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À quelques semaines de son budget, Mark Carney abandonne l’objectif fédéral zéro émission et annonce une salve de nouvelles mesures coûteuses. Le volume postal vers les États-Unis aurait chuté de 81% en août, selon l’Union postale internationale. Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:05:50 - L'invité de la rédaction de "ici Lorraine" - Un quart des jeunes souffre de dépression selon plusieurs organismes dont la Mutualité Française. Plus de 5 500 personnes âgées de 15 à 30 ans ont été interrogés et le constat est alarmant. Pour en parler avec nous, Cyril Tarquinio, professeur de psychologie clinique à l'université de Lorraine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce vendredi 29 août, les mesures d'économie budgétaire annoncées par le Premier ministre lors de son discours face au Medef, notamment le rééquilibrage des aides publiques aux entreprises et des allègements de charges contre une promesse de simplification administrative, ont été abordées par César Armand, journaliste à La Tribune, Jean-Marc Daniel, économiste, professeur d'économie à l'ESCP Europe, et Nathalie Janson, professeure d'économie à Neoma Business School, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Rodrigues : Franceau Grandcourt sollicite une rencontre avec le Dr Navin Ramgoolam, pour discuter des besoins de l'île et des mesures à mettre en place afin de favoriser son développement by TOPFM MAURITIUS
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Baisse des prix des produits essentiels : les mesures prendront effet à partir du 26 août by TOPFM MAURITIUS
Ce mercredi 13 août, les nouvelles mesures prises par le nouveau gouvernement roumain, qui ravivent les tensions politiques et sociales dans le pays, ont été abordées par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Erwan Morice, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Parce que… c'est l'épisode 0x618! Préambule Shameless plug 10 et 11 septembre 2025 - GoSec 2025 Code rabais de 15% - GSPOL25 13 septembre 2025 - BSides Montreal 2025 12 au 17 octobre 2025 - Objective by the sea v8 14 et 15 octobre 2025 - Forum inCyber Canada Code rabais de 30% - CA25KDUX92 10 au 12 novembre 2025 - IAQ - Le Rendez-vous IA Québec 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 Description Introduction et contexte Charlotte Trudelle, consultante en gouvernance, risque et conformité chez Cyblex Consulting, présente la directive européenne NIS 2, qui constitue la suite de NIS 1. Cette réglementation vise à protéger les entités critiques européennes dans un contexte d'augmentation des cyberattaques et d'omniprésence des systèmes d'information. Contrairement au RGPD qui a des applications extraterritoriales, NIS 2 se concentre principalement sur le territoire européen, mais suivra un modèle de transposition similaire dans chaque pays membre. Objectifs et philosophie de NIS 2 L'objectif principal n'est pas d'atteindre une sécurité absolue, mais d'améliorer la résilience et la capacité de réaction aux incidents. La directive vise à “effacer le bruit ambiant” et empêcher les attaques opportunistes, particulièrement les ransomwares facilement déployables. Il s'agit d'établir une hygiène de base en cybersécurité plutôt que de se prémunir contre des attaques étatiques sophistiquées. La directive prône une approche par les risques, reconnaissant que les 18 secteurs d'activité couverts ont des profils de risque variables. L'Europe souhaite également créer un écosystème résilient global, incluant le partage des menaces et vulnérabilités, ainsi que la mise en place du UVD (pendant européen des bases CVE) par l'agence ENISA. Périmètre d'application considérablement élargi NIS 2 couvre 18 secteurs d'activité, répartis entre entités essentielles et entités importantes. Les entités essentielles incluent l'énergie, le transport, l'eau potable (déjà dans NIS 1), auxquels s'ajoutent les eaux usées, la santé, l'espace et les administrations publiques. Le secteur bancaire bénéficie d'un traitement spécial avec le référentiel DORA. Les entités importantes comprennent les services postaux, la gestion des déchets, et la fabrication alimentaire. L'impact est considérable : en France, on passe de 300 entités concernées par NIS 1 à potentiellement 15 000 avec NIS 2, avec