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L'économiste Thomas Porcher revient sur l'essence d'un budget d'état et de son rôle éminemment politique.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
durée : 00:05:29 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Après avoir fait de la taxation des plus riches l'un des axes de sa présidence du G20, le Président brésilien Lula s'apprête à transformer radicalement la fiscalité et à taxer timidement le patrimoine. Un changement néanmoins historique.
durée : 00:03:56 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Dans les salles obscures, ils reviennent d'entre les morts. Ailleurs, certains affirment les avoir croisés. Mythe, croyance ou réalité cachée ? Pour démêler le vrai du faux, Lou-Angèle a rencontré Philippe Charlier, médecin légiste et anthropologue. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:26 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - En Espagne, l'impôt sur le patrimoine existe depuis 1977. Mis sur pause entre 2008 et 2011, il est collecté par les régions autonomes et a donné lieu à un bras de fer récent entre le gouvernement central socialiste et des régions dirigées par la droite.
La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) a écouté l’entrevue avec Yannick Pinard, le président de l’Association des perfusionnistes du Québec. Il disait en entrevue qu’ils sont trop peu, qu’ils sont essentiels à la réalisation des chirurgies cardiaques et que leur syndicat, la FIQ, ne les représente pas suffisamment. La FIQ a voulu réagir. Entrevue avec Jérôme Rousseau, vice-président Organisation du travail, Pratique professionnelle et Négociation à la Fédération interprofessionnelle de la santé (FIQ). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:05:18 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La Suisse est un havre fiscal pour les grandes fortunes du monde entier, dont beaucoup de Français, qui y ont élu domicile. Or, pour ses propres ressortissants, la Suisse a un impôt sur la fortune. Un ISF qui rapporte puisqu'il pèse pour plus de 5 % des recettes fiscales du pays.
durée : 00:05:27 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - En France, les promoteurs de la taxe Zucman ciblent notamment les plus-values latentes qui font gonfler en valeur la fortune des plus riches contribuables. Aux Pays-Bas, c'est un tabou fiscal qui a sauté depuis longtemps : on impose aussi des revenus fictifs associés aux plus gros patrimoines.
durée : 00:05:32 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La Norvège est l'un des pays les plus riches au monde et c'est aussi l'un des rares pays d'Europe où subsiste encore un impôt sur la fortune (ISF). Une taxe qui existe depuis très longtemps, mais qui a fait récemment l'objet d'un débat.
Vous notez vos pensées dans un carnet ou dans un journal intime ? Sans peut-être le savoir, vous pratiquez déjà l'écriture personnelle. Retour avec Régine Detambel sur cette activité discrète, presque confidentielle, à laquelle se consacrent des millions de personnes en France. Invitée : Régine Detambel est écrivaine et autrice de nombreux romans et essais, mais aussi bibliothérapeute, c'est-à-dire qu'elle s'intéresse à la manière dont la lecture et l'écriture peuvent contribuer au soin de soi, au mieux-être et à la compréhension de l'expérience humaine. Dans son nouvel essai Écrire juste pour soi, Les mots prennent soin de nous, paru chez Actes Sud, Régine Detambel mêle réflexions théoriques et entretiens avec celles et ceux qu'elle accompagne dans leur pratique. Une «médecine de velours», dit-elle, capable d'aider chacun à tourner la page et comprendre ce qu'il vit, interrogeant dans le même geste notre rapport à l'écriture et à la lecture. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Dakar à l'occasion de la Semaine mondiale de la Francophonie Scientifique, présentée par Slim Khalbous. Programmation musicale : Pierre Lapointe & Voyou - Fallait pas nous inviter.
Vous notez vos pensées dans un carnet ou dans un journal intime ? Sans peut-être le savoir, vous pratiquez déjà l'écriture personnelle. Retour avec Régine Detambel sur cette activité discrète, presque confidentielle, à laquelle se consacrent des millions de personnes en France. Invitée : Régine Detambel est écrivaine et autrice de nombreux romans et essais, mais aussi bibliothérapeute, c'est-à-dire qu'elle s'intéresse à la manière dont la lecture et l'écriture peuvent contribuer au soin de soi, au mieux-être et à la compréhension de l'expérience humaine. Dans son nouvel essai Écrire juste pour soi, Les mots prennent soin de nous, paru chez Actes Sud, Régine Detambel mêle réflexions théoriques et entretiens avec celles et ceux qu'elle accompagne dans leur pratique. Une «médecine de velours», dit-elle, capable d'aider chacun à tourner la page et comprendre ce qu'il vit, interrogeant dans le même geste notre rapport à l'écriture et à la lecture. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Dakar à l'occasion de la Semaine mondiale de la Francophonie Scientifique, présentée par Slim Khalbous. Programmation musicale : Pierre Lapointe & Voyou - Fallait pas nous inviter.
ACTIV SAINTE NIGHT CLUB | AFTER MATCHS | EMISSION DES SUPPORTERS DES VERTS
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Comme chaque samedi, voici le Ce à Quoi il Fallait Répondre dans lequel Antoine Pimmel et Shaï Mamou se proposent de répondre à toutes vos questions. Au menu : un what if intéressant sur Shai Gilgeous-Alexander, la possibilité d'avoir une All-NBA Team 100% européenne, les BFF, ennemis et potes de soirée que choisirait notre duo en NBA, mais aussi un petit mot de... ping pong, le sport préféré d'Antoine.Commandez le Mook REVERSE #17 spécial FRENCH TOUCH https://www.basketsession.com/produit/mook-reverse-17-french-touch/Commandez l'Anthologie REVERSE Vol.1 https://www.basketsession.com/produit/reverse-anthologie-20-ans-de-basketball/Nos émissions sur YouTube https://www.youtube.com/@BasketSessionREVERSELe Mook REVERSE ► http://bit.ly/MOOK_REVERSEInstagram ► https://www.instagram.com/reversemagazineBlueSky ►https://bsky.app/profile/reversemagazine.bsky.social Facebook ► https://www.facebook.com/BasketSession Twitch ► https://www.twitch.tv/reverse_basketsession
Mathilde Le Coz a fait sauter les codes de la fonction RH. Chez Forvis Mazars, elle a supprimé la clause d'exclusivité pour permettre aux salariés de cumuler plusieurs activités, testé l'IA pour recruter autrement, et fait passer les compétences avant les diplômes. Résultat : un recrutement plus ouvert, une marque employeur plus forte et des collaborateurs plus engagés. Mais surtout une DRH qui assume sa vision : donner de la liberté, de la confiance et du sens. Dans cet épisode, on parle de : la fin des clauses d'exclusivité et du salariat “fermé” ; comment Forvis Mazars a fait exploser les candidatures grâce à l'IA (de 60 000 à 200 000) ; les tests de compétences signés Maki People et le feedback personnalisé à chaque candidat ; l'équilibre entre multi-activité, performance et engagement ; le rôle du Lab RH et des startups dans la transformation des RH. Un épisode dense, clair et sans langue de bois, avec une DRH qui transforme autant sa boîte que son métier.
