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Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Amours solitaires, ce sont des plongées dans des intimités très brutes mais qui résonnent entre elles, et qui font qu'on se sent moins seul.e.s. » En février 2017, Morgane Ortin fonde le compte Instagram Amours solitaires. Le projet prend rapidement de l'ampleur, recueillant des milliers de messages envoyés par des anonymes. En 2018, elle publie un premier livre éponyme, Amours solitaires, qui compile ces messages recueillis parmi des milliers de conversations d'anonyme et extraits de journaux intimes, et raconte une histoire d'amour à travers eux. Franchir la nuit se concentre sur l'expérience de la rupture et de la guérison. C'est un assemblage de nombreux messages reçus sur le compte instagram @amours_solitaires ainsi que des propres conversations de l'autrice. Ces moments épistolaires, qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, sont assemblés pour reconstituer une histoire, celle d'Ilia, devenant son propre journal intime, résolument universel. L'autrice « archiviste de l'amour » milite aussi pour la valorisation de l'écriture intime et épistolaire à l'ère numérique en considérant que, loin de la déshumanisation, les nouvelles technologies permettent une expression plus authentique des émotions. Les romans Amour solitaires : Tome 1 - Amours solitaires (2018)Tome 2 - Une petite éternité (2019)Tome 3 - Franchir la nuit (2025).Invitée : Morgane ORTIN, autrice, archiviste de l'amour. Son roman « Amours solitaires » est publié aux éditions Albin Michel.→ Où la suivre : Instagram : @amours_solitaires Site officiel : amours-solitaires.com Facebook :Amours solitaires Twitter : @MorganeOrtin. Programmation musicale : «Baddies », Aya Nakamura en featuring avec Joé Dwèt Filé.► Et la chronique Ailleurs nous emmène à Saint-Louis du Sénégal, où l'Institut français de Saint-Louis et l'Université Gaston Berger organisent le colloque Francophonies, divers(c)ités, polyphonies : comment habiter le monde en plusieurs langues ?Pour nous en parler, Khadimou Rassoul Thiam, linguiste à l'Université Gaston Berger. Le colloque se tiendra les 20, 21 et 23 mai 2025 à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis.
« Amours solitaires, ce sont des plongées dans des intimités très brutes mais qui résonnent entre elles, et qui font qu'on se sent moins seul.e.s. » En février 2017, Morgane Ortin fonde le compte Instagram Amours solitaires. Le projet prend rapidement de l'ampleur, recueillant des milliers de messages envoyés par des anonymes. En 2018, elle publie un premier livre éponyme, Amours solitaires, qui compile ces messages recueillis parmi des milliers de conversations d'anonyme et extraits de journaux intimes, et raconte une histoire d'amour à travers eux. Franchir la nuit se concentre sur l'expérience de la rupture et de la guérison. C'est un assemblage de nombreux messages reçus sur le compte instagram @amours_solitaires ainsi que des propres conversations de l'autrice. Ces moments épistolaires, qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, sont assemblés pour reconstituer une histoire, celle d'Ilia, devenant son propre journal intime, résolument universel. L'autrice « archiviste de l'amour » milite aussi pour la valorisation de l'écriture intime et épistolaire à l'ère numérique en considérant que, loin de la déshumanisation, les nouvelles technologies permettent une expression plus authentique des émotions. Les romans Amour solitaires : Tome 1 - Amours solitaires (2018)Tome 2 - Une petite éternité (2019)Tome 3 - Franchir la nuit (2025).Invitée : Morgane ORTIN, autrice, archiviste de l'amour. Son roman « Amours solitaires » est publié aux éditions Albin Michel.→ Où la suivre : Instagram : @amours_solitaires Site officiel : amours-solitaires.com Facebook :Amours solitaires Twitter : @MorganeOrtin. Programmation musicale : «Baddies », Aya Nakamura en featuring avec Joé Dwèt Filé.► Et la chronique Ailleurs nous emmène à Saint-Louis du Sénégal, où l'Institut français de Saint-Louis et l'Université Gaston Berger organisent le colloque Francophonies, divers(c)ités, polyphonies : comment habiter le monde en plusieurs langues ?Pour nous en parler, Khadimou Rassoul Thiam, linguiste à l'Université Gaston Berger. Le colloque se tiendra les 20, 21 et 23 mai 2025 à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis.
François Monnier, directeur de la rédaction d'Investir, analyse la volonté de Donald Trump de faire baisser le prix des médicaments de 30 à 80% aux Etats-Unis. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une entreprise pharmaceutique de Saint-Hyacinthe propose une solution locale à la crise des surdoses : une naloxone prête à l’emploi, plus simple, plus sécuritaire, et fabriquée ici au Québec. Dans un contexte de dépendance aux produits importés, cette innovation pourrait sauver des vies tout en soutenant la production pharmaceutique locale. Pourquoi les provinces continuent-elles d’acheter ailleurs? Entrevue avec Bernard Bouchard, responsable du soutien clinique chez Sterinova Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans son ouvrage Les didascalies en question, Pierre Letessier explore l'histoire de cette pratique textuelle théâtrale de son invention à nos jours. Qu'est-ce qu'une didascalie ? Quand a-t-elle été inventée ? Comment a-t-elle évolué ? Le metteur en scène Mohamed El Khatib donne cette définition malicieuse de cette pratique textuelle qu'on trouve au théâtre : «Didascalie : note à caractère pédagogique désuète destinée à donner des indications superflues aux acteurs et metteurs en scène, leur assurant par là que c'est bien de théâtre qu'il s'agit».Les didascalies sont ces mots qui, au théâtre, organisent le dialogue, lui donnent sens et forme à l'aide d'indication scéniques : où, qui, quand, comment, quoi. Le théâtre s'écrit avec des didascalies depuis le Moyen-Age. Faire l'histoire des didascalies, c'est aussi faire l'histoire du théâtre. Pierre Letessier De nombreux spécialistes qui ont abordé la question font remonter les didascalies à l'époque de l'Antiquité. Pourtant, selon l'auteur, les textes du théâtre grec n'en comportaient pas, du moins pas au sens qu'on entend aujourd'hui. Le mot «didascalie» en grec existait, mais il n'avait pas du tout la même définition puisqu'il indiquait le catalogue des «vainqueurs». Le théâtre était alors un concours donné en l'honneur du dieu Dionysos. Dans les manuscrits de théâtre, il n'y avait que le dialogue linéaire. Les textes de théâtre n'étaient, à l'époque, pas destinés à la lecture, du moins pas au grand public, mais uniquement aux praticiens. Des textes linéaires totalement illisibles pour notre époque. On commence à voir des didascalies dans les textes latins au IVè siècle après Jésus-Christ, c'est là qu'on voit apparaître les noms des personnages qui interviennent dans la scène. Elles se développent ensuite au Moyen-Âge ; les auteurs de théâtre vont écrire du dialogue et des didascalies. Au XVIIè siècle, grâce à l'essor de l'imprimerie, apparaissent les didascalies telles qu'on les connait aujourd'hui avec Racine, Corneille, Molière. Invité : Pierre Letessier, maître de conférences en Études théâtrales à La Sorbonne Nouvelle où il enseigne l'histoire du théâtre et la dramaturgie. Spécialiste du théâtre antique romain. Ses récents travaux portent vers les écritures contemporaines. Auteurs de «Les Didascalies et question» publié aux éditions Actes Sud.La chronique Ailleurs nous emmène en Tchéquie, à Prague. Jovanka Šotolová, traductrice littéraire tchèque, enseignante en littérature à l'Université Charles à Prague nous présentera les ateliers de traduction du français qu'elle animera jeudi 15 mai 2025 dans le cadre du Salon du Livre 2025, un évènement organisé par l'Institut français de Prague.Programmation musicale : Les artistes Brigitte Fontaine et Areski Belkacem, avec le titre Baby boum boum.
