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Au Ghana, les décharges de vêtements provenant de l'Europe polluent l'environnement. Plus de 120 000 tonnes sont exportées chaque année. Le pays est le deuxième marché d'export de vêtements usagés après l'Asie. De plus en plus de ces habits ne peuvent être vendus. Ils finissent jetés, souvent dans la nature ghanéenne ou dans des décharges informelles, faute d'infrastructures suffisantes pour traiter un afflux de déchets croissant. Reportage de Victor Cariou, depuis ces communautés affectées par des cimetières de la fast fashion, jusqu'au marché de Kantamanto où arrivent ces vêtements. À écouter aussiAccra, poubelle de la fast fashion mondiale À lire aussiSérie d'été - Pollution textile [4/5] : l'envers de la «fast fashion» au Ghana
"il faut créer un langage commun" Le D.E.V. de la semaine est Geoffrey Bérard, Principal engineer chez Les Furets. Au cours de cette discussion, l'importance de comprendre les problèmes avant le développement de fonctionnalités est mise en avant. Geoffrey réitère les défis liés aux estimations de temps dans le processus de développement logiciel. Il souligne également comment l'automatisation garantit une qualité constante, libérant ainsi les équipes pour se concentrer sur la création de valeur. Enfin, nous discutons de diverses stratégies pour favoriser la collaboration tout en maintenant les standards de qualité, donnant des pistes pour l'optimisation de l'usine logicielle.Chapitrages00:01:01 : Introduction à l'Usine Logicielle00:01:06 : De Mario Kart à Formule 100:03:45 : Prédictibilité et Prise de Décision00:09:21 : Estimation et Organisation00:11:47 : Effets de Bord et Environnement de Travail00:18:03 : Gestion des Incidents et Fluidité00:24:11 : Fast Track et Méthodologies Agiles00:33:52 : Standardisation et Créativité00:41:51 : Artisanat vs. Automatisation00:50:39 : Conclusion et Recommandations Liens évoqués pendant l'émission Chaine YT Fouloscopie 🎙️ Soutenez le podcast If This Then Dev ! 🎙️ Chaque contribution aide à maintenir et améliorer nos épisodes. Cliquez ici pour nous soutenir sur Tipeee 🙏Archives | Site | Boutique | TikTok | Discord | Twitter | LinkedIn | Instagram | Youtube | Twitch | Job Board |Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce premier épisode de We are the champions, hors-série qui présente les lauréats du Palmarès Écotable 2025, nous sommes très heureux de recevoir Ai Loan Dupuis, fondatrice et cheffe du restaurant végétal Sezono, situé dans le 10ème arrondissement de Paris.Après un début de carrière en cabinets de conseil, Ai Loan s'est formée à l'école Ferrandi pour réaliser son rêve : mêler cuisine et écologie. Ainsi est né Sezono, restaurant et traiteur bio, local, de saison, zéro déchet et où le légume est roi. Reconversion, équilibre entre gestion d'un restaurant et maternité, cuisine végétarienne, engagement écologique… L'histoire d'Ai Loan inspire et incite à remettre en question nos choix d'alimentation sans renoncer à la gourmandise. Pour cela, un seul mot à retenir : le légume. Bonne écoute ! Cité dans cet épisode :La Caverne, ferme urbaine à Paris (18ème)*** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frRéalisation : Lucie Jannon et Emma ForcadeHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, place aux Étoilés : l'horoscope qui sort des sentiers battus ! Du punch, du décalé et toujours une bonne dose d'humour.Au menu : les plans secrets des planètes pour votre signe, des clins d'œil sur vos amours, des conseils malins et des compatibilités parfois inattendues. Une chronique pétillante, légère et inspirante, idéale pour démarrer la journée avec style, optimisme et une petite touche de magie.
Au Ghana, les décharges de vêtements provenant de l'Europe polluent l'environnement. Plus de 120 000 tonnes sont exportées chaque année. Le pays est le deuxième marché d'export de vêtements usagés après l'Asie. De plus en plus de ces habits ne peuvent être vendus. Ils finissent jetés, souvent dans la nature ghanéenne ou dans des décharges informelles, faute d'infrastructures suffisantes pour traiter un afflux de déchets croissant. Reportage de Victor Cariou, depuis ces communautés affectées par des cimetières de la fast fashion, jusqu'au marché de Kantamanto où arrivent ces vêtements. À écouter aussiAccra, poubelle de la fast fashion mondiale À lire aussiSérie d'été - Pollution textile [4/5] : l'envers de la «fast fashion» au Ghana
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec - Marie Bellan, journaliste environnement Les Echos : l'exploitation des hydrocarbures en Afrique, qui continuent d'attirer la majeure partie des investissements sur le continent, malgré le boom des renouvelables - Raphaël Moran du service espagnol : sur l'histoire d'un collectif d'autochtones de l'Amazonie péruvienne qui ont fait reconnaitre la responsabilité d'une entreprise hollandaise dans un cas de pollution massive aux hydrocarbures - Simon Rozé du service environnement de RFI revient sur le sommet Afrique Climat - Stefanie Schüler du service environnement de RFI sur la difficile gestion transfrontalière. des eaux. Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Amina Beya Hissein (Tchad) pour son film L'arche des inondés. Chronique culture de Caroline Filliette sur la troisième édition de la biennale PHOTOCLIMAT et les Rencontres de la photographie d'Arles. Page Instagram de PHOTOCLIMAT. À écouter aussiAux Rencontres d'Arles, l'éloge de la photographie anonyme Musiques diffusées dans l'émission Plumtree - In the Sink SAHAD - Vultures.
Le Journal en français facile du mardi 9 septembre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BznQ.A
Vous vous souvenez d'ISABELLE GIORDANO, qui nous présentait avec son plus beau sourire ses coups de cœur cinématographiques et interviewait avec intelligence les plus grands réalisateurs ? C'était les grandes heures de Canal, on était ado, et je ne sais pas pour vous, mais moi, je ne loupais pas une de ses émissions. On le savait moins, mais, en plus de son métier de journaliste, Isabelle était déjà très engagée à cette époque. Elle s'attachait rendre la culture et le cinéma accessible :à tous celles et ceux qui en étaient privés faute de moyen avec l'association qu'elle a créé, Cinéma pour tous, et à toutes celles et ceux qui étaient empêchés par la maladie avec l'association dont elle était la marraine, Les Toiles Enchantées. Depuis 5 ans, ses engagements ont pris le dessus sur ses activités de journaliste. Elle a pris la tête d'une des premières fondations de France, la fondation BNP Paribas, une institution véritablement incontournable dans le monde associatif français. Avec ses équipes, elle déploie des moyens financiers considérables, mais aussi des accompagnements en compétence et des partenariats pour soutenir le monde de l'Art, les associations et la recherche scientifique. Cet épisode est un cri du cœur et un appel à refuser la banalité des inégalités. « Il n'est pas acceptable qu'un jeune n'ait pas assez à manger, qu'il renonce à ses études faute de pouvoir les financer, qu'il n'aille pas faire ses contrôles médicaux, qu'il n'ait pas accès à la culture. Ce n'est pas acceptable qu'on enlève aux jeunes le droit de rêver ! » dénonce-t-elle Isabelle est animée par un profond soucis de l'autre et du bien commun. Son humanisme s'exprime sans manichéisme et avec une compréhension juste du rôle de chacun -état, entreprises, associations, individus-. Elle est la fille spirituelle de Stéphane Hessel, dans une époque qui en a tant besoin, quand elle nous rappelle « Indignez-vous et agissez » ... avant d'ajouter, non sans une pointe d'humour « Indignez-vous, agissez, payez vos impôts et donnez le pouvoir aux femmes» Un épisode qui vous donnera envie de vous lever et d'agir. Ne nous résignons jamais !
