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Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Cet été, je vous embarque dans une série spéciale intitulée "Immersion Reconversion".Chaque mercredi, vous entendrez la voix de Maud, une auditrice du podcast qui s'est donné un an pour changer de métier et qui a accepté de tout documenter.Tout au long de l'année, elle m'a envoyé des notes vocales. Des petits bouts de vie, des réflexions à chaud, des moments de doute, d'euphorie, de ras-le-bol... Et vous allez pouvoir vivre cette reconversion de l'intérieur, semaine après semaine, comme elle et comme moi.Dans ce deuxième épisode, vous allez comprendre qu'une reconversion, ce n'est pas juste changer de travail. C'est chercher ses valeurs, demander de l'aide, apprendre à se connaître et essayer de penser à soi avant de penser aux élèves. C'est avoir hâte et peur en même temps, avancer en ayant l'impression de stagner, être fière de soi et culpabiliser parfois. C'est se demander s'il ne faudrait pas acheter un appart' tant qu'on peut faire un crédit, quitte à repousser son envie de changement. C'est apprendre à concilier le pro et le perso quand on tombe amoureuse de quelqu'un qui vit à l'étranger, alors qu'on a déjà bien d'autres problèmes à gérer. Une reconversion ce n'est pas qu'un changement de travail.Ça peut aussi être un changement de vie.Bonne écoute et bel été !_____
Le chrétien et ses responsabilités. Basés sur une parole du prophète Michée, nous allons regarder ce que Dieu a toujours voulu que ceux qui le représentent doivent chercher à être humbles. Michée 6:8 On t'a fait connaître, ô homme, ce qui est bien ; et ce que l'Éternel demande de toi, c'est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde et que tu marches humblement avec ton Dieu. Cet article Chercher à marcher humblement. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Ils viennent des quatre coins du globe. 1 200 enseignants de français se sont donné rendez-vous du 10 au 17 juillet à Besançon pour le XVI congrès mondial de la Fédération internationale des professeurs de français. Lucie Bouteloup est sur place et cette semaine, chaque jour, elle va nous présenter l'un d'entre eux. Aujourd'hui c'est Salifou Coulibaly. Il enseigne au collège Ouagadougou au Burkina Faso. Demain, Lucie Bouteloup dresse le portrait d'une professeure qui enseigne le français à Lima, au Pérou.
En Afrique de l'Ouest, la formation des enseignants reste l'un des défis majeurs pour garantir une éducation de qualité. Malgré les efforts des États, une partie des enseignants exerce sans formation initiale adéquate, ou avec un encadrement pédagogique insuffisant. Ce déficit de formation impacte directement les apprentissages des élèves, dans un contexte où les classes sont souvent surchargées et les ressources limitées. Face à cette réalité, des initiatives émergent pour combler ce vide. C'est le cas de l'association Ana-Nour qui développe des programmes de formation fondés sur les neurosciences et adaptés aux réalités africaines. De son côté, Gaétan Elvis Kponouhou, syndicaliste et formateur engagé au Bénin, s'évertue à professionnaliser le métier d'enseignant à travers des formations continues. Comment ces interventions peuvent-elles inspirer les politiques éducatives nationales ? Et quelles conditions faut-il réunir pour qu'elles changent durablement le quotidien des enseignants et des élèves ? Avec : • Stéphanie Delgado, présidente et co-fondatrice de l'association Ana-Nour qui œuvre depuis 2019 pour une éducation plus éthique, vivante et co-construite avec les enseignants locaux en Afrique francophone, notamment à travers la neuro-éducation • Gaëtan Kponoukon, secrétaire général du Syndicat National des Enseignants des Écoles Maternelles et Primaires Publiques du Bénin (SYNAEM-BENIN) En ouverture d'émission, un entretien avec un Hannah Kitchen, analyste à la direction de l'éducation et des compétences de l'OCDE, au sujet d'un rapport indiquant que de nombreux étudiants commencent leur carrière sans les conseils dont ils ont besoin pour réussir. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Garba. Programmation musicale : ► La Felicidad – Carameloca ► Mousso – Manamba Kanté.
En Afrique de l'Ouest, la formation des enseignants reste l'un des défis majeurs pour garantir une éducation de qualité. Malgré les efforts des États, une partie des enseignants exerce sans formation initiale adéquate, ou avec un encadrement pédagogique insuffisant. Ce déficit de formation impacte directement les apprentissages des élèves, dans un contexte où les classes sont souvent surchargées et les ressources limitées. Face à cette réalité, des initiatives émergent pour combler ce vide. C'est le cas de l'association Ana-Nour qui développe des programmes de formation fondés sur les neurosciences et adaptés aux réalités africaines. De son côté, Gaétan Elvis Kponouhou, syndicaliste et formateur engagé au Bénin, s'évertue à professionnaliser le métier d'enseignant à travers des formations continues. Comment ces interventions peuvent-elles inspirer les politiques éducatives nationales ? Et quelles conditions faut-il réunir pour qu'elles changent durablement le quotidien des enseignants et des élèves ? Avec : • Stéphanie Delgado, présidente et co-fondatrice de l'association Ana-Nour qui œuvre depuis 2019 pour une éducation plus éthique, vivante et co-construite avec les enseignants locaux en Afrique francophone, notamment à travers la neuro-éducation • Gaëtan Kponoukon, secrétaire général du Syndicat National des Enseignants des Écoles Maternelles et Primaires Publiques du Bénin (SYNAEM-BENIN) En ouverture d'émission, un entretien avec un Hannah Kitchen, analyste à la direction de l'éducation et des compétences de l'OCDE, au sujet d'un rapport indiquant que de nombreux étudiants commencent leur carrière sans les conseils dont ils ont besoin pour réussir. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Garba. Programmation musicale : ► La Felicidad – Carameloca ► Mousso – Manamba Kanté.
Des centaines de profs de français vont se retrouver à la fin de la semaine pour le 16è Congrès mondial de la FIPF, la Fédération internationale des profs de français. La francophonie est-elle une utopie ? Du 10 au 17 juillet 2025, la ville de Besançon en France accueillera cette seizième édition du Congrès Mondial des professeurs de français. Cette année, le thème retenu est : «les utopies francophones en tout genre». Un thème dont s'est saisi le linguiste Jean-Louis Chiss, linguiste qui prononcera la conférence inaugurale ! Besançon n'a pas été choisie au hasard. En effet, cette située dans l'est de la France est la ville natale de Victor Hugo, de Louis Pasteur, mais aussi de Charles Fourier, qui fut un philosophe utopiste. La discipline du FLE (Française Langue Étrangère) en tant que telle, n'est pas si ancienne puisqu'elle est créée en 1969, mais c'est dans les années 1980 qu'apparaît «la maîtrise de FLE». Mais en réalité, c'est une création de la fin du XIXè siècle avec l'Alliance française, dont l'un des objectifs était de développer l'enseignement du français dans le monde ! Le terme «francophonie» apparait dans les années 1860 sous la plume de Onésime Reclus, anarchiste libertaire, mais aussi défenseur de la colonisation, ce qui a rendu ce mot éminemment politique... On a toujours des discussions sur l'avenir de la francophonie. Mais ma réticence vient de la définition même du mot «francophonie». Jean-Louis Chiss Avec l'évolution de la technologie, l'IA a pris une place prépondérante dans les apprentissages, à tel point qu'on ne peut plus s'en passer. 80% des élèves auraient déjà utilisé l'IA générative pour faire leurs devoirs. Mais comment utiliser l'Intelligence Artificielle pour développer la réflexivité des élèves et les inciter à se poser des questions ? Thomas Ricart a créé le site Ecrivor pour «donner le temps de travailler» et l'envie d'écrire aux élèves et faire gagner du temps aux enseignants. L'IA ne peut pas tout, notamment sur des problématiques de langue. Il faut l'orienter dans son travail pour mieux aider ses élèves ! Thomas Ricart, développeur du site Ecrivor Invités : - Jean-Louis CHISS, linguiste, professeur émérite en sciences du langage à l'Université Sorbonne Nouvelle. Il prononcera la conférence inaugurale - Thomas Ricart, développeur du site Internet baptisé Ecrivor, utilisé par 500 professeurs de toutes les matières qui nécessitent de la production d'écrits. Le site, qui existe depuis quelques mois, est soutenu par l'Éducation nationale. Programmation musicale : Le groupe 1515 avec le titre Afa.