Dans son ouvrage Les didascalies en question, Pierre Letessier explore l'histoire de cette pratique textuelle théâtrale de son invention à nos jours. Qu'est-ce qu'une didascalie ? Quand a-t-elle été inventée ? Comment a-t-elle évolué ? Le metteur en scène Mohamed El Khatib donne cette définition malicieuse de cette pratique textuelle qu'on trouve au théâtre : «Didascalie : note à caractère pédagogique désuète destinée à donner des indications superflues aux acteurs et metteurs en scène, leur assurant par là que c'est bien de théâtre qu'il s'agit».Les didascalies sont ces mots qui, au théâtre, organisent le dialogue, lui donnent sens et forme à l'aide d'indication scéniques : où, qui, quand, comment, quoi. Le théâtre s'écrit avec des didascalies depuis le Moyen-Age. Faire l'histoire des didascalies, c'est aussi faire l'histoire du théâtre. Pierre Letessier De nombreux spécialistes qui ont abordé la question font remonter les didascalies à l'époque de l'Antiquité. Pourtant, selon l'auteur, les textes du théâtre grec n'en comportaient pas, du moins pas au sens qu'on entend aujourd'hui. Le mot «didascalie» en grec existait, mais il n'avait pas du tout la même définition puisqu'il indiquait le catalogue des «vainqueurs». Le théâtre était alors un concours donné en l'honneur du dieu Dionysos. Dans les manuscrits de théâtre, il n'y avait que le dialogue linéaire. Les textes de théâtre n'étaient, à l'époque, pas destinés à la lecture, du moins pas au grand public, mais uniquement aux praticiens. Des textes linéaires totalement illisibles pour notre époque. On commence à voir des didascalies dans les textes latins au IVè siècle après Jésus-Christ, c'est là qu'on voit apparaître les noms des personnages qui interviennent dans la scène. Elles se développent ensuite au Moyen-Âge ; les auteurs de théâtre vont écrire du dialogue et des didascalies. Au XVIIè siècle, grâce à l'essor de l'imprimerie, apparaissent les didascalies telles qu'on les connait aujourd'hui avec Racine, Corneille, Molière. Invité : Pierre Letessier, maître de conférences en Études théâtrales à La Sorbonne Nouvelle où il enseigne l'histoire du théâtre et la dramaturgie. Spécialiste du théâtre antique romain. Ses récents travaux portent vers les écritures contemporaines. Auteurs de «Les Didascalies et question» publié aux éditions Actes Sud.La chronique Ailleurs nous emmène en Tchéquie, à Prague. Jovanka Šotolová, traductrice littéraire tchèque, enseignante en littérature à l'Université Charles à Prague nous présentera les ateliers de traduction du français qu'elle animera jeudi 15 mai 2025 dans le cadre du Salon du Livre 2025, un évènement organisé par l'Institut français de Prague.Programmation musicale : Les artistes Brigitte Fontaine et Areski Belkacem, avec le titre Baby boum boum.
Quantum Quantum c'est ce groupe qui amène à la rêverie et aux songes. En écoutant leur dernier EP, "Ici et Ailleurs" on a l'impression de partir vers ailleurs justement, avec douceur Désormais en trio, le groupe sera à la Boule Noire ce jeudi à Paris. Avec aussi, la chronique de Nicolas Jalageas, notre libraire qui vient chaque mois avec présenter un ouvrage et cette fois c'est "101 façons de tuer son mari" de Sinikka Vuola
Alors que les chiffres du baromètre 2025 de la lecture réalisée par le CNC pointe une baisse significative de la lecture chez les Français, quelle histoire de la lecture ? Quels ont été les modes d'apprentissage de la lecture ? Que doit la lecture à l'écriture ? Comment apprendre à lire ? À quel âge ? Avec quelles méthodes ? À quel rythme ? Alors que le niveau ne cesse de baisser en lecture depuis les années 80, le débat revient régulièrement sur la table. Il faut dire que les chiffres sont évocateurs : à la fin du Cours préparatoire, près d'un élève sur deux ne parvient pas à lire les cinquante mots à la minute requis. Pour comprendre la situation aujourd'hui, il est important d'expliquer comment les méthodes d'enseignement de la lecture ont-elles évolué au fil des siècles. Ce qu'on appelle lecture est en fait le «déchiffrage d'un code» et celui-ci varie d'un pays à l'autre : en Chine, un enfant de six ans devra par exemple apprendre près de 2000 idéogrammes quand un enfant français devra connaître vingt-six lettres. La lecture commence donc avec l'invention de l'écriture, il s'agissait de déchiffrer des pictogrammes. Au Moyen-Orient, là où on parlait hébreu, arabe ou araméen, la langue était découpée en syllabes : c'était la phonétisation. Au VIIIè siècle avant Jésus-Christ, les Grecs inventent l'alphabet : c'est le début de la démocratisation de la lecture. Puis plus tard, ce sera la Réforme Protestante qui favorisera l'enseignement de la lecture, puis l'invention de l'imprimerie. L'alphabétisation et la généralisation de la lecture feront aboutir, en France, au premier livre de lecture, vers 1831 : on y apprend sur B et A font BA… C'est ce qu'on appelle la méthode syllabique : c'est-à-dire apprendre le code qui sert à transcrire les énoncés langagiers. Puis la méthode qu'on appelle globale apparaîtra un peu plus tard. Fondée au début du XXè siècle par le pédagogue Ovide Decroly, elle avait pour but de développer une lecture «intelligente», comprendre ce que l'on lit. Pour faire simple, la méthode syllabique part de la syllabe pour aller vers le mot, quand la méthode globale part du mot pour reconstituer la syllabe. Cette méthode a connu son heure de gloire dans les années 80 en France. Depuis, une méthode hybride est enseignée à l'école, mais le débat sur la méthode à appliquer à l'école n'est pas encore clos... Invité : Jean-Pierre Terrail, sociologue. Auteur de Petite histoire de la lecture et de son enseignement, aux éditions Le Bord de l'eau.Jean-Pierre Terrail est sociologue, professeur honoraire à l'Université de Versailles-Saint-Quentin, Cofondateur des éditions la Dispute et du Groupe de recherche sur la démocratisation scolaire (GRDS), il travaille sur les questions scolaires depuis de nombreuses années. InvitéLa chronique Ailleurs nous emmène en Côte d'Ivoire où Anges-Félix Ndakpri nous présente la quinzième édition du SILA (Salon International du Livre d'Abidjan) qui aura lieu du 6 au 10 mai. Le thème retenu pour cette année est «Livres racines» avec l'autrice Marguerite Abouet comme invitée d'honneur. Programmation musicale : L'artiste Ghislain N avec le titre Tout à l'amour.
