POPULARITY
Categories
Conversem amb Yago Alonso, coautor i codirector, i Francesc Ferrer, actor, de ‘Mesures extraordinàries', estrenada al Teatre Borràs
Conversem amb Yago Alonso, coautor i codirector, i Francesc Ferrer, actor, de ‘Mesures extraordinàries', estrenada al Teatre Borràs. L'escriptora i traductora Carlota Gurt ens fa propostes culturals des del desert. I amb Oriol Puig Taulé repassem la resta de l'actualitat escènica
L'Union africaine s'est dite "préoccupée", N'Djamena "surprise", et Brazzaville a dénoncé un "malentendu" après l'interdiction d'entrée sur le territoire américain aux ressortissants de sept pays africains, dont le Tchad et le Congo-Brazzaville, sur douze Etats concernés au total. Le Tchad a annoncé jeudi "suspendre l'octroi des visas aux citoyens des États-Unis d'Amérique", en réaction à la décision du président américain Donald Trump, qui s'applique également à la Guinée équatoriale, l'Erythrée, la Libye, la Somalie et le Soudan.
Vivre avec les bonnes mesures by Rav David Touitou
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Les géants du web, Facebook, Instagram et YouTube, annoncent des mesures pour lutter contre les arnaques en ligne. Facebook et Instagram prévoient un outil de reconnaissance faciale pour détecter les vidéos truquées de célébrités, tandis que YouTube s'attaque aux vidéos de faux investissements. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ara, quan tinguem diners... Crítica teatral de l'obra «Mesures extraordinàries», de Carmen Marfà i Yago Alonso. Intèrprets: Mercè Arànega, Francesc Ferrer i Mia Sala-Patau / Abril Julien. Escenografia: Enric Planas. Vestuari: Ariadna Julià. Música: Jordi Marfà. Agraïments: Ferreteria Calser. Direcció: Carmen Marfà i Yago Alonso. Teatre Borràs, Barcelona, 29 maig 2025. Veu: Andreu Sotorra. Música: Somethin'Stupid. Interpretació: Frank sinatra i Nancy Sinatra. Composició: Carson C. Parks. Àlbum: The World We Knew, 1967.
Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports de France, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la suppression des fameuses zones à faibles émissions, du chantier de l'autoroute A69, des taxis en colère face aux nouvelles règles de tarification imposées par l'Assurance-maladie pour réduire la facture du transport des malades et de la TVA sociale piste remise au centre du débat par François Bayrou. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
durée : 00:12:24 - L'invité franceinfo soir - L'Assemblée nationale a approuvé mercredi coup sur coup la suppression des zones à faibles émissions, qui restreignent la circulation des véhicules les plus polluants.
Chaque jour, entre 9h et 9h30, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce mardi, il revient sur la déclaration de François Bayrou qui estime qu'il faut demander un effort aux Français. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les auditeurs RMC ont la parole sur un sujet d'actualité avec Anaïs Castagna et Peggy Broche.
Le Parti républicain regroupe actuellement différents courants de pensées conservateurs aux États-Unis avec une partie qui se reconnait comme libertarienne. Une idéologie souvent assimilée aux conservateurs, pourtant, elle s'y oppose sur de nombreux points. Rencontre avec des libertariens de la ville de Mount Washington, dans le Kentucky, pour voir ce qu'ils pensent de la politique du président Donald Trump. De notre envoyé spécial à Mount Washington,Trois personnes terminent la réunion mensuelle du parti libertarien local, dans une salle de cette bibliothèque publique. Un des points de désaccord avec les républicains est la place qu'occupe la religion dans la politique, comme l'explique Steve, le président du parti libertarien local : « Je me considère comme un chrétien anarchiste. Ce qui veut dire que chacun devrait vivre la vie que Dieu a prévue pour lui et le gouvernement ne devrait pas nous dire comment faire cela. Le gouvernement ne doit avoir aucun rôle dans la vie des personnes, ce que les gens font ne nous regarde pas. »De nombreux États conservateurs, comme ici dans le Kentucky, ont interdit ou réduit l'accès à l'avortement, citant notamment des raisons religieuses. Un argument auquel Steve s'oppose : « Je ne suis pas en faveur de l'avortement, je n'aime pas ça. Mais s'il existe une clinique d'avortement et une personne estime qu'elle a besoin d'y aller, je peux détourner le regard, car la dernière chose qu'on veut, c'est la création d'un marché noir. »Diminuer le rôle du gouvernement Autre point de désaccord : la politique anti-immigration des républicains contraire aux valeurs de Mitch : « Je suis pour l'ouverture des frontières. Je n'ai aucun problème à ce que les gens entrent dans ce pays. C'est ce que tout le monde a fait quand ce pays a été créé. Et je pense que c'est formidable d'avoir un groupe varié de personnes avec des idées et des cultures différentes. C'est une chose géniale. Essayer de renvoyer la moitié de la population ou je ne sais combien, on s'en fiche. »Une des revendications principales des libertariens est de diminuer le rôle du gouvernement, ce que fait Donald Trump avec ses coupes budgétaires drastiques et ses licenciements de fonctionnaires. Mais la façon dont le président procède n'est pas la bonne pour Rhonda : « Je pense qu'on doit examiner chaque partie de l'administration pour voir où l'on peut faire ces changements. Mais arriver avec un bulldozer en renvoyant tout le monde et retirant des ressources du peuple américain n'est pas la bonne façon de le faire. »Les trois personnes s'opposent également au système politique américain dominé par les deux partis - -républicain et démocrate - et regrettent le manque d'alternatives politiques.
