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Columbia, Harvard, UCLA, Brown, Stanford, MIT... Depuis son retour à la Maison Blanche, les universités américaines sont la cible de Donald Trump. Interdiction des programmes de diversité, d'équité et d'inclusion, révisions des contenus pédagogiques, censure de certains mots, fin des visas à des étudiants et chercheurs étrangers, menaces sur les avantages fiscaux, suppression ou gel des subventions... Le président américain multiplie les injonctions et mesures contre les campus qu'il accuse d'être des bastions du wokisme, où l'antisémitisme prospèrerait. Dernière tentative de s'immiscer dans la gouvernance des universités : un «pacte pour l'excellence académique» qui implique notamment de ne pas dépasser les 15% d'étudiants étrangers en échange de fonds fédéraux pour 9 universités. Dans les campus, la résistance s'organise au nom de la liberté académique. Mais cette bataille est bien culturelle pour Donald Trump qui affiche son mépris des élites universitaires. Les universités américaines sont de véritables moteurs de la croissance et de l'innovation, avec leurs missions éducatives et leurs gigantesques labos de recherche, irrigués par les talents du monde entier. Mais peuvent-elles gagner la bataille du savoir contre la croisade culturelle MAGA ? Avec : • Vincent Pons, économiste, professeur d'Économie à la Harvard Business School et cofondateur d'Explain • Laurie Bereau, maîtresse de conférence en Civilisation des États-Unis à l'Université Rennes 2. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction l'Argentine, avec notre correspondant Théo Conscience. Depuis le mois septembre, la chaîne de télévision publique pour enfants Paka paka diffuse Tuttle twins, un dessin animé importé des États-Unis qui promeut l'idéologie ultralibérale. Un nouvel outil dans l'arsenal du président Javier Milei au service de sa bataille culturelle. Programmation musicale : ► For My People - Joey Bada$$ ► Trop pressé - Apoutchou National ft. Yodé & Siro.
Columbia, Harvard, UCLA, Brown, Stanford, MIT... Depuis son retour à la Maison Blanche, les universités américaines sont la cible de Donald Trump. Interdiction des programmes de diversité, d'équité et d'inclusion, révisions des contenus pédagogiques, censure de certains mots, fin des visas à des étudiants et chercheurs étrangers, menaces sur les avantages fiscaux, suppression ou gel des subventions... Le président américain multiplie les injonctions et mesures contre les campus qu'il accuse d'être des bastions du wokisme, où l'antisémitisme prospèrerait. Dernière tentative de s'immiscer dans la gouvernance des universités : un «pacte pour l'excellence académique» qui implique notamment de ne pas dépasser les 15% d'étudiants étrangers en échange de fonds fédéraux pour 9 universités. Dans les campus, la résistance s'organise au nom de la liberté académique. Mais cette bataille est bien culturelle pour Donald Trump qui affiche son mépris des élites universitaires. Les universités américaines sont de véritables moteurs de la croissance et de l'innovation, avec leurs missions éducatives et leurs gigantesques labos de recherche, irrigués par les talents du monde entier. Mais peuvent-elles gagner la bataille du savoir contre la croisade culturelle MAGA ? Avec : • Vincent Pons, économiste, professeur d'Économie à la Harvard Business School et cofondateur d'Explain • Laurie Bereau, maîtresse de conférence en Civilisation des États-Unis à l'Université Rennes 2. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction l'Argentine, avec notre correspondant Théo Conscience. Depuis le mois septembre, la chaîne de télévision publique pour enfants Paka paka diffuse Tuttle twins, un dessin animé importé des États-Unis qui promeut l'idéologie ultralibérale. Un nouvel outil dans l'arsenal du président Javier Milei au service de sa bataille culturelle. Programmation musicale : ► For My People - Joey Bada$$ ► Trop pressé - Apoutchou National ft. Yodé & Siro.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Tu es enseignant.e à l'Education nationale, tu aimes encore enseigner, mais plus dans ces conditions ? Et si tu pouvais continuer à transmettre sans rester dans le système ?Tu n'es pas seul.e et de plus en plus de professeur ressentent la même chose : ils aiment leur mission, mais pas leurs conditions de travail. Une autre façon d'enseigner existe : indépendante, souple et à ton image.C'est justement le sujet de ce live !Bonne écoute !_____
Le chrétien et ses responsabilités. Nous allons regarder ensemble que le Seigneur s'attend à ce que chacun comprenne et entre dans l'appel pour sa vie. Depuis l'éternité, Dieu avait un plan pour chacun de ses disciples. Cet article Chercher à entrer dans ce que Dieu nous a demandé personnellement. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Dans une école républicaine fondée sur les principes d'universalité et de neutralité, la présence croissante d'enseignants issus de l'immigration pose de nouvelles questions. Même s'ils ont les mêmes diplômes que leurs collègues, certains ne sont pas toujours perçus comme de « vrais » professeurs. Leur origine, leur couleur de peau ou leur nom peuvent provoquer des réactions de surprise, voire de méfiance, de la part des parents ou des collègues. On leur demande parfois de jouer un rôle particulier : expliquer certaines cultures, traduire, ou gérer les élèves « difficiles ». Ces attentes peuvent les mettre mal à l'aise, car elles les ramènent à leurs origines plutôt qu'à leur métier. L'école, malgré ses valeurs d'égalité, peut encore faire des différences. Alors, comment garantir que tous les enseignants soient respectés de la même manière ? L'origine d'un professeur doit-elle influencer son rôle dans l'école ? Peut-on vraiment séparer les différences personnelles de la fonction professionnelle ? Cette émission est une rediffusion du 25 juin 2025. Avec : • Aksel Kilic, sociologue, spécialiste des rapports sociaux et de la sociologie des professeurs des écoles, Université Paris-Est Créteil, autrice de l'article Stigmates, contradictions et dilemmes de statut. L'expérience des professeurs des écoles issus de l'immigration (Cahiers de la recherche sur l'éducation et le savoir), de L'école du like (PUF, 2024) et de L'école primaire vue des coulisses (PUF, 2022) • Lilia Larbi, enseignante d'anglais dans un lycée d'enseignement professionnel à Paris. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du Monde des enfants ! Ils nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Kinshasa en République Démocratique du Congo avec Evan, Julia, Raphaël, Yann, Grâce, Tehila-Cyra et Naël-Elikya, des enfants qui ont entre 9 et 12 ans. Ils nous avaient déjà parlé des punitions, à l'école et à la maison. Aujourd'hui, un tout autre sujet : la liberté ! En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur. Programmation musicale : ► Mi Lado - Africa Express ► Mane - Diese Mbangue.
Dans une école républicaine fondée sur les principes d'universalité et de neutralité, la présence croissante d'enseignants issus de l'immigration pose de nouvelles questions. Même s'ils ont les mêmes diplômes que leurs collègues, certains ne sont pas toujours perçus comme de « vrais » professeurs. Leur origine, leur couleur de peau ou leur nom peuvent provoquer des réactions de surprise, voire de méfiance, de la part des parents ou des collègues. On leur demande parfois de jouer un rôle particulier : expliquer certaines cultures, traduire, ou gérer les élèves « difficiles ». Ces attentes peuvent les mettre mal à l'aise, car elles les ramènent à leurs origines plutôt qu'à leur métier. L'école, malgré ses valeurs d'égalité, peut encore faire des différences. Alors, comment garantir que tous les enseignants soient respectés de la même manière ? L'origine d'un professeur doit-elle influencer son rôle dans l'école ? Peut-on vraiment séparer les différences personnelles de la fonction professionnelle ? Cette émission est une rediffusion du 25 juin 2025. Avec : • Aksel Kilic, sociologue, spécialiste des rapports sociaux et de la sociologie des professeurs des écoles, Université Paris-Est Créteil, autrice de l'article Stigmates, contradictions et dilemmes de statut. L'expérience des professeurs des écoles issus de l'immigration (Cahiers de la recherche sur l'éducation et le savoir), de L'école du like (PUF, 2024) et de L'école primaire vue des coulisses (PUF, 2022) • Lilia Larbi, enseignante d'anglais dans un lycée d'enseignement professionnel à Paris. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du Monde des enfants ! Ils nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Kinshasa en République Démocratique du Congo avec Evan, Julia, Raphaël, Yann, Grâce, Tehila-Cyra et Naël-Elikya, des enfants qui ont entre 9 et 12 ans. Ils nous avaient déjà parlé des punitions, à l'école et à la maison. Aujourd'hui, un tout autre sujet : la liberté ! En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur. Programmation musicale : ► Mi Lado - Africa Express ► Mane - Diese Mbangue.
