelle. « J'ai étudié les arts à l'université, mais on ne nous a pas vraiment appris cette technique de peinture à partir de gravure sur bois. C'est en arrivant à Kuona que je l'ai découverte. J'aimais déjà beaucoup la gravure à l'école, donc ça m'a tout de suite plu. Ce que j'apprécie particulièrement ici, c'est que je peux aller voir d'autres artistes et leur dire : “Je travaille là-dessus, qu'est-ce que tu en penses ? Comment je peux m'améliorer ? Tu peux m'aider ?” Il y a énormément de solidarité. Par moments, je me demande où j'en serai dans ma vie d'artiste si je n'avais pas rejoint ce collectif. Je pense que ce serait beaucoup plus difficile de vendre mes œuvres, d'être exposée à différentes techniques, ou même de comprendre comment les artistes gèrent l'aspect commercial de ce métier », raconte-t-elle. Une meilleure visibilité Ici, des artistes reconnus côtoient des jeunes pousses émergentes. Et chacun profite de la visibilité des autres. Un des avantages d'être en communauté. Comme le reconnait Wanjohi Maina. Âgé de 39 ans, il a rejoint le collectif en 2017. « Lorsqu'une personne vient ici pour voir un artiste en particulier, les autres artistes, en bénéficient puisque cette personne découvre en même temps notre travail. Et par la suite peut même en devenir collectionneuse ! Être regroupés au même endroit nous donne une meilleure visibilité : cela permet à un plus grand nombre de personnes de découvrir nos œuvres… et parfois d'en tomber amoureuses ». Wanjohi peint sur des plaques en métal. Ces œuvres représentent des scènes de la vie à Nairobi. Des vendeurs à la sauvette notamment que connaissent bien les habitants de la capitale. « J'aime bien dire que je saisis des moments... Des moments que je vois dans la rue. La vie du quotidien avec ses défis... C'est ça que j'essaye de représenter à travers mon travail ». Presque chaque premier samedi du mois, Kuona accueille une journée d'exposition avec des concerts. Certains artistes organisent aussi régulièrement des ateliers pour faire découvrir leur technique. De quoi faire vibrer la culture de la capitale.
Suite de la série qui vous emmène tout au long de l'été dans les lieux où l'art vibre et se crée sur le continent. Pour ce sixième rendez-vous direction le Kenya. Et plus précisément sa capitale, Nairobi. Le collectif Kuona y rassemble une vingtaine d'artistes, dans un groupe de containers. Sculpture, peinture, charpenterie ou encore mode, chaque créateur a son studio sur place, et il y expose. Il est presque caché dans un jardin calme, au fond d'une rue à Nairobi. Lorsque l'on franchit le portail du collectif d'artistes Kuona, l'art envahit le regard. Des sculptures sont éparpillées un peu partout. Dans les conteneurs alignés en rang, les artistes travaillent sur leurs prochaines œuvres. Ils sont plus d'une vingtaine à y avoir aménagé leurs studios et à y exposer leurs créations. Meshack Oiro est le président du collectif. « Nous avons des sculpteurs, des graveurs sur bois, des artistes qui travaillent dans la mode, des peintres qui font de la peinture à l'eau, des encadreurs... Nous avons de tout ici à Kuona », dit-il. Meshack est lui sculpteur. Il crée à partir de métaux récupérés. « Regardez cette œuvre : le client va venir la voir aujourd'hui. On distingue bien le moule en deux parties. Je vais souder les métaux tout autour, puis une fois que je l'aurai retiré, je verrai le résultat. Ensuite, j'assemblerai les deux parties, et ça formera un buffle. Ça se voit, non ? » Un collectif aux multiples talents Dans le conteneur mitoyen, les murs sont recouverts d'œuvres colorées. Représentant des fleurs, des animaux, des portraits... Elnah Akware les peint en utilisant des planches en bois sur lesquelles elle a gravé des motifs. Elle travaille, assise à son bureau. « Une fois que j'ai esquissé l'œuvre que j'ai en tête, je grave le motif dans le bois. Parfois, je fais même le croquis directement sur la planche. Une fois que c'est prêt, j'applique la peinture sur la surface gravée, puis je transfère le tout sur une feuille de papier en utilisant des rouleaux pour bien faire adhérer la peinture. Ensuite, il ne reste plus qu'à laisser sécher », raconte-t-elle. Elnah a 27 ans, elle a rejoint le collectif Kuona en 2019, en lançant sa carrière d'artiste professionnelle. « J'ai étudié les arts à l'université, mais on ne nous a pas vraiment appris cette technique de peinture à partir de