POPULARITY
Categories
Inquiétude à l'usine Stellantis de Mulhouse. Le groupe a annoncé hier que la production de son site alsacien sera mise à l'arrêt pendant une semaine, du 27 octobre au 02 novembre prochain. Une décision prise pour, je cite, “adapter le rythme à un marché européen difficile”. Environ 2 000 employés sur les 4 000 du site sont concernés par cette mesure. Ailleurs en Europe, d'autres sites Stellantis seront aussi temporairement fermés dans les prochaines semaines, comme à Poissy près de Paris, Eisenach en Allemagne, Saragosse et Madrid en Espagne, Pomigliano en Italie et Tychy en Pologne.Le ton durcit face aux rave-party. Dans un arrêté préfectoral publié hier, le préfet du Bas-Rhin a décidé d'interdire tout rassemblement festif non déclaré sur une période d'un an : dès aujourd'hui et jusqu'au 30 septembre 2026. De quoi faire face aux risques de troubles à l'ordre public. Le transport tout matériel de sonorisation ou d'amplification susceptible d'être utilisé pour ce type de manifestations est aussi interdit dans tout le département, sur la même période.A moins de 6 mois des élections municipales, prévues les 15 et 22 mars prochain, la campagne électorale colmarienne prend forme avec déjà six candidats officiellement déclarés. Parmi eux, Cécile Neyest la première à avoir annoncé sa candidature avec le collectif “Colmar Citoyenne Verte et Solidaire”. Ce dernier revendique une approche démocratique participative, construisant directement son programme avec les habitants. Parmi les membres actifs du collectif figurent notamment Dominique Bourguignon, Bruno Deltour ou encore Flavien Ancely-Frey. Retrouvez l'entretien complet sur notre site, azur-fm.com. Deux hommes interpellés ce week-end en Île-de-France, après des cambriolages chez des joueurs du Racing Club de Strasbourg. Âgés de 28 ans, ils sont soupçonnés d'être entrés dans les demeures d'au moins 3 footballeurs alsaciens pendant des matchs. Le dernier cambriolage date de vendredi dernier, au domicile d'Emmanuel Emegha, qui évoluait alors face à l'Olympique de Marseille au stade de la Meinau. Une partie du butin, estimé à 200 000 euros, a été retrouvée lors des perquisitions. Connus des services de police, les deux jeunes hommes seraient aussi impliqués dans les cambriolages des logements d'Andrey Santos et Kévin Gameiro, qui s'étaient déroulés il y a déjà plusieurs mois. Faits divers toujours, avec un homme placé sous OQTF après une course-poursuite à Orschwiller. Les faits se sont déroulés samedi, aux alentours de 16h30. Lors d'un contrôle de routine, les forces de l'ordre ont repéré un automobiliste avec des plaques d'immatriculation illégales. Refusant de s'arrêter, une course-poursuite s'est engagée. Après avoir perdu le contrôle de son véhicule dans un rond-point entre Saint-Hippolyte et Ribeauvillé, cet homme d'origine étrangère a pris la fuite à pied, avant de se faire rattraper. Ce dernier, qui ne possédait pas de papiers français, a écopé d'une obligation de quitter le territoire français.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le charbon représente une modernité révolue, des paysages bouleversés, des questions de santé publique. C'est aussi les mineurs, les ouvriers du charbon, toute une population qui a vécu de cette exploitation, un groupe humain pléthorique qui a dû se dissoudre lorsque le charbon s'est fait plus discret dans la société britannique à la fin du XXème siècle. Ailleurs, comme en Chine, il reste au premier plan. Avec Charles-François Mathis, Professeur d'histoire contemporaine à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre de l'IHMC (Institut d'Histoire Moderne et Contemporaine) et auteur de La civilisation du charbon (Editions Vendémiaire, 2021).
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bienvenue dans ce Mangacast Mini Omake n°116. Aujourd'hui, on vous parle d'un titre des éditions Mahô Editions: Une Fleur venue d'ailleurs !
Moins de deux semaines avant le début de la saison de la LNH.Cole Caufield atteindra-t-il enfin le plateau des 40 buts? (00:12:15) La grande éclosion de Juraj Slafkovksy? (00:19:45) Avec Noah Dobson, le CH aura-t-il deux défenseurs de 50 pts? (00:25:30)Ailleurs dans la LNH: Les totaux de Connor McDavid, Auston Matthews et Mitch Marner sont-ils trop bas? (00:31:15)Semaine 4 NFL: Première pizza à l'enjeu entre Rams et Colts! (00:52:45)
Tu veux que je te raconte l'histoire des mots qui viennent d'ailleurs? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Mauvaise nouvelle chez le premier exportateur mondial de bananes, l'Équateur. La maladie baptisée TR4 a officiellement été détectée. Ce qui veut dire que le champignon qui en est responsable est probablement entré dans le pays il y a déjà plusieurs mois. Cette alerte sanitaire est prise très au sérieux, dans un secteur qui n'a pas été épargné par les dernières crises géopolitiques, logistiques et climatiques, et conforte ceux qui plaident pour plus de diversité variétale. Les bananeraies ne seront pas décimées dans les mois qui viennent, mais l'arrivée de la TR4 – fusariose race 4 tropicale – est une nouvelle considérée comme grave, car il n'y a pas de traitement possible. La seule solution, c'est la protection, via un contrôle très strict des surfaces qui sont touchées, pour que la maladie ne se propage pas ailleurs. Concrètement, explique Denis Loeillet, économiste de la filière au Cirad, le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement, « ça passe par l'installation de clôture autour des zones atteintes, la désinfection de tout ce qui entre et sort des plantations, que ce soit les pelles, les chaussures ou encore les roues des véhicules agricoles. » Au Pérou, où la maladie est apparue en 2021, les mesures n'ont pas été suffisantes et des zones entières de culture ont été abandonnées, ce qui a entrainé des baisses de production et une contagion aujourd'hui à l'Équateur. Ailleurs, en Colombie ou encore aux Philippines, on a appris à faire avec, preuve qu'il y a des moyens d'agir pour éviter le pire. Pas d'impact à court terme sur l'approvisionnement L'Équateur met chaque année entre 6 et 7 millions de tonnes de fruits jaunes sur le marché, soit l'équivalent de ce que consomment les 27 pays européens et le Royaume-Uni