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durée : 00:04:48 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - Le dramaturge suisse allemand Lukas Bärfuss, auteur de nombreuses pièces de théâtre, est à Avignon pour découvrir la mise en scène de sa pièce "Malaga" par Renaud Danner à l'Artéphile. - invités : Lukas Bärfuss Écrivain et dramaturge suisse; Claire Stavaux Traductrice et éditrice
En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles. De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol, Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ». Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique
En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles. De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol, Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ». Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique
Vous le savez dans ce podcast, j'ai à cœur de mettre en lumière des histoires d'entrepreneurs, d'avoir un échange profond sur leurs parcours, la façon dont ils ont créé leurs entreprises, ce qui les anime profondément. J'ai reçu plus d'une centaines d'invités et c'est la première fois que j'ai la possibilité de vous donner à entendre une histoire d'entrepreneure qui a commencé seule pour Fanny et qui s'est poursuivie à deux avec l'arrivée d'Edwina. Toutes deux partagent une même vision pour leur entreprise et disposent d'expertises ultra complémentaires, renforcées par des expériences à l'international, ce qui les arment pour aborder le développement de Fascent. Dans cette conversation vous en apprendrez davantage sur le monde du parfum, le rôle des maisons de composition mais aussi le fonctionnement des différents circuits de distribution ou encore l'ingéniosité et la capacité de persuasion dont il faut savoir faire preuve pour convaincre des fournisseurs de travailler avec vous. Vous pourrez aussi découvrir comment des rencontres au bon moment ont donné l'occasion à Fascent d'accélérer son développement et de booster son attractivité aux yeux d'acteurs internationaux. Avec Fanny et Edwina, nous avons parlé de persévérance, de créativité, d'organisation, de répartition des rôles entre associées surtout lorsque l'on vit à distance et du soutien inconditionnel de leurs famille ainsi que d'Edouard et Thomas qui partagent leur vie Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast indépendant, n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous ! Maintenant, je laisse la place à cette conversation vibrante et enthousiasmante, que j'ai eu la joie d'enregistrer avec Fanny & Edwina.Bonne écoute ! Leurs recommandations culturelles:Venir regarder le coucher de soleil le dimanche soir au village des GoudesLire les livres et revues de Nez, le mouvement culturel olfactif pour approfondir les thématiques abordées pendant notre conversation Leurs recommandations d'invités :Paul et Marie qui vont ouvrir La part du Lion (anciennement Il Bastione)Reese & Debbie, les fondatrices de Bloom CaféHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d'école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu'une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l'enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l'espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil.Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie. Enregistrements décembre 2023-2024 Scénario et dialogues Benjamin Abitan Wladimir Anselme Laura Fredducci Direction artistique Benjamin Abitan Conseillère littéraire Noémie Landreau Réalisation Benjamin Abitan Assistante réalisation Clémence Bucher Anissa Zidna Alexandra Garcia Vilà Comédiens principaux Aurélien Gabrielli (Lapin) Flore Babled (Chloé Legroin) Charlotte Corman (Spiruline Fifrelin) Valérie Mairesse (Dominique Poêlon) RFM (Juliette Plumecocq-Mech) Moyens techniques Obsidienne Rémi Durel Julie Tribout Alice Lebaube Illustration Roxane Lumeret Musique originale Samuel Hirsch Production ARTE Radio ARTE Studio Virginie Lacoste Sahar Pirouz Jacques Falgous
Écoutez le chroniqueur économique François Gagnon aborder le sujet, lundi, dans l'émission d'Élisabeth Crête.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Marguerite Vial est l'ex-Analytics Engineering Manager de Datadog, une entreprise tech américaine fondée par deux français cotée à la bourse de NY. Aujourd'hui, l'entreprise compte plus de 6 500 employés et est présente dans 33 pays dans le monde.On aborde :
Et si le bonheur n'était pas ce qu'on croit ?Dans cet épisode un peu particulier, j'ai réuni quatre penseurs majeurs : André Comte-Sponville, Frédéric Lenoir, Florence Servan-Schreiber et Thomas d'Ansembourg, pour explorer cette quête universelle sous des angles très différents.État passager ou chemin de vie ? Illusion ou construction ? Leurs réponses, parfois surprenantes, souvent lumineuses, pourraient bien changer votre regard sur ce que signifie vraiment “être heureux”.La suite dès lundi matin !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Les chatbots ont fait irruption dans le champ religieux. Ces robots conversationnels tirés de lʹIA sʹinvitent désormais comme enseignants, pédagogues et partenaires des parcours de foi. Vont-ils changer la pratique religieuse ? Comment sont-ils configurés ? Leurs réponses sont-elles adaptées ? Reportage en nouvelle diffusion de Carole Pirker au Noirmont et à Genève auprès de deux concepteurs de chatbot chrétien.
