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Série Routines & Rituels : “Une santé mentale au top !” avec le Pr Pierre Philip, psychiatre et expert international du sommeil. Comment le manque de sommeil agit-il sur nos pensées et nos émotions, et comment mieux dormir ? Le Pr Pierre Philip partage ses meilleurs conseils pour un bon sommeil.Bienvenue dans la série de [ROUTINES & RITUELS] avec le Pr Pierre Philip. Pendant 4 semaines, le Pr Pierre Philip et Anne Ghesquière explorent, chaque vendredi, des conseils concrets et des routines simples pour nourrir et protéger sa santé mentale. Ils abordent le sommeil, l'alimentation, le stress, les écrans, les thérapies, le brouillard mental… autant de thèmes essentiels pour retrouver clarté, énergie et équilibre au quotidien. Il est l'auteur des best-sellers : Antidéprime et Réapprendre à dormir (Albin Michel).ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Une citation avec le Pr Pierre Philip : "Avoir une forme de régularité dans ses pratiques sportives, alimentaires, sociales, c'est un assez bon garant de santé au sens large."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec le Pr Pierre Philip : 00:00Introduction03:15Rôle du sommeil pour le cerveau06:42Liens santé mentale / santé physique09:18Bon sommeil / bonne santé mentale10:19Combien d'heures de sommeil ?16:40 En cas de réveils la nuit ?18:18La définition exacte de l'insomnie19:39Un phénomène fluctuant21:12L'importance de la régularité23:56Faut-il se coucher avant minuit ?26:11Micro-sieste : positive ou pas ?29:00Favoriser l'endormissement32:25Objets connectés et orthosomnie36:09Agenda de sommeil38:17Les conditions d'un bon sommeil45:18Solutions thérapeutiques, médicamenteuses ou naturellesAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:54 - Un monde connecté - Pendant ce sommet du Grand Continent, à chaque fois que nous avons abordé les défis majeurs auxquels font face la France et l'Europe, s'est posée la question centrale de la capacité des Etats à vraiment mettre en œuvre ce qui est nécessaire, sur l'IA, sur le climat, etc.
En Grèce, la situation dans les hôpitaux publics est jugée « misérable » par les professionnels de santé qui y travaillent. Le mois dernier, les médecins hospitaliers ont observé une grève de deux jours, suivie, fin novembre, d'une autre grève, de la part cette fois des infirmiers. Tous tirent la sonnette d'alarme sur un système public en ruines, qui ne s'est jamais relevé d'une décennie de crise économique. Pour les patients, le résultat, ce sont de longues heures d'attente sur place ou des mois pour obtenir un rendez-vous. En surplomb des décorations de Noël qui illuminent déjà la place Syntagma, au cœur d'Athènes, une tribune éphémère. C'est là, en face du Parlement, qu'infirmières et infirmiers se succèdent au micro en cette journée de grève. « Nous travaillons six jours par semaine au lieu de cinq », se lamente ainsi cette infirmière qui évoque une intensification « gigantesque » du travail à l'hôpital en raison du manque criant de personnel. Ces infirmiers se disent « épuisés » et appellent à la fois à des « recrutements massifs » et des augmentations de salaires. Toujours à Athènes, direction l'hôpital public d'Evangelismos, le plus grand du pays. À la tête du syndicat des employés, Giorgos Ferentinos est cardiologue-réanimateur. Pour lui, la situation des hôpitaux publics grecs ne cesse de se dégrader. Dans son seul hôpital, il y a plus de mille postes vacants. « Avant la pandémie, en Grèce, huit hôpitaux ont fermé en raison de la crise économique. Et, depuis, ces hôpitaux sont restés fermés. Résultat : les autres hôpitaux publics encore en fonctionnement font face à un volume de travail énorme. On estime actuellement qu'il manque plus de 6 000 médecins dans tout le pays. Un grand nombre de collègues médecins ont choisi de partir travailler soit à l'étranger, soit dans le secteur privé, justement à cause de la dégradation de nos conditions de travail : un rythme, à l'hôpital, de plus en plus intense avec, en parallèle, des salaires très bas. » Un système public à bout de souffle, poussé vers la privatisation Ici, faute de personnel, sept salles d'opération sont fermées et 35 lits de soins intensifs restent inutilisables. Et ceux qui en souffrent, ce sont les patients. Illustration avec cette trentenaire, hôtesse d'accueil au cœur d'Athènes. Pendant près de 10 ans – et jusqu'à son décès en 2023 –, elle a accompagné sa mère, atteinte d'un cancer du poumon, dans presque tous les hôpitaux publics de la région. « Quand ma mère a été hospitalisée, les infirmiers n'étaient tout simplement pas assez nombreux pour s'occuper des patients. Il fallait donc que nous assumions nous-mêmes en partie la responsabilité de la soigner. Même pour quelque chose d'aussi basique que demander à changer les draps, il fallait supplier, parce qu'ils n'en avaient pas. On devait aussi se charger de tout ce qui concernait l'hygiène, appeler les infirmières et attendre des heures, parce qu'elles étaient débordées. Et pour les médecins, c'était la même chose. » À l'agonie, le système hospitalier public grec, qui subsiste en partie grâce aux sacrifices du personnel soignant, se privatise progressivement. Depuis un an et demi, des interventions chirurgicales payantes l'après-midi et le soir permettent d'éviter les listes d'attente qui s'étalent sur des mois, voire des années. Un système de santé « public » où la priorité va dorénavant à ceux qui peuvent payer. À lire aussiGrèce: le Parlement grec adopte la possibilité d'une journée de travail de 13 heures
En janvier 2025, l'histoire d'Anne Deneuchatel et du faux Brad Pitt a fait le tour du monde. Pendant des mois, cette femme d'une cinquantaine d'années a été la cible d'une arnaque sentimentale : convaincue de vivre une histoire d'amour avec Brad Pitt, elle lui a envoyé près de 830 000 euros. Derrière cette fausse romance se cachait un brouteur : un escroc qui piège ses victimes sur Internet à travers une promesse amoureuse bien huilée, calibrée sur leurs faiblesses.Quelle est la mécanique des arnaques sentimentales ? Sur quels mythes romantiques les arnaqueurs se reposent-ils pour piéger leurs victimes ? Comment peut-on tomber dans l'emprise d'une personne qu'on n'a jamais rencontrée ? Pour en parler, Tal Madesta reçoit Valentina Péri, anthropologue et autrice du livre Le Brouteur galant : manuel de l'arnaqueur sentimental (Éditions UV, 2024) ainsi qu'Alexandre Kauffmann, journaliste et auteur de La Captive (Goutte d'Or, 2025), une enquête sur l'histoire d'une victime de cyber-escroquerie amoureuse. Dans ce premier volet de leur entretien en deux parties, ils et elle décryptent les manigances et les ressorts psychologiques qui permettent aux brouteurs d'installer puis d'entretenir l'emprise sur leurs proies.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées dans l'épisode à la page : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/les-escrocs-de-lamour-1-2CRÉDITSLes Couilles sur la table est un podcast créé par Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été préparé, mené et monté par Tal Madesta et enregistré le 27 novembre 2025 au studio Virginie Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Prise de son, réalisation et mixage : Paul Bertiaux et Jude Rigaud. Supervision éditoriale et de production : Naomi Titti. Production et édition : Marie Foulon. Communication : Lise Niederkorn. Rédacteur en chef : Thomas Rozec. Direction de production : Albane Fily. Responsable administrative et financière : Adrienne Marino. Musique originale : Théo Boulenger. Identité graphique : Marion Lavedeau (Upian). Composition identité sonore : Jean-Benoît Dunckel. Voix identité sonore : Bonnie El Bokeili. Direction des programmes : Joël Ronez.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:10:51 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Pendant la guerre froide, les forces de l'OTAN font face à celles du Pacte de Varsovie en Europe, sans produire d'affrontement armé. La chute du Mur va-t-elle mettre fin à l'OTAN ? - invités : Jenny Raflik-Grenouilleau - Jenny Raflik-Grenouilleau : professeure d'histoire des relations internationales contemporaines à Nantes Université - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:02 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1975, Edward Abbey publie le roman "Le Gang de la clef à molette". Celui qui est surnommé "Cactus Ed" devient une icône de la désobéissance civile. Pendant plusieurs décennies, il influence toute une génération d'activistes écologistes. - réalisation : Thomas Beau - invités : Élisabeth Quin Journaliste et écrivaine
