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In our first installment of Fragraphilia & Friends, we decide to bring in some high level sophistication, grace, and the ability the properly pronounce French words. We proudly welcome the wonderful Tracy Wan to the podcast.Throughout the episode we discuss Tracy's backstory, her upbringing, perfume-y fruits and stinky food. We also bond over her affinity for gauzy lens cinema and our shared love of Hitchcock films.Oh, and of course, she joins us for a pretty strong round of The Game. Watch out wantlist!Remember, friends - "You already have a no, so you could have a yes"If you don't already follow Tracy, which we're sure you do, we'll post these here just in case...TikTok - https://www.tiktok.com/@invisiblestoriesInstagram - https://www.instagram.com/theinvisiblestories/Substack - https://substack.com/@adaptedfromParis for Curious Noses - https://tracy.recleague.com/Perfumes Mentioned in this Episode: Belle du Jour by Eris Parfums / Dirty Flower Factory by Kerosene / Burberry Brit / Hawaiian Ginger by Calgon / Ralph by Ralph Lauren / Shalimar by Guerlain / Aqua Velva & Skin Bracer / Calyx by Clinique / Pulp by Byredo / A Grove by the Sea by Arquiste/ Mantes la Jolie by Astier de Villatte / Monstera by Xinū / Porter se Peau, Rauque, and Oeilleres by Roberto Greco / Vouloir Être Ailleurs by D'Orsay / Lift Me Up by Initio / Fille de Berlin by Serge Lutens / Rosae Mundi by Profumom Roma / Portrait of a Lady by Frederic Malle / Fruit Thieves by Paraphrase / Rotano by Maison d'ETTO / De Profundis and Ambre Sultan by Serge Lutens / Bois D'Encens by Armani / Musc Tonkin by Parfums d'Empire / Rose of No Man's Land by Byredo / Babycat by Yves Saint Laurent / Vanilla Barka by Amouage / Misfit by Arquiste / Un Bel Amour D'été by Parfum d'Empire / Architect's Club by Arquiste / 1996 and La Tulipe by Byredo / Nuit de Bakelite by Naomi Goodsir / Gold, Rain Cloud, and Ink by Perfumer H / Lost Alice by Masque Milano / Un Bel Amour D'été by Parfums d'Empire / Arbole by Hiram Green / Zelen by Boka The Game:Fruto Oscuro by Eauso Vert / Open Sky by Byredo / Steam by Perfumer H / Romanza by Masque Milano / Buen Camino Extrait by Chronotope / Essence Rare by Houbigant (00:00) - - Intro, Backstories, and Film (07:56) - - Tracy's First Perfumes (17:15) - - Writing about Pulp by Byredo (25:34) - - Shopping and Samples and Recent Faves (34:32) - - Rodrigo Flores Roux, Jean-Claude Ellena, and Roberto Greco (40:06) - - Scents We've All Been Wearing (01:07:58) - - The Game Please feel free to email us at hello@fragraphilia.com - Send us questions, comments, or recommendations. We can be found on TikTok and Instagram @fragraphilia
Alors que le paysage politique est plus que jamais fragmenté et sous tension, Emmanuel Macron vient de nommer Sébastien Lecornu à Matignon. Entre la formation express d'un gouvernement, la négociation d'un budget sous haute pression et la quête d'un accord de non-censure, le nouveau Premier ministre devra composer avec des partis aux exigences contradictoires. Quelle voie de passage reste-t-il pour éviter l'impasse ? Décryptage avec Nicolas Baverez, économiste et essayiste, invité de l'émission Ecorama du 10 septembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
durée : 00:26:41 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Spéciale vote de confiance, en direct de l'Assemblée Nationale ce soir. Une crise politique en France, Une crise de la démocratie européenne ? décryptage avec Martial Foucault, professeur de sciences politiques Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:26:41 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Spéciale vote de confiance, en direct de l'Assemblée Nationale ce soir. Une crise politique en France, Une crise de la démocratie européenne ? décryptage avec Martial Foucault, professeur de sciences politiques Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Depuis toujours, l'homme a toujours su cultiver l'art de raconter des histoires pour captiver ou convaincre. Dans les années 90, aux États-Unis puis en Europe, naît le concept de « Storytelling » avec une structure narrative qui suscite émotion et identification et devient le moteur des campagnes de publicité ou électorales. Comment expliquer le succès de ces façonneurs d'images et de mots ? Quels sont les rouages de cette « machine à raconter » ? C'est depuis les années 90 une nouvelle façon de communiquer. Le mot de storytelling a déjà plus de 30 ans, puisqu'il apparaît dès les années 90 aux États-Unis, en pleines révolutions managériale et capitaliste. Dans l'entreprise, dans le marketing, en politique, le storytelling est devenu la panacée, perçu comme un nouveau mode de communication. « Depuis quinze ans, il y a eu beaucoup de découvertes et d'innovations, surtout dans le domaine des médias et de la communication », nous dit Christian Salmon. Il y a quinze ans, le storytelling était encore une communication verbale, humaine. Depuis, le smartphone et les réseaux sociaux ont été inventés et chacun peut devenir un storyteller induit par des machines narratives. Il faut se présenter. Il faut performer. Il faut se raconter. Aujourd'hui, on ne vend plus des produits, mais des histoires. Un produit ne vaut que parce qu'il est agrégé à une histoire. Aujourd'hui, il y a même des festivals de storytelling aux États-Unis (près de deux cents !). On intègre des griots et des conteurs dans les entreprises. Le narratif emprunte aux formes traditionnelles de récits. C'est parfois fait presque de manière infantile. On crée des récits comme on parlerait à des enfants. Invité : Christian Salmon, écrivain et chercheur. Il fonde en 1993 le Parlement international des écrivains. Il a publié, il y a une quinzaine d'années, Storytelling – La machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits aux éditions La Découverte en 2013. À partir du 8 septembre, il animera un cycle de conférences sur les usages du récit dans nos sociétés au Théâtre de la Bastille. Et la chronique Ailleurs aux États-Unis nous fait rencontrer Farah Thyma qui a fondé depuis la ville de Philipsburg, La Relève, en 2021, une bibliothèque numérique qui permet aux enfants, adolescents et étudiants d'Haïti, de Côte d'Ivoire et des États-Unis d'emprunter des livres numériques gratuitement. Programmation musicale : Les artistes Stromae avec le DJ allemand Paul Kalkbrenne avec le titre Que ce soit clair.
Depuis toujours, l'homme a toujours su cultiver l'art de raconter des histoires pour captiver ou convaincre. Dans les années 90, aux États-Unis puis en Europe, naît le concept de « Storytelling » avec une structure narrative qui suscite émotion et identification et devient le moteur des campagnes de publicité ou électorales. Comment expliquer le succès de ces façonneurs d'images et de mots ? Quels sont les rouages de cette « machine à raconter » ? C'est depuis les années 90 une nouvelle façon de communiquer. Le mot de storytelling a déjà plus de 30 ans, puisqu'il apparaît dès les années 90 aux États-Unis, en pleines révolutions managériale et capitaliste. Dans l'entreprise, dans le marketing, en politique, le storytelling est devenu la panacée, perçu comme un nouveau mode de communication. « Depuis quinze ans, il y a eu beaucoup de découvertes et d'innovations, surtout dans le domaine des médias et de la communication », nous dit Christian Salmon. Il y a quinze ans, le storytelling était encore une communication verbale, humaine. Depuis, le smartphone et les réseaux sociaux ont été inventés et chacun peut devenir un storyteller induit par des machines narratives. Il faut se présenter. Il faut performer. Il faut se raconter. Aujourd'hui, on ne vend plus des produits, mais des histoires. Un produit ne vaut que parce qu'il est agrégé à une histoire. Aujourd'hui, il y a même des festivals de storytelling aux États-Unis (près de deux cents !). On intègre des griots et des conteurs dans les entreprises. Le narratif emprunte aux formes traditionnelles de récits. C'est parfois fait presque de manière infantile. On crée des récits comme on parlerait à des enfants. Invité : Christian Salmon, écrivain et chercheur. Il fonde en 1993 le Parlement international des écrivains. Il a publié, il y a une quinzaine d'années, Storytelling – La machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits aux éditions La Découverte en 2013. À partir du 8 septembre, il animera un cycle de conférences sur les usages du récit dans nos sociétés au Théâtre de la Bastille. Et la chronique Ailleurs aux États-Unis nous fait rencontrer Farah Thyma qui a fondé depuis la ville de Philipsburg, La Relève, en 2021, une bibliothèque numérique qui permet aux enfants, adolescents et étudiants d'Haïti, de Côte d'Ivoire et des États-Unis d'emprunter des livres numériques gratuitement. Programmation musicale : Les artistes Stromae avec le DJ allemand Paul Kalkbrenne avec le titre Que ce soit clair.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve toutes nos prédications ici : https://bit.ly/3cr8QFZQue Dieu te bénisse !
