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Dans l'océan Indien occidental, c'est une mission scientifique de près de trois mois qui s'est achevée le 2 juillet dernier. Une quinzaine de chercheurs embarqués à bord du navire le Plastic Odyssée ont parcouru les mers entre l'île Maurice, Madagascar, les Seychelles et les Comores. Parmi les études menées, l'une, particulièrement importante pour la santé humaine, porte sur l'étude des bactéries pathogènes présentes sur les plastiques. Notre envoyée spéciale Sarah Tétaud a pu rencontrer Thierry Bouvier, le chef de cette grande mission océanographique. Cette mission, financée par l'Agence française de Développement et le Fonds français pour l'Environnement mondial, et pilotée par la Commission de l'océan Indien et l'IRD/CNRS, avait notamment pour objectif d'échantillonner les plastiques flottants en haute mer et dans les lagons ainsi que ceux échoués sur les plages pour mesurer précisément leur quantité, leur répartition, leur impact sur l'écosystème marin et leur dérive dans cette partie du globe. RFI : Thierry Bouvier, vous êtes actuellement en pleine campagne océanographique à bord du Plastic Odyssée avec toute une équipe de chercheurs. Vous-même êtes chercheur en microbiologie au CNRS et l'IRD pour le laboratoire Marbec. Vous êtes présentement affecté à l'Institut halieutique et des sciences marines à Tuléar à Madagascar. Sur quoi porte votre recherche actuellement ? Nous essayons de travailler sur les risques que présentent les plastiques en mer pour la santé humaine. Alors, il existe un certain nombre de risques, comme par exemple le risque chimique, puisque le plastique est connu pour relarguer les substances qui sont nocives pour notre santé. Mais il y en a d'autres, comme par exemple le risque microbiologique.Ce risque est un petit peu moins connu. Aujourd'hui, il y a plusieurs équipes dans le monde qui commencent à travailler sur son estimation. Et ça consiste en fait à essayer de voir si les micro-organismes qui se développent sur ces plastiques représentent un danger pour notre santé. Pourquoi est-il important de regarder ce risque associé au plastique en mer ? C'est intéressant parce que contrairement par exemple à des particules de bois sur lesquelles les bactéries se développent aussi, en mer, les plastiques, eux, ils ne vont pas se dégrader. Ils vont rester très très longtemps en mer et, en plus, ils vont circuler avec les courants marins. Donc en fait, si ces plastiques sont des véhicules, des sortes de radeaux à bactéries qui seraient dangereuses pour notre santé, ils pourraient les transporter sur de longues distances. Et bien sûr, il y a le risque pour la santé qui est le cœur de la question. Pourquoi ? Parce que ces plastiques, on sait que, et notamment les petits plastiques, sont ingérés par les animaux marins et donc ces bactéries qui se retrouveraient sur ces plastiques intégreraient la chaîne alimentaire jusqu'à la consommation humaine ? Alors, concrètement, comment vous procédez ? On met en œuvre plusieurs étapes. Évidemment, la première c'est de savoir si ces bactéries potentiellement dangereuses pour notre santé sont présentes sur le plastique. En quelle quantité sont elles-là ? Qui sont-elles ? Et puis aussi est-ce qu'elles ont cette capacité de rester vivantes et donc éventuellement d'être infectieuses. Donc ça, c'est un prérequis en fait à notre estimation du risque, de caractériser ces bactéries potentiellement pathogènes. Alors, il y a déjà des études qui ont montré que les bactéries qui vivent attachées sur des supports, sur des surfaces par exemple, bénéficient d'un environnement qui est un peu plus protecteur par rapport à leur vie libre, par exemple dans l'eau. Et donc on peut faire l'hypothèse que sur les plastiques, ces bactéries qui seraient potentiellement dangereuses pour l'homme, y trouveraient un refuge pour vivre ou survivre plus longtemps dans l'environnement marin. Lorsqu'on connaîtra leur identité, qu'on saura si elles sont vivantes ou mortes, et qu'elles sont potentiellement virulentes, on cherchera aussi à savoir si ces bactéries sont résistantes à certains antibiotiques qu'on utilise pour lutter contre les infections qu'elles peuvent nous provoquer. Sous combien de temps peut-on espérer avoir des résultats de ces expérimentations, de ces observations ? Les expérimentations sont en cours. Ça nécessite un certain nombre d'analyses qui prennent parfois un peu de temps. Mais disons que dans les six prochains mois, on aura déjà une bonne idée de ce qui se passe sur ces plastiques dans la région. Une autre étape, très importante, sera de savoir si ces bactéries qu'on va trouver éventuellement sur ces plastiques sont transférées vers les animaux qui consomment ces plastiques. Thierry Bouvier, votre équipe composée de 15 chercheurs et ingénieurs de toutes les zones océan Indien, à savoir de Madagascar, de la Réunion, Maurice, les Seychelles et la France métropolitaine, avait déjà obtenu certains résultats ? Oui, on a commencé déjà à avoir certains résultats et notamment aussi à travers le travail d'étudiants qui sont en thèse, notamment à Madagascar où on s'aperçoit qu'en fait ces plastiques hébergent certaines bactéries comme par exemple Escherichia Coli qui est bien connue pour provoquer des gastro-entérites ou par exemple aussi Staphylococcus Aureus aussi appelé staphylocoque doré, qui est connu pour créer par exemple des infections de peau. Et on a trouvé qu'en fait, ces bactéries sont à peu près une dizaine de fois plus abondantes sur les plastiques marins que dans l'eau de mer. Et un autre résultat majeur, c'est qu'on s'est aperçu qu'une fois que ces plastiques sont ingérés par exemple, par des poissons ou des holothuries (les concombres de mer), les bactéries se détachent des plastiques et se retrouvent dans la lumière intestinale et sur les parois intestinales de ces animaux. Et donc l'enjeu à venir sera de savoir si ces bactéries qui sont transférées vers les animaux restent dangereuses et infectieuses pour l'homme qui consomme ces animaux. Et on peut espérer avoir ces résultats sous combien de temps ? C'est un programme de recherche qui va durer à peu près trois à quatre années avec comme je disais tout à l'heure des étudiants qui sont en thèse. Et donc leurs résultats seront connus et publiés sous deux à trois ans. À lire aussiPollution plastique: le navire «Plastic Odyssey» fait escale aux Comores
Invité : - Jean-Louis Etienne, médecin-aventurier Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans de nombreux pays du monde, juillet et août sont les mois des grandes vacances ! Et même si le contexte économique ne permet pas à tout le monde de se déplacer, c'est tout de même la période où l'activité touristique est la plus intense… 1 milliard et demi de touristes ont parcouru le monde en 2024, ce chiffre augmente chaque année et ceux qui n'ont pas la chance d'en faire partie en rêvent ! Mais en 2025, selon l'Organisation mondiale du tourisme, 95% des vacanciers ont visité moins de 5% de la planète. Cette concentration a des impacts environnementaux et sociaux sur les lieux visés comme à l'est du Brésil dans la magnifique baie de Jericoa-coara où Emma Garboud nous emmènera dans un instant. Et est-ce que voyager, ce n'est pas autre chose que partir en quête de la plus belle photo sur Instagram ? Par exemple prendre le temps d'aller à la rencontre des populations locales comme dans le nord de la Thaïlande où une agence a créé des gites avec l'ethnie Karen ? Et faut-il aller au bout du monde pour déconnecter ? Avec Rodolphe Christin, sociologue pour Peut-on voyager encore ? Réflexions pour se rapprocher du monde publié chez Ecosociété. L'agence Thaïlande Autrement travaille depuis de nombreuses années avec l'ethnie Karen. Musiques diffusées dans l'émission - Samba de Raiz - Conselho - Sergio Mendes & Black Eyed Peas - Mas Que Nada.