Ce que représente l'onction d'huile, c'est plus qu'un symbole. L'onction représente l'Esprit de Dieu. Dans l'Ancien Testament, Dieu a expliqué que l'huile d'onction servait à rendre saint. Cet article Le symbole de l'onction d'huile dans la prière. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Voilà 3 ans qu'on me réclame l'interview d'une prof devenue sophrologue, et ce jour est enfin arrivé !Cécile est née dans une famille de profs. Elle a été professeure des écoles pendant 26 et elle a profondément aimé son métier. Elle a d'ailleurs passé les 17 dernières années de sa carrière dans un établissement où elle se sentait bien.Au fil des années, le manque de reconnaissance s'est fait ressentir. Cécile a alors essayé d'innover dans certains aspects de sa pratique : des mathématiques aux arts plastiques en passant par la sophrologie pour apporter du mieux être aux élèves. Un métier auquel elle s'est formée pendant 2 ans pour exercer à temps partiel à côté de la classe, puis à temps plein.Son départ, elle le doit à sa détermination, et à l'aide de l'association Aide aux Profs qui lui a permis d'obtenir une rupture conventionnelle. Aujourd'hui, Cécile est une sophrologue heureuse, spécialisée dans le stress et les acouphènes, et j'espère que son parcours vous aidera à vous projeter dans ce métier qui vous fait tant rêver.Bonne écoute !_____Besoin d'aide pour avancer dans votre reconversion professionnelle ? Découvrez mes accompagnements._____
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Nous allons regarder ensemble que le Seigneur s'attend à ce que chacun de ses enfants s'attache à lui de plus en plus. Vous savez qu'avant de connaître le Seigneur, nous marchions dans l'égarement, selon nos pensées et notre volonté, nous étions sur le chemin de la perdition. Cet article Chercher à être un disciple attaché au Seigneur. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Environ un quart des élèves dans le monde a bénéficié de repas scolaires en 2024, une proportion qui atteint 47% à l'école primaire, selon un rapport de l'Unesco. Dans les pays en développement, de nombreuses écoles dépendent du Programme alimentaire mondial, ce qui met en péril les cantines lorsque les aides baissent et que les circuits d'approvisionnement local ne sont pas assez structurés. Or, le manque d'investissements dans la santé et la nutrition nuit aux résultats scolaires. Comment établir des partenariats avec des agriculteurs locaux tout en maintenant des prix bas et un approvisionnement régulier ? Les cantines peuvent-elles à la fois nourrir les élèves, favoriser leur réussite scolaire tout en soutenant les économies locales ? Cette émission est une rediffusion du 21 mai 2025. Avec : • Sylvie Avallone, professeur à l'Institut Agro Montpellier, membre de la Chaire Unesco «Alimentations du monde» et impliquée dans le Consortium international santé et nutrition à l'école. Un entretien avec Emeline Vin, correspondante de RFI à Londres au Royaume-Uni où la malbouffe règne dans les cantines scolaires. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Mamady à Conakry en Guinée. Programmation musicale : ► Boulène Dème - Idrissa Diop, ORCHESTRA BAOBAB ► Libère - White Corbeau.
Environ un quart des élèves dans le monde a bénéficié de repas scolaires en 2024, une proportion qui atteint 47% à l'école primaire, selon un rapport de l'Unesco. Dans les pays en développement, de nombreuses écoles dépendent du Programme alimentaire mondial, ce qui met en péril les cantines lorsque les aides baissent et que les circuits d'approvisionnement local ne sont pas assez structurés. Or, le manque d'investissements dans la santé et la nutrition nuit aux résultats scolaires. Comment établir des partenariats avec des agriculteurs locaux tout en maintenant des prix bas et un approvisionnement régulier ? Les cantines peuvent-elles à la fois nourrir les élèves, favoriser leur réussite scolaire tout en soutenant les économies locales ? Cette émission est une rediffusion du 21 mai 2025. Avec : • Sylvie Avallone, professeur à l'Institut Agro Montpellier, membre de la Chaire Unesco «Alimentations du monde» et impliquée dans le Consortium international santé et nutrition à l'école. Un entretien avec Emeline Vin, correspondante de RFI à Londres au Royaume-Uni où la malbouffe règne dans les cantines scolaires. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Mamady à Conakry en Guinée. Programmation musicale : ► Boulène Dème - Idrissa Diop, ORCHESTRA BAOBAB ► Libère - White Corbeau.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Dans cet épisode, je remercie les 38 personnes qui ont participé à la cagnotte annuelle du podcast.C'est grâce à vous que la saison 6 se poursuit, et ça mérite bien un épisode.
Beaucoup d'élèves n'ont pas conscience de leurs difficultés et ne savent pas comment faire pour progresser. Est-ce que les conseils de classe, et les fameux bulletins, les font réellement avancer ? Comment pourrait-on s'en servir comme levier ? Émilie Rogé, professeure de SVT au collège de la Largue à Seppois-le-Bas (Haut-Rhin), a mis en place des auto-évaluations que ses élèves présentent eux-mêmes lors du conseil de classe. Ces auto-évaluations sont préparées en amont et un suivi des objectifs est mis en place par la suite. Identifier leurs compétences, relever leurs réussites mais aussi leurs difficultés, proposer des solutions et les assumer face au conseil de classe peut aider les élèves à devenir des acteurs conscients et engagés de leur propre parcours.Extra classe à écouter et à partager sur toutes vos plateformes d'écoute :https://smartlink.ausha.co/extra-classeExtra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée et réalisée par : Sarah Eichhoff Directrice de publication : Marie-Caroline Missir Coordination et production : Hélène Audard, Magali Devance Mixage : Laurent Gaillard Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est une oeuvre monumentale qui s'achève : l'Unesco a publié les trois derniers volumes de l'"Histoire générale de l'Afrique", un projet qui a débuté en 1964 avec un objectif clair : raconter l'histoire du continent d'un point de vue africain. Au fil des décennies, le transfert de ce savoir dans les salles de classe devient une autre priorité majeure.
Au Québec, le bras de fer entre le gouvernement et les médecins se poursuit. Les soignants dénoncent une réforme qui prévoit de mettre en place des objectifs de performance, officiellement pour accélérer l'accès aux soins. Le personnel médical estime que les autorités sont totalement déconnectées de la réalité. C'est un dossier de Nafi Alibert. Si les médecins continuent d'assurer les soins, ils ont arrêté d'enseigner. Les stages et les cours sont suspendus, les étudiants ont déserté les hôpitaux, explique notre correspondante. La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec confirme que la formation des futurs médecins sera retardée. Le journal Le Devoir pour sa part constate la nécessité d'une réforme de ce secteur. «Notre réseau public affiche des signes de détresse inquiétants, mais, plutôt que de se solidariser à son chevet, chaque camp cherche d'abord à sauver sa peau. Et tant pis pour le corps souffrant autour duquel ils se déchirent. A-t-on déjà sauvé un patient en méprisant ainsi l'état de ses organes vitaux ?», écrit le journal. Le Devoir déplore l'échec de la médiation et estime que le retour du «boycottage de l'enseignement» constitue un gâchis irresponsable. Haïti : situation préoccupante dans l'Artibonite Avec Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse, on revient sur la situation sécuritaire qui se détériore rapidement à Désarmes et à Verrettes, dans l'Artibonite. Les groupes armés ont gagné du terrain dans plusieurs localités, semant la panique parmi la population. Selon les informations recueillies par AlterPresse dans la soirée du 20 octobre 2025, des habitants lancent des appels urgents aux forces de l'ordre. Ils réclament un renforcement immédiat de la présence policière afin d'éviter que la région ne connaisse le même sort que Mirebalais, Lachapelle ou Liancourt, déjà passées sous le contrôle de gangs armés. Les témoignages transmis à AlterPresse décrivent un climat d'urgence et de désarroi croissant dans la zone. Brésil : feu vert à l'exploration pétrolière au large de l'Amazonie À trois semaines de la COP30 qui aura lieu à Belém, en Amazonie, le Brésil envoie un signal pour le moins contradictoire, nous explique Simon Rozé, chef du service environnement de RFI. Tout en affichant de grandes ambitions climatiques, le président Lula vient d'autoriser la compagnie pétrolière Petrobras à forer au large de l'embouchure de l'Amazone. Le pays, huitième producteur mondial d'hydrocarbures, compte encore renforcer sa production d'ici 2030 grâce à sa compagnie publique, l'une des plus puissantes au monde. Une décision que Brasilia justifie au nom de son développement économique et du principe de «responsabilité historique» : les pays du Sud, peu responsables du réchauffement, estiment légitime d'exploiter leurs ressources pour financer leur transition énergétique. Mais cette décision suscite une vive opposition au Brésil, d'autant que la zone de forage se situe dans une réserve naturelle d'une grande richesse La réponse de Donald Trump aux manifestations «No Kings» provoque l'indignation Dans une vidéo générée par l'IA, Donald Trump apparaît coiffé d'une couronne et aux commandes d'un avion de chasse qui largue ce qui semble être des excréments sur des manifestants. Ce clip posté sur Truth Social et retwitté par la Maison Blanche a provoqué l'indignation du New York Times. L'éditorialiste dénonce une mise en scène scatologique, qui illustre à la fois le mépris de Donald Trump pour une partie du pays et son obsession à rabaisser les institutions et les citoyens qu'il prétend diriger. Le président, écrit-elle, ne voit plus les Américains urbains comme des concitoyens, mais comme des sujets à soumettre. Selon l'édito de USA Today, Donald Trump réagit comme un roi fou par rapport aux manifestants qui ne faisaient qu'exercer leurs droits du 1er amendement de la Constitution, à savoir la liberté d'expression, et cela d'une manière pacifique. L'éditorialiste de conclure : Mais bon sang que ce passe-t-il ? Comment l'Amérique, depuis l'investiture de Trump, a-t-elle pu sombrer aussi bas, jusqu'à dans la boue, littéralement. Journal de la 1ère En Martinique, l'affaire Madivial sera examinée devant la justice dans 2 semaines.