gravure sur bois. C'est en arrivant à Kuona que je l'ai découverte. J'aimais déjà beaucoup la gravure à l'école, donc ça m'a tout de suite plu. Ce que j'apprécie particulièrement ici, c'est que je peux aller voir d'autres artistes et leur dire : “Je travaille là-dessus, qu'est-ce que tu en penses ? Comment je peux m'améliorer ? Tu peux m'aider ?” Il y a énormément de solidarité. Par moments, je me demande où j'en serai dans ma vie d'artiste si je n'avais pas rejoint ce collectif. Je pense que ce serait beaucoup plus difficile de vendre mes œuvres, d'être exposée à différentes techniques, ou même de comprendre comment les artistes gèrent l'aspect commercial de ce métier », raconte-t-elle. Une meilleure visibilité Ici, des artistes reconnus côtoient des jeunes pousses émergentes. Et chacun profite de la visibilité des autres. Un des avantages d'être en communauté. Comme le reconnait Wanjohi Maina. Âgé de 39 ans, il a rejoint le collectif en 2017. « Lorsqu'une personne vient ici pour voir un artiste en particulier, les autres artistes, en bénéficient puisque cette personne découvre en même temps notre travail. Et par la suite peut même en devenir collectionneuse ! Être regroupés au même endroit nous donne une meilleure visibilité : cela permet à un plus grand nombre de personnes de découvrir nos œuvres… et parfois d'en tomber amoureuses ». Wanjohi peint sur des plaques en métal. Ces œuvres représentent des scènes de la vie à Nairobi. Des vendeurs à la sauvette notamment que connaissent bien les habitants de la capitale. « J'aime bien dire que je saisis des moments... Des moments que je vois dans la rue. La vie du quotidien avec ses défis... C'est ça que j'essaye de représenter à travers mon travail ». Presque chaque premier samedi du mois, Kuona accueille une journée d'exposition avec des concerts. Certains artistes organisent aussi régulièrement des ateliers pour faire découvrir leur technique. De quoi faire vibrer la culture de la capitale.
C dans l'air l'invité du 15 août 2025 avec Bruno Maestracci, porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de FranceL'Espagne est en proie à de violents feux de forêts. Presque aucune région n'est épargnée et les pompiers, mobilisés par milliers, luttent jour et nuit contre les flammes. En une semaine, près de 60 000 hectares ont été détruits, dont plus de 12 000 dans la province d'Ourense, en Galice. La vague de chaleur extrême, prolongée par une sécheresse historique, alimente ces incendies, qui touchent également le Portugal, la Grèce ou encore l'Albanie. En réponse à l'appel à l'aide de Madrid, la France a envoyé deux Canadairs et un avion de coordination, tandis qu'un détachement de sapeurs-pompiers part aujourd'hui pour Athènes, en Grèce, pour une mission d'un mois.En France, l'été 2025 n'est pas terminé qu'il est déjà celui des records. Selon l'Observatoire européen Copernicus, 238 incendies ont été recensés dans l'Hexagone, dont 236 avant le 28 juillet. Début août, l'Aude a été frappée par l'un des incendies les plus dévastateurs depuis 1949 sur le pourtour méditerranéen français : plus de 17 000 hectares ravagés en seulement deux jours. Selon le parquet de Montpellier, l'incendie « pourrait avoir une cause criminelle résultant d'un acte volontaire ». Dans 90 % des cas, les feux sont liés à une action humaine : brûlage de végétaux, étincelles d'outils agricoles, mégots jetés par la fenêtre, barbecues, pétards…Face à ces catastrophes, les moyens paraissent parfois limités : douze Canadair CL-415 âgés en moyenne de trente ans, quelques avions Dash et hélicoptères pour les largages d'eau. Alors que Météo France a placé vingt-trois départements en risque « élevé » d'incendie, les sapeurs-pompiers se préparent à affronter des températures proches de 40 °C dans le Sud ce week-end. Entre la chaleur, les vents et la sécheresse qui compliquent le travail des pompiers à travers l'Europe, la question se pose : comment mieux protéger les populations et les forêts ? Comment renforcer la lutte contre les incendies à l'échelle européenne ? Et comment prévenir ces épisodes de sécheresse qui multiplient les risques d'incendie ?Bruno Maestracci, contrôleur général des sapeurs-pompiers, fera le point sur les incendies qui ravagent l'Espagne, la Grèce, le Portugal et l'ensemble du Sud de l'Europe, ainsi que sur les 23 départements français désormais en risque « élevé » d'incendie dans les jours à venir.
