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Dans Vigilance, un podcast proposé par Lefebvre Dalloz et Toovalu, nos chroniqueurs et chroniqueuses vous informer tous les mois. Ils reviennent sur des informations essentielles à la culture ESG. Ils donnent aussi des conseils pratiques.Dans ce nouveau numéro:Matthieu Barry, journaliste pour l'actuel-HSE, revient sur le sujet du moment : l'omnibus ;Anne-Laure Tulpain, journaliste spécialisée en droit de l'environnement chez Lefebvre Dalloz, nous parle de l'IA générative et son impact sur la planète ;Nicolas Desmoitier, directeur général de Toovalu, évoque la stratégie des entreprises pour atténuer le changement climatique.Un podcast présenté par Sophie Bridier, rédactrice en chef ESG Europe, et monté par Joséphine Bonnardot, journaliste pour actuel Direction juridique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque jour, retrouvez le journal de 6h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourra-t-on vivre sur Mars ? Vivre sur Mars relève-t-il de la science-fiction ? Elon Musk et Space X sont-ils crédibles ? Dans cette interview, Roland Lehoucq analyse la crédibilité physique des oeuvres de science-fiction et des projets des milliardaires de la Tech comme Jeff Bezos et Elon Musk. Combien de temps faudrait-il pourra aller sur Mars ? L'Homme peut-il survivre plusieurs années seul dans l'espace ? Interview réalisée à l'Académie du climat par Maxime ThuillezHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonsoiiir, un tout nouveau format qui tombe dans tes oreilles pour contrer le blues du dimanche soir. Parce qu'on a plus que jamais besoin de réconfort, d'authenticité et d'inspirations, je te partage le dimanche mon état d'âme des 7 derniers jours.Les remises en question, les humeurs, et surtout, les JOIES qui ont rendues cette semaine unique.Belle écoute et bon dimanche soir en douceur !
Le point sur l'actu à 6h
La FAO, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, investit 4,5 millions de dollars pour aider les agriculteurs du Katanga à améliorer leur production et réduire leur dépendance aux importations. Financé par l'Allemagne dans le cadre d'un programme de restauration forestière couvrant 34 pays africains, ce projet vise à promouvoir des pratiques agricoles durables et à renforcer la sécurité alimentaire dans la région. De notre correspondante à Lubumbashi,Dix communautés paysannes, soit plus de 1 000 agriculteurs, bénéficieront d'un appui technique et financier. L'une des priorités est l'introduction de semences améliorées, comme l'explique Henri-Paul Eloma, chargé de programme à la FAO : « La première opération, c'est donner aux paysans de la bonne semence. Car la plupart des cultures que nous avons dans notre pays, les semences datent de 30, 40 ou 50 ans. Donc, la semence a dégénéré. La deuxième technique, c'est utiliser ce qu'on appelle l'agriculture de conservation. On fait très rarement le labour. Et si on doit utiliser des fertilisants, ce sont des bio fertilisants ainsi que de bio pesticides. »D'une agriculture de survie à un modèle rentableAu Katanga, en RDC, l'épuisement des sols et la pollution liée aux activités minières ont également réduit les rendements agricoles. Barthélemy Lutumba, agriculteur dans le village de Katanga, témoigne : « Là où nous pratiquons l'agriculture de conservation, le rendement est encore faible, car la terre n'est pas fertile. Sur 1 hectare, nous produisons entre 1,5 tonne et 2 tonnes de maïs, tandis que ceux qui utilisent de l'engrais chimique récoltent jusqu'à 3,5 tonnes. »Au nord-est de Lubumbashi, sur l'axe Kasenga, des paysans de cinq villages espèrent passer d'une agriculture de subsistance à une agriculture commerciale. Stéphane Banza, coordonnateur de l'ONG Action pour la protection de la nature et des peuples autochtones du Katanga, souligne l'importance du projet : « Il y aura la création de 100 micro-entreprises qui seront soutenues financièrement. Certains vont se lancer dans l'agriculture sur de grandes étendues à haut rendement. »À lire aussi RDC : dans le Katanga, les paysans souhaitent une plus grande sécurité foncièreDe la terre aux marchés : une filière à structurerLe projet ne se limite pas à l'agriculture. Il soutient également la transformation, la conservation et la commercialisation des produits forestiers. Charles Tsheye, agronome et point focal de la foresterie communautaire à Lubumbashi, précise : « Il y a ceux qui récoltent des champignons, ceux qui produisent du miel, ceux qui récoltent des fruits sauvages… On va les aider à transformer leurs produits, à les certifier et à créer des marchés. »L'initiative prévoit aussi d'accompagner des petits éleveurs et des producteurs de charbon de bois durable. Grâce à cet appui, les paysans du Katanga pourront améliorer leur production tout en adoptant des pratiques respectueuses de l'environnement.À lire aussi RDC : une loi pour sécuriser les petits agriculteurs du Haut-Katanga
