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Sébastien Desrosiers fait le point sur la décision du premier ministre Justin Trudeau d'invoquer la Loi sur les mesures d'urgence; Louis Blouin décrit le contexte dans lequel cette loi est invoquée par Ottawa; le professeur en science politique Daniel Béland réagit à l'adoption des mesures d'urgence; Claudine Richard résume les réactions des manifestants à Ottawa à la suite de cette annonce; le lieutenant-colonel retraité Rémi Landry rappelle comment les Forces armées canadiennes avaient été déployées lors de la crise d'Oka; Matthieu Simard parle de la levée du passeport vaccinal en Ontario; Tamara Alteresco analyse les plus récents développements de la crise ukrainienne; Vincent Rességuier présente un reportage sur la fermeture de nombreuses résidences privées pour aînés au Québec; Robert Frosi s'intéresse à l'affaire Valieva; et Yanik Dumont-Baron rend compte du manque de spectateurs dans les gradins aux Jeux olympiques.
Les avertissements de Disney+. L'obsession pour les récits apocalyptiques. Le livre Une fille pas trop poussiéreuse de Matthieu Simard.
This week, Liberty and María Cristina discuss Chilling Effect, Bloodlust & Bonnets, Red at the Bone, and more great books. This episode was sponsored by the Hot and Bothered Podcast; Dear Haiti, Love Alaine by Maika and Maritza Moulite; and ThirdLove. Pick up an All the Books! 200th episode commemorative item here. Subscribe to All the Books! using RSS, iTunes, or Spotify and never miss a beat book. Sign up for the weekly New Books! newsletter for even more new book news. Books discussed on the show: Elevator Pitch: A Novel by Linwood Barclay Breathe: A Letter to My Sons by Imani Perry Chilling Effect: A Novel by Valerie Valdes Bloodlust & Bonnets by Emily McGovern Opioid, Indiana by Brian Allen Carr The Heart and Other Viscera: Stories by Félix J. Palma Red at the Bone by Jacqueline Woodson Monster, She Wrote: The Women Who Pioneered Horror and Speculative Fiction by Lisa Kröger and Melanie R. Anderson What we're reading: Ghost Stories of Edith Wharton (Tales of Mystery & the Supernatural) by Edith Wharton Weather: A Novel by Jenny Offill More books out this week: A Death in Harlem: A Novel by Karla Holloway Snazzy Cat Capers: The Fast and the Furriest by Deanna Kent and Neil Hooson House of Rage and Sorrow: Book Two in the Celestial Trilogy by Sangu Mandanna Strangers She Knows (Cape Charade) by Christina Dodd One Person, No Vote (YA edition): How Not All Voters Are Treated Equally by Carol Anderson and Tonya Bolden Lampedusa: A Novel by Steven Price Rethinking Consciousness: A Scientific Theory of Subjective Experience by Michael S A Graziano Coventry: Essays by Rachel Cusk The Widow of Pale Harbor by Hester Fox Country Will Bring Us No Peace by Matthieu Simard and Pablo Strauss Momentous Events in the Life of a Cactus by Dusti Bowling Juliet Takes a Breath by Gabby Rivera Lies in White Dresses: A Novel by Sofia Grant The Stranger Inside: A Novel by Lisa Unger Art Sparks: Draw, Paint, Make, and Get Creative with 53 Amazing Projects! by Marion Abrams and Hilary Emerson Lay What Rose Forgot by Nevada Barr Against the Wind by Jim Tilley The Undying: Pain, vulnerability, mortality, medicine, art, time, dreams, data, exhaustion, cancer, and care by Anne Boyer Snowflake, AZ by Marcus Sedgwick The Liars of Mariposa Island by Jennifer Mathieu A Mistake: A Novel by Carl Shuker A Hero Born (Legends of the Condor Heroes) by Jin Yong, Anna Holmwood (Translator) The Umbrella Academy Volume 3: Hotel Oblivion by Gerard Way and Gabriel Ba Call Upon the Water: A Novel by Stella Tillyard Sontag: Her Life and Work by Benjamin Moser Space Between: Explorations of Love, Sex, and Fluidity by Nico Tortorella Nice Try: Stories of Best Intentions and Mixed Results by Josh Gondelman Night Boat to Tangier: A Novel by Kevin