[Première diffusion le 13 janvier 2025] Le 15 janvier 2024, Monique Calippe, 84 ans, est retrouvée morte dans son lit, dans la Sarthe. Le médecin conclut à une mort naturelle à la suite d'une chute. Son mari, Alain Pacouret, s'était lui aussi éteint deux semaines auparavant. Mais ce banal récit de fin de vie prend subitement une nouvelle tournure. Car quelques heures avant l'incinération de Monique, ses enfants commencent à avoir des doutes quant à l'origine des deux décès. Le fils d'Alain, sa compagne et le fils de sa compagne sont alors interpellés et mis en examen. Ils sont suspectés d'avoir tué Alain et Monique pour s'approprier leurs économies. Pour Code source, Vincent Gautronneau, journaliste au service police-justice du Parisien, revient sur l'enquête de ce double assassinat présumé. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clara Grouzis, Pénélope Gualchierotti et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:59 - Le Zoom de France Inter - [REDIFFUSION] En pleine campagne sarthoise, à La Chapelle-d'Aligné, le Dream Club est réservé aux jeunes de 13 à 17 ans. Cette boîte de nuit organise des soirées spéciales ados, sans adultes et sans alcool. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:09:29 - Le Masque et la Plume - Discussion autour du film « Sorry Baby » d'Eva Victor, qui met en scène une jeune femme confrontée aux conséquences d'un viol. Un récit fragmenté qui interroge la notion de temporalité et de résilience. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis la pandémie, nous sommes nombreux et nombreuses à passer beaucoup de temps devant nos ordinateurs en visio. Pas toujours simple de savoir comment prendre la parole de façon pertinente à distance. Et quand on sait que Presque la moitié des employés (49%) ont déjà subi de la fatigue en raison de visioconférences…. Mieux vaut savoir s'y prendre !Comment s'assurer que votre message passe bien ?C'est ce que cet épisode va vous expliquer.Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous avez été super nombreux.ses à vouloir que j'en parle : aujourd'hui, on aborde le sujet de la phobie sociale. Quand j'ai commencé les vidéos sur YouTube, j'ai été rapidement confrontée à la foule. Entre les meet-ups, les dédicaces et le fait d'être reconnue dans la rue, ça commençait à faire BEAUCOUP de gens autour de moi. Et c'est là que j'ai commencé à développer une grosse anxiété et une paranoïa dès que je croisais un regard. Aujourd'hui, j'ai mis tout ça derrière moi (enfin presque) et je vais vous expliquer comment j'y suis parvenue ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vous aimez Les Fabuleux destins, le podcast Bababam Originals ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir A la folie pas du tout, le poccast qui vous plonge dans les histoires d'amour les plus marquantes. [Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] Plongez dans l'histoire de l'un des couples les plus fantasmés de l'histoire du rock : le bassiste des “Sex Pistols” Sid Vicious et sa petite amie Nancy Spungen. Pourtant, tout était loin d'être rose entre eux. Le couple s'est épanoui sur fond d'addiction et de manipulations qui ont précipité sa fin… Presque 50 ans plus tard, découvrez l'histoire des Roméo et Juliette du mouvement punk. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Lola Bertet Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation et production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
PODCASTChaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
On l'appelait "le monstre de Ménilmontant". En 1948, Marie-Louise Bouquiaux tue son mari Lucien et jette son corps en morceaux à la seine.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Marie-Claude Franz était une femme dépressive qui ne croyait plus à la vie. Elle l'avait même écrit dans un message d'adieu. Quand Fabrice Franz, son mari, l'a découverte sans vie dans leur chambre, il a tout de suite évoqué le suicide. Il était choqué, tremblant. En ce jour d'automne 2019, vingt-huit ans après leur rencontre, il perdait la femme qu'il aimait. Rien, semble-t-il, ne pourrait contredire ce triste scénario. Les gendarmes vont pourtant émettre tout de suite des doutes sur cette mort des plus limpides. Une scène de suicide ressemblant parfois étrangement à une scène de crime. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Presque 25 ans d'émission, pourtant Hervé Pouchol se fait toujours surprendre parmi les dossiers de l'émission ! L'équipe de "Ça peut vous arriver" vous accompagne tout le mois de juillet du lundi au vendredi ! Dans les podcasts inédits des "Cas en or", les membres de l'équipe de l'émission reviennent, au micro de Chloé Lacrampe, sur les cas marquants de la saison.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ces dernières semaines, la politique de Donald Trump a eu des impacts majeurs sur la RDC, tant sur le plan économie avec la fin de l'USAID - Kinshasa était le premier pays francophone d'Afrique récipiendaire de cette aide – que sur le plan sécuritaire et politique. La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont signé un accord de paix avec l'ambition déclarée de mettre fin au conflit dans l'Est de la RDC, le 27 juin à Washington, sous l'égide des États-Unis. Une diplomatie très active donc. Et sa première actrice sur le terrain à Kinshasa, l'ambassadrice Lucy Tamlyn, fait le point sur ces sujets avec Charlotte Cosset. RFI : Les États-Unis ont démantelé l'USAID. La fin de cette aide est un coup dur pour les ONG. À quoi va ressembler désormais l'aide américaine en RDC ? L'important, c'est que l'assistance américaine ne s'arrête pas. Elle est maintenant coordonnée par le département d'État. Et cette transition structurelle permet une meilleure cohérence entre la diplomatie et l'assistance. Évidemment, sur le terrain, il y avait des ajustements, mais nos programmes de santé et de réponse aux urgences se poursuivent. Ce sont des domaines prioritaires dans notre engagement bilatéral et nous restons le plus grand bailleur en RDC. Est-ce que vous sauriez, après ces réajustements, nous dire à combien s'élève l'aide américaine ? Ce que je peux dire, c'est que les États-Unis restent engagés à soutenir la santé, y compris la réponse pour les personnes vivant avec le VIH-Sida et les réponses d'urgence là où les besoins sont les plus urgents et où se trouvent les plus vulnérables. Je ne peux pas donner un chiffre exact, évidemment, c'est moins qu'auparavant et nous sommes aussi en train de faire une évaluation de l'assistance. Donc, ça va être plus clair dans les mois à venir, quelles seront les formes et les montants de l'assistance. Fin juin toujours, madame l'Ambassadrice, s'est tenue en Angola, le sommet États-Unis Afrique. Que faut-il en retenir ? C'était une grande réussite. Presque 2,5 milliards de dollars en nouveaux accords et engagements qui ont été annoncés. C'est aussi une opportunité pour expliquer que nous donnons la priorité aux échanges commerciaux plutôt qu'à l'aide et tout en encourageant les partenariats pour stimuler une croissance fondée sur l'investissement. Je peux ajouter aussi qu'il y a eu la réunion de cinq présidents africains à la Maison Blanche. Cet événement se veut le premier d'une série de discussions continues que nous voulons entamer avec les dirigeants africains. Et cela veut dire que c'est vraiment le début d'un engagement beaucoup plus étroit qu'auparavant. Parmi les questions abordées en Angola, celle du corridor de Lobito, qui est stratégique pour la RDC, cette voie ferrée qui relie déjà en partie la façade maritime de l'Angola aux zones minières en RDC de Kolwezi. Quels sont les engagements financiers américains dans ce domaine et dans quel but ? Les États-Unis investissent dans ce corridor parce qu'il représente un levier de transformation économique. Bien sûr, il y a des bénéfices pour nos deux pays. Le projet de Lobito, concrètement, on en est où côté congolais ? Nous sommes en pleine discussion avec le gouvernement pour connaître leurs intentions. Il s'agit de trouver une forme de concession qui va être attirante pour le secteur privé. Parce que ce qui est différent par rapport à ce corridor, c'est que le financement va directement au secteur privé. Ce n'est pas de gouvernement à gouvernement. On serait plutôt sur l'option de la réhabilitation de la voie existante ou sur le projet de construction du nouveau tronçon qui avait été envisagé ? À ce stade, c'est plutôt la réhabilitation du tronçon existant. Nous