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Pour nous, la vie ailleurs est une évidence… et on l'imagine à notre façon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La tendance s'affirme de plus en plus sur les réseaux sociaux : la diffusion de fausses images satellites. Le plus souvent, il s'agit de vues aériennes retouchées de manière à tromper le public. Parfois, des procédés plus complexes sont employés via l'intelligence artificielle (IA).Un phénomène problématique, car les images satellites, sont régulièrement employées par les fact checkers dans le cadre de leur travail de vérification. Les manipulateurs l'ont bien compris… Plusieurs images satellites falsifiées ont attiré votre attention ces derniers mois. Premier exemple lors des raids indiens sur le Pakistan en mai dernier. Il y a eu une très forte désinformation, autour de ces opérations aériennes. Nous vous en parlions ici. A la veille du déclenchement des hostilités, des comptes mettaient en ligne de prétendues photos satellites montrant des avions de combat Rafale prêts à entrer en action. Selon les commentaires, ces avions de chasse indiens avaient été surpris par les caméras d'un satellite sur une base non identifiée. Cette image était une infox. Cela n'avait pas échappé à certains utilisateurs. Rafale de désinformation Après vérification, il s'agissait d'un trucage. Pour schématiser, quatre petits avions gris, étaient copiés-collés sur une photo satellite pour faire croire à une preuve. Cette infox devait contribuer à préparer l'opinion à l'entrée en guerre de l'Inde avec ses Rafale. L'avion français fut dans les jours suivant l'objet d'une vaste campagne de désinformation orchestrés par le Pakistan et la Chine. Ailleurs dans le monde, les images satellites ont été largement utilisées pour documenter les résultats du spectaculaire raid ukrainien contre des bases stratégiques russes début juin. Ce fut aussi l'occasion de détecter de fausses vues aériennes destinée à amplifier les dégâts. Des images trop nettes pour être honnêtes. Autre exemple, les fameuses images de la frégate nord coréenne endommagé lors de la cérémonie de lancement devant le dictateur Kim Jong Un. Très vite des photos du chantier naval de Chongjin ou a eu lieu l'accident ont été diffusée. Pour masquer l'ampleur du désastre, des grandes bâches bleues avaient été disposées sur la coque du bateau. Suite à une défaillance du système de mise l'eau, le navire s'était couché, à moitié dans le port, à moitié sur le quai. Quelques heures plus tard, des photos, encore plus précises, ont été diffusées sur les réseaux. A priori, il s'agissait de la même scène : une vue verticale, même orientation, même angle, mais ces images avaient été améliorées par IA pour les faire passer pour des photos en HD. Résultat : l'IA avait oublié certains éléments, comme l'un des portiques du chantier tout simplement effacé, ou avait exagéré d'autres éléments afin de produire une image plus spectaculaire. Cette image a donc été altérée, et qui ne peut pas constituer une base de travail pour les fact-checker, ni un élément probant. Image qui ne portrait aucune mention annonçant l'utilisation d'un outil d'intelligence artificielle. Comment détecter les images satellites entièrement générés par IA ? Comme ces clichés récents, censés montrer un important déploiement de troupes russes dans la région de Briansk proche de l'Ukraine ou encore les dégâts causés par de récentes frappes de drones à Kiev. A première vue, ces images sont très réalistes, mais elles ne sont pas authentiques. Alors comment savoir ? Il existe bien des détecteurs d'IA, toutefois ils ne sont pas fiables à 100%. Comme à chaque fois en pareil cas, il convient d'effectuer une recherche par image inversée pour voir si les photos douteuses apparaissent t sur des publications sérieuses et dans quel contexte. Il faut aussi rechercher la source de ces images. Assez facile, car les fournisseurs d'images spatiales, (des agences publiques ou des entreprises privées), ne sont pas très nombreuses. Rfi travaille régulièrement avec Airbus Space, Planet-Labs et Maxar. Par ailleurs, ces entreprises sont très soucieuses de leur réputation compte tenu des enjeux commerciaux. Elles sont donc vigilantes et peuvent coopérer avec les modérateurs ou les médias afin d'améliorer la traçabilité des images. L'utilisateur pourra aussi comparer des images douteuses à des images fiables, même si elles sont plus anciennes, par exemple, en utilisant Google Earth. Enfin, il convient de rechercher les incohérences graphiques assez caractéristiques des images produites grâce à l'intelligence artificielle générative. Vérifier par exemple la symétrie des bâtiments, les proportions, ou encore les murs et les fenêtres d'un immeuble qui peuvent « pencher » et qui visuellement s'inscrive mal dans la géométrie de l'ensemble. Prudence donc, car à l'avenir, pour chaque image authentique, il pourrait y avoir plusieurs contrefaçons « convaincantes » et cela risque de réduire la confiance du public dans l'imagerie spatiale.
durée : 00:03:48 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani, Florian Louis - Florian Louis nous explique pourquoi nous devrions regarder de plus près les bouleversements dont le Sahel est actuellement le théâtre.
durée : 02:00:08 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marina Lévy Océanographe, conseillère pour l'Océan auprès de la présidence de l'IRD; Thibault Guinaldo Chercheur au Centre national de recherches météorologiques (Météo-France/CNRS); Joaquim Garrabou Océanographe, chercheur à l'institut des sciences de la mer à Barcelone; Birds On A Wire Groupe de musique; Rosemary Standley Chanteuse; Dom La Nena Musicienne; Jean-François Corty Médecin, président de l'association Médecins du Monde
durée : 00:39:48 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - En juin 2025, une canicule marine a encore frappé la mer Méditerranée et les records de température se sont multipliés à sa surface. Un mois plus tard, le thermomètre a baissé, mais les dégâts causés par ce type d'événement se font encore sentir, avec plusieurs espèces victimes d'hécatombes. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marina Lévy Océanographe, conseillère pour l'Océan auprès de la présidence de l'IRD; Thibault Guinaldo Chercheur au Centre national de recherches météorologiques (Météo-France/CNRS); Joaquim Garrabou Océanographe, chercheur à l'institut des sciences de la mer à Barcelone
Site savoir faire – Les jeans Tuffery à Florac (Lozère) Emission depuis le salon du Made in France - Atelier ouvert du lundi au samedi de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h - www.ateliertuffery.com Hébergement : - La ferme de Salièges o A moins de 2km de Florac o Chambres simples avec une petite exploitation fruitière o www.lafermedesalieges.com Site patrimoine – La maison des Ailleurs à Charleville-Mézières (Ardennes) - Ouvert du mardi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, et de 14 h à 17 h 30 le week-end - Tarif : 8€ pour le musée et la maison des Ailleurs - www.musear.fr/p-5-musee-rimbaud.html Hébergement : - Hôtel Le dormeur du Val o A Charleville-Mézières o A partir de 90€ la nuit o www.domaine-arthur-rimbaud.com Site plein air – Initiation au lancer de hache à Génos (Hautes-Pyrénées) - Tarif : A partir de 12 € / personne pour 1 heure - www.panaurama-saintlary.com/activites-montagne-lancer-de-haches-st-lary Restauration : - Restaurant La grange o A Saint Lary Soulan o Menu à partir de 36€ o www.restaurant-saint-lary.com Balade culinaire – Fabrice Mignot – Le kouglof Ingrédients : - 1kg de farine - 150g de sucre - 15 à 20g de sel - 300g de beurre - 3 ou 4 oeufs - 40cl de lait