Dans son ouvrage «Écrire le français», Gabriella Parussa retrace l'histoire de l'écrit de la langue française, et son évolution. Comment le français est-il devenu une langue écrite ? Le français fut tout d'abord une langue orale, une langue parlée, une langue de la communication, alors que la langue écrite, celle de la culture, de la justice, de l'administration, était le latin. Le français a beaucoup évolué, tant au niveau de la phonétique qu'au niveau de la syntaxe et la morphologie. Les premiers textes (rarissimes) écrits en français remontent à la deuxième partie du IXè siècle. C'est l'alphabet latin qui est utilisé pour «transférer» cette langue de l'oral à l'écrit, mais Il faut faire des ajustements, car l'alphabet latin n'est pas parfait et ne permet pas de restituer tous les sons… Il y a alors vingt-trois lettres dans l'alphabet latin. Le passage à l'écrit s'est fait avec la volonté de conserver la mémoire. Les premiers «livres» s'écrivaient grâce à des copistes ; cela pouvait prendre des mois. L'écriture : comme une «peinture de la voix» En 842, les petits-fils de Charlemagne signent une alliance militaire : les serments de Strasbourg, Nithard écrit alors en ce qu'on appelle «le proto français» : un mélange entre le latin tardif et le français. C'est l'un des premiers textes conservés avec des traces de français écrit. «C'est une étape importante, on écrit dans les deux langues vernaculaires de l'époque». Ils écrivent cette nouvelle langue en «écoutant». «On dira que l'écriture doit être comme une peinture de la voix, doit correspondre à ce que l'on dit, ce qu'on prononce». Le français est alors très mouvant : on ne parle pas et on n'écrit pas de la même manière selon qu'on habite Arras ou Lyon. Mais les choses vont se fixer avec l'invention de l'imprimerie puis des premières grammaires écrites. Les variations vont alors s'estomper peu à peu. Les imprimeurs vont alors jouer un rôle très important dans la standardisation pour que le livre qu'ils diffusent soit lu et compris et plus grand nombre. Les graphies régionales vont alors peu à peu disparaître. À lire : Bernard Cerquiglini, auteur de L'invention de Nithard aux éditions de Minuit. Invitée : Gabriella Parussa, spécialiste de l'histoire de la langue française, est professeure de linguistique et philologie à la Faculté des Lettres – Sorbonne Université. Ses travaux portent sur le code écrit et son histoire des origines à nos jours. Son ouvrage «Écrire le français, toute une histoire» est publié aux éditions Actes Sud. Dans la chronique Ailleurs, nous parlerons du Festival Beyrouth Livres qui aura lieu dans la capitale libanaise, du 22 au 26 octobre 2025. Et c'est Sarra Ghorbal, attachée pour le livre et le débat d'idées et co-commissaire générale du festival Beyrouth livres qui nous parle de l'évènement. Programmation musicale : Le collectif musical Lamomali avec le titre Totem.
Dans son ouvrage «Écrire le français», Gabriella Parussa retrace l'histoire de l'écrit de la langue française, et son évolution. Comment le français est-il devenu une langue écrite ? Le français fut tout d'abord une langue orale, une langue parlée, une langue de la communication, alors que la langue écrite, celle de la culture, de la justice, de l'administration, était le latin. Le français a beaucoup évolué, tant au niveau de la phonétique qu'au niveau de la syntaxe et la morphologie. Les premiers textes (rarissimes) écrits en français remontent à la deuxième partie du IXè siècle. C'est l'alphabet latin qui est utilisé pour «transférer» cette langue de l'oral à l'écrit, mais Il faut faire des ajustements, car l'alphabet latin n'est pas parfait et ne permet pas de restituer tous les sons… Il y a alors vingt-trois lettres dans l'alphabet latin. Le passage à l'écrit s'est fait avec la volonté de conserver la mémoire. Les premiers «livres» s'écrivaient grâce à des copistes ; cela pouvait prendre des mois. L'écriture : comme une «peinture de la voix» En 842, les petits-fils de Charlemagne signent une alliance militaire : les serments de Strasbourg, Nithard écrit alors en ce qu'on appelle «le proto français» : un mélange entre le latin tardif et le français. C'est l'un des premiers textes conservés avec des traces de français écrit. «C'est une étape importante, on écrit dans les deux langues vernaculaires de l'époque». Ils écrivent cette nouvelle langue en «écoutant». «On dira que l'écriture doit être comme une peinture de la voix, doit correspondre à ce que l'on dit, ce qu'on prononce». Le français est alors très mouvant : on ne parle pas et on n'écrit pas de la même manière selon qu'on habite Arras ou Lyon. Mais les choses vont se fixer avec l'invention de l'imprimerie puis des premières grammaires écrites. Les variations vont alors s'estomper peu à peu. Les imprimeurs vont alors jouer un rôle très important dans la standardisation pour que le livre qu'ils diffusent soit lu et compris et plus grand nombre. Les graphies régionales vont alors peu à peu disparaître. À lire : Bernard Cerquiglini, auteur de L'invention de Nithard aux éditions de Minuit. Invitée : Gabriella Parussa, spécialiste de l'histoire de la langue française, est professeure de linguistique et philologie à la Faculté des Lettres – Sorbonne Université. Ses travaux portent sur le code écrit et son histoire des origines à nos jours. Son ouvrage «Écrire le français, toute une histoire» est publié aux éditions Actes Sud. Dans la chronique Ailleurs, nous parlerons du Festival Beyrouth Livres qui aura lieu dans la capitale libanaise, du 22 au 26 octobre 2025. Et c'est Sarra Ghorbal, attachée pour le livre et le débat d'idées et co-commissaire générale du festival Beyrouth livres qui nous parle de l'évènement. Programmation musicale : Le collectif musical Lamomali avec le titre Totem.