Alors que les chiffres du baromètre 2025 de la lecture réalisée par le CNC pointe une baisse significative de la lecture chez les Français, quelle histoire de la lecture ? Quels ont été les modes d'apprentissage de la lecture ? Que doit la lecture à l'écriture ? Comment apprendre à lire ? À quel âge ? Avec quelles méthodes ? À quel rythme ? Alors que le niveau ne cesse de baisser en lecture depuis les années 80, le débat revient régulièrement sur la table. Il faut dire que les chiffres sont évocateurs : à la fin du Cours préparatoire, près d'un élève sur deux ne parvient pas à lire les cinquante mots à la minute requis. Pour comprendre la situation aujourd'hui, il est important d'expliquer comment les méthodes d'enseignement de la lecture ont-elles évolué au fil des siècles. Ce qu'on appelle lecture est en fait le «déchiffrage d'un code» et celui-ci varie d'un pays à l'autre : en Chine, un enfant de six ans devra par exemple apprendre près de 2000 idéogrammes quand un enfant français devra connaître vingt-six lettres. La lecture commence donc avec l'invention de l'écriture, il s'agissait de déchiffrer des pictogrammes. Au Moyen-Orient, là où on parlait hébreu, arabe ou araméen, la langue était découpée en syllabes : c'était la phonétisation. Au VIIIè siècle avant Jésus-Christ, les Grecs inventent l'alphabet : c'est le début de la démocratisation de la lecture. Puis plus tard, ce sera la Réforme Protestante qui favorisera l'enseignement de la lecture, puis l'invention de l'imprimerie. L'alphabétisation et la généralisation de la lecture feront aboutir, en France, au premier livre de lecture, vers 1831 : on y apprend sur B et A font BA… C'est ce qu'on appelle la méthode syllabique : c'est-à-dire apprendre le code qui sert à transcrire les énoncés langagiers. Puis la méthode qu'on appelle globale apparaîtra un peu plus tard. Fondée au début du XXè siècle par le pédagogue Ovide Decroly, elle avait pour but de développer une lecture «intelligente», comprendre ce que l'on lit. Pour faire simple, la méthode syllabique part de la syllabe pour aller vers le mot, quand la méthode globale part du mot pour reconstituer la syllabe. Cette méthode a connu son heure de gloire dans les années 80 en France. Depuis, une méthode hybride est enseignée à l'école, mais le débat sur la méthode à appliquer à l'école n'est pas encore clos... Invité : Jean-Pierre Terrail, sociologue. Auteur de Petite histoire de la lecture et de son enseignement, aux éditions Le Bord de l'eau.Jean-Pierre Terrail est sociologue, professeur honoraire à l'Université de Versailles-Saint-Quentin, Cofondateur des éditions la Dispute et du Groupe de recherche sur la démocratisation scolaire (GRDS), il travaille sur les questions scolaires depuis de nombreuses années. InvitéLa chronique Ailleurs nous emmène en Côte d'Ivoire où Anges-Félix Ndakpri nous présente la quinzième édition du SILA (Salon International du Livre d'Abidjan) qui aura lieu du 6 au 10 mai. Le thème retenu pour cette année est «Livres racines» avec l'autrice Marguerite Abouet comme invitée d'honneur. Programmation musicale : L'artiste Ghislain N avec le titre Tout à l'amour.
Pierre Jérémie, directeur d'investissement chez Hy24 et auteur d'un rapport sur la souveraineté industrielle, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, il s'intéresse à l'effondrement minier européen. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
24 heures après le cinquième match émotif de la série entre les Canadiens et les Capitals, une question est sur toutes les lèvres : Tom Wilson méritait-il une suspension pour sa mise en échec sur Alexandre Carrier? Mario Langlois s’entretient dans ce face-à-face LNH avec Alexandre Pratt de La Presse et Arpon Basu de TheAthletic.com. Selon nos panélistes, le geste de l’attaquant des Capitals a vidé le Centre Bell de son énergie et a touché directement l'âme du CH. Ailleurs dans le Circuit Bettman, Mike Sullivan a été congédié de son poste d’entraîneur-chef des Penguins de Pittsburgh. Le directeur général de l’équipe, Kyle Dubas a affirmé en point de presse, qu’il avait parlé à Sidney Crosby pour avoir son avis. Est-ce que le D.G. a trop parlé? À la suite du revers des Canadiens, José Théodore a lui-aussi ajouté son grain de sel…surtout avec ce qu’il a vécu dans le passé. Rappelons que Théo a affronté les Canadiens lors des séries de 2010. Le tricolore tirait de l'arrière 1-3 contre les Capitals, mais ils ont finalement remporté la série en sept matchs. Est-ce que quelque chose de semblable pourrait se produire mercredi à Washington? Selon lui, «On va avoir besoin d'un vol!». Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Depuis le lancement du collectif Goma Slam Session à Goma (Nord-Kivu, République démocratique du Congo) en 2017, le slam s'est imposé comme un genre majeur. Ce recueil de slams présente une anthologie de cette création verbale contemporaine au Nord-Kivu, écrite dans une langue française tressée de swahili, de lingala, ou d'anglais. C'est le projet de Goma slam session, un collectif de Goma, une ville située au nord Kivu en République Démocratique du Congo, une région en proie à une insécurité régulière depuis de nombreuses années. Le collectif est né concomitamment avec le mouvement de la Lucha pour «Lutte pour le changement», un mouvement citoyen non violent et non partisan qui lutte pour la dignité humaine et la justice sociale et qui propose depuis 2017 des activités de création, de diffusion et de sensibilisation grâce au slam.Certains des textes du Goma Slam session ont été rassemblés dans un recueil : «Slamer pour résister», une anthologie du slam à Goma et traitent beaucoup de la guerre, mais on trouve aussi des slams d'amour ou des slams religieux. Les textes sont écrits en français, en lingala, en swahili, mais aussi dans d'autres langues. Et c'est Maëline Le Lay qui en assure la direction. Cette chercheuse en littérature africaine passionnée par les arts engagés avait déjà réalisé sa thèse au Congo sur la question de la littérature populaire au Katanga. Entre 2018 et 2020, elle a découvert le slam sur la scène artistique de Goma. Cette poésie «mise en bouche» tient une place prépondérante dans la culture locale, un véritable «phénomène» qui est dû à une parole complètement libre. Si le slam a vocation à être diffusé à l'oral, c'est avant tout un art très écrit. Lors des sessions, les slameurs venaient avec leurs papiers et leurs crayons et renotaient, recorrigeaient leur slam au gré des remarques de leurs comparses. L'idée de publier ce recueil est aussi de donner une visibilité élargie à ces artistes. Maëline Le Lay Invitée : Maëline Le Lay est chargée de recherche CNRS au THALIM (Théorie et Histoire des Arts et des Littératures de la Modernité). Elle publie Slamer pour résister, aux éditions Africae.La chronique Ailleurs nous emmène en Allemagne, à Berlin, où la Maison de France, un lieu ouvert à la culture française, et qui fête ses 75 ans. Et c'est Sophie Coumel, directrice de l'Institut français de Berlin qui nous parle de l'anniversaire de ce réseau qui a joué un grand rôle dans le rapprochement franco-allemand. Pour suivre tout l'agenda, rendez-vous ici. Programmation musicaleL'artiste Odezenne avec le titre Hey Joe.Et les slams de Ben Kamuntu Ici, nous on slame, de Henry Mubimbi dit le Grihaut-Parleur avec le texte Je ne suis pas maudite, un texte fort qui parle de la ville de Beni, de Yves Kalwira avec 20h07, ainsi que Héros dans l'ombre du slameur Elisha Abumba.