Comment favoriser la libre circulation des savoirs et des applications mathématiques ? Regards croisés d'une mathématicienne sénégalaise engagée et d'un prof de maths azimuté Pourquoi les maths, c'est pas sorcier, mais c'est à partager ? Changeons de regard et de perspective sur les mathématiques. Pourquoi tant de haine pour cette discipline qui est d'abord et avant tout une manière de regarder le monde, bien plus universelle, mais aussi poétique et ludique, qu'on ne l'imagine ? Si, comme le pensait Galilée : « le monde est écrit en langage mathématique », il est d'autant plus essentiel aujourd'hui, où les maths sont partout à l'œuvre dans nos sociétés numériques, de partager ces savoirs et de favoriser la libre circulation des idées et des applications, mais aussi des chercheurs et des chercheuses qui les développent de toutes les manières possibles sur tous les continents... Avec - Yan Pradeau (professeur de maths au Lycée Arago à Paris pour son livre Les maths sont un tango à trois temps, paru chez Flammarion - Sophie Dabo-Niang, professeure de Mathématiques appliquées à l'Université de Lille et chercheuse au Centre Inria de Lille pour le projet de coopération CNRS-Afrique, avec le lancement du Joint research Programmes en mathématiques. Musiques diffusées dans l'émission Edith Piaf - La foule Baaba Maal - Njilou Nannk.
Comment favoriser la libre circulation des savoirs et des applications mathématiques ? Regards croisés d'une mathématicienne sénégalaise engagée et d'un prof de maths azimuté Pourquoi les maths, c'est pas sorcier, mais c'est à partager ? Changeons de regard et de perspective sur les mathématiques. Pourquoi tant de haine pour cette discipline qui est d'abord et avant tout une manière de regarder le monde, bien plus universelle, mais aussi poétique et ludique, qu'on ne l'imagine ? Si, comme le pensait Galilée : « le monde est écrit en langage mathématique », il est d'autant plus essentiel aujourd'hui, où les maths sont partout à l'œuvre dans nos sociétés numériques, de partager ces savoirs et de favoriser la libre circulation des idées et des applications, mais aussi des chercheurs et des chercheuses qui les développent de toutes les manières possibles sur tous les continents... Avec - Yan Pradeau (professeur de maths au Lycée Arago à Paris pour son livre Les maths sont un tango à trois temps, paru chez Flammarion - Sophie Dabo-Niang, professeure de Mathématiques appliquées à l'Université de Lille et chercheuse au Centre Inria de Lille pour le projet de coopération CNRS-Afrique, avec le lancement du Joint research Programmes en mathématiques. Musiques diffusées dans l'émission Edith Piaf - La foule Baaba Maal - Njilou Nannk.
Dans son ouvrage «Écrire le français», Gabriella Parussa retrace l'histoire de l'écrit de la langue française, et son évolution. Comment le français est-il devenu une langue écrite ? Le français fut tout d'abord une langue orale, une langue parlée, une langue de la communication, alors que la langue écrite, celle de la culture, de la justice, de l'administration, était le latin. Le français a beaucoup évolué, tant au niveau de la phonétique qu'au niveau de la syntaxe et la morphologie. Les premiers textes (rarissimes) écrits en français remontent à la deuxième partie du IXè siècle. C'est l'alphabet latin qui est utilisé pour «transférer» cette langue de l'oral à l'écrit, mais Il faut faire des ajustements, car l'alphabet latin n'est pas parfait et ne permet pas de restituer tous les sons… Il y a alors vingt-trois lettres dans l'alphabet latin. Le passage à l'écrit s'est fait avec la volonté de conserver la mémoire. Les premiers «livres» s'écrivaient grâce à des copistes ; cela pouvait prendre des mois. L'écriture : comme une «peinture de la voix» En 842, les petits-fils de Charlemagne signent une alliance militaire : les serments de Strasbourg, Nithard écrit alors en ce qu'on appelle «le proto français» : un mélange entre le latin tardif et le français. C'est l'un des premiers textes conservés avec des traces de français écrit. «C'est une étape importante, on écrit dans les deux langues vernaculaires de l'époque». Ils écrivent cette nouvelle langue en «écoutant». «On dira que l'écriture doit être comme une peinture de la voix, doit correspondre à ce que l'on dit, ce qu'on prononce». Le français est alors très mouvant : on ne parle pas et on n'écrit pas de la même manière selon qu'on habite Arras ou Lyon. Mais les choses vont se fixer avec l'invention de l'imprimerie puis des premières grammaires écrites. Les variations vont alors s'estomper peu à peu. Les imprimeurs vont alors jouer un rôle très important dans la standardisation pour que le livre qu'ils diffusent soit lu et compris et plus grand nombre. Les graphies régionales vont alors peu à peu disparaître. À lire : Bernard Cerquiglini, auteur de L'invention de Nithard aux éditions de Minuit. Invitée : Gabriella Parussa, spécialiste de l'histoire de la langue française, est professeure de linguistique et philologie à la Faculté des Lettres – Sorbonne Université. Ses travaux portent sur le code écrit et son histoire des origines à nos jours. Son ouvrage «Écrire le français, toute une histoire» est publié aux éditions Actes Sud. Dans la chronique Ailleurs, nous parlerons du Festival Beyrouth Livres qui aura lieu dans la capitale libanaise, du 22 au 26 octobre 2025. Et c'est Sarra Ghorbal, attachée pour le livre et le débat d'idées et co-commissaire générale du festival Beyrouth livres qui nous parle de l'évènement. Programmation musicale : Le collectif musical Lamomali avec le titre Totem.
Dans son ouvrage «Écrire le français», Gabriella Parussa retrace l'histoire de l'écrit de la langue française, et son évolution. Comment le français est-il devenu une langue écrite ? Le français fut tout d'abord une langue orale, une langue parlée, une langue de la communication, alors que la langue écrite, celle de la culture, de la justice, de l'administration, était le latin. Le français a beaucoup évolué, tant au niveau de la phonétique qu'au niveau de la syntaxe et la morphologie. Les premiers textes (rarissimes) écrits en français remontent à la deuxième partie du IXè siècle. C'est l'alphabet latin qui est utilisé pour «transférer» cette langue de l'oral à l'écrit, mais Il faut faire des ajustements, car l'alphabet latin n'est pas parfait et ne permet pas de restituer tous les sons… Il y a alors vingt-trois lettres dans l'alphabet latin. Le passage à l'écrit s'est fait avec la volonté de conserver la mémoire. Les premiers «livres» s'écrivaient grâce à des copistes ; cela pouvait prendre des mois. L'écriture : comme une «peinture de la voix» En 842, les petits-fils de Charlemagne signent une alliance militaire : les serments de Strasbourg, Nithard écrit alors en ce qu'on appelle «le proto français» : un mélange entre le latin tardif et le français. C'est l'un des premiers textes conservés avec des traces de français écrit. «C'est une étape importante, on écrit dans les deux langues vernaculaires de l'époque». Ils écrivent cette nouvelle langue en «écoutant». «On dira que l'écriture doit être comme une peinture de la voix, doit correspondre à ce que l'on dit, ce qu'on prononce». Le français est alors très mouvant : on ne parle pas et on n'écrit pas de la même manière selon qu'on habite Arras ou Lyon. Mais les choses vont se fixer avec l'invention de l'imprimerie puis des premières grammaires écrites. Les variations vont alors s'estomper peu à peu. Les imprimeurs vont alors jouer un rôle très important dans la standardisation pour que le livre qu'ils diffusent soit lu et compris et plus grand nombre. Les graphies régionales vont alors peu à peu disparaître. À lire : Bernard Cerquiglini, auteur de L'invention de Nithard aux éditions de Minuit. Invitée : Gabriella Parussa, spécialiste de l'histoire de la langue française, est professeure de linguistique et philologie à la Faculté des Lettres – Sorbonne Université. Ses travaux portent sur le code écrit et son histoire des origines à nos jours. Son ouvrage «Écrire le français, toute une histoire» est publié aux éditions Actes Sud. Dans la chronique Ailleurs, nous parlerons du Festival Beyrouth Livres qui aura lieu dans la capitale libanaise, du 22 au 26 octobre 2025. Et c'est Sarra Ghorbal, attachée pour le livre et le débat d'idées et co-commissaire générale du festival Beyrouth livres qui nous parle de l'évènement. Programmation musicale : Le collectif musical Lamomali avec le titre Totem.