Le Parti républicain regroupe actuellement différents courants de pensées conservateurs aux États-Unis avec une partie qui se reconnait comme libertarienne. Une idéologie souvent assimilée aux conservateurs, pourtant, elle s'y oppose sur de nombreux points. Rencontre avec des libertariens de la ville de Mount Washington, dans le Kentucky, pour voir ce qu'ils pensent de la politique du président Donald Trump. De notre envoyé spécial à Mount Washington,Trois personnes terminent la réunion mensuelle du parti libertarien local, dans une salle de cette bibliothèque publique. Un des points de désaccord avec les républicains est la place qu'occupe la religion dans la politique, comme l'explique Steve, le président du parti libertarien local : « Je me considère comme un chrétien anarchiste. Ce qui veut dire que chacun devrait vivre la vie que Dieu a prévue pour lui et le gouvernement ne devrait pas nous dire comment faire cela. Le gouvernement ne doit avoir aucun rôle dans la vie des personnes, ce que les gens font ne nous regarde pas. »De nombreux États conservateurs, comme ici dans le Kentucky, ont interdit ou réduit l'accès à l'avortement, citant notamment des raisons religieuses. Un argument auquel Steve s'oppose : « Je ne suis pas en faveur de l'avortement, je n'aime pas ça. Mais s'il existe une clinique d'avortement et une personne estime qu'elle a besoin d'y aller, je peux détourner le regard, car la dernière chose qu'on veut, c'est la création d'un marché noir. »Diminuer le rôle du gouvernement Autre point de désaccord : la politique anti-immigration des républicains contraire aux valeurs de Mitch : « Je suis pour l'ouverture des frontières. Je n'ai aucun problème à ce que les gens entrent dans ce pays. C'est ce que tout le monde a fait quand ce pays a été créé. Et je pense que c'est formidable d'avoir un groupe varié de personnes avec des idées et des cultures différentes. C'est une chose géniale. Essayer de renvoyer la moitié de la population ou je ne sais combien, on s'en fiche. »Une des revendications principales des libertariens est de diminuer le rôle du gouvernement, ce que fait Donald Trump avec ses coupes budgétaires drastiques et ses licenciements de fonctionnaires. Mais la façon dont le président procède n'est pas la bonne pour Rhonda : « Je pense qu'on doit examiner chaque partie de l'administration pour voir où l'on peut faire ces changements. Mais arriver avec un bulldozer en renvoyant tout le monde et retirant des ressources du peuple américain n'est pas la bonne façon de le faire. »Les trois personnes s'opposent également au système politique américain dominé par les deux partis - -républicain et démocrate - et regrettent le manque d'alternatives politiques.
OFLP : Un live sans langue de bois tous les jeudis dès 19h15 sur http://twitch.tv/kahikusu► Agenda FGC et réseaux sociaux : linktr.ee/kahikusu► Bluesky : https://bsky.app/profile/kahikusu.bsky.social► https://twitter.com/kahikusu---------------------------------------------------------------0:00 : Intro et programme2:41 : Blazing Strie finalement sur Xbox Series4:46 : Killer Instinct Gold dans le Nintendo Switch Online6:56 : Fatal Fury se vend timidement au Japon11:36 : Le top 12 des ventes sur Steam pour Fatal Fury COTW13:41 : Le PDG de SNK quitte le navire16:49 : Premières mesures de SF6 contre le Throw Loop19:42 : Fin de l'émission, rdv jeudi sur Twitch !
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la santé mentale et le bien-être des adolescents se dégradent depuis plusieurs années, Elisabeth Borne réagit. La ministre a présenté, lors des assises de la santé scolaire, une série de mesures pour tenter de mieux répondre à ces problèmes. Quelles sont-elles? On pose la question à Véronique Fèvre, cheffe du service éducation de BFMTV.