Cette semaine, SNCF Voyageurs et Alstom dévoilaient les aménagements intérieurs du futur TGV qui devrait circuler d'ici 2026. L'occasion pour nous de vous repartager notre entretien avec le directeur des projets TGV M. Dans cette rediffusion, on te raconte en bonus tous les changements que nous avons pu découvrir lors de la visite des nouveaux TGV InOui ! Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'année 2025 a débuté par une excellente nouvelle en ce qui concerne la biodiversité marine dans le Pacifique Nord. Désormais, le thon rouge n'y est plus considéré comme une espèce vulnérable, alors que ces colosses des mers, qui peuvent peser près de 300 kilos, avaient bien failli disparaître en raison de la surpêche. Dès lors, les quotas de prise très stricts en vigueur depuis dix ans ont été rehaussés, au bénéfice notamment du plus grand consommateur mondial de thon rouge : le Japon. De notre correspondant à Tokyo,Dans les restaurants de poissons du grand marché de Toyosu — qui sont plus bondés que jamais —, l'allègement des restrictions relatives à la pêche du thon rouge met les fins gourmets en joie. Car ces dernières années, ils avaient souvent dû se contenter de thons importés, surgelés, provenant de la Méditerranée, ou de thons d'élevage. « Les sushis et les sashimis de thon rouge, c'est merveilleux, s'exclame cette amatrice de poisson. Je me suis empiffrée. Ça fond dans la bouche… Quel bonheur ! » Une autre surenchérit : « Pour sûr, ce sera LA bonne nouvelle de l'année. Cela me fait énormément plaisir ! »Et ce n'est pas que sur le plan gustatif que se réjouissent les clients du marché de Toyosu, ils pensent aussi à leur porte-monnaie : « Davantage de thon rouge disponible, ça veut dire qu'en vertu de la loi de l'offre et de la demande, son prix va baisser… Trop bien ! », vante ce passant. Une opinion que partage une autre cliente : « On en trouvait au supermarché, mais à des prix si élevés que je n'en achetais quasiment jamais, uniquement pour les grandes occasions. »À écouter dans 8 milliards de voisins Comment expliquer la popularité du sushi ?Des pêcheurs soulagésCette année, les pêcheurs nippons pourront capturer 13 000 tonnes de thon rouge dans le Pacifique Nord, contre 9 500 auparavant. C'est un ballon d'oxygène pour une profession qui a été terriblement impactée par l'élévation de la température des océans, due au réchauffement climatique : « J'espère que ce quota augmentera considérablement dans les années à venir parce qu'on souffre. On pêche moins de poissons qu'avant, toutes espèces confondues, car beaucoup ont migré vers le grand large, dans des eaux plus fraîches, regrette ce pêcheur. Et moins d'algues aussi, car elles dépérissent dans ces eaux devenues si tièdes. Du coup, je ne compte plus les collègues qui ont fini par jeter l'éponge et se reconvertir dans une autre activité, à force d'accumuler les déficits. »Cet autre pêcheur, plus nuancé, reconnaît l'impact de ces quotas sur sa profession : « On comprend, bien sûr, ces restrictions : il fallait à tout prix préserver la ressource maritime. Mais, en même temps, cela a été terrible pour les coopératives de pêcheurs. Le thon rouge étant le poisson préféré des Japonais, à cause de ces quotas, leur manque à gagner a été énorme. »À lire aussiLe rythme de réchauffement des océans a presque doublé depuis 2005, selon un rapport CopernicusEmbellie diplomatiqueL'augmentation du quota de pêche du thon rouge est aussi une bonne nouvelle diplomatique pour le Japon. Depuis des années, en effet, à chaque réunion de la commission internationale qui fixe ce quota, le pays bataillait sans relâche en faveur d'une telle mesure. En vain. Tous les autres pays de la région — et le puissant allié américain y compris — s'y opposaient, notamment parce que l'archipel a longtemps été accusé de sévir insuffisamment contre les coopératives de pêcheurs qui fraudent en sous-déclarant leurs prises de thon rouge.Mais depuis, soucieux de son image à l'international, Tokyo a serré la vis : plusieurs coups de filet policiers ont visé les coopératives fautives et la réglementation en la matière a été durcie.La méfiance des pays voisins à son égard s'étant amenuisée et la ressource maritime ayant fini par se reconstituer, dix ans après leur instauration, les quotas de pêche du thon rouge dans le Pacifique Nord ont donc enfin pu être augmentés.À lire aussi « Pillages » : une BD et un constat accablant sur la surpêche et la corruption en Afrique