Dans la nuit du 20 au 21 août 1974, Anne Tonglet et Araceli Castellano campent dans une calanque marseillaise... Les deux femmes, en couple, sont en vacances et s'apprêtent à rejoindre la famille d'Anne. Quand elles plantent leur tente, elles sont interpellées par Serge Petrilli, pêcheur qui souhaitent entrer dans leur tente. Les deux femmes refusent, se sentant menacées, mais Serge Petrilli tente malgré tout de pénétrer dans la tente. Anne le frappe d'un coup de marteau avant de s'apercevoir qu'il est accompagné de deux autres hommes, Albert Mougladis et Guy Roger. La suite est glaçante : Serge Petrilli se "jette sur elle" - ce sont ses mots. Pendant toute la nuit, raconte-t-elle, les trois hommes les violent, Araceli et elle. Les deux femmes portent plainte au petit matin, et les trois agresseurs sont interpellés. Ils nient les faits. La voix du crime de cet épisode présenté par Marie Zafimehy c'est Maître Agnès Fichot, collaboratrice de Gisèle Halimi au moment de ce que l'on a appelé "le procès d'Aix-en-Provence", le procès du viol. Elle fait aujourd'hui le parallèle entre cette affaire et celle des viols de Mazan. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
TRIGGER WARNING Cet épisode traite de sujets extrêmement sensibles qui peuvent ne pas convenir à tout le monde. Pour un public averti. Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d'expériences et d'opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d'un.e sexologue ou autre professionnel de la santé. Dans cet épisode, on aborde le sujet extrêmement sensible qu'est la pédophilie. On en jase avec Arielle qui doit vivre avec cette réalité ainsi que Anne-Marie Lavoie, qui est sexologue. RESSOURCES: Notre épisode avec le Dr Joyal sur la pédophilie : https://www.youtube.com/watch?v=TIYGoHMbKGU A) La distinction entre agresseur sexuel d'enfant et pédophile.Voici comment le définit le DSM avec les critères diagnostiques : A. Pendant une période d'au moins 6 mois, présence de fantasmes entraînant une excitation sexuelle intense et récurrente, de pulsions sexuelles ou de comportements impliquant une activité sexuelle avec un enfant ou plusieurs enfants prépubères (généralement âgés de 13 ans ou moins). B. L'individu a mis en actes ces pulsions sexuelles, ou les pulsions sexuelles ou les fantasmes entraînent une détresse importante ou des difficultés relationnelles. C. L'individu est âgé de 16 ans ou plus et a au moins 5 ans de plus que l'enfant ou les enfants mentionné(s) au critère A. N. B. Ne pas inclure un individu en fin d'adolescence qui entretient des relations sexuelles avec un enfant de 12-13 ans (APA, 2013). * En effet, le critère B, grâce aux « ou », permet d'inclure les hommes attirés sexuellement par les enfants qui ne passent pas à l'acte. Liens utiles à aller consulter pour des informations scientifiques vulgarisées: https://disno.ch/attirance-pedophile/ https://www.merckmanuals.com/fr-ca/professional/troubles-psychiatriques/paraphilies-et-troubles-paraphiliques/trouble-pédophile Peut-on guérir la pédophilie? https://ici.radio-canada.ca/nouvelles/special/2017/10/pedophilie-traitement-guerir-psychologie-crime-therapie-decouverte-attirance-enfant/index.html Ressources RIMAS pour trouver un professionnel dans sa région : https://www.rimas.qc.ca/bottin-des-ressources/ La clinique d'Anne-Marie : https://www.cliniqueconvergence.com La ligne d'écoute Ça suffit : https://casuffit.info Et le regroupement des intervenants en matière d'agression sexuelle (RIMAS) : https://www.rimas.qc.ca Le lien de l'entrevue d'Arielle avec Ça Suffit: https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:733281984726273638/ Le lien vers l'accueil du forum Virtuous Pedophile: https://virped.org Le lien vers MAP Support Club: https://mapsupport.club/ ****Pour la communauté clinique et médicale, le consensus est que les personnes atteintes d'un trouble pédophile ont besoin d'un traitement pour limiter les risques de passages à l'acte. Or, la participation à des forums de discussion ne constitue pas un traitement, mais permet plutôt d'obtenir du soutien, des informations sur la recherche et des services d'orientation vers des professionnels spécialisés, en diminuant la stigmatisation et le tabou qui pèse autour de la problématique. Le soutien informel que les forums apportent peut donc être une première étape pour les personnes attirées sexuellement envers les enfants afin de comprendre leur problématique. Néanmoins, ce soutien informel sera pertinent uniquement s'il permet de servir de passerelle vers des professionnels du domaine. Pour toutes questions : sexeoral@studiosf.ca Pour suivre les filles sur Patreon : https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement : https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/ Pour écouter sur Spotify : https://open.spotify.com/show/59Z6zW2JDjKXDjnLTOC78c Pour écouter sur Apple podcast : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/sexe-oral/id1547085665 Pour louer un studio et commencer votre podcast : https://studiosf.ca/
Ce jeudi 4 décembre, Jean-Joseph Boillot, chercheur associé à l'Iris et spécialiste de l'Inde, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Erwan Morice. Il s'est exprimé sur la visite officielle de deux jours de Vladimir Poutine en Inde pour discuter d'affaires, en particulier dans les domaines de l'énergie et de la défense. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Pendant longtemps, les chercheurs répondaient : il y a environ 4 500 ans, en Mésopotamie, dans les premières tablettes cunéiformes où l'on voit apparaître la description de baisers amoureux ou familiaux. Mais une étude toute récente, publiée en 2025 dans la revue Evolution and Human Behavior, vient totalement bouleverser cette chronologie. Selon cette analyse, le « premier bisou » remonterait non pas à l'humanité… mais à nos ancêtres primates, il y a entre 21,5 et 16,9 millions d'années.Les chercheurs ont d'abord redéfini ce qu'ils entendaient par « bisou » : un contact bouche-à-bouche non agressif, sans transfert de nourriture, utilisé dans un cadre social ou affectif. Sur cette base, ils ont comparé les comportements d'un grand nombre de primates actuels : chimpanzés, bonobos, gorilles, orangs-outans et d'autres espèces moins étudiées. Or beaucoup d'entre eux pratiquent un équivalent du baiser, parfois pour apaiser un conflit, parfois pour renforcer un lien, parfois dans un contexte reproductif.À partir de ces observations modernes, les scientifiques ont utilisé des modèles phylogénétiques – des outils permettant de reconstruire le comportement probable d'espèces anciennes – pour remonter dans le temps. Le résultat est frappant : l'ancêtre commun des hominidés et des grands singes, qui vivait il y a environ 20 millions d'années en Afrique, avait très probablement ce comportement de contact buccal affectif. Autrement dit, le baiser n'est pas une invention culturelle humaine, mais un héritage évolutionnaire très ancien.Cette conclusion change totalement notre vision. Jusqu'ici, on pensait que le baiser naissait dans les sociétés humaines sédentarisées, et qu'il s'agissait d'un rituel social complexe. Or il apparaît maintenant que les humains n'ont fait que reprendre un geste déjà présent chez leurs ancêtres. Comme le toilettage social chez les singes, le bisou aurait servi à réduire le stress, renforcer les alliances, apaiser les tensions et signaler la confiance. Dans certaines espèces, il joue aussi un rôle dans la sélection de partenaire : le contact buccal permettrait d'évaluer des signaux chimiques liés au système immunitaire ou à l'état de santé.L'étude reste prudente : certains primates sont peu documentés et la définition du « bisou » varie selon les espèces. Mais l'idée est solide et cohérente avec un grand nombre de données comportementales.En résumé : le premier bisou, loin d'être une invention récente de l'humanité, serait un comportement vieux de près de vingt millions d'années. Quand nous embrassons quelqu'un aujourd'hui, nous perpétuons un geste hérité de nos ancêtres primates — un geste bien plus ancien que l'amour romantique lui-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Marie a été diagnostiquée bipolaire en 2008 après une crise maniaque. Actuellement en phase haute, elle se sent exaltée par les événements familiaux à venir, mais reste vigilante quant à sa santé mentale en ajustant son traitement avec l'aide de son médecin. Bien entourée par sa famille et ses amis, elle anticipe les défis liés à sa condition tout en se préparant à profiter des fêtes de fin d'année. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode du Barbu qui parle RH, Maud Sarda partage une vision du recrutement profondément différente : plus humaine, plus inclusive, plus ancrée dans le réel.Cofondatrice de Label Emmaüs et "militante d'une transition juste", elle a construit un modèle qui allie e-commerce, solidarité et insertion, en prouvant qu'on peut concilier performance, impact social et innovation RH.Pendant la discussion, on explore :