Canicules extrêmes, incendies incontrôlables, inondations éclairs… le climat déraille et les catastrophes naturelles s'enchaînent à un rythme inquiétant. Face à l'urgence, la technologie peut devenir une précieuse alliée : satellites, capteurs thermiques, intelligence artificielle, drones… des outils capables d'anticiper, les pires crises climatiques. Comme le rappelle le hacker Gaël Musquet, la technologie ne doit pas nous faire oublier l'essentiel : réduire nos émissions de CO2.
Les 2/3 des Européens s'inquiètent des conséquences du changement climatique, mais sont de moins en moins motivés pour lutter à l'échelle individuelle, ils attendent des politiques publiques fortes. Transitions écologiques, mode d'emploi ! C'est un paradoxe qu'il est urgent de résoudre. D'un côté, il y a les sondages qui démontrent que les 2/3 des Européens s'inquiètent des conséquences de la dégradation de l'environnement et qu'ils attendent des politiques publiques fortes. De l'autre, il y a des décideurs politiques qui piétinent et même reculent face aux décisions structurantes à prendre pour réellement installer la transition écologique. Pourtant, l'observatoire Copernicus vient d'annoncer que le mois de juin a été le plus chaud jamais enregistré en Europe de l'Ouest, jusqu'à 46 degrés en Espagne et au Portugal. L'Europe brûle avec des feux de forêts précoces amplifiés par une sécheresse inédite, les scientifiques alertent sur l'ampleur des polluants éternels dans notre alimentation... « Gouverner, c'est prévoir, et ne rien prévoir, c'est courir à sa perte », disait Emile de Girardin. - Matthieu Auzanneau, directeur du Shift Project - Théodore Tallent, chercheur et enseignant en Science politique, doctorant au Centre d'études européennes et de politique comparée à Sciences Po (Paris) Ses recherches portent sur l'acceptabilité de la transition écologique, le backlash écologique et les raisons qui peuvent mener les citoyens – notamment dans certains territoires – à exprimer du mécontentement à l'égard des politiques climatiques - Lucas Verhelst, architecte-urbaniste et Fondateur du think tank LUSEA, un laboratoire d'idées sur le sol et la transition pour Manuel d'un monde en transition (s) paru aux Éditions de l'Aube. Musiques diffusées dans l'émission - ALA.NI - Summer Meadows - Badjero - Aï Ménina.
Il y a 40 ans, le 10 juillet 1985, le Rainbow Warrior coulait dans la baie d'Auckland, victime des bombes des services secrets français. Le navire affrété par Greenpeace s'apprêtait à partir perturber les essais nucléaires menés par Paris dans les attols polynésiens. Une opération secrète, devenue une affaire d'État grâce au travail des journalistes de l'époque. Avec : - Edwy Plenel, journaliste, cofondateur de Mediapart, auteur de La Troisième Équipe. Souvenirs de l'affaire Greenpeace (Points-Seuil) - Jean Guisnel, journaliste, a suivi l'affaire Greenpeace pour le quotidien Libération, éditorialiste à Pyrénées Presse, co-auteur des mémoires d'Alain Mafart, Carnets secrets d'un nageur de combat : Du Rainbow Warrior aux glaces de l'Arctique (Albin Michel).
Avec une météo particulièrement clémente et l'augmentation des capacités de production, le solaire a permis de produire près de 25 % de l'électricité européenne en juin. Une proportion plus importante que le nucléaire. Le mois dernier, dix pays européens ont même réussi à se passer complètement du charbon.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec Audrey Garric, journaliste environnement au Monde nous parle de la baisse des émissions de gaz à effet de serre qui marque le pas en France, avec les chiffres 2025, le rapport du Haut Conseil pour le climat Thuy Duong Nguyen (service vietnamien) sur la salinisation du delta du Mekong, dans le sud du Vietnam, une des régions du monde les plus menacées par le changement climatique Simon Rozé (service environnement) sur la réunion de l'Onu à Séville (qui s'est tenue la semaine dernière) sur le financement du développement Géraud Bosman (service environnement de RFI) revient sur une étude australienne financée par The Metals Company qui confirme les impacts de l'exploitation minière des fonds marins. Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette Avec Alice Bauchat (Bolivie) pour son film « La sécheresse s'amplifie en Amazonie» Chronique culture de Caroline Filliette sur le Festival Avignon. Musiques diffusées pendant l'émission - TriggerFinger - I follow rivers - Brian Sigu - Dudu.
Dans cet épisode des Femmes de l'Ouest, nous partons à la rencontre de Louise, créatrice de la marque LOUTY, qui a quitté Paris pour revenir en Bretagne et développer son univers de mode féminine.Louise nous raconte son parcours atypique : issue d'une famille de médecins et pharmaciens, elle a dû convaincre ses parents de la laisser suivre sa passion pour la création textile. Formée à Nantes puis à Paris, elle a travaillé dans différentes marques avant de créer sa première robe en 2016, celle qui deviendra l'iconique "robe Lou" de sa marque.Au fil de cette conversation, Louise partage les hauts et les bas de l'entrepreneuriat : le développement de sa marque de personnalisation textile, l'explosion sur les réseaux sociaux, mais aussi la période difficile où elle a tout arrêté pendant deux ans après avoir eu ses deux filles.Elle nous parle avec sincérité de la difficulté d'articuler maternité et entrepreneuriat, du manque de soutien familial initial, et de cette pression sociale qui pousse à "avoir un vrai travail". Louise évoque aussi sa relation particulière à l'océan Atlantique, cette liberté qu'elle y trouve et qui influence sa créativité.Aujourd'hui installée dans le Finistère, Louise a repris son activité avec un nouvel atelier et développe des projets, notamment une future gamme enfant. Un témoignage inspirant sur l'importance d'écouter sa voix intérieure et de persévérer dans ses rêves.