en un an ! Une maladie chez un géant qui nourrit le monde, inquiète forcément, mais l'avenir dépendra de la vitesse de propagation de l'épidémie. A priori, à court terme, l'effet ne devrait pas être significatif sur les volumes, l'approvisionnement mondial sera largement assuré, mais un effet sur les prix n'est pas à exclure : « Les mesures de biosécurité à mettre en place d'urgence vont augmenter les coûts de production », explique l'expert du Cirad. La grande distribution pourra alors difficilement ignorer la situation lors des négociations à venir et sera probablement contrainte d'acheter plus cher la banane, et peut-être de la revendre à un prix plus élevé aussi. Les limites du tout-Cavendish Avant l'Équateur, 25 pays producteurs ont déjà été touchés par cette maladie, mais le fait que la TR4 arrive en Équateur est perçu comme un marqueur important dans la filière, qui fera probablement bouger les lignes. C'est le signe qu'il est peut-être temps de diversifier les variétés ou de travailler sur la résistance de la banane Cavendish, qui domine le marché depuis les années 1960, mais qui montre aujourd'hui, en Équateur, un peu plus sa vulnérabilité. C'est précisément la mission que s'est donnée, en France, le Cirad, via l'initiative Bana+, un projet de 7,5 millions d'euros qui vise à proposer des variétés résistantes contre la cercosporiose noire et la TR4, deux des principales maladies fongiques qui attaquent le bananier.
Les contrôleurs routiers sont frappés de plein fouet par les récents changements législatifs et judiciaires. Depuis le jugement du Tribunal administratif du travail en mars, ils n’ont plus le droit de patrouiller. 75% de leur travail se faisait sur le terrain, aujourd’hui ils sont confinés aux postes de pesée. Pendant ce temps, jusqu’à 400 camions par jour contournent les contrôles grâce à des applications, créant un far west sur les routes. Entrevue avec Jean-Claude Daignault, président de la Fraternité des constables du contrôle routier du Québec (FCCRQ). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avec cet ouvrage, le linguiste et musicien Stéphane Gendron nous raconte l'importance du vocabulaire et des expressions liées à la musique dans la langue française. La musique aussi a son vocabulaire et son jargon ! Et par la variété des instruments et styles musicaux, les musiciens ont utilisé un grand nombre d'expressions et locutions : chanter la palinodie, une marchandise haut de gamme, couper la musette, avaler sa trompette. Comment ces mots sont-ils devenus des locutions importantes de la langue française ? Notre invité nous met au diapason ! Avec cet ouvrage, Stéphane Gendron a voulu relier ses deux passions : la musique et la linguistique. Les expressions en rapport avec la musique peuvent être très anciennes ! «C'est du pipeau» vient du verbe «piper» qui voulait dire imiter le cri ces oiseaux, dans le but de les piéger... ce qui donné l'expression qu'on connait aujourd'hui. Toutes les couches sociales ont une vision de la musique et des instruments. Il y a une grande circulation sociale. Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur a pris le temps de lire la presse du XIXè siècle et de la première moitié du XXè siècle pour analyser le contexte dans lequel naissent ces expressions. Les instruments (piano, violon, harpe) ont également donné naissance à des expressions («accorder ses violons», «pisser dans un violon», «sortir les violons») que Stéphane Gendron analyse avec beaucoup de précisions. Invité : Stéphane Gendron, linguiste. Il est spécialisé dans l'étude de l'origine des noms propres : l'onomastique ! Il est par ailleurs musicien (pianiste). Son ouvrage «C'est du pipeau ! - Le jargon de la musique et des musiciens» est publié aux éditions Actes Sud. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé, avec Valentin Vieyra, artiste et formateur en technique d'écriture humoristique et en gestion scénique, directeur du Festival Rire à Lomé. Il nous parlera de cette neuvième édition du Festival qui s'ouvrira le 29 septembre 2025 dans la capitale togolaise. Programmation musicale : L'artiste Elo avec qui sort son premier single : «Embêtés».
Avec cet ouvrage, le linguiste et musicien Stéphane Gendron nous raconte l'importance du vocabulaire et des expressions liées à la musique dans la langue française. La musique aussi a son vocabulaire et son jargon ! Et par la variété des instruments et styles musicaux, les musiciens ont utilisé un grand nombre d'expressions et locutions : chanter la palinodie, une marchandise haut de gamme, couper la musette, avaler sa trompette. Comment ces mots sont-ils devenus des locutions importantes de la langue française ? Notre invité nous met au diapason ! Avec cet ouvrage, Stéphane Gendron a voulu relier ses deux passions : la musique et la linguistique. Les expressions en rapport avec la musique peuvent être très anciennes ! «C'est du pipeau» vient du verbe «piper» qui voulait dire imiter le cri ces oiseaux, dans le but de les piéger... ce qui donné l'expression qu'on connait aujourd'hui. Toutes les couches sociales ont une vision de la musique et des instruments. Il y a une grande circulation sociale. Pour réaliser cet ouvrage, l'auteur a pris le temps de lire la presse du XIXè siècle et de la première moitié du XXè siècle pour analyser le contexte dans lequel naissent ces expressions. Les instruments (piano, violon, harpe) ont également donné naissance à des expressions («accorder ses violons», «pisser dans un violon», «sortir les violons») que Stéphane Gendron analyse avec beaucoup de précisions. Invité : Stéphane Gendron, linguiste. Il est spécialisé dans l'étude de l'origine des noms propres : l'onomastique ! Il est par ailleurs musicien (pianiste). Son ouvrage «C'est du pipeau ! - Le jargon de la musique et des musiciens» est publié aux éditions Actes Sud. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé, avec Valentin Vieyra, artiste et formateur en technique d'écriture humoristique et en gestion scénique, directeur du Festival Rire à Lomé. Il nous parlera de cette neuvième édition du Festival qui s'ouvrira le 29 septembre 2025 dans la capitale togolaise. Programmation musicale : L'artiste Elo avec qui sort son premier single : «Embêtés».