tiède - 45g de levure de boulanger - 150g de raisins de Malaga épépinés - 75g d'amandes entières - 1 petit verre de Kirsch (facultatif) - 50g de sucre glace pour le saupoudrage Préparation Tous les ingrédients doivent être tempérés. ● Préparer d'abord le levain en mélangeant la levure avec la moitié du lait tiède et la farine nécessaire pour obtenir une pâte de consistance moyenne et la laisser reposer dans un endroit tiède. ● Réunir dans une terrine, la farine restante avec le sel, le sucre, les œufs et le reste de lait tiède. Mélanger énergiquement. Battre pendant 15 minutes cette pâte en la soulevant à la main ou dans un robot avec le crochet. ● Ajouter le beurre ramolli et le levain qui aura doublé de volume. Battre encore 5 minutes cette pâte : il faut qu'elle se détache des parois. ● Couvrir d'un linge et laisser reposer dans un endroit tempéré pendant environ 1 heure. ● Dégazer la pâte et y ajouter les raisins préalablement trempés dans du kirsch ou de l'eau, puis ajouter le petit verre de kirsch ● Dans le moule à Kouglof bien beurré, déposer au fond, dans chaque cannelure, une amande (si possible pelée et essuyée) Déposer la pâte dans le moule et laisser reposer une seconde fois. Il faut que la pâte affleure à hauteur du moule. ● Faire cuire dans un four chauffé à 200-210°C (th.7) pendant 50 minutes. Si le Kouglof se colore de trop, le couvrir en cours de cuisson d'une feuille de papier aluminium ● Démouler et saupoudrer de sucre glace. Site insolite – Le muséobus consacré à la confiture à Ranrupt (Bas-Rhin) - Ouvert toute l'année du mardi au samedi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h - Boutique en ligne - www.confituresduclimont.com Hébergement : - La ferme de la fontaine o A Fouchy (A 17 minutes du muséobus) o 3 gîtes rustiques et chaleureux o A partir de 120€ la nuit pour 4 personnes o www.la-ferme-de-la-fontaine.com Site savoir-faire – Porcelaine de Limoges Bernardaud (Haute-Vienne) - Visites sur rendez-vous du lundi au samedi - Tarif : 6€ / personne - www.bernardaud.com Restauration : - Chez Jean Burger o A Limoges o A partir de 15€ o www.jeanburger.fr Site patrimoine – Le musée de la Chartreuse de Douai (Nord) - Ouvert du mercredi au lundi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h - Entrée : 5€ - www.museedelachartreuse.fr Restauration : - Restaurant « Le Prévert » o A Douai o Spécialité du Nord, comme la carbonnade flamande, ou le lapin aux pruneaux o Tél. : 03 27 98 59 51 Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Site savoir faire – Les jeans Tuffery à Florac (Lozère) Emission depuis le salon du Made in France - Atelier ouvert du lundi au samedi de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h - www.ateliertuffery.com Hébergement : - La ferme de Salièges o A moins de 2km de Florac o Chambres simples avec une petite exploitation fruitière o www.lafermedesalieges.com Site patrimoine – La maison des Ailleurs à Charleville-Mézières (Ardennes) - Ouvert du mardi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, et de 14 h à 17 h 30 le week-end - Tarif : 8€ pour le musée et la maison des Ailleurs - www.musear.fr/p-5-musee-rimbaud.html Hébergement : - Hôtel Le dormeur du Val o A Charleville-Mézières o A partir de 90€ la nuit o www.domaine-arthur-rimbaud.com Site plein air – Initiation au lancer de hache à Génos (Hautes-Pyrénées) - Tarif : A partir de 12 € / personne pour 1 heure - www.panaurama-saintlary.com/activites-montagne-lancer-de-haches-st-lary Restauration : - Restaurant La grange o A Saint Lary Soulan o Menu à partir de 36€ o www.restaurant-saint-lary.com Balade culinaire – Fabrice Mignot – Le kouglof Ingrédients : - 1kg de farine - 150g de sucre - 15 à 20g de sel - 300g de beurre - 3 ou 4 oeufs - 40cl de lait tiède - 45g de levure de boulanger - 150g de raisins de Malaga épépinés - 75g d'amandes entières - 1 petit verre de Kirsch (facultatif) - 50g de sucre glace pour le saupoudrage Préparation Tous les ingrédients doivent être tempérés. ● Préparer d'abord le levain en mélangeant la levure avec la moitié du lait tiède et la farine nécessaire pour obtenir une pâte de consistance moyenne et la laisser reposer dans un endroit tiède. ● Réunir dans une terrine, la farine restante avec le sel, le sucre, les œufs et le reste de lait tiède. Mélanger énergiquement. Battre pendant 15 minutes cette pâte en la soulevant à la main ou dans un robot avec le crochet. ● Ajouter le beurre ramolli et le levain qui aura doublé de volume. Battre encore 5 minutes cette pâte : il faut qu'elle se détache des parois. ● Couvrir d'un linge et laisser reposer dans un endroit tempéré pendant environ 1 heure. ● Dégazer la pâte et y ajouter les raisins préalablement trempés dans du kirsch ou de l'eau, puis ajouter le petit verre de kirsch ● Dans le moule à Kouglof bien beurré, déposer au fond, dans chaque cannelure, une amande (si possible pelée et essuyée) Déposer la pâte dans le moule et laisser reposer une seconde fois. Il faut que la pâte affleure à hauteur du moule. ● Faire cuire dans un four chauffé à 200-210°C (th.7) pendant 50 minutes. Si le Kouglof se colore de trop, le couvrir en cours de cuisson d'une feuille de papier aluminium ● Démouler et saupoudrer de sucre glace. Site insolite – Le muséobus consacré à la confiture à Ranrupt (Bas-Rhin) - Ouvert toute l'année du mardi au samedi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h - Boutique en ligne - www.confituresduclimont.com Hébergement : - La ferme de la fontaine o A Fouchy (A 17 minutes du muséobus) o 3 gîtes rustiques et chaleureux o A partir de 120€ la nuit pour 4 personnes o www.la-ferme-de-la-fontaine.com Site savoir-faire – Porcelaine de Limoges Bernardaud (Haute-Vienne) - Visites sur rendez-vous du lundi au samedi - Tarif : 6€ / personne - www.bernardaud.com Restauration : - Chez Jean Burger o A Limoges o A partir de 15€ o www.jeanburger.fr Site patrimoine – Le musée de la Chartreuse de Douai (Nord) - Ouvert du mercredi au lundi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h - Entrée : 5€ - www.museedelachartreuse.fr Restauration : - Restaurant « Le Prévert » o A Douai o Spécialité du Nord, comme la carbonnade flamande, ou le lapin aux pruneaux o Tél. : 03 27 98 59 51 Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 31 janvier 2020, les cloches de Big Ben ont retenti, sonnant du même coup le glas de la participation du Royaume-Uni à l'Union européenne. 5 ans plus tard, certains Brexiters ont changé d'avis, et le bilan de cette sortie tonitruante reste mitigé, particulièrement dans le secteur agricole. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe. Cette émission est une réédition estivale de nos programmes Cinq ans après le Brexit, les agriculteurs britanniques font la moue Et si c'était à refaire ? Le Royaume-Uni ne quitterait sans doute pas l'UE si l'on en croit ce sondage Yougov publié, il y a quelques mois, fin janvier : 11% des personnes interrogées seulement estiment que le Brexit a été une réussite, et parmi les électeurs qui avaient voté oui au divorce, 20% sont pour un retour de leur pays dans l'UE. Au sein du secteur agricole où les partisans du Brexit étaient nombreux, le bilan, 5 ans plus tard, est mitigé. Le reportage de Marie Billon dans les Midlands. Les Balkans ne font plus rêver leurs jeunes L'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller. Chronique musicale Le choix de Vincent Théval : Vecchia Storia, d'Ada Oda (Pelle d'oca). Les glaciers suisses, bientôt une carte postale du passé ? 40% : c'est le volume total perdu par les glaciers suisses depuis l'an 2000. Les scientifiques l'ont constaté, en 2024, la chaleur à la surface de la planète n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche.