François Bonnardel sacrifié: les policiers sont désemparés | Effets secondaires, perte de vue : est-il sécuritaire de prendre Ozempic? | Crise politique en France | Début de la session parlementaire à Ottawa : Yves-François Blanchet ira à Washington | La Cage à Londres : quels défis pour la chaîne de restauration ? Dans cet épisode intégral du 9 septembre, en entrevue : Yves-François Blanchet, chef du Bloc Québécois. Daniel Doyon, ancien utilisateur d’Ozempic. Dr Rémi Rabasa-Lhoret, chercheur à l’Institut de recherches clinique de Montréal (IRCM) et président du conseil professionnel de Diabète Québec. Mylène St-Sauveur, comédienne. Claude Pinard, candidat d’Ensemble Montréal dans le district St-Jacques. Jean Bédard, président de la Cage. Une production QUB Septembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
« Culture sport revient ce lundi sur quelques grands moments de notre direct depuis le Forum sport santé environnement les 6 et 7 septembre. Ecoutez l'interview […]
Montée de la violence à Montréal: l’été de l’antisémitisme dans la métropole… | Publicité pour attirer les jeunes: la SAQ respecte-t-elle son mandat? | Coldplay : des nouvelles du mari cocu | Syndicats : la CSQ déplore les actions du gouvernement | Remaniement ministériel : mayday, mayday ! Dans cet épisode intégral du 9 septembre, en entrevue : Éric Gingras, président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). Julien Corona, directeur associé aux communications et aux relations médias du Centre consultatif des relations juives et israéliennes (CIJA). Une production QUB Septembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Toutes les explications de Laura Magrino, numérologue.
La transpiration : un mécanisme de thermorégulationLa transpiration n'est pas conçue pour nettoyer l'organisme, mais pour réguler la température corporelle grâce à l'hypothalamus.La sueur, produite par les glandes eccrines, est composée à 99 % d'eau. Le reste contient surtout : des sels minéraux (sodium, potassium, calcium, magnésium), un peu d'urée, un peu d'acide lactique.Des métaux lourds ou polluants peuvent être détectés dans la sueur, mais en quantités infimes, insuffisantes pour avoir un réel impact sur la charge toxique du corps.Ce que dit la science : la sueur n'élimine pas les toxinesUne revue de littérature de 2021 (Verbeek et al., Environmental Research) analysant 24 études conclut que la transpiration n'est pas une voie d'excrétion significative pour les toxines.Les véritables organes de détoxification sont : le foie, avec ses enzymes de biotransformation, les reins, qui filtrent le sang, les intestins, via la bile et les selles. Et enfin, les poumons, qui éliminent certains composés volatils.Les vrais bénéfices de la transpirationMême si elle n'est pas une cure détox, la sudation reste bénéfique. Elle stimule la circulation sanguine, Elle apaise le système nerveux, améliore la récupération physique et renforce l'immunité,Attention : transpirer entraîne aussi une perte de minéraux essentiels (sodium, magnésium, potassium, zinc, fer). Une sudation excessive sans hydratation adaptée peut fatiguer les reins, provoquer des crampes ou affaiblir l'immunité.
Chaque jour, retrouvez Les Étoilés, l'horoscope qui bouscule les codes : décalé, énergique et toujours avec une touche d'humour.Au programme : ce que les planètes mijotent pour votre signe, des clins d'œil sur vos amours, des conseils futés et des compatibilités parfois surprenantes. Une chronique pétillante, légère et inspirante pour lancer la journée avec style, optimisme et une pointe de magie.
Quels liens entre la santé et l'environnement ? Ce sujet a été très présent dans les actualités de cet été 2025 : loi Duplomb, canicule, incendies, ... Si bien que j'ai eu envie d'en faire un épisode. Partons ensemble explorer l'impact que peut avoir notre environnement sur notre santé ! Je suis Audrey Boyer, naturopathe certifiée. Depuis 2023, je sillonne l'Occitanie avec mon micro pour interviewer des amoureux du vivant. Chaque mardi, je vous partage des conseils concrets et des rencontres inspirantes pour mieux prendre soin de vous et du monde qui nous entoure. Retrouvez-moi sur les réseaux sociaux @natur_audrey ou sur mon site internet www.audrey-boyer.fr
Le deuxième Sommet africain sur le climat s'ouvre lundi 8 septembre à Addis-Abeba, où 45 chefs d'État et 25 000 délégués sont attendus pour cet évènement porté par les Nations Unies, l'Union africaine et l'Éthiopie. Celle-ci vient d'ailleurs de présenter sa candidature pour organiser le COP en 2027. L'un des objectifs du sommet de deux jours est de présenter les solutions concrètes en faveur du climat pour le continent africain, d'unifier aussi la voix des États en vue de la COP qui se tiendra en novembre au Brésil. La sénégalaise Aïssatou Diouf Notre invitée est une militante et une référence en Afrique pour les questions environnementales et responsable des politiques internationales et du plaidoyer au sein de l'ONG ENDA Énergie. Elle répond à Guillaume Thibault. RFI : Aïssatou Diouf, pourquoi ce 2ᵉ sommet africain est capital ? L'enjeu pour le continent, c'est à la fois de prendre le train en marche, mais surtout de parler d'une seule voix ? La Semaine africaine du climat est une plateforme stratégique pour l'Afrique, car elle permet aux pays, à la société civile et même au secteur privé de parler d'une seule voix, de défendre nos priorités face aux négociations mondiales. C'est donc le moment de démontrer que le climat peut être un levier de développement et d'emploi pour le continent. Donc, ce sommet va aligner les efforts des pays africains et surtout catalyser des actions concrètes, notamment sur les enjeux que j'ai cités précédemment. Quel message vous tirez du premier sommet qui s'est tenu il y a deux ans au Kenya, à Nairobi ? Les financements promis lors de ce sommet tardent à arriver et surtout, la mise en œuvre sur le terrain est encore très insuffisante. C'est pourquoi, à mon avis, cette édition doit aller beaucoup plus loin pour que les populations africaines voient réellement les bénéfices et les intérêts de ces sommets. Vous attendez beaucoup des discussions sur les questions de transition énergétique. Pour quelle raison est-ce essentiel ? Vous savez, la transition énergétique est un enjeu vital. Nous avons encore plus de 600 millions de personnes