des seuils démarrant à 50 employés. Effet de cascade et impact sur les tiers Une différence majeure avec le RGPD réside dans l'effet de cascade sur les fournisseurs et prestataires. Toutes les entreprises travaillant avec les entités régulées devront également se conformer à NIS 2, même si elles n'atteignent pas les seuils de taille requis. Cette approche vise à sécuriser l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement, reconnue comme un vecteur d'attaque privilégié. Mesures et exigences techniques Les mesures s'appuient largement sur la norme ISO 27001, évitant de “réinventer la roue”. Les exigences incluent : Inventaire des actifs (retour aux fondamentaux) Gestion des ressources humaines (approche transverse) Gestion des tiers et prestataires Gestion des incidents avec critères précis de déclaration Supervision et revues régulières La directive fixe des critères quantitatifs précis pour les incidents, éliminant l'interprétation subjective. Contrairement à NIS 1 qui ne réglementait que les systèmes critiques, NIS 2 s'applique à l'ensemble du système d'information, sauf isolation prouvée des systèmes critiques. Sanctions et modèle de contrôle Les sanctions suivent le modèle RGPD : 10 millions d'euros ou 2% du chiffre d'affaires mondial pour les entités essentielles, 7 millions ou 1,4% pour les entités importantes. Le modèle de contrôle ressemble également au RGPD, avec des autorités nationales (ANSSI en France) effectuant des audits et contrôles, sans certification obligatoire prévue. Défis de transposition et accompagnement La transposition française accuse du retard, adoptée par le Sénat en mars et en cours d'examen à l'Assemblée nationale. Le projet “Résilience” transpose simultanément NIS 2, DORA et CER (Critical Entities Resilience), créant une complexité réglementaire supplémentaire. L'ANSSI privilégie l'accompagnement à la sanction, reconnaissant que de nombreuses entités découvrent la réglementation cyber. Des outils d'auto-évaluation et de suivi sont déjà disponibles pour faciliter la transition. Impact sur les différents types d'organisations Pour les grandes entreprises internationales, déjà familières avec l'ISO 27001, l'adaptation devrait être relativement aisée. La principale préoccupation concerne le “millefeuille réglementaire” et la conformité administrative. Les PME et administrations publiques, notamment les collectivités et hôpitaux, font face à des défis plus importants : manque de personnel spécialisé, budgets contraints, et cybersécurité éloignée du cœur de métier. Des initiatives de mutualisation émergent dans certains secteurs. Perspective et enjeux futurs NIS 2 représente un changement culturel majeur, intégrant la cyberattaque dans la gestion de crise standard. La philosophie du directeur de l'ANSSI résume bien l'approche : “ce n'est pas si vous allez être attaqué, mais quand”. L'objectif est la résilience - continuer à fonctionner malgré l'incident. Cette réglementation s'inscrit dans la volonté européenne d'uniformiser le marché, créant une prévisibilité similaire à celle du marché américain. Bien que la période d'adaptation puisse être inconfortable, elle devrait considérablement renforcer la résilience collective face aux cybermenaces. La réussite de NIS 2 dépendra de sa capacité à éviter la “conformité pour la conformité” et à véritablement améliorer la maturité cybersécuritaire de l'écosystème européen. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Charlotte Trudelle Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm
Chroniqueurs : - Michel Fayad, Analyste politique et géopolitique - Gilles Boutin, Journaliste au Figaro Économie Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Jérôme Moreau, vice-président et porte-parole de la Fédération France Victimes Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rentrée du troisième trimestre : le ministre de l'Éducation Mahend Gungapersad appelle les collégiens à l'autodiscipline et annonce d'avantages de mesures pour lutter contre le harcèlement et la drogue by TOPFM MAURITIUS
Avui es compleixen 46 anys dels incendis de Los Pinares, amb 21 víctimes mortals.
durée : 00:15:03 - Journal de 18h - Les suites de l' offensive protectionniste de Donald Trump à base de droits de douanes : la Commission européenne se donne six mois pour architecturer une riposte.