Le 31 janvier 2020, les cloches de Big Ben ont retenti, sonnant du même coup le glas de la participation du Royaume-Uni à l'Union européenne. 5 ans plus tard, certains Brexiters ont changé d'avis, et le bilan de cette sortie tonitruante reste mitigé, particulièrement dans le secteur agricole. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe. Cette émission est une réédition estivale de nos programmes Cinq ans après le Brexit, les agriculteurs britanniques font la moue Et si c'était à refaire ? Le Royaume-Uni ne quitterait sans doute pas l'UE si l'on en croit ce sondage Yougov publié, il y a quelques mois, fin janvier : 11% des personnes interrogées seulement estiment que le Brexit a été une réussite, et parmi les électeurs qui avaient voté oui au divorce, 20% sont pour un retour de leur pays dans l'UE. Au sein du secteur agricole où les partisans du Brexit étaient nombreux, le bilan, 5 ans plus tard, est mitigé. Le reportage de Marie Billon dans les Midlands. Les Balkans ne font plus rêver leurs jeunes L'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller. Chronique musicale Le choix de Vincent Théval : Vecchia Storia, d'Ada Oda (Pelle d'oca). Les glaciers suisses, bientôt une carte postale du passé ? 40% : c'est le volume total perdu par les glaciers suisses depuis l'an 2000. Les scientifiques l'ont constaté, en 2024, la chaleur à la surface de la planète n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche.
Marie Baro a grandi en Polynésie, dans un coin de paradis à des milliers de kilomètres de la métropole. Aujourd'hui, elle vit avec son oreiller dans les valises, comme elle dit.À 30 ans, elle a vécu dans trois pays, dont deux états américains, déménagé cinq fois, eu deux enfants à l'étranger, connu les joies d'un VIE par alliance, l'incertitude des visas, et même un licenciement en pleine pandémie.De Détroit à Denver, jusqu'au sud de l'Allemagne, Marie raconte une vie de déplacements assumés, de choix pragmatiques, de visas qui tombent et de repères qu'on transporte.« Vivre ailleurs, c'est un mode de pensée », dit-elle. Et avec elle, on comprend pourquoi.Dans cet épisode, elle partage son parcours sans chercher à le théoriser :Comment elle est passée d'un poste en RH dans l'automobile à un job à responsabilités chez Rolls-Royce.Pourquoi elle et son mari ont fait le choix de rester aux États-Unis après la naissance de leurs enfants.Ce que ça fait de devoir tout réorganiser quand un emploi s'arrête brutalement.Et ce qui les a finalement poussés à dire oui à une nouvelle vie… au bord d'un lac allemand.C'est un récit plein de mouvements, d'adaptations, de moments de doute aussi - mais toujours raconté avec recul et simplicité.À écouter si vous souhaitez découvrir le quotidien concret d'une vie à l'étranger. Une histoire vraie, sincère, et étonnamment apaisante.Et si la voix de Marie vous dit quelque chose, c'est parce qu'elle avait participé en 2019 à notre hors-série sur le bien-être des enfants expatriés : https://shows.acast.com/french-expat-le-podcast/episodes/s1e16-horsserie-lebien-etredesenfantsexpatriesFrench Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis près de dix ans, la galerie d'art Addis Fine Art expose les œuvres des artistes éthiopiens, mais aussi de toute l'Afrique de l'Est. Un véritable tremplin pour ces peintres, plasticiens ou encore sculpteurs qui, grâce à la galerie, bénéficient d'une visibilité internationale. Mesai Haileleul déambule dans la vaste salle de sa galerie d'art. Sur les murs immaculés sont accrochées les toiles de l'artiste éthiopien Dereje Demissie, l'exposition du moment. Durant près de 30 ans, c'est à Los Angeles que Mesai Haileleul exerçait son métier de galeriste. Et c'est aux États-Unis, aussi, qu'il a pris conscience du manque de représentativité des artistes éthiopiens à l'international. « La présence des artistes éthiopiens dans les foires artistiques ou les institutions était très très faible. Et on avait remarqué que les galeries locales, aussi bien qu'elles soient, ne permettaient pas vraiment de se faire connaître en dehors de l'Éthiopie. On a réalisé qu'il manquait un lien, alors qu'il y a des artistes de talent ici. Ailleurs sur le continent, beaucoup d'artistes ont des galeries qui travaillent avec l'étranger. Alors, on s'est dit "ce sera peut-être une première, mais on doit se lancer" », explique-t-il. « On croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens » En 2016, Mesai Haileleul rentre en Éthiopie et fonde Addis Fine Art avec sa collaboratrice Rakeb Sile. « L'idée est de créer un pont entre ici et le marché international. Car on croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens. Leur travail mérite d'être vu par le plus grand nombre. Nous voulons qu'ils prennent part à ce qu'il se passe dans le monde de l'art en dehors de l'Éthiopie. C'est ça qui est derrière Addis Fine Art Gallery », dit-il. Tizta Berhanu fait partie des artistes promues par la galerie. La jeune femme de 34 ans peint ses œuvres dans le sous-sol de sa maison, à Addis-Abeba. « J'ai toujours voulu être une artiste. C‘était mon rêve d'enfance. Pour moi ce n'est pas naturel d'exprimer mes pensées et mes émotions avec des mots. Je préfère le faire par la peinture », raconte-t-elle. Mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est Devant une toile plus grande qu'elle, représentant un petit groupe de femmes, Tizta Berhanu reconnaît que vivre de son art est quasiment impossible en Éthiopie. « Avant que je rencontre Addis Fine Art, je travaillais de manière indépendante. Pour être honnête, c'était difficile. Car je vendais mes œuvres ici en Éthiopie, à des particuliers. Mais je n'avais pas cette connexion avec le marché international. Les galeries d'art comme celles-ci sont très importantes, car la plupart des artistes ne savent faire que peindre, ils ne savent pas comment faire leur publicité et promouvoir leur travail ». Dès ses débuts, Addis Fine Art a également mis un point d'honneur à mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est, comme Amel Bashier. Originaire du Soudan, elle vit aujourd'hui en exil en France. « Au Soudan et ici, j'arrivais à vendre mes œuvres. Mais je sens que j'ai franchi une étape avec Addis Fine Art. J'ai plus de succès maintenant. Ils mettent en valeur les artistes et leur travail ». En dix ans, 50 artistes au total ont été exposés dans la galerie d'Addis Fine Art.
Depuis près de dix ans, la galerie d'art Addis Fine Art expose les œuvres des artistes éthiopiens, mais aussi de toute l'Afrique de l'Est. Un véritable tremplin pour ces peintres, plasticiens ou encore sculpteurs qui, grâce à la galerie, bénéficient d'une visibilité internationale. Mesai Haileleul déambule dans la vaste salle de sa galerie d'art. Sur les murs immaculés sont accrochées les toiles de l'artiste éthiopien Dereje Demissie, l'exposition du moment. Durant près de 30 ans, c'est à Los Angeles que Mesai Haileleul exerçait son métier de galeriste. Et c'est aux États-Unis, aussi, qu'il a pris conscience du manque de représentativité des artistes éthiopiens à l'international. « La présence des artistes éthiopiens dans les foires artistiques ou les institutions était très très faible. Et on avait remarqué que les galeries locales, aussi bien qu'elles soient, ne permettaient pas vraiment de se faire connaître en dehors de l'Éthiopie. On a réalisé qu'il manquait un lien, alors qu'il y a des artistes de talent ici. Ailleurs sur le continent, beaucoup d'artistes ont des galeries qui travaillent avec l'étranger. Alors, on s'est dit "ce sera peut-être une première, mais on doit se lancer" », explique-t-il. « On croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens » En 2016, Mesai Haileleul rentre en Éthiopie et fonde Addis Fine Art avec sa collaboratrice Rakeb Sile. « L'idée est de créer un pont entre ici et le marché international. Car on croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens. Leur travail mérite d'être vu par le plus grand nombre. Nous voulons qu'ils prennent part à ce qu'il se passe dans le monde de l'art en dehors de l'Éthiopie. C'est ça qui est derrière Addis Fine Art Gallery », dit-il. Tizta Berhanu fait partie des artistes promues par la galerie. La jeune femme de 34 ans peint ses œuvres dans le sous-sol de sa maison, à Addis-Abeba. « J'ai toujours voulu être une artiste. C‘était mon rêve d'enfance. Pour moi ce n'est pas naturel d'exprimer mes pensées et mes émotions avec des mots. Je préfère le faire par la peinture », raconte-t-elle. Mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est Devant une toile plus grande qu'elle, représentant un petit groupe de femmes, Tizta Berhanu reconnaît que vivre de son art est quasiment impossible en Éthiopie. « Avant que je rencontre Addis Fine Art, je travaillais de manière indépendante. Pour être honnête, c'était difficile. Car je vendais mes œuvres ici en Éthiopie, à des particuliers. Mais je n'avais pas cette connexion avec le marché international. Les galeries d'art comme celles-ci sont très importantes, car la plupart des artistes ne savent faire que peindre, ils ne savent pas comment faire leur publicité et promouvoir leur travail ». Dès ses débuts, Addis Fine Art a également mis un point d'honneur à mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est, comme Amel Bashier. Originaire du Soudan, elle vit aujourd'hui en exil en France. « Au Soudan et ici, j'arrivais à vendre mes œuvres. Mais je sens que j'ai franchi une étape avec Addis Fine Art. J'ai plus de succès maintenant. Ils mettent en valeur les artistes et leur travail ». En dix ans, 50 artistes au total ont été exposés dans la galerie d'Addis Fine Art.