sans accès à l'électricité. Donc le défi, il est double. Premièrement, c'est répondre à cette urgence sociale tout en réduisant notre dépendance aux énergies fossiles. Mais également, on sait tous que l'Afrique doit l'aborder aussi comme une opportunité de développement en misant sur ses immenses ressources en solaire, en éolien, en hydraulique. Rappeler également que cette transition doit être juste. Le mot juste a tout son intérêt. Ça doit guider ce processus, cette transition-là. Donc, elle ne peut pas reposer uniquement sur nos budgets nationaux qui sont déjà très contraints. Donc, cela appelle à une solidarité internationale entre les pays du Nord et les pays du Sud. L'argent reste le nerf de la guerre. Dans un récent rapport, les Nations unies indiquent que 2 000 milliards de dollars ont été investis juste l'année dernière, en 2024, dans les énergies propres, mais que le continent africain n'a quasiment rien touché. Pourquoi l'Afrique reste à la marge. Donc, ce qu'il faut aujourd'hui, c'est à l'échelle internationale, réfléchir sur les mécanismes qui sont adaptés aux réalités du continent, amener aujourd'hui les banques de développement à avoir des mécanismes appropriés pour financer cette transition énergétique, le développement des énergies renouvelables et qu'enfin les pays développés respectent leurs engagements financiers. À lire aussiSommet africain sur le climat: le continent se veut source d'innovation et de solution Est-ce que vous imaginez parfois un système de sanctions pour tous ces pays qui promettent des financements, mais qui au final ne les versent jamais ? Maintenant, on sait comment le système onusien est organisé et structuré. Il est très difficile aujourd'hui de sanctionner ces États-là. Par contre, aujourd'hui, on sait que les citoyens constituent une force incontournable qui demande de la redevabilité à leurs Etats. Je pense qu'on peut s'appuyer sur ces citoyens là pour demander aux Etats de rendre compte, mais surtout aux Etats, de respecter leurs engagements. Est-ce qu'aujourd'hui, on pourrait imaginer ou c'est une utopie ? Les Etats Unis d'Afrique du climat ? Pourquoi est-ce que les Etats ont tant de difficultés à s'accorder, à avoir un vrai impact sur des discussions ou sur des négociations, notamment lors des COP ? Je pense qu'on va tendre vers cela. On n'a pas le choix. Si aujourd'hui l'Afrique veut impacter au niveau des discussions à l'échelle internationale, on doit parler d'une seule et même voix. On doit avoir des positions coordonnées portées par nos leaders politiques. Pourquoi est-il difficile d'avoir ce travail de coordination ? On n'a pas tous le même niveau de développement. Ce sont des aspects également géopolitiques où chaque Etat essaie de se positionner. Un pays, par exemple, qui découvre le pétrole et le gaz, va vouloir forcément l'exploiter, alors que les impacts du réchauffement climatique sont là. Il faudrait qu'à l'échelle de l'Union africaine, que nous arrivions à avoir des politiques au niveau continental très coordonnées, qui puissent impacter durablement nos communautés, mais également qu'au niveau international, dans les débats et dans les discussions, que nous puissions peser. Est-ce que la COP 30 qui va se tenir au mois de novembre au Brésil, Je pense qu'il y a beaucoup de pays africains qui sont sortis très déçus de la COP de l'année dernière à Bakou. Cette COP qui se tient en terre brésilienne, plus précisément en terre amazonienne, c'est une symbolique fort pour les pays en développement, notamment la question des forêts, la question de la taxe carbone et j'espère que les conclusions qui seront issues de la Semaine africaine du climat vont être portées par nos décideurs politiques pour pouvoir impacter les conclusions de la COP de Belem. À lire aussi Aïssatou Diouf, militante tout terrain de la cause climatique
[REDIFFUSION]Très jeune, Frédéric Lopez a compris qu'il suffisait de rêver pour que tout devienne possible. Ses rêves, il les a fait grandir au milieu d'un environnement anxiogène qui le confrontait à des : « Mais non, tu n'en n'es pas capable, ce ne sont que des rêves ». Pour briser les bâtons dans les roues, Frédéric cultive sa sensibilité au beau, aux détails qui font tout d'un lieu, d'une rencontre, d'un objet. Il s'obsède pour la transmission, cultive le goût des autres, et fait grandir des rêves qui inspireront ceux qui disent : « Non, tu rêves ». Dans cet épisode avec Frédéric, on parle d'autocompassion, d'émotions, et d'optimisme.Belle écoute ! ☀️ ---Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Qu'est-ce que la pensée positive (et ce qu'elle n'est pas)La pensée positive, ce n'est pas se dire que « tout est parfait » ni se voiler la face devant les difficultés.C'est plutôt une manière d'orienter son esprit vers ce qui est constructif et utile pour l'action.Elle s'appuie sur un mécanisme psychologique bien connu : le biais de focalisation. En d'autres termes, ce sur quoi vous concentrez votre attention prend plus de place dans votre esprit — et influence directement vos émotions et vos comportements.Pourquoi la pensée positive est-elle si efficace ?Les recherches en psychologie et en neurosciences démontrent plusieurs bénéfices majeurs :Elle réduit l'impact du stress et de la peur d'échouer.Cette dynamique favorise une meilleure prise de décision sous pression.Enfin, elle stimule la motivation et l'engagement sur la durée.Les sportifs de haut niveau qui utilisent l'autosuggestion positive récupèrent plus vite après un échec.Dans ce podcast, découvrez les 3 outils simples pour activer votre dynamique positive.
Plongez chaque jour dans Les Étoilés, votre horoscope décalé et punchy qui mêle astrologie, humour et énergie du jour.Découvrez ce que les planètes réservent à votre signe, les surprises amoureuses, les conseils malins et même les compatibilités inattendues. Une chronique légère, informative et pleine de pep's pour commencer la journée avec un zeste de magie et beaucoup de fun.
Quand on est suivie par plus de 260 000 personnes sur Instagram, difficile d'échapper aux critiques.Dans cet extrait, Mélanie partage son expérience face aux haters : les attaques, la pression… mais aussi comment elle parvient à transformer tout ça en positif pour continuer à faire passer son message.Un témoignage sincère qui montre l'envers du décor de la création de contenu.