Dans sa chronique, Jean-Marc Jancovici se penche sur les conséquences de la guerre en Ukraine face à l'approvisionnement en gaz russe. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'année 2025 a débuté par une excellente nouvelle en ce qui concerne la biodiversité marine dans le Pacifique Nord. Désormais, le thon rouge n'y est plus considéré comme une espèce vulnérable, alors que ces colosses des mers, qui peuvent peser près de 300 kilos, avaient bien failli disparaître en raison de la surpêche. Dès lors, les quotas de prise très stricts en vigueur depuis dix ans ont été rehaussés, au bénéfice notamment du plus grand consommateur mondial de thon rouge : le Japon. De notre correspondant à Tokyo,Dans les restaurants de poissons du grand marché de Toyosu — qui sont plus bondés que jamais —, l'allègement des restrictions relatives à la pêche du thon rouge met les fins gourmets en joie. Car ces dernières années, ils avaient souvent dû se contenter de thons importés, surgelés, provenant de la Méditerranée, ou de thons d'élevage. « Les sushis et les sashimis de thon rouge, c'est merveilleux, s'exclame cette amatrice de poisson. Je me suis empiffrée. Ça fond dans la bouche… Quel bonheur ! » Une autre surenchérit : « Pour sûr, ce sera LA bonne nouvelle de l'année. Cela me fait énormément plaisir ! »Et ce n'est pas que sur le plan gustatif que se réjouissent les clients du marché de Toyosu, ils pensent aussi à leur porte-monnaie : « Davantage de thon rouge disponible, ça veut dire qu'en vertu de la loi de l'offre et de la demande, son prix va baisser… Trop bien ! », vante ce passant. Une opinion que partage une autre cliente : « On en trouvait au supermarché, mais à des prix si élevés que je n'en achetais quasiment jamais, uniquement pour les grandes occasions. »À écouter dans 8 milliards de voisins Comment expliquer la popularité du sushi ?Des pêcheurs soulagésCette année, les pêcheurs nippons pourront capturer 13 000 tonnes de thon rouge dans le Pacifique Nord, contre 9 500 auparavant. C'est un ballon d'oxygène pour une profession qui a été terriblement impactée par l'élévation de la température des océans, due au réchauffement climatique : « J'espère que ce quota augmentera considérablement dans les années à venir parce qu'on souffre. On pêche moins de poissons qu'avant, toutes espèces confondues, car beaucoup ont migré vers le grand large, dans des eaux plus fraîches, regrette ce pêcheur. Et moins d'algues aussi, car elles dépérissent dans ces eaux devenues si tièdes. Du coup, je ne compte plus les collègues qui ont fini par jeter l'éponge et se reconvertir dans une autre activité, à force d'accumuler les déficits. »Cet autre pêcheur, plus nuancé, reconnaît l'impact de ces quotas sur sa profession : « On comprend, bien sûr, ces restrictions : il fallait à tout prix préserver la ressource maritime. Mais, en même temps, cela a été terrible pour les coopératives de pêcheurs. Le thon rouge étant le poisson préféré des Japonais, à cause de ces quotas, leur manque à gagner a été énorme. »À lire aussiLe rythme de réchauffement des océans a presque doublé depuis 2005, selon un rapport CopernicusEmbellie diplomatiqueL'augmentation du quota de pêche du thon rouge est aussi une bonne nouvelle diplomatique pour le Japon. Depuis des années, en effet, à chaque réunion de la commission internationale qui fixe ce quota, le pays bataillait sans relâche en faveur d'une telle mesure. En vain. Tous les autres pays de la région — et le puissant allié américain y compris — s'y opposaient, notamment parce que l'archipel a longtemps été accusé de sévir insuffisamment contre les coopératives de pêcheurs qui fraudent en sous-déclarant leurs prises de thon rouge.Mais depuis, soucieux de son image à l'international, Tokyo a serré la vis : plusieurs coups de filet policiers ont visé les coopératives fautives et la réglementation en la matière a été durcie.La méfiance des pays voisins à son égard s'étant amenuisée et la ressource maritime ayant fini par se reconstituer, dix ans après leur instauration, les quotas de pêche du thon rouge dans le Pacifique Nord ont donc enfin pu être augmentés.À lire aussi « Pillages » : une BD et un constat accablant sur la surpêche et la corruption en Afrique
Le Journal en français facile du vendredi 14 mars 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BUoy.A