Depuis le lancement du collectif Goma Slam Session à Goma (Nord-Kivu, République démocratique du Congo) en 2017, le slam s'est imposé comme un genre majeur. Ce recueil de slams présente une anthologie de cette création verbale contemporaine au Nord-Kivu, écrite dans une langue française tressée de swahili, de lingala, ou d'anglais. C'est le projet de Goma slam session, un collectif de Goma, une ville située au nord Kivu en République Démocratique du Congo, une région en proie à une insécurité régulière depuis de nombreuses années. Le collectif est né concomitamment avec le mouvement de la Lucha pour «Lutte pour le changement», un mouvement citoyen non violent et non partisan qui lutte pour la dignité humaine et la justice sociale et qui propose depuis 2017 des activités de création, de diffusion et de sensibilisation grâce au slam.Certains des textes du Goma Slam session ont été rassemblés dans un recueil : «Slamer pour résister», une anthologie du slam à Goma et traitent beaucoup de la guerre, mais on trouve aussi des slams d'amour ou des slams religieux. Les textes sont écrits en français, en lingala, en swahili, mais aussi dans d'autres langues. Et c'est Maëline Le Lay qui en assure la direction. Cette chercheuse en littérature africaine passionnée par les arts engagés avait déjà réalisé sa thèse au Congo sur la question de la littérature populaire au Katanga. Entre 2018 et 2020, elle a découvert le slam sur la scène artistique de Goma. Cette poésie «mise en bouche» tient une place prépondérante dans la culture locale, un véritable «phénomène» qui est dû à une parole complètement libre. Si le slam a vocation à être diffusé à l'oral, c'est avant tout un art très écrit. Lors des sessions, les slameurs venaient avec leurs papiers et leurs crayons et renotaient, recorrigeaient leur slam au gré des remarques de leurs comparses. L'idée de publier ce recueil est aussi de donner une visibilité élargie à ces artistes. Maëline Le Lay Invitée : Maëline Le Lay est chargée de recherche CNRS au THALIM (Théorie et Histoire des Arts et des Littératures de la Modernité). Elle publie Slamer pour résister, aux éditions Africae.La chronique Ailleurs nous emmène en Allemagne, à Berlin, où la Maison de France, un lieu ouvert à la culture française, et qui fête ses 75 ans. Et c'est Sophie Coumel, directrice de l'Institut français de Berlin qui nous parle de l'anniversaire de ce réseau qui a joué un grand rôle dans le rapprochement franco-allemand. Pour suivre tout l'agenda, rendez-vous ici. Programmation musicaleL'artiste Odezenne avec le titre Hey Joe.Et les slams de Ben Kamuntu Ici, nous on slame, de Henry Mubimbi dit le Grihaut-Parleur avec le texte Je ne suis pas maudite, un texte fort qui parle de la ville de Beni, de Yves Kalwira avec 20h07, ainsi que Héros dans l'ombre du slameur Elisha Abumba.
Stéphanie de Muru, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Savez-vous ? Nancy, c'est le podcast quotidien de l'Est Républicain consacré à la ville et à tout ce que vous ignorez sur elle.Un podcast raconté par Jean-Marie Russe basé sur les articles réalisés par la rédaction locale de Nancy. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode des Dérangeants, Étienne et Dominic reçoivent Nathaly Riverin de Persévérance Entrepreneuriale pour ouvrir un sujet trop souvent balayé sous le tapis : la santé mentale des entrepreneurs québécois. On parle de :
durée : 00:58:57 - Georges Delerue, un centenaire en grande forme (4/4) : A Hollywood et ailleurs... - par : Thierry Jousse - Pour la dernière de notre série dédiée à Georges Delerue, on suit les aventures de ce grand compositeur à Hollywood et à la télévision française…
Le débat en anglais a confirmé les forces linguistiques de Poilievre et Carney, mais aussi la posture centralisatrice inquiétante du Parti libéral, selon Loïc Tassé. Singh agace, Blanchet peine en anglais, et la Commission des débats scandalise en annulant le point de presse des chefs. Ailleurs dans le monde : Trump menace les négociations de paix en Ukraine, ouvre un sanctuaire marin à la pêche commerciale, et la Chine mise sur les croisières pour personnes âgées pour stimuler son économie. Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En 1977, 2 ans après “Les dents de la mer”, “Orca” met en scène une “killer whale”. Le ton est très vite donné, dans les premières minutes du film, le mammifère marin tue un Grand requin blanc. Par la suite, l'Orque mâle détruit des bateaux et tue des humains pour venger la mort de sa femelle et de son petit. Ici pas d'attaque instinctive comme dans “Jaws” mais une vengeance intelligente et organisée !L'Orque (Orcinus orca), aussi appelée Épaulard, est le plus grand des dauphins. Les plus grands mâles peuvent dépasser 9 mètres de long et peser 9 tonnes.Les Orques sont des animaux sociables vivant en groupes matrilinéaires, le “pouvoir” se transmet de mère en fille. Chaque famille possède des signaux vocaux et des techniques de chasse propres, transmis de génération en génération. Les Orques sont des animaux qui présentent des cultures différentes aux quatre coins des océans.Certaines populations d'Orques se nourrissent principalement de poissons quand d'autres se sont spécialisées dans la chasse aux mammifères marins. Ailleurs, elles capturent des Otaries en s'échouant volontairement sur la plage alors que d'autres coopèrent, créant une vague pour faire tomber un phoque d'un bloc de glace. En 2015, en Afrique du Sud, des cadavres de Grands requins blancs sont retrouvés sur les plages, sans foie. Après enquête, les “coupables” sont deux Orques, des frères, Bâbord et Tribord, aux ailerons courbés (l'un à gauche et l'autre à droite). Le foie d'un Grand blanc peut peser jusqu'à 60 kg et il est riche en lipide. Bref, ces Orques aiment le foie gras !Dans la réalité et en liberté, les Orques ne tuent pas les Humains. Il n'y a que dans les films et dans les delphinariums que cela se produit. En captivité, les Orques tournent en rond dans des bassins sous-dimensionnés jusqu'à devenir dépressives et développer des comportements violents envers les Humains. En 2020, des Orques du détroit de Gibraltar interagissent avec des voiliers ou des yachts. Sans agressivité notable, elles jouent avec le gouvernail, et plus il résiste, plus elles insistent allant jusqu'à le casser. Le comportement s'est répandu dans la population locale comme les techniques de chasse. C'est, là aussi, de la culture animale ! L'intelligence de l'Orque lui donne une image ambivalente. Côté sombre, une créature efficace et violente, une redoutable prédatrice. Côté clair, un animal sociable et doux, une grand-mère guidant sa famille. Rien n'est tout noir ou tout blanc. La preuve ? Les Orques sont noires ET blanches. _______
Favoriser l'accès aux ressources et opportunité de la ville pour les publics en situation de fragilité économique et sociale, c'est la mission de la Fondation RATP. L'organisme agit en Île-de-France, ailleurs dans l'hexagone et même à l'international. Au Caire par exemple, il accompagne les jeunes mal logés vers l'emploi.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
Huit ans après Ascensions, le chanteur Babx nous revient avec un nouvel album Amour colosse. Neuf nouveaux titres mélodiques empreints de poésie nés pendant le confinement. L'album Amour colosse a été imaginé pendant le premier confinement de 2020 durant lequel la chanson Prendre soin a été écrite, mais il prend aussi racine avec la naissance de sa fille, Alma. C'est le premier album composé en tant que papa. Les contes et les légendes mêlées à la fureur du monde actuel y ont une part importante. Babx nous transmet un message engagé au travers de ses chansons comme dans Jeux d'Hiver ou Les apaches. Il y a toujours une lecture politique dans une chanson, une manière d'essayer de comprendre le présent. Chanter une chanson, c'est déjà un acte politique. Les chansons sont conçues comme des images avec parfois des ambiances cinématographiques... mais aussi comme des petits cocons, « des chansons cabanes, des chansons-refuge, des chansons-cailloux pour ne pas perdre notre chemin ». Amour colosse est sorti le 4 avril dernier et a été produit par JP Nataf du groupe Les Innocents.Invité : Babx, de son vrai nom David Babin, est né en 1981. Il est issu d'une famille d'artistes et de musiciens ; sa mère est pianiste. Il a appris le piano très tôt et a commencé à écrire des textes à son adolescence. Il sort son premier album en 2006. En 2015, il crée son propre label et sort l'album Cristal automatique #1, sur des textes d'Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, Jean Genet ou encore Aimé Césaire dont l'un des poèmes donne le titre. Programmation musicale :Les titres de Babx suivants tous issus de son album Amour colosse : Alma, Amour Colosse, Apaches, Nos années Lumière.Et la chronique Ailleurs nous emmène en Haïti avec Iléus Papillon, poète, journaliste, sociologue et président du salon du livre et des arts du grand nord d'Haïti (SLAGNH) qui aura lieu du 23 au 25 avril 2025 à Port-Margot, une commune située à 36 km de Cap-Haïtien. Ce rendez-vous a pour but de promouvoir la lecture et les arts dans le nord d'Haïti et de mettre en lumière le patrimoine matériel et immatériel de Port-Margot, avec des rencontres avec des écrivains, des conférences et panels sur l'art, la culture et l'histoire et des performances artistiques (musique, danse, théâtre).