Paranormal: est-ce qu’il y a toujours une explication scientifique qu’on ne connaît simplement pas encore? | Mairie à Montréal : donnez la voix à ses candidats qu’on n’entend pas | Sentiment de sécurité à Montréal: les citoyens se sentent de moins en moins bien | Meurtre passé sous silence en Caroline du Nord : une dame sauvagement poignardée par un récidiviste | Dans cet épisode intégral du 8 septembre, en entrevue : Christian Page, figure incontournable de l'investigation paranormale au Québec, journaliste, auteur, chroniqueur, scénariste et animateur. Jean-François Kacou, chef de Futur Montréal et candidat à la mairie. Yves Francoeur, président Fraternité des policiers et policières de Montréal. Une production QUB Septembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Remaniement ministériel de François Legault : la CAQ doit s’attendre à d’autres grands départs | Nouvelles réglementations sur les piscines: un casse-tête pour plusieurs | Les agents de bord d’Air Canada rejettent l’entente de principe | Serge Savard ignorait que Ken Dryden souffrait | Projets numériques: Québec solidaire interpelle le gouvernement de François Legault | Les Montréalais ne savent plus pour qui voter Dans cet épisode intégral du 8 septembre, en entrevue : Pascal Parent, Inspecteur en bâtiment et propriétaire de Bâtimex. Marc Ranger, ex-directeur québécois, Syndicat canadien de la fonction publique. Serge Savard, ancien capitaine du CH et coéquipier de Ken Dryden. Ruba Ghazal, Cheffe de Québec solidaire et députée de Mercier. Une production QUB Septembre 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'Afrique a importé l'équivalent de 15 000 mégawatts de panneaux solaires entre juillet 2024 et juin 2025, soit la puissance de dix réacteurs nucléaires. C'est une augmentation de 60 % en un an. Si l'on exclut l'Afrique du Sud, les importations africaines de panneaux photovoltaïques ont même doublé en deux ans. La preuve, selon le groupe d'études Ember, d'un décollage de l'énergie solaire sur tout le continent. L'étude est basée sur les chiffres des douanes chinoises – la Chine étant le principal fournisseur de panneaux solaires à l'Afrique. Et la hausse est spectaculaire. « L'Algérie a multiplié par 33 ses importations de panneaux solaires en un an, observe Dave Jones, analyste en chef chez Ember. C'est le troisième pays à en importer le plus, après l'Afrique du Sud et le Nigeria. Les importations de panneaux solaires de la Zambie ont été multipliées par huit en douze mois, celles du Botswana par sept, celles du Soudan par six et celles du Nigeria, de la RDC et du Bénin ont plus que triplé. » La moitié des besoins en électricité du Tchad Les panneaux solaires importés par exemple au Tchad en un an permettraient, une fois installés, de produire la moitié de l'électricité totale du pays. Une augmentation de l'offre de courant en perspective en Afrique, mais aussi une baisse potentielle des prix. « Maintenant que le prix d'un panneau solaire n'est plus que d'environ 60 dollars au Nigeria, de l'électricité, souligne Dave Jones, les économies réalisées en évitant le diesel peuvent rembourser le coût d'un panneau solaire en six mois, et même moins dans d'autres pays. » La grande majorité des panneaux, 16 000 gigawatts, est jusqu'à présent destinée à des centrales solaires reliées au réseau, d'après les images satellites consultées par Ember. Mais l'usage décentralisé, 6 000 gigawatts pour l'instant, grandit aussi. « Ce sont des entreprises ou des industries, en site isolé ou pas, qui vont être le client unique privé de l'installation, explique Gilles Parmentier, PDG d'Africa REN, un opérateur du secteur. Ça peut être des panneaux solaires installés sur la toiture de supermarchés ou d'usines, ça peut être une centrale solaire installée pour une mine. La dernière catégorie, ce sont des villages isolés sur lesquels certains opérateurs proposent des kits solaires à l'échelle domestique. » Développer le stockage Le solaire se déploie en Afrique, ce qui imposera de relever le défi de l'intermittence de cette énergie. « Le prochain enjeu, estime Gilles Parmentier, c'est d'arriver à développer des projets de stockage, comme celui qu'on a fait au Sénégal, Walo Storage, pour permettre aux sociétés d'électricité de stabiliser leurs réseaux et également de pouvoir différer la production solaire, de la journée vers la soirée. Sinon, on va se retrouver avec des pays qui vont être en surproduction solaire la journée et en déficit le soir, alors que c'est le moment où il y a le plus de consommation. » L'autre défi pour accompagner les besoins en centrales solaires en Afrique, sera le développement des réseaux électriques. À lire aussiBénin: lancement de la construction de quatre centrales photovoltaïques
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end vous emmène tout d'abord sur le continent africain. À cheval sur Niger, Nigeria, Cameroun et Tchad, le lac qui diminuait comme peau de chagrin ces dernières décennies, a regagné de la surface au gré d'un pluvieux changement climatique. C'est une région reculée en crise alimentaire, en proie aux raids de la secte islamiste et aux opérations militaires. En deuxième partie, nous irons en Chine. Notre envoyée spéciale permanente nous dira tout de l'industrie du bambou, bambou qui se veut en concurrence avec le plastique. Le bambou plus écologique, mais la bataille n'est pas gagnée. Sur les rives du lac Tchad, une guerre sans fin contre Boko Haram et la montée des eaux Vu du ciel, le lac Tchad se profile en de petites flaques, de plus en plus larges jusqu'à l'émergence d'une limite entre l'eau et la terre. Des contours flous pour une vaste étendue marécageuse entre sables et ilots de verdure aux confins du Niger, du Nigéria, du Cameroun et du Tchad. Le lac n'est pas en train de s'assécher, comme on l'a longtemps cru. Il s'étend. Notamment sous l'effet du changement climatique, aggravant la crise alimentaire et sécuritaire sur ses rivages martyrisés depuis plus d'une décennie par Boko Haram. La secte islamiste et ses deux factions rivales a été affaiblie par les opérations militaires, mais elle marque encore la région par ses attentats suicides, rapts, viols et raids contre des civils. Avec la participation de Joris Bolomey et le soutien logistique du CICR, d'Acted, Concern et Handicap International. Un Grand reportage de Carol Valade qui s'entretient avec Jacques Allix. Usine à ciel ouvert, le pari du bambou Le bambou en Chine n'est plus seulement un symbole culturel : il devient une arme verte, un levier pour relever le défi écologique. À Anji, au cœur du Zhejiang, cette plante façonne le paysage, mais aussi l'économie. Artisanat, tourisme, architecture, ustensiles du quotidien… La grande et souple plante s'impose partout, portée par une stratégie nationale baptisée « Bamboo for Plastic ». Ici, traditions et innovations se croisent pour bâtir un « made in China » plus durable. Un Grand reportage de Cléa Broadhurst qui s'entretient avec Jacques Allix.