durée : 00:15:03 - Journal de 18h - Les suites de l' offensive protectionniste de Donald Trump à base de droits de douane : la Commission européenne se donne six mois pour architecturer une riposte.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux du 03 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée : Béatrice Brugère, secrétaire générale du syndicat Unité Magistrats-FO Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Tunisie, la hausse des tarifs douaniers imposée par les États-Unis va entrer en vigueur jeudi 7 août. Ce serrage de vis tarifaire s'inscrit dans le cadre d'une vague de surtaxes douanières qui touchent près d'une soixantaine de pays. Une augmentation de 25 % qui va surtout affecter l'artisanat tunisien dont les États-Unis sont les premiers importateurs. Avec notre correspondante à Tunis, À l'Office national de l'artisanat, dans le quartier de La Manouba à Tunis, Karim Bairam supervise la découpe des pierres pour ses mosaïques. 80% de la production de cet artiste mosaïste et sculpteur part à l'export, une grande partie vers les États-Unis. « Je travaille avec des particuliers, des clients qui ont des maisons et qui veulent acheter une pièce souvenir d'ici comme une grande table ou un tableau », détaille-t-il. Il prend l'exemple de sa dernière pièce d'une valeur d'environ 3 000 dinars. Les taxes et les frais d'envois appliqués s'élèvent actuellement à environ 1 200 dinars, peut-être 1 600 environ après l'application des nouvelles taxes, explique l'artisan. Des coûts de douane et de livraison qui sont aux frais du client. Pour l'instant, la différence n'est pas trop importante pour les commandes à l'unité des particuliers, mais Karim redoute les conséquences sur le long terme : « Avec une grande commande, ils vont calculer tout ça, tu vois, c'est sûr. » Mesures pour une baisse des coûts d'envoi, diversification des marchés Karim explore déjà de nouveaux marchés comme la Chine. Aux États-Unis, Kenza Fourati co-fondatrice de la marque Osay the Label, qui vend des babouches traditionnelles en cuir importées de Tunisie, craint de devoir augmenter ses prix pour ne pas diminuer sa marge déjà petite. « L'impact sur les artisans avec lesquels on travaille sera forcément qu'il y aura moins de production, le volume de production va forcément diminuer un peu si les prix changent », anticipe-t-elle. « C'est ça qui nous inquiète un peu, car notre travail est à échelle très humaine. Il y a des compagnies plus grandes qui peuvent absorber ces coûts et sont donc moins impactées. Mais des compagnies à petite taille comme les nôtres, ce sont elles qui en souffrent le plus. Les gens vont souffrir sur toute la ligne de production de ces tarifs », poursuit l'entrepreneuse. À Tunis, à l'office de l'artisanat, Leila Maslati, la directrice, veut rassurer les 350 000 artisans qui travaillent dans le pays. Elle prévoit la relance d'un projet avec le ministère du Commerce pour faire baisser le coup d'envoi et de livraison vers les États-Unis, mais aussi une diversification des marchés. « L'Afrique, c'est important pour nous, cette année, on a eu deux participations qui étaient bénéfiques pour le secteur de l'artisanat, au Cameroun et aussi au Nigeria. Et on aura en 2026 une participation importante en Côte d'Ivoire », précise-t-elle. En 2024, le volume des exportations de l'artisanat représentait 160 millions de dinars tunisiens – environ 55 millions de dollars – plus d'un tiers destiné au marché américain.
Maxime Sbaihi, économiste spécialiste de la démographie, se prononce sur les dernières données de l'INSEE : pour la première fois depuis 1945, la France enregistre plus de décès que de naissances. Un basculement démographique qui interroge sur l'avenir du pays, entre vieillissement de la population et baisse durable de la fécondité. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD - Nathan Devers, essayiste et philosophe Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après l'Union européenne vendredi, le Royaume Uni a pris de nouvelles mesures pour lutter contre la flotte fantôme russe. 135 nouveaux navires ont été placés sur la liste de Londres, interdits de port et d'assurance. Malgré ces mesures, le pétrole russe continue d'affluer vers l'Asie… et même indirectement vers l'Europe. Une économie parallèle, opaque et risquée, qui rapporte des milliards à Moscou.