Merci à Thomas d'être venu témoigner dans LEGEND Story.Alcoolique pendant vingt-cinq ans, il pouvait consommer jusqu'à huit litres de bière par jour, enchaînant les semaines de black-out. Il a mis sa vie en danger, ainsi que celle de son enfant. Sobre depuis sept ans, il a accepté de confier à LEGEND son quotidien de malade-alcoolique et ce qui lui a finalement permis de s'en sortir.Retrouvez toutes les informations concernant Thomas par ici ⬇️Son compte Instagram ➡️ https://www.instagram.com/tomsaddict9/ Son compte TikTok ➡️ https://www.tiktok.com/@tom.tom7482Retrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on embarque pour une aventure familiale absolument hors norme : un an en voilier au cœur de la Polynésie. Mon invitée, Anne-Victoire, revient tout juste de ce voyage avec son mari et leurs quatre enfants (3, 5, 9 et 11 ans au moment du départ) à bord d'un catamaran de 11 mètres. Un jour, ils ont quitté la vie “normale” pour vivre au rythme du vent, de la mer, des poissons qu'ils pêchaient eux-mêmes et des rencontres aux quatre coins du Pacifique.Pendant un an, ils ont traversé des archipels mythiques, fait l'école à bord, appris à naviguer loin de tout, partagé le quotidien de villages isolés et vécu comme des Robinson sur une île déserte. Mais ils ont aussi connu la peur, les pannes, une météo parfois violente et un gros frisson : une urgence médicale en pleine navigation avec leur plus jeune fils, loin de tout hôpital.Dans cet épisode, Anne-Victoire nous ouvre les coulisses de cette aventure : la préparation, la réalité du quotidien à six sur un bateau, ce que le voyage leur a appris sur la confiance, la responsabilité et la liberté… et ce que cette année sur l'eau a changé pour toute leur famille.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant un mois : avant 2026 , disons oui a la vie
Première diffusion : novembre 2023. Dans cette saison de la Traque, découvrez l'histoire de l'homme qui répand la mort sur son passage. Roberto Succo n'a rien du criminel ordinaire. Au cours de sa brève existence, il commet un double parricide et un nombre ahurissant de meurtres. Ce tueur en série italien n'a nul besoin de mobile, quiconque croise son chemin risque sa vie. Il tue au hasard… Le prix de la liberté Le 3 avril 1962, Roberto Succo voit le jour en Italie. Pendant sa jeunesse, il n'a pas d'amis. Les autres enfants le redoutent, il les tyrannise. Pourtant, du côté de sa famille, rien ne dépasse. C'est dans l'ombre que sa mère opère. Elle l'humilie et le rabaisse avec une cruauté sans égal. Roberto est seul au monde, la seule chose méritant son affection n'est autre qu'une Alpha Sud, la voiture de son paternel. Au volant, il trouverait presque un goût à la vie. Alors, quand Marissa, sa mère, décide de lui retirer, c'est là que tout dérape… Pour découvrir d'autres traques, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : le pacte avec le diable (1/4) [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : le chat et la souris (2/4) [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : les cadavres refont surface (3/4) [INÉDIT] James Whitey Bulger, le traître de Boston : la reddition de Santa Monica (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Mehdi Bayad Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage et sound design : Guillaume Cabaret Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les repas en famille, c'est tout un programme ! Entre les vieux conflits qui remontent, les tensions avec la belle-famille et les débats avec l'oncle raciste (le fameux !), on se demande souvent ce qu'on fait là
Le mercredi 19 novembre dernier, les États-Unis ont présenté un plan de paix pour mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie qui dure depuis plus de trois ans.Alors que les discussions se poursuivent, des Ukrainiens qui avaient fui leur pays, rentrent chez eux malgré les bombardements russes.A la mi-novembre, Le Parisien a suivi Alla, 77 ans, réfugiée en France. Elle avait quitté en catastrophe son village et son appartement. Emilie Torgemen, reporter au Parisien, nous raconte les 36 heures de bus qu'elle a parcouru avec Alla, dans Code source. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant près de huit siècles, le quartier des Maghrébins, au pied du Mur occidental, a été un lieu de vie, d'accueil et de passage au cœur de Jérusalem. Mais dans la nuit du 10 au 11 juin 1967, juste après la Guerre des Six Jours, il est rasé en quelques heures par les bulldozers israéliens. Dans cet épisode, l'historien Vincent Lemire, auteur d'Au pied du mur. Vie et mort du quartier maghrébin de Jérusalem, raconte comment ce quartier a disparu du paysage et ce que cette destruction révèle de l'histoire longue et conflictuelle de Jérusalem.
Une découverte majeure publiée dans Nature Communications bouleverse notre manière de raconter l'histoire de l'humanité. Sur le site kényan de Nomorotukunan, les archéologues ont mis au jour un phénomène fascinant — et déroutant. Pendant près de 300 000 ans, des générations d'hominidés y ont façonné exactement les mêmes outils en pierre, sans la moindre innovation. Pas de progrès, pas de variation notable, pas d'amélioration technique. Une immobilité totale dans un monde pourtant en pleine mutation.Cette persistance dans la répétition interroge. On a longtemps imaginé la préhistoire comme une aventure continue d'inventions brillantes menant progressivement à l'Homo sapiens moderne. Mais Nomorotukunan raconte une autre histoire : celle d'une humanité qui, pendant une immense portion de son existence, a fait du conservatisme technologique la norme plutôt que l'exception.Les outils retrouvés ne sont pas n'importe quels objets : ce sont des artefacts appartenant à la tradition Oldowayenne, l'une des plus anciennes technologies humaines, apparue il y a environ 2,6 millions d'années. Ce sont des éclats simples, produits en frappant deux pierres l'une contre l'autre, utilisés pour couper, racler ou broyer. Leur fabrication, quasi immuable, suggère une maîtrise transmise, mais jamais réinventée. Cela implique des pratiques pédagogiques, une culture matérielle stable et, surtout, une absence totale de pression à innover.Comment expliquer cette stagnation ? D'abord, ces outils étaient probablement suffisants pour répondre aux besoins du quotidien. Quand une technologie fonctionne parfaitement pour chasser, découper ou dépecer, pourquoi en changer ? Ensuite, les hominidés de cette époque vivaient dans des environnements où la stabilité culturelle importait davantage que l'expérimentation individuelle. L'innovation, loin d'être une valeur universelle, est un concept moderne.Cette découverte nous oblige aussi à revoir notre définition du « progrès ». Ce que nous percevons aujourd'hui comme une évolution naturelle — l'amélioration continue des technologies — est en réalité une anomalie récente à l'échelle de notre histoire. Pendant des centaines de milliers d'années, le véritable pilier de la survie humaine n'était pas la créativité, mais la continuité.L'immobilité de Nomorotukunan n'est donc pas un signe d'infériorité intellectuelle. Au contraire, elle révèle que ces populations maîtrisaient déjà un savoir-faire optimisé, durable et parfaitement adapté à leur mode de vie. Le progrès n'était pas une priorité : la transmission fidèle d'un geste ancestral était la clé de la survie.En fin de compte, cette découverte bouleverse notre récit : l'humanité n'a pas toujours avancé grâce à l'innovation. Pendant la majorité de son histoire, elle a avancé grâce à la tradition. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant que certains goutent sereinement à leurs dernières heures de vacances avant la reprise, pour d'autres cette intersaison a un entre d'autres formations ou encore des contrats qui arrivent à terme. Cette année 2025 va laisser sur le carreau bon nombre de coureurs. Parmi eux un grand nom du peloton. Si rien n'est encore officiel il apparait chaque jour un peu plus probable que Chris Froome ait vécu sa dernière professionnelle après 19 ans d'une carrière étonnante qui l'aura vu passer de coureur africain anonyme à star du peloton avant de connaitre le drame et une chute terrible qui lui aura ôté bon nombre de ses qualités de super champion. Et aujourd'hui dans Grand Plateau on va revenir sur le cas Froome, évoquer quelques grands moments de sa carrière et se demander quelle image il laissera dans l'histoire du cyclisme. Celle de ce garçon timide, premier africain vainqueur du Tour ou celle d'un champion à la réputation sulfureuse souvent soupçonné mais jamais pris par la patrouille de l'antidopage. Avec Christophe Cessiux, Maria Azé, Yohan Bredow, Pierre Koetschet et Jérôme Coppel. Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Kevin Paugam