Huit ans après Ascensions, le chanteur Babx nous revient avec un nouvel album Amour colosse. Neuf nouveaux titres mélodiques empreints de poésie nés pendant le confinement. L'album Amour colosse a été imaginé pendant le premier confinement de 2020 durant lequel la chanson Prendre soin a été écrite, mais il prend aussi racine avec la naissance de sa fille, Alma. C'est le premier album composé en tant que papa. Les contes et les légendes mêlées à la fureur du monde actuel y ont une part importante. Babx nous transmet un message engagé au travers de ses chansons comme dans Jeux d'Hiver ou Les apaches. Il y a toujours une lecture politique dans une chanson, une manière d'essayer de comprendre le présent. Chanter une chanson, c'est déjà un acte politique. Les chansons sont conçues comme des images avec parfois des ambiances cinématographiques... mais aussi comme des petits cocons, « des chansons cabanes, des chansons-refuge, des chansons-cailloux pour ne pas perdre notre chemin ». Amour colosse est sorti le 4 avril dernier et a été produit par JP Nataf du groupe Les Innocents.Invité : Babx, de son vrai nom David Babin, est né en 1981. Il est issu d'une famille d'artistes et de musiciens ; sa mère est pianiste. Il a appris le piano très tôt et a commencé à écrire des textes à son adolescence. Il sort son premier album en 2006. En 2015, il crée son propre label et sort l'album Cristal automatique #1, sur des textes d'Arthur Rimbaud, Charles Baudelaire, Jean Genet ou encore Aimé Césaire dont l'un des poèmes donne le titre. Programmation musicale :Les titres de Babx suivants tous issus de son album Amour colosse : Alma, Amour Colosse, Apaches, Nos années Lumière.Et la chronique Ailleurs nous emmène en Haïti avec Iléus Papillon, poète, journaliste, sociologue et président du salon du livre et des arts du grand nord d'Haïti (SLAGNH) qui aura lieu du 23 au 25 avril 2025 à Port-Margot, une commune située à 36 km de Cap-Haïtien. Ce rendez-vous a pour but de promouvoir la lecture et les arts dans le nord d'Haïti et de mettre en lumière le patrimoine matériel et immatériel de Port-Margot, avec des rencontres avec des écrivains, des conférences et panels sur l'art, la culture et l'histoire et des performances artistiques (musique, danse, théâtre).
Dans ce roman, l'auteur Antoine Laurain aborde avec tendresse et humour cet exercice redoutable qui traverse les générations et qui a traumatisé plus d'un élève : la dictée ! Benjamin rate régulièrement des dictées. Pour prouver que les adultes commettent aussi des fautes, ses parents décident d'organiser un grand jeu familial à l'occasion d'un grand pique-nique pendant lequel ils plancheront sur la dictée de Mérimée.La dictée de Mérimée a été écrite en 1857 par Prosper Mérimée (1803-1870) à la demande de l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III. Les dictées étaient alors très populaires, elles étaient considérées comme des jeux. Cette dictée est considérée comme étant l'une des plus difficiles de la langue française. Napoléon III aurait fait 75 fautes, l'écrivain Alexandre Dumas, vingt-quatre !Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l'amphitryon, fut un vrai guêpier. Extrait de la Dictée de MériméeInvité : Antoine Laurain. Écrivain français né en 1972. Il a écrit une dizaine de romans dont La femme au carnet rouge sorti en 2014 et traduit en vingt-deux langues. Son dernier ouvrage, La dictée est publié chez Flammarion. Reportage dans une école dans le nord de Paris : Éléonore CoupetEt si vous êtes mordu de dictée, sachez que vous pourrez participer à la Grande dictée de Paris qui aura lieu le vendredi 11 avril au Petit Palais ! Trois textes (niveau débutant, intermédiaire et expert) inédits écrits par les autrices Emma Green, Tatiana de Rosnay et Leïla Slimani seront lus. Retransmission vendredi 16 avril sur France TV. Cette semaine, la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville en République du Congo où Mariusca La Slameuse, artiste, nous parlera de la 4e édition de Slamouv dont elle est la directrice générale. Slamouv, c'est le Festival international de poésie urbaine : des racines et des ailes. Programmation musicale : l'artiste Mariusca La Slameuse avec le titre Kaka yo.
Dans ce roman, l'auteur Antoine Laurain aborde avec tendresse et humour cet exercice redoutable qui traverse les générations et qui a traumatisé plus d'un élève : la dictée ! Benjamin rate régulièrement des dictées. Pour prouver que les adultes commettent aussi des fautes, ses parents décident d'organiser un grand jeu familial à l'occasion d'un grand pique-nique pendant lequel ils plancheront sur la dictée de Mérimée.La dictée de Mérimée a été écrite en 1857 par Prosper Mérimée (1803-1870) à la demande de l'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III. Les dictées étaient alors très populaires, elles étaient considérées comme des jeux. Cette dictée est considérée comme étant l'une des plus difficiles de la langue française. Napoléon III aurait fait 75 fautes, l'écrivain Alexandre Dumas, vingt-quatre !Pour parler sans ambiguïté, ce dîner à Sainte-Adresse, près du Havre, malgré les effluves embaumés de la mer, malgré les vins de très bons crus, les cuisseaux de veau et les cuissots de chevreuil prodigués par l'amphitryon, fut un vrai guêpier. Extrait de la Dictée de MériméeInvité : Antoine Laurain. Écrivain français né en 1972. Il a écrit une dizaine de romans dont La femme au carnet rouge sorti en 2014 et traduit en vingt-deux langues. Son dernier ouvrage, La dictée est publié chez Flammarion. Reportage dans une école dans le nord de Paris : Éléonore CoupetEt si vous êtes mordu de dictée, sachez que vous pourrez participer à la Grande dictée de Paris qui aura lieu le vendredi 11 avril au Petit Palais ! Trois textes (niveau débutant, intermédiaire et expert) inédits écrits par les autrices Emma Green, Tatiana de Rosnay et Leïla Slimani seront lus. Retransmission vendredi 16 avril sur France TV. Cette semaine, la chronique Ailleurs nous emmène à Brazzaville en République du Congo où Mariusca La Slameuse, artiste, nous parlera de la 4e édition de Slamouv dont elle est la directrice générale. Slamouv, c'est le Festival international de poésie urbaine : des racines et des ailes. Programmation musicale : l'artiste Mariusca La Slameuse avec le titre Kaka yo.