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.Cet été, je vous embarque dans une série spéciale intitulée "Immersion Reconversion".Chaque mercredi, vous entendrez la voix de Maud, une auditrice du podcast qui s'est donné un an pour changer de métier et qui a accepté de tout documenter.Tout au long de l'année, elle m'a envoyé des notes vocales. Des petits bouts de vie, des réflexions à chaud, des moments de doute, d'euphorie, de ras-le-bol... Et vous allez pouvoir vivre cette reconversion de l'intérieur, semaine après semaine, comme elle et comme moi.Dans ce premier épisode, vous allez faire la rencontre de Maud. Une prof d'anglais de 35 ans qui exerce depuis 12 ans. Maud aime la danse, la culture et les voyages, et elle compte bien changer de métier avant la prochaine rentrée.Bonne écoute et bel été !_____
Des centaines de profs de français vont se retrouver à la fin de la semaine pour le 16è Congrès mondial de la FIPF, la Fédération internationale des profs de français. La francophonie est-elle une utopie ? Du 10 au 17 juillet 2025, la ville de Besançon en France accueillera cette seizième édition du Congrès Mondial des professeurs de français. Cette année, le thème retenu est : «les utopies francophones en tout genre». Un thème dont s'est saisi le linguiste Jean-Louis Chiss, linguiste qui prononcera la conférence inaugurale ! Besançon n'a pas été choisie au hasard. En effet, cette située dans l'est de la France est la ville natale de Victor Hugo, de Louis Pasteur, mais aussi de Charles Fourier, qui fut un philosophe utopiste. La discipline du FLE (Française Langue Étrangère) en tant que telle, n'est pas si ancienne puisqu'elle est créée en 1969, mais c'est dans les années 1980 qu'apparaît «la maîtrise de FLE». Mais en réalité, c'est une création de la fin du XIXè siècle avec l'Alliance française, dont l'un des objectifs était de développer l'enseignement du français dans le monde ! Le terme «francophonie» apparait dans les années 1860 sous la plume de Onésime Reclus, anarchiste libertaire, mais aussi défenseur de la colonisation, ce qui a rendu ce mot éminemment politique... On a toujours des discussions sur l'avenir de la francophonie. Mais ma réticence vient de la définition même du mot «francophonie». Jean-Louis Chiss Avec l'évolution de la technologie, l'IA a pris une place prépondérante dans les apprentissages, à tel point qu'on ne peut plus s'en passer. 80% des élèves auraient déjà utilisé l'IA générative pour faire leurs devoirs. Mais comment utiliser l'Intelligence Artificielle pour développer la réflexivité des élèves et les inciter à se poser des questions ? Thomas Ricart a créé le site Ecrivor pour «donner le temps de travailler» et l'envie d'écrire aux élèves et faire gagner du temps aux enseignants. L'IA ne peut pas tout, notamment sur des problématiques de langue. Il faut l'orienter dans son travail pour mieux aider ses élèves ! Thomas Ricart, développeur du site Ecrivor Invités : - Jean-Louis CHISS, linguiste, professeur émérite en sciences du langage à l'Université Sorbonne Nouvelle. Il prononcera la conférence inaugurale - Thomas Ricart, développeur du site Internet baptisé Ecrivor, utilisé par 500 professeurs de toutes les matières qui nécessitent de la production d'écrits. Le site, qui existe depuis quelques mois, est soutenu par l'Éducation nationale. Programmation musicale : Le groupe 1515 avec le titre Afa.
Aujourd'hui, je reçois Catherine Guiral. Designer graphique, enseignante, chercheuse, historienne du design, elle est aussi co-fondatrice de officeabc et de l'Agence du doute. Ensemble, on parle de critique, d'écriture, de transmission, de typographie, d'édition et d'intuition. Catherine nous raconte sa rencontre, pour sa thèse de doctorat, avec Pierre Faucheux. Vous le connaissez sûrement par sa direction artistique du Livre de Poche. Mais son oeuvre est bien plus riche. Une conversation dense, généreuse, passionnée – à l'image du travail de Catherine. Bonne écoute à toustes.➡️ cgdenkraum officeabcLes références :Ouvrages, revues, articles- Looking Closer (compilation d'articles sur le design graphique)- Emigre Magazine- Eye Magazine- Une histoire de l'imprimerie et de la chose imprimée - Olivier Deloignon- Pierre Faucheux, le magicien du livre - Marie-Christine Marquat- Écrire l'espace - Pierre Faucheux- L'écho d'un langage trouvé, Samuel Vermeil - Marie-Louise n°2- Une histoire de l'imprimerie et de la chose imprimée - Olivier Deloignon- Les écrits de Catherine de Smet sur la critique du design graphique- The Carrier Bag Theory of Fiction - Ursula K. Le Guin- Giff Wiff (revue des années 60, fondée entre autres par Resnais)- Revue en ligne Tombolo- Revue FairePersonnalités et enseignant·es- Lorraine Wild- Jeffery Keedy- Thierry Chancogne- Renaud Huberlant- Emmanuel Souchier- Catherine de Smet- Alexandra Midal- David Crowley- Sarah Teasley- Jérôme Dupeyrat- Pedro Cardoso- Lise Brosseau- Phil Baber- Charlotte CheethamCollectifs, blogs et structures- officeabc- L'Agence du doute- La Petite bibliothèque infernale- Manystuff (Charlotte Cheetham)- Deux ou trois choses que je sais d'elle, la typographie (blog)- Club Collector (Pedro Cardoso)- Abake- Éditions 205, Éditions B42, Actes Sud, La FabriqueInstitutions et lieux- ENSAD, CalArts LA, RCA Londres, ERG Belgique- IMEC (Institut Mémoires de l'édition contemporaine)- Le Signe, centre national du graphisme (Chaumont)- Biennale de BrnoFonte : Simplicitta par Catherine Guiral, Brice Domingues (officeabc) et Sarah KremerPour faire un don et soutenir le podcast.Pour vous inscrire à la newsletter mensuelle de Graphic Matter.Pour suivre le podcast @graphicmatterpodcastMerci pour votre soutien, on se retrouve toutes les deux semaines pour une nouvelle rencontre. Conception, production, curation, graphisme : Louise GomezHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi marque officiellement le début des vacances d'été pour près de 12 millions d'élèves en France. Et le point final d'une année scolaire marquée par des difficultés toujours plus criantes au sein de l'Éducation nationale. Selon une enquête du Snes-FSU, premier syndicat des collèges et des lycées, près des 2/3 des enseignants (64%) ont pensé à démissionner ces deux dernières années. Pourquoi un tel mal-être des profs français ? Quelles conséquences sur l'école ? Peut-on rectifier le tir ? Pour en débattre : - Romain Sarfati, enseignant d'Histoire-Géographie dans un collège du 93. Formateur aux programmes d'Evars : éducation à la vie affective relationnelle et sexuelle, syndiqué à Sud éducation 93 - Sophie Vénétitay, secrétaire générale du syndicat SNES-FSU - Sandrine Garcia, professeure de sociologie à l'Institut d'études politiques de Lyon, rattachée aux laboratoires Triangle et à l'Institut de recherche sur l'éducation.