Invités : - Eliot Deval, chroniqueur. - Gauthier le Bret, chroniqueur. - Georges Fenech, chroniqueur. - Christophe Bordet, chroniqueur. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Plancher de Jeannot est un grand morceau de parquet gravé de textes, réalisé au tout début des années 70 par Jean Crampilh-Broucaret, dit Jeannot qui se suicida peu de temps après. Découvert fortuitement dans une ferme familiale au fin fond du Béarn en 1994, le plancher de Jeannot est aujourd'hui exposé au musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne à Paris, le plus grand hôpital psychiatrique depuis le milieu du XIXè siècle. «On ne connait pas d'objet équivalent» Le plancher en chêne, de 15m2 était le plancher de la chambre de Jean Crampilh-Broucaret. Il était situé de part et d'autre de son lit. Il est gravé de lettres majuscules faites de points (trous) tous de même diamètre, et composé de deux textes qui reprennent les mêmes termes sur deux parties du plancher qui étaient de chaque côté du lit : 27 lattes d'un côté, 41 de l'autre. Les deux textes se font écho. Pour graver ce plancher, il a utilisé un ciseau à bois et une perceuse. Jean Crampilh-Broucaret est né en 1939 à Moncaup, dans les Pyrénées-Atlantiques dans une famille moderne et aisée. Il a effectué son service militaire en Algérie. Il revient lorsqu'il apprend que son père s'est suicidé. Sa mère décède en 1971, il enterre son corps sous l'escalier familial et commence à graver sur le plancher de sa chambre. Il meurt peu de temps après, en 1972. Que se cache-t-il derrière cette écriture ? Qu'est-ce que dessiner veut dire quand l'écriture déraille ? Que disent ces textes. Recouvert de motifs, figures et écriture, cette création a suscité de nombreux fantasmes et interprétations : elle est souvent considérée comme une œuvre d'art brut... Invités : Anne-Marie Dubois, responsable scientifique du MAHHSA (Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne), commissaire générale de l'exposition et Dominique Vieville, conservateur général honoraire du patrimoine, chargé d'étude auprès du MAHHSA, commissaire et concepteur de l'exposition. L'invention d'une écriture. Le Plancher de Jeannot, au Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne, 1 rue Cabanis. Jusqu'au 18 janvier 2026. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville où Bénédicte Kodia, assistante communication de l'Institut français de Brazzaville au Congo, nous parlera de la huitième édition du Festival Mboté hip hop qui aura lieu ce mercredi 17 septembre. Cette année, la programmation sera 100% congolaise ! Programmation musicale : Les artistes Nix Ozay et Biz Ice avec le titre Miss tec 4.
Le Plancher de Jeannot est un grand morceau de parquet gravé de textes, réalisé au tout début des années 70 par Jean Crampilh-Broucaret, dit Jeannot qui se suicida peu de temps après. Découvert fortuitement dans une ferme familiale au fin fond du Béarn en 1994, le plancher de Jeannot est aujourd'hui exposé au musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne à Paris, le plus grand hôpital psychiatrique depuis le milieu du XIXè siècle. «On ne connait pas d'objet équivalent» Le plancher en chêne, de 15m2 était le plancher de la chambre de Jean Crampilh-Broucaret. Il était situé de part et d'autre de son lit. Il est gravé de lettres majuscules faites de points (trous) tous de même diamètre, et composé de deux textes qui reprennent les mêmes termes sur deux parties du plancher qui étaient de chaque côté du lit : 27 lattes d'un côté, 41 de l'autre. Les deux textes se font écho. Pour graver ce plancher, il a utilisé un ciseau à bois et une perceuse. Jean Crampilh-Broucaret est né en 1939 à Moncaup, dans les Pyrénées-Atlantiques dans une famille moderne et aisée. Il a effectué son service militaire en Algérie. Il revient lorsqu'il apprend que son père s'est suicidé. Sa mère décède en 1971, il enterre son corps sous l'escalier familial et commence à graver sur le plancher de sa chambre. Il meurt peu de temps après, en 1972. Que se cache-t-il derrière cette écriture ? Qu'est-ce que dessiner veut dire quand l'écriture déraille ? Que disent ces textes. Recouvert de motifs, figures et écriture, cette création a suscité de nombreux fantasmes et interprétations : elle est souvent considérée comme une œuvre d'art brut... Invités : Anne-Marie Dubois, responsable scientifique du MAHHSA (Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne), commissaire générale de l'exposition et Dominique Vieville, conservateur général honoraire du patrimoine, chargé d'étude auprès du MAHHSA, commissaire et concepteur de l'exposition. L'invention d'une écriture. Le Plancher de Jeannot, au Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne, 1 rue Cabanis. Jusqu'au 18 janvier 2026. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville où Bénédicte Kodia, assistante communication de l'Institut français de Brazzaville au Congo, nous parlera de la huitième édition du Festival Mboté hip hop qui aura lieu ce mercredi 17 septembre. Cette année, la programmation sera 100% congolaise ! Programmation musicale : Les artistes Nix Ozay et Biz Ice avec le titre Miss tec 4.