Petite balade olfactive pour sentir les fleurs. Leurs odeurs parfois surprenantes, destinées à attirer les pollinisateurs. (rediffusion) « Essayez de vous rapprocher de quelques branches en fleurs », nous invite-t-on. On se penche et on fourre son nez partout, pour une promenade odorante organisée pour un petit groupe dans les jardins de l'École du Breuil, à Paris, par Giulio Giorgi, auteur de Botanique olfactive (éditions Nez). Une invitation à « sentir la nature ». Mais pourquoi les fleurs ont un parfum ? C'est leur technique de drague. « L'une des plus grandes différences entre les végétaux et les animaux, c'est que les plantes à fleurs ne vont pas draguer leurs semblables, souligne Giulio Giorgi. Elles ne vont pas draguer d'autres plantes comme nous le ferions en draguant un autre humain. En fait, elles draguent des intermédiaires, des pollinisateurs. Tout ça est quand même magique ! Ça veut dire qu'elles développent un langage commun, et ce langage est bien l'odeur. » Le petit groupe chemine parmi les plantes et les arbustes fleuris en ce début de printemps parisien et ensoleillé. « Vous avez tous senti cette plante ?, demande Giulio Giorgi devant un berbéris, un arbuste muni d'épines et de grappes de petites fleurs jaunes. Elle est très particulière ! Je ne sais pas ce que vous en pensez… » « Moi, je sentais l'eau de javel ! », répond une des participantes. « J'ai l'impression que le monde est divisé en deux par le berbéris, remarque Giulio Giorgi. Il y en a qui le sentent et qui le trouvent très agréable, et il y en a qui détestent parce que ça leur rappelle des émanations humaines qui commencent par "S". » Des rires s'élèvent parmi les visiteurs. « Ne soyez pas dégoûtés, parce que ce sont des odeurs faites pour attirer les pollinisateurs. Pas mal d'espèces dans le genre Berbéris ont des odeurs spermatiques. » Des parfums et des goûts Le soleil réveille et sublime les molécules olfactives. Certaines plantes, pourtant, ne sentent que le soir, comme le jasmin de nuit, qu'on appelle aussi galant de nuit. « C'est une fleur qui sent à partir du coucher de soleil, explique l'écologue et paysagiste. Pourquoi ? Parce que ses pollinisateurs sont des papillons de nuit. Puisque dégager des molécules olfactives demande une énergie à la plante, elle va optimiser ça. Elle va dire : "Je ne vais pas le faire pendant la journée, je le fais pendant la nuit". » Le nez repoudré par le pollen des fleurs, on poursuit la balade, au gré des fleurs que l'on rencontre et dont on essaie de deviner le parfum : une odeur de miel ici, une autre de cannabis là (mais il n'y pas de cannabis qui pousse à l'École du Breuil !)... On s'arrête devant un magnolia aux immenses fleurs blanches, très parfumées. Et quand ça sent, il y a parfois aussi du goût : « Les pétales de magnolia sont comestibles. Et ils ont un goût exceptionnel. Quand vous les mangez, vous avez l'impression de croquer dans une endive qui a été trempée dans une sauce au gingembre. » L'odorat des abeilles On entend le chant des oiseaux. Les insectes aussi sont de la partie. « On voit qu'il y a des abeilles qui sont au travail ! Ce que nous, on sent, ce n'est pas ce que les pollinisateurs sentent. Les abeilles n'ont pas une très bonne vue, mais ont un odorat excellentissime, bien meilleur que le nôtre. Il m'arrive régulièrement de voir un arbre ou une plante qui est bourré d'abeilles et qui ne sent rien », raconte Giulio Giorgi. Dans les villes, l'odorat des humains est particulièrement en difficulté. À cause de la pollution, les parfums se font rares – à part celui des gaz d'échappement. « Les particules fines ont une propriété absorbante vis-à-vis des odeurs végétales. On va donc moins sentir les parfums des arbustes parce qu'ils sont beaucoup plus absorbés par la pollution », explique l'auteur de Botanique olfactive, un très joli guide illustré pour « sentir la nature au fil des saisons », commenté par des parfumeurs. C'est la fin de la balade. On en a plein le nez et on a pris son pied. La question de la semaine
Aujourd'hui, comme chaque premier jeudi du mois, vous aurez désormais le plaisir de pouvoir écouter Le Petit Atlas. C'est une chronique imaginée par le cosmographe Maxime Blondeau. Maxime est professeur dans des écoles prestigieuses et très suivi sur les réseaux. Son travail part du constat que les cartes et les planisphères ne suffisent pas à éveiller notre conscience sur la richesse historique, géologique, culturelle et naturelle des territoires dans lesquels nous vivons. Or, nous ne protégeons bien que ce que nous connaissons et que nous aimons. C'est sur ce terrain que nous nous sommes rencontrés. À la fin de cette émission, Maxime vous racontera Gibraltar, un territoire et delta entre l'Europe et l'Afrique, la Méditerranée et l'Atlantique, un véritable voyage dans l'espace et dans le temps… Mais avant ce moment que vous attendez tous, nous vous proposons de nous intéresser à un phénomène qui a ravagé 1 million d'hectares en Europe cet été et qui menace de larges parties du monde : les méga-feux. À lire aussiCinq questions sur les méga-feux Avec : La philosophe Joëlle Zask Christelle Hely (directrice d'études à l'EPHE-ISEM), elle mène des études sur les incendies et la dynamique des écosystèmes passés et actuels face aux changements globaux pour l'ouvrage Feux de végétation : comprendre leur diversité et leur évolution, paru aux Éditions Quae. Eric Rigolot, ingénieur de recherche au sein de l'équipe physique et écologie du feu (Inrae) Et diffusion en fin d'émission du premier épisode du Petit Atlas de Maxime Blondeau : le détroit de Gibraltar (nouvelle chronique mensuelle). Musiques diffusées dans l'émission Diamond Platnumz – Katam (Playlist RFI - Tanzanie) The Cure – A Forest
durée : 00:58:14 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - De l'Égypte à l'Inde en passant par la Turquie, les collecteurs constituent un rouage essentiel de la collecte et du traitement des déchets. Ils n'en demeurent pas moins stigmatisés socialement et sont menacés par les réformes des filières formelles. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Rémi de Bercegol géographe, chercheur au CNRS affilié au laboratoire PRODIG (Pôle de recherche pour l'organisation et la diffusion de l'information géographique) et chef du département de sciences sociales de l'Institut Français de Pondichéry; Bénédicte Florin Maîtresse de conférences en géographie à l'université de Tours, rattachée à l'Équipe Monde arabe et Méditerranée du laboratoire de recherche CITERES (CItés, TERritoires, Environnement et Sociétés) et lauréate d'une chaire en médiation scientifique de l'Institut Universitaire de France (2025-2030) sur les questions liées aux déchets et au recyclage; Mathieu Durand géographe, professeur en aménagement du territoire et urbanisme à l'université du Mans, directeur-adjoint du réseau CNRS « Déchets, Valeurs et Sociétés » et du laboratoire ESO (Espaces et SOciétés)-Le Mans
Vu du ciel, le lac Tchad se profile en de petites flaques, de plus en plus larges jusqu'à l'émergence d'une limite entre l'eau et la terre. Des contours flous pour une vaste étendue marécageuse entre sables et ilots de verdure aux confins du Niger, du Nigéria, du Cameroun et du Tchad. Le lac n'est pas en train de s'assécher, comme on l'a longtemps cru. Il s'étend. Notamment sous l'effet du changement climatique, aggravant la crise alimentaire et sécuritaire sur ses rivages martyrisés depuis plus d'une décennie par Boko Haram. La secte islamiste et ses deux factions rivales a été affaiblie par les opérations militaires, mais elle marque encore la région par ses attentats suicides, rapts, viols et raids contre des civils. « Sur les rives du lac Tchad, une guerre sans fin contre Boko Haram et la montée des eaux », c'est un grand reportage de Carol Valade, réalisé par Pauline Leduc. Avec la participation de Joris Bolomey et le soutien logistique du CICR, d'Acted, Concern et Handicap International.