Ce lundi marque officiellement le début des vacances d'été pour près de 12 millions d'élèves en France. Et le point final d'une année scolaire marquée par des difficultés toujours plus criantes au sein de l'Éducation nationale. Selon une enquête du Snes-FSU, premier syndicat des collèges et des lycées, près des 2/3 des enseignants (64%) ont pensé à démissionner ces deux dernières années. Pourquoi un tel mal-être des profs français ? Quelles conséquences sur l'école ? Peut-on rectifier le tir ? Pour en débattre : - Romain Sarfati, enseignant d'Histoire-Géographie dans un collège du 93. Formateur aux programmes d'Evars : éducation à la vie affective relationnelle et sexuelle, syndiqué à Sud éducation 93 - Sophie Vénétitay, secrétaire générale du syndicat SNES-FSU - Sandrine Garcia, professeure de sociologie à l'Institut d'études politiques de Lyon, rattachée aux laboratoires Triangle et à l'Institut de recherche sur l'éducation.
Pascal Denault - Psaume 38 RÉSUMÉ: Dans cette prédication nous examinerons deux fois le Psaume 38. Nous méditerons d'abord sur les effets destructeurs du péché dans la vie du pécheur. Puis nous verrons comment Jésus-Christ a pleinement assumé ces souffrances à notre place, pour nous en délivrer. PLAN: A. Les souffrances du pécheur 1. Le péché amène la colère de Dieu (v.2-3) 2. Le péché engendre la mort du corps et de l'âme (v.4-11) 3. Le péché isole socialement (v.12-13) 4. Le péché rend muet et sans excuse (v.14-15) 5. Le péché n'a qu'un seul remède (v.16-23) B. Les souffrances du Sauveur 1. Christ a pris sur lui le péché et a subi la colère de Dieu (v.2-3) 2. Christ a enduré la mort dans son corps et son âme (v.4-11) 3. Christ a été abandonné et persécuté (v.12-13) 4. Christ a accepté ce châtiment sans se défendre (v.14-15) 5. Christ a été abandonné puis secouru (v.16-23) QUESTIONS: 1. Le péché est-il sans conséquence pour nous puisque Jésus a porté toutes les conséquences? 2. Quel est le lien entre la colère de Dieu et la conviction de péché? 3. Quelles sont les différentes souffrances causées par le péché? 4. Comment le Psaume 38 peut-il s'appliquer à Christ? 5. Quelles applications peut-on faire du Psaume 38? Textes complémentaires: Deutéronome 28.15-68 ; Ésaïe 53
Basés sur une parole du prophète Michée, nous allons regarder ce que Dieu a toujours voulu que ceux qui le représentent doivent chercher à aimer : la miséricorde. Dieu aime voir les gens agir avec bonté, avec compassion et pitié envers les autres. Cet article Chercher à aimer, à pratiquer la miséricorde. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Saviez-vous que des scénaristes aident nos organisations à se projeter vers l'avenir ? Dans ce 11e épisode hors-série du podcast, on parle de Prospective.Nous recevons :- François Germinet, conseillé au Ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, passé par le Secrétariat général pour l'investissement - SGPI, France 2030- Delphine Bondran, animatrice de prospective participative, notamment à l'emlyon- Sébastien Lombard, ingénieur et responsable de prospective au Centre national d'études spatiales - CNES- Pauline Rocafull, Scénariste et Déléguée Générale de la Cité européenne des scénaristes- Frédéric Lecourt, Designer et Directeur de CY Cergy Paris Universitéℹ️ "Et Le Scénario" est un podcast produit par la Cité Européenne des Scénaristes, présenté et monté par Baptiste Rambaud. Un dimanche sur quatre, un corps de métier différent de l'audiovisuel y témoigne de son rapport au scénario. Abonnez-vous !Mentionnés dans cet épisode :➡️ Programme Butterfly 2050 : https://cite-europeenne-des-scenaristes.com/concours-butterfly-2050/➡️ Interviews d'experts de la Prospective par Pauline Mauroux (Revue de la Cité) : https://cite-europeenne-des-scenaristes.com/experts-prospective/➡️ Space'ibles (prospective spatiale du CNES) : https://cnes.fr/projets/spaceibles➡️ Futuribles : https://www.futuribles.com➡️ Article de Wired sur les attentats du 11 septembre "Hollywood's Secret Meet" : https://www.wired.com/2007/03/foiled-by-foia-/➡️ Programmes Red Team et Radar de l'armée française : https://www.defense.gouv.fr/actualites/red-team-evolue-devient-radar➡️ Ecole de Design CY : https://www.cy-ecolededesign.frSuivre nos formations S comme Scénario :➡️ Site officiel : https://www.s-comme-scenario.com➡️ LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/s-comme-scénario/➡️ Instagram : https://www.instagram.com/scommescenario/Nous suivre :➡️ LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/citescenaristes/➡️ Instagram : https://www.instagram.com/citescenaristes/➡️ Site officiel : https://cite-europeenne-des-scenaristes.com/Au programme :0:00:00 : introduction0:03:27 : qu'est-ce que la prospective ?0:08:03 : comment ils sont tombés dedans0:12:56 : pourquoi faire appel à la fiction ?0:24:49 : exemples d'applications concrètes0:33:34 : les scénaristes au service du gouvernement0:43:58 : le pouvoir de la prospective0:49:50 : les différentes approches0:54:40 : ce qui importe dans un scénario1:00:09 : quels sujets explorer ?1:08:41 : France vs. étranger1:12:22 : conseils aux scénaristes1:19:40 : outroMusic from Uppbeat (free for Creators!):https://uppbeat.io/t/ak/night-driveLicense code: MRFXIZNLNUMFTW29
Bienvenue sur Avant j'étais prof, le podcast des enseignants en reconversion.À partir d'aujourd'hui, je vous embarque dans une série spéciale intitulée "Immersion Reconversion".Chaque mercredi, vous entendrez la voix de Maud, une auditrice du podcast qui s'est donné un an pour changer de métier et qui a accepté de tout documenter.Tout au long de l'année, elle m'a envoyé des notes vocales. Des petits bouts de vie, des réflexions à chaud, des moments de doute, d'euphorie, de ras-le-bol... Et vous allez pouvoir vivre cette reconversion de l'intérieur, semaine après semaine, comme elle et comme moi.Maud réussira-t-elle à quitter l'Éducation nationale avant la prochaine rentrée ? Aura-t-elle trouvé un métier qui lui plaît ? Est-ce qu'elle aura changé d'avis en cours de route ?Tout ça, on va le découvrir ensemble._____
Programme du débrief du Gp du Canada 2025 :
Les membres du Club RFI Ouaké sont partis à la rencontre de Nourou Soulemane Yorou, professeur en mycologie tropicale à l'Université de Parakou. Cette visite fut l'occasion pour les membres du Club de découvrir les travaux de ce chercheur passionné de champignons. Une rencontre inspirante pour les étudiants qui en ressortent motivés. Ce déplacement a également permis aux participants de découvrir le paysage, la faune et la flore entre Ouaké et Parakou. Avec la participation de Taoffic Tassou, président du Club RFI Ouaké. Invité/cousin : Nourou Soulemane Yorou, professeur en mycologie tropicale à l'Université de Parakou. Musique : «Le travail est le salut», DJ GG Lapino. *Mycologie : branche de la biologie qui étudie les champignons. - Réalisation : Cécile Bonici - Collaboration service des auditeurs – Projets Clubs RFI : Audrey Iattoni et Sébastien Bonijol - L'écume des mots : Myriam Guilhot - Mise en ligne internet : Sonia Borelva.
Une parole du prophète Joël dans l'ancienne alliance nous a déjà mis sur une piste pour comprendre d'autre aspect de la volonté de Dieu à chercher dans notre vie. Michée 6:8 On t'a fait connaître, ô homme, ce qui est bien ; et ce que l'Éternel demande de toi, c'est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde, et que tu marches humblement avec ton Dieu. Cet article Chercher à pratiquer ce qui est juste devant Dieu. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Lancée à l'initiative du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, la Journée mondiale des alumni, ou « France Alumni Day » met à l'honneur les parcours inspirants de talents internationaux formés en France et devenus acteurs du changement dans le monde. Organisée par Campus France, cette troisième édition a eu lieu cette semaine à la Cité internationale avec pour thème « Des talents pour changer le monde ». Entretien avec Judith Azema, directrice de la communication à Campus France.