sommes vraiment dans les étapes préliminaires, mais nous sommes très étroitement liés avec l'Union européenne. L'Union européenne est très impliquée. Lobito, c'est un projet très stratégique. Il doit permettre l'exportation des minerais des régions enclavées de la RDC vers l'Angola. Et en avril, par ailleurs, lors de la visite de Massad Boulos à Kinshasa, le président Tshisekedi a annoncé l'existence d'un accord minier entre la RDC et les États-Unis. Est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus ? Quels sont les minerais congolais les plus stratégiques pour le marché américain ? Il y en a plusieurs, mais évidemment, le cobalt et le cuivre sont importants pour toutes les économies industrialisées. On parle du lithium également ? Oui le lithium aussi. Ce que je peux dire par rapport à cet accord minier, c'est plutôt qu'il s'agit de plusieurs accords. Ce sont des accords qui visent à améliorer le climat des affaires. Parce que même s'il y a une ouverture claire pour les sociétés occidentales, l'expérience ici montre qu'il y avait des obstacles pour l'investissement. Donc, ce que nous cherchons à faire, c'est d'améliorer le climat des affaires en travaillant étroitement avec le gouvernement, avec les institutions. Et ça va donner le feu vert pour les sociétés américaines de venir ici investir. Donald Trump a obtenu un premier accord entre Kinshasa et Kigali pour faire cesser le conflit à l'Est. C'est sans précédent. Comment la diplomatie américaine est-elle parvenue à un tel résultat ? Après trente ans de conflit, il est vraiment temps que la souffrance cesse et que la souveraineté et l'intégrité territoriale congolaise soient respectées. Donc, voici pourquoi les États-Unis ont insisté pour que cet accord de paix vienne avec un calendrier, un plan et des témoins. Le processus de mise en œuvre a bel et bien commencé avec la création d'un mécanisme de sécurité conjoint entre la RDC et le Rwanda. Et ce mécanisme coordonne la neutralisation des FDLR et le retrait progressif des troupes rwandaises. C'est un accord réaliste fondé sur des engagements réciproques. Et je voulais aussi dire que cet accord est différent, car nous avons clairement dit qu'il y aurait des conséquences si les engagements ne sont pas respectés. Cet accord a aussi de nouveaux aspects. En plus des engagements sécuritaires, il fournit l'incitation d'un cadre d'intégration économique régionale. Vous parlez de conséquences. Quel type de conséquences ? Les conséquences peuvent être les mesures punitives, par exemple les sanctions ou les autres leviers diplomatiques. Un exemple des aspects positifs des propos incitatifs : il y a un projet hydroélectrique de 760 millions de dollars qui reliera le Burundi, le Rwanda et la RDC. C'est un projet qui existe depuis longtemps, pas encore mis en œuvre, qui a juste besoin de la paix pour démarrer. Et donc ça, c'est un projet sur lequel vous êtes prêt à investir, si l'accord tient ? Une société américaine fait partie de ce projet, il y a plusieurs pays, plusieurs sociétés. C'est un projet assez complexe qui lie les trois pays. Et ça dépend du mécanisme qui va (met en oeuvre) l'accord des trois pays. (C'est un exemple) de l'importance d'arriver à une paix durable qui va permettre la confiance nécessaire entre ces trois pays, et donner le feu vert pour que ce projet puisse commencer. Vous l'avez dit, le suivi de la mise en œuvre de cet accord va être crucial. Jusqu'où les États-Unis sont prêts à s'impliquer dans ce suivi ? En fait, les États-Unis font partie, comme observateurs, du mécanisme de coordination sécuritaire et aussi du mécanisme de suivi. Et ce comité, qui inclut aussi le Qatar et Togo, assure un accompagnement constant de la mise en œuvre. Dans le cadre de cet accord. Une nouvelle rencontre est prévue prochainement à Washington avec les trois présidents. Que faut-il en attendre ? Le président Trump a hâte de (recevoir) ces deux présidents à Washington pour signer un accord de paix entre président Kagamé et président Tshisekedi. L'objet de cette nouvelle rencontre, c'est de signer l'accord au niveau présidentiel, mais aussi d'ouvrir la possibilité pour ce cadre d'engagement économique et (d'inaugurer) un avenir plus prospère pour la région et pour les deux pays.