Le Club RFI de Labé, en Guinée Conakry, met en lumière son centre d'apprentissage et de perfectionnement du français. Ce centre a pour vocation d'accompagner les jeunes ainsi que les adultes en activité dans l'acquisition des compétences en lecture et en écriture. Il s'agit de favoriser leur autonomie, leur insertion professionnelle et leur épanouissement personnel. Avec la participation de Saïfoulaye Diallo, président du club RFI Labé Cousine du club : Farida Moustapha Musique : «Koka axe» Waya Dem. L'équipe du Club RFI Journaliste-producteur : Éric Amiens Réalisation : Cécile Bonici. Collaboration service des auditeurs – suivi des projets Clubs RFI : Audrey Iattoni et Sébastien Bonijol. Coordination L'écume des mots : Myriam Guilhot
Le chrétien et ses responsabilités. Nous allons regarder ensemble que le Seigneur s'attend à ce que chacun de ses enfants devienne de plus en plus saint. Notre sauveur a fait ce qu'il a prêché. Et Il nous demande de faire comme lui. Cet article Chercher à être un homme saint. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Fin ce dimanche de l'édition 2025 des #ErasmusDays qui célèbrent tous les ans pendant six jours l'Europe, ses valeurs et ses citoyens. Des milliers d'évènements ont été organisés dans plus de 60 pays pour cette 9e édition. Nelly Fesseau est la directrice de l'agence Erasmus+ Éducation/Formation à Bordeaux. Explications. ► Eramus Days 2025
La religion a-t-elle sa place à l'école en France ? En dépit de la loi de 2004 sur l'interdiction des signes religieux à l'école, cette question émerge régulièrement dans le débat public. Les assassinats de deux professeurs Samuel Paty en 2020 et Dominique Bernard en 2023, lors d'attaques terroristes ont profondément marqué la communauté éducative. Leurs morts violentes ont, en effet, démontré le fossé grandissant entre des enseignants, chargés de transmettre les principes de la laïcité républicaine, et des familles, qui considèrent qu'il n'est pas possible de questionner les religions. Les enseignants sont-ils suffisamment accompagnés et formés par l'institution scolaire pour défendre la liberté d'expression et aborder ces sujets de plus en sensibles ? La laïcité à l'école peut-elle protéger les élèves de l'antisémitisme et de l'islamophobie ? Émission réalisée 5 ans après l'assassinat de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine, en région parisienne, tué le 16 octobre 2020, lors d'une attaque terroriste. Avec : • Delphine Girard, enseignante, professeur agrégée de Lettres classiques et membre du Conseil des sages de la laïcité et des valeurs de la République. Elle publie « Madame, vous n'avez pas le droit ! » (J.-C. Lattès, 2025) • Marie-Anne Valfort, économiste au sein de la Division des politiques sociales de l'OCDE. Elle a mené une étude sur l'Arbre à défis, un jeu créé par l'association Enquête et déployé dans des établissements scolaires en France. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction la Colombie avec notre correspondante Najet Benrabaa. Dans de nombreuses régions, les enseignants et élèves sont confrontés à la violence car ils vivent dans des zones de conflit armé. En fin d'émission : Le Monde des enfants, de Charlie Dupiot : Nous voici à Paris, dans l'une des classes de CM2 de l'École Manin, dans le 19ème arrondissement. Aujourd'hui, Armelle, Vitali, Saadi, Naelia, Wassim et Eva nous parlent de la responsabilité. La chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question de Mariam au Niger qui souhaite créer une complicité avec sa fille «rebelle» de 10 ans. Programmation musicale : ► Mon Amour - Naaman ► Mama Anashindwaje - Harmonize.
La religion a-t-elle sa place à l'école en France ? En dépit de la loi de 2004 sur l'interdiction des signes religieux à l'école, cette question émerge régulièrement dans le débat public. Les assassinats de deux professeurs Samuel Paty en 2020 et Dominique Bernard en 2023, lors d'attaques terroristes ont profondément marqué la communauté éducative. Leurs morts violentes ont, en effet, démontré le fossé grandissant entre des enseignants, chargés de transmettre les principes de la laïcité républicaine, et des familles, qui considèrent qu'il n'est pas possible de questionner les religions. Les enseignants sont-ils suffisamment accompagnés et formés par l'institution scolaire pour défendre la liberté d'expression et aborder ces sujets de plus en sensibles ? La laïcité à l'école peut-elle protéger les élèves de l'antisémitisme et de l'islamophobie ? Émission réalisée 5 ans après l'assassinat de Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine, en région parisienne, tué le 16 octobre 2020, lors d'une attaque terroriste. Avec : • Delphine Girard, enseignante, professeur agrégée de Lettres classiques et membre du Conseil des sages de la laïcité et des valeurs de la République. Elle publie « Madame, vous n'avez pas le droit ! » (J.-C. Lattès, 2025) • Marie-Anne Valfort, économiste au sein de la Division des politiques sociales de l'OCDE. Elle a mené une étude sur l'Arbre à défis, un jeu créé par l'association Enquête et déployé dans des établissements scolaires en France. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction la Colombie avec notre correspondante Najet Benrabaa. Dans de nombreuses régions, les enseignants et élèves sont confrontés à la violence car ils vivent dans des zones de conflit armé. En fin d'émission : Le Monde des enfants, de Charlie Dupiot : Nous voici à Paris, dans l'une des classes de CM2 de l'École Manin, dans le 19ème arrondissement. Aujourd'hui, Armelle, Vitali, Saadi, Naelia, Wassim et Eva nous parlent de la responsabilité. La chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question de Mariam au Niger qui souhaite créer une complicité avec sa fille «rebelle» de 10 ans. Programmation musicale : ► Mon Amour - Naaman ► Mama Anashindwaje - Harmonize.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Le samedi 4 octobre dernier a eu lieu Reconvers'Lyon. Un événement autour de la reconversion des enseignants qui s'est tenu à Lyon. Nous l'avons organisé à 3 avec Nathalie, une ancienne prof qui travaille aujourd'hui avec et pour RécréAnglais (dont vous trouverez le témoignage de reconversion sur le podcast), et Émilie une enseignante en disponibilité qui a notamment écrit le livre La prof a un autre métier pour compiler toutes les informations essentielles au sujet du cumul d'activités dans l'Éducation nationale.L'événement a eu lieu l'après midi, avec un temps de présentation, des questions-réponses, de belles rencontres, de nombreux échanges et un bon goûter. 19 personnes y ont participé et je pense pouvoir dire que tout le monde en garde un chouette souvenir. 7 d'entre elles ont d'ailleurs accepté de laisser un message sur le répondeur du podcast pour partager leur ressenti, et je les en remercie infiniment. C'était un très beau moment, chargé d'émotions, et cet épisode vous donnera peut-être envie de nous rejoindre s'il y a une prochaine fois. Bonne écoute,_____Pour plus d'informations sur l'aventure RécréAnglais, contactez-moi.Pour recevoir le livre La prof a un autre métier, passez commande._____
Il y a cinq ans, le professeur Samuel Paty était décapité devant son collège du Bois d'Aulne à Conflans-Sainte-Honorine à la suite d'un cours sur la liberté d'expression durant lequel il avait montré des caricatures de Mahomet. L'enseignant d'histoire-géographie avait fait l'objet d'un cyberharcèlement basé sur une rumeur fallacieuse avant d'être ciblé par un jeune tchétchène radicalisé, qui avait payé des élèves pour qu'ils lui désignent le professeur à la sortie de l'établissement. Un attentat qui a durablement bouleversé la communauté éducative, à commencer par les collègues de Samuel Paty. Rencontre avec Charlotte Bré, professeure de français, qui a enseigné 14 ans au sein de ce collège désormais rebaptisé Samuel Paty, avant d'être mutée cet été. À lire aussiProcès de l'assassinat du professeur français Samuel Paty: jusqu'à 16 ans de réclusion
Enseignement du P. Michel Martin-Prével
Pascal Denault - Psaume 43.1-5 RÉSUMÉ: Ce psaume termine la prière de David commencée au Psaume 42 et dans laquelle il exprime sa tristesse d'être éloigné du sanctuaire de l'Éternel lorsqu'il dut fuir Jérusalem. Dans cette deuxième partie, il adresse deux demandes à Dieu: (1) Être défendu contre la nation infidèle qui a suivi son fils Absalom dans sa révolte. (2) Être soutenu par Dieu afin qu'il le ramène dans son sanctuaire. David, toujours en fuite, conclut avec l'assurance que Dieu l'exaucera. PLAN: 1. Rends-moi justice (v.1-2) 2. Conduis-moi à ta maison (v.3-4) 3. Élève-toi mon âme (v.5) QUESTIONS: 1. Comment le Psaume 43 marque-t-il un tournant par rapport au Psaume 42? 2. Qu'est-ce qu'une nation infidèle et comment nous faut-il réagir? 3. Quelle est la destination de David et que lui faut-il pour son voyage? 4. Qu'est-ce que la répétition du refrain nous indique? 5. Quelles applications du Psaume 43 devons-nous faire? Lectures complémentaires: 2 Samuel 18.1-18 ; Hébreux 13.8–16 (Cène)
Par le Père Roger Hébert, recteur du sanctuaire Notre Dame de Laghet
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Aujourd'hui, les filles demeurent moins scolarisées (122 millions) que les garçons (128 millions), selon les données de l'UNESCO publiées en 2024. Néanmoins depuis 25 ans, l'accès des filles à l'école progresse dans de nombreuses régions du monde, portée par des politiques éducatives volontaristes, des campagnes de sensibilisation et l'engagement des communautés locales. L'éducation des filles s'impose désormais comme un moteur essentiel du développement social, économique et sanitaire d'un pays. Les initiatives se multiplient : sensibilisation des enseignants, programmes de mentorat, bourses ciblées, mobilisation des ONG et des États. Mais des disparités subsistent, notamment dans les zones rurales ou en situation de crise. Comment consolider ces acquis et accélérer encore le mouvement ? Quelles sont les politiques publiques qui fonctionnent ? Émission à l'occasion de la Journée internationale de la Fille du samedi 11 octobre 2025. Avec : • Rohen d'Aiglepierre, coordonnateur éducation de base et responsable d'équipe projet, Division Éducation, Formation, Emploi à l'Agence Française de Développement, AFD • Lucie Dechifre, directrice des programmes et des partenariats stratégiques, Plan International France, une ONG de solidarité internationale qui œuvre pour un monde plus juste et durable et fait progresser les droits des enfants, en particulier ceux des filles. Avec aussi un portrait de Maya Moussa, par Tom Malki. Maya est lauréate du Prix Unesco pour l‘éducation des filles et des femmes 2025 pour All Girls Code, un programme qui permet à des filles libanaises, du monde arabe et du Sud, d'acquérir des compétences en codage, en technologies et en leadership. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Dilemme - Lous and the Yakuza ► Blacky Blood – Malaka.