Au programme :La justice américaine pourrait imposer à Google de vendre Chrome700 millions: l'UE frappe fort pour faire respecter le DMAMalaise: sur Facebook, John Cena s'adonne à vos fantasmes (par IA bien sûr)Le reste de l'actualitéInfos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par Guillaume Vendé (Bluesky).Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen Moreau (LinkedIn).Musique libre de droit par Musicincloud.Le Rendez-vous Tech épisode 616 – Qui dit monopole dit mesures drastiques – Google, Chrome, Apple, Meta, UE, DMA, Chatbot---Liens :Laurent sur Instagram: https://www.instagram.com/notmarkhorLe site de Media-TIC: https://www.media-tic.org/Le podcast « Une vie (pas) comme les autres »: https://www.youtube.com/@Une-vie-pas-comme-les-autres
durée : 00:17:17 - Meurtre dans une mosquée : deux poids, deux mesures ?
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les CPAS wallons et bruxellois sont très inquiets par les mesures du gouvernement visant à exclure les demandeurs d'emploi qui perçoivent des allocations depuis deux ans. On estime qu'environ 100 000 personnes seront d'ores et déjà concernées dès le 1er janvier 2026. Les CPAS craignent des drames sociaux en rafale et des conséquences tout aussi graves sur le personnel. On en parle avec Alain VAESSEN, Directeur général de la Fédération des CPAS Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:16 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de l'émission, la Une de l'écologie avec Loup Espargilière de Vert le média à propos des dernières annonces faites par les ministres de l'agriculture et de l'écologie sur l'OFB, ainsi que vos messages laissés sur le répondeur. - réalisé par : Jérôme BOULET
Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l'Europe répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la crise franco-algérienne et la guerre israélo-palestinienne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump poursuit la guerre commerciale qu'il mène à l'encontre de la Chine. Désormais, le pays est visé par des taxes douanières de 145 %. Cette escalade va frapper de plein fouet les petits producteurs chinois. Ils sont des dizaines et des dizaines de milliers et représentent un secteur vital de l'économie de la Chine : les petits producteurs. Ce sont ces manufactures de taille moyenne qui produisent tout ou partie des biens importés depuis la Chine. On peut notamment penser à des fabricants de vêtements, de sacs, de machines ou encore d'équipements de cuisine. Ces structures, comme le précise le New York Times, ce sont des ateliers familiaux, voire semi-industriels et ils dépendent fortement de la demande internationale. Leur principal argument évidemment, c'est la production à très bas coût, mais avec des droits de douane de 145%, c'est toute la chaîne de production qui s'écroule de la Chine aux États-Unis ! À lire aussiLe reste du monde se prépare à une inondation de produits chinois bon marchéRentabilité minimale Prenons par exemple un t-shirt qui sort de ces ateliers chinois et qui est à destination de New York. La pièce va être produite, puis prendre un bateau direction les États-Unis. Disons que, symboliquement, tout cela coûte 10 dollars à l'exportateur. Sauf qu'il va devoir appliquer 145% de taxes. La valeur du t-shirt va donc augmenter et passer à 24,5 dollars. À ce montant, il faudra ajouter la marge du commerçant qui vendra ce t-shirt dans sa boutique de Brooklyn. Avec un tel prix, il va être difficile de trouver preneur. Et c'est là que les producteurs chinois souffrent puisque les exportateurs vont essayer de rogner sur le prix du t-shirt. Mais ces structures sont déjà à la limite de la rentabilité, essorées par les grossistes qui tentent d'acheter au prix le plus bas. Ce qui se passe aujourd'hui, ce sont donc des commandes annulées par les importateurs américains. Résultat, la production est bloquée, les stocks s'accumulent sans trouver d'acheteurs. Bref, la perte est sèche pour ces ateliers, ce qui en bout de chaine implique des suppressions d'emplois. À lire aussiLa Chine sur une ligne de crête face à la politique douanière de Donald TrumpQuelles alternatives ? Ces producteurs peinent à trouver des solutions. L'une d'elles serait de se tourner vers le marché chinois. Mais c'est complexe. Le marché domestique est saturé, marqué par une demande en baisse. Difficile donc d'écouler les stocks. On peut imaginer en effet une recherche de nouveaux marchés, mais les volumes sont loin de compenser la perte du marché américain. Car on le précise, l'an passé, ce sont 440 milliards de dollars de produits fabriqués en Chine qui sont arrivés aux États-Unis. Et puis pour ne rien arranger, les entreprises chinoises sont déjà frappées par une surcapacité industrielle, leurs entrepôts débordent ! Pourtant, la Chine réplique aux mesures de Donald Trump. Symboliquement, difficile de rester sans répondre devant de telles décisions. Au niveau national, le gouvernement tente aussi de juguler la situation. L'État notamment vient de recapitaliser les grandes banques qui ne sont pas en forme. Les plans de relance ont permis de soutenir la croissance à court terme, mais la grande question, c'est de savoir comment tout l'écosystème industriel et manufacturier chinois va faire face durant les prochains mois.À lire aussiLa Chine, grande gagnante des mesures de Donald Trump?