Vu sur Une marche à « contre courant » pleine d'enseignement (Edenn) En compagnie de Youenn Fenard , directeur de l'Edenn , pour ce numéro de rien à voir magazine de la rédaction d'Alternantes fm nous remontons à pied à Nantes la rive droite de l'Erdre depuis le monuments aux 50 otages jusqu'au Cens, une rivière sous affluent de la Loire. Un magazine de Michel Sourget L'Edenn […] Cet article provient de Radio AlterNantes FM
Nous allons voir que la parole de Dieu nous encourage à prier pour les enfants. Il n'y a pas d'âge pour la guérison ou pour le salut. Les promesses de Dieu sont pour les adultes et pour les enfants. Cet article Priez pour les petits enfants. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
I.A. Café - Enquête au cœur de la recherche sur l’intelligence artificielle
Dans cet épisode, nous ajoutons un nouveau volet à notre exploration de l'avenir de l'IA en éducation, et cela, en explorant les enjeux éthiques et pédagogiques de l'IA dans nos universités. Pour m'accompagner:Marie-Ève Vachon Savary, conseillère en pédagogie universitaire au Service de soutien à l'enseignement à l'Université LavalAlexandre Laflamme, conseiller en pédagogie universitaire pour le Centre de service en TI et en pédagogie de l'Université Laval. Andréane Sicotte, conseillère en pédagogie universitaire à la Bibliothèque et à la direction des services conseils de l'Université Laval.Au programmeLe rôle d'un conseiller et d'une conseillère en pédagogie universitaireL'arrivée tonitruante de ChatGPT dans les universitésLes besoins, usages et compétences des professeurs étudiantsLa formation des professeurs et étudiantsEnjeux éthiques – Craintes et préoccupations pédagogiques Enjeux éthiques - Promesses enthousiasmantes De la possibilité d'une relation humaine (prof-étudiant) accompagnée d'IA. Bonne écoute! Production, expertise et animation: Jean-François Sénéchal, Ph.DInvités : Marie-Ève Vachon Savary, Alexandre Laflamme, Andréane SicotteCollaborateurs et collaboratrices: Véronique Tremblay, Stéphane Mineo, Frédérick Plamondon, Shirley Plumerand, Sylvain Munger Ph.D, Ève Gaumond, Benjamin Leblanc. Textes et sources mentionnés: Paquelin, D., Tendeng, M.-L., Djieufack, E.-B. et Kropf, V. (2025). Portrait de l'utilisation de l'IAgen à l'Université Laval. Obvia. https://www.obvia.ca/ressources/portrait-de-lutilisation-de-liagen-a-luniversite-lavalOBVIA Observatoire international sur les impacts sociétaux de l'intelligence artificielleDisclaimer: This post contains affiliate links. If you make a purchase, I may receive a commission at no extra cost to you.Support the show
Dans une école républicaine fondée sur les principes d'universalité et de neutralité, la présence croissante d'enseignants issus de l'immigration pose de nouvelles questions. Même s'ils ont les mêmes diplômes que leurs collègues, certains ne sont pas toujours perçus comme de « vrais » professeurs. Leur origine, leur couleur de peau ou leur nom peuvent provoquer des réactions de surprise, voire de méfiance, de la part des parents ou des collègues. On leur demande parfois de jouer un rôle particulier : expliquer certaines cultures, traduire, ou gérer les élèves « difficiles ». Ces attentes peuvent les mettre mal à l'aise, car elles les ramènent à leurs origines plutôt qu'à leur métier. L'école, malgré ses valeurs d'égalité, peut encore faire des différences. Alors, comment garantir que tous les enseignants soient respectés de la même manière ? L'origine d'un professeur doit-elle influencer son rôle dans l'école ? Peut-on vraiment séparer les différences personnelles de la fonction professionnelle ? Avec : • Aksel Kilic, sociologue, spécialiste des rapports sociaux et de la sociologie des professeurs des écoles, Université Paris-Est Créteil, autrice de l'article Stigmates, contradictions et dilemmes de statut. L'expérience des professeurs des écoles issus de l'immigration (Cahiers de la recherche sur l'éducation et le savoir), de L'école du like (PUF, 2024) et de L'école primaire vue des coulisses (PUF, 2022) • Lilia Larbi, enseignante d'anglais dans un lycée d'enseignement professionnel à Paris. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du Monde des enfants ! Ils nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Kinshasa en République Démocratique du Congo avec Evan, Julia, Raphaël, Yann, Grâce, Tehila-Cyra et Naël-Elikya, des enfants qui ont entre 9 et 12 ans. Ils nous avaient déjà parlé des punitions, à l'école et à la maison. Aujourd'hui, un tout autre sujet : la liberté ! En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur. Programmation musicale : ► Mi Lado - Africa Express ► Mane - Diese Mbangue.
Dans une école républicaine fondée sur les principes d'universalité et de neutralité, la présence croissante d'enseignants issus de l'immigration pose de nouvelles questions. Même s'ils ont les mêmes diplômes que leurs collègues, certains ne sont pas toujours perçus comme de « vrais » professeurs. Leur origine, leur couleur de peau ou leur nom peuvent provoquer des réactions de surprise, voire de méfiance, de la part des parents ou des collègues. On leur demande parfois de jouer un rôle particulier : expliquer certaines cultures, traduire, ou gérer les élèves « difficiles ». Ces attentes peuvent les mettre mal à l'aise, car elles les ramènent à leurs origines plutôt qu'à leur métier. L'école, malgré ses valeurs d'égalité, peut encore faire des différences. Alors, comment garantir que tous les enseignants soient respectés de la même manière ? L'origine d'un professeur doit-elle influencer son rôle dans l'école ? Peut-on vraiment séparer les différences personnelles de la fonction professionnelle ? Avec : • Aksel Kilic, sociologue, spécialiste des rapports sociaux et de la sociologie des professeurs des écoles, Université Paris-Est Créteil, autrice de l'article Stigmates, contradictions et dilemmes de statut. L'expérience des professeurs des écoles issus de l'immigration (Cahiers de la recherche sur l'éducation et le savoir), de L'école du like (PUF, 2024) et de L'école primaire vue des coulisses (PUF, 2022) • Lilia Larbi, enseignante d'anglais dans un lycée d'enseignement professionnel à Paris. Le Monde des enfants par Charlie Dupiot. C'est le moment du Monde des enfants ! Ils nous livrent leurs regards sur ce qui fait leur quotidien et leurs aspirations pour l'avenir, au micro de notre reporter Charlie Dupiot… Nous voici à Kinshasa en République Démocratique du Congo avec Evan, Julia, Raphaël, Yann, Grâce, Tehila-Cyra et Naël-Elikya, des enfants qui ont entre 9 et 12 ans. Ils nous avaient déjà parlé des punitions, à l'école et à la maison. Aujourd'hui, un tout autre sujet : la liberté ! En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'un auditeur. Programmation musicale : ► Mi Lado - Africa Express ► Mane - Diese Mbangue.
En France, les 12 lycées maritimes sont encadrés par le ministère de la transition écologique et de la Mer, ils offrent des formations allant du CAP au post-bac, combinant théorie et pratique. Le lycée professionnel Paul Bousquet, à Sète accueille 300 élèves qui étudient dans une des 4 filières proposées par le lycée : pêche, commerce, culture marine ou electro-mécanique de marine.