Impôts fédéraux : l’IEDM recommande d’abolir le deuxième palier d’imposition afin d’aider les travailleurs de la classe moyenne | Marie-Annick Lépine nous présente son nouvel album solo «Le coeur est un rêveur» Dans cet épisode intégral du 14 février, en entrevue : Renaud Brossard, vice-président communications à l’Institut économique de Montréal (IEDM) Marie-Annick Lépine, chanteuse et multi-instrumentiste. Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En ces temps troubles, quel bonheur de mettre en avant celles et ceux qui agissent au quotidien pour la préservation de l'environnement. Toutes ces révolutions tranquilles, comme les appellent la journaliste Bénédicte Manier, qui changent les mentalités des petits et grands. L'association sénégalaise Nebeday que nous allons vous faire découvrir aujourd'hui en fait partie. Nous avons découvert l'ampleur de ses activités à l'occasion des 20 ans du programme des petites initiatives qui soutient des dizaines de défenseurs de la biodiversité du continent. C'est l'association Nebeday qui a géré la logistique et qui nous a hébergé dans son camp nature dans le sine saloum en bordure du village de Soukouta. C'est une expérience à vivre : aller observer les oiseaux dans les mangroves au coucher du soleil, dormir sous la tente au milieu des baobabs en écoutant le rire des hyènes et découvrir les facéties des singes verts au petit matin. Jean Goepp, le co-fondateur et directeur de l'association Nebeday nous attend dans sa partie privée. Lui aussi dort dans une tente mais il a créé un abri en dur pour s'abriter du soleil. C'est là qu'il nous reçoit, un café fumant nous attend sur la table basse…Reportage réalisé par François Porcheron sur l'association Nébéday dont l'objectif est la gestion participative des ressources naturelles par et pour les populations locales.
Steven Guilbeault ne sera plus attitré à l’Environnement et aux changements climatiques. Qu’en pensent les associations engagées dans la lutte contre le dérèglement climatique ? Entrevue avec Caroline Brouillette, directrice exécutive du Réseau action climat Canada.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Régime minceur pour le cabinet de Mark Carney | Manque de sécurité dans le métro: la Ville de Montréal prend le taureau par les cornes | Steven Guilbeault quitte l’Environnement | Le rêve à l’honneur ce dimanche à Star Académie| Dans cet épisode intégral du 14 février, en entrevue : Éric Alan Caldwell, président du conseil d’administration de la Société de Transports de Montréal (STM). Caroline Brouillette, directrice exécutive du Réseau action climat Canada. Pierre-Olivier Pineau, titulaire de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie à HEC Montréal. Jean-Philippe Dion, animateur de Star Académie. Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'Europe promet de faire la chasse à la paperasse ! La bureaucratie est en effet dans le viseur de la Commission. Fin février, l'exécutif européen a dévoilé un paquet de mesures appelé "omnibus" destiné à alléger les entreprises du poids des normes, jugé excessif. Le commissaire à l'Économie, la Productivité et la Simplification, le Letton Valdis Dombrovskis conduit les opérations.
Faut-il construire un câble électrique sous l’Atlantique pour vendre l’électricité du Québec en Europe? | Le comité sur la langue française livre son deuxième rapport de recommandations Dans cet épisode intégral du 14 février, en entrevue : Laurent Segalen, cofondateur de North Atlantic Transmission One Link (NATO-L) Louise Harel, présidente du comité sur la langue française de Montréal Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En ces temps troubles, quel bonheur de mettre en avant celles et ceux qui agissent au quotidien pour la préservation de l'environnement. Toutes ces révolutions tranquilles, comme les appellent la journaliste Bénédicte Manier, qui changent les mentalités des petits et grands. L'association sénégalaise Nebeday que nous allons vous faire découvrir aujourd'hui en fait partie. Nous avons découvert l'ampleur de ses activités à l'occasion des 20 ans du programme des petites initiatives qui soutient des dizaines de défenseurs de la biodiversité du continent. C'est l'association Nebeday qui a géré la logistique et qui nous a hébergé dans son camp nature dans le sine saloum en bordure du village de Soukouta. C'est une expérience à vivre : aller observer les oiseaux dans les mangroves au coucher du soleil, dormir sous la tente au milieu des baobabs en écoutant le rire des hyènes et découvrir les facéties des singes verts au petit matin. Jean Goepp, le co-fondateur et directeur de l'association Nebeday nous attend dans sa partie privée. Lui aussi dort dans une tente mais il a créé un abri en dur pour s'abriter du soleil. C'est là qu'il nous reçoit, un café fumant nous attend sur la table basse…Reportage réalisé par François Porcheron sur l'association Nébéday dont l'objectif est la gestion participative des ressources naturelles par et pour les populations locales.