durée : 00:03:11 - La planète des sciences - par : Fabienne Chauvière - Les orques sont connus pour leur grande intelligence. Leurs comportements sont parfois sources d'étonnement voire de perplexité pour les chercheurs. Daniel Fiévet revient sur deux études récentes qui le montrent très bien. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:52 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Le professeur de lettres Étienne Kern explique que le vouvoiement dans les familles s'est arrêté avec la Révolution française. Mais pas dans toutes les familles ! - invités : Etienne Kern - Etienne Kern : Professeur en classes préparatoires - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:34 - Le billet sciences - Les douleurs aux pieds touchent davantage les femmes et sont souvent causées par le port occasionnel de talons hauts, responsables de nombreuses pathologies. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:19:09 - 8h30 franceinfo - Le PDG du groupe Aéroports de Paris (ADP) était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 9 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:04 - Le grand format - Depuis décembre, une quinzaine de jeunes de 14 à 18 ans ont travaillé avec la Ciivise pour faire entendre leur voix sur les violences sexuelles et l'inceste. Leurs 23 recommandations seront présentées ce mercredi devant l'Assemblée nationale. Premiers concernés, ils veulent être davantage entendus. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le jeudi 3 juillet, un vent de fronde a soufflé sur Bruxelles. Quarante-cinq poids lourds de l'industrie européenne – d'Airbus à Total, en passant par Axa, BNP Paribas, Mistral AI ou ASML – ont signé une lettre ouverte réclamant une pause de deux ans sur la mise en œuvre de l'AI Act, le règlement européen sur l'intelligence artificielle. En clair : un "clock-stop" pour gagner du temps face à ce que les signataires dénoncent comme des règles "floues et de plus en plus complexes".Leurs inquiétudes ? Deux échéances clés. D'abord, dès le 2 août 2025, les développeurs de modèles d'IA « à usage général » – comme ceux qui alimentent ChatGPT ou Le Chat de Mistral – devront fournir une documentation technique complète, un résumé des données d'entraînement et réaliser une évaluation des risques. Ensuite, à l'été 2026, ce seront les systèmes dits « à haut risque » qui passeront au crible : IA utilisées dans les domaines de l'éducation, de l'emploi, de la santé, des infrastructures critiques ou encore de la justice. Les entreprises redoutent un tsunami réglementaire et des coûts de conformité colossaux.Mais Bruxelles n'a pas tremblé. Dès le lendemain, le porte-parole de la Commission, Thomas Regnier, a été catégorique : « Il n'y a pas d'arrêt du temps. Il n'y a pas de pause. » Le calendrier est maintenu, les premières obligations tomberont comme prévu le 2 août 2025. Un signal de fermeté, alors que les pressions se multiplient. Outre les industriels européens, les géants américains comme OpenAI ou Meta poussent également pour assouplir le texte. Et dans les coulisses, l'administration Trump menace même l'Union de sanctions commerciales, accusant l'AI Act de discriminer les entreprises américaines. La situation reste tendue. Le guide de bonnes pratiques, attendu pour début mai, n'a toujours pas été publié. Et sur le front de la transparence des données d'entraînement, les discussions patinent face aux ayants droit culturels. La Commission promet des mesures de simplification d'ici la fin de l'année, notamment pour soulager les petites structures. Mais une chose est sûre : malgré la grogne des industriels et les pressions diplomatiques, l'Europe tient son cap. L'AI Act sera appliqué. Quoi qu'il en coûte. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:41 - Le Zoom de France Inter - L'Assemblée a adopté lundi à l'unanimité une loi permettant la restitution à la Côte d'Ivoire d'un instrument sacré, le tambour parleur Djidji Ayôkwé, un objet volé par la France il y a plus d'un siècle et réclamé par Abidjan depuis six ans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 juillet 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.C'EST NICOLAS QUI PAIE » : L'AMORCE D'UN CONFLIT INTERGÉNÉRATIONNELTravail, écologie, sexualité, politique, racisme, laïcité, tant autour des questions sociales que dans le champ des valeurs, tout séparerait les jeunes de leurs aînés. Les « boomers » auraient « cramé la caisse » et la planète. Leurs successeurs seraient paresseux, instables, égoïstes, trop radicaux. L'expression « OK, boomer », apparue en 2018 et largement répandue sur les réseaux sociaux, résume à elle seule ce « clash intergénérationnel ». En cause : la montée de l'individualisme, l'accélération des changements technologiques et l'inversion opérée dans la transmission traditionnelle des savoirs. Avec le Covid, la génération Z - née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010 – se serait sentie sacrifiée pour protéger les boomers. La crise écologique a créé des éco-anxieux qui demandent des comptes. C'est sur le front des conditions économiques que les tensions sont les plus vives : dans un État consacrant plus de budget à la retraite (379 milliards d'euros en 2023, 13,4 % du PIB, selon le rapport du Conseil d'orientation des retraites) qu'à sa jeunesse (190 milliards d'euros pour l'éducation en 2023, 6,7 % du PIB), celle-ci est contrainte de composer avec un chômage structurel, des inégalités sociales croissantes et un État de moins en moins providence et protecteur, constate Salomé Saqué, dans son livre Sois jeune et tais-toi.Alors que la CFDT comme le Medef commencent à s'inquiéter d'un risque de conflit intergénérationnel, dans son rapport d'avril, la Cour des comptes a alerté sur la nécessité de veiller à l'équité intergénérationnelle des systèmes de retraites. Compte tenu du vieillissement de la population et de la baisse de la natalité, pour éviter que les écarts ne se creusent, la Cour note l'intérêt de mieux piloter le système global avec des clauses de revoyure. Le rapport entre actifs et retraités ne cesse de se dégrader : de trois actifs pour un retraité au début des années 1980, ce ratio est passé à 2,1 actifs pour un retraité en 2000 et à 1,7 cotisant pour un retraité en 2021. Il devrait encore décliner d'ici à 2050 pour passer à 1,5 cotisant pour un retraité. Dans un tel contexte, le système de retraites par répartition apparaît de moins en moins à même de générer un niveau de pensions suffisant.Depuis quelques mois, Nicolas, trente ans, un personnage fictif devenu un mème populaire sur les réseaux sociaux incarne le « ras-le-bol fiscal » d'une partie de la jeune génération. Notamment sur X et à droite, dès qu'un article de presse relaie une information impliquant une dépense de l'État, le commentaire surgit : « C'est Nicolas qui paie. » Nicolas (prénom le plus donné aux garçons en 1995) se veut emblématique de la génération des jeunes actifs trentenaires, supposés écrasés d'impôts pour financer les croisières de « Bernard et Chantal », retraités de 70 ans, et le RSA de « Karim », jeune immigré de 25 ans, autres personnages fictifs. « Il n'y a pas de caractère inédit concernant les contestations fiscales, souligne l'économiste Erwann Tison. Ce qui est nouveau, c'est le côté générationnel ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La Table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez. Cette semaine, Laurent Mariotte est entouré d'Yves Camdeborde, le chef bistronome de la bande et d'Olivier Poels, l'expert en bonnes bouteilles et rédacteur en chef adjoint de la Revue du Vin de France. Quel est votre goût de la semaine ? C'est la question rituelle posée par Laurent Mariotte. Ça peut être une saveur qui a marqué gustativement leur semaine, un restaurant qui leur a tapé dans l'œil, un plat qu'ils ont cuisiné ou qu'on leur a concocté. L'occasion de découvrir de nouveaux goûts ou de nouvelles adresses, des coups de cœur mais aussi, pour eux, de passer des coups de gueule. Laurent Mariotte revient sur le goût de la