Julie, 42 ans, mariée depuis 20 ans et mère de deux enfants de 15 et 12 ans, souffre du manque d'affection de son mari,un sentiment qui s'est intensifié depuis sa rencontre avec un homme plus jeune qu'elle, avec qui elle entretient une relation ambiguë…Abonnez-vous ou mettez un avis 5 étoiles si cette consultation vous a aidé !Découvrez toutes mes ressources et mes propositions sur mon site : www.theresehargot.comSuivez-moi sur mes réseaux : InstagramYoutubeTik TokFacebookLinkedInA très bientôt pour une nouvelle consultation !ThérèseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anne Ghesquière reçoit le journaliste Stéphane Allix. Notre conscience survit-elle à la mort ? Quel rôle peut jouer la médiumnité dans la compréhension du deuil et de l'après-vie ? Comment ces capacités permettent-elles de percevoir les messages des défunts ? Quelle est la différence entre médium, voyant et mentaliste ? Nos proches sont-ils vivants ailleurs ? Peuvent-ils nous envoyer des signes ? Stéphane Allix a mené, auprès de 7 médiums, une expérience rigoureuse sur l'assassinat d'Aurélie, victime de féminicide. Un thème qui l'interroge et sur lequel il enquête depuis de nombreuses années. Son livre, La Preuve : les morts nous “parlent” chez Harper Collins. Épisode #631Quelques citations du podcast avec Stéphane Allix :"La conscience ne disparaît pas avec la mort du corps.""La mort est une métamorphose et une métamorphose est une invitation dans la lumière.""Quand tu vis quelque chose qui s'apparente à un signe, à la seconde où ça se passe, tu sens quelque chose de juste."À réécouter :#592 Trouver le chemin de la libération#497 La mort n'existe pas#329 Un fantôme sur le divan#199 Nos âmes oubliées#19 Nos défunts nous parlentJusqu'au 31 octobre, tentez de remporter 500€ de prestations beauté et bien-être de votre choix, avec Planity !Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Stéphane Allix :00:00Introduction02:00Présentation invité03:03L'origine de La Preuve08:55Comprendre la médiumnité12:59Qu'est-ce que la vie après la mort ?14:22Parler à des défunts ou capter des infos19:28Faut-il laisser les morts avec les morts ?24:19La mort comme une métamorphose28:25Médium, voyant et mentaliste33:22Trauma et médiumnité35:27Parasitage et filtres38:40L'effet Barnum40:40Les révélations44:41Une communication spécifique46:59Pierre Yonas : une séance bluffante49:12Les deux leçons de cette enquête51:17Distinguer un bon d'un mauvais medium57:37Les signes perçus par les proches01:04:07Le chemin du deuilAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Faut-il encore écrire à la main à l'heure du tout numérique ? La question mérite d'être posée quand partout sur les réseaux des influenceurs vantent l'écriture manuscrite et que, selon un sondage OpinionWay, 69 % des Français regrettent de ne pas écrire davantage à la main. Comment comprendre ce sondage ? C'est de la nostalgie de la part des Français ou un rejet des écrans et des claviers qui envahissent notre quotidien ? Invités : Grégoire Borst, professeur de psychologie de l'enfant à l'université Paris Cité. Philippe Dabasse, graphiste-typographe, formateur et calligraphe. Dans un monde de plus en plus numérique, l'écriture manuscrite conserve une place centrale dans l'apprentissage. C'est ce que défend avec conviction Grégoire Borst. Pour lui, écrire à la main reste primordial, et ce, pour deux raisons fondamentales : La première, c'est que c'est une façon de développer sa motricité fine, la motricité de nos petits doigts. Mais c'est aussi très important parce que quand on apprend la graphie des lettres, ça aide notre cerveau à mieux lire les lettres. Apprendre à bien écrire, à bien former les lettres, c'est une préoccupation des pédagogues comme Grégoire Borst qui réfléchissent sur l'apprentissage de l'écriture des enfants : « C'est un enjeu effectivement, il y a une difficulté dans l'apprentissage du langage écrit dans notre pays. On voit qu'il y a des inégalités extrêmement fortes du point de vue de la capacité à bien apprendre à lire et que, encore une fois, la cursive, l'apprentissage de l'écriture, aide finalement à mieux lire. Et au-delà de mieux lire, ça aide aussi à penser. On voit bien que quand on écrit, il y a un rythme dans l'écriture qui nous contraint d'une certaine manière. On ne peut pas écrire très vite, contrairement à ce qu'on peut faire avec nos claviers. Et donc, on a une obligation de réfléchir, de penser avant d'écrire. Et ça, c'est assez transformant. Parce que l'éducation, c'est apprendre à penser. Et donc, peut-être que l'apprentissage de l'écriture, le fait de continuer à utiliser l'écrit, c'est une façon de mieux penser. » Notre deuxième invité nous apprend à écrire, il est formateur, et il nous apprend la calligraphie, la « belle écriture ». Philippe Dabasse : La belle écriture, c'est apprendre à maîtriser les gestes historiques et toute l'évolution de ces gestes, de l'écriture latine, pour en maîtriser les codes et, ou bien, se les approprier pour soi-même, ou bien pour des professionnels en acquérir les codes pour des utilisations dans leur domaine d'activité. Dans son centre de formation, Philippe Dabasse accueille des graphistes, des dessinateurs de caractères, des peintres en lettres... Il enseigne la calligraphie latine : « Si vous suivez les cours de calligraphie latine, vous ne serez pas que moine, vous pourrez être maître-écrivain, vous pourrez être esclave sous l'Empire romain… Vous pourrez découvrir plein de facettes de notre histoire, c'est une porte d'entrée vers l'histoire de notre civilisation gréco-romaine. Et c'est tout à fait passionnant de suivre les traces de ces gens qui ont écrit toutes ces lettres. » Parce que Philippe Dabasse raconte aussi l'histoire, il n'enseigne pas que le geste, il apprend aussi comment ce geste s'inscrit dans le temps et dans l'espace géographique de l'Occident : « Chaque période génère un contexte pour l'écriture, que ce soit par des contraintes ou des changements de société : l'apparition du livre manuscrit, le codex, le rotulus ou les élections à Pompéi… Tous ces contextes-là génèrent des formes d'écriture spécifiques. » Dans la chronique Ailleurs, nous parlerons du Festival des Littératures du Sud avec Marielle Anselmo, co-organisatrice de l'événement. Ce festival se tiendra les 17 et 18 octobre 2025 sur l'île de Djerba. Programmation musicale : Vanessa Paradis – Le retour des beaux jours