Gel des dépenses de l'État, non remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite, une coupe de cinq milliards dans les dépenses de santé. Le Premier ministre François Bayrou a annoncé un plan destiné à économiser près de 44 milliards d'euros pour limiter le déficit public. « Des mesures simples, voire simplistes, fustige Le Point dans son éditorial. En tout cas rapides à mettre en œuvre ». L'hebdomadaire déplore l'absence de réforme annoncée. Un sentiment que partage le Le Journal du Dimanche : « Quand s'attaquera-t-on aux dépenses de l'État ?» se demande le média qui pointe le risque à terme d'une dégradation de la note de la France sur les marchés financiers, ce qui obligerait le pays à emprunter à des taux plus élevés. « Des mesures qui visent les classes moyennes et les plus modestes », écrit Le Nouvel Obs qui recense plusieurs mesures comme le gel des prestations sociales « qui laissent effectivement à penser que les classes populaires seront bien plus mise à contribution que les Français les plus riches ». Marianne, de son côté, déplore que le Premier ministre demande « des efforts aux français, aux plus âgés notamment, sans leur expliquer pourquoi le pays s'est enfoncé dans les déficits ? Sans exercer un droit d'inventaire sur les orientations du président de la République ? » S'attaquer au déficit public L'Express consacre tout un dossier au déficit public et s'interroge : « Pourquoi les autres font mieux que nous ? ». La France est l'un des plus mauvais élèves en la matière en Europe, elle « s'endette désormais à des taux plus élevés que le Portugal, l'Espagne et la Grèce ». L'Italie qui a longtemps traîné une mauvaise réputation est parvenue à faire passer son déficit à 3,4% du PIB en 2024 contre 7,2% un an plus tôt. « Un ajustement serré réalisé en un temps record, indique le magazine. Le gouvernement de Georgia Meloni a notamment supprimé différents dispositifs d'aides (...) comme le super bonus pour les travaux de rénovation énergétique (...) des mesures passées quasiment inaperçues », poursuit l'Express. L'Espagne, elle, bénéficie d'une croissance forte, mais elle a su faire des réformes, marché du travail et retraites : « elle fait davantage contribuer les plus haut revenus et maintien l'âge de départ à 67 ans », contre 62 ans en France. Et justement, « la dépense publique est de plus en plus consacrée aux retraites », poursuit l'hebdomadaire. « Les retraités vrais coupables ou boucs émissaires », s'interroge Marianne. « Depuis trente ans, la France enchaîne les réformes reculant l'âge de la retraite sans toucher aux pensions. Car les sabrer serait remettre en cause un contrat moral passé entre les générations : impensable », affirme le magazine. Et « si le sujet est tabou, c'est aussi parce que les retraités pèsent lourd dans l'électorat (...): 74% des plus de 60 ans ont voté aux dernières élections contre 51% des 25-34 ans ». L'accord sur la Nouvelle-Calédonie Accord signé après dix jours et dix nuits de négociations, selon Le Point, une table de ping-pong aurait aidé à « parvenir à un accord ». Cela a « aidé à détendre l'ambiance », raconte une des participantes. Concrètement, le document « esquisse la création d'un État de la Nouvelle-Calédonie, un ovni juridique imaginé par l'exécutif français, relate l'Express. (...) Le territoire reste inscrit dans la Constitution française. De l'autre, le "Caillou" se dote de presque tous les symboles d'un État à part entière ». Le Congrès calédonien pourra modifier nom, drapeau, hymne et devise et les relations internationales et diplomatiques deviennent aussi une compétence calédonienne. Les indépendantistes « ont renoncé à une indépendance sèche », précise l'hebdomadaire. Les non-indépendantistes « ont aussi accepté des concessions sur les compétences régaliennes, ligne rouge déclarée indépassable avant le début des négociations ». C'est un « pari réussi pour Emmanuel Macron », résume l'Express. Le Nouvel Obs s'intéresse à la gentillesse La force de la gentillesse qui viendrait au secours de nos démocraties menacées. « Dans le contexte actuel d'oppositions et de clashs permanents, réhabiliter cette qualité essentielle, injustement prise de haut, relève d'un devoir démocratique », affirme au magazine la philosophe Laurence Devillairs. « Dans nos sociétés laïcisées, on préfère les notions de bienveillance ou d'empathie (...) car la bienveillance est plus chic que la gentillesse », poursuit l'Obs. Bienveillance ou gentillesse, il en faudrait en tout cas plus en entreprise car elle est « la base de toute relation saine ». Alors quel gentil êtes-vous ? Le magazine distingue trois catégories : « les gentils stratèges », c'est plutôt la flatterie que vous pratiquez pour parvenir à vos fins. Les « gentils lâches », ceux qui disent oui pour avoir la paix. Et puis, les « gentils tout court ».
Certains élus socialistes souhaitent entamer des négociations avec François Bayrou, avant les discussions sur le budget qui se dérouleront à l'automne au Parlement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Charles de Courson, rapporteur général du budget à l'Assemblée Nationale et député LIOT de la Marne Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:26 - François Bayrou annonce des mesures drastiques pour réduire le déficit public Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon du 15 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 03 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 25 juin, les mesures d'économies dévoilées par la Sécu et l'échec du conclave sur les retraites ont été abordés par Patrick Artus, économiste et conseiller économique de la société de gestion Ossiam, Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des Economistes, et Philippe Manière, président de Vae Solis Communications, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:25 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Avec leur soutien à la "guerre préventive" revendiquée par Israël contre l'Iran, les Occidentaux ont-ils des principes à géométrie variable ?