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
L'agence en ligne Alterpresse estime qu'il ne suffirait que de quelques heures avant que les gangs armés ne s'emparent totalement de Port-au-Prince. 85% de la capitale haïtienne est aux mains des gangs, et seuls quelques quartiers sont encore épargnés. « Nous sommes livrés à nous-mêmes », peut-on lire dans l'article du Miami Herald. Notre consœur Jacqueline Charles a recueilli des témoignages édifiants qui décrivent une situation « insupportable depuis ces deux dernières semaines ». Selon Pierre Esperance, un défenseur des droits humains à Port-au-Prince, « la ville peut tomber à tout moment ».(AlterPresse | Port-au-Prince en flammes, le pouvoir en fête en Haïti. Où est le président du Cpt ?)La journaliste décrit une situation terrible, « une ville prise entre les hurlements et les tirs d'armes, les gangs armés et l'exode massif de la population, entre l'anxiété et le silence ». Les quartiers sont vidés un par an, les maisons brûlées, les commerces pillés, et 60 000 personnes ont fui en 1 mois, selon l'Organisation Internationale pour la Migration. Des habitants qui ne savent pas où aller et sont livrés à eux-mêmes.Dans le Nouvelliste, le rédacteur en chef Frantz Duval s'interroge : « que faire quand on ne peut rien faire ? ». Et il poursuit : « Chaque Port-au-Princien, ceux qui vivent dans les derniers quartiers non encore attaqués par les gangs, se pose cette question en échafaudant des plans, en se demandant combien de temps il leur reste avant de connaître le même sort que les autres ». « Ailleurs, pas un mot, pas un sit-in, pas une manifestation », constate-t-il. Les figures de la diaspora haïtienne sont aux abonnés absents, même chose pour l'opposition, silencieuse elle aussi, tout comme la communauté internationale. Aujourd'hui, « même l'ingérence est en vacances », selon Frantz Duval, alors que faire ? « Rien et attendre ». « Ce n'est pas du défaitisme » précise-t-il, « mais une façon de cultiver l'espoir et l'espérance ».Sur le terrain, un policier kenyan, membre de la Mission multinationale de sécurité a été blessé à Kenscoff lors d'un échange de tirs. La situation sécuritaire dans ce quartier de le capitale haïtienne « demeure préoccupante », peut-on lire dans Gazette Haïti. Le journal rappelle qu'il y a quelques semaines, un militaire haïtien avait déjà perdu la vie à Kenscoff. Et l'espoir d'un « retour à l'ordre s'amenuise au sein de la population de jour en jour ».Dans ce contexte, les autorités sont accusés de regarder ailleurs et l'agence en ligne Alterpresse (AlterPresse | Port-au-Prince en flammes, le pouvoir en fête en Haïti. Où est le président du Cpt ?) se pose la question, où est le président du Conseil présidentiel de transition ? Celui-ci est accusé de laisser le chaos s'installer, « alors que Port-au-Prince agonise sous l'emprise des gangs, que Delmas 32 lutte pour sa survie et que les quartiers tombent comme des dominos », souligne l'éditorialiste Pierre Legros. « Fritz Alphonse Jean, le président du CPT, préfère s'envoler en hélicoptère pour participer aux festivités de la Saint-Joseph à Fort-Liberté. »Au milieu de ce chaos, la culture résiste encore. Le festival international de jazz de Port-au-Prince, le PAPJAZZ, fait son retour. La 18è édition doit débuter ce jeudi (20 mars 2025), jusqu'à samedi. Initialement prévu en janvier, le festival a dû être reporté en raison du climat sécuritaire. Mais malgré les défis, la Fondation Haïti Jazz reste fidèle à son engagement : montrer une autre image d'Haïti, accompagner les artistes, faire rayonner la culture et prouver que, même dans les conditions actuelles, la musique et l'art peuvent encore rassembler. Milena Sandler, la directrice générale de la Fondation Haïti Jazz s'est confiée au correspondant de RFI à Port-au-Prince, Peterson Luxama.►L'entretien est à retrouver dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Aux États-Unis, l'administration Trump accusée de briser des familles de migrantsAlors que le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, a menacé le Venezuela de nouvelles « sanctions sévères » s'il ne reprenait pas ses ressortissants expulsés des États-Unis, les familles de migrants expulsés témoignent.Dans le Boston Globe, on peut lire l'histoire d'un jeune migrant, Jose âgé de 17 ans, sans papier, arrêté alors qu'il se rendait à son travail sur un chantier dans la ville de Lewiston, dans le Maine. Sa mère a reçu un appel d'un agent de l'immigration lui expliquant que son fils allait être expulsé au Salvador. « Si vous voulez, vous pouvez vous aussi vous rendre et être envoyé là-bas, mais il sera expulsé de toutes façons », a poursuivi l'officier de police, alors que sa mère dans un sanglot explique que l'administration Trump veut détruire les familles de migrants. Depuis son arrestation, la famille de Joe n'ose plus sortir de chez elle de peur d'être elle aussi expulsée.Ses parents sont aux États-Unis depuis une dizaine d'années et les deux plus jeunes de la famille des citoyens américains. Jose est en transit dans un centre de rétention pour mineurs à New York, à près de 500 kilomètres de sa famille, « c'est effrayant, je n'ai jamais vu ça », témoigne son avocat. Mexico : les règles changent pour les corridasMexico vient de changer les règles concernant les corridas : il sera désormais interdit de blesser ou de tuer le taureau. Cette mesure a été approuvée hier, par la quasi-totalité des législateurs du gouvernement de la ville. Elle devrait entrer en vigueur d'ici quelques mois. Depuis des années, la ville de Mexico tergiverse sur ce sujet. Les corridas avaient été interdites une première fois en 2022 puis la décision avait été révoquée par la Cour suprême, un an plus tard.Depuis, la tauromachie a continué légalement dans la capitale mexicaine, au sein de la monumentale place des taureaux, la plus grande arène de corrida du monde qui peut accueillir 50 000 places.Cette-fois ci, il s'agit donc d'une sorte de compromis, mais qui ne plaît pas aux pro-corridas. Ils ont manifesté et bloqué le centre de la capitale. Gwendolina Duval était sur place pour RFI. L'actualité des OutremerDeux radars et un scanner doivent arriver prochainement en Martinique. Avec Tessa Grauman de la 1ère .
Olivier Letellier, metteur en scène et directeur des Tréteaux de France, a imaginé KiLLT «Ki-Lira-Le-Texte», un dispositif hybride où chaque spectateur devient acteur. Sa nouvelle création est un texte de Magali Mougel, «Mauvaise pichenette». Tout le monde a déjà connu cette peur de lire un texte à voix haute, devant tout le monde, en classe ou ailleurs.La peur de bafouiller, de buter sur les mots et d'être moqué. Olivier Letellier a été traumatisé par la lecture à voix haute ! Et c'est sans doute pour exorciser cette peur, qu'il a imaginé KiLLT (Ki LIra Le Texte). Le principe est simple, mais très innovant : la pièce de théâtre s'affiche tantôt sur les murs, tantôt sur des panneaux, tantôt sur des objets et c'est au public de la lire accompagné par un.e seul.e comédien.ne. Le public est guidé par un mode d'emploi et un code couleurs qui indique aux lecteurs-acteurs qui doit lire le texte. Le but est que le public s'approprie le texte. "La lecture à voix haute est quelque chose qui me terrifie. Je me suis dit: comment en faire un jeu ?" Olivier LETELLIER «Mauvaise Pichenette», de Magali Mougel, est un texte engagé qui raconte la montée des idées nationalistes chez les jeunes en milieu rural. C'est l'un des premiers textes de cette autrice qui écrit depuis une dizaine d'années. Les Tréteaux de France est un centre dramatique national itinérant créé en 1959 par Jean Danet et se voulant un modèle de la décentralisation pour aller au devant du public dans les petites villes ou les campagnes. Longtemps, les Tréteaux se déplaçaient avec un chapiteau, aujourd'hui les spectacles produits par ce CDN sont accueillis par les mairies, les écoles, les centres culturels...Invité : Olivier Letellier, metteur en scène, directeur des Tréteaux de France depuis 2022.Un spectacle à voir du 17 au 21 mars au Collège Paul Éluard de Montreuil, du 25 au 29 mars à la Mairie du XXè arrondissement de Paris, puis du 9 au 12 avril 2025 au Festival les Utopiks à Chalon-sur-Saône. À partir de 14 ans. Et la chronique Ailleurs nous emmène ce jour à Maurice pour parler des évènements proposés par l'Institut français de Maurice en lien avec le mois de la francophonie, avec d'une part le lancement de Dan balizaz barlizour, une traduction en créole mauricien par Michel Ducasse du poème d'Aimé Césaire Cahier d'un retour au pays natal, mais aussi l'exposition Écrire en français : histoires de langues, voyages de mots. Pour plus d'informations cliquez ici. Programmation musicale : Single Bénies, Les artistes 2L, Yend & Yelsha du collectif «Rappeuses en liberté».