Happy Work édition La Totale, c'est la compilation des 2 épisodes du jour, celui du matin consacré à un thème précis (bien-être au travail, management, management bienveillant ou carrière) et celui de l'après-midi, Happy Work Express, dans lequel je commente un chiffre RH qui me semble intéressant ou drôle.Pourquoi ce format ? Pendant vos trajets... cela vous évite d'avoir à zapper pour écouter les 2 épisodes ;-)0:00 Introduction0:10 Épisode du jour7:01 Le chiffre du jourNOUVEAU : retrouvez moi sur WhatsApp sur la chaîne Happy Work... pas de spam, c'est gratuit et il n'y a que du feelgood !!! : https://whatsapp.com/channel/0029VbBSSbM6BIEm0yskHH2gEt pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comDÉCOUVREZ MON AUTRE PODCAST, HAPPY MOI, LE PODCAST POUR PRENDRE SOIN DE VOUS, VRAIMENT: lnk.to/sT70cYSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy WorkSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet échange inspirant, Sophie reçoit Mylène Sandra, élève de l'HEMC, infirmière, coach, maman, femme ancrée et en constante évolution.Pendant 7 ans, elle a choisi de se transformer en profondeur.Pas à travers des miracles instantanés, mais par une intégration vibratoire quotidienne, une vraie foi dans le processus, une présence à sa famille, et une reconquête intérieure.Ce que tu vas entendre ici, ce n'est pas un témoignage.C'est une transmission incarnée, un rappel que :– La transformation prend du temps, mais elle laisse une trace éternelle– La régularité crée la liberté– Et que ta vraie réussite, c'est comment tu te sens, pas ce que tu prouves.Pour aller plus loin avec moi : ✨ Rejoins le Cercle Privé : des audios puissants et spontanés pour transformer ta fréquence et ta réalité. ✨ Fais le quizz offert "quel type de manifesteur es tu ?" pour découvrir ta façon unique de manifester (et pourquoi ça change tout). ✨ Inscris-toi sur la liste d'attente l'HEMC pour être informée de l'ouverture des portes de la prochaine cohorte et bénéficier de bonus spéciaux.À propos de l'invité(e) du jour :
Dans cette chronique des "100 ans de connerie", Jean Yanne vous emmène au cœur de sa minute charme... Chaque weekend en podcast, retrouvez "100 ans de conneries", par Jean Yanne. Pendant 4 mois, de septembre à décembre 1999, le sociétaire des "Grosses Têtes", tenait sur RTL une chronique quotidienne dans laquelle il faisait le bilan du siècle qui allait bientôt se terminer. Avec son humour féroce habituel, il s'est attaché à dénoncé la "connerie" humaine, vraie constante et révélatrice du XXème siècle.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, on embarque pour une aventure familiale absolument hors norme : un an en voilier au cœur de la Polynésie. Mon invitée, Anne-Victoire, revient tout juste de ce voyage avec son mari et leurs quatre enfants — 3, 5, 9 et 11 ans au moment du départ — à bord d'un catamaran de 11 mètres. Un jour, ils ont quitté la vie “normale” pour vivre au rythme du vent, de la mer, des poissons qu'ils pêchaient eux-mêmes et des rencontres aux quatre coins du Pacifique.Pendant un an, ils ont traversé des archipels mythiques, fait l'école à bord, appris à naviguer loin de tout, partagé le quotidien de villages isolés et vécu comme des Robinson sur une île déserte. Mais ils ont aussi connu la peur, les pannes, une météo parfois violente et un gros frisson : une urgence médicale en pleine navigation avec leur plus jeune fils, loin de tout hôpital.Dans cet épisode, Anne-Victoire nous ouvre les coulisses de cette aventure : la préparation, la réalité du quotidien à six sur un bateau, ce que le voyage leur a appris sur la confiance, la responsabilité et la liberté… et ce que cette année sur l'eau a changé pour toute leur famille.Retrouvez-nous sur @beauvoyage !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Monaco - PSG | Debrief
Dans ce nouvel épisode du podcast horreur français Dans l'Ombre des Légendes, plongez dans l'affaire qui a traumatisé Paris : l'histoire vraie du Grêlé, ce tueur en série caché sous un uniforme de gendarme puis de policier, dont le nom a glacé le sang de toute une génération. Le Grêlé, c'est la peur incarnée : un visage marqué, une autorité irréprochable, et derrière ce masque, un prédateur sans pitié. Pendant plus de trente ans, il a échappé à la justice, en usant de son badge pour inspirer confiance… et pour mieux piéger ses proies. Ce podcast horreur, entre légendes urbaines françaises audio et true crime, vous fait revivre chaque étape de cette traque : les crimes du Grêlé à Paris, l'ADN retrouvé sur les scènes de crime, le malaise dans la police, et la révélation glaçante de sa véritable identité, François Vérove.Ce récit immersif alterne faits réels et narration à la Barker : la banalité du mal, le sentiment de sécurité brisé, la ville de Paris transformée en terrain de chasse pour un tueur en série insoupçonnable. Crimes d'enfants, double homicide du Marais, enlèvements, manipulation psychologique, tout y est : chaque élément de l'affaire Le Grêlé est vérifié, sourcé, et raconté à la façon d'un cauchemar éveillé, fidèle à l'esprit du podcast. Vous ne verrez plus jamais l'uniforme de la même manière…Si vous aimez les podcasts de légendes urbaines françaises audio, les threads horreur, les histoires d'influenceuses maudites, ce récit vous hantera longtemps après l'écoute. Ce n'est plus une simple histoire : c'est un rituel, une mise en garde. Oseras-tu écouter jusqu'au bout… ou scrolleras-tu avant qu'il ne soit trop tard ?
La Valise RTL, c'est une légende ! Et tout le monde l'écoute... Chaque weekend en podcast, retrouvez "100 ans de conneries", par Jean Yanne. Pendant 4 mois, de septembre à décembre 1999, le sociétaire des "Grosses Têtes", tenait sur RTL une chronique quotidienne dans laquelle il faisait le bilan du siècle qui allait bientôt se terminer. Avec son humour féroce habituel, il s'est attaché à dénoncé la "connerie" humaine, vraie constante et révélatrice du XXème siècle.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en 2003, cette année-là - comme chantait Claude François repris d'ailleurs par M Pokora - la 3ème saison du télé-crochet de M6 "Popstars" est en préparation. Des castings sont organisés dans la France entière, notamment à Strasbourg où vit Matthieu Tota, le vrai nom de M. Pokora... Pendant une pause, le jury remarque un petit blondinet qui se trémousse façon Justin Timberlake. Il ne fait pas la queue pour le casting, il est juste venu accompagner une copine. Il ne le sait pas encore mais son destin est sur le point de basculer... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une santé au top ! avec le Dr Yann Rougier, médecin spécialiste des hôpitaux de Paris, passionné de neurosciences appliquées et de nutrition-santé. Pourquoi nos défenses immunitaires baissent-elles en hiver ? Quels gestes adopter pour renforcer notre immunité naturellement ? Quels compléments alimentaires prendre ? Le Dr Yann Rougier partage ses secrets pour préserver une bonne santé et immunité tout au long de l'hiver.Bienvenue dans la série de [ROUTINES & RITUELS] avec le Dr Yann Rougier. Pendant 4 semaines, le Dr Yann Rougier et Anne Ghesquière discutent santé et bien être en cette période hivernale. Ils abordent la vitalité, le sommeil, l'alimentation, la gestion du stress et l'immunité.ATTENTION : ces informations ne remplacent en aucun cas une consultation chez le médecin.Une citation avec le Dr Yann Rougier : "Notre système émotionnel est d'une puissance incroyable au niveau de l'impact sur l'immunité."À réécouter :5 conseils pour booster son énergie en hiver5 clés essentielles contre les kilos en hiverRELAX ! 5 pistes pour apaiser son stress en hiver Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec le Dr Yann Rougier : 00:00Introduction03:19Hiver et baisse d'immunité09:13Sommes-nous égaux niveau système immunitaire11:04Faut-il faire un bilan immunitaire ?13:54Le scénario émotionnel inverse18:07L'impact de notre système émotionnel20:36Le cerveau, notre partenaire22:33La supplémentation intelligente25:34Préserver son sommeil30:09L'impact de l'environnement32:25En cas de mal-être33:52Les bienfaits de l'écriture37:52Les plantes pour l'immunité38:18Le rôle des fibresAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Résumé. Marie-Pierre Revel, 64 ans, a commencé à fumer dès son plus jeune âge, avec sa cousine Véro. Mais en 2013, Véro tombe malade : elle a un cancer du poumon. Marie-Pierre, qui est radiologue, prend encore plus conscience à ce moment-là du danger de la cigarette.L'ancienne fumeuse se lance alors dans un projet de recherche pour dépister le cancer. Pendant que Véro se bat contre la maladie, Marie-Pierre se bat pour que son projet puisse voir le jour.Marie-Pierre Revel a publié un ouvrage au mois d'octobre intitulé “En finir avec le cancer du poumon, c'est possible !”. Aujourd'hui, la médecin raconte son histoire dans Code Source, au micro de Barbara Gouy.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clara Grouzis, Thibault Lambert et Anaïs Godard - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCP. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