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce mercredi 11 juin 2025, les GG : Fatima Aït Bounoua, prof de français, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Didier Giraud, éleveur de bovins, débattent du sujet du jour : Surveillante tuée, des mesures à la hauteur ?
L'Union africaine s'est dite "préoccupée", N'Djamena "surprise", et Brazzaville a dénoncé un "malentendu" après l'interdiction d'entrée sur le territoire américain aux ressortissants de sept pays africains, dont le Tchad et le Congo-Brazzaville, sur douze Etats concernés au total. Le Tchad a annoncé jeudi "suspendre l'octroi des visas aux citoyens des États-Unis d'Amérique", en réaction à la décision du président américain Donald Trump, qui s'applique également à la Guinée équatoriale, l'Erythrée, la Libye, la Somalie et le Soudan.
Vivre avec les bonnes mesures by Rav David Touitou
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REDIFF - Les géants du web, Facebook, Instagram et YouTube, annoncent des mesures pour lutter contre les arnaques en ligne. Facebook et Instagram prévoient un outil de reconnaissance faciale pour détecter les vidéos truquées de célébrités, tandis que YouTube s'attaque aux vidéos de faux investissements. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports de France, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la suppression des fameuses zones à faibles émissions, du chantier de l'autoroute A69, des taxis en colère face aux nouvelles règles de tarification imposées par l'Assurance-maladie pour réduire la facture du transport des malades et de la TVA sociale piste remise au centre du débat par François Bayrou. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mardi, il revient sur la déclaration de François Bayrou qui estime qu'il faut demander un effort aux Français. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Parti républicain regroupe actuellement différents courants de pensées conservateurs aux États-Unis avec une partie qui se reconnait comme libertarienne. Une idéologie souvent assimilée aux conservateurs, pourtant, elle s'y oppose sur de nombreux points. Rencontre avec des libertariens de la ville de Mount Washington, dans le Kentucky, pour voir ce qu'ils pensent de la politique du président Donald Trump. De notre envoyé spécial à Mount Washington,Trois personnes terminent la réunion mensuelle du parti libertarien local, dans une salle de cette bibliothèque publique. Un des points de désaccord avec les républicains est la place qu'occupe la religion dans la politique, comme l'explique Steve, le président du parti libertarien local : « Je me considère comme un chrétien anarchiste. Ce qui veut dire que chacun devrait vivre la vie que Dieu a prévue pour lui et le gouvernement ne devrait pas nous dire comment faire cela. Le gouvernement ne doit avoir aucun rôle dans la vie des personnes, ce que les gens font ne nous regarde pas. »De nombreux États conservateurs, comme ici dans le Kentucky, ont interdit ou réduit l'accès à l'avortement, citant notamment des raisons religieuses. Un argument auquel Steve s'oppose : « Je ne suis pas en faveur de l'avortement, je n'aime pas ça. Mais s'il existe une clinique d'avortement et une personne estime qu'elle a besoin d'y aller, je peux détourner le regard, car la dernière chose qu'on veut, c'est la création d'un marché noir. »Diminuer le rôle du gouvernement Autre point de désaccord : la politique anti-immigration des républicains contraire aux valeurs de Mitch : « Je suis pour l'ouverture des frontières. Je n'ai aucun problème à ce que les gens entrent dans ce pays. C'est ce que tout le monde a fait quand ce pays a été créé. Et je pense que c'est formidable d'avoir un groupe varié de personnes avec des idées et des cultures différentes. C'est une chose géniale. Essayer de renvoyer la moitié de la population ou je ne sais combien, on s'en fiche. »Une des revendications principales des libertariens est de diminuer le rôle du gouvernement, ce que fait Donald Trump avec ses coupes budgétaires drastiques et ses licenciements de fonctionnaires. Mais la façon dont le président procède n'est pas la bonne pour Rhonda : « Je pense qu'on doit examiner chaque partie de l'administration pour voir où l'on peut faire ces changements. Mais arriver avec un bulldozer en renvoyant tout le monde et retirant des ressources du peuple américain n'est pas la bonne façon de le faire. »Les trois personnes s'opposent également au système politique américain dominé par les deux partis - -républicain et démocrate - et regrettent le manque d'alternatives politiques.