Faut-il encore écrire à la main à l'heure du tout numérique ? La question mérite d'être posée quand partout sur les réseaux des influenceurs vantent l'écriture manuscrite et que, selon un sondage OpinionWay, 69 % des Français regrettent de ne pas écrire davantage à la main. Comment comprendre ce sondage ? C'est de la nostalgie de la part des Français ou un rejet des écrans et des claviers qui envahissent notre quotidien ? Invités : Grégoire Borst, professeur de psychologie de l'enfant à l'université Paris Cité. Philippe Dabasse, graphiste-typographe, formateur et calligraphe. Dans un monde de plus en plus numérique, l'écriture manuscrite conserve une place centrale dans l'apprentissage. C'est ce que défend avec conviction Grégoire Borst. Pour lui, écrire à la main reste primordial, et ce, pour deux raisons fondamentales : La première, c'est que c'est une façon de développer sa motricité fine, la motricité de nos petits doigts. Mais c'est aussi très important parce que quand on apprend la graphie des lettres, ça aide notre cerveau à mieux lire les lettres. Apprendre à bien écrire, à bien former les lettres, c'est une préoccupation des pédagogues comme Grégoire Borst qui réfléchissent sur l'apprentissage de l'écriture des enfants : « C'est un enjeu effectivement, il y a une difficulté dans l'apprentissage du langage écrit dans notre pays. On voit qu'il y a des inégalités extrêmement fortes du point de vue de la capacité à bien apprendre à lire et que, encore une fois, la cursive, l'apprentissage de l'écriture, aide finalement à mieux lire. Et au-delà de mieux lire, ça aide aussi à penser. On voit bien que quand on écrit, il y a un rythme dans l'écriture qui nous contraint d'une certaine manière. On ne peut pas écrire très vite, contrairement à ce qu'on peut faire avec nos claviers. Et donc, on a une obligation de réfléchir, de penser avant d'écrire. Et ça, c'est assez transformant. Parce que l'éducation, c'est apprendre à penser. Et donc, peut-être que l'apprentissage de l'écriture, le fait de continuer à utiliser l'écrit, c'est une façon de mieux penser. » Notre deuxième invité nous apprend à écrire, il est formateur, et il nous apprend la calligraphie, la « belle écriture ». Philippe Dabasse : La belle écriture, c'est apprendre à maîtriser les gestes historiques et toute l'évolution de ces gestes, de l'écriture latine, pour en maîtriser les codes et, ou bien, se les approprier pour soi-même, ou bien pour des professionnels en acquérir les codes pour des utilisations dans leur domaine d'activité. Dans son centre de formation, Philippe Dabasse accueille des graphistes, des dessinateurs de caractères, des peintres en lettres... Il enseigne la calligraphie latine : « Si vous suivez les cours de calligraphie latine, vous ne serez pas que moine, vous pourrez être maître-écrivain, vous pourrez être esclave sous l'Empire romain… Vous pourrez découvrir plein de facettes de notre histoire, c'est une porte d'entrée vers l'histoire de notre civilisation gréco-romaine. Et c'est tout à fait passionnant de suivre les traces de ces gens qui ont écrit toutes ces lettres. » Parce que Philippe Dabasse raconte aussi l'histoire, il n'enseigne pas que le geste, il apprend aussi comment ce geste s'inscrit dans le temps et dans l'espace géographique de l'Occident : « Chaque période génère un contexte pour l'écriture, que ce soit par des contraintes ou des changements de société : l'apparition du livre manuscrit, le codex, le rotulus ou les élections à Pompéi… Tous ces contextes-là génèrent des formes d'écriture spécifiques. » Dans la chronique Ailleurs, nous parlerons du Festival des Littératures du Sud avec Marielle Anselmo, co-organisatrice de l'événement. Ce festival se tiendra les 17 et 18 octobre 2025 sur l'île de Djerba. Programmation musicale : Vanessa Paradis – Le retour des beaux jours
Mauvaise nouvelle chez le premier exportateur mondial de bananes, l'Équateur. La maladie baptisée TR4 a officiellement été détectée. Ce qui veut dire que le champignon qui en est responsable est probablement entré dans le pays il y a déjà plusieurs mois. Cette alerte sanitaire est prise très au sérieux, dans un secteur qui n'a pas été épargné par les dernières crises géopolitiques, logistiques et climatiques, et conforte ceux qui plaident pour plus de diversité variétale. (Rediffusion du 25 septembre 2025) Les bananeraies ne seront pas décimées dans les mois qui viennent, mais l'arrivée de la TR4 – fusariose race 4 tropicale – est une nouvelle considérée comme grave, car il n'y a pas de traitement possible. La seule solution, c'est la protection, via un contrôle très strict des surfaces qui sont touchées, pour que la maladie ne se propage pas ailleurs. Concrètement, explique Denis Loeillet, économiste de la filière au Cirad, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement, « ça passe par l'installation de clôture autour des zones atteintes, la désinfection de tout ce qui entre et sort des plantations, que ce soit les pelles, les chaussures ou encore les roues des véhicules agricoles. » Au Pérou, où la maladie est apparue en 2021, les mesures n'ont pas été suffisantes et des zones entières de culture ont été abandonnées, ce qui a entrainé des baisses de production et une contagion aujourd'hui à l'Équateur. Ailleurs, en Colombie ou encore aux Philippines, on a appris à faire avec, preuve qu'il y a des moyens d'agir pour éviter le pire. Pas d'impact à court terme sur l'approvisionnement L'Équateur met chaque année entre 6 et 7 millions de tonnes de fruits jaunes sur le marché, soit l'équivalent de ce que consomment les 27 pays européens et le Royaume-Uni en un an ! Une maladie chez un géant qui nourrit le monde, inquiète forcément, mais l'avenir dépendra de la vitesse de propagation de l'épidémie. A priori, à court terme, l'effet ne devrait pas être significatif sur les volumes, l'approvisionnement mondial sera largement assuré, mais un effet sur les prix n'est pas à exclure : « Les mesures de biosécurité à mettre en place d'urgence vont augmenter les coûts de production », explique l'expert du Cirad. La grande distribution pourra alors difficilement ignorer la situation lors des négociations à venir et sera probablement contrainte d'acheter plus cher la banane, et peut-être de la revendre à un prix plus élevé aussi. Les limites du tout-Cavendish Avant l'Équateur, 25 pays producteurs ont déjà été touchés par cette maladie, mais le fait que la TR4 arrive en Équateur est perçu comme un marqueur important dans la filière, qui fera probablement bouger les lignes. C'est le signe qu'il est peut-être temps de diversifier les variétés ou de travailler sur la résistance de la banane Cavendish, qui domine le marché depuis les années 1960, mais qui montre aujourd'hui, en Équateur, un peu plus sa vulnérabilité. C'est précisément la mission que s'est donnée, en France, le Cirad, via l'initiative Bana+, un projet de 7,5 millions d'euros qui vise à proposer des variétés résistantes contre la cercosporiose noire et la TR4, deux des principales maladies fongiques qui attaquent le bananier.