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Les politiques environnementales sont mises à mal partout dans le monde. En premier lieu aux États-Unis où le président Donald Trump multiplie les décisions en faveur des énergies fossiles. En Europe, le Pacte vert est de plus en plus détricoté. Le climat constitue-t-il encore une priorité ? Les dépenses annoncées pour la défense européenne sonnent-elles le coup de grâce de la transition écologique ? Pour en débattre :- Lucile Schmid, essayiste, cofondatrice du think tank La Fabrique écologique- Anne Bringault, directrice des programmes au Réseau Action Climat - Hervé Kempf, directeur de la rédaction Reporterre, le média de l'écologie. Co-auteur de la BD Comment les riches ravagent la planète.
Les politiques environnementales sont mises à mal partout dans le monde. En premier lieu aux États-Unis où le président Donald Trump multiplie les décisions en faveur des énergies fossiles. En Europe, le Pacte vert est de plus en plus détricoté. Le climat constitue-t-il encore une priorité ? Les dépenses annoncées pour la défense européenne sonnent-elles le coup de grâce de la transition écologique ? Pour en débattre :- Lucile Schmid, essayiste, cofondatrice du think tank La Fabrique écologique- Anne Bringault, directrice des programmes au Réseau Action Climat - Hervé Kempf, directeur de la rédaction Reporterre, le média de l'écologie. Co-auteur de la BD Comment les riches ravagent la planète.
Sunwing expulse sa famille de l’avion et l’abandonne avec deux bébés en Jamaïque | Il nous présente son nouvel album «Tout ce que l’aube promet» disponible dès demain | Faut-il changer les noms à connotation catholique des écoles québécoises ? Dans cet épisode intégral du 13 février, en entrevue : Réda Haddoud, directeur dans un organisme public et client de Sunwing Alex Nevsky, auteur-compositeur-interprète Guy Nantel, humoriste, auteur. Une producction QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En 2015, les pays membres de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique, soit presque tous les pays de la planète se sont fixé un objectif commun : protéger 30% des zones terrestres et marines de la planète d'ici à 2030. C'est évidemment une bonne idée à l'heure où la biodiversité s'effondre à une vitesse vertigineuse. La question est comment y parvenir ? Sur le continent africain notamment qui abrite un quart des espèces de mammifères, un cinquième des oiseaux et un sixième des végétaux de la planète ? Et bien dans ce domaine une ONG se taille, si je puis dire, la part du lion. African Parks administre 22 parcs dans douze pays africains sur un espace de 20 millions d'hectares. Et ses dirigeants ne comptent pas s'arrêter là… Il est donc intéressant de s'interroger sur leurs méthodes, leurs résultats, leurs financements…Avec le journaliste Olivier van Beemen pour son ouvrage Au Nom de la nature, enquête sur les pratiques néocolonialistes de l'ONG African Parks paru aux Éditions de l'Échiquier.
En 2018, la ville du Cap a vécu son « day zero », les robinets étaient presque à sec. Depuis, la gestion de l'or bleu a été complètement repensée, avec des investissements massifs. Près de la moitié du budget municipal pour les infrastructures est dédiée à cette gestion de l'eau. À Zandvliet, au sud de la ville, une station d'épuration a été entièrement rénovée pour un coût de 100 millions d'euros. Et l'objectif, à terme, est de rendre potables les eaux usées. De notre envoyé spécial, de retour du Cap,Le bâtiment principal est tout neuf, des murs blancs avec de grandes vitres donnent sur les machines. « La sécheresse nous a frappés entre 2015 et 2018, se souvient Christopher Norman, ingénieur de la station. Lors du “Day zero”, nous étions proches d'avoir les robinets à sec. La ville n'était absolument pas prête. Maintenant, nous avons ce nouveau programme de gestion de l'eau, qui comprend : la réutilisation, le dessalement et l'eau souterraine. Mais nous devons aussi faire face à des années de sous-investissements, surtout dans le domaine des eaux usées. C'est pourquoi nous avons maintenant des modèles de financement alternatifs, avec des partenariats public-privé par exemple. »À écouter dans Grand reportageLe Cap face à la crise de l'eauVingt étapesUne politique de mise aux normes et d'amélioration est lancée, comme à Zandvliet, site entièrement rénové l'année dernière, pour un coût total de 100 millions d'euros. « C'est là que les eaux usées arrivent de différents quartiers, précise Christopher Norman. Elles sont pleines de toutes sortes de déchets et d'objets, beaucoup de vêtements et de bouts de tissus. » « Ici, les débris entrent, poursuit son collègue Keith Olsen. Ces pâles en métal les attrapent à intervalles réguliers et les font remonter pour les retirer de l'eau ».L'eau continue son parcours aux quatre coins de la station, une vingtaine d'étapes en tout. Le filtrage est de plus en plus fin et chaque machine est différente, jusqu'à l'introduction de procédés chimiques ou biologiques. « Une partie de l'équipement très coûteux comprend ces souffleurs, explique Christopher Norman. L'eau est marron parce que nous injectons des particules actives sous pression, remplies d'organismes et de bactéries, pour