In our first installment of Fragraphilia & Friends, we decide to bring in some high level sophistication, grace, and the ability the properly pronounce French words. We proudly welcome the wonderful Tracy Wan to the podcast.Throughout the episode we discuss Tracy's backstory, her upbringing, perfume-y fruits and stinky food. We also bond over her affinity for gauzy lens cinema and our shared love of Hitchcock films.Oh, and of course, she joins us for a pretty strong round of The Game. Watch out wantlist!Remember, friends - "You already have a no, so you could have a yes"If you don't already follow Tracy, which we're sure you do, we'll post these here just in case...TikTok - https://www.tiktok.com/@invisiblestoriesInstagram - https://www.instagram.com/theinvisiblestories/Substack - https://substack.com/@adaptedfromParis for Curious Noses - https://tracy.recleague.com/Perfumes Mentioned in this Episode: Belle du Jour by Eris Parfums / Dirty Flower Factory by Kerosene / Burberry Brit / Hawaiian Ginger by Calgon / Ralph by Ralph Lauren / Shalimar by Guerlain / Aqua Velva & Skin Bracer / Calyx by Clinique / Pulp by Byredo / A Grove by the Sea by Arquiste/ Mantes la Jolie by Astier de Villatte / Monstera by Xinū / Porter se Peau, Rauque, and Oeilleres by Roberto Greco / Vouloir Être Ailleurs by D'Orsay / Lift Me Up by Initio / Fille de Berlin by Serge Lutens / Rosae Mundi by Profumom Roma / Portrait of a Lady by Frederic Malle / Fruit Thieves by Paraphrase / Rotano by Maison d'ETTO / De Profundis and Ambre Sultan by Serge Lutens / Bois D'Encens by Armani / Musc Tonkin by Parfums d'Empire / Rose of No Man's Land by Byredo / Babycat by Yves Saint Laurent / Vanilla Barka by Amouage / Misfit by Arquiste / Un Bel Amour D'été by Parfum d'Empire / Architect's Club by Arquiste / 1996 and La Tulipe by Byredo / Nuit de Bakelite by Naomi Goodsir / Gold, Rain Cloud, and Ink by Perfumer H / Lost Alice by Masque Milano / Un Bel Amour D'été by Parfums d'Empire / Arbole by Hiram Green / Zelen by Boka The Game:Fruto Oscuro by Eauso Vert / Open Sky by Byredo / Steam by Perfumer H / Romanza by Masque Milano / Buen Camino Extrait by Chronotope / Essence Rare by Houbigant (00:00) - - Intro, Backstories, and Film (07:56) - - Tracy's First Perfumes (17:15) - - Writing about Pulp by Byredo (25:34) - - Shopping and Samples and Recent Faves (34:32) - - Rodrigo Flores Roux, Jean-Claude Ellena, and Roberto Greco (40:06) - - Scents We've All Been Wearing (01:07:58) - - The Game Please feel free to email us at hello@fragraphilia.com - Send us questions, comments, or recommendations. We can be found on TikTok and Instagram @fragraphilia
Alors que le paysage politique est plus que jamais fragmenté et sous tension, Emmanuel Macron vient de nommer Sébastien Lecornu à Matignon. Entre la formation express d'un gouvernement, la négociation d'un budget sous haute pression et la quête d'un accord de non-censure, le nouveau Premier ministre devra composer avec des partis aux exigences contradictoires. Quelle voie de passage reste-t-il pour éviter l'impasse ? Décryptage avec Nicolas Baverez, économiste et essayiste, invité de l'émission Ecorama du 10 septembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
durée : 00:26:41 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Spéciale vote de confiance, en direct de l'Assemblée Nationale ce soir. Une crise politique en France, Une crise de la démocratie européenne ? décryptage avec Martial Foucault, professeur de sciences politiques Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:26:41 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Spéciale vote de confiance, en direct de l'Assemblée Nationale ce soir. Une crise politique en France, Une crise de la démocratie européenne ? décryptage avec Martial Foucault, professeur de sciences politiques Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Depuis plus de cinquante ans, l'Unesco a décrété ce 8 septembre journée internationale de l'alphabétisation. Lire, écrire, l'accès à l'éducation sont des droits humains fondamentaux et fait même partie des dix-sept objectifs de développement durable établis par les États membres des Nations unies et rassemblés dans l'Agenda 2030. Alors que des efforts sont déployés depuis près d'un demi-siècle, près d'un dixième de la population mondiale est analphabète. En effet, 739 millions de jeunes et d'adultes dans le monde ne possèdent toujours pas les compétences de base en lecture et en écriture en 2024" (source : Journée internationale de l'alphabétisation | UNESCO) dont les deux-tiers sont des femmes. Victimes des normes sociales discriminatoires, elles sont les premières mises à l'écart. Les régions les plus touchées se situent en Afrique subsaharienne et en Asie du Centre et du Sud. Les pays où la dynamique démographique est forte, sont particulièrement touchés. Pourtant, lire et écrire permet l'autonomisation de la population «Quand on sait lire et écrire, il y a plus d'hygiène publique, plus d'autonomie, on connait plus ses droits». Invité : Omar Diop, spécialiste de l'éducation, représentant UNESCO en Côte d'Ivoire (chef du bureau). Et la chronique Ailleurs nous emmène au Canada qui n'est pas épargné par l'analphabétisme ! Et où la Fondation pour l'alphabétisation offre chaque année des bourses à des apprenant.e.s ayant repris leurs études et ayant réussi une démarche d'alphabétisation ou de formation de base. Et c'est Slimane Saidj, chef des services à la Fondation qui nous raconte ces projets. Plus d'infos sur les bourses ici : Pour en savoir plus sur la Fondation Quelques chiffres. Programmation musicale : L'artiste Charlotte Cardin avec le titre Tant pis pour elle.