J'ai appris grâce à ce vocal que les paroles c'est « glisse ailleurs » et pas « est ailleurs » mais je ne compte pas changer mes habitudes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quel a été le rôle de l'État français dans le déclin des langues locales en France ? Rozenn Milin a mené un travail d'enquête de près de dix ans. Rozenn Milin a travaillé pendant sept ans sur le déclin des langues minoritaires en France et ailleurs dans le monde. L'autrice, née en Bretagne, a été marquée par son histoire familiale. Petite, elle a vu les adultes autour d'elles d'exprimer en breton, sauf lorsque ces derniers s'adressaient aux enfants. Elle s'est alors demandée pourquoi cette langue était-elle « interdite » aux enfants ? À ce moment-là, il y avait plus d'un million de locuteurs du breton. Aujourd'hui, il ne reste que 107 000 locuteurs, selon la dernière étude menée en 2024. Elle a découvert que toute une génération avait été interdite de parler le breton à l'époque. L'école a joué un rôle prépondérant : les enfants devaient parler le français et étaient sévèrement punis lorsqu'ils parlaient une autre langue que le français : ils étaient alors humiliés et devaient porter le « symbole » un objet lourd, type un sabot de bois, autour du cou. Cette méthode a également été utilisée dans d'autres régions de France et même à l'étranger. À lire aussiEn France, les jeunes peuvent-ils sauver le breton ? L'objectif en France était de faire disparaître les langues locales : « anéantir les patois » pour créer une nation de langue unique. À l'origine, il y avait la peur que les langues soient utilisées pour véhiculer des idées contre-révolutionnaires. En Afrique, il s'agissait de former une élite intellectuelle. C'est donc toute une génération traumatisée qui a interdit à ses enfants d'apprendre ou de parler la langue bretonne, ce qui a donné lieu à ce que des chercheurs ont appelé « suicide linguistique », un phénomène qui se produit partout dans le monde, lorsque des langues dites « minoritaires » sont confrontées à des langues dites « dominantes ». Rozenn Milin a entamé un travail de recherches auprès de témoins et a enquêté en Bretagne, mais aussi en Afrique (Côte d'Ivoire, Sénégal, Gabon...), où les méthodes d'imposition de la langue française à l'école ont perduré jusque très récemment. Invitée : Rozenn Milin, historienne de formation, sociologue, autrice et journaliste. Rozenn Milin est titulaire d'un doctorat en sociologie. Son ouvrage La honte et le châtiment. Imposer le français : Bretagne, France, Afrique et autres territoires est publié aux éditions Champ Vallon. Et comme chaque semaine, la chronique de Lucie Bouteloup décrypte les expressions de la langue française ! Cette semaine, « on décroche la timbale » avec Benjamin Roussel. Une chronique en partenariat avec les éditions Le Robert, avec la complicité des enfants de la classe de CM2 de l'École élémentaire Vulpian à Paris ! Programmation musicale : - Le chanteur Denez Prigent avec le titre Gwerz Penmarch' - Le groupe Malaka avec le titre Blaky Blood.