En raison de l'insécurité qui sévit dans le pays, l'année académique 2025-2026 a officiellement débuté seulement le 1er octobre. Cependant, cette date n'a pas pu être respectée dans certaines villes. Un dossier réalisé par Ronel Paul. Dans la ville des Gonaïves, seules quelques écoles, comme celles de la Congrégation des Clercs de Saint Viateur, ont rouvert leurs portes le 1er octobre. Au Collège de l'Immaculée de Conception, le père Éric Cothière salue une reprise encourageante malgré un climat de peur qui freine encore beaucoup de familles. Environ 60% des élèves étaient présents pour cette première journée marquée à la fois par la joie et la crainte, explique-t-il au micro de Ronel Paul. D'autres établissements, comme l'institution Justin Dévot, ont préféré reporter la rentrée au lundi suivant, par mesure de prudence. Sa directrice, Bertolette Baubrun, appelle parents et enseignants à la vigilance face à l'insécurité persistante. Dans plusieurs communes de l'Artibonite — Liancourt, Petite-Rivière ou encore l'Estère — la situation est encore plus critique : les écoles y restent fermées, sous la menace des gangs. Pour Didier Pierre, directeur adjoint de l'Éducation dans le département, il y a urgence à agir. Les conséquences sont déjà visibles : le taux de réussite au baccalauréat plafonne à 30%. «Nos enfants souffrent beaucoup de cette situation», déplore-t-il, alors que les troubles continuent de paralyser l'éducation dans la région. Comment obtenir la nationalité américaine sous la présidence Trump Avec les règles d'immigration plus dures et les politiques d'expulsion de migrants de Donald Trump cette question est devenue de plus en plus importante pour certaines personnes aux États-Unis. Même s'ils disposent d'un titre de séjour, certains migrants sont arrêtés par la police de l'immigration. La nationalité américaine devient donc importante, c'est un sésame pour éviter les ennuis et arrestations mais l'obtenir n'est pas si simple. Il y a de nombreuses conditions à remplir et face à ces tracas administratifs, certaines organisations proposent de soutenir ceux et celles qui demandent la citoyenneté américaine. Reportage dans la banlieue d'Atlanta d'Edward Maille. Donald Trump s'en prend de nouveau à la sécurité sociale C'est une information exclusive du Washington Post. L'administration Trump prépare une réforme qui rendrait plus difficile l'accès aux allocations d'invalidité pour les Américains âgés. Le projet supprimerait tout simplement l'âge comme critère d'évaluation de la capacité à travailler. Aujourd'hui, les plus de 50 ans ont davantage de chances d'obtenir ces aides, car l'âge est reconnu comme un frein à la reconversion professionnelle. Selon Jack Smalligan, de l'Urban Institute, une réduction de 10% du nombre de bénéficiaires priverait environ 750 000 personnes de prestations sur dix ans — pour une économie estimée à 82 milliards de dollars. La réforme serait pilotée par Russell Vought, directeur du Budget à la Maison Blanche, qui avait déjà tenté d'instaurer ces changements lors du premier mandat de Donald Trump. Les partisans de la mesure affirment qu'avec la numérisation du travail, davantage de personnes handicapées peuvent désormais occuper des emplois de bureau, ce qui justifierait un durcissement des critères. Mais pour les démocrates, c'est une attaque frontale contre la sécurité sociale. Le sénateur Ron Wyden parle de «la plus grande coupe de l'histoire de l'assurance invalidité» et accuse les républicains de vouloir forcer les Américains à travailler jusqu'à un âge avancé. Le gouvernement brésilien s'inquiète du durcissement de la politique migratoire au Portugal Une nouvelle loi qui pénalise surtout les Brésiliens, la plus importante communauté étrangère du pays. Selon la Folha de São Paulo, les autorités brésiliennes ont envoyé une délégation à Lisbonne pour tenter de négocier un «traitement différencié» pour leurs ressortissants, au nom de la réciprocité : car, rappelle le quotidien, les Portugais bénéficient au Brésil de nombreux avantages, comme la possibilité d'obtenir la nationalité après seulement un an de résidence. La nouvelle législation portugaise met fin à la possibilité d'entrer comme touriste pour ensuite demander un permis de séjour sur place. Les démarches devront désormais être faites avant le départ, dans les consulats. La loi restreint aussi la réunification familiale et réserve les visas de travail aux «profils hautement qualifiés». D'après le journal Público, ce sont justement les nouvelles règles sur le regroupement familial qui inquiètent le plus Brasilia. Pour l'instant, le gouvernement brésilien n'envisage pas de mesures de rétorsion : «il s'agit de ne pas pénaliser les Portugais au Brésil, mais la réciprocité reste sur la table», écrit la Folha de São Paulo. Journal de la 1ère Les conséquences de la démission du Premier ministre Sébastien Lecornu aux Antilles.
Pascal Denault - Psaume 42 RÉSUMÉ: Le Psaume 42 trouve un écho dans le coeur de chaque croyant qui se sent ici-bas dans une sorte d'exil loin de Dieu. Nous voyons néanmoins que la foi et l'espérance triomphent de toutes les souffrances qui affligent l'âme qui s'est attachée aux promesses divines. Ce psaume nous ouvre une fenêtre sur la vie de David par laquelle nous contemplerons Christ et tirerons des applications pour notre propre pèlerinage. PLAN: Introduction: a. Au livre 2 des Psaumes b. Au Psaume 42 (v.1) 1. Les soupirs de David (v.2-6) a. La soif de Dieu (v.2-3a) b. L'éloignement de Dieu (v.3b-5) c. L'espérance en Dieu (v.6) 2. L'exil de David (v.7-12) a. Les flots de la détresse (v.7-8) b. L'oppression et la tristesse (v.9-11) c. La consolation dans la faiblesse (v.12) 3. Remarques et applications du Psaume 42 a. Pour Christ b. Pour nous QUESTIONS: 1. Que peut-on noter sur le livre 2 des Psaumes? 2. Qui a écrit le Psaume 42? 3. Comment comprendre la soif de Dieu décrite par le psalmiste? 4. À quoi réfèrent les mentions géographiques dans la deuxième strophe? 5. Comment ce psaume s'applique-t-il à Christ? 6. Comment ce psaume s'applique-t-il à nous? Lectures complémentaires: 2 Samuel 6.12–19 ; 15.13–30 ; Lamentations 3.19–26
Ils sont près de 100 millions dans le monde, leur rôle est jugé essentiel par les institutions internationales, pourtant la profession d'enseignants souffre d'une grave crise de vocations. Selon l'Unesco, le taux d'enseignants démissionnaires a doublé en 7 ans, pour atteindre 9% en 2022. En France, le nombre de candidats au concours pour le secondaire a diminué de trois quarts depuis 1990. En cause, des salaires insuffisants, des classes surchargées, un manque de matériels, des réformes à répétition, un manque de considération qui poussent les enseignants à questionner le sens de métier. Il manque 44 millions d'enseignants, d'ici 2030 pour garantir l'accès universel à l'éducation primaire et secondaire, ce qui rend le sujet de la revalorisation de la profession d'autant plus cruciale. Comment résoudre la crise de confiance entre les enseignants et les décideurs politiques ? Comment améliorer leurs conditions de travail ? Avec : • Jérémie Fontanieu, professeur de Sciences économiques et sociales au Lycée Eugène Delacroix de Drançy en Seine-Saint-Denis. Auteur du livre Le mythe du prof-héros (Les liens qui libèrent, 2025). Porte-parole du collectif Réconciliations • Borhene Chakroun, directeur de la Division pour les politiques et les systèmes d'apprentissage tout au long de la vie de l'UNESCO • Jolino Malukisa, directeur du pilier gouvernance à l'Institut congolais de recherches Ebuteli. Chercheur associé à l'Université d'Anvers en Belgique. En première partie de l'émission, l'École autour du Monde avec Camille Ruiz, correspondante à Séoul, en Corée du Sud. Avec 56,2%, des adultes de 25 à 64 ans titulaires d'un diplôme, le pays conserve sa première place mondiale en matière de diplômés pour la 17ème année consécutive. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question d'El Mohammed, directeur d'école à Conakry en Guinée qui s'inquiète pour une de ses élèves très timide. Programmation musicale : ► A deux – Aupinard ► Djilon – Victor Démé.