On commence avec l'union européenne annonce qu'elle suspend les mesures douanières de représailles envers les USA, suite à la suspension de Donald Trump de surtaxer les produits européens
L'assèchement de l'Indus, le fleuve qui traverse les deux provinces greniers à blé du Pakistan, le Pendjab et le Sind, fait craindre le pire pour les récoltes de la fin de l'hiver. Selon les autorités, la pénurie d'eau pourrait atteindre 35% dans les semaines à venir. Selon de récentes prévisions, les barrages d'eau dans la région atteindraient le niveau zéro d'ici à un mois. La situation est alarmante. Les pénuries croissantes d'eau deviennent la norme chaque année au Pakistan, qui se trouve sur la ligne de front du changement climatique. Il y a plus d'un mois, les autorités de la province du Pendjab ont décidé de pénaliser le gâchis d'eau dans le secteur privé. De notre correspondante dans le Pendjab, Sonia Ghezali, et avec la collaboration de Shahzaib Wahlah« Allume la pompe. » Chaque jour, c'est le même rituel pour Mohammad Awais Mubarak : il ordonne à ses employés d'enclencher le système électrique de pompage de l'eau souterraine. Pour irriguer son champ de huit hectares de fraises, de blé et de maïs, il n'a pas d'autre choix, les canaux reliés à la rivière Ravi étant complètement secs.Mohammad Awais Mubarak possède des terres agricoles. « L'assèchement de la rivière a entraîné une baisse du niveau de la nappe phréatique. Dans le passé, nous pouvions obtenir de l'eau à 23 mètres de profondeur. Aujourd'hui, il faut aller à au moins 46 mètres. Et le coût pour creuser un nouveau puits s'élève à plus de 3 300 euros, alors qu'avant, cela coûtait la moitié de cette somme. De plus, les puits s'assèchent rapidement et nous devons constamment en creuser de nouveaux », confie-t-il.L'agriculteur cultive ses huit hectares de terres depuis plus de 20 ans. Mohammad Awais a dû s'adapter à l'assèchement de la rivière et à ses conséquences : « Les années précédentes, nous cultivions beaucoup de riz ici, mais maintenant, nous pensons que nous ne pourrons plus en cultiver et que nous devrons passer au maïs, parce que cela demande moins d'eau. »À lire aussiLe Pakistan sur la ligne de front du réchauffement climatiqueLe recyclage de l'eau désormais imposéÀ Lahore, la capitale provinciale, les autorités locales ont décidé de passer à l'action. Elles ont imposé depuis quelques semaines aux entreprises, aux usines et aux stations de lavage automobiles, l'installation d'un système de recyclage de l'eau. L'Agence de la protection de l'environnement a pour mission de faire appliquer ces mesures. Ses agents sillonnent la ville en quête de contrevenants. Ce jour-là, ils s'arrêtent dans une station de lavage. Les employés sont en train de laver une voiture à grande eau grâce à l'aide d'un long tuyau.« Où se trouve votre système de recyclage ? Arrêtez votre travail maintenant. Où stockez-vous l'eau sale ? », demande l'un des agents. Un employé désigne une cale en sous-sol : « Il y a un réservoir souterrain ici. » « Où va l'eau ensuite ? », reprend l'agent. « Dans les canalisations », répond l'employé. « Vous n'avez pas de système de recyclage ? », questionne l'agent. Il n'y a, en fait, aucun système de recyclage. Un des agents tend au propriétaire une amende de 164 euros, soit trois fois les recettes journalières de sa station de lavage.L'inspecteur Khurram ordonne la fermeture immédiate des locaux jusqu'à nouvel ordre. Il déplore le gâchis d'eau répandu dans la province : « L'eau doit être recyclée et réutilisée. Sans ce système, les pompes à essence, les stations de lavage ou les industries ne sont pas autorisées à fonctionner, car le niveau de la nappe phréatique s'épuise très rapidement. »L'inspecteur n'est pas confiant quant à l'avenir. Selon lui, les pénuries ne feront que s'aggraver, le gâchis d'eau étant ancré dans les habitudes domestiques, lesquelles ne font l'objet d'aucun contrôle. Selon de récentes études, d'ici à 2040, le Pakistan pourrait devenir le pays dont les réserves d'eau seront les plus faibles de la région.À écouter aussiComment s'adapter aux prochaines pénuries d'eau ?