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, Joëlle Dago-Serry et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Depuis toujours, l'homme a toujours su cultiver l'art de raconter des histoires pour captiver ou convaincre. Dans les années 90, aux États-Unis puis en Europe, naît le concept de « Storytelling » avec une structure narrative qui suscite émotion et identification et devient le moteur des campagnes de publicité ou électorales. Comment expliquer le succès de ces façonneurs d'images et de mots ? Quels sont les rouages de cette « machine à raconter » ? C'est depuis les années 90 une nouvelle façon de communiquer. Le mot de storytelling a déjà plus de 30 ans, puisqu'il apparaît dès les années 90 aux États-Unis, en pleines révolutions managériale et capitaliste. Dans l'entreprise, dans le marketing, en politique, le storytelling est devenu la panacée, perçu comme un nouveau mode de communication. « Depuis quinze ans, il y a eu beaucoup de découvertes et d'innovations, surtout dans le domaine des médias et de la communication », nous dit Christian Salmon. Il y a quinze ans, le storytelling était encore une communication verbale, humaine. Depuis, le smartphone et les réseaux sociaux ont été inventés et chacun peut devenir un storyteller induit par des machines narratives. Il faut se présenter. Il faut performer. Il faut se raconter. Aujourd'hui, on ne vend plus des produits, mais des histoires. Un produit ne vaut que parce qu'il est agrégé à une histoire. Aujourd'hui, il y a même des festivals de storytelling aux États-Unis (près de deux cents !). On intègre des griots et des conteurs dans les entreprises. Le narratif emprunte aux formes traditionnelles de récits. C'est parfois fait presque de manière infantile. On crée des récits comme on parlerait à des enfants. Invité : Christian Salmon, écrivain et chercheur. Il fonde en 1993 le Parlement international des écrivains. Il a publié, il y a une quinzaine d'années, Storytelling – La machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits aux éditions La Découverte en 2013. À partir du 8 septembre, il animera un cycle de conférences sur les usages du récit dans nos sociétés au Théâtre de la Bastille. Et la chronique Ailleurs aux États-Unis nous fait rencontrer Farah Thyma qui a fondé depuis la ville de Philipsburg, La Relève, en 2021, une bibliothèque numérique qui permet aux enfants, adolescents et étudiants d'Haïti, de Côte d'Ivoire et des États-Unis d'emprunter des livres numériques gratuitement. Programmation musicale : Les artistes Stromae avec le DJ allemand Paul Kalkbrenne avec le titre Que ce soit clair.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis toujours, l'homme a toujours su cultiver l'art de raconter des histoires pour captiver ou convaincre. Dans les années 90, aux États-Unis puis en Europe, naît le concept de « Storytelling » avec une structure narrative qui suscite émotion et identification et devient le moteur des campagnes de publicité ou électorales. Comment expliquer le succès de ces façonneurs d'images et de mots ? Quels sont les rouages de cette « machine à raconter » ? C'est depuis les années 90 une nouvelle façon de communiquer. Le mot de storytelling a déjà plus de 30 ans, puisqu'il apparaît dès les années 90 aux États-Unis, en pleines révolutions managériale et capitaliste. Dans l'entreprise, dans le marketing, en politique, le storytelling est devenu la panacée, perçu comme un nouveau mode de communication. « Depuis quinze ans, il y a eu beaucoup de découvertes et d'innovations, surtout dans le domaine des médias et de la communication », nous dit Christian Salmon. Il y a quinze ans, le storytelling était encore une communication verbale, humaine. Depuis, le smartphone et les réseaux sociaux ont été inventés et chacun peut devenir un storyteller induit par des machines narratives. Il faut se présenter. Il faut performer. Il faut se raconter. Aujourd'hui, on ne vend plus des produits, mais des histoires. Un produit ne vaut que parce qu'il est agrégé à une histoire. Aujourd'hui, il y a même des festivals de storytelling aux États-Unis (près de deux cents !). On intègre des griots et des conteurs dans les entreprises. Le narratif emprunte aux formes traditionnelles de récits. C'est parfois fait presque de manière infantile. On crée des récits comme on parlerait à des enfants. Invité : Christian Salmon, écrivain et chercheur. Il fonde en 1993 le Parlement international des écrivains. Il a publié, il y a une quinzaine d'années, Storytelling – La machine à fabriquer des histoires et à formater les esprits aux éditions La Découverte en 2013. À partir du 8 septembre, il animera un cycle de conférences sur les usages du récit dans nos sociétés au Théâtre de la Bastille. Et la chronique Ailleurs aux États-Unis nous fait rencontrer Farah Thyma qui a fondé depuis la ville de Philipsburg, La Relève, en 2021, une bibliothèque numérique qui permet aux enfants, adolescents et étudiants d'Haïti, de Côte d'Ivoire et des États-Unis d'emprunter des livres numériques gratuitement. Programmation musicale : Les artistes Stromae avec le DJ allemand Paul Kalkbrenne avec le titre Que ce soit clair.
Retrouve toutes nos prédications ici : https://bit.ly/3cr8QFZQue Dieu te bénisse !
Retrouve toutes nos prédications ici : https://bit.ly/3cr8QFZQue Dieu te bénisse !
Pour nous, la vie ailleurs est une évidence… et on l'imagine à notre façon ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:48 - La Chronique du Grand Continent - par : Gilles Gressani, Florian Louis - Florian Louis nous explique pourquoi nous devrions regarder de plus près les bouleversements dont le Sahel est actuellement le théâtre.