Ils sont près de 100 millions dans le monde, leur rôle est jugé essentiel par les institutions internationales pourtant la profession d'enseignants souffre d'une grave crise de vocations. Selon l'Unesco, le taux d'enseignants démissionnaires a doublé en 7 ans, pour atteindre 9% en 2022. En France, le nombre de candidats au concours pour le secondaire a diminué de trois quarts depuis 1990. En cause, des salaires insuffisants, des classes surchargées, un manque de matériels, des réformes à répétition, un manque de considération qui poussent les enseignants à questionner le sens de métier. Il manque 44 millions d'enseignants, d'ici 2030 pour garantir l'accès universel à l'éducation primaire et secondaire, ce qui rend le sujet de la revalorisation de la profession d'autant plus cruciale. Comment résoudre la crise de confiance entre les enseignants et les décideurs politiques ? Comment améliorer leurs conditions de travail ? Avec : • Jérémie Fontanieu, professeur de sciences économiques et sociales au Lycée Eugène Delacroix de Drançy en Seine-Saint-Denis. Auteur du livre Le mythe du prof-héros (Les liens qui libèrent, 2025). Porte-parole du collectif Réconciliations • Borhene Chakroun, Directeur de la Division pour les politiques et les systèmes d'apprentissage tout au long de la vie de l'UNESCO • Jolino Malukisa, directeur du pilier gouvernance à l'Institut congolais de recherches Ebuteli. Chercheur associé à l'Université d'Anvers en Belgique. En première partie de l'émission, l'École autour du Monde avec Camille Ruiz, correspondante à Séoul en Corée du Sud. Avec 56,2 % des adultes de 25 à 64 ans titulaires d'un diplôme, le pays conserve sa première place mondiale en matière de diplômés pour la 17eme année consécutive. En fin d'émission la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui il répond à la question d'El Mohammed, directeur d'école à Conakry en Guinée qui s'inquiète pour une de ses élèves très timide. Programmation musicale : ► A deux – Aupinard ► Djilon – Victor Démé
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Dans cet épisode qui signe le retour du format "table ronde", j'ai le plaisir d'accueillir Pauline et Laura : 2 profs reconverties suite au bilan de compétences pour enseignants de ma partenaire Caroline.Ensemble, elles reviennent sur ce qui les a menées à se tourner vers un bilan de compétences, ainsi que sur la façon dont elles ont vécu ces quelques mois d'accompagnement. Elles se souviennent des difficultés, des réussites, des déclics, et de toutes les étapes qui ont jalonné leur parcours.Aujourd'hui, Pauline est secrétaire générale dans un collège et Laura est responsable d'un projet associatif de jumelage de classes qui favorise la mixité sociale.Cet épisode parle de confiance en soi, d'état d'esprit, de peurs financières, d'investissement personnel et de santé mentale (entre autres).Bonne écoute,_____
En Haïti, les cours sont censés reprendre ce mercredi (1er octobre 2025) dans les établissements qui pourront ouvrir leurs portes, malgré la situation sur place. Mais beaucoup de parents, accablés par l'insécurité et les difficultés économiques, ne peuvent pas envoyer leurs enfants à l'école. «Nous, les parents, on n'en peut plus. Nous n'avons même pas le minimum pour faire face à nos responsabilités», se désole Jonel, mécanicien et père de trois enfants, que le correspondant de RFI Peterson Luxama a rencontré à Bois-Verna. À quelques jours de la reprise des classes, Magdala, qui vit avec sa fille de 5 ans dans le camp de déplacés au ministère de la Communication, n'a acheté aucune fourniture. «Ne serait-ce qu'un crayon et des cahiers, je ne peux pas les acheter», avoue-t-elle. Pas de rentrée non plus pour les trois filles de Jocelyne. Cette femme a perdu sa maison et sa petite boutique de Carrefour-Feuilles, un quartier de Port-au-Prince envahi par des gangs armés. Face à cette dure réalité, le gouvernement fait la sourde oreille et n'a accordé aucune aide à personne. Kenson Délice, enseignant et coordonnateur général de l'Union Nationale des Normaliens et Éducateurs d'Haïti (UNNOE), dénonce le désengagement de l'État. «Nous sommes à quelques jours de la rentrée et, jusqu'à présent, le ministère de l'Éducation n'a rien fait pour accompagner les élèves, les professeurs et encore moins les écoles. Le ministère, comme le gouvernement en général, se contente d'annoncer des mesures. À nos yeux, cette rentrée prévue pour le 1er octobre sera un échec. Seul un petit groupe d'enfants prendra le chemin de l'école», explique-t-il. «La rentrée scolaire de cette année risque de n'être qu'une rentrée symbolique», renchérit Léo Litholu, responsable de l'Union des parents d'élèves progressistes d'Haïti (UPEPH). Le maire de New York renonce à tenter de se faire réélire Aux États-Unis, le maire de New York jette l'éponge à un mois du scrutin. Eric Adams renonce à tenter de se faire réélire. Il devient ainsi le premier maire de New York à n'effectuer qu'un seul mandat depuis David Dinkins, à la tête de la ville de 90 à 93, indique Politico. Le New York Times estime que cela faisait longtemps que les espoirs qu'avaient fait naître Eric Adams ont été «anéantis». L'honnêteté du maire de New York a très vite été sujette à caution. «Il a menti sur son régime alimentaire et sur ses biens immobiliers», raconte le quotidien. Il a nommé à des postes-clé des personnes au mieux inexpérimentées, au pire soupçonnées de corruption ou de harcèlement sexuel. Eric Adams a également «été mis en examen pour corruption et fraude» pour avoir accepté des billets d'avions de Turkish Airlines en échange de son aide pour ouvrir un nouveau consulat turc dans un bâtiment de Manhattan que les pompiers ne jugeaient pas sûrs. Des charges finalement abandonnées à la demande de Donald Trump à qui Eric Adams avait fait la cour, raconte le New York Times. Une «stratégie inhabituelle pour un démocrate», insiste le quotidien et qui l'a fait encore plus chuter dans les sondages. «À l'arrivée, sa relation avec Donald Trump [l']a sauvé du spectacle public d'un procès et d'une potentielle longue peine de prison, mais cela a aussi porté un coup d'arrêt fatal à sa carrière politique», conclut le journal. Pourquoi les États-Unis aident-ils l'Argentine ? La décision de Donald Trump d'accorder une aide de 20 milliards de dollars à l'Argentine suscite des remous dans le camp conservateur. Donald Trump a réduit les programmes d'aide étrangère américaine et le soutien militaire à l'Ukraine. Et pourtant, il n'a «pas hésité à sauver l'Argentine» alors que ce n'est pas un pays vital pour l'économie mondiale, écrit le Washington Post. Ce n'est pas l'Argentine que Donald Trump veut aider : c'est Javier Milei dont il est «fan», explique le journal, et dont il veut le succès pour des raisons plus personnelles. «Si une réforme économique dans le style MAGA parvient à sortir le pays de sa torpeur centenaire, d'autres nations en difficulté pourraient décider de suivre Javier Milei et validerait son offensive trumpiste contre le secteur public.» In fine, ce serait donc une victoire pour Donald Trump. Problème : certains des plus fidèles partisans du président américain sont désormais en colère, écrit le Washington Post. Les agriculteurs, notamment furieux que l'Argentine ait supprimé, la semaine dernière, ses taxes sur les exportations de soja afin d'inciter la Chine à lui passer de grosses commandes, alors même que Washington s'apprêtait à aider Javier Milei. La génération Z manifeste à Lima Au Pérou, la jeune génération se mobilise. C'est le deuxième week-end consécutif que la génération Z marche dans les rues de la capitale et crie son ras-le-bol contre une classe dirigeante qui bat des records d'impopularité, une insécurité de plus en plus menaçante et une réforme des retraites que les moins de 30 ans jugent injustes. Malgré la répression sévère des dernières manifestations, ils continuent de se mobiliser. Reportage de Martin Chabal. Les chauffeurs de taxi de Rio vieillissent Près de 40% des chauffeurs de taxi de Rio ont plus de 60 ans, nous apprend O'Globo. Une chiffre en hausse depuis une dizaine d'années. En cause : la désertion des jeunes qui préfèrent travailler via des applis comme Uber. Et puis les vieux chauffeurs de taxi qu'O Globo a rencontrés - certains âgés de plus de 80 ans - eh bien, ils sont obligés de continuer à travailler car leur retraite est trop faible. Mais ils gagnent moins depuis quelques années, raconte le journal. La faute aux VTC qui leur font de la concurrence mais aussi au télétravail. José Maurício Duarte Braga, 82 ans, avait l'habitude d'attendre les employés de Petrobras à la sortie des bureaux situés dans le centre-ville, mais ils ne viennent plus que 3 jours par semaine sur site. Résultat : les chauffeurs de taxi doivent faire des journées toujours plus longues pour gagner assez pour vivre. Les «routes du conflit» en Colombie Comment raconter la guerre alors qu'elle se poursuit ? En Colombie, plus de cinquante ans de conflit continuent de laisser des traces profondes. À Bogotá, des journalistes ont trouvé une manière originale de rappeler les faits : des visites guidées dans les lieux symboliques de la violence, comme le Palais de Justice. Reportage de Camille Bouju. Le journal de la 1ère Ce lundi (29 septembre 2025), s'ouvre le procès de Kathron Fortune. Un procès sous haute protection au palais de justice de Basse-Terre, en Guadeloupe.