griotte, cette cerise aigrelette qu'il a cueillie dans son jardin dans les Vosges. Il en fait des confitures et des bocaux. Olivier Poels évoque l'immortelle, aussi appelée plante au curry. Si à l'origine, sa fleur était destinée à l'agrément des jardins, les chefs et les connaisseurs l'utilisent dans leur plat grâce aux notes épicées qu'elles renferment. Yves Camdeborde nous conseille le restaurant le Domaine Les Terres Promises, à La Roquebrussanne (Var) pour son panorama et pour sa cuisine menée par Paul-Jean Lapaque, passé par de grandes maisons étoilées. L'addition n'excède pas plus de 40 euros pour entrée, plat et dessert. Cette semaine, Laurent Mariotte et sa bande racontent des salades et pas n'importe lesquelles : celles qui ont marqué notre histoire culinaire, à commencer par la célèbre salade César qui date de 1924, première fois servie à Tijuana au Mexique. C'est Cesar Cardini, un restaurateur italo-américain installé dans cette ville mexicaine qui aurait l'idée de cette salade improvisée lorsqu'il a vu arriver une vague de clients américains le jour de la fête nationale (le 4 juillet). Autre salade qui a marqué la gastronomie, c'est celle de Michel Guérard. Créée en 1968 par le chef étoilé alors propriétaire du restaurant Le Pot-au-Feu à Asnières, cette salade composée agite la sphère de la haute-cuisine en associant le foie gras et la truffe, au contact même de la vinaigrette, ce qui crée un léger scandale à l'époque : « J'ai osé mélanger le foie gras et le vinaigre, se souvient-il en riant, et cela a provoqué des cris d'otarie au sein de la vieille garde” confiera-t-il au Monde quelques années plus tard.” Dernière salade, souvent galvaudée au grand dam des Niçois, c'est la fameuse salade niçoise. Elle prend ses origines dans la cuisine populaire des habitants de la côte d'Azur car elle mêle essentiellement des légumes qui poussent aisément dans les potagers. Son histoire remonte au XIXème siècle, lorsque les pêcheurs locaux et les paysans commençaient à composer ce plat avec les produits frais qu'ils avaient sous la main. Elle a été ensuite codifiée si bien que la ville de Nice en a rédigée la recette officielle. Après l'histoire, place à la pratique : quelle est la recette de la vinaigrette classique ? Par quoi je peux remplacer le vinaigre de vin ? Comment faire de la salade un repas complet avec différentes textures en bouche ? Laurent Mariotte, Yves Camdeborde et Olivier Poels font le tour de la salade pour vous donner des idées et varier les plaisirs en été. Comme dans chaque épisode, l'équipe de la table des bons vivants continue de jouer avec vous. Laurent Mariotte vous fait écouter un son en rapport avec la cuisine… à vous de le découvrir. Pour jouer avec nous, envoyez un SMS avec le mot “CUISINE” au 7 39 21 (3 x 0.75 € + coût du SMS). Comme chaque semaine, Laurent Mariotte reçoit un invité. Cette semaine, c'est la journaliste culinaire Emmanuelle Jary. Connue pour ses vidéos de visite de restaurant, elle dirige la revue C'est meilleur quand c'est bon depuis deux ans. Elle est des nôtres pour présenter son nouveau hors-série consacré au Tour de France. Le plat du jour est signé Clément Richevaux, chef à la tête du restaurant la Chtite Brigitte situé dans la rue des bouchers à Lille. A l'occasion du Tour du France qui démarre à Lille, le chef nous présente trois recettes typiques du Nord, à déguster à l'apéro ou en buffet froid : rollmops, langue Lucullus et un fromage frais maison agrémenté de betteraves, de chicorée et de framboises. Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la journaliste Emmanuelle Jary. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle dévoile en partie son adresse secrète. Le goût de la griotte, une table dans le Var et une plante aux parfums de curry Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La Table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez. Cette semaine, Laurent Mariotte est entouré d'Yves Camdeborde, le chef bistronome de la bande et d'Olivier Poels, l'expert en bonnes bouteilles et rédacteur en chef adjoint de la Revue du Vin de France. Quel est votre goût de la semaine ? C'est la question rituelle posée par Laurent Mariotte. Ça peut être une saveur qui a marqué gustativement leur semaine, un restaurant qui leur a tapé dans l'œil, un plat qu'ils ont cuisiné ou qu'on leur a concocté. L'occasion de découvrir de nouveaux goûts ou de nouvelles adresses, des coups de cœur mais aussi, pour eux, de passer des coups de gueule. Laurent Mariotte revient sur le goût de la griotte, cette cerise aigrelette qu'il a cueillie dans son jardin dans les Vosges. Il en fait des confitures et des bocaux. Olivier Poels évoque l'immortelle, aussi appelée plante au curry. Si à l'origine, sa fleur était destinée à l'agrément des jardins, les chefs et les connaisseurs l'utilisent dans leur plat grâce aux notes épicées qu'elles renferment. Yves Camdeborde nous conseille le restaurant le Domaine Les Terres Promises, à La Roquebrussanne (Var) pour son panorama et pour sa cuisine menée par Paul-Jean Lapaque, passé par de grandes maisons étoilées. L'addition n'excède pas plus de 40 euros pour entrée, plat et dessert. Les Bons Vivants racontent leurs meilleures salades Cette semaine, Laurent Mariotte et sa bande racontent des salades et pas n'importe lesquelles : celles qui ont marqué notre histoire culinaire, à commencer par la célèbre salade César qui date de 1924, première fois servie à Tijuana au Mexique. C'est Cesar Cardini, un restaurateur italo-américain installé dans cette ville mexicaine qui aurait l'idée de cette salade improvisée lorsqu'il a vu arriver une vague de clients américains le jour de la fête nationale (le 4 juillet). Autre salade qui a marqué la gastronomie, c'est celle de Michel Guérard. Créée en 1968 par le chef étoilé alors propriétaire du restaurant Le Pot-au-Feu à Asnières, cette salade composée agite la sphère de la haute-cuisine en associant le foie gras et la truffe, au contact même de la vinaigrette, ce qui crée un léger scandale à l'époque : « J'ai osé mélanger le foie gras et le vinaigre, se souvient-il en riant, et cela a provoqué des cris d'otarie au sein de la vieille garde” confiera-t-il au Monde quelques années plus tard.” Dernière salade, souvent galvaudée au grand dam des Niçois, c'est la fameuse salade niçoise. Elle prend ses origines dans la cuisine populaire des habitants de la côte d'Azur car elle mêle essentiellement des légumes qui poussent aisément dans les potagers. Son histoire remonte au XIXème siècle, lorsque les pêcheurs locaux et les paysans commençaient à composer ce plat avec les produits frais qu'ils avaient sous la main. Elle a été ensuite codifiée si bien que la ville de Nice en a rédigée la recette officielle. Après l'histoire, place à la pratique : quelle est la recette de la vinaigrette classique ? Par quoi je peux remplacer le vinaigre de vin ? Comment faire de la salade un repas complet avec différentes textures en bouche ? Laurent Mariotte, Yves Camdeborde et Olivier Poels font le tour de la salade pour vous donner des idées et varier les plaisirs en été. Le buffet froid lillois de Clément Richevaux Le plat du jour est signé Clément Richevaux, chef à la tête du restaurant la Chtite Brigitte situé dans la rue des bouchers à Lille. A l'occasion du Tour du France qui démarre à Lille, le chef nous présente trois recettes typiques du Nord, à déguster à l'apéro ou en buffet froid : rollmops, langue lucullus et un fromage frais maison agrémenté de betteraves, de chicorée et de framboises. Emmanuelle Jary dévoile (à moitié) son adresse secrète Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la journaliste Emmanuelle Jary. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle dévoile en partie son adresse secrète. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi, Laurent Mariotte et ses chroniqueurs reçoivent des experts pour débattre et décrypter l'agriculture, l'alimentation, la cuisine d'aujourd'hui. Un éclairage utile pour mieux choisir et cuisiner au quotidien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 79ᵉ Festival d'Avignon s'est ouvert ce samedi 5 juillet. Cette édition met la langue arabe à l'honneur après l'espagnol et l'anglais les deux dernières années. Parmi les nombreux artistes des pays arabes programmés, Ali Chahrour, le chorégraphe libanais, est un habitué du festival. Il présente sa dernière création When I Saw the Sea (Quand j'ai vu la mer). Sur scène, des employées de maison éthiopiennes incarnent le dramatique destin des travailleuses à domicile d'Afrique ou d'Asie au Moyen-Orient soumises à un esclavage moderne. De notre envoyée spéciale à Avignon, « Kafala », signifie responsabilité en arabe. Mais c'est d'une bien triste responsabilité qu'il s'agit. Dans le système de la Kafala les jeunes femmes débarquant au Liban pour y travailler se trouvent dépossédées de leur passeport et donc à la merci de leur employeur. Ali Chahrour en pleine guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier, a rencontré quelques-unes de ces employées abandonnées par leur patron qui avaient fui les bombardements. Elles campaient en bord de mer. When I saw the sea, Quand j'ai vu la mer raconte leur histoire incarnée par trois femmes éthiopiennes : « Ces trois femmes racontent leur vie et en même temps, elles sont porteuses de milliers d'histoires de femmes qui ont subi ce système d'esclavage moderne, explique Ali Chahrour. Leurs récits se traduisent par des mots, mais aussi par la danse et la musique. Dans le travail, on est parti de l'histoire de chacune de ces femmes. Et aussi de leur façon de se mouvoir, de chanter. On a mis en avant cet héritage qui se mêle au nôtre. Car certaines vivent au Liban depuis plus de 25 ans. Donc, elles ne représentent pas l'autre, l'étranger. Elles sont un mélange de leur culture d'origine éthiopienne et de la culture libanaise. » Et en écho à ces histoires, on écoute les chansons composées et interprétées sur scène par Lyn Adib et Abed Kobeïssy : « Les chansons sont inspirées des noms des trois femmes sur scène qui ont été parfois changés à leur arrivée au Liban en des prénoms plus familiers aux oreilles de leurs employés. Ces femmes sur scène retrouvent ainsi leur identité et leurs noms d'origine. Une façon de leur rendre l'humanité à laquelle elles ont droit. » Ali Chahrour a créé jusque-là des pièces autobiographiques partant de sa propre famille. Il sort pour la première fois de ce chemin : « Cette pièce ne parle pas de ma famille de sang. Mais ces personnes prennent soin de nos maisons, de nos enfants. Elles ont quitté les leurs pour s'occuper de nous et ont rêvé d'un avenir meilleur. Moi-même, en tant que Libanais, j'appartiens à une population dont les 3/4 ont émigré. Je peux donc comprendre ce que c'est de quitter son pays et les siens. Ma sœur et mon frère sont en Europe et souffrent du racisme envers les Arabes. » When I saw the sea, un chant d'humanité qui retentit au-delà des frontières libanaises. Festival d'Avignon 2025 /
Le Journal en français facile du vendredi 4 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Boc4.A
durée : 00:49:28 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce jeudi 3 juillet autour de Victor Matet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:46 - Journal de 18h - A quelques heures de la fin de l'année scolaire et des premiers grands départs en vacances d'été, certains ont dû revoir leurs plans: un millier de vols est encore annulé vendredi en France.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Hadrien Mathoux, directeur-adjoint de la rédaction de Marianne Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Sarah Saldmann, avocate - Louis de Raguenel, journaliste politique d'Europe 1 - Paul Amar, journaliste - Olivier Vial, directeur du CERU - Jonathan Siksou, journaliste Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:46 - Journal de 18h - A quelques heures de la fin de l'année scolaire et des premiers grands départs en vacances d'été, certains ont dû revoir leurs plans: un millier de vols est encore annulé vendredi en France.