Barry Becoming Beatriz by Tami Charles Guts by Raina Telgemeier Heaven, My Home by Attica Locke Pavi Sharma's Guide to Going Home by Bridget Farr The Vanderbeekers to the Rescue by Karina Yan Glaser On Division: A Novel by Goldie Goldbloom Odes to Lithium by Shira Erlichman The Babysitters Coven by Kate M. Williams A Little Hatred by Joe Abercrombie Savage Gods by Paul Kingsnorth The Sound of the Hours by Karen Campbell Love on Lexington Avenue (The Central Park Pact) by Lauren Layne The Tea Dragon Festival by Katie O'Neill How to Be a Family: The Year I Dragged My Kids Around the World to Find a New Way to Be Together by Dan Kois Charlie Thorne and the Last Equation by Stuart Gibbs We Are the Weather: Saving the Planet Begins at Breakfast by Jonathan Safran Foer Neon Empire by Drew Minh System Failure (3) (Epic Failure Trilogy) by Joe Zieja On Fire: The (Burning) Case for a Green New Deal by Naomi Klein That Will Never Work: The Birth of Netflix and the Amazing Life of an Idea by Marc Randolph Hudson's Kill: A Justice Flanagan Thriller by Paddy Hirsch Land of Wolves (Walt Longmire) by Craig Johnson A Cosmology of Monsters: A Novel by Shaun Hamill The Day It Finally Happens: Alien Contact, Dinosaur Parks, Immortal Humans and Other Possible Phenomena by Mike Pearl A Single Thread: A Novel by Tracy Chevalier The Stars and the Blackness Between Them by Junauda Petrus Inheritance: A Novel by Evelyn Toynton Steel Tide (Seafire) by Natalie C. Parker A Golden Grave: A Rose Gallagher Mystery by Erin Lindsey Think Black: A Memoir by Clyde W. Ford The Great American Documents: Volume II: 1831-1900 by Ruth Ashby, Russell Motter, et al.
- Serge et Jean-Philippe réfléchissent à l'oubli en évoquant l'hypothèse que nous vivions dans une société hypermnésique - Entrevue avec Matthieu Simard : son roman Les écrivements, dont le thème principal est l'oubli - Entrevue avec la neuropsychologue Isabelle Rouleau : les impacts des nouvelles technologies sur la mémoire humaine - En circuit fermé avec Serge Bouchard : Le chandail numéro 14 des Canadiens
Mission encre noire Tome 25 Chapitre 302 De synthèse de Karoline Georges paru en 2018 aux éditions Alto. Image est tiré du latin imago pour «masque mortuaire» ou bien le stade final du développement chez un individu. L'image réinvente la vie par l'oeil, par son reflet dans un miroir, dans un écran. Dans un futur si proche, Anouk est l'avatar que se choisi la narratrice, qui tel un ange, lui permet de survoler son monde loin de la morosité du nid familial. En vain. Alors qu'elle sculpte ce visage virtuel, l'annonce de la maladie incurable de sa mère vient modifier sa quête d'absolu. Malgré elle, de nouveaux ponts se créent entre elle et sa famille, entre le corps biologique et son avatar. Récipiendaire du prix du Gouverneur Général 2018, Karoline Georges nous invite au milieu des paysages glacés des mondes virtuels et des hologrammes. De synthèse est un roman sur l'enfance, la mémoire, le malheur et l'espoir. Anouk et la narratrice, l'une se pose sur l'autre pour mieux s'envoler, c'est beau et douloureusement planant. Karoline Georges est notre invité à Mission encre noire. Extrait:«Ma mère répétait souvent que c'était peut-être pire que la religion, cette nouvelle vénération des guédailles de la télévision. Les premiers temps, c'était le surnom d'Olivia. C'était à la sortie du film Grease. J'ai dû passer une semaine à tenter de reproduire la chorégraphie finale du film, celle où Sandy change complètement d'image et devient une femme fatale qui suscite l'hystérie. Cette scène m'a survoltée. J'étais tellement excitée de voir mon idole prendre une apparence nouvelle qui lui insufflait un pouvoir inédit, comme Wonder Woman qui tournait sur elle-même pour faire disparaître sa fausse identité de femme ordinaire et révéler ses véritables couleurs. Ou comme Jinny, qui savait porter