Fessenheim… en Alsace, à la frontière avec l'Allemagne. Un village surtout connu en France pour sa centrale nucléaire. Ses deux réacteurs ont été arrêtés en 2020, promesse de campagne des présidents François Hollande, puis Emmanuel Macron, avant que ce dernier ne décide en 2022 de relancer l'atome. Contrairement à d'autres réacteurs du parc, qui en compte 57, la centrale de Fessenheim n'a pas eu de sursis. Elle était la plus vieille en activité. Elle a été fermée. L'histoire nucléaire de ce village alsacien n'en est pour autant pas terminée. Le démantèlement ne devrait pas être finalisé avant 2041. (Rediffusion) « Fessenheim : comment démanteler une centrale nucléaire ? » Un Grand reportage de Pauline Gleize. À écouter aussiArrêt sur Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire de France ferme
L'été rime de plus en plus souvent avec canicule. La Grèce est actuellement touchée par une vague de chaleur qui pousse les autorités à fermer l'Acropole d'Athènes à certaines heures. Face à cela, le recours à la climatisation est de plus en plus massif : il y a aujourd'hui plus de 2 milliards d'appareils dans le monde, un chiffre qui devrait doubler d'ici 2040. Mais la clim est extrêmement énergivore. À quel point la climatisation aggrave-t-elle le réchauffement climatique ? Quelles alternatives face à des températures pouvant monter à 50 degrés ? Pour en débattre : - Vincent Viguié, chercheur en économie du climat au Centre International de Recherches sur l'Environnement et le Développement de l'École nationale des Ponts et chaussées - Karine Hurel, déléguée générale adjointe à la Fédération nationale des agences d'urbanisme (Fnau) - Philippe Laurent, maire de sceaux, vice-président de l'Association des maires de France (AMF) et président du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT).
Le financement de la transition écologique dans les pays du Sud s'impose comme l'un des grands enjeux économiques de notre époque. Lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence, experts et décideurs ont rappelé l'ampleur des besoins et esquissé des solutions. Malgré les efforts actuels, le fossé entre les promesses et la réalité reste immense. Alors que l'on estimait il y a encore quelques années à quelques centaines de milliards le coût de la transition écologique dans les pays du Sud, les besoins explosent. Il faudrait désormais mobiliser 2 000 milliards de dollars par an, soit l'équivalent du PIB de l'Italie. Un objectif qui semble lointain, malgré les engagements pris lors de la COP29 à Bakou, qui prévoient de tripler les financements climatiques pour atteindre 300 milliards annuels d'ici à 2035. Car les pays du Sud sont à la fois les plus vulnérables face au changement climatique et contraints d'inventer un modèle de développement sobre en carbone, sans reproduire les erreurs des pays industrialisés. Pour y parvenir, il ne s'agit pas d'opposer croissance économique et protection de l'environnement, mais de les concilier intelligemment. À lire aussiCOP29: des pistes innovantes pour financer l'aide climatique Le modèle costaricien : l'exemple d'un cercle vertueux Le Costa Rica est la preuve que tout cela est possible. Dans les années 1980, ce petit pays d'Amérique centrale avait perdu 80% de sa couverture forestière au profit de l'agriculture. Quarante ans plus tard, la forêt couvre de nouveau 55% du territoire. Cette réussite a été permise grâce à des choix audacieux, comme l'innovation verte, la mise en place de taxes environnementales, la rémunération des services rendus par les écosystèmes, et l'implication directe des citoyens dans le financement. Aujourd'hui, ce modèle porte ses fruits. L'écotourisme génère des milliards, la croissance économique est au rendez-vous, et le pays séduit les investisseurs par sa stabilité écologique. Une trajectoire qui démontre qu'une transition réussie est possible, à condition d'allier volonté politique, coopération et innovation. Lever les freins : vers une transformation structurelle du financement Mais pour appliquer ce système à l'échelle planétaire, plusieurs freins demeurent. Les investisseurs privés restent frileux, percevant la transition écologique comme un coût immédiat plutôt qu'un investissement durable. Les financements actuels prennent souvent la forme de prêts, alourdissant la dette des États bénéficiaires. À cela s'ajoutent la complexité des procédures et la lenteur des décaissements, qui freinent l'essor des projets. Pour changer de cap, plusieurs pistes ont été évoquées à Aix-en-Provence. Réformer les banques de développement pour qu'elles financent davantage les stratégies nationales, promouvoir la finance mixte public-privé pour mutualiser les risques, et investir dans l'éducation pour créer un socle économique et humain durable. L'argent existe. Les solutions aussi. Reste à aligner les volontés, les politiques et les capitaux.
La sécheresse gagne une grande partie de la France. Selon Météo-France, les sous-sols sont plus secs que la normale, Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, il est dorénavant interdit de fumer dans plusieurs lieux publics, comme les plages et aux abords des écoles. Une mesure qui permettra peut-être de limiter les dégâts causés à l'environnement par les mégots. Chaque minute, dans le monde, 8 millions de mégots sont jetés. À Paris, un plan massif a été lancé pour lutter contre les mégots qui nuisent au climat et à la propreté urbaine. Un plan qui passe encore et toujours par de la sensibilisation. À lire aussiHexacup: ils ramassent des mégots pour pouvoir jouer au foot
Ecoutez C'est notre planète avec Jean-Marc Jancovici du 05 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans un nouvel épisode Parole de Pro, les épisodes hors-série du Chantier dans lesquels j'interviewe des professionnels de la rénovation et de la maison, qui vous partagent leurs conseils d'experts sur LE sujet sur lequel ils sont spécialisés. Aujourd'hui on parle d'un sujet ultra-important, la peinture et plus particulièrement la peinture bas carbone. Pour en discuter, je suis avec Mathilde et Nicolas de Seigneurie, marque française de référence qui allie performance de leurs peintures, très grand (et beau !) choix de couleurs, et empreinte carbone abaissée de leur gamme de peintures et de laques. Dans cet épisode on parle de sujets hyper intéressants et je suis sûre que vous allez noter plein de conseils pour vos projets travaux et peinture ! Bonne écoute
La canicule a occupé une large partie du temps d'antenne des chaines de télévision ces derniers jours mais pour dire quoi ? Les plateaux se sont parfois transformés en chaînes de téléachat d'objets supposés rafraichissants, les journalistes doivent meubler en prodiguant des conseils presque infantilisants, les JT, eux, sont souvent remplis d'images d'enfants joyeux à la plage, suivies quelques secondes plus tard, d'images d'incendie et des effets dramatiques des orages sur le terrain. M ...