Invité : - Philippe Tabarot, ministre des transports. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Philippe Tabarot, ministre des transports. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Hadrien Mathoux, directeur-adjoint de la rédaction de Marianne Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Caroline Ithurbide - Olivier Guenec - Didier Barbelivien - Gauthier Le Bret - Christophe Bordet - Florian Barraco Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h, ce jeudi 3 juillet 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association Tous uniques tous unis, Barbara Lefebvre, enseignante et essayiste, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de : Contrôleurs aériens, une grève de nantis ?
Auditeurs du soir : ANNE : 22H49/23H41 Anne s'interroge sur le mode de vie des gens qui se coupent de leurs proches CLAUDE : 23H41/00H25 Ex-pensionnaire violenté d'un orphelinat type Betharram, Claude est révolté par la justice de ces affaires. ANTOINE : 00H29/00H44 Habitué de l'émission, Antoine salue une dernière fois Olivier! CAROLINE : 00H48/01H00 La belle mère méchante de Caroline va hérité de l'intégralité du leg de son défunt père. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de Martial You du 02 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Épisode 1344 : WhatsApp, longtemps perçue comme une simple messagerie familiale, est devenue un véritable réseau social pour les adolescents. Derrière l'onglet discret « Actus », lancé en septembre 2023, se cachent des chaînes créées par des ados, où ils partagent passions, conseils, et fragments de leur vie quotidienne, loin du regard parental.1. Pourquoi les ados adorent WhatsAppSimplicité et multifonctionnalité : WhatsApp est une application facile à utiliser, qui combine messagerie instantanée, appels vocaux et vidéo, envoi de photos, vidéos, fichiers, et même messages vocaux très pratiques pour les jeunes..Un espace familier et moins suspecté : Contrairement à TikTok ou Instagram, WhatsApp est perçu par les parents comme un outil de communication familiale, donc moins surveillé. Cela donne aux ados un sentiment de liberté et de confidentialité.Présence précoce sur smartphone : De plus en plus d'enfants ont un smartphone dès 11 ans, âge où ils entrent au collège, et WhatsApp est souvent leur première application sociale.Groupes privés et contrôle social : Ils peuvent créer ou rejoindre des groupes d'amis, ce qui leur permet d'échanger en toute intimité, loin du regard des adultes.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de Martial You du 02 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Vous allez en entendre parler avec Tom Lefevre du 02 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Edith est la maman de quatre enfants dont trois d'entre eux sont atteints d'une rétinite pigmentaire, c'est à dire qu'au fil des années, ils perdront la vue. Et s'il a fallu des années pour qu'Edith obtienne le diagnostic de cette maladie génétique, c'est rapidement après avoir vu une spécialiste qu'elle décide de faire un tour du monde en famille pour remplir la mémoire visuelle de ses enfants.Leur montrer un maximum de paysages, rencontrer un maximum de gens et surtout graver dans leurs coeurs un maximum de souvenirs en famille.Alors comment toute la famille vit-elle l'après diagnostic une fois le choc passé ? Comment expliquer à ses enfants qu'ils ne verront plus quand ils seront plus grands ? Est-ce qu'il faut leur apprendre dès le plus jeune âge à utiliser les outils des malvoyants ? Dans cet épisode, Edith nous raconte ses quatre grossesses au Canada, leur voyage autour du monde qui a soudé chaque membre de sa famille et comment ils vivent au jour le jour, bien ancrés dans le présent malgré cette épée de Damoclès qui plane au-dessus de leurs têtes.Bonne écoute !