Mi-juillet 2025, la France est déjà confrontée à une saison d'incendies d'une intensité rare. Plus de 2 000 hectares ont brûlé près de Narbonne, 750 autres aux portes de Marseille, où 90 bâtiments ont été détruits ou endommagés malgré des moyens aériens massifs. Ailleurs, les départs de feu se sont multipliés dans le Gard, en Provence, en Occitanie. À l'étranger, le Canada bat ses records historiques avec plus de 5 millions d'hectares partis en fumée, tandis que l'Europe du Sud, la Sibérie ou encore l'Amazonie sont également touchées. Si aucun décès n'est à déplorer en France, le coût humain, écologique et économique de ces feux s'annonce déjà lourd. Plus fréquents, plus précoces, plus violents, les incendies interrogent : sommes-nous toujours capables d'y faire face ? Peut-on encore les prévenir ? Ou devons-nous apprendre à vivre avec le feu ? Pour en débattre Françoise Vimeux, climatologue et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) Rémi Savazzi, chef du pôle national Défense des forêts contre les incendies (DFCI) à l'Office national des forêts (ONF) Lieutenant-colonel Harrault, porte-parole de la sécurité civile à la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC).
Mi-juillet 2025, la France est déjà confrontée à une saison d'incendies d'une intensité rare. Plus de 2 000 hectares ont brûlé près de Narbonne, 750 autres aux portes de Marseille, où 90 bâtiments ont été détruits ou endommagés malgré des moyens aériens massifs. Ailleurs, les départs de feu se sont multipliés dans le Gard, en Provence, en Occitanie. À l'étranger, le Canada bat ses records historiques avec plus de 5 millions d'hectares partis en fumée, tandis que l'Europe du Sud, la Sibérie ou encore l'Amazonie sont également touchées. Si aucun décès n'est à déplorer en France, le coût humain, écologique et économique de ces feux s'annonce déjà lourd. Plus fréquents, plus précoces, plus violents, les incendies interrogent : sommes-nous toujours capables d'y faire face ? Peut-on encore les prévenir ? Ou devons-nous apprendre à vivre avecle feu ? Pour en débattre Françoise Vimeux, climatologue et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) Rémi Savazzi, chef du pôle national Défense des forêts contre les incendies (DFCI) à l'office national des forêts (ONF) Lieutenant-colonel Harrault, porte-parole de la sécurité civile à la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC)
Ludivine pensait vivre près de chez elle, entourée des siens. Pas partir. Pas changer de voie. Pas recommencer ailleurs.Et pourtant.Un premier départ vers l'Angleterre. Une reconversion dans les fleurs. Puis une vie qui s'installe aux États-Unis. Et un jour, le corps qui envoie des signaux. D'abord faibles, puis insistants. Grossesse suivie de très près. Douleurs chroniques. Un diagnostic. Puis un autre.Dans cet épisode, Ludivine raconte comment elle a appris à avancer autrement. À s'écouter. À poser un cadre. À créer, même quand les repères vacillent.Un récit de mouvement, de réinvention, de présence à soi.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce bestiaire écrit avec Pierre Avenas, la célèbre linguiste Henriette Walter nous raconte les anecdotes historiques et mythologies autour des mammifères. Pourquoi dit-on un spectacle «équestre» mais un «hippodrome» alors que tout vient du mot... cheval qui vient du latin «caballus» ? Pourquoi le «lièvre» a-t-il donné naissance à l'un des patronymes les plus répandus en France ? Connaissez-vous le point commun entre un chat et le dieu grec Eole ? L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas fourmille d'anecdotes passionnantes sur le nom de quelque trois cents animaux, et les origines des mots peuvent parfois se croiser ! Les naturalistes du XVIIIè siècle, ou les habitants du pays d'où vient l'animal, ont nommé les animaux, et les histoires d'étymologie sont parfois surprenantes ! Les mots que portent les animaux me plaisent beaucoup. Cela m'amuse beaucoup de circuler d'un animal à l'autre. Lorsqu'on travaille en linguistique, on peut remonter les diverses époques jusqu'à la naissance du mot. L'étymologie, c'est un peu comme l'archéologie ! Invitée : Henriette Walter, née en 1929 à Sfax en Tunisie, est une linguiste et phonologue française d'origine italienne. Elle a grandi dans un environnement polyglotte. Elle a commencé par apprendre l'anglais avant de devenir linguiste. Elle a écrit de nombreux ouvrages consacrés à la phonologie, à la linguistique et aux mots. Elle a dirigé le Laboratoire de phonologie à l'École pratique des Hautes études. Présidente de la Société Internationale de la Linguistique Fonctionnelle. L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas, est publié aux éditions Robert Laffont en version poche. À lire également de Henriette Walter : L'aventure des langues en Occident L'aventure des mots français venus d'ailleurs. Et la chronique Ailleurs nous emmène cette semaine à Rome avec Sam Stourdzé, directeur de l'Académie de France à Rome : la villa Médicis ! un lieu pour les artistes depuis plus de trois siècles ! C'est dans cette magnifique villa que des artistes viennent s'installer pour une année pour développer leurs projets artistiques. Écrivains, vidéastes, compositeurs : ils sont seize chaque année à passer un an avec une bourse ! Et l'été venant, c'est la période où les visiteurs peuvent voir ce qui s'est imaginé, fabriqué dans les ateliers avec une exposition intitulée Changer la prose du monde, un titre magnifique extrait d'un vers de la poétesse italienne Amelia Rosseli disparue il y a peu ! Une exposition à voir jusqu'au 8 septembre ! Programmation musicale : L'artiste Vincent Delerme avec le titre Si beau.
Dans ce bestiaire écrit avec Pierre Avenas, la célèbre linguiste Henriette Walter nous raconte les anecdotes historiques et mythologies autour des mammifères. Pourquoi dit-on un spectacle «équestre» mais un «hippodrome» alors que tout vient du mot... cheval qui vient du latin «caballus» ? Pourquoi le «lièvre» a-t-il donné naissance à l'un des patronymes les plus répandus en France ? Connaissez-vous le point commun entre un chat et le dieu grec Eole ? L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas fourmille d'anecdotes passionnantes sur le nom de quelque trois cents animaux, et les origines des mots peuvent parfois se croiser ! Les naturalistes du XVIIIè siècle, ou les habitants du pays d'où vient l'animal, ont nommé les animaux, et les histoires d'étymologie sont parfois surprenantes ! Les mots que portent les animaux me plaisent beaucoup. Cela m'amuse beaucoup de circuler d'un animal à l'autre. Lorsqu'on travaille en linguistique, on peut remonter les diverses époques jusqu'à la naissance du mot. L'étymologie, c'est un peu comme l'archéologie ! Invitée : Henriette Walter, née en 1929 à Sfax en Tunisie, est une linguiste et phonologue française d'origine italienne. Elle a grandi dans un environnement polyglotte. Elle a commencé par apprendre l'anglais avant de devenir linguiste. Elle a écrit de nombreux ouvrages consacrés à la phonologie, à la linguistique et aux mots. Elle a dirigé le Laboratoire de phonologie à l'École pratique des Hautes études. Présidente de la Société Internationale de la Linguistique Fonctionnelle. L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas, est publié aux éditions Robert Laffont en version poche. À lire également de Henriette Walter : L'aventure des langues en Occident L'aventure des mots français venus d'ailleurs. Et la chronique Ailleurs nous emmène cette semaine à Rome avec Sam Stourdzé, directeur de l'Académie de France à Rome : la villa Médicis ! un lieu pour les artistes depuis plus de trois siècles ! C'est dans cette magnifique villa que des artistes viennent s'installer pour une année pour développer leurs projets artistiques. Écrivains, vidéastes, compositeurs : ils sont seize chaque année à passer un an avec une bourse ! Et l'été venant, c'est la période où les visiteurs peuvent voir ce qui s'est imaginé, fabriqué dans les ateliers avec une exposition intitulée Changer la prose du monde, un titre magnifique extrait d'un vers de la poétesse italienne Amelia Rosseli disparue il y a peu ! Une exposition à voir jusqu'au 8 septembre ! Programmation musicale : L'artiste Vincent Delerme avec le titre Si beau.