Ce lundi 23 juin 2025, nous avons diffusé une émission enregistrée le 12 juin, avec Norbert Danysz, doctorant à Lyon et Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche à Lille. Comme il est également membre du laboratoire InTru, dont les ateliers « lectures de planches », nous avons évoqué les activités du laboratoire mais aussi sa […] L'article I Love Mes Cheveux — autour du laboratoire InTru et des bandes dessinées en chinois — avec Norbert Danysz est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
L'école demande t-elle aux élèves de se séparer de leurs corps pour mieux entrer en classe ? Quelle éducation des corps propose l'école ? Les élèves sont-ils leurs corps face aux corps enseignant ? Réflexion sur la place laissée au corps dans une école qui s'adresse bien souvent à l'intellect seulement.
Cette semaine, le Club RFI Abidjan met en lumière sa campagne de sensibilisation sur l'usage responsable des réseaux sociaux, les dangers liés à Internet et la désinformation en ligne en milieu scolaire. Avec la participation de Jean-Luc Adon, secrétaire général du Club RFI. Cousine/invitée : Zogbé Florence, présidente des jeunes de Tipadipa. Musique : Lékilé, Elno. L'équipe - Production : Eric Amiens - Réalisation : Cécile Bonici - Collaboration service des auditeurs – Projets Clubs RFI : Audrey Iattoni et Sébastien Bonijol - L'écume des mots : Myriam Guilhot - Mise en ligne internet : Sonia Borelva.
Le chrétien et ses responsabilités. Pourquoi les chrétiens sont-ils si souvent sans force ? Sans vision, sans motivation pour le royaume de Dieu ? Pourquoi les chrétiens réagissent-ils charnellement ? Pourquoi les chrétiens passent-ils souvent à côté d'une occasion de parler ou de servir le Seigneur ? Cet article Chercher à être rempli du Saint-Esprit. est apparu en premier sur Publication Évangélique.
Bienvenue sur Avant J'étais Prof, le podcast des enseignants en reconversion.Dans l'épisode du jour, je reçois Gaëlle et Manon, deux ex-profs qui se sont formées à des métiers du web dont vous avez sûrement déjà entendu parler : rédaction web SEO, Content Management, Réseau Sociaux, Marketing Digital… Des sujets qu'il est indispensable de maîtriser quand on souhaite travailler à son compte et se faire connaître.Après plusieurs années d'exercice, Manon a décidé d'aller plus loin en formant les profs qui le souhaitent à développer chacune de ces compétences. La promo d'été de sa formation ouvre ses portes le 21 juin prochain et Gaëlle, l'une de ses anciennes élèves, travaille aujourd'hui à ses côtés. Ensemble, on analyse comment le marketing digital permet de consolider un projet entrepreneurial. Alors si tu songes à quitter la classe pour travailler à ton compte, quel que soit ton projet, ouvre bien grand tes oreilles car cet épisode pourrait grandement t'aider !__________
Deux pays européens sont en état de choc en Europe : l'Autriche, qui a décrété trois jours de deuil national après la tuerie dans un lycée par un ancien élève de 21 ans à Graz, qui a fait 12 morts, et la France, sidérée après la mort d'une surveillante d'un collège, poignardée par un adolescent de 14 ans à Nogent, en Haute Marne. Dans ces deux pays, on s'interroge sur la violence des jeunes et des très jeunes, sur leur santé mentale, sur l'impact des réseaux sociaux et sur la banalisation de la violence.
Bienvenue dans ce nouvel épisode d'Avant J'étais Prof, le podcast des enseignants en reconversion. Je m'appelle Florence, j'ai été professeure des écoles pendant 6 ans et ça fait bientôt 5 ans que j'aide les enseignants à se réinventer professionnellement. Dans l'épisode du jour, je vais répondre aux questions d'Océane, une auditrice du podcast qui s'interroge sur un dispositif qui suscite à la fois beaucoup d'espoir et pas mal de confusion : la rupture conventionnelle au sein de l'Éducation nationale.Qu'est-ce que la rupture conventionnelle ?Pourquoi demander une rupture conventionnelle ?À quel interlocuteur s'adresser au sein de l'Éducation nationale ?Quand demander sa rupture conventionnelle ?Comment demander sa rupture conventionnelle ?Que faire en cas de refus ?Toutes les réponses à ces questions de trouvent dans l'épisode.__________
Le 10 juin 2025, deux événements dramatiques ont ravivé une angoisse sourde : celle d'une école qui vacille. À Nogent, en Haute-Marne, une surveillante est poignardée par un élève de 13 ans à la porte du collège. Le même jour, à Graz, en Autriche, un adolescent ouvre le feu dans son établissement, tuant dix personnes, dont un jeune Français. Deux drames, deux contextes, une même sidération : celle de voir l'école frappée en son cœur, là où l'on pensait encore pouvoir préserver un semblant de paix. La violence à l'école ne se résume pas aux coups et aux cris. Elle prend mille visages : elle peut être frontale ou silencieuse, physique ou psychologique, ponctuelle ou chronique. Parfois spectaculaire, parfois imperceptible, elle s'installe, s'infiltre, use. Quelques chiffres pour prendre la mesure du phénomène : En 2022-2023, on recensait 13,7 incidents graves pour 1 000 élèves dans les collèges et lycées, contre environ 11 pour 1 000 au début des années 2010 – une hausse modérée, mais constante. Dans le second degré, 77% des incidents graves sont des atteintes aux personnes : insultes, menaces, harcèlement, violences physiques. Tous niveaux confondus, plus de 600 000 enfants seraient harcelés chaque année. Alors on se questionne : quelles réponses face à la violence à l'école ? On en parle avec nos invités : - Claude Lelièvre, historien de l'éducation - Elian Potier, co-président de l'association «Faire face».
Dès leurs premières années, les enfants posent des milliers de questions: pourquoi le ciel est bleu ? Comment les oiseaux volent ? Pourquoi la glace fond ? Ces interrogations sont les premiers signes d'un esprit scientifique en éveil. La curiosité pour les sciences, loin d'être réservée aux laboratoires ou aux chercheurs, est avant tout une manière de comprendre le monde, de raisonner avec logique, de douter de ce qui semble évident, et de chercher des preuves. Mais dans un monde où les fausses informations circulent plus vite que jamais, où les défis environnementaux, sanitaires et technologiques se multiplient, cette capacité à questionner, à analyser et à comprendre devient une compétence essentielle. Il ne s'agit plus seulement de savoir, mais de savoir penser. Comment éveiller cette curiosité et développer cet esprit scientifique dès l'enfance? Avec :• Auguste Gires, ingénieur en chef du Corps des Ponts, Eaux et Forêts, chercheur au Laboratoire Hydrologie Météorologie et Complexité de l'École des Ponts ParisTech et auteur avec ses deux enfants Nikita et Nathanaël de 50 nouvelles expériences scientifiques (Éditions Delachaux et Niestle jeunesse)• Kamil Fadel, physicien, responsable de projet de médiation scientifique à Universcience, regroupement du Palais de la découverte ; établissement culturel scientifique national à Paris et de la Cité des sciences et de l'industrie, établissement public de diffusion de la culture scientifique, technique et industrielle à Paris.En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Loubna Anaki, correspondante de RFI à New York : quelle politique des visas étudiants aux USA ? Peuvent-ils se passer des étudiants étrangers ? En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Joseph à Lubumbashi (RDC). Programmation musicale : ► Dâmba Kéle - Siraba► Modern Times - Jon Bellion & Jon Batiste.