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des mesures que l'animateur prendrait s'il était président en 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Cédric Nattagh, VP Global Digital Marketing | B2B Marketing Strategy & Innovation Dans cet épisode, je discute avec Cédric Nattagh VP Global Digital Marketing chez CEGID, des enjeux du suivi et de la mesure en marketing B2B. Cédric partage son expertise sur l'importance du tracking server-side et de l'optimisation via LinkedIn. Nous explorons la segmentation en quatre piliers : awareness, lead capture, lead conversion et sales assist, ainsi que l'engagement de CEGID à devenir un leader en matière de contenu réglementaire. Enfin, il aborde l'utilisation du machine learning pour affiner les stratégies et prédire la valeur des leads. Cet épisode est riche en insights pour optimiser les efforts marketing dans un environnement B2B complexe.Au menu de cette conversation entre Cédric et Mony :0:04 Introduction 1:36 Best Practices en Mesure5:59 Influence sur le Buyer's Journey15:30 Thématiques de Contenu Efficaces20:06 Mesures et Outils chez CEGID28:40 Impact de la Brand sur les Résultats32:17 Conclusion et ContactRéférences :LinkedIn de Cédrichttps://www.linkedin.com/in/cedric-nattagh-marketing-digital/Site de CEGID: https://www.cegid.com/fr/--⚡ Connecte-toi à Mony ici.Je suis Mony Chhim et je suis freelance LinkedIn Ads pour entreprises B2B (45+ clients accélérés)
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs À partir du 1er avril, de nouvelles mesures entrent en vigueur pour les demandeurs d'emploi dont la mensualisation, sur trente jours, de toutes les allocations et un durcissement des règles pour les chômeurs séniors. Un article de Cécile Hautefeuille publié mardi 1er avril 2025, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le président américain le promet : mercredi 2 avril, c'est « Jour de libération ». Donald Trump va annoncer de nouveaux droits de douane et personne ne semble épargné. Il s'agit là d'un nouveau tournant dans sa guerre commerciale qui pourrait très cher à l'économie mondiale. Le montant peut donner le tournis : 1 400 milliards de dollars, voilà le coût à l'échelle internationale des différentes mesures de Donald Trump et notamment sa volonté d'imposer à hauteur de 25 % toute importation sur le sol américain. D'après cette étude menée par l'Université d'Aston au Royaume-Uni, ce scénario frapperait dans un premier temps de plein fouet les États-Unis.Mais les partenaires économiques des Américains seraient aussi durement touchés. C'est d'ailleurs toute l'ambition de Donald Trump, frapper au portefeuille les économies avec lesquelles les États-Unis ont un déficit commercial. Si cette escalade protectionniste permettrait à certaines industries locales américaines de voir une hausse de leur production à court terme, la contrepartie, ce sont bien les représailles des partenaires commerciaux clés. Le Mexique, le Canada et l'Union européenne, pour ne citer qu'eux, ne comptent pas rester sans réponse.Résultat, toujours d'après l'étude de l'université d'Aston, cela provoquerait une chute des exportations américaines pouvant dépasser les 43 %.À lire aussiDroits de douane, barrières non tarifaires, mesures de rétorsion: les mots du protectionnismeLe consommateur américain en première ligneMais qui dit guerre commerciale dit mécaniquement une hausse des prix sur les produits importés, y compris les biens de consommation courante. Côté entreprises, mêmes causes, mêmes effets. Elles pourraient voir leurs chaines d'approvisionnement perturbées avec une hausse du coût de production. Certaines ne pourraient pas faire face et celles qui tiendront le coup augmenteront mécaniquement leurs prix. Bref, la spirale inflationniste tournerait à plein et les premières victimes de ces mesures seraient les Américains eux-mêmes.Pourtant, c'est tout ce que Donald Trump ne veut pas. Mais le président américain l'expliquait à son arrivée à la Maison Blanche, il y aurait « des perturbations » mais que « cela ne durerait pas ». Pour le moment, la dynamique semble lui donner tort.Le monde financier s'inquièteL'activité boursière est directement touchée, elle aussi, par les mesures, ou du moins les plans, de Donald Trump. L'indice des 500 plus grandes entreprises américaines, le S&P 500 vient de connaitre l'un de ses pires trimestres en trois ans. Le risque de récession, à savoir un ralentissement du rythme de la croissance, est de plus en plus important d'après la banque d'affaire Goldman Sachs. Baisse de la croissance et inflation pourraient ainsi motiver la banque centrale américaine de revoir ses taux d'intérêt pour tenter d'endiguer la crise, sans garantie de succès.En jouant la carte de l'Amérique d'abord, Donald Trump met certes un coup de pied dans le système, mais beaucoup de spécialistes considèrent qu'il se met aussi des œillères. Car au jeu de l'escalade de représailles, aucune économie ne sort gagnante, pas même celle qui a initié la guerre commerciale. La question est donc toujours celle-ci : jusqu'où ira Donald Trump dans ses mesures à l'égard des partenaires historiques des États-Unis sans que les Américains en subissent de plein fouet les conséquences ?À lire aussiComment les multinationales ont anticipé les droits de douane américains
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Didier Giraud, et Flora Ghebali, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Frédéric Farah et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Toutes les écoles musulmanes sont-elles vouées à perdre leurs contrats d'association avec l'Etat ? Après le lycée Averroès, dont le contrat a été rompu par les autorités en décembre 2023, c'est désormais une autre cité scolaire musulmane en banlieue lyonnaise, Al Kindi, qui vient de perdre son contrat, et avec lui, les subventions publiques qui lui étaient versées. A chaque fois, les préfets font les mêmes reproches flous : contenu pédagogique et ouvrages contraires aux vale ...