Ne confondez plus adjectifs et adverbes en français! Dans cette vidéo et cet article, je vous explique les différences entre “rapide” et “vite”, “bon” et […] L'article Adjectifs et adverbes: 6 erreurs à éviter est apparu en premier sur Français avec Pierre.
☕ Presque tous les Français en boivent… mais ici, le café, c'est bien plus qu'une simple boisson chaude. C'est un rituel, un moment social, parfois même une vraie addiction.Dans cet épisode, on explore les habitudes autour du café en France :On le boit comment ? Debout au comptoir, assis en terrasse, ou tranquillement à la maison ?À quel moment de la journée ? Plutôt expresso, allongé, crème, noisette ? Avec ou sans sucre ? Et est-ce qu'il est vraiment bon, ce café en France ? Enfin on parle d'un phénomène qui se développe dans le pays : les coffee shops. Qu'est-ce qu'on en pense ? Tu vas voir, on n'est pas forcément d'accord sur ça... → Retrouve la transcription détaillée de l'épisode, mais aussi des épisodes bonus, des exercices, et plein d'autres choses sur notre Patreon. → Pour des leçons privées avec Violaine et/ou Nathan, réserve des sessions de coaching privé. Belle écoute
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 10 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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voici un premier épisode particulier d'une femme extraordinaire…FRANIA naît le 1er mars 1926 à Tarnów, une ville située au sud-est de la Pologne, à environ 80 km de Cracovie. Tarnów abrite alors une importante communauté juive d'environ 25 000 personnes, soit 40 à 50 % de la population.Son père est un chef d'orchestre symphonique renommé, et sa mère, pianiste dans les cinémas de la ville, accompagne au piano les films muets. Frania a deux frères, l'un cadet et l'autre aîné, tous deux également musiciens. C'est une petite fille pleine de joie, qui grandit au sein d'une famille juive laïque, dans un univers d'insouciance, de bonheur et de sécurité, malgré les prémices d'un antisémitisme qui se fait déjà sentir à Tarnow, comme dans toute la Pologne.Les choses se compliquent en 1938, lorsque des Juifs allemands d'origine polonaise, chassés d'Allemagne, arrivent en ville. Mais le véritable coup de tonnerre survient le 1er septembre 1939 : la première bombe allemande s'abat sur la gare de Tarnów. Frania s'en souvient avec précision : l'horloge de la chambre marquait minuit pile. S'ensuivent huit jours de bombardements incessants, de jour comme de nuit.Le 7 septembre 1939, l'armée allemande entre dans Tarnów. Presque immédiatement, les répressions contre les Juifs polonais commencent : rafles, déportations, assassinats arbitraires... Des affiches fleurissent sur les murs, interdisant aux Juifs d'aller à l'école, à la banque et imposant un couvre-feu strict. En un mois, toutes les synagogues et les quarante maisons de prière juives sont incendiées ou dynamitées.Le père de Frania, immédiatement traqué, décide de fuir.Ses frères sont arrêtés dans la rue pour des travaux forcés, tandis que Frania reste seule avec sa mère. Pendant plus d'un an, sa maman la cache de cave en grenier pour la protéger des Allemands. Une vie clandestine terrible pour une enfant de 13 ans, qui assiste en secret à des humiliations publiques suivies d'exécutions brutales. Frania traverse parfois des rues jonchées de corps inertes, abandonnés par les nazis.VOICI la première des 4 parties du témoignage de Frania 13 ans, Enfant de la ShoahNE PERDONS PAS L'HISTOIRE, PARTAGEONS-LA…suivez moi sur les réseaux ici
Est-ce une bonne idée pour les Celtics d'avoir modifié leur effectif après la blessure de Jayson Tatum ? Si le contexte économique explique en grande partie le choix de la direction, on peut se demander si la saison ne va pas sembler longue pour les fans de Boston...Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Le droit international humanitaire est-il encore vivant ? Les guerres en Ukraine, à Gaza ou au Soudan semblent avoir signé l'arrêt de mort des principes bâtis dans les années 1970. Comment réformer une démarche née au XIXᵉ siècle ? Comment la sortir de ses dérives post-coloniales, comment la protéger de la menace de l'extrême droite dans tous les pays et comment la refonder alors que la loi du plus fort semble prévaloir aujourd'hui face au droit ? Autant de questions existentielles posées par le livre Géopolitique de l'action humanitaire de Jean-François Corty, président de l'ONG Médecins du monde. À lire aussiBande de Gaza: l'enfer de 1,1 million d'enfants pris au piège entre guerre et malnutrition