Pour la rentrée scolaire, Time to Shift vous présente de nouveaux camarades de la transition. Ce sont de valeureux concurrents podcasters, malicieusement nommés "Je t'offre un rail", financés par la SNCF pour faire la promotion du transport bas carbone. Nous vous proposons de découvrir un de leurs épisodes choisi pour sa qualité digne du Shift. Vous y entendrez Aurélien Bigo, chercheur sur la transition énergétique des transports. Alors bonne découverte! Et pour en écouter d'autres: https://podcast.ausha.co/je-toffre-un-rail Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Sierra Leone, le conseil municipal de Freetown est à l'initiative d'un important projet de reforestation urbaine. Baptisé « Freetown the Treetown » – « Freetown la ville des arbres » en français –, il vise la plantation de cinq millions d'arbres dans la capitale sierra-léonaise d'ici 2030, avec l'aide de ses habitants. La grande innovation de ce projet est le suivi numérique de chaque plante enregistrée dans une base de données, avec l'objectif de faciliter, à l'avenir, leur monétisation sur le marché international des crédits carbone. De notre envoyée spéciale à Freetown, Une dizaine de « trackers » courbés au-dessus de la vase prennent en photos les pieds de mangrove qui poussent face à la communauté pauvre de Congo Town. Depuis ce quartier informel bâti sur des remblais de terre et d'ordures, Saibatu Nabie Sandy surveille leur travail de loin : « Nous avons planté cette mangrove en 2022, explique-t-il. D'abord, nous avons planté 40 000 arbustes, puis de nouveau 40 000, donc presque 80 000 arbres ! Les huîtres ou les poissons aiment les mangroves, mais tout avait disparu. Maintenant, comme la mangrove a grandi, on commence juste à les voir revenir ». Porté par le conseil municipal de la capitale sierra-léonaise, le projet de reforestation urbaine de Freetown met l'accent sur le suivi de chaque arbre. Car planter ne suffit pas : il faut savoir combien de plantes survivent.« D'abord, on doit télécharger l'application Treetracker. Chaque arbre a un numéro spécifique pour l'envoi des informations à nos analystes, ce qui permet au conseil municipal de suivre l'évolution des mangroves », poursuit Saibatu Nabie Sandy. 1,2 million d'arbres ont été plantés jusqu'à présent à Freetown : des arbres fruitiers et forestiers, des plantes médicinales et des mangroves. Chacun est géolocalisé et suivi sur plusieurs années par les « trackers », grâce à la collecte de données numériques. À lire aussiComment convaincre les jeunes Africains de se lancer dans l'agriculture ? « Chaque arbre est représenté » Dans les locaux du conseil municipal, Bineta Binia fait partie de l'équipe chargée de vérifier et de valider les données qui remontent du terrain : « On utilise la plateforme Greenstand pour tout enregistrer. Les données sont transférées directement dès qu'un arbre a été tracké dans l'application mobile. Moi, je vérifie les arbres un par un. Il faut que la photo soit nette, qu'on voit les racines dans le sol. Et si ce sont de jeunes pousses, on doit voir leur numéro d'identification. On doit aussi avoir des infos sur le type d'arbre dont il s'agit ». Cette base de données rend le processus transparent et traçable et donc plus attractif pour de potentiels investisseurs sur le marché international des crédits carbone. « Déjà, ces informations servent à instruire les citoyens sur ce projet, expose Ibrahim Kamara, analyste pour « Freetown the Treetown ». Ensuite, cela nous renseigne sur le taux de survie des arbres : c'est important pour pouvoir monétiser tout ça sur le marché des crédits carbone. Les investisseurs auront besoin de connaître la densité de cette forêt urbaine. Sur cette carte interactive, chaque arbre est représenté. » L'objectif de « Freetown the Treetown » est de séquestrer 100 000 tonnes de carbone d'ici à 2030 en restaurant 5 000 hectares, soit environ cinq millions d'arbres plantés. À lire aussiSierra Leone : « Freetown the Treetown », reboiser contre les catastrophes climatiques [1/2]
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec Chaymaa Debb rédactrice en chef de la revue Iceberg : est-ce que le voyage peut entretenir une forme de colonialisme en Afrique, en particulier au Sénégal ? Avec Abdoulaye Diallo de la rédaction fulfulde à Dakar : Sénégal, l'érosion côtière à Djifer dans le centre du pays, un drame écologique. Simon Rozé du service environnement de RFI Lucile Gimberg du service environnement de RFI ♦ Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Thomas Hiahiani avec Aboubacar Bello Diallo du Burkina Faso pour son film Nous n'irons plus au bois ♦ Chronique Club RFI d'Audrey Iattoni sur une BD conçue par l'équipe du Club RFI Bukavu qui s'intitule Les amis de la nature et raconte l'histoire d'une mobilisation citoyenne face à l'opération d'un groupe industriel au sein d'un parc naturel protégé. Cette BD (du scénariste Benjamin Bahati Mweze et du dessinateur Emmanuel Kajibwami) sert d'outil de sensibilisation en faveur de l'engagement pour la défense de la biodiversité. ► Musiques diffusées dans l'émission : The Hormonauts – Staying Alive (reprise des Bee Gees) June Freedom – Fé (Playlist RFI - USA)
Le bambou en Chine n'est plus seulement un symbole culturel : il devient une arme verte, un levier pour relever le défi écologique. À Anji, au cœur du Zhejiang, cette plante façonne le paysage, mais aussi l'économie. Artisanat, tourisme, architecture, ustensiles du quotidien… La grande et souple plante s'impose partout, portée par une stratégie nationale baptisée « Bamboo for Plastic ». Ici, traditions et innovations se croisent pour bâtir un « made in China » plus durable. « Usine à ciel ouvert, le pari du bambou », un grand reportage de Cléa Broadhurst et Chi Xiangyuan. À lire aussiLe marché du bambou est en plein essor en Chine
Pesticides, médicaments, microplastiques : l'eau courante est de plus en plus polluée. D'où cette question : faut-il encore boire l'eau du robinet ? Pour y répondre, nous recevons Fabrice Nicolino, journaliste spécialisé sur les questions écologiques, et auteur de “C'est l'eau qu'on assassine”, aux éditions Les liens qui libèrent.Interview réalisée par Maxime Thuillez, à l'académie du climatHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le réchauffement climatique a des effets profonds sur la ville côtière de Freetown, en Sierra Leone. L'urbanisation galopante et anarchique et la déforestation massive ont fragilisé les sols et rendu la capitale particulièrement vulnérable face à l'érosion côtière. Les quartiers les plus pauvres sont les plus exposés par les inondations et les chaleurs extrêmes. Pour faire face à ces phénomènes extrêmes, le conseil municipal de la capitale a lancé l'initiative « Freetown the Treetown », qui vise à planter cinq millions d'arbres à travers la ville d'ici 2030. De notre envoyée spéciale à Freetown, Un petit pont en béton enjambe une rivière encombrée de détritus, au milieu du bidonville de Kroo Bay. De chaque côté de la route, les habitations sont serrées entre les flancs d'une colline et l'océan. Helen se tient devant sa maison, dont l'entrée est surélevée : « Vous voyez, quand la pluie arrive, elle nous déborde… Ce pont est complètement bloqué par les déchets et l'eau ne s'écoule plus, c'est ça qui crée des inondations ! » Une partie du quartier de Kroo Bay est construite sur des remblais de terre déposés directement sur la couche de déchets plastiques charriés par l'océan. « Nous sommes très affectés par le changement climatique... Vous voyez bien que les structures sont mal construites ici », poursuit Helen. « Quand il n'y avait pas encore toutes ces constructions sur les collines, on ne voyait jamais d'inondations