Adoptée au Sénat, la loi contre les narcotrafics est examinée à l'Assemblée nationale à partir de ce lundi 17 mars. Plusieurs mesures divisent profondément les députés. Les explications de la journaliste Sophie Neumayer, du service police-justice de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Chine est dans le viseur de Donald Trump. Le président américain a imposé 20 % de droits de douane sur tout produit chinois importé sur le sol américain. Son ambition, c'est de mettre en difficulté l'économie chinoise tout en relançant la production aux États-Unis. Mais paradoxalement, Pékin pourrait sortir gagnante de cette guerre commerciale. Décryptage. L'idée fait son chemin: Pékin peut tirer profit des lourdes sanctions américaines dont elle fait l'objet. Plusieurs analystes et observateurs l'affirment, à l'image il y a quelques jours de la cheffe de la diplomatie européenne.Dans une interview accordée à Bloomberg, Kaja Kallas explique que la Chine a tout à gagner des guerres commerciales menées par Washington. On le rappelle, pour le moment, les États-Unis imposent les produits chinois à hauteur de 20 %. Car les Américains importent beaucoup plus qu'ils n'exportent vers la Chine ! En 2024, cet excédent commercial était d'environ 300 milliards de dollars. Ce qui agace Donald Trump ! La riposte de Pékin Pékin n'a pas attendu pour répondre aux mesures du président américain, en imposant des taxes de 10 à 15 % sur les produits agricoles américains, notamment le soja, le maïs, le blé ou le bœuf. Cette stratégie cible directement la base électorale de Trump, principalement située dans les États agricoles. Et puis les autorités chinoises ont aussi adopté des mesures plus strictes sur les entreprises américaines qui opèrent en Chine, stratégie qui réduit ainsi les exportations américaines vers leur marché. Pékin a donc riposté, mais tout de même avec une certaine prudence et en frappant de manière précise car, difficile de ne pas l'évoquer, l'économie chinoise traverse une zone de turbulences. Le pays est très dépendant des exportations d'autant que sa consommation interne est faible. Il faut donc trouver un équilibre et laisser la porte ouverte à de possibles négociations entre les deux pays. À lire aussiLa Chine sur une ligne de crête face à la politique douanière de Donald TrumpUne nouvelle stratégie Mais la Chine peut tirer profit de cette situation qui de prime abord n'a pas l'air bonne. Déjà, de nombreuses entreprises chinoises ont déplacé ou déplacent leur production vers des pays qui ne sont pas concernés par les sanctions américaines comme le Cambodge, le Vietnam ou le Maroc pour contourner les droits de douane appliqués par les États-Unis. Et puis surtout, Pékin est en train de sortir de sa dépendance américaine. La Chine a tout simplement développé de nouveaux marchés comme en Amérique du Sud, au Moyen-Orient ou en Afrique. En diversifiant ses partenaires commerciaux, on prend moins de risques quand le principal vous tourne le dos. L'Union européenne, objet des convoitises L'Union européenne pourrait être l'alliée idéale de Pékin, d'autant qu'elle est la cible de menaces et de sanctions très lourdes par Donald Trump. En torpillant les accords avec les Européens, le président américain les pousse irrémédiablement à trouver d'autres partenaires. La Chine fait figure de candidate puisqu'on le disait, elle aussi se cherche des nouvelles alliances. L'Union européenne qui par la force des choses est poussée dans les bras de Pékin. À lire aussiLa Chine se prépare à la politique économique de Donald TrumpCette solution, Pékin envisage sérieusement. Le mois dernier, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a affirmé que la Chine attachait "une grande importance à sa relation avec l'UE en la considérant comme un partenaire stratégique global”. Le message est clair et tout sauf innocent. Car finalement, sur le long terme, Donald Trump pourrait bien être l'ouvrier d'une hégémonie chinoise, et pas seulement économique !
Les géants du web, Facebook, Instagram et YouTube, annoncent des mesures pour lutter contre les arnaques en ligne. Facebook et Instagram prévoient un outil de reconnaissance faciale pour détecter les vidéos truquées de célébrités, tandis que YouTube s'attaque aux vidéos de faux investissements. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:27 - Journal de 18h - Améliorer la protection des populations, anticiper les risques et adapter les activités humaines à des conditions extrêmes, voilà l'ambition du 3e plan national d'adaptation au changement climatique. Un plan qui intègre le scénario d'un réchauffement moyen de 4 degrés d'ici la fin du siècle.
durée : 00:19:27 - Journal de 18h - Améliorer la protection des populations, anticiper les risques et adapter les activités humaines à des conditions extrêmes, voilà l'ambition du 3e plan national d'adaptation au changement climatique. Un plan qui intègre le scénario d'un réchauffement moyen de 4 degrés d'ici la fin du siècle.