traiter l'eau. »À écouter dans Grand reportageFace au changement climatique, Le Cap peut-il montrer la voie?10 % de l'eau potable en 2040Vient l'étape finale : les membranes, une installation coûteuse, mais innovante. « Les membranes ressemblent à des spaghettis, montre Christopher Norman. Elles trempent dans l'eau ; le liquide s'y infiltre, remonte le long de ces spaghettis, laissant tous les derniers minuscules éléments solides derrière lui. Avant, l'eau était marron, vous vous souvenez ? Regardez, maintenant qu'elle a traversé les membranes, elle est claire comme le cristal, on dirait de l'eau potable. Il reste seulement quelques particules mauvaises pour la santé. C'est pourquoi nous allons bientôt ajouter un bâtiment de traitement avancé, d'une valeur de 3,5 milliards de rands, pour vraiment purifier cette eau. »L'objectif, à terme, est que cette eau coule dans les robinets. La ville du Cap prévoit que d'ici à 2040, cette eau réutilisée représentera près de 10 % de l'eau potable.À lire aussiL'accès à l'eau potable pour tous en Afrique: des entreprises françaises tentent d'y remédier
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Il y a déjà 5 ans, le monde était paralysé à cause de la pandémie de la COVID-19 | Il y a des gens pour qui la pandémie n’est pas un souvenir | De nouvelles mesures temporaires annoncées pour rehausser la sécurité dans le métro de Montréal Dans cet épisode intégral du 13 février, en entrevue : Richard Marchand, microbiologiste-infectiologue à l'Institut de cardiologie de Montréal. Kevin Grenier, président de la Fraternité des constables et agents de la paix de la STM Bruno Jeannotte, président du syndicat du transport de Montréal Une production QUBMars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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Des élections fédérales dans les prochaines semaines? | Beaucoup d’armes illégales qui proviennent des États-Unis… | Santé Québec: est-ce que Geneviève Biron est la bonne personne? | Les personnes en situation d’itinérance ne pourront plus flâner dans le métro de Montréal | Rencontre du G7 à Charlevoix Dans cet épisode intégral du 13 février, en entrevue : Jean Bédard, président et chef de la direction du Groupe Grandio. Emna Braham, présidente-directrice générale de l’Institut du Québec. James Hughes, président et chef de la direction de la Mission Old Brewery. Simon-Olivier Fecteau, réalisateur et humoriste. Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
REDIFF - Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Virginie Garin, journaliste à RTL, a cherché à savoir si la solution du "manger local" contribue à la lutte contre le réchauffement climatique. Alors, faut-il bannir de son alimentation tout ce qui est importé ? Réponse avec l'économiste Bruno Parmentier, Xavier Terlet, le conseiller du cabinet Protéines-XTC et Daniel Sauvaitre, président de l'Association Nationale Pommes Poires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Simon Olivier-Fecteau tire sa révérence à la tête du Bye Bye | Nathalie Simard sera en vedette dans la nouvelle comédie musicale d’envergure «Évangéline» ! Dans cet épisode intégral du 12 février, en entrevue : Simon Olivier-Fecteau, réalisateur et humoriste Nathalie Simard, chanteuse et animatrice Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
REDIFF - Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Virginie Garin, journaliste à RTL, a cherché à savoir si la solution du "manger local" contribue à la lutte contre le réchauffement climatique. Alors, faut-il bannir de son alimentation tout ce qui est importé ? Réponse avec l'économiste Bruno Parmentier, Xavier Terlet, le conseiller du cabinet Protéines-XTC et Daniel Sauvaitre, président de l'Association Nationale Pommes Poires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec :- Coralie Schaub, journaliste environnement chez Libération : une étude scientifique affirme avoir identifié une bactérie capable de décomposer les PFAS, les polluants éternels. Mais la mise en application concrète de cette solution reste hypothétique et il n'existe pour l'heure pas de solution miracle permettant d'éliminer ces polluants- Simon Rozé, chef du service environnement de RFI reviendra sur la mobilisation Stand Up for Science du 7 mars dernier - Igor Strauss journaliste au service environnement de RFI nous parlera de sa mission au Tchad- Lucia Muzell du service brésilien : À huit mois de la 30è Conférence des Nations unies sur les changements climatiques au Brésil, la ville de Belém se prépare à accueillir le plus grand événement mondial sur la lutte contre le réchauffement climatique. Mais certains travaux prévus pour la COP30 contredisent l'objectif même de la conférence.- Sébastien Bonijol nous présentera une action des Clubs RFI. Cette semaine l'actualité des clubs nous emmène au Bénin, plus précisément dans la ville côtière de Ouidah, située à 40 kilomètres de Cotonou. Les membres du club RFI Ouidah se sont lancés dans un projet passionnant et ambitieux qui est de sensibiliser et former les jeunes de la commune sur l'énergie renouvelable. - Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Abdoulaye Diagne Ndiaye pour son film Diable de poussière.