Olivier Letellier, metteur en scène et directeur des Tréteaux de France, a imaginé KiLLT «Ki-Lira-Le-Texte», un dispositif hybride où chaque spectateur devient acteur. Sa nouvelle création est un texte de Magali Mougel, «Mauvaise pichenette». Tout le monde a déjà connu cette peur de lire un texte à voix haute, devant tout le monde, en classe ou ailleurs.La peur de bafouiller, de buter sur les mots et d'être moqué. Olivier Letellier a été traumatisé par la lecture à voix haute ! Et c'est sans doute pour exorciser cette peur, qu'il a imaginé KiLLT (Ki LIra Le Texte). Le principe est simple, mais très innovant : la pièce de théâtre s'affiche tantôt sur les murs, tantôt sur des panneaux, tantôt sur des objets et c'est au public de la lire accompagné par un.e seul.e comédien.ne. Le public est guidé par un mode d'emploi et un code couleurs qui indique aux lecteurs-acteurs qui doit lire le texte. Le but est que le public s'approprie le texte. "La lecture à voix haute est quelque chose qui me terrifie. Je me suis dit: comment en faire un jeu ?" Olivier LETELLIER «Mauvaise Pichenette», de Magali Mougel, est un texte engagé qui raconte la montée des idées nationalistes chez les jeunes en milieu rural. C'est l'un des premiers textes de cette autrice qui écrit depuis une dizaine d'années. Les Tréteaux de France est un centre dramatique national itinérant créé en 1959 par Jean Danet et se voulant un modèle de la décentralisation pour aller au devant du public dans les petites villes ou les campagnes. Longtemps, les Tréteaux se déplaçaient avec un chapiteau, aujourd'hui les spectacles produits par ce CDN sont accueillis par les mairies, les écoles, les centres culturels...Invité : Olivier Letellier, metteur en scène, directeur des Tréteaux de France depuis 2022.Un spectacle à voir du 17 au 21 mars au Collège Paul Éluard de Montreuil, du 25 au 29 mars à la Mairie du XXè arrondissement de Paris, puis du 9 au 12 avril 2025 au Festival les Utopiks à Chalon-sur-Saône. À partir de 14 ans. Et la chronique Ailleurs nous emmène ce jour à Maurice pour parler des évènements proposés par l'Institut français de Maurice en lien avec le mois de la francophonie, avec d'une part le lancement de Dan balizaz barlizour, une traduction en créole mauricien par Michel Ducasse du poème d'Aimé Césaire Cahier d'un retour au pays natal, mais aussi l'exposition Écrire en français : histoires de langues, voyages de mots. Pour plus d'informations cliquez ici. Programmation musicale : Single Bénies, Les artistes 2L, Yend & Yelsha du collectif «Rappeuses en liberté».
Depuis 2019, l'Éducation nationale a généralisé un « quart d'heure de lecture » dans toutes les écoles pour inciter mes élèves à lire plus. Cette année, le Centre national du livre appelle à célébrer collectivement « un quart d'heure de lecture national » le 11 mars 2025. Le compositeur Nicolas Frize a, pour l'occasion, conçu une installation, Les pensées géantes, pour lire et entendre les langues. ► Nicolas Frize, compositeur de musique contemporaine.Les Pensées géantes sont proposées au Panthéon toute la journée du 11 mars, en continu, de 10h à 18h, et s'accompagnent d'une visite libre du Panthéon.Événement gratuit sur inscription en ligne ici.Et la chronique Ailleurs nous emmène à Cotonou où Sandrine Platteau, ambassadrice de Belgique à Cotonou, nous parlera des Rencontres internationales de la bande dessinée qui ont lieu à l'occasion du mois de la francophonie. Programmation musicale : Albin de la Simone avec le titre J'aime lire.
Depuis 2019, l'Éducation nationale a généralisé un « quart d'heure de lecture » dans toutes les écoles pour inciter mes élèves à lire plus. Cette année, le Centre national du livre appelle à célébrer collectivement « un quart d'heure de lecture national » le 11 mars 2025. Le compositeur Nicolas Frize a, pour l'occasion, conçu une installation, Les pensées géantes, pour lire et entendre les langues. ► Nicolas Frize, compositeur de musique contemporaine.Les Pensées géantes sont proposées au Panthéon toute la journée du 11 mars, en continu, de 10h à 18h, et s'accompagnent d'une visite libre du Panthéon.Événement gratuit sur inscription en ligne ici.Et la chronique Ailleurs nous emmène à Cotonou où Sandrine Platteau, ambassadrice de Belgique à Cotonou, nous parlera des Rencontres internationales de la bande dessinée qui ont lieu à l'occasion du mois de la francophonie. Programmation musicale : Albin de la Simone avec le titre J'aime lire.
Pour la première fois depuis 2013, les Canadiens n'ont fait aucun échange lors de la date limite des transactions. Est-ce que le statu quo était la chose à faire pour le Tricolore? Ailleurs dans la Ligue nationale de hockey, il y a eu beaucoup de mouvements. Qui est le grand gagnant de la date limite des transactions ? Finalement, l'issue des prochains matchs sera cruciale pour le Tricolore. Est-ce que les séries sont possibles pour les Canadiens dès cette saison? Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Antoine Roussel du 98,5, ainsi que Simon-Olivier Lorange et Guillaume Lefrançois, de La Presse. Le sommaire Bloc 1 1:00 Kent Hughes s'est fait discret lors de la date limite des transactions: bonne ou mauvaise nouvelle pour le Canadien? 10:30 Réactions point de presse de Kent Hughes et Réactions à Calgary. Bloc 2 22:00: Ça bouge dans l’Est alors que Cozens, Norris, Rantanen et Marchand ont changé d'adresse. 28:30: Qui peut battre Dallas, Colorado ou Winnipeg ? Bloc 3 43:30: Les Canadiens sont à Calgary pour en découdre avec les Flames. Dorénavant le Tricolore n'a plus le droit à l'erreur s’il souhaite se rendre en séries. La troupe de Martin St-Louis cédera-t-elle à la pression? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Dans ce spectacle, l'artiste Anne Tifine nous présente son « Robert ». Il est beau, carré, costaud, riche, il a réponse à tout mais il est parfois tordu ! Invitée : Anne Tifine, comédienne. Son spectacle Mon Robert est joué au Théâtre l'Essaïon à Paris jusqu'au 29 mars 2025.Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé pour Le grand oral « Échos de femmes : réalités, luttes et résiliences », organisé dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des Droits des Femmes. Des plaidoiries, des débats, des performances pour mettre en lumière les défis actuels auxquels font face les femmes au Togo et à travers le monde. Frederick Tsatsu nous présente cet évènement dont il est l'organisateur et qui aura lieu le 19 mars 2025 à l'IF de Lomé.Programmation musicale :Chimyié, Aya Nakamura.