Quel a été le rôle de l'État français dans le déclin des langues locales en France ? Rozenn Milin a mené un travail d'enquête de près de dix ans. Rozenn Milin a travaillé pendant sept ans sur le déclin des langues minoritaires en France et ailleurs dans le monde. L'autrice, née en Bretagne, a été marquée par son histoire familiale. Petite, elle a vu les adultes autour d'elles d'exprimer en breton, sauf lorsque ces derniers s'adressaient aux enfants. Elle s'est alors demandée pourquoi cette langue était-elle « interdite » aux enfants ? À ce moment-là, il y avait plus d'un million de locuteurs du breton. Aujourd'hui, il ne reste que 107 000 locuteurs, selon la dernière étude menée en 2024. Elle a découvert que toute une génération avait été interdite de parler le breton à l'époque. L'école a joué un rôle prépondérant : les enfants devaient parler le français et étaient sévèrement punis lorsqu'ils parlaient une autre langue que le français : ils étaient alors humiliés et devaient porter le « symbole » un objet lourd, type un sabot de bois, autour du cou. Cette méthode a également été utilisée dans d'autres régions de France et même à l'étranger. À lire aussiEn France, les jeunes peuvent-ils sauver le breton ? L'objectif en France était de faire disparaître les langues locales : « anéantir les patois » pour créer une nation de langue unique. À l'origine, il y avait la peur que les langues soient utilisées pour véhiculer des idées contre-révolutionnaires. En Afrique, il s'agissait de former une élite intellectuelle. C'est donc toute une génération traumatisée qui a interdit à ses enfants d'apprendre ou de parler la langue bretonne, ce qui a donné lieu à ce que des chercheurs ont appelé « suicide linguistique », un phénomène qui se produit partout dans le monde, lorsque des langues dites « minoritaires » sont confrontées à des langues dites « dominantes ». Rozenn Milin a entamé un travail de recherches auprès de témoins et a enquêté en Bretagne, mais aussi en Afrique (Côte d'Ivoire, Sénégal, Gabon...), où les méthodes d'imposition de la langue française à l'école ont perduré jusque très récemment. Invitée : Rozenn Milin, historienne de formation, sociologue, autrice et journaliste. Rozenn Milin est titulaire d'un doctorat en sociologie. Son ouvrage La honte et le châtiment. Imposer le français : Bretagne, France, Afrique et autres territoires est publié aux éditions Champ Vallon. Et comme chaque semaine, la chronique de Lucie Bouteloup décrypte les expressions de la langue française ! Cette semaine, « on décroche la timbale » avec Benjamin Roussel. Une chronique en partenariat avec les éditions Le Robert, avec la complicité des enfants de la classe de CM2 de l'École élémentaire Vulpian à Paris ! Programmation musicale : - Le chanteur Denez Prigent avec le titre Gwerz Penmarch' - Le groupe Malaka avec le titre Blaky Blood.
Devenez un insider de la firme Traders 360:https://traders360.ca/product/infolettre-analyse-360Ma formation pour les investisseurs autonomes:https://formation-traders360.mykajabi.com/inscriptionPendant que les médias passent leur temps à parler de Trump et des États-Unis, ici au Canada, 2 projets de loi risquent de changer la façon dont le gouvernement peut accéder à nos données numériques. Et pendant que tout ça passe sous le radar, Ottawa s'apprête à présenter un budget déficitaire de plus de 100 milliards de dollars. Dans cet épisode, je vous explique ce que personne ne vous dit sur la direction que prend notre pays : plus d'État, plus de dépenses et de moins en moins de liberté.https://www.parl.ca/documentviewer/fr/45-1/projet-loi/C-8/premiere-lecturehttps://www.parl.ca/documentviewer/fr/45-1/projet-loi/C-2/premiere-lectureSuivez-moi sur Instagram & TikTokIG: alextraders360TikTok: alexdemers360
À l'occasion de la conférence du G20 sur l'IA en Afrique organisée la semaine dernière en Afrique du Sud, l'UNESCO a dévoilé une série de nouvelles solutions innovantes pour permettre le développement de l'intelligence artificielle sur le continent, tout en protégeant les droits humains.Au micro de Michelle Ghazaryan, d'ONU Info, le Sous-directeur général pour la communication et l'information à l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Dr. Tawfik Jelassi, revient sur les solutions présentées en Afrique du Sud et rappelle l'importance capitale de la souveraineté de l'Afrique sur le sujet.
Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Et si regarder la vieillesse autrement devenait une véritable force ? Dans ce nouvel épisode du Sweet Papi Podcast, j'explore un sujet aussi délicat qu'essentiel : changer notre regard sur la vieillesse et la fin de vie. À travers mon expérience d'aidante et de mes rencontres, je vous montre comment chaque culture perçoit différemment l'âge, et surtout comment transformer ce regard peut redonner force, dignité et valeur à nos aînés.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le charbon représente une modernité révolue, des paysages bouleversés, des questions de santé publique. C'est aussi les mineurs, les ouvriers du charbon, toute une population qui a vécu de cette exploitation, un groupe humain pléthorique qui a dû se dissoudre lorsque le charbon s'est fait plus discret dans la société britannique à la fin du XXème siècle. Ailleurs, comme en Chine, il reste au premier plan. Avec Charles-François Mathis, Professeur d'histoire contemporaine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre de l'IHMC (Institut d'Histoire Moderne et Contemporaine) et auteur de La civilisation du charbon (Editions Vendémiaire, 2021).
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bienvenue dans ce Mangacast Mini Omake n°116. Aujourd'hui, on vous parle d'un titre des éditions Mahô Editions: Une Fleur venue d'ailleurs !
Tu veux que je te raconte l'histoire des mots qui viennent d'ailleurs? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Avec cet ouvrage, le linguiste et musicien Stéphane Gendron nous raconte l'importance du vocabulaire et des expressions liées à la musique dans la langue française. La musique aussi a son vocabulaire et son jargon ! Et par la variété des instruments et styles musicaux, les musiciens ont utilisé un grand nombre d'expressions et locutions : chanter la palinodie, une marchandise haut de gamme, couper la musette, avaler sa trompette. Comment ces mots sont-ils devenus des locutions importantes de la langue française ? Notre invité nous met au diapason ! Avec cet ouvrage, Stéphane Gendron a voulu relier ses deux passions : la musique et la linguistique. Les expressions en rapport avec la musique peuvent être très anciennes ! «C'est du pipeau» vient du verbe «piper» qui voulait dire imiter le cri ces oiseaux, dans le but de les piéger... ce qui donné l'expression qu'on connait aujourd'hui. Toutes les couches sociales ont une vision de la musique et des instruments. Il y a une grande circulation sociale. Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur a pris le temps de lire la presse du XIXè siècle et de la première moitié du XXè siècle pour analyser le contexte dans lequel naissent ces expressions. Les instruments (piano, violon, harpe) ont également donné naissance à des expressions («accorder ses violons», «pisser dans un violon», «sortir les violons») que Stéphane Gendron analyse avec beaucoup de précisions. Invité : Stéphane Gendron, linguiste. Il est spécialisé dans l'étude de l'origine des noms propres : l'onomastique ! Il est par ailleurs musicien (pianiste). Son ouvrage «C'est du pipeau ! - Le jargon de la musique et des musiciens» est publié aux éditions Actes Sud. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé, avec Valentin Vieyra, artiste et formateur en technique d'écriture humoristique et en gestion scénique, directeur du Festival Rire à Lomé. Il nous parlera de cette neuvième édition du Festival qui s'ouvrira le 29 septembre 2025 dans la capitale togolaise. Programmation musicale : L'artiste Elo avec qui sort son premier single : «Embêtés».