les robes qui lui permettaient de dissimuler sa nature magique et de se fondre dans son époque, mais qui, d'un clignement de paupières, retrouvait elle aussi sa percutante apparence intemporelle. Je percevais dans ce spectaculaire changement d'image rien de moins qu'une renaissance. Une apparition miraculeuse, comme Jésus pendant la Transfiguration.» Les écrivements de Mattieu Simard paru en 2018 aux éditions Alto. La vie de Jeanne, 81 ans, prend un virage à 180 degrés, lorsqu'elle se lance sur les traces de Suzor, son amoureux qui l'a quitté brusquement il y a quarante ans déjà. Gravement malade, atteint d'Alzheimer, il se terre quelque part, elle décide de le retrouver coûte que coûte, pour réconcilier leur passé. Elle s'était pourtant promis de ne jamais le chercher. Malgré son âge et sa fatigue, Jeanne, aidée par une jeune complice, Fourmi, défie l'urgence dans la lenteur. À l'échelle de ces deux personnages, la vie défile autrement. Fourmi revisite le passé de Jeanne et de Suzor à travers un carnet qui relate leur rencontre improbable, le terrible voyage en Russie en 1959, le trou dans le mur de la cuisine, les boutons trouvés sur le trottoir. Dans un Montréal enneigé, Matthieu Simard, permet à Jeanne d'écrire l'une des plus belles pages de son carnet, celle où ses yeux brillent joyeux et invincibles. Matthieu Simard est notre invité à Mission encre noire. Extrait: «Tu te souviens, au tout début de nous, quelques jours seulement après que nos lèvres se sont réunies pour la première fois, nous nous étions assis dans la neige au parc La Fontaine. Tu avais aperçu à ta gauche un petit bouton noir tombé d'un manteau. Tu avais souri et tu m'avais dit que tu étais triste pour lui, parce qu'il avait perdu ses amis, les autres boutons du manteau. Je t'avais rassuré en te disant que les autres étaient méchants et que son exil était volontaire. C'était un héros, ce bouton là, un battant qui ne se laisserait jamais attacher. Tu avais rajouté des détails, parlé de ses parents qui s'étaient rencontrés entre deux manchettes, de ses études, de ses ambitions. J'avais mis le bouton dans ma poche. Pendant vingt-cinq ans, chaque fois que tu voyais un bouton, tu faisais semblant de pleurer, pauvre solitude, et moi je lui inventais une histoire rocambolesque pour te rassurer. Tu en rajoutais et je finissais toujours par m'attacher plus que toi et être triste pour les boutons, eux qui avaient une si belle histoire de famille. Nous riions.»
Mission encre noire Tome 25 Chapitre 302 De synthèse de Karoline Georges paru en 2018 aux éditions Alto. Image est tiré du latin imago pour «masque mortuaire» ou bien le stade final du développement chez un individu. L'image réinvente la vie par l'oeil, par son reflet dans un miroir, dans un écran. Dans un futur si proche, Anouk est l'avatar que se choisi la narratrice, qui tel un ange, lui permet de survoler son monde loin de la morosité du nid familial. En vain. Alors qu'elle sculpte ce visage virtuel, l'annonce de la maladie incurable de sa mère vient modifier sa quête d'absolu. Malgré elle, de nouveaux ponts se créent entre elle et sa famille, entre le corps biologique et son avatar. Récipiendaire du prix du Gouverneur Général 2018, Karoline Georges nous invite au milieu des paysages glacés des mondes virtuels et des hologrammes. De synthèse est un roman sur l'enfance, la mémoire, le malheur et l'espoir. Anouk et la narratrice, l'une se pose sur l'autre pour mieux s'envoler, c'est beau et douloureusement planant. Karoline Georges est notre invité à Mission encre noire. Extrait:«Ma mère répétait souvent que c'était peut-être pire que la religion, cette nouvelle vénération des guédailles de la télévision. Les premiers temps, c'était le surnom d'Olivia. C'était à la sortie du film Grease. J'ai dû passer une semaine à tenter de reproduire la chorégraphie finale du film, celle où Sandy