Dès leurs premières années, les enfants posent des milliers de questions: pourquoi le ciel est bleu ? Comment les oiseaux volent ? Pourquoi la glace fond ? Ces interrogations sont les premiers signes d'un esprit scientifique en éveil. La curiosité pour les sciences, loin d'être réservée aux laboratoires ou aux chercheurs, est avant tout une manière de comprendre le monde, de raisonner avec logique, de douter de ce qui semble évident, et de chercher des preuves. Mais dans un monde où les fausses informations circulent plus vite que jamais, où les défis environnementaux, sanitaires et technologiques se multiplient, cette capacité à questionner, à analyser et à comprendre devient une compétence essentielle. Il ne s'agit plus seulement de savoir, mais de savoir penser. Comment éveiller cette curiosité et développer cet esprit scientifique dès l'enfance? Avec :• Auguste Gires, ingénieur en chef du Corps des Ponts, Eaux et Forêts, chercheur au Laboratoire Hydrologie Météorologie et Complexité de l'École des Ponts ParisTech et auteur avec ses deux enfants Nikita et Nathanaël de 50 nouvelles expériences scientifiques (Éditions Delachaux et Niestle jeunesse)• Kamil Fadel, physicien, responsable de projet de médiation scientifique à Universcience, regroupement du Palais de la découverte ; établissement culturel scientifique national à Paris et de la Cité des sciences et de l'industrie, établissement public de diffusion de la culture scientifique, technique et industrielle à Paris.En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Loubna Anaki, correspondante de RFI à New York : quelle politique des visas étudiants aux USA ? Peuvent-ils se passer des étudiants étrangers ? En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Joseph à Lubumbashi (RDC). Programmation musicale : ► Dâmba Kéle - Siraba► Modern Times - Jon Bellion & Jon Batiste.
Bienvenue sur Avant J'étais Prof, le podcast des enseignants en reconversion.Dans l'épisode du jour, Marine et Emma racontent leur expérience au sein du Club des Profs en Reconversion : de l'écoute offerte par les visios collectives, au soutien trouvé sur le groupe de discussion privé, en passant par la motivation apportée par les objectifs mensuels qu'elles se sont fixés tout au long de l'année, on peut dire que leurs efforts ont payé et que leur situation a bien changé.Pourquoi ont-elle choisi de rejoindre le Club et qu'y ont-elles trouvé ? Quelle était leur situation il y a 10 mois et où en sont-elles aujourd'hui ? De quoi avaient-elles peur et comment sont-elles parvenues à changer d'état d'esprit ?Emma et Marine répondent à ces questions en toute transparence dans ce tout nouveau format d'épisode : la table ronde !Si cet épisode vous donne envie de faire le premier pas vers votre reconversion, sachez que le Club rouvrira ses portes en septembre avec un mois d'essai gratuit et sans engagement, et que vous pouvez déjà réserver votre place ici : https://forms.gle/9ufCkhcXRh78fBoc6Je vous souhaite une bonne écoute, et j'espère que cet épisode vous plaira autant qu'il vous aidera.__________
Dans les pays en développement, selon l'ONG Plan International, les filles manquent en moyenne cinq jours d'école par mois à chaque cycle menstruel. Les règles en milieu scolaire restent un sujet tabou, souvent perçues comme sales ou impures, entraînant auto-exclusion et stigmatisation. L'absence d'accès à l'eau, à des toilettes adaptées, propres et sécurisées dans les écoles empêchent les filles de gérer leurs règles dans des conditions décentes. Les premières règles exposent également les écolières à des risques accrus de mariages forcés, conduisant souvent à leur déscolarisation. Comment briser le tabou des règles, améliorer les infrastructures scolaires et mettre en place des politiques de soutien et de lutte contre les mariages forcés pour réduire l'absentéisme scolaire et promouvoir une éducation équitable pour toutes les filles ? Émission à l'occasion de la Journée mondiale de l'hygiène menstruelle. Avec : • Lucie Dechifre, directrice des programmes et des partenariats stratégiques à ONG Plan international. Une ONG de solidarité internationale qui œuvre pour un monde plus juste et durable et fait progresser les droits des enfants, en particulier ceux des filles. • Amandine Yao, fondatrice et présidente de l'association Gouttes rouges, à Abidjan, Côte d'Ivoire. L'association Gouttes rouges est un projet de parrainage de jeunes filles pour lutter contre la précarité menstruelle. En ouverture d'émission L'école autour du monde avec Camille Ruiz, correspondante de RFI à Séoul, en Corée du Sud, où l'IA assiste les enseignants dans la classe. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Négor, Tchadien à Yaoundé, au Cameroun. Programmation musicale : ► The Youth - Groundation, Mykal Rose et Alpha Blondy ► Bolo - Penomeco.
Dans les pays en développement, selon l'ONG Plan International, les filles manquent en moyenne cinq jours d'école par mois à chaque cycle menstruel. Les règles en milieu scolaire restent un sujet tabou, souvent perçues comme sales ou impures, entraînant auto-exclusion et stigmatisation. L'absence d'accès à l'eau, à des toilettes adaptées, propres et sécurisées dans les écoles empêchent les filles de gérer leurs règles dans des conditions décentes. Les premières règles exposent également les écolières à des risques accrus de mariages forcés, conduisant souvent à leur déscolarisation. Comment briser le tabou des règles, améliorer les infrastructures scolaires et mettre en place des politiques de soutien et de lutte contre les mariages forcés pour réduire l'absentéisme scolaire et promouvoir une éducation équitable pour toutes les filles ? Émission à l'occasion de la Journée mondiale de l'hygiène menstruelle. Avec : • Lucie Dechifre, directrice des programmes et des partenariats stratégiques à ONG Plan international. Une ONG de solidarité internationale qui œuvre pour un monde plus juste et durable et fait progresser les droits des enfants, en particulier ceux des filles. • Amandine Yao, fondatrice et présidente de l'association Gouttes rouges, à Abidjan, Côte d'Ivoire. L'association Gouttes rouges est un projet de parrainage de jeunes filles pour lutter contre la précarité menstruelle. En ouverture d'émission L'école autour du monde avec Camille Ruiz, correspondante de RFI à Séoul, en Corée du Sud, où l'IA assiste les enseignants dans la classe. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Négor, Tchadien à Yaoundé, au Cameroun. Programmation musicale : ► The Youth - Groundation, Mykal Rose et Alpha Blondy ► Bolo - Penomeco.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bloc d'actualités. Émission consacrée a l'enseignement, la santé, la science et au sport.
La prestigieuse université a annoncé qu'elle attaquait la décision de l'administration Trump en justice. L'interdiction pour Harvard d'accueillir des étudiants étrangers constitue une nouvelle escalade dans l'offensive de l'administration Trump contre l'enseignement supérieur. Plus de 6 800 étudiants de l'université sont concernés. La prestigieuse a déposé en recours en justice. Sur RFI, Vincent Pons, économiste français enseignant à Harvard, estime qu'il « faut se battre car cette décision est illégale, et car l'enjeu dépasse très largement Harvard. Il est aujourd'hui évident que m'administration américaine cible Harvard pour envoyer un message fort aux autres universités et pour s'assurer qu'elles restent dans le rang ».Pour le Boston Globe, en s'en prenant aux étudiants internationaux de Harvard, le président américain satisfait peut-être sa base électorale, mais il « tire une balle dans le pied des États-Unis ». Selon le quotidien : « les plus grands perdants seront les employeurs et l'économie américaine ». Élections législatives et régionales au Venezuela Un an après la réélection controversée de Nicolas Maduro, les Vénézuéliens sont appelés aux urnes dimanche pour élire députés, maires et gouverneurs. Un scrutin qui ne suscite que très peu d'intérêt au sein de la population : les enquêtes prévoient entre 70 et 80% d'abstention. La cheffe de file de l'opposition Corinna Machado a appelé à boycotter ces élections, mais la question fait débat parmi les opposants à Nicolas Maduro, qui voient revenir les vieux démons de la division. Le reportage de notre correspondante à Caracas, Alice Campaignolle.Le gouvernement argentin incite à la population à « sortir les dollars de sous le matelas »Selon les estimations officielles, les Argentins détiennent environ 200 milliards de dollars non déclarés. La Nación détaille le plan du gouvernement pour la population inciter à injecter ces dollars dans l'économie du pays, en leur permettant de les utiliser sans avoir à justifier leur provenance aux autorités fiscales. Le journal Pagina12 y voit une prime à l'évasion fiscale : "pour le gouvernement, ceux qui ne payent pas leurs impôts sont des héros, et ceux qui les payent, des idiots". Expulsion de migrants depuis la République dominicaine : « l'impuissance » de l'État haïtien"La République dominicaine se transforme de plus en plus en enfer pour les sans-papiers haïtiens, et pour les Haïtiens tout court", estime le Nouvelliste. Les agents de l'immigration dominicains peuvent désormais entrer dans les hôpitaux pour arrêter les Haïtiens, et des rapports font état de femmes enceintes et allaitantes expulsées du pays. Depuis la rencontre le 25 avril, entre le ministre des Affaires étrangères, Jean-Victor Harvel Jean-Baptiste et l'ambassadeur de la République dominicaine en Haïti, les autorités dominicaines n'ont fait durcir leurs mesures contre les ressortissants haïtiens, constate le journal, qui y voit la preuve de « l'impuissance » de l'État Haïtien à protéger ses ressortissants.En Haïti : les clubs de football face à la dégradation de la situation sécuritaireEn février dernier, le siège de la Fédération haïtienne de football a d'ailleurs été occupé par des hommes armés. Face à la menace des gangs, organiser des matchs ou même seulement des entrainements devient difficile pour les clubs. Achim Lippold a recueilli le témoignage de Pudens Saint Louis, fondateur du FC Etoile Brillante à Pétionville, qui parle de la difficulté de maintenir cette activité qui est pourtant un vecteur de résilience pour la population. Journal de la 1èreCommémoration de l'abolition de l'esclavage en Martinique : construction d'un mémorial à Saint-Pierre.