REDIFF - Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Virginie Garin, journaliste à RTL, a cherché à savoir si la solution du "manger local" contribue à la lutte contre le réchauffement climatique. Alors, faut-il bannir de son alimentation tout ce qui est importé ? Réponse avec l'économiste Bruno Parmentier, Xavier Terlet, le conseiller du cabinet Protéines-XTC et Daniel Sauvaitre, président de l'Association Nationale Pommes Poires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Pourquoi malgré le fait que nous soyons tous au courant de l'urgence environnementale à laquelle nous faisons face, il subsiste parfois un tel écart entre nos intentions et nos actions à l'échelle de notre quotidien ? Au niveau de notre alimentation, c'est assez clair. Aujourd'hui produire 1kg de viande bovine émet 27kg de GES, et l'élevage est également une cause importante de déforestation et pollution. Pourtant, la consommation de viande en France continue d'augmenter, et il apparaît difficile pour beaucoup de personnes d'arrêter ou simplement réduire sa consommation de viande. Le chocolat est aussi un bon exemple, car en France on en consomme environ 7 kg par personne chaque année, alors que la culture de cacao est considérée comme la 4e cause de déforestation dans le monde et pose aussi des questions sociales importantes.Alors pourquoi est-il si difficile de changer notre manière de manger ? Qu'est-ce qui nous empêche individuellement de participer à une transition écologique généralisée ?Pour expliquer ces dissonances entre nos convictions et nos habitudes, Fanny Giansetto reçoit Aurore Grandin, docteure en sciences cognitives, enseignante chercheuse à l'ENS et Paris Sciences et lettres, spécialisée en sciences environnementales. Références mentionnées dans cet épisode:Homo sapiens dans la cité. Comment adapter l'action publique à la psychologie humaine. C.Chevalier et M.Perona, 2022 *** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/proÉcotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.frRéalisation : Lucie Jannon
Dans cet extrait de l'épisode [#107 - Les biais cognitifs nous empêchent-ils d'agir ?], Aurore Grandin relativise la place de notre cerveau dans nos choix alimentaires. Aujourd'hui par exemple, produire 1kg de viande bovine émet 27kg de GES, et l'élevage est également une cause importante de déforestation et pollution. Pourtant, la consommation de viande en France continue d'augmenter. Alors pourquoi est-il si difficile de changer notre manière de manger ? Notre cerveau est-il un des obstacles qui nous empêchent de participer individuellement à une transition écologique dans notre assiette ? Pour expliquer ces dissonances entre nos convictions et nos habitudes, Aurore Grandin, docteure en sciences cognitives et spécialisée en sciences environnementales est l'invitée de cet épisode. *** Pour nous soutenir : - Abonnez-vous à notre podcast ; - Donnez votre avis en mettant des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée ; - Parlez d'Écotable et de son podcast autour de vous ; - Allez manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Écotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme www.ecotable.fr/pro Écotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site www.ecotable.fr
REDIFF - Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Virginie Garin, journaliste à RTL, a cherché à savoir si la solution du "manger local" contribue à la lutte contre le réchauffement climatique. Alors, faut-il bannir de son alimentation tout ce qui est importé ? Réponse avec l'économiste Bruno Parmentier, Xavier Terlet, le conseiller du cabinet Protéines-XTC et Daniel Sauvaitre, président de l'Association Nationale Pommes Poires. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Luce Dufault et Lunou Zucchini feront partie de Les Belles-Soeurs symphonique cet été | Avoir un chat est-il bon pour la santé ? | Le procès de Gilbert Rozon mis sur pause | Une famille conteste le résultat à l’école de leur enfant devant la Cour supérieure Dans cet épisode intégral du 11 février, en entrevue : Luce Dufault, chanteuse Lunou Zucchini, chanteuse, comédienne, co-animatrice de Belle et Bum Caroline Kilsdonk, médecin vétérinaire et bioéthicienneMe François-David Bernier, analyste judiciaire. Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Martin Deschamps souligne ses 25 ans de carrière avec un nouveau spectacle «Retour aux sources» | Un comité d’experts mis en place pour déterminer si la loi 21 est bien appliquée | La Journée de la femme détournée par le mouvement Woke. Dans cet épisode intégral du 10 février, en entrevue : Martin Deschamps, auteur-compositeur-interprète Me Christiane Pelchat, avocate, ancienne députée libérale et exprésidente du Conseil du statut de la femme Sophie Laplante, directrice du comité Femme en Sécurité pour l’Association ASIS Québec Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