change complètement d'image et devient une femme fatale qui suscite l'hystérie. Cette scène m'a survoltée. J'étais tellement excitée de voir mon idole prendre une apparence nouvelle qui lui insufflait un pouvoir inédit, comme Wonder Woman qui tournait sur elle-même pour faire disparaître sa fausse identité de femme ordinaire et révéler ses véritables couleurs. Ou comme Jinny, qui savait porter les robes qui lui permettaient de dissimuler sa nature magique et de se fondre dans son époque, mais qui, d'un clignement de paupières, retrouvait elle aussi sa percutante apparence intemporelle. Je percevais dans ce spectaculaire changement d'image rien de moins qu'une renaissance. Une apparition miraculeuse, comme Jésus pendant la Transfiguration.» Les écrivements de Mattieu Simard paru en 2018 aux éditions Alto. La vie de Jeanne, 81 ans, prend un virage à 180 degrés, lorsqu'elle se lance sur les traces de Suzor, son amoureux qui l'a quitté brusquement il y a quarante ans déjà. Gravement malade, atteint d'Alzheimer, il se terre quelque part, elle décide de le retrouver coûte que coûte, pour réconcilier leur passé. Elle s'était pourtant promis de ne jamais le chercher. Malgré son âge et sa fatigue, Jeanne, aidée par une jeune complice, Fourmi, défie l'urgence dans la lenteur. À l'échelle de ces deux personnages, la vie défile autrement. Fourmi revisite le passé de Jeanne et de Suzor à travers un carnet qui relate leur rencontre improbable, le terrible voyage en Russie en 1959, le trou dans le mur de la cuisine, les boutons trouvés sur le trottoir. Dans un Montréal enneigé, Matthieu Simard, permet à Jeanne d'écrire l'une des plus belles pages de son carnet, celle où ses yeux brillent joyeux et invincibles. Matthieu Simard est notre invité à Mission encre noire. Extrait: «Tu te souviens, au tout début de nous, quelques jours seulement après que nos lèvres se sont réunies pour la première fois, nous nous étions assis dans la neige au parc La Fontaine. Tu avais aperçu à ta gauche un petit bouton noir tombé d'un manteau. Tu avais souri et tu m'avais dit que tu étais triste pour lui, parce qu'il avait perdu ses amis, les autres boutons du manteau. Je t'avais rassuré en te disant que les autres étaient méchants et que son exil était volontaire. C'était un héros, ce bouton là, un battant qui ne se laisserait jamais attacher. Tu avais rajouté des détails, parlé de ses parents qui s'étaient rencontrés entre deux manchettes, de ses études, de ses ambitions. J'avais mis le bouton dans ma poche. Pendant vingt-cinq ans, chaque fois que tu voyais un bouton, tu faisais semblant de pleurer, pauvre solitude, et moi je lui inventais une histoire rocambolesque pour te rassurer. Tu en rajoutais et je finissais toujours par m'attacher plus que toi et être triste pour les boutons, eux qui avaient une si belle histoire de famille. Nous riions.»
Cette semaine à l'émission: L'actualité culturelle avec Catherine Proulx-Lemay et Marc-André Lussier ; Le nouveau studio Gratiens Gélinas: Entrevue avec Mitsou Gélinas ; Critique de livre de René Homier-Roy: Les écrivements de Matthieu Simard ; La vie culturelle à Washington avec Karim Lebhour: Le shutdown ; La Nuit de la lecture: Entrevue avec Pascale Montpetit ; La vie culturelle à Paris avec Katia Chapoutier: Le retour des Bouillons ; Son film Une colonie:Entrevue avec Geneviève Dulude-De Celles ; Suggestions musicales de Samuel Archibald et de Sylvain Cormier
Aujourd'hui à l'émission: Quel a été votre premier contact culturel significatif? Une discussion sur notre rapport à la nostalgie. Le coup de coeur de Karyne: le livre : Les écrivements de Matthieu Simard. Le coup de coeur de Melissa: le disque Mishta Meshkenu de Florent Vollant. Une discussion autour de la pièce Neuf [titre provisoire] de Mani Soleymanlou. Et le coup de coeur de Thomas Leblanc: Le sens des paroles, d'Alaclair Ensemble.