Au programme :La justice américaine pourrait imposer à Google de vendre Chrome700 millions: l'UE frappe fort pour faire respecter le DMAMalaise: sur Facebook, John Cena s'adonne à vos fantasmes (par IA bien sûr)Le reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Musicincloud.Le Rendez-vous Tech épisode 616 – Qui dit monopole dit mesures drastiques – Google, Chrome, Apple, Meta, UE, DMA, Chatbot---Liens :Laurent sur Instagram: https://www.instagram.com/notmarkhorLe site de Media-TIC: https://www.media-tic.org/Le podcast « Une vie (pas) comme les autres »: https://www.youtube.com/@Une-vie-pas-comme-les-autres
durée : 00:17:17 - Meurtre dans une mosquée : deux poids, deux mesures ?
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:16 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de l'émission, la Une de l'écologie avec Loup Espargilière de Vert le média à propos des dernières annonces faites par les ministres de l'agriculture et de l'écologie sur l'OFB, ainsi que vos messages laissés sur le répondeur. - réalisé par : Jérôme BOULET
Donald Trump poursuit la guerre commerciale qu'il mène à l'encontre de la Chine. Désormais, le pays est visé par des taxes douanières de 145 %. Cette escalade va frapper de plein fouet les petits producteurs chinois. Ils sont des dizaines et des dizaines de milliers et représentent un secteur vital de l'économie de la Chine : les petits producteurs. Ce sont ces manufactures de taille moyenne qui produisent tout ou partie des biens importés depuis la Chine. On peut notamment penser à des fabricants de vêtements, de sacs, de machines ou encore d'équipements de cuisine. Ces structures, comme le précise le New York Times, ce sont des ateliers familiaux, voire semi-industriels et ils dépendent fortement de la demande internationale. Leur principal argument évidemment, c'est la production à très bas coût, mais avec des droits de douane de 145%, c'est toute la chaîne de production qui s'écroule de la Chine aux États-Unis ! À lire aussiLe reste du monde se prépare à une inondation de produits chinois bon marchéRentabilité minimale Prenons par exemple un t-shirt qui sort de ces ateliers chinois et qui est à destination de New York. La pièce va être produite, puis prendre un bateau direction les États-Unis. Disons que, symboliquement, tout cela coûte 10 dollars à l'exportateur. Sauf qu'il va devoir appliquer 145% de taxes. La valeur du t-shirt va donc augmenter et passer à 24,5 dollars. À ce montant, il faudra ajouter la marge du commerçant qui vendra ce t-shirt dans sa boutique de Brooklyn. Avec un tel prix, il va être difficile de trouver preneur. Et c'est là que les producteurs chinois souffrent puisque les exportateurs vont essayer de rogner sur le prix du t-shirt. Mais ces structures sont déjà à la limite de la rentabilité, essorées par les grossistes qui tentent d'acheter au prix le plus bas. Ce qui se passe aujourd'hui, ce sont donc des commandes annulées par les importateurs américains. Résultat, la production est bloquée, les stocks s'accumulent sans trouver d'acheteurs. Bref, la perte est sèche pour ces ateliers, ce qui en bout de chaine implique des suppressions d'emplois. À lire aussiLa Chine sur une ligne de crête face à la politique douanière de Donald TrumpQuelles alternatives ? Ces producteurs peinent à trouver des solutions. L'une d'elles serait de se tourner vers le marché chinois. Mais c'est complexe. Le marché domestique est saturé, marqué par une demande en baisse. Difficile donc d'écouler les stocks. On peut imaginer en effet une recherche de nouveaux marchés, mais les volumes sont loin de compenser la perte du marché américain. Car on le précise, l'an passé, ce sont 440 milliards de dollars de produits fabriqués en Chine qui sont arrivés aux États-Unis. Et puis pour ne rien arranger, les entreprises chinoises sont déjà frappées par une surcapacité industrielle, leurs entrepôts débordent ! Pourtant, la Chine réplique aux mesures de Donald Trump. Symboliquement, difficile de rester sans répondre devant de telles décisions. Au niveau national, le gouvernement tente aussi de juguler la situation. L'État notamment vient de recapitaliser les grandes banques qui ne sont pas en forme. Les plans de relance ont permis de soutenir la croissance à court terme, mais la grande question, c'est de savoir comment tout l'écosystème industriel et manufacturier chinois va faire face durant les prochains mois.À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?