Invité : - Bernard Carayon, élu du Tarn et maire de Lavaur (UDR). - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Voilà cinq jours que des bombardements se répètent et l'escalade des tensions continue entre Israël et l'Iran.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Des chercheurs du CNRS viennent de publier la deuxième édition du Dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel. Mille pages pour comprendre les nuances de ce vocabulaire évolutif et mobile pour comprendre comment on définit le patrimoine. Les conflits tuent les civils. On en parle moins, mais ils détruisent aussi les patrimoines culturels, des monuments parfois plurimillénaires. Mais comment définir le patrimoine culturel ? Quels sont les autres termes utilisés dans les autres pays ? Quelle est la différence entre bien culturel et patrimoine culturel ? Que veut dire «restitution». C'est en 1954 avec la signature de la Convention de la Haye qu'on a commencé à parler de protection des biens culturels en cas de conflit armé. En effet, de nombreux biens ont été détruits durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce dictionnaire, l'idée est de montrer que chaque mot pèse, que la précision du vocabulaire est essentielle. Les conceptions sont très différentes entre les États. On va observer des variations de vocabulaire qui vont dire des choses : la façon dont on conçoit le patrimoine. Les mots disent des choses : la façon de désigner va renseigner sur la conception développée. Marie Cornu Invitée : Marie Cornu, directrice de recherche CNRS, ISP (ENS Paris-Saclay, Université Paris Nanterre). Elle a codirigé le dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel (CNRS Éditions, 2025). Et Fabrice Virgili nous parlera du site Gaza Histoire qui répertorie le patrimoine de Gaza. Depuis un peu plus d'une année, un groupe de chercheuses et chercheurs en sciences humaines fait un inventaire du patrimoine bombardé de Gaza, car c'est une terre d'une richesse méconnue dont les sites témoignent de 4 000 ans d'histoire. Renseigner chacun de ces lieux est indispensable pour empêcher leur disparition et contribuer, le moment venu, à leur reconstruction. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Niamey, au Niger, où Bachir Gentil artiste, slameur, fondateur de l'association Arts et Racines nous présentera la troisième édition du Festival International Slam Ecolo (FISE) qui aura lieu dans la capitale nigérienne du 17 au 21 juin 2025. Cet événement allie art, slam et écologie et rassemble depuis trois ans des artistes et activistes de plusieurs pays autour des enjeux environnementaux. Le festival proposera trois grands concerts, deux compétitions : Slam Vert pour les artistes professionnels et un Kid Slam for Climate pour les enfants, mais aussi des conférences, un panel, quatre jours d'ateliers en techniques de récupération artistique. Les activités auront lieu à la Galerie Tawaydo, au Centre de Conférence Mahatma Gandhi, à l'Université Abdou Moumouni, au Rônier, au CCN, et dans plusieurs quartiers de Niamey. Programmation musicale : L'artiste Krisy avec le titre Jolie Niar.
Des chercheurs du CNRS viennent de publier la deuxième édition du Dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel. Mille pages pour comprendre les nuances de ce vocabulaire évolutif et mobile pour comprendre comment on définit le patrimoine. Les conflits tuent les civils. On en parle moins, mais ils détruisent aussi les patrimoines culturels, des monuments parfois plurimillénaires. Mais comment définir le patrimoine culturel ? Quels sont les autres termes utilisés dans les autres pays ? Quelle est la différence entre bien culturel et patrimoine culturel ? Que veut dire «restitution». C'est en 1954 avec la signature de la Convention de la Haye qu'on a commencé à parler de protection des biens culturels en cas de conflit armé. En effet, de nombreux biens ont été détruits durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce dictionnaire, l'idée est de montrer que chaque mot pèse, que la précision du vocabulaire est essentielle. Les conceptions sont très différentes entre les États. On va observer des variations de vocabulaire qui vont dire des choses : la façon dont on conçoit le patrimoine. Les mots disent des choses : la façon de désigner va renseigner sur la conception développée. Marie Cornu Invitée : Marie Cornu, directrice de recherche CNRS, ISP (ENS Paris-Saclay, Université Paris Nanterre). Elle a codirigé le dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel (CNRS Éditions, 2025). Et Fabrice Virgili nous parlera du site Gaza Histoire qui répertorie le patrimoine de Gaza. Depuis un peu plus d'une année, un groupe de chercheuses et chercheurs en sciences humaines fait un inventaire du patrimoine bombardé de Gaza, car c'est une terre d'une richesse méconnue dont les sites témoignent de 4 000 ans d'histoire. Renseigner chacun de ces lieux est indispensable pour empêcher leur disparition et contribuer, le moment venu, à leur reconstruction. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Niamey, au Niger, où Bachir Gentil artiste, slameur, fondateur de l'association Arts et Racines nous présentera la troisième édition du Festival International Slam Ecolo (FISE) qui aura lieu dans la capitale nigérienne du 17 au 21 juin 2025. Cet événement allie art, slam et écologie et rassemble depuis trois ans des artistes et activistes de plusieurs pays autour des enjeux environnementaux. Le festival proposera trois grands concerts, deux compétitions : Slam Vert pour les artistes professionnels et un Kid Slam for Climate pour les enfants, mais aussi des conférences, un panel, quatre jours d'ateliers en techniques de récupération artistique. Les activités auront lieu à la Galerie Tawaydo, au Centre de Conférence Mahatma Gandhi, à l'Université Abdou Moumouni, au Rônier, au CCN, et dans plusieurs quartiers de Niamey. Programmation musicale : L'artiste Krisy avec le titre Jolie Niar.
Dans ce dictionnaire, le capitaine de vaisseau de la réserve militaire dans la Marine nationale et lexicographe Pascal-Raphaël Ambrogi nous raconte l'histoire du vocabulaire de la mer. Quelle est la différence entre « mer » et « océan ». Savez-vous ce qu'est une « larme » ou un « arbre » en langage maritime ?Alors qu'on ne connait qu'environ 3% de la microbiologie marine et environ 10% des espèces qui abritent l'océan, les mots peuvent-ils protéger les océans ? Transmettre ce vocabulaire peut-il aider à préserver cet environnement ? De Aak à Zugite en passant par guibre, l'ouvrage, composé de mille pages et de 16 000 entrées – soit près de 10% de la langue française ! – nous raconte aussi l'histoire culturelle, très riche de nos océans. L'auteur nous rappelle que la France est une grande puissance maritime par ses espaces et sa zone économique. Et c'est tout un monde que ce vocabulaire, une langue imagée et très riche, à l'image de la « langue des galères ». Pourtant, de nombreux termes ont été perdus ou oubliés alors que la situation des océans se dégrade avec la pollution. Les mots de la mer méritaient qu'on s'attarde dessus parce qu'il est très important de transmettre cet inventaire du patrimoine par les mots et la connaissance. La mer a ce pouvoir égalisateur : en perdant un lexique commun, on finira par affronter de plus en plus difficilement l'ensemble des dangers. Pascal-Raphaël AmbrogiInvités : Pascal-Raphaël Ambrogi, haut fonctionnaire, capitaine de vaisseau dans la Marine nationale et lexicographe, auteur du Dictionnaire culturel de la mer et de la marine publié aux éditions Honoré Champion, et Jean Pruvost, lexicographe, auteur de très nombreux ouvrages sur la langue française. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lisbonne, au Portugal, où Laurent Lefebvre nous parlera de la deuxième édition du Festival d'humour francophone Rir'à Lisbonne qui aura lieu le 14 juin. Programmation musicale : l'artiste Miira avec le titre Où vont les larmes.