« Ils ont planté l’antenne quelques années avant que nous achetions la maison du vieux. Depuis, le village se vide. Certains habitants s’en vont, d’autres meurent, d’autres encore disparaissent dans la forêt. Il en reste bien quelques-uns – Fisher l’homme à tout faire qui ne fait rien, Madeleine la serveuse autrefois sexy, l’épicier déterminé à vendre ses cœurs d’artichaut –, mais ceux qui restent ne veulent pas vraiment de nous. Ce n’est pas grave, nous ne sommes pas venus ici pour nous mêler à leurs histoires, mais pour oublier, nous retrouver peut-être. Recommencer. Nous sommes venus ici pour ne pas être ailleurs. Nous n’en repartirons peut-être pas. » Lu par Émilie Bibeau et François Létourneau Livre publié en 2017 | Éditions Alto | 130 pages
Cette semaine à l'émission: Entrevue avec Cahterine Girard-Audet, Larry Tremblay et David Homel ; Entrevue avec Naomi Fontaine, Erika Soucy et Matthieu Simard ; La chaleur des mammifères:Entrevue avec l'auteur Biz ; Les habitudes des auteurs avec Johane Despins et Stéphane Leclair ; Table ronde:Adaptaion de romans au grand écran ; Donnacona:Entrevue avec l'auteur Éric Plamondon ; Entrevue avec les illustratrices Isabelle Arsenault et Valérie Boivin.
Cette semaine à l'émission: Entrevue avec Cahterine Girard-Audet, Larry Tremblay et David Homel ; Entrevue avec Naomi Fontaine, Erika Soucy et Matthieu Simard ; La chaleur des mammifères:Entrevue avec l'auteur Biz ; Les habitudes des auteurs avec Johane Despins et Stéphane Leclair ; Table ronde:Adaptaion de romans au grand écran ; Donnacona:Entrevue avec l'auteur Éric Plamondon ; Entrevue avec les illustratrices Isabelle Arsenault et Valérie Boivin.
Avec le duo humoristique Les grandes crues, l'auteur Matthieu Simard et l'invité d'honneur Gildor Roy
Matthieu Simard est l'auteur du roman “Ça sent la coupe” qu'il a également adapté pour le cinéma dans un film du même nom mettant en vedette Louis-José Houde. David l'a reçu au podcast et en a profité pour inviter du même coup son amie, l'humoriste Katherine Levac, pour qui l'œuvre de Matthieu a joué rôle important dans son développement créatif. On a droit à un entretien authentique dans lequel on en apprend sur les difficultés de l'exercice d'adaptation d'un roman pour le cinéma, les emails secrets que Katherine écrivait à Matthieu quand elle était à l'université, et la raison pour laquelle Louis-José Houde arrivait parfois avec un air bête sur le plateau de tournage du film.Cet épisode est commandité par le Vignoble du Domaine St-Jacques. Our GDPR privacy policy was updated on August 8, 2022. Visit acast.com/privacy for more information.
Matthieu Simard est l’auteur du roman “Ça sent la coupe” qu’il a également adapté pour le cinéma dans un film du même nom mettant en vedette Louis-José Houde. David l’a reçu au podcast et en a profité pour inviter du même coup son amie, l’humoriste Katherine Levac, pour qui l’œuvre de Matthieu a joué rôle […]
Matthieu Simard est l'auteur du roman “Ça sent la coupe” qu'il a également adapté pour le cinéma dans un film du même nom mettant en vedette Louis-José Houde. David l'a reçu au podcast et en a profité pour inviter du même coup son amie, l'humoriste Katherine Levac, pour qui l'œuvre de Matthieu a joué rôle […]
Créer différemment : c’est ce que font Janice Nadeau, illustratrice plusieurs fois primée, et Matthieu Simard, auteur de la série Pavel à La courte échelle. Cette rencontre a eu lieu au théâtre Inimagimô de la Grande Bibliothèque le mardi 23 mars 2010.