J'ai passé 10 jours dans le silence à méditer 10 heures par jour. Je te partage mon expérience dans cet épisode !1mn50 : qu'est-ce que Vipassana ?5mn12 : comment j'ai vécu l'aventure, jour par jour38mn : le retour et ce que j'en retiens.>Le lien pour t'abonner à la newsletter (en bas de page du site)>Le lien vers les centres de retraite partout dans le monde. Belle écoute ! ☀️ ---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Retrouvez ici le programme Résilience porté par Karuna Shechen. Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Bien le bonjouuuuur d'une petite dame qui vient vous proposer un nouveau format : le courrier du coeur ! Ça fait plusieurs années que j'ai envie de lire vos histoires et de vos donner mes conseils non sollicités ahahaCourrier du coeur d'une misandre épisode n°1, c'est parti ✨La libération émotionnelle avec Manou : https://www.instagram.com/manonboissiere_/?hl=frEt vous avez 10% de réduction sur TOUTES vos consultations avec le code GSM10Je vous attend sur Instagram @greenetsoimeme, ça me ferai plaisir d'échanger avec vous
Bonsoiiir, un tout nouveau format qui tombe dans tes oreilles pour contrer le blues du dimanche soir. Parce qu'on a plus que jamais besoin de réconfort, d'authenticité et d'inspirations, je te partage le dimanche mon état d'âme des 7 derniers jours.Les remises en question, les humeurs, et surtout, les JOIES qui ont rendues cette semaine unique.Belle écoute et bon dimanche soir en douceur !
Déclin des ressources pétrolières de la Mer du Nord, de l'Afrique ou de la Russie : l'Union européenne voit ses fournisseurs historiques de pétrole s'effondrer. D'où cette question : l'Europe risque-t-elle un effondrement énergétique ? L'industrie européenne peut-elle résister à ce déclin du pétrole ? Pour y répondre, nous recevons Matthieu Auzanneau, journaliste spécialiste des questions énergétiques, auteur d'Or Noir aux éditions La Découverte et de Pétrole, le déclin est proche aux éditions La Découverte , et directeur du Shift Project, le think tank créé par Jean-Marc Jancovici. Interview réalisée par Maxime Thuillez et enregistrée à l'Académie du climat. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment rester lucide, garder un cap, savoir comment et où agir, préserver notre joie ou simplement notre santé mentale … quand chaque jour semble emporter un peu plus le monde que nous connaissons ? Quand les digues semblent tomber les unes après les autres ? Quand nous nous sentons au bord du précipice de l'Histoire ? Si ces questions vous parlent, si elles vous réveillent la nuit, cette conversation avec MATTHIEU DARDAILLON est pour vous.
Maxime Landry et Annie Blanchard lancent «À bon port», un nouvel album de chansons originales | Pourquoi Pauline Marois n’est-elle pas sur la carte de métro féminin de Montréal ? | La santé des femmes militaires mieux prise en compte, mais loin d’être acquise Dans cet épisode intégral du 07 février, en entrevue : Maxime Landry, auteur-compositeur-interprète, animateur Annie Blanchard, auteure-compositrice-interprète Chantal Ringuet, autrice et idéatrice de la carte Montréal, ville de femmes Marianne Dépelteau, journaliste à Francopresse Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cet épisode est un extrait du podcast publié lundi dernier. En moins de 10 minutes, il te permettra de capter les plus beaux messages de l'épisode avec Sarah Roubato.Un extrait qui je l'espère, remplacera Instagram pendant ta pause de 10mn, se retrouvera dans tes oreilles avant de t'endormir, ou à ton réveil pour commencer ta journée dans la joie. Si ce passage te plait et que tu as envie d'en connaître plus sur mon invitée de la semaine, l'épisode en entier t'attend chaudement sur Nouvel Œil.
Au cœur du delta du Niger, l'un des endroits les plus pollués au monde, des décennies d'exploitation pétrolière ont ravagé les mangroves, essentielles à la biodiversité et à la survie des communautés locales. Judith Rueff et Moïse Gomis se sont immergés au Nigeria dans le quotidien de ces hommes et femmes qui refusent de céder face à la catastrophe. Scientifiques, militants et avocats unissent leurs forces pour restaurer cet écosystème et défendre leurs droits.