durée : 02:00:08 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marina Lévy Océanographe, conseillère pour l'Océan auprès de la présidence de l'IRD; Thibault Guinaldo Chercheur au Centre national de recherches météorologiques (Météo-France/CNRS); Joaquim Garrabou Océanographe, chercheur à l'institut des sciences de la mer à Barcelone; Birds On A Wire Groupe de musique; Rosemary Standley Chanteuse; Dom La Nena Musicienne; Jean-François Corty Médecin, président de l'association Médecins du Monde
durée : 00:39:48 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - En juin 2025, une canicule marine a encore frappé la mer Méditerranée et les records de température se sont multipliés à sa surface. Un mois plus tard, le thermomètre a baissé, mais les dégâts causés par ce type d'événement se font encore sentir, avec plusieurs espèces victimes d'hécatombes. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marina Lévy Océanographe, conseillère pour l'Océan auprès de la présidence de l'IRD; Thibault Guinaldo Chercheur au Centre national de recherches météorologiques (Météo-France/CNRS); Joaquim Garrabou Océanographe, chercheur à l'institut des sciences de la mer à Barcelone
Le 31 janvier 2020, les cloches de Big Ben ont retenti, sonnant du même coup le glas de la participation du Royaume-Uni à l'Union européenne. 5 ans plus tard, certains Brexiters ont changé d'avis, et le bilan de cette sortie tonitruante reste mitigé, particulièrement dans le secteur agricole. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe. Cette émission est une réédition estivale de nos programmes Cinq ans après le Brexit, les agriculteurs britanniques font la moue Et si c'était à refaire ? Le Royaume-Uni ne quitterait sans doute pas l'UE si l'on en croit ce sondage Yougov publié, il y a quelques mois, fin janvier : 11% des personnes interrogées seulement estiment que le Brexit a été une réussite, et parmi les électeurs qui avaient voté oui au divorce, 20% sont pour un retour de leur pays dans l'UE. Au sein du secteur agricole où les partisans du Brexit étaient nombreux, le bilan, 5 ans plus tard, est mitigé. Le reportage de Marie Billon dans les Midlands. Les Balkans ne font plus rêver leurs jeunes L'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller. Chronique musicale Le choix de Vincent Théval : Vecchia Storia, d'Ada Oda (Pelle d'oca). Les glaciers suisses, bientôt une carte postale du passé ? 40% : c'est le volume total perdu par les glaciers suisses depuis l'an 2000. Les scientifiques l'ont constaté, en 2024, la chaleur à la surface de la planète n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche.
Le 31 janvier 2020, les cloches de Big Ben ont retenti, sonnant du même coup le glas de la participation du Royaume-Uni à l'Union européenne. 5 ans plus tard, certains Brexiters ont changé d'avis, et le bilan de cette sortie tonitruante reste mitigé, particulièrement dans le secteur agricole. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe. Cette émission est une réédition estivale de nos programmes Cinq ans après le Brexit, les agriculteurs britanniques font la moue Et si c'était à refaire ? Le Royaume-Uni ne quitterait sans doute pas l'UE si l'on en croit ce sondage Yougov publié, il y a quelques mois, fin janvier : 11% des personnes interrogées seulement estiment que le Brexit a été une réussite, et parmi les électeurs qui avaient voté oui au divorce, 20% sont pour un retour de leur pays dans l'UE. Au sein du secteur agricole où les partisans du Brexit étaient nombreux, le bilan, 5 ans plus tard, est mitigé. Le reportage de Marie Billon dans les Midlands. Les Balkans ne font plus rêver leurs jeunes L'exode de la jeunesse est l'une des questions qui préoccupent le plus le sud de l'Europe. La région des Balkans est l'une des plus touchées au monde par la fuite des cerveaux. Au point de susciter des craintes pour l'avenir même de ses sociétés. Les explications de notre correspondant dans les Balkans, Louis Seiller. Chronique musicale Le choix de Vincent Théval : Vecchia Storia, d'Ada Oda (Pelle d'oca). Les glaciers suisses, bientôt une carte postale du passé ? 40% : c'est le volume total perdu par les glaciers suisses depuis l'an 2000. Les scientifiques l'ont constaté, en 2024, la chaleur à la surface de la planète n'a jamais été aussi élevée. Les glaciers européens fondent à un rythme sans précédent et leur disparition semble inéluctable si rien n'est fait. Celui d'Aletsch, en Suisse, semble déjà condamné ; d'autres pourraient encore survivre, à condition que la neutralité carbone devienne réalité. Reportage sur le plus grand glacier d'Europe de l'Ouest, Jérémie Lanche.