⚠️ Avant d'écouter cet épisode, je vous invite à prendre connaissance des trigger warnings qui l'accompagnent.Pour ce nouvel épisode, je reçois Kévin, un jeune homme qui arrive avec un bagage intime dense et parfois douloureux. Depuis l'adolescence, Kévin est attiré par les femmes trans non opérées, une découverte faite d'abord via la pornographie, puis à travers des petites annonces, qui ont marqué le début de sa vie sexuelle. Pendant longtemps, cette attirance a été vécue dans la honte, le silence, l'incompréhension, et une grande solitude. Kévin a essayé de vivre des relations amoureuses plus « conventionnelles » avec des femmes cis genre qui n'ont pas été épanouissantes. Il nous parle aussi de ses préférences, longtemps incomprises, pour les femmes aux corps généreux.Aujourd'hui, Kévin a 28 ans et se trouve dans une situation personnelle complexe : en couple depuis plusieurs années, devenu récemment père d'un enfant qu'il ne souhaitait pas, il ne s'épanouit ni dans sa vie sentimentale, ni dans sa sexualité. Il raconte comment il se sent bloqué, tiraillé entre ses désirs, ses peurs et la vie qu'il mène.Avant d'aller plus loin, je tiens à rappeler quelque chose d'essentiel :Sur On The Verge, chaque parole appartient à la personne qui la prononce. Les récits, les interprétations, les émotions exprimées n'engagent que leur protagoniste. Depuis 2019, mon intention est de donner la parole à tous les hommes, dans la diversité de leurs vécus, de leurs sexualités, de leurs contradictions, sans hiérarchie, sans jugement, sans volonté de heurter qui que ce soit. Écouter ces histoires ne signifie ni valider ni généraliser : cela signifie comprendre d'où viennent les gens, comment ils se construisent, et ce que leurs trajectoires disent du monde dans lequel ils évoluent.Dans cet épisode, Kévin revient avec sincérité sur ses contradictions, sa honte, ses attirances, et ce besoin d'être en accord avec lui-même.Merci de rester jusqu'à la fin : il me semblait important d'y proposer une conclusion plus développée que d'habitude.Bonne écoute.TW : fétichisations, propos homophobes, parentalité non désiré, relation toxique, adultèreJe vous renvoie à cet article sur la question de la sexualisation des personnes trans.** Infos **
Laurent Kretz reçoit Julien Azzi, Head of Digital du Ritz Paris, cette maison qui fait rêver le monde entier depuis 1898. Pendant plus d'un siècle, le Ritz a posé les standards de l'hospitalité. Mais comment une institution de cette ampleur aborde-t-elle aujourd'hui un virage digital accéléré ? Julien raconte comment le Ritz, bien que reconnu mondialement, reste une PME qui joue dans la cour des grands : entre les attentes du marché, les clients exigeants et les offres multiples à coordonner, il dévoile les défis qu'ils ont rencontrés : rattraper 10 à 15 ans de digitalisation en quelques années seulement. Au programme00:00:00 - Introduction00:06:20 - Le Ritz comme institution et référence mondiale du luxe00:14:20 - Une grande marque avec une organisation de PME00:21:15 - Le virage digital00:36:07 - Multiplication des outils métiers dans l'hôtellerie00:36:30 - Refonte complète : UX unifiée et structure headless00:44:03 - Innovation : la homepage immersive “24h au Ritz”00:49:40 - CRM : structuration et unification des données01:09:13 - What's next : enjeux du Ritz pour 2026Et quelques dernières infos à vous partager :Suivez Le Panier sur Instagram @lepanier.podcast !Inscrivez- vous à la newsletter sur lepanier.io pour cartonner en e-comm !Écoutez les épisodes sur Apple Podcasts, Spotify ou encore Podcast AddictHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Happy Work édition La Totale, c'est la compilation des 2 épisodes du jour, celui du matin consacré à un thème précis (bien-être au travail, management, management bienveillant ou carrière) et celui de l'après-midi, Happy Work Express, dans lequel je commente un chiffre RH qui me semble intéressant ou drôle.Pourquoi ce format ? Pendant vos trajets... cela vous évite d'avoir à zapper pour écouter les 2 épisodes ;-)0:00 Introduction0:10 Épisode du jour6:23 Le chiffre du jourDÉCOUVREZ MON NOUVEAU PODCAST, HAPPY MOI LE PODCAST POUR PRENDRE SOIN DE TOI : lnk.to/sT70cYSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy WorkSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plongez dans la traque de James “Whitey” Bulger, le parrain de Boston. Né dans les rues violentes du Boston des années 50, Bulger gravit les échelons du crime organisé jusqu'à devenir l'homme que tout le monde craint. Meurtres, rackets, trahisons… Whitey règne par la terreur, tout en profitant d'un pacte secret avec le FBI qui lui permet d'agir dans l'ombre en toute impunité. Pendant des décennies, il manipule policiers, gangsters et politiciens, se jouant du système comme personne. Lorsque la vérité éclate, sa chute révèle l'un des scandales les plus explosifs de l'histoire du crime américain. La reddition de Santa Monica le spot télévisé du FBI finit par porter ses fruits : une voisine reconnaît Catherine Greig et révèle la planque du couple à Santa Monica. Tandis que Bulger réalise qu'il est enfin repéré, l'équipe d'intervention menée par Scott Garriola met en place une ruse et cueille le parrain sans qu'il tire un coup de feu. Catherine se rend à son tour, et après seize ans de cavale, les deux fugitifs sont transférés à Boston pour être jugés. Whitey affronte alors un procès retentissant, marqué par les témoignages de ses anciens associés, avant d'écoper de deux peines à perpétuité. En prison, vieillissant et toujours provocateur, il finit assassiné en 2018, closant définitivement la trajectoire du parrain intouchable de Boston. Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Richard Ramirez, au nom de Satan : la rencontre avec le diable (1/4) [INÉDIT] Richard Ramirez, au nom de Satan : le sevrage fatal (2/4) [INÉDIT] Richard Ramirez, au nom de Satan : un tueur sans cible (3/4) [INÉDIT] Richard Ramirez, au nom de Satan : une chasse à l'homme (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Lola Bertet Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le jeu de balle maya – le pok-ta-pok, ou pitz – occupe une place fascinante dans l'imaginaire collectif. On y voit un terrain de pierre, deux équipes, une lourde balle de caoutchouc, et un rituel dont l'issue serait, dit-on, fatale pour l'un des joueurs. Depuis des décennies, un récit impressionnant circule : à la fin du match, l'un des participants aurait été mis à mort, parfois même le capitaine de l'équipe gagnante.Ce tableau spectaculaire a nourri films, documentaires sensationnalistes, théories pseudo-historiques… et l'idée d'un sport où l'on risquait sa vie à chaque partie. Il faut dire que plusieurs éléments ont entretenu cette légende : certaines sculptures de Chichén Itzá montrent des scènes de décapitation ; le Popol Vuh, texte sacré des Mayas Quichés, raconte que les dieux du monde souterrain exécutent les “Héros Jumeaux” après un match symbolique ; enfin, les chroniqueurs européens, fascinés ou horrifiés, ont souvent amplifié les rites mésoaméricains pour mieux en souligner la “brutalité”.Tout cela a contribué à une vision dramatique : des équipes jouant leur destin sous les yeux des dieux, un seul survivant, un seul vaincu… ou un seul vainqueur sacrifié, selon les versions. Pendant longtemps, cette image a semblé plausible, tant le jeu avait une dimension sacrée : il représentait la lutte cosmique entre lumière et ténèbres, vie et mort. Et les Mayas pratiquaient effectivement parfois des sacrifices humains, ce qui renforçait la crédibilité de ce scénario dans l'opinion moderne.Mais tout change lorsqu'on se tourne vers l'archéologie et l'épigraphie mayas. Les inscriptions, les études iconographiques, les textes retrouvés au fil du XXᵉ et XXIᵉ siècle, racontent une histoire beaucoup plus nuancée — et très différente de la version populaire.Alors, les joueurs étaient-ils sacrifiés ?La réponse est non.Les spécialistes sont unanimes : les joueurs de balle n'étaient pas systématiquement sacrifiés, et aucune source fiable n'affirme que le capitaine de l'équipe victorieuse devait mourir. Les rares scènes de décapitation ne décrivent pas un match réel, mais une symbolique cosmologique. Quant aux sacrifices associés au jeu, ils concernaient, dans certains rituels très particuliers, des prisonniers de guerre, non des athlètes.En réalité, le seul risque réel pour les joueurs était… la violence de la balle elle-même, pouvant peser plus de trois kilos.Ainsi, le grand mythe du vainqueur sacrifié appartient davantage à la légende moderne qu'à l'histoire maya. La vérité, révélée seulement dans le dernier tiers de ce récit, est beaucoup moins sanglante — mais tout aussi passionnante. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Starbucks gagne de l'argent même lorsque ses clients ne boivent pas de café, et cela repose sur deux mécanismes économiques très simples : l'argent non dépensé et l'argent immobilisé.D'abord, Starbucks vend énormément de cartes-cadeaux et de bons prépayés. Les clients y chargent par exemple 25, 50 ou 100 dollars. Dès que cet argent est chargé, Starbucks l'encaisse immédiatement, alors qu'aucun produit n'a encore été servi. C'est une avance de trésorerie : l'entreprise reçoit le paiement bien avant de fournir le café ou la nourriture.Ensuite, il existe un phénomène appelé “breakage”. Il s'agit de la partie des cartes-cadeaux qui ne sera jamais dépensée. Cela peut être une carte perdue, quelques dollars oubliés, un cadeau jamais utilisé ou un solde trop faible pour être récupéré. Dans le cas de Starbucks, on estime qu'environ 10 % des 2 milliards de dollars en circulation sur les cartes ne seront jamais utilisés. Cela représente environ 200 millions de dollars qui deviennent un bénéfice pur. Aucun café n'a été produit, aucune marchandise n'a été vendue, mais l'argent est bel et bien définitivement acquis par l'entreprise.À cela s'ajoute un autre avantage colossal : les intérêts. Tout l'argent chargé sur les cartes et l'application Starbucks reste sur les comptes de l'entreprise jusqu'à ce qu'il soit dépensé. Pendant ce temps, Starbucks peut utiliser ces milliards comme n'importe quelle trésorerie. Elle peut les placer sur des comptes rémunérés, les utiliser pour financer son activité ou réduire ses besoins d'emprunt. Cet argent immobilisé, appelé “float”, rapporte des dizaines de millions de dollars par an en intérêts.C'est exactement le même mécanisme que celui des compagnies aériennes avec leurs miles, de PayPal avec les soldes des comptes, ou d'Amazon avec les cartes prépayées. L'entreprise reçoit l'argent aujourd'hui et n'a pas besoin de fournir immédiatement le service. Certaines sommes ne seront jamais consommées et une partie génère de la valeur financière en attendant d'être utilisées.En résumé, Starbucks bénéficie d'un double avantage :l'argent jamais dépensé, qui devient un profit net,l'argent temporairement stocké, qui apporte des revenus financiers.Cela transforme les cartes-cadeaux et les recharges d'application en une source de revenus extrêmement rentable, parfois même plus lucrative que la vente de café elle-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Cisjordanie occupée, les enfants sont sur-représentés parmi les victimes de l'occupation militaire israélienne. Cinquante mineurs palestiniens ont été tués depuis le début de l'année 2025, la plupart par l'armée. Plus de 2 000 enfants et adolescents ont été arrêtés depuis les attaques du 7-Octobre, pour des séjours plus ou moins prolongés dans les prisons israéliennes, où ils subiraient des sévices dénoncés par les principales ONG de défense des droits humains. RFI est allé à la rencontre de Bassam : il a 17 ans et a été libéré dimanche 23 novembre, après six mois de détention dans la prison israélienne d'Ofer. De notre correspondant à Ramallah, Sous le regard de sa mère, Bassam soulève son t-shirt sous lequel les marques, sur son corps amaigri, racontent la prison israélienne. « J'ai encore les traces des coups, les marques des menottes. Pendant trois mois, je ne pouvais pas sentir mes mains. C'est le résultat de la maladie qu'on attrape en prison, la gale », témoigne-t-il. Le jeune homme de 17 ans a été arrêté pour avoir jeté des pierres sur une jeep de l'armée, puis condamné après des aveux contraints : « Ils m'ont interrogé pendant trois jours pour m'arracher des aveux. Ils menaçaient ma mère. Toute cette pression, surtout quand il parlait de ma mère, cela m'a détruit. J'ai eu peur pour elle, alors j'ai fini par avouer. Pour qu'ils ne lui fassent rien. » Prison ou pas, Bassam est un adolescent. Comme de nombreux jeunes de son âge, il vit et rêve football. « J'ai fourré un bout de drap dans une chaussette et j'ai serré autour avec un bout de tissu. Je l'ai cousue et j'ai commencé à jouer avec, comme un petit ballon. Un truc pour m'entraîner et jouer au foot dans la cellule », détaille-t-il. Des rêves qui n'ont pas leur place dans les cellules de la prison. « Le gardien m'a dit : "Toi, tu n'es pas au Camp Nou, tu n'es pas au Bernabeu", et il a commencé à me frapper en répétant : "Ici, ce n'est pas un terrain de jeu, ce n'est pas dans un stade." Moi, je me disais : avec tout ce que j'invente juste pour réussir à vivre un peu, ils me frappent quand même », se souvient-il. Pour avoir, lui aussi, jeté des pierres sur une jeep de l'armée israélienne, le frère de Bassam a été tué d'une balle dans la tête, en 2018. Il avait 16 ans. Son sourire juvénile est encadré sur les murs du salon. Sami, 15 ans, fan de football... abattu par un sniper À Kufr Aqab, près de Ramallah, un autre rêveur de ballon rond a été fauché par un tir de sniper, vendredi 21 novembre. Il s'appelait Sami et il avait 15 ans. « Il jouait sur sa trottinette électrique avec ses amis et son cousin, ils faisaient le tour du quartier, ils étaient contents. Ils ont entendu qu'il y avait une incursion de l'armée, alors comme n'importe quel jeune, par curiosité, ils sont allés voir. Le sniper a tiré et la balle l'a frappé dans le dos », raconte sa mère avec douleur. Celle-ci nous ouvre la chambre du garçon. Sur son lit, soigneusement pliée, sa tenue complète de l'équipe palestinienne de football. « Ils l'ont aussi arraché à ses frères et sœurs. Chaque matin, en se réveillant, ils respirent son odeur sur ses vêtements restés à la maison, et cela leur rappelle sa présence. C'est la seule chose qui nous aide à supporter son absence », confie-t-elle. Comme tous les vendredis, Sami aurait dû se rendre à l'entrainement. « Comme n'importe quelle mère palestinienne, je vivais dans la crainte : est-ce que mon fils va rentrer à la maison ou non ? Chaque fois qu'il quittait la maison, je le confiais à Dieu », se lamente-t-elle. Secouée de sanglots, la mère serre contre son cœur, les chaussures imbibées de sang que son fils portait, ce jour-là. À lire aussiL'armée israélienne lance une «vaste opération» dans le nord de la Cisjordanie
En 1925, un petit groupe d'étudiants américains s'est lancé dans une expérience aussi audacieuse qu'inconsciente : rester éveillés pendant 60 heures d'affilée. À l'époque, certains scientifiques pensaient encore que le sommeil n'était peut-être pas indispensable. Le professeur de psychologie Frederick A. Moss, de l'université George Washington, voulait prouver qu'on pouvait s'en passer, et que le repos nocturne n'était qu'une perte de temps. L'expérience, menée dans un esprit de défi intellectuel, s'est rapidement transformée en démonstration des limites humaines.Les participants ont tenu un peu plus de deux jours sans dormir. Les premières heures se sont bien passées : euphorie, discussions animées, sentiment de lucidité accrue. Mais très vite, les effets de la privation se sont fait sentir : baisse d'attention, troubles de la mémoire, crises de rire incontrôlables, irritabilité, puis désorientation. Au bout de 48 heures, certains commençaient à avoir des hallucinations. L'expérience, censée démontrer l'inutilité du sommeil, s'est finalement révélée être la preuve éclatante de son importance.La science moderne a depuis largement confirmé ces observations. Dormir n'est pas un simple repos : c'est une fonction biologique vitale. Le cerveau profite du sommeil pour consolider les souvenirs, réguler les émotions et éliminer les déchets métaboliques produits pendant la journée. Privé de ce processus, il se dérègle rapidement. Des études en neurobiologie montrent qu'après seulement 24 heures sans sommeil, la concentration et le temps de réaction chutent comme si l'on avait bu l'équivalent de deux verres d'alcool. Après 48 heures, apparaissent des “microsommeils” : des pertes de conscience de quelques secondes, incontrôlables, même les yeux ouverts.Le manque de sommeil perturbe aussi le corps tout entier. Il modifie la sécrétion des hormones de stress, déséquilibre la glycémie, affaiblit le système immunitaire et favorise l'inflammation. Autrement dit, il met l'organisme en état d'alerte permanente.Des expériences modernes, notamment publiées dans le Journal of Sleep Research, confirment qu'au-delà de 48 heures sans dormir, le cerveau entre dans un état comparable à celui de la psychose : hallucinations, confusion, troubles du langage, voire paranoïa.Ainsi, l'expérience de 1925, née d'une curiosité sincère, démontre exactement l'inverse de ce qu'elle cherchait à prouver : le sommeil n'est pas un luxe ni une faiblesse, mais une nécessité biologique absolue. C'est pendant le sommeil que le cerveau se répare, trie l'information et assure l'équilibre de tout l'organisme. Sans lui, l'être humain perd littéralement pied dans la réalité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, prof de français, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Ça y est, on arrive au 10e et dernier épisode de la série Cuisine Historique ! Et pour cette fois, on s'attaque à un plat de la Seconde Guerre mondiale : que manger quand le pays est sous occupation, en contexte de restriction ? C'est ce qu'on vous propose de découvrir aujourd'hui avec Fabian, avec les Bitoks à la Russe… Et ne vous y trompez pas, c'est excellent ! Bonne écoute et bon appétit !