---------------------------------------------Pour soutenir HelloMammas, il vous suffit de mettre cinq étoiles et un avis sur votre application podcast. Parlez-en aussi autour de vous !Rejoins la communauté sur Instagram : @hello.mammas Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:50:13 - Le journal de 13h - par : Jérôme CADET - La mer du Nord a connu son printemps le plus chaud, + 26°c relevé en Méditerranée, en Bretagne, on relève des du nord au sud le constat est le même : les eaux se réchauffent. Est-ce le même phénomène partout ? Quelles sont les conséquences sur l'écosystème ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Améliorez votre sommeil grâce aux matelas et accessoires Emma, profitez de réductions allant jusqu'à -50% pendant les Soldes d'Été, et de -10% supplémentaires sur les articles en promotion avec le code LEGEND jusqu'au 22 juillet minuit ➡️ https://link.influxcrew.com/EMMA-Legend2 En 1990, le mari de Patricia assassine ses deux enfants avant de se suicider. Elle vient nous raconter son histoire et comment elle a réussi à pardonner à son mari. Après ce drame, Patricia a refait sa vie et a pu avoir deux enfants.Son livre “Survivre au pire” est disponible juste ici ➡️ https://amzn.to/4dg6XaoSon site ➡️ patricia-oddo.frRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/FESy-x7LV3ICollaboration commercialePour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 25 juin 2025 - Comment Trump a fait plier l'Otan? - Arrivé aux Pays-Bas pour un sommet crucial de l'OTAN réunissant les 32 dirigeants de l'Alliance, Donald Trump s'est félicité, ce mercredi, d'un engagement inédit des alliés : investir massivement dans leur défense. Les Européens et le Canada devraient "très bientôt" dépenser autant que les États-Unis. "Je leur demande de passer à 5 % depuis des années, et ils passent à 5 %. C'est énorme (...). L'OTAN va devenir très forte avec nous", a lancé, triomphant, le président américain.Derrière cette "grande victoire" clamée par Donald Trump, nombre d'experts y voient pourtant un accord de façade, destiné à apaiser le président des Etats-Unis, qui ne cesse de dénoncer les "mauvais payeurs" européens. Car les fameux 5 % du PIB promis d'ici la fin de la décennie sont en réalité divisés : 3,5 % pour la défense militaire stricte, et 1,5 % pour la sécurité au sens large (police, justice, cybersécurité, etc.), avec des modalités et un calendrier qui restent flous.Ce sommet, soigneusement chorégraphié, vise surtout à éviter un nouvel esclandre. On se souvient du coup d'éclat du président américain lors du G7 en juin dernier, qu'il a quitté prématurément. Donald Trump, depuis son retour à la Maison-Blanche, n'a cessé de réclamer des alliés européens et du Canada qu'ils dépensent beaucoup plus pour leur sécurité, faute de quoi il menace de ne plus les défendre.Pris en étau entre la menace russe et l'unilatéralisme assumé de Washington, les Européens multiplient les gestes de bonne volonté. Mais une question demeure : l'Amérique est-elle encore un allié fiable ? Hier, à bord d'Air Force One, Donald Trump a de nouveau déconcerté ses alliés, en restant évasif sur l'attitude des Etats-Unis en cas d'attaque d'un des membres de l'Otan. L'article 5 du traité de l'Alliance Atlantique peut "se définir de plusieurs façons", a-t-il lâché à propos de la pierre angulaire de l'Otan qui pose le principe de défense mutuelle : si un pays membre est attaqué, tous les autres se portent à son secours.Autre moment scruté de la journée : la rencontre entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, en marge du sommet. Le président ukrainien espère arracher de nouvelles sanctions contre Moscou, et surtout des armes. Leurs relations sont compliquées, on se souvient de leur échange dans le Bureau ovale, il y a quatre mois. Les paroles de Donald Trump vont être une nouvelle fois scrutées… Tout comme les premiers pas du nouveau chancelier allemand Friedrich Merz, qui a rompu avec l'orthodoxie budgétaire de son pays et se verrait bien assumer le leadership en Europe.LES EXPERTS :- James ANDRE - Grand reporter - France 24- Général Olivier DE BAVINCHOVE - Ancien chef d'état-major de la force internationale de l'OTAN - Marion VAN RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse - L'Express - Vincent HUGEUX - Journaliste spécialiste des enjeux internationaux, enseignant à Sciences Po- Camille GRAND ( en duplex du sommet de l'OTAN de La Haye) - Ancien secrétaire général adjoint de l'OTAN