Marie Baro a grandi en Polynésie, dans un coin de paradis à des milliers de kilomètres de la métropole. Aujourd'hui, elle vit avec son oreiller dans les valises, comme elle dit.À 30 ans, elle a vécu dans trois pays, dont deux états américains, déménagé cinq fois, eu deux enfants à l'étranger, connu les joies d'un VIE par alliance, l'incertitude des visas, et même un licenciement en pleine pandémie.De Détroit à Denver, jusqu'au sud de l'Allemagne, Marie raconte une vie de déplacements assumés, de choix pragmatiques, de visas qui tombent et de repères qu'on transporte.« Vivre ailleurs, c'est un mode de pensée », dit-elle. Et avec elle, on comprend pourquoi.Dans cet épisode, elle partage son parcours sans chercher à le théoriser :Comment elle est passée d'un poste en RH dans l'automobile à un job à responsabilités chez Rolls-Royce.Pourquoi elle et son mari ont fait le choix de rester aux États-Unis après la naissance de leurs enfants.Ce que ça fait de devoir tout réorganiser quand un emploi s'arrête brutalement.Et ce qui les a finalement poussés à dire oui à une nouvelle vie… au bord d'un lac allemand.C'est un récit plein de mouvements, d'adaptations, de moments de doute aussi - mais toujours raconté avec recul et simplicité.À écouter si vous souhaitez découvrir le quotidien concret d'une vie à l'étranger. Une histoire vraie, sincère, et étonnamment apaisante.Et si la voix de Marie vous dit quelque chose, c'est parce qu'elle avait participé en 2019 à notre hors-série sur le bien-être des enfants expatriés : https://shows.acast.com/french-expat-le-podcast/episodes/s1e16-horsserie-lebien-etredesenfantsexpatriesFrench Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis près de dix ans, la galerie d'art Addis Fine Art expose les œuvres des artistes éthiopiens, mais aussi de toute l'Afrique de l'Est. Un véritable tremplin pour ces peintres, plasticiens ou encore sculpteurs qui, grâce à la galerie, bénéficient d'une visibilité internationale. Mesai Haileleul déambule dans la vaste salle de sa galerie d'art. Sur les murs immaculés sont accrochées les toiles de l'artiste éthiopien Dereje Demissie, l'exposition du moment. Durant près de 30 ans, c'est à Los Angeles que Mesai Haileleul exerçait son métier de galeriste. Et c'est aux États-Unis, aussi, qu'il a pris conscience du manque de représentativité des artistes éthiopiens à l'international. « La présence des artistes éthiopiens dans les foires artistiques ou les institutions était très très faible. Et on avait remarqué que les galeries locales, aussi bien qu'elles soient, ne permettaient pas vraiment de se faire connaître en dehors de l'Éthiopie. On a réalisé qu'il manquait un lien, alors qu'il y a des artistes de talent ici. Ailleurs sur le continent, beaucoup d'artistes ont des galeries qui travaillent avec l'étranger. Alors, on s'est dit "ce sera peut-être une première, mais on doit se lancer" », explique-t-il. « On croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens » En 2016, Mesai Haileleul rentre en Éthiopie et fonde Addis Fine Art avec sa collaboratrice Rakeb Sile. « L'idée est de créer un pont entre ici et le marché international. Car on croit beaucoup au potentiel des artistes éthiopiens. Leur travail mérite d'être vu par le plus grand nombre. Nous voulons qu'ils prennent part à ce qu'il se passe dans le monde de l'art en dehors de l'Éthiopie. C'est ça qui est derrière Addis Fine Art Gallery », dit-il. Tizta Berhanu fait partie des artistes promues par la galerie. La jeune femme de 34 ans peint ses œuvres dans le sous-sol de sa maison, à Addis-Abeba. « J'ai toujours voulu être une artiste. C‘était mon rêve d'enfance. Pour moi ce n'est pas naturel d'exprimer mes pensées et mes émotions avec des mots. Je préfère le faire par la peinture », raconte-t-elle. Mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est Devant une toile plus grande qu'elle, représentant un petit groupe de femmes, Tizta Berhanu reconnaît que vivre de son art est quasiment impossible en Éthiopie. « Avant que je rencontre Addis Fine Art, je travaillais de manière indépendante. Pour être honnête, c'était difficile. Car je vendais mes œuvres ici en Éthiopie, à des particuliers. Mais je n'avais pas cette connexion avec le marché international. Les galeries d'art comme celles-ci sont très importantes, car la plupart des artistes ne savent faire que peindre, ils ne savent pas comment faire leur publicité et promouvoir leur travail ». Dès ses débuts, Addis Fine Art a également mis un point d'honneur à mettre en lumière des artistes de toute l'Afrique de l'Est, comme Amel Bashier. Originaire du Soudan, elle vit aujourd'hui en exil en France. « Au Soudan et ici, j'arrivais à vendre mes œuvres. Mais je sens que j'ai franchi une étape avec Addis Fine Art. J'ai plus de succès maintenant. Ils mettent en valeur les artistes et leur travail ». En dix ans, 50 artistes au total ont été exposés dans la galerie d'Addis Fine Art.
Mi-juillet 2025, la France est déjà confrontée à une saison d'incendies d'une intensité rare. Plus de 2 000 hectares ont brûlé près de Narbonne, 750 autres aux portes de Marseille, où 90 bâtiments ont été détruits ou endommagés malgré des moyens aériens massifs. Ailleurs, les départs de feu se sont multipliés dans le Gard, en Provence, en Occitanie. À l'étranger, le Canada bat ses records historiques avec plus de 5 millions d'hectares partis en fumée, tandis que l'Europe du Sud, la Sibérie ou encore l'Amazonie sont également touchées. Si aucun décès n'est à déplorer en France, le coût humain, écologique et économique de ces feux s'annonce déjà lourd. Plus fréquents, plus précoces, plus violents, les incendies interrogent : sommes-nous toujours capables d'y faire face ? Peut-on encore les prévenir ? Ou devons-nous apprendre à vivre avec le feu ? Pour en débattre Françoise Vimeux, climatologue et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) Rémi Savazzi, chef du pôle national Défense des forêts contre les incendies (DFCI) à l'Office national des forêts (ONF) Lieutenant-colonel Harrault, porte-parole de la sécurité civile à la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC).