➤ La série Cuisine Historique a pu être réalisée grâce au soutien du CNC Talent : https://www.cnc.fr/professionnels/aides-et-financements/creation-numerique/fonds-daide-aux-createurs-video-sur-internet-cnc-talent_190814➤ Pour en savoir encore plus sur l'histoire de l'alimentation, suivez les travaux de Fabian :➜ Sur Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100015340651981➜ Sur Instagram : https://www.instagram.com/fabian.mullers/➜ Via le collectif Cuisine Historique : https://www.facebook.com/CollectifCuisineHistorique➜ Et sur le site de La Muse : https://mondemedieval.fr/
Y aura-t-il une rencontre Kagame-Tshisekedi à Washington d'ici Noël ? Rien n'est moins sûr. « Il n'y aura la paix dans l'est du Congo que si les génocidaires FDLR sont neutralisés », affirme sur RFI le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, qui déplore le manque de volonté politique de Kinshasa pour lancer cette opération. Le ministre précise qu'une telle neutralisation des FDLR « ouvrira la voie à la levée des mesures de défense du Rwanda » au Congo. En ligne de Luanda, où il vient d'assister au septième sommet Afrique-Europe, le chef de la diplomatie rwandaise répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Où en sont les discussions entre votre pays et la République démocratique du Congo en vue d'une signature de la paix à Washington ? Olivier Nduhungirehe : La paix a déjà été signée le 27 juin à Washington. À Washington, les discussions de mise en œuvre se déroulent, il y a des progrès. Mais notre problème, c'est qu'il y a des violations permanentes du cessez-le-feu par l'armée congolaise. Alors ce que tout le monde attend, c'est une rencontre à Washington entre le président Kagame et le président Tshisekedi. Quand est-ce qu'elle aura lieu ? Elle aura lieu dans quelques jours. Mais le problème, c'est qu'il y a des bombardements quotidiens de la part des avions de chasse et des drones d'attaque de l'armée congolaise, non seulement contre des positions de l'AFC/M23, ce qui est bien sûr en violation du cessez-le-feu, mais aussi, ce qui est plus grave, contre les villages Banyamulenge, ces Tutsi congolais du Sud Kivu, dans un contexte de montée des discours de haine. Alors, ce que disent les autorités congolaises, notamment par la voix de Patrick Muyaya, c'était sur RFI il y a quelques jours, c'est qu'il n'y aura de véritable paix que quand vous aurez renoncé à vos mesures de défense sur le territoire congolais… Et bien Patrick Muyaya devrait lire l'Accord de paix de Washington. Il n'y aura de paix que si les FDLR, les génocidaires FDLR qui sont soutenus, financés par Kinshasa et qui sont même intégrés dans l'armée, sont neutralisés, comme l'exige le Conops, le concept des opérations, qui a été signé dans le cadre de l'accord de paix de Washington. Et c'est la neutralisation de ces génocidaires FDLR, soutenus par Kinshasa, qui ouvrira la voie à la levée des mesures rwandaises de défense. Les autorités congolaises disent que le désarmement des FDLR a commencé… Mais on ne le voit pas, sauf si c'est dans une réalité parallèle. Les FDLR n'ont pas été neutralisés, comme cela est exigé par l'Accord de paix de Washington. Il y a eu, il vous souviendra, ce communiqué des FARDC qui a appelé les FDLR à déposer les armes. Et puis après il y a eu un communiqué des FDLR qui a prétendu qu'elles sont prêtes à déposer les armes au camp de la Monusco, mais qu'elles en sont empêchées par le M23. Et puis récemment, vous avez vu cette interview du porte-parole des FDLR qui a dit qu'elles ne déposeront jamais les armes, qu'elles vont se battre jusqu'au bout. Et donc les FDLR sont toujours soutenues par Kinshasa. Rien ne se fera sans qu'il y ait la bonne foi et la volonté politique de Kinshasa sur cette question des FDLR puisqu'on en parle depuis longtemps, mais à l'heure où on vous parle, les FDLR sont toujours intégrées dans l'armée congolaise. Elles sont toujours soutenues par Kinshasa. Mais franchement, la cartographie du déploiement des FDLR par les autorités congolaises, ce n'est pas la preuve que celles-ci sont de bonne foi ? Mais l'accord de paix de Washington parle de neutralisation des FDLR. C'est ce qui doit se passer. Ce n'est pas une cartographie, ce ne sont pas des communiqués, des appels à déposer les armes. C'est la neutralisation effective des FDLR. Et jusqu'à présent, on ne voit pas de neutralisation de ces génocidaires FDLR depuis le 27 juin qu'on a signé cet accord. Ça fait plus de cinq mois. Et si demain la neutralisation commence réellement, est-ce que vous, vous vous engagez à renoncer aux mesures de défense que vous avez prises sur le territoire congolais ? C'est dans l'Accord de paix de Washington. L'aspect sécuritaire parle de neutralisation des FDLR et de levée de mesures rwandaises de défense. Donc, si les FDLR sont neutralisées, le Rwanda va lever ses mesures de défense. Et ce serait l'affaire de quelques semaines, cela pourrait permettre un accord définitif d'ici Noël ? Je ne sais pas. Il y a un chronogramme qui est dans le Conops, les 90 jours. Mais de toute façon, il faut toujours la volonté politique de neutraliser ces FDLR. Et puis on va voir bien sûr quand et comment ça se fera. Mais sans volonté politique, rien ne se fera. Pendant ce sommet Afrique-Europe de Luanda, la ministre congolaise des Affaires étrangères a demandé à l'Union européenne d'adopter de nouvelles sanctions contre votre pays. Quelle est votre réaction ? Oui. Ma collègue Thérèse Kayikwamba Wagner ne fait que ça depuis février. Elle demande toujours des sanctions contre le Rwanda. Mais maintenant, on est fin novembre. Un accord de paix est passé par là. C'est quand même assez curieux que ma collègue congolaise demande des sanctions contre un pays avec qui on a signé un accord de paix. J'étais avec elle le 27 juin pour signer cet accord. Au lieu de mettre en œuvre cet accord, elle demande toujours des sanctions contre le Rwanda. Et puis, s'il y a des sanctions à demander, pourquoi ne demanderait-on pas des sanctions contre ceux qui affament des populations Banyamulenge et ceux qui bombardent ces populations, ceux qui collaborent avec un mouvement génocidaire et ceux qui répandent des discours de haine à travers les groupes Wazalendo qu'on a créés. Donc, à jouer à ce petit jeu de sanctions, je pense qu'on n'en sortirait pas. Il y a des accords qu'on a signés, à la RDC de les mettre en œuvre au lieu d'aller partout sans arrêt demander des sanctions. À lire aussiRDC-Rwanda: le processus, conduit en partie par Washington, doit déboucher sur la signature de trois accords
Épisode 1397 : Après des années de domination des macro-influenceurs et de leur contenu glamour déconnecté du réel tourné depuis leur gratte ciel des émirats il est temps de revenir sur le plancher des vaches avec des créateurs plus locaux qui affirment leur identité et qui n'ont rien à leur envier !C'est quoi un influenceur local ?Un influenceur local, c'est un créateur de contenu ancré dans son territoire. Il vit dans sa ville. Il connaît les bonnes adresses. Il partage les spots, les restos, les boutiques de sa région. C'est souvent un micro-influenceur. On parle de 10 000 à 100 000 abonnés. Parfois moins. Ces créateurs sont experts d'une thématique. Mode, food, lifestyle, voyage. Mais toujours avec un angle géographique fort. Leur communauté est là, près de chez eux. Ils parlent à des gens qui peuvent vraiment aller dans les endroits qu'ils recommandent.Les campagnes marketing se concentraient sur Paris. Comme si c'était la seule ville en France. Aujourd'hui, les choses changent. Les marques ont compris que les régions comptent.Des exemples concrets d'influenceurs locauxLe phénomène est partout en France. Voici des profils qui cartonnent :À Lille : Mathilde @lillebymat. A Marseille : Liane Comme TarzanÀ Lyon : Clémentine @clementine.drn. A Annecy : Le blog de Neroli—Pourquoi ça marche aussi bien l'influence locale ?Les chiffres parlent d'eux-mêmes.Des taux d'engagement