Le progrès a-t-il un avenir ? Je parle de la poussée de fièvre technologique des dernières décennies qui ne tient pas compte des ressources limitées de notre planète et qui entretient l'illusion que nous allons tout résoudre avec des algorithmes. Réponses avec nos invités. Ce matin en venant à la radio, je suis passée devant la vitrine d'un opticien. J'ai été attirée par un panneau géant qui vantait les performances de nouvelles lunettes intelligentes connectées. Je vous explique, ces lunettes de soleil connectées à votre téléphone répondent à vos ordres. Vous pouvez passer des appels, envoyer des messages, filmer ou prendre des photos grâce à une caméra placée à côté de vos yeux, écouter de la musique avec des hauts parleurs directement connectés à la boîte crânienne, tout simplifier grâce à l'intelligence artificielle. Et là, vous vous dites génial, ça s'achète où ? ça coûte combien ? Car toutes ces nouvelles technologies nous fascinent ! Mais est-ce que nous ne pourrions pas, au moins le temps d'une émission, nous interroger sur les conséquences de cette accélération de l'innovation dans tous les domaines ? Est-ce vraiment le juste chemin du progrès pour l'humanité ? C'est ce dont nous allons parler avec nos invités. Avec le philosophe et économiste sénégalais Felwine Sarr en duplex depuis Dakar. - Philippe Bihouix en duplex depuis Bordeaux pour le livre L'Insoutenable Abondance. Faut-il croire les prophètes du progrès ? paru chez Tracts Gallimard - Hervé Krief du collectif Écran Total dont le but est de développer des résistances à l'informatique et à sa logique gestionnaire pour son ouvrage Internet ou le retour à la bougie paru chez Écosociété. Musiques diffusées dans l'émission - Damon Albarn & The Orchestra of Syrian Musicians - Out of time - White Corbeau - Libère.
Le Journal en français facile du mercredi 2 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BoEj.A
Limiter le réchauffement climatique à + 1,5 °C est désormais impossible. Pour ne pas dépasser les 2 °C et espérer tenir le second objectif de l'accord de Paris, il faut agir vite. Or, depuis début 2025, la transition climatique et les questions environnementales se trouvent piétinées dans le chaos géopolitique créé par l'administration Trump.En France, plusieurs camps politiques – du parti présidentiel Renaissance jusqu'à l'extrême droite – s'en prennent aux normes environnementales en vigueur : suppression des zones à faibles émissions (ZFE), loi Duplomb sur l'agriculture, volonté de plusieurs figures du parti Les Républicains (LR) et du Rassemblement national (RN) de supprimer l'Agence de la transition écologique (Ademe), entre autres. Ces initiatives s'inscrivent dans un contexte global de recul de l'action climatique et écologique, qui s'est accéléré avec la réélection de Donald Trump aux Etats-Unis, mais qui avait commencé dès l'irruption de la guerre en Ukraine, en février 2022.Comment mesurer ce ralentissement de la lutte climatique ? Quelles en sont les causes ? Et quel avenir ce renoncement dessine-t-il ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Mathieu Goar, journaliste au service Planète du Monde, répond à ces questions.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia, réalisé par Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2025, extrait du discours de politique générale de François Bayrou à l'Assemblée nationale, le 14 janvier 2025, extrait du discours d'Emmanuel Macron à l'ouverture du Sommet des océans, le 9 juin 2025.Cet épisode a été publié le 2 juillet 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec - Mickael Correia de Médiapart nous présentera son reportage sur la canicule vécue sur une aire de gens de voyages - Vasile Damian sur les demandes/souhaits des ONG environnementales de Roumanie formulées au nouveau gouvernement - Pauline Gleize du service environnement de RFI nous parlera de la question de la protection des travailleurs face à la chaleur (y compris en Afrique). - Igor Strauss. Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Abubakar Sadiki de RDC pour son film De pâturages en déchets De pâturages en déchets • ePOP Network Chronique Clubs Rfi de Sébastien Bonijol : Cette semaine, l'actualité des clubs nous emmène au Bénin, au nord-ouest du pays plus précisément dans la ville de Ouaké à la frontière avec le Togo, située à 500 kilomètres de Cotonou, la capitale économique du pays. Les membres de ce club se sont lancés dans un projet ambitieux : celui de reboiser leur ville... Musiques diffusées pendant l'émission B.B King - Summer in the city Dj Pimp & Bejo - Tutti Frutti PLRFI.
Dans cet extrait, Nardin Rozenn revient sur les leviers existants pour pousser la transition alimentaire côté consommation, en temps de fatigue écologique. Retrouvez aussi l'épisode en entier : #Palmarès 2025 - Comment continuer à faire avancer la transition alimentaire en temps de crise ? Avec Ève Fouilleux, Boris Tavernier, Rozenn Nardin & Frédéric Revol À l'occasion de la deuxième édition du Palmarès Écotable, Fanny Giansetto et 4 invités ont ouvert l'évènement avec un podcast enregistré en live. Cette journée a été l'occasion de reconnaître le travail de personnes qui s'engagent toute l'année pour une restauration et des systèmes alimentaires plus durables, mais aussi un moment d'échange d'idées, d'inspiration, pour continuer à y croire dans l'instabilité qui caractérise la période que nous vivons aujourd'hui. Alors face aux grands renoncements écologiques de la part des politiques nationales, face aux crises géopolitiques multiples, face à l'inflation et la crise économique, comment rester engagé et continuer à croire et oeuvrer pour une transition généralisée de notre système alimentaire ?Quatre intervenants se sont emparés du micro pour en discuter : Ève Fouilleux, directrice de recherche en sciences politiques au CNRS à MontpellierRozenn Nardin, directrice innovation et anticipation chez Citéo, entreprise en charge d'aider tous les acteurs de la filière à mieux réduire, réemployer et recycler les emballages de la restauration.Boris Tavernier, fondateur de l'association VRAC, député de la 2e circonscription du Rhône et porteur d'un projet de sécurité sociale de l'alimentation à l'assemblée nationale. Frédéric Revol, agriculteur et agronome, fondateur du Domaine des Hautes Glaces, en Isère. Retrouvez les Hautes Glaces ici.