Mi-juillet 2025, la France est déjà confrontée à une saison d'incendies d'une intensité rare. Plus de 2 000 hectares ont brûlé près de Narbonne, 750 autres aux portes de Marseille, où 90 bâtiments ont été détruits ou endommagés malgré des moyens aériens massifs. Ailleurs, les départs de feu se sont multipliés dans le Gard, en Provence, en Occitanie. À l'étranger, le Canada bat ses records historiques avec plus de 5 millions d'hectares partis en fumée, tandis que l'Europe du Sud, la Sibérie ou encore l'Amazonie sont également touchées. Si aucun décès n'est à déplorer en France, le coût humain, écologique et économique de ces feux s'annonce déjà lourd. Plus fréquents, plus précoces, plus violents, les incendies interrogent : sommes-nous toujours capables d'y faire face ? Peut-on encore les prévenir ? Ou devons-nous apprendre à vivre avecle feu ? Pour en débattre Françoise Vimeux, climatologue et directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) Rémi Savazzi, chef du pôle national Défense des forêts contre les incendies (DFCI) à l'office national des forêts (ONF) Lieutenant-colonel Harrault, porte-parole de la sécurité civile à la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC)
Ludivine pensait vivre près de chez elle, entourée des siens. Pas partir. Pas changer de voie. Pas recommencer ailleurs.Et pourtant.Un premier départ vers l'Angleterre. Une reconversion dans les fleurs. Puis une vie qui s'installe aux États-Unis. Et un jour, le corps qui envoie des signaux. D'abord faibles, puis insistants. Grossesse suivie de très près. Douleurs chroniques. Un diagnostic. Puis un autre.Dans cet épisode, Ludivine raconte comment elle a appris à avancer autrement. À s'écouter. À poser un cadre. À créer, même quand les repères vacillent.Un récit de mouvement, de réinvention, de présence à soi.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce bestiaire écrit avec Pierre Avenas, la célèbre linguiste Henriette Walter nous raconte les anecdotes historiques et mythologies autour des mammifères. Pourquoi dit-on un spectacle «équestre» mais un «hippodrome» alors que tout vient du mot... cheval qui vient du latin «caballus» ? Pourquoi le «lièvre» a-t-il donné naissance à l'un des patronymes les plus répandus en France ? Connaissez-vous le point commun entre un chat et le dieu grec Eole ? L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas fourmille d'anecdotes passionnantes sur le nom de quelque trois cents animaux, et les origines des mots peuvent parfois se croiser ! Les naturalistes du XVIIIè siècle, ou les habitants du pays d'où vient l'animal, ont nommé les animaux, et les histoires d'étymologie sont parfois surprenantes ! Les mots que portent les animaux me plaisent beaucoup. Cela m'amuse beaucoup de circuler d'un animal à l'autre. Lorsqu'on travaille en linguistique, on peut remonter les diverses époques jusqu'à la naissance du mot. L'étymologie, c'est un peu comme l'archéologie ! Invitée : Henriette Walter, née en 1929 à Sfax en Tunisie, est une linguiste et phonologue française d'origine italienne. Elle a grandi dans un environnement polyglotte. Elle a commencé par apprendre l'anglais avant de devenir linguiste. Elle a écrit de nombreux ouvrages consacrés à la phonologie, à la linguistique et aux mots. Elle a dirigé le Laboratoire de phonologie à l'École pratique des Hautes études. Présidente de la Société Internationale de la Linguistique Fonctionnelle. L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas, est publié aux éditions Robert Laffont en version poche. À lire également de Henriette Walter : L'aventure des langues en Occident L'aventure des mots français venus d'ailleurs. Et la chronique Ailleurs nous emmène cette semaine à Rome avec Sam Stourdzé, directeur de l'Académie de France à Rome : la villa Médicis ! un lieu pour les artistes depuis plus de trois siècles ! C'est dans cette magnifique villa que des artistes viennent s'installer pour une année pour développer leurs projets artistiques. Écrivains, vidéastes, compositeurs : ils sont seize chaque année à passer un an avec une bourse ! Et l'été venant, c'est la période où les visiteurs peuvent voir ce qui s'est imaginé, fabriqué dans les ateliers avec une exposition intitulée Changer la prose du monde, un titre magnifique extrait d'un vers de la poétesse italienne Amelia Rosseli disparue il y a peu ! Une exposition à voir jusqu'au 8 septembre ! Programmation musicale : L'artiste Vincent Delerme avec le titre Si beau.
Dans ce bestiaire écrit avec Pierre Avenas, la célèbre linguiste Henriette Walter nous raconte les anecdotes historiques et mythologies autour des mammifères. Pourquoi dit-on un spectacle «équestre» mais un «hippodrome» alors que tout vient du mot... cheval qui vient du latin «caballus» ? Pourquoi le «lièvre» a-t-il donné naissance à l'un des patronymes les plus répandus en France ? Connaissez-vous le point commun entre un chat et le dieu grec Eole ? L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas fourmille d'anecdotes passionnantes sur le nom de quelque trois cents animaux, et les origines des mots peuvent parfois se croiser ! Les naturalistes du XVIIIè siècle, ou les habitants du pays d'où vient l'animal, ont nommé les animaux, et les histoires d'étymologie sont parfois surprenantes ! Les mots que portent les animaux me plaisent beaucoup. Cela m'amuse beaucoup de circuler d'un animal à l'autre. Lorsqu'on travaille en linguistique, on peut remonter les diverses époques jusqu'à la naissance du mot. L'étymologie, c'est un peu comme l'archéologie ! Invitée : Henriette Walter, née en 1929 à Sfax en Tunisie, est une linguiste et phonologue française d'origine italienne. Elle a grandi dans un environnement polyglotte. Elle a commencé par apprendre l'anglais avant de devenir linguiste. Elle a écrit de nombreux ouvrages consacrés à la phonologie, à la linguistique et aux mots. Elle a dirigé le Laboratoire de phonologie à l'École pratique des Hautes études. Présidente de la Société Internationale de la Linguistique Fonctionnelle. L'étonnante histoire du nom des mammifères écrit avec Pierre Avenas, est publié aux éditions Robert Laffont en version poche. À lire également de Henriette Walter : L'aventure des langues en Occident L'aventure des mots français venus d'ailleurs. Et la chronique Ailleurs nous emmène cette semaine à Rome avec Sam Stourdzé, directeur de l'Académie de France à Rome : la villa Médicis ! un lieu pour les artistes depuis plus de trois siècles ! C'est dans cette magnifique villa que des artistes viennent s'installer pour une année pour développer leurs projets artistiques. Écrivains, vidéastes, compositeurs : ils sont seize chaque année à passer un an avec une bourse ! Et l'été venant, c'est la période où les visiteurs peuvent voir ce qui s'est imaginé, fabriqué dans les ateliers avec une exposition intitulée Changer la prose du monde, un titre magnifique extrait d'un vers de la poétesse italienne Amelia Rosseli disparue il y a peu ! Une exposition à voir jusqu'au 8 septembre ! Programmation musicale : L'artiste Vincent Delerme avec le titre Si beau.
Invité : - Bernard Carayon, élu du Tarn et maire de Lavaur (UDR). - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
durée : 00:04:03 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Marie, 23 ans, s'interroge sur la raison qui pousse les autorités à évacuer les camps de migrants. - invités : Adeline HAZAN - Adeline Hazan : Présidente de l'UNICEF France - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.