Dans Pop culture, Mathieu Alterman raconte chaque week-end l'actualité qui fait du bien aux yeux, au cœur et aux oreilles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 4, 5 et 6 juillet 2025 sur l’île Balzac à Tours avait lieu le festival Kan Ya Makan organisé par la Ligue de l’Enseignement 37. La troisième édition de ce festival a réuni des artistes, des associations culturelles, de l’éducation populaire, de la découverte scientifique, des spectacles et des concerts dans un esprit: celui […] L'article Kan Ya Makan 2025 – podcasts est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Cet été, dans le cadre d'une partie de mon activité professionnelle (Formation Podcast), j'ai eu l'immense honneur d'être retenue pour participer au Cabinet des Curiosités. C'est un regroupement d'entrepreneurs (124 cette année) qui proposent chacun un "petit produit" applicable en moins de 3h pour créer ou développer son entreprise. Il s'agit d'un événement majeur dans le milieu de l'entrepreneuriat francophone, et en faire partie apporte visibilité, crédibilité et belles rencontres.En parlant de belles rencontres, j'y ai fait connaissance avec Priscilla. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai découvert, qu'en plus d'être une ancienne prof, elle avait trouvé un moyen d'utiliser ses compétences d'enseignante dans son business en se spécialisant dans la création de formations en ligne par le biais de l'ingénierie pédagogique ! Dans cet épisode, on parle des hauts et des bas de l'entrepreneuriat, sans langue de bois. On évoque également les nombreuses compétences dont disposent les profs, sans toujours en avoir conscience. Et on évoque les raisons potentielles qui nous mènent à un tel manque de confiance en nous, alors qu'on est capables de tout !Bonne écoute !_____
Les manuels sont essentiels à la réussite scolaire des enfants. Avec plus de 320 millions d'élèves, le marché du livre scolaire en Afrique est estimé à au moins 13 milliards de dollars. Un marché encore largement dominé par des éditeurs étrangers, avec souvent des filiales locales ou des coéditions. Dans certains pays, notamment anglophones, des éditeurs nationaux parviennent à passer les barrages des appels d'offre et des commandes publiques. Reste le problème d'acheminer réellement les livres jusque dans les salles de classe. Quelles solutions pour éditer et distribuer des manuels conçus par l'Afrique ? Comment inclure les systèmes éducatifs et les enseignants dans ces démarches nationales ? Un sujet qui va bien au-delà de l'école, quand on sait que pour des éditeurs africains, les manuels scolaires, constituent l'essentiel de leur chiffre d'affaire. Cela signifie que la vie intellectuelle, littéraire du continent est impactée par la survie des éditeurs nationaux. Avec : • Vincent Bontoux, consultant auprès de divers bailleurs de fonds (Banque mondiale, Banque asiatique de Développement, Banque islamique de Développement, Enabel, feue USAID, etc.) sur des projets de manuels scolaires dans les pays en développement (principalement en Afrique, mais aussi dans le Pacifique et en Amérique latine), en collaboration avec les gouvernements nationaux • Michel Levenez, consultant pour des éditeurs français et acteur de l'édition et de la commercialisation du livre sur le continent africain depuis plus de 30 ans • Anges Félix N'Dakpri, fondateur et gérant de Gad Éditions, commissaire général du Salon International du Livre d'Abidjan (SILA) et président d'honneur de l'Association des Editeurs de Côte d'Ivoire (ASSEDI). En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation, avec Marie Raichvarg, directrice du développement institutionnel, en charge des enquêtes auprès des adolescents chez Acadomia. Elle nous présente les résultats d'une étude récemment publiée : Réseaux sociaux – la majorité des adolescents prête à s'autoréguler. Programmation musicale : ► Totem – Lamomali ► Katam - Diamond Platnumz.
Les manuels sont essentiels à la réussite scolaire des enfants. Avec plus de 320 millions d'élèves, le marché du livre scolaire en Afrique est estimé à au moins 13 milliards de dollars. Un marché encore largement dominé par des éditeurs étrangers, avec souvent des filiales locales ou des coéditions. Dans certains pays, notamment anglophones, des éditeurs nationaux parviennent à passer les barrages des appels d'offre et des commandes publiques. Reste le problème d'acheminer réellement les livres jusque dans les salles de classe. Quelles solutions pour éditer et distribuer des manuels conçus par l'Afrique ? Comment inclure les systèmes éducatifs et les enseignants dans ces démarches nationales ? Un sujet qui va bien au-delà de l'école, quand on sait que pour des éditeurs africains, les manuels scolaires, constituent l'essentiel de leur chiffre d'affaire. Cela signifie que la vie intellectuelle, littéraire du continent est impactée par la survie des éditeurs nationaux. Avec : • Vincent Bontoux, consultant auprès de divers bailleurs de fonds (Banque mondiale, Banque asiatique de Développement, Banque islamique de Développement, Enabel, feue USAID, etc.) sur des projets de manuels scolaires dans les pays en développement (principalement en Afrique, mais aussi dans le Pacifique et en Amérique latine), en collaboration avec les gouvernements nationaux • Michel Levenez, consultant pour des éditeurs français et acteur de l'édition et de la commercialisation du livre sur le continent africain depuis plus de 30 ans • Anges Félix N'Dakpri, fondateur et gérant de Gad Éditions, commissaire général du Salon International du Livre d'Abidjan (SILA) et président d'honneur de l'Association des Editeurs de Côte d'Ivoire (ASSEDI). En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation, avec Marie Raichvarg, directrice du développement institutionnel, en charge des enquêtes auprès des adolescents chez Acadomia. Elle nous présente les résultats d'une étude récemment publiée : Réseaux sociaux – la majorité des adolescents prête à s'autoréguler. Programmation musicale : ► Totem – Lamomali ► Katam - Diamond Platnumz.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Il y a 5 ans, Émilie a été la toute première personne à me faire confiance pour témoigner au micro d'Avant J'étais Prof. Elle venait de démissionner, sans plan B, pour rejoindre le Cantal. En 5 ans, elle a exercé de nombreux métiers. Elle a vécu des hauts très hauts et des bas très bas. Elle est aujourd'hui l'heureuse propriétaire de Les Crêtes : un magasin de sport de seconde main situé... dans le Cantal !Dans cet épisode, elle dévoile sans tabou tout ce qu'elle a traversé ces 5 dernières années, pour arriver là où elle en est. Un parcours plein de rebondissements que j'admire énormément.Bonne écoute ! _____
En Argentine, la colère monte dans les universités. Après le veto du président Javier Milei bloquant l'actualisation de leur budget, étudiants et enseignants multiplient grèves, occupations et cours en plein air. Ils dénoncent une asphyxie financière qui menace l'éducation publique. Reportage de Théo Conscience. À Buenos Aires, des étudiants suivent des cours de microbiologie ou d'architecture sur la place de mai, au pied du palais présidentiel. Une manière de dénoncer la cure d'austérité imposée aux universités depuis l'arrivée au pouvoir de Javier Milei. Le budget de l'enseignement supérieur a été presque divisé par deux en un an et demi, ce qui met en péril le paiement des factures, l'entretien quotidien et les salaires des enseignants. « Nous sommes dans une situation d'urgence budgétaire », confie une professeure d'urbanisme à notre correspondant. Les enseignants, en première ligne, voient leur pouvoir d'achat s'effondrer. « Le gel des salaires a fait chuter nos revenus de 45% », témoigne Nicolas Viña, professeur de Sciences sociales. Plus de la moitié des enseignants perçoivent désormais un salaire inférieur au seuil de pauvreté, et près de 10 000 ont démissionné en un an et demi. Pour beaucoup, c'est le grand dilemme : rester dans des conditions précaires ou abandonner l'université publique. Face à ce démantèlement, les mobilisations se multiplient. Étudiants et professeurs rappellent que le gel des bourses et la hausse du coût de la vie rendent l'accès aux études de plus en plus difficile. « Si tu ne peux pas recharger ta carte de transport, tu finis par abandonner », déplore une étudiante. Une nouvelle marche fédérale est prévue ce mercredi devant le Congrès, où les députés devront se prononcer sur le veto présidentiel. USA : la guerre contre les cartels sans l'aval du Congrès Donald Trump a annoncé que l'armée américaine avait frappé un bateau dans les Caraïbes. Selon lui, l'embarcation appartenait à des narcoterroristes vénézuéliens qui transportaient de la drogue vers les États-Unis. L'attaque aurait fait trois morts, a précisé Donald Trump. Le Washington Post souligne surtout que cette attaque – la deuxième en deux semaines – a été menée sans l'autorisation du Congrès. Une expansion ouverte et sans limites des pouvoirs présidentiels en matière de guerre, qui rappelle la « guerre contre le terrorisme » de George