À l'occasion de la deuxième édition du Palmarès Écotable, Fanny Giansetto et 4 invités ont ouvert l'évènement avec un podcast enregistré en live. Cette journée a été l'occasion de reconnaître le travail de personnes qui s'engagent toute l'année pour une restauration et des systèmes alimentaires plus durables, mais aussi un moment d'échange d'idées, d'inspiration, pour continuer à y croire dans l'instabilité qui caractérise la période que nous vivons aujourd'hui. Alors face aux grands renoncements écologiques de la part des politiques nationales, face aux crises géopolitiques multiples, face à l'inflation et la crise économique, comment rester engagé et continuer à croire et oeuvrer pour une transition généralisée de notre système alimentaire ?Quatre intervenants se sont emparés du micro pour en discuter : Ève Fouilleux, directrice de recherche en sciences politiques au CNRS à MontpellierRozenn Nardin, directrice innovation et anticipation chez Citéo, entreprise en charge d'aider tous les acteurs de la filière à mieux réduire, réemployer et recycler les emballages de la restauration.Boris Tavernier, fondateur de l'association VRAC, député de la 2e circonscription du Rhône et porteur d'un projet de sécurité sociale de l'alimentation à l'assemblée nationale. Frédéric Revol, agriculteur et agronome, fondateur du Domaine des Hautes Glaces, en Isère. Retrouvez les Hautes Glaces ici.
Le Journal en français facile du mardi 1er juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bo2q.A
durée : 00:57:43 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Si le tout-à-l'égout permet de mettre à distance urines et excréments, des alternatives à ce système d'évacuation sont parfois développées, pour des raisons écologiques et économiques. Ces innovations requièrent cependant un changement de paradigme culturel... - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marine Legrand Chargée de recherche au laboratoire Eau, Environnement et Système urbain de l'Ecole nationale des ponts et chaussées. ; Camille Salaün Doctorante au sein de l'UMR G-EAU et assistante de recherche auprès de la "Chaire Eau pour Tous" AgroParisTech-Suez.; Gabriel Bortzmeyer Critique et professeur de cinéma et de littérature en classe préparatoire. Membre de la revue Débordements et de la revue Les temps qui reste.
En partenariat avec le fonds Nouveau Monde, on vous propose chaque mois une capsule méditative. Ce mois-ci, Ilios Kotsou nous invite à nous sentir partout chez nous en cultivant la sagesse des petits gestes. Ilios a cofondé l'association Emergences, et Prezens, une application de méditation pour prendre soin de sa santé mentale. Belle écoute ! ☀️ ---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Pour retrouver la journée mondiale de la méditation.Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Cet épisode est un extrait du podcast publié lundi dernier. En moins de 10 minutes, il te permettra de capter les plus beaux messages de l'épisode avec Isabelle Susini.Un extrait qui je l'espère, remplacera Instagram pendant ta pause de 10mn, se retrouvera dans tes oreilles avant de t'endormir, ou à ton réveil pour commencer ta journée dans la joie. Si ce passage te plait et que tu as envie d'en connaître plus sur mon invitée de la semaine, l'épisode en entier t'attend chaudement sur Nouvel Œil.
Comment êtes-vous habillé aujourd'hui ? Où ont été fabriqués vos vêtements et dans quelles conditions ? Ces questions prennent de plus en plus de place dans nos têtes avec la multiplication des reportages sur les coulisses de la fast fashion, ces enseignes de mode éphémère qui mettent en vente des milliers de modèles différents à des prix très bas. Nous avons tous vu ces montagnes de vêtements usagés aux abords de certaines villes africaines ou asiatiques… Oui mais acheter un vêtement, c'est un plaisir et quand il n'est pas cher, c'est accessible à tous ! En plus une véritable économie s'est développée dans les pays du Sud autour de ces surplus de vêtements occidentaux, comme vous le verrez dans un instant au Cameroun. Alors, les ONG multiplient les rapports, les pouvoirs publics tentent de légiférer, des entreprises développent des alternatives en France. Nous vous emmènerons en région Rhône Alpes découvrir la marque 1083 qui fabrique des jeans 100% français et l'usine Nouvelles fibres qui fabrique du tissu à partir de vêtements recyclés. Reportage de Clémentine Méténier. Avec l'éclairage de Hatem Sedkaoui, membre fondateur de la Fédération de la mode circulaire. Musique diffusée pendant l'émission BabySolo33 - Fashion Victime.
Alors que l'été approche et que les plus chanceux programment leurs vacances, nous avons pensé que c'était le bon moment pour s'interroger sur le voyage. Il y a les chiffres bien sûr : 1,4 milliard de personnes ont quitté leur pays avec un objectif de loisirs en 2024. Le Moyen-Orient et l'Afrique ont attiré plus de monde qu'avant la pandémie de Covid. Mais c'est l'Europe qui reste la destination préférée des touristes puisqu'elle en accueille la moitié ! Chaque année, nous sommes de plus en plus nombreux à prendre l'avion et à partir vers des destinations qui nous font rêver… C'est un luxe, bien sûr, car l'essentiel de l'humanité ne voyage pas mais n'a pas qu'un coût financier, il y a aussi un prix environnemental et social à payer même s'ils sont cachés… Avec Nassira El Moadem, journaliste pour son livre Et si on rentrait au bled en train ? et la philosophe Juliette Morice pour son ouvrage Renoncer aux voyages (PUF). Musiques diffusées pendant l'émission Chris de Burgh - Tourist Attraction Kokoroko - Sweetie.
Découvrez des entrepreneurs visionnaires primés aux Trophées Europe 1 de l'avenir, qui réinventent la santé, l'environnement et la solidarité avec des solutions concrètes et inspirantes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Perdue au milieu de l'océan Pacifique, l'île de Pâques, aussi appelée Rapa Nui, est aujourd'hui assaillie par le plastique : des résidus de bidons, des bouées, des cordes, des bouchons en plastique, mais surtout des millions de microparticules de plastique fragmentées par le brassage en mer. Situé en plein dans le gyre du Pacifique Sud, un puissant courant tourbillonnant, ce petit territoire chilien voit s'échouer sur ses côtes 500 déchets par heure. Ils viennent du continent, mais aussi des bateaux qui pêchent en grandes quantités dans la zone. Également connue pour ses moai, Rapa Nui accueille chaque année des milliers de touristes qui génèrent eux aussi des tonnes de déchets. «À l'île de Pâques, des statues mythiques aux tourbillons de déchets plastiques», un Grand reportage de Naila Derroisné.