Dans ce dictionnaire, le capitaine de vaisseau de la réserve militaire dans la Marine nationale et lexicographe Pascal-Raphaël Ambrogi nous raconte l'histoire du vocabulaire de la mer. Quelle est la différence entre « mer » et « océan ». Savez-vous ce qu'est une « larme » ou un « arbre » en langage maritime ?Alors qu'on ne connait qu'environ 3% de la microbiologie marine et environ 10% des espèces qui abritent l'océan, les mots peuvent-ils protéger les océans ? Transmettre ce vocabulaire peut-il aider à préserver cet environnement ? De Aak à Zugite en passant par guibre, l'ouvrage, composé de mille pages et de 16 000 entrées – soit près de 10% de la langue française ! – nous raconte aussi l'histoire culturelle, très riche de nos océans. L'auteur nous rappelle que la France est une grande puissance maritime par ses espaces et sa zone économique. Et c'est tout un monde que ce vocabulaire, une langue imagée et très riche, à l'image de la « langue des galères ». Pourtant, de nombreux termes ont été perdus ou oubliés alors que la situation des océans se dégrade avec la pollution. Les mots de la mer méritaient qu'on s'attarde dessus parce qu'il est très important de transmettre cet inventaire du patrimoine par les mots et la connaissance. La mer a ce pouvoir égalisateur : en perdant un lexique commun, on finira par affronter de plus en plus difficilement l'ensemble des dangers. Pascal-Raphaël AmbrogiInvités : Pascal-Raphaël Ambrogi, haut fonctionnaire, capitaine de vaisseau dans la Marine nationale et lexicographe, auteur du Dictionnaire culturel de la mer et de la marine publié aux éditions Honoré Champion, et Jean Pruvost, lexicographe, auteur de très nombreux ouvrages sur la langue française. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lisbonne, au Portugal, où Laurent Lefebvre nous parlera de la deuxième édition du Festival d'humour francophone Rir'à Lisbonne qui aura lieu le 14 juin. Programmation musicale : l'artiste Miira avec le titre Où vont les larmes.
Dans cet ouvrage, édité pour la première fois en 2024, l'auteur Adrien Blouët raconte son expérience au Japon... En 2019, Adrien Blouët décide de s'envoler pour le Japon pour apprendre la langue, pour découvrir le pays, y travailler, mais aussi écrire. L'idée était de vivre une expérience immersive, de faire du tourisme autrement. Il est alors un gaijin 外人 un étranger. J'avais envie de résister à cette pulsion autobiographique !Adrien Blouet Il décide alors de s'installer loin de la capitale, Tokyo, sur l'île d'Okinawa, dans l'extrême sud de l'archipel nippon. Il raconte alors le quotidien : comment prendre un bis, trouver un appartement, aller au restaurant, travailler... Mais rien ne se passe comme prévu : peu de semaines après son arrivée, une pandémie mondiale éclate : celle de la COVID, qu'il renomme shingata et qui bouleversera ses plans et prolongera considérablement son séjour pendant lequel il finira son deuxième roman Les immeubles de fer. Invité : Adrien Blouët, auteur. Né en 1992, Adrien Blouët a étudié l'anthropologie à l'École des Beaux-Arts de Paris. Il découvre le Japon à la faveur d'un voyage étudiant. Il publie son premier roman L'absence de ciel en 2019. Il est également traducteur. Son ouvrage Comment ne pas devenir un écrivain voyageur est publié aux éditions Payot. À lire : - Nicolas Bouvier - Chronique japonaise - Claude Levi-Strauss - L'autre face de la lune - écrits sur le Japon. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Ouidah, au Bénin, où Janvier Nougloi nous parlera de l'actualité culturelle du CCR John Smith.Programmation musicale : L'artiste Julien Clerc avec le titre Drôle d'oiseau issu de l'album Une vie.
Dans cet ouvrage, édité pour la première fois en 2024, l'auteur Adrien Blouët raconte son expérience au Japon... En 2019, Adrien Blouët décide de s'envoler pour le Japon pour apprendre la langue, pour découvrir le pays, y travailler, mais aussi écrire. L'idée était de vivre une expérience immersive, de faire du tourisme autrement. Il est alors un gaijin 外人 un étranger. J'avais envie de résister à cette pulsion autobiographique !Adrien Blouet Il décide alors de s'installer loin de la capitale, Tokyo, sur l'île d'Okinawa, dans l'extrême sud de l'archipel nippon. Il raconte alors le quotidien : comment prendre un bis, trouver un appartement, aller au restaurant, travailler... Mais rien ne se passe comme prévu : peu de semaines après son arrivée, une pandémie mondiale éclate : celle de la COVID, qu'il renomme shingata et qui bouleversera ses plans et prolongera considérablement son séjour pendant lequel il finira son deuxième roman Les immeubles de fer. Invité : Adrien Blouët, auteur. Né en 1992, Adrien Blouët a étudié l'anthropologie à l'École des Beaux-Arts de Paris. Il découvre le Japon à la faveur d'un voyage étudiant. Il publie son premier roman L'absence de ciel en 2019. Il est également traducteur. Son ouvrage Comment ne pas devenir un écrivain voyageur est publié aux éditions Payot. À lire : - Nicolas Bouvier - Chronique japonaise - Claude Levi-Strauss - L'autre face de la lune - écrits sur le Japon. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Ouidah, au Bénin, où Janvier Nougloi nous parlera de l'actualité culturelle du CCR John Smith.Programmation musicale : L'artiste Julien Clerc avec le titre Drôle d'oiseau issu de l'album Une vie.
«Notre amour était comme un œuf ! Et tu as cassé le tien !» C'est ainsi que s'ouvre le roman-photo «Les amours de Machérie», scénarisé par l'autrice Marguerite Abouet et publié aux éditions du Seuil ! Drôle ? Décalé ? Kitch ? Ringard ? Beaucoup d'adjectifs sont utilisés pour parler du roman-photo ! Depuis deux ans, les éditions du Seuil remettent ce genre narratif au goût du jour avec une collection dédiée. Entre photo et cinéma, le roman-photo est né en Italie après la Seconde Guerre mondiale. Il apparait en France en 1949 grâce au magazine Festival. Le principe : des successions de photos avec le plus souvent des textes dans des bulles et des acteurs qui jouent… Ou surjouent ! Dans cette histoire, «Machérie» est une jeune femme ivoirienne vivant en France qui vit avec son amoureux à Paris. Malheureusement, ce dernier la quitte au bout de cinq ans ! Manque de chance, les parents de Machérie attendaient qu'elle le leur présente. Elle va alors trouver un fiancé de secours : un clochard nommé... Julio Iglasis que tout le monde croit riche et... qui va se faire kidnapper. Le Roman-photo est bourré de sentiments pour que le lecteur se reconnaisse et se sente happé. Il y a une forme d'intimité. Marguerite Abouet Marguerite Abouet a réalisé ce tome entre Paris et Abidjan. Elle a demandé au chanteur Albin de la Simone et à la chanteuse franco-ivoirienne Izabella Maya de participer à ce volume. Invitée : Marguerite Abouet. Écrivain et réalisatrice franco-ivoirienne. Née à Abidjan (Côte d'Ivoire) en 1971, elle passe 12 ans de sa vie à Yopougon, un quartier devenu populaire aujourd'hui. Elle connait son premier succès en bande dessinée avec son héroïne Aya de Yopougon en 2005. Cette série raconte avec beaucoup d'humour l'histoire d'un quartier d'Abidjan dans les années 70 avec ses personnages hauts en couleurs, inspirés de son enfance. Elle aborde des sujets de société comme les grossesses précoces, le rejet des personnes homosexuelles par leur famille, les problèmes de logements des étudiants ivoiriens, le harcèlement et les agressions sexuelles. Elle scénarise ensuite la série Akissi qui narre les aventures hilarantes de l'espiègle petite sœur d'Akissi ! Et la chronique Ailleurs nous emmène au Maroc pour parler de l'évènement «La Cigogne Volubile», un festival littéraire qui vise à promouvoir la lecture. Le thème retenu pour cette édition est le «vivant», Agnès Humruzian, conseillère de coopération et d'action culturelle et directrice générale de l'Institut français du Maroc nous en dit plus. Programmation musicale : L'artiste Albin de la Simone avec le titre Ma gueule.