Avec cet ouvrage, le linguiste et musicien Stéphane Gendron nous raconte l'importance du vocabulaire et des expressions liées à la musique dans la langue française. La musique aussi a son vocabulaire et son jargon ! Et par la variété des instruments et styles musicaux, les musiciens ont utilisé un grand nombre d'expressions et locutions : chanter la palinodie, une marchandise haut de gamme, couper la musette, avaler sa trompette. Comment ces mots sont-ils devenus des locutions importantes de la langue française ? Notre invité nous met au diapason ! Avec cet ouvrage, Stéphane Gendron a voulu relier ses deux passions : la musique et la linguistique. Les expressions en rapport avec la musique peuvent être très anciennes ! «C'est du pipeau» vient du verbe «piper» qui voulait dire imiter le cri ces oiseaux, dans le but de les piéger... ce qui donné l'expression qu'on connait aujourd'hui. Toutes les couches sociales ont une vision de la musique et des instruments. Il y a une grande circulation sociale. Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur a pris le temps de lire la presse du XIXè siècle et de la première moitié du XXè siècle pour analyser le contexte dans lequel naissent ces expressions. Les instruments (piano, violon, harpe) ont également donné naissance à des expressions («accorder ses violons», «pisser dans un violon», «sortir les violons») que Stéphane Gendron analyse avec beaucoup de précisions. Invité : Stéphane Gendron, linguiste. Il est spécialisé dans l'étude de l'origine des noms propres : l'onomastique ! Il est par ailleurs musicien (pianiste). Son ouvrage «C'est du pipeau ! - Le jargon de la musique et des musiciens» est publié aux éditions Actes Sud. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé, avec Valentin Vieyra, artiste et formateur en technique d'écriture humoristique et en gestion scénique, directeur du Festival Rire à Lomé. Il nous parlera de cette neuvième édition du Festival qui s'ouvrira le 29 septembre 2025 dans la capitale togolaise. Programmation musicale : L'artiste Elo avec qui sort son premier single : «Embêtés».
Invités : - Eliot Deval, chroniqueur. - Gauthier le Bret, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Christophe Bordet, chroniqueur. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Plancher de Jeannot est un grand morceau de parquet gravé de textes, réalisé au tout début des années 70 par Jean Crampilh-Broucaret, dit Jeannot qui se suicida peu de temps après. Découvert fortuitement dans une ferme familiale au fin fond du Béarn en 1994, le plancher de Jeannot est aujourd'hui exposé au musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne à Paris, le plus grand hôpital psychiatrique depuis le milieu du XIXè siècle. «On ne connait pas d'objet équivalent» Le plancher en chêne, de 15m2 était le plancher de la chambre de Jean Crampilh-Broucaret. Il était situé de part et d'autre de son lit. Il est gravé de lettres majuscules faites de points (trous) tous de même diamètre, et composé de deux textes qui reprennent les mêmes termes sur deux parties du plancher qui étaient de chaque côté du lit : 27 lattes d'un côté, 41 de l'autre. Les deux textes se font écho. Pour graver ce plancher, il a utilisé un ciseau à bois et une perceuse. Jean Crampilh-Broucaret est né en 1939 à Moncaup, dans les Pyrénées-Atlantiques dans une famille moderne et aisée. Il a effectué son service militaire en Algérie. Il revient lorsqu'il apprend que son père s'est suicidé. Sa mère décède en 1971, il enterre son corps sous l'escalier familial et commence à graver sur le plancher de sa chambre. Il meurt peu de temps après, en 1972. Que se cache-t-il derrière cette écriture ? Qu'est-ce que dessiner veut dire quand l'écriture déraille ? Que disent ces textes. Recouvert de motifs, figures et écriture, cette création a suscité de nombreux fantasmes et interprétations : elle est souvent considérée comme une œuvre d'art brut... Invités : Anne-Marie Dubois, responsable scientifique du MAHHSA (Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne), commissaire générale de l'exposition et Dominique Vieville, conservateur général honoraire du patrimoine, chargé d'étude auprès du MAHHSA, commissaire et concepteur de l'exposition. L'invention d'une écriture. Le Plancher de Jeannot, au Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne, 1 rue Cabanis. Jusqu'au 18 janvier 2026. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville où Bénédicte Kodia, assistante communication de l'Institut français de Brazzaville au Congo, nous parlera de la huitième édition du Festival Mboté hip hop qui aura lieu ce mercredi 17 septembre. Cette année, la programmation sera 100% congolaise ! Programmation musicale : Les artistes Nix Ozay et Biz Ice avec le titre Miss tec 4.
Le Plancher de Jeannot est un grand morceau de parquet gravé de textes, réalisé au tout début des années 70 par Jean Crampilh-Broucaret, dit Jeannot qui se suicida peu de temps après. Découvert fortuitement dans une ferme familiale au fin fond du Béarn en 1994, le plancher de Jeannot est aujourd'hui exposé au musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne à Paris, le plus grand hôpital psychiatrique depuis le milieu du XIXè siècle. «On ne connait pas d'objet équivalent» Le plancher en chêne, de 15m2 était le plancher de la chambre de Jean Crampilh-Broucaret. Il était situé de part et d'autre de son lit. Il est gravé de lettres majuscules faites de points (trous) tous de même diamètre, et composé de deux textes qui reprennent les mêmes termes sur deux parties du plancher qui étaient de chaque côté du lit : 27 lattes d'un côté, 41 de l'autre. Les deux textes se font écho. Pour graver ce plancher, il a utilisé un ciseau à bois et une perceuse. Jean Crampilh-Broucaret est né en 1939 à Moncaup, dans les Pyrénées-Atlantiques dans une famille moderne et aisée. Il a effectué son service militaire en Algérie. Il revient lorsqu'il apprend que son père s'est suicidé. Sa mère décède en 1971, il enterre son corps sous l'escalier familial et commence à graver sur le plancher de sa chambre. Il meurt peu de temps après, en 1972. Que se cache-t-il derrière cette écriture ? Qu'est-ce que dessiner veut dire quand l'écriture déraille ? Que disent ces textes. Recouvert de motifs, figures et écriture, cette création a suscité de nombreux fantasmes et interprétations : elle est souvent considérée comme une œuvre d'art brut... Invités : Anne-Marie Dubois, responsable scientifique du MAHHSA (Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne), commissaire générale de l'exposition et Dominique Vieville, conservateur général honoraire du patrimoine, chargé d'étude auprès du MAHHSA, commissaire et concepteur de l'exposition. L'invention d'une écriture. Le Plancher de Jeannot, au Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne, 1 rue Cabanis. Jusqu'au 18 janvier 2026. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville où Bénédicte Kodia, assistante communication de l'Institut français de Brazzaville au Congo, nous parlera de la huitième édition du Festival Mboté hip hop qui aura lieu ce mercredi 17 septembre. Cette année, la programmation sera 100% congolaise ! Programmation musicale : Les artistes Nix Ozay et Biz Ice avec le titre Miss tec 4.