jusqu'à 8 fois supérieurs. Une étude publiée par l'union des métiers de l'influence. Le premier baromètre de l'influence.Les micro-influenceurs locaux génèrent un engagement bien plus fort que les influenceurs nationaux. Un micro-influenceur affiche en moyenne 4,42% d'engagement sur Instagram. Contre 1,72% pour les méga-influenceurs. Sur TikTok, c'est encore plus flagrant : les micro-influenceurs atteignent 10,3% d'engagement moyen. Les créateurs à grande audience peinent à dépasser 2%.Plusieurs signaux expliquent cette montée en puissance.La fatigue envers les gros influenceurs. On appelle ça "l'influencer fatigue". Les consommateurs sont saturés. Trop de placements produits. Trop de partenariats. La confiance s'érode. Les audiences s'engagent moins. Les célébrités digitales perdent de spoints.Ce que la montée des influenceurs locaux dit de notre époqueLa fin du mythe des millions d'abonnés. Pendant longtemps, les marques ont cru que la taille faisait la force. Elles se trompaient. Aujourd'hui, mieux vaut 50 000 abonnés hyper engagés que 2 millions de followers passifs.Comment les marques doivent s'adapterPour le marque nationales il faut revoir sa copie.Multiplier les collaborations et penser réseau. Pour toucher une large audience géographique, il faut activer plusieurs micro-influenceurs dont les communautés couvrent différentes zones. Ce n'est plus un gros coup, c'est un réseau.Penser drive-to-store. L'influenceur local peut générer du trafic en boutique. Des réservations au restaurant. Des visites sur un site touristique. Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une avancée militaire sans combat, des espoirs vite déçus : l'histoire méconnue d'une offensive française qui s'est arrêtée avant d'avoir commencé.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pour écouter le podcast Mon Argent:Apple Podcasts:https://podcasts.apple.com/us/podcast/franc-parler/id1719737952Spotify:https://open.spotify.com/show/4ebaP6J0tjC8QTJaYHiUbuDeezer:https://deezer.com/show/1000488492-----------------La réponse tient à une combinaison de biologie, d'hydratation et de mécanique vocale. Dès le réveil, plusieurs phénomènes se cumulent et modifient temporairement la façon dont nos cordes vocales vibrent.D'abord, il faut comprendre que la voix dépend directement des cordes vocales, deux replis musculaires situés dans le larynx. Elles vibrent grâce à l'air expulsé par les poumons, un peu comme les cordes d'un instrument. Plus elles sont fines et tendues, plus la voix est aiguë. Plus elles sont épaisses et détendues, plus la voix descend. Or, pendant la nuit, le corps entier se met au repos, et ces tissus n'échappent pas à la règle : les muscles du larynx se relâchent. Au réveil, ils n'ont pas encore retrouvé leur tonus habituel, ce qui rend les cordes vocales légèrement plus épaisses et moins tendues. Le résultat : un son plus grave.Deuxième facteur : la déshydratation nocturne. Même si l'on ne bouge pas beaucoup, on continue à perdre de l'eau en respirant. Les cordes vocales ont besoin d'être parfaitement lubrifiées pour vibrer librement. Mais au matin, elles sont souvent plus sèches. Cette moindre hydratation modifie leur élasticité et augmente la friction lorsqu'elles vibrent, ce qui contribue à alourdir la voix. C'est pour cela qu'un verre d'eau ou une simple douche chaude peut suffire à “réveiller” la voix : l'hydratation revient, la muqueuse retrouve sa souplesse, et le timbre remonte.Troisième élément : le mucus. Pendant la nuit, les voies respiratoires produisent naturellement des sécrétions. Une partie s'accumule autour des cordes vocales, formant parfois un léger film qui empêche la vibration optimale. C'est ce qui explique la sensation de “voix enrouée” ou de “voix pâteuse” au saut du lit. Un simple raclement de gorge ou quelques minutes de parole permettent généralement d'éliminer ce mucus, et la voix retrouve progressivement son registre habituel.Enfin, le rythme circadien joue aussi un rôle. Le matin, le taux de cortisol, hormone qui influence notamment l'énergie musculaire, n'est pas encore pleinement stabilisé. Le corps sort lentement de sa phase de repos profond. Cette transition hormonale, discrète mais réelle, participe à la sensation d'une voix qui “remonte” au fil de la matinée.En résumé, si notre voix est plus grave le matin, c'est parce que les cordes vocales sont relâchées, moins hydratées et légèrement encombrées, avant que le corps ne retrouve son fonctionnement diurne. Une explication simple, mais qui raconte beaucoup sur la mécanique fine de la parole humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi l'histoire des mercenaires est-elle si intimement liée à la Suisse ? Pendant des siècles, des hommes venus des cantons sont partis se battre pour des rois, des princes ou des empires. Quelle vie avaient-ils, et comment sont-ils devenus les figures emblématiques d'une force de combat mise en marché, alors même que le mercenariat existe depuis l'Antiquité, bien avant la création de la Suisse ? Cette série explore cet héritage helvétique et montre comment, aujourd'hui encore, les mercenaires façonnent les guerres de l'ombre dans le monde entier. On connaît les mercenaires suisses, mais on connaît souvent mal leur véritable histoire. Dans cet épisode, Adélaïde Zeyer, directrice du Château de Morges et de ses musées consacrés à l'histoire militaire, retrace leur rôle central dans la diplomatie helvétique. Et montre comment cette pratique du service étranger s'est essoufflé au fil du temps, notamment au cours de la Révolution française.
Pendant plus de trois millénaires, l'Égypte ancienne a accordé aux chats un statut unique dans le monde antique. Ils n'étaient pas simplement des animaux appréciés : ils étaient des êtres sacrés, intimement liés à la vie quotidienne, à la religion et à l'ordre du monde. Mais pourquoi une telle vénération ?D'abord pour une raison simple : le chat était extrêmement utile. À une époque où les réserves de céréales pouvaient décider de la survie d'un village, les rongeurs représentaient une menace majeure. Les chats, en chassant rats, souris et serpents, protégeaient les greniers et donc la nourriture, la richesse et la stabilité du foyer. Les Égyptiens voyaient dans cette efficacité une sorte de magie naturelle : un animal capable d'agir, silencieusement, pour préserver l'ordre contre le chaos.De cette utilité est née une symbolique. Le chat devient le compagnon de la déesse Bastet, représentée sous forme de femme à tête de chat. Bastet était la divinité protectrice du foyer, de la maternité et de la douceur, mais aussi une déesse capable de combativité. Le chat, avec son apparence paisible mais ses réactions fulgurantes, incarnait parfaitement cette double nature. Les Égyptiens pensaient que la présence d'un chat dans une maison y apportait protection et bienveillance. D'ailleurs, il était fréquent de placer des amulettes de chats sur les enfants pour éloigner les mauvais esprits.À partir du Ier millénaire avant notre ère, le culte se développe encore : des milliers de chats sont momifiés et déposés en offrande dans les temples dédiés à Bastet, notamment celui de Bubastis, centre religieux majeur. Certains chats étaient embaumés avec le même soin que les humains, enveloppés de bandelettes ornementées et enterrés dans des nécropoles entières. Ces momies ne représentaient pas des “animaux de compagnie”, mais des médiateurs sacrés capables d'intercéder entre les hommes et les dieux.Cette vénération s'accompagnait d'une protection juridique. Tuer un chat, même accidentellement, pouvait être puni de mort. Un historien grec rapporte qu'un Romain, ayant renversé un chat, fut lynché par une foule malgré l'intervention des autorités. C'est dire la place que l'animal occupait dans l'imaginaire collectif.En résumé, les Égyptiens vénéraient les chats parce qu'ils voyaient en eux un allié essentiel, un symbole de protection et un reflet du divin. Animal utile, créature élégante, gardien silencieux : le chat réunissait toutes les qualités pour devenir un pilier de la culture pharaonique — et, d'une certaine manière, continuer à fasciner le monde encore aujourd'hui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors qu'à l'aube de l'an 2000, "tout allait bien dans le meilleur des mondes" selon Jean Yanne, voilà que la critique a fait son grand retour... Chaque weekend en podcast, retrouvez "100 ans de conneries", par Jean Yanne. Pendant 4 mois, de septembre à décembre 1999, le sociétaire des "Grosses Têtes", tenait sur RTL une chronique quotidienne dans laquelle il faisait le bilan du siècle qui allait bientôt se terminer. Avec son humour féroce habituel, il s'est attaché à dénoncé la "connerie" humaine, vraie constante et révélatrice du XXème siècle.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.