«Notre amour était comme un œuf ! Et tu as cassé le tien !» C'est ainsi que s'ouvre le roman-photo «Les amours de Machérie», scénarisé par l'autrice Marguerite Abouet et publié aux éditions du Seuil ! Drôle ? Décalé ? Kitch ? Ringard ? Beaucoup d'adjectifs sont utilisés pour parler du roman-photo ! Depuis deux ans, les éditions du Seuil remettent ce genre narratif au goût du jour avec une collection dédiée. Entre photo et cinéma, le roman-photo est né en Italie après la Seconde Guerre mondiale. Il apparait en France en 1949 grâce au magazine Festival. Le principe : des successions de photos avec le plus souvent des textes dans des bulles et des acteurs qui jouent… Ou surjouent ! Dans cette histoire, «Machérie» est une jeune femme ivoirienne vivant en France qui vit avec son amoureux à Paris. Malheureusement, ce dernier la quitte au bout de cinq ans ! Manque de chance, les parents de Machérie attendaient qu'elle le leur présente. Elle va alors trouver un fiancé de secours : un clochard nommé... Julio Iglasis que tout le monde croit riche et... qui va se faire kidnapper. Le Roman-photo est bourré de sentiments pour que le lecteur se reconnaisse et se sente happé. Il y a une forme d'intimité. Marguerite Abouet Marguerite Abouet a réalisé ce tome entre Paris et Abidjan. Elle a demandé au chanteur Albin de la Simone et à la chanteuse franco-ivoirienne Izabella Maya de participer à ce volume. Invitée : Marguerite Abouet. Écrivain et réalisatrice franco-ivoirienne. Née à Abidjan (Côte d'Ivoire) en 1971, elle passe 12 ans de sa vie à Yopougon, un quartier devenu populaire aujourd'hui. Elle connait son premier succès en bande dessinée avec son héroïne Aya de Yopougon en 2005. Cette série raconte avec beaucoup d'humour l'histoire d'un quartier d'Abidjan dans les années 70 avec ses personnages hauts en couleurs, inspirés de son enfance. Elle aborde des sujets de société comme les grossesses précoces, le rejet des personnes homosexuelles par leur famille, les problèmes de logements des étudiants ivoiriens, le harcèlement et les agressions sexuelles. Elle scénarise ensuite la série Akissi qui narre les aventures hilarantes de l'espiègle petite sœur d'Akissi ! Et la chronique Ailleurs nous emmène au Maroc pour parler de l'évènement «La Cigogne Volubile», un festival littéraire qui vise à promouvoir la lecture. Le thème retenu pour cette édition est le «vivant», Agnès Humruzian, conseillère de coopération et d'action culturelle et directrice générale de l'Institut français du Maroc nous en dit plus. Programmation musicale : L'artiste Albin de la Simone avec le titre Ma gueule.
Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Sébastien Tarrago, Stéphane Pauwels et François Manardo pour 1h30 de débat. Au sommaire ce 24 mai 2025 : - Finale CdF ? PSG : Campos prolongé, bonne nouvelle ? Inter : pas de titre de champion, incertitudes Lautaro et Pavard, inquiétant ? - le syndrome des clubs français en finales européennes : pourquoi un tel naufrage ? - Bleus : Cherki, le bon moment ? Une liste rassurante pour défier l'Espagne ? A 20h les débats flash avec Carine Galli : - soulier d'or pour Mbappé : un titre significatif ou anecdotique ? - Lens : rachat de stade et grand ménage. Inquiet pour l'avenir ? - Renard et Le Sommer écartées : bonne idée ? - Nice comme Lille en LdC ? Ecoutez On refait le match avec Philippe Sanfourche du 24 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:03 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Marie, 23 ans, s'interroge sur la raison qui pousse les autorités à évacuer les camps de migrants. - invités : Adeline HAZAN - Adeline Hazan : Présidente de l'UNICEF France - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Amours solitaires, ce sont des plongées dans des intimités très brutes mais qui résonnent entre elles, et qui font qu'on se sent moins seul.e.s. » En février 2017, Morgane Ortin fonde le compte Instagram Amours solitaires. Le projet prend rapidement de l'ampleur, recueillant des milliers de messages envoyés par des anonymes. En 2018, elle publie un premier livre éponyme, Amours solitaires, qui compile ces messages recueillis parmi des milliers de conversations d'anonyme et extraits de journaux intimes, et raconte une histoire d'amour à travers eux. Franchir la nuit se concentre sur l'expérience de la rupture et de la guérison. C'est un assemblage de nombreux messages reçus sur le compte instagram @amours_solitaires ainsi que des propres conversations de l'autrice. Ces moments épistolaires, qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, sont assemblés pour reconstituer une histoire, celle d'Ilia, devenant son propre journal intime, résolument universel. L'autrice « archiviste de l'amour » milite aussi pour la valorisation de l'écriture intime et épistolaire à l'ère numérique en considérant que, loin de la déshumanisation, les nouvelles technologies permettent une expression plus authentique des émotions. Les romans Amour solitaires : Tome 1 - Amours solitaires (2018)Tome 2 - Une petite éternité (2019)Tome 3 - Franchir la nuit (2025).Invitée : Morgane ORTIN, autrice, archiviste de l'amour. Son roman « Amours solitaires » est publié aux éditions Albin Michel.→ Où la suivre : Instagram : @amours_solitaires Site officiel : amours-solitaires.com Facebook :Amours solitaires Twitter : @MorganeOrtin. Programmation musicale : «Baddies », Aya Nakamura en featuring avec Joé Dwèt Filé.► Et la chronique Ailleurs nous emmène à Saint-Louis du Sénégal, où l'Institut français de Saint-Louis et l'Université Gaston Berger organisent le colloque Francophonies, divers(c)ités, polyphonies : comment habiter le monde en plusieurs langues ?Pour nous en parler, Khadimou Rassoul Thiam, linguiste à l'Université Gaston Berger. Le colloque se tiendra les 20, 21 et 23 mai 2025 à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis.
« Amours solitaires, ce sont des plongées dans des intimités très brutes mais qui résonnent entre elles, et qui font qu'on se sent moins seul.e.s. » En février 2017, Morgane Ortin fonde le compte Instagram Amours solitaires. Le projet prend rapidement de l'ampleur, recueillant des milliers de messages envoyés par des anonymes. En 2018, elle publie un premier livre éponyme, Amours solitaires, qui compile ces messages recueillis parmi des milliers de conversations d'anonyme et extraits de journaux intimes, et raconte une histoire d'amour à travers eux. Franchir la nuit se concentre sur l'expérience de la rupture et de la guérison. C'est un assemblage de nombreux messages reçus sur le compte instagram @amours_solitaires ainsi que des propres conversations de l'autrice. Ces moments épistolaires, qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, sont assemblés pour reconstituer une histoire, celle d'Ilia, devenant son propre journal intime, résolument universel. L'autrice « archiviste de l'amour » milite aussi pour la valorisation de l'écriture intime et épistolaire à l'ère numérique en considérant que, loin de la déshumanisation, les nouvelles technologies permettent une expression plus authentique des émotions. Les romans Amour solitaires : Tome 1 - Amours solitaires (2018)Tome 2 - Une petite éternité (2019)Tome 3 - Franchir la nuit (2025).Invitée : Morgane ORTIN, autrice, archiviste de l'amour. Son roman « Amours solitaires » est publié aux éditions Albin Michel.→ Où la suivre : Instagram : @amours_solitaires Site officiel : amours-solitaires.com Facebook :Amours solitaires Twitter : @MorganeOrtin. Programmation musicale : «Baddies », Aya Nakamura en featuring avec Joé Dwèt Filé.► Et la chronique Ailleurs nous emmène à Saint-Louis du Sénégal, où l'Institut français de Saint-Louis et l'Université Gaston Berger organisent le colloque Francophonies, divers(c)ités, polyphonies : comment habiter le monde en plusieurs langues ?Pour nous en parler, Khadimou Rassoul Thiam, linguiste à l'Université Gaston Berger. Le colloque se tiendra les 20, 21 et 23 mai 2025 à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis.
durée : 00:58:57 - Georges Delerue, un centenaire en grande forme (4/4) : A Hollywood et ailleurs... - par : Thierry Jousse - Pour la dernière de notre série dédiée à Georges Delerue, on suit les aventures de ce grand compositeur à Hollywood et à la télévision française…