In our first installment of Fragraphilia & Friends, we decide to bring in some high level sophistication, grace, and the ability the properly pronounce French words. We proudly welcome the wonderful Tracy Wan to the podcast.Throughout the episode we discuss Tracy's backstory, her upbringing, perfume-y fruits and stinky food. We also bond over her affinity for gauzy lens cinema and our shared love of Hitchcock films.Oh, and of course, she joins us for a pretty strong round of The Game. Watch out wantlist!Remember, friends - "You already have a no, so you could have a yes"If you don't already follow Tracy, which we're sure you do, we'll post these here just in case...TikTok - https://www.tiktok.com/@invisiblestoriesInstagram - https://www.instagram.com/theinvisiblestories/Substack - https://substack.com/@adaptedfromParis for Curious Noses - https://tracy.recleague.com/Perfumes Mentioned in this Episode: Belle du Jour by Eris Parfums / Dirty Flower Factory by Kerosene / Burberry Brit / Hawaiian Ginger by Calgon / Ralph by Ralph Lauren / Shalimar by Guerlain / Aqua Velva & Skin Bracer / Calyx by Clinique / Pulp by Byredo / A Grove by the Sea by Arquiste/ Mantes la Jolie by Astier de Villatte / Monstera by Xinū / Porter se Peau, Rauque, and Oeilleres by Roberto Greco / Vouloir Être Ailleurs by D'Orsay / Lift Me Up by Initio / Fille de Berlin by Serge Lutens / Rosae Mundi by Profumom Roma / Portrait of a Lady by Frederic Malle / Fruit Thieves by Paraphrase / Rotano by Maison d'ETTO / De Profundis and Ambre Sultan by Serge Lutens / Bois D'Encens by Armani / Musc Tonkin by Parfums d'Empire / Rose of No Man's Land by Byredo / Babycat by Yves Saint Laurent / Vanilla Barka by Amouage / Misfit by Arquiste / Un Bel Amour D'été by Parfum d'Empire / Architect's Club by Arquiste / 1996 and La Tulipe by Byredo / Nuit de Bakelite by Naomi Goodsir / Gold, Rain Cloud, and Ink by Perfumer H / Lost Alice by Masque Milano / Un Bel Amour D'été by Parfums d'Empire / Arbole by Hiram Green / Zelen by Boka The Game:Fruto Oscuro by Eauso Vert / Open Sky by Byredo / Steam by Perfumer H / Romanza by Masque Milano / Buen Camino Extrait by Chronotope / Essence Rare by Houbigant (00:00) - - Intro, Backstories, and Film (07:56) - - Tracy's First Perfumes (17:15) - - Writing about Pulp by Byredo (25:34) - - Shopping and Samples and Recent Faves (34:32) - - Rodrigo Flores Roux, Jean-Claude Ellena, and Roberto Greco (40:06) - - Scents We've All Been Wearing (01:07:58) - - The Game Please feel free to email us at hello@fragraphilia.com - Send us questions, comments, or recommendations. We can be found on TikTok and Instagram @fragraphilia
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
durée : 00:26:41 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Spéciale vote de confiance, en direct de l'Assemblée Nationale ce soir. Une crise politique en France, Une crise de la démocratie européenne ? décryptage avec Martial Foucault, professeur de sciences politiques Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:48 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani, Florian Louis - Florian Louis nous explique pourquoi nous devrions regarder de plus près les bouleversements dont le Sahel est actuellement le théâtre.
Marie Baro a grandi en Polynésie, dans un coin de paradis à des milliers de kilomètres de la métropole. Aujourd'hui, elle vit avec son oreiller dans les valises, comme elle dit.À 30 ans, elle a vécu dans trois pays, dont deux états américains, déménagé cinq fois, eu deux enfants à l'étranger, connu les joies d'un VIE par alliance, l'incertitude des visas, et même un licenciement en pleine pandémie.De Détroit à Denver, jusqu'au sud de l'Allemagne, Marie raconte une vie de déplacements assumés, de choix pragmatiques, de visas qui tombent et de repères qu'on transporte.« Vivre ailleurs, c'est un mode de pensée », dit-elle. Et avec elle, on comprend pourquoi.Dans cet épisode, elle partage son parcours sans chercher à le théoriser :Comment elle est passée d'un poste en RH dans l'automobile à un job à responsabilités chez Rolls-Royce.Pourquoi elle et son mari ont fait le choix de rester aux États-Unis après la naissance de leurs enfants.Ce que ça fait de devoir tout réorganiser quand un emploi s'arrête brutalement.Et ce qui les a finalement poussés à dire oui à une nouvelle vie… au bord d'un lac allemand.C'est un récit plein de mouvements, d'adaptations, de moments de doute aussi - mais toujours raconté avec recul et simplicité.À écouter si vous souhaitez découvrir le quotidien concret d'une vie à l'étranger. Une histoire vraie, sincère, et étonnamment apaisante.Et si la voix de Marie vous dit quelque chose, c'est parce qu'elle avait participé en 2019 à notre hors-série sur le bien-être des enfants expatriés : https://shows.acast.com/french-expat-le-podcast/episodes/s1e16-horsserie-lebien-etredesenfantsexpatriesFrench Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.