W. Bush dans les années 2000, écrit le journal. Sauf que Bush, lui, avait demandé l'aval du Congrès. Donald Trump, en revanche, applique ces méthodes dans l'hémisphère occidental… seul. Le quotidien ajoute que Trump pourrait avoir de bons arguments pour renforcer la présence militaire américaine autour du Venezuela. Mais son administration n'explique ni pourquoi la force est nécessaire, ni quels sont les objectifs, ni quand cela s'arrêtera. Le journal conclut : « Bienvenue dans la guerre contre le terrorisme 2.0 ». Côté Caracas, on se prépare déjà à une éventuelle attaque américaine sur le sol vénézuélien. Nicolas Maduro appelle la population à… s'entraîner au tir. Un appel qui fait beaucoup réagir dans la presse locale. « Cet appel est à mourir de rire », écrit El Nacional. Le journal raconte que des gens se moquent du président en défilant avec des manches à balai ou des branches pour imiter des tirs. Ce qui est moins drôle, poursuit le quotidien, c'est le cynisme de Maduro et de son ministre de l'Intérieur, Diosdado Cabello : responsables, selon lui, de plus de 340 morts lors des manifestations. « Ils sont les ennemis du peuple et demandent maintenant aux Vénézuéliens de les défendre », fustige le journal. Et de conclure : « Le peuple, même contraint, menacé ou victime de répression, ne se battra pas pour ceux qui l'humilient. » Aux États-Unis, le chômage de longue durée touche de plus en plus les cadres diplômés C'est un phénomène qui inquiète : le chômage de longue durée touche de plus en plus… les diplômés universitaires. Le New York Times raconte l'histoire de Sean Wittmeyer, 37 ans, deux masters, dix ans d'expérience en architecture et en tech, mais au chômage depuis un an et demi. « Je ne peux même pas travailler dans la petite boutique de jeux de société au bout de la rue », dit-il, recalé partout, même pour des postes niveau stagiaire, car considéré comme surqualifié. Derrière un taux de chômage global assez bas, un peu plus de 4%, se cache une donnée alarmante : plus d'un quart des chômeurs le sont depuis plus de six mois, du jamais vu hors période de récession. Et le profil de ces chômeurs de longue durée a changé. « Des gens perdent leur emploi et n'en retrouvent pas dans les professions très qualifiées », explique un expert. Il y a plus de diplômés aujourd'hui, mais aussi moins de besoins, souligne le New York Times. Automatisation, intelligence artificielle, coupes dans la fonction publique : autant de facteurs qui réduisent la demande pour les profils universitaires. Katie Gallagher avoir postulé à plus de 3 000 postes en un an. « Le stress du rejet est insupportable », confie cette ancienne directrice commerciale à Portland. Aujourd'hui, elle est endettée et dépendante de l'aide alimentaire. En Haïti, les communes de Labodri et l'Arcahaie sous l'attaque des gangs Avec Gotson Pierre, directeur d'Alterpresse, nous revenons sur la « réponse tardive » du gouvernement après le massacre d'au moins 40 personnes, perpétré par des gangs à Labodri, une commune située au nord de Port-au-Prince. Le journal en ligne nous apprend aussi que la commune de l'Arcahaie continue de subir les violences de gangs armés. Journal de la 1ère Un an après les manifestations contre la vie chère, la Martinique met en place un nouveau « bouclier qualité prix » étendue.
RÉSUMÉ: Jésus lui-même a fondé l'Église sur la terre et a donné des instructions pour le fonctionnement de chaque assemblée locale. Dans ce message nous revisiterons un texte clé qui sert de constitution à l'Église. PLAN: 1. La nature de l'Église 2. La discipline de l'Église 3. Le pouvoir de l'Église QUESTIONS: 1. Qu’est-ce que le mot ecclésia nous indique à propos de l’Église et de sa nature? 2. Quelles sont les étapes à suivre dans l’exercice de la discipline d’Église? 3. Qu’est-ce que les clés du royaume? 4. Quels sont les éléments importants concernant l’exercice du pouvoir de l’Église? 5. Quelle promesse est-elle faite à une Église qui exerce fidèlement le pouvoir des clés? Lectures complémentaires: 1 Corinthiens 5 ; Actes 2.41-47 Prédicateur: Pascal Denault
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Sébastien Lecornu promet la "rupture", on y croit ? Enseignement supérieur, le niveau d'écrit s'est effondré
Comment organiser la journée d'école en termes d'horaires, mais aussi la semaine et l'année. Par exemple, Étudier tôt le matin, avec des semaines longues, et beaucoup de vacances... cela a-t-il une incidence sur la réussite scolaire à l'échelle d'un pays ? De l'Amérique à l'Asie, en passant par l'Afrique, comment s'organisent les systèmes éducatifs ? En France, depuis juin 2025, une convention citoyenne, voulue par Emmanuel Macron, est chargée de réfléchir aux différents temps de l'enfant. Ce qui pose la question de raccourcir les vacances, pour rallonger l'année scolaire tout en allégeant les semaines. Sur quelles bases scientifiques reposent les critiques des rythmes actuels, par rapport aux besoins des enfants ? La fatigue chronique des enfants et leur baisse d'attention est-imputable à l'école ou bien aux écrans ? Comment concilier efficacité d'apprentissage, revendications des enseignants et pressions économiques du secteur des loisirs ? Avec : • Stéphane Bonnéry, professeur en Sciences de l'éducation à l'Université Paris-VIII Vincennes Saint-Denis et membre de l'équipe de recherche CIRCEFT-ESCOL (Centre interdisciplinaire de recherche «Culture, éducation, formation, travail» - Éducation, Scolarisation) et auteur du livre Temps de l'enfant, rythmes scolaires : vraies questions et faux débats (Les éditions de la Fondation Gabriel Péri, août 2025) • Eric Charbonnier, spécialiste Éducation à la Division de l'Analyse et des Indicateurs à la Direction de l'Éducation de l'OCDE • Christian Galan, chercheur spécialiste du système éducatif japonais de l'Institut Français de Recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE) et professeur des Universités de l'Université Toulouse Jean Jaurès. En ouverture d'émission L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Camille Ruiz, correspondante de RFI en Corée du Sud : certaines écoles coréennes, pour ne pas fermer, accueillent des seniors qui n'ont pas appris à lire ou à écrire. En Corée du Sud, l'exode rural, et surtout le faible taux de natalité, qui est le pire des pays de l'OCDE, vident les salles de classe. Certaines écoles, pour ne pas fermer, accueillent alors des seniors, surtout des femmes, qui n'ont pas appris à lire ou à écrire. Sur les bancs de l'école, elles partagent les salles de classe avec les enfants. Notre correspondante à Séoul Camille Ruiz a rencontré ces mamies analphabètes. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Lune, Brazzaville, Congo qui ne comprend pas le comportement de sa fille de 8 mois. Programmation musicale : ► Splash – DISIZ ► Mom'lo si waju – STAR FEMININE BAND.
En République démocratique du Congo, la rentrée scolaire, c'est ce lundi 1er septembre. La mesure-phare de Félix Tshisekedi quand il est arrivé au pouvoir en 2019, c'était l'école primaire gratuite. Quel est le bilan aujourd'hui ? Et comment va se passer cette rentrée dans les territoires de l'est qui sont occupés par les rebelles du M23 et leur allié rwandais ? Jolino Malukisa est le directeur du pilier gouvernance à l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. À lire aussiRDC: une rentrée des classes marquée par la crise économique et l'insécurité dans l'est du pays
Étudiants en surnombre, professeurs mal formés, prix des formations trop élevés par rapport à la quantité des cours… les fonds d'investissement sont-ils au service du profit ou de la qualité de l'enseignement supérieur ? Claire Marchal, journaliste, publie Le Cube : Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé, fruit de deux ans d'investigations. Dans le collimateur, le groupe Galileo Global Éducation, l'un des leaders mondiaux de l'enseignement privé, qui regroupe 210 000 étudiants dans 18 pays. Le groupe est très actif dans de nombreux pays d'Europe comme la Norvège, l'Allemagne, l'Italie, Chypre, ainsi qu'en Asie et en Afrique. Sur le continent africain, la croissance démographique et la crise des universités publiques ouvrent un boulevard au secteur privé. Celui-ci répond à la forte demande d'une jeunesse en mal d'emplois. Comment réguler et garantir la qualité de ces écoles pour défendre la formation des étudiants et la valeur de leurs diplômes ? Avec Claire Marchal, journaliste et réalisatrice de documentaire, autrice de Le cube - Révélations sur les dérives de l'enseignement supérieur privé (Éditions Flammarion). Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du « Monde des enfants » ! Charlie Dupiot tend son micro à des enfants pour qu'ils nous livrent leurs regards sur le monde... Et aujourd'hui, elle nous emmène à Kinshasa (RDC). Ces enfants de 8 à 12 ans nous parlent des punitions. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Anissa à Abidjan en Côte d'Ivoire. Cette émission est une rediffusion du 3 avril 2025 Programmation musicale : ► Zazikafa feat. Aguero Banks – Bad habit ► Victony – Sunday School.