Environ un quart des élèves dans le monde a bénéficié de repas scolaires en 2024, une proportion qui atteint 47% à l'école primaire, selon un rapport de l'Unesco. Dans les pays en développement, de nombreuses écoles dépendent du Programme alimentaire mondial, ce qui met en péril les cantines lorsque les aides baissent et que les circuits d'approvisionnement local ne sont pas assez structurés. Or, le manque d'investissements dans la santé et la nutrition nuit aux résultats scolaires. Comment établir des partenariats avec des agriculteurs locaux tout en maintenant des prix bas et un approvisionnement régulier ? Les cantines peuvent-elles à la fois nourrir les élèves, favoriser leur réussite scolaire tout en soutenant les économies locales ? Avec :• Sylvie Avallone, professeur à l'Institut Agro Montpellier, membre de la Chaire Unesco «Alimentations du monde» et impliquée dans le Consortium international santé et nutrition à l'école.Un entretien avec Emeline Vin, correspondante de RFI à Londres au Royaume-Uni où la malbouffe règne dans les cantines scolaires. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Mamady à Conakry en Guinée. Programmation musicale :► Boulène Dème - Idrissa Diop, ORCHESTRA BAOBAB ► Libère - White Corbeau.
Environ un quart des élèves dans le monde a bénéficié de repas scolaires en 2024, une proportion qui atteint 47% à l'école primaire, selon un rapport de l'Unesco. Dans les pays en développement, de nombreuses écoles dépendent du Programme alimentaire mondial, ce qui met en péril les cantines lorsque les aides baissent et que les circuits d'approvisionnement local ne sont pas assez structurés. Or, le manque d'investissements dans la santé et la nutrition nuit aux résultats scolaires. Comment établir des partenariats avec des agriculteurs locaux tout en maintenant des prix bas et un approvisionnement régulier ? Les cantines peuvent-elles à la fois nourrir les élèves, favoriser leur réussite scolaire tout en soutenant les économies locales ? Avec :• Sylvie Avallone, professeur à l'Institut Agro Montpellier, membre de la Chaire Unesco «Alimentations du monde» et impliquée dans le Consortium international santé et nutrition à l'école.Un entretien avec Emeline Vin, correspondante de RFI à Londres au Royaume-Uni où la malbouffe règne dans les cantines scolaires. En fin d'émission Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Mamady à Conakry en Guinée. Programmation musicale :► Boulène Dème - Idrissa Diop, ORCHESTRA BAOBAB ► Libère - White Corbeau.
Bienvenue sur Avant J'étais Prof, le podcast des enseignants qui ont osé la reconversion.Dans l'épisode du jour, j'ai le plaisir d'échanger avec Anne, une ancienne auditrice du podcast qui s'est reconvertie en même temps que moi. Anne a 46 ans, 2 enfants, et elle a été professeure des écoles pendant 20 ans. Aujourd'hui, elle travaille dans le secteur de la logistique en tant que salariée et elle n'a vraiment aucun regret.Comment en est-elle arrivée à envisager ce métier dont personne ne parle ? Qu'est-ce qu'on ressent quand on s'apprête à reprendre ses études alors qu'on n'a plus 20 ans ? Et combien de temps ça prend, de passer du doute permanent au sentiment d'épanouissement ?C'est ce que vous allez découvrir dans cet épisode !__________
Les communautés Roms forment la plus grande minorité ethnique d'Europe, et celle qui subit le plus de discriminations, en particulier dans l'accès à l'éducation et à l'emploi. Dans les pays de l'UE, les lois et les dispositifs de soutien de la Commission ont permis des progrès mais il reste beaucoup à faire, et dans les pays du voisinage, la situation est pire. Comment évolue la situation des communautés Roms en Europe ? Reportage en Moldavie, où plus de 40% des enfants Roms ne sont pas inscrits à l'école - alors que le taux de scolarisation approche au niveau national 90%. Et parmi les adultes, l'analphabétisme est fréquent. Pour remédier à cette situation des médiateurs, eux-mêmes issus de la communauté, sillonnent les villages à la rencontre des familles. Maria Gerth Niculescu.Invité : Olivier Peyroux, sociologue, enseignant à Sce-po Paris, co-fondateur de l'association Trajectoires. Il est notamment l'auteur de Délinquants et victimes ; la traite des enfants d'Europe de l'est en France (Non Lieu) et Les mondes Roms (Gallimard Jeunesse). Défense européenne : en Autriche, la neutralité commence à faire débatLes européens continuent à renforcer la coopération en matière de défense : hier lundi, un partenariat a été conclu entre Bruxelles et Londres, et les 27 se sont mis d'accord sur le principe d'achats communs de matériel militaire. Le mouvement de réarmement touche tous les pays y compris l'Autriche. Dans cette République qui a proclamé sa neutralité militaire au lendemain de la 2è guerre mondiale, le débat se focalise sur les moyens humains, et sur l'armée de milice aujourd'hui très affaiblie. Reportage en Basse-Autriche de Céline Béal. Rivers of blood : au Royaume-Uni, Keir Starmer a fait ressurgir un épisode historique très controversé de l'histoire contemporaine. Quelques jours après le succès du parti d'extrême droite Reform UK aux élections locales du 1er mai, le gouvernement travailliste a publié un Livre Blanc sur l'immigration. Le but : réduire l'immigration légale qui s'est élevée entre juin 2023 et juin 2024 à 728 000 personnes. Mais au-delà des mesures radicales annoncées, et de leur impact, par exemple sur l'emploi, ce qui a fait grand bruit dans les médias c'est la fameuse tournure de phrase du Premier ministre qui a dit redouter que son pays devienne une « île d'étrangers ». Les explications de Marie Billon.