ici, raconte Abbas Kamara, l'un des chefs communautaires de Kroo Bay. Mais à cause de la déforestation et de la production de charbon, il y a des inondations. La population a augmenté, il y a beaucoup d'ordures... C'est difficile de faire face à tout ça. Dès qu'il pleut beaucoup et que c'est la marée haute, nous sommes complètement inondés. Mais depuis 2020, le conseil municipal a lancé un projet pour restaurer la mangrove le long des côtes et replanter des arbres pour empêcher l'érosion. » À lire aussiReforestation : oui, mais pas n'importe comment Planter cinq millions d'arbres d'ici 2030 Abbas Kamara travaille aussi comme « tracker » pour le conseil municipal de Freetown dans le cadre de la campagne « Freetown the Treetown », en français « Freetown, la ville des arbres », un programme de reforestation urbaine qui vise à faire pousser cinq millions d'arbres d'ici 2030, soit 5 000 hectares de forêt urbaine et de mangroves. Amos Vandy Saaty est le coordinateur de cet ambitieux programme : « Vous téléchargez une application sur votre téléphone. Automatiquement, on vous alloue un périmètre avec des arbres à surveiller. Vous êtes envoyés sur le terrain, vous ouvrez l'application, vous prenez une photo de l'arbre. Vous sauvez cette information dans votre téléphone et vous nous la transmettez. Puis, c'est enregistré dans une base de données vérifiée. » Les trackers, comme les travailleurs journaliers, sont rémunérés : « Nous employons justement les gens qui coupaient les arbres pour fabriquer du charbon. Parmi les 1,2 millions d'arbres que nous avons planté, il y 275 000 pieds de mangroves. Il y a des manguiers, des pommiers... Et puisn sur le site du glissement de terrain mortel survenu en 2017 à Freetown, nous avons replanté une forêt de 100 000 arbres », poursuit Amos Vandy Saaty. « Freetown the Treetown » prépare maintenant une entrée sur le marché international des crédits carbones. L'enregistrement de chaque arbre dans une base de données numériques devrait faciliter la monétisation de ce vaste projet participatif, qui a reçu de nombreux prix internationaux. À lire aussiSierra Leone : huit ans après les coulées de boue meurtrières à Freetown, « les gens construisent sans penser au danger »
Le Journal en français facile du lundi 1ᵉʳ septembre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/ByLE.A
Dans cette édition :François Bayrou, Premier ministre, tente de convaincre de la nécessité de réduire la dette publique et fait des concessions sur la suppression des jours fériés, faisant face à l'opposition du Parti Socialiste et du Rassemblement National.Une rave party illégale est organisée dans l'Aude, au milieu des zones ravagées par les incendies de l'été, indignant les habitants de la région.La rentrée scolaire s'accompagne de nouvelles mesures comme l'interdiction du portable au collège et la réforme du contrôle continu pour le baccalauréat.Des squats de migrants se multiplient en France, facilitées par les connexions entre le milieu associatif et la mouvance contestataire, créant des tensions dans certaines villes.Une bande dessinée retrace l'histoire rocambolesque du crâne de René Descartes, l'un des plus grands penseurs français du XVIIe siècle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[REDIFFUSION]Lauren Bastide dort peu, aime travailler la nuit en buvant du thé. Elle fume, pas beaucoup, mais déjà trop. Lit beaucoup, mais jamais assez. Au milieu de ses passions engagées dans le féminisme, Lauren trouve un certain équilibre grâce à l'amour de son chien et à ses déconnexions régulières des réseaux sociaux. Elle retrouve souvent la nature aussi, pour toucher la lenteur, les cycles naturels, sentir l'odeur des champs et écouter le bruit des oiseaux au réveil. De la rédaction chez Elle au Grand journal sur Canal + en passant par C8 et France Inter, elle est aujourd'hui l'animatrice du podcast Folie Douce, qui sensibilise sur la santé mentale. Et puis elle écrit, aussi, des livres, et une newsletter que je vous recommande chaudement de lire : La Douceur.Avec Lauren, on parle d'écriture, de féminisme, de succès, de ce qu'est être adulte, de réseaux sociaux et de liberté. C'est un échange intime, et j'espère que vous terminerez cette écoute avec l'envie folle de vous engager.Belle écoute ! ☀️ ---Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Dans cette édition :François Bayrou, Premier ministre, tente de convaincre de la nécessité de réduire la dette publique et fait des concessions sur la suppression des jours fériés, faisant face à l'opposition du Parti Socialiste et du Rassemblement National.Une rave party illégale est organisée dans l'Aude, au milieu des zones ravagées par les incendies de l'été, indignant les habitants de la région.La rentrée scolaire s'accompagne de nouvelles mesures comme l'interdiction du portable au collège et la réforme du contrôle continu pour le baccalauréat.Des squats de migrants se multiplient en France, facilitées par les connexions entre le milieu associatif et la mouvance contestataire, créant des tensions dans certaines villes.Une bande dessinée retrace l'histoire rocambolesque du crâne de René Descartes, l'un des plus grands penseurs français du XVIIe siècle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou prend la parole ce soir sur Europe 1 et CNews pour tenter de convaincre les Français et les partis d'opposition de la gravité de la situation financière du pays à 8 jours du vote de confiance qui pourrait précipiter sa chute.À la veille de la rentrée scolaire, une distribution gratuite de fournitures organisée par un réseau local de trafiquants de drogue a été interdite par le préfet dans un quartier d'Orange dans le Vaucluse.Dans l'Aude, une rave party a été organisée sur le lieu d'un gigantesque incendie qui a ravagé 16 000 hectares et détruit 36 habitations, causant de lourdes pertes pour le tourisme local.Les Mondiaux de Badminton se tiennent actuellement à Paris, avec un public nombreux et enthousiaste, un an après les succès français aux Jeux Olympiques.La Formule 1 fait sa rentrée avec le Grand Prix des Pays-Bas, où le jeune pilote français Isaac Hadjar se positionne à une magnifique quatrième place.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le parc de la Comoé, au nord de la Côte d'Ivoire s'étend sur près d'un million d'hectares. Cette réserve de la biosphère est une des zones protégées les plus vastes d'Afrique de l'Ouest, où se mêlent savane arborée et des ilots de forêt. Ce parc avait un temps été classé patrimoine en péril, en raison des activités illicites qui ont mis en danger sa faune et sa flore. Par ailleurs, l'insécurité à la frontière avec le Burkina Faso et les attaques à caractère terroriste qui ont affecté Kafolo en 2020 et en 2021, ont entamé l'image de la région, classée zone rouge par les chancelleries occidentales. Mais depuis trois ans, les autorités ont sécurisé le nord du pays. La relance de ce parc illustre cette reprise progressive des activités. En 2023, l'Unesco l'a d'ailleurs sorti de sa liste du patrimoine en péril, estimant que les objectifs de conservation de sa faune avaient été dépassés. De notre envoyée spéciale à Bouna, La voiture de touriste roule au pas sur une piste qui traverse le parc. Très rapidement, une famille de bubales fait son apparition. Jean-Luc est impressionné : « Je n'ai jamais été aussi proche d'animaux sauvages, en liberté comme ça quoi… En plus, elles ne sont même pas apeurées. J'ai l'impression que je peux descendre, aller les toucher. » Au moment des différentes crises politiques qui ont secoué le pays, le parc de la Comoé a perdu une grande partie de ses animaux, à cause notamment du braconnage. En 2012, l'Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), a