Dans ce spectacle, l'artiste Anne Tifine nous présente son « Robert ». Il est beau, carré, costaud, riche, il a réponse à tout mais il est parfois tordu ! Invitée : Anne Tifine, comédienne. Son spectacle Mon Robert est joué au Théâtre l'Essaïon à Paris jusqu'au 29 mars 2025.Et la chronique Ailleurs nous emmène à Lomé pour Le grand oral « Échos de femmes : réalités, luttes et résiliences », organisé dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des Droits des Femmes. Des plaidoiries, des débats, des performances pour mettre en lumière les défis actuels auxquels font face les femmes au Togo et à travers le monde. Frederick Tsatsu nous présente cet évènement dont il est l'organisateur et qui aura lieu le 19 mars 2025 à l'IF de Lomé.Programmation musicale :Chimyié, Aya Nakamura.
Hausse des passages aux urgences, pénurie de soignants, incidents graves et défauts de prises en charge… Les services des urgences, véritable porte d'entrée de l'Hôpital en France, sont en train d'imploser, et ce, en dépit de la promesse, formulée en avril 2023 par Emmanuel Macron, qui promettait alors de désengorger les Urgences d'ici fin 2024. L'été dernier (2024), tandis que de nombreux services d'urgences ont dû fermer temporairement, d'autres ont mis en place un accès « régulé », invitant les patients à appeler au préalable le Samu avant de se rendre aux urgences. Ailleurs encore, des associations de médecins retraités s'organisent afin de reprendre du service et de donner un coup de main à leurs successeurs.Comment faire face à cette crise des urgences ? Comment éviter la saturation de ces services ? Comment répondre à la pénurie de soignants et rendre le métier d'urgentiste plus attrayant pour les étudiants en médecine ? Pr Frédéric Adnet, chef de service du Samu 75 - Smur Hôpital Necker-Enfants malades au sein du groupe hospitalo-universitaire Dr Suzanne Tartière, médecin retraitée, elle a travaillé pendant 30 ans au SAMU de Paris et pendant 15 ans au Samu Social de Paris. Secrétaire générale de l'association Les Transmetteurs Catherine Simonin, membre de France Assos Santé, association de défense des patients. Représentante de la Ligue nationale contre le cancer Dr Mathilde Winter, cheffe du service des urgences de l'Hôpital de Carpentras dans le Vaucluse. Programmation musicale :► Oumou Sangare – Bi furu ► Fabio Ramos – Um calice d'inha terra.
Hausse des passages aux urgences, pénurie de soignants, incidents graves et défauts de prises en charge… Les services des urgences, véritable porte d'entrée de l'Hôpital en France, sont en train d'imploser, et ce, en dépit de la promesse, formulée en avril 2023 par Emmanuel Macron, qui promettait alors de désengorger les Urgences d'ici fin 2024. L'été dernier (2024), tandis que de nombreux services d'urgences ont dû fermer temporairement, d'autres ont mis en place un accès « régulé », invitant les patients à appeler au préalable le Samu avant de se rendre aux urgences. Ailleurs encore, des associations de médecins retraités s'organisent afin de reprendre du service et de donner un coup de main à leurs successeurs.Comment faire face à cette crise des urgences ? Comment éviter la saturation de ces services ? Comment répondre à la pénurie de soignants et rendre le métier d'urgentiste plus attrayant pour les étudiants en médecine ? Pr Frédéric Adnet, chef de service du Samu 75 - Smur Hôpital Necker-Enfants malades au sein du groupe hospitalo-universitaire Dr Suzanne Tartière, médecin retraitée, elle a travaillé pendant 30 ans au SAMU de Paris et pendant 15 ans au Samu Social de Paris. Secrétaire générale de l'association Les Transmetteurs Catherine Simonin, membre de France Assos Santé, association de défense des patients. Représentante de la Ligue nationale contre le cancer Dr Mathilde Winter, cheffe du service des urgences de l'Hôpital de Carpentras dans le Vaucluse. Programmation musicale :► Oumou Sangare – Bi furu ► Fabio Ramos – Um calice d'inha terra.
Préparer le Vendée Globe 2028 à 64 ans ? Rien qui n'inquiète vraiment Marc Thiercelin, qui rappelle en rigolant qu'il a "un an de moins que Jean Le Cam". D'autant que l'homme aux 5 tours du monde porte un projet d'Imoca en bois auquel il croit dur comme fer. Et au vu de son parcours, il n'y aurait rien d'étonnant à le voir s'aligner au départ.Enfant, il pratique l'optimist tout en se destinant, très tôt, à devenir luthier, ce qui l'amène à entrer à l'Ecole Boulle à 14 ans, avant de s'installer à La Rochelle, où il se lance dans le Laser puis dans une préparation olympique en 470. Il bifurque ensuite au milieu des années 1980 vers le Brésil où il est directeur artistique d'une agence de pub, puis rentre en France enseigner la voile.L'histoire aurait pu s'arrêter là : en avril 1990, à 30 ans, il passe à deux doigts de la mort, après avoir pris une bôme dans la tête ; réanimé de justesse, il en garde à vie une surdité de l'oreille droite. Verdict des médecins : "Vous allez vous en sortir, mais vous ne naviguerez plus jamais".C'est mal connaître l'animal. Car à partir de là, Marc Thiercelin, malgré son profil atypique, va cocher toutes les cases : la Mini Transat en 1991, la première de ses sept Solitaire du Figaro l'année suivante et, très vite, un projet de Vendée Globe pour lequel il lance un jeu de société Captain Marck et décroche des sponsors pour s'aligner au départ de l'édition dantesque de 1996-1997 qu'il termine 2e à la barre de Crédit Immobilier de France.Derrière, il enchaîne sur Around Alone 1998-199 vec un bateau neuf - construit en quatre mois ! - mis à l'eau quelques semaines avant le départ, puis sur un deuxième Vendée Globe en 2000-2001, terminé à la 4e place. Trois tours du monde en 4 ans et demi - sans compter Transat Jacques Vabre et auters - qui vont laisser des traces.Il prépare un nouveau Vendée Globe sur Pro Form, l'ancien plan Lombard de Catherine Chabaud, en 2004-2005, qu'il termine non classé après avoir abandonné en Nouvelle-Zélance, puis un quatrième, en 2008-2009, cette fois sous les couleurs de DCNS, où il démâte... au bout de deux jours de course.La suite, il la voit en multicoque, investit dans l'ex Oman Air, mais son sponsor ne suit pas. On est en 2012 et Marc Thiercelin, sans partenaire, est resté à quai depuis - il en parle sans fard, avec sincérité. Il fera beaucoup d'autres choses, mais à terre.Pourtant, il n'a jamais perdu espoir, multipliant les projets et les idées, sans succès. Jusqu'à cette révélation l'an dernier : un cinquième Vendée Globe, sur un Imoca en bois, un concept qui semble séduire. Un dernier, pour la route !Diffusé le 24 janvier 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est issu du podcast CLASSE proposé par la Fondation BNP Paribas et disponible ici pendant une semaine. Le podcast CLASSE est à retrouver gratuitement sur toutes les applications de podcasts (Spotify, Apple Podcasts, Deezer...) ou sur https://lnk.to/CLASSEEntre chaque saison à l'Opéra de Paris, le danseur Étoile Hugo Marchand s'est donné une mission : sortir la danse classique et contemporaine des théâtres élitistes et la rendre plus accessible. Pour cela, il lance en 2022 l'association Hugo Marchand Pour La Danse dans le but de promouvoir son art dans des lieux du patrimoine régional. En 2025, près de 9000 spectateurs sont attendus le temps de 3 représentations en plein air, autant d'occasions de créer de l'émerveillement et une nouvelle expérience du collectif.CRÉDITSClasse est un podcast de la fondation BNP Paribas, présenté par Sophie-Marie Larrouy. Générique : Josselin Bordat. Prise de son et réalisation : Mari Jaworski. Identité graphique : Karolina Mikos (Upian). Production exécutive : Binge Audio Créative