Six morts dans un village silencieux de l'Oise à l'automne 1983. Presque toute une famille, le Labrousse, décimée à coups de couteau au cours d'une nuit d'épouvante. Parents, enfants, grands-parents...La rage meurtrière d'un seul homme, Pascal Dolique, un apprenti charcutier de 23 ans. Une colère incontrôlable dictée dira t-il par un "dépit amoureux". Des mots presque futiles qui ne vont jamais être à la hauteur de ce massacre familial.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, dans Culture Médias, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, il y a du changement à l'animation de Télématin, Jean-Jacques Goldman va faire son retour et la (presque) disparition de «Questions Pour un champion».Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Robert Spangler était un homme joyeux, sympathique, animateur dans des radios locales, sportif émérite et randonneur hors pair. L'ancien journaliste attirait toutefois la malchance. En 1994, sa troisième épouse fait une chute mortelle dans le paysage majestueux du Grand Canyon. Presque vingt ans plus tôt, sa première femme s'est suicidée en emportant avec elle leurs deux enfants. Un drame dont il ne parlait jamais tant il était toujours bouleversé. Quant à la deuxième épouse, elle aussi s'est donnée la mort. Elle était dépressive et désespérée. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Robert Spangler était un homme joyeux, sympathique, animateur dans des radios locales, sportif émérite et randonneur hors pair. L'ancien journaliste attirait toutefois la malchance. En 1994, sa troisième épouse fait une chute mortelle dans le paysage majestueux du Grand Canyon. Presque vingt ans plus tôt, sa première femme s'est suicidée en emportant avec elle leurs deux enfants. Un drame dont il ne parlait jamais tant il était toujours bouleversé. Quant à la deuxième épouse, elle aussi s'est donnée la mort. Elle était dépressive et désespérée. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À première vue, cela pourrait sembler monotone. Louis IX, Louis XIV, Charles V, Philippe Auguste, Henri IV… La monarchie française semble s'être limitée à une poignée de prénoms, répétés encore et encore pendant plus de mille ans. Mais derrière cette apparente routine se cache une véritable stratégie politique, religieuse et symbolique.Tout commence au haut Moyen Âge. Les rois mérovingiens, puis carolingiens, portaient déjà des prénoms issus de leur lignée, mais c'est avec les Capétiens, à partir de 987, que s'installe une logique durable de recyclage dynastique des prénoms. Le but ? Ancrer le pouvoir dans la continuité. En répétant les mêmes noms, les rois affirment qu'ils sont les héritiers légitimes de leurs prédécesseurs et qu'ils incarnent une même autorité royale, au-delà des générations.Prenons Louis, par exemple. Ce prénom devient central après le règne de Louis IX, plus connu sous le nom de Saint Louis, canonisé en 1297. À partir de là, porter le nom de Louis, c'est revendiquer une dimension sacrée, presque divine, du pouvoir. C'est se présenter comme un roi pieux, juste, protecteur de la foi et du royaume. Il n'est donc pas étonnant que ce prénom ait été attribué à 18 rois de France.Charles renvoie quant à lui à Charlemagne (Carolus Magnus), figure fondatrice de la royauté chrétienne en Occident. Un roi nommé Charles invoque donc l'image d'un conquérant, d'un unificateur, d'un empereur. Ce n'est pas anodin si Charles VII est celui qui met fin à la guerre de Cent Ans, ou si Charles V est surnommé “le Sage”.Le prénom Philippe, popularisé par Philippe Auguste, roi capétien du XIIe siècle, connote l'autorité forte, la centralisation du pouvoir, et l'expansion du territoire royal. D'autres Philippe suivront, en écho à cette figure d'un roi bâtisseur.Quant à Henri, il s'impose à la Renaissance et renvoie à Henri IV, premier roi bourbon, artisan de la paix religieuse et du renouveau monarchique après les guerres de Religion. Là encore, reprendre son prénom, c'est s'inscrire dans cette image de réconciliation et de renouveau.Ce choix de prénoms n'a jamais été laissé au hasard. Il s'agissait d'une forme de “branding” royal avant l'heure, une signature politique destinée à rassurer le peuple et les élites : le roi qui monte sur le trône n'est pas un inconnu, c'est un nouveau chapitre d'une même histoire.Ainsi, la répétition des prénoms royaux en France n'est pas une routine, mais un acte de pouvoir. Une manière de dire que le roi n'est jamais vraiment un individu, mais un rôle, une fonction, un héritage incarné. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À première vue, cela pourrait sembler monotone. Louis IX, Louis XIV, Charles V, Philippe Auguste, Henri IV… La monarchie française semble s'être limitée à une poignée de prénoms, répétés encore et encore pendant plus de mille ans. Mais derrière cette apparente routine se cache une véritable stratégie politique, religieuse et symbolique.Tout commence au haut Moyen Âge. Les rois mérovingiens, puis carolingiens, portaient déjà des prénoms issus de leur lignée, mais c'est avec les Capétiens, à partir de 987, que s'installe une logique durable de recyclage dynastique des prénoms. Le but ? Ancrer le pouvoir dans la continuité. En répétant les mêmes noms, les rois affirment qu'ils sont les héritiers légitimes de leurs prédécesseurs et qu'ils incarnent une même autorité royale, au-delà des générations.Prenons Louis, par exemple. Ce prénom devient central après le règne de Louis IX, plus connu sous le nom de Saint Louis, canonisé en 1297. À partir de là, porter le nom de Louis, c'est revendiquer une dimension sacrée, presque divine, du pouvoir. C'est se présenter comme un roi pieux, juste, protecteur de la foi et du royaume. Il n'est donc pas étonnant que ce prénom ait été attribué à 18 rois de France.Charles renvoie quant à lui à Charlemagne (Carolus Magnus), figure fondatrice de la royauté chrétienne en Occident. Un roi nommé Charles invoque donc l'image d'un conquérant, d'un unificateur, d'un empereur. Ce n'est pas anodin si Charles VII est celui qui met fin à la guerre de Cent Ans, ou si Charles V est surnommé “le Sage”.Le prénom Philippe, popularisé par Philippe Auguste, roi capétien du XIIe siècle, connote l'autorité forte, la centralisation du pouvoir, et l'expansion du territoire royal. D'autres Philippe suivront, en écho à cette figure d'un roi bâtisseur.Quant à Henri, il s'impose à la Renaissance et renvoie à Henri IV, premier roi bourbon, artisan de la paix religieuse et du renouveau monarchique après les guerres de Religion. Là encore, reprendre son prénom, c'est s'inscrire dans cette image de réconciliation et de renouveau.Ce choix de prénoms n'a jamais été laissé au hasard. Il s'agissait d'une forme de “branding” royal avant l'heure, une signature politique destinée à rassurer le peuple et les élites : le roi qui monte sur le trône n'est pas un inconnu, c'est un nouveau chapitre d'une même histoire.Ainsi, la répétition des prénoms royaux en France n'est pas une routine, mais un acte de pouvoir. Une manière de dire que le roi n'est jamais vraiment un individu, mais un rôle, une fonction, un héritage incarné. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Isabelle Mergault aime beaucoup les pompiers parce qu'ils sont "efficaces, gentils et rassurants", mais cet auditeur, pompier de Paris, n'a pas l'air d'être très aimable avec elle... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À 29 ans, Linda Hazi décroche un poste prestigieux chez L'Occitane : directrice Europe et Moyen-Orient. Une promotion éclatante… qui tourne au fiasco.Fraîchement nommée, elle pense qu'être une bonne manager, c'est plaire à tout le monde. Un an plus tard, son entretien annuel est une claque : « Vous ne vous rendez pas compte, mais ça ne va pas du tout. »Dans cet extrait fort et sans filtre, elle raconte comment cet échec professionnel l'a transformée. Coaching, introspection, travail sur soi… Elle apprend à poser un cadre, à fixer une vision, à diriger vraiment. Résultat : trois années de croissance à deux chiffres.Une leçon d'humilité et de leadership à ne pas manquer ! Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.