lancé une reprise en main de ce site. Grâce à plusieurs financements de l'État et de la coopération allemande, l'OIPR a acquis deux ULM et des avions pour assurer une surveillance du parc. « On salue cette présence forte de la coopération allemande, qui dès la survenue de la crise, après la décision du patrimoine mondial, a mis en place un fonds de dotation, pour nous permettre d'avoir les effectifs, d'avoir le matériel, d'avoir les équipements et de tout de suite, faire les activités de surveillance, explique le colonel Roger Kouadio, le directeur du parc de la Comoé. Les gens comprenant que l'autorité de gestion était sur place, les activités illégales ont commencé à régresser. Et cela s'est vérifié avec tous les inventaires aériens qu'on a pu faire et qui ont montré que les activités illégales étaient réduites. » À lire aussiTourisme en Afrique: la Côte d'Ivoire mise sur le tourisme vert [4/5] Résultat : les espèces qui avaient disparu, comme les chimpanzés et les éléphants, ont recolonisé le parc de la Comoé. Grâce à des caméras, les chercheurs ont pu constater leur présence. « En 2013, on n'a même pas pu observer l'éléphant. J'utilise maintenant les caméras trappe. En 2016, on était autour de 60 individus. Et lorsque nous avons fait l'inventaire l'année passée, on était autour de 150 individus, raconte Colonel Amara Ouattara, le chef du service du suivi écologique. Les résultats de 2022 montrent que nous sommes passés de 8 000 individus pour les bibales, à 17 000 individus. Pour les cobes de Buffon, on est passé de 9 000 individus, à près de 10 000 individus. Donc, vous voyez, presque toutes les espèces phares du parc sont passées du simple au double. » Pour réduire les activités illicites, il a fallu surtout impliquer les populations environnantes. Mamadou Koné est animateur rural : « On sensibilise plus sur la pratique de l'orpaillage clandestin, qui favorise la délinquance juvénile et l'utilisation du mercure et du cyanure, qui sont des produits très toxiques pour la santé. » Parmi ses projets phare, le parc de la Comoé compte réintroduire des lions, à partir de 2027, pour attirer des touristes et dynamiser la recherche. À lire aussiEn Côte d'Ivoire, le trafic de grands félins alimenté par la médecine traditionnelle
Dans la mythologie grecque, l'Ambroisie était le nectar des Dieux, qui leur assurait l'immortalité.C'est aussi une plante, une EEE, espèce exotique envahissante, qui cause beaucoup de soucis en France. L'Ambroisie à feuilles d'armoise (Ambrosia artemisiifolia L.) sécréte, en plus d'un pollen très allergisant, une substance qui inhibe la croissance des plantes voisines.Pionnière et opportuniste, elle peut entrer en compétition avec les plantes cultivées, ce qui peut impacter les rendements agricoles. Sa gestion représente donc un enjeu de santé publique : son pollen peut déclencher une réaction allergique (rhinite, conjonctivite, asthme ou encore eczéma). En Auvergne-Rhône-Alpes, région la plus touchée, 660.000 personnes seraient impactées par l'Ambroisie, ce qui engendre des coûts sanitaires importants.Gaëlle Guyot du FREDON Nouvelle Aquitaine nous explique tout ça. _______ Le FIFO (Festival international du film ornithologique) de Ménigoute est un rendez-vous incontournable pour les passionnés du documentaire animalier et pour les amoureux du Vivant.Le FIFO propose des projections de films, mais aussi un forum des assos et autres acteurs naturalistes, un salon d'Art animalier, des rencontres-débats, un festival off, des sorties et ateliers nature. L'entrée est gratuite et chaque projection payante. C'est simple, riche et “familial”.BSG a eu l'honneur et la chance d'y être invité pour la 38 e édition, fin octobre 2022. Marc y a réalisé 48 interviews, en se laissant guider par le hasard, au petit bonheur la grande chance. Il en est revenu les cales pleines de belles rencontres et de pépites naturalistes.___
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou prend la parole ce soir sur Europe 1 et CNews pour tenter de convaincre les Français et les partis d'opposition de la gravité de la situation financière du pays à 8 jours du vote de confiance qui pourrait précipiter sa chute.À la veille de la rentrée scolaire, une distribution gratuite de fournitures organisée par un réseau local de trafiquants de drogue a été interdite par le préfet dans un quartier d'Orange dans le Vaucluse.Dans l'Aude, une rave party a été organisée sur le lieu d'un gigantesque incendie qui a ravagé 16 000 hectares et détruit 36 habitations, causant de lourdes pertes pour le tourisme local.Les Mondiaux de Badminton se tiennent actuellement à Paris, avec un public nombreux et enthousiaste, un an après les succès français aux Jeux Olympiques.La Formule 1 fait sa rentrée avec le Grand Prix des Pays-Bas, où le jeune pilote français Isaac Hadjar se positionne à une magnifique quatrième place.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du vendredi 29 août 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bxs7.A
durée : 00:06:14 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Isabelle Viseux-Poletti, directrice de l'Ultra-trail du Mont-Blanc, était l'invitée de France Inter ce vendredi. L'édition 2025 de la course de 174 km part ce vendredi de Chamonix. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il y a quelques jours, je me suis plongée dans le livre de mon invitée, No More Plastic: comment le plastique ruine notre santé. Je croyais avoir compris l'enjeu du plastique, sujet que j'avais traité plusieurs fois dans des épisodes de Demain N'attend Pas. Et pourtant… en trois heures de lecture, ma vision a basculé. J'ai levé les yeux du livre, j'ai regardé mon appartement, mes placards… et j'ai pris conscience de l'ampleur des dégâts : nous vivons littéralement dans le plastique. Ses fonctionnalités extraordinaires (résistance, durabilité, légereté, imperméabilisation, brillance...) en ont fait un matériaux de base pour toutes les industries. Résultat : le plastique est partout autour de nous. Dans nos bouteilles et nos contenants, dans nos vêtements et nos chaussures, dans nos crèmes, nos vernis et nos shampooings, dans nos produits ménagers, et jusque dans notre nourriture... Partout. Aujourd'hui, je suis ravie d'accueillir Rosalie Mann, fondatrice de la No More Plastic Foundation, une ONG engagée contre la pollution plastique, et autrice du livre No More Plastic, comment le plastique ruine notre santé publié aux éditions La Plage.Rosalie nous rappelle la réalité des chiffres :
La capitale sénégalaise, côté pile, incarne le décor idyllique des cartes postales : corniche qui surplombe l'océan Atlantique, plages animées et surfeurs. Mais côté face, la réalité de Dakar est tout autre. La baie de Hann est massivement polluée. Elle s'étend sur 20 kilomètres à l'est de la capitale et abrite : le port de Dakar, des quartiers de pêcheurs et une vaste zone industrielle. Autrefois appréciée des habitants et des visiteurs pour ses eaux calmes et ses plages de sable fin, la baie est aujourd'hui envahie par les ordures : 65% des déchets industriels et 35% des déchets ménagers de Dakar y sont déversés. Pollution maximum, danger pour la santé. Un nouveau projet de dépollution, lancé en 2018, avance doucement. Une grosse station d'épuration devrait être achevée l'an prochain, et tout le réseau d'assainissement repensé. (Rediffusion du 8 avril 2025) « À Dakar, sauver la baie de Hann de l'asphyxie », un Grand reportage de Juliette Dubois.
Le Journal en français facile du mardi 26 août 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BxJB.A
Le Journal en français facile du vendredi 22 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BwfG.A