Les communautés Roms forment la plus grande minorité ethnique d'Europe, et celle qui subit le plus de discriminations, en particulier dans l'accès à l'éducation et à l'emploi. Dans les pays de l'UE, les lois et les dispositifs de soutien de la Commission ont permis des progrès mais il reste beaucoup à faire, et dans les pays du voisinage, la situation est pire. Comment évolue la situation des communautés Roms en Europe ? Reportage en Moldavie, où plus de 40% des enfants Roms ne sont pas inscrits à l'école - alors que le taux de scolarisation approche au niveau national 90%. Et parmi les adultes, l'analphabétisme est fréquent. Pour remédier à cette situation des médiateurs, eux-mêmes issus de la communauté, sillonnent les villages à la rencontre des familles. Maria Gerth Niculescu.Invité : Olivier Peyroux, sociologue, enseignant à Sce-po Paris, co-fondateur de l'association Trajectoires. Il est notamment l'auteur de Délinquants et victimes ; la traite des enfants d'Europe de l'est en France (Non Lieu) et Les mondes Roms (Gallimard Jeunesse). Défense européenne : en Autriche, la neutralité commence à faire débatLes européens continuent à renforcer la coopération en matière de défense : hier lundi, un partenariat a été conclu entre Bruxelles et Londres, et les 27 se sont mis d'accord sur le principe d'achats communs de matériel militaire. Le mouvement de réarmement touche tous les pays y compris l'Autriche. Dans cette République qui a proclamé sa neutralité militaire au lendemain de la 2è guerre mondiale, le débat se focalise sur les moyens humains, et sur l'armée de milice aujourd'hui très affaiblie. Reportage en Basse-Autriche de Céline Béal. Rivers of blood : au Royaume-Uni, Keir Starmer a fait ressurgir un épisode historique très controversé de l'histoire contemporaine. Quelques jours après le succès du parti d'extrême droite Reform UK aux élections locales du 1er mai, le gouvernement travailliste a publié un Livre Blanc sur l'immigration. Le but : réduire l'immigration légale qui s'est élevée entre juin 2023 et juin 2024 à 728 000 personnes. Mais au-delà des mesures radicales annoncées, et de leur impact, par exemple sur l'emploi, ce qui a fait grand bruit dans les médias c'est la fameuse tournure de phrase du Premier ministre qui a dit redouter que son pays devienne une « île d'étrangers ». Les explications de Marie Billon.
Le Premier ministre français François Bayrou était interrogé ce mercredi par une commission d'enquête parlementaire dans le cadre de l'affaire Notre-Dame de Bétharram. Cet établissement scolaire privé est visé par quelque 200 plaintes déposées par des anciens élèves pour violences physiques, agressions sexuelles et viols commis pendant des décennies. François Bayrou est accusé d'avoir été au courant de certains agissements et d'avoir fermé les yeux alors qu'il était élu dans la région concernée. Comment fonctionnent les établissements scolaires privés en France ? Quels comptes doivent-ils rendre ? Comment renforcer les contrôles et éviter d'autres scandales Bétharram à l'avenir ? Avec : - Hélène Laubignat, présidente de l'Apel, Association des parents d'élèves de l'enseignement catholique sous contrat d'État- Ixchel Delaporte, journaliste autrice du livre et du documentaire : Les enfants martyrs de Riaumont, éditions Rouergue - Pierre Merle, sociologue, professeur émérite de sociologie à l'Institut National Supérieur du Professorat et de l'Éducation. Auteur du livre « L'élève humilié, l'école, un espace de non droit ? », éditions Puf.
Le Premier ministre français François Bayrou était interrogé ce mercredi par une commission d'enquête parlementaire dans le cadre de l'affaire Notre-Dame de Bétharram. Cet établissement scolaire privé est visé par quelque 200 plaintes déposées par des anciens élèves pour violences physiques, agressions sexuelles et viols commis pendant des décennies. François Bayrou est accusé d'avoir été au courant de certains agissements et d'avoir fermé les yeux alors qu'il était élu dans la région concernée. Comment fonctionnent les établissements scolaires privés en France ? Quels comptes doivent-ils rendre ? Comment renforcer les contrôles et éviter d'autres scandales Bétharram à l'avenir ? Avec : - Hélène Laubignat, présidente de l'Apel, Association des parents d'élèves de l'enseignement catholique sous contrat d'État- Ixchel Delaporte, journaliste autrice du livre et du documentaire : Les enfants martyrs de Riaumont, éditions Rouergue - Pierre Merle, sociologue, professeur émérite de sociologie à l'Institut National Supérieur du Professorat et de l'Éducation. Auteur du livre « L'élève humilié, l'école, un espace de non droit ? », éditions Puf.
RFI vous parle de deux villes collées l'une à l'autre, traversées par une rivière (l'Oubangui) et séparées par une frontière. Ces villes sont Zongo, la Congolaise, située en face de la capitale centrafricaine, Bangui. Cette situation crée beaucoup de mouvement à travers le fleuve, notamment pour les scolaires… Créée en 1971, Zongo possède quelques établissements scolaires et universitaires, mais ne dispose pas de toutes les facultés et filières. De nombreux élèves et étudiants traversent donc chaque jour en pirogue pour étudier à Bangui. C'est un parcours du combattant, avec d'interminables allers-retours durant les neuf mois de l'année scolaire. Le soleil se lève sur un fond doré au bord de la rivière Oubangui. Les premières pirogues convergent déjà vers le quai. Une dizaine de personnes se bousculent pour monter dans l'une des embarcations. Sac au dos, Zacharie Bodiko, un étudiant congolais, traverse pour aller étudier dans une université à Bangui.« Nous nous réveillons tous les jours à 5 h pour nous organiser. Mais la frontière s'ouvre officiellement à 7 h 30. Parfois, nous leur demandons une autorisation spéciale pour traverser à 6 h ou 6 h 30 afin d'arriver à l'heure aux cours. En termes de transport, nous payons 5 000 francs CFA chaque jour pour un aller-retour ».À lire aussiCentrafrique: un programme pour offrir une seconde chance scolaire aux jeunes de Berberati [1/3]Traverser pour apprendre, malgré les obstaclesL'un des deux piroguiers met le moteur en marche et le canoë avance à son rythme… La rivière Oubangui, tel un immense tapis scintillant, s'étend devant eux. Cette étudiante navigue chaque jour sur les eaux froides de l'Oubangui pour rejoindre sa classe : « Je m'appelle Milka Soubaye Kamoya, Congolaise. Avec la pirogue à moteur, la traversée dure 5 à 7 minutes. C'est un exercice difficile. Il y a des jours où l'on manque d'argent pour aller en cours, et d'autres où ça va ».Le mauvais temps entraîne régulièrement le naufrage des pirogues dans cette zone. Cet instant de frayeur, Milka le vit depuis trois ans. « S'il pleut, c'est difficile de traverser. Parfois, il arrive qu'il pleuve alors que nous sommes censés avoir cours le matin. Nous sommes bloqués, car les pirogues ne peuvent pas traverser. Nous sommes alors obligés d'être absents. Et parfois, après les cours du soir, s'il pleut, il n'y a pas moyen de rentrer ».On rit, on murmure, mais la peur est bien présenteMalgré les risques, Zacharie est déterminé à terminer ses études. « On nous signale régulièrement des noyades dans la rivière, mais nous sommes obligés de braver la peur. Nous ne nous contentons pas de tous ces risques. Nous nous engageons à 100 % chaque jour. On est déterminés. S'il faut finir le master dans ces conditions, on le fera ».Une fois à la berge, les élèves se précipitent pour descendre, puis chacun utilise un autre moyen de transport pour rejoindre son école. Plusieurs étudiants ayant suivi ce parcours étudient ou travaillent aujourd'hui dans des organismes à Bangui ou en RDC.À lire aussiAfrique: les 16 pays les plus avancés sur l'accès à l'éducation
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Comment un empereur romain peut-il transformer votre vie aujourd'hui ?Dans ce Book Club d'avril, je vous dévoile les enseignements intemporels tirés du chef- d'œuvre de Marguerite Yourcenar : « Les Mémoires d'Hadrien ».Découvrez comment :✅ Mieux vous connaître pour diriger et vivre avec authenticité.✅ Faire de la beauté une force essentielle dans votre quotidien.✅ Accepter sereinement la finitude pour vivre pleinement chaque instant.Ce roman magistral est bien plus qu'un livre historique : c'est une invitation à un voyage intérieur et transformateur