À l'occasion de son premier discours devant les élus américains depuis son retour au pouvoir, le président des États-Unis a déroulé le fil d'une Amérique en pleine « révolution du bon sens ». Il a commencé son intervention en expliquant que « l'Amérique est de retour », souligne le correspondant de RFI à Washington, Guillaume Naudin. Le président américain revendique le début de mandat le plus actif et le plus réussi de toute l'histoire américaine, avec 79 décrets signés et près de 400 décisions prises durant les 43 premiers jours. Une avalanche d'annonces et de décisions qui déborde à la fois la presse et ses adversaires politiques, qui sont pratiquement sans réaction. Mis à part le représentant du Texas, Al Green, qui a bruyamment contesté que Donald Trump ait un mandat clair du peuple américain et qui a d'ailleurs été escorté jusqu'à la sortie pour cela, ils n'étaient pas très bruyants et certains d'entre eux avaient boycotté ce discours. À part quelques panneaux assez discrets, les élus démocrates ont surtout fait la grève des applaudissements. Et d'ailleurs Donald Trump l'a bien remarqué et fait remarquer.« C'est mon 5è discours du genre au Congrès. Et une fois encore, je regarde les démocrates devant moi et je réalise qu'il n'y a absolument rien que je puisse dire pour les rendre heureux, ou les faire se lever, sourire ou applaudir. Il n'y a rien que je puisse faire. Alors les démocrates assis devant moi, pourquoi, juste pour un soir, ne pas vous joindre à nous pour célébrer tant d'incroyables victoires pour l'Amérique ? »Il n'a pas obtenu les applaudissements recherchés, mais, tradition oblige, il a eu droit au « rebuttal », la réponse fournie par la nouvelle sénatrice démocrate du Michigan, Elissa Slotkin, qui a fait carrière dans le renseignement. Elle est donc spécialiste des questions de sécurité. Mais elle est aussi capable de parler d'économie, comme l'a fait Donald Trump et voici ce qu'elle en dit :« Le président Trump essaie de faire un cadeau sans précédent à ses amis milliardaires. Il cherche des milliers de milliards de dollars à donner aux plus riches des Américains. Et pour faire ça, il va vous faire payer dans tous les domaines de votre vie. Les prix de l'alimentation et du logement augmentent. Ils ne baissent pas. Et il n'a pas proposé de plan pour régler l'un ou l'autre. Ses droits de douane contre des alliés comme le Canada vont faire monter les prix de l'énergie, du bois de construction et des voitures. Cela lance une guerre commerciale qui va toucher l'industrie et les agriculteurs. Le prix de vos traitements médicaux va augmenter parce qu'il n'a tout simplement pas l'argent nécessaire sans toucher à vos soins de santé. Et pendant ce temps, la dette augmente et s'il ne fait pas attention, il pourrait nous entraîner dans la récession » Enthousiasme des membres du Parti républicainMajoritaires à la Chambre et au Sénat, ils ont applaudi lorsque Donald Trump a dit que son prédécesseur Joe Biden avait été le pire président de l'Histoire. Ou quand il a salué Elon Musk et son travail avec le Département de l'efficacité gouvernementale (DOGE) pour détecter la fraude, en prenant l'exemple des abus dans les comptes de la Sécurité sociale, la retraite des personnes âgées les plus fragiles économiquement. Il veut récupérer l'argent indûment versé selon lui pour faire baisser les prix, les taux d'emprunt immobilier et redonner de l'argent aux Américains.Sur l'économie, il a aussi été question des droits de douane qui, « malgré quelques perturbations » - la bourse a par exemple effacé tous ses gains depuis le 20 janvier en 2 jours -, malgré cela, c'est selon lui bon pour le pays. Il se félicite des investissements annoncés par plusieurs entreprises. Des investissements, notamment dans le domaine de l'intelligence artificielle et de la fabrication de puces électroniques, qui sont évidemment réfléchis depuis un moment par les entreprises concernées et qui sont mis en scène depuis le début de son mandat.Donald Trumpconfirme par ailleurs qu'il veut reprendre le canal de Panama, sans évoquer directement l'option militaire comme il l'a déjà fait. Pas plus que pour le Groenland, pour lequel il renouvelle son intérêt économique et de sécurité, mais en se disant favorable à l'autodétermination des habitants. Enfin surtout, quelques jours après l'invraisemblable incident diplomatique du Bureau ovale, il annonce avoir reçu une lettre du président ukrainien Volodymyr Zelensky lui annonçant qu'il veut faire la paix sous sa direction à lui, qui continue à négocier avec la Russie et que l'Ukraine souhaite signer l'accord qui donne accès à ses minerais et terres rares aux États-Unis. Inquiétudes