Qu'est-ce que l'espoir et dans quoi réside t'il ? Isabelle Susini nous partage sa vision.Ce passage est un extrait du podcast publié lundi dernier - l'épisode en entier t'attend chaudement sur Nouvel Œil. Belle écoute ! ☀️---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Pour retrouver la journée mondiale de la méditation.Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
L'écoute active est un pilier fondamental de la communication efficace en entreprise. Elle permet de mieux comprendre les idées et perspectives de chacun, et de créer un environnement de travail harmonieux et motivant. Pourtant, beaucoup d'entreprises peinent encore à l'optimiser. Découvrez les résultats fascinants d'un sondage LinkedIn réalisé auprès de 2 377 professionnels et explorez des pistes concrètes pour améliorer cette compétence essentielle.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec : - Célia Quilleret de France Inter - Amanda Morrow de la rédaction anglophone de RFI - Simon Rozé du service environnement de RFI - Igor Strauss du service environnement de RFI. Chronique ePOP Science / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Elodie Fache, anthropologue de l'environnement (IRD) pour le film Du poisson, du plastique et des hommes, réalisé aux Iles Fidji par Guilhem Chamboredon. Des poissons, du plastique et des hommes • ePOP Network. Chronique médias d'Anne-Sophie Novel Musiques diffusées pendant l'émission Scremin Jay Hawkins - I shot the sheriff Obongjayar - Sweet Danger.
Ce mois-ci, le ciel met en scène Mercure, à son élongation maximale le 4 ; Saturne et Neptune qui s'approchent à 1 degré sous l'oeil de la Lune dans la nuit du 15 au 16 ; notre satellite qui passe près des Pléiades (le 20), puis de Vénus (22), et de Mars (28) ; et Pluton, qui passe à l'opposition le 24. Les éphémérides radio de Ciel & Espace sont présentées par David Fossé et réalisées par Nicolas Franco.
Le Parc zoologique de Paris sensibilise ses visiteurs à la question de l'intelligence animale à travers une exposition. Le terme "intelligence" est utilisé au pluriel pour refléter sa diversité. Les exemples vont de la stratégie collective des loups à la capacité des otaries de lire leur prénom. Dans le podcast "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Isabelle Susini est comme tout le monde, comme toi, comme moi, comme nous. Elle a commencé à avancer dans la vie en suivant un parcours classique, sérieux, avec des ambitions réconfortantes. Mais ça sonnait faux. C'est en voyageant sur les routes du monde qu'elle a puisé le courage nécessaire à la prise de décision qui allait changer sa vie. Depuis plus de 25 ans, Isabelle Susini dédie son avenir à la protection de l'environnement.Avec le mouvement "1% pour la planète", elle fédère et permet le lien entre les mondes qui s'opposent. Ce qui permet ça ? La philanthropie : un réseau d'entreprises qui s'engagent à reverser 1% de leur chiffre d'affaires annuel à des organisations de protection de l'environnement.Avec Isabelle dans cet épisode, on parle de philanthropie, d'espoir et de sens.J'espère que cette écoute t'invitera à concilier actions et convictions.Belle écoute ! ☀️ ---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Pour retrouver la journée mondiale de la méditation.Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Dr. Laura Bricman est médecin rhumatologue, micronutritionniste et spécialisée en rhumatologie intégrative et métabolique.https://dr-laurabricman.com/https://www.youtube.com/@LauraBricman-M%C3%A9tabomedCHAPITRES :0:00 Introduction00:57 Métabolisme et Articulations18:37 Les Traumatismes Articulaires et leurs Conséquences32:32 Nutrition et Santé Articulaire45:34 Approche Holistique de la Santé Articulaire1:01:59 L'Inflammation Chronique et ses Effets1:03:11 Gluten et santé intestinale1:05:34 Maladies auto-immunes et perméabilité intestinale1:09:57 Génétique et maladies auto-immunes1:11:39 Environnement et maladies auto-immunes1:21:45 Acide urique et goutte1:25:52 Arthrose et facteurs de risque1:34:20 Différences homme-femme en arthrose1:35:26 Ostéoporose et santé osseuse1:46:09 Alimentation et santé articulaire1:47:22 Collagène et articulations1:55:16 Acide hyaluronique et entretien articulaire1:57:37 PRP et cellules souches2:01:22 Futur des maladies articulairesBIOMÉCANIQUE :InstagramYoutubeSpotifyApple PodcastsDiscordWebsiteLa Lettre Biomécanique™ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Éveiller les imaginaires tout en abordant des enjeux contemporains : tel est l'objectif de la Saison d'art qui se déroule depuis près de 20 ans au Domaine de Chaumont-sur-Loire, situé à 200 km au sud de Paris. Pour cette nouvelle édition, une quinzaine d'artistes, français et internationaux, sont invités à investir le château, ses parcs aux cèdres centenaires, ainsi que ses granges et ses écuries, afin de tisser un dialogue à la fois enchanteur et engagé entre l'art et la nature.