L'assèchement de l'Indus, le fleuve qui traverse les deux provinces greniers à blé du Pakistan, le Pendjab et le Sind, fait craindre le pire pour les récoltes de la fin de l'hiver. Selon les autorités, la pénurie d'eau pourrait atteindre 35% dans les semaines à venir. Selon de récentes prévisions, les barrages d'eau dans la région atteindraient le niveau zéro d'ici à un mois. La situation est alarmante. Les pénuries croissantes d'eau deviennent la norme chaque année au Pakistan, qui se trouve sur la ligne de front du changement climatique. Il y a plus d'un mois, les autorités de la province du Pendjab ont décidé de pénaliser le gâchis d'eau dans le secteur privé. De notre correspondante dans le Pendjab, Sonia Ghezali, et avec la collaboration de Shahzaib Wahlah« Allume la pompe. » Chaque jour, c'est le même rituel pour Mohammad Awais Mubarak : il ordonne à ses employés d'enclencher le système électrique de pompage de l'eau souterraine. Pour irriguer son champ de huit hectares de fraises, de blé et de maïs, il n'a pas d'autre choix, les canaux reliés à la rivière Ravi étant complètement secs.Mohammad Awais Mubarak possède des terres agricoles. « L'assèchement de la rivière a entraîné une baisse du niveau de la nappe phréatique. Dans le passé, nous pouvions obtenir de l'eau à 23 mètres de profondeur. Aujourd'hui, il faut aller à au moins 46 mètres. Et le coût pour creuser un nouveau puits s'élève à plus de 3 300 euros, alors qu'avant, cela coûtait la moitié de cette somme. De plus, les puits s'assèchent rapidement et nous devons constamment en creuser de nouveaux », confie-t-il.L'agriculteur cultive ses huit hectares de terres depuis plus de 20 ans. Mohammad Awais a dû s'adapter à l'assèchement de la rivière et à ses conséquences : « Les années précédentes, nous cultivions beaucoup de riz ici, mais maintenant, nous pensons que nous ne pourrons plus en cultiver et que nous devrons passer au maïs, parce que cela demande moins d'eau. »À lire aussiLe Pakistan sur la ligne de front du réchauffement climatiqueLe recyclage de l'eau désormais imposéÀ Lahore, la capitale provinciale, les autorités locales ont décidé de passer à l'action. Elles ont imposé depuis quelques semaines aux entreprises, aux usines et aux stations de lavage automobiles, l'installation d'un système de recyclage de l'eau. L'Agence de la protection de l'environnement a pour mission de faire appliquer ces mesures. Ses agents sillonnent la ville en quête de contrevenants. Ce jour-là, ils s'arrêtent dans une station de lavage. Les employés sont en train de laver une voiture à grande eau grâce à l'aide d'un long tuyau.« Où se trouve votre système de recyclage ? Arrêtez votre travail maintenant. Où stockez-vous l'eau sale ? », demande l'un des agents. Un employé désigne une cale en sous-sol : « Il y a un réservoir souterrain ici. » « Où va l'eau ensuite ? », reprend l'agent. « Dans les canalisations », répond l'employé. « Vous n'avez pas de système de recyclage ? », questionne l'agent. Il n'y a, en fait, aucun système de recyclage. Un des agents tend au propriétaire une amende de 164 euros, soit trois fois les recettes journalières de sa station de lavage.L'inspecteur Khurram ordonne la fermeture immédiate des locaux jusqu'à nouvel ordre. Il déplore le gâchis d'eau répandu dans la province : « L'eau doit être recyclée et réutilisée. Sans ce système, les pompes à essence, les stations de lavage ou les industries ne sont pas autorisées à fonctionner, car le niveau de la nappe phréatique s'épuise très rapidement. »L'inspecteur n'est pas confiant quant à l'avenir. Selon lui, les pénuries ne feront que s'aggraver, le gâchis d'eau étant ancré dans les habitudes domestiques, lesquelles ne font l'objet d'aucun contrôle. Selon de récentes études, d'ici à 2040, le Pakistan pourrait devenir le pays dont les réserves d'eau seront les plus faibles de la région.À écouter aussiComment s'adapter aux prochaines pénuries d'eau ?
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud, et Flora Ghebali, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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