pour l'économie américaine ?Le Wall Street Journal, publication conservatrice et libérale, passe ce discours au tamis avec six éditorialistes qui en ressortent plutôt satisfaits : « Expansion du forage pétrolier, chasse au gâchis dans l'administration fédérale, répression du crime dans les centres urbains, expulsion de sans-papiers… Les 4/5èmes de ce discours sont des mesures largement soutenues par les Américains ».Mais l'exercice se corse quand il s'agit des droits de douane. Sur ce point, « son discours sonnait comme au bon vieux temps du protectionnisme », tacle le Wall Street Journal. « Difficile d'entendre parler de victoire pour les consommateurs américains lorsque, par exemple, M. Trump rend les importations de fruits et légumes encore plus cher. Vu à quel point les électeurs en voulaient à Joe Biden pour la hausse des prix, Donald Trump a peut-être tendance à minimiser le risque politique quand il annonce une « légère perturbation » en matière commerciale. »Au passage, petite gifle pour les démocrates, les plumes du Wall Street Journal s'en donnent à cœur joie : « Avec leurs phrases toutes faites sur quelques pancartes, comme «Musk est un voleur» ou «Faux», les démocrates avaient l'air plutôt ridicules. Sans parler de ces élues habillées en rose pour protester contre les mesures de Donald Trump envers les femmes. Tout ce que les Démocrates ont mis en œuvre hier soir dans l'hémicycle nous confirme une fois de plus pourquoi ils ont perdu au mois de novembre ».Et les signatures du New York Times ne sont pas loin de penser la même chose, prenons Michelle Goldberg pour n'en citer qu'une : « les démocrates n'auraient tout simplement pas dû venir. Et quitte à y aller, pourquoi se munir de ces pancartes stupides. Si ce n'est pour servir de faire-valoir à un autocrate trop content de couper l'Amérique en petits morceaux ». Fin du TPS et recours en justiceParmi les dizaines de procédures judiciaires intentées contre l'administration Trump depuis le 20 janvier, il y a ces recours contre la fin programmée du TPS (Temporary Protected Status). Joe Biden avait étendu ce dispositif d'accueil jusqu'en février 2026 pour les ressortissants haïtiens, mais la nouvelle Maison Blanche ne veut plus en entendre parler et a choisi d'inverser cette décision, il y a quinze jours. Par conséquent, au-delà du 3 août 2025, tous les Haïtiens présents aux États-Unis par le biais du TPS risquent de se retrouver dans l'illégalité.Quatre d'entre eux, appuyés par trois organisations, viennent d'attaquer cette décision. NBC News cite l'un des leurs avocats : l'idée de supprimer le TPS pour Haïti et le Venezuela « répond à des préoccupations raciales et n'a aucune considération pour la réalité de ce que vivent ces communautés ». Son principal argument juridique : l'actuelle administration américaine n'a pas le pouvoir de revenir sur le délai déjà gravé dans le marbre par l'équipe Biden. L'agriculture en Haïti en dangerLes conséquences de la crise sécuritaire se font particulièrement sentir chez les agriculteurs haïtiens qui ne peuvent plus vendre leur production. Les routes sont trop dangereuses, contrôlées par les gangs qui rackettent les voyageurs et les cargaisons de fruits et de légumes ne parviennent pas jusqu'aux grandes villes. Conséquence : les producteurs perdent de l'argent et les chauffeurs de camions ne travaillent plus. C'est le cas notamment dans la commune de Fonds-Verrettes, à l'est de Port-au-Prince. Reportage de Peterson Luxama à réécouter dans son intégralité dans l'édition du jour. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreEn Martinique, le roi du carnaval s'est embrasé à Fort-de-France avec 24 heures d'avance, accidentellement et à la grande stupéfaction des spectateurs présents lors du défilé du Mardi gras.
Pour aider le secteur en grande difficulté, la minsitre du logement Valérie Létard a annoncé un élargissement du prêt à taux zero pour les logements neufs, ainsi que des donations sans frais de succession si l'argent sert à acheter un logement, neuf là encore. Suffisant pour relancer la machine ? Ecoutez L'éco & You avec Pierre Herbulot du 19 février 2025.
durée : 00:05:32 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de La Terre au carré, La lutte enchantée de Camille Crosnier, la Une de l'écologie avec Hervé Kempf de Reporterre et vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:36:55 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - La pollution de l'air est un véritable fléau pour la santé publique. Impactant notre système cardiovasculaire et respiratoire, elle nécessite une prise de conscience collective. Quelles sont initiatives mises en place en ce sens ?