Rencontres au sommet, à l'occasion du Chamonix Film Festival, autour de la montagne, un terrain de jeux et d'enjeux pour les grimpeurs et passionnés du monde entier. Connue pour être la capitale mondiale de l'alpinisme, la ville de Chamonix a accueilli pour la cinquième année le Chamonix Film Festival, qui s'est tenu à la mi-juin au pied du Mont-Blanc, plus haut sommet d'Europe et point culminant des Alpes, réunissant passionné.e.s de montagne et d'aventure : réalisateurs-réalisatrices, alpinistes et grimpeurs-grimpeuses de tous bords. En 2019, l'alpinisme a été classé au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'Unesco ; car la montagne est une culture à part entière, un monde d'altitude, de neige et de roche où la manière de se mouvoir, d'appréhender son environnement, de vivre, écrire les éléments sont singuliers, à part. Les figures historiques, les pionniers passés par Chamonix, y ont laissé des traces et transmis des valeurs propres à la montagne. Terrain de jeu des alpinistes, la montagne est aussi un terrain d'enjeux sociétaux, économiques ou environnementaux, à commencer par le réchauffement climatique. En haute montagne, parmi des glaciers qui reculent et des roches qui s'effondrent, la hausse des températures est encore plus significative qu'en contrebas et elle se vit au quotidien. De plus en plus de récits, de films et de grimpeurs s'emparent d'ailleurs de cette question, conscients que la montagne est fragile et en première ligne. Autre enjeu : l'accès aux sommets. En effet, depuis que l'alpinisme ou les sports d'hiver se sont développés dans les Alpes ou ailleurs, force est de constater que la montagne est devenue un espace de privilèges, masculin souvent, de blanchité aussi, un domaine d'altitude réservé à ceux qui ont les moyens de l'arpenter, de s'y projeter. Mais des passionné.e.s cherchent à la partager, perpétuant ainsi cet idéal, né à l'après-guerre en France, d'une montagne pour tous et toutes. Car les gens de montagne le savent, pour y avoir grandi ou s'y être trouvé : la montagne fait du bien ; elle est un environnement précieux, un refuge naturel qui soigne le corps et l'âme, loin du fracas du monde. Avec : La grimpeuse et ex-championne d'escalade Liv Sansoz, qui a notamment achevé, en 2018, son rêve de gravir les 82 sommets des Alpes de plus de 4 000 mètres. Récemment, elle s'est envolée du deuxième plus haut sommet du monde, le K2, en parapente biplace L'alpiniste prodige Benjamin Védrines, âgé de 32 ans, qui affiche un palmarès insolent de premières en montagne, comme à l'été 2024 avec le record d'ascension du K2 sans oxygène ou, plus récemment, la première ascension en solo et en hiver de la voie BASE des Drus Le réalisateur français et fondateur du Chamonix Film Festival Christophe Raylat. À lire aussiAlpinisme : la prouesse de Liv Sansoz qui a gravi le K2 sans oxygène et en duo En savoir plus : Sur le Chamonix Film Festival qui s'est tenu à la mi-juin à Chamonix Sur Chamonix, capitale mondiale de l'alpinisme Sur Benjamin Védrines, le champion français de la grimpe et parrain du Festival Sur Liv Sansoz et son film K2 mon amour, prix du Public au Chamonix Film Festival Sur les Éditions Guérin, basées à Chamonix, qui publient, depuis 30 ans, récits de montagne et d'alpinisme. À écouter aussiAlpinisme: la voie des cimes
Cet épisode est un extrait du podcast publié lundi dernier. En moins de 10 minutes, il te permettra de capter les plus beaux messages de l'épisode avec Stéphanie Brillant.Un extrait qui je l'espère, remplacera Instagram pendant ta pause de 10mn, se retrouvera dans tes oreilles avant de t'endormir, ou à ton réveil pour commencer ta journée dans la joie. Si ce passage te plait et que tu as envie d'en connaître plus sur mon invitée de la semaine, l'épisode en entier t'attend chaudement sur Nouvel Œil.
L'Afrique du Sud a signé en 2014 un accord avec le Mozambique, pour s'accorder sur la stratégie de conservation du parc Kruger qui chevauche la frontière, et fait partie, avec le Zimbabwe, du nouveau parc transfrontalier du Grand Limpopo. Ce genre d'accord permet notamment de s'accorder sur les standards de sécurité face au braconnage. Une collaboration qui permet aussi le déplacement d'animaux sauvages d'un pays à un autre, pour repeupler des parcs dans le besoin, et rééquilibrer l'écosystème. C'est dans ce contexte que l'Afrique du Sud vient ce mois de juin de donner dix rhinocéros noirs au Mozambique qui en manque cruellement. Billie est un rhinocéros sud-africain. Une femelle d'environ une tonne placée dans un box en métal, direction le Mozambique. « Normalement, on ne donne pas de noms à nos animaux, mais ils en auront un pour le transport. Si quelque chose se passe mal sur la route, on doit pouvoir les identifier », explique Vuyiswa Radebe, qui travaille pour Ezemvelo KZN Wildlife, l'organisation qui gère les parcs publics de la région. Elle est venue assister à cette opération hors norme. « Le déplacement en lui-même est très éprouvant, mais on sait pourquoi on le fait, c'est pour leur survie. Nous avons besoin d'avoir plein de petites Billie partout dans le monde, et j'ai hâte d'entendre leurs histoires », confie-t-elle. Et c'est tout l'objectif. L'Afrique du Sud, et particulièrement ce parc Hluhluwe, est le berceau des rhinocéros africains. Antony Alexander et la fondation Peace Park coordonnent donc des relocalisations d'animaux sauvages. « Peace Parks n'a commencé à soutenir le gouvernement mozambicain qu'il y a dix ans. On devait d'abord prendre le temps de rétablir des bons systèmes de sécurité là-bas. Et de s'assurer que l'environnement était adapté pour faire venir des animaux sauvages », raconte-t-il. Des transferts qui se multiplient ces dernières années, notamment grâce à des techniques qui évoluent, explique Kester Vickery, de la fondation Conservation Solution. Il rentre à peine du Rwanda, où il a déplacé 70 rhinocéros sud-africains en avion. « Nous pouvons maintenant déplacer des animaux en gros groupes sur une durée de 48 heures, en toute sécurité. C'est plus ou moins le temps qu'il faudra pour déplacer ces rhinos jusqu'à Zinave », détaille-t-il. Zinave, c'est le parc mozambicain qui s'apprête à recevoir Billie et les autres. Pendant près de 40 ans, ce parc n'avait plus aucun rhinocéros. Ils sont de retour depuis peu grâce à une autre opération de ce genre. Drapeau mozambicain brodé sur sa veste, le vétérinaire Hagnasio Chiponde s'apprête à prendre la route : « Je représente la Wildlife Mozambique Alliance, et le pays en général. Nous cherchons à développer notre population de rhinos. Je suis fier de faire partie de l'équipe. » Les dix rhinocéros sont arrivés sains et saufs à Zinave. L'objectif, c'est donc de faire grandir cette population, pour ensuite en envoyer dans d'autres parcs du Mozambique, et ainsi repeupler le pays entier. À lire aussiRéintroduction de dix rhinocéros au Mozambique: une opération à haut risque [2/3]
Dans les régions menacées par les ouragans, les conséquences des coupes budgétaires menées par l'administration Trump au sein de la Fema, l'agence fédérale responsable de répondre aux catastrophes climatiques, suscitent l'inquiétude. Le pays pourra-t-il faire face ? De notre envoyé spécial à Statesboro, Il n'y a qu'une seule route pour accéder à l'île de Tybee, en Géorgie. Derrière la plage, des restaurants, bars et magasins touristiques. Quelques rues plus loin, Joachim Kelly tond sa pelouse. Il vit ici une partie de l'année. L'éventualité d'un ouragan et une baisse du budget de la Fema l'inquiètent. « Il y a beaucoup de personnes qui ne pourront pas reconstruire leur maison si la Fema ne fournit pas l'argent qu'elle devrait. Ils ne vous donnent pas une valise remplie d'argent, pas une somme excessive. C'est une somme estimée responsable à recevoir après une tempête », témoigne-t-il. Il estime que l'agence était loin d'être parfaite, mais la politique actuelle n'est pas la façon de régler le souci. « L'agence devrait être réorganisée. Mais pas par Donald Trump et son gouvernement. Tout ce que j'ai vu qu'ils ont fait a été mal réalisé. Aucune bonne chose ne va sortir de ce gouvernement », redoute-t-il. En plus d'apporter une aide financière aux particuliers, la Fema peut aider les villes ou les comtés. Jonathan Mccollar est le maire de Statesboro, une ville de quelque 35 000 habitants à plus d'une centaine de kilomètres, dans les terres. « On fait très attention à ce qu'il se passe depuis les annonces des coupes pour la Fema. Notre plus importante inquiétude est ne pas pouvoir se préparer et se remettre des catastrophes naturelles auxquelles on pourrait faire face », explique-t-il. La municipalité a déjà reçu la moitié de 2,5 millions de dollars après le passage de l'ouragan Hélène pour nettoyer les débris comme les arbres tombés sur la route. Sans la Fema, « cela serait une situation difficile pour n'importe quelle ville, y compris la nôtre, explique Charles Penny, le directeur général. Mais on nettoiera les conséquences de la catastrophe. Puis on regardera nos comptes. Nous avons des ressources limitées. Le conseil municipal devra envisager d'augmenter les impôts ou alors, on devra couper dans certains services pour être sûr de pouvoir continue à gérer la ville. » Et la prévision des ouragans pourrait être moins efficaces, car l'agence responsable de cela, l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, a également été touchée par les coupes budgétaires. À lire aussiÉtats-Unis: l'Agence fédérale de gestion de l'urgence secouée peu avant la saison des ouragans
Dernier épisode. Ce rendez-vous mondial pour mieux protéger l'océan. La 3e Conférence des Nations unies sur l'océan vient de s'achever. À Nice, des responsables politiques, des scientifiques, des membres d'ONG, des dirigeants et dirigeantes d'entreprise, ainsi que des citoyennes et citoyens concernés se sont réunis pour faire entendre leurs voix et affirmer leur volonté d'agir pour la préservation du milieu marin. Face à l'urgence, les engagements se multiplient. La gouvernance des océans reste un défi, mais les échanges tenus à Nice marquent une avancée vers davantage de coopération. Que faut-il retenir de cette conférence ? Quelles promesses ont été faites, quelles avancées obtenues ? À l'approche de la COP30, l'heure est venue de faire le bilan - et de mesurer ce que l'océan peut encore espérer. Avec : Olivier Poivre d'Arvor, ambassadeur français pour les pôles et l'océan. Mere Takoko, chercheuse maorie spécialisée dans les savoirs océaniques autochtones. LaToya Cantrell, maire de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis). Carlos Santos, pêcheur brésilien engagé contre les méthodes de pêche industrielle. Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Emmanuel Macron, Président de la République française. Rodrigo Chaves Robles, Président de la République du Costa Rica. Ilona Mayerau-Lonné et Noémie de Saint-Quentin, membres du "Réseau Jeunesse Pays et Territoires d'Outre-mer", représentantes de la jeunesse de Nouvelle-Calédonie. Romane Prigent, rédactrice au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du MEAE, chargée des sujets « climat et environnement ». Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, Conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). John Kerry, ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis. Henri Bourgeois-Costa, expert en environnement, pollutions plastiques et économie circulaire, membre de la Fondation Tara Océan. Marine Calmet, juriste avocate de formation, présidente de l'association Wild Legal. Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE). Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au MEAE. Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat. ------ Pour aller plus loin : Le baromètre Starfish, qui dresse chaque année, à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, un état des lieux scientifique et pédagogique de la santé de l'océan. La liste des engagements pris lors de la 3e Conférence des Nations unies sur l'océan. Un coloriage : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fin de la fresque à télécharger imaginée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères. (PDF) ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Edition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ DOUBLAGE : Olivier Poivre d'Arvor : Maxime Richard. Mere Takoko : Guifty Banka. Carlos Santos : Simon Derieux-Billaud. John Kerry : Matthias Lugoy. ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
Le Journal en français facile du lundi 16 juin 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BlSA.A
Dans le supplément de ce samedi, en première partie, l'océan. Vient de s'achever à Nice, en France, la 3è conférence des Nations unies sur l'océan alors que le changement climatique rend plus difficiles les nombreux défis à relever dans cet espace qui représente tout de même 70% de la planète. À l'ordre du jour, entre autres, les menaces sur la pêche nourricière. Exemple, en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs de nos reporters sont partis recueillir des témoignages de pêcheurs sur les rivages ouest-africains. En deuxième partie, nous traitons de l'immigration venue d'Afrique à destination de l'Europe. La Tunisie est un point de passage privilégié avant la très risquée traversée de la Méditerranée, et les autorités tunisiennes sont engagées dans un processus d'endiguement de cette migration Sud-Nord. Communautés de pêcheurs ouest-africaines, menace sur la ressource Toute cette semaine, la ville de Nice dans le sud de la France accueille la troisième conférence des Nations unies sur l'océan. L'océan, qui occupe 70% de notre planète, est sous pression du changement climatique et malmené par l'activité humaine. Au point, parfois, de ne plus offrir aux populations des littoraux les ressources nécessaires. C'est le cas en Afrique de l'Ouest, où les communautés de pêcheurs ont été très fragilisées ces dernières années. Plusieurs reporters de RFI sont allés à leur rencontre en Guinée, en Sierra Leone, au Ghana et au Sénégal. Un Grand reportage de Laurent Correau. Avec Lizza Fabbian, Léa-Lisa Westerhoff, Juliette Dubois, Kpénahi Traoré, Tangi Bihan, Victor Cariou. Entretien avec Jacques Allix. Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 00:59:01 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Alors que le gouvernement vient d'annoncer la suspension de MaPrimeRenov', c'est toute une filière qui se retrouve fragilisée. Les objectifs de ce dispositif ne sont-ils qu'environnementaux ? Quelles vertus économiques peut avoir une politique ambitieuse de rénovation énergétique ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Louis-Gaëtan Giraudet Economiste, chercheur à l'Ecole des Ponts; Matthieu Glachant Professeur d'économie à Mines ParisTech, spécialiste de l'économie de l'environnement, de l'énergie et de l'innovation.; Coralie Robert Docteure en sociologie et chercheuse associée au Centre de recherche sur l'Habitat, LAVUE (Laboratoire Architecture, Ville, Urbanisme, Environnement), Université Paris Nanterre. ; Anne-Gaëlle Guérin Doctorante en sociologie économie au Laboratoire Pacte de l'université Grenoble Pacte, sur les politiques d'accompagnement à la rénovation énergétique
Le Journal en français facile du mercredi 11 juin 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bkdh.A